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Régime de croissance

Outil d’information et de communication du groupe Chagoury, ce magazine vous invite, depuis déjà 4 ans, à découvrir les projets

d’avant-garde et les produits du groupe dans ses diverses filiales, tout en présentant une vision globale du domaine du BTP et de son évolution au Bénin.Outre sa version imprimée qui paraît une fois par an, il est dorénavant décliné dans une version en ligne sur le site internet larochebenin.com, tout récemment lancé.

retrace avant tout le régime de croissance et la quête permanente d’innovation propres au groupe qui consacre ses ressources techniques et humaines au développement d’une communauté plus performante et socialement responsable. Elle offre ainsi un éclairage sur les nouveautés et les développements industriels qui contribuent à avancer de plus en plus dans les différents domaines qui relèvent de son expertise.

À la une du 4ème numéro de ,une interview avec Blaise AHANHANZO, Ministre de l’Environnement, de l’Habitat et de l’Urbanisme dont tous les efforts virent dans un seul sens: améliorer les conditions d’habitation des Béninois et sensibiliser la population sur le bon choix des matériaux de construction. fait également la part belle à Sota Bénin qui œuvre au service de la protection du consommateur béninois et propose des tuiles fibrociment sans amiante et sans danger pour la santé.

Toujours fidèle à son régime de croissance, vous annonce l’ouverture des 2 nouvelles filières de La Roche à Abuja et Lomé, et braque notamment les projecteurs sur la toute nouvelle donation au nom du groupe à la communauté de Tori-Cada. Le magazine signe de même une

entrevue sympathique avec l’architecte contemporain Serge WALCKOFF, mettant en lumière son talent d’exception et la façon dont il a transformé son travail en une véritable passion contagieuse.Sans oublier les news de Chaftel et de la Cave à Vin qui mettent l’accent sur leurs gammes de produits et services en perpétuelle croissance.

laisse également la parole à ses em-ployés et partenaires qui font avancer les choses et repoussent constamment les limites du possible.

Découvrez les valeurs qui forgent l’identité du groupe Chagoury, fleuron commercial toujours à la pointe de l’innovation et de la responsabilité sociale.

Cela fait 4 ans que nous vous accompagnons… Nous espérons, modestement, avoir participé à l’évolution de votre vie professionnelle et avoir suscité votre curiosité…

est un magazine d’information annuel de la société La Roche à usage interne distribué gratuitement. Edition : 2013. Directeur de publication : Assaad Chaghoury Jr. Rédactrice en chef et Correctrice : Jackie Chagoury. Rédactrice: Sandra U. Binazon. Photos et Maquette : Maxima Média Group. Les textes, photos et illustrations présents dans sont la propriété de La Roche. Reproduction interdite du contenu de ce magazine sous peine de poursuites.Informations : (229) 21 33 05 95 / (229) 21 33 07 75 / (229) 21 33 40 42 - laroche@larochebenin.com - www.larochebenin.com

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Jackie Chagoury

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Activités Expobat Promo Bénin 2012 : La Roche dévoile ses nouveautés

Notre EquipeLa Parole à Sylvie, Claudia et Franck

Le Coin ‘’Privé’’Au Lounge Le Privé, élégance et ambiance sont au rendez-vous!Nos Soirées : Cœur, Couleur et Ardeur

PromotionsDeux fois par an, les promotions à La Roche battent leur plein

NouveautéLes News de ChaftelLes News de La Cave à Vin

Le Saviez-Vous ?

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RencontreBlaise AHANHANZO, Ministre de l’Environnement, de l’Habitat et de l’Urbanisme

Point Sur…SOTA BENIN s’active au service de la protection du consommateur et propose des tuiles fibrociment sans amiante

Nouveaux HorizonsLa Roche s’installe à Abuja et part à la conquête du Togo

Le DiplomateSOWAFI-BENIN S.A signe un accord avec le groupe hôtelier Golden Tulip

DonationAssad CHAGOURY fait une donation au village de SogbéUne Chapelle toute neuve pour les habitants de la région

En VogueSerge WALCKOFF, un «maître d’œuvre»au service de la création

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Ministre de l’Environnement, de l’Habitat et de l’Urbanisme

RencontRe

Blaise aHaNHaNZO

les départements de l’Environnement, de l’Habitat et de l’Urbanisme, trois domaines qui ont, à mon avis, une grande corrélation.

En ce qui concerne le secteur de l’habitat, dès ma prise de fonction j’ai relancé le programme de construction de 20.000 logements économiques du gouvernement, sur instruction du Chef de l’Etat. L’autre changement, c’est l’utilisation des matériaux locaux de construction en invitant tout investisseur à se diriger vers la promotion des matériaux locaux. Une entreprise comme La Roche doit leur donner l’exemple en faisant partie des premiers investisseurs dans ce secteur.

En dehors de cela, je pense qu’il faut améliorer les conditions d’habitation des Béninois. Le Chef de l’Etat l’a inscrit en règle d’or dans son programme d’action, c’est pour cela que nous allons bientôt lancer avec le soutien de l’ONU-HABITAT, le programme de développement des bidonvilles à Cotonou. Une loi sera initiée très prochainement pour rendre illégale l’habitation les bas-fonds sur toute l’étendue du territoire national. D’autre part, comme la terre est un facteur très important au développement de l’habitat, le gouvernement à travers mon département ministériel a initié le projet de loi portant code foncier et domanial en République du Bénin. Je crois que dès que le foncier sera sécurisé, l’habitat sera totalement à l’abri de toute destruction.

il faut améliorer les conditions d’habitationdes Béninois

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RencontRe

Titulaire d’un master en relations économiques internationales obtenu à l’Institut de Droit et des Relations Internationales de Kiev (Ukraine), Blaise Onésiphore GLELE AHANHANZO est actuellement le Ministre de l’Environnement, de l’Habitat et de l’Urbanisme. Avant de se lancer en politique et dès son retour au pays, il a créé sa propre entreprise et s’est lancé dans les affaires. De 2003 à la date de sa nomination, il fut Maire de la ville d’Abomey, un poste qui l’a habitué au travail dans le secteur public et a accru sa passion pour servir son pays. Marié et père de trois enfants dont un garçon et deux filles, il concilie très bien sa vie de père de famille avec celle de Ministre de la République. Outre le français et l’anglais, il parle couramment le russe.

C’est ce à quoi travaille mon département ministériel. Ledit projet est en étude à l’Assemblée Nationale et sera adopté sous peu.

Que pouvez-vous nous dire concernant le respect des normes vis-à-vis du choix des matériaux de construction de la part des bâtisseurs? Quelles mesures prenez-vous pour rappeler à chaque acteur sa responsabilité à propos de la sécurité du logement?

Le respect des normes vis-à-vis du choix des matériaux de construction commence d’abord par le respect des textes réglementaires qui indiquent la procédure à suivre. Tant qu’un maître d’ouvrage ne confira pas la réalisation de son projet aux spécialistes en la matière, il fera toujours mal le choix des matériaux. Si on prend l’exemple du bâtiment de type R+1 qui s’est effondré sur la route de l’aéroport en avril dernier et beaucoup d’autres cas, ce sont des constructions pour lesquelles les maîtres d’ouvrage n’ont pas reçu des permis de construire, alors que le décret n°2007-284 du 16 juin 2007 portant réglementation de la délivrance du permis de construire en République du Bénin, indique clairement au 1er alinéa de son article 5, que «quiconque désire entreprendre une construction à quelque usage que ce soit, même ne comportant pas de fondation, doit au préalable obtenir un permis de construire» et l’article 17 stipule entre autres que la demande de permis de construire ne peut être instruite que si le projet de construction envisagé est élaboré et signé par un architecte. Des campagnes de sensibilisation sont organisées sur ces textes chaque année à l’occasion de la semaine nationale de l’habitat.

Afin de régler le problème, j’ai créé au sein de mon ministère une direction de la Construction, de la Législation et de la Réglementation et déjà cette direction avec l’appui de Doing-Business a procédé à la relecture du décret n°2007-284 du 16 juin 2007 portant réglementation de la délivrance du permis de construire en République du Bénin et a fait des propositions d’amélioration dont la validation est prévue au cours d’un atelier qui se tiendra à Grand-Popo du 03 au 07 décembre 2012. D’autres actions seront également menées incessamment.

Quels rôles peuvent jouer les promoteurs privés, dont La Roche, pour assister le gouvernement dans ce secteur?

D’abord le développement d’un pays passe forcément par un partenariat public-privé bien organisé et c’est d’ailleurs le secteur privé qui crée les richesses. Les promoteurs privés ont donc à plusieurs titres un grand rôle à jouer pour assister le gouvernement dans le secteur de la construction. Le gouvernement

M. le Ministre, vous avez été directeur général de plusieurs structures étrangères et représentant commercial d’une firme grecque. Expliquez-nous comment un homme promis à un avenir dans le monde des affaires bascule dans la politique ?

C’est exact, j’ai été directeur de plusieurs sociétés. Mais ce qui est important est que comme le dit l’écrivain martiniquais Frantz Fanon: «Chaque génération doit, dans une relative opacité, découvrir sa mission, l’accomplir ou la trahir». J’ai découvert avec le temps que ma mission est de travailler aux côtés des populations pour l’amélioration de leurs conditions. Je crois sincèrement aux possibilités dont elles disposent pour vivre mieux. C’est surtout cette conviction profonde qui explique ma présence en politique.

En mai 2011, vous avez été nommé Ministre dans le gouvernement du second quinquennat du Président Boni YAYI. Comment appréciez-vous cette marque de confiance? Quelles ont été vos priorités depuis votre nomination notamment au niveau de l’habitat?

Je voudrais avant tout remercier très sincèrement le Président de la République Béninoise Son Excellence le Dr Boni YAYI pour m’avoir fait confiance en me confiant

serait très heureux de pouvoir compter sur des promoteurs privés qui vont valoriser nos matériaux locaux de construction, commercialiser des matériaux écologiques et de très bonne qualité mais à moindre coût, organiser régulièrement des journées portes ouvertes pour faire connaître davantage les nouveautés dans le secteur au public, organiser régulièrement des séances de formation des acteurs (architectes, ingénieurs, techniciens, ouvriers, etc.). Il est également nécessaire que les promoteurs privés s’organisent en association pour lutter contre la fraude, l’importation et la commercialisation de matériaux de mauvaise qualité ou contenant des substances nuisibles pour la santé humaine.

Parlant des substances nuisibles pour la santé, que pensez-vous de la libre importation des tuiles en fibrociment avec amiante qui est dangereux pour la santé publique dans notre pays?

Je suis au courant et depuis ma prise de fonction, j’ai déclenché une guerre farouche pour la protection de notre environnement, et la lutte contre l’utilisation des matériaux contenant de l’amiante fait partie de cette guerre car l’amiante constitue une substance très dangereuse pour la santé.

Quelles conséquences l’usage de ces produits prohibés peut avoir sur les bâtiments et travaux publiques ?

Toutes les études sur le plan international ont prouvé que toutes les variétés d’amiante sont cancérigènes. Les caractéristiques physico-chimiques de l’amiante, associées à une capacité à se fractionner en particules microscopiques pour atteindre les alvéoles pulmonaires, font que l’inhalation importante de particules d’amiante est dangereuse. Les pathologies peuvent se déclarer jusqu’à plus de cinquante ans après les premières expositions aux fibres d’amiante. Ce caractère relativement tardif explique aussi le retard dans la prise en compte des dangers de l’amiante : les victimes sont souvent assez âgées. Environ 125 millions de personnes sont exposées à l’amiante professionnellement dans le monde, et 90.000 en meurent chaque année.

Comment expliquez-vous alors que les distributeurs de ces produits sur le territoire ne soient pas arrêtés et que les populations ne soient pas plus informées des dangers qu’elles encourent en achetant ce genre de produit ?

Il existe une convention, en l’occurrence la convention de ROTTERDAM, dont le Bénin fait partie, qui informe les pays membres et recommande les dispositions à prendre pour protéger les populations contre les méfaits de ce produit. Les pays de grande production

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et de grande utilisation de ce produit ont été contraints d’interdire systématiquement la production et l’utilisation de cette substance qui a fait d’importants ravages dans les villes productrices. Par exemple, en France et en Italie, des unités ont été fermées et des procès ont été intentés contre les fabricants pour dédommager les nombreuses victimes.

Au Bénin des campagnes de sensibilisation ont été menées sur un certain nombre d’années mais la répression n’a pas véritablement commencé. En effet, la lutte contre l ’ u t i l i s a t i o n de l’amiante et son entrée sur le territoire national est subordonnée à la mise en place d’une stratégie de contrôle, de formation des acteurs et d’équipement. Le cadre juridique et réglementaire est en cours d’élaboration par mes services techniques compétents.

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Pour finir, quel est votre message à l’endroit des populations et des distributeurs honnêtes qui essaient de ne faire venir sur le territoire, que des produits répondant aux normes internationales et respectueux de l’environnement ?

Pour finir, je rassure nos populations que dans un avenir proche des dispositions seront prises pour informer, sensibiliser et former en vue de la répression.Un arrêté d’interdiction d’importation, de production, de commercialisation et d’utilisation de l’amiante sera pris. Des contrôles seront effectués aux différentes frontières et sur les marchés pour punir les contrevenants.

J’exhorte les importateurs, les commerçants et les producteurs qui respectent déjà l’environnement en évitant de mettre sur le marché les produits contenant de l’amiante et toutes autres substances dangereuses, à continuer dans cette voie vertueuse.

Aux populations, je conseille la prudence dans l’achat et l’utilisation des tuiles

«Une entreprise comme La Roche doit donner l’exemple aux investisseurs en faisant partie des premiers à promouvoir des matériaux locaux»

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M. HAMADI, vous êtes sans doute au courant que des matériaux de construction comme les tuiles fibrociment avec amiante circulent sur le territoire national. Aux dires de certains professionnels du secteur du bâtiment, ce type de matériau est néfaste pour la santé publique. Confirmez-vous cela?Bien sûr. Il est reconnu mondialement que les tuiles en fibrociment amiantées sont dangereuses pour la santé, surtout que les études ont prouvé qu’elles sont cancé-rigènes. En Europe par exemple, des bâtiments et des usines ont été détruits en entier parce qu’ils ont été fabriqués avec des matériaux contenant de l’amiante. Des cas de décès ont été reportés parmi les personnes ayant vécu ou travaillé dans des environnements qui renferment ce produit-là et certains fabricants de tuiles fibrociment avec amiante sont en poursuite judiciaire… Tout cela prouve que c’est une fibre extrêmement dan-gereuse mais malheureusement elle est introduite et commercialisée sans aucun obstacle au Bénin.

Comment expliquez-vous alors que les importateurs ne soient pas appréhendés et poursuivis en justice ? Ils ne sont pas arrêtés parce que jusqu’à présent, il n’y a aucune loi ou décret qui interdise l’importation ou l’uti-lisation des produits contenant de l’amiante au Bénin. De plus, certains importateurs arrivent à tromper la vigi-lance des autorités en important des tuiles fibrociment avec amiante mais en notant sur ces produits « sans amiante ». Et comme il est difficile de les différencier à

l’œil nu, le produit s’introduit sur le territoire sans pro-blème.

Quelles solutions suggérez-vous pour protéger les consommateurs et la population?Il existe des appareils ultra modernes qui permettent de détecter le taux d’amiante contenu dans chaque pro-duit, tuile fibrociment ou autre. Nous avons proposé au ministère de mettre ce type d’appareil à la disposition des marchés et services de contrôle concernés mais à ce jour et pour une raison qu’on ignore, nous n’avons pas obtenu de réponse favorable.Nous avons également contacté les services concernés pour leur exposer le problème et demander que le gou-vernement sorte un décret qui interdise l’importation et la libre circulation des tuiles fibrociment ou tout autre produit contenant de l’amiante au Bénin. Mais malheu-reusement depuis deux ans que les démarches ont été entamées, aucune suite ne nous a été donnée.A notre niveau, nous avons environ 80 personnes, soit un peu plus de la moitié de notre effectif, qui s’occupent de la production des tuiles fibrociment sans amiante. Le procédé de fabrication est certes complexe mais ça vaut la peine.

Où peut-on trouver vos tuiles fibrociment sans amiante ?La Roche est l’un de nos distributeurs. Grâce à la publi-cité, les populations connaissent mieux nos tuiles mais il faut les sensibiliser sur le coût, et pour cela nous avons besoin du soutien du gouvernement

Depuis plusieurs années et malgré le danger qu’elles représentent, les tuiles fibrociment avec amiante sont importées et distribuées au Bénin. Nonobstant les alertes de plusieurs opérateurs économiques, aucune mesure gouvernementale n’est prise à ce jour pour interdire le colportage de ces produits sur le marché béninois. M. Abbas HAMADI, Directeur Général de SOTA BENIN, nous explique à travers cette entrevue les dangers auxquels s’exposent les populations ayant recours à ce type de matériau de construction et propose des solutions pour enrayer le problème dont les tuiles sans amiante produites localement.

SOTa BENINs’active au service de la protection du consommateur et propose des tuiles sans amiante

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La Roche s’installe à abujaet part à la conquête du togo

Dans l’intention d’étendre son réseau vers les pays limitrophes, le grand spécialiste de la construction et de la finition du bâtiment a jeté son dévolu sur Lomé, projetant d’inaugurer en mars 2013 sa première branche « La Roche » dans la capitale togolaise. Cette étape fut devancée fin 2011 à Abuja qui a connu elle aussi la création d’une succursale de La Roche, active sur le marché depuis déjà 1 an. Ces deux nouvelles implantations traduisent la volonté des responsables d’offrir par la même occasion aux résidents du Togo et Abuja des produits de marques à moindre coût. Maquette 3D - La Roche Lomé

Prévue de se dresser sur le boulevard circulaire, la plus importante avenue de la ville, La Roche Lomé sera un immeuble de 5 étages. Un luxueux

showroom de 850 m² occupera le premier niveau alors que les 4 autres abriteront des entrepôts et des appartements.

A l’image de La Roche Cotonou, grossistes et détaillants pourront s’offrir tous types de produits entrant dans la construction et la finition d’un bâtiment, à l’exception de l’acier. Carrelage, sanitaire, robinetterie, équipements d’étanchéité, serrurerie, quincaillerie et autres seront à la disposition des Togolais et ceci à moindre coût. «Notre cible est surtout les détaillants. C’est pour cela qu’on mettra l’accent sur le showroom, l’exposition et la présentation de nos produits. Mais on aura également des produits convenables pour les grossistes notamment dans la quincaillerie et le divers», a expliqué Joseph CHAGOURY, directeur commercial du groupe.

Les projets d’ouverture des showrooms de Lomé et Abuja font suite à l’installation de La Roche à Lagos en 2004, s’inscrivant ainsi dans la politique d’extension du réseau de distribution de La Roche aux pays frontaliers du Bénin. L’inauguration officielle du showroom togolais est planifiée au plus tard fin mars 2013, coïncidant ainsi avec le 34ème anniversaire de La Roche Bénin. Aux dires du directeur commercial, l’aventure africaine ne fait que commencer !

la Roche abuja

nouveaux hoRizons

la Roche lomé

Les responsables de La Roche ont choisi la zone industrielle Idu, phase 1, pour installer leur deuxième branche au Nigéria, après La Roche

Lagos inaugurée en 2004. Dirigée par M. Hady KHOURY, elle compte une dizaine d’employés et a déjà prouvé sa valeur sur le marché par son équipe dévouée, ses produits de haute gamme et son expertise héritée de la société mère.

A l’instar de son prédécesseur à Lagos, La Roche Abuja offre à sa clientèle une large gamme de produits « Grohe », « Sika », « Vachette », « Rubi », « Pamesa» et autres qui font d’elle non seulement une société de marques, mais aussi de prix

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signe un accord avec le groupehôtelier Golden Tulip

SOWaFI-BENIN S.a

le diplomate

Un accord de partenariat a été signé le 21 juin 2012 entre Sowafi-Bénin S.A, filiale du groupe Chagoury et promoteur de l’hôtel « Le Diplomate » et Louvre Hotels Group, une entreprise spécialisée dans la gestion des grandes infrastructures hôtelières. L’accord qui a été signé à Paris par M. Assad Chagoury, PDG de Sowafi-Bénin S.A, et M. Matthieu Evrard, Chief Development Officer de Louvre Hotels Group, vise à amener la qualité de la gestion de l’hôtel « Le Diplomate » à des normes internationales et bénéficier de l’expérience de ce groupe de renommée mondiale sous enseigne de l’une de ses marques, Golden Tulip.

Ce partenariat est le résultat de six mois de négociations entre les deux parties. Il donne droit à Golden Tulip d’assurer la gestion de l’hôtel

« Le Diplomate » et permet à la société Sowafi-Bénin S.A de vite démarrer l’exploitation son hôtel. Le choix s’est porté sur Golden Tulip en raison de ses compétences techniques et de sa notoriété sur la scène internationale. A noter que Golden Tulip est une enseigne du Louvre Hotels Group, second groupe hôtelier européen et 8ème

acteur mondial de l’hôtellerie. Louvre Hotels Group compte aujourd’hui plus de 1000 hôtels répartis dans 40 pays à travers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique.

Le Diplomate est un hôtel de catégories 4 étoiles (4****) destiné aux hommes d’affaires, opérateurs économiques, chefs d’Etat ou d’institutions diverses. Il sera doté de 116 chambres luxueuses et spacieuses dont 4 suites ainsi que diverses infrastructures dont une piscine, des restaurants, une boîte de nuit, un centre de remise en forme et de relaxation, et pour la première fois au Bénin, une salle polyvalente de 500 places assises

destinée à abriter les conférences, mariages et grandes réceptions. Avec le partenariat signé avec Golden Tulip, les responsables de Sowafi-Bénin S.A comptent entamer les travaux de construction en 2013. Cette nouvelle infrastructure hôtelière permettra de renforcer la capacité d’accueil dans la région de Cotonou et d’offrir aux Béninois un confort haut de gamme, aux couleurs locales

Filiale du Groupe du Louvre, propriété du fond d’investissement Starwood Capital Group, Louvre Hotels Group gère aujourd’hui un patrimoine de 6 marques fortes, allant de 1 à 5 étoiles. Suite à son alliance stratégique avec Golden Tulip Hospitality Group, Louvre Hotels Group se positionne comme le 8ème acteur mondial de l’hôtellerie avec plus de 1000 hôtels dans plus de 40 pays. Le groupe compte six marques : Première Classe, Campanille, Kyriad, Tulip Inn, Golden Tulip et Royal Tulip.

A propos de Louvre Hotels Group

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donation

M. Chagoury, en avril 2012, vous avez offert au village de Sogbé une chapelle dédiée à la Sainte Vierge. Quelles ont été vos motivations pour cette généreuse initiative? Etait-ce suite à un besoin exprimé par les habitants de cette localité ou à une réflexion personnelle ?

Un peu des deux. En fait c’est en visitant ma plantation de Teck de Tori-Cada un dimanche que j’ai remarqué un rassemblement de villageois sous une paillote. Poussant un peu ma curiosité, j’ai découvert que c’était une messe que les villageois célébraient ainsi sous cette paillote. Leur situation m’a touché et, étant moi-même un chrétien maronite pratiquant, j’ai donc décidé de construire pour les habitants de Sogbé un lieu plus convenable aux cultes dominicaux et aux retrouvailles familiales comme cela se fait dans mon pays natal le Liban.

Comment les habitants et responsables de la région ont-ils réagi par rapport à la nouvelle et quelle a été leur contribution ?

Les habitants étaient très contents et m’ont beaucoup soutenu. Dès que j’ai pris la décision de construire cette église à Sogbé, je suis allé avec Vincent PADONOU-LOKO, responsable de ma ferme, à la rencontre du délégué Denis VITOU à qui j’ai exposé mon projet. Il l’a tout de suite approuvé et n’a pas hésité à mettre à notre disposition une parcelle d’une superficie évaluée à un peu moins de 900m². Bien que cette superficie fût moindre par rapport à mes intentions de départ, la

spontanéité du chef du village ainsi que le soutien de la délégation de la petite communauté chrétienne de Sogbé qui s’est déplacée dans mes bureaux à Cotonou m’ont encouragé à poursuivre.

Combien de temps ont duré les travaux de construction de la chapelle et à combien est estimé le coût total?

Pardonnez-moi de ne pas vous dévoiler la valeur car j’estime que quand on fait un don en toute conscience il n’est pas utile d’en divulguer le coût. Concernant les travaux, nous avons démarré en décembre 2011 et avec la collaboration des ouvriers et des habitants de Sogbé, l’édifice était prêt à livrer après 98 jours. Nous avons pu inaugurer la chapelle « Notre Dame de la Divine Miséricorde » le 8 avril 2012, jour de Pâques comme je l’ai souhaité. Ce jour là, la salle était pleine. Toute ma famille et les habitants de Sogbé étaient présents… la messe était très émouvante.

Que pouvez-vous nous dire concernant l’architecture de la chapelle, le nombre de places qu’elle peut prendre…?

La chapelle « Notre Dame de la Divine Miséricorde » est conçue pour abriter 300 personnes en places assises mais vous savez comme moi que dans la maison du Bon Dieu il y a toujours une place, donc cela ne nous étonne pas qu’elle prenne parfois au-delà de la norme.

Côté architecture, nous avons respecté le style local, n’ayant pas l’intention de faire quelque chose d’imposant

aSSad CHagOuRyfait une donationau village de sogbé

assad Chagoury, PDG La Roche

Deux ans après le don d’un terrain de sport aux jeunes d’Agbocomè à Porto-Novo, le regard du PDG de La Roche, Assad Chagoury, s’est tourné vers le village de Sogbé, commune de Tori-Cada dont les habitants étaient jusqu’à lors dépourvus d’un lieu de prière digne de ce nom. Le Consul Honoraire du Liban au Bénin a donc choisi d’ériger à leur actif une chapelle toute neuve pour leur permettre de prier dans de bonnes conditions et de vénérer Notre Dame de la Divine Miséricorde qui a donné son nom à la nouvelle chapelle. Six mois après l’inauguration de l’église, Assad Chagoury revient dans cet entretien sur les conditions qui l’ont mené à cette donation.

une chapelle toute neuve au

service des habitants de la région

qui pourrait heurter la sensibilité des villageois ou créer une jalousie entre les églises de la région. L’étude architecturale a été faite par Lebnen OBEID, notre ingénieur en BTP. La salle de prière est très belle et spacieuse, munie de bancs pour les fidèles et d’un clocher. La sacristie a été notre réalisation la plus appréciée.

La chapelle est installée dans la commune de Tori-Cada, de même que votre ferme contenant une plantation de Teck. Peut-on dire que c’est parce que vous vous sentez concerné par le développement de cette région que vous y investissez ?

Evidemment, je me sens concerné par le développement de cet endroit dont les habitants m’ont bien accueilli en 1986-1987. En cette période-là, le général Mathieu KEREKOU avait lancé un appel aux investisseurs Libanais et Indo-pakistanais résidants au Bénin, les incitant à investir dans un domaine porteur de croissance qui est l’agropastoral. Et depuis que j’ai implanté ma ferme de Teck sur leur sol, les habitants de Tori-Cada ont fait preuve d’une hospitalité incontestable envers moi.

Aujourd’hui, je suis leur voisin; je me sens comme chez moi à Cotonou et c’est pour toutes ces raisons que dans la mesure de mes possibilités et en fonction des besoins, je ne cesse d’investir ici. Et la chapelle « Notre Dame de la divine miséricorde » qui est ma deuxième réalisation dans cette localité est non seulement un signe de reconnaissance envers les habitants de Sogbé mais aussi en mémoire de mes parents et en remerciement à la Vierge Marie pour nous avoir protégé ma famille et moi depuis notre installation au Bénin.

Aux vues de ces réalisations, peut-on espérer de votre part d’autres actions pour la localité de Tori-Cada ou une autre région du Bénin?

Je ne saurais vous le dire aujourd’hui. Il y a deux ans, je ne savais pas que j’allais construire une église à Sogbé. Souvent, j’agis sur le coup de l’inspiration sans aucune préparation à l’avance. Que Dieu nous prête vie pour d’autres réalisations à Tori-Cada ou ailleurs. Inchalla !

Vous avez un appel à lancer ?Je voudrais inviter tous les Béninois à initier des

actions par eux même au lieu d’attendre à chaque fois qu’une main providentielle vienne tout faire à leur place. Quand on commence par soi-même, on a plus de facilités à trouver de l’aide pour achever la réalisation de son projet. Aux habitants de Sogbé, je demanderai de bien entretenir leur chapelle

La chapellepeut contenir plus de 300 personnesen placesassises

donation

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assad Chagoury, PDG LaRoche

M. WALCKOFF, comment êtes-vous venu à l’archi-tecture et depuis combien de temps exercez-vous ce métier?Mon père était médecin et je devais l’être à mon tour ayant grandi dans cette ambiance. Mais à l’adoles-cence, je me suis rendu compte que je ne supportais pas la vue du sang et que j’avais une sensibilité qui ne me permettait donc pas de poursuivre cette voie. Par contre, je dessinais bien et cherchant donc à quel métier je pouvais aboutir avec cette passion, j’ai découvert la formation de l’architecture. Je l’ai suivie avec succès et depuis 25 ans maintenant, j’exerce en tant qu’architecte.

Quels sont les débouchés professionnels possibles après avoir suivi une formation en architecture?C’est une formation qui est assez variée, une formation à travers laquelle on se réinvente sans cesse pour ne pas tomber dans la répétition. En général, les gens qui empruntent cette voie arrivent à déboucher sur un peu tout. Certains deviennent architecte bâtiment, d’autres par contre se découvrent des talents d’architecte naval,

Architecte de profession et véritable passionné de dessins et d’architecture contemporaine, Serge WALCKOFF s’est formé à l’école officielle d’archi-tecture de Paris où il a obtenu son diplôme en 1988. En 1994, il s’installe au Bénin et y ouvre son cabi-net d’architecture AP, après avoir travaillé sept ans dans le bureau d’étude de la société de construc-tion Fougerolle, et deux ans sur la gare TGV de Roissy, au sein du cabinet d’architecture de la So-ciété Nationale des Chemins de Fer (SNCF). Dans cet entretien, il nous parle de son métier et de ses projets architecturaux, en passant par les grands titres de la profession.

un «maître d’œuvre»au service de la création

seRGe WalcKoFF

architecte aéronautique, photographe, designer, paysa-giste…

Depuis 18 ans, vous exercez au Bénin au sein de votre cabinet d’architecture AP. Dites-nous en quelques mots en quoi consiste votre travail? Le métier d’architecte consiste à créer une œuvre, raison pour laquelle on nous appelle aussi « maître d’œuvre», et le client « maître d’ouvrage ». Donc quand on dit maître d’œuvre, ça renvoie à quelque chose d’unique, de singulier.Dès qu’un client nous aborde, nous établissons avec lui ce qu’il veut comme projet en identifiant en quelque sorte ses besoins. Ensuite nous préparons une es-quisse après avoir visiter le terrain. Lorsque l’esquisse est validée, nous établissons un contrat qui stipule les obligations du client et les nôtres, puis nous faisons un premier dossier appelé APS (Avant-Projet Sommaire) suivi d’un APD (Avant-Projet Détaillé), enfin le DCE (Dossier de Consultation d’Entreprise), dossier qui pré-sente les plans d’exécution. Toutes ces étapes validées, nous procédons par appel d’offre au recrutement des entreprises et tâcherons qui vont travailler sur le projet. Une fois les travaux entamés, mon rôle est de me battre pour offrir au client un bâtiment conforme aux normes, respecter les délais de livraison et essayer de ne pas dépasser le budget déjà établi au risque de perdre sa confiance et son respect.

Quels décorateurs, architectes, designers, paysa-gistes ou artistes vous inspirent particulièrement? Je suis résolument contemporain et je suis surtout inspiré par les architectes postmodernes comme par exemple l’américain Wright, l’un des premiers archi-tectes à faire des réalisations qui détonnaient dans les

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années 1930. En Europe, ce sont plutôt les architectes du mouvement BAUHAUS qui m’inspirent.

En tant qu’architecte contemporain, quels sont les matériaux que vous utilisez dans vos conceptions?Dans l’architecture moderne, on emploie souvent l’acier, le verre, le béton voire le béton précontraint qui permet d’avoir une épaisseur très fine bien qu’ayant une grande portée. Compte tenu qu’au Bénin le soleil tape presque toute l’année, il est important de savoir disposer de tous ces matériaux, notamment le verre pour éviter d’avoir des reflets dans les pièces.

Y-a-t-il une touche unique qui identifie votre style en tant qu’architecte?Étant donné que dans notre climat le taux d’humidité s’élève à 90% avec une ventilation insuffisante, j’évite souvent un double positionnement des pièces comme on en fait en Europe. Donc sur un système constructif de villa par exemple, j’ai tendance à ne faire qu’un seul positionnement de pièces et donc une maison en forme de « L ». J’utilise aussi beaucoup de blanc tout simple-ment parce que j’aime l’architecture high-tech qui sup-pose l’emploi de matériau simple avec notamment des couleurs comme le blanc, le vert, le bois...

Qui sont vos clients ?Depuis que je suis installé au Bénin, j’ai toujours tra-vaillé sur des résidences privées pour des particuliers, au minimum 3 par an. Ça nécessite un vrai travail de

recherches puisqu’il faut éviter qu’il y ait des simili-tudes d’un projet à un autre.Mais c’est pour les sociétés que je consacre mon temps le plus, comme par exemple la BOA, Ecobank, la Socié-té Générale, BGFI Bank et des opérateurs écono-

miques comme le groupe La Roche pour qui d’ailleurs j’ai aménagé l’agence principale de Chaftel en 2000 et la collaboration s’est très bien passée.

Qu’est-ce qui compte pour vous en premier dans l’exécution d’un projet?L’esprit du projet m’est très important, c’est-à-dire qu’on puisse définir le concept architectural. Pour ça il faut que le client décrive exactement ses besoins de façon à ce qu’on lui fournisse une réponse unique car l’archi-tecte n’est là que pour répondre à une demande.

Et lorsque vous terminez un projet et le client est satisfait, quel sentiment vous anime ?La plus grande fierté du monde ! C’est vrai que c’est un métier assez difficile mais très satisfaisant quand on

vous reconnaît la qualité que vous êtes censé avoir ; c’est la consécration au métier. Beaucoup de personnes pensent que l’argent est tout ce qui importe à l’archi-tecte alors que c’est erroné. Un architecte contribue à l’amélioration du tissu urbain en enrichissant la ville pas des monuments, des habitations et des bâtiments agréables à la vue.

Pour en revenir au métier en général, le recours à un architecte est-il obligatoire dans un projet de construction ? Et surtout à quelle étape du projet doit-on le faire?Dans les textes béninois qui sont eux-mêmes calqués sur les textes français, si votre projet dépasse les 176m², vous êtes obligés de faire recours à un archi-tecte parce qu’on estime qu’à ce stade, la complexité du projet est telle que la compétence d’un professionnel est nécessaire.Normalement, le travail d’architecte consiste en la conception. Donc c’est au tout début du projet qu’il faut adoptez un architecte et non pas après avoir érigé les murs sur le terrain parce qu’à cette phase-là, il va proba-blement casser ces murs et recommencer le travail de conception de zéro. Et là, vous aurez perdu de l’argent.

Avec le recul, trouvez-vous que l’exercice de votre métier au jour d’aujourd’hui est conforme à ce que vous aviez envisagé au début de votre carrière.Non! Je pensais que ce serait plus facile (rires). Il y a 18 ans quand je suis arrivé à Cotonou, j’étais nourri de pleins d’espoirs pour améliorer le cadre de la ville. Je pensais qu’avec la seule compétence, ce serait assez facile de travailler ici puisque dans mon esprit à l’époque (1994), tout était à faire : les routes, les bâtiments, les hôpitaux… mais finalement je me suis aperçu que comme on est dans un pays où le revenu général est moyen, les gens ont du mal à investir dans le beau. Il y a un client qui un jour m’a carrément dit : je ne suis pas là pour embellir Cotonou. Pour lui, c’était une manière de me faire comprendre de ne pas chercher à lui faire quelque chose de trop beau et surtout coûteux. De plus, les Béninois ne sont pas nombreux à faire appel à un architecte, et c’est peut-être parce que nous même, au sein de l’Ordre National des Architectes, nous ne com-muniquons pas assez sur l’importance de notre métier. Mais je garde espoir car c’est l’espoir qui fait vivre.

Un message à l’endroit des personnes intéressées par le métier d’architecte.A toutes les personnes intéressées par le métier, je conseille d’être passionnées parce que le métier d’ar-chitecte est assez contraignant. Généralement quand on entend architecte, on pense tout de suite à l’argent. Mais au-delà de l’aspect financier, être architecte c’est un grand titre, une lourde responsabilité. L’architecte doit accompagner le citoyen dans l’acte de construire. C’est notre fonction première. Et cette fonction com-mence par le conseil qui lui est gratuit

en voGue

On nechoisit pas

son architecte en jetant un regard dans l’annuaire

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activités

expobat promo Bénin 2012

la Roche dévoile ses nouveautés

Pour la deuxième année consécutive, La Roche a pris part au salon de l’architecture et de la construction « Expobat Promo Bénin » qui

s’est déroulé du 15 au 18 novembre 2012, au Hall des Arts de Cotonou. A la fois exposant et partenaire de l’événement, le leader dans le domaine de la distribution de matériaux de construction et de finition du bâtiment au Bénin a saisi l’occasion pour présenter aux particuliers et professionnels du cadre bâti, les nouveautés dans le secteur du bâtiment. «Nous participons à ce salon pour dévoiler nos produits de dernières générations dont la technologie est plus avancée, et ceci pour le confort des béninois», explique Hyppolite CAPO-CHICHI, le coordonateur du programme immobilier de La Roche. Au nombre de ces produits figurent en bonne place les sèche-mains et les tuiles qui ont d’ailleurs été très appréciés des visiteurs. Outre ces produits, les participants au salon Expobat 2012 ont pu découvrir sur le stand de La Roche les derniers nés en matière de carreaux et de robinetterie. A travers cette participation, La Roche confirme encore une fois son crédo qui est de mettre à la disposition des intervenants du cadre bâti les matériaux les plus sûrs à la réalisation de leurs objectifs

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la parole àSylvie, Claudia et Franck

Chacun a une histoire différente à raconter, mais tous parlent de passion, d’énergie et d’amour pour ce que nous faisons.Nous souhaitons que tous nos employés connaissent le succès et réalisent tout leur potentiel à travers les différents postes qu’ils occupent dans nos sociétés. Et nous en tant que responsables, nous nous engageons à les aider à parvenir à leurs buts.Parce que si notre personnel est couronné de succès, nous le sommes aussi.

La parole à trois de notre équipe…

Ça fait maintenant huit ans que je travaille à La Roche en tant que

standardiste et secrétaire du DG. Je gère un flux assez important d’appels entrants et sortants ainsi que les visites aux patrons et collègues.Mon travail consiste également à assister le patron d’une part en organisant son agenda de rendez-vous avec les clients, fournisseurs et prestataires de service, et à satisfaire les demandes de mes collègues de l’autre part.Parfois c’est ha-rassant mais avec un peu de patience, j’arrive à effectuer mon travail en subvenant aux besoins de tout un chacun. Pour cette nouvelle année, je formule à l’endroit de mes pa-trons et de leurs familles res-pectives le vœu de santé de fer et de longévité. J’exhorte mes collègues à garder la foi pour un avenir radieux dans notre maison commune qui est LA ROCHE et que l’am-biance conviviale qui règne entre nous perdure

J’ai intégré Chaftel il y a quatre ans en tant qu’agente commerciale

mais depuis le 11 mai 2011, j’occupe le poste de Responsable Commerciale de Chaftel. A ce titre, je suis chargée de la gestion des clients et des stocks de portables. Mon travail implique une bonne collaboration avec mes collègues de même que des échanges productifs avec la clientèle. Je profite de l’occasion pour remercier la direction de Chaftel pour cette marque de confiance et je leur assure que je donnerai le meilleur de moi-même pour que les objectifs fixés soient atteints. Merci aussi à nos clients pour leur fidélité. Le meilleur reste à venir

Je suis un distributeur de cartes de recharge MTN et depuis dix ans que

je travaille avec Chaftel je n’ai jamais eu de problèmes. Chaque fois que je suis dans le besoin, les produits sont disponibles et c’est cette qualité de Chaftel qui fait ma force sur le terrain. Les responsables sont également à notre écoute au besoin. Donc pour le moment je suis satisfait de notre collaboration et je souhaite qu’il en soit toujours ainsi

Sylvie d’ALDMEIDA, Secrétairedu DG et Standardiste / La Roche

Claudia S. MANSEKA, Respon-sable Commerciale de Chaftel

Franck DJIHOUAN, Directeur de FR Négoce et Grossiste de Chaftel

notRe équipe

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Très apprécié des expatriés et vacanciers, Le Lounge Bar Le Privé baigne dans un décor très sobre et sophistiqué, mêlant bougies parfumées,

lumières feutrées, fauteuils confortables et rideaux de perles. Une fois à l’intérieur, le client peut choisir entre les canapés confortablement disposés autour de tables basses, un coin idéal pour les rencontres d’affaires ou les retrouvailles entre amoureux ou amis… et l’imposant bar très animé et réputé pour la qualité et l’originalité de ses verres. On y déguste aussi bien des spiritueux (vodka Stolichnaya…), des grands crus de France (Languedoc, Pouilly Fumé, Sancerre, Lavagnac…), que des cocktails maisons réalisés par le barman. Chaque quinzaine, les suggestions de cocktails sont renouvelées dans le but de faire découvrir une multitude de saveurs aux habitués. Côté repas, la maison propose entre midi et deux des petits plats très appétissants et pas chers: hamburger, salade Caesar, pizza et tapas… chacun y trouve son compte. Cette carte snack, renouvelée en novembre dernier, est très prisée par le personnel des bureaux et sociétés avoisinants.

une ambiance hors du commun

En soirée, les clients jouissent des « hits » en vogue ainsi que les mix des meilleurs Dj du Bénin (Dj Highfa, Dj Selecta) et du monde (Dj Shane de Paris par exemple). «Nous avons les toutes dernières nouveautés que nous diffusons selon la volonté du client. Vous pouvez écouter de la salsa, du coupé décalé, et même du azonto qui est la tendance ghanéenne », explique le manager Oswald Soglo. « Il nous arrive souvent de changer la sélection de musique selon la demande des clients », renchérit-il.

Outre la qualité du service, le Lounge Le Privé est aussi réputé pour ses grandes soirées à thème dont Original Fridays, Hommage à Bob Marley, Halloween, Independance Private Party et autres, initiées périodiquement dans le souci de répondre aux besoins des jeunes Cotonois. Depuis 2010 qu’elles ont été instaurées, ces soirées meublées d’animations diverses et des jeux tombola connaissent une affluence sans cesse croissante. A court terme, les responsables envisagent d’organiser une soirée spéciale afterwork jazz avec à la clé, un groupe de jazz qui jouerait en live.

un cadre accessible à tous

Le Lounge Bar Le Privé est un cadre coquet, distingué et agréable. Au-delà de son aspect bon chic bon genre, il est accessible à toutes les bourses. « Nous avons les mêmes prix que tous les lounges du centre-ville et des quartiers résidentiels », déclare Oswald le manager du Lounge Le Privé qui s’empresse d’ajouter : « Tous les soirs de 19h à 21h30 voire 22h, nous proposons une happy hour avec pour principe : 1 boisson achetée, la même offerte ».Les clients viennent souvent au Privé pour prendre un petit café après le travail ou suivre un match de football en groupe autour d’un verre. Périodiquement, on dénombre parmi la clientèle beaucoup de vacanciers et surtout des amateurs de cigare qui, une fois sur place, peuvent s’offrir une sélection de cigares d’Havane tels que: Roméo &Juliette, Cohiba, Bolivar, Monte Cristo…Depuis peu, il est possible aux particuliers et entreprises de louer le cadre pour des soirées privées comme les anniversaires, réception de mariage, afterwork,

au lounge Le Privé, élégance et ambiance sont au rendez-vous !

conférences de presse, défilés de mode, réunions d’entreprises… et ceci à un tarif très étudié. Comme il est possible dorénavant aux gastronomes de bénéficier du service traiteur du restaurant Le Privé pour ajouter une touche de perfection à leurs événements et occasions, que ce soit chez eux ou dans des salles louées. Avec tous ces attraits et son ambiance comme nulle part ailleurs, le Lounge Le Privé est un endroit à découvrir et à redécouvrir!

Ouvert du Lundi au Samedi, de 12h à 15h et de 19h jusqu’au dernier client.Réservation possible au 97 97 29 17.

le coin pRivé

En plein cœur de Cotonou, au premier niveau du grand immeuble situé entre l’église et la librairie Notre-Dame à Ganhi, se trouve le Lounge Bar Le Privé. Un cadre chic et intimiste qui se distingue des autres lounges de la ville de par son coin cosy, ses soi-rées à thèmes, son accueil chaleureux, et un service client digne de celui des en-droits de luxe.

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Nos SoiréesCœur, Couleur et Ardeur

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le coin «pRivé» le coin «pRivé»

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Constant TELLA,Commerçant

J’ai déjà l’habitude de venir à La Roche régulièrement mais comme la société est en pro-

motion, j’ai profité de l’occasion pour venir acheter des tuiles et j’ai bénéficié d’une réduction de 50%. Je suis très content. Je souhaite du courage à La Roche et bonne et heureuse année à tous.

François-Xavier KOUDOSSEHAN, Commerçant

J’habite à Porto-Novo, un peu loin d’ici, mais c’est à La Roche que je viens souvent

payer mes articles, que ce soit en période de promotion ou pas. Ce qui m’attire c’est tout simplement leurs produits de qualité et leur équipe accueillante.

Hubert KPONDEDJI,Carreleur

Je suis venu pour faire de bonnes affaires. Ici, il y a non seulement de

jolis carreaux mais aussi un accueil chaleureux et ser-viable de la part des com-merciaux qui m’abordent dès mon entrée dans le showroom, pour connaître mes besoins et me conseil-ler dans mon choix. C’est un très grand avantage.

M. ADEKAMBI,Entrepreneur

Je suis un client de La Roche depuis des an-nées et tout achat que

j’effectue me satisfait tant sur le niveau de la qualité que des prix.

deux fois par an, les promotions à La Roche battent leur plein

Les belles promotions se poursuivent chaque an à La Roche. Cette année, du 7 mai au 9 juin et du 22 octobre au 24 novembre, des superbes remises sur la gamme des matériaux de construction et de finition ont constitué comme d’habitude une occasion propice aux particuliers et aux professionnels du BTP. Les articles phares de cette année furent sans aucun doute les carreaux, les sanitaires, les tuiles, les briques de verre, les lames et les chassis Naco, que La Roche a consenti aux clients à des prix réduits de 20 à 50%.Quelques clients en témoignent…

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Les News de

Chaftel déploie son réseau à Cotonou

En mai 2012, le plus grand distributeur GSM au Bénin s’est implanté à Adogléta, en face de la pharmacie La Colombe, afin

d’être plus proche de ses clients d’Akpakpa. A savoir que cette nouvelle agence intervient uniquement dans la vente de portables de marques et la distribution des recharges MTN

Le cercle des agences Easycom s’agrandit

Après Parakou en avril 2011, c’est le tour de Bembérèkè et Tchaourou pour accueillir des agences Easycom. Cette

extension du réseau Easycom dans le nord du pays traduit la volonté des responsables de rendre accessibles sur tout le territoire natio-nal, les produits Moov dont ils sont distributeur agréé. Des négociations sont actuellement en cours pour que N’Dali et Nikki abritent pareil-lement des filiales dans les mois à venir

Les tablettes font une entrée remarquée à Chaftel

Pour rester dans l’ère du temps et suivre la technologie en constante évolution, Chaftel a introduit une gamme de tablettes

dernière génération dans son showroom. Ultra légères, ultra performantes grâce au processeur Quad-Core, dotées d’un système Android ou IOS selon le modèle choisi, et de différentes fonctions intelligentes, les Ipads, Galaxy Note et Galaxy Tab vendus à Chaftel offrent un excellent confort d’usage. A mi-chemin entre smartphone et ordinateur portable, et avec leurs écrans tactiles offrant un bon confort visuel, leur connectivité réseau optimale (Wifi, Bluetooth, 3G), mais aussi leur puissance croissante (pour la lecture multimédia, le surf sur Internet, ou encore les jeux vidéo), les tablettes tactiles sont d’excellentes solutions multimédias. Ne les ratez pas !

nouveautés

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I ls ont été des centaines à profiter des offres promotionnelles de Chaftel pour les diverses grandes occasions de l’année comme la St Va-lentin, les fêtes des pères et des mères, ainsi que la rentrée scolaire et universitaire 2012-2013. Pour chacune de ces promotions qui se sont déroulées entre février et novembre 2012, et avec tout achat de portable à un prix très intéressant, que ce soit à Ganhi, Erevan ou Akpakpa Midombo, chaque client a reçu en cadeau des lots diversifiés: bou-teilles de vin haut de gamme, cartes de vœux, CD des plus belles chansons d’amour, pagnes, sacs de course, tee-shirts, fournitures scolaires, bourses d’études…etc. Les pics de fréquentation qu’ont connu les différents sites de Chaftel durant ces périodes promotionnelles sont la preuve que les diverses campagnes réalisées au cours de l’an-née sont tombées à point nommé. Pour les années à venir, les responsables de Chaftel promettent encore plus de choix et de bons plans pour le plus grand bonheur de leurs consommateurs

des promotions qui donnent satisfaction

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Les responsables de La Cave à Vin ont tenu toutes leurs promesses. Comme annoncé dans l’édition précédente de votre magazine, ils ont cette année encore élargi leur gamme de produits distribués.

Jus de fruits, spiritueux, vin, eau minérale et panachés sont entre autres les familles de produits qui ont vu leur stock enrichis de nouveaux produits au cours de l’année 2012.

Côté jus, les marques Chivita, Chi Exotic et Chi Happy Hour font leur entrée. Véritables concentrés de jus de fruit 100% naturel, ces nouvelles gammes de jus sont disponibles en plusieurs parfums: goyave, pomme, ananas, mangue, coco, cocktail...

Côté spiritueux, le client a désormais le choix entre Gold Coast et Imperial XO, deux magnifiques whiskies aux saveurs douces et aromatiques, très appréciés à l’étranger. Disponibles en bouteilles de 75cl.

Au nombre des produits alimentaires, on retrouve les Champignons Blanchaud de Paris, disponibles en pieds entiers et en morceaux, et vendus dans des boîtes de 400g, 800g, 1kg et 2kg.Notons que La Cave à Vin s’est aussi lancée dans la distribution du panaché (Munsterbrau) et de l’eau minérale naturelle Fuen-cisla, une eau pure et riche en sels minéraux notamment le sulfate, le calcium, le magnésium, le chlore… L’eau minérale vendue en bouteilles de 33 cl et 1,5L facilite une bonne digestion.

Les News denouveautés

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C’est un mastic à base de MS-Polymère hybride utile pour la réalisation de collage et de colmatage de fuite même sous l’eau. Il est appliqué dans la réalisation des joints d’étanchéité (buses, margelles, vérandas, abris…), la fixation de carrelage, mosaïques, frises et autres élé-ments décoratifs, et la réparation des fuites sur structures rigides et sur liners. Grâce à sa composition ex-ceptionnelle, Pool*Mastic Piscine résiste aux intempéries, aux UV, aux eaux de pis-cine traitées au chlore et à une tempéra-ture allant de -40°C à +90°C !

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Les roulettes repré-sentent des outils in-dispensables pour la mise en marche de tous les véhicules de trans-port, de manutention etc. Il est important de déterminer la charge maximale à déplacer que la roulette devra supporter afin de faire un bon choix d’achat. Pour tout chariot ou tout support de manu-tention à roulette, cette charge s’obtient en divisant la charge totale par 3 (marge de sécurité). Par exemple, pour un chariot dont la charge totale est de 500 kg, la charge par roulette est de 150 kg et peut atteindre 200 kg maximum.

Le matériel avec lequel la roulette est fabriquée joue un rôle important : pour des roulettes en nylon, polypro-pylène ou po-lyuréthane, la charge idéale par roulette sera, d’après

l’exemple cité ci-dessus, de 150 kg. En re-vanche pour des roulettes en caoutchouc, il faudrait aller vers 200 kg sinon le chariot serait difficile à pousser

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COMMENT CHOISIR UNE ROULETTE ?

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