BABILLARD … 2 MOT DU MAIRE … 3

ÉCOLE/FABRIQUE … 4 BRUNCH/CHORALE … 5

FERMIÈRES ...6 FADOQ … 7/8

CANARDS/IMMIGRATION …13

JARDINAGE ...14

SERVICE INCENDIE ...15 POLICE ...16

PROCÈS-VERBAL INFOS/AGENDA …17/18/19

Dans ce numéro :

Saint-Albert, Vol. 6 Mars 2013 Journal Communautaire sans but lucratif

Programme Nouveaux Horizons pour les aînés.

Le 10 mars 2013, on avance l’heure et on change les piles des détecteurs de fumée.

http://labougeotte.sytes.net/

PÂQUES LE 31 MARS 2013, JOUR DE RÉSURRECTION !

Siège social Centre de Services St-Albert 300, des Bois-Francs Sud, Victoriaville 1245, rue Principale, St-Albert Téléphone: 819-758-9421 Téléphone: 819-353-3400 Sans frais: 1-866-758-9421 Sans frais: 1-866-575-3400

Pour connaître les adresses de nos centres de services dans la grande région des Bois-Francs, veuillez consulter notre site Internet.

www.desjardins.com/caissedesboisfrancs

UNE RETRAITE BIEN MÉRITÉE POUR FRANCINE TESSIER

Francine Tessier avec, en arrière plan, Nathalie Fortier, la nouvelle secrétaire et Sylvie Jobin, directrice.

Journal Communautaire J’Aî la Bougeotte 25, rue des Loisirs, St-Albert, Qué. J0A 1E0 Courriel : la.bougeotte@hotmail.com http://labougeotte.sytes.net/

Tirage : 670 exemplaires, 10 parutions / an Distribution : St-Albert (gratuit) Abonnement: 20$/an

B A B I L L A R D Page où l’on achète, on annonce, on vend, on collectionne, etc.

PROCHAIN NUMERO : fin mars Vos articles avant le 15 mars S.V.P.

Publicité Carte d’affaires 10,00$ / parution ¼ page 30,00$ / parution ½ page 60,00$ / parution 1 page 125,00$/ parution Veuillez joindre la publicité que vous désirez, le nombre de parutions et votre chèque au nom de Journal Communau-taire à l’adresse ci-haut mentionnée. Contactez : Huguette Routhier (358-2088) Sylvie G.Boisvert: (353-2992)

POLITIQUE D’INFORMATION Le journal « J’AÎ la Bougeotte » appartient à la population de St-Albert et chacun peut s’y exprimer librement par des opinions, chroniques, comptes rendus, nouvelles, etc. La rédaction se réserve le droit de corriger le français, pour une meilleu-re lecture ou compréhension, et de refuser ou de faire modifier tout article qui ne respecte pas les objectifs du journal. L’Équipe du journal : C.A. de la Fadoq de St-Albert et Ste-Séraphine Huguette Routhier, chargée de projet Sylvie G. Boisvert, secrétariat. Sous-comités de bénévoles Le genre masculin est utilisé afin de faciliter la lecture.

2

RECHERCHE Comme plusieurs le savent déjà, mon mari et moi sommes des collectionneurs. Si certains d’entre vous avaient des can-nes d’huile en tôle ou en vitre, nous se-rions intéressés. Bien évidemment nous sommes passionnés par tout plein de collections que nous ne pouvons pas énumérer. Si vous avez un doute que cela pourrait nous intéresser, n’hésitez pas à communi-quer avec nous . Merci d’avance de l’attention que vous porterez à notre demande. Sylvie et Richard Boisvert: 819-353-2992

DEMANDE Nous aimerions inviter les citoyens de St Albert à nous aider à ramasser les bouteilles en plastique et canet-tes consignées pour les activités étudiantes de l’école Amédée-Boisvert de St-Albert. Un petit «plus» pour no-tre belle école. MERCI de votre générosité. Caroline Poulin Info: 819-353-2284

Retrouvailles de Ballon sur glace : 29 mars à Victoriaville À une certaine époque, dans les années 1970 à 1990, chaque ville ou village avait son équipe de « ballon-balai » et sa gang de partisans qui venaient l’encourager. On en « mangeait » du ballon ! Dans le cadre du championnat provincial, on pourra se revoir la binette, échanger des sou-venirs et revivre les plus belles anecdotes… quelques cheveux gris ou kilos en plus. En effet, les anciens joueurs et anciennes joueuses de bal-lon sur glace de la région des Bois-Francs, de même que leurs partisans, sont invités à participer en grand nombre à une Soirée Retrouvailles. Celle-ci aura lieu le vendredi 29 mars 2013, dès 19 h, au tout nouveau complexe sportif Sani-Marc, situé sur la rue de l’Acadie à Victoriavil-le. Pour bien « meubler » cette Soirée Retrouvailles de ballon sur glace, on demande aux anciens d’apporter des photos, chandails et autres objets associés au ballon sur glace. Les activités débuteront à 19 h par un « 7 à 9 » de placotage et des activités-surprises; en même temps, sur la glace, des matchs impliquant des équipes du Centre-du-Québec seront en cours. Vers 21 h, il y aura une courte cérémonie protocolaire, l’ouverture

du Championnat et un hommage posthume à Claude « Beam » Lefebvre, pionnier et promoteur du ballon sur glace au Centre-du-Québec. Pour informations sur les Retrou-vailles ou envoyer des photos : ballonretrou-vailles2013@hotmail.ca Ces « Retrouvailles de ballon 2013 » sont organisées dans le cadre de la 43e édition du Championnat provincial de ballon sur glace, catégorie adulte, qui se déroulera du 29 au 31 mars à Victoriaville, sous l’égide de la Fédération québécoise de ballon sur glace. Durant tout le week-end, des équipes de diverses régions du Québec s’affronteront dans les catégories suivantes : Hommes (Intermédiaire A-B-C et Vété-rans), Femmes (Élite et Intermédiaire) et jeunes de 18 à 23 ans (U23). Pour plus d’informations sur l’horaire des joutes du Championnat, vous pouvez aller sur le site web www.fqbg.net ou contacter le président du Championnat 2013, Carl Lafontaine, par courriel à : lafontai-ne.carl@videotron.ca

JARDIN COMMUNAUTAIRE AVIS à tous les citoyens et citoyennes de Saint-Albert La Société Sylvicole Arthabaska-Drummond offre à la Munici-palité de Saint-Albert une opportunité pour la création d’un jardin communautaire. Donc, un appel à tous est lancé : les personnes intéressées à s’impliquer pour l’implantation et l’en-tretien de ce jardin communautaire, faites-le nous savoir en communiquant avec le bureau municipal en nous indiquant votre nom, votre adresse, votre numéro de téléphone et votre adresse courriel d’ici le 30 avril prochain. Municipalité de Saint-Albert 25 rue des Loisirs Saint-Albert (Québec) J0A 1E0 Tél. : 819-353-3300 Fax : 819-353-3313 stalbert@munstalbert.ca

CLUB LIONS DE WARWICK Le Club Lions désire informer la population qu’il y aura une boîte pour recevoir les lunettes usagées mise à votre disposition à l’épi-cerie Claude et Jean Lacharité à St-Albert. Le Club Lions de Warwick remet les lunettes à un comité du dis-trict qui les trie, nettoie, répare et classe. Des optométristes sans frontière reçoivent vos lunettes et les distribuent gratuitement dans des missions (ex: Chili, Pérou, Haïti et autres pays dans le besoin. MERCI DE VOTRE GÉNÉROSITÉ Line Dion (819-358-6367)

3

MOT DU MAIRE

B onjour à tous et toutes ! Je vous souhaite un bon mois de

mars! Eh! oui, nous sommes déjà rendus là : que le temps passe vite! Du côté municipal, mars signifie la planification et la préparation des fêtes annuelles. Dans un premier temps, la Fête des bénévoles et organismes 2013, qui aura lieu le 20 avril prochain, vous pro-mets encore une soirée mémorable. Je vous rappelle que cette célébration vise à remer-cier tous ces gens qui œuvrent trop souvent dans l’ombre, mais qui grâce à eux, St-Albert a une vie active, culturelle, sportive et socia-le. Autre évènement annuel à St-Albert : la fête de la St-Jean-Baptiste. Chaque année, la fête attire de plus en plus d’Albertois et d’Albertoi-ses. L’édition 2013 est en cours d’élabora-tion, plus de détails vous seront communi-qués en avril. Dans l’espoir de vous compter parmi nous pour venir festoyer la fierté d’être Québécois et Québécoises. Finalement et non la moindre, la fête familiale qui se tiendra en août cette année. Là enco-re, je vous ferez part de l’horaire de cette célébration dans mes prochains mensuels. Saviez-vous que toutes ces fêtes se chiffrent à près de 15 000$ et demandent des dizaines et des dizaines d’heures de préparation non comptabilisées? Je vous précise tout cela dans le but de vous sensibiliser à l’importance de participer à ces évènements afin qu’ils perdurent d’année en année. En nous choi-sissant comme vos représentants municipaux, vous nous avez demandé de bien gérer vos sous tout en faisant de St-Albert une munici-palité vivante. Par conséquent, les sommes affectées au budget pour ces festivités se reflètent sur votre compte de taxes, il est donc essentiel à chaque année de s’interroger sur leur raison d’être. Encore cette année, je vous répondrai oui, mais une année à la fois, puisque ces activités auront lieu tant et aussi longtemps que nous sentirons une volonté de votre part pour que le tout se poursuive. Le mois de mars rime également avec la pla-nification des projets estivaux. Actuellement, nous regardons la possibilité d’ajouter de

l’éclairage dans le Parc Carré Desjardins, situé au village, dans le but de le rendre plus sécu-ritaire et, à coup sûr, plus esthétique. Nous désirons également poursuivre l’embellisse-ment de la municipalité en rajeunissant les panneaux de bienvenue aux entrées de la ville. Ce travail débuté l’an dernier sera re-conduit, mais les affiches seront plus grandes pour une meilleure visibilité. Autre action à venir : la mise-à-jour du plan de mesures d’urgence. En effet, nous nous devons de revoir les procédures, les ressour-ces et les actions à prendre en cas de sinistre majeur. La sécurité civile, ça se planifie! Finalement, comme l’hiver commence à tirer à sa fin, j’espère que vous avez profité de la toute nouvelle plateforme multifonctionnelle pour venir patiner ou jouer au hockey. Cette surface de béton sera d’ailleurs bonifiée au cours du printemps pour la pratique d’activi-tés sportives estivales. En avril, je vous ferai un compte-rendu de l’efficacité du «Comité de protection du voisi-nage Bon voisin, bon œil» présent dans notre localité depuis avril 2011. Puisque l’arrivée du printemps réveille parfois les «Gilles Ville-neuve en herbe», le mois prochain, je lance-rai un appel à tous afin de solliciter les ci-toyens à contribuer par des petits gestes à la sécurité de notre milieu de vie. Je désire vous faire un petit rappel également concernant le Défi Santé 5/30 en cours du 1ermars au 11 avril prochain. La Municipalité de St-Albert encourage vivement les citoyens à participer à ce concours de 6 semaines où l’on met en action nos bonnes résolutions du Jour de l’An pour manger au moins 5 portions de fruits/légumes par jour et faire au moins 30 minutes d’activités physiques par jour. Avec toutes les nouvelles installations et en-tentes sportives que la municipalité a implan-tées au fil des ans, je vous souhaite un bon Défi ! En terminant, je tiens à souligner un franc succès d’une entreprise de chez-nous. En effet, récemment lors d’une cérémonie tenue au Château Frontenac de Québec, la coopéra-

tive Agropur a rendu hommage à quinze membres présentant les meilleurs résultats quant à la qualité de leur lait produit au cours de la dernière année. Pour la région adminis-trative des Bois-Francs, la ferme Paveau Senc, de Saint-Albert, propriété de Marcel Béliveau et de Diane Fafard, s’est classée au premier rang, étant par la même occasion intronisée au Club de l’Excellence. Le pro-gramme du Club de l’Excellence, créé en 1988, s’inscrit dans le processus d’améliora-tion continue de la coopérative offert aux producteurs laitiers. «L’énergie déployée pour améliorer la qualité du lait se mesure à plusieurs niveaux : santé du troupeau, pro-ductivité de la ferme et qualité du produit», explique Serge Riendeau, président d’Agro-pur. La Municipalité de Saint-Albert tient donc à féliciter ces citoyens Albertois pour leur mention d’honneur, qui par le fait même, permet de faire rayonner notre localité. D’ail-leurs, je lance un appel à tous, si vous êtes témoin d’un bon coup d’une entreprise ou d’un citoyen d’ici, faites-le moi savoir. Il est important de souligner les exploits des gens de notre collectivité afin de les encourager dans leurs efforts.

Respectueusement, Alain St-Pierre,

Du lundi au jeudi : Patinage libre de 18h00 à 19h00 Hockey libre de 19h00 à 21h00 Vendredi : Patinage libre de 18h00 à 19h00 Hockey libre de 19h00 à 22h00 Samedi : Patinage libre de 13h00 à 15h00 Hockey libre de 15h00 à 17h00 Patinage libre de 18h00 à 19h00 Hockey libre de 19h00 à 22h00 Dimanche : Patinage libre de 13h00 à 15h00 Hockey libre de 15h00 à 17h00 Patinage libre de 18h00 à 19h00 Hockey libre de 19h00 à 21h00

MERCI DE RESPECTER CET HORAIRE, puisque dans le respect, tous y trouveront leur compte. Nous vous recommandons le port du casque de sécurité ainsi que le protège-cou en tout temps.

Nous ne sommes pas responsable des accidents, s’il y a lieu.

De plus, il est INTERDIT de fumer et boire de l’alcool autant sur la patinoire que dans le local sportif. Un surveillant sera présent encore cette année pour assurer le res-pect de ces consignes de sécurité et de civisme.

HORAIRE DE LA PATINOIRE HIVERNALE 2012-2013 (si la température le permet)

sur la toute nouvelle plateforme multifonctionnelle

4

ÉCOLE AMÉDÉE-BOISVERT

A u retour du long congé des Fêtes, il y avait du nouveau à l’école Amédée-Boisvert de St-Albert. En effet, Madame Francine (Tessier) avait pris sa retraite du secrétariat. Cependant, pour ne

pas faire une coupure trop drastique, Madame Francine a décidé de continuer de faire la surveillance des dîneurs le midi. Elle a donc la chance de voir «ses» enfants tous les jours où il y a de l’école. Plusieurs habitants de St-Albert, et d’ailleurs, on eu la chance et le privilège de connaître Francine car elle a commencé à travailler à titre de secrétaire, à l’école de St-Albert en octobre 1976, il y a donc plus de 35 ans. Elle fait de la surveillance-midi depuis 1977. Elle cumule les tâches de 2 écoles (St-Albert et Ste-Clotilde) depuis au moins 7 ans. Francine profite de cet article pour saluer et remercier tous les gens qu’elle a pu côtoyer durant toutes ces années, soit: les enfants, les parents, les enseignants, les membres de la direction, le personnel de sou-tien, les chauffeurs d’autobus, les intervenants spécialisés. Il serait difficile de nommer tout ce beau monde, le journal n’ayant que 20 pages. Quand elle parle des enfants de l’école, elle a une petite lueur au fond des yeux qui est très agréable à voir. Bonne retraite Madame Francine et comme le disait si bien Hugues Aufray dans sa chanson: Bonne retraite Madame Francine On ne vous oubliera jamais Et tout au fond de notre coeur Ces mots sont écrits à la craie Nous vous offrons ces quelques fleurs Pour dire combien on vous aimait Mes enfants et maintenant mon petit-fils ayant fréquenté l’école Amédée-Boisvert, j’ai eu la chance de parler assez souvent avec Francine, et je peux vous assurer que sa profession était une vocation. Merci pour votre sourire Francine et votre bonne humeur continuelle. Que la vie soit bonne pour vous et vous maintienne en santé. Sylvie G. Boisvert.

RAPPEL À TOUTE LA POPULATION DE LA PAROISSE La campagne de financement CGA est présentement en cours. Pourquoi contribuer? -Parce que vous êtes fiers de votre église et que vous désirez continuer à bien l’entretenir -Parce que vous tenez à ce que vos enfants soient baptisés, -Parce que vous voulez que vos jeunes reçoivent les sacrements (qui ne sont plus offerts dans les écoles), -Parce que vous voulez que vous ou les vôtres se marient dans votre église, -Parce que vous désirez une cérémonie religieuse à votre église à votre décès ou lors du décès d’un de vos proches, -Parce que vous aimez participer aux célébrations qui accueillent vos jeunes. -Parce que la messe de Noël et/ou de Pâques sont des traditions que vous désirez vivre dans votre église, -Parce que vous savez qu’en tout temps vous pouvez entrer vous y recueillir, -Parce que vous participez régulièrement aux messes dominicales, Parce que vous savez qu’un jour ou l’autre vous utiliserez ces services, vous êtes invités à contribuer grandement. 275$ par famille ça signifie 5.29$ par semaine. Ce n’est pas trop cher pour conserver ce monument de notre patrimoine, cet édifice témoin de notre histoire. Si chacun fait sa part, votre conseil de fabrique pourra maintenir ouverte votre église et continuer de vous offrir des services de pastorale et religieux de grande qualité. SOYEZ GÉNÉREUX Si vous n’avez pas reçu votre enveloppe ou que vous l’avez perdue, n’hésitez pas à téléphoner au presbytère pour en obtenir une autre (819) 363-2205 Merci Votre conseil de Fabrique

Fabrique Sainte-Marguerite Bourgeoys

HORAIRE DES JOURS SAINTS Jeudi Saint Dernière Cène Heure de prière St-Albert 19h30 28 mars 2013 Vendredi Saint Passion Ste-Clotilde 15h00 29 mars 2013 Vendredi Saint Chemin de Croix Ste-Élisabeth 19h00 29 mars 2013 Samedi Saint Veillée Pascale Kingsey Falls 20h00 30 mars 2013

HORAIRE DE LA CÉLÉBRATION PÉNITENTIELLE

Kingsey Falls Dimanche 24 mars 2013 14h00 St-Albert Mercredi 13 mars 2013 19H30 Ste-Clotilde Dimanche 17 mars 2013 14h00

5

L e 10 février 2013, la Fadoq de St-Albert tenait son brunch des placoteux annuel. Au moins 115 personnes ont pu se délecter de bons mets tout en «placotant».

La table des desserts était toujours aussi bien garnie. Pour l’occasion, le journal s’oc-cupait de l’animation par le biais du magicien et sculpteur de ballons Philippe Harvey. Il a su mystifier bien des gens avec des tours de cartes bien réussis qu’il a exécutés aux tables. On a même entendu dire que Égide Chabot a perdu une partie de son anatomie (un bout de doigt), mais heureusement il l’a retrouvé. Philippe a aussi fait des sculptures de ballons qu’il a remis gracieusement aux enfants présents et aux plus vieux enfants aussi. Comme à son habitude, notre ami Yvon Dassylva s’est fait remar-quer par une sculpture bien spéciale mais dont on ne peut publier la photo sur deman-de de son épouse Georgette. Désolé Yvon, ce sera pour une prochaine fois. Un gros merci à tous les bénévoles qui, de près ou de loin, ont fait de ce brunch une réussite. Sylvie G. Boisvert

BRUNCH DES PLACOTEUX

Philippe exécutant un de ses tours de magie à Thérèse Désilets qui était toute mystifiée.

Claude Lessard qui a su tourner les œufs pour tous les convives.

La fameuse table des fabuleux desserts.

Léa-Maude, la petite-fille à Hu-guette a trouvé un moyen de locomotion original pour se rendre au brunch Mélodie, ma petite-fille, dans les bras de l’or-

ganiste Luc Côté, pendant que son père Phi-lippe fait ses tours de magie à des gens de Ste-Elisabeth.

P rès de 150 personnes ont participé au souper-spaghetti organisé par la Chorale de St-Albert le 16 février 2013. Les gens on pu jaser durant le souper et ensuite la danse était à l’honneur avec le célèbre animateur René Pa-

radis. Lors de cette soirée, un hommage fut rendu à Monsieur Serge Poulin, ancien résident de St-Albert, par son frère Dominique Poulin, pour l’obtention par Serge d’une médaille du lieutenant gouverneur soulignant son implication béné-vole dans sa communauté. Toutes nos félicitations à Serge pour la reconnaissance de son bénévolat. Les membres de la chorale tiennent à remercier chaleureusement tous les gens qui ont participé à ce souper bénéfice ainsi que tous ceux qui ont remis des dons en argent. Tout l’argent amassé grâce à ce souper servira à payer une partie de la réfection des fenêtres de l’église de St-Albert. Si jamais vous désirez participer à cette levée de fonds, il n’est pas trop tard, vous pouvez toujours vous adresser à Claudette Bergeron ou encore Marthe Lévesque qui se feront un plaisir de recueillir vos dons. Sylvie G. Boisvert

CHORALE DE ST-ALBERT

Sylvie et Rosy, préposées aux «toasts».

7 6

Le bicarbonate de soude: Un produit indispensable!

ATELIERS DE MARS C.F.Q. ST-ALBERT Le 11 mars: Sous-plats (étoilés ou tressés) Le 25 mars: Foulard frou-frou Ces ateliers sont pour toutes les femmes qui ont le désir d’apprendre de nouvelles techniques. Merci! Colette Gagnon, Comité Communication

BŒUF AFRICAIN 2 lbs (900 g) boeuf, en cubes et/ou viande hachée en boulettes 2 oignons, gros 1 1/2 tasse (375 ml) céleri 1 conserve (10 oz; 284 ml) de soupe aux tomates 1 conserve (10 oz; 284 mL) de champignons entiers 1 conserve (19 oz; 540 ml) de tomates ron-des 1 c.à thé (5 ml) sel 1/4 c.à thé (1 ml) poivre 1 c.à thé (5 ml) gingembre 1 c.à thé (5 ml) sauce Worcestershire 1/3 tasse (85 ml) cassonade 1/4 tasse (65 ml) vinaigre balsamique Poudre d'ail Piments verts, au goût Étapes ♥ Brunir la viande dans une casserole. ♥ Trancher les oignons en rondelles et le céleri en dés. ♥ Ajouter tous les autres ingrédients. Déposer le tout dans une mijo-

teuse à low tout une journée. ♥ On peut également cuire au four à 350°F (180°C) pendant 2 1/2

heures. ♥ Servir avec du riz, ou pommes purée.

Q u’est-ce que le bicarbona-te de sodium ?

Le bicarbonate de soude est un produit aux propriétés étonnantes. Il peut être utilisé à la fois dans le domaine pharmaceutique, médi-cal, en nettoyage ou, encore, en élevage. Son utilisation est justifiée car : - Il n’est pas nocif pour la santé (il ne provoque pas d’allergie, il est comestible et non toxique) - Il est biodégradable - Il ne contient aucun conservateur - Il est économique Il existe 4 sortes de bicarbonate de soude, qui se distinguent par leur pureté : ♥ Le bicarbonate de soude alimentaire, c’est-à-dire celui

qu'on peut retrouver au supermarché. Il est peu onéreux et on peut en faire plusieurs usages. Il peut être consommé et utilisé sans aucune contre-indication.

♥ Le bicarbonate de soude exclusivement réservé à l'éleva-ge. Il possède des propriétés basiques qui rééquilibrent le pH des animaux qui consomment trop de protéines.

♥ Le bicarbonate de soude technique est plus abrasif que l’alimentaire, ce qui restreint son utilisation aux tâches ménagè-res uniquement. Il est conseillé de porter des gants lors de sa manipulation afin d’éviter une irritation de la peau.

♥ Le bicarbonate de sodium pharmaceutique c'est le plus pur et le plus dispendieux. De plus, son utilisation est strictement médicale. On peut donc le retrouver en pharmacie.

Le bicarbonate de soude, un allié pour la bouche Il blanchit les dents et rafraîchit l’haleine Grâce à ses propriétés abrasives douces, le bicarbonate de soude polit et lisse l’émail des dents. Il élimine ainsi les tâches, ce qui rend les dents plus blanches. Il suffit de saupoudrer sa brosse à dents de bicarbonate de sodium avant le brossage. Il ne faut ce-pendant pas en faire un usage quotidien car il peut endommager l’émail. Il est plutôt conseillé de l'utiliser une fois par semaine. Il désinfecte Il élimine également les bactéries de la bouche, ce qui aide à pré-venir les caries. Se gargariser au bicarbonate de soude peut faire partie de la routine quotidienne et ne présente aucun danger pour la santé. Au contraire, cela permet de désinfecter l’espace buccal. Il soulage les aphtes et les gencives Le bicarbonate de sodium est également efficace pour le soulage-ment des aphtes ou des gencives douloureuses. Il apaise la dou-leur et accélère leur guérison. Son application peut se faire direc-tement sur l’ulcération. Pour ce faire, mettez du bicarbonate de sodium sur votre doigt avant d'en enduire la aphte. Un bain de bouche est également conseillé (diluer une cuiller à soupe de pou-dre dans ½ tasse d’eau froide). Un produit d'entretien Il permet un nettoyage sans danger Le bicarbonate de soude peut être utilisé afin de désodoriser les

tapis ou le réfrigérateur, comme adoucissant lors de la lessive, comme net-toyant pour récurer la baignoire ou le four ou encore, comme fongicide pour le jardin ! De plus, en grande quantité, le bicarbonade de sodium peut réguler le pH de la piscine. Ses multiples usages font de lui le produit idéal à conserver dans la maison en tout temps ! Un bienfait pour les pieds… et pour l’estomac! Il élimine les mauvaises odeurs Tout comme pour les aisselles, le bicarbonate de soude est efficace contre les mauvaises odeurs des pieds. Il peut être utilisé en bain, directement sur la peau ou saupoudré dans les chaussures! Il est efficace contre les mycoses Le bicarbonate de soude est excellent pour traiter le pied d’athlète ou les my-coses. Il suffit de diluer 4 cuillères à soupe de poudre dans 1L d’eau tiède et d’y baigner les pieds pendant 15 minutes. Il est également conseillé de sau-poudrer le bicarbonate de sodium sur la peau atteinte de mycose juste avant de mettre des bas ou des chaussettes. Il absorbera ainsi l’humidité tout au long de la journée. Il soulage les brûlures d’estomac Il est conseillé de diluer une cuillère à café de poudre dans un verre d’eau et de le boire lentement. Il est possible d'y ajouter quelques gouttes de jus de citron ou du miel afin que le goût soit plus agréable Un vrai produit cosmétique Il est un bon shampoing sec La poudre appliquée sur le cuir chevelu absorbe l’excès de sébum. Après l’ap-plication, il suffit de laisser agir le produit quelques minutes et de se brosser les cheveux. Ils seront ainsi plus propres et plus doux. Il faut cependant faire attention et ne pas utiliser cette méthode plus d’une fois par semaine car les propriétés abrasives du bicarbonate de sodium peuvent endommager les che-veux dans le cas d’un usage trop fréquent. Il fait du bain un moment de détente Diluer un demi-verre de bicarbonate de sodium dans l’eau du bain a un effet relaxant. De plus, ses propriétés alcalines font de lui un bon hydratant pour la peau. Le bicarbonate de soude est un déodorant sans danger Le bicarbonate de soude peut être utilisé en toute sécurité car il est hypoaller-gène. Il neutralise les bactéries responsables de la mauvaise odeur de la sueur. Pour un résultat optimal, saupoudrez un peu de poudre sous les aissel-les lorsque la peau est légèrement humide. Réf: Internet. Passeportsante.com

La petite vache...

7 7

Tu n’es jamais échec et mat.

La vie n’est pas une partie d’échecs. Elle ne s’arrête ni avec la perte de l’amour ni après une séparation.

Le perdant se fige, il a peur après un coup dur; Aussi continue-t-il à perdre.

Tu deviens gagnant quand tu réussis à tirer profit De tes erreurs et de tes échecs.

Constate les gains: Tu te connais mieux, tu saisis mieux la souffrance des

Autres, tu es libre, tu t’ouvres à de nouvelles expériences, Tu te sais faillible, tu permets aux autres d’être faillibles,

Tu découvres le sentier de la guérison. Tu ressembles au savant qui fait une découverte

Importante en se trompant dans ses manipulations. Tu es le peintre qui, parti d’une simple idée, Réalise un chef-d’œuvre.

Tu es le musicien qui compose une symphonie Sur un accord qu’on disait mauvais.

Il n’existe pas d’erreur ni d’échec sans espoir. La vie ressuscite toujours de la mort.

COURS D’INFORMATIQUE L’informatique vous intéresse, mais est pour vous quelque chose d’inaccessible? Peut-être serez-vous intéressé aux cours qui seront donnés par la Fadoq à la salle Desjardins, à St-Albert. Ces cours se donneront pendant trois (3) lundis, à raison de 3heures par lundi, de 13h00 à 16h00, les 8, 15 et 22 avril 2013. Le coût total pour ces cours est de 25,00$. Vous n’avez rien à apporter, car les ordinateurs portables seront fournis. Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à communiquer avec: Fernande: 819-353-2789

LA RÉSURRECTION

FADOQ ST-ALBERT

DÉFILÉ DE MODE Club de l’Âge d’Or

Au 154, rue St-Louis, Warwick, Le 19 mars 2013 à 19h30

Venez voir la nouvelle collection d’été des boutiques suivan-tes: Boutique Toi-D’Abord (femmes) Mercerie Manhattan (hommes) Plusieurs prix de présence Pré-vente: 8,00$ Entrée: 10,00$ Inf: 819-358-6495, 358-2659, 358-6437, 358-6054

Les voyages forment la jeunesse!

L e 26 janvier dernier, nous avons fait une petite fête pour souligner le départ de Charles Boisvert un petit

gars de St-Albert vers une contrée lointaine. En effet, Char-les est parti le 1er février 2013 pour travailler en Australie, le pays des kangourous, à titre de directeur des services de tournée pour la compagnie Cavalia. La première ville de des-tination est Brisbane pour une période de 3 mois et ensuite la troupe se déplacera vers Sydney et ensuite Melbourne, tou-jours en Australie, et aussi pour une période de trois mois par ville. D’autres villes devraient probablement se rajouter après celles-ci. Charles a toujours aimé les voyages ayant fait un voyage humanitaire au Pérou en 2004 avec la Communauté du dé-sert et ce pour une période de 6 mois. Son travail consiste à trouver des endroits où loger les 120 personnes qui suivent la tour-née de façon permanente, à ce que des navettes puissent les transporter jusqu’au lieu de travail en plus de s’occuper des passeports, des visas de travail et s’assurer que les lois et rè-glements des différentes villes soient respectés. Nous lui souhaitons donc un heureux séjour pour la prochai-ne année et qu’il en revienne la tête pleine de beaux souvenirs. Sylvie G. Boisvert.

8

FADOQ ST-ALBERT

V ieillir, c’est bien normal mais ce n’est pas très bien ac-cepté dans notre société encline au «jeunisme», lequel

est intensément promu par les nombreuses entreprises qui tirent grand profit de la vente des produits et services permettant de garder le «look» jeune. Pourtant, le vieillissement est une loi inscrite dans la nature, de même que la mort. Mais beaucoup d’humains ont choisi de ne pas tolérer cette réalité qu’est la fin inéluctable de tout être vivant ; comme dans leurs autres rap-ports avec la nature, ils croient pouvoir arriver à une domination totale, qui un jour leur donnera accès à l’éternité. Cette illusion est encouragée par le développement des diverses technologies médicales qui permettent des interventions toujours plus osées. Jusqu’où allons-nous aller dans cette voie fort coûteuse qui ne pourra jamais bénéficier qu’à une minorité de privilégiés ? Ce qui, pour un grand nombre de personnes, rend si difficile l’ac-ceptation de la mort, ce n’est pas tant le fait de disparaître que la façon dont cela s’accomplit. Dans notre monde moderne préoc-cupé par la productivité et la rentabilité, la dépendance progressi-ve des gens qui vieillissent devient, pour les familles, une obliga-tion dont on cherche à se débarasser. Les centres d’héberge-ment et les hôpitaux pour soins prolongés se multiplient, fournis-sant les soins de santé nécessaires ; mais en sortant les person-nes de leur milieu, les liens sont coupés et c’est l’isolement. Qui peut voir venir cela sans crainte ? Les choses pourraient se passer autrement. Ailleurs, dans d’au-tres cultures, on n’isole pas les vieux ; on essaie de tirer parti de leur sagesse et de leur expérience. Il y a des tâches qu’ils ne peuvent plus accomplir mais d’autres leur sont accessibles : dans la préparation des repas, la garde et l’éducation des enfants… Tous, quel que soit notre âge, nous avons besoin de sentir que nous avons une place dans la société, que nous pouvons encore être utiles. Je me souviens d’une expérience dont j’ai pris connaissance il y a plusieurs années. Dans un centre pour personnes très âgées, un jour, on a décidé de donner à chaque patient une plante en pot ;

pour une moitié des gens, on a mis la plante dans leur chambre en demandant au personnel de s’en occuper en l’arrosant régulièrement ; aux autres personnes, on a distribué les plantes en leur disant qu’elles en étaient responsables et qu’elles devaient s’en occuper. Au bout d’un an, on a constaté que la morbidité (le nombre de maladies subies par les gens) et la mortalité étaient moindres dans le groupe des vieillards responsables de leur plante. Ce tout petit lien avec la vie leur avait donné une raison de vivre ! Depuis quelques années, on parle beaucoup du vieillissement de la population et de l’encombrement des hôpitaux que cela entraî-ne. Les «vieux» deviennent un problème de plus en plus coûteux qu’on essaie de régler par diverses mesures : plus de places en centre d’accueil, plus de ressources pour l’aide à domicile… Là comme dans tant d’autres situations, on tente d’agir en aval du problème. C’est parce que nos communautés sont en train de se désagréger que nos personnes âgées n’y trouvent plus leur place. Le néolibéralisme qui caractérise notre société nous conduit au chacun pour soi, avec comme conséquence que seule ceux qui ont des moyens considérables arrivent à s’en tirer. Nous devons reconstruire nos communautés, retrouver le sens de la solidarité et du partage. Redonner à chacun un rôle dans le fonctionnement de notre société, selon ses capacités. Pourquoi ne pas s’organiser pour faire bénéficier de l’expérience et de la sagesse de nos aînés ? Nous pourrions par exemple établir un conseil des aînés, qui remplacerait le Sénat et qui donnerait son avis sur les décisions importantes et les grandes orientations du gouvernement. Je ne suis pas sûr que le Plan Nord, la remise en fonctionnement de la centrale Gentilly et tant d’autres projets passeraient le test. Serge Mongeau Réf: Simpli-cité, vol. 13, no 3, automne 12.

Les choses pourraient se passer autrement.

PAIN DU PARTAGE Nous avons besoin de bénévoles pour nous aider à la vente du pain du partage. Il y aura une première distribution mercredi le 27 mars 2013, à compter de 17h00, qui se poursuivra jeudi le 28 mars 2013, à compter de 13h00. Il y aura également un point de vente à la Salle Desjardins, située au 25, rue des Loisirs, St-Albert. Si vous êtes intéressés à faire votre part et à vous amuser avec nous, n’hésitez pas à communiquer avec: Fernande Lampron: 819-353-2789 Encouragez nos vendeurs bénévoles et surtout accueillez-les avec le sourire. Merci de votre participation et de votre encouragement.

C a h i e r d e s e r v i c e s

9

C a h i e r d e s e r v i c e s

10

11

12

13

CANARDS ILLIMITÉS La conservation de l’eau, une question de vie.

D e toutes les ressources naturelles renouvelables, l’eau est la plus es-

sentielle. Sans eau, il n’y a pas de sol, pas de végétation, pas de faune. La conclusion est vite tirée : la conservation de l’eau est donc pour nous une question de vie. L’eau est essentielle à tout être vivant : plante, animal, homme. Elle constitue même un très fort pourcentage du vivant : 90% à 95% chez les plantes, de 70 à 75% chez l’homme. Elle dissout les sels minéraux du sol et permet à la plante de les absorber pour faire la synthèse de ses aliments ; elle véhicule la nourriture à l’intérieur du vivant. L’homme et l’animal peuvent vivre plus longtemps sans manger qu’ils ne peuvent le faire sans boire. Quand on calcule la quantité d’eau nécessaire pour faire vivre un homme, on arrive à des résultats stupéfiants : de 3 à 4 litres par jour par personne ! On sait ce qui advient d’une pelouse assoif-fée, d’un pays sans eau. Le nombre d’hommes que l’on peut faire vivre sur un territoire dépend, avant tout, de la quantité d’eau disponible. C’est donc une question vitale pour l’homme de conserver cette ressource aussi importante. Le Canada compte plus de 400 000 lacs et des milliers de rivières, 12% du territoire du Québec est en eau. Pourtant, on parle de

pénurie d’eau. L’eau de surface perd de son débit. Le niveau du St-Laurent baisse. Les nappes d’eau souterraines, d’une importance ca-pitale puisque 90% de l’eau potable se trouverait sous terre, ont dimi-nué considérablement. Cette menace d’une pénurie d’eau serait-elle due à une consommation trop forte ? Ce qui vient aggraver terriblement la situation et compliquer les solutions possibles, c’est que l’eau qui nous reste est en majeure partie polluée à des degrés divers. La pollution de l’eau, tous en parlent, tous en souffrent. Que fait-on pour l’enrayer ? S’inquié-ter pour demain n’est pas seulement que de se consoler en se disant que la situation est pire ailleurs. La conservation de l’eau, c’est l’affaire de tous car nous dépen-dons de l’eau ainsi que les générations à venir. Alors, est-il nécessaire de se demander : la conservation de l’eau est-elle une question de vie ? Yves Bergeron, bénévole Canards Illimités Canada

CAPSULE IMMIGRATION

S aviez-vous que lorsqu’un immigrant est admis au Canada, selon les critères des programmes d’immigration, il devient

résident permanent. Les résidents permanents sont les personnes qui ont obtenu l’autorisation de vivre et de travailler au Canada et ce, sans limite de temps de séjour. Toutefois, ils doivent vivre au Canada au moins 730 jours (2 ans) au cours d’une période de 5 ans, sans quoi ils risquent de perdre leur statut. Ils jouissent de tous les droits garantis par la Charte canadienne des droits et libertés et ont les mêmes devoirs que tous les citoyens canadiens. Cependant, ils n’ont pas le droit de vote et n’ont pas droit à l'ob-tention d'un passeport canadien. Les résidents permanents peuvent présenter une demande de citoyenneté après avoir vécu au Canada un minimum de 3 ans (1095 jours) au cours des 4 années qui précèdent la demande. Pour devenir citoyen canadien, il faut payer les frais relatifs à la demande, démonter une connaissance adéquate du français ou de l’anglais et démontrer une connaissance du Canada. Un immi-grant ne peut devenir citoyen canadien s’il a fait de la prison, de la liberté conditionnelle ou de la probation pendant plus d’un an ou s’il fait l’objet d’une enquête pour certains crimes.

Enfin, pour obtenir la citoyenneté canadienne, les immigrants doivent répondre à des questions sur les procédures relatives aux élections, les droits et les responsabilités d’un citoyen, l’histoire sociale, politique et culturelle ainsi que les symboles et la géogra-phie du Canada. Ils doivent répondre à des questions telles que : Quelles sont les trois responsabilités liées à la citoyenneté? Quelle est la signification du coquelicot du jour du Souvenir? Comment les députés sont-ils choisis? Nommez deux documents importants qui énoncent nos droits et libertés ? Quelle est l’importance de la découverte de l’insuline par Sir Frederick Banting et Charles Best? Enfin, une fois ces démarches réussies, ces nouveaux citoyens doivent prêter serment à la Reine lors de la cérémonie officielle de la citoyenneté.

SAVIEZ-VOUS QUE ?

14

METTRE DU PAILLIS: une application, plu-sieurs bénéfices. Quoi : Le paillis est un matériau que l’on appli-que au pied des végétaux, en pleine terre et en port, notamment pour réduire l’entretien. Pourquoi : Plusieurs avantages tant pour les plantes que pour le/la jardinerie : • Le paillis limite l’évaporation de l’eau contenue

dans le sol et donc les besoins en arrosage et les risques de stress hydrique pour les végé-taux ;

• Il empêche en partie la croissance des «mauvaises herbes» dont les graines, cachées sous le paillis, on plus de mal à pousser ;

• Il favorise la présence des vers de terre et micro-organismes dans la couche supérieure du sol, ce qui est bénéfique pour les plants ;

• Il donne une touche de finition esthétique. Comment : Plusieurs types de paillis peuvent être utilisés : • Le bois raméal fragmenté (BRF) est fait de

petites branches de feuillus déchiquetées. Il combine performance, origine locale, bas prix et esthétique, mais il n’est pas toujours facile à trouver. Essayez auprès d’un émondeur ou de votre municipalité ;

• La paille : à acheter auprès d’un agriculteur (demandez au marché ou lors d’une virée à la campagne) ;

• Le paillis de coco est plus facile à trouver en centre jardin sous forme de copeaux compac-tés dans un bloc à faire gonfler dans l’eau ;

• Les feuilles mortes dont il faut avoir fait une réserve l’automne précédent…

Dans tous les cas, mettre une couche de 2 à 4 cm d’épaisseur. D’autres options intéressantes mais à appliquer plutôt avant de faire les planta-tions : carton, toile de jute, géotextile ou plasti-que noir. Attention : pas de paillis de cèdre au portager car il est acide. L’ART DE L’ARROSAGE: ça s’apprend ! Quoi : Un arrosage judicieux est bon pour les plantes… et pour vous. Oui on peut éviter d’en faire une corvée et partir en vacances sans tirer un trait sur le jardin ! Pourquoi : • Une évidence bonne à rappeler : les plantes

ont besoin d’eau pour produire feuilles et fruits qui sont constitués en grande partie… du pré-cieux liquide ;

• Le manque d’eau cause un stress à la plante. Affaiblie, elle est plus sujette aux ravageurs et maladies. Et, en cas de pénurie, certaines (laitue, épinard, roquette) montent rapidement en graines pour assurer leur reproduction : elles perdent alors leur bon goût.

Comment : • Pendant deux semaines après le semis ou la

transplantation, arroser régulièrement (tous les jours en cas de grosse chaleur) pour per-mettre le développement du système racinai-re ;

• Ensuite, il vaut mieux arroser moins souvent (ex : 2 fois/semaine) mais en grande quantité pour permettre le développement de racines profondes qui rendront les plantes plus auto-

nomes ; • L’application de paillis permet de réduire gran-

dement la fréquence d’arrosage et la quanti-té ;

• Il est préférable d’arroser tôt le matin ou sinon en fin d’après-midi. Évitez les heures de gros-se chaleur (évaporation, différence de tempé-rature eau/air, effet de loupe et brûlure) et la fin de soirée (humidité persistant la nuit qui peut favoriser des maladies) ;

• L’eau de pluie est la meilleure (pas de chlore, bonne température). Si vous pouvez, installez un baril de récupération ;

• Pour partir en vacances l’esprit tranquille ou simplifier l’arrosage quotidien, optez un systè-me automatique simple et bon marché.

DÉSHERBER POUR ÉVITER LA COMPÉTI-TION Quoi : Les «mauvaises herbes» ne sont pas si mauvaises. La preuve ? Plusieurs sont bonnes à manger et même excellentes pour la santé ! Problème : elles sont prolifiques que, sans contrôle, elles auront vite fait d’envahir le jardin au détriment de vos autres cultures. Mieux vaut prévenir… Pourquoi : Contrôler les plantes adventices, c’est : • Éviter à vos cultures d’être en compétition

avec les «mauvaises herbes» pour les ressour-ces disponibles (espace, eau, nutriments).

• Éviter la formation de graines de ces plantes adventices et donc leur dissémination l’année suivante ;

• Bénéficier de l’usage de ces plantes sponta-nées : les manger, les utiliser pour leurs pro-priétés médicinales ou encore comme engrais (ex : purin d’ortie ou de prêle)

Comment : • Il est plus facile de retirer les adventices

quand elles sont petites et après une bonne pluie ou un arrosage car dans les deux cas les racines offrent moins de résistance ;

• Parfois un petit outil long ou une truelle aident à bien déloger la racine ;

• Le paillis (encore lui) limite grandement la présence des adventices ;

• Une bonne façon de s’en débarrasser est de les manger, surtout au printemps, quand les feuilles sont jeunes. Procurez-vous un livre pour bien savoir les identifier.

ENGRAIS: surtout pour la culture en contenant Quoi : Jardiner bio ne veut pas dire sans en-grais. Surtout quand on cultive en contenants où les plantes ont toujours moins d’espace qu’en pleine terre pour se développer et aller chercher leurs nutriments . Pourquoi : • Pour combler le manque de nutriments dispo-

nibles en pot ; • Pour soutenir la croissance des plantes exi-

geantes (tomates, concombres, zuchinis, poi-vrons)

• Pour redonner à la terre ce qu’on y prélève. Comment :

• Choisissez un engrais biologique et respectez les directives d’utilisation. Rien ne sert de surdoser ;

• Nous recommandons notamment la farine de crabe Bionord associée aux algues qui offre un engrais complet, d’origine locale et qui valorise un déchet de l’industrie tout en étant très simple d’utilisation (deux applications dans la saison).

SURVEILLER LES RAVAGEURS ET ACCEP-TER DE PARTAGER Quoi : Petites et grosses bibittes apprécient vos légumes autant que vous ? Réjouissez-vous : c’est qu’ils sont bons ! Quand même quelques conseils pour limiter la part laissée à la nature… Comment : la lutte biologique s’impose ! Dans plusieurs cas, le prélèvement manuel est la première option ; • Limaces : répandre au pied des plants une

matière coupante ou poudreuse sur laquelle elles n’apprécient pas de passer (coquilles d’œuf broyées, sable, copeaux fins, cendre) ou encore mettre de la bière dans un petit conte-nant semi enterré (elles vont s’y noyer).

• Écureuils : fléau difficile à contrôler… Es-sayez la coupelle d’eau où ils s’abreuveront au lieu de croquer dans vos légumes pour en extraire le jus ou encore les peanuts placées loin du jardin pour les détourner de leur che-min de passage habituel ;

• Marmottes, ratons, etc : la capture avec une cage est efficace. Certains arrondisse-ments ou SPCA prêtent ou louent l’équipe-ment ;

• Insectes : la grande majorité est non nuisi-ble voire bénéfique. Certains font des dom-mages limités qu’on peut facilement accepter (ex : les altises qui trouent la roquette et les feuilles de raids). Pour les autres, il existe plusieurs moyens de lutte biologique qui vous permettront de manger vos légumes sans crainte.

Pour finir, un dernier conseil : n’hésitez pas à récolter pour stimuler la produc-tion. C’est notamment vrai avec le basilic dont il faut couper régulièrement quelques centimè-tres de la tête et supprimer les fleurs pour qu’il multiplie ses branches. Ça vaut aussi pour les haricots, poivrons, zuchinis pour lesquels une récolte hâtive d’un ou deux «fruits» encourage la plante à en produire d’autres. Réf : site internet www.mangersantebio.org Auteur: Marie Eisenmann

JARDINAGE 5 conseils pour limiter l’entretien

15

VAGUE DE FROID ÉGALE SOUVENT : CHAUFFAGE D’APPOINT

ÉLECTRIQUE Voici 10 précautions de sécurité concernant cette alternative :

1. Avant toute chose, si vous avez besoin d’un tel appareil, il est important de réviser l’installation de chauffage principale. Est-il tou-jours adéquat ? Y’a-t-il eu des rénovations ?

2. Vérifiez que l’appareil électrique respecte les normes de fabrication. Recherchez le logo de certification ULC (Laboratoires des as-sureurs du Canada) ou CSA (Association canadienne normalisation) ;

3. Assurez-vous que l’appareil est muni d’un interrupteur ou d’un disjoncteur qui ferme automatiquement l’appareil en cas de sur-chauffe, ainsi que d’un interrupteur qui l’éteint s’il se renverse (utilisez-le sur une surface plane) ;

4. Évitez d’utiliser une rallonge électrique pour brancher l’appareil ; 5. Ne placez jamais l’appareil près des matériaux combustibles, comme des couvre-lits, un rideau, du papier ou un meuble en bois ; 6. Gardez un espace de dégagement au pourtour de l’appareil (environ 1 mètre) ; 7. N’utilisez pas l’appareil dans une pièce humide, comme la salle de bains ou de lavage. 8. Ne laissez pas l’appareil fonctionner sans surveillance ; 9. Ne laissez jamais jouer les enfants à proximité de l’appareil ; 10. Toujours débrancher l’appareil si vous quittez la pièce ou si vous allez au lit. N’oubliez pas : la majorité des incendies qui surviennent en période de froid intense sont causés par les appa-reils de chauffage d’appoint fonctionnant mal, installés incorrectement ou sur utilisés.

SERVICE D’INCENDIE

Rudy Hamel, Capitaine à la prévention & sécurité civile

Service de la sécurité publique – Ville de Victoriaville 175, boul. des Bois-Francs Sud, Victoriaville (Québec) G6P 4S5

Tél. : 819 758-6419 poste 3745 ● Téléc. : 819 752-3266 C. élec. : rudy.hamel@ville.victoriaville.qc.ca

Soyez pile à l’heure, vérifiez vos avertisseurs de fumée

L a Municipalité de Saint-Albert en collaboration avec le Ministère de la Sécurité publique, vous invite à profiter du changement d’heure dimanche le 10 mars 2013 , pour vérifier votre aver-

tisseur de fumée et, au besoin, remplacer la pile. Rappelez-vous qu’un avertisseur de fumée qui fonctionne en tout temps peut sauver des vies. Pour vérifier votre avertisseur de fumée, il vous suffit d’appuyer quelques secondes sur le bouton d’essai pour que le signal se fasse entendre. Un avertisseur en bon état émet un signal immédiatement après le déclenchement du bouton d’essai. Testez aussi sa capacité à détecter la fumée en éteignant, par exemple, une chandelle près de l’avertisseur. Si votre appareil est relié à une centrale, vérifiez auprès de la compagnie si elle a bien reçu le signal. Des points importants à retenir : ♥ Si votre avertisseur émet des signaux sonores intermittents, c’est que la pile est trop faible et qu’elle doit être changée. N’installez

jamais de pile rechargeable. ♥ Installez un avertisseur de fumée par étage, y compris au sous-sol et, idéalement, dans chaque chambre à coucher. ♥ Installez des avertisseurs de fumée dans les corridors, près des chambres à coucher, en vous assurant qu’aucun obstacle ne blo-

que la circulation de la fumée. Fixez-les au plafond ou sur les murs, à une distance de 10 à 30 cm (4 à 12 po) du mur ou du pla-fond.

♥ S’il est endommagé, poussiéreux ou qu’il n’émet pas de signal après le remplacement de la pile, changez-le. ♥ Remplacez votre avertisseur de fumée tous les 10 ans. Fiez-vous à la date indiquée sur le boîtier. En l’absence d’indication, ne

prenez aucun risque, remplacez-le. ♥ Si vous êtes locataire, votre propriétaire doit vous fournir un avertisseur de fumée; toutefois, vous êtes responsable de l’entretenir

et de changer la pile, au besoin. Pour plus de renseignements sur l’avertisseur de fumée et votre sécurité, communiquez avec votre service municipal de sécurité in-cendie et visitez le www.securitepublique.gouv.qc.ca.

16

Attachez votre enfant à la vie!

Plus de 1300 enfants de 9 ans et moins, passa-gers d’un véhicule motorisé, sont victimes d’acci-dents de la route chaque année au Québec. (Source dépliant SAAQ Attachez le à la vie) Vous utilisez une barrière pour empêcher un enfant de tomber dans les escaliers, alors même si vous avez une courte distance à parcourir (ex. de la garderie vers la maison) pourquoi ne pas utiliser le siège d’auto?! La loi oblige dans un véhicule routier en mou-

vement que les enfants qui mesurent moins de 63 cm en position assise (mesurés des fesses (du siège) au sommet (du crâne)) doivent être installés dans un siège d’auto ou siège d’appoint adapté à leur poids et à leur taille (et NON à leur âge) qui est conforme à la loi sur la sécurité automobile. De plus, l’enfant et le système de retenue doivent être installés conformément aux instructions du fabri-cant. Pour choisir le bon siège d’auto, vous devez vous assurer d’avoir un siège adapté au poids de votre enfant, c’est-à-dire : • un siège nouveau-né (face vers l’arrière) pour un bébé de moins de 10kg (22 lbs) • un siège d’enfant pour un enfant de 10 à 30 kg (22 à 65 lbs) • un siège d’appoint pour un enfant de plus de 18 kg (40 lbs et +) Pour l’installation du siège dans le véhicule, le plus simple est de suivre attentivement le guide d’utilisation de votre voiture et le guide d’utilisa-tion du siège. Chaque modèle est unique. Vous devez prendre en considération que la banquette arrière est l’en-droit le plus sécuritaire pour les enfants. Cependant, que l’enfant soit assis dans un siège d’auto ou non, si vous n’avez pas le choix de le faire asseoir sur le siège avant de votre véhicule, il faut désactiver le coussin gonflable du véhicule et repousser le siège passager autant que possible vers l’arrière afin que l’enfant soit le plus loin possible du pare-brise. En cas d’accident, cette précaution pourrait faire la différence. Il s’agit du même procédé si votre véhicule ne possède aucun coussin gonflable. Si vous n’êtes pas certain que le siège d’auto est correctement installé, prenez rendez-vous au poste de police ou chez les pompiers. Il leur fera plaisir de vous aider. Également, vous pouvez consulter des capsules vidéo que vous pouvez visionner au www.siegedauto.qc.ca ou consulter le site internet de la SAAQ http://www.saaq.qc.ca/securite_routiere/vehicules_technologies. Karyne Bergeron 11971 S.Q. MRC Arthabaska 819-752-4545

Urgence 310-4141 ou cellulaire *4141

SERVICE DE POLICE

Informations Municipales

17

DATE À RETENIR Fête des bénévoles et organismes le samedi 20 avril 2013. Plus de détails à venir le mois pro-chain… Réservez cette date à votre agenda.

NOUVEAUTÉ: Nouvelle salle à louer Une nouvelle salle, le local Desjardins, est mise à la disposition des gens pour la location, depuis janvier. Cette salle plus petite que la salle du Pavillon du Général Maurice Baril convient à des petits groupes. Les coûts de réservation pour cette salle sont de 100$ plus taxes. Un dépôt de 50$ est exigible lors de la réser-vation de cette salle et est non-remboursable en cas d’an-nulation de ladite réservation. La salle peut accueillir un maximum de 40 personnes. Il y a un accès à une salle de bain qui est aussi aména-gée pour personnes handicapées. Une table de billard est aussi disponible (qui peut servir de table accueillant un buffet). Des chaises et tables sont aussi fournies pour un maximum de 40 personnes.

Terrains à vendre par la Munici-palité en face du restaurant Les Daltons sur la rue Principale Actuellement, il reste 1 terrain(#3) de 1500 mc2 au coût de 20 000$ plus taxes à vendre, ainsi qu’un terrain (#1) de 2062 mc2 au prix de 30 792$ plus taxes. Ces deux terrains propices pour des constructions neuves sont desservis par le réseau d’égout sanitaire de la ville. Le terrain (#9) situé derrière les terrains en façade du restaurant est aussi à vendre au coût de 60 000$ plus taxes, mais ce dernier n’est pas desservi pas le réseau d’é-gout sanitaire.

ENREGISTREMENT DE VOS CHIENS N’oubliez pas que la nouvelle année rime avec renouvelle-ment de la licence annuelle pour votre chien. Il est obli-gatoire dans notre municipalité de vous procurer une li-cence pour votre chien. Vous pouvez vous procurer cette licence sous forme de médaille au coût de 20,00$ en vous rendant directement à la SPAA au 691, rue de l’Acadie, Victoriaville. INFO: 819-758-4444

PERMIS Le printemps est à nos portes, et cette période rime régulièrement avec tra-vaux de rénovation et/ou construction. N’oubliez pas que vous devez préala-blement obtenir un permis de rénovation auprès de l’inspecteur municipal au coût de 40$ avant d’entreprendre vos travaux. Voici un rappel non-exhaustif des travaux exigeant ou non un permis Travaux nécessitant un permis : ·La construction, la transformation, la réparation et l'agrandissement d'un bâtiment, de même que l'addition de bâtiments, que ce soit résidentiel, com-mercial ou agricole; ·La démolition d'une construction ou d'une partie de construction; ·Le déplacement d'une construction; ·Le remplacement de revêtements de toitures; ·La construction d'un mur de soutènement, d'une clôture et d'une haie; ·L'installation d'une piscine, d'un patio ou d'une terrasse; ·L'aménagement d'une aire de stationnement hors rue ou d'une aire de char-gement et de déchargement; ·L'aménagement d'un accès ou d'un ponceau privé dans l'emprise d'un chemin public (fermeture d'un fossé); ·La construction ou la modification d'une installation septique; ·L'aménagement d'un ouvrage de captage des eaux (puits); ·L'occupation d'un immeuble ou d'un local dont on a changé la destination ou l'usage. Travaux NE nécessitant PAS un permis : Lorsque les travaux de réparation suivants nécessitent moins de 1500 $. Cependant, les normes contenues dans la réglementation s'appli-quent toujours. On entend par travaux de réparation, des travaux effectués sur des structures ou des biens déjà existants et non modifiés : ·Les travaux de peinture intérieurs ou extérieurs; .Le remplacement ou l'installation de planchers ou de couvre-plancher; .Le remplacement de perrons, de galeries, de corniches et autres structures semblables sans en augmenter les dimensions initiales; .L'aménagement paysager; .L'abattage d'un arbre.

18

Province de Québec M.R.C. d’Arthabaska Municipalité de Saint-Albert Ouverture de la séance ordinaire du conseil de la Municipalité de Saint-Albert, tenue le 14 janvier 2013 à 19h30, au bureau municipal, au 25 rue Des Loisirs. Sont présents : Diane Kirouac, conseillère Mélanie Vogt, conseillère Colette Gagnon, conseillère Denis Giguère, conseiller Justin Chabot, conseiller Michel Ducharme, conseiller Tous formant le quorum sous la présidence du maire, M. Alain St-Pierre. Mme Suzanne Crête, direc-trice générale et secrétaire-trésorière, agit comme secrétaire de la réunion. La séance ordinaire est ouverte à 19 h 30. Mot du maire M. St-Pierre souhaite, à toute la population et aux gens présents dans la salle, ses souhaits pour la nouvelle année qui débute. 2013-01 Adoption de l’ordre du jour Proposé par Mme Diane Kirouac, conseillère Que l’ordre du jour du 14 janvier 2013 soit adopté et que le varia demeure ouvert. Adopté à l’unanimité des conseillers 2013-02 Adoption du procès-verbal de la réunion du 3 dé-cembre 2012 Proposé par M. Michel Ducharme, conseiller Que le procès-verbal de la séance ordinaire du conseil du 3 décembre 2012 soit adopté tel que rédigé. Adopté à l’unanimité des conseillers 2013-03 Approbat ion des comptes pour la période du 3 décembre 2012 au 14 janvier 2013 Proposé par M. Denis Giguère, conseiller Et, il est résolu à l’unanimité des conseillers, d’adopter les comptes à payer suivants, tels que présentés au journal des déboursés, dont une copie a été remise à chacun des membres du conseil lors de la séan-ce par la directrice générale et se-crétaire-trésorière : Registre des chèques # 1071 à 1237 Adopté à l’unanimité des conseillers 2013-04 Demande de déroga-tion – Gilles Arsenault – 23 rue Béréli Attendu que M. Gilles Arsenault du 23 rue Béréli a rempli une demande de dérogation concer-

nant la superficie de son garage et payé les frais afférents de cette demande; Attendu que le règlement de zonage 2007-08 à l’article 7.8 stipule que la superficie maximale d’un bâtiment accessoire (garage) est limitée à 100 mètres carrés (1076 pieds carrés); Attendu qu’un permis de cons-truction a été émis à M. Arsenault pour la construction de son gara-ge le 28 mai dernier l’informant de la règlementation et spécifiant que la superficie maximale pour un garage est de 100 mètres carrés (1076 pieds carrés); Attendu que malgré le fait que M. Arsenault a été avisé de la superficie maximale à respecter pour son garage, ce dernier a construit un garage de 1080 pieds carrés, soit 4 pieds carrés supplémentaires après mesures précises de l’inspecteur municipal, M. Clément Paquet; Attendu que c’est l’arpenteur-géomètre, M. Carl Lefebvre, qui a avisé la Municipalité de l’irrégula-rité lors de l’établissement du certificat de localisation exigé à M. Arsenault à l’émission du per-mis de construction; Proposé par Mme Colette Ga-gnon, conseillère Que la demande de dérogation de M. Arsenault est jugée mineu-re puisque la superficie excédante n’est que de 4 pieds carrés de plus; Que par contre, le fait que M. Arsenault a contrevenu au règle-ment en tout connaissance de cause est INACCEPTABLE; Que la Municipalité de St-Albert désire aviser M. Arsenault qu’elle fait preuve de clémence en ne lui obligeant pas à démolir une par-tie de son garage puisqu’elle est consciente des coûts à engager; Que la Municipalité de St-Albert désire aviser M. Arsenault qu’elle fait preuve de clémence à nou-veau en ne lui imposant pas une pénalité pour offense au règle-ment; Que par contre la Municipalité de Saint-Albert désire néanmoins aviser les citoyens de Saint-Albert qu’une dérogation mineure ne doit pas être vu comme une fin en soi et ne doit aucunement servir à déjouer les règlements, et donc que le cas de M. Arse-nault demeurera une exception.

Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2013-05 Demande de Mme Karine Genest pour le paiement des frais de non-résidents pour les cours de piscine à Warwick Attendu que Mme Karine Ge-nest, citoyenne de St-Albert, a fait une demande à la Municipali-té de St-Albert afin que cette dernière paie les frais de non-résidents 2013 de la Ville de War-wick pour un cours de piscine; Attendu que Mme Genest a affirmé ne pas avoir réussi à ob-tenir une place dans l’un des cours de piscine offert par la Ville de Victoriaville lors de la période d’inscription au début janvier; Attendu que la Municipalité de St-Albert dans le budget 2013 adopté à la séance de décembre dernier a décidé de signer une entente globale avec la Ville de Victoriaville, et que cette entente rend les frais de non-résidents nuls pour profiter de leurs infras-tructures de loisirs et culture; Attendu que la Municipalité de St-Albert dans le budget 2013 adopté à la séance de décembre dernier, a décidé pour la Ville de Warwick de ne payer que les frais de non-résidents pour le hockey mineur à Warwick puisque la Fédération du hockey mineur lui impose de jouer à Warwick; Attendu que malgré l’entente avec Victoriaville pour 2013, les citoyens albertois peuvent conti-nuer d’utiliser les installations de Warwick, mais ils doivent alors se procurer un formulaire de non-résident et payer la totalité des frais exigés pour son obtention, à l’exception du hockey mineur; Attendu qu’après vérification avec la responsable de la piscine de Victoriaville, de nombreuses places aux cours de piscine sont disponibles; Par conséquent, il est résolu à l’unanimité des conseillers Que la demande de Mme Genest soit refusée; Que si Mme Genest désire suivre des cours de piscine à Warwick, elle devra se procurer un formu-laire de non-résident et en dé-frayer les coûts. 2013-06 Entente in-ter-municipale avec la Ville de Warwick pour le hockey mineur

Attendu qu’en novembre der-nier, la Municipalité de St-Albert a rencontré la Ville de Warwick pour le renouvellement de l’en-tente de loisirs et culture; Attendu que lors de cette ren-contre, deux propositions ont été soumises à la municipalité : • Une entente globale au coût annuel de 24 000$ pour éliminer les formulaires de non-résidents et les frais à la pièce; • Un frais de non-résident moyen de 315.86$ pour toutes les activi-tés afin de refléter les coûts réels de l’ensemble des installations sportives et culturelles de War-wick et qui maintient l’exigence d’obtenir un formulaire de non-résident pour chaque inscription; Attendu qu’une entente globale avec la Ville de Victoriaville avait également été soumise à la muni-cipalité pour un montant de 11 500$; Attendu que suite à l’adoption du budget 2013 en décembre dernier, la municipalité a décidé de conclure une entente globale avec la Ville de Victoriaville vu les coûts moins onéreux; Attendu que suite à l’adoption du budget 2013 en décembre dernier, la municipalité a décidé de ne payer que les frais de non-résidents pour le hockey mineur uniquement à Warwick puisque la Fédération du hockey mineur lui impose de jouer à Warwick au coût de 315.86$ par inscription pour la saison 2013-2014; Attendu que suite à la décision du conseil de la Municipalité de Saint-Albert, la Ville de Warwick a finalement résolu à sa séance régulière de décembre dernier de facturer des frais de non-résidents proportionnels au coût d’entretien de l’infrastructure et non pas un frais moyen de 315.86$ pour les municipalités qui n’ont pas décidé de signer une entente globale de loisirs et cultu-re; Attendu que cette décision de la Ville de Warwick impose des frais de non-résidents de 730,00$ pour le hockey mineur au lieu du frais moyen soumis lors de la ren-contre de 315.86$; Proposé par Mme Mélanie Vogt, conseillère Que la Municipalité de Saint-Albert signe une entente inter-municipale pour convenir d’un

Procès-verbal Municipalité St-Albert Janvier 2013

19

frais de non-résident de 315.86$ pour le hockey mineur unique-ment pour la saison 2013-2014. Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2013-07 A j o u t d e f ra is de réservat ion/annulation pour les salles du Pavillon Général Maurice Baril et local Desjardins et déter-mination des frais de location du local Desjardins Attendu que depuis le début du mois en cours, le local Desjardins, anciennement occupé par la Place des Jeunes, est maintenant dispo-nible pour la location lors de ré-unions d’affaires ou de famille; Attendu qu’en 2012, un certain nombre de réservations de la salle du Pavillon Général Maurice Baril ont été annulé à la dernière minute et ont occasionné des pertes de revenus; Attendu qu’à la séance du 3 décembre 2012, le conseil a adopté le règlement 2012-12 concernant les frais de location de salle; Proposé par M. Denis Giguère, Que la Municipalité de St-Albert ajoute à ses contrats de location des frais de réservation de 100$ pour la salle du Pavillon Général Maurice Baril et de 50$ pour le local Desjardins et qu’advenant l’annulation de la réservation, les frais de réservation seront conservés par la municipalité. Que le tarif de location défini pour le local Desjardins est de 100$ par jour pour les particuliers et/ou les entreprises et à 50$ pour les organismes sans but lucratifs de Saint-Albert (OSBL). Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2013-08 Chemin d’hiver mise au point pour la prochaine saison Attendu que la Municipalité a reçu un grand nombre de plaintes pour le déneigement des rues pour la saison hivernale en cours; Attendu que la plupart de ces

plaintes étaient justifiées, mais d’autres non; Attendu que le contrat de che-mins d’hiver avec l’entrepreneur actuel, Services Montérégie, se termine à la fin de l’hiver en cours; Par conséquent, il est résolu à l’unanimité des conseillers Qu’une rencontre soit réalisée prochainement avec des élus et des employés municipaux pour définir les modalités du prochain cahier de charges pour l’appel d’offre pour le déneigement des chemins d’hiver pour les prochai-nes saisons. 2013-09 P ro c l ama -tion des journées de la persé-vérance scolaire Attendu que la Table régionale de l’éducation du Centre-du-Québec mobilise depuis 2004 tous les acteurs de la communau-té à soutenir la réussite éducative afin que le plus grand nombre de jeunes obtiennent un premier diplôme ou qualification; Attendu que la région du Centre-du-Québec a besoin d’une relève qualifiée pour assurer son plein développement socioéconomique; Attendu que la Table régionale de l’éducation du Centre-du-Québec tient, du 11 au 15 février 2013, sa 3e édition centricoise des Journées de la persévérance scolaire, sous le thème Le Centre-du-Québec en route vers la réus-site; Attendu que dans le cadre de la 3e édition centricoise des Jour-nées de la persévérance scolaire, la Table régionale de l’éducation du Centre-du-Québec invite tous les acteurs de la communauté à poser un geste d’encouragement à l’égard de la persévérance sco-laire afin de démontrer aux jeu-nes que la communauté les sou-tient dans la poursuite de leurs études; Proposé par Mme Diane Kirouac, conseillère Que la Municipalité de St-Albert

déclare les journées des 11, 12, 13, 14 et 15 février 2013 les Jour-nées de la persévérance scolaire à Saint-Albert. Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2013-10 Renouvelle-ment adhésion 2013 - ADMQ Attendu que le renouvellement de la cotisation annuelle de l’As-sociation des directeurs munici-paux du Québec (ADMQ) est de 436,00$ pour l’année 2013 ; Attendu que le renouvellement de l’assurance-protection en 2013 est de 175,00$ taxes incluses; Proposé par Mme Mélanie Vogt, conseillère Que la Municipalité renouvelle les ententes de service pour l’année 2013 avec l’Association des direc-teurs municipaux du Québec aux coûts mentionnés précédemment. Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2013-11 Renouvelle-ment adhésion 2013 – COM-BEQ Attendu que le renouvellement de la contribution annuelle de la Corporation des Officiers Munici-paux en Bâtiment et en Environ-nement du Québec (COMBEQ) est de 285,00$ plus taxes pour l’an-née 2013; Proposé par Mme Mélanie Vogt, conseillère Que la Municipalité renouvelle l’entente de service pour l’année 2013 avec la COMBEQ aux coûts mentionnés précédemment. Adopté à l’unanimité des conseil-lers. 2013-12 Avis de mo-tion est donné par Mme Co-lette Gagnon, conseillère, que sera adopté le règlement nu-méro 2013-01 amendant le règlement 18-09-88 à l’article 5 afin de modifier les frais d’études d’une demande de dérogation à 375$. Une dis-pense de lecture dudit règle-ment est demandée afin d'al-léger la procédure d'adoption.

Une copie dudit projet de règlement est remise aux membres du conseil, le tout conformément à la loi. 2013-13 C a m p a g n e «Victoriaville et sa région» - Saint-Albert brille par… Attendu que la MRC d’Arthabas-ka, qui inclut 23 municipalités, a lancé en 2012 une campagne publicitaire dans le but de faire connaître la région; Attendu que les municipalités participantes sont invitées à dé-terminer un qualificatif représen-tatif de leur localité; Attendu que les qualificatifs soumis par les élus et employés municipaux sont «Saint-Albert brille par… »: • Son dynamisme; • Son énergie; • Sa fierté; • Sa vigueur; • Sa vitalité. Proposé par M. Michel Ducharme, conseiller Que le slogan retenu pour la Municipalité de Saint-Albert est le suivant : «Saint-Albert brille par sa fierté» Adopté à l’unanimité des conseil-lers 2013-14 Levée de la séance du 14 janvier 2013 Proposé par M. Michel Ducharme, conseiller Que la séance du 14 janvier 2013 soit levée à 20h30. Adopté à l’unanimité des conseil-lers A l a i n S t - P i e r r e , m a i r e Suzanne Crête, directrice-générale seccrétaire-trésorière

Procès-verbal Municipalité St-Albert Janvier 2013 (suite)

Agenda Trois Mois MAI

05 Exposition annuelle Fermières 06 Séance du conseil 08 Réunion Fermières 20 Fête des Patriotes

MARS 04 Séance du Conseil 10 Changement d’heure 13 Fermières 27-28 Pain du partage 31 Pâques

AVRIL 02 Séance du conseil 10 Fermières 20 Fête bénévoles et organismes 22 Jour de la Terre

20