sixième journal de l'association malezi de hasseindjé oichili
DESCRIPTION
Nous publions ce journal éducatif, ‘’MALEZI’’. Ce mot signifie la bonne éducation, il constitue à premier vue, le meilleur héritage que chaque parent doit léguer à sa descendance, pour leur assurer une bonne vie d’ici bas et l’au-delà. De ce fait, ce titre constitue la seule garantie d’un bon avenir aux générations successives, comme il marque un meilleur passé qu’ont vécu les ancêtres. Ce terme qui est souvent utilisé pour distinguer ceux qui ont eu une bonne éducation de ceux qui ne l’ont pas eue, par le terme : « KUTSINA MALEZI », pour insulter un jeune homme de mauvais comportement et lui qualifier d’une mauvaise éducation familiale. La solidarité, l’évolution sociale et économique d’une société, dépendent donc de la qualité éducative qu’elle a eue de la part de ses responsables spirituels et politiques. Sans ‘’MALEZI’’, on est près de rejoindre un monde qui n’est pas celui des êtres humains. Puisque tout dépend de l’éducation, agissons ensemble pour que vive notre Association “MALEZI’’.TRANSCRIPT
“L’éducation est notre objectif, la solidarité est notre force”
MaleziJournal associatif éducatif de Hasseindjé
Première année N° 6 décembre 2013. Prix 200fc
Nelson Rolihlahla Mandela, dit"Madiba", née en 1918 est mort cejeudi 5 décembre à 20h 50 à l’âge de95 ans. Il est le premier présidentnoir de l'Afrique du Sud, il était lesymbole de la lutte contre l'apartheidet fut pour cela emprisonné pendant27 ans. Lorsque l'on parle de cethomme d'exception, ce sont 67
années consacrées au combat contrela ségrégation raciale imposée parla minorité blanche. Hospitalisé àPretoria (Afrique du Sud) pendantprès de 2 mois cet été, NelsonMandela restera comme l'une despersonnalités les plus marquantes del'histoire.
Lire page 2
Ezilo Moroni tsi zawu tsongeza Maore iredjeyi
Lamha ba wuzibufu wu hamiyaYitriso shi hulawa wawu rwariya Tsi mbetsa sha hufufuliza wuledjeya Lamha wende mbiyo ndro bowa paniya
Ye tarekhi nayi hufunde wutsi troshewa Anduyi mrambuwe ndro ye yamba kuhuwa Mundantsi ka shudjaan kana muruwa Wu watwaniya wula yiye nro warambushiwa
Zinu hazanda rangu azali ye msa yidjoniwu shonga hawu simiya ngu mpihoni
Dharawu ndo nguwo yamvazani Ziburadja ndo surwaya ya mninkani
Nge lewo shemeleya hawu pesi wowendzasubira Wendza imani yakweli na ndrazi zahuraMkentsi hawu makinifu mlindzanye magora Yentsi yinu idjwa wu heya ndro djuwu djanyora
Ummu Muhyiddine Said Ahmed
Mwanantsi lamhaba nge dingohi
Nelson Mandela n’est plus en état critiqueKoladjaya litso
hupvwa,ko kalikalilitso wushindwa nid-
jiyo
Maore, ulawana no pvahanu idjihunrawo oharimwa ye ardwi, ulawa-na ne tarehi, ulawana no ubina damu wa aswili wa he lesiwa, ulawanane lugha ne dini, ne mazweya no myenshi nge ne ze anda, hayini yapvwa nusu ya ankili ngu rambuwo uka tsi humkiniha ike yahe lebarala ki zungu, ko ya djo hamba hoka yike ya farantsa.
Lire la dernière page
Sagesse comorienne
Groupe A : Bresil / Croatie / Mexique /CamerounGroupe B : Espagne / Pays-bas / Chili /AustralieGroupe C : Colombie / Grece / Cote d'i-voire / JaponGroupe D : Uruguay / Costa rica /Angleterre / ItalieGroupe E : Suisse / Equateur / France /HondurasGroupe F : Argentine / Bosnie-herzegovi-ne /Iran / NigeriaGroupe G : Allemagne / Portugal / Ghana/ Etats-unisGroupe H: Belgique / Algerie /Republique de coree / Russie
Quelle pourrait être la surprise de ce mondial selon vous ?
Tirage au sort du mondial 2014
La plus part des enfants comoriensont une vie misérables. Surtout cequi vivent loin de leurs parents, enpensant que ce sont tout simplement
les parents qui doivent les aimer. J’ai rencon-tré beaucoup des enfants qui vivent avec leursproches qu’ils soient sœurs, cousins ou tanteset qui mènent une vie si difficile de maltraitan-ce. Nos parents pensent que, nous envoyervivre avec quelqu’un de leurs familles, c’estmeilleur car nous descendons de la mêmefamille, et cela renforce nos liens parentaux etqu’ils nous aimeront et prendront bien soin denous. Il faut aussi comprendre que ce choixfait par nos parents, c’est parce qu’ils n’ont pasles moyens de satisfaire nos besoins de la sco-larité, mais aussi, ils veulent que nous ayonsune bonne éducation. D’autre part, quand nos familles d’accueille
promettent nos parents de veiller sur nous, cesderniers leur donne une confiance totale. Hélasces gens là ne respectent jamais leurs promes-ses. Puisqu’ils nous utilisent pour leurs besoinssans tenir compte de nos souhaits. La plus partde ces gens ne voient jamais les maux qu’ilsnous font subir, en nous renvoyant la méchan-ceté. Malgré ce qu’on se prive pour les rendreheureux. Ils nous dénigrent tout en se diffu-sant une bonne image aux yeux des autres.Lorsque je parle d’une telle situation, c’estparce que je la goute à nos heures que j’écriscette désagréable lettre. Dans la mesure où jevie avec ma tante, et croyez- moi ; je n’ai paseu une bonne enfance. Mon enfance est la pre-mière des choses que j’aimerais changer sic’était possible. La maltraitance, les accusa-tions sur des choses que je suis innocente,l’humiliation pour rien, l’interdiction de récla-
mer mes droits humanitaires ou familiaux res-tent les pires actions qui dérangent ma morali-té. Tout en réclamant qu’elle m’aime et enoubliant que l’amour n’est vocal plutôt qu’ilssont les actes qui le confirment. Je vie dans laterreur, dans l’angoisse. Maintenant je dois - selon elle- me débrouillerpour vivre, préparer ma scolarité, mes vête-ments, et tout sauf la nourriture. Alors que jedemeure toujours une élève du lycée. Parfoisje n’arrive pas à me contrôler, je réfléchisjusqu’à pleurer. D’autre temps je trouvequ’il faut renoncer à mes études et allervivre avec mes parents. Si j’écris, c’est nepas par plaisir, mais pour me soulager unpeu. Ayez pitié de vos enfants car c’estdégoutant alors.
Une élève de la terminale LSMC
Malezi décembre 2013
Journal associatif éducatif de HasseindjéPage 2
Nelson Mandela n’est plus en état critique
elson Rolihlahla Mandela, dit "Madiba",née en 1918 est mort ce jeudi 5 décembreà 20h 50 à l’âge de 95 ans. Il est le pre-mier président noir de l'Afrique du Sud, ilétait le symbole de la lutte contre l'apar-theid et fut pour cela emprisonné pendant27 ans. Lorsque l'on parle de cet hommed'exception, ce sont 67 années consacréesau combat contre la ségrégation racialeimposée par la minorité blanche.Hospitalisé à Pretoria (Afrique du Sud)pendant près de 2 mois cet été, NelsonMandela restera comme l'une des person-nalités les plus marquantes de l'histoire.car c’est grâce à lui que nous sommes belest bien libre. Le matin du vendredi 06 dece mois, bon nombres des drapeaux mon-diaux étaient mis en berne pour respecterla mort du père de la réconciliation racia-le. Mandela a été soigné pendant plusieursmois pour une infection pulmonairerécurrente, résultat de ses 27 ans d’empri-sonnement.ses obsèques ont eu lieu le 15décembre. Mais, à cette date, le pays était
le centre du monde avec les représentantsdu monde entier qui tenaient à s’y rendrepour un dernier hommage. Il nous a bienaimé (paix à son âme) car quant il étaitenfermé, le premier jour qu’il a vu safemme il l’a demandé, « est ce que lesenfants vont bien ?», les enfants en ques-tion chers lecteurs, c’est le peuple afri-cain. Les Comores n’ont pas croisé lesbras face à cette situation. En raison qu’ilssont parmi les pays qui ont mis en berneleurs drapeaux. L’état comorien a aussi honoré la mémoi-re de Nelson Mandela après cinq jours desa disparition à la place de l’indépendan-ce. Des jeunes et des nombreuses person-
nalités ont ainsi fait le déplacement parti-culièrement, ont délaissé leurs occupa-tions pour assister à l’événement. Unhomme de foi le Maire de la capitaleLaithi Ben Ali a affirmé que « désormais,le stade Ajao s’appellera place Mandela »Mais la vraie problématique reste à s’a-voir : Est ce qu’après lui il aura des vraiscombattants infatigables comme lui ? A quel moment les Comores auront-ilsleur Madiba, qui luttera pour son peuple,pour sa nation et non pas pour sa poche etses proches?
Nasser Iliassa Mze Ali
Elève T/A1 Gsbt
N
Lettre ouverte a toute famille
La vie des enfants comoriens
Journal associatif éducatif de HasseindjéPage 3
Malezi décembre 2013
La politique des cinq grandes puissances par rapport
Aux grands dossiers internationaux
Chaque pays du monde veuts’imposer dans la scèneinternationale politiquementet socialement. Raison pourla quelle aujourd’hui on a
abouti à avoir les Cinq grandes puissan-ces du monde. Certes, ces dernières pos-sèdent une politique très puissante etmême considérable au sein de la commu-nauté internationale. Mais ces dernierstemps, il y a un déséquilibre dans la poli-tique de chaque pays. Les USA, laFRANCE, L’ANGLETERRE bien que laCHINE et la RUSSIE, chacun possèdeune vision différente de l’autre. Prenonsun exemple, le dossier syrien avec le
refus de la Russie d’attaquer le présidentEL- ASSAD. Sur ce, on a constaté ungrand progrès de La politique Russe parrapport aux autres pays à savoir la Franceet les USA. Récemment nous avonsapprouvé ce progrès concernant le dos-sier Ukrainien : l’Ukraine voulait signerun accord d’association avec l’Unioneuropéenne, mais face à une politiquesolide de la part des Russes, le présidentukrainien YANOKOVITCH a refusé designer au profit des Russes. D’où il a jetéle pays dans le bras de la Russie .Ce quiest un grand pas de la part des russesconcernant leur politique. Face à cela,beaucoup des gens posent certaines hypo-
thèses concernant les Comores. Pourquoiles Comores n’arrivent même pas à s’im-poser dans des dossiers comme le cas deMayotte ?Chers élus Comoriens ! Il faut mener unepolitique taillée sur mesure par rapport ànous. C’est à dire penser à la santé, à l’é-ducation qui est un atout majeur pournotre épanouissement intellectuel, ainsique la famine qui règne partout dans lepays avant de mener n’importe quellequestion politique internationale. Àsavoir celle de Mayotte car elle viendratôt ou tard.
Cheick Abdallah, droit L2
La liberté de la presse
La liberté de la presse est l’unedes principales libertéspubliques. Elle affirme soitdirectement, soit par l’inter-médiaire des medias.
La liberté de la presse découle logique-ment de la liberté d’opinion et d’expres-sion, inscrite dans la déclaration univer-selle des droits de l’homme de 1948. Toutindividu a droit à la liberté d’opinion etd’expression, ce qui implique le droit dene pas être inquiété par les jugementspersonnels, et celui de chercher de rece-voir sans considération les informationset les idées par quelque moyens d’ex-pression qui ce soit. La liberté de la pres-se est inscrite dans les droits del’Homme, bien que des pays ont encoredes lois ou des règles contraires à cetteliberté. Selon les reporters sans frontières(RSF), plus d’un-tiers des habitants de laplanète vivent dans des pays qui neconnaissent aucune liberté de la presse.Et même dans les pays démocratiquescette liberté n’est pas respectée.Mais pourquoi il y a des Etats autoritairesqui interdisent la publication de certainsarticles ou journaux ? Parce que les gou-vernements de ces pays se voient mena-cés de leur pouvoir au moment où lesréalités de leurs abus apparaissent auxmains de leurs peuples. Par conséquent,ils pratiquent la censure contre les
médias. Malgré ce cas se présente par foisdans notre pays, on trouve souvent desjournalistes emprisonnés parce qu’ilsétaient la source d’une propagation decertains méfaits de nos responsables éta-tiques. Des gouvernements autoritairespeuvent user de violence pour contraind-re les journalistes dissidents au silence enles menaçant, voir même assassinant. Ilspeuvent aussi exercer une force répressi-ve pour empêcher les citoyens d’accéder
à la presse étrangère ou à l’internet.Toutes les années, RSF publie un classe-ment des pays les plus répressifs enmatière de liberté de la presse. Eh vous responsables ! Respectez-vousla liberté de presse, puisqu’elle constitueun grand facteur du développement intel-lectuel et matériel de chaque peuple.
Fayadhu Mahamoud
T/G lsmc
La microéconomie, branchede la science économique necesse pas à monter en épin-gle sur le comportementindividuel des agents écono-
miques. Un individu qui se contente àfaire des achats ou à effectuer de tellesdépenses, il a des contraintes budgétairescar on doit procurer des charges en fonc-tion du revenu disponible. Ceci permet àune progression économique sur un paysquelconque sur le fait que s’endetter nesera pas en attente. Mais est il le cas pournotre pays les Comores, où la majeurpartie des étudiants et élèves s’habillenttrès cher qu’à leur prof et même un
employé qu’à son employeur ? Il en estde même pour le grand mariage qui nousmobilise à une vitesse vertigineuse demener des dépenses n’étant pas à la hau-teur du mari et de la mariée. Cessonsdonc d’appauvrir notre pays ; effectuonsnos dépenses en fonction de nos revenus.
Elkabir Younoussa
Science eco L2
Effectuons nos dépenses en fonction de nos revenus !
Maquette et réalisation:
Faissoil Iliassa
Certains produits expirés res-tent toujours consommés.Transportés depuis le Brésiljusqu’aux Comores, un paysmusulman comme le notre
qui dépend en tout temps de l’extérieurnotamment sur les produits de premièrenécessité tels que la viande, le poulet etautres. Un pays qui ne répond pas aux cri-tères de la religion musulmane, devient leprincipal partenaire commercial de notrepays. Ces produits nous parviennent enmasse sans malheureusement tenir comp-te si les conditions se sont réunies pour unpays musulman comme les Comores.Quand est ce que nos dits « Ulamau»pourront se révolter pour le respect de lareligion ? En effet, hors de ça, ces aliments même nesont pas conformes aux critères humanitai-res du fait qu’ils contribuent aux épidé-mies qui touchent la population ces derniè-res années. Le long trajet que suivent ces
produits jusqu’aux Comores permet ladégradation d’une quantité majeur de cesproduits, ce qui permet aux agents desdouanes de Moroni de les immerger aufond de la mer. Mais nous savons tousaussi qu’une autre partie passe librementpar les portes de nos douanes pour êtrevendue à la population ; car le commerçantdoit gagner même au détriment de la popu-lation. Où est-il le syndicat des consom-mateurs ? Quel est son rôle d’exister alors? Par ailleurs, le délestage électrique assu-
re aussi sa contribution au déséquilibre dela santé du peuple comorien dans ce sujet.Ce qui permet aux commerçants de lesdécharger dans certains endroits pour êtrebrulés, malgré qu’ils soient consomméspar ignorance dans certains villages de nosrégions. Responsables de notre nation etcommerçants, ayez pitié de votre peuple,car il est déjà l’heure.
Miftahou Ibrahim
droit /L2
Journal associatif éducatif de Hasseindjé
Malezi décembre 2013
Pour vos publicités Contactez-nous au
321 11 73 Ou
Mlembeeza ye MaoreM
aore, ulawana no pvaha-nu idjihunrawo oharim-wa ye ardwi, ulawana netarehi, ulawana no ubinadamu wa aswili wa he
lesiwa, ulawana ne lugha ne dini, ne maz-weya no myenshi nge ne ze anda, hayiniya pvwa nusu ya ankili ngu rambuwo ukatsi humkiniha ike yahe lebara la ki zungu,ko ya djo hamba hoka yike ya farantsa.Masikini pvoyaka wanru wari trendeyawooharimwa ze dhwamana za he yentsi,yabidi ike ngwawona ankili, ngwa sub-utiyo we hadaya ye farantsa uka ila yaha-he hambapvi za matraka za duniyaninfupvi. Sha ye tsindawo tsinde uhadalwaka pvatsi welewa na wufikiri uka ngapvousiku owana wa komor wa djo udjitowafidiya hambwana hasibabu nde ardwiyahawo ?
Na ngapvo suala, ewo wananyasi wa yens-hiyo mawore kwatsina funvu ili rikepvamwedja ? Akid ngwawona. Amma,wendo wangaliya moroni ula mdji mdzimarilonuwo wawuhundre nde namnawakaya kabula ya 1960, bal huzidi mayi,madjaya na mawungu na madja nkudizibaya zendziya za moroni hata gari kalit-su djuwa upvira ; koza fanyiha ko zi dis-awo tsi madhwamana tsindo wana ntsikapvana wa hisiyo , mashababi wa somawadjaya ho mapvareni no mo mpadoni,ze mali za dawula za nyisiwa , hayinayahunra dhwamana ya dawwula harende-ha wa mashrika ya nafsiya na madjumbana bwankanga wulaya , ye wutsina malika tsu hundra haki ho mahakama , yewutsi wa he she siwa sha raisi katsu reng-wa hazini bahata oharimwa le djeyeshi ,mpaka uke mwa yiho ; ho rengwa ho uni-
versite ngarangaliyawo owalawa oharaisi rangu nge ridje owa dhwamanawahe ye shumba wa ndzo usomeye « namtunde ho ecole de sante unu mwaha » ,udjizi tsindo faliki ya wu hunra hazi,mashirika ya dawula yahuliziwa ola andu-wi mfarantsa, ba hata ledjeyeshi hamilikis-hiwa lo ki rasmi, eba izo nde zawuvuraowananyasi walo mawore udja hunu ? Kamrantsi ba madhwamana wa komormlembeeza ye mawore no tsuka mvaya kidjawula. Hoka tsi zamladhimuni. Ba pvomtso hura ula riba tsindo mwa djo fanyasunna. Enge tsindo ureleya owu watwaniya wahangu , tsi djwambiya owanaama wa lomawore ukaya : na mtrawe . Sha ewendendahu ? Ndo hahe anduwi wa hatru nawo ?
Abu Soulaym Ahmad
Des risques lies a la viande d'importation : la vie ou la mort
En effet, avec les nouvellestechniques industrielles, lemonde assiste à un chômagegalopant. La main d’œuvre estremplacée par des machines
qui font le travail rapidement et de maniè-re confortable. On peut citer la machineagricole comme le tracteur et la moisson-neuse batteuse. En revanche, la science dégrade notremilieu environnementale par le biais de lapollution, les gaz dégagés dans les usinessont nocifs et toxiques et affectent la santéhumaine en provoquant des maladies
chroniques ; telle que la rhinite, l’allergie,les maladies cardiovasculaires. Au final, lascience porte un sérieux coup à la popula-tion à travers les moyens de transports quiconnaissent ces dernières années des acci-dents graves et mortels. On peut illustrerceci par le crash de l’avion yemeniaAirlines au large de la grande comore en2009, les accidents routiers fréquents, lenaufrage de SAMSON dans l’Océanindien en 2007. Ainsi la science est enquelque sorte un élément destructeur.
Houzam Takim Ahmed
2and C Gsbt
La science dégrade la vie des hommes