la strategie de communication en milieux ......d'influence du numérique, fleishman-hillard et...

Alexandre André GERMAIN

Université de Montpellier 1

Faculté AES

Master 1er

année : Entrepreneuriat

Lieu de stage : Association Montpelliéraine d’Aide et de l’Insertion (AMAI)

Rapport-Mémoire de stage

Sous la direction de M. Patrick VERHAEGHE

LA STRATEGIE DE

COMMUNICATION EN MILIEUX

ASSOCIATIF

Le site internet

LA STRATEGIE DE

COMMUNICATION EN MILIEUX

ASSOCIATIF

Le site internet

C’est avec enthousiasme que j’effectue ma Première année de master entrepreneuriat au sein de la faculté d’AES de l’Université de Montpellier 1. Et c’est avec cet enthousiasme que je vous propose de lire ce rapport.

Celui-ci n’aurait pas lieux d’être sans les conseils et l’appui de M. Ivan NOSBE, en

cela je le remercie. Je tiens à remercier également les responsables de l’Association Montpelliéraine

d’Aide et d’Insertion (AMAI), Messieurs Abdel BEDJAÏT (le président), son associé Zoubir DEBBOUZA, ainsi que les secrétaires du bureau.

Je présente également mes remerciements à l’Université de Montpellier 1.

Mes remerciements, AAG

SOMMAIRE

INTRODUCTION ............................................................................................................................ 1

INTRODUTION: English version ..................................................................................................... 4

Partie 1.Le contexte économique : Le territoire de la Mosson ........................................................ 7

Partie 2.L’Aassociation Montpelièraine d’Aide et de l’Insertion ................................................... 13

Section 1.Présentation ...................................................................................................... 14

I.Bureau / Organigramme ................................................................................................. 14

II.Objectif de l’association ................................................................................................. 15

III.Activité de l’association ................................................................................................ 16

IV.Les adhérents ............................................................................................................... 16

Section 2.Diagnostic de l’association ................................................................................. 16

Section 3.Stratégie de communication externe .................................................................. 18

I.Définition de la stratégie de communication et des pistes d’actions proposées ........... 18

II.Réalisation d’un site internet pour la communication .................................................. 19

Partie 3. Création d’un site internet ............................................................................................ 20

Section 1.Présentation des différents types de site existant ............................................... 21

Section 2.Le choix d’un site associatif pour l’association AMAI ........................................... 22

Section 3.Les étapes de la création du site internet ............................................................ 24

I.Le projet .......................................................................................................................... 25

II.Le concept ...................................................................................................................... 26

III.La conception du site à travers le cahier des charges .................................................. 27

A.Présentation de votre activité ............................................................................. 28

B.Le but du futur site .............................................................................................. 29

C.Quel est votre cible : visiteur ou client ................................................................ 30

D.Le nombre de page à la livraison ........................................................................ 31

E.Fournir vos textes de contenus ........................................................................... 32

F.Les langues disponibles sur le site ....................................................................... 39

G.Le nom de domaine ............................................................................................ 39

H.Le choix de type d’hébergement ........................................................................ 40

I.Les balises Meta tag ............................................................................................. 40

IV.L’Ergonomie du site communication par internet ....................................................... 40

V.Le design ........................................................................................................................ 41

VI.L’hébergement ............................................................................................................. 41

VII.Le référencement ........................................................................................................ 41

VIII.Promotion ................................................................................................................... 42

IX.Maintenance du site et la vie du site internet .............................................................. 42

CONCLUSION. .......................................................................................................................... 44

Conclusion in English version ...................................................................................................... 46

A propos du stage ...................................................................................................................... 48

About the training period ........................................................................................................... 49

ANNEXES ............................................................................................................................ 51

Bibliographie / Webographie ...................................................................................................... 53

Rapport de stage 2012 – GERMAIN Alexandre André – M1 Entrepreneuriat 1

Association Montpelliéraine d’Aide et d’Insertion

Université de Montpellier

Faculté d’AES

INTRODUCTION

La stratégie de communication d’une

association : Internet un outil incontournable

« Avec un budget cumulé de l’ordre de 59 milliards d’euros, un volume d’emploi de 1 050 000 emplois en équivalents temps plein, auxquels s’ajoute le travail de près de 14 millions de bénévoles qui réalisent ensemble un volume de travail de l’ordre de 935 000 emplois en équivalents temps plein, le poids dans l’économie et dans la société française des quelque 1100 000 structures qui composent le secteur associatif apparaît considérable ». (ADDES Association pour le Développement de la Documentation sur L'Economie Social, Novembre 2007).

Nous voyons à travers ce premier paragraphe que la France connait un « nombre

considérable » d’associations. L’étude conduite par ADDES dénombre 1 100 000 associations réparties ainsi :

Tableau 1 "Répartitions des Associations"

Associations sans salarié

Associations employeurs

Ensemble

Une association sans section ni établissement

61 % 51 % 60 %

Le siège d'une association comportant plusieurs sections ou établissements

5 % 15 % 7 %

Une association faisant partie d'un grand réseau d'associations ayant chacune la personnalité juridique

15 % 18 % 16 %

Une fédération d'associations 6 % 5 % 5 % Un établissement ou une section d'une association

13 % 11 % 12 %

Total 100 % 100 % 100 % (Enquête CNRS-Matisse-Centre d'économie de la Sorbonne auprés des Associations, 2005/2006) Au vu de ce nombre important de structures associatives, je me suis intéressé à

l’aspect marketing de celles-ci. Ainsi, je propose d’orienter mon rapport autour de la communication en milieu associatif.

Au delà de ma vie universitaire ou professionnelle, je suis très sensibilisé par l’univers

associatif. En effet, je participe au déroulement de plusieurs associations ; deux sont de type

culturel et musical, et la dernière se développe dans l’univers de l’aide à la personne et celui de l’humanitaire.




Faculté d’AES

Avec mes connaissances, mes recherches et mon expérience dans ce milieu, j’ai fait le constat que beaucoup d’associations ne perçoivent pas ou peu l’utilité d’avoir recours à la communication pour présenter et promouvoir de manière efficace leur organisation. Or la communication est un moyen d’information et de promotion pour une structure de type associative.

Il existe deux moyens de communication, soit elle peut se faire en interne, ou bien elle s’effectue en externe. Lorsque l’on parle, dans le cas présent, de communication, il est surtout question de communication en externe.

Une communication en externe c’est quoi ? C’est présenter l’association, ses activités,

ses objectifs au grand public et aux différents partenaires. Bien souvent communiquer permet d’augmenter le nombre d’entre eux (les partenaires), mais aussi le nombre d’adhérents.

En milieu associatif, il existe plusieurs moyens de communication. Le premier passe

certainement par le symbole de reconnaissance qu’est le logo, il permet aux personnes de l’extérieur de repérer rapidement l’organisation.

Certaines structures ont compris que pour une communication optimale, celle-ci devrait se faire par les médias (presses, radio, télévision), ainsi pour communiquer, bon nombre d’entre eux font le choix de le faire à travers un journal ou un magazine, d’autres optent pour des affiches, des tracts ou bien encore des campagnes de presse. (Associanet)

Le dernier moyen de communication auquel peuvent avoir recours les organisations est sans nul doute l’outil de communication le plus puissant que l’on peut connaitre. Cet outil c’est l’Internet.

L’importance de cet outil comme moyen de communication n’est pas négligeable, car l’outil Internet représente un panel d’auditeurs potentiels très important « Selon Médiamétrie, la France comptait 38,23 millions d'internautes en février 2011, soit une hausse de 8 % par rapport à Février 2010. Cela représente 71,3 % des Français de 11 ans et plus. » (Journal du net).

De plus, Internet, est devenu média deux fois plus influent que la télévision

Tableau 2 "Internet, média deux fois plus influent que la télévision"

Lors de la seconde édition de leur indice d'influence du numérique, Fleishman-Hillard et Harris Interactive ont mesuré en France une hausse de 15 points pour Internet en l'espace de deux ans. L'indice d'influence du média atteint 53 % cette année. Au contraire, l'indice d'influence de la télévision sur les internautes n'est que de 27 % en 2010, soit un recul de 8 points en deux ans.

Source : http://www.journaldunet.com




Faculté d’AES

Aujourd'hui, on se rend compte qu'Internet est devenu important, tant pour les entreprises de grosse ou de petite taille (PME TPE), que pour les associations. Pour ces deux entités, on constate que la toile est devenue un média à part entière. C’est ainsi que l’on parle de stratégie de communication.

L’intérêt que je porte au management des organisations et aux moyens de

communication digitale (communication par Internet) m’a permis d’appréhender une nouvelle fonction : celle de webmaster au sein de l’Association Montpelliéraine d’aide et de l’Insertion (AMAI), structure d’accueil pour mon stage.

Cette dernière, est une association localisée à Montpellier dans le secteur de la Mosson. Sa principale fonction réside dans le soutien et l’accompagnement des artisans du secteur BTP et des jeunes (de proximité). Je vous propose d’utiliser mon expérience au sein de cette association comme cas pratique.

C’est ainsi que dans un premier temps, je propose de vous présenter cette association,

pour ensuite vous exposer ma mission en tant que webmaster au sein de celle-ci. Pour finir nous conclurons en déduisant Internet comme un outil incontournable dans la stratégie de communication d’une association.




Faculté d’AES

INTRODUTION: English version

The communication’s strategy of an association: internet a major tool.

With a budget accumulated of the order of 59 billion euro, a volume of employment of 1 050 000 jobs in full-time equivalents, to which is added the work of about 14 million volunteers who realize together a working volume of the order of 935 000 jobs in full-time equivalents, the weight in the economy and in the French company (society) of about 1 100 000 structures which compose the associative sector seems considerable ". (ADDES association for the Development of the Documentation on The Economy Social, in November, 2007).

We can see through this first paragraph that France knows a " significant number " of association. The study led by ADDES counts 1 100 000 associations divided so:

Chart 3 "The association’s dividing"

Association

without employee Employer’s

Associations The both

An association without section nor establishment 61 % 51 % 60 %

The seat of an association containing several sections or establishments

5 % 15 % 7 %

An association being a member of a big network of associations having each the legal entity

15 % 18 % 16 %

A federation of associations 6 % 5 % 5 % An establishment or a section of an association.

13 % 11 % 12 %

Total 100 % 100 % 100 % ( Servey of CNRS-Matisse-Centre of economy of the Sorbonne to the associations, 2005/2006)

Given this significant number of associative structure, I interest myself in the marketing aspect of this. So I suggest directing my report around the communication in the associative’s circle.

Beyond my university’s or professional’s life, I am very sensitive to the associative’s

universe. Indeed, I participate in the progress of several associations; cultural and musical type, and the last one develops in the universe of the help to the person and of the humanitarian worker.

With my knowledge, my searches and my experiences in this circle, I made the report

that many associations, do not perceive the utility to turn to the communication to present and promote in an effective way their organization. Yet, the communication is a means of information and promotion for an associative structure.




Faculté d’AES

There are two means of communication : either in-house way, either in extern. When we talk about communication in the présent case, it is especially question of communication in extern.

So what is a communication in extern ? The communication in extern is the way to présent activities, objectives of an

association to a general public and to his various partners. Very often to communicate allows increasing the number of them , but also the number of member.

In associative environment there are several means of communication. The first one

crosses certainly by the symbol of gratitude that is the logo. It allows the people from the outside to locate quickly the organization.

Certain structures included that for a communication optimal, this one should be made

by the media (press, radio, television). So to communicate, a good many of them choose to make it through a newspaper, or a magazine, the other one opts for posters, pamphlets or press campaigns. ( Associanet)

The last means of communication that the organizations need is no doubt the most

powerful communication’s tool which we can know. This tool is the Internet. The importance of this tool as means of communication is not unimportant, because

Internet represents a panel of very important potential auditor " according to Mediametry, France counted 38,23 million Internet users in February, 2011, is an increase of 8 % with regard to February, 2010. It represents 71,3 % of the French people of 11 and more years old. " (Newspaper of the net).

Furthermore, internet became the media twice as influential as the télévision.

Chart 4 "Internet, the media twice as influential as the television »

During the second publishing of their indication of influence of the digital technology, Fleishman-Hillard and Harris Interactive measured in France an increase of 15 points for Internet in the space of two years. The indication of influence of the media affects 53 % this year. On the contrary, the indication of influence of the television on the Internet users is only 27 % in 2010, is a drop of 8 points in two years.

Source : http://www.journaldunet.com

Indication of influence of the media with the

Internet users in France




Faculté d’AES

In ourdays we realize that Internet became important, as long for the big or short companies, that for associations. For these two entities, we notice that internet became a full media. This is the way we talk about communication’s strategy.

The interest that I have for the management of organizations and for the means of

communication digital (communication by internet) allowed me to dread a new function: that of the webmaster within the Association from Montpellier of Assistant and the Insertion ( AMAI), reception center for my training course.

This last one, is an association located in Montpellier in the sector of Mosson. His

main function lives in support and the accompaniment of the craftsmen of the sector of BTP(BUILDING AND CIVIL ENGINEERING WORKS) and young people.

I suggest you using my experience within this association as a practice). This is the way at first I suggest presenting you this association, to explain you my

mission as webmaster within this one. To finish we shall end by deducting internet as an major tool in the communication’s strategy of an association.




Faculté d’AES

Partie 1

Le contexte économique : Le territoire de la Mosson




Faculté d’AES

PARTIE 1. Le contexte économique : Le territoire de la Mosson

(Noter que l’ensemble des éléments qui présentent le territoire de la Mosson sont issus du (« Projet territorial de cohésion social de la Mosson : quartiers de la Paillade et des hauts de Massane »- Projet stratégique Mosson – 2011, 2011)

L’Association Montpelliéraine d’Aide et de l’Insertion est localisée à Montpellier sur

le territoire de la Mosson. Afin de comprendre l’univers dans lequel vit cette association, il convient de faire une présentation succincte de cette zone. Suit donc ici, une description sommaire du territoire de la Mosson.

Le territoire de la Mosson a été créé de toute pièce à l’ouest de la ville de Montpellier

en 1962. A cette date, la création de celui-ci visait à répondre à un afflux important de populations nouvelles arrivant sur Montpellier (d’abord des pieds noires). Au cours des évolutions de ce territoire, il a fallu donner une nouvelle image et un nouvelle essor à ce territoire. C’est ainsi qu’elle bénéficie du dispositif de discrimination positive depuis le milieu des années 1990 : Education prioritaire, politique de la ville, Zone franche urbaine (ZFU), Grand Projet de Ville (GPV), rénovation urbaine…

Aujourd’hui, la Mosson représente le plus grand quartier populaire (18 % d’ouvriers contre 8 % pour l’ensemble de la ville) et d’habitat social de l’agglomération de Montpellier (63 % de logements sociaux contre 13 % pour l’agglomération), ce qui impose aux politiques publiques d’y prêter une attention toute particulière.

Ce territoire est composé de deux quartiers : les hauts de Massane et le quartier de la

Paillade classé comme zone urbaine sensible (ZUS). Avec une superficie de 250 hectares, le territoire de la Mosson compte aujourd’hui une

population de plus de 24 000 habitants. Si l’on considère les données que j’ai pu recueillir, le territoire de la Mosson accueille environ 10% de la population montpelliéraine. Au vu de ces informations relatives à l’année 2006, les indicateurs relatifs au nombre de personnes par ménage, à la part de bas revenus et de population de nationalité étrangère révèlent un écart marquant entre la Mosson et l’ensemble de la ville ce qui en fait un territoire habité par des personnes en situation économique et sociale particulièrement précaire.

Grâce à mes sources, nous pouvons dire que le territoire de la Mosson est bien pourvu

d’équipement public (établissement scolaires, infrastructure postale, maisons pour tous,…). Nous pouvons également dire que ce territoire subit une forte évolution urbaine, en termes d’habitat et de cadre de vie, en termes de développement économique et enfin en termes de mobilité.




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En termes d’habitat et de cadre de vie :

Le projet de rénovation urbaine mis en œuvre depuis 2005 participe activement à la reconfiguration du quartier.

Deux nouveaux quartiers s’implantent à proximité de la Mosson : le quartier récent « Malbosc » (2100 logements pour environ 5000 habitants) a été construit dans une logique de continuité urbaine avec la Mosson. Prochainement, un autre quartier « Pierres Vives » accueillera à moyen terme près de 900 logements. Des équipements publics d’envergure (Archives départementales, Maison des sports, Bibliothèque départementale de prêt, Maison du projet) sont d’ores et déjà en cours de construction. La mise en relation avec la Mosson constitue un des objectifs majeurs du projet. En termes de développement économique :

Le classement de la Paillade en ZFU a permis, notamment en 2008, 923 embauches, dont 34,4 % résidents en ZUS. L’extension de Parc 2000, dont achèvement est programmé pour fin 2011, prévoit l’accueil de près de 150 entreprises nouvelles. En termes de mobilité :

La ligne 1 actuelle du tramway dessert le territoire Mosson en terminus. La nouvelle ligne 3 – mise en service en avril 2012, dans son raccordement avec la ligne 1, permet de «casser » l’effet cul de sac pour produire un circuit de mobilité reliant la Mosson au reste de l’agglomération.

Si l’on affine la présentation, on s’aperçoit tout d’abord que l’offre associative est

dense, plusieurs centaines d’associations sont implantées sur la Mosson), diversifiée (elle s’inscrit dans tous les domaines de la vie quotidienne). Leur profil est multiple, allant de la petite structure bénévole jusqu’à l’organisation très professionnalisée. Quarante d’entre elles sont soutenues par le Contrat urbain de cohésion sociale (CUCS).

L’association AMAI est l’une d’entre elles. Nous le verrons, l’AMAI accompagne les

jeunes et les artisans, ainsi sa création est justifiée si l’on regarde les différentes informations telles que les revenus, l’emploi et le niveau de formation et le niveau de scolarisation.

Tableau 5 « Indicateurs sur les ressources et revenues »

Ressources et revenus Mosson Ville Revenu fiscal médian 6.420€ 14070€ Ménage à bas revenus (hors prestations sociales) 47.5% 17.5%

Sources : (Indicateur clefs INSSEE 2006)




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Les indicateurs relatifs aux ressources et aux revenus traduisent une situation, pour les habitants de la Mosson, d’extrême fragilité économique (un revenu fiscal médian de plus du double pour l’ensemble de la Ville). Cette qualification possible « d’habitants pauvres » est largement accentuée sur le quartier de la Paillade.

Tableau 6 "Indicateurs sur l’emploi"

Emplois Mosson Ville Taux de chômage 15-64 ans en 2006* 30% 18% Taux de chômage 15-24 ans en 2006* 48% 25%

Sources : (Indicateur clefs INSSEE 2006) A la lueur de ce tableau, nous pouvons faire trois constats. Le premier au niveau du chômage, les pourcentages comparés Mosson/Ville font état

d’un contexte fortement plus dégradé sur ce territoire ; les écarts sont encore plus significatifs à la Paillade.

Le second. Les demandeurs d’emploi de la Paillade sont largement moins qualifiés

que ceux de l’ensemble de la ville (38 % de bas niveau de formation contre 17 % pour la ville).

Enfin, en ce qui concerne les emplois salariés, les données (uniquement disponibles

sur la ZUS Paillade), permettent de constater une surreprésentation de la CSP « ouvriers et employés ». Le salariat ouvre peu de portes de statuts valorisants pour les habitants de ce quartier.

Tableau 7 "Indicateurs sur le niveau de formation"

Niveau de formation Mosson Ville Part de la population de + de 15 ans non scolarisée, sans diplôme

45% 19%

Part de la population de + de 15 ans non scolarisée, avec Bac

12% 17%

Part de la population de + de 15 ans non scolarisée, avec bac+ 2 et +

6% 22.3%

Sources : (Indicateur clefs INSSEE 2006) Plus le niveau de formation des habitants est élevé, moins on les rencontre à la

Mosson. La situation des personnes non scolarisées et sans diplôme est particulièrement alarmante à la Paillade puisqu’elle représente plus de la moitié des habitants.




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Tableau 8 "Indicateurs sur le niveau de scolarisation"

Niveau de Scolarisation Mosson Ville Part des 0-14 ans sur pop. Totale 27% 15% Population scolarisée de 2 à 5 ans 72% 73% Population scolarisée de 15 à 17 ans 89.8% 94% Population scolarisée de 18 à 24 ans 49.7% 75.3%

Sources : (Indicateur clefs INSSEE 2006) La population de la Mosson est pour un tiers composée d’enfants de moins de 15 ans ;

c’est 2 fois plus que pour l’ensemble de la Ville. La scolarisation des plus petits (en maternelle) est sensiblement du même niveau que

sur l’ensemble de la ville. A contrario, plus les enfants grandissent et plus l’écart de scolarisation se creuse entre

la Mosson et l’ensemble de la ville (- 4,2 %entre 15 et17 ans, jusqu’à - 25,6 % entre 18 et 25 ans).

En somme, à l’instar d’une analyse SWOT d’une entreprise, nous pouvons faire le diagnostic suivant, par rapport au territoire de la Mosson. Ainsi, nous verrons successivement quels sont les atouts, les faiblesses, les opportunités et les menaces de ce territoire.

Les atouts :

Relatif au secteur de la Paillade :

� Un bon niveau d’équipements ;

� Une bonne desserte par les transports en commun (Tramway Bus) ;

� Un tissu commercial présent et encore diversifié (Halle de la Paillade) ;

� Une appropriation et un bon niveau de fréquentation des équipements de proximité par les habitants.

Relatif au secteur des Hauts de Massane :

� Un habitat diversifié (collectif / individuel : public / privé) ;

� Une attente forte des parents dans la réussite scolaire de leurs enfants.




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Les faiblesses :

En particulier aux Hauts de Massane :

� Un déficit d’offre commerciale, services publics de proximité, associations… ;

� Une stigmatisation négative du quartier et de ses habitants ;

� Un nombre important de victimes de discriminations identifiées (notamment celles liées à l’emploi) ;

� Un taux de chômage important, notamment chez les moins de 25 ans et les femmes ;

� Une absence de mixité sociale dans les effectifs des écoles et des collèges (les classes moyennes scolarisent davantage leurs enfants hors du territoire Mosson) ;

� Une incompréhension entre les parents et les équipes enseignantes (rejet réciproque de la responsabilité de l’échec scolaire des enfants) ;

� Un accueil dans les services publics inadapté à la situation précaire de beaucoup d’habitants ;

� Un déficit de maîtrise de la langue française (posé comme un frein dans tous les aspects de la vie quotidienne).

Les opportunités Une transformation substantielle du territoire en cours avec le projet de rénovation

urbaine, la mise en place de la ligne 3 du tramway, et l’extension de la ZFU, la création des quartiers Malbosc et Pierres Vives en continuité urbaine de la Mosson.

Les menaces

� La stigmatisation accentuée des habitants et une augmentation des discriminations dans tous les domaines.

� Une conjoncture du marché du travail qui fragilise encore plus les demandeurs d’emploi sans formation (38,4 % à la Paillade)

� Une accentuation du processus de « repli sur soi » en cours

� Une incompréhension « habitants / acteurs » qui se développe

� Un sentiment d’exclusion qui se renforce

� Une forte perplexité, exprimée individuellement et collectivement, sur la capacité des institutions « à changer les choses ».




Faculté d’AES

Ainsi nous venons de faire l’Etat des lieux du territoire de la Mosson. Il m’a paru nécessaire de le faire afin de comprendre au mieux la nécessité d’une association comme l’AMAI (Association Montpelliéraine d’Aide et de l’Insertion).

Il convient à présent de vous présenter celle-ci dans la partie suivante.




Faculté d’AES

Partie 2

L’Association

Montpelliéraine d’Aide et

de l’Insertion




Faculté d’AES

PARTIE 2. L’Association Montpelliéraine d’Aide et de l’Insertion

Section 1.Présentation

I. Bureau / Organigramme

Les locaux de l’association se situent au 124, allée Coventry à Montpellier. Ceux-ci

n’étant pas adaptés à l’arrivée d’un stagiaire, j’ai dû effectuer mon stage dans d’autres locaux situés à proximité. En effet, l’association ne possédait pas de connexion Internet lors de ma prise de fonction. Il a été convenu d’effectuer mon stage pour le compte de l’association, dans les locaux du président de l’AMAI.

Comment se compose le bureau ?

Le président de l’Association

Abdel BEDJAÏT

Secrétaire de l’Association

(Anonymat)

Les adhérents

Stagiaire : Webmestre

Alexandre André GERMAIN

Figure 1"Organigramme de l'association"




Faculté d’AES

Situer les bureaux :

Figure 2 "Situer l'AMAI"

II. Objectif de l’association

Nous avons vu en introduction que l’association est localisée dans un secteur où la

précarité est forte. Cette précarité se fait ressentir aussi bien au niveau social que professionnel.

Ainsi, l’association trouve sa place, dans le sens où celle-ci a deux objectifs. Le premier étant l’accompagnement des artisans et le second, c’est l’accompagnement des jeunes du quartier.

L’accompagnement des artisans : l’ensemble des adhérents de l’AMAI se compose

essentiellement des artisans du secteur du BTP. Ils représentent l’ensemble des corps de métiers du secteur du bâtiment, peintre, plaquiste, gros œuvre, …. La difficulté qu’on peut leur attribuer est certainement leur difficulté à obtenir des parts de marché. En effet, comme dans tout secteur, les plus gros connaissent une grande facilité pour répondre favorablement aux offres. Avec cette main mise sur les marchés, les petits artisans ne peuvent pas rivaliser. A ce constat, l’AMAI connait une solution : le soutien et le groupement. Un soutien pour faciliter les démarches et l’entre-aide (administrative, personnelle), et le groupement pour être plus fort.




Faculté d’AES

L’accompagnement aux jeunes : nous l’avons vu en introduction, le contexte économique que connait le quartier de la Mosson induit une précarité chez les jeunes. L’AMAI a conscience des difficultés que peuvent rencontrer ces jeunes : difficulté liée à l’exclusion personnelle, professionnelle et sociale. Ainsi l’association veut aider ces jeunes du mieux qu’elle le peut. C’est ainsi qu’elle est un appui lorsque ceux-ci recherchent un stage un emploi ou un simple soutien.

III. Activité de l’association

La principale activité de l’association est donc de mettre en relation les demandeurs de travail (tiers) et ceux qui l’offrent (les adhérents). Veuillez trouver ci-dessous la démarche de mise en relation.

La seconde activité de cette association est la mise en relation des adhérents artisans avec les jeunes.

IV. Les adhérents

A l’origine l’association compter 200 artisans, aujourd’hui, seulement une vingtaine

sont présent constamment a travers l’association. Ils font tous parties du secteur BTP, tous

corps de métiers confondus.

OFFRE

Appels d’offres

Tiers Demandeur de travail

REPONSES

Dossier

Adhérents Offreurs de travail Transmission

des dossiers

d’appels d’offre

Figure 3"Démarches pour les appels d'offres"




Faculté d’AES

Section 2.Diagnostic de l’association

J’ai choisi d’utiliser la Matrice SWOT afin de mettre en exergue les atouts et les difficultés que peut soulever l’AMAI. La matrice SWOT permet de cerner les problématiques propres aux fonctionnements internes de l’association et celles liées à son environnement externe. Force :

- Périmètre partenarial important ; - Adhérents conséquents en nombre ; - Partenaires des grandes institutions.

Faiblesse :

- Stratégie de communication mal définie, voire inexistante ;

- Difficultés d’entente entre les adhérents.

Menace :

- Manque de cohésion au sein de l’association ;

- Manque de collaboration entre adhérents ;

- Hégémonie des grands groupes du BTP.

Opportunités :

- Soutien des organismes publics ;

- Mutation démographique et social du territoire de la Mosson.

A la suite de ce diagnostic, une difficulté majeure à été soulevée. Celle-ci étant, d’une part, la mise en relief d’un manque de stratégie de communication, de l’absence de budget accordé à l’association et aux outils de communication : ainsi, par exemple, la présentation de l’association est inexistante.

D’autre part, un manque de cohésion et de collaboration a été ressenti. Certainement dû à des divergences de mentalité, de points de vue et de méthodologie.

Suite à ce diagnostic, j’ai donc convenu de certaines préconisations :

- Réaliser un plan de communication externe de l’association - Renouveler les différents membres de l’association - Apporter différentes méthodologies (appels d’offres, dossier de

présentation, …) - Rédiger un diagnostic organisationnel approfondi de la structure




Faculté d’AES

En raison du temps qui m’a était imparti pour ma mission, il n’était pas possible de travailler sur tous les points cités précédemment. J’ai donc choisi d’approfondir l’idée d’un nouveau plan de communication.

Section 3.Stratégie de communication externe

I. Définition de la stratégie de communication et des pistes d’actions proposées

Etat des lieux : L’association a développé une plaquette de communication qui regroupe les

informations concernant l’accompagnement des jeunes (Annexe 1 « plaquette »). Cependant, aucune présentation générale de l’Association n’est établie, ni même une

plaquette de communication présentant l’accompagnement des artisans. Ainsi, afin de présenter à la fois la dimension des jeunes et celle des artisans, au travers d’une présentation générale, il convient de mettre en place un site Internet qui aura pour vocation d’informer sur l’activité de l’association, ses partenaires et ses actions.

Cibles de communication

� Les adhérents ; � Les partenaires et les fournisseurs ; � La population montpelliéraine : particulièrement celle située sur le territoire de

la Mosson. L’association a un encrage territorial fort, ses cibles de communication restent dans

des cibles de proximité. Cette stratégie de communication externe devrait convenir à ces différentes cibles.

Ainsi, pour clarifier mes idées, un tableau croisé à été mis en œuvre, me permettant de mettre en évidence les objectifs en fonction du public visé ainsi que le message à transmettre.




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Tableau 9 "Stratégie de communication : les cibles"

Les adhérents Partenaires / Fournisseurs Population

Objectif Obtenir de nouveaux adhérents

Trouver de nouveaux partenaires et fournisseurs

Valoriser les partenaires

financiers et les fournisseurs existants

Informer la population sur les activités et les actions

proposées par l’association.

Public visé

Artisans du secteur BTP (Situé particulièrement sur le secteur de la Mosson)

Artisans déjà adhérents pour

les tenir informés

Les jeunes en situation précaire

Partenaires (financiers, locaux et autres)

Fournisseurs (de

matériel,…)

Population de la Mosson à Montpellier

Message Les activités et les actions à réaliser et déjà réalisées par

l’AMAI

C’est avec un réseau de partenariats que l’on est plus

fort

Les coordonnées, le soutien aux artisans et aux jeunes.

Pistes d’action

. Créer une page représentative des adhérents en fonction de leurs métiers . Créer une page présentant des actions en faveur des

artisans et des jeunes

- Créer une page pour lister les partenaires et

fournisseurs

- Présentation générale de l’association

- Contact

Avec l’accord du président de l’Association Montpelliéraine d’Aide et de l’Insertion,

j’ai donc mis en place la réalisation d’un site Internet.

II. Réalisation d’un site internet pour la communication

J’ai proposé au président de l’association de créer une plaquette d’information adaptée à chaque cible afin de respecter la stratégie de communication réalisée ci-dessus.

Je vais dans une dernière partie, présenter la création d’un site Internet dans son

détail. Vous trouverez donc ci-après, une partie exclusivement réservée à la création d’un site Internet. Cette partie sera illustrée par ma mission de webmaster au sein de l’AMAI.




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Partie 3

Création d’un site internet




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PARTIE 3. Création d’un site internet

Section 1. Présentation des différents types de

site existant

Il convient avant toutes choses de distinguer les différents sites que l’on peut rencontrer sur la toile Internet.

Nous pouvons distinguer plusieurs types de site internet. Ces types de sites sont définis selon leurs objectifs, mais aussi plus particulièrement selon leur fonctionnalité. Un site a une ou plusieurs fonctions, et généralement un but, celui auquel son concepteur le destine. A travers le but et les fonctions du site que l’on veut créer, on définira le type de site Internet. Ce sont ces deux éléments qui permettront de définir la structure du site Internet, sa navigation et les pages qui le composent. Nous verrons ci-après les différents types de sites Internet qu’il convient de présenter.

Tout d’abord, nous avons les sites vitrines. Ce sont des sites qui présentent une

activité, un métier, une compétence. Sur ce genre de site, une importance particulière est portée sur l’aspect visuel des pages. C’est à travers le visuel que le webdesigner va pouvoir atteindre sa cible, conduisant celle-ci à prendre contact avec les propriétaires du site Internet. Ce type de site assure une présence sur Internet et donne la possibilité de créer une carte de visite avancée : On les appelle couramment des sites corporat.

Ensuite, nous avons les blogs. Ce sont des plateformes Internet. A l’instar d’un journal intime, le rédacteur publie des sujets qui lui sont propres et ce de manière régulière. Le blog permet aux internautes de publier des commentaires relatifs aux articles.

Puis, nous avons les forums. Ce sont des sites permettant la discussion autour de

thèmes divers et variés. Ainsi le webmaster et les membres du forum interagissent sur les forums. Certains webmasters mettent en place un système de newsletter afin de fidéliser les membres.

Les sites de publications, notamment la publication d'articles. Les pages sont

regroupées en rubriques thématiques sur un sujet donné. Un système de commentaires sur les articles est généralement attaché à cette fonction de publication.

Le e-business se présente comme une alternative très intéressante dans le cadre du

développement d'une PME. Elle coûte nettement plus cher à la création et à la maintenance qu'une corporat, mais permet une ouverture totale de l'activité sur des audiences nationales ou internationales.

Pour finir, nous avons les sites associatifs : Ce sont des sites qui présentent les

activités de leur association ou de leur club. Les fonctions sont relatives à la publication




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d'articles ou de nouvelles, ainsi que les évènements sur l'année et le bulletin mensuel (newsletter).

Lors de mon stage au sein de l’association AMAI (Association Montpelliéraine d’Aide et d’Insertion) la mission majeure qu’il m’a été demandée d’accomplir était la mise en place d’un site Internet. Il a donc était naturel pour moi de développer un site de type associatif.

Nous noterons que cette classification de sites n’est pas nécessairement universelle. De plus, un site spécifique peut avoir une caractéristique d’un autre site ; ainsi, certains sites web cumulent les fonctions et proposent de la publication sur un site à vocation forum, ou bien les sites de publications qui s'adjoignent les services de blogs. Sur chaque type de site peuvent ensuite s'implanter des services (réseaux sociaux, géo-localisation, publication de médias).

Section 2. Le choix d’un site associatif pour

l’association AMAI

Il y a beaucoup d’associations qui désirent créer un site Internet. Elles peuvent ainsi présenter leurs activités, trouver de nouveaux membres ou trouver des fonds pour leur fonctionnement.

Un site Internet a la caractéristique d’une carte d’identité. Pour une association, le site

se présente comme une première présentation, elle reflète les valeurs de l’association, son état d’esprit allant même parfois refléter le sérieux de la AMAI.

Le site Internet, c’est une manière rapide et moderne de se faire connaitre. De plus, il

permet un rapport plus conséquent entre l’Association, les adhérents et les autres. Par « les autres », on entend, évidemment, les futurs adhérents, les fournisseurs de services, les prestataires, les partenaires, les curieux… Nous l’avons vu, le site véhicule l’image de l’association. Cette image est importante, car c’est par celle-ci que de probables futurs-adhérents se renseigneront. Ceux qui le désirent doivent pouvoir s’informer rapidement sur l’activité, le fonctionnement et les contacts de l’association. En terme de communication, un site Internet confère un redoutable gain de temps, il n’est pas négligeable de gagner du temps surtout lorsque l’on veut se faire connaitre et donner une crédibilité à son action associative. Le principal atout d’un site Internet est certainement la force publicitaire que peut avoir le web. il est très simple de dévoiler à un public illimité ses nouveaux modes de fonctionnement, ses nouveaux objectifs, …

Il a été intéressant ici de voir quelles pouvaient être les raisons de la création d’un site

Internet. Il convient à présent d’en définir les principaux avantages, ainsi que les principaux inconvénients liés à la création d’un site Internet.

Ainsi en premier lieu, nous voyons quels peuvent être les avantages lorsque l’on

crée son site Internet.




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� Le site Internet permet une accessibilité plus simple pour ceux qui aimeraient se renseigner sur l’association. Ainsi les activités, les objectifs, les actions, les membres et autres sont visibles de tous, et à tout instant.

� Grâce à un onglet contact, il est plus facile de communiquer avec les responsables de l’association. Ainsi, les prises de contacts peuvent se faire à travers l’outil Internet, les coordonnées étant à la disposition de tous.

� Le web permet de communiquer avec un plus large public, un panel très important : les internautes. De plus, des économies peuvent être réalisées, rapidement perçues, si l’on considère le budget communication. On notera que l’on passe souvent d’une « zéro-communication » à une communication sans limite.

� L’outil numérique à travers Internet confère une nouvelle image de l’entité, elle permet de s’écarter d’une vision de l’association trop archaïque au profit d’une image moderne.

� Nous noterons également comme avantage la rapidité de transaction qu’apporte un site.

� Le dernier avantage que nous citerons ici concerne les modifications. On notera que celles-ci se font désormais en temps réel, en direct sur le site Internet

Nous venons de voir que la création d’un site Internet permet de développer de

manière moderne un contenu dynamique et de créer une véritable interaction et une véritable communication entre l’association et les autres. Ainsi nous avons cité succinctement certains avantages à la création d’un site. En second lieu, nous voyons certains inconvénients.

Dans un premier temps, l’inconvénient majeur lorsque l’on crée un site, c’est de

trouver une personne au sein de l’entité qui serait capable de le construire. La construction demande du temps et surtout un minimum de connaissances et de compétence pour le faire. Si cette personne n’existe pas deux choix pourront alors se proposer. Soit, il faudra songer à « recruter » du moins trouver une personne qui puisse le faire, soit, l’association sera contrainte de rémunérer un webdesigner compétent.

Dans un second temps, d’autre obstacles peuvent se présenter, notamment, pour une

association, c’est souvent le manque de moyens financiers qui pose problème. Nous savons que la création d’un site Internet génère certains coûts tels que le coût d’hébergement, de création, de référencement, de communication. Il faut être en mesure de minimiser ces différents coûts. En effet, peu d’associations sont capables de débourser pour demander à une société de construire un site, de la faire connaître... Il faut donc trouver des moyens de créer un site à moindre coût voire gratuit et surtout pouvoir le faire facilement et rapidement.

Deux autres éléments importants sont à prendre en compte lors de notre choix de

création du site. Lorsque l’on crée le site, il faut se dire qu’il doit être aisé de pouvoir le mettre à jour,

efficacement et rapidement, il faut également se dire que la maintenance du site ne se fera pas ad vitam æternam par une seule et même personne. Il faut donc envisager le changement du




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Webmaster (la personne qui s'occupe du site), sans problème de transmission. On voit en effet souvent des associations dont le membre qui s'occupait du site a quitté l'association. Il est alors impossible pour les successeurs de poursuivre la mise à jour du site car le « savoir » est parti.

Lorsque l’on envisage de mettre en place un site Internet, il convient d’agir pro-

activement ; ce n'est pas parce que l'on dirige une association que l'on ne doit pas être professionnel et prévoyant. Ainsi le webmaster doit être en mesure de pouvoir fournir les informations nécessaires afin que son successeur puisse continuer facilement la maintenance du site Internet.

Section 3. Les étapes de la création du site

internet

Avant la création du site Internet, le webmaster doit fournir un travail en amont. Lors de mon arrivée au sein de l’association, il m’a fallu analyser les spécificités de la structure, isoler les nombreuses compétences pour fournir une méthodologie afin de conseiller l’Association AMAI sur la communication web que je projette de mettre en place, répondant au mieux aux attentes de cette structure.

Pour croitre et se faire connaître, il convient d’avoir recours à la communication. Pour

l’association, il s’agit de s’adapter à une nouvelle forme de communication, la communication par Internet.

La communication sur Internet est très différente d’une relation entre deux personnes

physiques. Elle est aussi très différente de la communication écrite habituelle. Sur un site, on va plus vite à l’essentiel. Ainsi, pour que la communication soit efficace, il faut identifier les cibles.

Il est nécessaire d’identifier correctement ces cibles afin d’adapter son discours.

Lorsque les cibles ne sont pas clairement identifiées, le discours a toutes les chances de partir dans tous les sens et d’être inadapté aux personnes que l’on souhaite réellement toucher. Il est important de bien recenser, parfois même, de différencier ces cibles.

Pour une plus grande efficacité, il convient, en amont, de formaliser l’objectif

principal du site internet, voire même les objectifs secondaires. Le site internet doit pouvoir répondre à la question : quels est l’objectif de l’Association AMAI, ainsi, dans le cas présent, notre site présente les valeurs, les ambitions, les actions et le public à qui s’adresse l’association.

L’outil doit être efficace pour l’internaute afin qu’il puisse retrouver les informations

qu’il attend. Il faut tester les pages internet, et s’assurer que l’internaute ne se perde pas et accède facilement à l’information qu’il recherche grâce à des menus pratiques et faciles d’accès. S’assurer que chaque élément du design soit au service de celui-ci.




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Avant la création du site Internet, il faut établir les choses de manières claires, établir

les coûts de revient notamment. Ainsi, dans mon cas le mot d’ordre était produire un site Internet à moindre coût, voire gratuitement du fait d’un budget très limité.

Nous avons vu ici les enjeux de la création d’un site Internet, les enjeux liés à la

communication, à notre cible (les internautes), au design graphique ainsi que le contenu de notre site web, mais aussi les enjeux liés au budget. Il convient à présent d’identifier les différentes étapes de la création d’un site internet.

I. Le projet

Le projet de création d’un site internet est un élément essentiel puisque sans idée de projet, la création du site se fait sans cadre et est donc établie de manière anarchique. En tant que projet la création Internet devrait répondre à certaines caractéristiques dont celle du cahier des charges.

Le but de mon projet était de construire le site Internet de l’association AMAI (Association Montpelliéraine d’Aide et d’Insertion). C’est une association localisée à Montpellier dans le quartier de La Paillade. Le besoin principal était premièrement de présenter l’association par le biais de l’Internet désormais incontournable pour la recherche d’information et deuxièmement d’avoir un site facile à mettre à jour sans avoir de grandes connaissances en programmation Web.

Pour ce faire, j’ai dû effectuer certaines recherches afin de trouver un concepteur de

site Internet adéquat. Mes premières recherches m’ont tout d’abord orientées vers le concepteur en ligne de Google.

Google Sites est une nouvelle application en ligne qui permet la conception de site

Internet. Au départ, seuls les professionnels pouvaient utiliser l’application. Elle a été ensuite adaptée à tous. Ainsi, Google sites s’intéresse à présent au grand public. L’application permet de monter très simplement un site Internet propre à soi. Après avoir choisi le thème du site, il est aisé d’y insérer des images, de la vidéo et bien entendu du texte. Et tout ceci se fait très simplement.

En effet, Google Sites est très simple à utiliser. Cette application s’avère être assez

intuitive. Il suffit de glisser / déplacer le contenu (Image, vidéogrammes, textes) pour que tout fonctionne. En revanche, à travers ce site, nous voulons mettre l’accent sur la « communication », et lorsque que l’on parle de communication, il faut faire attention à l’esthétisme. Bien que Google Sites soit un outil qui se veut très simple d’utilisation, le résultat final n’est pas à la hauteur des espérances : certaines personnes trouvent que l’aspect final est quelque peu sobre d’apparence, d’autres le trouve laid.




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En outre, j’ai vite constaté que ce site est très loin de ce que peuvent offrir certains outils en ligne. D’autant plus que celui-ci propose un outil essentiellement en Anglais.

J’ai donc dû trouver un autre générateur de site Web en ligne. Ainsi mon choix s’est,

au final, porté sur l’application en ligne de Wifeo. Wifeo est une plateforme facile à utiliser qui offre un maximum de possibilité. La

plateforme propose de « créer une boutique en ligne ou un site gratuitement et très rapidement, sans aucune connaissance en programmation nécessaire ». Bien entendu la création est gratuite, mais, pour une meilleure optimisation, certaines options restent payantes. De plus, cet outil propose un service de création de sites web personnels ou professionnels.

Avec Wifeo, il s’est avéré possible de créer son site Internet de façon simple et

complète, et en ne faisant que des choses gratuites le rendu est apparu très acceptable. Ainsi, Wifeo est à mon sens un très bon outil de création de site gratuit et simple. Le

site créé est directement accessible en ligne après sa création sous le non de domaine que l’on souhaite (lorsque l’on prend l’option payante) soit sous le nom de domaine de type « votre site.wifeo.com » en échange de la gratuité du service (c‘est l’option qu’il m’a été contraint de choisir). Il est à noter que les publicités sont toutefois apposées sur toutes nos pages, mais aussi, nous notons que l’interface d’administration permet de modifier l’aspect graphique ou d’ajouter des modules pour faire évoluer les fonctionnalités du site. De plus, On note un espace de stockage dédié au site illimité. Il est donc possible d’ajouter autant de pages, d’images, de musiques, et de vidéos que l’on souhaite.

II. Le concept

Le concept représente l'idée qui a germé dans l'esprit de l'initiateur du site. Le

concept peut-être flou ou déjà très précis, mais il est au départ une vision de l'esprit, un point de vue.

Lorsque j’ai entendu parler de l’association AMAI par le biais d’une personne, j’ai voulu me renseigner sur les actions que celle-ci effectue. Après plusieurs recherches, je me suis aperçu qu’il n’y avait aucun renseignement sur cette association mise à part ses numéros d’immatriculation. Je me suis vite dit qu’il y avait un gros problème en termes de communication.

Une question s’est posée alors, comment peut-on être une association au service des autres, sans que les autres puissent prendre contact avec vous ? Sans qu’aucune information n’apparaisse à votre sujet ?

C’est d’ailleurs le discours que j’ai tenu lors d’une réunion des adhérents de l’AMAI qui a suivi mon entretien (avant d’être effectivement stagiaire de cette association). Ce jour-là plus d’une vingtaine de personnes étaient à mon écoute, et ils ont tous à ce moment-là soulevé l’importance d’avoir un site Internet. C’est ainsi que s’est dessiné la mission fondamentale de mon stage : la création d’un site Internet qui serait le premier outil de communication de l’association.




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A l’origine, je voyais un site interactif où les adhérents et les internautes pouvaient se retrouver et échanger, à l’instar des sites de type forum. J’imaginais une plateforme où se seraient rencontrés les différents adhérents avec leurs différents corps de métiers et l’association. Ce qui aurait permis d’avoir plus d’adhérents, d’augmenter le réseau et, sur le principe de la rumeur, ce faire connaître. De plus, cela aurait permis à des jeunes cherchant un emploi d’être mis en relation avec ce réseau.

Finalement, par manque de moyens, le site se présente comme un site corporat de type

associatif. Rappelons qu’un site de type corporat-associatif représente, de manière imagé, la carte d’identité de la structure à laquelle se rattache le site.

L’on trouve sur cette carte d’identité les informations nécessaires qui permettent

d’identifier clairement les fonctions que l’association porte au travers d’une page de présentation.

Nous pouvons d’autre part voir quelle est la cible visée par ce site par le biais de deux onglets, l’un concernant les jeunes (« accompagnement des jeunes ») et l’autre des artisans (« accompagnement des artisans »).

Des pages particulières sont éditées, une tout d’abord, énumérant les partenaires de l’association qui s’annoncent assez nombreux, et une autre page pour les contacts et le localisation du siège de l’association afin de permettre aux internautes de communiquer avec AMAI et de s’y rendre avec simplicité.

Pour finir, deux autres pages sont en ligne. La première s’intitule « corps de métiers ».

Celle-ci permettrait de présenter les différents corps de métiers des artisans présents dans l’association. Elle a pour but à l’origine de présenter les membres à travers leurs corps de métiers. La dernière page est intitulée « divers ». Cette page est là afin d’appréhender de futurs changements. Ainsi celle-ci pourrait par exemple contenir des documents, des images, des medias qui seraient mis en ligne à travers cette page à destination des internautes, et autres personnes. Certains documents pourraient être, comme, des fiches pratiques au service des adhérents leurs proposant par exemple une méthodologie afin de constituer des dossiers, des devis, des factures, …

III. La conception du site à travers le cahier des charges

La conception du site est l’étape qui va permettre de passer du concept à quelque

chose de plus matériel. Cette étape doit donner lieu à l'élaboration d'un cahier des charges entre le concepteur du site et le créateur du site. Le cahier des charges doit lister les éléments permettant de procéder à la création du site.

Pour créer un site internet de qualité qui correspondra aux besoins de l’association, il

est nécessaire de bien exposer ce que l’on désire et ce que l’on ne désire pas dans nos pages Internet.




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Il est indispensable d’avoir recours à la formalisation d’un document que l’on nommera le cahier des charges de la création et de la maintenance du site Internet, afin de mettre à plat l’ensemble de nos exigences.

Il existe plusieurs façons de rédiger un tel document. On peut suivre des plans pré-structurés comme le Plan type d’un cahier des charges fonctionnel selon la norme AFNOR X50-151 (Annexe 2 « AFNOR »). Ce plan est bien entendu adapté à tout type de produit, et pas forcément à la mise en place d’un site Internet. Ainsi, on peut trouver le même cahier des charges pour une machine à outil, un objet, un meuble. Pour l’élaboration du cahier des charges d’un site Internet, beaucoup de points abordés par le plan de l’AFNOR sont inutiles, en revanche d’autres étant indispensables sont manquants.

Voici le cahier des charges qu’il m’est paru logique de faire avant l’élaboration du site

Internet.

A. Présentation de votre activité

En principe, la présentation de l’activité de l’association est établie préalablement c'est-à-dire au moment de la création et du lancement de l’association. Les fondateurs doivent disposer d’un « synopsis » de quelques pages présentant brièvement leur projet associatif dans ses grandes lignes. Il s’agit en fait de l’équivalent du plan d’affaires dans le monde des entreprises. Ce document doit développer une vision à moyen terme (3-5 ans), appuyée sur une description des moyens de l’association et une prévision des ressources qu’elle compte mobiliser.

Cependant, bien que ce document soit théoriquement fourni, il n’y a cependant pas de

trace de celui-ci au sein de l’Association Montpelliéraine d’Aide et de l’Insertion. Afin de conduire au mieux l’élaboration de mon site, j’ai tout de même cherché à faire

une brève présentation de l’association. Ainsi, la présentation d’une association peut se faire autour de quelques questions, qui

sont les suivantes : cette association, pour quoi faire ? Avec qui ? Au bout du compte, quel sera l’apport réel de cette structure, quelle utilité sociale, qu’est-ce que l’association AMAI, procure à la collectivité ?

Brièvement, nous répondrons successivement à ces diverses questions afin de clarifier l’idée de cette association.

� Cette association pour quoi faire ?

Le but de cette association est né le jour où de nombreux artisans en eurent assez de

constater l’importance des situations précaires que chacun subissait. Un constat, les artisans (les petits) sont affaiblis par les grands groupes du secteur BTP. Ainsi la première vocation de l’ AMAI était de soutenir les artisans, locaux en premier lieu, dans leur développement, en les aidants à obtenir des parts de marché, par exemple.




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Cela dit, une seconde vocation s’est dessinée, celle-ci revêt un habit plus sociable. Il s’agit d’un soutien aux jeunes. L’association étant située dans une zone où la précarité se fait ressentir, une précarité que souvent les jeunes subissent, celle-ci, ainsi se présente comme un soutien aux jeunes, notamment dans leurs démarches pour trouver un emploi, un stage, même au-delà.

� Avec qui ?

Ici on cherche à savoir quels peuvent être les partenaires de l’association. Ainsi, lors de mes démarches, de mes recherches et de mes divers entretiens avec la secrétaire et le président de l’association, j’ai pu isoler un nombre de partenaires et de fournisseurs directement ou étroitement liés avec l’AMAI . (Annexe 3: « les partenaires et fournisseurs de l’association »).

Bien entendu étant une association, celle-ci comptent des adhérents. Ce sont eux qui représentent la plus grande force partenariale de la structure. Ces adhérents exercent leurs activités dans le secteur BTP, tout corps de métiers confondus.

� Quel sera l’apport réel de cette structure, quelle utilité sociale, l’association AMAI, procure-t-elle à la collectivité ?

Nous l’avons plus ou moins vu, l’élément qui qualifierait au mieux l’activité de cette association, c’est le soutien. Un soutien pour deux publics, le premier est le soutien des artisans, et le second celui des jeunes en difficulté ou non, de jeunes en situation précaire, et des jeunes en général. Apporter un soutien est une évidence quand l’univers dans lequel on se trouve est trop souvent synonyme de précarité.

Ainsi l’AMAI peut être présentée comme le lien entre les partenaires-adhérents, et

partenaires-jeunes. Mieux encore, elle peut se présenter comme un tremplin entre la précarité et l’emploi.

B. Le but du futur site

Le but du futur site est sans nul doute celui de promouvoir l’Association Montpelliéraine. Faire la communication et la présentation de celle-ci.

Qu’est ce qui justifie une communication par Internet ? Nous pouvons dire que la

communication par Internet, c’est l’échange d’informations sous des formats différents (textes, sons, vidéos, images) au travers d’outils spécifiques.

En soit, il n’y a pas une grande différence entre communication traditionnelle ou

digitale. Mis à part qu’il reste difficile de mettre sur un document papier des bandes sonores ou des vidéogrammes. Ainsi, un encart publicitaire deviendra une bannière, les partenariats s’effectuent sous la forme d’échanges de liens entre sites web, le publipostage s’apparente à l’ e-mailling et surtout la présence dans des annuaires papier prend la forme du référencement sur les moteurs de recherche. (cf. tableau qui suit « communication traditionnelle, communication Internet »).




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Tableau 10 "Communication traditionnelle, communication Internet"

Communication

Traditionnelle Internet

Encart publicitaire Bannière publicitaire Publicité dans presse spécialisée Liens sponsorisés Annuaire spécialisé Référencement Annuaires Annuaire général Référencement Moteurs Revendeurs Affiliation Partenaires Echange de liens Publipostage E-mailing Salon Forum, newsgroup

Sources : http://www.modules-web.com/fr/referencement-site-internet/communication-web.php

En revanche, ces outils de communication (liées à la communication Internet)

permettent la création de liens et favorisent la communication instantanée quelque soit l’heure, le lieu. De plus, Internet favorise aussi la communication simultanée entre plusieurs internautes. C’est ainsi que la communication par Internet devient un outil puissant au regard du marketing.

En outre, grâce à ce site Internet, il sera plus aisé de se faire connaitre, tout en

apportant une crédibilité plus forte aux actions qu’à entrepris l’Association AMAI, et bien évidemment à ses futures actions également. Ainsi la prise de contact avec l’association sera simplifiée, d’autant plus que les internautes seront capables d’isoler parfaitement l’activité de l’association, ses actions. La présentation de l’association étant faite, les internautes sont fixés, et savent ce qu’ils auront à faire (renseignements, prise de rendez, curiosité).

C. Quel est votre cible : visiteur ou client La mise en ligne d’un site WEB est un projet qui comporte un certains nombre

d’objectifs. Afin d’optimiser la création de ce futur site, il a été important de définir très clairement l'objectif du site dès le départ. On notera que leurs divers objectifs sont présentés au préalable afin de répondre à certains besoins. Nous l’avons vu, la planification du projet de création d’un site web pour l’Association AMAI est établie afin de faciliter la communication de cette association avec l’extérieur.

De ce fait, pour que ce projet soit efficace et efficient, il faut maintenant porter l’interrogation suivante : à qui s’adresse le site internet ?

D'une manière générale, il est conseillé de définir et de segmenter la cible que vous

souhaitez atteindre. En effet, la construction d’un site Internet ne se fait pas de la même manière s’il est

destiné à des adolescents, des parents, des littéraires ou des personnes âgées.




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Le public cible est défini en fonction des objectifs poursuivis par l’organisation. On voit donc là l’importance de matérialiser au mieux ces objectifs afin que l’on puisse déterminer la catégorie de public que l’on veut atteindre.

Voici une présentation exhaustive des certaines catégorie de cibles que l’on peut

relever.

• Géographiquement : la cible sera choisie en fonction de l’endroit où elle sera localisée dans une ville, une région, un pays,...

• Par tranche d'âge : Les mots clés et les liens seront différents selon que votre public à 10 ans ou 60 ans.

• Par situation familiale : Il faut être capable d’estimer à qui s'adresse le site (Jeunes parents, enfants, étudiants, retraités, femmes seules,...

• Par intérêt : Pour définir les mots clés et les liens externes de votre site, vous devez estimer les centres d'intérêts de vos visiteurs.

Dans le cas présent, cette partie vise à définir la catégorie des internautes visés par la mise en place d’un site Web pour l‘Association Montpelliéraine d’Aide et de l’Insertion : pour cela nous avons :

- Les adhérents. Nous avons l’idée de créer à l’avenir une page présentative par

corps de métiers des différents adhérents que compte l’association. Ainsi cela permettra à ces divers adhérents de se faire connaitre en leur nom à travers la structure.

- Les partenaires et les fournisseurs de l’Association AMAI, en vue de les présenter, et de leur montrer la fidélité et la confiance qu’on leur accorde.

- La population montpelliéraine, en particulier les jeunes en situations précaires et

les artisans du secteur du bâtiment (BTP), ainsi que l’ensemble de la population de l’agglomération montpelliéraine.

- Les « internautes curieux » qui sont désireux de se renseigner sur l’activité de

l’association.

D. Le nombre de page à la livraison

Afin de prévoir mon futur départ de l’association, il indispensable pour les personnes qui assureront la maintenance du site de pouvoir se repérer dans les diverses pages que j’ai pu produire. Pour se faire, il convient de lister ces pages et de les présenter brièvement.

Nous verrons ce qu’il m’a semblé utile de faire, et ce qu’il me semblera de produire à

l’avenir.




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Le site Internet se composera de huit pages que j’énonce successivement ici. - Une page d’accueil : Cette première permettra de naviguer entre les diverses

pages qui complètent le site internet. Cette page d’accueil se présentera sous la forme d’un tableau de bord.

- La présentation générale de l’association AMAI : celle-ci aura vocation de présenter l’association dans son ensemble. Depuis l’idée de la création jusqu’à ce jour.

- Deux autres pages seront présentes, elles concernent la présentation du soutien qu’apporte l’association aux jeunes et aux artisans (« accompagnement des jeunes », « accompagnement des artisans »).

- Une page partenaires : celle-ci permet de fidéliser nos partenaires et nos fournisseurs, cette page permettra de faire le lien entre notre site et celui de nos fournisseurs et différents partenaires.

- Les corps de métiers : celle-ci sera inachevée, il conviendra à mon successeur d’y

apporter les éléments nécessaires. Je m’engage pour cela à lui fournir tous les éléments utiles à mes responsables afin qu’ils puissent à l’avenir modifier les pages et incorporer de nouveaux éléments

- La page divers : tout comme la page précédente, celle-ci sera pour l’instant existante mais vide. Ici seront mis en liens des documents, des images et autres que pourrons récupérer les internautes. Là encore, il faudra fournir les instructions nécessaires au bon déroulement et à la bonne continuité de ce site.

L’essentiel des pages serons animées par des images (de forme JPG, JPEG, Ou GIF) que j’aurai fournis, des diaporamas, voire des images flash que j’aurai créées au préalable aussi.

� Qu’est ce qu’une image flash sur un site web?

Une bannière flash également appelée bannière animée, c'est un encart publicitaire que l’on crée et que l’on incorpore dans un site web. Cette animation peut être de tailles variées.

Par le biais de bannières, il est simple de faire connaitre notre association, mais également simple d’attirer l’œil de l’internaute sur un point précis.




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� Le diaporama dans une communication digitale : Un diaporama, c'est une succession de diapositives créées soit à partir du module

proposé par l’application Internet (Wifeo dans notre cas) ou d'autres logiciels. Elle peut, tout comme le flash, être utilisée comme moyen de publicité, mais aussi pour attirer l’œil de l’internaute.

Nous avons vu que certaines pages sont créées mais demanderont un certain nombre

de maintenance à l’avenir ainsi, je m’engage à produire un document synthétique dans lequel figurera les divers marches à suivre.

E. Fournir vos textes de contenus

1. Mes démarches Lorsque j’ai commencé, il m’a tout d’abord paru indispensable d’isoler, plus ou

moins, mes attentes par rapport aux textes que je prévoyais de composer. Ainsi, il me fallait trouver des documents nécessaires à la production d’un texte, que je voulais explicatif.

Celui-ci devrait synthétiser au mieux l’activité de l’entreprise en la présentant de la

manière la plus efficace possible. L’idée était de trouver, produire un texte explicatif, et présentatif. Il fallait à présent pouvoir s’appuyer sur diverses sources. Pour ce faire, il m’a fallu rechercher dans un premier temps tous les documents

existant susceptibles de m’aider dans ma démarche. Ainsi, j’ai effectué mes recherches auprès des documents archivés de l’association. C’est ainsi que j’ai pu consulter divers documents, des brochures, déclarations, voire des discours des années et des événements antérieurs.

Après avoir pris connaissance de l’ensemble d’entre eux, j’ai pu mettre à plat une

première ébauche des textes que je prévoyais de publier sur Internet. Afin de compléter mes recherches, j’ai effectué des recherches auprès de mes

responsables. Ainsi, j’ai pu recueillir des informations auprès du président de l’association, M. Abdel Bedjaït, et de la secrétaire de celle-ci. (Annexe 4: « Questionnaire pour présenter l’association AMAI »)

Ainsi présent, j’avais toutes les informations nécessaires afin de composer dans les

meilleures conditions mes textes. Après la production de mes écrits, et avant leur publication sur la toile, j’ai fait vérifier

l’orthographe et la grammaire de ceux-ci. Ensuite j’ai attendue d’avoir l’approbation de mon responsable pour les diffuser sur le Web.




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Figure 4"Schéma pour la démarche de rédaction"

2. Mes textes fournis

Premier texte : « l’association AMAI a été créée en 2009 »

§1. L’association, une idée d’artisans

Etant un artisan de profession (BTP - gros œuvre), et dirigeant d’une petite entreprise (Imovert), Abdel Bedjaït est très sensibilisé par les difficultés des petites entreprises, et ce notamment dans le secteur BTP.

Mais au-delà, se trouvant lui-même souvent dans le

quartier de La Paillade, il est également très sensibilisé par la précarité des jeunes.

§2. Une association : deux publics




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Ainsi cette, association s’adresse dans un premier temps

aux jeunes en difficultés, et dans un second temps aux artisans en situation pénible.

Tout d’abord, force était, pour Mr Bedjaït, de constater que

les grosses entreprises, « sucraient » la majeur partie du marché, voire parfois la totalité. Il fallait donc porter une action face à ce constat. L’idée était simple, en étant groupés, on devient plus fort. C’est donc afin de venir en aide aux artisans, trop souvent en situation précaire, que l’Association Montpelliéraine d’Aide et d’Insertion a créée; une association pour fédérer les petites entreprises, en leur apportant une aide afin d’obtenir plus de marchés. A l’heure d’aujourd’hui, ces artisans sont essentiellement localisés à Montpellier dans le Secteur de La Paillade.

Ensuite l’association s’adresse aux jeunes ayant besoin

d’aide (professionnelle voire personnelle). En effet, bon nombre d’entre eux ont des difficultés à s’insérer dans la vie active. Cette difficulté est souvent le résultat de nombreux freins qui se posent aux jeunes. Ainsi l’association sera pour eux une manière de trouver de l’aide pour obtenir un stage, une formation, un soutien ou autres grâce aux adhérents présent dans l’association.

§3. Une association : des ambitions

Nous espérons pouvoir faire développer cette association, afin que celle-ci puisse venir en aide aux artisans et aux jeunes, en situations précaires, de manière la plus favorable possible. Nous voulons avant tout être un soutien pour nos adhérents. « Nous voulons leur donner l’espoir qu’il est possible de sortir la tête de l’eau en se serrant les coudes ».

Le mot d’ordre de cette association est « le soutien », par ce

que vivre en autarcie, coupé du monde, est impossible et n’arrange pas les choses, nous proposons à nos adhérents de voir, ensemble, leurs difficultés, et c’est ensemble que nous y répondrons. Nous comptons également sur notre réseau de partenaires, qu’il soit privé ou public, afin de nous épauler dans nos démarches et nos actions.




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Deuxième texte : « pourquoi l’association existe-t-elle ? »

§1. Avant l’association :

De manière simple, avant l’association, au niveau des marché, c’était la loi du plus gros. Celui qui « parle plus fort » obtient ce qu’il veut, en d’autre terme le plus important l’emporte. Le constat est de voir que trop souvent les marchés étaient remportés par les grandes entreprises en laissant pour compte les petites entreprises, nos « petits » artisans. Pour les jeunes, certaines difficultés telles que des démarches administratives, où trouver un stage était trop difficile. Et donc certains abandonnaient leurs démarches.

§2. Avec l’association

Depuis 2009, AMAI a su donner un peu de souffle à nos

artisans, a su conforter nos jeunes dans leurs démarches, permettant à certains d’obtenir des stages en entreprise. Les adhérents-artisans ont obtenu des parts de marchés, ils ont pu obtenir certains marchés, parfois inespérés.

Aujourd’hui nous voulons que l’association prenne un essor

plus important. Pourquoi pas espérer intégrer un Syndicat à l’avenir ?

Troisième texte : « Accompagnement des artisans »

§1. Objectif : apporter une aide aux artisans L’AMAI à pour objectif et milite afin de venir en aide aux

artisans et petites entreprises, dans leur développement, en leur proposant un appui technique pour faciliter l’accès au marché public et privé. Ces artisans et ces petites entreprises font essentiellement partie du secteur BTP et exercent leur profession en fonction de divers corps de métier.

§2. Matériels techniques mis à disposition

Pour répondre au besoin des artisans, l’association à mis à

leur disposition un local, un secrétaire et compte développer d’autres services tels que la mise en place d’un métreur, voire d’un conseiller technique spécialiste des affaires en bâtiment.




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§3. Croyance inconditionnelle en nos artisans

L’AMAI croit surtout à ses artisans, car ils sont les premiers

employeurs de nos quartiers dans lesquels il est difficile voire impossible de trouver un emploi. « Un artisan est un travailleur qui se lève tôt et se couche tard ».

Les artisans du quartier montrent l’exemple aux jeunes.

Même si le travail proposé peut leur sembler difficile, ils les encouragent à venir au bout de leurs ambitions et on a de beaux exemples dans la Mosson avec des jeunes qui étaient jadis à la limite de la délinquance et qui aujourd’hui ont créé leur entreprise et ces signes sont très encourageants pour la société tout entière.

Quatrième texte : « Accompagnement des Jeunes »

Redonner aux jeunes le goût d’entreprendre et d’aller de l’avant !

§1. Vocation de l’association

Parce qu’il est courant de voir se dresser des barrières

économiques, trop souvent insurmontables, que le soutien et l’entraide s’avèrent nécessaires. Par temps de crise, il faut être proactif face à l’exclusion sociale et à l’insertion professionnelle ou personnelle de nos jeunes.

Le constat est de voir que l’individualisme prend une place

dans la vie de tous les jours, plus importante que l’entraide. C’est pour renforcer l’entraide que l’Association Montpelliéraine d’Aide et d’Insertion (AMAI) est née.

L’AMAI a donc vocation à accompagner, soutenir, écouter,

conseiller, et encourager les jeunes diplômés ou non dans leur insertion ainsi que leurs orientations professionnelles ou scolaires en les stimulants à ne pas relâcher leurs efforts. L’association propose un appui au niveau :

• des démarches administratives en s’adressant aux

bonnes personnes ; • de la recherche d’un emploi ou d’un stage ; • de la recherche d’un logement.




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L’AMAI a l’ambition de vouloir développer une solidarité

économique et sociale, et c’est par la construction de celle-ci que nous arriverons à relever le défi de l’emploi. Nous mettons donc en relation les inactifs aux actifs, les jeunes aux séniors. Nous faisons de l’expérience des anciens un espoir pour les novices.

L’AMAI est, en somme, un lieu où toutes volontés se

rencontrent pour défendre une démocratie sociale.

§2. Mission de l’association

C’est à travers trois missions que l’AMAI accompagne les demandeurs.

Ainsi la première mission et de promouvoir l’égalité d’accès à l’administration, en matière d’aide au logement et d’aide sociale. La seconde est de focaliser sur l’accès à l’emploi et l’orientation des jeunes, d’une part, grâce aux relations avec les diverses administrations et agences, et d’autre part, par la mise en place de formations avec les institutions et autres entreprises partenaires. La dernière mission réside dans la volonté d’AMAI d’établir un lien social avec ces jeunes par le biais de projets d’insertion et de projets d’intégration.

§3. Actions de l’association

L’association AMAI met en place une permanence régulière

au siège. Il suffit au jeune de contacter le secrétaire pour prendre rendez-vous et exprimer ses besoins. Le secrétaire contacte le bénévole correspondant aux attentes et au profil de la personne.

L’AMAI effectuera régulièrement des actions et des

événements à l’attention des jeunes (conférences sur les métiers, soirées à thème, rencontres avec chefs d’entreprises, job training …).

§4. Une association au service de la solidarité

• Aides adaptées : En parallèle avec les autres institutions, l’AMAI pense qu’il est nécessaire d’apporter une aide réfléchie et adaptée à ceux « auxquels la vie n’a pas fait de cadeaux » ;

• Une initiative soutenue : l’association AMAI compte, à ce jour, plus de 160 promesses d’adhésion et plus de 70 mécènes. Le président de l’association, Abdel Bedjaït, est cadre supérieur en bâtiment et servira de relais avec les grandes entreprises. Ainsi




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un partenariat existe avec l’UMA de la Paillade et l’association le Percébar (Pergola, Cévennes et Petit-Bard). De plus, de nombreuses entreprises ont acté de leur partenariat. Des premiers contacts ont été crées avec les collectivités locales.

• Une initiative reconnue : l’AMAI espère un soutien total afin que tous les réseaux sociaux soient exploités, afin que nous relevions, ensemble, le défi de l’emploi, la lutte contre la pauvreté et l’exclusion, et plus directement. L’un des buts de l’association est sans nul doute l’insertion des jeunes dans la société française.

• Solidarité et proximité : Nous arriverons à surmonter la crise si les acteurs locaux savent organiser et développer avec l’aide des pouvoirs publics, la solidarité économique et sociale. C’est par la construction de cette solidarité de proximité que l’AMAI souhaite arriver à relever le défi de l’emploi. Ainsi avec ces différents texte que j’ai pus concevoir, l’internaute auras une idée

précise de ce que l’Association Montpelliéraine d’Aide et d’Insertion représente.

F. Les langues disponibles sur le site

Pour l’instant le site a plutôt une portée locale. Il n’est donc pas nécessaire de mettre

un site sous plusieurs langues. En revanche, il serait peut être bon d’envisager d’intégrer des pages en langue Arabe. En effet, nous l’avons vu plus haut, la population majeure localisée sur la Mosson est d’origine maghrébine. Ainsi, la population visée dans un premier temps concerne les habitants de cette zone.

G. Le nom de domaine

Un nom de domaine correspond à l’adresse du site que l’on veut créer ou que l’on a créé.

Par exemple, Wifeo.com est un nom de domaine, Google.com est un autre nom de domaine. Ainsi, si on achète par exemple le nom de domaine "amai.com", notre site sera accessible via l'adresse www.amai.com.

Avoir un nom de domaine permet de donner une vraie identité à notre site. Cela nous

aurait permis de nous détacher de Wifeo.




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Dans le cas où le choix d’un nom de domaine est payant, et que pour l’instant, nous n’avons pas fait le choix de le payer, notre site sous Wifeo reste de la forme monsite.wifeo.com. Ainsi dans notre cas notre site aura l’adresse suivante : http://amai.wifeo.com . Celui-ci est bien entendu actif, mais il redirigera les visiteurs sur le nom de domaine.

D’après les informations que j’ai pu relever concernant les noms de domaine, celui-ci

n’est pas considéré comme une marque déposée. Un nom de domaine n’est pas gratuit, et il est acheté au minimum pour une durée d’un an à renouveler tous les ans.

H. Le choix de type d’hébergement

Un hébergeur Internet (ou hébergeur Web) est une entité ayant pour vocation de mettre à disposition des internautes des sites Web conçus et gérés par des tiers.

Il donne ainsi accès à tous les internautes au contenu déposé dans leurs comptes par les webmestres souvent via un logiciel FTP ou un gestionnaire de fichiers.

Dans mon choix d’hébergeur, j’ai sélectionné Wifeo, pour le nombre d’avis positifs

que l’on retient à son sujet, et pour sa gratuité dans l’hébergement de site Internet.

I. Les balises Meta tag

Les balises méta tag consistent à mettre un ensemble d’éléments en mots clefs, ainsi ces balise permettra lors de recherches de certains visiteurs de tomber sur nos pages ou notre site. Voici les éléments que j’ai pu définir comme mots clefs :

• AMAI • Association • Montpelliéraine • Aide • insertion • Partenaires • Accompagnement • Jeunes • Artisans • …




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IV. L’Ergonomie du site communication par internet

L'ergonomie du site, c'est la partie fonctionnelle qui va permettre à l'utilisateur de

naviguer sur le site, de passer des commandes ... L'ergonomie d'un site web peut être définie par sa capacité à répondre efficacement

aux attentes des utilisateurs et à leur fournir un confort de navigation. Lorsque l’on évoque l’ergonomie dans le domaine du web, il y a des critères

déterminants. Le site doit répondre aux attentes et aux habitudes de l’utilisateur. Le webmaster doit produire un site en réfléchissant aux âges des visiteurs probables.

Il faut également prendre en compte le type d’équipement que possèdent les visiteurs. Par exemple, lorsque je crée le site, il a d’abord été optimisé pour un écran d’ordinateur de 7’’, or lorsque j’ai voulu consulter le site sur un écran de 19’’ divers problèmes m’on sauté aux yeux, c’est ainsi que je suis parti modifier mes pages afin que celles-ci s’adapte à tous types d’écrans.

Le dernier critère déterminant à prendre en considération est celui du niveau de connaissances. En effet, il faut envisager le fait que les visiteurs ne connaissent pas ou peu l’informatique. Il faut donc penser lors de la création à l’utilisateur le moins expérimenté.

Avec le site de l’AMAI, j’ai voulu que les visiteurs se retrouvent facilement avec des

onglets pratiques et faciles à utiliser. C’est ainsi que j’ai créé une première page (d’accueil) qui permet de naviguer entre les différentes pages composant le site Internet. Sur les différentes pages, nous retrouverons également ces boutons qui permettront de naviguer sur les pages. Ils seront situés sur la partie supérieure et inférieure de la page Internet.

V. Le design

C'est l'image du site, la gestion des couleurs et différents effets graphiques qui

feront que l'utilisateur deviendra un habitué, un client, ou bien un internaute fuyant. Afin d’avoir un rendu esthétiquement correct, j’ai créé les pages dans divers tableaux à

bordures transparentes, c’est d’ailleurs par cette technique que j’ai pu optimiser un affichage pour tous types d’écrans.

Pour avoir un rendu agréable, j’ai également constitué des images flash, des illustrations et le favicon.

Un favicon, c’est la petite image qui se trouve sur la barre de recherche lorsque l’on est sur le site et sur l’onglet de la page qui est ouverte.

J’ai pu produire ce favicon par le biais du site favicon.com. J’ai opté pour un favicon animé ce qui permet d’attirer l’œil rapidement. Vous trouverez en annexe les différentes illustrations que j’ai pu établir et intégrer dans les pages du site. (Annexe 5 illustration).

Les flashs, eux ont été crées par Bannersnack.cm. Ce site propose des flashs animés payantes (si on ne souhaite pas avoir en visuel la publicité Bannersnack.com), ou gratuite. Là encore j’ai choisi l’option gratuite.




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VI. L’hébergement

L’hébergement fait partie des étapes de la création d’un site Internet, voyez ce point

comme continuité à ce qu’on a vu précédemment. L’hébergement est la partie technique et néant moins importante. L'hébergement du

site va contribuer à sa qualité. Différents hébergeurs existent sur le marché, le choix de l'un d'eux dépend de la destination du site en terme de fonctionnalités (beaucoup ou peu d'éléments consommant de la bande passante, des hits, de l'espace disque), ou de visiteurs (nombre, fréquence de visites, pages vues). Pour rappel, j’ai choisi l’hébergeur Wifeo.

VII. Le référencement

Le référencement du site : Une fois le site créé, c'est la partie importante qui va

permettre au site d'être visité puis indexé par les moteurs de recherche.

Référencer le site web est un enjeu important pour le succès du site Web. De nombreux sites n’ont pas nécessairement besoin de référencement, exemple lorsqu’on est en B2B, il n’est pas nécessaire de passer par le moteur de recherche pour trouver, car il y a la possibilité d’aller directement sur le site web fourni auparavant. L’adresse du site web est laissée au client comme une brochure autrefois, qui décrivent les activités, la structure et les fiches de contacts.

En revanche, pour une entreprise ou une association qui souhaite être trouvée par les internautes sur les moteurs de recherche, il est impératif de se faire référencer. Là encore le référencement peut être payant.

J’ai établi un début de référencement par l’outil de référencement proposé sur Google. Hélas, une erreur subsiste et il est impossible de référencer le site, sauf bien entendu si on paye pour le faire. Afin que les internautes puissent nous trouver, il sera convenu à l’avenir d’éditer des cartes de visites incluant l’adresse du site internet de l’AMAI.

VIII. Promotion

La promotion du site est une des dernières étapes de la création d’un site internet, c'est

le fait de faire connaître le site à d'autres médias ou vecteurs d'informations. Cette étape doit avoir pour pendant le suivi du site, notamment sur un plan statistique (visiteurs, passage de robots d'indexation ...). Etant une association en relation avec divers partenaires, il n’y a pas un besoin nécessaire de faire la promotion du site internet, car il fait office de présentation numérique de l’association, ainsi viendront seulement consulter le site, les personnes connaissant de près ou de loin l’AMAI.




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IX. Maintenance du site et la vie du site internet

La maintenance du site internet en fonction des évolutions, techniques, fonctionnelles

ou graphiques. Pour l’instant il n’y a pas de personnes spécialement définie au sein de l’association

montpelliéraine d’aide et de l’insertion, qui s’occupera du site internet. Mais, afin de prévenir d’éventuelles modifications, il convient pour ma part de fournir un document synthétique permettant d’utiliser au mieux Wifeo.

La vie du site Internet passe par la mise à jour du contenu, et sa maintenance. Si

l’association AMAI désire continuer à faire croître le site Internet, il lui faudra définir plus tard une personne susceptible de s’occuper du site internet, de sa maintenance et de ces changements. Il faudra certainement songer à un budget Internet consacré à la maintenance de ce site créé.




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CONCLUSION : La stratégie de communication d’une association : Internet un outil incontournable.

Nous l’avons vu, le territoire de la Mosson est un territoire qui connaît de nombreuses

difficultés en termes de scolarisation, éducation, de revenues et enfin d’emplois. C’est par rapport à ce contexte difficile que de nombreuses associations se sont créées dans ce secteur.

Les associations assurent de nombreux services, particulièrement en milieux rural et

plus encore en situation de crise. L’Association (en général) apporte des réponses aux besoins sociaux : bibliothèques, centres de loisirs, colonies de vacance, aide à domicile, etc. Ainsi la fonction sociale associative est très importante car les associations cherchent à combler un manque de réponse de l’Etat pour la satisfaction des besoins.

La fonction sociale d’une association passe par le fait qu’elles s’adressent à tous.

« Cette constatation devient flagrante si l’on prend l’exemple du soutien scolaire. Ce service a été inventé par les associations » (ISEG Group,). De plus, le principal capital des associations est l’humain . Sans bénévoles ou adhérents, les associations ne pourraient pas exister. Enfin, elles permettent à certaines personnes, isolées ou en difficulté, de s’impliquer, de s’insérer, par la participation à la vie d’une association.

A la lueur de ce contexte de crise que nous évoquons, une association telle que

l’AMAI s’avère justifiée, si l’on tient compte des chiffres que nous avons avancés auparavant. Ainsi, par rapport à ce contexte, difficile, parfois même conduisant trop souvent à des

situations de précarité, il est normal que l’entraide et le soutien s’installe. C’est avec ces critères que l’association Montpelliéraine d’Aide et de l’Insertion a pu connaître le jour. Elle a décidé de fournir un appui aux jeunes et aux artisans, un accompagnement, une épaule sur laquelle se reposer quand la crise fait ses ravages.

Si cette aide existe, pour que ce soutien supplante la crise, il important de se faire

connaître. A travers ce rapport, il m’a semblé cohérent de présenter l’importance d’une stratégie

de communication dans une association. Par souci de commodité, j’ai concentré mes recherches, et réalisé mes écrits autour du site Internet que je veux présenter comme un outil incontournable. Ainsi, nous avons vu comment est établi un site Internet en respectant un cahier des charges. Je vous propose ici de conclure sur l’importance d’un site web dans une association.

Peu importe l’activité d’une association, celle-ci connait certainement tout au long de

sa vie le besoin de communiquer, dans le cadre d’une promotion, dans le but d’informer ou de conseiller. Tous ces besoins peuvent se traduire par l’utilisation d’un site Internet. C’est donc pour cette raison que lorsque j’ai eu l’entretien avec le président de l’association, qu’il m’est paru comme une évidence de créer un site Internet pour l’Association Montpelliéraine d’Aide et de l’Insertion. Ce jour-là, mes arguments ont été : la puissance de communication d’un site web est incontestable, un site Internet permet de faire des économies en apportant une crédibilité plus forte et un lien plus profond avec vos partenaires et fournisseurs.

Voyons dans un premier temps la puissance de communication d’un site web.




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Contrairement aux moyens de communication habituels tels que les supports papier, le site web est puissant dans le sens où ils touchent sans cesse un nombre important de personnes et ce « 24/24 et 7jr/7 ». Bien entendu, si les choses sont bien faites, cette communication est possible sans surcoût avec des informations toujours à jour. Dans le cas de l’AMAI , par exemple, par souci de budget trop restreint, j’ai proposé de faire un site Internet sans coût éventuel, c'est-à-dire en limitant au maximum les coûts.

Au moment de cette entretien, il m’a semblé utile de présenter Internet comme un réflexe de tous (ou du moins de nombreuses personnes). Beaucoup de personnes lorsqu’elles chercheront un prestataire, un conseiller, une entreprise ou une association auront le réflexe de consulter le web pour satisfaire leurs attentes. C’est ainsi qu’on peut noter l’absence de l’AMAI sur la toile comme un handicap au développement de leur structure. Aucune association ne peut se passer aujourd’hui de la puissance de communication d’un site Internet.

En second temps, nous avons abordé l’aspect économique. Nous savons que

communiquer peut générer un coût insurmontable pour de nombreuses structures, notamment pour des structures de type associatif C’est ainsi que j’ai proposé un site Internet comme outil de communication, en premier lieu, car il n’y avait pas de stratégie de communication établie au sein de l’AMAI, mais surtout par ce que Internet permettait de réduire les coûts, car je savais que j’aurais pu proposer la création d’un site Internet approchant la gratuité. Mon objectif a été atteint sachant que je n’ai pas fait dépenser à l’association le moindre euro.

Mon troisième argument était fondé sur la crédibilité d’une association. Si on ne

connaît pas son existence et si on ne peut pas se renseigner sur elle, on ne prendra pas au sérieux la structure et on la laissera ainsi de coté. Avec le site Internet, on augmente la considération de l’association aux yeux de tous, on lui apporte une image plus valorisante et professionnelle.

Le dernier argument que j’ai pu avancer, est la solidité des liens avec les partenaires.

Ceux-ci se sentiront fidélisés car leurs noms, parfois même leur présentation sont présents sur notre site Internet. Il est important de mettre en avant nos partenariats, car ils travaillent avec nous, et parfois ils participent au financement de l’association.

De plus, le site permettra de mieux informer nos partenaires sur nos activités et donc de les pérenniser en les mettant en valeur. Pour finir, on notera que le site Internet permet parfois d’obtenir de nouveaux partenaires et donc de nouveaux financements.




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Conclusion in English version

The communication’s strategy of an association: Internet the major tool As we saw, the area of Mosson is an area knowing many difficulties such as,

schooling, education, income and job. It is around this difficult context that many associations are created in this sector.

The associations are providing many services especially in countries and above all

during crises. Association brings answers to the social needs, libraries, leisure centre, summer camp, home assistance etc. So, the social function of associations’ is very important because the associations are searching to fulfill a lack of the state help to satisfy its needs.

The social function is aimed to everyone. « This observation become flagrant if we

take for example the remedial courses. This service was made up by the associations» (ISEG Group). Moreover, the main asset of the associations is the human being. Without voluntary workers or members, the associations could not exist. To finish, they let some people, the isolated one or the one in difficulties, to get involve, to fit in by being a part of the life of the latter.

From this crisis context, an association such as AMAI can be justified, if we consider

the figures that we took earlier. Thus, with this context, hard, sometime leading to a precariousness situation, it is normal that the mutual aid and support are setting up. It is with those requirements that the Association Montpellièraine d’Aide et de l’Insertion could have been set up. She decided to supply support to the youth and to the crafts-workers, a support, a shoulder on which they can rely on when the crisis is pillaging.

If this help is existing, to supplant the crisis, it is important to be known. Though this report, I think it was coherent to present the significance of a

communication’s strategy in an association. For greater convenience, I focus my researches, and made my paper around the website that I want to set out as a major tool. So we saw how was arrange a website abiding by specifications. I hereby propose you to conclude with the significance of a website in a association.

No matter the activity of the association, this one will know through its life the need to

communicate to, promote and announce a special act, to give some advice and to inform about their actions. All these needs can be express with the use of a website. That is the reason, when I had a interview with the chairman of the AMAI, that it occurs to me that they need a website. During this interview, my propositions were, the communication’s power of a website, the savings and the credibility made thanks to a website, and a better relationship with partners and suppliers.

First, let’s see the power of communication of a website. Contrary to, the traditional way of communicating such as paper, a website is more

powerful because it touches many people relentlessly 24/7. In addition, if it is well done, this way of doing is possible without additional costs and always with update information. In our




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case (AMAI), because the budget was very limited, I proposed to create a website with the less cost possible, by maximizing the better communication from this organization.

During this interview, I thought it was wise to present internet as a common reflex (or at least as a numerous persons nowadays). Many people, when they are seeking for a service provider, a consultant, a company or an association, will turn automatically to the web to fulfill their expectations. That is why, the AMAI’s absence from the web can be interpret as a handicap for the growth of their organization. Nowadays, any associations can do without the power of a website.

Second, we will see the economic aspect. As we know, communicate can lead to

expensive costs for many organizations, but especially for organization such as the associative one. Because any communication’s strategy was set up, that is the reason, I suggest directly a website because I knew from experience that internet can reduce the cost of communication and that I will be able to make a website almost without asking for money. I reached my goal, because the association did not spend any money on it.

Furthermore, my third argument was the credibility of an association. I mean, if

nobody knows who she is and cannot even have information on her, nobody will take the organization as a serious one and let it aside. So, with the website we are increasing its consideration in everyone’s mind, and we add to it a better and a more professional reputation.

My last argument was, that will increase the bounds of their partnerships. Because

they will appear on the website with a short description of who they are and what they do, and it will make in the same time free advertisement for them. It is important to do so, because we are working together, and sometimes partners give financial support to the association.

One more thing, the website can lead to make new partnership, and in that case having

new financial support. This will also perpetuate the association by having more easiness to communicate about new activities to every partners.




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A propos du stage J’ai passé six semaines de stage durant lesquelles, j’ai mis en place un site Internet. La période peut sembler longue pour créer seulement un site. La raison est que j’ai dû

tout d’abord effectuer des recherches avant d’entreprendre la création du site Internet. Ces recherches portent sur l’aspect technique nécessaire à la création d’un site Internet, mais aussi sur un aspect synthétique : comment présenter l’association, car il est vrai qu’aucun document de présentation n’existait.

Bien que le président et la secrétaire étaient présent pour me fournir certaines informations, j’ai souvent effectué mes recherches seul, ne pouvant demander que quelques informations à mes responsables sachant qu’ils étaient souvent indisponibles (au vu de leurs activités en dehors de l’association).

Ce stage m’a permis de travailler sur mon autonomie et sur ma capacité d’adapter mon

travail en fonction des objectifs qu’on attendait de moi. A mon sens, ma mission de webmaster a été remplie, des réactions positives

concernant le site me sont parvenues, de la part du président et ensuite des membres du bureau de l’AMAI, et d’autre part des adhérents.

L’ambiance était très appréciable au sein du bureau, durant ces six semaines au cours

desquels, j’ai été très bien accueilli. Ce stage m’a permis d’approfondir mes connaissances en termes d’accompagnement

et de conseil aux personnes, mais aussi en terme de gestion d’une structure associative. Etant au cœur de l’association, il m’a été très facile de voir les difficultés que celle-ci peut connaître en terme de gestion, d’organisation et d’animation de l’AMAI.




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About the training period I made a six weeks internship (in an association) in which I set up a website. It can sounds a very long term only to create a website. However, before the set up, I

had to make some researches. Those researches, was on the technical aspect to know exactly how to create a website, but also on a better knowledge of the association to be able to know the best way to present it.

Even if the chairman and the secretary was here to give me some information’s, most

of the time, I did my researches alone, because the official was unavailable due to their obligations outside the association.

This training period allowed me to work on my autonomy and on my ability to adapt

my work from the expectations. In my opinion, my webmaster mission was fulfilled, because I get some goods

feedback from the chairman, the staff member of the AMAI but also from their members. The surroundings was very good, and I was well welcome. This period allowed me too deepen my knowledge on consultancy, and supporting

people. But also in term of managing an associative organization, such as the difficulties she knows in term of management, organization and the liveliness of the AMAI, thanks to the fact that I was in the heart on the association.

Index

Adhérents ........................................................................ 9

AFNOR ........................................................................... 37

Agglomération ......................................................... 16, 17

Atouts ...................................................................... 19, 26

Bannière animée ........................................................... 41

Bannière flash................................................................ 41

Chômage ................................................................. 18, 20

Cible ............................................. 6, 28, 30, 34, 36, 39, 40

Communication 8, 9, 10, 11, 12, 13, 26, 27, 28, 50, 53, 60

Communication par internet ................................... 33, 38

Concepteur de site internet ............................................ 34

Conjoncture ................................................................... 20

CSP ................................................................................ 18

Déficit ............................................................................ 20

Design ............................................................ 7, 33, 34, 50

Discrimination positive .................................................. 16

Education prioritaire ..................................................... 16

E-mailling ...................................................................... 38

Emploi .................................... 8, 17, 18, 20, 25, 46, 47, 48

Enjeux ............................................................................ 34

Exclusion...................................................... 20, 25, 46, 48

Faiblesses ................................................................ 19, 20

Formation .................................................... 17, 18, 20, 44

Google Sites .................................................................. 34

Institutions ........................................................ 20, 26, 47

Internaute ..................................................................... 33

Internet .......................................... 8, 9, 10, 11, 12, 13, 53

La Paillade .................................. 16, 17, 18, 19, 20, 48, 60

Les hauts de Massane ................................................... 16

Management ................................................................. 10

Marketing ........................................................................ 8

Média ........................................................................ 9, 10

Menaces .................................................................. 19, 20

Mixité sociale ................................................................ 20

Mobilité ................................................................... 16, 17

Montpellier .................................... 1, 4, 10, 16, 23, 28, 44

Mosson ... 10, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 25, 27, 28, 46, 60

Non de domaine ............................................................ 35

Opportunités ........................................................... 19, 20

Outil ............................................... 8, 9, 10, 11, 12, 13, 53

Panel d’auditeurs ............................................................ 9

Parc 2000 ...................................................................... 17

Partenaires ............................................... 9, 27, 28, 44, 47

Pierres Vives ............................................................ 17, 20

Plateforme ..................................................................... 35

PME ............................................................................... 10

Précaire ..............................................................16, 20, 44

Processus ...................................................................... 20

Projet ............................................ 6, 17, 20, 34, 37, 39, 60

Qualification .................................................................. 18

Revenus ..............................................................16, 17, 18

Scolarisation ............................................................ 17, 19

Services publics ............................................................. 20

Stigmatisation ............................................................... 20

Stratégie ........................... 8, 10, 11, 12, 13, 26, 27, 28, 53

TPE ................................................................................ 10

Tramway ................................................................. 17, 20

Wifeo ............................................................................ 35

ZFU .......................................................................... 16, 17

Zone franche urbaine .................................................... 16

Zone urbaine sensible ................................................... 16

ZUS ................................................................................ 16

Table des illustrations

Figure 1"Organigramme de l'association" ............................................................................................................ 14

Figure 2 "Situer l'AMAI" ........................................................................................................................................ 15

Figure 3"Démarches pour les appels d'offres" ...................................................................................................... 16

Figure 4"Schéma pour la démarche de rédaction" ............................................................................................... 34

Tableau 1 "Répartitions des Associations" .............................................................................................................. 1

Tableau 2 "Internet, média deux fois plus influent que la télévision" ..................................................................... 2

Tableau 3 « Indicateurs sur les ressources et revenues » ........................................................................................ 9

Tableau 4 "Indicateurs sur l’emploi" ..................................................................................................................... 10

Tableau 5 "Indicateurs sur le niveau de formation" .............................................................................................. 10

Tableau 6 "Indicateurs sur le niveau de scolarisation" ......................................................................................... 10

Tableau 7 "Stratégie de communication : les cibles" ............................................................................................ 19

Tableau 8 "Communication traditionnelle, communication Internet" .................................................................. 29

ANNEXES Annexe 1. Plaquette de communication Annexe 2. Cahier des charges AFNOR Annexe 3. Les partenaires et fournisseur Annexe 4. Le questionnaire Annexe 5. Les illustrations

Annexe 1 « Plaquette de communication »

ANNEXE 2

Le plan-type (selon la norme AFNOR X50-151)

SOURCES : http://www.inh.fr/enseignements/idp/besoin/cahier_des_ch

arges.html

1. Présentation générale du problème 1.1 Projet

1.1.1 Finalités 1.1.2 espérance de retour sur investissement

1.2 Contexte

1.2.1 Situation du projet par rapport aux autres projets d e l’entreprise 1.2.2 Etudes déjà effectuées 1.2.3 Etudes menées sur des sujets voisins 1.2.4 Suites prévues 1.2.5 Nature des prestations demandées 1.2.6 Parties concernées par le déroulement du projet et ses résultats (demandeurs,

utilisateurs) 1.2.7 Caractère confidentiel si il y a lieu

1.3 Enoncé du besoin (finalités du produit pour le futur utilisateur tel que prévu par le demandeur)

1.4 Environnement du produit recherché

1.4.1 Listes exhaustives des éléments (personnes, équipements, matières…) et contraintes (environnement)

1.4.2 Caractéristiques pour chaque élément du l’environnement

2. Expression fonctionnelle du besoin

2.1 Fonctions de service et de contrainte

2.1.1 Fonctions de service principales (qui sont la raison d ’être du produit) 2.1.2 Fonctions de service complémentaires (qui améliorent, facilitent ou complètent le

service rendu) 2.1.3 Contraintes (limitations à la liberté du concepteur-réalisateur)

2.2 Critères d’appréciation (en soulignant ceux qui sont déterminants pour l’évaluation des réponses)

2.3 Niveaux des critères d’appréciation et ce qui les caractérise

2.3.1 Niveaux dont l’obtention est imposée 2.3.2 Niveaux souhaités mais révisables

3. Cadre de réponse

3.1 Pour chaque fonction

3.1.1 Solution proposée 3.1.2 Niveau atteint pour chaque critère d’appréciation de cette fonction et modalités de

contrôle 3.1.3 Part du prix attribué à chaque fonction

3.2 Pour l’ensemble du produit

3.2.1 Prix de la réalisation de la version de base 3.2.2 Options et variantes proposées non retenues au cahier des charges 3.2.3 Mesures prises pour respecter les contraintes et leurs conséquences économiques 3.2.4 Outils d’installation, de maintenance … à prévoir 3.2.5 Décomposition en modules, sous-ensembles 3.2.6 Prévisions de fiabilité 3.2.7 Perspectives d’évolution technologique

ANNEXE 3

Les partenaires et fournisseurs de l’association

SOURCES : AMAI

Partenaires

Fournisseurs

Chambre des maetiers et de l’artisana du langedoc-Roussillon

Big Mat Réseau pro

Département de l’Hérault Coste peinture Ficsa

La CAPEB Chabaut

ANNEXE

Questionnaire pour présenter l’association AMAI (Destiner au président de l’association et à la secrétaire)

SOURCES : Production personnel

L’ASSOCIATION AMAI A ETAIS CREEE EN 2009

Par qui ?

Pour qui ?

Pourquoi ?

Quels sont vos ambitions par rapport

à cette association ?

Comment ?

POURQUOI L’ASSOCIATION EXISTE-T-ELLE ?

Comment sa se passait avant ?

Maintenant, a quoi cette association

a-t-elle contribuée ?

Quelles sont les prévisions de celle-ci.

ANNEXE 5

Les illustrations du site internet

SOURCES : Recherches et créations

Bibliographie / Webographie

« Projet territorial de cohésion social de la Mosson : quartiers de la Paillade et des hauts de Massane

»- Projet stratégique Mosson – 2011. (2011). « Projet territorial de cohésion social de la Mosson :

quartiers de la Paillade et des hauts de Massane ».

ADDES Association pour le Développement de la Documentation sur L'Economie Social. (Novembre

2007). Les associations en France : Poids, profils et évolution.

Associanet. (s.d.). La communication de l'Association. Consulté le 05 24, 2012, sur Associanet:

http://www.associanet.com/docs/com-asso.html

Enquête CNRS-Matisse-Centre d'économie de la Sorbonne auprés des Associations. (2005/2006).

Indicateur clefs INSSEE 2006. Indicateur clefs INSSEE 2006.

INSSEE, I. c. Indicateur clefs INSSEE 2006.

ISEG Group,. (s.d.). Mieux comprendre l'importance des associations.

Journal du net. (s.d.). Chiffres cléfs. Consulté le 05 21, 2012, sur Journal du Net:

http://www.journaldunet.com/chiffres-cles.shtml




Faculté d’AES

TABLE DES MATIERES

INTRODUCTION ............................................................................................................................ 1

INTRODUTION: English version ..................................................................................................... 4

Partie 1.Le contexte économique : Le territoire de la Mosson ........................................................ 7

Partie 2.L’Aassociation Montpelièraine d’Aide et de l’Insertion ................................................... 13

Section 1.Présentation ...................................................................................................... 14

I.Bureau / Organigramme ................................................................................................. 14

II.Objectif de l’association ................................................................................................. 15

III.Activité de l’association ................................................................................................ 16

IV.Les adhérents ............................................................................................................... 16

Section 2.Diagnostic de l’association ................................................................................. 16

Section 3.Stratégie de communication externe .................................................................. 18

I.Définition de la stratégie de communication et des pistes d’actions proposées ........... 18

II.Réalisation d’un site internet pour la communication .................................................. 19

Partie 3. Création d’un site internet ............................................................................................ 20

Section 1.Présentation des différents types de site existant ............................................... 21

Section 2.Le choix d’un site associatif pour l’association AMAI ........................................... 22

Section 3.Les étapes de la création du site internet ............................................................ 24

I.Le projet .......................................................................................................................... 25

II.Le concept ...................................................................................................................... 26

III.La conception du site à travers le cahier des charges .................................................. 27

A.Présentation de votre activité ............................................................................. 28

B.Le but du futur site .............................................................................................. 29

C.Quel est votre cible : visiteur ou client ................................................................ 30

D.Le nombre de page à la livraison ........................................................................ 31

E.Fournir vos textes de contenus ........................................................................... 32

F.Les langues disponibles sur le site ....................................................................... 39

G.Le nom de domaine ............................................................................................ 39

H.Le choix de type d’hébergement ........................................................................ 40

I.Les balises Meta tag ............................................................................................. 40

IV.L’Ergonomie du site communication par internet ....................................................... 40

V.Le design ........................................................................................................................ 41

VI.L’hébergement ............................................................................................................. 41

VII.Le référencement ........................................................................................................ 41

VIII.Promotion ................................................................................................................... 42

IX.Maintenance du site et la vie du site internet .............................................................. 42

CONCLUSION. .......................................................................................................................... 44

Conclusion in English version ...................................................................................................... 46

A propos du stage ...................................................................................................................... 48

About the training period ........................................................................................................... 49

ANNEXES ............................................................................................................................ 51

Bibliographie / Webographie ...................................................................................................... 53

la strategie de communication en milieux ......d'influence du numérique, fleishman-hillard et...

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