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C TOULOUSE Un an, 40 I. 6 mois, 1 L é ., ol 94 4, UBARTEMFNTS -- 50 2 ld [T OPRANGER Les truie eupplé txisk o preste ms 0. .".il las AraaaM:Y3m *.o'49 ira Fia dùh':44ul,d U'ne n b TOULOt18B : Ana Bore- du Jo, rnnl, 0000 S:ùnt-Rnme, Ab, 11 Ch.. M H .-S J ± fl 5 t PARIS f ber MM. Laffise Bull er et C pp .e de la Bourse, 8; M Fontaine' rn de Tré ,.e, 22, Seuls forrespondants peur tes Aunoutea. ToULousE, 28 Novembre. BOURSE DE PARIS du 27 novembre. Au Courrier. Voleur, div. Cours du jour (:aura préc. 3 0/0 52 90 52 90 41/`30/0 711 50 75 75 5 Corp. 1871 5 ü/p emp. 1872 86 80 85 75 A Tenu.. 50/5 lev Cours 52 80 52 GO 3 0/q der cours 52 87 52 85 5 Ont emp. 00510 v. n, nn n, 50/0 emp. 71 d c .... .. 5 0/0 P. 721 c rs 85 75 85 57 5 0/0 cru p. 71 0.' cours 85 77 85 7:i 5 0/01Ln1. 67 85 67 85 Fo,cier S41 2'S 840 Mobilier 413 75 412 !i0 Mob. lisp. 497 50 497 50 Ceuu nx Fan. Orléans 007 50 807 50 Nord 967 !i0 961 7., Lyon 822 50 820 n. 0 Midi 285 ,. 1182 I1 Autrichiens 708 75 71)4 75 Lombards . Peu lira 4,600 .. 4'.- .. BOURSE DE TOULOUSE do 27 novembre. An Couenne. 50/0 52 80 5 0/0 Emprunt (1872) 85 75 50/11 lùmprunt tout payé 83 70 0,,Inailone Di...sus. Midi 270 75 Ottomanes (1863) 370 368 76 Sarugosse 200 TELEGRAP6IIIE PRIVÉE l'iris, 27 novembre, 7 h. du soir. Plusieurs journaux l'ont pressentir un arOs8asrure' On osa re que M. In duc d'AudilTrel- l'nsq.ier, a . de ses collègues, nbaigé 'adciro emuot M. Philippoteaux d inl'utiner M. Tillera que la Commission lie n'opposerait pas aux projets de tête,. mes constitutionnelles. La Commission ne les e pas proposées dans le rapport, mais elle n'y est pas hostile. M. 'lhiers aurait répondu qu'il avait FEUILLETON du JOURNAL de TOULOUSE du 28 Novembre 1872. XXIX (sotte). -1 es Sons allons bien étonner le lecteur n loi apprenant que Morisset avait l'intnti00 d.nse bans loi même avec Angusfin Verdier. p: n quoi !fie h9blrnr, ce vantard, ce pur, leudenr de ,moulins àveny a: héros r nphc de tsnt duvonores, es de et dn va paner de sa pe yomrs Y 6] ne I7 avale oui et d a loulos sortes do bonnes raisons pour cela. D'abord, il se posa en v r de la feuille de Ilna uahamps; il o000serve u lits: u Ji i, àsa nouer Paul su fl,or,, pool71e mais ai Ialfaire s'ELruite-ri comment ne sbbruirrIl1 elle pas, du air, Col qu'il s'ou nul'o v -il couvera turc large compensation, et peutCO'toirnx encore, dans la or. snnnmssance de 9190 Iré:1e. !lua,,il, aven 9e::x de la fa,lrille lii- gaucy il se lira battu puas son clur brio- Aux yeux de l'adeeinielratiun, il se s ra battu ponr un maire,r pour a honuma de Lien, pou -pré. e r u du pouvoir, Ildobement atta- que par are pluma vénale, Si, dans ces leloi 'e lui le ruban qu'il postule est fe.iut e cs gon tic, le sang, sa r paomnliou r, n on sera que plus sûre. W JeFMt À Rue Saittt-Rétine, 44. DBPABTS for DRS ARBIVs.4 4 OE5 '2104195 DES O.REMINS DB FER DU MIDI ET D'ORLBANS (Sireieo d'946- t... la anaarxaY. so UO Man. &'.p) 0 i I â0 rea recoesaitre dejl'opposition à ce sujet; mais chas les c ditie,e semelles, il considère l'accord nomme possible. Le centre gauche a décidé de confier à une commission composée probablement de MM. Picard, C. Perler et Labo,elaye, le soin de formuler pour demain la rédaction d'.. ordre do jour, après en- lente préalable avec le gouvernement. La gauche a pris la même décision. L'eatrlme gauche a pris une décision tenue secrète. Les derniers avis de Versailles clos- latent que les pourparlers sont liés-ac- lifs, mais les opieious sont coetrrdicmi vos sur l'issue de la crise. l.e Messngrr de Paris publie un télé- gramme de Versailles adonnant le bruit d'une entente possible sur la bas,' d,' lioeerpla lion: Premiersmort de la res- ponsabilité ministérielle, ensuite de la is. cussion des questions ruustitonncités mi . aura. ud,PCaa. Versailles, 27 novembre, 8 h. soir. L'Assemblée a adopté nn projet de loi muant lis pensions aux blessés mi- Ilmires. On commence ensuite la discussion g al d t d t de 107. Al v di d rl Randot, op- petant talion t,oo 'ar In. déh,.it de 132 millions, et une réplique de M. Couin. rapporteur, la diaeuesioo générale est close. La discussion des articles a été eu. voyéo à vendredi. 11 o'y a eu aucun iuoidium. selon oàeaenn. Paris, 27 novrmbuee S I,. matin. Rome, 27 novembre. Ale Chambre, le ministère des affaiers étrangères dit que le ganvarnnmenI e tend persister dans la pohlrque de mo- dération; il veut Sine tout prétexte au parti clérical de se dire le ceprésenlanl des iutéréls religieux, en le l'uresol l'a- na damer ta gurreeaile o l ùru rammr que l r .a pe pour rétabl u lee diiqtemporel. p Le Minisit rre dit ae I s relations inter. atiouoles sont salisl'ais'mdes et qu'os a de bous rapports a ne l'Allemagne. I, il ''at avec la Ih'ance relatif à la Commission du mètre, a été vidé après exL, q,, ions amirales. n u du Laurinm .'a fait a.- bon eu. pas, main malgré 1a modération des peu. cédés envers la Créce. Le Ministre ajoute que les intéréts de l'Italie sont les intéréts méme de l'Eu- rope, à savoir :I', paix, le progrès Iibé. val, le -'relation sociale. éelle,lafn qu'on n conteste plus ses bouts faits de décembre et de juin... Et comment, à l'avouai, mettre en doute le courage d'un Immrae qui, sans motif personnel, pour le compl.e d'autrui, va lui ultime au doua., d'un adversaire don grec.., d'orle suite de chacal , comme, pour les besoins de sa lause Morisset lent de l'i nsinnm adroitomnui à Jules, qui ue r,,a,iyuora pas de le répéter t Verdier il est mn réalité qu'une poule moüilée, mais Gui importe 4 L'essaetiel e.et qu'il passe pour nn Roland t'oliesx. Itesl.e la chambre des -cités, qui, de la port d'un l'li, ire ministériel, trouer' ra peut être le procédé un peu léger... Mais, eoos le bldme officiel percera l'é- loge intime, et, summ. foute, ose deux noblesses -le robe et l'épée--sont faims pour é entendre. 'fin r'gnillisé pur le départ du solaire, vi à l'avanie du double effet qu'il nl. lais;produire sou 3llle da lieaor.hnm ps rat sur sas aloi lliganl, escorté de témoins chuin, à lu bâte, bien décidé à se mon- tr:r réeReunent téméraire ose fois dans a vie, Morisset était tombé comme nue bombe 'l,' r l0 joi .vils, mommnk ,e dernier bontonnaîi éJà ao. Date. tel de voyac. Les détail,, de l'entreveo importent peu. Il snfdea de savoir que Mmissey céohainé oo,mnu in liou, s'était réelle ment nroulré superbe d'aplomb et de jactanre. Ni dons l'Iliade, ni dans 1Yfnei- de, Achille véngesni Patriote n'a jamale trouvé de plus bers accents. Et comme Verdier ne se hâlait pas d'accepter ainsi, de prime abord, un adversaire qui lui tombait dos Dues, Robert avait pria le plus court chemin ou Iii jetant, com- me gage de bataille, son gant au et- Enun, 1i su bal, mie fuis peur toutes, I L'affaire s'était alors arrangée c°esbà- , tie d'é,ayer ses promesses imoginairta dira dérangée mut de suite. Verdier on quelques minutes d'asti vaillance I ayant choisi le pistolet, ces messieurs DLpaeul Arsmdm; {0 101 Soir, 1 ta a L0 aoi'r, e0 6 19 Ikar, te al0ea fie 0001, Depeau, 4,rieW 9 05 Maunl 9 15 a 20 Soie, a 5a 6 g0 Bae, 9 78 sens -musas ® .--.x 6 le Mat. Villule. 9 Es e ° { Bat.Mcatrj 9 ko I 10 4b Air, van, 1 95` a 87 star, S 50 £ 0 60 uni,. 9 te 1 V«,Ihé de Paria du 27 ecuemlre. Spiritueux, 79 00 Marseille, 25 novembre. Marché calme. Arrivages 4,800 hectolitres. Veules 14,320 hoclolilreu. Sele,kia 127/122 à 1e. 58. 25. Ainrianopoli 130125 à fr.43. Boire dur 15011 20 à fr. 39. 50. Tuzelles Afrique 151/127 à fr. 45. 01M. les Abonnés dont l'abonne- ment empire au 30 courant , son pries de le renouveler en temps utile s'ils ne,, veuicut pas éprouver d'inter- ruplioss nous Convoi du Journal. COOONWUE LOCALE L. Commission des services Idminis- Uutifs a eelled. et edodl,té le rapport de M. de Bonald qui conclut à la dis!rac- iion des eau. et forêts qui, an lieu de rester olischés an ministère 1, tissu- seraient reume au un lave de l'aglieniture. Le Ministre de la marine vient d'a- dopler une nonvelie mesure dans le but do réprimer plus efficacement l'ivresse duos le personnel de l'armr navale. U a décidé que cl,aquo aimanclu, à l'issue de !'inspccl.imy Irs ponltiuns Infligées au. ofliuiers, mm'l,te,s, 'Finit iers-mai- Wes et matelots pour cause d'ivresse seraient signalées à l'ordre du jour 1010 chaque compagnie, Jour dans les divi il, n des équipages Uu la foula qu'à bord des bâtiments armée. Le Conseil de l'réferbar , duos son au- dience du 26 novembre, a rend. son ar- rêté dans une affaire impmaanm enga- gée par MM. Esearaguel frères, entrepre- neurs dn pont suspend.Michel, contra la ville de 7'uulousa. Au nombre des réclamations fou mégis par les entre- preneurs figurait la demande d'une soin. ,e de cinq cent trentehu,l mil,, bulles à titre d'iudeunuité, foance sur ce que la ville n'avait pas, au colle, de la conces- exéeslileprojet de prolongement duo cours Satsl.Miubel jusquau pont. Cette demande a été re-!!d és, échangeaient deus balles l'use, qui écorchait assez légèrement l'épaule d'Augustin, Pose ne retarder son voyage que de quelques heures; -l'outre, yui cootusionoait snf0samment le bras droit de Robert pour autoriser, eu sautoir, l'é' t uphale. harpe 1 .,us un de placer une harangue était trop belle pour que Morisset ua la saisst pas au passage. - Cher monsieur, dit,il, es prenant d'ailleurs, ceartolsement rongé du folli- cudaire,lorsque mes propres ntérêts snot e, je suis habituellement plus dons smoi seul, que tant in troupeau de maamns; j'ai le pardon facile. Tonte. fois, sans vous préciser pour qui ou par- quoi je vous ai provoqué, il vous sofas de savoir qua l'en ninsnlte pas impu. nément ceou que j'aime; ch1ei, l,sa dons Votre e.nncies,oe, et eo,e II'OUVeerz... Iirsldez çrdce mtssi à l'influe- d'une généreuse et honorable pets ouse qui n'u pus voulu votre mort; car j'ai mie telle sfierté de coup d'ueil que vols vie, se fût-elle réfugiée dans un seul de vos cheveux, je serais allé l'y prendre Si je la os oulu... La première question que s"adrussa Morisset fat celle-ci :. Parlerai-je ou se porterai-je pas mon bras ce écbar- peSi oui, il s expoeoft, de la part des tu' différents, à une foule de questions nix- quelles il ne serait pas toujours facile de répondre. Si non, il perdrait beaucoip de sa gloire, celle-ci a5snt badin d'enneiger, comme toutes las choses frelatées. Il se décida pour l'écharpe seulement l'étaacinre attentait le bras droit, ce qui, nn apparence, devait l'empêcher d'écri- ; il lai substitua, de son autorité pli. vée, le bras le moins utile ,c'est-à-dire le gauche. Cet échange comique et lotit donne tout de Suite Ig mesure de la 1 65 sou, a A7 on, mailles.) a {0 X011 Teono.i1 251a .1lmn es TmuccsE L'Administration Municipale juste. ment soucieuse de la sécurité, des eet- ployés de l'Octroi deus I'ezeecice de leurs fo..tiens, vient de décider de les er de revolvers. arCette décision est justifiée par les nombreuses et u,uleaRen agressions dont les employés ont été récemment l'objet et dans lengnelles plusieurs d'entre eux ont reçu dos blessures assez graves pour mettre leur vie eu danger. Elle est d'ailleurs conforme un droit que lui donne l'art. 60 de l'ordonnance du 9 décembre 1914 et l'art. 85 du eè- glemmd de l'octroi, umm. eu rintocsx. R E C Il U T E M E NT. Avis ...jeunes gens de la dosse de 1872, et àloure parents ou tuteurs. L'époque de la formation des tableaux de recmrsemeol ponr le recroleaient de l'armée étant arrivé, lo Maire de Tou- 1-elu a l'honneur de prévenir les jeunes gens do 1 1te de 1872, c- t à d 'e q és pendant l'et f£ 2 et ,lui oet leur donucnle legal doua tet.a une, que le Bureau militaire de la alanine sera ouvert, pour leur inscription, chaque jour, les dimanches et jours de fêle 1.x001,101, de 1f heures du malin à 4 heures du Soir, à partir de la date du présent avis jsqu'au 12 janvier pro drain. Aux termes de la loi, les ,jeunes gens, leurs parents ou linos tuteurs saut tenus de réclamer leu' tas ourelln. L'article GO de lu nouvelle lui militaire porte . Toutes l'raud es on Soi uer auras, par n te sodesqur elles enjeu nn boume a été omis les tableaux de recensement u sur les listes du tirage, seront dé- . fé_rées aux tribunaux ordinaires et s ,l'un emprisonnement d'un moie ois bu an. Los jeunes gens c.néamnés en verni des di.spositions,pli précédent, Soit con- aal.eurn, suit comme complices, sont, tore du premier rirege qui a lieu après l'expiration de leur peine, inscrits en Iéte de la liste et les prerniees numéros leur sont attribués de draie. Le Maire se plait a espérer que, loin de 'exposer par une désobéissance coupa- hle à ces punitions humiliantes, les jeu- nes gens de la classe de 1871 s'empees- rad de répondre à l'appol qui leur est fait. gravité dit bobo. En renlraul ou ville, Morisset avait l'allure martiale d'un viens seldat,il la- çait aux passants des regards farouches ; il B arrGmit devant les magasins et se renvoyait à loi n'élue, dans les glaces, à la fac.n de Juprler tonnant, les feun- mlets de sourcils les plus alym- pieas. Avant de quitter Epinul, il libella Un petit article qu'il jeta dans la boite du courri,r des Vosges. Cet article, ,à trois Bras, a taçait, a re ,, lieuse rInce auflis9nle, le duel il ma homme e de de lettres et d'un homme do toi. Quelques vagues uatious permettaient de l'attribuer, selo. les goùls du lecteur, soit à un dé. bat politique, soit ou dévouement d'un Castor qunlcooque Peur eun cher Pallux, cancre à l'esprit càeraleresgoe d'un oupraot discret, délendaul l'honneur d'un,. dame inconnue. Le lendemain, dans la matinée, reve- nant à Nruey et faisant faire à son co- Lnr uni détour qui le rapprochait de Villiers, il expédia à i'aul, par ua puy. un, b dans lequel il cumplélsit 0ou, les ronseig Lsut ultérieurs, promis, la veille, par M' Lenoir, Cet insultent, est bel et bleu parti pour Us plus revenlr, disaié l'avoué n terminant mais, indpendom- a ment de cet exil honteux, il méritait une correction et je la lui ai donnée, e or m'en veuillez pas, cher ami ; dans la situa0en, sous peine de coràpen. mettre tare personne sacrée, vous 0e pouviez. vous battre vous-môme.., Ne . me gOlez pas, par des reproches, la e bonheur de vous avoir rendu celé- gg; et croyez que, si j'ai le brassgauelee un peu endommagé, l'av- e tee, le cas échéant, ne demande qu'à recommencer. Sainte amitié !.... Si tu 'impliquais pas le droit de se faire o turf 1ttn pour l'autre, tu ne serais Jeudi, 28 Novembre 1872. Solos a ame uW4aeo. 44. N pe. I.. fASV Anuonce6, la ligne; Réclames, la ligne, Faits divers, la ligne, aY AOOSUI: O fia E0 e, 0 50 1 00 Toulonsa. - Typa8oapàtn Lb. Moaurna, perte rie saint-TCn e des classes antérieures sont Les omiSa également nvités à se présenter b la Mairie ponr faire régulariser leur posi- lion ; en plus long retxrd les placerait sons le coup des peines mentionnées ci- dessus. Seul considérés comme légalement do miciliés dans la commune et assujettie par -séqueet aux prescriptions de pré- sent avis: 4- Les jeunes gens môme émancipés, bs o dehors, expatriés, anbgseangtée , ou éafia liétat d'emprisonnement, st d'ailleurs leur panel mère ou tuteur ont leur domicile dans la commune, ou Si leu' pare expatrié y avait son domicile; 2- Les re C défaut mariés dont le père, ode pare, sont domi- cu la mère à d 'liés dans le commune, à moins qu'ils fie justifient de leur domicile réel dans une autre commune; 3s Les jeunes gens mariés et domidiéa dans Io ce e, alors même que bd- père on leur mère n'y seraient pas o d- miciliés; G- Les jeunes gens nés et résident la commune, qui n'auraient et leur le., pare, ai leur mère, ni toleur ; 51Les jeunes gens ueésidont dans la ommune qui ne se ut dans aveu. des cas précédents et qui ne justifieraient pas de leur inscription dans une astre commune. Les individus nés en France de parents étrangers, et les indundns nés à .- gel de parlais étrangers naturalisée français et mineurs au moment de la naturalisation de leur parents; coneou. cent, dans les oommuaes ail ils sont de- viciliés, au tirage qui suit la déclaration ('aile par eux en vertu de l'article 9 du Code civil, et de l'article 2 de la loi du 7 févsrieri18divi1d5. Leua déclarés français eu vertu de l'article de la lei du 7 février 1851, concourent également, dans la commune si, ils sont domiciliés, au ti- regequi sait l'année de leur majorité, s lie .but pas réclamé leur qualité d'é. Iranger conformément à ladite loi. Fait à Toulouse, au Capitole, le 20 novembre 1872. Le Maire : Hasm Boston. M. Mieulet de Ricaumout, colonel du 4' régiment de chasseurs ' eltev.1 est nommé commapdenr de la Legion d'Im.- seur. Officiel du 31 mai 1668; 34 ans de services, 8 rompagnes. Sont nommés chevaliers de la Légion d'honneur M. Contasse, capitaine à l'état major de la 120 division militaire: M. Milhaud, maréchal des logis de g tarmerie, dans la 12 légion. p,RMR. DL buis, lieutenant de gendarme- qu'en vain mot ! . La rentrée à Neuvy du triomphateur devait faire d'autant plus seusatinn qu'e. e s'y doutait de rien. Témoin de Pull eexpectative, Juitples Broehard lui-mè. m ne s'expliquaas la disparition de Dans la famille Rigaut, tout allait mal. Les malicieuses picoteries du grand agronome avaient fait leur ehemis. On colportait que l'ancien meunier vissit à faire de sa fille une comtesse de Bleu- champs - qu'il perdrait la tête - qu'il ommettait bévues sur bévues - qu fie dclairant la ville au gaz, il n'avait sans doute en vue que l'agrément des rats et des souris, les seuls promeneurs eue. omis duos les rues de Neuvy sous Bois, où, à neuf heures, tout le monde dormait ; qu'il eut mien. fait d'acqué- ir, pour son propre compte, les lumié- res qui lui manquaient qu'Il dilapidait, en pure perte, les revenus de la cité ; que, ea ordonnant la fermeture des ce- harets pendant les offices il entravait le commerce; quil devenait d'une or- g«,! ble, pportaqu'il hnniliait ses plus omis, témoin Broehard, etc., etc. L'histoire du prêt des quarante mille Planes courait toute la ville. 0e traitait Rigaut de vil us lier. Morisset avait il parié Y ou bien était-ce M, de Thon. venin Ursule pleurait de colère. -On va jusqu'à )aflrmer, disait-elle à son mari, que nous avons acheté qua- ante mille francs l'allisnee du comte Paul. - Comment, diable! a-ton pu savoir cela 1 demanda naïvement le maire. - C'est donc vrai ! s'écria Ursule, stu- péfaite. Oui. - Imbécile I L'épitaate était vive, mais aussi le rie, Sourigues et Laaaille, maréchaux des logis, dans la 13e légion. M. Baillon, sergent au 59e régiment de ligne. M. de Bernard de Seigneurees, capi. taine au 14e régQiment de dragons. M. de Bourgoteg, capitaine au il ré- giment de hussards. ' M. Rose, adjudant sous-officier au 9e régiment d'artillerie. M. Saint-Martin, adjudant sous.gffi- cier an 45e régiment d'artillerie. bIM. Gaulais, Capitaine, et Dseatez, ad- jgdaot sous-officier an 235 régiment d'ar- tillerie. si. Cabanié, médecin aide »soin, de 2c clayag6qq est attaché à l'hôpital militaire de Tduluse. M. Mestreau, adjudant eu fer à l'hàpi- tel militaire de Toute passe au. hôpitaux militaires de 1. division d'orant M. Bicher, député du Calvados; admi- 'strateur des biens de le famille d'Or- léans, vient d'être nommé administre. leur de la Compagnie des chemins de fer du Midi. CONSEIL MUNICIPAL Sianca exlraordinniee du 9 nocemlee 1372, suite et fin. M. Cousin donne lecture d'un rat,. Peut très développé r les difficultés nées à 1,muavion des fêtes de charitéqui eurent lieu à Tanlouse eu 1860. Ce rapport examine avec détail les contes. tations judiciaires dont les travaux clé. cotés par diverses personnes ont été la cause. Afin de terminer nue affaire très com- plexe qui cal eu litige depuis six années, M. le rapporteur, au nos d'une con- iesioe, propose au conseil d'ouvrir M. le Maie. les crédits nécessaires pour payer aux personnes ci-après dénommées qui ont l'ait des travaux ou des fourni- tures pour les fêtes de charité, les som- es miomte9 à Louis Pet rat, 1,328le. 49 à Couturier, 634 à Billes, 186 l à Pontnau, 167 f10 à Boasfous 108 33 à Barthélemy, 55 IL lluclos, 81 74 à Boxés, 5,731 20 yd; qui a dis- à [la oau pesé des bois de ce dernier fournisseur, 18,68,T 69 Total, 24,!181 fr. 20 coup était rode pour celte femme travail- leuse, économe, prudeule, et qui, depuis quelques mois, voyait s'envoler l'argent par toutes les fenôlres. - Entendons-nous, reprit Aristide j'ai prêté à M. de Beaucbemps quelques billets de mille francs pour payer sen dettes, mais quant à l'acheter, comme tu viens de le dire... - Peur payer ses dettes L et tu oses l'avouer / Mo. Dieu t col ; je ne vois pas quel grand mal il y a.... - Tu veux régir une ville, adminis- trer les deniers publies, et lu . as pas houle d'encourager dans ses folies. à l'i.- u de sa famille, us jeune étourdi à peine majeur, et que l'un n'a pas jugé encore assez raisonnable pose être mis possession de son bien 1 Ce n' st pas l'écharpe municipale:quiil vous fallait, monsieur, c'est un bourrelet et des lisiè. res... Voilà donc pourqut fier gela tflhorome honorait notrison (d'ana assiduité Si compromettante 1 - Compromettaule ICI pour qui 11 - Pour notre fille, monsieur Notre fille, madame, n'a rien à voir dans tout cela; M. de IJeauohamps vient tout simplement chez le premier magis- trat de la ville... - Il est joli, le premier magistrat de la ville 1 - Et je ne permets h personne d'v trouver à redire. D'ailleurs, poursuivit-il se caressant le menton, aujourd'hui que luit en airelle, alors que le mérite et les écus l'emportent sur la noblesse et tiennent le haut dn ppavé, je ne vois pas ce qu il y aurait de si surprenant à ce qui un Breuclsamps postulsla main d'usa Rigaut. Vscroa PERCEVAL. (La suite à demain). Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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TOULOUSE Un an, 40 I. 6 mois, 1 L é ., ol 94 4,UBARTEMFNTS -- 50 2 ld[TOPRANGER

Les truie eupplé txisk o preste ms

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TOULOt18B : Ana Bore- du Jo, rnnl, 0000 S:ùnt-Rnme, Ab,

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t PARIS f ber MM. Laffise Bull er et C pp .e de laBourse, 8; M Fontaine' rn de Tré ,.e, 22,Seuls forrespondants peur tes Aunoutea.

ToULousE, 28 Novembre.

BOURSE DE PARIS

du 27 novembre.Au Courrier.

Voleur, div. Cours du jour (:aura préc.

3 0/0 52 90 52 90

41/`30/0 711 50 75 755 Corp. 18715 ü/p emp. 1872 86 80 85 75

A Tenu..50/5 lev Cours 52 80 52 GO3 0/q der cours 52 87 52 855 Ont emp. 00510 v. n, nn n,50/0 emp. 71 d c .... ..5 0/0 P. 721 c rs 85 75 85 575 0/0 cru p. 71 0.' cours 85 77 85 7:i5 0/01Ln1. 67 85 67 85Fo,cier S41 2'S 840Mobilier 413 75 412 !i0Mob. lisp. 497 50 497 50

Ceuu nx Fan.Orléans 007 50 807 50Nord 967 !i0 961 7.,Lyon 822 50 820 n.

0Midi 285 ,. 1182 I1

Autrichiens 708 75 71)4 75Lombards .Peu lira 4,600 .. 4'.- ..

BOURSE DE TOULOUSE

do 27 novembre.An Couenne.

50/0 52 805 0/0 Emprunt (1872) 85 7550/11 lùmprunt tout payé 83 70

0,,Inailone Di...sus.Midi 270 75Ottomanes (1863) 370 368 76Sarugosse 200

TELEGRAP6IIIE PRIVÉE

l'iris, 27 novembre, 7 h. du soir.

Plusieurs journaux l'ont pressentir unarOs8asrure'

On osa re que M. In duc d'AudilTrel-l'nsq.ier, a . de ses collègues,nbaigé 'adciro emuot M. Philippoteauxd inl'utiner M. Tillera que la Commissionlie n'opposerait pas aux projets de tête,.mes constitutionnelles.

La Commission ne les e pas proposéesdans le rapport, mais elle n'y est pashostile.

M. 'lhiers aurait répondu qu'il avait

FEUILLETON du JOURNAL de TOULOUSE

du 28 Novembre 1872.

XXIX (sotte). -1 es

Sons allons bien étonner le lecteurn loi apprenant que Morisset avait

l'intnti00 d.nse bans loi même avecAngusfin Verdier.

p: n quoi !fie h9blrnr, ce vantard, cepur, leudenr de ,moulins àveny a: héros

r nphc de tsnt duvonores, es deet dn va

paner de sa pe yomrs Y 6] ne I7 avale ouiet d a loulos sortes do bonnes raisons pourcela.

D'abord, il se posa en v r de lafeuille de Ilna uahamps; il o000serve ulits: u Ji i, àsa nouer Paulsu fl,or,, pool71e mais ai Ialfaires'ELruite-ri comment ne sbbruirrIl1elle pas, du air, Col qu'il s'ou nul'o v-il couvera turc large compensation,et peutCO'toirnx encore, dans la or.snnnmssance de 9190 Iré:1e.

!lua,,il, aven 9e::x de la fa,lrille lii-gaucy il se lira battu puas son clur brio-

Aux yeux de l'adeeinielratiun, ilse s ra battu ponr un maire,r pour

a honuma de Lien, pou -pré.e

r udu pouvoir, Ildobement atta-que

par are pluma vénale, Si, dans cesleloi 'e lui le ruban qu'il postule estfe.iut e cs gon tic, le sang, sarpaomnliou

r,

non

sera que plus sûre.

W JeFMt À Rue Saittt-Rétine, 44.

DBPABTS for DRS ARBIVs.4 4 OE5 '2104195 DES O.REMINS DB FER DU MIDI ET D'ORLBANS (Sireieo d'946-

t... la anaarxaY.

soUO Man. &'.p) 0 i I â0

rea recoesaitre dejl'opposition à ce sujet;mais chas les c ditie,e semelles, ilconsidère l'accord nomme possible.

Le centre gauche a décidé de confier àune commission composée probablementde MM. Picard, C. Perler et Labo,elaye,le soin de formuler pour demain larédaction d'.. ordre do jour, après en-lente préalable avec le gouvernement.

La gauche a pris la même décision.L'eatrlme gauche a pris une décision

tenue secrète.

Les derniers avis de Versailles clos-latent que les pourparlers sont liés-ac-

lifs, mais les opieious sont coetrrdicmivos sur l'issue de la crise.

l.e Messngrr de Paris publie un télé-gramme de Versailles adonnant lebruit d'une entente possible sur la bas,'d,'

lioeerplalion: Premiersmort de la res-

ponsabilité ministérielle, ensuite de la is.cussion des questions

ruustitonncités

mi .

aura. ud,PCaa.

Versailles, 27 novembre, 8 h. soir.L'Assemblée a adopté nn projet de loi

muant lis pensions aux blessés mi-Ilmires.

On commence ensuite la discussiong al d t d t de 107.

Al v di d rl Randot, op-petant talion t,oo 'ar In. déh,.it de 132

millions, et une réplique de M. Couin.rapporteur, la diaeuesioo générale estclose.

La discussion des articles a été eu.

voyéo à vendredi.

11 o'y a eu aucun iuoidium.

selon oàeaenn.

Paris, 27 novrmbuee S I,. matin.Rome, 27 novembre.Ale Chambre, le ministère des affaiers

étrangères dit que le ganvarnnmenI etend persister dans la pohlrque de mo-dération; il veut Sine tout prétexte auparti clérical de se dire le ceprésenlanldes iutéréls religieux, en le l'uresol l'a-

nadamer ta

gurreeaile

o lùrurammr

que l r .a pe pourrétabl u lee diiqtemporel.

pLeMinisit rre

dit ae I s relations inter.atiouoles sont salisl'ais'mdes et qu'os a

de bous rapports a ne l'Allemagne.I, il ''at avec la Ih'ance relatif à la

Commission du mètre, a été vidé aprèsexL, q,, ions amirales.

n u du Laurinm .'a fait a.-boneu. pas,

mainmalgré 1a modération des peu.

cédés envers la Créce.Le Ministre ajoute que les intéréts de

l'Italie sont les intéréts méme de l'Eu-rope, à savoir :I', paix, le progrès Iibé.

val, le -'relation sociale.

éelle,lafn qu'on n conteste plus sesbouts faits de décembre et de juin... Etcomment, à l'avouai, mettre en doutele courage d'un Immrae qui, sans motifpersonnel, pour le compl.e d'autrui, valui ultime au doua., d'un adversaire dongrec.., d'orle suite de chacal , comme,pour les besoins de sa lause Morissetlent de l'i nsinnm adroitomnui à Jules,

qui ue r,,a,iyuora pas de le répéter tVerdier il est mn réalité qu'une poule

moüilée, mais Gui importe 4 L'essaetiele.et qu'il passe pour nn Roland t'oliesx.

Itesl.e la chambre des -cités, qui, dela port d'un l'li, ire ministériel, trouer'ra peut être le procédé un peu léger...Mais, eoos le bldme officiel percera l'é-loge intime, et, summ. foute, ose deuxnoblesses -le robe et l'épée--sont faimspour é entendre.

'fin r'gnillisé pur le départ du solaire,vi à l'avanie du double effet qu'il nl.

lais;produire sou 3llle da lieaor.hnm ps ratsur sas aloi lliganl, escorté de témoinschuin, à lu bâte, bien décidé à se mon-tr:r réeReunent téméraire ose fois dansa vie, Morisset était tombé comme nue

bombe 'l,' r l0 joi .vils, mommnk,e dernier bontonnaîi éJà ao. Date.

tel de voyac.Les détail,, de l'entreveo importent

peu. Il snfdea de savoir que Mmisseycéohainé oo,mnu in liou, s'était réellement nroulré superbe d'aplomb et dejactanre. Ni dons l'Iliade, ni dans 1Yfnei-de, Achille véngesni Patriote n'a jamaletrouvé de plus bers accents. Et commeVerdier ne se hâlait pas d'accepter ainsi,de prime abord, un adversaire qui luitombait dos Dues, Robert avait pria leplus court chemin ou Iii jetant, com-me gage de bataille, son gant au et-

Enun, 1i su bal, mie fuis peur toutes, I L'affaire s'était alors arrangée c°esbà-,tie d'é,ayer ses promesses imoginairta dira dérangée mut de suite. Verdieron

quelques minutes d'asti vaillance I ayant choisi le pistolet, ces messieurs

DLpaeul Arsmdm;

{0 101 Soir, 1 ta

a L0 aoi'r, e0

6 19 Ikar, te

al0ea fie 0001,

Depeau, 4,rieW

9 05 Maunl 9 15

a 20 Soie, a 5a6 g0 Bae, 9 78

sens -musas®

.--.x6 le Mat. Villule. 9 Es

e °{

Bat.Mcatrj 9 ko I10 4b Air, van, 1 95`a 87 star, S 50 £0 60 uni,. 9 te 1

V«,Ihé de Paria du 27 ecuemlre.

Spiritueux, 79 00

Marseille, 25 novembre.Marché calme.Arrivages 4,800 hectolitres.Veules 14,320 hoclolilreu.Sele,kia 127/122 à 1e. 58. 25.Ainrianopoli 130125 à fr.43.Boire dur 15011 20 à fr. 39. 50.Tuzelles Afrique 151/127 à fr. 45.

01M. les Abonnés dont l'abonne-ment empire au 30 courant , sonpries de le renouveler en temps utiles'ils ne,, veuicut pas éprouver d'inter-ruplioss nous Convoi du Journal.

COOONWUE LOCALE

L. Commission des services Idminis-Uutifs a eelled. et edodl,té le rapportde M. de Bonald qui conclut à la dis!rac-

iion des eau. et forêts qui, an lieu derester olischés an ministère 1, tissu-

seraient reume au un lave del'aglieniture.

Le Ministre de la marine vient d'a-dopler une nonvelie mesure dans le butdo réprimer plus efficacement l'ivresseduos le personnel de l'armr navale. U adécidé

que cl,aquo aimanclu, à l'issuede !'inspccl.imy Irs ponltiuns Infligéesau.

ofliuiers, mm'l,te,s, 'Finit iers-mai-Wes et matelots pour cause d'ivresseseraient signalées à l'ordre du jour 1010chaque compagnie, Jour dans les diviil,

n des équipages Uu la foula qu'àbord des bâtiments armée.

Le Conseil de l'réferbar , duos son au-dience du 26 novembre, a rend. son ar-rêté dans une affaire impmaanm enga-gée par MM. Esearaguel frères, entrepre-neurs dn pont suspend.Michel,contra la ville de 7'uulousa. Au nombredes réclamations fou mégis par les entre-preneurs figurait la demande d'une soin.

,e de cinq cent trentehu,l mil,, bullesà titre d'iudeunuité, foance sur ce que laville n'avait pas, au colle, de la conces-

exéeslileprojet de prolongementduo

coursSatsl.Miubel jusquau pont.

Cette demande a été re-!!d és,

échangeaient deus balles l'use, quiécorchait assez légèrement l'épauled'Augustin, Pose ne retarder son voyageque de quelques heures; -l'outre, yuicootusionoait snf0samment le bras droitde Robert pour autoriser, eu sautoir, l'é'

t uphale.harpe1

.,us

un de placer une harangueétait trop belle pour que Morisset ua lasaisst pas au passage.

- Cher monsieur, dit,il, es prenantd'ailleurs, ceartolsement rongé du folli-cudaire,lorsque mes propres ntérêts snot

e, je suis habituellement plusdons smoi seul, que tant in troupeaude maamns; j'ai le pardon facile. Tonte.fois, sans vous préciser pour qui ou par-quoi je vous ai provoqué, il vous sofasde savoir qua l'en ninsnlte pas impu.nément ceou que j'aime; ch1ei, l,sa donsVotre e.nncies,oe, et eo,e II'OUVeerz...

Iirsldez çrdce mtssi à l'influe- d'unegénéreuse et honorable pets ouse qui n'upus voulu votre mort; car j'ai mie tellesfierté de coup d'ueil que vols vie, sefût-elle réfugiée dans un seul de voscheveux, je serais allé l'y prendre Si jela os oulu...

La première question que s"adrussaMorisset fat celle-ci :. Parlerai-je ouse porterai-je pas mon bras ce écbar-

peSi oui, il s expoeoft, de la part des tu'différents, à une foule de questions nix-quelles il ne serait pas toujours facile derépondre.

Si non, il perdrait beaucoip de sagloire, celle-ci a5snt badin d'enneiger,

comme toutes las choses frelatées.

Il se décida pour l'écharpe seulementl'étaacinre attentait le bras droit, ce qui,nn apparence, devait l'empêcher d'écri-

; il lai substitua, de son autorité pli.vée, le bras le moins utile ,c'est-à-direle gauche. Cet échange comique etlotit donne tout de Suite Ig mesure de la

1 65 sou, a A7

on, mailles.) a {0 X011 Teono.i1 251a

.1lmn es TmuccsE

L'Administration Municipale juste.ment soucieuse de la sécurité, des eet-

ployés de l'Octroi deus I'ezeecice deleurs fo..tiens, vient de décider de les

er de revolvers.arCettedécision est justifiée par les

nombreuses et u,uleaRen agressions dontles employés ont été récemment l'objetet dans lengnelles plusieurs d'entre euxont reçu dos blessures assez graves pourmettre leur vie eu danger.

Elle est d'ailleurs conforme un droitque lui donne l'art. 60 de l'ordonnancedu 9 décembre 1914 et l'art. 85 du eè-glemmd de l'octroi,

umm. eu rintocsx.

R E C Il U T E M E NT.

Avis ...jeunes gens de la dosse de 1872,et àloure parents ou tuteurs.

L'époque de la formation des tableauxde recmrsemeol ponr le recroleaient del'armée étant arrivé, lo Maire de Tou-1-elu a l'honneur de prévenir les jeunesgens do 1 1te de 1872, c- t à d 'e

q és pendant l'et f£ 2et ,lui oet leur donucnle legal doua tet.a

une, que le Bureau militaire de laalanine sera ouvert, pour leur inscription,chaque jour, les dimanches et jours defêle 1.x001,101, de 1f heures du malin à4 heures du Soir, à partir de la datedu présent avis jsqu'au 12 janvier prodrain.

Aux termes de la loi, les ,jeunes gens,leurs parents ou linos tuteurs saut tenusde réclamer leu' tas ourelln.

L'article GO de lu nouvelle lui militaireporte

. Toutes l'raud es on

Soiuer auras, par

n te sodesqur elles enjeu nn boume a étéomis les tableaux de recensementu sur les listes du tirage, seront dé-

. fé_rées aux tribunaux ordinaires ets ,l'un emprisonnement d'un

moie

oisbu an.Los jeunes gens c.néamnés en verni

des di.spositions,pli précédent, Soit con-aal.eurn, suit comme complices, sont,

tore du premier rirege qui a lieu aprèsl'expiration de leur peine, inscrits en

Iéte de la liste et les prerniees numéros

leur sont attribués de draie.Le Maire se plait a espérer que, loin de

'exposer par une désobéissance coupa-hle à ces punitions humiliantes, les jeu-nes gens de la classe de 1871 s'empees-

rad de répondre à l'appol qui leur estfait.

gravité dit bobo.En renlraul ou ville, Morisset avait

l'allure martiale d'un viens seldat,il la-çait aux passants des regards farouches ;

il B arrGmit devant les magasins et serenvoyait à loi n'élue, dans les glaces, à

la fac.n de Juprler tonnant, les feun-mlets de sourcils les plus alym-

pieas.Avant de quitter Epinul, il libella Un

petit article qu'il jeta dans la boite ducourri,r des Vosges. Cet article, ,à troisBras, a taçait, a re ,,lieuse rInceauflis9nle, le duel il ma homme e

dede lettres

et d'un homme do toi. Quelques vaguesuatious permettaient de l'attribuer,

selo. les goùls du lecteur, soit à un dé.bat politique, soit ou dévouement d'unCastor qunlcooque Peur eun cher Pallux,

cancre à l'esprit càeraleresgoe d'unoupraot discret, délendaul l'honneur

d'un,. dame inconnue.Le lendemain, dans la matinée, reve-

nant à Nruey et faisant faire à son co-Lnr uni détour qui le rapprochait de

Villiers, il expédia à i'aul, par ua puy.un, b dans lequel il cumplélsit0ou,

les ronseig Lsut ultérieurs, promis, laveille, par

M'

Lenoir,Cet insultent, est bel et bleu parti

pour Us plus revenlr, disaié l'avouén terminant mais, indpendom-

a ment de cet exilhonteux,

il méritaitune correction et je la lui ai donnée,

e or m'en veuillez pas, cher ami ; dansla situa0en, sous peine de coràpen.mettre tare personne sacrée, vous 0epouviez. vous battre vous-môme.., Ne

. me gOlez pas, par des reproches, lae bonheur de vous avoir rendu celé-

gg; et croyez que, si j'ai lebrassgauelee un peu endommagé, l'av-

e tee, le cas échéant, ne demande qu'àrecommencer. Sainte amitié !.... Si tu

'impliquais pas le droit de se faireo turf 1ttn pour l'autre, tu ne serais

Jeudi, 28 Novembre 1872.

Solos a ame uW4aeo. 44. N pe. I..

fASV

Anuonce6, la ligne;Réclames, la ligne,Faits divers, la ligne,

aY AOOSUI:

O fia E0 e,0 501 00

Toulonsa. - Typa8oapàtn Lb. Moaurna, perte rie saint-TCn e

des classes antérieures sontLes omiSaégalement nvités à se présenter b laMairie ponr faire régulariser leur posi-lion ; en plus long retxrd les placeraitsons le coup des peines mentionnées ci-dessus.

Seul considérés comme légalement domiciliés dans la commune et assujettiepar -séqueet aux prescriptions de pré-sent avis:

4- Les jeunes gens môme émancipés,bs o dehors, expatriés,anbgseangtée ,

ouéafia liétat

d'emprisonnement, std'ailleurs leur panel mère ou tuteur ontleur domicile dans la commune, ou Sileu' pare expatrié y avait son domicile;

2- Les re C

défautmariés dont le père,ode pare, sont domi-cu la mère à d

'liés dans le commune, à moins qu'ilsfie justifient de leur domicile réel dansune autre commune;

3s Les jeunes gens mariés et domidiéadans Io ce e, alors même que bd-père on leur mère n'y seraient pas

od-

miciliés;G- Les jeunes gens nés et résident

la commune, qui n'auraient etleurle.,

pare, ai leur mère, ni toleur ;51Les jeunes gens ueésidont dans la

ommune qui nese

ut dans aveu.des cas précédents et qui ne justifieraientpas de leur inscription dans une astrecommune.

Les individus nés en France de parentsétrangers, et les indundns nés à .-gel de parlais étrangers naturaliséefrançais et mineurs au moment de lanaturalisation de leur parents; coneou.cent, dans les oommuaes ail ils sont de-viciliés, au tirage qui suit la déclaration

('aile par eux en vertu de l'article 9 duCode civil, et de l'article 2 de la loi du7 févsrieri18divi1d5.

Leua déclarés français euvertu de l'article de la lei du 7 février1851, concourent également, dans lacommune si, ils sont domiciliés, au ti-regequi sait l'année de leur majorité,s lie .but pas réclamé leur qualité d'é.Iranger conformément à ladite loi.

Fait à Toulouse, au Capitole, le 20novembre 1872.

Le Maire : Hasm Boston.

M. Mieulet de Ricaumout, colonel du4' régiment de chasseurs ' eltev.1 estnommé commapdenr de la Legion d'Im.-seur. Officiel du 31 mai 1668; 34 ansde services, 8 rompagnes.Sont nommés chevaliers de la Légion

d'honneurM. Contasse, capitaine à l'état major

de la 120 division militaire:M. Milhaud, maréchal des logis de

g tarmerie, dans la 12 légion.p,RMR. DL buis, lieutenant de gendarme-

qu'en vain mot ! .La rentrée à Neuvy du triomphateur

devait faire d'autant plus seusatinn qu'e.e s'y doutait de rien. Témoin de Pulleexpectative, Juitples Broehard lui-mè.

m ne s'expliquaas la disparition de

Dans la famille Rigaut, tout allaitmal. Les malicieuses picoteries du grandagronome avaient fait leur ehemis. Oncolportait que l'ancien meunier vissit àfaire de sa fille une comtesse de Bleu-champs - qu'il perdrait la tête - qu'ilommettait bévues sur bévues - qu fie

dclairant la ville au gaz, il n'avait sansdoute en vue que l'agrément des rats etdes souris, les seuls promeneurs eue.

omisduos les rues de Neuvy sousBois, où, à neuf heures, tout le mondedormait ; qu'il eut mien. fait d'acqué-ir, pour son propre compte, les lumié-

res qui lui manquaient qu'Il dilapidait,en pure perte, les revenus de la cité ;que, ea ordonnant la fermeture des ce-harets pendant les offices il entravait lecommerce; quil devenait d'une or-g«,! ble,pportaqu'il hnniliait sesplus omis, témoin Broehard, etc.,etc.

L'histoire du prêt des quarante millePlanes courait toute la ville. 0e traitaitRigaut de vil us lier. Morisset avaitil parié Y ou bien était-ce M, de Thon.venin

Ursule pleurait de colère.-On va jusqu'à )aflrmer, disait-elle

à son mari, que nous avons acheté qua-ante mille francs l'allisnee du comte

Paul.- Comment, diable! a-ton pu savoir

cela 1 demanda naïvement le maire.- C'est donc vrai ! s'écria Ursule, stu-

péfaite.Oui.

- Imbécile I

L'épitaate était vive, mais aussi le

rie, Sourigues et Laaaille, maréchauxdes logis, dans la 13e légion.

M. Baillon, sergent au 59e régimentde ligne.

M. de Bernard de Seigneurees, capi.taine au 14e régQiment de dragons.

M. de Bourgoteg, capitaine au il ré-giment de hussards. '

M. Rose, adjudant sous-officier au 9e

régiment d'artillerie.M. Saint-Martin, adjudant sous.gffi-

cier an 45e régiment d'artillerie.bIM. Gaulais, Capitaine, et Dseatez, ad-

jgdaot sous-officier an 235 régiment d'ar-tillerie.

si. Cabanié, médecin aide »soin, de 2cclayag6qq est attaché à l'hôpital militairede Tduluse.

M. Mestreau, adjudant eu fer à l'hàpi-tel militaire de Toute passe au.hôpitaux militaires de 1. division d'orant

M. Bicher, député du Calvados; admi-'strateur des biens de le famille d'Or-

léans, vient d'être nommé administre.leur de la Compagnie des chemins defer du Midi.

CONSEIL MUNICIPAL

Sianca exlraordinniee du 9 nocemlee1372,

suite et fin.

M. Cousin donne lecture d'un rat,.

Peut très développé r les difficultés

nées à 1,muavion des fêtes de charitéquieurent lieu à Tanlouse eu 1860. Cerapport examine avec détail les contes.

tations judiciaires dont les travaux clé.

cotés par diverses personnes ont été lacause.

Afin de terminer nue affaire très com-plexe qui cal eu litige depuis six années,M. le rapporteur, au nos d'une con-

iesioe, propose au conseil d'ouvrirM. le Maie. les crédits nécessaires pourpayer aux personnes ci-après dénomméesqui ont l'ait des travaux ou des fourni-tures pour les fêtes de charité, les som-

es miomte9

à Louis Pet rat, 1,328le. 49à Couturier, 634à Billes, 186 làPontnau, 167 f10

à Boasfous 108 33

à Barthélemy, 55IL lluclos, 81 74à Boxés,

5,73120

yd; qui a dis-à [la oaupesé des bois de cedernier fournisseur, 18,68,T 69

Total, 24,!181 fr. 20

coup était rode pour celte femme travail-leuse, économe, prudeule, et qui, depuisquelques mois, voyait s'envoler l'argentpar toutes les fenôlres.

- Entendons-nous, reprit Aristidej'ai prêté à M. de Beaucbemps quelquesbillets de mille francs pour payer sendettes, mais quant à l'acheter, commetu viens de le dire...

- Peur payer ses dettes L et tu osesl'avouer /

Mo. Dieu t col ; je ne vois pasquel grand mal il y a....

- Tu veux régir une ville, adminis-trer les deniers publies, et lu . as pashoule d'encourager dans ses folies. à l'i.-u de sa famille, us jeune étourdi à

peine majeur, et que l'un n'a pas jugéencore assez raisonnable pose être mis

possession de son bien 1 Ce n' st pasl'écharpe municipale:quiil vous fallait,monsieur, c'est un bourrelet et des lisiè.res... Voilà donc pourqut fier gelatflhorome honorait notrison (d'anaassiduité Si compromettante 1

- Compromettaule ICI pour qui 11- Pour notre fille, monsieur

Notre fille, madame, n'a rien à voirdans tout cela; M. de IJeauohamps vienttout simplement chez le premier magis-trat de la ville...

- Il est joli, le premier magistrat dela ville 1

- Et je ne permets h personne d'vtrouver à redire. D'ailleurs, poursuivit-il

se caressant le menton, aujourd'huique luit en airelle, alors que le mériteet les écus l'emportent sur la noblesseet tiennent le haut dn ppavé, je ne voispas ce qu il y aurait de si surprenant àce qui un Breuclsamps postulsla maind'usa Rigaut.

Vscroa PERCEVAL.

(La suite à demain).

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: ode pare, sont domi-images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101_JOUTOU_1872_11_28.pdf · rédaction d'.. ordre do jour, après en-lente préalable avec le gouvernement. La

n at d t i I b uL M. LauJoliet. J'ai Don et,. pl b M. Barbe I JI à M le N i l ta 1 d. li soirée. il st entre beau non, d 'unc m oes'ila NI L bh aut, pou 1 p . a l n à faire. Lor gneht I r l'a plus I 1 t l it J . t d o t i . I I I .1 belli,lié, I dIs l J.

col,venu que 1 dé, M It 1 1 :I la ta der A I J b .t qt insisté, 'cou I' V, ï p t r ' r t ,1 .! ( f it h l é Jarc Ilet que la Ville pue p l it t d dit bise q u e l , le Procès t était t . l u t d l 1 I 1 année; 1 lit , le .as, nometr , ma, J

et qiq ll, is le' quel; 2. fa bl.dolté,m J I t m 'd ait jet Il loin ô l ai, m t de 17 1 Idru ts de local on et d, .

J I 1 é1 t i p I t q n re: d I. l t plu f- I l I t a 1 Iami, éé l, r . _l.lle est ter p djeter en t il I v p I 1 n. v t . Il t t I lf . , I. I ie I tri.'. d la Il I

tees par 4IN1 L I rt t t I e a.l I II d ,atéd p.. q 11 M J .1y Il, j- t à 9 It et II, f f t I ll loi i 1.1 le l 1 jour 11 t I li..C,nlia 11 prie M I al 1 régie, te l qne je d m d la Parole; ru à loue q 1 do 'spr J.t l J y 1. n l J ris I nt la p bl l t i: l' p r. sse.

aveu NI. L_Dis

I g e t d a' le I II - J i l y( t l à 7 b r t 1 t f dé liste génèrnle de 187 pour le depar- de cil qili la Si t

ayant set i p att r trepiuuo si J et r d f lices I I il t gent d t .ILS I fument de lAl e e;t fixé à 501. d d o lé 1 est cmtasnIl

jc`s ,,, p la V'I 1 fur g é I, lu 'L. L l nu At Mmc , j s der q I bl e I t t

N. I nl Il p I p 1 I.tf mi-L II,un I Li 1 t p e

ont c il t 0 n A. la lia ci cuit a o tés v i e , de l'o sers t, . ?s' al

I

1 M 1 t 1 t q t L l a d be le noué. é II M Gh ppsi i

de 24,'181 francs 30 c. a prélever sur Lanjoulet. 1 o i ..l I t m t j r die le jeudi dernier au a uhe argum t Vers snul.z flics

de

del t d t é hl t bé

les fonds disponibles de l'exercice cou-

rant.

Le Conseil prend également, nitres lerasport de M. Cousin, la délibération

suivante sur J'selle intentée contre la

ville par M. Artigaud

Dans la forme :Attend'qua le sieur Artigaud n'est

nullement fondé à appeler la Villa enintervention devant la Cour, lorsquecelle-ai o' pas été appelés devant le'l'ribnnul de commerce en 1r instable,qu'elle ne pouvait

d'ailleurs

P. y êtreappelés, car elle D'a pas fait acte decommerce, qui enli le litige, mal à plu-Pas Porté par M. »Ligand devant laCour est

..amisau 'l'ribunal civil de

Toulouse qui a ordo n né une expertisecollée à M. Montreuil, et D'a nullementépuisé sa juridiction. qu'ainsi les pré-tentions soumises par Artigaud à Il Ce.,,doivent 'Ira exécutées par des excep-tiens de fia de non recevoir, d'incompé.demie et de litispendance;

A. fusd,oAttendueu utre, que la ville n'est

nullement liés nu profit d'Arligand ce"-tisonnent aux travaux primitifs des

111*an.;

qu'il s C. et ne liant avoir qu'un dé'biteur, M. Il avec lequel il a soustraité.

Que l'ILligatian de la villa à l'égardd'Arcigaud a'a t'ait qu'aux travaux con-fortatil's et supplémuilaircs; que, su r cePain n l, il est certain, en présure, 'la,apport de M.Montreuil, expeu judiciai-rement commis et eu étabitseant la Q['periien nécessaire entre les telle.primitifs sous traités par Artigaud de M.

supplémenlairnaCarmin et les travauxet confuelalifs faits par lui Plinthe comptede la ville, qu'il reviendrait tout au plus àArtigaud 1. som me de 5,852 fr.l5en es-pilal. Or, Il a louché, en exécution de ladélibéra'ioo prise par le Couvrit muni-cipal, le 14 juillet e870, O,OLO fr. ee quidémontre combien sent mai fondées lesprétentions lormées par Artigaud ;

Pure mous, le Conseil nicipalanbarbe, la ville de 'l'oulouse à défen

se

dre

coutre less intérêts devant la Cour,demandes lormées eu que formera con-tre elle Artigaud, et qui faut l'objet deson mémoire du 9 août 1872 et à preru-dec pour taire rejeter ces demandes,telles conclusions qu'elle arisera, tantdans la forme qu'au fond.

M. te Maire fait l'exposé auivaetL'adjudication du droit de $Lotionne

.lot de nnul, nouvelles voitures de placeeu lieu, le 25 septembre dernier, et

produit nae smnme totale de 20,,400 fr.,ait par voiture il.. moyenne de 2,933

te. 33 c.L'administra Lion usant de la faculté

qui lui, tait réservée par le cahier des

uliso d, a 'en devoir ajourner l'adjodiecation Uns neufantres, dans la crainte

que, pour ces derniers', les petx quiseraient oerts,sneufnssur ontintérieurs aux

premiers oys n-

ndéjàobtenuep

o puas tee deuils de ,a-Jionnement de chaque voiture, il a 1.unécessaire d'élever la mise à prix de2,0(10 l'e. 12,800 1'r.

I,u co.séquence, j'ai l'bonneur devous propose' d'apporter reste' modifica-tion aux ceadit!ons du calmer dé' char-ges, et de vouloir bien délibérer, le pluslot

possibleafin, sur celle pLoposilire'

de ne point retarder plus longtemps l'ad-voilures.judication des neuf aailes

Sur cet exposé, t après 11ven, leConseil munpal autorise N. Il Maire àélever à 2,800 fe. ta mise à prix du deuilde de ehaD..e des est.biens

voilures à établir, et laisse à l'ad-ministrati.n le soin d'apprécier l'oppor.tombé

du moment pour l'adjudicatios dece droit de atationaement.

lia séance est levée.

Sèance du 18 ptevembre. - (Session dedraie)-

Présents M. L'belot, maire, Prési-

dent: .MIS. Mulô; Jlességnier, Tourné,Raqué, Conslans, Bar!se, barriras, Rey,Valette, Cratelaup, Carelie, Bilent, lice,jet

Y, Laujoulgl, lune, C.i'(.., Garipay,Maurel, Calmetles, Cros, ?loneié, lie-eheforL Cousin, Lacaze, Calvet, lustre

secrétaire.

Excusés a - MM. Esquille Dtrmenu,llumberl.

M. le Secrétaire a la parole Peur lalecture du procès verbal.

M. le maire. - Quelgti un a-t-il desebaenatioas à faire sur le procès ver-

bal.M. Maunel a la parole.

Messieurs nJe regrette de n'avale pas été ici à ia

derniére séance, qu and M. 7arbe a parle,.Des motifs personnels, m'avaient obligéà sortie. Je lui aurais répondu que c'estexceptionnollereeet que les anales Sit 2'd tgarent dans les Sélie' des prix

du projet de Portet. En général les ca-hiers des charges de la ville ne contien-ne t pas ces prix éreutuels-

M. Barbe. - D'après les renseiga!!-msnls que j'ai, je crois pouvoir assurerque les oahiera des chargeset séries de

suo des

autresprojets, saut conformes,pr

e point, à celui de Perlot.M. le Maire. - J. crois que M. Barbe

a rason.M. Maurel. - Du reste, c'est là nue

M. le Maire. Quelqu'un me demande-L.il la parole sur le procès .seeb.1 ?M. - Je Ia demande.J

M. le mai'. - M.La

CauJ'oulet a la pu-

loin.

M. le Maire. - Personne ne demandeplus la parole sur le protes verbal?

M. Lacune.-lu la demande Je re ret-gte ne n'avale pas été ici à 1. dernièreséance, yole protester contre une affrr-mslion inexne' qne j'ai lue dans le direde M. Maurel. On semble d'une l'un ire'

l'interd'accord avec M. le Maire pourpelles snr le percé et de Portet, et quej'aurais ainsi jou une espéra de comé-die pour lui fournir prétexte de lien le

rapport de M. l'Ingénieur de la Ville etla lélire des erttepestem s. J'affirme surl'honneur que j'ignorais absolumentl'existence de ce rapport et de celle lit.tee, e[, si j'ai

interpellél'Admiuimra-

tétai[ pour élre rassuré sur l'allé.galion de M. tannent, affirmant que lestravaux reùteraient un million, et jedonne le démenti le plus formel à qui.,nuque userait dire le centrales.

NI. Maurel. -Je maintiens mon ai'fir-maton.M. le..onre quelques paroles

(art vivesM. le Ma re- M. I.sc.re, je mon,

prie. L'api nies de M. Maurel a l'ia-is uliov d'étee blessante pour moi plu-tôt que pour

VOUS.

C'est demi à moi der

Il est

rtrès

vrai que M. l:acaze, com-me tort le monde eu dehors de l'admlnislration, ignorait la lettre des uure-preneurs. Je n'es avais peint parlé parceque je voulais eu damier rue onceu Conseil seulement. Vous -ms

fourni l'occasion de le faire, msix si,cas 'vies pas interpellé, je t'au.

rs lue tout de émus, car je l'avaisportée exprès.

Depuis 2 mois que nous étions sépa-rée, il y avait eu des pnblicalions; despolémiques dama lesjoureanx,drs,mé-moires ; je ne pet,. ni as veux répon-dre à ces polémiques ; je n'en ai i letemps ni le goût. Je n'a q I

amère de surI lrq I q .

lieux qui déi It t c t depliquer dans le sein du taraud. Cestce que j'ai toujours fait et 'est Seule-ment cela que je ferai quand cela meparaîtra utile. Voilà pourquoi, à la fere-mlère séance do Conseil, après las va'

s, j'osais résolu de le enlredeuir

ares, -.a des objections qui avaient été

faites.

P'...., domandet-11 la parole en-core ?

Puisque pereebse no la demande,e temut-méme une .Uservalion à faire sur le... ès verbal.

àLa partie du procès verbalrelativela rancune Magnan gentilles des re-

errimnents à 111. Magnan, le Conaeul aenté quelque chose de plus ; j'ai eul'honneur de lai rappeler quelle perte

sidérable usaient faits le Muséed'histoire naturelle, la ville, la ne

en perdant M. Magnan, ce jeune savantquia laissé des (nasaux si eemarquaUleset dont M. Noulet qui en prépara lapublication a été si sivement flippé '. etle Conseil, s'assecianL à l'unanimité ail.sentiments que j' vais l'honneur de luiexprimer, a charge l'administration d'a.drever à M. Magnan, avec ses remercie-menls, l'expression de ses regrets et dela part qu'il prenait à sa douleur.

M. Joly. - J. regrette de .'avoir basété ici à la dernière séance. pour m'asso-cier du fond du 'ses, sut sentimentsqvi viennent d'être exprimés.

J'ai déjà eu l'occasion de signaler artConseil quelle était la valeur scientifi-que de M. Magnan, et personne n'a plus

veme.t que moi regretté sa mort pré.maturée.

M. le maire' s Messieurs; à l'ouver-t re de la 4v sessile de droit, il calnécessaire que v.as procédiez à la nmination de secrétaire.

M. l'astre n'ayant été nommé qu'en-fis,

J.peut

litreréé lu.

J'ai l'honneur de vous faire eh-serrer, Messieurs, qu'eu c moment,plus que jamais, il y a r, eréélire M. Paslre. Le vo Le vous le sauvadoit avoir lieu au scrutin secret.

L. dépouillement du scrutin donne 28bulletins, nombre égal à celui des mem-

Présents.Lraen

os

M. Pasie., 22 voix.M. Maille], 3Bulletins blancs; 3

hl. Pastre est sommé secrétaire.

Sur la proposition de M. Diluent, leConseil vote des remerciements à M.Pa,stee po..

La

manière dont il s'est ac-quitlé de ses b ections.

AL Psslee, à sa. tour, exprime au Cons'il sa ene...afasance pour l'honneurqu'il lui fait.

Ni. Valette rappelle qu'il a proposéde restaurer la façade du Capitole, avantméme qui. entreprit la restauration dela Cour Itenri IV.

Cette proposition fut renvoyée à laCommission des grands travaux,

ri nidésirerait beaucoup que cesien pût présenter so. raPleut sue botteaRM.

N. Barbe. - Comme mombre de laCommission des grands travaux, je dois,en...nitre que nues sommes un peu enretard ; mais il n'y u pas de notre faune.Cela tient à l'absence ou à la maladiede certains membres, ou bien six vacaa-es que »nus venons de trareraee. mais

.nus allons reprendre nos travaux.M. le Maire. - Le apport soir la

de a façade du CoPitelenur lionresta arè e écLéance.

Peu'être présenté à b r

L'a Raire est très simple. La grande dé-

pense est celle des échafaudages ; ils

coûteraient environ 6000 ff.

me lesecuhuu comp è e uque Ira-mprojet des Jarcbins, mais peur faire la

e, il faut ue l'autorité militaire paix-qse quitter la caserna de Daurude,sepour le lui

demander,

,s.a risquer n

iee

l'embarrasseraller

1m il flot ponvorloi bricnu

ur

ntr, local. L'adminiata-tiurl s'occupe d'en haire r,clrerche, il.

Qnunt sus Facultés, M. Joly croyait,r des renseignements qui lui avaient

été fournis, que l'i;mt a,ait erse100,000 fr. dans les crisses de la ville.

qne j'eotend.,usC'est la première foispalier de ce, 100,000 le. eL s le en

eut 'ût été ,,met, ni mérliahmentsesasyé de les utiliser

Nais in renseignement était rrme.J'ai fait (tire des reoberches ; l'Elal a P.faire des promesses, mais, à coup Or,il n ren versé deux les uatases de lavitir.

fous nues occupons activement duprojet des lanobins et sitôt que noua

s tronv s nue solution aux difGcul-lésgciipré fnleet qui neuves grandes,

s none en pl esses nus de vous la son.me0rr.

M. Calmer ea. - Lorsque la restaura-tion de la torr Ilenri IV a été commencés.

él 't n t I ui u;vurdbni montt p t devoir aboutir à

ruade al.,t ...moi , j'exptiucmIenveeu que les travaux de seniplurc, oe

i,aient pas coude à un seul artiste. C'estpour les artistes un honneur eu menuetemps qu'on,, occasion de légitime ré-munération que de learaillee à l'llOtel deville de Toulouse. Il en est qn; Sonttrès méritons et qui pourraient être eau.ployés soit à la cru. intérieure soit à lafaçade. Si. Caimettes cite quelques vouspropres

NI. Barle s'associe au veau exprimepar M. Cal mettes et développe des tonsidérai... de la même ,aère.

M. le Noire. Ceci s L a

mai, J.e nffà es

d :5 L rt1 bl u ' g

u

demandoo me tbien

t

fDeorte dom.

le et non,l'examiner :ro e toute Jla llieituarquo méri te.l les opinbeau do Conseil.

61. Carolis génératise l'obs,rvalioufaite pur Barbe et Calnietes, et ditqne pour tentes les fourni ea de la

,',drosser des néga''lin, o devrait àlents

de

e Toulouse, avant deat qu'su àdesjétraugers, comme on l'a fait lieique-tuis.

M. le maire dit qu'il satrl x del ad'entretenir le uun s,il u des travaux de

lla

tin cari si L'.1IV e vote de ou i,nn, nfunds-II n'y u eu que 2,000 fr. de entés je,-

il propose de renvoyer cette aifaire à la commission dos grands travaux,qui pourra faire, ,u même temps, lerappnrL sur la farude et sur la cour.

M Cantonspin

lle l'attenliou de l'ud-nistratioe sur une lettre de NI. lire-

prétend que !es ar

reproduites sur l'avoua. de la couru lemdIV an sont pas fidèles, nolammeut cellesde la ville de 'l'oulouse.

Ni. le Maire répond que c'est NI. Pus-chach qui il.... les dessins des sectionstels qu'il les il.... aux attires, il Icivolt donc d'une exactitude scrupulaasr.

Ce qui peut les faire trouver inexactes,'est que pendant longtemps, .n a repro-

duit peur les armes de la ville, un mo-dèle qui était inexact, et lorsque les armes véritshles mot para, en a pn croireque c'était elles qui étaient fausses. Il.resté il demandera, sur ce peint, n. rap-port à Nl. ileuohach, sent compétent pourrépmdre.

M. Joly rappelle que le logement del'archiviste ne peut subsister tel qu'Il est,

éil a vérité les archives et il a constatpar lui-méme, que les choses ne pou-vaient sa Insister ainsi.

M. le maire répond que la sotootiondéteitive de celte question est dans ladort

les pièceseestaneatioi du demi).sont à Paris, au Conseil des monumemshislorignea. Quasi à la solution provi-soire, il s'est entendu avec M. Bsschach,

u il prie la commise chargée dee dans lesl'examen des aéparations à ri

bureaux de luire son rappor t le

plustêt

Possible.

suite d demain.(Lu

Dimanche dernier, pendant que lesépoux E.., jardiniers à Croix.Daurade,émoi eut absents de leur domicile , d'amalfaiteurs s ont introduits cheaenx,et ont emporté des serviettes, des chemi-ses, une

chaîneen or et d'aulnes objets

CAISSE D'IIPABGNES et de PBEVOYANCEon ,L1. ni T1111L0Ue14.

Béance dus DimanVhc, 24 et lundi, 23 nnvombre.

Nouveaux déposants, 28.Recettes du dimanche, 46,541 s.

Dépenses du lundi, 22,064 63

Excédant de dépenses, 7,525 03

8xirall des ihsne,ullona dtéerologiqurs sal-ues par M. oasa,a. Station a exlremitf Sud Ils labrande Allée. Attitude 115.,

Du 27 novembre.

Tbvem. Dent. maxim. d'hier : } 13 8id. mi.. de la niait , -i' 10u3

saune.. -01%. -T ou ciao,.

9 h. 0-J55 6 - beau. - SE faible.Midi,

. Og752 "i - pur. - id.

Le baromètre baisse, -Près avoir mon-

quar er u ,, pr s on au an. 1 mo,,d,t.o, nu cor cosrsdlutonoe;.Donns-a-Le sueur NI ... aga de 20 sus, peintre,

pénétra dans la ruaisoa an sieur Lagar-

de, propriétaire, ea s,sladtl.t une fe-

Delre qui se usera itrouverte.11 alla droit à lire eo.mode, qu'il

avait -viols une somme de 5,700 fr.,l'ouvrit et em Vurta le tiroir avec l'.'.goal. 11 s'esquiva par la fenélre.

La femme Lagard,,r,airs

rhev, ellequelques instants après, ronetata la dis-parition de son argent et se mit à criseau voleur !

In, isins ayant aperçu M... quifuyait à travers ch.,.ps, le poursuivi-rent, purin rend à le saisir et à lui faire

restituer le produit du vol.

Amené à sluntaubas, le i ur M... aété écroué à la maison d'arrêt.

La justice informe.(Courrier de Tarn-et-Garonne).

1 dans la séance du 29 aoat.

v taos les prérognLives, et aotxm-ment le droit de diasolntion. Mais être

président d'une République sur la di.rection de laquelle je n'exercerai cous'eimu.mneuemem.auenneinnn,ure,

elca

aittic e miroir.t,La droite sent,

medanne certaine m

sers, la portée de ces objections, et saufIra coevulslanoeires , elle P mail enDea,jurilé ce qu'elles ont de topique. Lors,letn discussion de la loi Rivet, la ajo-rilé de la commission avait indiqué riessérie de garanties propres à assurer lefonctionnement de In responsabilité mi-

garanties qu'il parut oiseuxde retenir alors , et qui, anjonrd'hui ,pourraient être reprises utilement. Onles trouvera tout e.Lièers au discoursque M. Léonce de Lrnnergne prononça

Mon dernier mot est donc plus quejamais qu'on s rangera. M. Thiers

Il vient de se produire ua fait bruni et l'Assemblée sont placés désormaisdanses annales du Conseil d'Etat qui va sur I terrain o' des idire appelé, pour la première fois, à des habiletés

deréductions .et Lié,

statue publiquement et souverainementsur lu régularité de la nomination d'unde 'es membres.

M. T ber t, ombre du camolli éué-.0ai d Iit et Garonne, ancien audueue

an l o se-1 l Liait, fils de M. Trubertseillue à la cour des Comptes et petit-

fiisde M. Sylvain Dumon, ancien ministredes nuances sons Louis-Philippe, rianten "et de se pouvoir, pour excès decouvoirs et par le ministère de liteDareste, président de l'ordres des avocatsau conseil d'Elat et à la e or de

ssalion, contre la n mination de M.Braga, ancien Idosve de i'Eeole polytechni.que et ancien xndilenr au conseil d'Elat,qui aurait été proclamé auditeur de pre-mier' classe au conseil, bien qu'il .'eûtpas l'âge exigé par la toi lors des épieu.(ilele, Il "'D

'

On'sL d po ut le

dvaut l juridiction suprême dure,vlit b I1 connus. C'est Nl de uni.lin conseiller ICI;iaf, qui a clé

nommerapporteur.

VERSAILLES PARIS

(Correspondance particulière.)

Versailles, 26 novembre 1872.La droite a lenn hier à l'hôtel des Ri'

n L

,lits't envi-

on150 membres.Ou yra pain très dé-bide à maiDt,Dlr les décisions de la cou-

, sans nmdnûeoi,un ni ameude-ment et à les sois, avec ensemble.

On parlait beaucoup dans cette réu-bn d'aae courarsa lion qui aurait eu

lieu entra M. Thiers et Ni. Ilaoul Duoel-bou et(, convl"DI

lie.

Ni. nuisitdonné à entendre qu'Il considérait la

actuelle de l'Assemblée meétant la derniére et qu')l n'admettait pasla responsabilité ministérielle avec l'As-emblée actuelle. M. Thiers aurait décla-

ré qu'après le solda imminent des troispremiers milliards, le paiement de deuxantres milliards .'était plus qu'une spé'ralinn de trésorerie; que, si la Franceétait calme d'ici au mois d'août, celteopération pouvait s'effectuer facilement,enfin, Il

'C

la lihération du terri.poire, l'Assemblée actuelle n'aurait plusde raison de conserver ses pouvoirs.

0e assure que le centre droit est mut-iné des éme. dispositions.

Le maréchal de Mue Nlahon était hierà la réception du soir, à l'hôtel de la pré-

sidence,

M. Thiers ne songe nullement à sdres-se à l'Assemblée -n mvoo. message.

On parle de l'ordre du jour suivantqui serait présenté lors de la discussiondu rapport Balbie.. L'Assemblée natio-nale, approrvant te message, passe à l'or-dre do jeu,.

La balle de Watlen (Nord) a brùlé hieravec toutes las marchandises qu'elle

contenait. La cause de ce sinistre est in.co

uLa Saôee augmente toujours. Elle al.teignait hier matin 4m.167; - mais grfen

commenceà la cessatieu de la pluie,lieà décroître eu amont'de Chdlons.

Correspondance particulière.

Paris, le 26 novembre 1872.On doit lire celte aprés midi à l'assem.

blé' nationale le rapport de M. Batbieau nom du la commission chargée d'exa-miner la proppsition Eerdrel. Lapespo-sitien est repoussée et la commission

relut à la nomination d'une autre com-mission chargée d'examiner les airs etmoyens d'organiser 1. responsabilité mi-nistérielle. Chemin faisant, M. hulbieenregistre la déclaration de NI. le Prési-dent de la République sur le discoursde Grenoble, élit eu prend acte commeu.e ....elle preuve des sentimentsconservateurs de la Présidence. C'estd'ailleurs le seul point sur lequel lacommission et M Thiers se soient trou-vés d'accord. Le rapport a cent lignes au

pl Le dissentiment est donc aussi cou.plet que possible. IL n'est cependant pasirrémédiable. M. Thiers avait eu l'idéed'envoyer ma second message : celleidée est; je crois, abandonnée, maiso revanche le Président est résolu à

rrsatvre la lutte sur le terrainme onsa.mentaieo. On loi demande la rezponsa-bilité ministérielle mais il .e répond

pratiquées. Car la grande diffrcullépour tout le mande, test que, ni l'Asemblée ni le pouvoir exucu tf ne ueu

vent aller jusqu'au bout; I Jo ,Lslénlea à reau,eser M.'1 bin

M.rh

<st pas d'bs muet ni d,, l,mpér.,m-IIe te.

Deun coai, d'Ltat. De, lors il y a

nécessité pour tout le monde d'arriverà un accord, d'autant mieux qu'on il,.

ment, de l'avis unanime des envaleurs et du goaver.ement,des électionsgénérales suaient inopportunes et gé-sautespour tous, excepté pour les rueeaux.

L':+ffaire des adresses des conseils mu-nicipaux parait terminée. Dimanche ma-tin, les prélats ont reçu par télégraphe

instruction leur prescr;m,, nci,ueulement de en pas favoriser mde d:com vg<r c

fr.taLit.

.lo.snla luit d 41. Il- lhalemy Solet

Maire, aprè mûre 1.0.x on el'e appa-rait empreinte d'uns teille dose de bau,,.blé.

Le commerce et la haute banque seentrent toujours fort préoccupés ici en

la e. Le papier eue Londres devientdo plus en plus char, et de sua n le labanque d'Angleterre parait résnln àpeindre quelques mesnces destinées àconjurer l'invasion dupapier. français

r le rauché brltannigne.F.

mémetemps, ,,mi,c sc qui est, plus que il'

influences apécn-laleu,raoétr

ugers,xdes

soutient Ni. Thiers ànleanco, et va môme josgâ à répandre

le bruit quo le ça bi.et de Merlin amuitdonné au président de la IlépubligIldes assurances dans ce sens.

Ce bruit est évidemment erroné, AI.de Bismarck s'étant imposé pour règleabsohle de ne pas intervenir dans lesaffaires intérieures de la France. Maisles fausses nouvelles n'en vont paamoinaleur tra n et cle, sujonrd'hni il est cutant Gal, la Dnnrsc .'est prononcée ea fa-veur du président de la Républiquecontre Ix majorité de l'assemblée natio-nale.

Le tableau du produit des contributionsdirectes qui a été publié dimanche a

dés à présent ou c est la pluevalue qui est nulhentiGuement acquisesur les produits de l'enregistrement Cochapitre, d'après les prévisions budgé-taires, devait produire 403,778,000 pourles nef premiers mois de l'exercice1872; Or, il a rapporté 422,879,000 te.soit 19 millions de plus que l'énluatioodu gouvernement. La revanche, dans laméme période, une diminution de 9millions eet signalée sur les produits dela poste, notamment à l'article des en-vois d'argent, Le remaniement de la loiae les droits de poste est nécessairr,

d'autant mieux Insu moment où le goureniement multiplie les cetra... liacales

lessoles e..... pondauceeQ l'intérieur, il

supprime pour les c rrespandarcesà l'extérieur.

P. S. - Le résultat du scrutin à l'As.emblée, s'est fait longtemps attendre.

Le dépouillement a duré près d'une heu-te. Le renvoi à jeudi semble avoirquel-

ru il élu Pm ointe les partisans dr lae oeresponsabilitérien inistél é qui auraientvoula

u une discussion immédiat,

ASSEMBLÉE NATIONALE

Sèavee du mardi 26 n.remb,e 1372.

Présidence de M. Jules GrIma

A deux heures irais quarts la séanceest ouverte.

Le procès.verbill est I. et adapté.L. plus grande affluence se remarque

dama les tribunes publiques et résee-ces.

U. nombre déjà considérable de dé-potés est rassemblé duos la salle desdélibérations législatives; vers deux heur.ces et demi,, toutefois, usa ombre près.que aussi c .sidérable reste edais les coidrirs et la salie des ul'as.Perdes.

L'ordre du jour appelle la suite de ladiscussion do projet de loi relatif : 1 àl'aOTectatien qne pourront recevoir le,taxes spéciales imposées en vertu dn dé-cret du 22 .club,, 1870, pour oegaDi,,.tien des gardes nationales mobiliséea

e'amant2- à la c ssation du rc

desnomes dues par les dé artements 1p e

communes et lesparticuliers

pour leméme objet et de la proposition de M.

RFéB e arc 1, .,>,le deoril ti m y._p I ditt I ,t ] e d-r1 e. do 22 I b e, 1870 (M. hèl e

n. esR npps t 1

l ,lectureest/ do 1 let d. I l C-t seCrie,clé est

voté.o e d .mande. la pxro'e

i Fart. 1Je

lit il,na

uneg'sode é t de

e

A bleu pasnpvo e t D'a pas entendu

l'ait. 1 (R rut.)- J'ai lu fart der

L 4ssem aire enaaale texte sous les yeuxet je ne puis laisser dire qne l'Assem idées'n uns su ce qu'elle volait. Son vote est

M. de Lorgeril descend de la tribune.L'article 2. est lu par N1. le président,

onsm- voix et adopté. (Nous adonné

hirr,

le lest, de la loi entière avecles mudiûcations de la uouomissio..)

L'arl,ele 5 eut également aJepté sansdiscussion.

a présenté un amende.mont sor

rl'Ertiux

cle 4, mais,` avent de ledévelopper

ildemande des explications

rapporteur de la commission, eaufàreprendre cet amendement si les expli-cations ne le satisfont pas.

cool mecs donne des explicationssur l'article 4 et mIL article est adopté.

Art. 4 Dans les communes qui au-rontuséde la faculté de l'ondule pie.mine, le maximum des centimes extraor-dinaires qu'elles sont annnellemeat Do.Ionisée, à voter par les conseils généraux

sorte de la I I I

dent lescnq e b..epntart le> il,de lu las,re Jurt rd'on nimbe,de cru ti. ro' ég 1 au montant de la taxe

m bourse'. (Adopté.)rm

:t r.. 5 Le emhouesement desd i par le départementsb ^s

I

o

particulierstsp p...

rla g. ode nat:n e I blhsée cesseraqui ze joo s après la promulgation de la

ule loi.

prToventefos

le rce........t continueradans les communes qui auront use, de lafaculté que leur douce l'ai%, lilpesmier.

présente, eu mdicu dubruit, odes robsenalious sur l'unI. 5. lesobservations rentrent dans celles qui outblé développées hier par N de Veoluvoulequel a fait remarquer que c'était crées

ue situation beaucoup plus avantageuseàeeuz qui n'ont pas payé q,r'à ceuxqui

cet p,yé I.taxes

l'riales mdo..Il el

ple d crct du

22septembre

18711.membre de la conmissron,

pend, sdisp ,s ale l'art ses précédentes

obscavrl,u,:s. La commission fait une lé-gère modification de rédaction à l'art. b,

l: orielte est adopté.

n Il y a 4 voix conteset4

voix

c '1',1I (co vil.),

Il. 1. v. Pour donner mnlisfac-Lim. aux réclamations je recommurce levote..

L'Assemblée vote de n n.. eau et 055-voere radopbnn de l'art. b.

Il. cioi,, umcn,,ap1 ceteur; fait remue.

quer que la loi smblail devoir être vo-tée avant la Comme il ce udol éto autrement, l'art. 2 devra êtreainsi modifié deus sou 1", paragraphe.'l'oulel'ois les communes qui feront usagede celle faculté (d'employer les rein-boursemenls provenant de la taxe payéepeur les gardes mobilisés à des dépensesd'utilité uommvnalej, d'vrent cembonr-

ant le 1., mars 1873, et men le btdécembre 1072) J. contribuables reiran-ehés du rôle depuis 1871 (."opté). 0.passe au scruii.

surl'ensemble de la

loi.Le scrutin donne le résultat sui-

vant :

Nombre des volante, GISMajorité absolue, 511Pour l'adoption (de blini

de remboursement destaxes payées en vert,,du décret du 22 octobre1872), 50'.)

Contre, 102

L'Assemblée a adopté.On remarque pendant le vota la pré.

sente, dans lu salle, de M. Raoul Duval,crétb ire, et de àl. Batbie, rapporteur

de la commission tuerdrel ; dans la tri-bale des anciens députés, la présence deM.(L E. de Glrardin, H. Peesard, Guyot-M,n'payroux,

M. Balbie a la parole au nom de lacommission Eerdrel. (Maniement d'at-tention). J'ai l'houuenr de déposer lerapport sur la proposition de AL de Eer-drel. (Lisez Ilsez ')

M. le raapporteur rappelle que dans laséance du 13 novemhro, M. de Iierlrela déposé ana proposition sac la nomie,-lio, d'on commission pour répondre anA1esa.ge et donner son aria snr la",a,-

La proposition de M. deherderl ne pouvait dans l'esprit de sonuteur avoir rien de désagréable à NI. le

président de la ltépuhlique française. Laeéenre du 18 novembre a clemgé la situa.lion. 5-es Dons sommes trouvés devant

e. La Fronce ne sépare pas duossa confiance l'Assemblée ni le Président.Nous avons relevé ensemble la pauvreblessé,, notre obéré France. Nous avonssecondé le chef du pouvoir exécutif deomû none' e ar5e,urs.l' u e d .

cerce airstouraria o dee-

n chèrtee Patrie, ... s

musses la pes de la eplin Nous devons reste, er à notre

peuxieoste

jusqu'à qnnotre pallie soit non-soit.leu, nt lent ivrée des eeuamis du dehors,.sul snrée à l'égard des enne

sdee 1Inlécieur. (Bravos à droite).mPourquoi a-t-on en la pensée de faire

autre chose que de dunier acte a. pré.sideot de la Bépublique de sen message.Mais on a été frappé dus passage où leprésident nous disait d'organiser la Ré-publique et de as, pas perdre le temps àla proclamer puisqu'elle exisleit de fait.C'était exprimer une opinion qui .émitpas dans la pensée de la majorité del'Assemblée jusgol'ici.

Ni. le rapporteur rappelle ensuite ce

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Page 3: ode pare, sont domi-images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101_JOUTOU_1872_11_28.pdf · rédaction d'.. ordre do jour, après en-lente préalable avec le gouvernement. La

qi f dit p, M I Président dansI, 7c l t Il a :z -,s, la

tu-t = La liepn blique seraloi1 [,a, , est pue

t d iaI 1adé la 1 t.C p

I Lot fl

flid

t. 0 pouvaitIil lI dpc II Ii

Md 1 1 dal I

If A tle I lier le' t' l psi[ dni .tl l td t eIl

dd t I I et Je trois ep aeL ndv

c e

é t-t I.li é I t 1 d. l t .d M le4' é d 't de la It p l l 1 t pas ( Nidb d volants, 644

l é I t d rideaux. Pl j. lé 1 Oi

à l d l I d l' tt t e e PIl i.

I 7'l'1 rat[ d iq I niojorLé de 1 As..srnbler, riéleud, r la clac d'iiid

t J L t[ 1 n nsclenou- t à 1 I. :la-lo s ver. A t l dit rgé rions du rapport Balbre, ful del A tld rjp Ciel ie 34

le e t h Commission d'. g Le ! LA lé 1 ajeudi l isLaitl ,lot f d. l P le 11 151 2

foi 7 pl d tri Il 7 Ni I, t lent fias fol die d parusd'a jlas d. d0a sq eM. Il Iré dan d.' demrin.la Républque un,n:IL cette laitins, , il A 2 heures, discussion do budget.l'a eomb: itu

il` a

lu téta du gnuve reement La séance est levée à 5 balles 2'.,.d i.Ilt Lia d' l l'ar medeus on livrecil 1 Y 11 6 ,,t .e d aiaiis

On lit dans le J l d,-j,

deet1

"""I,,i tl sà la mainmfèrnmentdans la commun Mas les unirons abri. Laltenlion publique est

ont du nom Vénéré de M. le Président de

I

absenorbée amjoes

sesuriez ur parslesqu rrvennne

la iiir isal e[, dans les banquets, le dtsmmorc eul i ienviennent

chr' daradio

calisme semble cens,,, M. de. Versailles. On sent que l'avenir r,

le Préstdmit de la Répabdiqua sons sit pay d.p dde la t4 dont .d. ei

, .an, Iios a Il o ou né hindi car tinterld tS aou .ansprntectiue. e,

confond pas les doctrines dit radica-

lisme avec celles de M. T'birer, et soindignation, quand on pensait ,apposer,salement qu'al y est connusse estesloi et les radicaux a suffi à la Commis.sion. Mais il nous a paru aéeessa,er ,[',,p-paon, an radicalisme uo gouvernementde -.bat. Le gouvernement est legrand ressert qui soutient la latte ale lasociété contre le désordre.

Si le radicalisme était nn particomme tous 1 es ordres partis, la com-mission ne demanderait pas que le pré-sident de la République se départit

desu

neutealitc, envers tous les partis,usais le radicalisme est contraire [tonsIra parti, huenétes.

notion inepparmne de M. 'I' ses dansles débous amoaés pa

l'inleepeIriliammr

ditgénéral Chmigar Il'. Aurons.unis la ies-puosulrilité ministérielle, ou le pays re-tomberatil sous un pouvoir personnel PTelle est la question. L'opinion de lapartie éclairas de la nation n'est pasdouteuse. Loi masses au ,animées neernblenl pas, pour le moment, avoir sur

sujet une volonté arrêtée. Mais le dé-

' t

nntestabin de font le monded'estoie aiGçuii ou d'uns amis, l'in-

certitude cesse le plus tôt possible.Généralement les libertés parlementai.

'uséparublea ils la respouutiilitéoistériells, sont considérées

colame

safres. Les jeu eaux qui hier enoo.sclll.riest a onp diras le

M. le président a répondu que pour rognai,seul ea théorie. Le Joursur dessur gouvernement de ombas il fallail Débats et la Bépoil,que Pruuçaèss elle-

font l'aveu ce nmttn. Seule-des armes. Il. demandé à ce propos la m émr t ;nrviron d',me seconde chambre, et c Irai ils soutieune.t qu'il n'y a pas deserait

le ourse. de rie réf,rm i - m - i ë -à l'Anaeinb I r . . . La ,unis nn. uin ar:lpruiv da v r a la m j ot.Iou i,,, a ue Ll,

deficaen du p,nvul xé out et a la dit . de D. ts, st fol le pli al.-

,aloip blt' té' Il 'tl. iIui

I

la'ompo'd f I-.'_ t d

I p : .pl{ {sa.,,fallait a q l 1.. t l lien ldd LurJ la e, loi lot

éM. mt4, Q, ie I m, Invite Pro q . . e

a d o p t e r des mes. é { aL il t 1 pi' 1. 1 pO.ule tec'eya dis retards lai era.n, toit a fat plus tôt pus bée, et d n'est pas fout"Ilcibles que ss,''' par leur r; n et b;ar pu -v Il frit t 0 l'.h i e heu les cri- t: t o L I Iil,

,.nies le p axée ul et le peu- ire rail ,,uni à sil lorsqp

lleIr leg sl,tif, q m d l+mi m est luth,- leur a a de. v o trié quelle c;,soi cf que

pensable. La,,.,,:a

ission a cru que le par wuséqueut le meilleur des gouver.mal, se venait d

tp o trop lis.

q.. t d pré l- d. 1 , t lé-tative. L A semblé, v e t e pasfil,

liin-e. m,ralemcat dn ro=tas, parce queInscrives qui pourraient Pire seulement

nistériellen sont ssi des Crises gou-entoles. Ilndéputé, peint lisera'

pisé ale, tri JI lion= de .I.gm dc II s la I S t dit premier ma-g:t l l Pays doit ,IL Ifi r. ,'a,omm était sors que le L a d 1 m-rien dit "Il ae SonetaD Va mouvaisque nous lui

fissionns

ce observationsa I c i qui a Ilé, qni e s t end', rie ,,,,,!-p

amonO U go iv eorment pirlem ,ns

On demandait que la recouds Cha r briel'ut organisée rit même temps que la res-ponsaLilite miné L Ile ; mal' s blait

duo que les suer . a s de A .e

nuls seraient capables da setrouver

devant une véritable responeablité du

p votifSI. le apP t, umfnit siée c

tee l'-piniu i de la mitésd

la Cum-missioa

J,u mi norité ne croit pas qu'on puisses'attocimr à une sente réforme et suera-pur d'abord de la essponsabilité m'sérielle, ce seuil aile sorte de Mimeinfligé à M. le président de la Repli-bique.

Le rapporteur fait ensuite observerqu'il ne s'agit pas de blesser les hom-mes de bonne l'ai en mettant eu jeu .esquestions de république et de mchie. Nous ne somn'es pas à n

a

Il de nette Noms sornou sude-vant la barbarie, qm monte nous devonspousser un cri d'alarme. La commission

nmut par le rejet de la propositionKeedrel et par la résolution u vante :Une commission de Iii mrmbes seranommée dans les bureaux à l'effet ale

dan le plus tort délai à l'As-sembleenstionale un projet de loi n

la respo..abilité ministérielle.Maintenant, Me,seicuea,s. "s, -

la Corons ion ne s'oppose pas à ce quela délibération ait lien imnmédiatement,mais elle préféra qu'aile ait lieu demain.(Prés bien !)

M. Marlel demande que la délibéra-tien ait lieu jeudi. ( Mouvements di-

es.)venin, - Noirs crayons qu'il ne

faut pas laisser trop longtemps le paysdans l'mIL iétnde ; mais dés fers que laminorité le demande, la cumintsou

s'oppose pas au délai dejeudi.(Agi-

tafine -)

il. Le uuo nouai nrv ea<nnu:a. - l'acommission ne prend pas la responsabi-lité d'on, crise penioogée, et la plel'é R-rait le délai le plus rnpproo,,.hé. 'l'onts-fois l'Assemblée n'a qu'à dPoider. (Agi-mtiou

M.I,

Présidant expose l'état des de-mandes peur la discussion et propose anvote le r oi de la a jeudijour queaue repousse pas lei rapporteurde la commission et que demande 31.Martel.

Une première épreuve est domm,,se.Le vote est r.nnuvelé. Le bureau or-ai.blé hésiter. (Le,crn toit le soemmopdé

n. un rnésmmnr. 11 va Pireprocé a

,initia, il st quatre heures v net rai-

p 's ble.

e iJ e pins net t ;, d', e

d'a de vins !égftime Ils vantent gua, tirée du nntit nombre de vos muni ux. Ie,. IÎ i pl. i 1 d, L li.. t LAII

fi ,.. d s t g q l c ,tirer d d- unp t l'.Ilr de V M .h 5 L' il.

Nous, { e 6. R 1 t 13I-,,la,, 1 situera dorsx . Ici q d.s I p»1 I, x que N. ,y

Il I .Iplq à nf et b d tl ; .lit Unlu.n t t qui l + les ccm t l duos la et l t l i aveu fort

t i l l q u e G 'tw-I1. 1 ttN o J pore . e à 0 lai d g il ei .b g R Id lY lI

al tl .o 4 'le ggo i t ll tp 1 l

.s

ipr'l I

LUilé al 6 t ces é q: qui, InIO, a c d à

l a m t o f m, pros O. peut d.od , en peut. f I le i tt muj, i- dunt .pé. e dans mille. tel qv,r

t N l i1 . os ce a t1 toi où ,,t,1 et sans puai de 1 s cru use,,,-,',,lé, m's,nom obligé, de t r c, alpe nous

i là,.`,I

l q I y dej a CI b ..t {u; 1:

r I ) t x t a . u n=,

t fui I! p V1 Thiers, qui laon l f lce, f Je m ux aux.

quels il sert d lien et de ,i'lentl,lepris que l'Assemblée existe, il n

s'y est jamais constitué une agglnmés-lion qui pid recoudre àl'idé unom. d'iris du

eut. Placé pern'c e deCormoseellernent, 31. TlOers a été obligé demm poser une majorité eu la prenant

doit, mus Ira parus, ou do moins danst .voir été

cents d afhnile Que l'on prenne les unsnerés les antres les mon, des hommesauxquels il a confié des ou nistéres , on

d'a qu'ils répuadent à toutes les trac,Iions de l'Assemblée qui ne sort pas irferaneiliables.U.

rdahlé, c'est Ni. Tbiars qui s'estoutré Il plus véritablement parlemen

taire, car jamais en ne lui a ido

Lune' les yeux ..o vraie. mujortité, et'est toujours lui qui a été obligé d'enimposer nne avec les fragments qu'il.ait sous la main. Est-nu en état et e

mesure de nous en montrer une'ni...-d'hut t Noms demandons insteonment àla voir et à la compter. On en it detemps en temps apparaître une dans lesbureaux, mais elle se dissout dans l'As-

niblée; c'est npa UJuara de huis elnequi d'a supporte pas le grand air.

Adinetmtis touml'uis gril sa soit or-ganisé roi parti assez ...brun. et as-

e miseraIvdisciplinécoue croirevrde prendre Pm Nais rentrons

d l' sle, Il.,

o allia' pois ,e gout p ncl qubIssse tan de

pur Noms av u le gouvernelent dsns lequ i hg haut eo permien

ligue M. le gennua1 Gliispuenme, M. led c du Brogle et Af le dur. d'A dft' L

V,tlà trots noms onmurés as .,éI.,atd t tain I l smV i disidael, soitt I d l ceux qui W, port esteI

t érliement de force a mai.ttis.e Ies dilhc, lois de la ,situation a

tonte saur être appuyés et soutenuspar pue majorité causé lérable Y

Q Il p ' os qu'on paisse avoirde ni le géner,l Chnngaromr devenantle chef du pouvait exécutif, il socs pa-rants toujours difficile de voir en loi Ioropré.=.entmit idéal de ce goavememeatpaelemnntaire dent I s'r'at chargé deL'ire deanemai5 un h i, D'aune part,

t que I Allemagne t

traité ssurmoi;dimre M. de ErogIre. c oPne elle 1a faitu ,peut pour inlerloculasr M. ",'ers v

S'imagine-ton aussi que les députatiens des grandes villes, qui venaientpr. d f l g e de la Cruncould dema ode, des

d'a

ex I'rat ans à Il, vThmrs susumm également calmées a ec iesas-

esdell d'AndllleelYon voit doue que l'autunté preson-

sielle est d lut ,,,taus poids dans de pa-reilias dreenstauces, et que dent cetteulueilé qui a servi à A1. Thiere pour

Pmie une majoré é là où il n'y en avaitP. et puas art être une a lui seul.

Si l'on nous disait que la position estchangée, que la paix

estl'aile are, l'é-

Irangeret que larmée est assez réorgn.usinée pour réprimer le désordre , .suapourrions engager M. Tbirea à jeter lapouvoir a ses a Asrsaiers en lear disant :a voilà ce que sons m'unira donné, etcilà ce que jr vous rends., lis, mal

heur, non, os est pas fini. Ni an dehorsai au dedans, rien n'est fini. Et voilà ceque paraisssent fidèlement oublier

miconnaitre les grands joueurs d'é-chscs parlementaires qui se croient en-

ture aux heure.. temps des cr Lacs lni-nistérielles.

Lemoment est mal choisi poursee-rellés et as désunir. 0. amis avecle pins grand Ilrt de

vouloirpousser à

la dissolution de l'Assemblée ; nous so-n qu'elle n'a pas terminé s

et qu'il faut que ce soit cils qui l'achève.Mais, 1 .pétons; 'a taire st dans

s

ce pouvotrqui est aervileur, et sous cette union elle se roi

trouvera eu face de l'impuissance tommele pays en face de Io Lérol .lieu.

Jotm Le..-as.

Nervt poule,ble de 1. population ded t q I lai

de I D lu t la { o d e tant denet d'. t g u illustrés n'ymal-

tuplie t o vite les établissementshosp 1

, Je sers .l'armé que d'importantesusines s'établissent mix environs deNancy. Il est évident que ces nou veaux

I s de prrpuiatio. formeront, ponla

,,,ta , de la I.onmle-t e acte banc

home qui [,il dmnandem de, [vers pouraes écoles et des soins pour ses ..Il--do,.

, Avec le télégraphe et ua service deIrons t usai- : ,t qui est établiente les lép ia t I t et l'asile deVincenues, les chefs d'Iudn,tria auronttout avantage, sous le double point de

de l'excelle nee de traitement et devolI, diminution de la dépense, à vleurs malades dans les bdpilaau. Collemunsforrnaliun de vos res'..,e,s méd ica-Ies est fuéviiable. et proeltaine. Cependent, il est de voire devoir de chercherles éléments d, notre supériorité donsmin, autre voie.

s Nancy est une ville sludieuse, oh leslettres et les sciences ont toujours étécultiv6es,q.i vent et peut Aire use capitalelot, flirta elle. Elle s un musée envieux,eue riche bibliolhégne, une aadémie,nu ensemble de Facultés complet. Ellefera des savante, ce qui rois manquavu peu ailleurs, et ce qui ne l'ampé-rhere pas sans douta de fur, aisi dosp u.lieievs. Le personnel de la l'acnlléest très nomhrenx : toutes las banchesimpo t t s de la scieurs médicale ysontrjeéreolée..s: l p ,set de chaires,mplent un daim L dj I:s

agrrges laient des s tiers. Nullepart eu tiares il »'y a ni d ,mies si

o breux, Il une liberté mass, amp'eLes élèves, an

liendntee perins

d s la foule, seront l'objet des solesp.ritmnims; ils seront pe ienon.elleme tconn de leurs tt p ;ont les

survs il I d t d frais lec-ture et de I. t ers, faire leursexpc ces suas l'ors yens et avalleurs secours, acquérir même par de lu-bost . l r-lies et jusque

sur.

bave l.lé.leune certaine nomriété5Si même léruditon Ies tentait, il fnn-Irxil s'en ,pplau d r L'Irislolre de lamédecins est l'Histoire dure grandschose et van grand côté de l'histoire gé-néral d 1 p il Immam.

sI,j t {..la lutusco. de N .y,

rde I Allem g I ée de.

ÿ t l I utrop u et I,, ;p p ..rire nous sttout lament q as aven

senti1. besoin d'apprendre les langues étran-géeru, de visiter les unis usités de nos

d tirer profit de leurs théorieset leurs déca rverlea

,La famuté de Nmrcy pont être commeO.t

atelierdans lequel v d a

sLo t I jl cienee élaborée ea AI

I0y p bien l'état dl f .odans lequel se trouve aetilemest IesIl ',st le L Ilat ul s él muera

icipalns de dimanchek dernmr àIar

Las élmteur radicauxe

-néms,,Il àue plus aster, Il' 1 .I lesIllumIl,

cannisses ils leurs candidats let tI.

st I toute eda 1.

s. Voyae ce qui seul passeda l' I aller LLaronnn, d.,,, le v'ngmime arrondissement, 1 ancienne placeferle des idées radicales. Ilm homme

l b Parmi 1. é i 1 n'aassurés, n homme qui, m

f edru, iautre carne, minerait pars i telli1pence, s, action et et so capa-n d f y M 110001 d, W. ob-

tenu qui; 701 voix s e 5,h a7 votants Ily a eu pies de deux mille abstentions.

On lit dans le Journal ds Débuts :Noua érrisuos sons le poids d'en sen-

timent de profmid découragumnut. Il estuul,ile de disnim nier, que In travail does trois derniers jours, au lime de pro-

duire la conciliation désirée, .,a faitqu'élargir la toollm creusée entre le pou-

esérutif et 1 Assemblée. I.en deuxpouvoirs restent en présenta, sans queni l'un et l'anlreparnines disposé à aban-donner ses exigences ou es perle limasNous serions moins inquiets , lepays serait mo ns alarmé, s u bonid'un coullit sis pouvait v va

il

qu'on-, os st-à-dire un symbole une l'or-dre matériel. Mais le fond funeste de lasudation, c'est que, si la rupture éclate,11 s'en sorti ru que l'anarchie.

lb, pul trasmois à des jours de Inné-bre mémoire. Eu 1851, il y avail aussi

s n'étaitdeux pouvoirs en présence; ma i

deux pouvoirs d'origiau dinéreelm, deuxfrêle Irons ; ils étaient évidement IL

ent e;! gainer pnrmanmue,et il fallait que en ciilit h plane ,àl'an me. Celui qui est resté nous s gou-

rnés pendant vingt ans, et Pou sait oùil nions a moeée. Du conflit dont moussommes aujeued'bui mevu+:és, il o

lou'ag.e, pour cire de là répmdue dansIes écoles lrançiises après avoir été soi.-

' à ..o sévère et judicieuse crili-que.

I Je crois qu'il y a peur vous donscrue vois beaucoup dr. gloire a acquériret de services 9 endre; et est. pour

de,ami y aide,

à ,on,, bibliolhélarésolution

que ,1-g on - partmul ére et de criéu leBill ti dicnt de n ue .

M. Jul', Simonyvent

leu Ilqles profes-

la (ocel lé de

Naqncy

s'abonderfortesà les publications médicaleslrmemagse et demande nn rapport

sur

rleses

dépenses que ces acquisitions pourrontaslnnner. Suisent des preseèipuon

relatives à l'inscription età la conserva-alou des livres et dues reçus pur lu fa-collé ; prescrif lieus loures de détail etdans Isquells il nous semble inutile de

'su es M. le ministre.Quantaa Ilableisn médical, qui sera,

dit il, l'enuses exclusive de la lus rl lé, auxfrais, bien emm"du, de l'administration,. il lors parement Ilib llogrs phigne et

é livre et bran I ue' Pelant.qu+ ds. s Aurdur L ALOI n'y seradonnée aux publications l'rLeçnises.

, Nous .vans eu bleu rarement , .iFrance,

nn recueil biblin4naphignu vrai-eot instnmlif. Ceux qui ,umposrnt ces

articles .n notices n'y xltaclrent pas leurom, et, ne complant pas sur ,e genre

ils travail post aegnérir de la célébrité,Ies écrivent rapidement et se prénccp-peut plutôt de rendre service aleurs que d'éclairer et de gildes leslec-trans.

s 12u confia.l à la faculté de médecinede Aaur.7 l'exécnlion du Bulletin mérli-cal, j'espère arriver à un résultat toutdinérrnt.

tecail ciao, pas même l'empire ; à moinsqm; ee no soit encore lui qui en sorte.I.es deux pouvoirs qui se Irouve.i en fin nous communigno sue I osglle lot'lutta nul une erigne emmminne, uns ,an- ire que M. Jules

S'aura,

à l'occasion dern

but ;ils sont l'inaugmraliou de la Iracnlté de médecinede la même vie, comme ils Nancy, a crue le 12 m

de auanssiils sont condamnés à mourir de la doyen du celte r-lcalté. L'espace .

sort. C'est pourquoi tous ce langue pour ,,produire, cri docum s,Iqui .,Il dans le nouer la n ,Indre, éliX cxlsnse. Mais nus ceuynns pouvoircellede

palriOIisme doivent employer encore, par une analyseaussi large

quetous

lesmil'orts à maintenir cnsentble ces possible, donour une idée de l'Impor-d

ms ponvmirs dont la séparation suait tance que le ministre flache ,ver, rile suicide. celte n Nette ,,,A fi..,, destinée

Nous savons Inicu qu'on peut 'rois co me 1'.. sait, à remplacer In Facultéchercher querelle sine les mots, et omis de Strasbourg, ou pour m sx dire, quidémontrer classignoment qu'il n'y a Pas 'est que la Ianslation de celle mémodeux pouvoirs ', qti il n'y en a qu'un seul. Faculté dans la capitale de la LorraineI'armnhlée, dont le ponvnir exéclhf française.est le délégué. Mais quand on ana dé- M. Jules Simon rappelle d'abord les

outré cet axiome, on r na a 'ira sacriîces que l'État, la ville elle ddpae-changé h la réalulé des rails. On ne liera temeat ae eo.t imposés pour la premièrepus que si le présid, oI se retire devait installation, laquelle, quoique modeste,

auto hostile, lo pays ne sait pas jeté cette au premier, 33,804 fi.Ili,

d'uns nue. pmlurbalion profonde et dans . pour un copeau de. bibliom 4lne . et

d

fr. eu insu et em pron désoro rie Junt nuis e'e nvisageous 93,18f

qu'avcc horrein non pas ia propaguliou, oits chimiq,IeNi au second a, e .11des-

unntes. t s répression. de 50,0011 le , eI à la troisiéme,nos surinAvant quele dépouillement dit srrulin I u emblable perspective., me de 501,000tfr., avec de vastes fer.

I sus ue somm ou r- :soit terminé és dot' ce d- à t4

litemeP

l e On n 'à jamais, confirme M. ]alesque jeudi cru 1M

J 1 1 y d'a 1 .mère qui puits" bls O

ne service fu u, xs pou M. R .t rrp: é- hommes quo sus enmbatmus Ils veu- Silone, élevé contre la créaho. dit la

sentant de la Corrèze, ,A la Aladeleine dent un gouvernement parlementaire ,,,1 acuité de Nancy qu'une seuls objectiva

, Ce sera, monsieur le doyen, une deos principale; attributions de eoafier

lexamen d'In écrit lut professeur ou à1'agrégé qui vous parurier le plus compé-le.t. Iou fecnlté se réunira chaque maisdans inc séanc,+: académique, pour vousssister dans en travail et pour entendre

les .utiles, qui ne seront jamais Inséréesqu'après avoir été lues et approuvés en

nou

Le responsabilité se paraagea nettela faculté et Foutoi r. tumeur signerade ss isifial,s pour les courtes outil es,at son nom pour les notices dévelop-pées; In numéro portera mcutio. del'a ubahon du doyen et se signa-ture.

mrr

, .le is persuadé que, dfis l'appari

silil fera autorité dans lecor

do rédu ,

ps médical. Ma{. las rc lactenrs enauront le sentiment) ils sauront que

.,copie, Icnrs ,.II- plan, le p+ il1 imprimeur éditeur pari-onf à t, Raval

',vue et I réons sc n 01. Plan soulleuildepuis plusieurs moisc. Il t '' I e a di, a,r renom qui a hni

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mois.tià l éd u d B lla r ac OU it u e n aura pour,leur carrière, une importance décisive.

Le nom des pins laborieux et des plussagsses ne;lardera pas à être connu dans

le mande médical. Le décret d'mstitulmnde la Faculté leur assure, d'ailleurs,

tous les droits dont jouissent n AIIe-

,go e les professrnes extraordinaires.Ainsi nous Ira, damnes tout ce qu'ansavant peut souhaiter: les ressources enlivres, en instruments, en produits chi.nique, dont 1. Faculté seta tords.-ment pourvue : n recueil périodique,qui

médir.:dr.clsrplu,s r.e...ê,e; le droitd'enseigner librement.

uLa faculté pourra inscrire leurs courssur son programme , et leur accorderl'usage de .ses propres sevphilhédtres. Ilrésultera de velte institution nouvelle,pour les étiediaots, un nceroissemeal de

,sources; pour les jeunes mailles, lesdroits et les a otages de la liberté,pour tous, Une émulation sabotai -

,Varie aires soin, Monsieur le doyen,de rendre compte de vos rapports .o-nn Is, de l'enseignemmn donné par Ies

grégés. vol,, appréciation, qui serapolir dos un litre d'Iu,mseur, fm:rp ira àl'administration des ronscignemetils uti-le, pour le eeceulement du tuera onnel.

Iudépendammont de l'assemblée men-suelle, qui sera une séance académi-

e destinée à la rédaction du Bulletinmédveal, M. Jules Simon ' unie

f. ris de la,,,,le,

comme hd'eux Ir ly,.s, de se réunir ftégvem-ment. l e. pr f : s, observe-t.ii, lent

emh les d me famille; ils doivent avoirlis mimes s c lu..{ !,ontlesmé-

aelevs. Il sembl. .joule M. JulesSimon, que les facultés situées dans oee

nville, devraient avoir égalementdese,, ti s f queutes, un écba.ge des

epr. ils.

ss J'ai constaté cependant, ,dit-il, quetrop souvent se isolement volontaire,aue ,.rte d'ind ilfériaed nécipraque

Mollet comme sue règle tacitement co..ntie que chacun sit faisait sri devoir

d'observer. Avec cette doctrine du atrs.oun eher soi, qui est peut-être le pro-duit diane réglementation excessive,ou pr. d 1 bunéfice ils la concentrationde plu facultés sur un même point,

exn, le clnffre de nos dépenses van.

t ride lut l'rdmieisleation à acquérir eudonbls et triplas exemplaires des ins.Irumenis et des livres couleur; on snbs-lima au sentiment de resp,nsebdité cul-Icctiva, cu seul toit la fores et la digui.fA de, corps, le soucl exclusif du grou-pa

auquelo. appartient ; an peut voir,

éla1,passer le désordre et s'y

croireCet état de de choses est un mal au.

sel il fautporter

remède.q, L'articl18 ao it de décret du 22

185. prévoyait que, dans chacun de

uns académies, le recteur réunirait tous

les ..il, eu comité de perfectonnemont s les doyens des facultés. La

pensée était narellrous ; mais elle devaitavoir peur ocvaégaence d'établi, retireIra hefs de nos grands étabhssrm nls

auté de unes et d'action111111:;e I ôta jugea sana doute au moins on-

pur0ue, cul, jr n'ai pas ('muré trace deces délibération de ces comités.

,M. le rimeur vous fera con..îles queje tallai donné l'ordre d'institituer, dansle plus bref délai, ces réunions eéguliè-tes,quejejuge indispensables.

. nbaculs rte 11M. ]es doyens signa'lera nu comité de perl'eclionuement lesfaits de quel que im portance qui se serontprod.ils nu sein de la Facollé pendantle mais écoulé. I1 indiquées les besoinsansgnels il conviendrait de pourvoir, lesamélioatious q. ,.l jugerait .file. de ,ê.li-ser, a. moyeu des ressources per.

nre[Ps dont il dispose, sait en Cm-penula.l le ,saures de ses collègues.

n Le o.mibn portera spécialement sonattention sur toutes les questions d'in-térôt commun, lut je place au premierrang les divers détails qui se rattachentà 1. cnnditios d'a élèves, aux facilitésd'études qui loir sont inertes dans laFaculm à laquelle ils appartiennent etdans les autres Facultés dont ils sou-

devient suivre les co s. 'r' a,

d'ailleurs, établiront vos relations d'une

aié rie plus intime avec le duel de l'a.cadémîe. Je rétsblisainsi, autant qu'ilest en moi, l'm,iversité de Nancy, et jelui donne mole la liberté dont unefamille et un corps vant ont besoin,

-e ôter à ce y a d'efficace etdebienfaisant dans l'autorité centrale..

- On annonce que le g...rrnemeel aI'untmou d fixer à 2,000 ou 2,500 fr.la lamai. igée des fam,Ilrs pour l'en-tretien et l'égeipement des volonlanesdun an.LI prix serait le mdmc pourl'infanterie et pour la cavalerie Je inistio,e réservant de classer les volontaires

suivant lents aptitudes et a.. leurchoix.

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Olé admis au baccalauréat és-lettres, 4

u baccalauréat ès-scie.,.. Do.. ladernière session, sur huit élèves présen-tés, six ont été admis.

Les amis et connaissmmes de la famil-le Ravel qui ti aurair..t fins reçu de let-tres de faire part daldécés de Ni. Aomiue-Remy Ravel, soin priés de considérer leprésent avis comme e. tenant lieu.

Les obsèques auront lieu sol..rd'huià 10 heures précises dit malin sur laparoisse Saint-Aubin.

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Cette cérémonie était présidée par M.Liouville.

Après ila proclamation des prix, M.Dais de Beaumont a prononcé l'éloge deM le baron de plana, membre étranger,et M. Ramas delui de Ni. Coutil Saint.hiloire.

Le pois Lalande a été accordé à M.Ilugge,is, le poix Montyon s été partagécotre MM. Gris et Chanteau.

- On annonce la mort de M. Henri

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: ode pare, sont domi-images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101_JOUTOU_1872_11_28.pdf · rédaction d'.. ordre do jour, après en-lente préalable avec le gouvernement. La

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