journal j'ai la bougoette de mars 2012

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BABILLARD … 2 MOT DU MAIRE /PATINOIRE AGENDA 3 MOIS ...3 RÉVEIL DU JARDINIER CANARDS ILLIMITÉS … 4 PESTICIDES … 5 MÉMOIRE DE NOS AÎNÉS ...6 FADOQ … 10 LOISIRS COLLECTIFS INCENDIE … 11 FERMIÈRES CHORALE ...12 BASSINS VERSANTS …13/14 PROCÈS-VERBAL …15 Dans ce numéro : Saint-Albert, Vol. 5 Mars 2012 Journal Communautaire sans but lucratif Programme Nouveaux Horizons pour les aînés. http://labougeotte.sytes.net/ DES PESTICIDES DANS VOTRE ASSIETTE ??? Voir page 5 Le brunch du 12 février, une réussite!!!! Siège social Centre de Services St-Albert 300, des Bois-Francs Sud, Victoriaville 1245, rue Principale, St-Albert Téléphone: 819-758-9421 Téléphone: 819-353-3400 Sans frais: 1-866-758-9421 Sans frais: 1-866-575-3400 Pour connaître les adresses de nos centres de services dans la grande région des Bois-Francs, veuillez consulter notre site Internet. www.desjardins.com/caissedesboisfrancs Huguette et Sylvie du journal en compagnie de Colette Gagnon, re- présentant la Municipalité et André Bellavance, député fédéral.

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Journal de St-Albert

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Page 1: Journal j'ai la bougoette de mars 2012

BABILLARD … 2

MOT DU MAIRE /PATINOIRE AGENDA 3 MOIS ...3

RÉVEIL DU JARDINIER CANARDS ILLIMITÉS … 4

PESTICIDES … 5

MÉMOIRE DE NOS AÎNÉS ...6 FADOQ … 10

LOISIRS COLLECTIFS INCENDIE … 11

FERMIÈRES CHORALE ...12

BASSINS VERSANTS …13/14 PROCÈS-VERBAL …15

Dans ce numéro :

Saint-Albert, Vol. 5 Mars 2012 Journal Communautaire sans but lucratif

Programme Nouveaux Horizons pour les aînés.

http://labougeotte.sytes.net/

DES PESTICIDES DANS VOTRE ASSIETTE ??? Voir page 5

Le brunch du 12 février, une réussite!!!!

Siège social Centre de Services St-Albert 300, des Bois-Francs Sud, Victoriaville 1245, rue Principale, St-Albert Téléphone: 819-758-9421 Téléphone: 819-353-3400 Sans frais: 1-866-758-9421 Sans frais: 1-866-575-3400

Pour connaître les adresses de nos centres de services dans la grande région des Bois-Francs, veuillez consulter notre site Internet.

www.desjardins.com/caissedesboisfrancs

Huguette et Sylvie du journal en compagnie de Colette Gagnon, re-présentant la Municipalité et André Bellavance, député fédéral.

Page 2: Journal j'ai la bougoette de mars 2012

Journal Communautaire J’Aî la Bougeotte 25, rue des Loisirs, St-Albert, Qué. J0A 1E0 Courriel : [email protected] http://labougeotte.sytes.net/

Tirage : 670 exemplaires, 10 parutions / an Distribution : St-Albert (gratuit) Abonnement: 20$/an

B A B I L L A R D Page où l’on achète, on annonce, on vend, on collectionne, etc.

PROCHAIN NUMERO : fin mars Vos articles avant le 15 mars S.V.P.

Publicité Carte d’affaires 10,00$ / parution ¼ page 30,00$ / parution ½ page 60,00$ / parution 1 page 125,00$/ parution Veuillez joindre la publicité que vous désirez, le nombre de paru-tions et votre chèque au nom de Journal Communautaire à l’adres-se ci-haut mentionnée. Contactez : Huguette Routhier (358-2088) Sylvie G.Boisvert: (353-2992)

POLITIQUE D’INFORMATION Le journal « J’AÎ la Bougeotte » appartient à la population de St-Albert et chacun peut s’y exprimer librement par des opinions, chroniques, comptes rendus, nouvelles, etc. La rédaction se réserve le droit de corriger le français, pour une meilleu-re lecture ou compréhension, et de refuser ou de faire modifier tout article qui ne respecte pas les objectifs du journal. L’Équipe du journal : C.A. de la Fadoq de St-Albert et Ste-Séraphine Huguette Routhier, chargée de projet Sylvie G. Boisvert, secrétariat. Sous-comités de bénévoles Le genre masculin est utilisé afin de faciliter la lecture.

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À VENDRE À TOUS PRIX Coussins décoratifs Très grand choix de couleurs, de grandeurs, de tissus et de prix. Ouvert 7 jours. Route 122, St-Albert (819-353-2229) Marjolaine.

CORRECTION Dans le journal de février dans le reportage sur la messe de Noël avec crèche vivante, vous auriez dû lire que le rôle du petit Jésus était tenu par LÉA-MAUDE et celui de Joseph par ALEXANDRE. Toutes nos excuses aux personnes concernées.

Nouveau développement domiciliaire à St-Albert : terrains à ven-dre par la Municipalité en face du restaurant Les Daltons sur la rue Principale Actuellement, il reste 2 terrains de 1500 mc2 au coût de 20 000$ plus taxes chacun à vendre, ainsi qu’un terrain de 2062 mc2 au prix de 30 792$ plus taxes. Ces trois terrains propices pour des constructions neuves sont desservis par le réseau d’égout sanitaire de la ville. Le terrain situé derriè-re les terrains en façade du restaurant est aussi à vendre au coût de 60 000$ plus taxes, mais ce dernier n’est pas desservi pas le réseau d’é-gout sanitaire.

PERMIS Le printemps est à nos portes, et cette période rime régulièrement avec travaux de rénovation et/ou construction. N’oubliez pas que vous devez préalablement obtenir un permis de rénovation auprès de l’inspecteur muni-cipal au coût de 40$ avant d’entreprendre vos travaux. Voici un rappel non-exhaustif des travaux exigeant ou non un permis Travaux nécessitant un permis : ·La construction, la transformation, la réparation et l'agrandissement d'un bâtiment, de même que l'addition de bâtiments, que ce soit résidentiel, com-mercial ou agricole; ·La démolition d'une construction ou d'une partie de construction; ·Le déplacement d'une construction; ·Le remplacement de revêtements de toitures; ·La construction d'un mur de soutènement, d'une clôture et d'une haie; ·L'installation d'une piscine, d'un patio ou d'une terrasse; ·L'aménagement d'une aire de stationnement hors rue ou d'une aire de char-gement et de déchargement; ·L'aménagement d'un accès ou d'un ponceau privé dans l'emprise d'un che-min public (fermeture d'un fossé); ·La construction ou la modification d'une installation septique; ·L'aménagement d'un ouvrage de captage des eaux (puits); ·L'occupation d'un immeuble ou d'un local dont on a changé la destination ou l'usage. Travaux NE nécessitant PAS un permis : Lorsque les travaux de réparation suivants nécessitent moins de 1500 $. Cependant, les normes contenues dans la réglementation s'appliquent tou-jours. On entend par travaux de réparation, des travaux effectués sur des structures ou des biens déjà existants et non modifiés : ·Les travaux de peinture intérieurs ou extérieurs; .Le remplacement ou l'installation de planchers ou de couvre-plancher; .Le remplacement de perrons, de galeries, de corniches et autres structures semblables sans en augmenter les dimensions initiales; .L'aménagement paysager; .L'abattage d'un arbre.

Société Saint-Jean-Baptiste du Centre-du-Québec Section locale de Sainte-Clotilde Aux membres et amis de la Société Saint-Jean-Baptiste du Centre-du-Québec, vous êtes cordialement invités à prendre part à l’assem-blée générale annuelle de la section locale de Sainte-Clotilde-de-Horton qui se déroulera le dimanche 25 mars 2012, dès 13 h 30, au Centre communautaire de Sainte-Clotilde. Lors de cette rencontre, on vous tracera un portrait des activités de la dernière année tout en vous expliquant la mission et les objectifs de la Société, un organisme régional d’entraide et de fierté. Un BINGO GRATUIT complètera la rencontre, les prix seront en argent et comme toujours il y aura des prix de présence. Nous souhaitons la bienvenue à tous les membres ou non membres de Sainte-Clotilde, Sainte-Séraphine et Saint-Albert. Nous comptons sur votre présence. David Aucoin, Président

IMPORTANT AUCUNS FRAIS DE NON-RÉSIDENT, AUCUN FORMULAIRE DE NON-RÉSIDENT À SE PROCURER! En effet, grâce à la signature d'une entente de facturation annuelle à coût fixe avec la Ville de Victoriaville, les citoyens Albertois n'ont plus à venir chercher un formulaire de non-résident pour utiliser les installations de la Ville de Victoriaville, et donc aucuns frais afférents à débourser. Il vous suffit de vous rendre à Victoriaville à l'endroit où a lieu l'acti-vité à laquelle vous désirez vous inscrire, comme par exemple l'une des bibliothèques de Victoriaville, en ayant avec vous, une preuve d'identité indiquant votre lieu de résidence (ex. permis de conduire ou compte d'électricité), et voilà vous pouvez vous inscrire et participer à leurs activités! PROFITEZ-EN

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MOT DU MAIRE B onjour à tous !

Ce mois-ci, je désire vous entretenir sur les différents moyens de com-munication mis à votre disposition pour que vous soyez les mieux informés sur votre localité, malgré le tourbillon de vos activités familia-les, personnelles et professionnel-les. Le journal local «J’aÎ La Bougeotte» est l’un des moyens de communica-tion le plus apprécié. D’ailleurs à cet effet, j’aimerais remercier les citoyens des bons commentaires que vous nous faites à cet égard. Régulièrement, des gens nous inter-pellent pour nous dire que le mot du maire mensuel est pertinent, car il leur permet de suivre de près les activités municipales en des termes simples. La publication du procès-verbal dans le journal local est éga-lement prisée puisqu’elle permet de constater ce qui a été décidé lors de la séance antérieure. Bref, le jour-nal communautaire vous permet de suivre votre milieu de vie et le tra-vail du conseil municipal qui œuvre à l’amélioration de celui-ci. Merci au nom de tous les élus municipaux de vos commentaires positifs, et encore une fois : «Bon 5e anniver-saire à tous les bénévoles du jour-nal!» D’ailleurs, vous savez que le journal est également disponible sur inter-net à l’adresse http://labougeotte.sytes.net./ La version internet du journal vous permettra de consulter l’ensemble des archives du journal agrémenté de plusieurs photos et images…le tout en couleur! La mise en ligne du journal local est rendue possible grâce à la main de maître de M. Sylvain Provencher.

Tout en naviguant sur le web, je vous invite à visionner également le site de la Municipalité. Le www.munstalbert.ca est mis-à-jour de façon régulière et vous donne toutes les informations possibles et inimaginables sur votre localité. Le site web se veut un complément d’informations au journal local et un moyen accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 pour communiquer avec le bureau municipal. N’hésitez donc pas à vous servir de cet outil pour vous informer et émettre vos demandes ou vos commentaires. D’ailleurs, je tiens à souligner que le site web est le résultat des efforts soutenus de Mme Marie-Christine Gilbert, adjointe à la direction géné-rale. En 2011, tous les citoyens albertois ont reçus par la poste, un exemplai-re du document de la politique familiale récemment inaugurée. La politique familiale est un résumé des actions à venir afin de faire de St-Albert un lieu propice pour les familles. Je crois que chaque ci-toyen devrait en faire la lecture, au moins une fois, car elle résume le penser et agir famille. Pour ceux qui ont égaré le dit document, vous pouvez le consulter en tout temps sur le site web de la municipalité à la section «Loisirs». Un nouvel outil de communication est actuellement en cours de réali-sation: «Le Guide du citoyen». Ce document sera bientôt remis à tous les nouveaux résidents de St-Albert lors de notre visite,Mme Colette Gagnon, conseillère, et moi-même, chez les nouveaux arrivants pour leur offrir le panier de bienvenue. Il s’agit d’un répertoire contenant une foule d’informations sur leur village d’accueil afin de leur faire connaître

leur milieu de vie. Saviez-vous qu’environ une quinzaine de ces trousses de bienvenues sont remi-ses chaque année? D’ailleurs, je lance un appel aux commerçants de St-Albert : si vous désirez faire partie de nos commanditaires, n’hé-sitez pas à communiquer avec le bureau municipal pour connaître la procédure à ce sujet. Déjà quel-ques entreprises offrent des cou-pons-rabais ou des certificats-cadeaux pour les paniers de bienve-nues, joignez-vous à eux pour pro-mouvoir vos activités. Chaque cadeau offert par nos commanditai-res dans le panier est remis en main propre lors de notre visite et nous leur expliquons l’endroit où se situe le commerce et une brève description des services offerts. Une belle façon de leur dire bienve-nue et de promouvoir votre organi-sation! Un reportage à la télévision com-munautaire des Bois-Francs a ré-cemment été diffusé sur St-Albert. Pour ceux qui l’ont manqué, voici le lien internet pour le visionner : http://www.tvcbf.qc.ca/index.php?option=com_content&view =article&id=1764:2011-2012-flash-sur-ma-mrc-3-octobre&catid=167:2011-2012-flash-sur-ma-mrc&Itemid=78 Il s’agit là d’un autre bel outil de promotion de notre localité. Puisque l’on parle de communica-tion, j’ai reçu, le 8 février dernier, une belle invitation des membres du Cercle de Fermières, afin de faire un bref exposé sur le «Comité pro-tection du voisinage Bon voisin, bon œil» en place à St-Albert depuis avril 2011. D’ailleurs, je tiens à vous aviser qu’actuellement le comi-té de protection du voisinage grâce

à sa façon de faire reçoit des éloges des autres municipalités et MRC. En effet, Saint- Albert est cité en exemple dans des rencontres afin de faire connaître la démarche et ses succès. Signe que la contribu-tion des citoyens au maintien de la sécurité permet de changer les choses, puisqu’à Saint-Albert au lieu de dire : «on aurait dont dû, on agit!» C’est donc un plaisir pour nous, les élus, de rencontrer les citoyens pour discuter des réalisa-tions et des projets à venir. Cha-que fois, les gens sont accueillants, c’est pourquoi j’ai déjà hâte à la prochaine invitation! En terminant, je tiens à souligner que la Municipalité de St-Albert a mis à la disposition des citoyens, au fils des ans, tous ces moyens de communication afin de démontrer sa transparence et faire en sorte de vous permettre d’avoir accès facile-ment à l’actualité municipale, alors SVP utilisez ces outils, ils sont là pour vous! Évidemment, vous êtes également invités à venir assister aux séances régulières du conseil municipal afin d’être aux premières loges concer-nant les nouvelles municipales al-bertoises. Les séances ont lieu tous les premiers lundis du mois, mises à part certaines dates exceptionnel-les, dont je vous laisse le soin de les trouver grâce aux moyens de communication énoncées plus-haut…bonne recherche! Respectueusement,

Alain St-Pierre, maire [email protected]

Agenda Trois Mois (Dates à inscrire à votre calendrier) MARS

5 Séance du conseil 11 On avance l’heure 14 Réunion des Fermières Cours de danse tous les vendredis soirs à 19h30

MAI 6 Exposition Fermières 7 Séance du conseil 9 Réunion des Fermières 13 Fête des mères 15 Souper Fadoq (ass. Gén)

AVRIL 2 Séance du conseil 11 Réunion des Fermières 20 Collecte gros déchets 21 Fête des bénévoles/organismes 27 Reprise collecte Bac Brun

ENREGISTREMENT DE VOS CHIENS N’oubliez pas que la nouvelle année rime avec renouvellement de la licence an-nuelle pour votre chien. Il est obligatoire dans notre municipalité de vous pro-curer une licence pour votre chien. Vous pouvez vous procurer cette licence sous forme de médaille au coût de 20,00$ en vous rendant directement à la SPAA au 691, rue de l’Acadie, Victoriaville. INFO: 819-758-4444

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LE RÉVEIL DU JARDINIER

CANARDS ILLIMITÉS QUESTIONS ET RÉPONSES Q: Quels sont les principaux prédateurs des canards ?

R: Visons, ratons laveurs, renards, mouffettes, blaireaux et corneilles se délectent des œufs et des canetons. Les canards adultes sont surtout victimes de renards, d’hiboux et d’éperviers. Q: Que faire au sujet de la prédation ? R: Chaque espèce a sa place dans l’ordre natu-rel des choses et doit survivre. Il est nécessaire d’avoir une variété d’habitats de grande qualité pour assurer un équilibre écologique adéquat. Lorsqu’il y a beaucoup de prédation, Canards

Illimités peut clôturer les aires de nidification ou construire des îlots de nidification. Q: Canards Illimités est-il un organisme gouver-nemental ? R: Non. Mais nous travaillons de près et parta-geons des coûts d’aménagement avec plusieurs paliers de gouvernement. Canards Illimités est un organisme de charité, sans but lucratif, voué à l’action positive en environnement. Q: Que faire des canards qui viennent dans ma piscine ? R: Ne les nourrissez pas et ne les encouragez pas à rester. Cela pourrait être néfaste pour les

canards si vous les encouragiez inconsciemment à abandonner la migration ou à être «domestiqués». Q: Comment puis-je améliorer une terre humide sur mon terrain ? R: Pour des conseils, communiquez avec notre bureau provincial de ressources naturelles ou le bureau local de Canards Illimités. Yves Bergeron Canards Illimités Comité des bénévoles de St-Albert.

F évrier et Mars… pour le jardinier, c’est déjà l’heure de penser à la saison à venir. Autant

pour s’y préparer que pour faire un pied de nez à l’hiver bien installé. Voici donc 4 activités pour en-trevoir l’été ! 1. Trouver son « coin jardin » Avant tout, planifier où on va cultiver. Même si ce n’est pas l’heure de planter, la réponse va permet-tre de déterminer la quantité de végétaux à prévoir, les espèces à privilégier, les besoins en matériel, etc. À la maison… Si vous disposez d’un coin ensoleillé, c’est l’option idéale car les légumes sont à portée de main, l’en-tretien est facilité et vous profiterez de l’embellisse-ment des lieux. Évaluez d’abord si un espace au sol est disponible : une plate bande de fleurs, une bande de terrain le long de la maison, un coin de gazon, etc. Il existe maintenant une variété infinie de conte-nants qui s’adaptent à tous les lieux…Si vous doutez de la qualité du sol, il sera possible de l’améliorer au printemps avec les bons amendements. Ou encore d’y poser de grands bacs de bois (avec ou sans fond) ou des Smart Pots grand format et de les remplir de bon terreau. Autre option : cultiver sur le balcon, la terrasse, le toit, les rambardes ou mêmes les murs. Il existe maintenant une variété infinie de contenants qui s’adaptent à tous ces lieux… À l’extérieur… En ville, inscrivez-vous à un jardin communautaire (parcelles individuelles) ou collectif (jardinage et récolte en groupe). Dans les deux cas, les échanges avec les autres jardiniers et parfois des formations vous permettent de faire rapidement des progrès. En outre, le matériel est généralement fourni : vous n’avez qu’à acheter graines et tuteurs. Les listes d’attentes sont parfois longues donc inscrivez-vous dès que possible et ne désespérez pas : certaines parcelles se libèrent début juin. Pour trouver la liste de ces jardins, contactez votre municipalité ou faites une recherche dans Google

car certains sont indépendants. À la campagne, des personnes ou organismes louent des parcelles pour une somme modique : une bonne option mais qui nécessite parfois de longs déplacement depuis la ville. 2. Participer à une fête des semences De février à avril, plusieurs fêtes des semences sont organisées dans tout le Québec. C’est LE rendez-vous à ne pas manquer et le moment idéal pour magasiner vos graines et glaner des conseils. Cha-que fête est différente mais on y retrouve toujours plusieurs semenciers du Québec (donc des graines produites à petite échelle et adaptées à nos condi-tions), des organismes en lien avec le jardinage urbain ou non, des auteurs qui vendent leurs livres, des pépinières, etc. Généralement un beau programme de conférences complète le tout pour vous enseigner l’art de faire ses semis, les espèces méconnues à découvrir ou même les rudiments de l’apiculture urbaine. Des activités pour les enfants sont parfois prévues, de même que la possibilité de manger sur place. Bref, une vraie fête du jardin avant l’heure ! En plus, c’est gratuit. Le calendrier complet canadien se retrouve en ligne. Voici les dates 2012 pour le Québec : 3 mars : St Vallier, L’école de la ruche 4 mars : Québec, Université Laval 18 mars : Gatineau, Maison du citoyen 14 avril : Coaticook, CRIFA 3. Consulter des livres de jardinage Rien de mieux que l’hiver pour développer ou par-faire ses connaissances avec des livres de jardina-ge. Ils sont disponibles en grand nombre dans les bibliothèques mais, lorsque la saison est démarrée et que les questions surviennent, il est toujours utile d’avoir une ou plusieurs références à la mai-son… Pour les conseils de base du jardinage, préférez les livres québécois qui fournissent des informations plus adaptées à nos conditions de culture que les livres importés de France. Par contre il existe plu-sieurs livres français et américains spécifiques au jardinage urbain. Voici trois excellents ouvrages, selon votre niveau d’engagement pour le jardinage : Un peu… Le potager simplifié, par Micheline Léves-que, édition Bertrand Dumont, 64 p., 12,95 $. Des-tiné aux débutants, ce livre est un condensé d’infor-mations, facile et rapide à lire. Parfait pour ceux qui veulent aller à l’essentiel en 64 pages. Beaucoup… Mon potager santé, de Lili Michaud, édition Multimondes, 368 p., 27,95 $. Toutes les

bases du jardinage écologique : où jardiner (pleine terre / contenant), comment connaître et enrichir votre sol, faire ses semis, informations détaillées par espèce, calendrier de semis et plantation, luttes aux ravageurs, etc. Passionnément… La culture écologique des plantes légumières, de Yves Gagnon, édition Colloïdales, 324 p, 39,95 $. Un ouvrage de référence pour les jardiniers et les petits producteurs maraîchers qui livre dans le détail tous les secrets de culture de 56 espèces, du sol idéal à la récolte des graines. À compléter avec La culture écologique sur petites et grandes surfaces pour connaître aussi tous les secrets du sol… 4. Commander des graines Si vous n’avez pas fait tous vos achats de graines lors des fêtes des semences, c’est le temps de passer vos commandes auprès des petits produc-teurs québécois. Leurs semences ne sont générale-ment pas offertes dans les centres jardins qui ven-dent plutôt les semences de multinationales… Et si vous attendez trop, certaines variétés risquent de ne plus être disponibles. La plupart des semenciers permettent de commander en ligne et de recevoir vos graines rapidement par la poste. Simple et efficace ! Acheter vos graines auprès de petits produc-teurs québécois, c’est : Encourager des artisans qui privilégient la qualité et très souvent une approche biologique ; Vous assurer d’avoir des variétés adaptées à notre climat ; Aider ces semenciers à préserver la biodiversité en perpétuant des variétés traditionnelles ; Soutenir l’économie locale. Voici les principaux semenciers québécois : La Société des plantes Les Jardins du Grand Portage Le Jardin de l’Écoumène Ferme coopérative Tourne-sol Mycoflor Auteure: Marie Eiseman. Cofondatrice des Urbainculteurs, elle est convaincue des nombreux bienfaits du jardinage pour nos vies et nos villes. Réf: Association Manger Santé Bio

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Q uiconque s’intéresse un tant soit peu à son alimentation sait très bien

qu’on emploie des pesticides en agricultu-re, c’est-à-dire qu’on vaporise des poisons sur nos futurs aliments… Cette sordide réalité, rarement la manchet-te ni l’objet de reportages fréquents, s’en trouve occultée au point qu’on en oublie la contamination de notre nourriture, préfé-rant croire que, si ces substances sont au-torisées par les instances gouvernementa-les, elles doivent être sécuritaires. Mais lorsqu’on creuse un peu la question, on comprend que la réalité est toute autre. Une pratique répandue J’ai été confronté à la dépendance de l’a-griculture aux pesticides lors de 3 saisons passées dans la vallée fruitière de Creston de 1976 à 1979 alors que déjà on pulvéri-sait les pommiers avec 25 produits chimi-ques par année. Lorsque j’ai commencé à écrire sur l’agriculture industrielle au mitan des années 80, tout d’abord dans un livre intitulé Introduction au jardinage écologi-que puis dans des textes publiés dans le magazine Humus, j’ai découvert que le phénomène n’était pas exclusif à l’arbori-culture fruitière, mais bien à toutes les productions végétales industrielles condui-tes sous la férule des sociétés agrochimi-ques transnationales, de moins en moins nombreuses et de plus en plus opulentes et obèses. Bon an, mal an, ce sont 2,5 millions de tonnes de pesticides représentant une va-leur marchande de 40 milliards de dollars qui sont appliquées sur les terres agricoles de la planète. Rien de bien surprenant à ce que ces socié-tés adaptent par des manipulations généti-ques les végétaux cultivés aux pesticides qu’elles produisent et qu’elles commerciali-sent, une stratégie leur permettant de maintenir en place un système de produc-tion d’aliments qui les sert. Un total de 134 millions d’hectares ont été établis avec des plantes transgéniques en 2009. À l’époque de mes premiers écrits, mes références principales étaient les magazi-nes Harrowsmith, Organic Gardening ainsi que les revues Humus et Les Quatre-

Saisons du jardinage, cette dernière tou-jours publiée par Terre Vivante en France. J’ai aussi consulté les livres Pesticide Alert de Lawrie Mott et Karen Snyder ainsi que Invisible Additive de Linda R. Pim, traduit par Nos aliments empoisonnés. Ces ouvra-ges faisaient état des résidus de pesticides contenus dans les différents fruits et légu-mes sur le marché et de leurs effets sur la santé humaine. Identifier les aliments à risque Cet automne, je travaille à la réédition de La culture écologique des plantes légumiè-res et je me devais de mettre à jour les informations sur les résidus de pesticides contaminant les légumes industriels. C’est

ainsi que j’ai découvert le site whatsonmy-food.org mis en ligne par l’organisme amé-ricain Pesticide Action Network. On y don-ne, pour la plupart des légumes, le nombre de pesticides décelés par les analyses les plus récentes du Département de l’agri-culture américain (USDA). Ainsi, des analy-ses de 2008 révèlent qu’on trouve sur les brocolis industriels des résidus de 33 pesti-cides différents dont, par ordre d’importan-ce, l’imidaclopride (dans 67 % des échantil-lons), le DCPA (36 %), le chlorpyrifos (8,1 %), la pyraclostrobine (3,9 %) et la permé-thrine (2,6 %). On y indique à l’aide de pictogrammes si le produit est cancérigène, neurotoxique ou un perturbateur hormonal. Comme en agriculture biologique on ne peut utiliser ces poisons de synthèse, les taux de résidus qu’on y trouve sont à l’état de traces. Ainsi, notre consommation de fruits et de légumes repose principalement sur la production de notre jardin, complé-tée par quelques achats, toujours de quali-té biologique. Nous avions toutefois conservé l’habitude de prendre nos cham-pignons au Métro du village, croyant qu’ils n’étaient pas traités. Le site nous apprend que les champignons industriels sont tous contaminés (100 %) par la cyromazine, un insecticide, et qu’un total de 13 autres pes-ticides y sont décelés, dont la thiabendazo-le (44 %), le diazinon (21,4 %) et le phé-nylphénol (6,5 %). Nous n’achetons plus maintenant que les champignons de cultu-re biologique ou encore des champignons sauvages frais ou déshydratés, des alterna-tives intéressantes aux champignons de

Paris, un peu fade. Le site de l’organisme canadien Environ-mental Working Group héberge une foule d’informations sur les résidus de pesticides dans les aliments canadiens dont la régle-mentation s’arrime de plus en plus à celle des Américains. On y apprend que les ali-ments les plus contaminés par des résidus de pesticides sont les pommes, le céleri et les fraises alors que les aliments les moins contaminés sont les oignons, le maïs sucré et l’ananas. Enfin, sur le site français planetosco-pe.com, on trouve une multitude d’infor-mations sur les pesticides et leur utilisation en France et dans le monde. À la lumière de tout ce qu’on découvre lorsqu’on furète quelque peu sur internet, on comprend que l’alimentation biologique demeure le seul moyen de réduire la conta-mination de l’organisme par des résidus de pesticides toxiques et de se prémunir de la consommation d’OGM qui, en plus des pro-blèmes sanitaires et environnementaux qu’ils engendrent, servent à maintenir en place une production alimentaire profita-ble… pour l’industrie agrochimique. Cet article a originalement été publié sous le titre Qu’est-ce qu’on mange? dans le bulletin Covivia, disponible à partir du site de la Librairie Biosfaire. À propos de l'auteur Après une formation en hôtellerie, Yves Gagnon s’est installé en 1980 à Saint-Didace où il a créé Les Jardins du Grand-Portage. Avant tout jardi-nier, il partage sa passion pour l'alimentation et l'écologie par l’écriture d'articles et de livres en plus de donner des formations et des conféren-ces en jardinage écologique. II a collaboré pen-dant 10 ans à l’émission La Semaine Verte de Radio-Canada. Plus à propos d e : agriculture / b i o -logique / pesti- cides Réf: Février 2012 Www.mangersantebio.org

DES PESTICIDES DANS SON ASSIETTE ?

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C e mois-ci il nous fait plaisir de vous présenter un couple que nous ap-

précions bien avec leurs talents et leur générosité. Voici l’histoire de Claudette Perreault et de Réjean Desrochers qui ont bien voulu nous raconter leur vie. Voilà ! Je viens vous décrire quelques anecdotes de notre vie. Tous les deux nous sommes natifs de Ste-Elizabeth, sans se connaître cependant. Nous ne fréquen-tions pas la même école. Je ne voyais ce beau petit garçon qu’à la messe du diman-che. Réjean est né le 30 novembre 1941 d’une famille de trois enfants (le dernier vivant). Il est le fils de Doria Houle et de Oscar Desrochers. Après ses études, il devint opérateur de machinerie lourde et étudia ensuite aux Trois-Rivières pour obtenir son permis de bout-de-feu (dynamiteur). Après enquête de la police provinciale (ancienne appellation de la Sûreté du Qué-bec), il travailla sur contrat partout où il y

avait du dynamitage à faire dans la cons-truction des routes. L’hiver, il entretenait les chemins pour une autre compagnie. Dans la famille, on le surnommait «l’espiègle». Il a gardé son cœur d’enfant, vous ne pouvez passer près de lui sans qu’il vous taquine. Il semble lointain, mais sait très bien apprécier les gens. On admi-re sa joie de vivre. Quant à moi, Claudette, je suis née le 12 mars 1941 et suis la quatrième de 10 en-fants, tous vivants. Fille de Adéla Baril et Donat Perreault. Après mon secondaire, je n’avais qu’une idée : devenir sœur mis-sionnaire et d’entrer jeune au couvent comme Ste-Thérèse de l’Enfant Jésus. À 16 ans, j’ai déserté la maison avec une amie pour le couvent, mes parents s’oppo-sant à cette idée car ils me trouvaient trop jeune. Après avoir passé 9 ans en commu-nauté, je tombai malade, ayant une vie trop austère la Supérieure m’envoya… j’ai eu beaucoup de peine. La Supérieure me dit : «Faisant la volonté de Dieu, tu seras heureuse quoi que tu fasses…» Je n’ai jamais regretté ces années qui me valurent 9 ans d’université. J’étais bibliothécaire, libraire de métier, je continuai à pratiquer à ma sortie ce même métier aux Éditions Fides à Montréal. Nous nous sommes mariés le 20 janvier 1968 pour venir demeurer au coin du 6iè-me rang Grand à St-Albert. Après un an de mariage, une petite fille est née, Do-reen. Ayant toujours eu la chance de tra-vailler avec le public, le contact avec les gens me manquait. J’avais toujours une idée en tête. Je dis à mon mari Réjean «tu vas me construire une cantine au coin», certains gens riaient de nous en disant qu’en pleine campagne ça ne marcherait jamais. Cependant, je me suis occupée de cette cantine avec joie pendant 18 ans. Nous avons vendu lorsque Doreen est par-tie étudier en médecine nucléaire à Mon-tréal. Donc, depuis 1970 la cantine (maintenant «Chez Lucky») s’occupe de vous faire manger, pas pire pour quelque

chose qui ne devait pas marcher… Ensuite, Réjean laissa lui aussi la machine-rie lourde (métier très dur physiquement) pour partir une petite entreprise. Ayant tous les deux des talents d’ébénisterie et de décoration… Nous avions un promoteur qui engageait des artisans pour exposer sur les mails des centres d’achat afin de vendre nos produits. Nous avons donc mené une vie d’itinérants pendant 20 ans, changeant de place chaque semaine. On a fait le tour du Québec et même une partie de l’Ontario. Nous avons pu visiter beau-coup d’endroits dont on garde d’excellents souvenirs et ce, tout en gagnant notre pain. Une bien belle aventure… Nous sommes très fiers de notre fille Do-reen et de notre petit-fils Justin que nous adorons. On a la facilité, ensemble Réjean et moi, de fuir la monotonie de la vie. Comme le dit si bien la chanson de Jean-Pierre Ferland : Une chance que j’tai Je t’ai, tu m’as Une chance qu’on s’a… Claudette Perreault Réjean Desrochers. Merci de votre beau témoignage. Nous apprécions tous ce que vous faites. Nous vous aimons. Solande Raîche Fernande Lampron. PS : Ayant eu la chance de faire partie de l’or-ganisation de la fête des jubilaires il y a de cela quelques années, je peux vous dire que Claudet-te est une femme très généreuse de son amitié et de son talent de décoratrice. Elle est très ouverte à la vie et sait nous faire sentir quel-qu’un d’important à ses yeux. Merci Claudette pour les fous rire, les moments de confidence et ta disponibilité.

Sylvie G. Boisvert

MÉMOIRE DE NOS AÎNÉS

Réjean Desochers et Claudette Perreault

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C a h i e r d e s e r v i c e s

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À votre service ! Yvon Vallières

Député de Richmond

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C a h i e r d e s e r v i c e s

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Clôture vivante - Tonnelle - Treillis - Plessis www.leclosdessaules.com

Saint-Albert

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FADOQ ST-ALBERT / STE-SÉRAPHINE

L e brunch des placoteux du 12 février 2012 a été un succès sans précédent. Avec la participation de 190 convives, les

organisateurs furent très heureux… mais il a fallu qu’il patinent pour ajouter des tables et chaises et acheter de la nourriture supplémentai-re… On a même installé des tables dans la salle Desjardins. Étant donné que le C.A. de la Fadoq parraine le Journal Communautai-re «J’aî la Bougeotte», le comité du journal a souligné la 5ième année de parution en commanditant la participa-tion du musicien/animateur Claude Picotte de St-Léonard. L’assistance a quitté vers 13h15 avec des commentaires de satisfac-tion. Merci aux organisateurs et bénévoles. Huguette Routhier

L e Réseau FADOQ réagit fortement aux propos du Premier Ministre Stephen

Harper concernant la proposition de repousser l'âge de la retraite de 65 à 67 ans. « Repousser l'âge légal de la retraite ne consti-tue en rien une solution efficace aux problèmes économiques auxquels est confrontée notre société », affirme M. Jean-Claude Grondin, président du Réseau FADOQ. En effet, la moyenne d'âge de la retraite au Québec est de 59 ans. Ainsi, la solution aux problèmes écono-miques auxquels nous sommes confrontés ne réside pas dans l'augmentation de l'âge de la retraite, mais bien davantage, dans la mise en place d'incitatifs fiscaux et d'aménagement du temps de travail pour maintenir en emplois les travailleurs jusqu'à 65 ans. « Le gouvernement retirerait une bien plus grande économie en percevant les impôts des travailleurs pendant une période supplémentai-

re de 5 ans plutôt que de couper les prestations aux plus démunis pendant 2 ans » , poursuit M. Grondin. Car il est clair que ceux qui seraient les plus touchés par l'augmentation de l'âge de la retraite sont les aînés les plus pauvres, ceux qui n'ont pas de fonds de pension et qui sont dépendants des pensions universelles et publi-ques. Ceux qui ont les moyens de prendre leur retraite aujourd'hui à 60 ans auront encore les moyens de le faire même si l'âge légal de la retraite est repoussé à 67 ans. La proposition avancée par M. Harper ne fait que pénaliser des femmes et des hommes qui n'ont pas les moyens de se retirer du marché du travail avant 65 ans. Ce sont d'ailleurs souvent ces mêmes personnes qui ont occupé des emplois pénibles physiquement et faiblement rémunérés durant toute leur carrière et qui, à 65 ans, sont exté-nuées et mériteraient de ralentir le rythme de travail. Un autre problème majeur réside dans le fait qu'un très grand nombre d'employeurs ont des

stéréotypes défavorables à l'égard des travail-leurs de plus de 50 ans et ne favorisent pas leur embauche. Ainsi, c'est bien beau de repousser l'âge de la retraite à 67 ans, mais encore faut-il que ces personnes puissent se trouver un em-ploi! Autrement, le taux de chômage de la po-pulation aînée sera alarmant et les coûts du programme d'assurance-emploi astronomiques. Le gouvernement fédéral ne ferait ainsi absolu-ment aucune économie! Avant d'imposer des mesures aussi radicales et peu respectueuses des différences existantes entre les travailleurs, le Réseau FADOQ exhorte le gouvernement fédéral à réfléchir sur des mesures incitatives susceptibles d'offrir de bien meilleurs avantages à la fois à l'économie cana-dienne qu'aux finances des retraités. Réf: Le Tournesol Express. Janvier 2012. Nu-méro 3.

L e 14 février dernier, soixante aînés des environs de St-Albert se sont réunis au pavillon Maurice-Baril

pour un déjeuner santé et échanger sur différents sujets les concernant. Entre autres, Rosy Dallaire a livré un té-moignage positif concernant l’article du journal communau-taire de février 2012 sur le projet de loi 22: Résiliation de bail. Huguette Routhier « Je désire exprimer ma reconnaissance à l’équi-pe du Journal J’aî la Bougeotte, Sylvie et Huguet-te, pour les renseignements concernant la Loi 22 qui est finalement adoptée depuis le 29 novembre 2011. Pour des raisons de santé, ma sœur aînée devant changer de résidence et la connaissance de cette nouvelle Loi nous a permis de sauver un mois d’avis de départ, donc beaucoup de dollars. Merci encore! » Rosy Dallaire, membre Fadoq St-Albert

ÇA BOUGE AVEC LA FADOQ À ST-ALBERT !!!

Claude Lacharité et Marie-France Boucher aux toasts. Merci. Cré Solange, elle porte un chandail aux couleurs de la nappe, elle a le sens de la déco.

Repousser l’âge de la retraite… IRRÉFLÉCHI ET INSENSÉ!

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Une nouvelle coordonnatrice en loisirs pour les Loisirs Collectifs

Chères Albertoises, chers Albertois, Je me nomme Geneviève Payette et je suis la nou-velle coordonnatrice en loisirs pour les Loisirs Col-lectifs. Je travaille également en collaboration avec le comité Loisirs Sainte-Clotilde. D’ailleurs, mon bureau est situé dans le complexe municipal de Sainte-Clotilde-de-Horton. Je suis originaire de Chambly, mais j’ai passé les dix dernières années au Bas-Saint-Laurent avant de m'établir dans la région du Centre-du-Québec au printemps 2011. Là-bas, j'ai occupé les fonctions d'agente de développement rural dans différentes municipalités des MRC de Rivière-du-Loup et de Kamouraska. Je suis certaine que mon nouveau poste me per-mettra de mettre à profit mon bagage d'expérience dans l’organisation d’activités et de projets ainsi que mes aptitudes pour l'animation et les commu-nications. Bref, C'est un privilège pour moi de me joindre à l’équipe des Loisirs Collectifs. À bientôt! Geneviève Payette, Coordonnatrice en loisirs (819)336-5344 poste 2 [email protected]

Loisirs Collectifs

M ême les compagnies d’envergure peuvent faire des rappels de produits. Vous savez, tous les genres d’accident peuvent arriver avec un produit

de consommation, citons par exemple les risques de décharge électrique, les risques d’étouffement pour de jeunes enfants et, bien sûr, les risques d’incendie et de brûlu-re. Pour éviter que d’autres accidents se produisent avec ces biens, ces mêmes compagnies font un rappel. Habituellement, voici ce qui passe : un client achète un bien de consommation, un malheureux accident se produit avec ce bien et une plainte est déposée directement à la compagnie, à l’Office de protection du consom-mateur et à Santé Canada. Ensuite, la compagnie en cause émet un rappel dans tous les magasins où ce bien est vendu. Si vous, les consommateurs, êtes consciencieux et alertes, vous allez peut-être repérer un de ces rappels affichés dans les magasins. Sinon, vous n’en serez pas vraiment informés. À ce sujet, nous vous proposons deux sites Internet où il y a toutes ces informations au sujet des rappels de produits. WWW.ATPIQ.ORG/RAPPEL-DE-PRODUITS WWW.SANTECANADA.CA En mars, nous avons décidé de vous écrire à ce sujet, car nous avons été surpris de voir sur le site de Santé Canada un rappel pour un produit dont la plupart d’entre vous ont aperçu, donné ou reçu en cadeau ou même acheté soit la Cafetière à une tasse Tassimo de marque Bosch. Voici l’explicatif sur le site de Santé Canada pour cette cafetière :

«Le T Disc qui contient le café ou le thé peut éclater et causer des éclaboussures de liquide chaud, de marc de café et/ou de feuilles de thé sur les consommateurs utili-sant le système et sur les personnes se trouvant à proximité de celui-ci, ce qui re-présente un risque de brûlures. Il y a eu 140 signalements de la part de consommateurs, dont 61 au Canada et 79 aux États-Unis, indiquant qu’ils ont été en contact avec du liquide chaud, du marc de café et/ou des feuilles de thé déversé par le système d’infusion, dont 37 signale-ments concernant des brûlures au second degré. Pour en savoir davantage, les consommateurs peuvent communiquer avec l'entreprise au numéro sans frais de la ligne directe de rappel de produit de Tassimo : 1 866 918-8763.» Il est important de consulter ces sites Internet de temps à autre pour être au cou-rant des problèmes et dangers déjà répertoriés par d’autres consommateurs ou organismes. Pour plus d’informations, vous pouvez également contacter votre servi-ce de sécurité incendie ou bien directement chez Santé Canada au: 1 866 225-0709. Pensez prévention !

Prévention des incendies RAPPEL DE RAPPELS !

Rudy Hamel, TPI Responsable à la prévention – MRC

Service de la sécurité publique – Ville de Victo-riaville 175, boul. des Bois-Francs Sud, Victoriaville (Québec) G6P 4S5 Tél. : 819 752-5535 poste 245 ● Téléc. : 819 752-3266

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Cercle de Fermières de St-Albert

Plus que huit mois avant le 75 ième anniversaire du CFQ St-Albert

Bonjour à toutes, Lors de notre réunion mensuelle du 8 février 2012, nous avons reçu monsieur le maire Alain St-Pierre à titre de conférencier. Il nous a expliqué en quoi consistait et comment fonctionnait la «protection du bon voisinage», ce fût très intéressant et très apprécié par l’assemblée. Souhaitons que ces petits gestes fassent une différence pour notre entourage ainsi que dans notre société. Un gros merci à Alain St-Pierre qui a pris le temps de nous ren-seigner. Danielle Lebrun, présidente.

C ette année nous participons à la campagne contre le cancer du sein en ramassant des soutiens-gorge que vous ne portez plus.

Remettez les à une membre fermière de St-Albert je suis certaine que vous en connaissez au moins une. Ceux-ci seront envoyés à la campagne contre le cancer du sein et eux les enverront dans des pays sous-développés. Pour les soutiens-gorge qui sont trop vieux ils font la récupé-ration des agrafes et tous autres morceaux récupérables. Parlez en aux femmes que vous connaissez. Continuons à faire notre part si minime soit telle, c’est une bonne cause. Participez c’est pour une bonne cause.

Danielle Lebrun

Chorale les Voix du Cœur!

L es membres de la chorale «Les Voix du Cœur» de St-Albert et le comité pour l’achat de l’orgue, sont

heureux de l’acquisition dudit nouvel orgue et tiennent à remercier toutes les personnes qui ont fait des dons et un merci spécial aux différentes entreprises et organismes. Une activité bénéfice a eu lieu le 18 février dernier (souper-spaghetti). Un reportage-photos et un court résumé seront présentés dans le journal d’avril. MERCI encore à tous ceux qui de près ou de loin ont parti-cipé à la levée de fonds.

MERCI Fadoq St-Albert et Ste-Séraphine Journal J’Aî la Bougeotte Association Marie-Reine de Warwick Autobus Kirouac Inc. Chorale Les Voix du Cœur Desjardins Caisse des Bois-Francs Épicerie Claude et Jean Lacharité Fabrique Ste-Marguerite Bourgeoys Ferme Landrynoise Inc. Ferme Rochalain Inc. Filles d’Isabelle de Tingwick Institut Mirage Matelas Boisvert Inc.

MERCI Municipalité St-Albert Salon funéraire Bergeron Transport Lacharité Inc. SCA Bois-Francs Lactantia Salon funéraire Grégoire et Desochers Traiteur Serge Lampron.

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Nouveau salon de coiffure Situé au 86, Route 161, St-Valère.

♥Prix compétitifs; ♥Carte de fidélité disponible; ♥Salle d’attente confortable et paisible comme à la maison; ♥Possibilité de pose d’ongles en gel sur rendez-vous seulement. Horaire: Mercredi au vendredi: de 9h00 à 20h00 Samedi: de 8h00 à 13h00 Bienvenue à tous! Coiffure R.G. 20 ans d’expérience 819-357-0157

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Province de Québec M.R.C. d’Arthabaska Municipalité de Saint-Albert Ouverture de la séance ordinaire du conseil de la Municipalité de Saint-Albert, tenue le 9 janvier 2012 à 19h30, au bureau municipal, au 25 rue Des Loisirs. Sont présents : Colette Gagnon, conseillère Mélanie Vogt, conseillère Diane Kirouac, conseillère Denis Giguère, conseiller Justin Chabot, conseiller Tous formant le quorum sous la prési-dence du maire, M. Alain St-Pierre. Mme Suzanne Crête, directrice générale et secrétaire-trésorière, agit comme secré-taire de la réunion. La séance ordinaire est ouverte à 19 h 30. Mot du maire M. St-Pierre souhaite une très bonne année de santé et bonheur à tous les citoyens. Il souligne qu’il y a plusieurs projets en cours de réalisation en 2012 et compte sur l’effort continu des élus dans ces dossiers pour le bien-être des citoyens. 2012-01 Adoption de l’ordre du jour Proposé par M. Denis Giguère, conseiller Que l’ordre du jour du 9 janvier 2012 soit adopté et que le varia demeure ouvert. Adopté à l’unanimité des conseillers 2012-02 Adoption du procès-verbal de la réunion du 5 décembre 2011 Proposé par Mme Mélanie Vogt, conseil-lère Que le procès-verbal de la séance ordi-naire et extraordinaire du conseil du 5 décembre 2011 soit adopté tel que rédi-gé. Adopté à l’unanimité des conseillers 2012-03 Approbation des comptes pour la période du 5 décembre 2011 au 9 janvier 2012 Proposé par Mme Diane Kirouac, conseil-lère Et, il est résolu à l’unanimité des conseil-lers, d’adopter les comptes à payer suivants, tels que présentés au journal des déboursés, dont une copie a été remise à chacun des membres du conseil lors de la séance par la directrice généra-

le et secrétaire-trésorière : Registre des chèques # 3227 à 3290 Adopté à l’unanimité des conseillers 2012-04 CPTAQ – Guylaine Chabot Attendu que Mme Guylaine Chabot et M. Jean-Philippe Chabot demandent l’autorisation à la Commission de protec-tion du territoire agricole du Québec (CPTAQ) pour acquérir une superficie de terrain de 1382.7mètres carrés sur le lot P-876 du cadastre de Warwick de son voisin, M. Gaston Bussières, afin d’agran-dir son emplacement actuel. Cette de-mande ne contrevient pas à la règlemen-tation de la municipalité et n’aura aucun impact sur le territoire agricole puisque ce terrain bénéficie d’un droit acquis. Proposé par M. Denis Giguère, conseiller Que la Municipalité de Saint-Albert appuie la demande de Mme Guylaine et M. Jean-Philippe Chabot. Adopté à l’unanimité des conseillers 2012-05 Agrandissement du rayon de l’entrée du Rang 7 par la Route St-Albert Attendu que la Route St-Albert est sous la juridiction du Ministère des Transports du Québec (MTQ); Attendu que le Rang 7 est sous la juridiction du Ministère des Transports du Québec (MTQ); Attendu que la limite de vitesse sur la Route St-Albert est de 90 km/h et que par conséquent, les automobilistes rou-lant sur cette route doivent ralentir beau-coup pour entrer dans le Rang 7; Attendu que la sécurité des automobi-listes est mise en cause; Proposé par Mme Colette Gagnon, conseillère Que la Municipalité de St-Albert deman-de au MTQ d’agrandir le rayon de l’en-trée du Rang 7 par la Route St-Albert afin d’assurer la sécurité des automobilis-tes circulant sur ces routes. Adopté à l’unanimité des conseillers 2012-06 Protocole d’entente MADA - signature Attendu que le Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupa-tion du territoire a transmis un protocole d’entente établissant les modalités relati-ves à l’octroi d’une aide financière dans le cadre du sous-volet 2.5 du Programme d’infrastructures Québec-Municipalités;

Attendu que pour que le Ministère soit en mesure de maintenir les crédits réser-vés aux fins de cette aide financière, un exemplaire du protocole devra être dûment signé et retourné ; Proposé par M. Justin Chabot, conseiller Que le maire, M. Alain St-Pierre, soit autorisé à signer le protocole d’entente, pour et au nom de la Municipalité de Saint-Albert. Adopté à l’unanimité des conseillers 2012-07 Transfert – compte d’é-lectricité – MTQ – lumière de rue Attendu que le Ministère des Trans-ports du Québec (MTQ), suite à l’analyse et à la vérification de leur facturation par Hydro-Québec, a constaté que le coût de la consommation d’énergie d’une lumière de rue, localisée au coin de la Route 122 et l’Autoroute 955, leur est actuellement facturé; Attendu que cette lumière de rue de-vrait être à la charge de la Municipalité de St-Albert, et non au MTQ; Proposé par M. Denis Giguère, conseiller Qu’Hydro-Québec sera avisé de transfé-rer le compte 300 303 394 à la Municipa-lité de Saint-Albert au 25, rue Des Loi-sirs, St-Albert, Québec, J0A 1E0. Adopté à l’unanimité des conseillers 2012-08 Renouvellement adhésion 2012 – FQM Attendu que le renouvellement de la contribution annuelle de la Fédération Québécoise des Municipalités (FQM) est de 1245,83$ pour l’année 2012; Proposé par M. Justin Chabot, conseiller Que la Municipalité renouvelle l’entente de service pour l’année 2012 avec la FQM aux coûts mentionnés précédem-ment. Adopté à l’unanimité des conseillers 2012-09 Renouvellement adhésion 2012 - ADMQ Attendu que le renouvellement de la cotisation annuelle de l’Association des directeurs municipaux du Québec (ADMQ) est de 380,00$ pour l’année 2012 ; Attendu que le renouvellement de l’assurance-protection en 2012 est de 210,00$ taxes incluses; Proposé par Mme Mélanie Vogt, conseil-lère Que la Municipalité renouvelle les enten-

tes de service pour l’année 2012 avec l’Association des directeurs municipaux du Québec aux coûts mentionnés précé-demment. Adopté à l’unanimité des conseillers 2012-10 Renouvellement adhésion 2012 – COMBEQ Attendu que le renouvellement de la contribution annuelle de la Corporation des Officiers Municipaux en Bâtiment et en Environnement du Québec (COMBEQ) est de 265,00$ plus taxes pour l’année 2012; Proposé par Mme Colette Gagnon, conseillère Que la Municipalité renouvelle l’entente de service pour l’année 2012 avec la COMBEQ aux coûts mentionnés précé-demment. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2012-11 Levée de la séance du 9 janvier 2012 Proposé par Mme Mélanie Vogt, conseil-lère Que la séance soit levée à 20h02. Alain St-Pierre, maire Suzanne Crête, directrice générale secrétaire-trésorière

Procès-verbal Municipalité St-Albert Janvier 2012

ENTREPRISE DAVID MARTEL Service de tracteur compact David Martel Propriétaire Tonte de pelouse moyenne ou grande surface Déneigement résidentiel, pelle avant, pépine, Gratte arrière et remorque dompeuse. Rés: 819-353-2949 Cell: 819-352-1611 ESTIMATION GRATUITE Courriel: [email protected]

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