69, Année. Ne 300

tan aussi P o r t . afin d appr mer au g a6ra1 e emare, en a meilt'

XXV111

a,e sur ù1scré Lx rune SAINT-GIIA.LBSse D. nec a 6naa1VIT.

0. était au 2 prairial ao X.Au prix de delfioultés presque inaur-

mcutables et de fatigues manies, suppor-fée. avec ce courage et crue borine bu-

intarissable qui sont le cbté soil-lantdes soldats t'rsnçaie dans lu circons-tances critiqItues, e gé éral commsodnt

eu bhiterie toutes rlsesipé¢sreque 1 set)

moynnx très.reameiuls dont il pouvaitdlspuser lui avaient permis d'utiliser.

La matin du pr ial, l'invesb:asement du fort Sainl-Charles avait étécomplété.

Le commandaol eu chef, oint avoirconnu, par le général Cahors, la teinteaudacieuse exécutée par le capitaineIg.ace, avait don.é l'ordre au généralSériziat d'envoyer un renfort de 400hommes pour empêcher que pareil fait uepat me renouveler.

Enfin, le k prairial, tout étant pr@t,0e lever du solele sur l'ordre du géué-rat Riceme nt dleu batteries avaient été

brusquement émasq ées, et le la Li-demeet avait cemroescé sur

toute

te la li-gne avec use eztesme violence.

Les noirs répondirent bravement.Celte effroyable cenon0ade continua

-noua interruption pendant toute la jour-uée du 9.

Le 5 prairial au matis, te feu des in-surgés commença à se ralentir, tandisqu u contraire celui de Farinée ripu.bbâcaille semblait encore redoubler d'Fn-tosilé et p.... il des proportions réel.lament effrayantes.

Le générsl Richepanse, malgré1.

fer-me Contenance et le courage des révol-tés, comprit que l'heure suprême neIsolerait pas h sonner pour rai, Il don'

TOLIOLSEOLITIQUE ZT LITTÉRAIRE

D O Â E D'A i Ss HEURES DES DÉPARTS ET DIS ARRIVÉES DES TRAINS DES CHEMINS DE f114 DU MIDI ET D'ORLNANS octobre 1875), au almoecm wax up.o :

iDisparu : Arrivées tram as voix

To.WO..: A 1 B.CxeT* e(MRMALN Ara AMMne1.a

TOULOUSE Un an, 40 1. 6 mais, 21 L 5 mole, 44 f 055 oa. w u x -` g fo, n a..t M t., fia « Hoir, l l6 r

DRPARTEMENTS 50 - 26 - 44 Dépares, AmvémSoir, (Bxprh 2 Ban, Y fit

Déperu i AnivW I A PARIA : usai N s e A v A a . A / s T e1 4

ETR.ANUER tee frais supplémentaires de posta a. eus 1 Matin, (dharq, il h i§ Midi. dirent 3 23 1 $ Y 40 fion, 40 .. mon, f 20 Wna 9 fUe issus 8. I. Mrnu

M t'a 6 30 Malle (Agent a as Soir, Carra,. 6 li Hoir direct lt k Baie' f 60 60x0, 5 60or resoit km ABONNEl6NT8 r ) M tin, /0ope), ll So (Iopni l 45 Soir, M 10 Hoir, 9 W TARIF D63 AI!JNONCMS

$o' 35 Soi , u eaTOULOUSE4 Auz l-cis, do journal, rs 9 i t-Romd ai

/t Bert, l, A6en,

3 sa as u 00,6 fie $a i,, te 40 -me- a'onLn t Annonces, la ligne, 0 Ir. 30 a,

Chas M. Rusas rua J. J R oeesao, Si et noces sus sam. ]satin. 5 la Moi Boute 9 n Matin, 6 /e Wti., P 53 Réclames, la ligne, 0 509 tu so ; t la van lu bu BDFr, 3 u Faits divers, la ligne 1 00

A p A R 1 S obus MM. Havas, faffite et G, plane de la Mou., (disons), 3Is

otos Gril { {5 Sr Phi, 3 10 oi , Saym a l8 Sot 95 iov, s il!

YYYSource, 8, loupe Correspondants i Matin, 6 Wtim p 10 30

Soir

amiral. 5 45l,.Fl,

9 10 8mr, 6 10 Soir, il se Toulawc - Typographie Nonnette.

le,

Toulouse, 30 Octobre. ro Fapagne est dénoie de fondement.- On a ce., mais à tort, que ait. rouIt- 6 heures 15 du soir.U«mai. au ,prés demain paraîtra le ms an rendait a gêne pour fuira resti- A la suite de la division, faite par leuitmte de Ir société abolitionniste. - Ri- tuer les

prise.

esdesdes insurgés, préside.[, des ,,, lot, en neuf secliom

{ O O B S S 0 R P A R 1 S vero m refusé de siguer le manifeste des t a une mut... discos but de clarté, plusieurs témoins

du 29 Octobre. radsuux. devront être emeudue pmsieurs fois, ce

Aa Cérrrun. Madrid, 27 octobre. Pari., 29 octobre, 8 h. 25 matin.Ou

portera de 700 à 800 au moins le

vascn dH. 5ean du lev Casse prM.La Gazelle publie un décreuutueisaol Le Munitcur unioersel a.eance que fie chigre des dépomtios à entendre.

le voyage duministre

des colonies à général Bellemare a écrit au ministre de M. le duc d'Aumale consacre chaque

S u/0 57 60 57 20 Cuba pour étudier les moyens de ter- la guerre puer le prévenir qu'il ne pou,- matinée h étudier et à ceordo..De la

a i/2 0/0 82 15 81 50 miner l'insurrection, d'améliorer la 5i- rait pas canJinuer à servir, ai la mu- dossiers et le questionnaire des lémnioe

5010 9295 92421/2 1x01100 économique et de préparer l'a-. mrchie était rétablie pari'Assemblée. qui doivent comcueahr0 doue la jour'

S oie libéré 92 55 92 u `bol,tion de l'esclavage. Le ministre liai- Le mi.iatr, a immédiatement répondu ée ,afin de diriger ('interrogatoire eté I é B II l' d ttant à l'empêcher de s'égarer dans des détails.... A Ta

S Op 1 . cours 57 50 57 20 les résultats des réformes.

S 0/n cours 57 65 57 2 2 Mille insurgés do Carrhagéne ont fait

5 Op l.nours 92 85 92 47 nue drue. hier, mai,. ana dépasser l'a-

3 0/0 canon 9.5 .a 92 50 bel des tvx da la plre et sans attaquer

5 0/0 [tel. 59 se 58 70 les lieupes. Diaprés des alla, In date4300 a 42fi0 . d'bloc soir, les Fus gés de Carthage

F cier 780 0a 751 {

..mié démis t é

M biller 345. 1142 50 U 8 d d' o règne e tre Gai

Meb. Es, 750 357 50 v HC.

a

t Il-b I. ét 1'.I-autres chefs L Phance t 1116aaris e m Fan.

Urléasa 804Nord 997 50

a 892 50Vi592 50

Autrichien 725 75bombarda

7g7 RVtés augmeuteul. Ce son[ des forr;na et

!187 50quelques individus da la pire spèce qui

885lienocnt In haut Unt. An retour de Va-troue, des couspirabons contre l'a chef'nul éclaté a bord du Tetuan et do Ne.-des Nuise.

v" " Il y. eu des morts t des blessés.

Maigre le nouveau butin tait par lesles vivres sont trùe rares, lesurgés ,

pain est très noir et très mauvais. LesBOURSE DE TOULOUSEDu 29 Octobre, forçula et d'atres insurgés au sont seu-

60 Cours ,.. levés contre la camarilla de Contreras,

3 0/0 57-q7 10 demandant de l'argrart et des elfels d

5 om 92 Co dés fié t inaur5 0/0 libéré 92 20 Lia mer, Once ga es gées

Uwmnxioes Dnassau.. sont en mauvais état. Le Télunn toit

271 . «au de to:"les parts. Plusieurs insurgésmidi ont chargé Î: ors d'intercéderVille de

paris1$69

27 ,4

urrés des anto.'Ilés pour ne pas direU (1871) 242 fusillés s'ils sr l00j at. Il, attendent

Dezacle,6 ^/v 302 50 e occasion pour s''échupPer, mafia 1InwOUmATUOn eu 31 ocvoeoA, sont très mrveillés par ion li,rçass, D'au-

S 0/0 '!9 60 yDos ae mnteot pas "au évoxiou de peurnet Lesut

DEPECItfS TRI,RGRAPHIQUES

Madrid, 27 °ctobee, soir.Le maréchal Serrano art attendu de-

man à Madrid.Laministre de 1. mari.. cet dé.

baraqué à Alicante; il arrivera à Madrid cewir.

LuLw at a quitté ltcné à dis lieuesac

ddu matin pour

darthagne, sir

elle

arnoaffilée estm oprésidi. 0e lcroltqu'a. nouveau combat ..loi est imml-

Carrhagéne a été vu-nmit. Le Diurne de diter 0. led u curereilamen[

éuaux

udi durcir..des navires a0ger ,-I,e gênerai Mnriouessa l'ait au lu...

eaiswnra de Tatala vara Utile elPe-raLa

oinsI:e Carre.pondenLia croit clou laabrera

voile d'an procbaiu rayage de C

FEUILLETON du JOURNAL d. TOULOUSE

Du 50 Octobre 4873.

58LE

CHASSEUR DE RATS

IDbnes de la vie créole

p0d'être fuselles en arrivan

volantairs de llena ont pris deuxhommes de l'équipage du 21111x05.

Le bruit court que les insurgée quioccupent le ah-'le.. de Gafferas, près de

Carrhagéne, auraient -laissé leur

chef,

TELtGRAPHIE i R1VEB

Saletés spécial du MAL es rounomz

Rarceloue, 28 octobre, 3 h. wir.Les trains net repris leur libre par-

cours mire Barcelone et 'farragone, ce

aifait supposer qu'aucune action o'. eu

Îieu ma envieoen de San-Sadursi, où seportaient de nombreuses l'actes.

Ler teégates anglaises Narcisse; J?ody-n, Tapeye, Pollua, ancrées lut depuis

yueIques Jou sont parties hier soir.

BUREAUX c Rue Saint-home, 44.

es.office. mu

la retraite, d _ Le camail entend ter dépositions duL'incendie du Grand-Opéra; rue Lepel lieutenant de vaisseau Noguès et de M.

Délit, a commencé à 11 heu es et demie SeroL procureur Impérial; ces délicat.du nie dans les magasins des décors. lions produisent un incident.Les flammes ont éclaté au dehors à mi- M. Nogoés, chargé d'une mission pouranis et demi. A 2 heures et demi, le Metz, le 23

aoûtet pli, pas y pénét rer.

tbédlec eélait qu'un immense brasier. A so retour il fut arrêté par M. Serot.Les rs sont arrivés eo toile hale, Il prétend aujourd'hui avoir eu une

mous set oéte muolea. La plupart des noble lettre de l'Impératrice pour M. Ba-hahdanu des rues enviro....ies avaient aai.edéménagé.

Jusqu'à présent o0 0e aigusle aucun

occident de. personnes. L'incendie pareil

avoir été pnremeut accidentel.

sovou DA011eu

Paris, 29 octobre, 10 h. 20 matiu.L'incendie de l'Opéra est maîtrisé. La

plus grande partie de l'édifice, compte..ont la salle, la scène, le foyer et le ne,Limai. des décora, est eomplétemeut file'lie. 1,0 plupart de, murs de 0510 ontettondrés. Il reste seulement les ateliersdes costumes et les bureaux vers la rueDrouol, qui 0050 pas été atteints.

Les maisons situées dors les rues soi-sn.es sont intactes.

Aucne ndeéct.

Paria, 29 octobre, 2 h. soir.

W Décearralixatiua de Lyyo.un décret du maréchal de Mac-Mabon,qui dissout le Conaetl municipal de Lye.et yui maintient la commissiuo naunloipale ré,:nmment noamée.-

Le roi de Saxe est mort ce matin.

autos cArtels.

Paris, 29 octobre, ô h. 50 soir,

PROCCS DU MABRCBAL BAZAINE.

Trianan, 29 octobre.Plusieurs témoins rendrait compte de

!a mission qui ils 00aient reçue de porterdes. dipêuheo le 1'J amet et ,jour. euF-vanls.Aucun dés émissaires interrogés n'aP.

pénétrer dons Mets après le 20

arrdt.

notre vison sang de gentilhomme n+ pasdégénéré m qua nous somma les di-gues fils des héros de Taillebourg ¢t deItouvioes f

Il ouvrit alors ses bras au jeun. bom-me, qui s'y précipita.

I.e père et le lits demeurèrent un

tant étroitement embrassés.

- Pars , maintenant , reprit M. deFoissac, e1 souviens-toi que rien n'a étédit; tout est remis en question; donsun mois, pas auparavant ,noua rosse-rons.

Je vous remercie, mou père , aurevoir, et voua aussi, mon cousin0lre. D'aFl-

leuu°sr fe1tcasic rél`ète .,avant quatre

jours è.u rn r amen , j'espdo

ce.

leur peéi'der vous.

- de l'RSpère , moi aussi , et je prie-Dieu que pela soit, répondit M. deFois-

Le jeune homme prit clora congé ets retira.

La deux vieillards le suivirent triste..mat des yeux jusqu i ce que Ir porteee fût refermée sur arr.

- 11 y 0 quelque aboie de 18001 eutoute cette affaire, murmura M. de

Foinac, en laissant douloureusementproche, su téte sur .a peiuine.

- le le ferai surveiller de prés; monami, répondit M. de la Trs\mblale, nonmoma ému que son parent S soyez cer-tain que bleutûl nous saur..s a quai nousen te air.

Et après avoir dep lla mafia à M. de Foissac, lelaateur

regagna tristement sa maison, où B arrivaquelques instants plus fard.

- Allons donc, mo. bon père, s'écriale jeune nomme avec un rire forcé , b

Set-v entendre en aupposenlt, Dieu mepu,d,+pne, que je wis aaaqué du spleen,comme nos voisins Ira Anglais , que je

's saut en noir et que je rêve le ouF-cFde 1 Pourquoi, je vous le demande

n péta , curais-je,,ai

mallaeueeuzenoque mua vous L. SgunY Je n ,ai riendon ma ne passée qui me puisse attris-ter, 1001 m'a coslamment souri. Allom,ranurez-voue, mon père, ajout-t-il si-sieuaement, de quelque façon et ngmpoe'te à quelle époque que la mort me don-se sas ainiatre mbrassemeut, ce nesera jamais parle fait de ma volonté : j'ai

et de trop bot ors raisons pour te-tropFe à l'exialence jamais, je vous le ju.

te, je oillematai a un

- Tu me donnes ta parole 7- Certes,

muennpère,je vous la de.-

a',mail,loyale et sincère, je

mm

le répéta.aa nom du ciel, je noms eu sup-

plie, ae peinez pas ainsi au sérieuxquelquaa mou en l'air; jamais je n'aiautant tend à I. vie gués ce moment.

- Poil, je veux te croire, je te crois,Embrasse-moi Canto., embrasse to0 cou'un, eF va, e.Gvi4 que ma bénédiction

vérita-te'mhe. Fais tua devoir, agis enble Potasse. Je sui désapprouve pu tardmluifen; il rat )ion de prouver que

M. Serot prouve qu'il avait uan lettrepour le général Bourbaki.

Ii. débat liés-vif srogage à ce sujetdans l'audience. 6f. Noguès, recors°ais-saut alors qu'il avait aussi use notepour le général Bourbaki, le présidentmanifeste u. étonnement expressif de cemanque de mémoire et de ces comtadintiens.

bat.Scalabrino , Delsabre et Guillemin,

gardes forestiers sont rappelée par leprésident qui les félicite aur leur belleconduite.

Le culouel Magnan rapporte sa mis-sion auprès de l'empereur le 18 ao.t. Il' xprime ec vivacité, contealaat les

dédncsions du rapport. Il dit que le ma-réchal loi-méme ne le démemira pasII os sel affirmations rDlativome.t al'objet de sa mission.

Il explique qui il rétregrad. vers Char-leville, à la suite de l'mceeiilude de saposition t du manque de rem<ignmenu. Il comptait pouvoir repartir lelendemain avec le convoi dont il avaitla charge. Toutefois, il prend la respou-sabuluué eotuére de cette démarche dontil décharge compléleme.t le maréchalBnaine.

m. Magne. ajoure qu'il alla à Cari-e tgsan, accomp sono le général Deje m

enle,pfrant de lé envoyer plus facilement

communicatios isolées avec Mela.M. de Plahaut dépose au'il apporta le

28 aodt deThionville à Mets une dipechu qui fat brùlée sans et,. lue la len-deM. le

M. le duc d'Aumale félicite le lé moi.mur sa cn.dulte.

sors. D9PACaa

Paris, 29 octobm, 7 h. 40 du soir.M. Ernest Feydeau, romancier, est

mort subitement.

Le maréchal de Mac.lahon et M. Beu-ldont vérité aujourd'hui les ruines del'Opéra. Deux eraioes ont répanduessur les causes de l'incendie ; d'après lapremière il serait du' à l'explosion d'uneceaduile de gai; diaprés I. ,¢conde, àune imprudence dans un magasin defourrage.

L'i;ninn fait observer qu'une lettreécrite par la marquis de Dieux-Bréxé Aunom du comte de Chambord, dont per-lent les journaux, est antérieure auxréunions parlementaires récentes. Enconséquence elle r, put pas s'appli-quer aux paroles de 61. Chesneloeg, les-quelles .étaient pas encore preoonries.

Aurai nArècea

Paris, 30 octobre, 5 h, 20 m. matin.Plusieurs journa.. ouvrent oveeous-

ceiption motivée par l'incendie de 110-père.

Le Journal des Débats dit qu'il a con-fiance duos la s: bihté et l'étabiisse-

ent definilil des libertés de 1789. Laforce des chose protégera nos lois; o.

droits contre las tentatives iownsiesd'en haut, bien plus effcacémeut r1ue

rte, les coupables entreprises d esbas.

brossai., 29octobre.Le Journal de Dresde publie llbea pro cla-

matios de l'avènement do roi Art.

Marché ae Parie do 29 octobre.

Spiritueux 75 » a sD

due émi,eeires, ce qui était so. désir vif Marasille, 20 octobre.et coulant. é ihM m eux enu.aruLe témoin termine en disant ; J'ai

Arrivages 30,900 hectolitres.conquis mon épaulette à l armée de leLoire, Ne premellez pas qu'on la fer-nisee.

Le président loi dit que sa dipmiliaual sa meilleure j.atifi

D'autres témoins saut entendue S., les

Ventes 14,720 hectolitres.Verdi. 125/118 à fr. 36 50.1. ks d'Azoff 158/124 à te. 46 75.Burgau 128/)23 à fr. 40.Pologne 128/125 à fr. 43 50.

oa alors au genéeul Sérizial l'ordre dedont la largeur était effrayante pour tee

faire franchir le Galion à nue partie deunira chargés de la défendre.

sa division et de lui faire descendre cette 0e, ainsi que non. l'avons dit au coin-rivière jmqu i la mer, pour achever mncement de ce chapitre, c'était le 2compütemnt la circonvallation du fort , prairial, le soir - sept heures coouaieotSais1'Charlee, que la grande difficulté lentement au beffroi du fort Saint-Char-des communications et, plus que tout le - les.petit nombre de wIdole composant lier' 1 Clique vibration mélancolique du fim.

Jeudi, 30 Octobre 1873.

,.res-..-...®

Les Abonnés dont l'abonnement

finit au 3d Octobre sont priés de le

renouveler en temps utile, par l'en-

voi d'un mandat de poste on tout

autre mode à tell, convenance.

CHRONIQUE LOCALE

La rentrée de la Cour d'appel et detribunal de b instance aura lieu masdi, 4 no ë ubre,

d s d usage sera pion sucé ptlLeM. Savent, avocat-général.

M. le général l,apasaet, avant-tder mar-di, a passé, cor Irs allées Soiot-b9 irhel .la revue d'ensemble des or.

fourais par divers corps d'Fufantmcie, q

doivent servir à former le nouveau régi-meut d'infanterie de ligne portant le no

143.

mée do siège, avaient empêché de terée' bru semblait avoir un écho doulou ranzlier plus tôt entièrement. dans le c01ur d'au homme gai pr¢-

Ce mouvement fut exécuté par la di I menait d'un pas saccadé dans uns étroitvision Sérizial avec .e grande igueur cabinet où déjà dru: fois noua avons

et une précision réellement..t

ait. introduit le lecteur,que - Cet homme, dont les traits énergiques

Mais, depuis le commencement do se rantrectaieot malgré lut sous l'effortbombardement, r,'esbàdire pire de u-en. irrfisiatiblr. d'uns peignante douleur ,1, heure,, l'arlillerie avait toit uas cou- dont le. visage avait pris lune feint, cen-sommatiun énorme de muniliou; la pou- I d'en et dont le.ssoDeuil. se fronçaient àdie allait mmiquer; les chemins étaient ' s, joindre sous la pression ineesewle

et les moyens da tranpoet ..de I. pensée, était la commando( 0,1.

Iellemenat sinsuffisaoIl, que le. mu.itions' grès.' ,rivaient qui très-pesfta quantité de Le chef des noire ne se faisait aucune

la Baase-Terre; tome fut alors au général illusion sur le sort de la forteresse qu'ifDichepanse de faire ralentir le tir peu. avait ai opioidlremeot défendue contredont quelques heures e° an liront qua bote l'armée française ; il comprenantbuit coups, par pièce, par heure, omis qui une pins longue réaist..,ce était lm.Fi ordonna en me., tempe de rwlifier i pmsibie, la brèche était énorme, lesle tir silo que chaque coup portal fossés comblés,to.lD. les pièces huerjuste. i de service,les munitions presque épuF-

Ven sis heures du soie, louras les aéra.pièces du fort étaient démoulées ou tu- La garnison, réduite de moitié, avaitterrées sous les débris des murailles / perdu mule éoeegee ; elle était prêle bles bombes et les boulets de l'armée i ace mutiner, es, comme FI arrive souvent

l'intérieu de la n pareil cas, imp tort h aon chef' to ulrançaisa fouillaient rlpl ce comme à la cible et allaient cher' les maux doot elle était accablée;

is

cher les malheureux noirs dans toue était malériellementimpossible de comp-

La famille de M. le maréchal de Mue.Maison, Président de la République ; ll.-bilait, à l'époque de la première Bépn-blique, la ville de l'oulu vie.

Le 8 1100001, 0. V de la République.cet née place Perchrpiete, à Toulouse,Thomas-Muegneri tc-'>.,; delefn e-AntoinetteCaroline, fille de Jean hfae-Nnhnn et deJoséphine-Brrnardiuc -Pautiu. Locatettr-Montgnillurd (de Luvalotte de MonsgaFl-lard). Carrait des registres de

1

d e Toulouse.

1/GLISE MIiTROPOLITAINE.

Vendredi prochain, veille de la Férede loue les Saints, Monseigneur l'arche-éque

oluttera p t 1 Iemna aux pre-meéro, vêpres, ch té dan, lie choeurà 5 beurra. Samed 1

.. ..".lire ' SaGrandeur officiera de mémo ponlilirate-ment, le matin IL le soir. A 10 lieu-ses, g aod'messe en musique. Aux vê-pres, d;agnif,.t en musique. Après lescomplies, salut solennel du Trèa-Saint-Sa-

ement. La fête de la Cnmrnémoraiamrdue morts, étant remise au lundi , 3 no-vembre , les vêppres des morts ne aurontchantéesque dimsuche., après les vê-pres du jour.

geail pas; il n'y aurait jamais conenli.Plutét qua de subir un tel affront; Delgréa se serail fait sauter la cervelle de-vant ses troupes assemblées.

Le capitaine Paléme entrouvrit classés.me.t la porte.

- Eh bien ? demanda In eummaudam.Delgrès en. s'arrémnl, ne vienneul-ilapas 1

- Ira +0111 là, et alleode°t votrebon pltisie, répondit fie capitaine.-%.'ils orient.

hufficier se retiraQuelques 'octants plus lard, deux

hommes pénétrèrent dans le cabinet.Sur uo sigue de Delgrès la porte se

referma, et il dememn seul avec eux.Ce,, de.. h ommrs étaient pl les, détails;

leurs traits, émaciés par la so.0ra.a,ponaiot la margnc de grandes privelieux subies pendant de longs jours.

Leurs usFformes, presque en lam-beaux, souillés et tachés e. maints en-droits, les faisaient cependant reconnaî.Ire Pour officiers français.

C étaient : le capitaine Paul de Chd-tenoy et l'aspiraet de marine Losnch,les deux parlementaires envoyés, o. s.'le r.ppelle, par le général Itichepnsaaux révoltés avant son diboegnemontà la Itasce-Terre, et que Delgrés avait,malgré loi, on le sait, retenus priema-pieres.L

commandant les examina im!0. t vec la plus sérieuse attention, paie

se décida enfnà prendre la parmi,avec un accent d'Fntirét.

les coins, sans qu'il le or tôt possible de ter plus longtemps sur des hommes pfse mettre à l'abri des projeot.les. que l'épouvante agolail presque, et q '

Le bombatiennent

definiuf devait re- ne an mentaient plus la farce If le cou- çGnarses Mottes ai A'ern LsetituTS.

commencer à neuheures dn soir et être rage de retourner au combat.immédiatement suivi de l'assaut. Les Le moment filet, de nie si longtemps , La suite a deosoin,troupes élale.l pleines d'enthnmia.ma -prévu, était enfin arrivé.et demaudate., à grands cris l'ordre de ll fallait prendre un parti décisif. I

s'élancer à la baïonnette sur la brèche, 4 Sereadrea Le chef de.révoltés ti y son- I

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

T-iNous sommes priés rl'anuone r qu'A pour le développement de nos écoles. après avoir baissé de 5 millimètres depuis d'Orient, d'Italie, du Meaique, et enfin directeur des Cuestructious des ligues Rbin. Il est rai ti d'abord à Verdun à et

e V lég apI q e Plein. M P t tp s da l effet. L s Ppi e t t éu,p0. tir n, 1 1 1,1110 ! di mao- M. Co : t , 1001 c . r: Ni. hier malin. à I plus désastreuse de toutes, cell

.bel et je""d . f a s, nae messe a c puy de tes parole. fl tf u 'ens Le temps, beau deus la matinée, s'as- d Aliemague. V. : U pl que I o g t Il. d e I Are du maréchal Mac-Mahon, di.

instructions pour lis Alaoe,ens Lorrains Pn.sse tl aiuuter que ai nos craies out semée t

üapt

idi.La daait

ns laété

topadi,

ve odemédailles abrillaiet l

u e sa po. le rayon es M1lrtz, tir lé iérpin

liegaude a raies sllf allants tir Noatmédydohl-gé futaea

sera néléhr u à f0 lie i ms Musée n. étau tante ti C'esti

de sortent à la for bblchn obtnu

rr Saint Jean ale, rue du Musée si leuillne poleeti du Conae I ; alee

geléepérature à midi, 1204ça

$n.e

trtrine

;un c ies, de émane cou , eu diverses d sl 50e leur airs , tiers étonné de voir M. de Préul chargé dumi dIiOli dl

éest à lin que rev,eat en ar' C'éta it donc, à tous égards, un bon misson qui [ é té 1 tes , eue V'nt«.r même ai. d pp nneme.u. Sansces carre ces rad g eux craie été inter q grand, p et brave Soldai, récompensé du rai te, ruplion, le repr se momentanée des de. d le le maréchal üa e ue aveu ses rai-rompus pendant le temps

des

s racenees. lie les éloges qu'on a bien voulu lui Foi., 29 octobre. malgré sir manqua d'instruction, par pèches et l'mteeeaptun compléta des sons pour décapiter ainsi ['irlandaise.ad M. Cal p générale. Des mesures forent prises pour

M. Clivait demande si; comme les s`A fia élida du 24, o. en s ndres un le grade de sergent. communications. liens d Met a en Im,,

aine D'eu U renom dans

G A A $ E I L MUNICIPALnées précédentes on, ne pourrait, e l'des incendie quia réduit enouobee, s pres- Mais Ce 1872, rl fut

malheureuse

ment le 12 aodt sur dligne de Metz à Paris r plus de i,ea

casino dit 4 septembre, distribuer des que tout le hameau de dipéu- cassé de rgrade, pour avoir compr.. le 18 sur celle de Nancy, le méme Je-' les gares des places free solSois.

ade Mets

Sdunce r;s+a roi .ire du f4 avùt 4873. sn,1. Canton ea appuyaul cette propo - ados étant converses eu 'Diurne, une bordon.S Barba' ém r ss ttt an vif mère lige Il erroptiun "Il,

le 19 d pur 1 1 rection e la marche de ma-Il .11

11Damnes sur les places d,

lao., demande en outre s'il ne convier ti a Eté épargnée. On é alue les perles ehagnn. midi à 1 h. 114, mais après 1 h. 14

Présidence de M. Eestox, maire. droit pas d'opérer pour le compte des à 32,000 fr. environ Un seul habitant Depuis cette époque, raconte le Petit euI plue de communications. 11 a pro- j,}otendant'ai'...a donc t a pdu nrobabiliorté

établir de nuis un fil duos le lit de des chosess d 't d

- 7 sa

M. le seerblaier donne lecture du pro-

aàs.verbai de la séaaoe 4e 7 août.M. le Maire introduit les affaires sui-

vantes:Comrou.icalion d'une lettre de M. 1.

préfet en date do 7 CI ecourant par la-

quelle il fait coueoleu le réponse mégalive de M. le directeur de l'eaploitaliondu chemin de fer du Midi au venu raiebtoulé de Conseil municipal lad hué

r la lransfm malien de

lle halleobteni

a

Saint-Agee, eu alerte. de grande et petitevitesse.

M. D,aripey, Joli rit renons seil rit qu'ilest pas de la dignité du onseil ltCu sis.

ter sur ana vine, exprime le regret devoir que dans des queslieus locales decette nature, il lui est interdit d'affirmerd'une manière plus efficace les besoinsde la pop)to.

Exam de I épi de M1 le mIre d s 'n""' à l e d lit q:1 te , AAt

de tu d I bla krra9à'e

Renvoyé à MM. Ceateluùp, Barbe,Pelii.

Autorisation de former p valcentre l'orvet de la C r du 19 0 t 557,5

r, ee050t la rétian a d.. I "sRenvoyé 9 MM Il w u Il C

6efm I de terr s p s u cédés àI2 voie publique pour l xéçgtiue do plan

me1.R ait b M:i Vu i Cralelonp

l'aros.Fsamen d'un décret du 51 mars 1873,

éisolant la délibération dit Conseil-éral ea date du 23 août 1872, van tant

qu'elle a autorisé la pie ndes rixesde l'octroi de Toulouse pour r une périodesnnérie.ure àcinq année'.

Il'alue i à MM. Cousin, Rameau, lire.bl. cillent s exprime ainsi

:il.ceuga il fut gneaion de émolïr lesparties msolides du Capitole, la commis-

e décida que las ma'é,iaua seraient` afin de les utiliser dans d'au-11es paries. On eepémit également dés

il daus l saurs dos démolitions,eienvroies morceaux de digues ferre

,.la de. i

ntque t f.cols

de brique.

leuenéInouvé

ques en assezmaunevais élat,

tat,I'adminiau de rer

laConseil

l'a d 'do opérer la vente.Sur cet exposé:Le Conseil accorde l'autorisation de.

mandée et adopte le cahier d'a chargesdressé, leu août 1873, p., M. l'ingé-nieur de la ville.

"'ordre du four appelle I. discussion

du projet d'aliénation des fonds conati-

saa.t la caisse de prévoyance destinée

à faire face ana crises alimentaires; ceprojet d'aliénation e été l'objet d'an rap-port de M. llne, dent le Conseil, dans seronce du 11 février dernier, a ordonné

le 11,111 eu secrétariat.Aînésune Iiscussiov a laquelle pren-

nent part MM. lIse, Rumsan, Canton,

tunnel 01,10 Moire,Callot,

la Conseilnadii,

optéCars

adoptéibératien suivante:

Vu la délibération de la commissionmunicipale, en date du 3 avril 1868 ;

Vu le rapport de la Commission du 1lfévrier 1873;

f naidérnnt que l'Rlililé de la caissedestinée à foire face aux crises alimed-,aires n est pas sefcsamment démontrée

aentaires e s pro-que les aires limaaisent que rarement et à de longs e-tervallea,qu'il est toujours possible, si

.etta évemmhlé se produisait, de voterd'urgence les ressources néceasatree ;

sérieConsidérant qu'il ya de in-,.dallaient.à immobiliser les ressources

ordinaires de la ville pour faire face à

des besoins exceptionnels et qui peuvent

ne se présenter jamais ;Conaidérant que le Conseil a déjà

adopté ces principes eu supprimant,dans le budget de l'exercice courant,l'ail cation annuelle de la caisse; que ceb dget a reçu l'approbntioa de l'autori!ésupérieure;

Par ces montsLe Conseil voie ln suppression de la

caisse établie par délibération du 3 rail1868 et autorise M. Je Maire â procéderaux formalités nécessaires pour aliéner letitre de rente de 5 Oj0 qui représente lemonmpt de l'encaisse.

M. Caripuy. - In désirerais savoir la

.dite donnée à mette délibération rela-tive à un ouverture de L'édit â affecterlal'envoi de délégués des corporations

uvriéres à l'expon i.. universelle de

Vienne.M. le Maire. - Le préfet a refusé et il

pie pouvait Limité faire autrement aprèsle vote de l'Assemblée, qui repousse uneProposition semblable et le refus faitae Conseit municpal de Paria taule.riant le crédit quil avait volé pour lemême rGet.

M. Geripuy. - Depuis ce refus, le

Conseil municipal de Pari. a, je croie,

par dn vote réceat, affirmé à ...veau as

premiéro délibération. Le Conseil muni-,pal de Toulouse ne pouresitil manifes-

ter encore une fois so. désir.M, le Maire. - Ce serait malheureuae

ment une démonstration vaine.M. Gseipuy, - Je demande qu il soit

nu moins rail mention de mon observe.tienau procès verbal.

M. Gseipuy. - Comme la plupart demes cgllégees, j'ai assis lé aujourd'hui ala distribution des prix nus élèves de nosécoles laiques. Je crois être l'mtarp,êt.du Conseil Municipal tout calier en pro-filant de cette occasion pour rendre hom-mage à l'intelligente activité, au zèle'fatigable, au dévouement sans borne.dont M. Cimaises a traitait fuit preuve

on pinumalheareus e dégagement Il Mari- I de ce hameau était assuré. Lyonnais, il vécut dans la se ! e ,

de-Piété, d'objets dont le montant du i,, feu s'élaa1 déclaré pegdent le jour, le trouvait constamment bletti dies un la M1loselle; mafia il de fut pua donné suite M, l'; utend .réchal 0 Wo1ff se fit pas

pré! ne serait pas supérieur A 5 fr. La personne u â été surpr par les da coinchérir. b elle proposh0m connataet au maréchal üazaann l'mdma-lav fit. de la marche de ..le.ass-ou c pa forent 5 lion ".14

ville pourrai} consacrer 2,000 fr. à cette !mes. Seul, le nommé Les. reçu e. Unjou enfin, trouvant que cet isole- Le20, deuxmatin

villa p veule[ lamer des ePfxls, s reçu des .ment n était pas assez complet podr 11 heures du matin au chef de gares chat e aMahon sugMonunéd Les

Lé Conseil renvoie ces propositions à brO I es 810 main droite et é la figure .voir dévorer Cu silence sol contai, Metz ; avis il ne In rappelle pas le nom nouvelles iodirectzs qlrrçûl.'ay

vaient

I adminf4Yr lino eexprimant

le v il parait que son lien droit serait rom- Barba résolut de quitter le bataillon. de ces émissaires. Il y a en enmmunica- aucune importance niaucave

eerliluda

de voir 0mmale, rr une somme de 2,000 prami.. 11 se rai diteille,dani un bois situé aux en non télégraphique entra Metz eLBwmX po 'riva

te. à I oenere indiquée par M. Canton rirons de Neu y séjour.. cioquau L'agent Flahant a été va par le té- NI l'intevdantgénénl inspecteur J. B.

dans le ,an eh cela serait possible. te-cinq jours pendant lesquels il eo moi.. Le bureau de Novéant commw UTich coofirroé les di' asiiio e prisa

Sur le rapport de M Cousin, eCou.

C 0 Un D' AS S [SES D E L'A R 1 E G E chmmunigaa avec aucun erre humain, piquait avec les agents de la compagnie h par l'in lendanI générai à l'égard des p

sait ouvre a NI. la Maire pin crédit de - llne trentaine d'e d U par jour, Mel e' provivionmemeee. pour larmée du Rlie

y22 (r. pour la part des frais à la 4e trimestre. qqti il ramassait çà t m dans le bols, Le témoin reconnaîtI ensuite l'aulhee- depuis le 16 août, et indique la part qu'il

chargè de la ville dan, I stance P- - Cosatituérem sa seule nourriture, et cet licité de l'origidelOd'usa dépéche expé- a prise pu, car elle'ent rien. ces diapv-

do.te entre elle et M11. Fuurcade et M, Présfdeuce de U. L,mona, conseiller lofwtuné a méple avoué u conseil qti il LUI, de'bidons au maréchal Bazarde par itiom. Le transport de Distillerais Reims

et Mm Séguela, instance terminée par la GUar dappel de Toulouse. 'avait pu bofrë qùe trois fois dnrantvat- de maréchal Mac-Mahon, le 19 soûl; et .amélioré ua peu la tL..,u.

jugement du tnh..ai civil de Toulouse, te longue bannce. arrivée à bfilé à 1l heures 3B, oir. Celte D - Quel joue étais nous parti de

le 28 juin dernier. Trois affaires sont iuacrites au tableau 11 a était conPecliosné ne lit avac des dépéche a été remise immédiatement à sa Reims 1bemiseseulement

ed'a Oru,oémoin se souvient ,acore d'salles R. - Le f9 août. L'armée partit dansM. Cousin rappelle que dans sa s¢ange de cette session, feuilles séchas, e,vêtu

du 25 avril dervier le Cveseil de Ida Audience d E7 p elsléd'étdlnsv , pipi itaes le méme leur à 3lieus la direction, de Sousors et Laou. Ce

qOq le rap t sur le pompes f ,épi ea ver. u are. La piemiére alfa r i i l'mlempdne de 1a saison, d bas reç j Put le 253, Il sous r eçûmes l'ordre de

doai d e des i n f 1 115 , Ig améned vent le lors $00 jeunes geu., Lorsqu la gendarmerie le découvrit s, t pa lesquelles il y o avait unel n,. ta sur MoeÇîmdy. Dors ta

ait étal et dieu I é à h n de IlPtiate' Ba Ito et Jacques Cloné. assis derrière un arbre, et dans une t pour le maré liai etune pour 1

géuéral ma inée du 23 , l'ivleudadtgénéral aie

,La memec. et 1 l d api e. 11 ont accusés d avoir, du f0 au 20 juil- utude q faisa$' Dé, ce' malheureuz Solmlle. - chef fie l'armée do maréchal "de Mac.

lut reovayée a une p 1 oe q¢ 1Jet A.r air pénétré dans la maison d ét fit d état

Idedélabrement lm- M. te c e du go ment. Clef .'avait Drévend fa 'ifs Mec.

éçalemereN. - - pporteur so met de r oui é o mé Dominique Souque, houlang Qb nà t e [I a répd d aux gais. - Avez'ndu p érenu 1 é bal du maréchal Bauiae sur

u Cen I ¢ooçuingur. a lialg é l d dire em paré ddp

es qudééf était heur ux e fi., grta à rétablissement des _.amolliras de doM

maréchalLes ères égale été doisavaient

im9 d 140 a 145 1 ainsi que d o irrestàiiou,'de mettre un !rem àLa n p

m d h f heure 114 et d malanéè nés en co séq e.s ii !Ru .s

ré vée d . laito-dais ans, avec It cq astsuces o' 4

les pet ue a t d: toutes autres q e x P ses eS'Conseil

a é s phÿ tirer et morales. - R e oroid M e J a prêle uLa séad e t sus pendue à 5 heures,ue.

avaales de la nuit, de l'effraet o Le 2s de guerre, sur les n I g uvée tir de ete, qa s je ne puis lé pour RO m n les. `

p é réer: A 3 heur a t demie la sience est re-U p,eà t fis 1 tppl at dl q tarifs etc. lances Or M[ Goutte, difeusese du pré..1

1estérieurs et des tarifs !.tilleuls dans Lea deux accusés, .pré en r opp sé ou, . a pas voulu voir ou Coupable D. - Veau vez Prévue. de l'inte ise: M. le et demies Colonel d'état-

aux char es accabint qm s'éleva t chez ou'hommé de cour comme Barba; ruptiod déhmuveNI

le gérul C affinléprma or Ti le est entendu et rend compte

les églises, vous propose la délibération gég P aprés quelque. minutes de

déebérelle

n, ras vers 8 heure. du soir v J

suivante: co t ,;eux les dé. litas les lus éuer- des cl qti I sa t h (égard des entremîmes-as lardé 3 faire l'a y I sud [ veur de C, i s brave R. Oui, monsieur le ouvre em tin - entre I m réchal B e. I F.napontM. Maire t iuv s a enta ère g

rime ,9 es d P

Y ner a Jrg'ém=rn8 i M. le wmmwaire du gouverneme tavec I p éf t pour

obctée àintérieurémep d leur c lis ont lienen edre i, t t

- Les dépêches de Novéser ne sont pie r et le maréchal Ota MAbo du 1Geue

ratio. légale rai sur ce lis.des n avouant le vol, de p ér ère que I 1 nxnimné. an 25 août.

Pompes funèbre. dune las églises. tiroir l. l'osa que 60 fr alors q il venues aux employés des bureaux ordi C'est le 22 unis! que l'ordre de marsest établi

purr matwd que la aom- airesY cher sur Parts. été changé en l'ors

L'attention de M. mare devra se pa .--,.porte, prmcquiscre.t sur les pointa tend me P... Ste

raiqLe. I

bie. Celleandiquie pir R. - Non, les dépêche. étaies reçues des de marcher sur Reims et sur Mont-

Tant. : ole,utre,

qx ils ne e out o faibleCu VER

®® `` rr PARIS,,Chaque famille aura le droit de choi- aire, qu'ils .bot eu que de faibles ef- Y d r9 N I 4 6 S Pelle

pa ne

ou les noms dealer employés rap®M.

Lachaud. - E.tair la classe '

sa Convenance, tarit duos

ce le colonel qui e

forts

A faire ner ouvrir la porte ,les-Le !émoi. Deaid aide forestier, dé- rédigé la dépéche du 22 7P

le service intérieur que dans le serv e liée, l'armoire et le tiroir intérieur,qu'ils

(Ce, .,pondanes partfcalidra). pose sur la miasioa rfU'il n en à remplir M.;1 lieuenant coloael Tissier. - Lea

extérieur, sans pour cela être tenus de quels étaient mat fer eafin qu ls dans le journée dit 20. A ce momie, dépéche dit été rédigées dans le cabinet

subir invariablement la méme classe ont commis le vol pendantndantlle jour. Versailles, le 28 octobre. le télégraphe de Th wneiua venait d'erre d maréchal; je n'ai pas rédigé celte

pour les deux services, c'est-à-dire quel. Les antécédents des prévenus ...t é e[ le maréchal chargea le témoin dépêche.

la aura le droit de prendre ode classem daauvais ; taus deux out été déjà con-

iDaos tes régfois politiques, oa coulis

deuporter

8 Verdun soc rapport à l'Em- Le commandant Beobre est allé galadmnés I en à se préoccuperdu s e

jours air d'eû paveur sur la situation militaire. Parti les plzoi,il

aces ddot

nord et à biontmépassage

Ade la

2. Obligation d 'i a e veiller au

h

lelion

20, le témoin, arriva le 22 à destin.- MoMeuns

le 29 août pour l'armée du maré-caque latere

CI... ades objets à fournir pour la questi oa de vu l, a écarté les aurons' dépendpsyso.t e besoin de les dre que

caque isé que le pria pour lances

aggravant

es de l'effraction cotés

du

u pays. Ai-je besoin de vous dire queM. Fissaber, chat Mac

Malle.

Le commandant était

chacun de ces Déjeta;

rhmrst

et iutérieure pour l'un des de dans las doux camps la plus grande ac- Mm

te de la milionaide

quforilesatier, rend

pare emplie en rapport avec le géuéral Dejeen et il

3= le prix d'une classe erre di- masése

eireonslnces alténuanaise bénéfice des Ltivité

eadépatésnhé9lauU sont très-entourés, ocre In garde craidy pour aller à Metz. assista à eue réyuisitioa faite pour fesse.

mimé mine lades ob

net seraient pa

que par lis furent mêlés par les Penssieoa, ou porter use dépêche.proportion des objets vomiLa Cour a condamié Pareille à 5 ans aussi bien par les royalistoa

pris demi le tabilan ei chaque classe q leur demadda ou ils allaient. A Metz, M. d'Aubanel, souapréfet de Momtroé-demandés par les fa pie priron et Clavié à 3 ans de la même les épi blicaine. répond nt-ils, doua ti avons plus d'ou-

d a étéCu

raPPont avec des émissairesa e.. Fisaabre,ailles et dont elles donneraient contre peine. U. dépuré du centre ma faisait part

y

de Sarrieusub. ce matin de son indécision, de ses ea Nous allt msi continme

rr g fournis se les tus acteurs des forêt. seP Pblie : M ! Noua rea-i i tè té Mre pu e zn s s uordre pvr écrit. C'est d'ailleurs ià le texte M M..

tilut nuis politiques. 11 n'est pas royaliste, jusqu a blaiziera prlittéral de 1 art. du 18 août 1811 , contrtmes lus lard un Officier qui ae des douanes au eommaudadt gea

applfcable à et ville do Paria. Défenseur : M de Lestang.IL

est tout simpiemeet co.serIoules etch ar ea de nacra dépéche. Braidy et moi h. commuücation du commandant Me-

Art. Le service des inhuroalio u' (Aridyvoia), '1 était décidé a soutenir de toutes sesnoua reiv5mes sn i r géuéral. C'é- gras devait pie pareedir par ces étatisais

est divisé en six classes, dont le tua _,,,.®®...... forces la prorogation de. pouvoirs du tait ie f0 Le moréchal doit avoir donné a' s sis d'autres imissairea punis de

bleau est annexé au présent décret Le maréchal de u moinsdanger

enoa qui -50 fr. à Braid t leodemaiu, Verdun avait fait parvenir la méme

pr,x fixé pour chaque classe est le ma- Aux dictions Municipales compté. lui semblait la moi., euse pour.sous attC.dime. la

résqueuNous som- communicatioi h Mea,. Le Y3, M. d'An-

ms de Ba610élus.

treize candidat. le pays dans les emoialnces actuelles. Pensa' hanel envo a ode dé é he chiffrés ouiximmn qu'il est interdit de dépasser ont été élus. Or, dopais que le maréchal a formelle: me. repartis avec une dépéche pour Y P P

avis ce pris peut erre diminué darépublicain.sVétille.

Le témoin raconte ale. odyssée i piquer ce fait auLa latte

de l'intérieur

e ublean de eluo ohjels compris diva ment revu é à c caver tee haute.de rompe ,raid le gmtla ànParia. Le enmmendadt Magnan d

fonctions pré,ideatiell Rit il était appelé gaie avec y qui es alors à Monlroéd t ssa émisairesitait

. le tableau de classe qui oe seraient pas , 28 octobre. par la coudance delu

a Chambre, mon à la maison forestière le 21. n'sidy seul P 'vit pu parvenirdemandés par les familles et dent elles Agei vit le maréchal hlac-Mahon. Le

Il

Yers le cherchaient. ll s'avait à

. d.mieraient contre-ordre par écrit. Une condamnation à treize mois de député est dans la plus grande Per* 11 heures, al Nl en vit Scalabrino, qui Metz était alléà Carignai. C'était pour

En outre, et à l'égard du cipICI prison peur escroquerie avait été pro pile piétait bai dier lu de de Braidy Le luire mucus parvenir la dépêche au ma.

ilotion, vrille ist e la muncipale est oncée, il y a plus de ci.q ale, par le Diaprés

C.interl r, la sdépend

étademagn Scalubrinor m chai avac lui résiliai de Mac Milliers que M. d'Aubaoelu ministre de l'intérieur.térieurpriée

de veiller avec la plus grande sré. tribunal correc O...el d'Agene contre u. du problèmegouvervemernemental

dépend parlaroupe p- M- .chaud.- rai le a4-il

citude sur l'exécution servie des eu nommé Joseph 5..., originaire do l'sous- surtout de l'attitude du g de l'a hors de Ale1y, jusqu'à la maison fo-

glements alféremis à ce service. - Ces gai. s 1501 ce moment, 5..., g émit ter il pal au peuple. Si ces dé Parés votent reLe témoins gestatoria., brigadier le- Du savoir le nom des agents eaenyée de

conclusions saut adaptées. trac l'allie. de la justice; mais hierf contre la monarchie, la adurparti est restier, dé le 17 sont, il fut Verdun t

(La cuise à demain.) a

étéà

arrêté au aida pot ce il i y muse, rmblieaéld

lier' Imarhla prPamlatiota harge d'u Pe dépuhe à porter de Ver' M. d'A banal.- Je se lai pas su.

riait le moins par la police de Tentative, pu in r urne dan au maréchal Canrobert qui était M Lachend, Vd.,.'9ve5 ppas pemfé bl'

un etl'élection d'un prés à demander fie mm de ces hanmes.àd

lPlusieurs arrestotfous ont eu lieu

pour val.

"Ilfeu de déclaré

emPartRasse-du Rmidi étévoisinsles pw^.?!+feri et les vti

sa.6 dégâts.

e adent. lés déptés b... partiales vote. lors à SaivtPrivai, pas au maréchal Lias clear des forée et à l'inspecteur(Journal de ai Bazaiue II arriva sous le, murs Il Metz P°

On lit dans le Gers :Jeudi dernier, 23 octobre, un violent

Jarmoie n éclaté à Cnerunn Savés, duesun La t

inter'dép

hl. le marquis deCaste

lbajac. Le feu apris vers huit heures ets'es lrépande avec

un eapio'aé telle que, meilleurs s'eu est

a e u le, gammes étaies déjà maîtres.Di nche dernier, un chien présumé

enragé, appartenant à M. S,.., a morduplusieurs autres chers. Cet animal e é!éabatte et porté à l'école vétérinaire, Deamesures sont pris p.m faire disparaî-tre les chiens mordus.

8 BATAmLOr Dr c.Aaaaaaa A luta.

Programme des morte aa z qui seront exécutéejonrd'hui, 30 aotobre, de3 havres lité à

112, aax allées Lafayeue.

1. La Ditivrance, polka (Dufils).2. 0uverture de

.6.os (AL,

ber).3. La Traviefa, fantaisie (Verdi).4. L'Invitation d Ja valse (Weber).

5. Barbe-Bleue, quadrille (Offill h),

CAISSE .'ÉPARGNE ET 0c PRÉVOYANCE

en LA vaLta Da eu0Le0sa,

P- de 'immeubl. Les secours apportéstra-

eeavec ci-5 aup al par w'aimetas'ai' s du cit.. + tes Comprimer, toutout été impuissa.ls .a été couimoot e

Ce bdtiment renfermait doua 'ÉC,Wd2uns.laitièreschusdeux vpoessd,ursang ,

80f qui500 lle u. de aie

1... de paille, nn char, ara-banncscs,

desInstrumentsnomblooa

breux d'a-griculture et due grande quantité d'au.îles objets.

Les pertes, évaluées à la somme approxsmahve de 35,000 te. sont coalertéspar uan assurance.

Le maître valet, qui demeurait dans lebdtimeut incendié, a aussi perdu son mo-bilier, et son linge, le tout estimé 2,000fr. Il est assuré.

Les causes de l'incendie restent incon

nues.

Séance du dimanche 26 lobas et lundi samedi, ont eu lieu, dit le Haute Loire,

27 octoore 1873. avec les honneurs militaires dus à sonrang, lia oheéques de M. le général de

i ( Audievus du Y8 eelobre). r il r ul duègep que le 47 aNomeaux déposanla 22.

llrrettes du Dimanche, 1,459 division Geneslet de Mondial, mortà l dé us 'net

Dé anses du Lundi, 19,738 88 de reneus.

ne te eus, à la suite d'une dou- guyoP _ _ _ lour maldie. M. Céleste' de Planhol La sélien est ouverte hune heure, maréchal l'ordre d'éablir à Lon n

Girels déposa son eectre de ra,itaillement et de puus-

4,279 88 était, en 1870, président du comité de Le colonel d'artillerie deMelzru éden! de dé la plue grande qusotité

panses, gendarmerie; il avait été depuis placé I que, dans la suit du 16 au 17, il reçut sir sur

-------- dans la réserve. du géuéral Soleille une lettre le priant de possible d'approvisiouoemedb. Le mas

Oxirair des observations en téormogigvas tai Lu deuil étai lcondait par ses deux fila, loi envoyer tout et, qu'il avait de dis i réchal indiquais, enmême

temps, son

tee par M. basilic. Slaofan s l'extrémité Sud dot l'aîné a à peine traire ans, et par ponibleCu

munitions d 4 t d 12 t intention de se porter sur le nord parM1[oolmidy

de 1 Grands-Ailes Altitude : tàé. sesdeux frères : l'un colonel du 4 d o rait 6 po e f le et o ttaille.

Du 29 Octobre. IL ons et l'autre colonel au 51 d 1 I s. Ces m t d r l éi e Ira 4e témoin rend oempl de Cette mi.-

gel. porters I111`11

r d. imr a lion et rappelllele les m - p isba p

Therm. cent. maxim. d'hier : + 106 _ ,,,,, , de eéqui t o V e la d PI pipe !I l à Thmovl, Givet Mo tmédy teaafecuon

id. min. de le agit i- 1x3 !! Le cou i p sir à ! J C des té Charleviile, où il ordonna de

Feu curieuse affaire lest présentée, 1

moins appelé. à f, a dru ecuaeigne- ner de grandes quantités de pain Cl de

niunes. nonne. Soue ou mec. vsneu. le 22 de ce mois, devant le 2 conseil menés sur Ie..e rom nr mcalima du mas faire des achats considérables de den.

9 h. m. 0x',7471 - beau - 0 zr.faible de guerre de Lyon. réchal Daa,iaa ver l'Empereur et le ma- rées.Le soldat foehn , du 16' bataillon de réf hai bloc Mahon. M. l'intendant- général VVolIf and

midi, 0x',7474 - ,mal.- id. ebassenrs à pied, était entré au tervioe Le premier témoin entendu est M. compte de ça qu'il a fait pour assurer

Le baromètre rarnonle légèrement en 1854. Il avait assisté aux campagnes Petilpus de la Vasselsia, âgé de 40 ans, liaapprovisionnements

de l'armée du

.et également contre cette propomtiea le 18, da.a la ''rimés. 11 d. pet voir le de do unes r .et il archiera que e pouvant Paire maréchal que °ers 9 heures du soir. Il Le témoin u'a pas pense à s'ela m-ai[amomrchte ai République, déni former, Il de ravalait s ces msemblés nationale aura pour perspective pas.. la nuit à cfetz, en repartit te 20

meaPa

la Incantation. Et la dissoluliov dans unet fut de retour le 22, à Verdun, où illa dira

Le commandant Retard], major delion De Verdunrzodil compte de miea rai u ,le' bien ainener des 1ace à c 1arseille déeut aurraat pose ç .rail aom D 9u'ilil repartit

ou Metsavec u. n .s

iR lev 22 î0, à Moetmédy u e dipéah dRél ctioosaccentuées. dé èche;.dpu

u maréchal de Mte Mo

Le Français ale ce soir que dausp

maréchal Mac-Mahuq, u'il a expédiéele cas où les monarchistes seraie.4 bat-

u maréchal ssIble d mats cette fuie )ile9é

lui flet m s blé de percer lesligues Thionville par quatr odx.d ras, Bout

tus lors ês crutin du mois prochain,ennes croit 0111 r en e à Verdun, dais: vont air vés à Thionville, Le tés

les députés bonapartistes proposeraient Prussi moi. n'a pas en, coinaissaooe d'une d6-la candidature à la présidence de la Ré sais avoir pu entrer à gels . à Chtpubliyue du maréchal Casrober[. "Il' ( Le témoin ajoute, que durant les pécha envoyée de Moudrai

deux ours 1 esse à M11etz, il 'offrit, Ions,nouvelle Paraît plus qu à rée, car J 9n, P M' Lachand. - A quelle leurs les

mais sain lsoccés, h Porter des Aépéches émissaires sont-ils -.agi à Tbiou-eet[e.'aurait

navraitpaspas à Ce mpter SvÆq

sur d'appui de la gauche ai .tir celui de domaréchaal

bassins. ville tla témoin cappellameI "l ri doreme, Ini

à droit..., R. ils sont arrivés le 23, ruais J ?.j qu'ayant, le soir de son arrivée à colla,

e ue 1 ala Boers qL br a touruid. pour venir en vida à demandé à l'aide de camp du maréchal h quelle heure. Qulo qai il eu soit, J'm fie

maies..

I I Iih:.v

l'autorisation de se imelis à l'abri et reçu du coloael Tore temsLa dépéce

r

ilr il conclu avec élan adressée eu méme re aumairh

ede France, 8J a ... écurie l lui fut Pa Bai9ue de coucher dans iIa Ico

ré, oadu ti il avait as do lace dans de Lo.guyos,aiusi qu'as commandent dacette institution de crédit une ven -

tien par laquelle MM. da la gshild d° Poq 8 P P Verdis.

traient à la disposition de la Banque 136 ' °"On entend M. Guillemü, égalementM. Thomas, chef de gare à Moatméd

millions de (rasas. Catleu rieur n'a forestier, sur fia mission dont il a étécha

transmis la dépéche chiffrée du maré

aucun fondement et la Baiqde Fren-char é

l de MacMahon:

ce a mie aitmti assez belle pour Le19 août il partit de Verdun, avec Celle dépéche, je la tras.mjs à la desv âvojrbesoin du

00concours de persoina. oie dépéche. Il arriva le 20 ale

moiselk Léward. Elle étamait du Muré-h 1 chat Mac-Mehad ;elle contenait einruu

émerhé

AFFAIRE RAZAIBE c.,,,Llle contenait ces mots . Faut-il trios

Premier cessait de guerre siégeant au grain, Triauan 1 p rter les vivees a. Rairas ou sur

9. A. 50'000 dAaMALeMoue 7 Verdun alout ce qu'il faut.. M.

Ynonme000s eu L5 le maréchal dit : ail cet lrup lard. .divisionGénéral de Le témoin de prévit intesda.t géré-_ _

chd'imenda n t n efval faisant fonctions

e aucMartin et remit sa dép Ileachae-40 mots. Elle fut reçue par M.èrp

ig

smaire de Lan uyon. La dépécher

Iramit

tVVoIfPolhf

quilooi aaval

vai t.'un dépéche.

gai gd sait de Paire paevepir la commudica-il.. chiffrée par 4 ou 5 ¢missair47 44plus au maréchal Bazaine. M. beachnn-

envoya plusieurs émiesaireq q i fuvent pria dans la gueeee..lia dbpdche'foienvoyée également de Montmédy à Met.par des émismtres. Cette dépéche étaitdu 22 Noir, 10 h. du aie, Elle adûélre expédiée de blostmédy te 29,

M. le commissaire de gouvernementfait observer au témoin qti d y avais 055autre dépéche de 10 un 20,

Le chef de gare 'rhumas ne pense piesavoir reçu une dépéche suite que cellequi étau clignée

p1re p ri t lui f t marquer

q p és quC'IL a d t dans 1.t.s-tructaoa ai y a ih en q elq orte pipequ'une erreur, quelque chose eemmesasinvention.

M. Thomas se rejette a r la cetfuaionqui régnait dam son esprit. Il a In idesJournaux et il a pris li iradumion dpla dépéche chiffrée pour see dépéche

b

J

1

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je, et d'ailleurs peu discret, de discuter C'est la une ma .maure est ém mei,t une égale inquiétude aua hommes ani- part des centres industriel, et manufac- Crédit foncier de Frasseenonvellü, ' ou de préjug la onduite que devra dag re se, et iu l importe de déjaurr niés de l'esprit de 1789, éclairés par terers où la société c9mIBart autrefoisM te rnmu dgouvarnement tI é h ai P d t dans le cas m éd at

IEmiesa ti 500. aile

Je sifr. d'ab . ti s )m- a, ne A dire en ça moment; °1 peup es modernes, et à le plus d'adhérents ; fr. 5 Oj0 Em n u

les

C'est étrangedu le ét hli c d I monarchie N Ovulons et ae poissons faire

l'histoireqtoiruie desculliveue

le sut ou travaillentEnfin,

,

etet surtout, le manque d'ange0t' pair

paied'obligations

destin.Si.' wrfirait u don premières délibéra. o une Monuechre entourée de garantie., dans Les dépl'atelier. 079 ouParis40 tas da es a foncier

Le témoin rcela à la dssposiI du rions de la Chambre. Ii y anro, en eget, , co.stitubnalles. ,Vaisdépenses considérablesevr imposées à la ou 10 nus 'échéanr.e. -

.sait. tes sont les intentions loyalee

socmlé par son r tint dans les in- de souscrit e au Créditfonerco e nécessité, qui dominera alors la No et eevons faire des ,inné de la monarchie : doitssurrechô socialistes du midi de l'Es- de France, rue Neuvevu.' uLe témoin Fais, garde frein, déposeaidsaliou,

celle de la unne VUUlor19

dissolutio°. LesP p potines, 19.

qu'il recul le 20. la mission de se rendre deus da partis divisent l'Aue'esdrupro

tricolorequi ne

repono

usse pas le civiques, indépendance communale, égi- pagneont

t creusé dans ses budget un D m partmanlsB s les di e Asx Recettesgrau qui peau . lité civile liberté reli iena éd ti difi it bl llg e uca onà l

ll un lovelà onville., trouvae,,Thi L

Taeoiee qu le a, m Je pousser plus blés commelee paye, et qui len3eut de Les garanties constitutionnelles sont publique, tout ce qui firme et constitue

lac., c'es.à dire de se rendre e Alolz,jour e° jour à se prononcer d'une pan- la condition du concours de l'Avent la croyance pulitigne d'un peuple a été

ajoutant ydil ,mont

_eu

fort bien v ére plus tranchée, s'ils ne pouvaient bée. ému et alarmé. L'entreprise est fmpos.

ec le maréchal ltazeine. Le Thionville pas arriver à une sujul.ion, n auraient Le maintien du drapeau tricolore, sauf sible : la tenter par uu coup de majorité

le fémufw ropsrtit avec une dé'péche du fait qne démontrer visiblement leur lm- odaisati de détail à régler entre le serai[ler le andin, non l'exercer.

colonel Tuerie.. pour Longuynn, où il I p!issance et an raient perdu la facultéR

ci IL l'Asse

semblée .alloua lr, est une sa 0. préparerait à la nation les plus re-tr versé les fi- d exercer. leurs fnliel.... ..nets mlian- tisfaetiou bien due à l'héroïsme et à la dontables déchirements : La France ne

°e açmra y,. sprev avmrPlaourdépê

Halle.. Si la monarchie n'était pas plana. loyauté de l'armée. vent pa s de résolueimpérialiste

en arrière.$ p scie t d

fiNlonch[e

mée, la république ne le Serait pas da- Or, M. Lucien Beau et lit. Chesue- a Donc, lé parti voteraq d Heu eédy outmUu command INPA a 4 véàt Mmédy il app tq I mu d t Mg au étaitè [. b Il las

d ..a

l, D Il'dépêcha ao. Idxl L !,ne x qd I

teomp gsst q la remit au Camisards

ce r pré s lqu und

n

bals--o-ce e p. l pis même a n Ilendemaint ég 1. d . de.. i nié

car,le

du AtIbl m t dp la

ennuag. et de guv me t de la Fea - long ont eeppnelé d Salzbou , unq; pro- cotre toutes les propos none monserhi-gramnie qui do ausfaction aai, ces quel.

une a

d s p I .5 a-t-il pas d'ailleurs, au mflie. de nosS Is nr outrepassé leur mandat, gilelsoes pub igaes, la rôle le plus ai.-

'da au aient été dé a dé ué ,ére, aines qu il dit :

M g a Ils é b ia a conservateurs ecceM Lagneaus mployé d F L a re, 1

P r pu de à 1.xacrt de . e dlu ne P ta aaL Brun et Chee , longr¢oÀ aura P. d smn q 'I n i o at aaaa dome le forme légale de de MM

Brus.

e-pila auprès du nm nda+fC Magaa.. B uv rnemenl yapporla1 ... nou Nu.. avons, peur y croire, rusa

11 condtme I dép t p écideote. sel élément I b al tan da qon ne,

ponde ais.. ICI meilleure que slarat raisonnablement dama.., ani ' reraoe :Le eémoiu i ll st ppelé, mors

ps`h s v de la monarchie de on nurlr Personne,P rsonne, même parmi les adversairescelui qui en pçéseule n net pas le Gu.l (+ l'ai g 1laume (Alexis), nul devait paraîlee dans garisarion et à la ré lamentat

de M. le comte de Chambord, . â -.maisdoueivése dissie set

cp 1 stésonsmcéreetnrdentamour pour1 uill actuelle 1 I diYisi0nl. ( abdique

aeme (h n{ fait aepU

donc ménmble, et serait ad' il de nou- s p yGulll Il électron e [nom. t ad mi-ne d poülio la'Ies da I ou.lie d n, déar

drqui

an. nom. Cn n'est OtM

mettremen doute hem OUPd'h ai16M daaa uisballot a, qu'il a perte es au P s J

otuert Turbin'. pas de désard mater Lq p e.q

n le :salut-du u do par. la Monarchies

Le témoin fajllaume (Alexis), sera a.- Ions, nous a ans celle quest!.. d I cs- est mpossible en dehors du programmaAssem dmoneLLi d dé d S l bé re .ma s. e sor e a ourg.

né ttérlouremant isi zgLe témoi.Aadré, brigadier douanier, blés ayant rien pu instituer n, are

est parti le 25 août de Mu°tmédy pour raser avant de mourir, ee serait encore laparier des dép@olms j Thionville paie à question de monarchie et de républiqaoula ue

:,rail t ;l ire p ut cémp!éter cettë derhiére vaioile Assemosbléedevant,,ex. I éeseraitdop s .'.cin une

mission. Coneliluame, et comme il est daims l'or-l.urgeauæ; gare-forestier, ra note

die les Canslituaotes ;ne surviventégalesnpAt Don essai de y goe air Metzque

IenPsnmmept de leur oeuvraaa A i.paie, y poser des dé.péohns. 11 a il CI y

pe.onceq aune rear.uvu In mdaul ne sa passerose paa 1°°gtc°ps Issue

nfcas-

mddana Cariguou, pais revenirà Mont. q'un autre appel au pays devînt

Jaile. Voile l perepec dan de Tranquillité

t érvr,es dans le es. où laIl 6n eu' de mémo du témoin fief- qui u ese

bord.. majorité ne serait pas suffisauta pourLe têteau. Renon, homme de folie11 I arnvm à rare solution.

'Ilp'i1. 1: 20 an matie dn MAm U. paya ne pourcepnadant paa passer

médy il Irisa sana

1 81

e sombre à Metz se vie ose constituer. Bien que le spoc

Jans la soirée. Qneiet jours près, il tacle et presque l'habitude des résolu-essaya de sortir de Metz mais il a con, rions aient fini par noua rendre assezIra les avantpoires prussiens qui le cou- indifféremaen nsatiére de forme de g ti-

traigairent.hrebroussercheml°. vr e m I.1...usvep u as pas faire des

Le Lémoin croit que d'autres persona !sis Ocr ueuques fias lesvoe.ttacher à un

nes oat P. arriver à Nie t', jusquâu 24. drgnmsme déterminé, et le puys a besoinLa séauc, est levé, à 5 heures et quart point de départ et d'.o point d'ap-

etsera _ repose demain muceedf, à 1 Vol pour marnhee, travailler, produire,heure: e. uu mot pour ivre. Or, l'Assemblée

de 1871, l'Assemblée actuelle pc,aêdD-Le p océs "du maréchal Bassin. a légitimement, qui qu'on en due , le

déjh encore, il ne faut droit constituant, Mons ne lui avons ja-pas se le dissimuler, des sommer .-ai- mais fait qu'ai reproche, c'est de ne pas.,érables un Trésor: 'es servir, c'est de le laisser périr faub.

Nov seulement les train d'installation le dans sas mains. Flous savons et nouset de séjour du maréchal à Versailles, avoas dit les raisons qui jnatifiaievt

mSI.

ne l'aménagement do palais du Grand- heureusement celle inaction , mais ces'l'r,a... pour las séances et les diléeests raisons u aident plus, et ce pouvoirenreicea do 1 ,.osait do guerre, ont qu'elle a onservé à l'état talent , l'As-dépassé loures les prévisions, mars e.- semblée est appelée impérieusement à

e la tome des centaine, de témoins l'exercer aujourd'hui, ou bien elle artqui out du se ira°ipieler de en nfréea

rengainéeelle-méme à mourir.

sou,est éloigne es dam le chef.lie u du 11 est contraire à la vérité de l'hietoi-déparamnent de Seine-et-0 as, pour y se, à la réalité de. faits ntemporains,rester peul-élra plasieura mois entrains' de prétendre que l'Assemblée a été lea da lellos itéponses, qne lo couse', des pr.soit d'uue surprise, et o d pas été, au

irai°faleea a dil se réunir pont délibérer mommat do ea naisse°ae , l'expressionw la quesliun ils savoir s'il .,y a r it incére de la nation. Non. qui n'avons

pic lieu par suite de la prortoogation de Jamais été parmi ses Ilafleurs, nous li a-l'Asoosn lés Nationale, et coaemémevt sons jamais non plus Contesté qu'elfeà l'article 32 de la loi de Baaoces du 16 .,eût été, à ce moment do..el la erpré-eptembre 1871, d'ouvrir au i°islére sevtstion la plus vraie, la plus ap..t..

de la guerre, par us' décret du Pvésfdent née,la plus indépendance e[ la plus li-dn la république,iun crédit supplé,neu- ber du pays. File a été nommée quand

exteauedsaire,taira et noua étions fané ourern sans Id-gU'0. autre côté, les dépense, oars- mf,istrrlfon, sans

prêtais,

,

ensaaas. fonction-

" ..éef par le fo IC.vemem de plu. ....... et Cest précisément po r cettede cinquante conseil. do guerre et par raleo°, et parue qu'elle n'a paa été 'roi.I .nouvelles poursuites exercées contre sil sous la pression de colle domesticitédsç iudueidus compromis il... I'iumrv tyrannique qui est la plaie de la France,senti.. de la G ulmnne, ont presque

=quepeut se dira véritablement sertie

totalementépais

é les rossnnPe¢9 du sen. du coter et dus entrailles de la nation.ustice militaire.vices de la - elle le nt do ocan:cieaca de Ion droitQu

nouant des ministres a ,osé queLe f et u'f esche l'couraée ai elle n'en adans ces circammnces, le crédit extrat ' e' aida force , le courage, alors quelle.,ivoire ee auppléme.lnirv dent I +'a code la

placee,

fit ne p . vair pas @Ire inférieur à' cinq Qu'elle ait conscience aussi de son fm-cent millefrnnrs. Le d

pécre

erx d'eillcun soumist à intervenir mania supériorité morale sur lés co ps

r le énéral dea g constilnéa qni bien[ autrefois la premièreparujl q Iq y yen de l'Assemblée Ne' has l pinEn ce tempe-Ih, la déchéaluBoü.I dan.

lala prclll'.n'o yyuf°s afas du On

de

e l %,o pra et lo rétablisseroevt de lamail de Novembre prochasb royauté furent votés par uu Sénat et u.

Corps-Ligf.lalit composés de créatures de

t:Agents flouas bomro,nlque aux jour.IIMPc,,Or, ai qui lui avafeu prêté ses.

ae rvtoment. Telle n est pas la situati on de l'As-

.aux la nota :Ou a ploIstend. qui le gouvernement, semblé, d'aujourd'hui. Elle n'a point de

lfia ani diverses mesures ea eevenstra-honte à boire ai de sermons à reprees

lPeéa çnulre plurüeun ouroaue , avais été lire; elle la conscience libre. Quand

proposé pur des comidrratigns pntlliques, elle est née, dans dans le sang et dans

tin onPnal va jusqu 8 dire quau point da les fatales, il n'y avait of royauté, nfre, ai b

de e ont empi répu lique ; nous étions saurrue politique, ces oussolm, l'avantage héemeet, amis om, mas lliaonsd'fndf,ers au p

queubteetu ql côté gole o dire,

ire, hélas ! sans patrie; et sur la sol se

,Sgên

rem,emene a l'iulenise se placer, que de la Frime il n'y avait Dieu, rienuf c,.y. .avoir que Dette mterpré que Peinants.noes

e.t.àRmeeterroée L'Aaeemhlée repréaenlative de l'anti-Aioai en ce qm concerse le Pstil Pral sire ,afin. fran çaise pouvait donc opérerOs*" f, l'article qu'avait publié ce journal tir table rase, et elle a, dans des disseacomeuaitdes expressions que les con ,ions inestines, perdu trois ana. Nous

Vefgysr.sp ne permettaient pas de repro ne disons point que ces trois ans nientété perdue pour la B'ram'e 1 ce serait de

i é ddoser. d i f l i esmn r nnt ona vo t mprbrases selles e selles-ci : r On veut ! Ingratitude envers amas qui ont accum

P. Up pli ta grande couvre de la Etalmfiou dubd l ll e 1 d

c que ne peut p us com er e pro- des finances, chez MM. les Nantiras etd ait des souscriptions décroissantes, t hez tous les c.rees uadaul du C éditp rla sertion anglaise, sur les ressources de Foncier. S'adresser également à M. Ozeu-layuelo. p ouvait toujours compter e, directeur de IAgeuce du Créditdans les oments de crise, a, nous as agricole

eà Toulouse.d-o

nd, répondu eus dernières tlOn t hcez les mêmes intermé-

sr.mondes de fonds, Par refus motivé peu

tir lés sacrifiCes

antérie

ieur. et sur l'é- .,mires se procurer, a. cours, des obli-

L

garions communales 5 0)0, apportantpuisemen( de sa caisse.qvi 15fr. et remboursables à 300 le (! )0ü)a l' dcimminente,m al an

ruelle est donc c t p r -pqp apla banqueroute qu elle est si hI

IYX gblement destfnéeà finir. OnDENTISTE AMMÉRICAINne, d'autre part, que unité aevleseal Dr. rNi7,vB IIIcond é é i tà t B i M D.amn e r s e que on e. p . frue O eta aalsoa as,fase ci.v Uo la parole à la France; à elle Bak se d,spor à recueil) r so ( )tosierlse de

nr tir

'a

tourde prouoncer et de Choisir entre : hérita o lité abso ce et à fonder dux s c seg

Outil veuve Lassolpbe , 60 ao. , ruedu Taur, 16.

Tillet (Jean-Marie), 2 ans et demi, rue

Allie., 6.

Castes (Augustine) , 14 mois, quartierde la Marquette.

dLa République, Jument distinctes dan, leurs procédés etL= a royaut dans leur but. Dans tous les cas, le fais

. peau des fartas aatt-sociales étant com-a A Asesses enfants d'obéir ! n 1 pu, le grave danger qui "' résultat

pour tonte la société eueopéemte sers- M. de Vil!emeasant a publié si... le amoindri dans une certaine mesure,

Figsra ane lauré qu'il a adressée a l'fm- (La Pntpérairice peur la pr,er de recenserpour son fils à fautes prétentions au tro.

Os

et de permettre ainsi aux députés DÉCÈS bu 27 ocrosns,de I Appel au peuple de se rallier ana -

nse.rvateura. Les allures iodépendantea Verges, épouse Rodiére, 24 an ;rue

de son journal tant qu û.an

s'étonnera des Recollera, 112.Dune il ire répudiera pas ce pro- point trop de cet acte du célébra pubü Laesalle (Marguerite) , 55 ans rue

gramme. ciste, qui est évidemment tout inrsou SuinFGeonges , 20.La situation, par conséquent, est bien i net et .,engage eu rien le parti auquel Laffunt )Jean-Louis), rue Bouquié-tte. il aooarfieut. L'Ordre dit à ce suint: ras, 19.

11'i agit de faire la Monarchie sur leshases qui ont été rapportées de Salz-

bourg par M. Lucien Brun et M. Ches-selong

o0 bien il faut livrer le pays b nuecoalition composée d`impirialis[ee Citer-

nés, de radicauxsu

motos délermf-és, t d'anciens monarchiatss devenus

républicains cooservateaes. Or, il est

clair que celte nuelition ae pourra don-ner à la France encuve espèce de go..

. Plusieurs de nos amis usas set en-voyé ce numéro eu nous témoignanttoute leur indignation.

. Nous respectons la sentiment de :5samis, Si.msans le partager. Ces sortesde choses-là doivent provoquer un accèsde Pou rire, et voilà tout I e

Ce qui est assurément beaucoup plu.comique, c'est que cette note se tnnuveduos l'Ordre immédiatement au-des-sucs d'nvimmease article dans lequel

vernenieet. M. Jules Amigues adresse à M. le comteVoilà le dilemme dans lequel nou, nous de Chambord un appel de toua points

trouvons placés. semblable à celui que M. de Villemes-A l'Assemblée Ut b l'opinio. publique saut adresse à l'impératrice.

de choisir. Enoua.. Hall (,Bani,eur).

- 0e lit dan. l'Uesivara ;Le Français insiste peur qu'il ..Il

bleu utendu que M. le comte deChambord devra accepte, us pactenettemmtt défini pour rentrer commea.

Dans l'acte préparé per l'Assemblée,dit-if. on ne se contente pas d'appeler

M. comte de Chambord au trône, 00préri

cise quels C'es les principes de notre

tient public, mt un pacte où font eetie.L première partie ce peut Siredétachée

ée de l seconde. Le prince nepourra

prendre

e l'une et laisser l'autre.

S'il accepte la couronna, c'est qu'il ne

refuses pasles garantira.. Les communrcatioos rapportées par

M. Chesneloeg avaient ce grand intérêtde faire prévoir cette adhésion, biais elles

cote"'' rit un renseignement de fait,e déclacatis. de droit. Sf M.

Chesnaloug s'était trompé, s'il y avaiteu malsain de, - et nous avons per-tinemment Io contraire, - la volonténationale ne serait engagée en rien : elleaurait indigné à quelles conditions [leétait disposée à rétablir la monarchie,et, ces candirions repoussées par leprince, elle reprI.d,IIt es liberté d'ac-tion. .

Le journal de Ni. le duc de Brogliea u

ee ce pacte sera . la l-ulace m

m êqm

es vérftahla. principes de.u89. a 11 dit aussi que l'initiative royalene sera rien

de

plus que le droit d'fai-tiative recousu aux députés. Bref, leFrançais fait tout ce qu il faut pour atel.rer le centre gauche en lui expliquantque le roi ne sera presque rien. Il ré-gnera, et les parlementaire. gouverae-rout.

Deruièevmenl, le Franais disait qneç' stréme droiteo dle tan edeajBag

'engageait pas

lele

cciroi ; c'est bien vrai

mais rl est au moins tout aussi certainque le., declaratios de la feuilla parle.mevtaiee et de se. patrie.. sas l'engagentpas non plus.

- Voici le pincée.verbal de la séancedu 25 octobre de la réunion parlemeu.Loire de l'appel au peuple

La lenuian parlementaire de l'appelau peuple a pris connaissance des lettresd'adhésion écrites par plusieurs de s

membres, a délibéré sur l'objet de sa

On lit dans la LibertéM. Dufaure est arrivé à paria.L'an sen garde des s cava est trés-

résolu dans s n hostilité aua projets derestauration monarchique, et ...iramie grande irritation contre ceux de sesseriros ,allègues du centre droit, quacompromettent les paelemreloires dansles projeta de l'extrême droite.

- La Liberté ara e sous toutesréserves, que l'on parle, de la retraitedu général du Barail et de son remplu-ment par le général Dnaeut.

- Le Français dit que M. du Templerail déclaré qu'il roterait pour la mo-

oarehia pour rester fidèle au principe detoute sa vie, mais qu'il voterait avec o.chagrin

Inoculant

la monarchie moderne etcousiitutmnnclin sur laquelle les dépu-tés seront appelés à ae prononcer.

-0. annonce que la commission d'é-taimajor Chargée de rectifier sur Issue-te do dépôt de la gaerm notre gantière.ouvelle et de corriger certaine. erreursque la campagne de 1870 avait mis à

r vient de terminer sesmémé de constateIravaua.

-La Tribune de Benils publie d'après-les journaux américains Ida 29 se Bis'd

brai la lettre suivante, du phrincede

e Bfs-marrk, dans laquelle le cancelier el'emp es d'Allemagne rétale la bruit d'a-lequel

il aurait dit à un carras on-rûs Pil

qu'ilvaul

lis

nllen àla

o la ceoyancevoulait

t mettre la place de la crose Bieu la foi dada toute la puissance

de l'état :

tain le 12 aoot 1873.Va

U. le docteur D. Bendau, d Dresde.Monsieur,

Je vous suis très obligé de votre com-mmicatiov. Ou répand tant de menson-ges sur mo. compte que je n'ai jamais euavec qui que ce soit un entretien commecelui que me prêle le

que San. 0.on peut donc pas mémo prétexter d'un

vocation et adopté à l'unanimité la christianisme) en indique assez la sourceconrésolution suivante.: et le bat. On sait bien en Allemagne

< Le parti Impérialiste gardera reli que mes conr!Étions et mes croyancesgleusemeot sa foi politique et son des. sont le contraire de celles que m âttri-peau. Il ne an laissera détourner de as bue la fable enAquestion, et ns se diraroule par aucune suggestion, aucune ca- sans doute en mérique qu'un hommetantale. Il oe consentira es concemaions qui serait assez simple pour penser ainsici compromi, sue ses doctrines : ne pourrait 01es assez sot pour le dire.

Ordre; ...a...Souveraineté nationale ;

. Démocratie. i - 11 parait à peu prés certain que lau;

territoire. amuis nous ne ee neevns o[Leu dépotés partisans de l'appel au - biné internationale des Travaille esans sesesren e peup e f u p j ,

cloués, il incendie les palais...La

terreur t gré peuple rad coopéré à la formation de lavsse bientôt cesser d'eæister, D'après

l

lese retirerons us' seul lémo,gnaga. sas orffé du 24 mai ;ils s'honorent de eensei et'

très cia nousblanche, lieu commun, dont le récit de "'ann aissaun.. de

respectdeset

d'admi- 18 P'qne

ppnnrapte notre confiance ! Vous verrez ration nous avens x mesce vote, nul a rasbsuré le pays,s acte rcçe,i.ab ce soies, la dissolmion de la

ation serait inévitablebila d'aunes primes le Omis prochain, q ce pri popaloi butin

responsailité daos le c[es trop célèbre associ

si flnnrf V défile e nosaé dos princesl'inextingnihle codeur de patriotisme, qui set Ébranlé l'alliIoule et su décla duos ira mois on deux et raft été ame-

causessuivantes

esl'imense capacité de travail et l'infari- cent plia à étudier toutes les mesuras née par lesps Plue loins boulevardsllé'O .ans sur erd gable courage qua M. Thireo a consa créslaie dépotés Bout traités do poignée de à la recomtitution de la trie. Mais

temporaires propreaà donner de nouvel, Les divisions intestines qui ntidaté 2v Traindprixrdduita pouroospi tura. Pp les gareatiea aux fntéré[s publics, à plusieurs reprises eptre les r t de Toulous, dans la nuit du 1

Bordeaux,

u E' In, lep

de la Loire est interdite menant que la Tr:mco A rendue à e 1,'Assemblée n'a pas , puissance né crions, et qui ont pris, pendant le Par an

III et a recouvré ce no'il lui nes oeasaireconstitueer,

- ré bli ire dernier congrès, ira tel de2 novembre, et desservant Castelnau-

ur là voie publique pour us' selle le la-,

pour pu q.. d'Estretefonds, Grisolles, Dieupmttait d'inié al",uPesolance il faut qu'elle sache not nt thi t t lté i et d ité on e a e u r eure seu monarc e - un gouveropmen u grav q e Mo V Nn, Caslelsarrap,titulé ; La Cbambre snleouuah(e, conte. e,fin de nelle s'apuel Co II [soue

'q p t respeclé d u e n_s loi esratio e

lasse,alce-d'Ageopgle des oun a4e. contre 1 Assemblée sou desn liés à vie. p bl Moiasac La Magistère ety r Ip as plan, sqn pouvo r c0 st tusuit:

quel r ég me lie et . et nation seule; Par l'expression fi. L d r éel e t (VoirL pprobatiu. s' la dé app ù ..n (JgIrnal des D b nia) tube Gemo,mo. hie et directe de sa volonté, peut fonder e F 411 : g 5 i

7e Voar 1'.,h, sur ira déferla . 149G

1 i m t délsnnlf de i r t d t r - 1 r. San m ( f p ) ( )ouverne eu e e f

en 28 cceosRs.

Le Cabinet, est ouvert de J lieu-r a Rn à 6 heures du air

69anc (Pierre), ara, rue du fau-bourg Matabiau, 27.

Tasiscue (Rosalie), S4 eus, rue d'As-

teeg, 22.

Pujuguet, veuve Chaboeuu, 48 use,rue du Canon d'Arcole-

Caftan, veuve Gazaignes, 8f mal, à

Lardes seRaymonde, veuve Carrére, 74 nos, rue

du Taur, 34.

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guérid

re. Dieu soit béniI1 elle m'a guéri de 49

de 18aos de sueurs noan, et , d'frritatfanhorrible de l'estomac, et d'une mauvai-se digestion. Il Y. dis.huit ans que je.,ai pas eu us' bien-être comme celuique je possède actuellement.

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Idem, 7e - °2 10) u o0Idem les 50 Kil. de 1 BOi 0 Co

SPECTACLES DU 30 OCTOBRE 1873

Tnéaran ou cartroI.

Direction de M. B. CO2IMINGEs)nLe 30 octobre 1873 à 8 B.

La consigne est de renfler, vaud. e. 1 a.La dame aux camélias, de. eu 5 art.

en 1 acte,Le tigre du Bengole5 aura.. i P .des uii01 °rs poIR'gnes qi I pe vG t 01' , e g

yiser l'op eiou en rrance est d ére - 0e li I dans le tournai de Paria : L'apaisement d,.t b, s té le L n i'te d g-. r. e p x enduras nes vamOrésd 1 HII IPPL IIERZ, neveulles

gère eus nlesnrps que flot de prendre N. adversaires emploient tous les travml ire peuvent être rend - a l patrie qui l t q I

g ''m

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le gouvereemum. llgi

t .ulement du moyens pour battre en brèche la Menar- 80epar ae grand acte de la ouyermae:i, 11 mhr d ur t C PLEIFI t a t es )acteurs renom. Direeldon de M. OUEDmaintien des droits de l'Assemblée, de chie. urce inconle.slée du .,ro t. de )sur eau cour ¢t I ie, t paraà a loués à 12, 15 te. par mats etolé

l'ordre social et de la décence publique. Ils s'clfvrcent en ce moment de per. . Nos institutions poliiigaes doivent an recruter de en iocouxr;rv

i-, lecapa, chez I. ROUGET, rue Saint- Tous e9 joursfer a public que M. L e i Belle avoir pour base, ait goelquea vais do L és d I. r t s t t I( 5. Toolonea.

On lit d- I J annal des Débita:1 M fh ne!ong e lut pa éli les rte majori.é, mais des m Ilmns de saurages, po g rase d, I te é A + Gond

bo+n1

ntdl l cru u.icab LE n13IANCHE EXCEPTÉterpret fidèles de la pensée da M. le .Les projets de restauration royale t R Il l ie t te rnaa .cane . (SY7)

La (elle de 1l ' Aniot, np: bouf.eu 3 aiyogs .rouons yù il vow parait iauti comtedde Chambord, pouf rePounéa par le pies, Ils causent Puit aug fnternaunpalfates dama la plu-

malentendu pour xcuser ce mensonge,Mais i1 me semble que l'expressionta cruah Rome in order la crash Chris.tianitæ (éerser Rome pour écraser le

Chemina de fer du midi.

auto. ce aaROSAUx

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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1;3,x' 111LE 1iif) i'It 111 1111C71'1N'E

DE L'ABBAYE DE FÉCAMP

uNous milans p 1 tpublie

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sLan ttomaw. a tr Cha entes 301 94] 0(1 967 - etwnwl /tl69. sur la coeservalion de ce cou foie1 faS

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