cciginfo no10 decembre 2013

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SOMMAIRE Rejoignez la communauté CCIG sur sa page Facebook ! DU COPIEUR À LA GED SUBMERGÉ PAR LES PAPIERS ? Nous avons la solution ! © Laurence Herren - Photos : Shutterstock T. 0848 912 912 www.devillard.ch Bulletin d’information de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève Décembre 2013 No 10 MENSUEL www.ccig.ch 1-2 Infrastructure ferroviaire : attention à ne pas dérailler 2 ÉDITORIAL Climat et énergie, les entreprises réussissent 3-4 infoCOMMERCE INTERNATIONAL La Chine à l’heure genevoise 5 infoCHAMBRE Ouverture de nouveaux noms de domaine : quelles conséquences pour les entreprises ? 6 infoCHAMBRE - Midi de la Chambre du 14 novembre 2013 - Swissarbitrationhub.com : organiser un arbitrage en un clic ! 7 infoSPONSORS - Qim info SA, une approche constructive, une culture d’entreprise, une vision différente du service informatique - 25 ans du Comptoir Immobilier infoPARTENAIRE Junior Enterprise World Congress 2014 8 infoAGENDA Midis de la Chambre 2014 infoCHAMBRE - Un nouveau visage à la CCIG - Mettez en valeur votre savoir-faire Infrastructure ferroviaire Le FAIF est ni plus ni moins appelé à définir l’aménagement et le finance- ment de l’infrastructure ferroviaire pour les décennies à venir. Et la région lémanique, qui accuse un retard manifeste dans le développe- ment de ses infrastructures ferro- viaires, jouera gros. Afin d’accompa- gner au mieux le développement économique et démographique de toute la région, il convient en effet de rattraper ce retard. La CCIG sou- tient ce projet, avec quelques réserves liées à son financement. Les deux volets du FAIF Le FAIF se compose d’un volet « financement », le Fonds d’infra- structure ferroviaire (FIF), et d’un volet « aménagement », le Programme de développement stra- tégique (PRODES). Une acceptation du FIF lors de la votation de février 2014 validera la première étape du PRODES, soit les projets d’aménage- ment à réaliser d’ici 2025, pour un montant de 6,4 milliards de francs. Le FIF, dont l’architecture est résu- mée dans le graphique ci-dessus, se trouve au cœur du projet FAIF. Actuellement, la Confédération finance le rail par le budget général de la Confédération et par le Fonds pour les transports publics (FTP), fonds temporaire alimenté par la redevance sur le trafic des poids lourds liée aux prestations (RPLP), l’impôt sur les carburants et 0,1 % de TVA. Le FIF remplacera le FTP. Il sera ali- menté par les sources suivantes : recettes du FTP actuel ; 2,3 milliards de francs issus du Le 4 février prochain, le peuple suisse sera appelé à voter sur le projet de financement et d’aménagement de l’infrastructure ferroviaire (FAIF) élaboré par la Confédération. Conçu comme un contreprojet direct à l’initiative de l’Association transports et environnement (ATE) dite «pour les transports publics», le FAIF sera soumis seul en votation puisque, l’ATE s’étant déclarée satisfaite du projet, elle a retiré son initiative. Attention à ne pas dérailler aux infrastructures ferroviaires. En parallèle, il devra rembourser les avances de trésorerie faites par la Confédération ces dernières années au FTP actuel. Impact important sur l’arc lémanique Dans la ligne des grands projets ferroviaires et autres programmes d’aménagement (Rail 2000, ZEB, NLFA, etc.), le Conseil fédéral a élaboré le PRODES, un programme complet d’aménagement à réaliser d’ici 2050 et devisé à 42,5 milliards de francs. Le PRODES est divisé en étapes d’aménagement successives, ce qui devrait lui permettre d’être réactif par rapport à l’évolution des besoins. Le projet en votation comprend les mesures de la première étape d’aménagement du PRODES. Dans le projet initial soumis en 2012 par le Conseil fédéral, le paquet pro- posé prévoyait des mesures d’amé- nagement pour un total de 3,5 mil- liards de francs. Le Parlement a estimé que cette première étape était trop timide et décidé d’y inclure une série de projets supplé- mentaires pour un total de 6,4 mil- liards de francs. L’impact de FAIF pour la région sera important. La première étape PRODES comprend en effet le projet d’extension de la gare de Cornavin et l’augmentation de la capacité de la ligne Lausanne-Genève par la construction d’installations de dépassement sur territoire vaudois. L’extension de la gare de Cornavin budget général de la Confédération ; 2 % des recettes de l’IFD perçu sur le revenu des personnes physiques, « compensées » par un plafonne- ment de la déduction des frais de transport à 3000 francs pour les contribuables ; 0,1% de TVA supplémentaire entre 2018 et 2030 ; contribution supplémentaire des cantons de 200 millions de francs par an. Enfin, une part des charges du rail sera aussi couverte par une hausse de prix du sillon de 300 millions de francs, assumée par les entreprises de transport et leurs clients. Du côté des dépenses, le FIF est appelé à financer les frais d’exploi- tation et d’investissements liés suite page 2 Ses compétences et ses quatre modes d’intervention permettent à Qim info de couvrir toute la gamme des besoins en matière de projets informatiques. PAGE 7 Noms de domaine internet Délégation en Chine Après les noms de domaine en écriture arabe, chinoise et cyrillique, des extensions de toutes sortes, telles que .swiss ou .ubs, seront bientôt approuvées. PAGE 5 Lisez les témoignages des entrepreneurs qui ont participé à la mission économique co-organisée par la CCIG à Beijing en septembre dernier. PAGE 3 - 4 infoSPONSORS Dès 2014, nouvelles salles de réunion ! Profitez-en pour organiser votre séminaire d’entreprise avec la CCIG. Contact: [email protected] source : CFF Prélèvements Apports Autres recettes FIF Recettes = dépenses RPLP Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) Taxe sur les huiles minérales Augmentation temporaire d’un pour mille de la TVA (2018–2030) Produit des sillons/augmentation du prix du sillon Fonds fédéraux généraux Déduction maximale relative aux frais de déplacement Contributions des cantons Extensions/aménagements Taux de rémunération des avances Remboursement des avances cumulées FAIF: le fonctionnement du fonds d’infrastructure. Exploitation de l’infrastructure Maintien de la substance (y compris coûts subséquents) Fonds FTP jusqu’à présent

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CCIGinfo no 10 - 2013

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Page 1: Cciginfo no10 decembre 2013

SOMMAIRE

Rejoignez la communauté CCIG sur sa page Facebook!

DU COPIEUR À LA GED

SUBMERGÉ PAR LES PAPIERS ?Nous avons la solution !

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T. 0848 912 912 www.devillard.ch

Bulletin d’information de laChambre de commerce, d’industrieet des services de Genève

Décembre2013 No10

MENSUEL

www.ccig.ch

1-2 Infrastructure ferroviaire : attention à ne pas dérailler

2 ÉDITORIALClimat et énergie,les entreprises réussissent

3-4 infoCOMMERCEINTERNATIONAL

La Chine à l’heure genevoise

5 infoCHAMBREOuverture de nouveauxnoms de domaine :quelles conséquences pourles entreprises ?

6 infoCHAMBRE- Midi de la Chambredu 14 novembre 2013

- Swissarbitrationhub.com: organiser un arbitrageen un clic !

7 infoSPONSORS- Qim info SA, une approche constructive, une culture d’entreprise, une visiondifférente du serviceinformatique

- 25 ans du ComptoirImmobilier

infoPARTENAIREJunior Enterprise World Congress 2014

8 infoAGENDAMidis de la Chambre 2014infoCHAMBRE- Un nouveau visageà la CCIG

- Mettez en valeur votre savoir-faire

Infrastructure ferroviaire

Le FAIF est ni plus ni moins appelé àdéfinir l’aménagement et le finance-ment de l’infrastructure ferroviairepour les décennies à venir. Et larégion lémanique, qui accuse unretard manifeste dans le développe-ment de ses infrastructures ferro-viaires, jouera gros. Afin d’accompa-gner au mieux le développementéconomique et démographique detoute la région, il convient en effetde rattraper ce retard. La CCIG sou-tient ce projet, avec quelquesréserves liées à son financement.

Les deux volets du FAIFLe FAIF se compose d’un volet« financement», le Fonds d’infra-structure ferroviaire (FIF), et d’unvolet «aménagement», leProgramme de développement stra-tégique (PRODES). Une acceptation

du FIF lors de la votation de février2014 validera la première étape duPRODES, soit les projets d’aménage-ment à réaliser d’ici 2025, pour unmontant de 6,4 milliards de francs. Le FIF, dont l’architecture est résu-mée dans le graphique ci-dessus, setrouve au cœur du projet FAIF.

Actuellement, la Confédérationfinance le rail par le budget généralde la Confédération et par le Fondspour les transports publics (FTP), fondstemporaire alimenté par la redevancesur le trafic des poids lourds liée auxprestations (RPLP), l’impôt sur lescarburants et 0,1% de TVA.

Le FIF remplacera le FTP. Il sera ali-menté par les sources suivantes :• recettes du FTP actuel ;• 2,3 milliards de francs issus du

Le 4 février prochain, le peuple suisse sera appelé à voter sur le projet de financement et d’aménagement de l’infrastructureferroviaire (FAIF) élaboré par la Confédération. Conçu comme un contreprojet direct à l’initiative de l’Association transports etenvironnement (ATE) dite «pour les transports publics», le FAIF sera soumis seul en votation puisque, l’ATE s’étant déclaréesatisfaite du projet, elle a retiré son initiative.

Attention à ne pas dérailler

aux infrastructures ferroviaires.En parallèle, il devra rembourserles avances de trésorerie faites parla Confé dé ration ces dernièresannées au FTP actuel.

Impact important sur l’arclémaniqueDans la ligne des grands projets ferroviaires et autres programmesd’aménagement (Rail 2000, ZEB,NLFA, etc.), le Conseil fédéral a élaboré le PRODES, un programmecomplet d’aménagement à réaliserd’ici 2050 et devisé à 42,5 milliardsde francs. Le PRODES est divisé enétapes d’aménagement successives,ce qui devrait lui permettre d’êtreréactif par rapport à l’évolutiondes besoins.

Le projet en votation comprend lesmesures de la première étaped’aménagement du PRODES. Dansle projet initial soumis en 2012 parle Conseil fédéral, le paquet pro-posé prévoyait des mesures d’amé-nagement pour un total de 3,5 mil-liards de francs. Le Parlement aestimé que cette première étapeétait trop timide et décidé d’yinclure une série de projets supplé-mentaires pour un total de 6,4 mil-liards de francs.

L’impact de FAIF pour la région seraimportant. La première étapePRODES comprend en effet le projetd’extension de la gare de Cornavinet l’augmentation de la capacité dela ligne Lausanne-Genève par laconstruction d’installations dedépassement sur territoire vaudois. L’extension de la gare de Cornavin

budget général de la Confédération ; • 2% des recettes de l’IFD perçu surle revenu des personnes physiques,« compensées» par un plafonne-ment de la déduction des frais detransport à 3000 francs pour lescontribuables ;• 0,1% de TVA supplémentaireentre 2018 et 2030 ;• contribution supplémentaire descantons de 200 millions de francspar an.

Enfin, une part des charges du railsera aussi couverte par une haussede prix du sillon de 300 millions defrancs, assumée par les entreprisesde transport et leurs clients.

Du côté des dépenses, le FIF estappelé à financer les frais d’exploi-tation et d’investissements liés suite page 2

Ses compétences et ses quatre modes d’interventionpermettent à Qim info de couvrir toute la gamme desbesoins en matière de projets informatiques.

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Noms de domaine internetDélégation en ChineAprès les noms de domaine en écriture arabe, chinoiseet cyrillique, des extensions de toutes sortes, telles que.swiss ou .ubs, seront bientôt approuvées.

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Lisez les témoignages des entrepreneurs quiont participé à la mission économique co-organiséepar la CCIG à Beijing en septembre dernier.

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infoSPONSORS

Dès 2014, nouvelles sallesde réunion ! Profitez-en pourorganiser votre séminaired’entreprise avec la CCIG.

Contact : [email protected]

source

: CFF

PrélèvementsApports

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FIFRecettes = dépenses

RPLP

Taxe sur la valeur ajoutée (TVA)

Taxe sur les huiles minérales

Augmentation temporaire d’unpour mille de la TVA (2018–2030)

Produit des sillons/augmentation du prix du sillon

Fonds fédéraux généraux

Déduction maximale relative aux frais de déplacement

Contributions des cantons

Extensions/aménagements

Taux de rémunération des avances

Remboursement des avances cumulées

FAIF: le fonctionnement du fonds d’infrastructure.

Exploitation de l’infrastructure

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Page 2: Cciginfo no10 decembre 2013

ÉDIT

ORIA

LLa lutte contre le réchauffement climatique est un enjeu pris

au sérieux par les milieux économiques. Depuis 2005 déjà, ilsagissent sur une base volontaire, notamment grâce à laFondation Centime Climatique, qui se finance par une rede-vance prélevée sur toutes les importations d’essence et de die-sel. Les quelque 100 millions de francs ainsi récoltés annuelle-ment ont permis de financer toutes sortes de mesures en Suisseet à l’étranger : réduction des émissions de CO2 des bâtiments,promotion des énergies renouvelables dans le domaine des car-burants et des combustibles, réduction des émissions dans lesecteur industriel, etc. D’autre part, la Fondation a apporté sacontribution à des fonds existants ou directement acheté descertificats de réduction d’émissions auprès de tiers (essentielle-ment dans les domaines de la production d’électricité renouve-lable et de captage de gaz de décharge).

Pour la période de 2008 à 2012, les réductions d’émissionsréalisées en Suisse ont atteint 2,7 millions de tonnes de CO2 et16 millions de tonnes équivalent CO2 à l’étranger. L’objectif deréduction de 17 millions de tonnes que la Fondation avaitconvenu avec la Confédération est donc dépassé.

De son côté, l’Agence de l’énergie pour l’économie (AEnEC),forte de 2500 entreprises adhérentes, est parvenue à leur faireéconomiser près de 1,4 million de tonnes de CO2 et plus de 1,4million de MWh d’électricité grâce à des mesures d’assainisse-ment qui, de surcroît, se sont révélées rentables. La première loisur le CO2, applicable jusqu’à fin 2012, obligeait les entreprises àréduire leurs émissions dues aux combustibles de quelque 15%par rapport à 1990. Un objectif que les participants de l’AEnECont largement dépassé, puisqu’ils ont atteint 25% à fin 2012.

La Suisse est loin d’être un mauvais élève dans la luttecontre les émissions de CO2. Elle est responsable de 0,2 % desémissions mondiales et les émissions par habitant s’élèvent à4,7 tonnes par an. Pourtant, elle ne relâche pas ses effortspuisqu’en 2014, la taxe prélevée sur les combustibles fossilessera presque multipliée par deux. Plus la législation climatiqueet énergétique se durcira, plus il sera indispensable de renfor-cer le dialogue avec l’économie et la coopération avec lesentreprises. Comme les quelques chiffres ci-dessus en témoi-gnent, il s’agit là d’un pari gagnant.

Climat et énergie, lesentreprises réussissent

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2Décembre2013 No10

suite de la page 1

est un projet de première impor-tance pour Genève. Dès la mise enservice du CEVA et avec la cadenceaccrue des RER régionaux, la gareactuelle arrivera en effet aux limitesde sa capacité. L’agrandissementprévu permettra notamment dedévelopper encore l’offre régionaleet internationale. Des entreprisesaux pendulaires, tout le monde ytrouvera son compte.

Quelques défauts tout de mêmePour autant, le FAIF n’est pas sansdéfauts. L’enveloppe du PRODESglobale se monte à 42,5 milliards defrancs, une somme considérable.Les projets proposés sont classésselon leur caractère d’urgence. S’ilconvient évidemment de soutenir ledéveloppement du rail, au vu desmontants considérés, il faudra veillerà ce que le choix des projets à réali-ser se fasse selon des critères clairsde rapport coût-utilité.

Ensuite, le mécanisme de finance-ment proposé avantage le rail demanière disproportionnée. Le FIFsera en effet illimité dans le tempset se verra accorder une enveloppeau contenu prédéfini, indépendam-ment de la conjoncture ou d’éven-tuelles évolutions des priorités. Onpeine à comprendre pourquoi le raildevrait être favorisé à ce point.Surtout, si l’on cherche par-là àassurer le développement des infra-

structures de transport du pays,objectif louable en soi, il n’est pasacceptable que le rail soit à ce pointavantagé par rapport à la route. Ledéveloppement des infrastructuresroutières réclame également desinvestissements conséquents etgarantis sur la durée. C’est pourquoiles associations économiquesdemandent la mise sur pied d’unfinancement analogue pour la route(voir plus bas). C’est là une questiond’équité et d’équilibre.

Un financement croiséLe FAIF prévoit de cimenter une par-tie du financement du rail par laroute puisque le «détournement»de la majorité des recettes de laRPLP est maintenu. Ensuite, le pla-fonnement des déductions pourfrais de transport dans le calcul del’impôt fédéral direct concernerabien plus les usagers de la route queceux du rail. Or, un tel subvention-nement croisé n’est pas conforme àla logique économique et se traduitpar une incitation à la surconsom-mation de prestations et à desinvestissements excessifs. Uneconsolation néanmoins : il est prévuque l’impôt sur la consommationdes carburants et son supplément,qui nourrissent aujourd’hui le FTP,cesseront d’alimenter le FIF à l’hori-zon 2030 environ. Saluons ce débutde désenchevêtrement des finance-ments croisés du rail par la route.

Ne pas oublier la routeLe réseau routier connaît lui aussiun engorgement croissant. Or, si lapart modale du rail est appelée àcroître, l’Office du développementterritorial confirme qu’en termes depersonnes-kilomètres, les transportsindividuels motorisés resteront troisfois plus importants que les trans-ports publics (tous modes confon-dus) en 2030.

La Confédération s’est récemmentprononcée en faveur de la créationd’un Fonds pour les routes natio-nales et le trafic d’agglomération(FORTA), soit le pendant routier duFAIF : un fonds à durée illimitée destiné à financer les investisse-ments, l’entretien et l’exploitationdes routes nationales et les contri-butions au trafic d’agglomération.

Les associations économiques seréjouissent de cette intention. Lesmodalités exactes du projet n’étantpas encore connues, la prudencedemeure de mise. Il faudra veiller àce que le produit des nombreuximpôts et autres taxes dont s’acquit-tent les usagers de la route soit bienalloué à l’infrastructure routière etnon à des postes budgétairesn’ayant que fort peu de rapportsavec le domaine routier.

Malgré les défauts décrits plus haut,la CCIG soutient le FAIF, car le projetest indispensable à l’amélioration dela desserte ferroviaire lémanique.

Il conviendra cependant d’être vigi-lant au moment de l’élaboration dufutur FORTA afin que le secteur rou-tier soit (enfin) mis sur un piedd’égalité avec le rail.

La Confédération se doit de consi-dérer le développement des capaci-tés des deux secteurs sous l’anglede la complémentarité et d’un réelcalcul coût-bénéfice et non sousl’angle étroit de la seule promotiondu rail au détriment des autresmodes de transport.�

NATHALIEHARDYNDirectrice adjointe

Le volet «aménagement» du FAIF comprend, pour Genève, l’extension de la gare de Cornavinet l’augmentation de la capacité de la ligne Lausanne-Genève.

source

: CFF

Page 3: Cciginfo no10 decembre 2013

3No10 Décembre2013

infoCOMMERCE INTERNATIONAL

suite page 4

C’est pourquoi la CCIG a invitéses membres, déjà actifs en Chineou intéressés par le marché chinois, à se joindre à ce voyagemené par le Président du Conseild’Etat Charles Beer. Plusieursdizaines d’entreprises ontrépondu présentes, démontrantl’attrait indéniable de ce gigantesque marché à la crois-sance impressionnante.

Cette délégation faisait partiedes trois à quatre missions écono miques que la CCIG organisechaque année dans des pays oùil est difficile pour une entreprisesuisse d’établir des premierscontacts et où les différences culturelles sont importantes.

La CCIG a demandé aux partici-pants avec quels objectifs ilss’étaient inscrits à cette missionet quel potentiel ils voyaientpour leur entreprise à Beijing.Voici leurs témoignages, dont lasuite paraîtra dans le numéro dejanvier 2014.

Thierry LavalleyGeneral Manager, Grand HotelKempinski GenevaNotre objectif principal était denouer de nouveaux contacts àBeijing grâce au programme mis enplace par la promotion économique

genevoise. Notre CompagnieKempinski est déjà très présente enChine et y a un certain nombre derelais. Nous pensons que les clientschinois vont de plus en plus se ren-dre dans les Hôtels 5* lorsqu’ilsvoyagent en Europe et c’est la rai-son pour laquelle nous cultivonsnotre présence sur place afin de nepas manquer ce rendez-vous dansun avenir très proche.

Dr Benoît MerktPartner, Lenz & StaehelinNotre objectif était de mieux com-prendre le secteur des services juri-diques en Chine. Avec l’accord delibre-échange entre la Suisse et laChine, le besoin de conseils juri-

diques transfrontaliers va augmenter.Dans ce contexte, des collaborationsponctuelles entre cabinets d’avocatchinois et suisses vont naturellementse renforcer. �Le voyage a été utile àplusieurs égards, notamment afin demieux connaître les différents cabi-nets chinois à vocation internatio-nale ainsi que leurs domaines d’acti-vité et de spécialisation.

Marie-Gabrielle CajolyCorporate Head of Communications& CSR, Addax Petroleum Ltd.(Geneva Branch)En tant que filiale du GroupeSinopec installée à Genève et primée premier investisseur chinoisen Suisse, Addax Petroleum a sou-haité se joindre à la délégationgenevoise en mission économiqueà Pékin pour soutenir très concrète-

ment le développement des relations économiques, sociales etculturelles entre Genève et Pékin,et plus largement entre les culturessuisse et chinoise.

Joseph RiedwegCEO, Audiconsult SAL’objectif principal de notre partici-pation à la mission à Beijing étaitde nous ouvrir à ce nouveau mar-ché. Nous souhaitions notammentcréer un réseau de contacts àBeijing, afin d’être introduits à des

entreprises chinoises désireuses des’implanter en Suisse et d’y investir,tout en tenant compte du fait quenous sommes déjà représentés enChine par notre réseau internationalRUSSELL BEDFORD et que nousn’envisageons donc pas l’ouvertured’un bureau dans ce pays.Ces objectifs ambitieux ont été plusqu’atteints, et aujourd’hui nouscomptons déjà plus de cinq clientschinois, avec une douzaine declients potentiels supplémentaires,et ceci seulement deux mois aprèsnous être lancés dans ce marché.Nous avons été impressionnés parl’organisation de cette mission etnous réjouissons d’ores et déjà de laprochaine, qui nous mènera certai-nement à Shanghai…

Mission économique à Beijing

La Chine à l’heure genevoiseLa CCIG s’est jointe à la Chancellerie d’Etat et au Département de l’économie pour organiser du 16 au 18 septembre, en plein cœur de Beijing, des « Journéesgenevoises » sous forme de séminaires, de rencontres et de visites d’entreprise. Celles-ci ont permis de présenter et de promouvoir les acteurs genevois dumonde de la finance, de l’éducation, du tourisme, de la santé, entre autres. Dans le contexte chinois, le soutien officiel est une clé importante pour ouvrir lesportes et mener ses projets à bien.

Gilles RüfenachtDirecteur de la Clinique desGrangettes et président del’Association des cliniques privéesde GenèveJ’ai été frappé de l’intérêt de nosinterlocuteurs chinois pour le secteurde la santé. Avec la délégation«Santé» que je conduisais, qui com-prenait Nathalie Delbarre (Hôpital dela Tour) et Stanley Hautdidier(Clinique de la Colline), nous avonspu valoriser nos infrastructures etprésenter le système de santé préva-lant en Suisse. En matière de techno-logie médicale, nous avons pu fairevaloir un certain leadership, en parti-culier dans la chirurgie robotisée. LesChinois sont en effet très intéresséspar la haute technologie. Ils ont aussiapprécié les modalités de fonctionne-ment par pôle d’excellence que nous

développons dans les cliniques pri-vées genevoises, notamment en chi-rurgie, en cardiologie, en oncologieet dans le secteur mère-enfants. Denombreux contacts ont été établisqui pourront certainement débou-cher sur de nouvelles collaborations.

De gauche à droite, quelques-uns des participants : Mario Betancourt, TRB Chemedica; Laurent Maendly et Pierre Favre, MHC Manufacture HautesComplications SA; Philippe Meyer, CCIG; Nick Dryden, Dryden Associates SA; Haiwen Hu-Monico, Credit Suisse AG; Jean-Luc Chopard, Etat deGenève; Yunfei Gao, Chambre de commerce Suisse-Chine; Amir Kaswani, Kyoto Japan Tire Group; Joseph Riedweg, Audiconsult ; Luzius Wasescha,Fondation pour Genève; Daniel Loeffler, Etat de Genève; la guide; Vincent Subilia, Etat de Genève; Alain Moser, Ecole Moser.

Guillaume Barazzone, conseiller administratif de la Ville de Genève, et Philippe Meyer, membrede la Direction de la CCIG.

Page 4: Cciginfo no10 decembre 2013

4Décembre2013 No10

10:04

Luc CraenManaging Director, EuropeanUniversityLe but principal était de développerun nouveau réseau de contacts quecelui que nous avons déjà. Levoyage a été un franc succèspuisque différents contacts ont étécréés et des partenaires potentielsidentifiés. Nous sommes d’ailleurs

en discussions avancées avec uneinstitution rencontrée lors de cevoyage, ce qui pourrait très prochai-nement se transformer en une colla-boration future.

Sylvain AurouxGeneral Manager Switzerland & Italy,Piaget, Branch of Richemont Suisse SALes objectifs de Piaget étaient dereprésenter l’excellence horlogère

suisse et genevoise dans le cadre dela délégation genevoise, de présen-ter Piaget et ses manufacturessuisses à un public chinois amateuret de rencontrer des intermédiaires(Tour Operators, family office…).susceptibles de nous apporter desclients à Genève et en Suisse. Piagetest déjà largement présent en Chineet mon idée était clairement plus degénérer un flux vers chez nous, carparadoxalement Genève est beau-coup moins visitée que Lucerne,Interlaken et même Zurich alorsqu’elle est la patrie de l’horlogeriesuisse d’excellence.

Pascal Vieilledent, Partner etFrançois Fauran, Board Member,EuroholdL’objectif de Eurohold était de trou-ver des partenaires chinois établis

dans le domaine des fusions etacquisitions de sociétés pour nouerune relation de partenariat en met-tant en évidence notre expériencedepuis plus de 25 ans en Europe.Notre objectif a été largementatteint d’une part au travers desentretiens préparés en préalable ànotre séjour par la Chambre deCommerce Sino-Suisse de Beijing,qui d’ores et déjà font l’objet deréunions programmées, et d’autre

part grâce à des contacts spontanésinitiés lors des réunions formelles.Nous tenons à souligner la remar-quable qualité de l’organisation desdifférentes manifestations du pro-gramme conjointement réalisées parle Conseil d’Etat et la CCIG ainsique par la parfaite logistique four-nie par Eurasia-Genève.

Douglas HornungPartner, Hornung AvocatsQuel plaisir d’avoir pu participer àcette délégation genevoise ! Lesobjectifs de ce déplacement étaientmultiples : d’abord, le plaisir derevoir Beijing, son dynamisme, sondéveloppement effréné et songigantisme (mais aussi, malheureu-sement, sa pollution quasiconstante !). L’idée de faire un par-tenariat entre la petite Genève inter-nationale (300000 habitants) et lamégapole chinoise (20000000d’habitants !) tient du challenge etdu défi. Comme d’habitude, lesPékinois se montrent chaleureux,accueillants et soucieux de nouer denouveaux contacts. La délégationgenevoise a été reçue avec tous leségards réservés aux hôtes demarque. Les contacts professionnels– deuxième objectif de ce voyage –ont été nombreux et fructueux.Grâce à l’organisation parfaite(minutée et minutieuse), j’ai eu leplaisir de rencontrer l’Ambassadeurde Suisse en Chine, MonsieurJacques De Watteville, qui va succéder à Monsieur MichaelAmbühl au Secrétariat d’Etat auxquestions financières internationalesde la Confédération. Il a reçu ladélégation à l’ambassade suisse àBeijing, la plus grande ambassadehelvétique au monde. La délégationgenevoise a visité la zone écono-mique de Haidian ainsi qu’une autre

zone de développement technolo-gique et économique. Ces visitesont permis des contacts personnali-sés entre les membres de la déléga-tion genevoise et des entrepreneurschinois, qui ont pu encore êtreapprofondis lors du séminaire spé-cial « Forum économique» auquelplus de 350 entrepreneurs chinoisont participé. Enfin, et surtout, desrencontres personnalisées avec desentrepreneurs chinois ont été orga-nisées et c’est ainsi que j’ai eu leplaisir de pouvoir faire la connais-sance de deux Etudes d’avocatspékinoises, largement tournées versl’international, que je ne connaissaispas encore. L’intérêt pour des inves-tissements chinois en Suisse étaitmarqué et concret. Le plus grandplaisir, pour moi, a été de faire laconnaissance de ces entrepreneurssuisses qui ont choisi de faire cedéplacement à Beijing. Grâce auxcontacts ainsi noués en quelquesjours entre les membres de la délé-gation genevoise, de nouvelles ami-tiés sont nées. A tel point que l’undes participants vient d’envoyerune invitation à tous ceux qui ont

participé à ladélégation pourproposer de nousrevoir à l’occasiond’un repas infor-mel… On nedemande qu’àrécidiver !�

La délégation découvre le projet de développement du District de Tongzhou qui, situé au sud-est de Beijing, est considéré comme la porte d’entréeorientale de la capitale.

Pas encore membre?La CCIG a pour mission d’assurer une économie forte et de promouvoirses membres. Avec plus de 2000 entreprises membres, de toutes tailleset tous secteurs, elle rassemble plus des trois quarts des emplois privésdu canton. Indépendante de l’Etat, son autonomie et sa représentati-vité en font le porte-parole de l’économie face aux autorités publiques.

Si vous souhaitez bénéficier des services de la CCIG, devenezmembre sans tarder! www.ccig.ch – tél. 022 819 91 11.

Et pour retrouver et partager l’actualité politique et économique,

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suite de la page 3

Page 5: Cciginfo no10 decembre 2013

5No10 Décembre2013

infoCHAMBRE

Internet

Ouverture de nouveaux noms de domaine : quellesconséquences pour les entreprises?

On rappellera qu’une adresse internetse lit de droite à gauche. Lorsqu’uninternaute appelle par exemple lapage news.admin.ch, le réseau identi-fie d’abord le domaine de premierniveau «.ch», attribué à la Suisse etgéré par la fondation Switch.

Cette dernière indique le détenteurdu domaine de deuxième niveauadmin (ici l’Administration fédérale)et surtout le serveur informatiqueoù est hébergé le site. A l’intérieurde ce dernier, des domaines de troisième niveau peuvent exister(ici news pour les communiquésde presse).

Les domaines de deuxième niveauont constitué jusqu’à présent leprincipal enjeu des marques, raisonssociales et collectivités publiques,toutes soucieuses de revendiquerleur propre nom ou d’autres dési-gnations utiles en termes d’image.

Pour affirmer une présence commer-ciale et éviter toute usurpation,ces domaines de deuxième niveauont souvent été réservés sous plu-sieurs domaines de premier niveau : piogre.ch, piogre.fr, piogre.com, etc.

Point-tout-ce-que-vous-voulezUne nouvelle dimension s’ouvredésormais avec la libéralisation desdomaines de premier niveau, aussiappelés «TLD» pour Top-LevelDomains. Ces derniers, jusqu’à pré-sent, se divisaient en TLD «natio-

naux» (« .ch», « .fr », etc.) et 22génériques» ou thématiques, majo-ritairement dérivés de l’anglais(« .com», « .org», « .gov», etc.).Leur nombre, restreint au départ,s’est progressivement étendu dansla dimension tant géographique quethématique : « .aero», « .travel »,« .asia», etc. La liste des TLD estgérée au niveau mondial parl’ICANN (Internet Corporation forAssigned Names and Numbers),société à but non lucratif basée enCalifornie et agissant comme auto-rité de régulation d’Internet.L’ICANN attribue ces noms – souscertaines conditions techniques,financières et juridiques – à desorganismes qui se chargent ensuited’attribuer et de contrôler lesdomaines de deuxième niveau quien dépendront.

La libéralisation lancée en 2012devrait amener l’apparition de cen-taines de nouveaux TLD : grandesentreprises (« .toyota»), capitales(« .berlin »), domaines d’activité(« .health»), etc. L’acquisition deson propre TLD ne sera pas à laportée de tout le monde : on parlede plusieurs centaines de milliers dedollars pour le dépôt d’unedemande, puis pour la licence etl’exploitation annuelles. On peutnéanmoins imaginer que la posses-sion d’un TLD permettant de com-mercialiser des domaines dedeuxième niveau se révélera extrê-mement rentable dans certains cas.

De nouvelles adresses à réserver?En octobre dernier, l’ICANN aannoncé les premiers noms dedomaine dans les écritures arabe,chinoise et cyrillique. Outre l’ouverture à des noms de domainedans des caractères autres quelatins, l’ICANN est sur le point d’approuver des extensions detoutes sortes, comme des noms desociétés ou de produits, allant desplus simples comme « .shop» auxplus précises comme « .motos».Le régulateur étudie actuellementprès de 2000 demandes d’extension(qui peuvent être consultées ici :https://gtldresult.icann.org/applica-tion-result/applicationstatus). Lesentreprises auront intérêt à se ren-seigner sur les nouveaux TLD géo-graphiques et thématiques qui appa-

raîtront, afin de déterminer s’il estopportun d’y enregistrer leur adresseinternet (domaine de deuxièmeniveau). Prenons ce seul exemple : leTLD « .swiss» a été demandé par laConfédération pour être à disposi-tion «de l’économie, de la culture etdes institutions du pays», avec l’exi-gence d’un lien réel avec la Suisse(ce lien n’est pas obligatoire pour lessites en « .ch»). La réservationd’adresses se terminant par « .swiss»pourrait commencer en 2014 et cha-cun devra alors calculer s’il est renta-ble d’investir dans une telle adresse,ou risqué de ne pas le faire.

Relativement peu d’acteurs helvé-tiques ont manifesté leur intérêt.Outre le canton de Zurich, qui ademandé «.zuerich», l’essentiel des

requêtes émanent des groupes horlo-gers Richemont («.richemont»,«.piaget», «.panerai», «.mont-blanc», «.iwc») et Swatch(«.swatch», «.omega»). Le CERNsouhaite quant à lui obtenir «.cern»et UBS «.ubs».

Les râleurs penseront que cette ava-lanche de nouveaux domaines entraî-nera davantage de coûts supplémen-taires que de possibilités réellementutiles et que le seul bénéficiaire seral’ICANN, qui se fera une petite for-tune au passage! Peut-être n’ont-ilspas tort. Mais l’environnementd’Internet s’impose aujourd’hui ànous, alors mieux vaut être averti !�

L’essentiel de cet article de Pierre-Gabriel Bieriest paru dans Patrons n°10, 2013, la revue duCentre Patronal vaudois.

Les appellations « classiques» seront bientôt complétées par de nouveaux noms de domaine, pour lesquels 2000 demandes ont été déposées.

Les adresses des pages Internet revêtent une importance commerciale non négligeable pour les entreprises puisqu’elles sont liées à leur raison sociale et parfoisaux produits qu’elles commercialisent. La libéralisation des noms de domaines dits «de premier niveau» va entraîner une évolution dont on ignore encore lescontours précis, mais à laquelle il convient d’être attentif.

Page 6: Cciginfo no10 decembre 2013

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6Décembre2013 No10

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Pour célébrer cet anniversaire, le Comptoir Immobilier a organisé une soirée événementielle pri-vée au Théâtre du Léman le 11 novembre dernier autour du dernier spectacle de Gad Elmaleh.

Page 8: Cciginfo no10 decembre 2013

8Décembre2013 No10

IMPRESSUM

Bulletin d’information de la CCIG.Paraît 10 fois par an, 3300 exemplaires

Responsable d’édition:Alexandra RysRédaction:Sonam Bernhard, Fabienne Delachaux,Marc Rädler, Alexandra Rys

Publicité:Promoguide SA - Tél. 022 809 94 92

Informations:[email protected]

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Un nouveau visageà la CCIG

Le 23 janvier prochain, venez assister, dans les locaux flambantneufs de la CCIG, aux présentations des entreprises suivantes :

Que ceux qui ontl’impression devoir toujours lesmêmes per-sonnes à nos évé-nements se rassu-rent : la CCIG a

engagé début novembre Thierry J.Reverdin, nouveau responsable desrelations avec les membres. Sa mis-sion, qu’il a acceptée, est double :recruter et fidéliser, l’accent étantplus qualitatif que quantitatif. Pource faire, il va notamment activer etresserrer les liens avec les membreset améliorer encore le suivi adminis-tratif, afin de rendre plus efficaces lagestion de notre base de données etles activités s’y rattachant.

Avant de rejoindre la CCIG,M. Reverdin a été pendant vingt ansbroker pour les banques d’investis-sement Kidder Peabody & Co etC.J. Lawrence & Co aux Etats-Unis,

à Zurich et à Genève. Il a dirigé labanque d’images Len Sirman Photosen Suisse, avant de se mettre à soncompte dans les services financiers.Il a alors ouvert la succursale gene-voise de sociétés comme FidelityInvestments et œuvré commeconsultant auprès d’Atlas Capital SAet d’Altaira Wealth Management SA.En parallèle, il est actif dans lefinancement et l’accompagnementde jeunes entreprises au travers desa société Foothill Capital.

Soucieux de créer de la valeur etdoté d’une vision globale à longterme, associée à un pragmatismede bon aloi, il ne fait aucun douteque Thierry J. Reverdin veillera àla qualité des relations avec lesmembres et à leur diversité – l’assu-rance de voir bientôt d’autres nou-veaux visages ! N’hésitez pas à luisoumettre toute question à ce sujet :[email protected] - 022 819 9115.

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Midis de la Chambre 2014En 2014, les Midis de la Chambre auront lieu les jeudis suivants,de 12h30 à 14h :

23 janvier - 13 février - 13 mars - 10 avril - 15 mai

12 juin - 3 juillet - 28 août - 25 septembre - 16 octobre

13 novembre - 11 décembre

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� PROGRAMME ET INSCRIPTIONS www.ccig.ch (Agenda des événements)

Avec une soixantaine d’événements«maison» annuels, dont les deuxprincipaux attirent entre 600 et 900participants, les collaborateursde la Chambre jouissent d’unesolide expérience, qu’ils mettentà votre service lors d’un séminaired’entreprise, en assurant un accom-pagnement complet :• sélection des personnes invitéesdans la base de données Swissfirms,selon les critères choisis avec vous ;• annonce du séminaire dans lemensuel CCIGinfo, la newslettere-ccig et sur notre site web, inscription sur le même site web ;

• mise à disposition de nos locauxpour le séminaire, accueil et enregistrement des participants ;• questionnaire d’évaluation vouspermettant d’apprécier la qualitéet l’utilité de votre présentation ;• compte rendu du séminaire dansle CCIGinfo (en principe rédigéen interne).Ce service, payant, est bienentendu réservé aux membresde la CCIG.

� RENSEIGNEMENTS

Sonam Bernhard, tél. 022 819 91 [email protected]

La Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genèvevous souhaite une année 2014