novembre 2009

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* Tirez plaisir de l'hiver * Le cadeau corporatif idéal : par où commencer ? * Comment choisir un bon DJ ? * Maximisez votre puissance cérébrale avec l'alimentation * La perception marketing peut masquer la réalité * Régions du Québec: Cantons-del'Est, Charlevoix, Lanaudière, l'Outaouais, les Laurentides

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Novembre ’09 3LePLANIFICATEUR

Porter offre une liaisonidéale pour vos groupescet hiver

Pour la troisième saison consécutive, laligne aérienne Porter mettra 8 vols à disposition de sesvoyageurs entre l’Aéroport du centre-ville de Toronto et l’aéro-port international de Mont-Tremblant, soit 3 vols de plus que lasaison passée. Dès le 19 décembre, on pourra se rendre en unpeu plus d’une heure de vol au pied des pistes de la fameusestation de ski des Laurentides. En partenariat avec Ultimate SkiVacations, Porter offrira des forfaits tout-inclus comprenant bil-lets d’avion, hébergement et billets de ski à partir de 329 $ parpersonne, en occupation double.

Sur le Web : www.flyporter.com et www.laurentides.com

Le domaine hôtelier Bromont lanceune offre originale

Adepte de ski ou plutôt des bains de vapeur orientaux sion est plus frileux, le Domaine hôtelier Bromont ne fera pasde jaloux cet hiver. En effet, pour toute réservation d’unévénement de groupe durant les mois de janvier, février oumars 2010, vous vous verrez offrir gratuitement et par participant un billet de soirée à Ski Bromont ou un accès auHammam de Spa Bromont. Pour réserver et consulter les conditions de l’offre, visitez le www.chateaubromont.com

Les visiteurs plus rares dans leshôtels de Montréal

De nombreux établissements ont vu le jour ces dernièresannées sur la scène hôtelière de Montréal. Pourtant, les tauxd’occupation ne sont guère encourageants. À en croire les statistiques fournies par l’Association des hôtels du grandMontréal, le taux d’occupation ne cesse de chuter année aprèsannée, passant de 66,80 % à 61,53 % entre 2008 et 2009, unebaisse constante depuis plusieurs années. Près de 90 établissements de trois à cinq étoiles ont enregistré cettebaisse des réservations de la part des voyageurs.

Un téléphone intelligent pour gérervos déplacements

Air Canada a annoncé être le pionnier dans le lancementd’une nouvelle application pour téléphones intelligents, quipourrait vous fournir de l’information relative à vos voyagessur les lignes de la compagnie aérienne canadienne. Descartes d’embarquement électroniques aux changements

d’itinéraire ou d’horaire, les informations fournies sur les téléphones Blackberry ou iPhone permettront aux voyageursde gérer en toute autonomie leurs déplacements en avion.

Sur le Web : www.aircanada.ca

Le restaurant Rosalie retourne aux sources

Connu pour son ambiance bistrot branchée depuis 2002, lerestaurant Rosalie s’est fait peau neuve en… retournant enarrière. C’est en s’inspirant de ses valeurs culinaires italiennesde ses débuts et d’un design aux airs vintage des années 60et 70 que le groupe, propriétaire de l’établissement parmid’autres, a décidé de se démarquer. Récemment sorti de sesrénovations qui l’ont doté d’un véritable four à bois et d’unedécoration rappelant les trattorias d’antan, Rosalie compterester fidèle à sa clientèle corporative du centre-ville en créantprochainement un programme de privilèges pour les gensd’affaires. Donnant un coup de neuf sur les traditionnelsrestaurants italiens de la ville, Rosalie accueille toujours lesgroupes dans sa vaste salle à manger et sa grande terrasse.

Sur le Web : www.rosalierestaurant.com

Un projet à la hauteur du Massif230 M$ investis dans le projet récréo-touristique du Groupe

Le Massif, à Charlevoix, promettent de sérieuses avancées entermes d’hébergement et d’activités de plein air. C’est un hôtelquatre étoiles qui devrait voir le jour en premier, doté d’unesalle multifonctions d’une capacité de 500 personnes à Baie-St-Paul, accessible par le train. Du côté des montagnes, ledomaine skiable s’agrandira de 30 % au bonheur des amateursde sports d’hiver, en majorité du côté du Mont Aligori. Suivrontdes unités d’hébergement originales aux thèmes surprenantscomme des « maisons arbres et des maisons vents ou encoredes wagons trains », selon le président du Groupe Le Massif,M. Gauthier. L’entreprise d’un tel projet, finalisé à la fin 2013selon les estimations, devrait attirer de nombreux skieurs,attendus jusqu’à 280 000, soit 100 000 de plus qu’aujourd’hui.

Les chambres de l’Auberge du LacTaureau se modernisent

En décembre 2009 prendront fin les rénovations des 158chambres de l’Auberge du Lac Taureau. Cet investissement deprès de 700 000 $, qui aura souligné le dixième anniversairedu centre de villégiature, permettra aux groupes et invitésd’affaires de jouir du confort des nouvelles chambres, entière-ment remises à neuf. Les moquettes remplacées par duplancher de bois, les fenêtres habillées de persiennes, laliterie, les fauteuils et la peinture mis au goût du jour donnentun vent de fraîcheur à l’établissement. D’autres rénovationssuivront au niveau des commodités qui y offertes.

Sur le Web : www.lactaureau.com

> Ici et làPAR CAMILLE LAY

Page 4: Novembre 2009

4 Novembre ’09LePLANIFICATEUR

Le Planificateur est diffusé mensuellement aux professionels canadiens de l’industrie du tourisme et des affaires. Le Planificateur utilise du papier recyclé 30 %.

2105, de la Montagne, bureau 100Montréal, Québec H3G 1Z8

Téléphone : (514) 849-6841 poste 315 Télécopieur : (514) 284-2282

Vos commentaires sont appréciés : [email protected]

Le Planificateur est publié dix fois par année.Poste-publication No. 40934013

Imprimeur : Litho Express, (514) 816-3865, www.lithoexpress.ca

Tirez plaisir de l’hiver« Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’hiver. »

Gilles Vigneault

L’hiver au Québec est une saison magique. Du carnaval de

Québec, au traineau à chiens dans le Saguenay, en passant par une

ballade en motoneige, en ski de fonds ou en raquettes dans les forêts

enneigées, sans oublier les vues imprenables lors des descentes en

ski alpin ou en luge, le Québec en a pour tous les goûts.

Être planificateur d’événements ou de réunions québécois et

ne pas faire découvrir les joies de l’hiver à ses collègues, délégués

ou clients, c’est « froid ». Des climats chauds et tropicaux et des

plages de sable blanc en bord de mer existent en abondance, tan-

dis qu’un hiver au Québec est une expérience unique à vivre et à

voir. Cette hiver, saison où les Jeux Olympiques auront lieu ici-

même au Canada et saison de récession, restons au Québec avec

nos groupes et offrons-leur quelque chose d’inégalable. Le

Planificateur s’est entretenu avec certains bureaux de tourisme de

la province pour cette édition qui nous ont fourni des statistiques

et renseignements sur leur région qui vous seront utiles.

Aussi différentes les unes que les autres, nos régions ont pour-

tant toutes deux points en commun :

1- Des activités d’hiver à vous faire découvrir,

2- Le plaisir de vous assister lorsque vous en aurez besoin !

LEO GERVAIS

> Note du rédacteur

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Cadeau corporatifChoisir le cadeau corporatif idéal peut être fastidieuxquand on regarde la liste des milliers d’objets à notre disposition. Lyne Branchaud vous indique la marche àsuivre pour dénicher LE parfait présent.

Comment choisir un bon DJ ?L’animation et la musique contribuent fortement à laréussite d’un événement ou… parfois à son échec ! DJ etMC, Perry Mandanici vous met sur la piste pour sélectionner un bon DJ.

Nourrir vos neuronesCombien de planificateurs considèrent ce dont le cerveaua vraiment besoin pour bien fonctionner ? Le Dr. PierreGeoffroy nous explique comment se nourrir pour mieuxpenser et mieux travailler.

Régions du QuébecLe Québec est l’une des provinces les plus resplendis-santes en hiver. Le Planificateur en collaboration avec lesbureaux de tourisme de ses plus belles régions expliquepourquoi les groupes ont tout intérêt à s’y rendre.

LEPLANIFICATEURRÉDACTEUR EN CHEF Leo Gervais [email protected]ÉDACTRICE EN CHEF ADJOINTE Camille Lay [email protected] Matt RiopelVENTES [email protected] Patricia Lemus [email protected] Lyne Branchaud, Richard Gauthier, Perry Mandanici,

Stacey Hanke, Manon Harvey, Barry Siskind

Dans ce numéro

PAP – No d’enregistrement 11101Nous reconnaissons l’appui financier du gouvernement

du Canada par l’entremise du Programme d’aide aux publicationspour nos dépenses d’envoi postal.

La seule publication canadienne pour les planificateurs francophones

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Page 6: Novembre 2009

6 Novembre ’09LePLANIFICATEUR

Le cadeau corporatif idéal : par où commencer ?

Vous avez décidé d’offrir un cadeau à

vos invités ou un objet promotionnel

identifié au logo ou aux couleurs de votre

entreprise lors de votre prochain événe-

ment. C’est une très bonne idée !

Maintenant, vous devez choisir l’objet qui

créera le « wow », celui qui fera plaisir à vos invités, qui leur rap-

pellera votre événement et surtout, qui atteindra les objectifs

visés. Voilà où le choix se complique, surtout qu’il existe plus de

300 000 produits disponibles au Canada !

Avant de sélectionner votre cadeau ou objet promotionnel, je

vous invite à répondre à ces quelques questions qui vous aideront

à trouver LE cadeau ou le parfait objet promotionnel :

â Pourquoi offrez-vous ce cadeau ? Est-ce pour transmettre ou

véhiculer un message corporatif, pour remercier les participants

de leur présence, pour honorer certains invités, pour favoriser le

réseautage ou tout simplement pour souligner votre événement ?

Le choix de l’objet variera en fonction de l’objectif à atteindre.

â Souhaitez-vous que vos invités l’utilisent sur place, qu’ils

l’amènent à la maison ou qu’ils s’en servent au bureau ? Ces 3

situations sont très différentes, car les gens n’utilisent pas les

mêmes objets lors d’un événement, à la maison ou au bureau.

â À qui offrirez-vous le cadeau, aux participants seulement, à

leur conjoint et aux enfants également ? Aux fournisseurs et parte-

naires ? Aux membres de votre équipe ? Ceci vous aidera à déter-

miner la quantité d’objets que vous devrez commander.

â Y aura-t-il différentes catégories de cadeaux (un pour les

femmes, un pour les enfants et un pour les hommes par

exemple) ou offrirez-vous le même cadeau à chacun ? Vous éva-

luerez ainsi la nature des cadeaux à choisir ou si votre choix doit

satisfaire vos différentes clientèles.

â Si vous offrez un vêtement, un bijou ou une pièce

d’équipement sportif, comptez-vous demander les grandeurs

requises à vos invités avant l’événement ? Si ce n’est pas le cas,

vous devrez prévoir un plus grand inventaire afin de satisfaire les

différents besoins. Rien n’est plus désagréable que de devoir

porter du large si vous êtes petit ou pire, du petit si vous portez

du large !

â Quel est le profil des gens à qui sera offert le cadeau (âge,

sexe, profession, habitudes de vie, situation financière) ? Il est

important de sélectionner un objet qui se marie bien au profil de

vos invités.

â Est-ce que le logo de l’entreprise ou de l’événement doit

être gravé, brodé ou imprimé sur l’objet ? Sinon, est-ce que vous

devez penser à une carte qui accompagnera le cadeau afin d’y

insérer votre logo ?

â À quel moment et de quelle manière le cadeau sera-t-il

remis et qui le distribuera ? Sera-t-il remis lors de l’inscription,

déposé dans la chambre de vos invités avant leur arrivée (prévoir

des frais pour le personnel qui effectuera ces livraisons), dis-

tribué pendant une activité ou à la fin de l’événement ? Selon

l’option choisie, il faudra prévoir l’espace nécessaire afin d’entre-

poser les boîtes ou sacs.

â De quel budget disposez-vous ? Quel est le prix minimum

et maximum que vous désirez investir par personne ? (N’oubliez

pas d’inclure les frais de livraison à votre entreprise, les frais de

transport à votre événement et les frais d’emballage). Vous

n’évaluerez pas le même genre d’objets si vous disposez de 10 $

ou de 70 $ par personne.

â Quels objets ont déjà été offerts lors de vos événements

antécédents et lesquels ont été les plus appréciés ? Ceci vous indi-

quera la catégorie de cadeaux à privilégier.

PAR ÉLIMINATION OU PAR PRÉFÉRENCE,

LES CATÉGORIES DE CADEAUX SONT NOMBREUSES

Maintenant que vous avez une meilleure idée de votre objec-

tif, de votre budget, du profil de votre clientèle et de l’utilité du

cadeau à offrir, différentes catégories d’items peuvent être

évaluées :

â un article de sport (balle ou serviette de golf, polo, sac de

sport, bouteille d’eau).

â un article de cuisine ou de décoration (verres à vin, ensem-

ble à raclette, tasses, couteaux, cadre).

â un vêtement (manteau, tuque, casquette, t-shirt, robe de

chambre, chandail) — il est préférable et plus économique de

demander à chacun des participants la grandeur désirée à

l’avance et d’effectuer les achats en conséquence.

â un cadeau relatif à la papèterie ou à l’informatique (crayon,

calendrier, agenda, tapis de souris, clé USB).

â un objet relié à des activités (livre, ensemble de jardinage,

ustensiles à BBQ).

â un produit à consommer (bouteille de vin, bonbons, choco-

lats, panier-cadeau d’aliments du terroir).

â un accessoire varié (valise, porte-clés, couverture).

â un produit électronique (iPod, lecteur DVD, cadre pour

photos numériques).

Selon les critères que vous avez précédemment déterminés, vous

pourrez sélectionner la catégorie d’objets la plus appropriée

PAR LYNE BRANCHAUD

*

Page 7: Novembre 2009

et effectuer votre choix de cadeau. Évitez de choisir un cadeau

encombrant, surtout si vous le donnez sur place ou pendant une

activité. Sinon, il faudra peut-être prévoir une livraison à la cham-

bre, au lieu de travail ou au domicile de vos invités.

À CHAQUE CADEAU SON

EMBALLAGE

Maintenant que le cadeau a été

sélectionné, il faut penser à l’em-

baller ! Allez-vous remettre le

cadeau dans son empaquetage

d’origine ou devez-vous prévoir un

emballage spécial ? Renseignez-

vous dans quel type d’empaque-

tage l’objet vous sera livré et

demandez à recevoir un échantil-

lon. Si c’est joli, vous pouvez sim-

plement y ajouter un ruban ou une

carte aux couleurs de l’événement

ou de l’entreprise. Sinon, il faut

prévoir un emballage supplémen-

taire. Devrez-vous acheter un sac-

cadeau, une boîte décorative, du

papier d’emballage ou créer un emballage thématique ou spécial

? Vous pouvez ici faire preuve de beaucoup d’originalité. Aurez-

vous besoin d’une carte d’accompagnement ? Si les cadeaux

doivent être livrés ou s’ils sont personnalisés, n’oubliez

pas d’indiquer le nom de la personne à qui ils sont destinés sur

l’enveloppe ou sur l’emballage du cadeau.

LE TRANSPORT ET L’ENTREPOSAGE

Finalement, il faut évaluer le transport de l’entreprise où vous

avez commandé les cadeaux jusqu'à votre bureau ou jusqu’au site

de l’événement, ce qui peut représenter une somme élevée pour

des objets de grands formats ou en grande quantité. Pensez

également à réserver une salle (sécuritaire si possible) pour l’en-

treposage des cadeaux avant la remise aux invités si nécessaire.

PENSEZ « VERT »

Privilégiez l’achat de produits locaux, vous éviterez ainsi des

émanations nuisibles à l’environnement dues au transport.

Privilégiez également des cadeaux qui ont très peu d’emballage et

qui sont faits avec des matières recyclées ou recyclables.

Il existe une multitude d’entreprises qui se spécialisent dans la

fabrication d’objets promotionnels et de cadeaux corporatifs. Voici

quelques adresses de sites Web que je vous invite à consulter.

www.pppc.ca – Site des Professionnels en produits

promotionnels du Canada et portail de l’industrie de l’objet

promotionnel. Vous y trouverez une liste de distributeurs et une

foule d’idées-cadeaux.

www.copilote.ca - section boîte à idées - gadget de la

semaine - cette entreprise québécoise est spécialisée dans la

promotion par l'objet et vous propose une panoplie d’idées

intéressantes.

www.magiclight.net - ce fournisseur vous propose des acces-

soires lumineux pour vos soirées.

www.adnart.com – entreprise spécialisée dans les verres,

tasses, etc. Ne manquez pas la sec-

tion « Double-wall » ainsi que le «

Gourmet Gift » où vous trouverez

une tasse contenant un mélange à

gâteau qui se cuit au micro-ondes

!

www.corfias.com – entreprise

québécoise qui offre des chocolats

fins & vins. Découvrez leur choco-

lat ganache au thé vert à l’amande,

ganache aux fruits de la passion et

Grand-Marnier ou encore leur

chocolat caramel et fleur de sel…

www.trudeaucorp.com –

Trudeau est une entreprise québé-

coise spécialisée dans les acces-

soires de cuisine. Leurs produits

sont reconnus pour leur qualité.

www.bugatti.ca – entreprise spécialisée dans les mallettes,

serviettes de cuir, sacs de voyage et autres articles en cuir.

www.wishbuds.com – Wishbuds offre des cartes de souhaits

et des signets avec semences intégrées qui feront pousser des

fleurs. Une très bonne idée écolo !

www.eco-handbags.ca – entreprise spécialisée dans la créa-

tion de sacs à main mode élégants et uniques réalisés à partir de

matériaux recyclés ou écologiques, que ce soit des fermetures

éclair, jeans, contenants de jus, bannières, etc. Faites un petit

détour sur leur site pour y apprécier leur créativité.

www.magellans.com - idées de cadeaux pour les voyageurs -

le passeport ticket holder, le jetbook et le wineskin sont des

objets pratico-pratiques à offrir si vous planifiez des événements

à l'étranger.

www.thinkgeek.com - site de gadgets électroniques tous plus

drôles les uns que les autres !

www.thecoolhunter.net/gadgets - la section Gadgets de The

Cool Hunter est un incontournable et vous y découvrirez des

idées de cadeaux très tendance et fort originales !

• • •

Lyne Branchaud est Chef des événements et commandites chez

Uniprix et formatrice en organisation d’événements.

Vous pouvez la joindre par courriel à [email protected] ou

consulter son blogue au www.lesblogues.com/guideevenement

Novembre ’09 7LePLANIFICATEUR

Pourquoi pas un cadeau écolo ?

Si les cadeaux doiventêtre livrés ou s’ils sont

personnalisés, n’oubliezpas d’indiquer le nom despersonnes à qui ils sont

destinés sur l’enveloppe ousur l’emballage du

cadeau.

Page 8: Novembre 2009

8 Novembre ’09LePLANIFICATEUR

Comment choisir un bon DJ ?PAR PERRY MANDANICI

Pour la plupart des planificateurs d’événements qui sont à

la recherche d’un DJ, deux éternelles questions revien-

nent à coup sûr : « Êtes-vous disponible telle date ? », et

celle qui brûle les lèvres de tous et chacun : « Combien cela va-t-

il coûter ? ». Certes, la disponibilité est très importante, mais la

véritable préoccupation des organisateurs d’événements ou de

leur compagnie est plus souvent d’ordre financier, selon le

fameux budget relié à un événement tel une fête, un gala, un con-

grès, un mariage, etc.

Le choix d’un bon DJ est-il vraiment relié à une question d’argent ?

Avez-vous déjà assisté à un événement où tous les ingrédients y

étaient comme une belle salle, un beau décor, de la bonne nourriture,

des invités très bien habillés, mais auquel, pour une raison quel-

conque, il n’y avait aucune ambiance, un feedback strident, une

musique trop forte ou pas assez forte, une musique souvent obscure

méconnue de tous, aucune demande spéciale, un DJ qui essayait de

prendre le tapis, voler la vedette de la soirée et j’en passe ? Quels sou-

venirs en avez-vous conservés ? Honnêtement, vous vous en rappelez,

parce que justement vous avez essayé de chasser ces souvenirs de

votre mémoire. On aimerait bien les reléguer à la corbeille à tout

jamais. Cependant, bonne nouvelle, cela va vous servir d’expérience

pour la prochaine fois, afin ne pas renouveler la même erreur.

COMMENT VOUS Y PRENDRE LORS DE VOTRE PROCHAIN

ÉVÉNEMENT ?

D’abord et avant tout, ne pas attendre la dernière minute (on

ne le rappellera jamais assez) comme la plupart des gens le font,

y compris moi-même, à chaque fois ou chaque année. Personne

n’aime planifier un an d’avance, ce n’est pas dans l’ordre naturel

des choses car cela requiert un engagement. Signer un contrat un

an à l’avance implique de réserver une date et un budget pour tel

événement, même si l’on n’est pas particulièrement plongé

dedans. On préfère dire « je vais vous rappeler en temps et lieu

», et devinez quoi ? Arrivé en temps et lieu, on magasine et on

tombe souvent sur des compagnies accommodantes qui vous

réservent un DJ souvent peu expérimenté. Si le hasard le veut

bien, vous pouvez obtenir quelqu’un de bien, bien que les

chances soient par contre réduites. Inversement, en vous y

prenant à l’avance, vous pouvez solliciter une compagnie X et

réserver un excellent DJ (avec preuves et références à l’appui).

DES RÉFÉRENCES POUR ÉVITER LES MAUVAIS DJ

Arrive le jour de votre événement et l’entreprise de divertisse-

ment dont vous avez retenu les services vous relègue à la

dernière minute un autre DJ avec très peu d’expérience. La triste

réalité est que, bien souvent, les agences de DJ font

travailler leurs DJ en rotation continue, se réservant couramment

le droit de les assigner là où bon leur semble, même si vous

pensez avoir réservé votre DJ coup de cœur pour rendre votre

événement unique et mémorable. Qui écope de cette triste et

fâcheuse situation ? Une fois de plus, c’est vous, le planificateur !

Ainsi, n’hésitez pas à vous assurer que le DJ que vous réservez

auprès de la compagnie sera le même le jour de l’événement,

sinon, ne signez pas. Demandez des références comme les types

d’endroits où ils ont travaillé, le nombre d’années d’expérience,

des témoignages recueillis de clients satisfaits. Tentez de savoir

s’ils sont assurés pour leur équipement, s’ils font partie d’un

ordre ou d’une association professionnelle de DJ. Pour en avoir

le cœur net, renseignez-vous sur les endroits où vous pouvez aller

les voir en action, sinon réclamez une vidéo ou un DVD afin

d’avoir un meilleur aperçu de l’énergie et du style de soirée qu’ils

animent.

L’ANIMATION D’UN DJ SE PLANIFIE

D’un point de vue technique, même si la plupart des DJ four-

nissent leur propre équipement, il est toujours bon de savoir la

liste des équipements dont ils besoin. Par exemple, connaître le

type de micro, les platines, les branchements, etc., vous permet-

tra d’anticiper des problèmes de dernière minute si l’un des

équipements manque ou si le lieu ne permet pas d’accommoder

leurs besoins.

Quant au choix musical, il ne faut pas hésiter à transmettre vos

exigences et vos goûts ou ceux de votre client. Tentez de savoir si

votre DJ reçoit régulièrement des nouveautés musicales Top 40, s’il

possède la plupart des classiques depuis les années 60 ou 70

jusqu’à aujourd’hui. Les demandes spéciales sont parfois impor-

tantes pour les participants mais il est nécessaire d’avoir le consen-

tement du DJ pour les intégrer à ses arrangements musicaux. Dans

le cas où votre DJ accepte les demandes spéciales, évaluez-en le

pourcentage dans sa liste de chansons.

UN BON DJ MARQUE L’ESPRIT DE VOS PARTICIPANTS

Le choix d’un bon DJ fera vraiment une différence lors de

votre prochain événement. Il demeure difficile de savoir si la

compagnie avec qui vous avez déjà fait affaires gardera toujours

le même enthousiasme avec vous et saura répondre à toutes vos

exigences afin de toujours rendre vos événements mémorables.

Autrement dit, quand il s’agit de réserver un DJ, faire affaires à

des professionnels humains, courtois et

efficaces plutôt qu’à une entreprise qui ne cherche qu’à négocier

un cachet de plus assure toujours au planificateur d’événements

une expérience inoubliable pour ses invités.

• • •

DJ et MC, Perry Mandanici offre des services d'animation profes-

sionnels depuis plus de 20 ans. Fondateur des Productions Perry

Mandanici, on peut le joindre par courriel à [email protected] ou

visiter son site Web au www.pmandanici.com *

Page 9: Novembre 2009

Novembre ’09 9LePLANIFICATEUR

Besoins techniquesd’une station de DJ

(Liste basée sur un équipement habituellement requis. Peut varier.)

• Une table de 6 pieds minimum ou 8 pieds selon circon-

stances. Parfois, un coffre de transport peut faire l’affaire.

• La majorité des bons DJ dans le monde corporatif travail-

lent avec des CD bien enregistrés (morceaux de musique en

format Wave ou MP3 ) avec ordinateur portable au besoin. Le

nombre de pièces musicales peut varier d’un DJ à l’autre, 5 000

à 10 000 chansons est un minimum requis.

• Tous les branchements doivent se faire avec le courant

électrique standard, donc des fils électriques standards incluant

les branchements à prises multiples.

15 ampères sont requis pour le son en général.

• Un micro (sans fil ou avec fil). Parfois deux, trois ou plus

selon les besoins, par exemple si plusieurs personnes doivent

parler simultanément ou encore chanter en même temps).

• Vos exigences de son pour un conférencier, lors d’une for-

mation ou d’un séminaire sont bien différents de ceux d’une

soirée dansante. Des enceintes de type JBL ou Mackie (marques

les plus populaires) sont une référence.

• Prévoyez des essais de son avant le début de votre événe-

ment. Tout DJ professionnel arrive sur place au moins 2 à 3

heures avant l’événement (selon l’envergure ) afin de palier à

tout imprévu et défectuosité technique.

• Communiquez le déroulement de votre événement au DJafin de prévoir la diffusion de la musique en conséquence.

• • •

Du nouveau pour les bagagesUnited Airlines offre un nouveau service d’abonnement appelé

Premier Baggage permettant à ses passagers d’enregistrer deux sacs

standards sur tous les vols United, y compris United Express pour

un prix de lancement de 249$US par année. Les frais actuels d’en-

registrement de bagages sur les vols locaux varient entre 15$US et

20$US pour la première valise et entre 25$US et 30$US pour la

deuxième. Le service couvre aussi ces frais pour un maximum de

huit compagnons voyageant sous le même numéro de confirmation

que l’abonné.

Sur le Web : www.united.com

Questex cherche la protection de laloi sur la faillite

Questex Media Group Holdings demande la protection de la

loi sous le chapitre 11 du code américain des faillites, lequel per-

met la réorganisation des activités et est utilisé surtout par des

entreprises. Questex détient 28 salons professionnels et con-

férences, y compris International Esthetics, Cosmetics & Spa

Conference Las Vegas, International Beauty Show New York,

Luxury Travel Expo et Incentive Travel Exchange. L’entreprise est

également propriétaire de 23 publications et 150 sites Web.

Sur le Web : www.questex.com

Salon de la démotivation ?L’espace total d’exposition du Motivation Show 2009 à

Chicago en Illinois était réduit du tiers selon Pete Erickson, prési-

dent de Hall-Erickson, l’organisateur du salon. 9 131 participants

se sont inscrits, soit une baisse de 13 % par rapport à 2008.

Erickson s’est dit satisfait du déclin, car « (…) la plupart des

salons professionnels ont subi de plus lourdes baisses. » Le nom-

bre final de participants sera connu en novembre.

Sur le Web : www.motivationshow.com

Page 10: Novembre 2009

Maximisez votre puissancecérébrale avec l’alimentationPAR PIERRE GEOFFROY, MD, CM

Avant votre prochaine réu-

nion à l’extérieur,

réfléchissez à la façon d’op-

timiser votre forme mentale. Les

déplacements peuvent nuire à la

fonction cérébrale. Le manque de

sommeil et d’exercice, les change-

ments de fuseau horaire, une ali-

mentation pauvre et la déshydrata-

tion peuvent saboter vos aptitudes.

Certains de ces facteurs sont inévita-

bles, mais d’autres sont possible-

ment neutralisés en choisissant

sagement son alimentation. Un som-

meil approprié, l’hydratation, l’ali-

mentation et l’exercice sont à la

base des voyages d’affaires les plus

efficaces. Toutefois, des signes indiquent que certains aliments

pourraient moduler la fonction cérébrale. Réfléchissons à l’ali-

mentation pour le cerveau selon trois perspectives : 1. Lui fournir

de l’énergie ; 2. L’approvisionner en nutriments essentiels pour

son entretien structurel et ses réparations ; 3. L’approvisionner en

nutriments qui, à court terme, pourraient influencer sa fonction

cérébrale.

Le cerveau représente 2,5 % du poids total du corps pourtant,

il consomme un quart de l’énergie métabolique au repos. Il est

très touché par le flux sanguin et la teneur en glucose et en

oxygène dans le sang. À preuve, quand la pression artérielle

baisse – par exemple pendant un évanouissement – le cerveau se

ferme. Quand la teneur en sucre dans notre sang diminue (hypo-

glycémie), la confusion, la léthargie et la perte de conscience peu-

vent rapidement survenir. Ainsi, le plus important est d’éviter la

déshydratation et la baisse de pression artérielle en consommant

beaucoup de boissons sans alcool, caféine et sucre.

Ensuite, il faut maintenir un apport nutritif régulier au cerveau

en vous alimentant régulièrement. Si vous êtes du type « un peu,

mais souvent », assurez-vous de vous nourrir d’aliments nutritifs

à faible teneur glycémique. Des noix, des produits de blé entier,

des fruits et légumes et des produits laitiers faibles en gras font

l’affaire.

Le cerveau adulte continue de renouveler ses cellules neurales

à l’aide des protéines, de source de protéine complète et des gras.

La protéine est composée d’acides aminés.

Bien que le cerveau en fabrique de façon artificielle, huit d’en-

tre eux doivent provenir de notre alimentation. Ainsi, le pain et

le riz fournissent tous les deux

des protéines, mais sont

dépourvus de certains acides

aminés essentiels ; ils doivent

donc être consommés avec

d’autres sources de protéines

afin de combler nos besoins. Du

pain grillé avec du café le matin

ne vous donnent pas les acides

aminés essentiels : ajoutez-y des

produits laitiers. La viande et le

poisson fournissent des protéines

complètes.

LE POISSON : EXCELLENT

POUR LE CERVEAU

Le poisson est l’une des

sources de protéines les plus

bénéfiques pour la santé et

constitue également la meilleure source de gras pour le cerveau.

Le gras est essentiel pour une bonne chimie du cerveau. En par-

ticulier, les acides gras oméga-3 sont cruciaux pour la structure

du cerveau, car ce dernier est composé d’environ 60 % de gras

dont une bonne partie d’oméga-3. Un régime déficient en oméga-3

est associé à plusieurs maladies mentales. Au quotidien, la fonc-

tion cérébrale dépend d’une provision régulière d’oméga-3 ; des

études ont d’ailleurs démontré qu’une alimentation plus riche en

oméga-3 chez les enfants les aide à mieux réussir à l’école. Pour

les collations, pensez que les noix sont une excellente source

d’acides gras oméga-3. Le maintien d’un cerveau en santé justifie

de tenir compte des antioxydants, ces molécules qui aident à

prévenir les changements cellulaires négatifs dus à l’oxydation,

un processus chimique qui « brûle les cellules ». Un stress

oxydatif important comprend les repas contenant beaucoup de

gras saturés (un gros bifteck et les desserts). Les baies, parti-

culièrement les fraises, un dessert idéal, contiennent beaucoup

d’antioxydants.

LES EFFETS DE LA NOURRITURE SUR LE CERVEAU

Après les besoins fondamentaux du cerveau, passons aux

effets plus précis de la nourriture sur la fonction cérébrale. La

fonction cérébrale dépend de la communication entre les cellules,

qui à leur tour dépendent de la disponibilité des

neurotransmetteurs, une variété de petites molécules qui trans-

portent des messages d’une cellule à l’autre. Fait intéressant, le

nombre de neurotransmetteurs peut être influencé par l’alimenta-

tion. En particulier, les précurseurs de certains des neurotrans-

10 Novembre ’09LePLANIFICATEUR

Page 11: Novembre 2009

metteurs les plus importants touchant la cognition et l’humeur

viennent de notre alimentation. Le meilleur exemple étudié est

peut-être celui de l’acide aminé tryptophane, utilisé dans la pro-

duction de sérotonine. Quand elle abonde dans un régime ali-

mentaire, elle peut percer la barrière de sang du cerveau, qui

maintient un environnement distinct pour lui, et augmenter la

production de sérotonine. L’effet nous est familier : quand nous

mangeons des biscuits trempés dans le lait le soir, nous

entraînons une augmentation des niveaux de tryptophane dans le

cerveau, une augmentation de la production de sérotonine et

nous provoquons une agréable sensation de détente ensommeil-

lée. C’est bien en soirée, mais probablement pas en après-midi

quand nous nous asseyons après un copieux repas pour écouter

un discours. Donc, en réunion, mangez léger ; il vaut mieux

grignoter et manger de petites portions jusqu’au dîner si vous ne

voulez pas vous endormir. Évitez en particulier les aliments

hautement sucrés. Un autre neurotransmetteur vital est l’acétyl-

choline. Un faible niveau de ce neurotransmetteur dans le

cerveau est caractéristique de l’Alzheimer. La choline, présente en

grande quantité dans les œufs, est utilisée pour fabriquer l’acétyl-

choline. Manger des œufs ne protège pas contre la maladie

d’Alzheimer, mais certains indices suggèrent qu’une augmenta-

tion d’apport de choline peut ralentir les pertes de mémoire dues

à l’âge.

PLUSIEURS FACTEURS INFLUENCENT NOTRE VIVACITÉ

D’ESPRIT

Notre concentration, notre vigilance et notre fonctionnement

cognitif pendant une réunion sont liés à plusieurs facteurs.

L’exercice, qui fournit de l’oxygène au cerveau ; le sommeil, qui

permet aux neurones de se réparer et se renouveler ; et l’hydrata-

tion, qui encourage une bonne provision de sang sain au cerveau.

Tous fonctionnent de concert avec une bonne alimentation pour

assurer que vous êtes au meilleur de votre forme.

Du point de vue de la nutrition, voici une bonne maxime à

suivre : petit-déjeunez comme un roi, déjeunez comme une reine

et dînez comme un pauvre ! Ce régime vous empêchera d’avoir

faim et de manger trop, au mauvais moment. Il maintiendra aussi

votre concentration et votre vivacité d’esprit à un niveau élevé.

• • •

Le Dr. Geoffroy est médecin de famille et nutritionniste. En plus de

ses activités de recherche et d’enseignement, il dirige une clinique

de gestion du poids. Il donne des conférences sur la nutrition,

le mode de vie et les questions de perte de poids sur demande à :

[email protected].

Mieux manger pour mieux travailler

Novembre ’09 11LePLANIFICATEUR

52 % DES GENS AIMENT FAIRE PLUSIEURS CHOSENT EN MÊME

TEMPS LORSQU'ILS SONT EN APPEL CONFÉRENCE, COMME RÉPONDRE

À LEURS COURRIELS, ENVOYER DES MESSAGES TEXTE OU SURFER SUR

LE WEB.

Source : Meetings Around the World II

Page 12: Novembre 2009

Quand j’étais jeune, mes parents me

disaient d’étudier assidûment, alors je

m’asseyais à mon bureau avec une pile de

livres d’un côté et un cahier ouvert devant

moi. Lorsqu’ils jetaient un coup d’œil dans

ma chambre, ils déclaraient : « C’est bien de

te voir aussi occupé ». C’est ça, la perception.

Prendre des décisions basées seulement sur la perception peut

vous rattraper un jour ou l’autre, soit par de mauvaises notes, des

campagnes manquées ou

encore, des occasions perdues.

L’une des inquiétudes

de nombreux professionnels

du marketing en ces temps diffi-

ciles est la réduction des

budgets alloués au marketing.

La première réaction est de

couper dans le nombre de

salons professionnels et

d’événements. D’autres sont plus réticents à diminuer leur visibil-

ité par le marketing direct et maintiennent leur programme, bien

qu’avec un budget réduit, de peur de créer une impression néga-

tive sur les acheteurs potentiels.

Au cours des quelques dernières années, on a beaucoup parlé

de la valeur du marketing direct. Les experts de l’industrie, comme

moi, ont démontré en détail le processus qui aidera les exposants

de salons à calculer le rendement de leur investissement et le ren-

dement par rapport à leurs objectifs. Étonnamment, peu ont adop-

té et intégré cette pratique de base des affaires à leurs stratégies

d’exposition. Certains décrochent quand ils apprennent que leurs

efforts n’ont pas été aussi bénéfiques qu’ils l’avaient imaginé,

d’autres restent parce qu’ils sont guidés par la mauvaise impres-

sion que les calculs des résultats ne sont que pour ceux qui

vendent des produits.

Si davantage de professionnels du marketing prenaient le

temps de dresser leur bilan et de mesurer leurs résultats, ils con-

naîtraient le rendement sur leurs investissements dans les salons

d’exposition. Mais, la question de la perception comporte un

critère de plus : vous devez également soupeser le coût de ne pas

exposer. Cela peut sembler un chiffre plus difficile à calculer,

mais il y a suffisamment de données disponibles dans l’industrie

pour y arriver. Par exemple, le Centre for Exhibition Research

(CEIR) a révélé ce printemps 2009 que le coût pour obtenir un

prospect de grande valeur lors d’un salon représentait la moitié

de celui nécessaire pour en obtenir un sans participer à un salon

professionnel. Le coût d’une première visite rendue à un contact

de qualité totalisait environ le cinquième des frais engendrés par

une même visite réalisée dans un contexte hors-salon.

Des statistiques comme celle-là, et plusieurs autres qui sont

disponibles, démontrent la valeur sûre de maintenir un pro-

gramme de présence sur des salons. Cependant, qu’en est-il de

ces facteurs non monétaires mais tout aussi considérables comme

le renforcement d’une marque de commerce ou l’accroissement

de parts de marché ? Des études semblables fournissent des

preuves que ces objectifs non monétaires ont assurément une

valeur. Dans un récent recense-

ment CEIR, un sondage auprès

des exposants a révélé que :

Les salons augmentent la

reconnaissance envers une

marque et une entreprise –

67 % sont d’accord ou très

d’accord

Les salons contribuent à accroître et maintenir les parts de

marché – 67 % sont d’accord ou très d’accord

Source : CEIR, The cost effectiveness of exhibition participation, printemps 2009.

Avec ces chiffres en tête, la question de la perception entre en

jeu. Quand vous retirez votre soutien au programme de

marketing direct, vous courrez le risque de perdre l’avantage

immédiat que vous recherchiez en choisissant d’être là en pre-

mier lieu. En outre, vous créez une mauvaise impression bien

souvent irrémédiable aux yeux de votre client et de l’industrie.

Même si vous êtes incapable de justifier votre participation avec

de nouveaux contacts ou des commandes écrites, il est important

de faire savoir au reste du monde que vous n’êtes pas en diffi-

culté. Demeurez visible même si vous participez à un salon avec

un plus petit kiosque. Cependant, ne compromettez pas

l’apparence et l’ambiance globale de votre étalage simplement

pour être là. Demeurez visible dans un espace restreint, mais

maintenez la perception de succès. En fin de compte, votre

investissement vous apportera des bénéfices à coup sûr.

• • •

Barry Siskind est président de l’International Training and

Management Company et auteur de plusieurs livres.

Visitez son site Web : www.siskindtraining.com.

12 Novembre ’09LePLANIFICATEUR

La perception marketingpeut masquer la réalité

PAR BARRY SISKIND

Demeurez visible même sivous participez à un salonavec un plus petit kiosque.

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Novembre ’09 17LePLANIFICATEUR

Le Québec a beaucoup à offrir en hiver

Pourquoi venir enCharlevoix ?

En plus de se retrouver dans un endroit unique dans l’Est

de l’Amérique du Nord - une réserve mondiale de la

biosphère de l’UNESCO - les groupes qui viennent dans

Charlevoix sont accueillis dans une région où accueil et bonne

chère sont tradition. Les prestataires de services touristiques sont

à la fine pointe des moyens de communication ; certains peuvent

accueillir de grands congrès, d’autres sauront satisfaire les exi-

gences de petits groupes.

Le réseau d’hébergement de Charlevoix dispose de 2 700

chambres en milieu champêtre et dans de petites villes, pour

toutes les bourses et tous les niveaux de confort. De l’arrière-pays

montagneux aux berges du St-Laurent, des fournisseurs de pro-

duits et services touristiques proposent des activités pour toutes

les saisons. Les amoureux de sports de glisse apprécieront la

proximité de plusieurs centres de loisirs d’hiver, dont les stations

Le Massif de Charlevoix et Mont Grand-Fonds. Notre région pos-

sède le plus vaste réseau de sentiers de motoneige, généreuse-

ment saupoudrés de plus de 600 cm de neige par an ! Puis, il y

a le kayak de mer en hiver, le traîneau à chiens, l’escalade des

glaces… Enfin, pour les plus frileux, les galeries d’art, le magasi-

nage, les sorties en boîtes, la relaxation au spa sont des options

d’intérêt.

Charlevoix n’étant qu’à 1 heure de voiture depuis l’aéroport

international Jean-Lesage à Québec, la région est de plus en plus

accessible depuis les grands centres d’Amérique et d’Europe, été

comme hiver. Aussi, depuis Québec, il est possible de louer des

autobus pour groupe ou des voitures.

Pour toute information, contactez Tourisme Charlevoix

par téléphone au (418) 665-4454 ou consultez le site :

www.tourisme-charlevoix.com

Le Québec est l’une des provinces les plus resplendissantesau Canada en hiver de par ses paysages époustouflants lorsqueses reliefs sont recouverts de neige immaculée. Elle est d’autantplus dynamique grâce aux nombreuses activités offertes auxgroupes lors de réunions, congrès ou encore événements, etfacilement accessible par voie aérienne, ferroviaire ou bienpar la route. Riches en ressources, les différentes régions quicomposent le Québec méritent d’être mises en lumière à laveille de l’hiver. En collaboration avec les bureaux de tourismeet congrès des régions les plus remarquables de la BelleProvince, Le Planificateur vous informe de ce qui s’offre àvous, au niveau des activités de groupes en hiver, des avan-tages de chaque région et de la logistique que l’organisationd’un événement implique dans certaines localités.

Page 18: Novembre 2009

Les Cantons-de-l’Est offrent un cadre unique pour toutes les

rencontres d’affaires. De la réunion qui regroupe quelques

convives, au congrès qui en accueille des centaines, la région

invite les délégués à y faire travailler leurs neurones dans une

ambiance vivifiante.

Situés à moins d’une heure au sud de Montréal, les Cantons-

de-l’Est ont plein d’offres à leur faire alliant hébergement et

activités dans un milieu où nature et culture s’unissent pour une

expérience unique. Ils seront d’abord conquis par nos mon-

tagnes. D’emblée, ils seront saisis par cette impression de

gigantisme avec ses sommets culminant à plus de mille mètres

d’altitude et ses lacs d’origine glaciaire, les plus majestueux du

Québec !

De l’auberge de campagne à l’hôtel, quelque 3 800 chambres

peuvent accueillir des visiteurs et environ 200 salles de réunions

répondent à tous leurs besoins. Nos établissements offrent à la

clientèle d’affaires toute une gamme de services impeccables tels

un centre de conditionnement physique, piscine, spa ainsi que

18 Novembre ’09LePLANIFICATEUR

Se dépayser dans les Cantons-de-l’Est

L’Outaouais : où tout est possible

Vous cherchez à planifier un évènement qui serait en sym-

biose avec la nature ? Vous voulez faire vivre aux participants

une expérience urbaine sans les inconvénients des grandes villes ?

Organisez votre prochain évènement en Outaouais !

Située à seulement quelques minutes d’Ottawa, la capitale

nationale, l’Outaouais se démarque par son offre qui allie à la fois

les plaisirs de la ville et les escapades champêtres. Été comme

hiver, combinez les expériences culturelles à des sorties en plein

air, sans oublier une cuisine régionale remarquable qui promet de

ravir les plus fins palais ! La variété des activités proposées en

Outaouais vous permet d’organiser des séjours sans pareil, et ce,

pour tous les types de clientèle.

POURQUOI UN PLANIFICATEUR VIENDRAIT CHEZ NOUS ?

L’industrie des réunions et congrès de l’Outaouais s’est tou-

jours adaptée au marché. Nous possédons une grande variété de

produits (hôtels, restaurants, salles) qui nous permet d’accom-

moder toutes les demandes : du plus petit au plus gros budget,

du lieu intime à la grande salle, du calme de la campagne à l’ef-

fervescence de la ville, etc.

Nous pouvons aussi proposer de nombreuses activités, que ce

soit pour des ateliers de renforcement du travail d’équipe ou tout

simplement pour venir découvrir notre belle région.

Organiser son évènement en Outaouais c’est aussi lui donner

un caractère humain. Quelle destination peut se vanter d’avoir un

hôtel sur un lac en pleine ville, une grande variété de produits

culturels et historiques, avec la proximité d’Ottawa, des infra-

structures qui vous permettent de faire une réunion au centre-

ville le matin puis une escapade nocturne dans le parc de la

Gatineau ? De plus, tout cela est proposé dans un contexte

bilingue, allié à un légendaire accueil chaleureux.

L’OUTAOUAIS EN QUELQUES CHIFFRES :

• Plus de 20 restaurants gastronomiques, dont un Cinq Diamants

coté par le CAA-AAA

• 212 salles de réunions, soit un total de 406 653 pieds carrés

• Huit musées nationaux

• Plus de 30 hôtels, dont deux cinq étoiles

• 500 km de pistes de ski de fond et raquettes

• 2 527 km de sentiers balisés pour la motoneige

• Plus de 560 membres de l’industrie touristique prêts à accueillir

les planificateurs.

L’OUTAOUAIS, UNE DESTINATION ACCESSIBLE

Venir en Outaouais, c’est simple car notre région est bien

desservie par différents types de transports :

• Par voiture ou par bus, à seulement deux heures de Montréal

• Par avion, à l’aéroport international Macdonald-Cartier

d’Ottawa ou à l’aéroport exécutif Gatineau-Ottawa (pour les

petits avions uniquement).

De plus, l’équipe de Tourisme Outaouais peut assister les

planificateurs dans l’organisation de leur évènement. En effet,

nous leur proposons différents services dont, entres autres,

l’analyse des besoins, les demandes de soumission, un appui à

l’organisation de soirées thématiques, des références pour des

fournisseurs, des suggestions d’activités pré et post-événement, etc.

Pour plus d’information sur la destination et ses nombreuses

possibilités, visitez le www.reunionoutaouais.com

Le Fairmont Le Château Montebello est un lieu préféré en Outaouais.

SUITE À LA PAGE 21

Page 19: Novembre 2009

Novembre ’09 19LePLANIFICATEUR

Cet hiver, prenez l’air de Lanaudière !

Cet hiver, on invite les planificateurs

d’événements et réunions à décou-

vrir la région de Lanaudière, un

immense terrain de jeux dans un décor

naturel tout simplement époustouflant.

Située au nord de Montréal, entre les

régions des Laurentides et de la Mauricie,

la région est facilement et rapidement

accessible par les autoroutes 40 ou 25.

Bordée au sud par le fleuve Saint-Laurent,

elle s’étend au nord jusqu’au plateau lau-

rentien sur une superficie totale de 13 537

km2. Surnommée la région verte,

Lanaudière peut être décrite comme étant

le Québec en miniature, tellement ses

paysages sont riches et variés.

Une magnifique région donnant accès à

des paysages féeriques et à des montagnes

et forêts enneigées. Ici, l'environnement a

conservé un cachet naturel qui fait partie

du quotidien. Les activités sont nom-

breuses et les sourires toujours au rendez-

vous. En plus, les conditions climatiques

sont idéales pour les activités hivernales et

les chutes de neige sont abondantes.

Que ce soit le patinage sur la plus

longue patinoire sur rivière au Québec, la

raquette, le ski de fond, le ski alpin, les

glissades sur chambre à air, la motoneige,

le quad, le traîneau à chiens, chacun y

trouvera son compte.

La région de Lanaudière est incon-

testablement LE pays de la motoneige avec

ses 2 300 km de sentiers bien entretenus et

sécuritaires. Elle bénéficie d’une qualité

d’enneigement hors du commun, ce qui

rehausse le plaisir d’une randonnée dans

ses sentiers.

La carte motoneige de Lanaudière pro-

pose 10 circuits partout à travers la région :

• 4 circuits offrent des itinéraires de

moins de 200 km

• 6 circuits offrent des itinéraires de

plus de 200 km

Lanaudière est la région du Québec qui

suggère la plus grande diversité de circuits

en boucle, soit locaux, régionaux ou inter-

régionaux. De plus, les amateurs de

motoneige apprécient la région pour sa

facilité d’accès aux services tels l’essence,

la restauration, l’hébergement, etc. Les

planificateurs peuvent consulter le site

Internet www.paysdelamotoneige.ca et y

tracer leur itinéraire personnalisé à l’aide

de la carte interactive, y découvrir où se

procurer le matériel nécessaire à la

pratique de cette activité ou encore,

y commander la carte motoneige de la région.

De nombreux sentiers panoramiques par-

courent Lanaudière, notamment dans le parc

national du Mont-Tremblant et à la Montagne

Noire à Saint-Donat. L’entretien des pistes est

fait de façon quotidienne, ce qui vous assure

une randonnée de qualité en toute quiétude.

Finalement, après une journée d’hiver

bien remplie, pourquoi ne pas venir se

détendre tranquillement, soit dans l’un de

nos spas lanaudois, soit au coin d'un bon

feu dans l'une de nos auberges de villégia-

ture afin de goûter un repas savoureux

dans une ambiance intime et chaleureuse.

Certaines d’entre elles vous proposent

même la massothérapie ainsi que d'autres

soins relaxants de santé.

Pour plus d'information sur la région

de Lanaudière, composez le 450 834-

2535 ou le 1 800 363-2788, ou consultez

le www.lanaudiere.ca.

Vue spectaculaire de Lanaudière (Photo par Christian Rouleau, Tourisme Lanaudière)

Page 20: Novembre 2009

La région des Laurentides, c’est plus de

3 200 chambres et 205 salles de réu-

nions réparties à travers des établisse-

ments renommés et diversifiés : centres de

villégiature, chaînes hôtelières, auberges

gastronomiques et pourvoiries.

Classement « 4 et 5 étoiles » pour près de

la moitié des établissements. De la cham-

bre standard à la luxueuse suite, en pas-

sant par les condos haut de gamme, les

Laurentides offrent une variété de com-

modités pour assurer le confort des

délégués d’un congrès ou d’une réunion.

La région brille par ses décors

enchanteurs, ses charmes naturels et ses

villages animés. Un personnel attentionné,

accueillant et bilingue. 1 374 restaurants :

de la haute gastronomie à la cuisine conti-

nentale, en passant par les tables pro-

posant un menu du terroir ou d’inspiration

internationale, les papilles s’égareront

dans un tourbillon de saveurs.

C’est aussi une région qui se démarque

par la diversité des activités tant hivernales

qu’estivales. Et cela tombe bien car les

activités de consolidation d’équipe et de

groupe sont toujours aussi importantes

pour le planificateur qui prépare une réu-

nion de vente, d’équipe ou un lac à

l’épaule. Pour certains, c’est un élément

décisif quant au choix de la destination ou

de l’établissement. C’est pourquoi les

établissements des Laurentides vendent

plus que des services de restauration, des

chambres et des salles mais également des

activités. En voici quelques exemples :

Le Manoir Saint-Sauveur travaille en

partenariat avec le Mont Saint-Sauveur

international qui loue littéralement ses

montagnes en exclusivité à des groupes

corporatifs pour y skier ou encore pour y

faire de la glissade sur tube.

Au centre de villégiature Tremblant,

il n’y a pas que les sports de glisse qui

sont à l’honneur, on y voltige d’un arbre à

l’autre avec Acrobranche. Tentez l’expé-

rience de nuit avec une lampe frontale.

Le Wyndham Cap Tremblant propose

sur ses 200 acres de terrain une randonnée

de traîneau à chiens. Quant à l’Hôtel

Mont-Gabriel, c’est sur son terrain de golf

que vous pourrez vous y balader en

traîneau.

HÔTELS DE LA RÉGION

Après la journée de réunion, Le Grand

Lodge Mont-Tremblant vous invite à une

partie de ballon balai amicale suivie d’un

feu de camp. Au Château Beauvallon, on

vous prépare, autour du feu, un café spé-

cial et un « smore ». Quant à l’Auberge du

Lac Morency, c’est une randonnée au

flambeau, chaussée de raquettes que les

participants se rendent au feu de camp.

Pour les groupes moins téméraires,

l’Hôtel le Chantecler à Sainte-Adèle vous

invite à partir de l’hôtel pour un tour de car-

riole en forêt avec une pause autour d’un feu

de joie où l’on y sert chocolat et vin chaud.

L’Hôtel – SPA – Restaurant L’Eau à la

Bouche reconnue pour la qualité de sa

table, s’est démarqué il y a 3 ans en ouvrant

un SPA nordique. Pour un groupe, c’est la

possibilité de l’exclusivité pour le SPA.

Pour les planificateurs qui recherchent

une activité de consolidation d’équipe, la

version hivernale de la construction d’un

bateau existe : la construction d’un

traîneau à neige. Outeractive Expérience

vous le propose sur le site de votre choix.

Le succès d’une réunion d’affaires

résulte aussi par les activités proposées.

Pour d’autres suggestions, contactez

Tourisme Laurentides au 1 800 611-

8532 poste 233 ou par courriel

[email protected]

20 Novembre ’09LePLANIFICATEUR

Les Laurentides vous accueille Une région idéale pour la consolidation d’équipes

Une balade en traîneau à chiens. (Photo Tourisme Laurentides)

Les Laurentidesoffrent une variété

de commoditéspour assurer le confort desdélégués d’un

congrès ou d’une réunion.

Page 21: Novembre 2009

des salles de réunions de toutes dimensions, équipées d’une tech-

nologie de pointe.

Au cœur de la vie urbaine, dans le calme de la campagne ou

au bord d’un lac paisible, il n’y a qu’à choisir la formule qui cor-

respond à au type d’événement voulu. Après le travail, les col-

lègues et les clients seront charmés en découvrant les attraits de

la région. Quoi de mieux que de se détendre dans l’un de nos

spas. Que les invités soient plus douillets et apprécient le spa en

hôtel ou qu’ils aiment l’aspect vivifiant des spas nordiques,

les planificateurs trouveront le produit parfait pour leur faire

oublier les tracas du quotidien.

S’ils désirent organiser une activité pour se démarquer, ils

pourront proposer à leurs partenaires une activité plein air qui

leur permettra de faire le plein d’énergie pour continuer à être

créatif et ingénieux. De type ski de fond, raquette ou ski alpin,

traîneau à chiens ou amateur d’équitation, ils trouveront l’activité

idéale pour tous leurs participants.

De plus, s’ils désirent faire bonne impression auprès de leurs

convives, ils peuvent offrir les Cantons-de-l’Est en cadeau. Que ce

soit l’un des produits de nos vignobles, une bouchée chocolatée

de nos maîtres chocolatiers, une bouffée d’air au parfum de

lavande ou une petite gâterie à saveur de miel, ils y trouveront de

tout pour épater la galerie.

Proximité, diversité des types d’établissements, tranquillité,

excellent rapport qualité prix, climat de détente, large éventail

d’activités, inexistence de la congestion routière et stationnement

gratuit sont quelques raisons qui les convaincront de venir goûter

l’expérience des Cantons-de-l’Est pour s’y laisser dépayser et

travailler dans un environnement à l’épreuve du stress.

Pour profiter des Cantons-de-l’Est et en savoir davantage sur

la panoplie d’établissements hôteliers et les activités qui sont à

votre disposition pour votre prochaine réunion ou congrès, vis-

itez le site Internet www.cantonsdelest.com et téléchargez les

fiches informatives des membres du Club affaires.

De ce site, il vous sera également possible de compléter et

d’envoyer une demande de proposition pour vos réunions et con-

grès à différents établissements de la région, qui se feront un

plaisir de vous répondre personnellement.

Novembre ’09 21LePLANIFICATEUR

Cantons-de-l’Est

Pearson forcé de réduire les fraisd’atterrissage

Suivant une initiative assurée de plaire à ses critiques de longue

date, l’Aéroport international Pearson de Toronto coupe de 10 %

ses frais d’atterrissage et de redevances facturés aux transporteurs.

Même avec cette baisse substantielle, il demeure l’un des aéroports

le plus coûteux en atterrissage pour les avions. Récemment, la

Greater Toronto Airports Authority a déclaré que l’économie

annuelle de 58,4$M pour les transporteurs entrera en vigueur le

1er janvier 2010. Les frais ont aussi été diminués en 2008 et en

2009. Dorénavant, un Boeing 737 atterrissant à Pearson paiera

2 100 $ en frais d’atterrissage et 1 000 $ de redevances d’aérogare,

en comparaison de 2 400 $ et 1 200 $ respectivement en 2007.

Sur le Web : www.gtaa.com

WestJet et Air France-KLM partenaires

On qualifierait ceci « d’une importante initiative stratégique ».

Le deuxième plus important transporteur aérien canadien,

WestJet, s’est entendu avec Air France-KLM pour permettre aux

passagers d’embarquer sur les avions des transporteurs

européens en leur permettant de prendre une connexion sur l’un

des avions du réseau canadien de WestJet pour rejoindre leur des-

tination finale avec un seul billet.

L’entente entre les lignes aériennes pourrait mener à un

partage total des données grâce auquel les compagnies aériennes

vendront les vols de chacune et permettront ainsi aux trans-

porteurs participants un accès moins coûteux et plus facile à de

nouveaux clients.

Les premiers points d’entrée des correspondances WestJet

seront à Calgary et à Vancouver et l’entreprise prévoit déployer

l’entente à tout son réseau canadien.

Sur le Web : www.westjet.com

Nouveau traversier caribéenVous désirez parcourir les îles ? Prenez le traversier.

Un nouveau traversier desservant la Barbade, Sainte-Lucie,

Trinidad, Grenade et Saint-Vincent, entrera en service quotidien-

nement à la fin octobre, selon BEDY Ocean Line situé à Grenade.

Chaque traversier offrira entre 260 et 300 sièges et les pas-

sagers pourront embarquer deux valises de 22 kilos sans frais ;

l’alcool sera interdit à bord.

L’annonce survient au moment où les voyageurs subissent des

augmentations de prix des billets d’avion, des restrictions accrues

pour les bagages et des vols annulés par le transporteur local

LIAT en raison de disputes salariales.

Descente en ski du Mont Owl’s Head dans les Cantons de l’Est.(Photo courtoisie de Tourisme Cantons de l’Est)

SUITE DE LA PAGE 19

Page 22: Novembre 2009

22 Novembre ’09LePLANIFICATEUR

Note : tous les montants sont en dollars canadiens, à moins

d’avis contraire.

Le café peut-il contrer le cancer ?Vous aimez votre café, vous aimerez ceci : des chercheurs ont

récemment publié dans le European Journal of Cancer Prevention

un article où ils prétendent que les personnes buvant plus de six

tasses de café contenant de la caféine par jour réduisent de 35 %

leurs chances de développer le cancer de la peau le plus com-

mun, alors que deux à trois tasses par jour diminuent ce risque

de 12 %. Les experts croient que la caféine agit comme un

antioxydant et stoppent la propagation des cancers de la peau en

arrêtant la division des cellules. Donc, plus de café et moins de

vacances au soleil semblent être une bonne combinaison pour

rester en santé !

Les chiros remis en questionUne récente étude australienne a révélé qu’une consultation

chiropratique pour un mal de dos est une perte de temps et d’ar-

gent, car la manipulation des vertèbres ne guérit pas tous les

maux. Les chercheurs ont étudié la guérison des douleurs au bas

du dos de 240 volontaires après une variété de traitements, y

compris les analgésiques, la manipulation et le faux traitement.

Les résultats ne révélaient aucune différence dans le temps

de guérison et dans tous les cas, les symptômes avaient duré

neuf jours.

L’auteur principal de l’étude, Mark Hancock du Back Pain

Research Group de l’Université de Sydney a déclaré qu’un chiro-

praticien ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens n’étaient pas

nécessaires si le patient recevait de bons conseils et prenait des

analgésiques ordinaires.

Les restaurants canadiens : une partimportante de l’économie

Plus des deux tiers des restaurants, cafétérias, cafés et bars de

ce pays sont détenus et dirigés par des entrepreneurs locaux

indépendants, selon Statistique Canada. Son récent rapport a

aussi mis en lumière quelques faits intéressants :

• L’industrie canadienne des services de restauration emploie

plus d’un million de personnes, génère 60 $G de ventes annuelle-

ment et représente 4 % de l’économie canadienne.

• Plus de 480 000 jeunes travaillent dans l’industrie des

services de restauration, soit environ un emploi sur cinq pour la

jeunesse.

• Chaque million de revenus crée presque 27 emplois.

• Entre 1999 et 2008, l’industrie de l’hébergement et des

services de restauration a créé près de 160 000 emplois : davan-

tage que l’agriculture, l’administration, la pêche, la foresterie et

les mines combinés.

E. Coli dans le… sable ?Vous pourriez y penser à deux fois avant de construire

un château de sable avec les enfants tout en mangeant des

sandwichs : une récente étude américaine a démontré que

quelques grains de sable sur vos doigts suffisaient à causer des

maladies, comme la diarrhée.

Le U.S. Geoloical Survey a mené des expériences avec du sable

recueilli sur une plage du lac Michigan près de Chicago. Quatre

sujets ont désinfecté leurs mains, les ont plongées dans des

sacs de sable une minute avant de les immerger dans de l’eau

stérilisée. On a ensuite testé le niveau d’E. Coli (bactéries pouvant

causer un empoisonnement sévère chez les humains) dans l’eau.

Les résultats suggéraient que si mille personnes jouaient dans le

sable pendant une seule minute et ingéraient ce qu’ils avaient sur

leurs doigts, onze d’entre elles développeraient une maladie gas-

tro-intestinale. Si le même groupe mangeait ce qu’il y avait sur

toute une main, 33 tomberaient malades. La bonne nouvelle :

lorsque les sujets lavaient leurs mains avec de l’eau une fois, le

niveau d’E. Coli diminuait de plus de 90 %. Les chercheurs ont dit

que l’E. Coli pouvait possiblement provenir des oiseaux, des

algues ou des eaux usées. Ils ont aussi observé qu’en moyenne,

le niveau d’E. Coli dans le sable de plage est 10 % plus élevé que

dans l’eau de la plage. La plus haute concentration d’E. Coli se

trouve à un mètre du rivage.

Les fonctionnaires de la santé aux États-Unis et au Canada tes-

tent régulièrement le niveau d’E. Coli dans l’eau (et non du sable)

et en informent le public.

Les PDG absents des médias sociauxOn penserait que les médias sociaux sont un excellent moyen

de développer son réseau de contacts, mais il semblerait que les

directeurs les plus haut placés n’en aient rien à faire.

Une étude réalisée par UberCEO.com a démontré que la plu-

part des directeurs listés par le magazine Fortune en 2009 étaient

absents des réseaux sociaux les plus populaires tels que

Facebook, Twitter et LinkedIn.

L’étude montrait notamment que seuls deux PDG possédaient un

compte Twitter et que 81 % n’affichaient pas de profil sur Facebook.

Seulement 13 d’entre eux possédaient un compte sur le réseau

professionnel de LinkedIn. Trois se démarquaient avec des réseaux

de plus de 80 contacts, mais ils travaillaient tous dans le domaine

des technologies. Aussi, les trois-quarts des directeurs avaient par-

ticipé d’une certaine façon à Wikipedia mais l’information entrée

était limitée ou dépassée pour près d’un tiers d’entre eux.

Aucun des 100 PDG de Fortune n’avait de blogue.

Pour Sharon Barclay, rédactrice de UberCEO.com, il est

choquant que les plus grands PDG soient si déconnectés des

réseaux par lesquels leurs clients communiquent.

Nielsen Online rapportait récemment que le temps passé sur

les sites de réseautage social aux États-Unis a doublé par rapport

à l’an dernier.

Sur le Web : www.unberCEO.com.

Page 23: Novembre 2009

Novembre ’09 23LePLANIFICATEUR

QUESTION QUIZ – DU MOISDroits d’auteur :

Êtes-vous à la hauteur ?

1. Les journaux font partie du domaine public. Il est doncpossible de faire des photocopies d’articles pour la confec-tion d’une revue de presse sans payer de droits.

VRAI OU FAUX ?

Pour toute question sur les droits d’auteur et les droits de repro-

duction, n’hésitez pas à contactez Copibec, société de gestion collec-

tive des droits de reproduction, l’unique en matière de publications

imprimées au Québec : [email protected] / www.copibec.qc.ca.

RÉPONSE :

1.FAUX.Au Canada,une œuvre littéraire est protégée

jusqu'à la fin de la 50e année suivant le décès de son auteur

ou du dernier de ses collaborateurs,dans le cas d'une œuvre

écrite en collaboration.Par la suite,elle est considérée

comme étant du domaine public.Les journaux sont des pub-

lications protégées par le droit d’auteur,comme toutes les

œuvres fixées sur un support.En ce sens,il est nécessaire

d’obtenir les autorisations et de payer des redevances avant

de reproduire un extrait de presse.

D’origine japonaise, chaque case doit contenir unchiffre de 1 à 9 de façon à n’utiliser chaque chiffrequ’une fois par ligne, colonne et grille.

SUDOKU SUR LE WEB :www.websudoku.com

www.sudoweb.comwww.dailysudoku.comwww.sudokupuzz.com

Niveau facile Réponse à la page 26.

Niveau moyen Réponse à la page 26.

SudokuCommandité par La Taverne MagnanEntre le chaud et le froid

« Vous aimez ce nouveau manteau d’hiver ? Hé bien, essayez-

le dans notre… congélateur ! »

C’est probablement ce que vous entendrez chez Mark’s Work

Warehouse à Edmonton où leur congélateur de plain-pied fait sur

mesure aide les acheteurs à se procurer le dernier article chaud

dans un environnement plutôt froid.

Le congélateur est réglé à 15o C, mais peut être abaissé à un

-40o C propices à vous glacer le sang, accompagné de ventila-

teurs pour simuler le vent glacial. L’entreprise de 32 ans établie

à Calgary, détenue par Canadian Tire, exploite 385 magasins au

Canada, y compris son magasin principal de 2 500 m2 à

Edmonton. Le congélateur fait partie d’une stratégie de marchan-

disage baptisée vente au détail « participative », rendue célèbre

par le Niketown de Nike, qui tente d’entraîner les clients à tra-

vers une expérience mémorable.

Mark’s a fait sa renommée en vendant des vêtements de tra-

vail, mais son offre s’est élargie aux vêtements décontractés et

aux chaussures.

Sur le Web : www.2.marks.com

Page 24: Novembre 2009

24 Novembre ’09LePLANIFICATEUR

Les mots qui minimisent votre crédibilité,votre savoir et votre professionnalisme

Nous qualifions trop nos propos avant

d’émettre une remarque. Pourquoi

n’exprimons-nous pas simplement ce que

nous voulons dire ? Mon client m’a priée de

l’aider à améliorer sa communication avec son équipe. Il voulait

paraître plus sûr de lui, autoritaire, néanmoins professionnel. Il

m’avait demandé d’assister à sa réunion d’équipe pour observer

ses forces et ses faiblesses. En analysant son interaction avec son

équipe, j’ai compris que c’était le choix de ses mots qui minimi-

sait son assurance, son autorité et son professionnalisme. Avant

de faire une remarque, il disait : « je suis probablement complète-

ment à côté de la plaque ici… ». Il minait sa crédibilité sans le

réaliser. Quand un membre de l’équipe lui posait une question,

sa réponse commençait par : « Pour être franc avec toi… ».

Mentait-il à son équipe avant cette question ?

Quand j’ai partagé mes observations avec lui, il m’a regardée

comme si je blaguais. Il m’a dit : « Je suis chef d’une équipe pro-

gressive au fort potentiel et responsable de la majorité des

profits de cette entreprise. Je n’utiliserais jamais des phrases

comme celle-là. » Avec son autorisation, j’ai commencé à

enregistrer nos conversations pour m’aider à lui fournir des com-

mentaires rétrospectifs constructifs. Quand nous avons écouté

son enregistrement, il a subi un choc. Sans mes commentaires ni

l’enregistrement audio, il n’aurait jamais réalisé qu’il parlait ainsi.

En conséquence, il aurait continué à se débattre avec ses

difficultés de communication.

Nous tombons dans le piège de la tergiversation. Les femmes

me disent souvent qu’elles ne veulent pas paraître trop agressives

ou insistantes. Elles commencent donc leurs déclarations par des

qualificatifs. À quoi cela vous fait-il penser ? Ces qualificatifs vous

font paraitre moins intelligent, moins crédible et moins sûr de

vous. Éliminez-les donc et venez-en au fait ! Évitez de perdre le

temps de votre auditeur. Imaginez le temps économisé dans les

réunions si nous agissions ainsi.

(Consultez mon blogue en anglais intitulé Endless Meetings;

Easy Steps That Lead to Productive Meetings au http://stacey-

hanke.blogspot.com/2009/06/endless-meetingseasy-steps-that-

lead-to.html)

Au cours de mon atelier d’aptitudes en communication la

semaine dernière, un cadre supérieur a entamé sa présentation

avec la déclaration suivante : « Je veux vous poser une question :

quel est le défi numéro un dans notre rôle de leader ? »

Contentez-vous de le demander ! Le message et la présence de ce

cadre auraient été plus marquants s’il avait commencé par « Quel

est le défi numéro un dans notre rôle de leader ? ».

Entendez-vous la différence entre ces deux déclarations ?

Évitez d’utiliser les qualificatifs suivants :

• « Je me demandais si nous pourrions penser à… »

• « Je pense… »

• « Je suis probablement complètement à côté du sujet … »

• « C’est peut-être une idée stupide… »

• « Pour être franc avec vous… »

• « Je vais vous raconter une histoire… »

Quand nous essayons de changer de vieilles habitudes, nous

avons de la difficulté à nous acquitter seuls de cette tâche érein-

tante parce que nous ne sommes pas conscients de notre com-

portement. La clé pour acquérir de nouvelles habitudes est de

recueillir immédiatement des réactions sur un comportement que

vous désirez modifier.

Sans cette analyse immédiate de votre comportement, vous :

• Continuerez de renier vos défauts

• Choisirez d’utiliser des qualificatifs

• Agacerez vos auditeurs parce que vous n’allez pas au fait

• Paraîtrez manquer de connaissances, d’assurance, de confiance

et de crédibilité.

Comment pouvez-vous éviter les qualificatifs ?

1. Donnez-vous la permission de réagir sur le moment. Vous

utilisez peut-être ces qualificatifs pour gagner du temps. En

réalité, ils ne vous aident pas à réfléchir. Au lieu, ils vous décon-

centrent. Marquez une PAUSE pour vous donner le temps de

rassembler vos pensées afin d’avoir l’air assuré, crédible et capable.

2. Planifiez. Avant une réunion, une téléconférence, un appel

de vente ou une présentation, prenez le temps de penser à vos

propos et choisissez des mots qui toucheront ce qui importe le

plus à vos auditeurs.

PAR STACEY HANKE

ENTRE DEUX MOTS

IL FAUT CHOISIR LE MOINDRE.

PAUL VALÉRY

Page 25: Novembre 2009

Novembre ’09 25LePLANIFICATEUR

Quand la générositémeurt

Si vous êtes un Canadien moyen de

plus de 15 ans, vous avez fait don de 437

$ en 2007, probablement à une organisa-

tion religieuse. Vous avez aussi donné 166

heures de votre temps,

environ un mois de travail à temps plein.

Ces chiffres faisaient partie de

l’Enquête sur le don, le bénévolat et la par-

ticipation. Les dons totaux canadiens

dépassent maintenant les 10 $G annuelle-

ment et les volontaires travaillent plus de

deux milliards d’heures gratuitement,

selon l’étude de Statistique Canada. Près

de 12,5 millions de personnes ont fait du

bénévolat en 2007, soit 46 % de la popula-

tion âgée de plus de 15 ans.

Cependant, certains organismes comme

Imagine Canada, un groupe faisant la pro-

motion de la philanthropie et du

bénévolat, disent que la récession

obscurcit l’avenir des dons, malgré la mod-

este croissance des 20 dernières années.

Paradoxalement, quand l’économie va

mal, la demande pour des services de

bienfaisance augmente en flèche.

Une autre raison possible de s’alarmer : 10

% des donneurs contribuent à 62 % des dol-

lars totaux donnés aux œuvres de charité et

25 % des bénévoles offrent 52 % des heures

totales travaillées gratuitement. Ce groupe au

cœur des dons est plutôt âgé, éduqué et

religieux et soulève la question suivante : qui

les remplacera quand ils ne seront plus là ?

Vite… je sens le gaz !Certains chercheurs de Chicago ont

récemment gagné le prix Ig Nobel de

l’université Harvard pour leur brevet

unique : un soutien-gorge pouvant être

transformé en deux masques pour le vis-

age, un pour sa propriétaire et l’autre

pour qui en a besoin.

Chaque partie du soutien-gorge est

équipée d’un appareil de filtration ; la

personne qui le porte peut le retirer et

détacher chaque partie pour l’installer

sur des visages.

Les Ig Nobels sont une parodie des

prestigieux prix Nobel scandinaves et

ont été annoncés tout juste avant eux au

début octobre.

Sur le Web :

http://improbable.com/ig

Page 26: Novembre 2009

NOUVEAU PROJET HÔTELIER À TORONTO Une entente avec HK Hotels a récemment été approuvée à

l’unanimité par le conseil d’administration d’Exhibition Placepour un hôtel de verre de 26 étages abritant 320 chambres,situé au sud du Direct Energy Centre et adjacent au nouveauAllstream Centre. Les deux centres forment le plus grand com-plexe d’exposition et de congrès au Canada. Voici quelqueséléments clés de la conception du projet :

• L’hôtel doit constituer une attraction à l’année avec desaménagements de style station balnéaire.

• De grands espaces verts.• Stationnement sous-terrain de 400 voitures avec deux

rampes d’accès.• Soumis aux normes Toronto Green Standard for New

Construction et à la certification argent LEED.Sur le Web : www.hkhotels.com et www.explace.on.ca

LE RITZ DE MONTRÉAL OPTE POUR LADÉMOLITION TOTALE DE SON INTÉRIEUR

La transformation de 100 $M du Ritz-Carlton de Montréalprendra un peu plus de temps que prévu. Le directeur généralAndrew Torriani a déclaré récemment qu’un problèmeimprévu avait repoussé la date de fin des travaux à décembre2010. La structure de 97 ans avait été redessinée afin de réu-tiliser ses murs intérieurs et de réduire les 229 chambres etsuites originales à 130. Ce plan a été modifié et prévoit main-tenant de démolir tous les murs intérieurs entre le rez-de-chaussée et le neuvième étage.

En septembre 2007, on a annoncé que la grande dame deshôtels montréalais construirait un onzième étage, une nou-velle aile, 35 condos et 15 suites-appartements. Le projetdevait prendre quinze mois à compléter après la fermeture del’hôtel en été 2008. En janvier 2009, Torriani a établi la nou-velle date de réouverture à mars 2010 en raison de la démo-lition des murs « qui exige davantage de temps que d’argent ».Les nouveaux condos de luxe, au prix d’un million de dollarsl’unité, se vendent « mieux que dans le marché actuellement »,selon Torriani, même s’il a refusé de dire combien étaient ven-dus. Mais, il a ajouté que les réservations de 2011 étaientgaranties.

Sur le Web : www.ritzmontreal.com

VOUS SAVEZ QUE C’EST DIFFICILE QUAND…

La chaîne renommée Four Seasons Hotels and Resorts aprolongé son forfait Meetings with More, maintenant offertpartout pour des réunions réservées avant le 31 mars et

tenues au plus tard le 31 octobre 2010. Le forfait inclut lepetit-déjeuner continental quotidien gratuit ; 10 % de réduc-tion sur le prix des repas en salle de banquet, l’accès gratuità Internet dans les chambres et salles de réunions ; une cham-bre d’invité gratuite par trente chambres ; aucune pénalitépour un maximum de 25 % de moins d’invités que prévu,jusqu’à sept jours avant la date d’arrivée prévue, et un créditde 10 % pour la prochaine activité de groupe réservée dansn’importe quel hôtel Four Seasons.

Sur le Web : www.fourseasons.com

26 Novembre ’09LePLANIFICATEUR

SOLUTION SUDOKUFACILE PAGE 23

SOLUTION SUDOKUMOYEN PAGE 23

Le 10 décembre 2009MPI MontréalFormation « Langage du corps » , Montréal, Qué. Contact : www.mpimontreal.com.

Le 25 décembre - Noël

Le 1er janvier - Nouvel an

Le 13 janvier 2010Le PlanificateurSpeed Dating d’affaires-Rencontres sur les Tendances2010, Centre Mont-Royal, Montréal, Qué. Contact : www.leplanificateur.ca, (514) 849-6841 poste 331

Le 22 janvier 2010MPI MontréalCélebrations du Nouvel An, Hôtel W , Montréal, Qué. Contact : www.mpimontreal.com

Du 20 au 23 février 2010MPI internationalMeet Different, Cancun, Mexico. Contact : www.mpiweb.org/events/md2010/home.aspx

Avez-vous un événement ? Envoyez-nous un courriel à : [email protected]

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