beaaloteha 5774

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Lehaïm velivraha Beaaloteha 9 Sivan 5774 / 7 Juin 2014 N.264 Réalisé par Yaacov Berrebi . 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/ ב״הLe monde a besoin d'air pur. L'atmosphère peut être purifiée uniquement par les mots de la Torah. Ils sont une protection pour tout, en général et pour chacun, en particulier. L'ensemble des six Ordres de la Michna doit être appris par coeur et servir à marcher dans la rue. La Michna que l'on récite où que l'on se trouve, quel que soit le lieu, permet d'illuminer le lien entre Israël et D.ieu. Le terme Michna est composé des mêmes lettres que Néchama, l'âme. (Extrait du Hayom yom) Entrée de Chabbath: 08.06 PM Sortie de Chabbath: 09.14 PM Feuillet aussi distribué par les FRENCH NESHEI CHABAD / NEW YORK 347-627-9209

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HASHEM, Machiah tout de suite, rebbe, education juive, judaisme, torah, enseignement, vive le roi, 770, lEhaim VeliVraha...

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Lehaïmvelivraha

Beaaloteha 9 Sivan 5774 / 7 Juin 2014

N.264

Réalisé par Yaacov Berrebi . 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

ב״ה

Le monde a besoin d'air pur. L'atmosphère peut être purifiée uniquement par les mots de la Torah. Ils sont une protection pour tout, en

général et pour chacun, en particulier.L'ensemble des six Ordres de la Michna doit être appris par coeur et servir à marcher dans la rue. La Michna que l'on récite où que l'on se trouve, quel que soit le lieu, permet d'illuminer le lien

entre Israël et D.ieu. Le terme Michna est composé des mêmes lettres que Néchama,

l'âme.(Extrait du Hayom yom)

Entrée de Chabbath:

08.06 PM

Sortie de Chabbath:

09.14 PM

Feuillet aussi distribué par les FRENCH NESHEI CHABAD / NEW YORK

347-627-9209

Résumé de la Paracha Beaaloteha

Aharon reçoit le commandement d’allumer les lumières de la Ménorah (le Candélabre), et la tribu de Lévi est intronisée pour le service dans le Tabernacle. La fête de "Pessa’h Chéni" (littéralement "Deuxième Pessa’h") est instaurée à la suite d’une demande (« Pourquoi serions-nous privés ? ») émanant de personnes dont l’impureté rituelle les a empêchés d’offrir le sacrifice pascal en son temps. La date de "Pessa’h Chéni" est le 14 Iyar, un mois après le premier Pessa’h ("Pessa’h Richone"). D.ieu transmet à Moché ses directives, notamment concernant le processus de départ du camp et de campement à l’arrivée. Le peuple quitte alors le Mont Sinaï où il a campé près d’une année.Le peuple se révolte, et se plaint de la "Manne" (nourriture céleste) dont il n’est pas satisfait. Il demande de la viande.Moché, ne supportant plus le fardeau du peuple, nomme 70 anciens, auquel il transmet un reflet de son esprit divin. Les anciens l’assisteront, dès lors, pour gouverner le peuple.Myriam parle à Aharon de manière "négative" de son frère Moché. Elle est alors frappée par la "Tsaraat" (lêpre). Moché prie pour sa guérison, et le peuple tout entier attend 7 jours à l’issue desquels, elle réintègre le camp.

Nos sages nous disent qu’il y avait 3 marches devant la Menora et qu’Aaron devait monter sur ces marches pour arranger les bougies.Mais lorsqu’on regarde de plus près la description de la Menora, on ne comprend pas bien pourquoi Aaron devait monter sur ces marches alors qu’il était plus grand que la Menora (même sans monter sur les marches !)En réalite, au moment d’arranger les bougies, Aaron portait sur la tête le Tsits (un turban avec le nom d’Hachem gravé dessus) et il lui était interdit de lever les mains au dessus de ce Tsits. C’est pour cela qu’il devait monter sur ces marches.

Selon une autre explication, le fait de monter sur ces marches représente l’humilité d’Aaron au moment d’arranger les bougies car comme on l’a déjà expliqué, il était plus grand que la Menora et n’avait nullement besoin de monter sur ces marches.Mais en acceptant de monter dessus, il montrait par là que même le « grand » doit accepter l’aide du plus petit.

Nos sages nous enseignent que la Menora représente le peuple juif et la bougie représente l’âme du juif.Or il y avait sur la Menora 7 bougies, qui représentent les 7 sortes de personnes (il y a 7 traits de caractère principaux et toutes lesautres qualités découlent d’elles).

Selon une explication, les 3 bougies qui se trouvaient àdroite étaient tournées vers la gauche et celles de gauche étaient tournées vers la droite.Cela pour nous enseigner que les bougies n’avaient pasPour fonction d’éclairer l’endroit mais simplement de luifaire honneur.

Lorsque le texte décrit l’allumage des bougies, le terme utilisé n’est pas « lorsque tu allumeras » mais « lorsque tu feras monter».Ceci pour nous enseigner qu’Aharon ne devaitpas retirer sa flamme jusqu’à ce que la bougie ne brûle d’elle-même.

De la même manière, lorsqu’on aide notre ami à faire briller sa flamme, il ne faut pas l’abandonner tant que l’on n’est pas sûr qu’il peut avancer tout seul !

L’éducation consiste précisément à former l’enfant de manière à ce qu’il continue à avancer seul une fois qu’il aura quitté la maison de ses parents! Ce n’est qu’à ce moment que l’on peut dire que l’éducation est réussie.

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Commentaires sur la Paracha de Beaaloteha

Lorsque l’on constate un défaut (ou plusieurs) chez un enfant (ou un élève) il ne faut surtout pas tenter de résoudre tous les problèmes à la fois. Il faut au contraire choisir, selon l’urgence, un seul problème et faire abstraction des autres.Ce n’est que comme cela que l’on pourra petit à petit résoudre chaque problème.

Il en est exactement de même lorsqu’un malade se présente à l’hôpital. S’il souffre de plusieurs maladies, le médecin s’attaquera en priorité au plus urgent et seulement dans un deuxième temps il s’occupera des autres problèmes.

Il faut parfois faire semblant de ne pas voir ou ne pas entendre.Cela permet de prendre le temps de réflechir à la réaction la mieux adaptée.De plus, quand un enfant a plusieurs défauts, on ne doit pas relever chaque dérapage au risque de rendre la situation insupportable.Or, si on voit et qu’on ne dit rien, cela risque d’être interprété comme de la faiblesse !Le mieux est donc de faire comme si de rien n’était.

Un formateur en éducation nous fit remarquer un jourque nous insistons en général 10 fois plus pour souligner une faute à un enfant ou un manque, quenous ne le faisons pour récompenser une bonne action.Si nous avions à l’esprit d’inverser ces chiffres, les choses seraient bien différentes !!!

L’arme que nous possédons et que, nous n’utilisons quetrop rarement, c’est l’exemple vivant que nos devonsdonner à nos enfants !Un exemple remplace des heures et des heures de

morale !!!

Il faut faire très attention à ne pas nous comporter à l’inverse de ce que nous enseignons à nos enfants.Par exemple, combien de fois notre enfant décroche le téléphone et nous lui signifions de dire que nous ne sommes pas là! Un grand Rav raconte que quand il ne pouvait pas répondre au téléphone, il sortait de la maison. Ainsi son fils ou son épouse pouvait affirmer sans mentir qu’il n’était pas là! Car il est important de faire ce que l’on enseigne si on veut être crédible !

En matière

d’éducation,

l’exemple

que l’on

donne

vaut tous

les

discours !!!

Reb Zéev faisait partie des Juifs simples de sa ville. Il exerçait le métier de cocher et travaillait très dur pour subvenir à ses besoins. Ses connaissances en matière de judaïsme n'étaient guère développées, mais il respectait scrupuleusement les commandements divins.Un vendredi, alors qu'il traversait la forêt sur sa charrette, le soleil

allait se coucher, et Reb Zéev n'était toujours pas arrivé chez lui.Chabbath allait commencer et, pour la première fois de sa vie, il

risquait de le profaner ! Il pensa abandonner sa carriole et son cheval, espérant rejoindre à pied la ville la plus proche. "Malheur à ce pauvre cheval! ", s'écriait-il avec tristesse. Zéev savait pertinemment qu'il n'était guère possible de s'arrêter dans la forêt pour y passer Chabbath caché entre les arbres car, outre le danger que présentaient les bêtes sauvages, il se refusait à rester sans Kidouch et sans repas de Chabbath! Il décida donc de gagner son village coûte que coûte. Lorsque Zéev atteignit son village, les habitants étaient tous à la synagogue. Honteux, il rangea sa charrette et son cheval à l'arrière de sa maison. Avec tristesse, il entra chez lui et commença à pleurer amèrement. D'une voix brisée, il raconta à sa femme ce qui lui était arrivé: Il avait profané le saint Chabbath!Sa femme l'apaisa en disant : «Il est interdit au Juif d'être triste pendant le jour du Chabbath. Tu n'as pas profané Chabbath volontairement ! Ce n'est pas de plein gré que tu as fait un tel péché. Je n'ai aucun doute que tu pourras te faire pardonner ta mauvaise action. De suite après Chabbath, tu iras chez le Rav, et tu lui raconteras ce qui t'est arrivé. Par sa sagesse et sa sainteté, il te dira sûrement comment réparer ta faute ».Zéev écouta le conseil de sa femme. Il lava son visage, mit ses beaux habits, et se tint dans un coin de sa maison pour prier avec ferveur. A la sortie du Chabbath, il se rendit rapidement chez le Rav, et lui fit part de son terrible péché. En racontant son histoire, son visage s'assombrissait, et des larmes coulaient à flots sur ses joues. Le Rav écouta son récit avec patience, et lui dit d'une voix paisible et douce:« Ecoute-moi, mon cher Zéev, D.ieu est un puits de consolation. Cependant, une faute est une faute. Profaner Chabbat n'est pas une chose facile à réparer. Mais comme tu as commis cette faute involontairement, tu peux te faire pardonner en apportant, ce vendredi, avant Chabbath, deux bougies à la synagogue. »La veille du saint jour du Chabbath, Zéev se rendit à la synagogue, tenant dans ses mains deux splendides bougies. La synagogue était vide. Seul, dans un coin, était assis un jeune disciple du Baal Chem Tov, du nom de Yéhiel Mihel, qui consacrait tout son temps à l'étude, et devait devenir par la suite le Saint Maguid de Zlotchov. Il observa avec attention le cocher qui préparait les bougies. Ce dernier, après avoir posé fixement les bougies sur des chandeliers, resta là, immobile devant leur lumière, comme s'il était difficile de se séparer d'elles. Lorsqu'il eut fini, l'élève du Baal Chem Tov vint vers lui, et lui demanda qu’elle était la cause de ce geste si particulier.Zéev, tout tremblant et ému, lui avoua sa faute involontaire, et lui

confia que le geste qu'il avait fait était en réalité une façon de réparer cette profanation. «Comment! Profaner Chabbath !? pensa le disciple du Baal Chem Tov, il est impossible de réparer une telle faute en allumant quelques bougies à la synagogue! ». Il retourna à sa place, et Zéev continua à fixer les flammes qui s'élevaient de ses bougies. À l'entrée du Chabbath, comme pour confirmer l'objection du disciple, un chien fit irruption dans la synagogue, et éteignit les bougies!

Deux veilleuses pour un

chabbath!!!

Le cocher prit cela comme un signe du ciel : Son repentir n'était pas accepté. Le pauvre Juif n'avait jamais ressenti une telle tristesse. Brisé et humilié, il se rendit chez le Rav, et lui rapporta l'événement. Mais celui-ci le rassura en affirmant que cela ne devait être qu'une banale coïncidence, et qu'il lui suffirait de rapporter des bougies à l'entrée du Chabbath suivant.La veille du Chabbath de la semaine suivante, le cocher rapporta des bougies à la synagogue, et les alluma avec ferveur. On entra dans le Chabbath sans qu'aucun chien ne manifeste sa présence, mais, malheureusement, les bougies se mirent à fondre, et s'éteignirent en quelques instants. Devant l'anxiété du pauvre cocher, le Rav se montra confiant : « C'est un simple manque de chance. Les bougies devaient être de mauvaise qualité. Tu en rapporteras de meilleures la semaine prochaine ».Le vendredi suivant, le cocher acheta les plus belles bougies qu'il trouva, et se précipita à la synagogue pour les allumer. Leurs flammes s'élevaient droites et scintillantes, remplissant leur voisinage d'une chaude lumière. Cela dura jusqu'à l'entrée du Chabbath où elles s'éteignirent soudainement.Le Rav comprit alors que l'échec de ces différentes tentatives n'était pas fortuit. Il déclara à Reb Zéev : «Il me semble que ce jeune homme qui étudie en permanence dans la synagogue est à l'origine du refus du pardon de ta faute. Il faudrait que tu ailles chez le Baal Chem Tov pour lui faire part de ces événements. Lui seul pourra t'aider ».Le cocher se rendit immédiatement à Medziboz, chez le Baal Chem Tov. Celui-ci le regarda avec compassion, et écouta attentivement tout son récit. Il répondit : « C'est bien comme l'a dit le Rav de ta ville. Ta faute est pardonnée. Il faut juste que tu te renforces dans ton action. Je te promets que tes bougies seront acceptées avec joie par le Saint, béni soit-II ».Ces paroles redonnèrent du courage au pauvre cocher. Il prit congé du Baal Chem Tov, qui lui demanda de transmettre une lettre à Rabbi Yéhiel Mihel. Lorsque Reb Zéev atteignit son village, il se rendit directement à la synagogue et transmit la lettre à Rabbi Yéhiel Mihel de la part de son maître.Celui-ci l'ouvrit avec une émotion mêlée de joie, et lut avec surprise que le Baal Chem Tov l'invitait à passer le Chabbath auprès de lui. On était mercredi, mais Rabbi Yéhiel Mihel prit immédiatement la route en carrosse pour se rendre à Medziboz, qui se trouvait à quelques heures de là. Malheureusement, il se trompa de route, et le voyage se prolongea deux jours durant. Anxieux et fourbu, le disciple du Baal Chem Tov arriva à Medziboz le vendredi, aux derniers rougeoiements du soleil. Lorsqu'il se présenta devant son maître, celui-ci déclara :« Reb Mihel, je t'ai évité à grand peine de profaner Chabbath! Tu vois et tu comprends donc qu'un Juif qui a commis cette faute contre son gré, et qui l'a regretté de tout son être, peut être pardonné en allumant quelques bougies... ».

Pirké-Avot chapitre 1michna 6

« Eloigne toi du mauvais voisin

Ne t’attache pas au méchant »

La Michna nous met en garde de nous éloigner du mauvais voisin mais une lecture hassidique nous dit précisément le contraire:En rajoutant une simple virgule, le sens de la Michna devient:« Arhék michahène, ra ! »: « Celui qui s’éloigne de son voisin est mauvais !!! »Cependant les deux idées ne sont pas contradictoires, simplement complémentaires:La première interprétation nous met en garde contre l’influence négative que l’on risque de subir par un mauvais voisinage alors que la deuxième interprétation nous demande de rester en contact avec le fameux voisin justement dans le but de l’influencer, le corriger.Car si tu ne l’influence pas, c’est lui qui finira par t’influencer, comme il est rapporté:«Malheur au méchant, malheur à son voisin ! »Il existe 3 manières de comprendre cette phrase:1- Lorsqu’Hachem cherchera à punir le mauvais, son voisinage proche sera puni lui aussi.Dans ce cas, ce n’est qu’au niveau de la punition que leur sort sera identique.

2- Le fait de résider près du mauvais, il en subira l’influence et deviendra lui aussi mauvais.Non seulement il sera puni lui aussi mais il sera lui aussi un méchant.

3- Le fait même que cette personne se soit retrouvée proche du mauvais montre bien qu’il lui était semblable dès le début.Ce n’est pas le voisin qui va faire de lui un méchant mais plutôt l’inverse, puisqu’il est méchant il va chercher à s’installer près de ses semblables.

Dans la Michna, on nous dit:1- Eloigne toi du mauvais.2- Ne t’attache pas au méchant.

Dans le premier cas il s’agit d’un rapprochement physique.Le simple fait de vivre près du méchant risque de nous influencer dans le mauvais chemin.

Dans le deuxième cas, s’attacher est plus fort, plus profond que simplement vivre près du méchant.

Lorsqu’on rentre dans une parfumerie, on en sort forcément parfumé !!!

De même que les Mitsvot purifient l’atmosphère, de la même manière, une ambiance de fauteurs rend l’air irrespirable.Cet air que nous respirons nous influence dans le bon chemin ou bien …

Lorsque Moché et Aharon se présentent devant Paro et que Aharonjette son bâton, il se transforme en serpent, et lorsqu’il le reprend en main, il redevient un bâton !Nos sages apprennent de là, la grande influence du voisinage !Même un enfant Tsadik dans le palais de Paro deviendra un méchant, et de la même manière, un méchant dans la main d’Aharon deviendra un Tsadik !

Le soir, lorsque nous allons nouscoucher, c’est une âme fatiguée que nous restituons à D., et,le matin, c’est une âme fraiche

et dispo que nous retrouvons.

Nous remercions donc Hachemde nous avoir donné la forcenécessaire à accomplir toutes lesMitsvot qui se présenteront à nous cette journée.Car c’est bien pour cette raison qu’Hachem nous donne la force et c’est pour cela que nous devons l’utiliser.

Mais la vraie force de l’homme se situe dans sa tête et se nomme détermination.

Lorsque deux personnes se battent par exemple, même si l’un est beaucoup plus fort que l’autre mais n’est pas énergique, c’est le second qui remportera la victoire même s’il est moins fort et moins entrainé. (Tanya)

L’homme joyeux et confiant aura une tendance à être plus rapide et plus enthousiaste dans l’accomplissement des Mitsvot même s’il est bien plus âgé.

Non seulement le désir et la joie décuplent les forces et permettent d’obtenir de meilleurs résultats, mais la paresse et le désespoir peuvent réellement diminuer nos performances.

Le prophète dit: « La force et la vigueur ne serviront à rien là où l’espoir est absent ! »De même, le Talmud nous enseigne que l’on court plus vite lorsqu’on est poursuivi par un lion !!! Car la peur nous donne des forces.

Ou encore cette fabuleuse phrase du Rabbi:Il est bien plus facile de porter un gros sac de pierre quand on est conscient que ces pierres sont des diamants et qu’elles nous sont destinées !!!

Le Talmud nous rapporte un récit où un roi embauche un agriculteur et lui demande de se présenter le lendemain au palais royal avec sa faux. Il s’engage à le payer bien plus que le prix normal mais quand l’agriculteur arrive le lendemain matin, le roi le fait entrer dans une grande salle marbrée.L’homme se demande ce qu’il doit faire et le roi lui répond:« Tu n’as qu’à faire comme si tu étais dans ton champs ! »« Mais rien ne va pousser ?!? »« Cela ne te regarde pas, travaille donc et je te paierai. »Nous pourrions croire que l’homme sera heureux d’un travail aussi facile et aussi bien payé, mais au bout de quelques instants à peine, l’agriculteur quitte le palais en expliquant au roi qu’il ne peut faire un travail qui ne donnera pas de résultat !!!

L’homme est prêt à faire de gros efforts lorsqu’il en connait la raison; ainsi, si l’homme était conscient qu’il pourrait sauver de la mort une ville entière en se renforçant dans les Mitsvot, il le ferait de bon gré!

Tefila

« Hanotene layaef koah»« Qui donne la force à celui qui est fatigué »