profil 127 octobre 2013

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profille trimestriel de la Mutualité Partena

België - Belgique

P.P. - P.B.

B/729

N° 127octobre/novembre/décembre 2013

mutualité libre aide à domicile accueil des tout petits

La Grande Enquête sur l’utilisation des titres-servicesLes résultats sont connus !

Boutique santéTout pour le dos

EuthanasieBriser le tabou

Partena, le réflexe sain.

Envie d’inviter vos amis et de vous joindre à la fête?Vous êtes satisfait des services de la Mutualité Partena et êtes convaincu que nous pourrions aussi être la mutualité de vos parents et amis? Communiquez-nous leurs coordonnées. S’ils acceptent un rendez-vous, nous vous en récompenserons, et eux aussi!

A l’occasion de leur rendez-vous, vos amis recevront un coffret apéritif commerce équitable, contenant une excellente bouteille de vin blanc et des amuse-bouches. De votre côté, vous avez le choix entre deux places de cinéma ou un bon d’achat de 20 euros à valoir auprès de la Boutique santé Partena.

Surfez sans attendre sur www.fandepartena.beIndiquez les coordonnées de vos parents/amis sur le formulaire en ligne.Nous les contacterons par téléphone en votre nom pour convenir d’un rendez-vous. A l’occasion de ce rendez-vous chez eux ou dans une de nos agences, nous leur remettrons le coffret apéritif.

Nous invitons vos amis pour l’apéro!Et vous bénéficiez vous-même de 2 places de cinéma ou d’un bon d’achat de 20 euros à valoir auprès de la Boutique santé Partena!

Persuadez vos amis!• Nos services sont accessibles 7/7• Qualité et indépendance• Protection optimale et des avantages

qui vous rapportent• Approche personnalisée• Changer sans stress:

En 5 minutes, en ligne

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Ont collaboré à la rédaction de ce numéro: Karima Amrous, Sophie Bitar, Annemie Coëme, Gisele Henrotte, Ilse Hens, Christian Horemans, Pascale Janssens, Pierre Lété, Evelyn Macken, Annemie Mathues, Veerle Mersy, Lynn Pellens, Hellen Smeets, Joeri Staessen, Emilie Vanderstichelen, Katrien Vanderstraeten, Valérie Vander Veken, Barbara Van Ransbeeck, Patricia Verstraete, Steven Vervaet

Secrétariat de rédaction: Ilse Hens, Pierre Lété

E-mail: [email protected]

Composition: Magelaan - Photographie: Reporters, Shutterstock Impression Roularta

Editeur responsable: Stefaan Lauwers Coupure Links 103 - 9000 Gent - T. 09 269 85 01 - Numéro d’entreprise: 0411.696.011La Mutualité Partena OZV (n° OCM 5006c) intervient en tant qu’intermédiaire d’assurances pour la SMA Mutuelle Entraide Hospitalisation (n° OCM 750/01).

Aucun article publié dans ce magazine ne peut être reproduit (totalement ou partiellement) sans l’autorisation préable de la rédaction.Affiliés à l’Union des Editeurs de la presse Périodique

profil N° 127

sommaire 2 Les échos de Profil

4 L’actualité de la mutualité

6 Les plus de Partena

8 La Grande Enquête sur l’utilisation des titres-services

10 Des petits moments de bonheur

11 Coin lecture Lannoo

12 Les jeux vidéo, un jeu dangereux ?

14 Les allergies en milieu professionnel

16 Euthanasie: briser le tabou

18 Boutique santé : tout pour le dos

20 Manger sainement : ce que vous devez savoir

21 Dans votre assiette après 50 ans

22 Migraine ou mal de tête

24 Semaines santé à Dunepanne

26 Vacances jeunes

27 Vacances Partena

Les Mutualités Partena et Euromut unissent leurs forces En février dernier, nous avions annoncé l’alliance d’Euromut avec la Mutualité Partena OZV et Partenamut. Plus de six mois se sont écoulés, au cours desquels nous

avons travaillé durement à la réussite de la collaboration et de l’intégration. Quel est donc l’intérêt de cette alliance, et que signifie-t-elle pour nos affiliés ? Nous avons posé la question à Stefaan Lauwers,

CEO de la Mutualité Partena OZV.

Quel est l’intérêt de cette alliance ?Stefaan Lauwers: De beaux défis s’annoncent pour les mutualités : les évolutions technologiques, le transfert annoncé de compé-tences en soins de santé vers les régions, l’augmentation du nombre de malades chroniques, la progression du nombre de personnes confrontées à une perte d’autonomie en raison de leur âge avancé, la volonté de nos clients de trouver un interlocuteur à tout moment, que ce soit en ligne, par téléphone ou en agence. En unissant nos forces à celles d’Euromut, nous renforçons nos capacités et disposons des moyens de concrétiser notre vision de la qualité et de l’innovation, que nous voulons offrir à nos clients.

Le nouveau groupement d’entreprises – indépendant de toute tendance politique ou de quelque agenda que ce soit – comptera plus d’1,3 million d’assurés et consolidera son ancrage régional. A ses côtés, un fonds d’investissement sera créé, avec la volonté d’encourager l’entrepreneuriat social. Ceci nous permettra de renforcer encore davantage notre rôle social dans des domaines tels que l’intégration sociale, l’aide à domicile et l’accueil de la petite enfance.

Dans quelle phase l’alliance se trouve-t-elle actuellement ? SL: Nos mutualités étaient déjà présentes au sein de l’union des mutualités libres, y développaient de longue date des relations harmonieuses, et poursuivent sur cette voie au travers de ce projet. Il est bien évident que toutes les parties prenantes à l’alliance nourrissent une communauté de projet, celui d’offrir nos services à nos affiliés de manière indépendante et solidaire, à chaque stade de leur existence.

Le processus de regroupement de nos mutualités respecte le calendrier prévu. Au 1er janvier 2014 en Région flamande, Euromut et Partena OZV, active sur ce territoire, ne formeront plus qu’une seule entité juridique.

Quelles conséquences pour les affiliés ?SL: Notre alliance n’aura que des conséquences positives pour nos affiliés. La présence renforcée de notre groupement d’entreprises sur le marché, nous permettra d’encore mieux défendre leurs intérêts.

A partir du 1er janvier le nom d’Euromut sera remplacé en Flandre par celui de la Mutualité Partena OZV. Par le fait même, notre réseau d’agences, désormais commun, s’en trouvera renforcé. L’offre des avantages complémentaires réservés à nos clients en sortira aussi élargie. Nous y reviendrons plus en détail dans le prochain numéro de votre magazine.

Nos services à la clientèle restent bien évidemment assurés. Nos affiliés n’ont ainsi aucune raison de craindre des changements impromptus. Tous les développements seront toujours commu-niqués en temps opportun, et placés dans leur contexte.

Nous sommes convaincus que cette alliance nous offre l’opportunité d’apporter une réponse adaptée et forte aux grands défis de société qui se présentent. Votre santé et votre bien-être méritent toute notre attention ! C’est ce à quoi s’engagent tous nos colla bo-rateurs.

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SOyEZ PLuS MALIN QuE LA grIPPE !Cet hiver, la grippe sera à nouveau de passage dans notre pays. En moyenne, une personne sur dix contractera cette maladie con-tagieuse. Dans la plupart des cas, la grippe ne dure que quelques jours, mais elle peut parfois entraîner de graves conséquences. Pour certaines personnes, la vaccination est fortement conseillée afin de réduire les risques d’infection. C’est notamment le cas des femmes se trouvant dans le deuxième ou le troisième trimestre de leur grossesse au moment de l’épidémie de grippe. Parlez-en à votre médecin.

Le mieux est de le faire entre octobre et mi-novembre. Le vaccin est efficace après deux semaines et vous protégera pendant tout l’hiver. Comment vous faire vacciner ?

• Demandez une prescription à votre médecin.

• Grâce à elle, procurezvous le vaccin en pharmacie, et conservez-le au réfrigérateur.

• Faitesvous vacciner le plus vite possible par votre médecin.

Dans le cadre de son Package d’avantages, la Mutualité Partena rembourse une fois par an le ticket modérateur du vaccin contre la grippe, et ce quel que soit votre âge. L’assurance maladie légale prévoit aussi des remboursements pour les personnes apparte-nant à des groupes à risques.

Plus d’info à ce propos sur www.vaccination-info.be !

MOINS dE NAISSANCES PréMAturéES grâCE à L’INtErdICtION dE fuMErSelon une étude de l’Université de Hasselt, depuis l’interdiction de fumer dans le secteur Horeca décidée en 2006, le nombre de bébés prématurés a diminué de 6 %. Jusqu’en 2006, le nombre de nais-sances prématurées était resté stable dans notre pays.

Avec l’interdiction de fumer dans les restaurants instaurée en 2007, le nombre de bébés prématurés a diminué de 3,13 %, et avec l’interdiction dans les cafés, une nouvelle diminution de 2,65 % a été enregistrée. Depuis 2007, la diminution est donc d’environ 6 %, soit environ 360 prématurés par an en moins.

Les conséquences néfastes du tabagisme passif et actif durant la grossesse sont évidentes. Les risques de naissance prématurée et de poids plus faible du bébé sont en effet plus élevés. Cette étude démontre donc l’importance de la législation actuelle sur le tabac.

LE trAItEMENt dE LA déPrESSION ChEZ LES AdOS ESt INAdAPté !La dépression chez les jeunes se différencie de celle observée chez les adultes. En théorie, elle se traite par la psychothérapie, seule pour les formes légères à modérées mais en association avec un antidépresseur pour les formes plus sévères. Or dans la réalité, selon une étude réalisée par les Mutualités Libres, cette prise en charge ne correspond pas aux recommandations de bonne pratique.

Parmi les principales conclusions, il s’avère que trop d’anti dé presseurs sont consommés pendant une durée insuffisante (31 % pendant moins d’un mois, 59 % sur moins de 3 mois). Dans de telles conditions, la prise d’antidépresseurs peut être considérée comme un traitement inapproprié. L’étude révèle aussi que seule une minorité des ado-lescents traités par antidépresseurs suivent des séances de psycho thérapie remboursées dans le cadre des avantages complémentaires des mutualités.

Les Mutualités Libres considèrent que le comportement de prescription des anti-dépresseurs aux adolescents et la prise en charge de leurs troubles dépressifs sont loin d’être idéales. C’est pourquoi elles énoncent une série de recommandations, dont notamment :• la prise en charge de la dépression des ados par des praticiens spécialisés en la matière• le remboursement de séances de psychothérapie sur base de critères tels que la

reconnaissance officielle du titre de psychothérapeute à partir d’éléments objectifs, ou la détermination des types de psychothérapie pouvant faire l’objet d’un remboursement

Pour en apprendre davantage, sur la dépression chez les adolescents, surfez sur www.mloz.be.

Les échos de Profil


LE 14 NOVEMbrE 2013: JOurNéE MONdIALE du dIAbètE La Journée mondiale du Diabète a été célébrée pour la première fois en 1991 à l’initiative de la Fédération Internationale du Dia-bète (FID) et de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). A l’époque, il s’agissait pour les organisateurs de réagir face à la pro-gression inquiétante du diabète à travers le monde, parmi la popu-lation adulte, mais aussi parmi les enfants.

Bien que le diabète soit la pandémie la plus importante, nous sommes peu nombreux à savoir ce que représente précisément la maladie. Le diabète est une affection chronique qui se traduit par l’incapacité du corps à encore réguler lui-même la concentration de glucose dans le sang. Cette maladie est une cause parmi les plus importantes de nombreuses autres pathologies, exerçant une réelle influence sur la vie quotidienne des patients, et souvent sur celle de leur entourage. Les patients doivent ainsi veiller à lon-gueur de journées à mesurer et à réguler leur glycémie.

L’impact du diabète n’est pas le même pour tous les patients. Les diabétiques se posent souvent de nombreuses questions en rela-tion avec la maladie: Comment s’en accommoder dans la vie quoti-dienne ? Comment prévenir les complications ? Qu’y faire soi-même ? Auprès de quels intervenants trouver aide et conseils ? …

Plus d’info sur le diabète sur bonpourvous.be, sous ‘Santé’, ‘Maladies chroniques’

LE 16 OCtObrE 2013, C’ESt LA JOurNéE dES SOIgNANtSLe nombre de soignants actifs dans le secteur des soins de santé est en augmentation constante. C’est pour souligner l’importance de leur rôle que la Journée des soignants est organisée le 16 octobre 2013 !

Les soignants exécutent des prestations de soins. Ils apportent leur soutien au patient pendant son traitement, mais outre cette aide concrète et pratique, ils prêtent aussi une oreille attentive au patient et à son entourage proche. Les soignants se partagent entre travail auprès des patients à domicile, et travail en institutions hospitalières ou en maisons de repos et de soins.

Au cours des deux dernières années, le nombre de soignants a fortement augmenté, 1 emploi sur 10 étant même occupé par un homme, aujourd’hui.

Partena aide aux Familles tient à remercier tout particulièrement ses intervenants pour leur engagement de tous les jours.

uN été MEurtrIEr?Le mois de juillet écoulé a été marqué par une importante vague de chaleur. Ces températures élevées ont clairement eu un impact au niveau des statistiques de mortalité. L’Institut Scientifique de Santé Publique (ISP) s’attend, en effet, à un excès de mortalité d’environ 600 personnes.

Sur base de ses premiers pronostics, l’ISP s’attend à une surmortalité de 8,5 % par rapport à un mois de juillet ‘normal’, soit une hausse de 600 décès. Cette augmentation n’est pas étonnante vu la vague de chaleur et le dépassement du seuil européen d’information de l’ozone. Au cours d’un mois de juillet ‘normal ‘, notre pays enregistre 7.744 décès. Nous devrions donc arriver à 8.344 décès.

La chaleur n’est pas l’unique responsable de cette hausse du nombre de décès. En juin déjà, un excès de mortalité de 700 cas a été signalé. L’ISP analyse actuellement le nombre de décès au cours des mois d’hiver et pourra déterminer si une surmortalité chez les personnes âgées et les personnes en moins bonne santé a également pu être constatée.


L’actu de la mutualité

un ensemble de mesures offrant davantage de possibilités aux personnes qui se font soigner à l’étranger seront d’application à partir du 25 octobre 2013, date d’entrée en vigueur de la nouvelle directive européenne relative aux soins de santé transfrontaliers. Est-ce la fin des frontières pour la mobilité du patient européen ? Nous vous proposons une présentation détaillée de ces nouveautés ainsi que des nuances dont il faudra tenir compte !

Qu’ESt-CE QuI ChANgE ?Cette directive représente une évolution importante pour le patient qui souhaite aller se faire soigner de l’autre côté de la frontière. Les différentes directives auront un impact posi-tif sur les éléments suivants :

1 La mobilité du patientEn principe, vous ne devrez plus demander l’autorisation de la mutualité pour vous faire soigner dans un autre Etat membre. A votre retour, vous aurez également droit aux rembour-sements que vous auriez reçus pour le même traitement en Belgique.

Attention : pour les hospitalisations, les traitements et examens onéreux, vous devez tou-jours demander un accord préalable. Si le traitement reçu à l’étranger n’est pas reconnu ou s’il n’est pas remboursé par l’assurance maladie légale belge, vous risquez de vous exposer à de mauvaises surprises.

2 La diffusion d’informationsDans chaque Etat membre, des points de contact nationaux vous informeront des conditions de remboursement, des normes de qualité et de sécurité, des procédures de plainte ou de contentieux, etc. Vous pourrez ainsi faire un choix de traitement en toute connaissance de cause. Pour plus d’informations sur les démarches à entreprendre, n’hésitez pas à consulter la mutualité !

3 Les médicamentsvous pourrez acheter des médicaments et du matériel médical dans une pharmacie à l’étranger grâce à une prescription établie belge. Vous serez remboursé à votre retour aux tarifs et conditions belges. Cette disposition ne s’applique toutefois pas aux prestations médicales (par exemple une prescription de kinésithérapie).

4 Les réseaux de référenceCes réseaux doivent favoriser la collaboration entre les différents hôpitaux européens. Dans le domaine des maladies rares, l’échange d’expertise sera par exemple stimulé et les capaci-tés de recherche, d’établissement de diagnostic et de traitement seront mieux harmonisées.

Europe : patients sans frontières ?


L’actu de la mutualité

Adieu la carte SIS !tous les assurés sociaux en belgique possèdent une carte SIS contenant des données relatives à leurs droits aux soins de santé. A partir du 1er janvier 2014, la carte SIS disparaîtra et c’est la carte d’identité électronique (eId) qui prendra la relève. des mesures transitoires sont aussi prévues. Petit aperçu…

QuELQuES dAtES CLéSLa carte SIS ne disparaîtra pas du jour au lendemain. La transition vers l’eID se déroulera progressivement : • Depuis janvier 2012, certains

pharmaciens demandent déjà l’eID au lieu de la carte SIS.

• Fin 2013, les cartes SIS émises en 2003 arriveront en fin de validité. Il en sera peu à peu de même pour toutes les cartes SIS émises après 2003.

• Dès le 1er janvier 2014, les cartes SIS valables seront uniquement utilisées pour l’identification.

Jusqu’au 31 décembre 2013, le pharmacien peut vous demander indifféremment votre carte SIS ou votre eID. En cas de contradic-tion entre les informations des deux cartes, c’est l’eID qui primera, dans la mesure où les données de la carte d’identité sont mises à jour 24 h sur 24, dans le but de combattre la fraude sociale.

A partir du 1er janvier 2014, la mutualité n’émettra plus de cartes SIS. Les cartes SIS volées, perdues ou arrivées en fin de vali-dité ne seront plus remplacées.

Important : Pour connaître la date de fin de validité de votre carte SIS, ajoutez 10 ans à la date indiquée en bas à droite de votre carte (début de validité).

QuEStIONS - réPONSES

? Que faire avec ma carte SIS ?Conservez-la tant qu’elle reste valide. Les pharmaciens ou les hôpitaux peuvent encore l’utiliser jusqu’au 31 décembre 2013, puis elle disparaîtra progressivement.

? Que faire si je n’ai pas d’eId ?Si vous ne remplissez pas les conditions pour avoir une eID, vous recevrez en 2014 une carte appelée ISI+, sur laquelle figurera votre numéro de registre national. Elle sera

remise aux enfants de moins de 12 ans et aux personnes n’ayant pas d’eID, mais inscrites auprès d’une mutualité en Belgi-que comme, par exemple, les travailleurs transfrontaliers et les membres de leur famille. Cette carte pourra être utilisée en lieu et place de l’eID.

? y-a-t-il des démarches à accomplir auprès de la mutualité ?Non. Mais ayez toujours votre carte SIS et votre eID (ou tout autre document d’identité électronique) sous la main, si vous vous ren-dez dans une pharmacie, à l’hôpital ou chez un dispensateur de soins.

? Les vignettes existeront-elles toujours ? Oui, l’utilisation des vignettes reste ce qu’elle est. Continuez à les coller sur les attestations de soins et tout autre document destiné à la mutuelle.

? L’eId remplacera-t-elle la carte européenne d’assurance maladie ? Non. L’utilisation de l’eID dans le cadre des soins de santé ne vaut qu’en Belgique uni-quement. La carte européenne d’assurance maladie est donc toujours valable si vous voyagez à l’étranger.

PrOtECtION dE LA VIE PrIVéEVos données d’assurance soins de santé ne sont pas enregistrées sur votre eID. Cette carte donne seulement accès au réseau sécurisé MyCareNet qui permet l’échange d’informations entre votre mutualité et les différents dispensateurs de soins. Votre mutualité, les hôpitaux, les médecins ou les pharmaciens ne peuvent donc pas consulter les données personnelles figurant sur l’eID.


bESOIN dE VIgNEttES ?Vous n’avez plus de vignettes sous la main ? Pas de panique, vous pouvez en commander ou même les imprimer grâce au Guichet on-line.

Le Guichet on-line, c’est régler vous-même vos formalités de mutuelle. Facilement, rapidement et quand vous le souhaitez !

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MOINS dE tItrES-SErVICES déduCtIbLES fISCALEMENt EN 2014Dans le cadre de ses travaux budgétaires, le Gouvernement fédé-ral a pris une décision qui a un impact sur l’utilisation des titres-services. La déductibilité fiscale est désormais limitée à 150 titres-services par personne et par an. Sur la déclaration d’impôts (revenus 2013), on ne pourra donc plus déduire que 150 titres-services (achetés en 2013). Cette limitation vaut depuis le 1er juillet 2013.

Concrètement: si vous avez acheté plus de 150 titresservices avant le 1er juillet, vous pourrez encore tous les valoriser fiscale-ment. En revanche, pour ce même cas de figure, les titresservices achetés après le 1er juillet ne pourront plus l’être.

NOtrE CONSEIL ! Si vous faites appel à une aide-ménagère pendant 4h (ou plus) par semaine, il y a de grandes chances que vous achetiez plus de 150 titres-services par an. Partena Aide à domicile propose à ses clients de commander des titres-services aussi au nom de leur partenaire. Un couple peut ainsi valoriser fiscalement un maxi-mum de 300 titres-services au lieu de 150.

Peut-être pourrez-vous en profiter ? Vous pouvez vérifier combien de titres-services vous avez déjà achetés en 2013, grâce à votre compte personnel sur le site de Sodexo.

L’hOSPItALISAtION SANS SOuCISSaviez qu’il y a une ‘chance’ sur trois qu’un membre de votre ménage doive tôt ou tard être hospitalisé ? Sans parler du risque de ‘tomber malade’ à la vue des suppléments facturés…

Vous pouvez fort heureusement vous mettre à l’abri de tels désagréments. A tout le moins, si vous choisissez Hospitalia. Cette assurance hospitalisation à la couverture étendue offre un excel-lent rapport qualité-prix. Ainsi, Hospitalia Plus vous permet, entre autres choses, de bénéficier du confort d’une chambre individuelle, et de ne pas devoir supporter de franchise.

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Les plus de Partena

WEIght WAtChErS: POur uN StyLE dE VIE PLuS SAIN Vous aimeriez atteindre un poids correct pour votre santé ? Weight Watchers est le partenaire idéal. Weight Watchers organise des sessions dans plus de 500 endroits, partout en Belgique. Il y en a certainement une tout près de chez vous.

Grâce au Pass Lib de Weight Watchers, vous êtes le bienvenu à tous les cours et avez aussi accès au programme en ligne. Comme client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez d’une réduction de 34,50 euros sur votre premier mois avec le Pass Lib. A cela s’ajoutent 3 remboursements de chaque fois 10 euros pour les trois premiers cours suivis dans votre région.

Vous préférez suivre le programme en solo de chez vous ? C’est tout à fait possible grâce au programme en ligne. Comme client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez d’une réduction de 20 euros pour vos 3 premiers mois d’abonnement en ligne !Ces avantages sont valables jusqu’au 31/12/2013 inclus.


régLEZ VOS COtISAtIONS MutuALIStES grâCE à LA dOMICILIAtION EurOPéENNE Il y a déjà quelque temps que les institutions compétentes travaillent à l’harmonisation des services bancaires dans l’espace unique de paiements en euros (le SEPA, en abrégé). Ainsi, vous connaissez déjà les virements européens, par exemple.

La Mutualité Partena est elle aussi passée à la domiciliation européenne et fait le nécessaire pour que cette transition s’effectue au mieux de vos intérêts. Si vous payez déjà vos cotisations par domiciliation bancaire, vous pouvez dormir sur vos deux oreilles. Votre domiciliation, désormais appelée ‘mandat’, sera transférée automatiquement et poursuivra son cours sans que vous n’ayez rien à faire. Si vous réglez vos cotisations mensuellement ou trimestriellement par domiciliation, nous vous adresserons, début octobre, un courrier détaillant plus précisément le processus.

Plus d’info sur la domiciliation européenne: www.sepabelgium.be

LA MutuALIté PArtENA VOuS fACILItE L’ExIStENCE grâCE à CAddyhOME LE SErVICE dE LIVrAISON à dOMICILE dE dELhAIZEFaites vos courses hebdomadaires de chez vous sur la boutique en ligne CaddyHome de Delhaize. Pas besoin de trimballer vos courses, ni de perte de temps aux caisses: CaddyHome vous apporte votre commande à domicile.

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‘Client Partena suivi de votre numéro d’affiliation’ dans le champ ‘Votre message’ à l’étape 4 du processus de commande. N’indiquez rien sous la rubrique ‘Code avantage’.

• Ou commandez par téléphone au T. 02 378 38 80, et donnez le code à l’opérateur. Le service est accessible du lundi au vendredi, de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h.

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Partena aide à domicile

La grande Enquête sur l’utilisation des titres-services: les résultats

Partena a utilisé divers canaux de communication afin de sonder les attentes et les expériences du public par rapport à l’utilisation des titres-services. Nous avons enregistré pas moins de 1.870 participants, clients ou non de Partena. Si quelques chiffres et tendances remarquables se dégagent des résultats récoltés, l’enquête a aussi révélé son lot d’anecdotes, toutes plus savoureuses les unes que les autres !

Que les travaux d’entretien de l’habitation restent très souvent une ‘prérogative’ féminine apparaît clairement au travers des données récoltées à la faveur de l’enquête. Ainsi, 84% des questionnaires ont été complétés par des dames. Et constatation assez surprenante, c’est la réponse ‘moi-même’ qui arrive en deuxième position en écho à la question ‘Qui nettoie le mieux ?’. Quelque 45% des répondants ont choisi ‘mon aideménagère’. De quoi pouvoir affirmer que de très nombreuses personnes sont satisfaites de l’aide reçue.

Malgré ce fort degré de satisfaction, certains clients avouent avoir de la peine à se décharger complètement des tâches de net-toyage de l’habitation. Ainsi, un quart des personnes utilisant les titres-services manient encore l’éponge et l’aspirateur avant le passage de leur aide-ménagère. La crainte de laisser un intérieur ‘trop négligé’ existe donc bel et bien chez certaines per-sonnes, contrairement à la crainte de laisser l’aideménagère seule dans l’habitation, puisque 66% des répondants ne restent pas à la maison pour leur aideménagère. Mieux même, 1 personne sur 3 lui confie une clé de l’habitation.

La confiance est donc souvent présente, et ça ne s’arrête pas là. En effet, 93% des partici-pants indiquent avoir noué des liens avec leur aide-ménagère. Et pour près de la moitié de ces répondants, la relation est plus personnelle. Et ceci recouvre de nombreux aspects, allant de conseils de nettoyage, ou d’un appui concret à l’aideménagère jusqu’à de petits cadeaux offerts pour des occasions particulières.

dE QuELLES QuALItéS L’AIdE-MéNAgèrE IdéALE dISPOSE-t-ELLE ?• Prendre des initiatives (90%)• Être fiable (82%)• Nettoyer comme vous le feriez vous-même (60%)• Se montrer aimable et faire preuve de discrétion (44%)• Connaître son métier (33%)


La grande Enquête sur l’utilisation des titres-services: les résultats

Des nombreuses anecdotes recueillies, il ressort que l’aideménagère est devenue indis-pensable. “C’est chouette de rentrer chez soi dans une maison toute pimpante, envahie d’une agréable odeur de ‘propre’, et de remarquer que quelques petites choses ont été faites, comme la tasse du matin laissée sur le plan de travail qui a été nettoyée, ou qu’un nouveau rouleau de papier WC a été placé sur le support mural, …”

Pour certaines personnes, les services rendus par leur aideménagère vont encore plus loin: “J’avais égaré mes clés, et me trouvais dans l’impossibilité de rentrer chez moi en fin de soirée. Le temps d’appeler mon aide-ménagère et elle m’apportait la précieuse clé,… et une portion de spaghetti, au cas où je n’aurais encore rien mangé …” Les récits amusants, attendrissants ou surprenants sont légion. ”Mon mari lui avait demandé si elle voulait nettoyer en bas. Il voulait parler du séjour et de la cuisine, mais notre aide-ménagère a cru qu’il parlait du garage… Qui n’a jamais été aussi propre !”

Quelque 73% des personnes ayant participé à l’enquête sont réellement attachées à leur aideménagère, préférant renoncer à son remplacement quand il lui arrive de ne pas pou-voir venir travailler.

La conclusion générale de cette enquête ? Le constat que presque tous les utilisateurs de titres-services apprécient les prestations de leur aide-ménagère, tant sur le plan professionnel que personnel

Vous aussi, vous aimeriez disposer d’une aide-ménagère sur laquelle vous pourrez compter ?Surfez sur www.partena-titres-services.be et demandez en ligne votre aide-ménagère !

QuEL ESt LE MEILLEur CONSEIL QuE VOuS AyEZ JAMAIS rEçu dE VOtrE AIdE-MéNAgèrE ?• Commencer par les tâches qu’on a le moins de plaisir à effectuer.• Plier les genoux pour essorer la serpillière.• Utiliser du vinaigre plutôt qu’un nettoyant tous usages. C’est aussi efficace mais

meilleur pour l’environnement et plus économique. • Percer la serpillière en son centre pour qu’elle soit toujours bien fixée.

Je range et je nettoie un peu 25%

Rien 5%

Je ne fais que ranger

70%

Oui 34% Non

66%

Oui31%

Non69%

Dans quelle mesure rangez-vous et nettoyez-vous avant le passage de

votre aide-ménagère ?

Restez-vous chez vous quand votre aide-ménagère vient travailler ?

Votre aide-ménagère dispose-t-elle d’une clé de l’habitation ?


SOyONS gENtILS !Gentil ! Avec le temps, cet adjectif à peu à peu pris une connotation péjorative. Pour-tant, la gentillesse est un comportement positif pour soi et pour les autres. Elle per-mettrait même de rester en forme. Une rai-son de plus pour en abuser sans modération !

Une étude menée au Japon a analysé la gentillesse et son lien avec le bonheur. Résultat, les personnes les plus gentilles au quotidien, sont également celles qui s’estiment les plus heureuses.

rIONS !‘Le rire est une chose sérieuse avec laquelle il ne faut pas plaisanter’, disait Raymond Devos. Le rire a de nombreux effets bénéfi-ques sur la santé.

- Le rire facilite la digestion Les contractions du diaphragme sont une véritable gymnastique interne qui agit sur les poumons, les organes abdominaux et le système cardiovasculaire en produisant un effet puissant de relaxation. Le rire jouerait même un rôle de prévention cardio vasculaire en facilitant la circulation sanguine et en prévenant la formation de caillots.

- Le rire est un rempart contre le stress et la douleur Le rire permet de secréter des endorphines, qui ont un effet avéré sur le stress et la perception de la douleur.

- Le rire nous rend plus heureux Avoir de l’humour aide à prendre de la distance par rapport aux événements difficiles. Lors d’événements graves, cultiver une forme d’autodérision permet de mieux résister aux émotions négatives.

Le rire est aussi fédérateur, lorsque l’on rit ensemble, de bon cœur, cela permet

d’entre tenir le lien social. Souriez dès que vous le pouvez, d’un sourire franc... le sourire est communicatif et ouvre la porte au rire.

Les spécialistes recommandent environ 10 minutes minimum de rire par jour pour rester en bonne santé. Facile ? Détrompez-vous : selon une étude allemande, dans les années ‘50, les gens riaient en moyenne 18 minutes par jour, contre 6 minutes aujourd’hui…

Et bravo aux femmes, qui rient plus que les hommes !

PENSONS PréSENt !Selon une étude menée récemment à Har-vard, nous passerions près de 50 % de notre

temps à penser à autre chose qu’au moment présent. Le fait d’être constamment préoccupés par le passé et ses regrets ou le futur et son stress a des effets négatifs sur notre niveau de stress et donc notre niveau de bonheur.

Une manière très simple de revenir au moment présent est de nous arrêter un moment et de prêter attention à notre respiration. Nous respirons tout le temps (heureusement !) mais nous en sommes rarement conscients. Arrêtez-vous 3 fois par jour pour observer votre respiration pendant 3 minutes. Soyez attentif au rythme de la respiration et aux sensations qu’elle produit dans votre corps.

LA PENSéE POSItIVE POur LES NuLS : MOdE d’EMPLOIVoici quelques techniques à mettre en place afin de vous aider à modifier votre façon de penser...

• Documentez-vous sur la pensée positive : articles, livres, conférences...

• Utilisez la visualisation. Essayez de visualiser dans votre esprit des objets, des moments de votre vie, des couleurs,… qui dégagent une sensation de bien-être.

• Utilisez des mots positifs. Évitez les mots négatifs. Essayez de toujours avoir des conversations positives avec vos interlocuteurs.

• Souriez. Si vous souriez aux autres personnes, automatiquement cela dégage une aura positive autour de vous. Votre sourire n’est que le reflet de votre attitude positive.

• Agissez avec gentillesse. Développez votre gratitude, sachez être reconnaissant, n’oubliez pas de remercier, pensez aux autres.

• Faites des choses qui vous rendent heureux. Adonnez-vous à des plaisirs simples : faites une belle balade, regardez des films, lisez des livres, écoutez de la musique.

• Surveillez vos émotions. Essayez de vous en tenir à des sentiments de bonheur, de succès et de force. Évitez les sensations de faiblesse, de peur et de doute.

• Être conscient des pensées négatives. Quand vous avez une pensée négative, cherchez d’où elle vient et comment y faire face.

• Ne lâchez pas prise. Ce travail n’est pas toujours évident, c’est la raison pour laquelle vous devez faire un effort sur vous-même.

Des petits moments de bonheur !Le regard que nous portons sur nous-mêmes et sur ce qui nous arrive influence notre bonheur. Nous pouvons voir la vie avec pessimisme ou optimisme. de nombreuses études montrent que l’optimisme génère moins de stress, de meilleures performances, une meilleure santé et même à une plus grande longévité. Et heureusement, l’optimisme peut s’apprendre !


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Les jeux vidéo: un jeu dangereux?


‘Addictif’, voilà comment les jeunes qualifient un jeu vidéo qu’ils trouvent captivant. Mais à partir de quand peut-on parler de réelle addiction aux jeux vidéo ? Quelles sont les conséquences possibles ? Existe-t-il une façon de ‘jouer sainement’ ? Le psychothérapeute Mark frederickx nous donne quelques explications sur ce ‘délassement’ de nombreux jeunes gens.


ACCrO Ou déPENdANt ?Vous l’avez peut-être déjà vécu en tant que parent : votre enfant joue à un jeu vidéo et il est tellement absorbé qu’il remarque à peine ce qui se passe autour de lui. Faut-il y voir les premiers signes d’une dépendance aux jeux vidéo ? “Certainement pas”, rassure Mark Frederickx, psychothérapeute au Centre psychiatrique Broeders Alexianen à Tirlemont. “Le mot ‘dépendance’ nous vient trop vite à la bouche. Les véritables dépen-dants constituent un très petit groupe. Il s’agit surtout de jeunes présentant une prédisposition à la dépendance, tellement passionnés par leurs jeux vidéo qu’ils per dent le contact avec la réalité. Par contre, pour la plupart des jeunes, les jeux vidéo constituent même un passe-temps enrichissant. Il ne faut pas parler trop vite d’addiction.”

ISOLEMENtA partir de quand s’agit-il vraiment d’une véritable dépendance ? “Il existe différentes définitions”, précise Mark Frederickx. “Je ne parle de problème que lorsque des tâches propres à l’âge du joueur ne sont plus remplies. Cela se traduit, par exemple, par de mauvais résultats à l’école, la perte de contact avec les amis,… Il est encore trop tôt pour citer d’autres critères, car ce phéno-mène n’a pas encore fait l’objet de beaucoup d’études scientifiques.”

Il n’est donc pas du tout évident pour les parents de repérer une dépendance aux jeux vidéo chez leurs enfants. “De plus, la dépendance est souvent déjà enracinée profondément lorsque les symptômes deviennent manifestes”, reconnaît Mark Frede rickx. “Comme je l’ai déjà dit, la plupart des jeunes peuvent faire face au caractère addictif des jeux vidéo, mais chez un petit nombre d’entre eux, de graves problèmes peuvent survenir. Pensez aux enfants qui rentrent de l’école et qui, sans un mot, se précipitent dans leur chambre avec quel-ques bouteilles de soda et des paquets de chips. J’ai même traité un joueur qui urinait dans une bouteille pour recommencer plus vite à jouer. Ces jeunes se renferment complètement, ne prennent plus soin d’eux et combinent parfois leur dépendance au jeu avec des drogues douces.”

LE PrOfIL du JOuEur déPENdANtLa plupart sont des garçons de 16 à 17 ans, jusqu’à environ 20 ans. Les filles sont souvent plus actives sur les médias sociaux.

Pour donner un pourcentage, on peut citer une étude récente de l’Université de Louvain qui a montré que 10 à 12 % des jeunes utilisent Internet de manière problématique. “Je trouve ce chiffre beau coup trop élevé”, nuance Mark Frederickx. “Car que signifie ‘problématique’ ? On compte par exemple le nombre d’heures passées devant le pc, mais il ne faut pas oublier les autres activités pour lesquelles il est nécessaire d’utiliser Internet, comme certains travaux scolaires. Nous devons donc rester prudents face à de tels chiffres.”

du VIrtuEL Au réEL Lorsque le mal est fait, il est surtout impor-tant que les parents renouent le dialogue avec leur enfant et lui montrent leur intérêt. “Débrancher le portable ou la console de jeu provoque l’effet inverse et suscite même de l’agressivité. Souvent, les parents ne savent pas ce que leur enfant est en train de faire précisément. Communiquer avec lui leur permet de renouer le contact.

Pour les joueurs dépendants, la reprise de la vie sociale constitue souvent le plus grand obstacle. Ils vivent en majeure partie dans un monde virtuel et il leur est très dif-ficile de revenir dans la réalité. Souvent, ils ont déjà manqué pas mal d’opportunités sur le plan social et reprendre le fil de leur vie est une mission très ardue.”

LE trAItEMENt Cela fait déjà six mois qu’en tant que psycho thérapeute, Mark Frederickx accom-pagne des jeunes accros aux jeux. Comment procèdetil avec eux? “Tout d’abord, j’analyse le problème avec le joueur con-cerné, le temps d’une conversation. Ensuite, je lui demande d’apporter son pc portable et de me montrer à quoi il joue. En lui posant de simples questions sur le jeu, je tisse un lien avec lui et j’arrive à rentrer dans son monde. Je ne connais pas grand-chose à ces jeux, mais j’ai une large expérience des dépendances. Et je parviens ainsi à établir un dialogue avec le jeune joueur. Par ailleurs, j’utilise aussi un programme qui enregistre les activités sur le pc. Cela me permet de montrer noir sur blanc au joueur combien de temps il passe sur son pc, car bien vite, le jeune ne s’en rend même plus compte.”

Quel est le but final du traitement ? “Pour moi, le jeune accro ne doit pas jeter ses jeux vidéo à la poubelle. J’essaie de faire dimi-nuer le nombre d’heures de jeu, mais je me

concentre surtout sur les autres activités sociales. De fait, briser l’isolement reste le plus grand défi. Il arrive aussi fréquemment que je découvre d’autres problèmes tels que la dépression, d’autres addictions ou l’autisme. J’y travaille alors avec le jeune joueur.

L’AIdE APPOrtéE : AuJOurd’huI Et dEMAINLa recherche sur la dépendance au jeu n’a pas encore atteint la phase de la maturité et l’aide apportée reste encore sommaire. Par ailleurs, il n’existe encore aucune interven-tion de la part de l’assurance maladie et dans le DMS-5 (la bible de la psychiatrie), cette problématique n’est évoquée que dans les annexes. De nombreuses études sont encore nécessaires et nous avons encore beaucoup de choses à apprendre.”

Approfondir nos connaissances dans ce domaine ne sera pas un luxe superflu, car, selon Mark Frederickx, l’avenir ne s’annonce pas très rose. “Je pense que les problèmes de dépendance aux jeux vidéo ne feront qu’augmenter. Il existe déjà aux Pays-Bas un hôpital qui peut accueillir les joueurs dépendants, et je suppose qu’à moyen terme, nous serons obligés d’envisager aussi cette possibilité. Actuellement, ce n’est pas encore réalisable.”

JOuEr SAINEMENt, C’ESt POSSIbLE ! En raison de leur caractère addictif, les jeux vidéo traînent une mauvaise réputation, mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. “Pour la plupart des jeunes, les jeux vidéo ont même une valeur éducative”, insiste Mark Frederickx. “Ils permettent notamment de favoriser la coordination yeux-mains, le multitâches, les capacités à résoudre les problèmes, le sens de l’analyse, etc. Les gens oublient parfois ces caractéristiques positives. Nous sommes même en train de développer un jeu pour la prévention de l’usage abusif de l’alcool et des drogues à l’école, avec quelques jeunes toxicomanes soignés dans notre départe-ment. Dans d’autres hôpitaux, comme à l’hôpital académique de Louvain, on utilise aussi les jeux vidéo, par exemple dans le traitement des enfants souffrant de brûlures.”

PLuS d’INfOS?Visitez le site www.cyberdependance.be pour un complément d’info et des conseils à ce propos ! Les jeunes peuvent y tester leur comportement de jeu et les parents y trou-veront de nombreux conseils.


Les allergies en milieu professionnel

bon an mal an, on enregistre, en belgique, environ 25 nouveaux cas d’allergies respiratoires d’origine professionnelle par million de travailleurs. A ce jour, plus de 400 allergènes ont été identifiés dans le milieu du travail, et peuvent provoquer rhinite, asthme, eczéma ou urticaire. A quoi est due une allergie professionnelle et comment l’éviter ?

rECONNAîtrE uNE ALLErgIE PrOfESSIONNELLE Une allergie est dite ‘professionnelle’ si elle résulte directement de l’exposition d’un travailleur à un allergène sur son lieu de travail, ou si elle est causée par une exposi-tion indirecte dans le cadre de son activité professionnelle. Bien sûr, pour attester qu’une allergie est professionnelle, encore faut-il le prouver !

L’exposition est prouvée ou réfutée par le Fonds des maladies professionnelles. C’est d’ailleurs cette institution publique qui, en se fondant sur des critères précis, est char-gée d’intervenir pour l’indemnisation des salariés concernés.

déPIStEr L’ALLErgIEGénéralement, c’est grâce à des tests aller-giques effectués par un médecin qu’une allergie à telle ou telle substance est mise en évidence. Cette technique n’est malheu-

reusement pas assez fiable parce que non standardisée, pour ce qui concerne les aller-gies professionnelles respiratoires, alors qu’elle convient parfaitement pour les aller-gies professionnelles cutanées.

Pour les allergies professionnelles respi-ratoires, le médecin peut en revanche procéder à un test de provocation, en exposant le patient à la substance incriminée, et observer si elle déclenche de l’asthme.

CONNAîtrE L’ALLErgèNECertaines substances peuvent provoquer des allergies à la fois cutanées et respira-toires, débutant le plus souvent au niveau de la peau. Prenons l’exemple d’une infirmière en salle d’opération qui constate l’apparition d’urticaire aux mains. Elle attri-bue cette réaction au port de gants en latex et décide de les troquer pour des gants dépourvus de latex. Son urticaire disparaît et la voilà rassurée.

dossier allergies

LES ALLErgIES PrOfESSIONNELLES rESPIrAtOIrES EN ChIffrESEnviron 10 % des adultes asthmatiques en Belgique le sont devenus à cause de leur environnement professionnel.

Sur les centaines d’allergènes professionnels reconnus, seule une dizaine est responsable des allergies respiratoires les plus courantes.


Mais ses collègues et les chirurgiens pré-sents en salle d’opération utilisent toujours des gants en latex. Peu à peu, cette infirmière développe une rhinite puis de l’asthme, donc une allergie respiratoire. En cause : la poudre qui se dégage de manière impercep-tible des gants en latex. Ce qui explique que dans de nombreux cas, la personne en proie aux allergies ne fait souvent pas le lien entre les deux types de réactions.

Il est donc particulièrement important de reconnaître rapidement l’allergène respon-sable et de prendre les mesures adéquates pour en limiter les conséquences.

Et uNE fOIS L’ALLErgIE PrOuVéE ?Comme c’est le cas pour toute autre allergie, les allergies professionnelles ont tendance à s’aggraver avec le temps si le contact avec l’allergène est répété, prolongé ou constant. Parfois, les symptômes peuvent même persister après arrêt de l’exposition à la substance responsable.

Quoi qu’il en soit, le mieux est de ne plus s’exposer à l’allergène incriminé dès que l’allergie est confirmée, ce qui implique de prendre des mesures ou, malheureusement souvent, de changer d’orientation profes-sionnelle.

Les mesures à prendre en cas d’allergie professionnelle :• réduire autant que possible l’exposition

des travailleurs aux substances poten tielle-ment allergisantes, par exemple au moyen de systèmes d’aspiration ou en utilisant des gants sans latex

• mettre à la disposition du travailleur aller gi que des équipements de protection individuels adaptés en cas d’exposition inévitable

Ces mesures dépendent toutefois de l’em-plo yeur et des moyens qu’il est disposé à mettre en œuvre. Si l’investissement s’avère trop important pour lui, il est vraisemblable qu’il n’appliquera jamais les mesures préco-nisées. Dans ce cas, le travailleur allergique sera déclaré inapte au poste qu’il occupe, et verra sa vie professionnelle bouleversée.

La réorientation professionnelle :• changement de fonction dans la mesure

du possible (en cas d’exposition indirecte dans un atelier, peu importe le changement de fonction, la personne allergique sera toujours exposée)

• recherche d’un nouvel emploi

Cette situation a un impact majeur sur la vie d’un travailleur qui se retrouve subitement au chômage, ou doit changer de poste de travail. Dans le premier cas, c’est le chômage forcé et dans le second cas de figure, le travailleur devra s’accommoder d’un emploi qu’il n’aura pas forcément choisi.

PLuS d’INfOAdressez-vous au Fonds des maladies professionnelles Avenue de l’Astronomie, 1 - 1210 Bruxelles T. : 02 226 63 30 - E-mail : [email protected] Surfez aussi sur www.fmp-fbz.fgov.be

Profil remercie le Professeur Olivier Vandenplas, pneumologue au Centre Hospitalier Universitaire de Mont-Godinne, pour son aimable collaboration !

LES MétIErS ‘SENSIbLES’Parmi d’autres, les secteurs les plus con-cer nés par les allergies professionnelles sont :• la coiffure (p.ex. les produits de

décoloration capillaire)• l’agroalimentaire et la boulangerie

(p.ex. les farines de céréales)• les soins de santé (p.ex. les gants de

chirurgie en latex)• la menuiserie et l’ébénisterie (p.ex. les

poussières de bois)• les laboratoires de recherche (p.ex. les

animaux de laboratoire)• l’agriculture (p.ex. les substances

végétales ou animales)


Myriam: “De toute sa vie, mon père n’a jamais eu besoin d’un médecin. Pensionné depuis 23 ans déjà, 85 ans et toujours en pleine santé. Jusqu’à ce qu’il attrape un coup de froid. Il n’arrêtait pas de tousser et nous avons dû le pousser à consulter un médecin, qui l’a immédiatement envoyé chez un pneumologue. Le verdict est tombé comme un couperet : cancer des poumons, incurable... Papa nous a tout de suite expli-qué qu’il ne voulait pas prolonger inutile-ment la dernière phase de sa vie en la pas-sant dans les hôpitaux, et y suivre toutes sortes de traitements. Il a alors évoqué le célèbre écrivain Hugo Claus, qui avait choisi l’euthanasie il y a quelques années. Il a dit : ‘Si lui a pu le faire, alors moi aussi !’.’’

Gerarda: “Le cancer était tellement avancé que le médecin a décidé que le cas d’André pouvait être pris en considération pour l’euthanasie, mais il lui a conseillé de suivre d’abord quinze séances de radiothérapie. Sinon, il ne lui aurait resté que deux semai-nes à vivre.”

Myriam: “Nous avons quand même dû le convaincre, car les médecins et les hôpi-taux, ce n’était absolument pas sa tasse de thé. Il se trouve qu’à ce moment-là, deux de ses petits-enfants étaient à l’étranger pour leurs études, et qu’ils voulaient bien natu-rellement pouvoir dire adieu à leur grand-père. C’est ce qui l’a poussé à donner son accord. Il devait aller chaque jour à l’hôpital pour des séances de rayons. Il allait mieux. Il n’avait plus mal et ne toussait plus. Tout à coup, il ne lui restait plus deux semaines à vivre, mais toute une année.”

Gerarda: “Il était si heureux ! A partir de ce moment-là, mon mari a fait tout ce dont il avait envie : aller pêcher avec ses petits-enfants, prendre le train pour aller à Ostende,... C’était extraordinaire.”

LA dErNIèrE VOLONtéSix mois après, le vent a tourné. André res-sentait de vives douleurs à l’aine. Un con-trôle a révélé que le cancer s’était propagé dans les os. Quelques jours plus tard, il ne savait même plus marcher. Le médecin spé-cialiste consulté a annoncé à André qu’il serait paralysé à terme.

Gerarda: “Nous lui avons procuré un fauteuil roulant, mais ce n’était pas une vie pour un homme qui avait toujours été actif, et qui travaillait au jardin. Il n’avait plus envie de suivre ses traitements et ne voulait pas consti tuer une charge pour nous (même s’il ne l’avait bien évidemment jamais été).”

Myriam: “Nous en avons parlé longuement, avec les médecins aussi. Ils nous ont tant aidé, nous ne les remercierons jamais assez. Le médecin spécialiste était surpris que papa parle si ouvertement de sa maladie et de la mort. Apparemment, il n’avait encore jamais rencontré cette attitude chez un homme de 85 ans.”

Gerarda: “Nous avons fixé une date et com-mencé à préparer son départ, comme il le souhaitait. Lorsque quelque chose me sem-ble dur, j’essaie d’y repenser et cela me ras-sure. André a dû répéter plusieurs fois aux médecins son souhait d’avoir recours à l’euthanasie, aussi bien de vive voix que par écrit. Heureusement qu’il pouvait encore le faire... Comment font les gens qui n’en sont plus capables ?”

Myriam : “Lorsque le dernier jour est arrivé, nous avons pu longuement lui dire au revoir. C’était extrêmement dur, mais cela nous a aussi rapprochés au sein de la famille. Nous parlons tous les jours de lui, de la façon dont il a vécu sa maladie et de combien il nous était reconnaissant pour ce que nous avons fait pour lui. Finalement, il n’a pas eu toute une année de sursis, mais ces six mois, personne ne nous les enlèvera jamais.”

Le choix le plus difficile de votre vie, et aussi le dernier...

Euthanasie: briser le tabou

“Je veux raconter notre histoire pour aider d’autres personnes, pour les soutenir. Il est grand temps d’en parler !”. C’est ainsi que Myriam commence son récit, en toute franchise et vulnérabilité. L’année dernière, son père André a choisi l’euthanasie, une fin de vie digne dans une situation sans issue. Sa famille et ses amis l’ont soutenu jusqu’au bout, mais sa décision a parfois suscité de l’incompréhension. Accompagnée de gerarda, sa maman et épouse d’André, Myriam nous raconte le parcours éprouvant qu’elles ont vécu pour aider André dans sa dernière volonté.


L’EuthANASIE EN CINQ QuEStIONS1. Qu’est-ce que l’euthanasie ?L’euthanasie est un traitement médical qui permet de mettre volontairement fin à la vie du patient, à sa demande. Ce geste n’est possible que si le patient en prend l’initiative lui-même, personne ne peut décider à sa place. Seul un médecin est habilité à pratiquer l’euthanasie. Arrêter ou ne pas commencer un traitement ne constitue pas une euthanasie. De même, alléger la douleur d’un patient avec de lourds médicaments qui raccourcissent la durée de vie, n’est pas non plus une euthanasie.

2. Quand l’euthanasie est-elle autorisée légalement ?Le demandeur doit être majeur et conscient de ses actes. Il doit être bien conscient de sa situation et avoir été informé des autres possibilités de traite ment existantes. Il doit se trouver dans une situation médi-cale incurable et ses souffrances doivent être insupportables. L’incurabilité doit avoir été diagnostiquée par le médecin. Le patient évalue luimême ses souffrances. Il peut s’agir d’une maladie physique (un cancer par exemple) ou psychique (une dépression). Le deman deur doit exprimer son souhait volon tairement et conti-nuellement, et l’expri mer plusieurs fois, oralement et par écrit. Le médecin a toujours le droit de refuser une demande.

3. Qu’est-ce qu’une déclaration de volonté ?Dans certains cas, le patient n’est plus en état de demander l’euthanasie. Par exem-

ple, lorsqu’il se trouve dans le coma. L’euthanasie est alors possible s’il a établi au préalable une déclaration de volonté. Il s’agit d’un document enregistré auprès de l’administration communale. Deux témoins doivent aussi signer cette déclaration, dont un qui n’est pas héritier. Vous pouvez désigner une personne de confiance qui se chargera de la réalisation de votre volonté. Elle pourra parler en votre nom si vous tombez dans le coma et communi-quer votre déclaration de volonté au médecin. La déclaration de volonté ne reste valable que cinq ans. Passé ce délai, il faut renouveler le document.

4. Comment se déroule l’euthanasie ?L’euthanasie est tout à fait indolore. Le plus souvent, le patient est d’abord mis sous perfusion. A son signal, lorsque le moment est venu, le médecin lui admi-nistre, oralement ou par intra veineuse, une solution létale. Le patient s’assoupit et le décès intervient de manière tranquille et sereine. Le patient peut déter-miner luimême le moment du décès, les circonstances matérielles et les personnes présentes lors de l’euthanasie.

5. Et en cas de démence ?La déclaration de volonté n’est valable que lorsque le patient a totalement perdu conscience, pas lorsqu’il est partiellement privé de ses moyens, comme en cas de démence ou de maladie d’Alzheimer. Selon la législation actuelle, les patients déments sont incapables de formuler une demande claire et réfléchie. Un projet de loi pour modifier ces dispositions est actuellement à l’étude.

uN ChOIx CONtrOVErSéAndré et sa famille ont pu compter sur de nombreux soutiens : la famille, les voisins, les amis, le médecin généraliste, le pharma-cien et les pompes funèbres leur ont apporté aide et conseils. Mais tout le monde ne comprenait pas le choix d’André...

Myriam : “Certains refusaient absolument d’en parler. Cela était sans doute lié à leur croyance ? Qui sait... Le tabou autour de l’euthanasie est encore tenace. Mais je sais qu’avant, c’était pareil pour la crémation alors que maintenant, c’est tout à fait entré dans les mœurs. J’espère que progressive-ment on parlera davantage de l’euthanasie. J’avais par exemple vraiment besoin de lire des témoignages de gens qui étaient passés par là, mais je n’en ai trouvé nulle part.”

Gerarda: “La question reste délicate. Mon mari était très ouvert sur le sujet, mais cela reste apparemment exceptionnel. Ce n’est certainement pas une décision facile, même si c’est la meilleure chose à faire, pour soi-même et pour ses proches. Nous n’avons pas dû le voir dépérir et pouvons à tout jamais nous souvenir d’André comme de l’homme positif qu’il était. Il m’a conseillé de faire la même chose si je me retrouvais dans la même situation que lui. Et c’est ce que je ferai !”

PLuS d’INfO Sur L’EuthANASIE ?Consultez le site de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité : www.admd.be. Vous y trouverez, entre autres choses, des con-seils, de l’aide concrète et des témoignages.


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• Gardez les pieds bien à plat sur le sol.

• Laissez un espace d’environ 15cm entre le bord de votre bureau et le clavier. Ainsi, les avant-bras reposent sur la table de travail.

• L’écran se trouve idéalement à un bras de distance et son bord supérieur à hauteur des yeux. Ainsi, vous obtenez la distance idéale pour travailler sur écran.

• Veillez à ce que la table de travail se trouve environ à hauteur des coudes. La table est trop basse ? Utilisez des rehausseurs.

tout à bonne hauteur en un tour de main grâce aux rehausseursCes quatre rehausseurs en plastique permet-tent de rehausser sièges, armoires et tables de 3,8 à 10cm. Compatibles avec les pieds ronds et carrés et les roulettes de 7 cm de diamètre, au plus.

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Comment passer commande ?En ligne sur www.partena-boutiquesante.be, dans votre agence de la Mutualité Partena ou à la boutique, Hollenaarstraat 135-137 à 9041 Oostakker - T. 0800 999 60.


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*Les prix pour les clients de la Mutualité Partena comprennent le remboursement de 10% et ne sont valables que sous réserve du paiement régulier des cotisations mutualistes au Package d’avantages.

SOuLEVEr Et hISSEr SANS rISQuES POur VOtrE dOSDans de nombreux cas, les maux de dos résultent de faux mouvements ou d’une surcharge du dos. Si vous devez soulever ou hisser des objets, et que ne pouvez compter sur aucune aide, tenez compte de ces quelques conseils :

• Pliez bien les genoux et gardez le dos bien droit. Si vous avez des difficultés à plier les genoux, utilisez une pince de préhension.

• Ecartez légèrement les pieds dans l’axe des épaules.

• Veillez à ce que nez et orteils soient orientés dans la même direction.

• Déplacez les pieds dans le sens de votre changement de direction.

• Vous devez porter vos courses ? Utilisez un caddie de courses.

Pince de préhension La pince de préhension vient en aide aux personnes qui éprouvent des difficultés à atteindre le sol ou une certaine hauteur. Elle permet de ramasser ce qui se trouve sur le sol, aide à ouvrir et fermer les tentures, ou à retirer des objets d’une armoire.


CaddieGrâce à son système unique à 6 roues, montez et descendez les escaliers sans peine, et franchissez aisément les bor-dures des trottoirs. Ce caddie en polyester imper méable a une capacité de 15 litres et ne pèse que 2,1 kg. Avec pochettes intérieure et extérieure.

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Et SI LE MAL dE dOS S’ESt INStALLé …Jadis, le repos était le remède contre les maux de dos. Aujourd’hui, nous savons que c’est l’activité physique qui prévient et traite le mal de dos, alors que le repos est au contraire un facteur de risque pour développer un mal de dos chronique.Vous souffrez du dos ? La chaleur parvient souvent à soulager les douleurs. Un bon bain chaud fait parfois des miracles, un coussin de noyaux de cerise est très facile à utiliser et le gel IcePower qui associe les sensations de chaud et de froid.

IcePowerCe gel rafraîchissant contient exclusivement des subs-tances naturelles, comme le menthol et l’eucalyptus (pas de camphre ni d’ibuprofène). Vous éprouverez une agréa-ble sensation de chaleur après quelques minutes, alors que la peau ressent le froid. Le froid endort la douleur, et le chaud assure une meilleure circulation.


Ceinture chauffante Sissel Cherry En quelques secondes, elle vous détend et apporte une chaleur humide confortable. Idéale en cas de maux de dos, crampes abdominales et coliques. Facile à réchauf-fer au micro-ondes, sans risque de brûlures. Ne glisse pas grâce à sa bande velcro.


SIègE rELAx rEVILAx Sur MESurERevilax est une entreprise familiale belge spécialisée depuis 1994 dans la fabrication de sièges relax. Chaque pièce est réalisée sur mesure, en tenant compte des souhaits spécifiques et des contraintes physiques du client.

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gArdEZ uN POIdS CONStANtC’est seulement possible si vous associez de bonnes habitudes alimentaires et une

activité physique suffisante. Les régimes stricts, lors desquels vous ingérez bien souvent trop peu de calories, accentuent l’effet yoyo. Perdre rapidement 5 kilos et les reprendre par la suite en remangeant comme aupara vant, c’est infliger une agression brutale à votre corps. Plutôt que de suivre des cures d’amaigrisse ment toutes les lunes, il est préférable d’adopter de bonnes habitudes alimentaires tout au long de l’existence. Adaptez donc les portions à vos besoins en énergie et pratiquez au moins 30 minutes d’activité physique chaque jour.

fruItS + LéguMES = SAINLes fruits et les légumes ne vous apportent pas seulement les meilleurs nutriments, ils

permettent aussi de lutter contre différentes maladies chroniques telles que l’obésité, les maladies cardiovasculaires et certains cancers. Essayez de consommer chaque jour 5 portions de fruits et légumes, ce qui correspond à environ 400 grammes au total. Les fruits ne peuvent pas remplacer les légumes et inversement : les uns et les autres contribuent à une alimentation équi-librée.

dItES NON Aux grAISSES SAturéES, MAIS OuI Aux grAISSES INSAturéES ! Les frites, le fromage, la viande

rouge,… Ces aliments sont délicieux, mais mieux vaut ne pas en abuser. Il existe différentes sortes de graisses : saturées et

insaturées. La différence réside dans la compo sition de leurs acides gras. Les graisses insaturées se trouvent par exemple dans l’huile, le poisson et les noix. Elles aident à maintenir un faible taux de choles-térol : mangez donc du poisson gras chaque semaine ! Les graisses saturées quant à elles font augmenter le taux de cholestérol. Vous les trouvez notamment dans la crème, le beurre et le chocolat. Un taux élevé de cholestérol favorise la fixation des graisses sur les parois des vaisseaux sanguins, avec les risques d’obstruction qui en découlent. Si vous consommez de grandes quantités de graisses saturées, vous augmentez le risque de développer un jour une maladie cardio-vasculaire.

MISEZ Sur LES CéréALES !Les céréales complètes sont excellentes pour la santé. Elles sont présentes dans le pain

complet et dans les pâtes complètes. Ces céréales sont riches en glucides, fibres, vitamines et minéraux. Attention : les céréales petit-déjeuner comportent bien souvent beaucoup de sucres ajoutés ! Optez toujours pour la version la moins sucrée du produit, ou celle affichant la plus faible teneur en matières grasses.

L’ExCèS dE SEL NuIt à LA SANtéManger très salé peut provoquer hypertension et sclérose

artérielle. Dans leur état naturel, les aliments comportent déjà suffisamment de sel pour répondre aux besoins normaux du corps. Utilisez le sel avec parcimonie dans vos préparations culinaires et remplacez-le de temps à autre par du sel iodé. Evitez aussi

les plats préparés : ils constituent la plus importante source de sel.

buVEZ (dE L’EAu) !Votre corps a besoin d’au moins 2,5 litres d’eau par jour. Etant donné que vous retirez environ

1 litre d’eau de l’alimentation solide, il vous suffit d’en boire 1,5 litre de plus. L’eau reste le meilleur choix. Le café et le thé (sans ajouts) sont de bonnes alternatives. Limitez au minimum les boissons fraîches ou énergétiques et l’alcool.

LISEZ LES étIQuEttESLorsque vous êtes au super-marché, lisez les étiquettes figurant sur l’emballage des

aliments. Vous y trouverez, entre autres infor mations, le nombre de calories, la quantité de sucre, de graisses et de sel ainsi que les recommandations de consommation journalière. Ce dernier élément vous indique le nombre de calories du produit par rapport à ce que vous pouvez manger ou boire quotidiennement. En lisant les étiquettes, vous identifierez immédiatement produits les plus sains !

Ce que vous devez savoir pour manger sainement

Surpoids, excès de cholestérol, diabète, maladies cardiovasculaires,… autant de maux que nous préférerions éviter. L’hérédité joue parfois un rôle, mais l’apparition de ces pathologies est souvent la conséquence de mauvaises habitudes alimentaires. Pour y échapper, il est essentiel d’adopter un mode de vie sain. Mais les livres de cuisine et Internet regorgent d’avis et de conseils contradictoires. Que devons-nous retenir ? C’est très simple : sept astuces !

VOuS VOuLEZ EN APPrENdrE dAVANtAgE Sur CE Qu’ESt uNE ALIMENtAtION SAINE ?

Consultez www.nubel.com, le site de Nubel. Vous y trouverez, entre autres cho-ses, la table de composition des aliments et un planning alimentaire qui peuvent vous aider à composer des repas sains et équilibrés.


CArNIVOrES ? Au rayon des idées reçues, on entend sou-vent dire que la viande serait réservée aux jeunes et aux actifs, devenant moins néces-saire par la suite. En réalité, c’est tout le con-traire ! A partir de 60 ans, les besoins éner-gétiques augmentent. En d’autres termes, il faut plus de nutriments pour la même dépense énergétique. Viande, volaille, pois-sons, œufs, mais aussi lait, yaourts et froma-ges doivent donc figurer au menu quotidien des aînés.

ChEf, uN P’tIt VErrE… d’EAu !Avec l’âge, la sensation de soif diminue, entraînant un risque de déshydratation plus important. Buvez donc, de préférence de l’eau, même sans avoir vraiment soif (mini-mum 1,5 à 2 litres par jour). Pour varier les plaisirs, vous pouvez aussi siroter une eau pétillante, un thé, une tisane ou un café. Les potages et bouillons feront aussi l’affaire. En revanche, évitez l’alcool et détournez-vous des boissons trop sucrées comme les sodas.

du CALCIuM POur dES OS SOLIdESUn apport suffisant en calcium est néces-saire pour lutter contre l’ostéoporose et les fractures des os. Consommez donc des pro-duits laitiers et des fromages ! Astuce : cer-taines eaux minérales contiennent égale-ment du calcium. Regardez l’étiquette et choisissez une eau qui contient plus de 150 mg de calcium par litre.

MAtIèrES grASSES, OuI, MAIS VArIéES !Pourquoi limiter les matières grasses ? Vous devez surtout veiller à y apporter de la variété : du beurre sur la tartine du matin, de l’huile d’olive pour cuisiner et de l’huile de soja, de noix ou de colza pour les salades!

VItAMINE d COMME défENSELa vitamine D permet de fixer le calcium, le phosphore et le magnésium sur l’os mais aussi d’augmenter la force musculaire et le volume des muscles, diminuant ainsi le ris-que de chute. Elle joue également un rôle dans la prévention de certains cancers et protège notre organisme de la grippe, des infections ORL et broncho-pulmonaires. Elle serait aussi associée à une réduction du ris-que de dépression, car elle agirait sur l’humeur. Et où trouver cette perle rare ? Dans les poissons gras, mais la source prin-cipale de vitamine D provient des rayons ultraviolets (UVB) du soleil. C’est donc un bon prétexte pour sortir de chez soi, faire une balade au grand air, à condition bien sûr que la température ne soit pas trop élevée.Article réalisé avec la précieuse collaboration de Marc Delwaide, diététicien-nutritionniste, spécialisé en gériatrie.

dans votre assiette après 50 ans

une alimentation variée et équilibrée est essentielle pour vivre sainement, quel que soit notre âge. Mais à partir de 50 ans, des modifications physiques et physiologiques font évoluer nos besoins énergétiques et nutritionnels. Voici donc quelques conseils pour une alimentation saine une fois franchi le cap du demi-siècle !

ENCOrE QuELQuES CONSEILS… • Evitez le sel ! Il n’est pas le seul

condiment à donner du goût aux aliments. Remplacez-le par l’ail, le citron, le gingembre, les épices, etc.

• Offrez une place de choix aux fruits et légumes dans votre alimentation quotidienne ! Riches en vitamines C, en antioxydants et en fibres, ils facilitent le transit intestinal. Pour éviter la constipation, pensez aussi aux légumes secs, pain gris ou complet, céréales complètes.

• Résistez aux sucreries si tentantes pour accompagner un café : viennoiserie, pâtisserie, biscuits, confiserie, etc. Tous ces petits encas affichent une teneur élevée en sucre et en acides gras ‘trans’ (mauvais pour le cœur).

Surtout, n’oubliez pas le plus important : la convivialité et le plaisir d’un bon repas !


LES CéPhALéES dE TENSIONLes céphalées de tension sont les maux de tête les plus fréquents. Certains facteurs favorisent leur apparition : stress, dépres-sion ou angoisse, surmenage, alcool, café, lunettes mal adaptées ou absence de lunet-tes alors qu’elles seraient nécessaires, le bruit, etc. Elles touchent autant les hommes que les femmes. La plupart du temps, la douleur se localise sur les deux côtés de la tête et donne l’impression d’avoir la tête prise dans un étau.

Les symptômes des céphalées de tension sont beaucoup moins prononcés que ceux de la migraine. On parle de céphalée de ten-sion chronique lorsque 15 crises mensuel-les au moins surviennent sur une période de 3 mois.

Les maux de tête survenant en période d’examens sont un bon exemple de cépha-lées de tension : cette période se caractérise par du stress, un manque de sommeil et des repas irréguliers. Il est important d’adopter une bonne position de travail afin de prévenir les céphalées de tension et autres troubles. Ainsi, les personnes travaillant sur pc doivent respecter une bonne distance

entre les yeux et l’écran. Faites particu-lièrement attention à votre dos, vos épaules et votre nuque.

trAItEr LES CéPhALéES dE tENSION SANS MédICAMENtSi ces maux de tête apparaissent sporadi-quement, il est possible de les faire dispa-raître la plupart du temps avec un peu de repos ou un simple antidouleur. Mais il existe des moyens pour combattre ou éviter les maux de tête sans médicament.

Les moments de détente sont importants pour chasser les maux de tête. Un bon bain chaud ou une petite sieste suffisent dans la plupart des cas. Une promenade au grand air favorise la circulation sanguine et fera passer le mal de tête. De même qu’une com-presse froide placée dans la nuque. Des activités comme le yoga, le Qi Gong ou le Tai Chi sont également conseillées. Des exerci-ces de détente aident aussi à éliminer le stress et à éviter les maux de tête. Certains exercices peuvent être effectués à tout moment, tant à la maison qu’au travail. Vous n’avez besoin d’aucun appareil. Une chaise suffit. (Voyez les exercices de décontraction suggérés dans le cadre ci-contre)

La tête contre les murs !

Les maux de tête, vous connaissez ? tout le monde est un jour passé par là. Même si la plupart du temps les problèmes ne sont pas sérieux, ils sont néanmoins très invalidants et peuvent sérieuse-ment perturber la vie quoti dienne. Alors, céphalées de tension ou migraine ?


QuELQuES ExErCICES CONtrE LES MAux dE têtEAsseyezvous sur une chaise et effectuez tous les exercices, en maintenant la tension puis relâchez.

Main et avant-bras Serrez lentement le poing. Tendez les muscles de la main et de l’avant-bras.

Bras Pliez l’avant-bras, poussez le coude contre le dossier de la chaise.

Front Tirez les sourcils vers le haut ou vers le milieu.

Joues et nez Fermez les yeux et relevez le nez.

Joues et mâchoire Ouvrez la bouche et étirez les muscles de la mâchoire inférieure.

Nuque et mâchoire Dirigez le menton vers le cou et appuyez l’arrière de la tête contre un reposetête imaginaire.

Poitrine et épaules Resserrez les omoplates et poussez le sternum vers l’avant.

Ventre Rentrez le ventre et poussez doucement le bas du dos vers l’arrière contre le dossier de la chaise.

Cuisse Tendez les muscles des cuisses en alternant côté gauche et côté droit.

Jambe Tendez le pied gauche puis le pied droit dans la direction du tibia.

Pied Tendez le pied vers l’avant, pliez les orteils et tournez le pied un peu vers l’intérieur.

Et SI C’étAIt LA MIgrAINE ?La migraine est une affection fréquente : en Belgique, 1 personne sur 5 en souffre un jour. Les femmes courent trois fois plus de risques d’être atteintes que les hommes. La migraine concerne principalement les per-sonnes âgées de 25 à 45 ans, mais peut sur-venir à tout âge. Cela peut commencer dès l’enfance. Chez les femmes, elle apparaît souvent à la puberté. La migraine peut être d’origine héréditaire.

La migraine se manifeste par des douleurs persistantes du côté droit ou gauche de la tête, parfois pendant des heures, voire des jours entiers. L’épisode migraineux est sou-vent associé à d’autres symptômes : une intolérance à la lumière, au bruit et aux odeurs, des nausées, des vomissements, etc.

Dans le cas de la migraine avec aura ou migraine ophtalmique, la personne ressent d’abord des troubles visuels : voile noir, éclairs en zigzags,… Les enfants peuvent être atteints de migraine dès deux ans. Les crises de migraine sont courtes chez les plus petits, mais elles ne sont pas rares : 5 à 10% des enfants seraient atteints. La crise peut s’accompagner de vomissements.

LES CAuSES dE LA MIgrAINEAvant et pendant une crise de migraine, l’irrigation du cerveau est modifiée. Chez certains migraineux, y compris les enfants, des causes extérieures peuvent agir comme facteurs déclencheurs. En voici quelques exemples parmi les mieux identifiés.• L’alimentation : certains aliments ainsi

que l’alcool, peuvent provoquer une crise. On constate également l’influence d’un repas tardif, d’une alimentation insuffisante ou du saut d’un repas.

• Le sommeil : modification des habitudes de sommeil, manque ou excès de sommeil.

• Le stress : enfants, travail,... • Le rythme de vie : repas irréguliers, stress

et fatigue, tension intense, etc. • L’environnement : lumière forte ou

vacillante, fortes odeurs, modifications de la pression atmosphérique, etc.

• Les fluctuations hormonales : facteurs hormonaux féminins tels que menstruations, contraceptifs, traitements hormonaux, etc.

• La prise de certains médicaments.

COMMENt SOuLAgEr LA MIgrAINE ?Dans un premier temps :• Prenez un bain chaud.• Allongezvous dans une pièce calme et

sombre.• Essayez de dormir.• Appliquez une compresse froide sur la

nuque.Chez un enfant migraineux, lorsque la crise survient, le sommeil reste le meilleur traite-ment. Un environnement très calme et un léger massage relaxant peuvent suffire à endormir le bébé.

En fonction de la fréquence et de l’intensité des crises, le médecin peut être amené à prescrire un traitement de fond à prendre quotidiennement pour diminuer la fré-quence ou l’intensité des crises de migraine, sans malheureusement les faire disparaître totalement.

ArrêtEZ dE VOuS tAPEr LA têtE CONtrE LES MurS ! Vous pensez avoir tout essayé pour soulager vos crises ? Et si vous en parliez à votre médecin ? Vous apprendrez ainsi à mieux connaître la maladie, à mieux comprendre à quels moments elle survient. Cet entretien contribuera également à identifier les fac-teurs déclencheurs et adopter un traitement beaucoup plus efficace que toutes les for-mes d’automédication…

Il est indispensable de recevoir des soins médicaux lorsque les maux de tête :• apparaissent de façon soudaine et sont

très intenses ; • s’accompagnent de convulsions, de

troubles psychologiques et d’une perte de conscience ;

• s’accompagnent d’une incapacité fonctionnelle neurologique (perte de l’équilibre, faiblesse, engourdissement, difficultés d’élocution ou dédoublement de la vue) ;

• s’accompagnent de nausées persistantes et de vomissements ;

• s’aggravent sur une période de quelques jours ou de quelques semaines ;

• sont associés à une fièvre ou à une rigidité du cou.

Les médicaments contre la douleur sont habituellement efficaces pour soigner le mal de tête. Mais leur consommation abusive ou prolongée peut transformer des maux de tête intermittents en un état permanent (céphalées par abus d’antalgiques). N’en abusez donc pas et consultez votre médecin.


Semaines santé à dunepanne

Voici 5 ans que la Mutualité Partena organise 2 fois par an des ‘semaines santé’ à la mer pour des personnes se remettant d’un cancer, et dont les traitements primaires sont terminés depuis au moins un mois. Et, depuis l’an passé, nous collaborons avec l’asbl ‘Au sein des femmes’, spécialisée dans l’approche intégrative de la santé.

Contrairement à ce que sa dénomination pourrait laisser supposer, cette association ne s’adresse pas qu’aux femmes. Ses programmes et objectifs sont tout à fait adaptés et ouverts aux messieurs. Concrètement, deux professionnelles de la santé accom pa gnent nos groupes. Chaque jour, elles proposent des ateliers gravitant autour de différents piliers de la santé dans le cadre d’une revalidation oncologique visant à restaurer ou à améliorer la qualité de vie.

trOIS PILIErSAu cours des ateliers en groupe, les participants abordent les piliers corporel, environnemental (dont la nutrition) et psycho-émotionnel de façon interactive et dynamique. L’objectif est d’amener les participants à se réapproprier leur corps, leur santé et leur énergie vitale, et grâce à cette prise de conscience, à retrouver un meilleur équilibre général. Travailler ces piliers en parallèle per-met d’en augmenter les bénéfices de façon exponentielle.

uNE SEMAINE dE déCOuVErtE, dE PArtAgE Et… dE bIEN-êtrE !Parce que tout est pensé pour vous offrir des conditions optimales, outre les ateliers en groupe, vous avez aussi la possibilité de bénéficier de soins de bien-être individuels (des massages, par exemple) au choix et surtout en fonction de vos envies.

“Les semaines santé à la mer sont une véritable aventure humaine !” (Dominique)


Dans le centre de séjours de soins Dunepanne au Coq-sur-Mer, les participants ont l’occasion de disposer, à deux pas de la mer, de tous les avantages des infrastructures récemment rénovées du centre.

Ces semaines de 5 jours (du lundi au vendredi) sont ouvertes à toute personne de plus de 18 ans et ayant terminé ses traite-ments primaires (rayons, chimio) depuis au moins un mois. Cela permet de composer des groupes très variés tant par l’âge des participants que par leurs vécus.

PArtICIPEr Aux SEMAINES SANté ? Les frais de participation ont été étudiés afin d’assurer un accès à tous. Ainsi, les membres de la Mutualité Partena bénéficient de tarifs très avantageux.

EN PrAtIQuELa prochaine semaine santé aura lieu du 25 au 29 novembre 2013. Il reste encore quelques places. Pour des informations pratiques et les tarifs exacts, adressez-vous au Service Action Sociale de la mutualité.

Les personnes nécessitant des soins quotidiens ou de la kiné-sithérapie, ou dont l’accompagnant souhaiterait prendre une petite pause, peuvent faire appel à nos services . Un séjour à Dunepanne est idéal pour permettre aux personnes s’occupant de patients dépendants, de reprendre leur souffle.

“Passée par la case cancer il y a quelques années, j’ai eu envie de donner et de me mettre à disposition des autres” (Monique)

fAISONS CONNAISSANCE AVEC NOS dEux thérAPEutES !Au-delà de leurs compétences professionnelles, Dominique et Monique sont toutes deux passées par la case cancer. Elles savent de quoi elles parlent et le font avec beaucoup de cœur …

dOMINIQuE Chimiste de formation, c’est dans le laboratoire d’écologie des eaux douces des Facultés universitaires de Namur que j’ai découvert le monde fascinant de nos cours d’eau wallons. Depuis la plus simple des molécules analysées, en passant par une multitude d’organismes

microscopiques, et de variétés insoupçonnées de poissons et d’oiseaux, je découvrais là un équilibre de vie extraordinaire ! Tout est relié à tout, avec une telle force, une telle beauté, une telle simplicité et une telle fragilité,… J’ai retrouvé ce sentiment de plénitude avec l’arrivée de mes 4 enfants… et plus tard, de mes 5 merveilleux petits-enfants…

Puis, presque par hasard, j’ai découvert le massage et ce lien essentiel qu’il pouvait permettre de (re)créer avec soi-même, avec sa nature profonde. Cette passion de travailler la relation à soi et à l’autre au travers du massage ne m’a plus quittée. Aujourd’hui, j’ai la chance de pouvoir accompagner par le massage des personnes atteintes de cancer du sein ainsi que des personnes âgées désorientées, et d’autres en fin de vie.

Les semaines santé à Dunepanne sont pour moi une véritable aven-ture humaine. C’est retrouver l’humanité de chacun de nous au-delà de sa maladie et de sa fonction.

Leur permettre de se reconnecter à leur nature d’être humain, à l’infiniment fragile, à l’infiniment grand, à l’infiniment beau et fort…. Quel cadeau !

MONIQuE Psychomotricienne et infirmière sociale, je travaille en soutien à la parentalité auprès de jeunes parents. Je suis également la maman de trois enfants.

Massothérapeute et praticienne en magnétisme humaniste, je pratique le massage depuis de nombreuses années en séances individuelles. Je suis également formatrice en massage harmonique. Ce goût du mas-sage est le prolongement d’un chemin commencé en travaillant la terre à travers la sculpture et la poterie.

Le massage est pour moi une œuvre d’art au service de la commu-nauté, un chant à la vie… Un chant à la vie, que je retrouve aussi dans la nature, et qui me procure toujours le même éveil des sens, le même émerveillement. J’accompagne et guide depuis de nombreuses années des groupes de randonnées dans nos forêts.

Passée par la case cancer il y a quelques années, j’ai eu envie de don-ner et de me mettre à disposition des autres. Ce qui me touche parti-culièrement lors des semaines santé à Dunepanne, c’est l’évolution des participants après 5 jours passés tous ensemble… du repli sur soi et d’un sentiment d’isolement pour certains, on passe à l’ouverture, au partage et aux fous-rires !

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L’APPrENtISSAgE CréAtIf dES LANguES EN S’AMuSANt AVEC L’ASbL rOELANd ! (dE 8 à 19 ANS)Notre partenaire vacances, l’asbl roeland organise des séjours de néerlandais et d’anglais en flandre et en Angleterre.

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VACANCES VIVANtES, C’ESt LE tOP ! (dE 3 à 18 ANS)Vacance Vivantes compte de nombreuses années d’expérience dans l’organisation de vacances en belgique ou à l’étranger

Pour les prochaines vacances scolaires d’automne, de Noël, de Carnaval et de Pâques, la Mutualité Partena et Vacance Vivantes s’associent une fois de plus pour proposer des vacances inoubliable à vos enfants ! Cet hiver, Vacances Vivantes propose des séjours animés à la côte belge et dans les Ardennes, et des vacances actives au ski. Les plus jeunes seront transportés dans la magie des ambiances d’automne et de Noël, alors que les plus grands goûteront jusqu’à plus soif aux plaisirs de la glisse sur les meilleures pentes des massifs italiens, suisses, français et autrichiens.

AVANtAgE PArtENA: Les clients de la Mutualité Partena bénéficient, une fois par an, d’une réduction de 30% sur les séjours en Belgique, de 20% sur les séjours à l’étranger, et même de 40% sur une sélection de séjours. Plus d’info sur www.partenamutualitebe/vacances.

AVANTAGE PARTENA• Grâce au Package d’avantages, bénéficiez d’un remboursement de 40 euros par enfant et par an* pour les camps de

vacances et activités s’étendant sur plusieurs jours. Téléchargez le formulaire de remboursement depuis www.partena-mutualite.be/formulaires.

• Tous les participants jusqu’à 11 ans reçoivent une attestation fiscale. La déductibilité s’applique jusqu’à 11,20 euros par jour.* A condition d’être en règle de cotisations au Package d’avantages

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rEMPOrtEZ uN bON dE réduCtION dE 100 EurOS OffErt PAr VACANCES VIVANtES !Participez à notre concours et remportez peut-être un bon de réduction de 100 euros ! Ce bon est valable pour un séjour au choix en Belgique lors des congés de Noël, de Carnaval ou de Pâques. Tentez votre chance sur www.partena-mutualite.be/concours. La participation au concours est ouverte jusqu’au 31/10/2013 inclus.


Vacances Partena

Forfait bien-être dans les Ardennesen collaboration avec notre partenaire thalasso houseLe Château des Thermes à Chaudfontaine et le vaste parc qui l’entoure vous invitent à un séjour à la lisière des Ardennes. L’occasion rêvée pour vous reposer et vous détendre, et pour apprécier les bienfaits du thermalisme. Profitez des charmes de l’endroit et de ses sources naturelles d’eau chaude à 34°, uniques en Belgique. Découvrez le Château des Thermes, le rendez-vous de l’hospitalité, de la classe et de l’élégance.

fOrfAIt bIEN-êtrE• 1 nuitée en demi-pension• 3 soins: • balnéo

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Arrivée le dimanche, le lundi ou le mardi: soins le 2e jour de 10 à 18h. Le week-end, 2 nuitées minimum (voir les prix pour une nuit supplémentaire*).

PrIx En chambre double : 240 euros p.p. pour les clients de la Mutualité Partena. 253 euros pour les non clients. En chambre individuelle: 288 euros pour les clients de la Mutualité Partena. 304 euros pour les non clients. * Nuit supplémentaire sans soins en chambre double : 132 euros p.p. pour les clients de la Mutualité Partena - 139 euros pour les non clients. * Nuit supplémentaire sans soins en chambre individuelle : 176 euros p.p. pour les clients de la Mutualité Partena - 185 euros pour les non clients.

Info et réservations ? T. 02 538 39 39 - [email protected]. Lors de la réservation, précisez qu’il s’agit du ‘forfait de la Mutualité Partena ’. Action valable jusqu’au 22/12/2013. Adresse : Rue Hauster 9, 4050 Chaudfontaine.

Parc MolenheideVACANCES POur LES ENfANtS, LEurS PArENtS Et LEurS grANdS-PArENtSEnvie de vous évader quelques jours cet hiver ou le printemps prochain ? découvrez le Parc Molenheide, niché au cœur de la province du Limbourg, le paradis des balades pédestres et des randonnées cyclistes.

Le temps est maussade ? Pas de problème, le Parc Molenheide vous offre mieux que des solutions de rechange ! Aquapolis ravira les amateurs de plaisirs aquatiques. Le bassin de faible profondeur réservé aux enfants et ses figurines entraîneront les plus petits dans un monde enchanté. Les enfants s’amuseront des heures durant dans l’espace de récréation couvert Kids Valley, sous le regard attendri ou avec le concours enthousiaste de leurs parents et grands-parents. Le minigolf indoor ‘La Mine oubliée’, unique en Europe, enthou-siasmera la famille tout entière. Vous préférez la quiétude des longues balades ? Le grand parc de 100 ha entourant le domaine vous proposera de découvrir de nombreux itinéraires.

Vous logerez dans les nouveaux bungalows ‘Confort Plus’, nichés dans un écrin de verdure, tout en bénéficiant de tout le confort dernier cri: parquet, plaques de cuisson à induction, lave-vaisselle, micro-ondes, tv Dolby Surround et mobilier de qualité.

PrIx Les clients de la Mutualité Partena bénéficient de 35% de réduction sur tous les séjours du 13/12/2013 au 30/3/2014. Les réservations doivent être effectuées avant le 30/11/2013. Réservation: Surfez sur www.molenheide.be/fr/code/289PT. Ou formez le T. 011 52 10 44 et mentionnez le code 289PT.Cet avantage n’est pas cumulable avec d’autres réductions et/ou promotions.

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LES CAPItALES du dANubEMini-croisière culturelle : Vienne • budapest • bratislavadu 22/11 au 26/11/2013 (5 jours / 4 nuits)Découvrez en toute tranquillité à bord d’un bateau CroisiEurope de luxe les trois capitales du Danube: Vienne, Bratislava et Budapest, et replongez dans le passé des grands empires européens, au nombre desquels l’AutricheHongrie des Habsbourg. Profitez de cette croisière unique le long des rives du Danube pour découvrir de magnifiques paysages et villes historiques ainsi que profiter de délicieux repas, de soirées folkloriques et de la soirée de gala du capitaine. Pension complète, boissons à table incluses.

Compris dans le prix Les vols Bruxelles Vienne Bruxelles • les transferts aéroportbateau, le logement en cabine double climatisée avec douche et WC • les boissons incluses dans nos prix concernent uniquement l’eau, le vin, la bière, les jus de fruits à discrétion et un café servis par CroisiEurope lors des repas pris à bord du bateau • l’animation • l’assistance de notre animatrice à bord • le cocktail de bienvenue • la soirée folklorique hongroise à bord • la soirée de gala • le transfert de l’aéroport au port • l’assurance assistance/ rapatriement • les taxes portuaires.

Prix par personne Cabine double: 659 euros > Clients de la Mutualité Partena : 599 euros Supplément pont supérieur: 74 euros - Supplément cabine individuelle: 156 euros Package d’excursions: visites guidées de Vienne, Bratislava et Budapest: 62 euros

turQuIE • ANtALyA - LArAhôtel titanic beach resort ***** ALL IN du 9/11 au 16/11/2013 (8 jours / 7 nuits)L’hôtel Titanic Beach Resort***** se trouve au bord de la plage de Lara, à 12 km du centre d’Antalya. Fort de 589 chambres réparties sur 9 étages, il dispose, d’un lobby, de bars, de différents magasins, d’un coiffeur, d’un spa et propose l’accès à Internet. Plusieurs piscines extérieures et une piscine intérieure chauffée sont à votre disposition. Transats, parasols et matelas sont gratuits à la piscine et à la plage. Toutes les chambres disposent d’une salle de bains complète avec sèchecheveux, d’un coffrefort (gratuit), de la TV-satellite, d’un minibar, d’un téléphone ainsi que d’un balcon ou d’une terrasse. Ce séjour comprend une journée d’excursion : la visite du site historique de Pergame et du célèbre théâtre romain d’Aspendos.

Compris dans le prix Les vols Bruxelles - Antalya - Bruxelles, séjour en all in, les transferts aéro port - hôtel - aéroport, une journée d’excursion: Pergame - Aspen dos, un accompagnateur AEP Senior Department, l’assurance assistance.

Prix par personne Chambre double: 610 euros > Clients de la Mutualité Partena : 580 euros Chambre individuelle: 710 euros > Clients de la Mutualité Partena : 680 euros

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Adressez-vous à AEP Senior Department au T. 02 642 20 26, ou par un e-mail à [email protected]. Surfez aussi sur www.seniordepartment.be.Découvrez l’offre complète des vacances Partena sur www.partena-mutualite.be/vacances.

PASSEZ LES fêtES Sur LA CÔtE bELgE festivités de Noël • Pension complète avec boissons comprises à table hôtel Cajou*** La Panne du 22/12 au 26/12/2013 • 5 jours / 4 nuitsNous ne pouvons bien sûr vous garantir un hiver blanc mais nous pouvons vous assurer des journées agréables dans une ambiance familiale très chaleureuse, un repas gastronomique et un programme d’animations varié proposé par votre accompagnateur.

Prix par personne: Chambre double: 391 euros > Clients de la Mutualité Partena : 366 euros Chambre individuelle : 451 euros > Clients de la Mutualité Partena : 426 euros

festivités de Nouvel An • Pension complète avec boissons comprises à table hôtel Cajou*** La Panne hôtel Maxim*** La Panne du 29/12/2013 au 2/1/2014 • 5 jours / 4 nuitsFêtez le passage du Nouvel An dans un cadre chaleureux à la côte belge. Un buffet gastronomique est prévu le soir du Nouvel An (servi à l’hôtel Maxim) suivi d’une soirée dansante. Tout au long du séjour, votre accompagnateur proposera diverses activités et animations.

Prix par personne: Chambre double: 391 euros > Clients de la Mutualité Partena : 366 euros Chambre individuelle : 451 euros > Clients de la Mutualité Partena : 426 euros

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profil 127 octobre 2013

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