BUREAUX : Rue Saint-Romé, Samedi,'30 Novembre 1872.68mennPe. N'310

......... Y e vUSURES DES DEPACTS Sr DILS AREIVEliS DES TRAE/S DES

% 40 Matiu,(Gaeo) ta 110 Matin SxIl 10

sotudoi.LN11 BB LüxBYaR.TOULOUSE Un an, 40 L 6 muas, 21 L 9 motu, 11 l:DEPARTEMMN'CS - 50 - 26 - 14 -par, Ami e RaBUS 10 05 bir, 1 4l 4p1rl, t

1E eè f 00 bsi 31soirCTRANOER Leu frais anpPlémenlafrua de peste eu eu. y

RaBu mmmt l5 Ratu, 23,

agir, { l6 soir, !0 W

0a regela S. AAONNfMMe1TS ait la. ANNONOMI.BOIlLOUSE : A¢x Boreane do Jo¢rual, raie Saint-Rome, 44.

A PARUCluses M. Rivas, .1. J. J. Rousseau, S ; et

-hos Miel. Laffite-Oofiur et il,- de laBoarso, d; M. Fcntaiue, rue de lrévùa, 22,Seuls Correspordanis pour bai Annonaaa.

Matin 0eux: (Eapr.) If

10Soir (Esprit )1 {6 Hin, 4,rw. a 13 sou, I! 65

SB:r, 1 %b Soir, 3 35 Lima es ...sans.Soc, AI,,., e 40 Soir, â0 40

I Matai g 15 Mat. Ennui 9 30sans a, savent. t

Matin, 10 I5 Soir, Plu, I 05

Mate,eau,

55 Soir Pau, 2 13 loir, 50

30 Soir Montes, 0 10 lac, 9 I51

TOULOUSE, 30 Novembre. auras ntoPies Europe: il se fouter dore pas la ParlerParis, 29 novembre, midi si la Fra était seule menacée,

On assure que, dans le sein de la com. ni en parier do manière à nuire à noire

missiov hier, M. 'Phiers avait accepté crédit.BOURSE DE PARIS M. Thiers e.polo las conditions de lal'ordre du jour suivant société moderne et en t 1 de laa L'Assemblée élira une commission so per de ter

1

oriété franpaise an point de vue desd !du `29 novembre.é e i i es0 bd

A. Coupeuse.

Valeurs div, Cours du jour

52 83S 0/04112010 76 !LQ

2 1/25 finit.finit. 1871 83S'S

5 Oiu emp. 1872 85 90

A Tseu,.

grue, e,po, .e vmeme 3 torts des closesentra elles. Il démon-- ra PIil

eisté

mlitécieldit tons de la responsab tri en pend consiste le parti ie désor-Coma q,roe. vielle et les attributions des p'0000. die et il 910déclare 1 tst le combat-

p Ilublics. Les diverses proposil tdo,52 90 limlionnellcs, laites par les

mmembrus de Ire. [ ni le mal il.orasce de

e. l'Assembléz, seront renvoyées à celle p,pladontont on Batte les primons et les

commission. . eonvoitlsea. Il répudie formellement le

85 80 OI. Thiers aurait de plus accepté que cialisme, désapprouve vissant.[ lest d'f d 1 této dr ré -u s s

'o'32 92 59 97

3 0/0 cours ü2 87 2 UO

5 0/0 emp. 71 1^r .... *. ,.0/0 top, 71 `' .P "..

5 00 top, 72 1 85 12 8h 855 00 isole, 72 d Tours 80 92 85 8050p 1101. 67 86 871111

r 850 .. 8,0 ,.Mtsbsber M2 50 41/ 50sieb-Esp. 498 .n 498 75

C.smns av Fer.

OeiéauaNmelLyonMidiAumr" hieBanquede

805 ,. 5100

97871 25821 25 825 *+

802 51) 801 25

&.575 e, 4,591 .

BOURSE DE TOULOUSE

do 29 novembre.

Au Coueraoo.50/0 Emprunt sont pavé 83 80 70Midi 980 - 382 50

OuLLeaTloss Dlvesun,.

Midi 27)1 50

TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE

Paris 28 nbre, Il le. matin.

t t 11 I M. I.y l i1 li Yi nueIa et

I né t 0I I 1 J d 1-lel 1 1 1 1 d f I f l g

lire' t:l I Taud ,f/m ddti n

Jo rial qui publie le teste d p'M. da Co"la", B'rontendue dépdrhe de

au gouvernement a été induit eu erreur,

.. vaarea

FEUILLETON du JOURNAL de TOULOUSE

du 30 Novembre 1872.

i NSilEI N, l IIIJ 11

XXX. 9R

Pont avait en 'fret' reçu le billetan oment oh il allait mde Morisset m

ter

eu

voiliers pour reconduire à NeuvySSme de Ligoiirres et sa tille. Son pro-mise mouvement, comme celai de BI-gant. avait été de blimer l'initiative pri-se par 1 avoué ; de plus, le sang impé-tueux du jeuoe homme "était, tout tl'a-bnrd, révolté à la prisée d'u.e autrepoOrne, substituée à la mense dents anaveegeaocs loi

e,regardait que lui-y rrinpnrquel [Te ' u rn

s'était il constitué l'acteur pri ci pal Psllaxait donc passé pou u liche, lui, danscelle rencontre a laquelle il semblaittre de'eobr ?... Iblbe, t, dont Paul se cap,pelailles aspirations uecrétes à l'égardd'Irène, avait il voulu forcer la recon-eaiseonee de celle qui lui refusait uneréciprocité plus Batteuse ? A nu sil M. Morisset Il peut pourtant pas sêlrepoint de. vue - ceci admis que àloris- battu pour tout le monde; il faut queset s'était battu pour une cause en l'air ce sait pour monsieur le ramie ou pour

il fallait bien s:amser que cette in-tervention iuattendne avait di, complé-tementsauvegoeder l'honnee, des Beau.champs.

Toute réflexion faite, sa ordre consul-tée - en n, metmny toutefois, eu ritse,que l'article injurieux

te!concernant le

maire de Neuvy, - Paul avait fini parpencherdn chié de et mé-me de la gratitude.

Morisset se sorfuit'd'un mensonge quepuer retomber loir, autre. P t-dantasnonreM. de lie h p npremier mer e rit fut d. él er aa -sol dit A t d.,levant de Pau) p ur lui expl q ce com- Lh bien, monsieur tiigaut, repritme quoi,'étant battu Peur Inr, il avait 06pleu eevxement le jure comte, il fontrétiniennes cru devait attrbiler, pares. ailrrI l1 Uni e,, le nl de 'rite, la mien à

y pla Commission esommerait successive. genres e e

ment les deux parties dl, programme, tition de l'impôt, qu'il affirme être plusen faisant d'abord son rapport sur la egnilable an France que dans le reste de

responsabilité ministérielle. l'Europe.

Le désaccord se serait produit sur ces M.Thiers rappelle qu'il a toujours cour.Q s I pins bref dll r l l - bult par I force nqg and il l'a

q 1i (c l 'b l !é tulle , I. s pas1 .I p tai d t Il p t,.ste o lo i'm t N ré ]'a c ,eeraurans Gl_s tb 'J I t

1! ii ..s voltpar Il. 1l;, :.L i f u J ra eu

On asana J beaucoup de députés Il f ngae I I I I que do gouverne-du centre droit sont disposée : lu col- ment dans sus rapports ove le Saiu4ciliation. S;ége ; il blime la politique de l'Empire

Arase n vtcns.

Versailles, 29 novembre, 8 h. loir.A l'Assem6iée colle IL Thil,,s,

parlant le pee,n r, dit qu'il veuf seule-ment dissiper on, uivogué qui n'estpas de côté da e verne sent; il vientdégager st, rieponsohilité.

n

M. Thiers dit qu'il n's jamais contestéle drolie" urrrain da l'Assemblée, maisqu'il a su partout une preoeo galion des

d: 5a 1 1 . Il .tqe prtl e,s t p pBo a,collet

e L 11e oo lellc ]orme de L nver-enl rem me dé5olleur.. Ils :.gel sosr-

i Prient ode la l'nrmn actuelle 1,0nécessités gonvenmmentales dort elle a

l+eson.L'assemblée a nommé une o ste

e1

edon.M. 'Phiers, ssoa

s

s vrilla su

queslinn de procédure, accepte

leei.

tins telle gpaille est posée par cette com-

mission.11 affrme qu'en parlant d'ébldier lesalsboles

ai butpin f

tl, n 1000 plen.s e dr.. t. l'anmoins I abordera

deux peint,.IcelleRI1 p

'a cey 1 'de 1, t .d. I

d g... 1 lt dél f-hl TI t qI'I :IPain du di'eordre et qu l filet le s

efller.-

étuis ce parti n'existe pas ,en-l'aient eu ]'rance, il rit

partout

es

cès de pntdeses, la cause du duel àM. Rigant. Mais Ursule, l'eerétau1 parson bras valide - qui était le bras bles-sé-

'Il'

Icims laissa pas le teoipe,

- Monsieur de lieavehamps, dit ellesera plus franc que voua, et nous enobtiendrons peut ôtre la vérité.

Paul, qui de so. ôté, avait iulérét àécarter eu mère dit débat, n oral pasdenei faire mystère de leu intention,avortée par le fait, de venger M. le mai-rn

Après avoir salué Ursule et sa fille :- Cher ami, dit-il en ]endive[ 1,

drus mains à1,avoué, mon camr'etIl

ce moirent fort perplexe : d'odn partje voudrais voue remercier, de l'autre,j'ai bien envie rle me ficher....

- Vous ficher, mo,sinr le comte. Ipourgnof donc, t Air ! aie t Vrilliezprendre garde : ne serrez pas ai fort...

- Celle blessure ma r mail pour-tant, reprit l'ail ; rappeleo'eous

-qu'il ne faudrait pas recommencer, etlac je veux, à l'avenir, régler en per-

s ffaires alcoolsoToutncela devinait de pl., en plue Rnig-m

c

atigae; Aristide n'y comprenait rien,sa femme non plns-

- Il n'est, dose pas possible de tirer

celle énigme au clair y drmands e, Ils-ci ;

mL'annoué jeta rapidement à l'ex-étu-

diaet es droit ces trois mots; d'un latindouteux : peu domino civibet(s, ce qui,le verbe sons «Raids, signifait psur leseigneur de la ville . traduction libre e

pour menaietr le maire..Ylml serait au vol l'intention de Moris-

art.-- Mais vous ne savez dore rien 4 de-

fils nemuedabil. M. Rrocbard et on

05ont pas mis mi routant?us li tèNe,, ne., voyous pns quors.

s te Pape, i prudemment sacri-Bévà des intérêts agita-

tion).

M-s'indigne qu on ait pu sus-

pedm sa la cils politique après lespiles a[li]ta

de orâen. Ildrmande siu par ijamais son altitude a canné de Finfolle. Il rappelle comment le pouvoir lui

é donné. Il dit : Que o qai osedie

re que j'ai demandélee

ppouvoir es

Iéve 1< tl

chic'im osih1, de recteSi la

ns àBordeanie x. J'ai dit: Si oétait sa la république pourrai

tersF.taitce aa on sue mal"'ilt ,

on trahir mon mandat?.Ni.geThiers répéta comme dons soa

message, qe"on davuit soutaair la leépq-btique, gouveruamant de Pait, comma é-tant le terrain le plus l'avivrablo pour com-battre le mol. Je l'appose ov ronfiauer

unmcvt de combat.. Nelreà . gourerpolelgnc a été de réorga,Yser le pays et

s t l l'oMre. Si il trouvais la pusIb li ire monaichie, ne le diJ. faire

o, courirt'il n st icic m .t n

Si s e l toile bl 'lits

P 'Y ',oh b)

1 sites ni descendred 11. 1 do soir, tje ne oralpins t tôt il J'sera satisfait àma s ce. (Appia

et

6 mente à gau-che. Silence udrotr).

L'équlvoquo doit cesser; à vous de lafaim cesser 1 je n'ai cherché les suffrages

set excellent homme; je vara le douvepour ou digne et vérllable ami.

- Le bavard + pensa Robert ; il vam'ôter le mérita de l'initiative.

- Après l'article d'Augustin Verdier,continua Pool... Vous savez ce que jeveux dire,.

- Oui ! oui ! Passons 1 dit monsieure mare.

- Si vous passez toujours, noua nesaurmis rien, bielle Aline Bigant.

- Plus tard, ma femme, je S'expliquesui... Ce s'est pas le momeet,

l'art raconta en que ..es so'cma ladémareho de lietclr+rd et la sinco ,Mortsset se snlutisoient a lui.

Qeo mmialene le vartu

, vousinfime ! pfrsouee I s iare

u81. le ma'-talle.

lleocbard, Morisset, le comte, tort lemonde avait donc soute prendre fait et

se pour loi 1 Il n'y avait que M..lu-les, lequel semblait, ait celle eirco0smn

.saqué à tous sc. devo[rs...Celuendas0, à on antre point de van etRi gant (o reconnaissait implirite-,et -il s'était peut-ê[re, eu s'absmnest, mon.tré le plus sege,

- Bref, acheva' Paul, ayant sauvé legazetier des griffes de Direction], je mepréparais à le f'rubgee peu moinsdnremenL c'est-àdire 181,5 à la nbarsgne, Morisset ici présent, dessine de

nonfian0e, s'est perdus de me rem.ci aplacer... Voilà toute l'Insloire.

- C'est toujours la houmille à l'en-, reprit Ursule ; ce que j'y vos de

plus clair, dent que motu mari devraitê t re déjà chia le voisin.

- J'y cours, répondit Aristide ; maissuivez moi tons? Je veux que lu répara.tioa suit pnbligne.

Au ..ment où le cortége allait s'en-gsger dans la rue pour franchir les que4

GBEMINS DE PER DU MIDI 17 D'ORAEANS (Sortie. d'YM),

Arriviu

Ratio, a 01 Mshuj 9 ilbir, i 20 l"u, S une, S 40 bir, 9 36

10111 V5554us aazaa-aw

Matai, 6 10 Mat. Viltete, I a3Soir, I 55 For, i {7Soir, (VBlefruJ l te Soir Teuos,S il

soir, 4I 3a

de persouoe, je suis applaudi pour maloyeuté et la sincérité de mon attitude.Voilà comment nous voulons la Répnbique conservatrice, meilleure qui an. gnnvernemeni de combat, . car, aPrèsle combat, il font le fermeté et la mu- I

j dératiou I.a pnlitigne de, combat, autre- I

fois appelée politique à outrance, n'a ja.mais éusi.

M. Thiers ajoute qu'il n'a pas agi enhomme départi, il n'a pas mpromisles mêlés

éluéts

eoeonse rs ostra-

tion a été confiezb

à

de,des

hommes

mesprpris dans

tous les r él chou fetr s'abs-tient dan

ess les élections. Le n

o mbgois-

ut des républicains est leseulseul guide

do suffrage universel,L'orateur réfute le reproche de àsert

ton souvent à la(rib

et de pdeniser àun oup 'Etat. Il terminsan

Laquesdhou

o est plus une question deTes ee. os a^ lent le, mais de on, -

Il'ose.

SiBi veux me. aeuenui ezpas plei-

l'rit oie n je roc et n rit a e de

des Jejoie

l'a, dueutt[)car et âvaut leshommes, que depuis deux ans, j'ai servimon pays avec ou ssnsbarres. .

M. le baron Er...1, au aom de laCommission, en maintient les résolutions,Il repousse I'ameedr présenté parle gouvernement,

ereore,e.diq.e la r s-

ponsabrlrté ministérielle. Il supplie .

Thiers de an placer à la tête de la majo.

cité et de couper le sable qui l'unit à laminorité.

M. 'Phiers répond que le goneerne-meat de repousse pas l'ezamee de laqq f d pouvoir ezécuble mais il

t q t les les questions naexescent examinées ensemble ; il demandesrissi le clin suspensif comme une no

pensation pou e le gouvernement. A. cesteil maintient l'amendement présenté parle guvernemen

Gel lemire 14, s est adopté paf 370voix contre 534, a., 704 votants,

ALTnn ntrécllB

Paris, 29 novembre, 8 h. 40 m. soir.

Après un discours de Cl. Thiers, tués,ate.ur, l'Assemblée a adopté la

1 p 'hou du gouvernement par 370coules 334, aur 704 v.lants,

La Presse annonce le mort de M. deLasteyrie, membre de la miaorilé de laComroission I(eedrel.

Ah I s'il ne s'agissait que ,d'acheter nabonne corde pour tes pendre tous,

moau-

aieur le maire en tête t ... Mais qu'on ytouche, à mes cailloux, et nous verTons !

Voici ce qui étui[ arrivé

Avide de tuer le temps, surtout de ma-nifester d'ode façon quelconque ce qu'ilappelait sa haine contre Itigauy Brochardavait imaginé de hausser le mur mitoyenattenant au jardin du maire.

-J'en ferai une muraille de Chinasétait dit Brochard; dons de sommespas esses chez nous; je ne veux mêmeplus voir la cime doses arbres..,

Psrh de là, aprés avoir estasaé saine-ment délits sir délite de chasse et deLeeec, snag', 1110 11ard cncnmbrnit moh-lesal da o:,see le leolloir et la voiePn1 irluc, L'ugeel-seyer avait Cl beauI av +iq le menacet,lr. prier, rien ne fai-sait. Au cnsteaiee, l'entité multipliait lestombe l'sus comme sil s'agissait d'ageao-die la ville.

0e, Bide haed était, eu ce momenten lotte avec la police urbaine,

qai voulait, à foute liures, dégager la

Quand il vit Aristide renie à lui d'unair souriant, son premier mouvementfut de renie r chez lui., Mais il pensaqu'il aurait de faire et faisant voit,-face

- Ali t ah I voilà S. Majesté Monsieurle àtaire qui vient ecoesrxôer ses sb mes

disseMon

pauvrete,ocl:ard, commençap

Rival- D'abord, monsieur, je vous défends

de m'appeler mon panure Brochard Sius être plou riche que moisant mieux

pour vans I l'essentiel est q', il ne vousdemande rite...

Puis, se bernant vers les agentsanse pas qui séparaient la maison Rignot - Allez donc 1 puisque vous ^poêla ledP. la msioou Irochard, off t il t droit, I I 1. tdernier vocilerre, en plein (lot t s le ly 1 I.Ire l'admmiBDabnn'de la ville ll a t et le fa 1'j

- Les brutes I les Ignares . les bii- c i t nu, sas vogegne or le rit.-gonds t disait le voisin ; ils cherchent y n eourageu que ' ose v.as tenir téleltoutes les occasions de roua molester.,. Mais, ja voue la rpéta, si voua ne rouge

a,mvx. an UWaabaas. N. w

TAMV lem AMMO\taa

Annonces, la ligne, 0 Ir, 50 a,Réclames, la ligne, 0 00Faits divers, la ligne, 1 00

Toulouse. Typographie, Ph. Molsaonp, peule rue Suint-t'

surs, oietca,

Paris, 30 novembre, 5h. matin,Le Jouesul dse Débuts constate, avec

plus de résignation que de satisfaction,la majorité par le pouvoie exé-enRf. Il dit que c'est assez pour ne pasmourir, mais il ne sait pas si c'est assezpour vivre,

11 ajoute que ce vol. aie peut donnersécurité; il eu résulte quil n'y

a pas da gouvernement.

La proclametion du velu, hier, a été'cueillie par les cris de : Vire la Répu-

blique! sur tous les bancs de la gau-ch.

A la sortie de la Chambre, I, l'orle,dans la rue, a fait entendre re des vivats

l'honneur de la République et de M.Thiers.

Use mauil'eatatiou semblable a eu lieuà Paris.

Le S,ecle du que la Joneués d'hier seen désormais une date mémorable, et laPétition il.. de la trosréme rêpubli-que,

L'ordre du joue d'aujourd'hui portel'interpellation do M. Yrax-Yaris m ],aadees=.es des conseillers maàiIipz Oncroit que M. Thiers ne tenailla à l'As.serobiée.

Madrid, 20 noiesnbre.A Bojar, 40 des acteurs présumés de

la rebellion ont été accoté,.On ura qu'il y a eu 35 morts à

Marrieasset 23 à Malaga,

Le chemin de fer du Midi réclame laprotem acu du pour as-surer la cnculauon des trains.

CHRONIQUE LOCALE

Sur le compte rendu par le ministreda l'intérieur des actes de dénouementqui lui oai été signalés pendant le moisd'octobre 1872, et aux termes d'on rap-port approuvé par le Président de la Ité-pubbqur, le 2/ novembre, des médail-les d houneu, ont été décernées auxpereouves dont les noms sucrent

Aude. -àf. A. 2 classe - R chevet,chefde gareà Caetelnau daepl 1010187)lest parbcuhérement lait remarquerP" son dénouement dans plusieurs in-aendiea.

Grs. - M. A. 2 classe. - Capmartie(Jean), cuit n..ier à Beanmsrehés; 21

pas que je tombe sur vous !'grandscoups de trique, ne touchez nia ces pier-res, et à ce sable, qui sont ma propriété.,

Itigaul fat signe aux agents de céder la

place,

Cher et vieux camarade, dit il, tuseras donc toujours aussi emporté quebon et généreux... Voyons, veuxtu que

us fassions la paix?... N'as ta me permettre de te remercier Y M. de Beauchamps mraconté ce que tu as faitpou.rampmoi,

ce qui s'est passé à Epi-nal

- Cl. do Beauchamps a eu tort.., J, neongeais nullement à toi.., à vous, 'ras.

je dire,,.Tout eu partant, Brochard regardait

ne hmolion mal contenue, la mainqubu lui teddail... il ai, il flt ra-dement rentres, du petit doigt, anaIurme imprudente, et se détourna,

litais Aristide avait vu cette larme; ilprit son ennemi

intime

par le ceu, etl'embrassa malgré sa feinte résistance.

- Brochard essaya encore uni .toutde faire linsensible; mais il était à boutde ibrce et de rG+ixtanee.

-Je Le tiens, dit le maire, en l'entrai-dant vues sa maison, ta ne m'échapperaspas

Mais le captif trouvait sa chaîne tropJoute pour essayer de, se rompre.

Lie retour de lroehard fol accueillipar uee cris de joie. Lucie et sa mèrepleuraient d'attendrissement et de lie..bloc. Le Blond et Thérèse, Muette etJacgoelct élaieul dans la joie. C'était àqui apporterait le l'ouleuil, la pipe, le

e d 1L B, choisi : préci u s met gicesuxqu,llas perron ne s.

vaitsetouchéde-

is qu'il était rentré cous eo tente. Onvit même le ...,ai où Morisset allaitapplaudir des deux mains ., Mais il sesonvht à ce]cps qu'il rien avait qu'une,

XXXI

P0d et l'avoué larsséreal bientôt aleur mutuelle ivresse le, deux familles

réconciliées,

-plaiolenant que nous sommes seuls,

août 1872 ; a arrêté un cheval emportéattelé à une voiture,

M. A. 2. classe.

Entende (Jean), brigadier à la com-pagnie de gendarmerie de Tarn et Garon-ne; Verdun 2 atôt 4872 : s'est signalé

par son dévomoment pendant l'inonda-Garonne.lion de 1.

M. A. 4^ classe. - Maury (Jean), gar-de champélee à Moissac; 14 septembre1872 : a arrêté une vache qui, devenuefurieuse, "était échappée des mains deson conducteur et irait déjà blessé mmpersonne.

M, A. 2 classe, - Sauté (Antoine), à19 septembre 1872, s'est

précipité tout habillé dans 1'AVeynurpour sauver un jeune homme.

aacuursuevT ne Circuits.

Le délai pour les demandes 8 08mis-sio. à l'examen en vue

dit

vulontai iatd'un an, est prorogé au 15 décembre pro-hain. Les jeunes geo. mentionnés à

l'article 53 de la loi a' rit aucune dé-marche à taire avaut la cldture des eue.

mens.

CONSEIL MUNICIPAL

Séance des 18 norembee 1872.

(Suite et fin).

Sur le rapport de M. Izar la gratuité

des imceipUOUS b l'école de Médecinepour l'année scolaire courante est ac-

cordée à àt, Léanté,

Les conclusions de ce rapport sontadoptées par le Conseil.

M. Darrieus fait le rapport sui-vant

bons la séaoee du 2 septembre der.aise, assnez renvoyé à rue emnmis-

n composée MM. fille f.refeet moi,

l'exameu

en du Projetde'aheer

des charges pour la oloécoutille. desmaimai-

ons nécessaires auplace

ont de larue Longitudinale jusqu'à â

l la

a place Rouais,et pour la vcote dos matériaux qui na

prVolrec ommrssiou, aprés avoir pris cors-uaissance du cahier des char;es,

Consldimnl que le tory t expeopeia-Uov a ait fixé les indemnités duesaux propriétaires et aux locataires desmsimns nécessaires au prolongementde la eue Longitudinale jusqu'à la placeRouais, il y a urgence d uernrer moca.tôt que possible à la démolition de c,a

mou cher comte, dit Robert , je vouadois dea I ce nont pas departi pris que je me fusse permis de

empnreie sur le terrain' mais voicice qui est arrivé... Jules et monétions allhs demander à M, da fil, ingmanderie le reeroi immédiat de son ré*docteur en chef. Nous voulions que leduel enquit par an basa , c' sGà-direpar l'éclipse totale de votre adversaire.Je pars pore Epiml dans le sont uniqued'aider le couppable à lain. ses malles;car, chassé du journal, il impuetaitl-

re qu ïl le tilt de la ville, ae besoin,j en aurais référé à mon ami le préfet.,.Mais M. Verdier refuse de partir. J'in-siste, il s'entéle... Oh t alors,.. ou n'estpas maure de s choses-lb,.. Je luijette mou gant àla face,,. Vous savez leTrente... Cette queshou vidée, cher ami,j'ai à vous informer quo M. de la Com-manderie s est cenduil, eu tout ceci , leplus galamment du monde : Verdier estun homme à la mer; les exemplaires dnjourrml ont été ponrcle ansés et détruits,autant que possible, le cliché est en pâte.P<ut Atec eunniendenil il que noua loifiissiovs ove visite.

A a vérité, cette démarche était con-venalble, mais Morisset n'y songeait quepour étaler son bras et sa vaillance,lundis que, pour Paul, forcément réduità l'tuacbon, elle n'avait rien de flatteur.

-Si vous le sondez bien, répondit-il,imal ajouroeroos cette visite, M. Le-

r est encore au chiteau , et je nveut pas le laisser partir aans le remer-cier

-Suit, dit Morisset, venillrr. me jeter,en passant, au tribunal, Jules plaide cemath... J'a; bille de. lui apprendre que

'avons plus à ors oo uper deVerdier, et que , pendant qu'il défendl'orphelin no la veuve, nous venons de!'orphelin

sa fi ... été.gais l'avoué ne voulait pus perdre l'ad-

miration que devait, selon lui, lui té-moigner l'agronome.

Vmnon PERCEVAL.

(La suite à demain).

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s on ;fin Juan I -i ;rgrau in vote j rsq 1 v Ii sel I r+ le+nSti , ne., la pl. r It , Ilt p v°q

t I. h-:.animal c",sas - Il ll. 1 t I I

cos

p f 7 1t Il, vinsP j.d Il or d's i g 1

1 et I t d I il Ij.,aiM.Ilun d 6 1 s t 1a Il, Ilxp tue

an Pd l situées, ue P R- nDa'gac t tl g c .sit la Cme delombu, 14 t 16 et de 1 n r e hôtelDAuriol, situé place Rouai,.

Le Conseil délibèrele Il sera fut adjumcatirr, eu tros

lots, aux cochères publiques, à l'ex-tinchon des feux, eu laveur de ee luiqui, i ur chaque lui, fera les riTres Ipl osulugeuses à lu ville sur lesses à prix suivantes, savoir :

1 lot. - L'ancien hôteld'Auriol,sur la mise à prixde neufmillefeuuns. 9,000 fr.

2a lot. - Ancienne maisonVidai, située rue Croix-Rmra-

goon, 2, sur la mise à prix dehuit cents francs. 800

lI lat.Anciennes

maisonsDusgae et Macagnor, minées

duc de[a

14 et 16, sur,1.-

il

°fre à prix de mille niecents anca. 1,1300

2' Le projet de ça hier des ch:rg.dressé, à ei eget, p M I I t.de la ville et adopté dans tout soir cointenu.

Lesconclusions 1 r rt t- p

fée I r I L INI.Yal il f t r t, Iv dm-'=1e

le M Tlvnlle+ f q .I irAe fa unu... top d,1 ll 1

pma Ire I 1 e,enbin yu il a adents _u stem Y nier,

Lum. L t d i 1 l 1 - 1

c riss non i i f +pt

roi ouf 1 a t t plus lIl I.trouve d'accord I tin l pet,su-aprr i'+u J.I Il I ell

eta cet

par

elt c 1. 'Iquele 6 7 u I l f

f -de 10D1 I le fait' pAl laisser, avait décidé, dans uau dé-fibfration antérie+n-. qua le prix devait

n die puetf. à 200 fr.s A1. Canton, aujourd'hui comme lors-grla f so ' p a t r la 'oui del Il t il ;a de

1 11 camus 1 t li e accepté, à c duait.dru t d, 1 ,réemplois dus 1,ropr étau, ceunire,p elserall les adjudreataires sérieuxde la Pré l et retarderait ainsi les

iual rut Lions.M {lai uae vundr tiC yne le Cousml

nipal f t égaent ave lui m ecous,t .mm ,dt Gxer le prix du mitre àlllla

opinion 1 f l est dueurple lepris If t et il luth, la commission detolmuiar ses eanelu,ione en c senNI.

Val t propos"

onséque eau t.onau,] de prendre la déhbéraN iv

i la lettre de M. Tivollier, en date d u26

V

mont 1872;Vus le.'.lire deM l'ingén'eur de la

suibicville, en date du 25 septum

`é1 , le Maire est autorisé à céder à 11.7ivc ]l'or le terrain situé devant la m u-

v l il a arques deM. Pourpier, sur sf t 1 1 u pria de 150 le ler Le

.et,, varril.sont adoptées.

S m + rapport de 111. Cousin estad;nis'e on rm vole u sommede 12 le., portée sus: le b `uétant due par AS 1 aur t Go. s c, ancienlocauir 1 -'Placeront s" I' rue

g mp,I et plat S l Ctcelle fait dbl Iii suernommeIls q ri Ironie Lu campe de M. su: es,lit IL

Il Pet t t l u Lie

ta gllom l L t ,. du I pl niSort, ppde M Ce Ii'i à

le i+mr i. d-.l de (ruiduit a ahteui+ la d ,

L i t

cola

Malabia et rue de l'0 eut, le Ler I

c't d qu'Il yr nom 1 la sI t t,esi t

le tira d t s ag t à rumen de 15 f/e ,rétro ,orn

Au no. l d I f emmtraité

chargé, devi11 lle sic d. Projets d t'mité outre la

] 1 p p s il t x ail1Il IL

d'OIt f I rlcl, M .I ily fIl ;Li

'tin ll ID. li,tr..1 -+tiunda9ou-loi,

brv1872 M. le M .t et

I.bot b t rd d I eux

1u' v p I. o t pt bics, I:eimités passés -ne lu lle t f ulo

1:1 r e de t'orlet et le, pr°pridtni'nnfuri s duo 1-i dons l'nueu'

1,1 '01 P courante ou temporaire, estautre Peur e dese

rrelatif

gici iesf,'I ,.n tex du. I y I d. liué1 I pelé t d au né-

c,. e . 1 'a d il La com-te le 1 ctet cède à ta ville de Ton-ens^, s p de 20',00 Ire tin fenian

de sis boumera, avec le d sit, d'oocnperd'une mamére permanente le sans solde divers autres terrains.

'roua 1 actes p les proprio.foires ci dessus d.:ig-Osa(I) pintent des,.mdstions et des prix identiques c'est-àdore 1 D. 50 par mètre carré pourl'un mpaunn permenual et 1 f luanu,,e ai p r notre cané, pour liceIndice

Gn Is tl poesihle de déterminer,d'une manière peécI, rendue dessurfaces, Il l'Ingéaieur de la II évalue approx malrvement 0s 270 niéires 70 e. pour l'a te o-rupedélmuivement; à 88,000 mélr 'po riesterrains à occuper temporairement.

Total pour ceux de lapremière catégorie, 27,955 f.

Toml trou' ceux de la

0) C.e proprrétatr-e I MM. le Mitre dus1 6 t 1: usna Moulin, fi iv, Colla-eot, deSt S n, Ira iglade, ,t Mi Capa IL dar umel,

ttl l,ore, 8,800 par M. Oa I : 1 I d I I I I l, il, Gi 1 I . p u I I . il, eé t t L ' t t 1 1 est ,' e ..a n q utire t3- V,, , ehf Colon, enlssnolh pur 1. g .. h ev du c, o r ;he et d, ]aga - aide x 1,1suée, a p t e le ouce

Tel I il é I f 7 1 I+ { I L ilé 'd ! 1 l' t II I l é h d I p' t t l

l T pid, Il il il iI C! A 1t 1 g 1 i, M t évp e I J'es e, 1 . t tImI9 lé 1 p

é 0 f l f t d l' d q'.1 a 0 U00 f y

M IM i I d hem, 1 t IL, 7 .

ce, t l P 1

] 1, il 1, i - I I t t I t p L T I dl 1 d 18071 m o l qui omsJl s- t p l i l . à I l 1 - e I I b b . ' .I ' I , s l t hp-méréo pontIl , Il il 'L' Il ilII m . Il P.I Il I III, il, ,il

P 't' t àl II I I t 1 {i: t u I .t 1.1 1 d I I 3 lie a lé PI le is' MM B Ir rir, d M D pP o u p l d t d pl I lie i t out lép tl l

lpl j lein, llll1-o .1 ilI t t 1, I f t t t p[ t

o l x i i l lt N b { pi, ( il q t q P I tl tr d l i 11 nlai oi.,u p i p e n d s a

LonI t t

AI VI Vigé, IL D' t a,.", i m 1 t I le t . p, q : r p u 1 i t te q I prince, efl lle ILq t tiré. do débat p 1 1 .. m tél .yl d 1 l par 1 d ix mode aax. il. bl.-F c

, -Iltld ,ulablcI f ta euge{ PLI pj 11h 1 p eut o {n les ponte la ça t 'Il suit , d e , ce Iamet pr ses (rinça. es IL, anela.es. ce q f o n t emcnt 1 oaneurCcs uo elu.'o s . oplées'I d si D 1 à i lion t é. x etable acmdeu4 laLILL III,

IPM. Gar puy pré-eatn, le rapporteud.

vont: d 1 It p tld p drlautLe25 o r b e 1871 vous avez me lad i

l1 M lugé à

noyé à t'.x doute comm,e,ian com 1.000 le. d rude et ,,O00 f de dam-

poule de MM M I 'taon et Cal' iPIJY, 1 mages is téréle, M. Cuao à 300 f d'd

1 d00 pt i. t v-

1lapp obit

LaLi1é réal L I. g .11 v_Ilm tIx il

de I il do C,nnaervatorte et de la PlaireM q

ba-été à l' rd m aL

pub] ..t t d ,1 gin _ete

I 7 u politi-a té`donné

duc'ques de Toulouse et de Montpellier.

ee w.le Pr sou x ppé

Lionde M. le Préfet, qui a refus de l'up-

Jcs,di soir, vers 5 heures, le nomméautres q comme contenant des travaux B., dgé de 60 mas, llier,

la été ren-

autres que ceux désignés ]ami le caillerire. A

dis charges, ce sont ceux de la place versé pu, une volons. Après lui av.ar

Mage. C'est pfait pan, que le cuhler les Gill donner tjnelquea soins à la pharma-ar-ochargea n'en fait pie mention, non pins se Ben1ec, I er leur Involontaire de et

que lad ( béret d i C 1l ni a oIi e :rv cee an blessé et

{.1 ia q le ducI

t t I Ut o t. 1 ana domicile dans ansons o tule u plate.t i tical ::1 t f p l d. lil, v

La ,à exécaler su, la pleur II o., et jouiil s le l d 6,600 fr. I p l f E

O a arrélé deux individus, pour volb omp à Cunbr+nzard dans le ehdteau.II... .u 1

1 M I'.Conseil dég I e cetteit

les motf exil 1. p , lasurbéret ilula

ea I L It

iat ange rl bbrrin::, lu

et mil I1570.

1 Ça I Lpt I

M. Cri 1. fait l Ipt l

Veux av z eenv )yé à colinlu m, Ilposé de MM Bu seau, fini t Car.

I l aine de 1 I motion de terrainsni - il 1' 5 I voie Publique pourl nxeeaaiov de divers plans d'aligne-

ments.L écil e, ion des terrains pris ou cédés

à la 'lie, ayant olé faite troc M. ['lugé-Lie ve dé la ville et les parties iutéressées

et ot.^e II., -crupp la délibéra t v. fe tvo

Ms Ie1i e ls 4 à p tee

actes n { e rendre défniliDes les acquisitions ea ventes qui sus

ven

MMI.

Bo s ¢ cite Mal et por ecule-ment le 3 62 e 362 f

usan-A arc i Il!' -) q IL,ce e t i 10 71 tir. 60 eil-

fion r S tMalin etBonRe-i- t 1 1f' 90 c. 1,07 te.pull,

C 'que P-.y aet, liane Rauaiv, rotalament d 2d 88 c. -9,711 fr.

De Lappé 1 TIus, reculementde 2la 10o 815 le 70 c.

Simo net, roi, de, Pleurs, roculemeutde 2° 46 c. 79 fr

Baguas, née Ilavld, I Piquet et del'Cumle, av uement de 98 5A0 fajoutent de 4'n 139 I. 57 le 40 c

dosas p quai d. Tour,, et rte det tir 9si 95 e. -

A98 1m. U reealemeut de 15" 56 c.311 efr 20 c.Ces °mlushons sont adoptées par le

Conte 1.Sur le ppo I l vl V I tl I C on-

iladn,, . I 1'.I tVu la It J I, 1871

dus Bureau ue dr, de L. C de

T Vaulneu. pt 7 n At o é..tté à

la cnmm ss un du Bde

D -

nce vu I p d

.lL dtt de celle

cnmmis-

vnu'Attend q I comptes nt exactst

a Il , t;II a t l t 1 I1

tle T c tique Ira r.:.ells la de

aqi,i j t Fu p' sein

él,i ré lé tbl s

R I B enlC pies deIL'fo 1suce de la ville dllI

Au uorn dI: la eomm'.e, on chargée del'examen des observe 1,5 a de NI. le Préfettir l e v, l 1 L' l p l a u otl I t M Ct II. 1

t a s 1 é Lie I ot19 Ça

et .tubs p f I I 'f. t l'aLa I, ,,14 Ilà! Ié 2 'uns

v. I , dIb 9a

tn! I lit anie, à p I f se des! dis la d. 445 f+ 50 e. psuemort, La

élue alto sM au sieur Cliche, em-ployé de la Mairie.

Celle dol bF l, L ma pus it Pire 11 111

Jt c, il p y it - pl yé l'a

L uns c6" ir s I"et

nt du22 plein b . 1801 a 6 plu 1870jour sonnu ué' t eAceej

leP ft

ds

d dqrL'ar1 17d ] j d , I- lie

1807, p t t Léguaient sur les lnanion d t e l l pl y és l.

* portent n ie Inoleme t ,sas po ivree les répéter dans aucun cas, las l 'h t 0ede crmiuf { I L I

Le vo d's éPt cochair' àd sp l t pas dé, lu" su

d jp b'L.POIL!,1 nséq d I m m'. t o

so.nm tl gé d p I

fuemnal, de p l- In d , . fb00, sur les Ilf d lit W "- Lu

LIS il, 16,11 .1 ol:or, I que te t-. snI t ton I s'ont été It 11 qu'à

la caisse des eetraule,, ius propose de ne don r a a fe

à I t demande présenter par le sialChellu.

Ces conclusions saut adoptées par lacotisé 1

La séance est levée.

L m é\ igé, de 31 a d j. . nnol i - a te été e

_t r u u1 , é a cri n de deux tee. arprisrs à 2 hin

o l l r 4 A Iu eV + r l ,. et I:

t ..,q I -.,ée ilé. I

t rvenBo le Il ti le In quartier géLors].

>il al,tesrarn D 5 n I.xni m'i6 eue lu,,;6emlde All, e. 111 tu le 1{: n.

Pua 29 novembre.

Therm. cent. inax d'hier : + I5e5id. mi n. i de la nuit: + 3'o

8xri88a. aAAOY. BTaT an e nier Lonsci

9 h, m, 0.,751 0 - cou,. ONO faible.Mili )-,7100 nnag. Id.

Le baromètre banne lentement ; letemps est beau, l'air sassa pur et moyeneurent ara La rem Pérai are c'est relui

âm: à midi, le thennomèlee marq13e4,

M mi l 98 usa

Les arct d 7 I 1

ont pissé j itd

hier a1

l e utideévque et Nrrepartis memahNi

Jeu.ê,ne dus Nerres qui

maire,le ille q

t

a ne doit quitter notre ville quedemacn

Uv Oléa M. l préfet fixeombre des juré,, Leur, 1373 d 1

13V de T :Car, cee, a4a8,207 pouil l' r i t d

M.'I lia 111 peur l d t

de Mo,ss 1-7 Plume larrordissemeutde Castetsarra.: m,

Le.n as d I.y t. t d orspem er trrma le 1871, soupn In

1 1 I 20 j p laius lu pé 1 J M 4 3d non

ei In, à l d 1Il,[ d hMIL Salon If lh d j 1 s uTr

bnval de p'. é ire, d Au, sontnommés ansn, u,..

Taches, 28 ovembrU g dam t sculiritin f id bue

s'il t bit lin 1 j l r ie-11 1 v I I I . I l ni, ay

de i u e après eu prof sndtinlmine,

mais les habitants pensent qu'on lrrm-b Je ter I 1 adte istiid I [y

onp t l Lit 1

mi ai'delé

la guerre, de I L blissement de deuxicamp' dru veaux Il les dépsel meutdes PprémiesOrientales et des Basses-l'lréuées-

M l président de la République aul opl t. t p à ce sujet,

iidee de PI le f: s p(Consernutcur de Tarbes.)

.

(Nesaayo u M d ).

G d:cr tde M I l é Se.l d 1 R

pull j e, 7 là . I I."Il 111.t : 1^re h parisouscliptrm p I q , d'ou tcrisà l'abbé d l' balle, fondit le pinstitut tee Freres des écoles chrétiennes.

VERSAILLES PALIS

(Cerrespnndance particulière,]

Parie, 29 novembre 1872.

L'émotion est à so comble depuisce malin do,s le moud f t 1 .11est d'Ion ilLuI ce qui va e p as, ' I Ch h hl'afll revue si émonnui ep d t tun bruit 1 p du qu'au dernier -

I laél q ll i;à 'és l u, a

il1 t l

dos d'y mr_sions chargées d axaI 1'. osl de I p b l t t II

oséetue '.nitres questions p tirT 0le ta 1ff Ité gît d I f ta

de l ord' r i,, lot ' d r à l d n

de trarande

la f t r eà lu gve-st de si une réfo mpeut Litre mucédée 1 t D'aprés ce qd t 1 t il Out r-

uipouvoTéx.eutf,

et

c ne lele' la noldu 'ilg'srde des nucaux a e ee om ot Fo-celle de droite, tout eotr d'unetransactionon est loin d'être ébranlé.

Mira I faut lien dires hre #1 ode0 par eissat niana aôee o da comba,l t. C t'nielére qui se sent sacirae d Ivan,

a fait les e1Y,rts les plus énergiques pourt r l p sa. t à p' I ils t M. l s m. l L M

ont 1té sel s ég lemevt d-ul'op-Lis-mid I p é. 1 l t ggéré, à M. CI liens h s

la Pmère

d a à I - Chombre I

démissiozl dd d. p p - I fol

T ha p t

d p ll'li I l,Ix ,leilégan Ittf a 'Dus b l te, e 6 t t .! I b rit de s

fo l i qu'ooiI 1p0 a runi be.rswnptud,é a la pré

d, e -n élémrnty d t d. cortance. On 1051 d 11 g. mai

le monors d o l gCel il oula la énc , 1e

à toril proj t o i tuant D t coté, bemco { d'uni d, 61 Il,rs , p ua

minorité l i te du -ai,, lchralile,imme M. Plad, par cartmp

IL ien. a

.ltrnl usant qu'il I ,

te de renoncer à la

té 11 10v ! : i t aveu.[ d t t c t I:u

at1 011culs.

il Il le, l"i L., I'l), là l 1 1lonan,

le vote d'I d 1 j p t t linnuiilion a' nou coloul IL JI te Lit,

ambres ul g d I d I ton t lut onu tua , a p o cté e r fanon

de la e,np blité, .f

Au min de ,

brie de 1 ( x lt dl 1 Ait g d uN df ris 1 ant L sI 1

1

d'i o on lierdr, l ave haut.nier l I2 mr ajourné l'-xamrn des projets tonsa I.

IL il Itiluauts jus? lalb L d t tit el

fourniI

t1', IIIai I

d B deaux doit c e maintenir, pd.ir

{p t 1 riqu'il ssi La baset. cul et et lit l t rce.Cst à d'eu Pis croire ses yeux après

font ce qua dit{'

la prisa If JParia au ujtd rtim 1 lAlmagne. Mais ,]a est, -po d t Uvaut cana q é es detq I p 'Ilon

z jolis qu i t i, Illeut.col, Il,e ha jni

su.f 1 t Ber I a

c'él,uia ahl. de t t un é forMontpellier, 28 novembre. susceptible d g g lopinion d, à1 io

A. mommrl de mou pris

se, Rismmrk. Alu

... d I i qu'une sol. tr,il"mus la nouveil. dan mireuse

catastrophe mi cette après midi,vers quatre heures, an domaine de laGui larde, oie 1 nu 1, 105 dl ..atractons da notre Dcul d It ri,

st 'rLa partie anp'rue d' - aulit. tLi I[ v 1.: tplum..urs

Il,

Il1 "club

1 viiei

de Iml ééne sitLu t t d cpt L s l olé

ié,t iici

L l é Allélb la'er a aux L Lc, il

-ulr es oulél,, plus on moins grrévemc tb F .1 voici la Joie

mPOr:vt foui. ted-,

e,

a i, de

Toulon, père de l'entrepreneur de 1

c t ins s a t a

ibat ueL r viril q al ea .. 'Lit

IJL, Cc"d ntng, huit mus, et Polis.

Dès que le bruit le ce do, lo. r uvév d I a d II l

est môle, B. eh, par' e.La penor,nali!é dus M. Bstbie est vi

lemment a:laquée par le parti radical quie p é nt de nanan lmi él t. le il

4811). A 11 ép j , N I{ ll -t. tLsec,Wre de M L don IC 1 :1 1 -t

-x le - de24 e0 lot 1 1, 0

24 11 I { blil .t n l "soi -tb les Ic

-à la Ilta It

q .l l' l l fol memb t, a. é

I ou CIlg pPt.,: l lld s,0 qu II t 1, ré

le M Raoul Duval. Cela c pr lestétriai 1 n 1:es luide la e, nt ,r r I l qui

I t l -.nt -

I Ité let lé:l-IL

1Ie pic y I 1 l I

a1 If it, b i délu 1

é 1 I n àq1 .midi u 1

Plii ni d l .' o t -.. t Il

iiii lu.PI L i 1 Suil sg G'y t

a c'mis n émotion profilait,, 1 t àf p p. + i l 1 11 y 'e

té., se soit n d l I t 1{ l ou ll I i.les le f de p d l s l a ', II 1 ll n I. C I

i rJ 11 ct.ge qu s, g é d, l 'ill t di

Ill 'Lat gé é d d I I f f l deo,IA l t t nid I 1 I . I l " ' , fl111 1 Il

ta Gné, I M l d M to.lmr I l A..s , le-sgi Ill a appris-- " ' "!c J a ft't b i M q { rM.

I 1

., sps, est an II.él

IL,

t - I

A l'an t'ente do tribunal corrretbo'anel d e, I p t li 1 t I

d'hier s é éappelée l a plainte eu tuas MM les d u Il i i B I Jac a I q u i , l

maltuo parla voie de la presse, poirée quemet eL Saurtpmrre e éta col poilus à fol, r, nce au sort

luivet, out enU

au d 14.,senrassister

a

celle

{ y .

n f t bseParis, 24 robre 1872. q P 1 d.

.-

i n 1 If q e, rit

1 . et uneiv s a dénouement d r m i M d 5 y I d i

f mi 7 1Daman q lq hall .. 1 er g

l dr

:. I ly l -a

si.Idé- aura dit

cr I t t50le

moment eue le théatr, dr Vmsaul-les

lidyl

1 I,, dt Id t dq

lesmud la gare a n une budgétaires actuelle, t en tenant comtq-Dapnis ce o i e

animation extraordinaire; fous les trains de notre situation diïf,c:la à cet égard.os 0,,,,, usa a auui- les obsnrvutiorst àélaian 1, encombrés de gens sus rendan

Versailles. Parmi celte foule si l'onmatait qurlques privilégiés m

de billets, eu revanche le plus grand

b b 'es allait

a

l'aventure sans

p d, péalirce dane lalai-ntsella desI ils s'en nso e

p t q 'ils pourrdesl do moins stardonner devant la grille dus chdteaa pourLitre à 17ff t de le.Ies les nonve^l'es

On e payé d p ' f hideux pour se

et nus

user des af 5 d . la chamfont

peu Il est vrai que le

.coee

spectacle 4neva'aitil, p

Bpis hier, 1

d^ ., p {.rire

ente, te. f bue ont ouni nefl -ios,emenl entre d ""s embuesdu rentre Il ci des r,ubres d,ces ire. gao h 0 herchait an .11yen terme pual 1. iL à il Tde donner f .t I m , cité 'an.

com promette sa dignitéLe Conseil des ministres s'est réuni à

m d par aviser a x dernières mes,à prendre en vue de 1. bataille

d aujourd'hui.On assure que la gaucherépublicaine,

l'extrême gauche, dans e

réunion de ce matin, a résolus de ne vo-

ter aucun ordre du jeu' impliquant la

e. 'usa c du p vair c nvtilncnlde 1 A .mbfé t q.. '.'est oM Gam-b.ll loi q t llP jonc de L D p folq t 1r

10m de la g 1 0 spé q .n pr éce do cette def,.cl on probable de

l hfll te allié, Il' si

TI,e m Ire I-IL,

t t tde s'appuyer s concours phi,

sérieux et us 0I queD ire par', 1711,41 d c e gs

h .,ont i 11 L.I 'I rppl . M TI d p 1 -Lired. a 1 é l d

t

le1 il, Il.p

t lao r' , nsabrb é us rade

telle.# là u 1 t t t .L

b.. il en t il humblet +t P avad vu,, séell,

#i. TI pl a e qu'on ue leIt q 'co t d It

daetrsm nue . to gm nl.aln pr elo.ou t la com 1 o dune

ommessioen 1 g4 d p Lpluj t p' b I.. lé -II

sd

es réf . I r I i i dqn.s In. me sg-. Di s er, groupes de la

1,0le on raraiasat 'narl I, l

prog 1 g Itel Laoiel'r iaL ,' li p .,bilé -

'Lu

1 t le

é a r feuleslesC' sl t l LIsi le

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u n j t4 l l' p td' n

eumpl1, 1. 1 m

I s .or dé l é 1.a, SI horsbbllé td

enfans, 1, c

salut Gnal 1.1 Joli, le,,s ha surtoutL I I follet I M I -rs 1 fp t o . cu I 1 . 1 l d t qui rotpre

t àfir l trois t fil luirai.-- à9 In p é it t

de

e 1 R4p fol q ui I lultu III, a'.

pas s elle Quoi qu'il t on mate d . f bue d. ce débat

nd, tir u lot ne sr ra Perd-ai., ce iêtre de ils

un Lu qmot mata tin t, u ngilennir lias fl

t df a ls

merlin le feuu f I . o .L i u eo d'a la couciha-lion impossible.

ASSEMBLÉE NATIONALE

Sèunce du marc edi 77 voeemfee d872.

CuTVePeésidcuce Je Ni. Joies

A 2 h urrs trois quarte la séance estLui

néa ri 1 est lu tritiums aprèsd élu

A.I n r t .

déjà présentées eu have,,' dis sous ufG-ci set soldats.

Voici le texte de 1, propusiiios Je loiamendée pa 1 n i

Art L ffchus,et sold Lis d i s il lit, t

derme,, admis a I Ieir ale pour blees,-ers reçues devant l'ennemi, ou pour in-Grmités contractées en campag,e, ayant

entraînéo d'on membre;L'amputatin

La perte de l'usage des deux mem-brus;

La

A q

perteo l

de

es aucl'usage

eno

dm'un membre,

ildaires muli-lé qui leu,haieut tin supplément de pe,-

on payé P ,u n liste civile, ce-la ilmore.nl une allocal on, Minant leur prn-

n

a 600 fr , par a +nrilalion, :a

veogleaIL Lu ,,

I f d deux membru tqui reçoivent d j, nue pensimi supérieu-re à 600 fr.

Art 2. Il sera pumvu au paiement decette allocation supplémentaire , aumoyen :

fonds aujourd'hui administréspar la caisse des mirantes nationales, eafaveur des armées de terre et de me,,n yrompreaanl ceux qui deviendront

disponibles.2a Du 'entant libre sur les sommes

déposées au 00 boa av titre d'offrandesnationales peur Ira spoCmes de gueure-

De ce qui reste disponible sur le cré-dit de 50,000 000 volés pa, les loisdes 211 juillet et 10 aomn d870, peur se-comi air, 'La ne os, garde a

timmi, 'col I g de tonde, oLo

- c .I ei (f- tire, pourusa

n1linscrit 1 ig.tai,

A 13 f des f inca tt à p r les r Iliquatsdis.

d f L: le la somme'recul1 Cf t{ pi, à partie e dudits,s-t b 1870, le d It-I!, I P 7 P Ion-

c brute ervll-, a partir de li '4 jus.cicqu'un plemhre 1870, I triutis ou ayant perdu t' g d lents

bes. - Le muuslre de 1a guerre',Jel d la coluime et le mm st edis

G+. ne,'. I'Il nl g 1 gdes oR d L 1 f ç

à

-l",cet i t û'é

h.i ace d six ..mp l., ocie, d'spon I les, tous Ils

I t c è d r d d.oa lIl ors ligues d,merci et eécrsidai t

rs de 11,0,1 dissi que Ieura fem-mu etu leurs enfants ou sotradauta

Art. 5. l y j de l'c.xéeu-ho, de In p éo t 1 q I u con-clrme, I' ou' ff ldt ar-t rs assionlé. q 5 nt non mdemmi, jou e il é ii mi, leur arc-

' {e ,halte pour bl_sscr es oui te'

liés équivalentes i.r +I actées vo sur-

e de Mal, 0,050, 01 0011e ivdemnrtéjournatiére augmcnléo de '0 p 100

Art R Les fonds soues àcelte angmentaltun da 50. p c100 seronte i gpar

il suanible du crédit de U9 mil.1 aés par les lois des s24, jaillit

Il I

et 10 mur 1870 pour sec ours aux .,Ilautres, marins, grades nationaux mobi-hs et gardes natmnaux, etc.

La proposition de M. 11-4. de S.isyrésolue ou trois points : le L'iadem-

eicjnurndmre acluellemeut payée aaxus-ol tuicre, soldats mu autres assimilés

]ai se hovveat en pmspaclive d'uneI Illaire pour hlcsmrev et in't té

équivalant.conhmcléevgan sec-

' , d 1 I:lay 2- par 1 aelmole 2 de laP" ,P.,iti M. Ilervé de 8arsy demandeI l l l'i:u délai Je h ors non s punila ligmdatieu et la rwifcalrnn auxIntéressés des pensions milllairesque] le qu'il ,rit l'origine,

L p: ujel de Il acecple dans anaj ste horde, 1 1 article, mis aar.lit Gxer dl- d.t. nié, le délaidoit

éIr I s 1 lpf

duLérirrir. Quant au 5- poi.

{ f p t d l. J 9 'y11 tes u cite o bl'g1 e

pour 1, n a d partenentalesde éf rmr d îlots et de la situationdos anw ns If ics que lappcat n

y -t voté c t I f l 1 . j u d o errmme m i I 'pl. u ic rrca-

i I i ' e o a..n roc le ranpnl de NI, e le t sineeptilleu d ire pro-lin-

Batbi., pi é puni n i e gnalifieu Cion re-

Il le rr usa f n ro 1 _ i n 'rob'e, soit pour mueycnsrondere-ce; i I té p q le Il bulle

l Il I m^i+s on nec l pas p fol

d t les l' l cetIL, q { j 1'. lit ié de S q Il t "11ltl;ii ç,..

i cro 7 d en projet déli, I p é p VI d: pions.il Il LI', ' tour.illeu

1 o itrP d l g. d m d m btC

p oj u 0 ela'Il II!,

p itionIL I.nom de la cnmm+ sion, la i I d: lit r ...g -,vnu

Lion d aaui t lu]umé.1. lit ici de I.s ci, 'es p rai

I 1 d. ux a 'pulls d laL 0 1 3 est ailé té

s des art L1 s.

de é guéP u r.urs d d de ngé ont été

1 e .. té déjà d informulées d e é t l

mf d terril'c d. e q oll 1 c a

accordées pPr 1 A. b épr sen an s et

1 I de l prO L d e do' j pp l e la discoseion

u a,m smillent le p loi de en p j t le b ig t des recettes et dé-i d 1 I

"' su, dot. d: tq 1- P 50v ie -c. 1873.lo

quI !,a _ t p y de fém. M. La parole L à PI 11-1A pour lo dis.d 5 - on. d e article de sa e s générale.

Noms a i onup - a t à de Agard à laenfin au bud8et, aux aIlairesace a'ast pasIhrundn d i. l.re da la guerre.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

t p t7 No 1a dn le no t lr e' profit V i

it .I si Ih N:'. aveileubre rpze sor It ee b - 1

a t f 7a. 1 p I 1 t q L Iii-os v', que le defiwt ote I

d tte I

molub'. mnien- ..I p J

Il t' l t 01 f p l i (t é' L t. t t d e ,e tq 1reuvlbien ). Je sa 1 je I au I .1 s f d M g 11 I

é ot q e I 1 rifle d 'au P t un b ot p s

J{ b is t 1 rt'El

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J.

9 J. l: 187 fiai t 0 i pbical

tizr,

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t;' I le cil a F s .risqu'Ide

1 re ,, blet Pa 4 I.b JetIt door. El,

I I l'. d u bil

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Id (C .. I. ). les 00 t bl. d is. s tesso,1 b I I dm ti é e s l .

t 1 32 l'on o d . I .

l '

,

1 u Et p 1 t if y i t réalisées et Ioniln pmut e - i

I f1 e ett. de d l' 4i

lai .,lice lit ses 1h, 3.Lnl

fY 2 t I II

; l I P Ll '1 tcul 'il irae queL que t

éd i e t tnl d narras en r n i e l mi 1` 1 f t xrétribués et

L'oroG.ur entre d ms le d L I d:domo tris da l pat 11 ipp D' j 1.étais étaient o. d'o,i'i cmi.n. pu urne à

L bruit uni J I ydol it de 90 mt11 sus peur

IL, ieshe et dea 05 liuwons fnertd r.:t d' d pmu cher, du 2J pis I n

t II e: rut pl p. " lemeat. QuantI toril d R t 'est an soin

qu'il J 'IL l - i g v rnemeet. I-esh i lr , tir xe pie, doi-vur. v

riiva t I , diffienltés du ira-

soi et1'as doit veiller à e que lesployée sante ne soient pas rempli-"m

s leur

mpla .ment a'o t pas abso-1 t é 0 pourra

.8-a

t p, P s des free: ua e. dehors dué 1 t {u 1 't w 's ':l

d ilt e, t t ueeait. Le 10 saris mL t a. cnt des co lcyés restants

b I: d,ulin ! 1, plt

f .r,lit 4lono des 2/,;

Iau,

s str e r p 1P t an mie. La

51

Lpéd le c 1 Ucs e ad mrnistrat fis

s e l v Jour centre les i s i :étirais dm nO cet« 'Intention Ue pié-ed,s employée.

On semple sur le mouopo:e des alla,m tt et su I I e d 1 '.I

aecls en p Ou b il onpeu lisp in ces n1lo.Il de tain rLe av o le ra, dea ont de

n

10nilli:> aqu l'on firddnnl', - 0prrl

de suase de pavfiloti et de 4 m Ilions àL 10 bl : ici t I. t le b

a Le,d t 1\ 1' . fers 1 oa

rallia nu rat iir a uhos-latar-taxe de pavillon.

promlu esOn reeientsur les vIIl hères

t' t An mortri it te W eLgl t 111 y 1 t. lr

I

1 1 d lJi

i, e!e ,nU'sa Il -1,b' I

Il,ai,

tt I d "lit de

d l 1 lÎIc. d

e

ea 1, 1,f L. faut d y I tf mll, li

I ton, sui i I bl trp ris maté l' lJatj.l t d tal_ l t

p, s0sir 7 nue e r 1 d al 1 D

à ses mmr t I : 1

éD augôies, i sj

.. .. l rieiL Il, tel qm. sortLOI k se 1

d n luate,e, dru

A: 1

1

d is a t e P èlIll'tp

e, rms sertit, I I

rart dr lié. t t i L V. a a mi-avor àa dd-d [ I

t uns, le, LûuI Jun"Il LO,p t ls if Is

". t: Ir 1 t 1 A il l t:b J. 1 1 p

I.u omet, e débat osedé b p .or 1,075 j pa 1072 d nt1 act.roisr<mém dr t

dpn,.,s

et 1 'i af.notion Jrs recel tes.

tqe.Il LI ', nu a t ou1 \ blé , é d II

et gtet r. lierre la mati i de no iv 11 s

les du pen,rs.restrictions dura' tic la à.o

m J. .viutils, d+elare,l q. 1,

racers

com des ammidemesds eollnuDfa mie lebuig:t Le peiuuipa se ri J'augmenteslu lr.,itmnrm des petits emplois et dediminuer le chiffre des gros traite-ments.

meom faut hserver que l'osl ooirée

,ont au omninon pua fluor e e-

soi. des affairai, mata ourlent pure tesssi réa Je l'enl,.urope Je ehaq ue rni-néce

rostre unuvean. Il sa forme elusi des su-peepoeiliu s de nnr aux ,nployés '

l'un ,i de ,:autel ftço:,ea lutles mnpluis plue ou mmaa an::ir is à dé-eouvrir les ""eh" seuives qui ucgu et,t surle

pyeux deagéolo-coleu,

I--J IT 1 t'' d gl,eb)cote'

. mener i nov., qu il flot lais", decôte I indiscrélieu Cu t'ait da Rnsu-

il faut d;re clair et net et no rfsniecacher juron . La Fronce a une lutin

i ié bl . ... b , f 't a:ses ésiden,e pour ne jamus craindre lalesniére,

L'orateur eviem de un, veau aux angmenta[i,u, Ju dépon a Plu,

-0107.3 qu'on 1 tPli'1873 11 y o 1

pour m-uci. e i ace a, le mo,iopola .1_.,

ail .tl. y I n, I

b 'q Ll J t:e'it en hgcl le c ip 1 ii c

tri I f It 1 ljàCamés Le d C t d 1 n l' est

délLa. pa t i

mce'

i l s t 1t tant les e.usumol,iliè,s 1_

su;t p1 Nvus

te: I 1 t i t b t'Il. e le 1 1.d f td 6 II''17 te S t. I d e d q 1- IlIc Lui

.ilye d. 1 8''tel 'lity d 26 1

d`I 010 1 'IL. t s

t 'bu t-- t c r1 n,bist ttlc L b f r i tsitu . e.L f-r L, c11t q o as impos

iété,

FI . 'e ! I net;- pIii f i l f' 1 1

n d l a d;, L ll i t pt h II t.

fi

avaient d , p al. et I

lel-France t e t h l is o. ebout les 1 Imbillâ, m pl

l mode t (tIèl b Pré, [ }.il' h,IUansl l I m t

ce, mi a i ,admirent mo d 1

47 mdlfo le i ua d 101

lions Iu I . I I ] 'ie il-et

de ri Il sur lus ps vouent soutient que le débit ci

rendement sur ces impô;a, loin d'aller

de recrutement qui, pourr Vos loisemeles employés adminisu atifs, sera eu rop-p t ]Il loi de recrutement eh de

l'ar-1 nvl,.cement P'te les o[fic ers de

mée. On aura ainsi des employés pluscapables, et les chefs d'administeatrm

irait ainsi les soliicimtiors diiniuserparce yu'ils pourront s'abriter derrière1 1 se b e - R xfb.e pour nep ngmant e les places inutiles. (Très.

sobleubnU

eI s fines udmr-ats de la

commission des e viensle pluset tuf demande do le

tût passible b 1 nus- on cla budget.Quart n ce qua dit M. limidnt de

i 1 I t ilb;,IP drinni-t rame , + es i ad. enta

,Il ina-11

q I d f itrpel jà d'

affcotree e t d pittmr erv. o d 107 .

Je b l t (u' ifi'i d budget le e3ere d l j IdL d

s( 'i. 1 I q.J t ue Pa st , -t d uiheurs, pli s

PL d b,d fait

I F1 t1 tL

Un emhinissilo, La ,a.fie i. {e,. les ie.. gai e. do ta gel iii-fi ois t t . I s d p

.. Ici pL. L l' 'l (cou, ) l

la 1,je 'Iis tl

n

t 'c, iai i g I ;I y a ras de ré.

La Il ; a

or

g é )I est close:

D main, à 2 heures, moto Publique.D _ n la j. opav ots de 14. dehri ie'oet ale rpi rI de bl Datbe,

de rorire da jour.L eanca est lever :r 5 bourra 114.

Séance d,, Jeudi28 nnueméee 1872.

Pi ,hideurs de M. Jules Gnuen.

11.1 fade 1 ils c

J

xfiln

aientlelr

I:.I . la L " " , béLléa sur loasc , a I s t ia.ea

il etv I 'ip rLo t Ah Ihuis

P Le n f leet t I

I 1.1e,

tet d po -

- la sésece s'est pas eu.

loir. dit q lies mots-t d laIll et

I_ O' p Inn-a le Lécha. Seul,d .. 1, allie et

ir, i pied de laé t ieI dipl Pn

p s, 111f Ra et R .vengert ove le f t it Je 1'Assem-

00 1 I é d. t d l' Dé t

b. r, L n e t

Il 11-11 1Iq le t d

q iii p ;el 1 m n

5ha .:r sa20. t0r ocre se laI r(N ' . ) e i p.' .sed-r

uJ u n e , i . D f j ' a i d. L de 1 1 p I: I I t

co amis nsil de, dc s ors I.,aislalis .s ei e l u ' da.,s tri tui,p tel de I lcanot, des cri lit nérit' échange de la errpousab'lité ministé-

e la c p 'bit. i' t riel- c elle 0'31, sous t- t set vis.'. iI'etest m..-t s p inf. o heures _v il Dufaura, M. de

le r-l eu u G guet et tluail smmetres cemJ que, qn an a ont: ég à leu r h, tics. éi. la, s

lot t p. tant luelques. .d J f. t f b PLI

t. est de retour dans l'enrè ate lé-t I I t 1 p 3 I 1 mit. Iii t. t de II d, g I.t

pré idout de la Dé p' bl 1 d : 1 1 h 5 -'l s(-ce n est paslit de l'sssamblée La réger t vol1 . élis - d b. su-

é t 1 il i I dépcn-1 i la-, bl'. 2 ill. ..P",-et a ligni.éd présiLai de la

ll que. loi le garde des sensun rappellela Paçon dont le prS, In-nt de la Républi-que a usé die dreil qus lw a él tt b epar l'Assemblé .a 1871, et l.s e eeuss-ttcas dans I sq ri 'n il u fJot

u

0 age dece droit, notamment In r ou ls

iergiquemml combattu l'impôt sur lerI le jour où il a répondu per-rotin

IleeientI l'ielerpellahon du gété-ral Chaaimmiec Certes, on peut diraqu en ce¢t dernière m cunta.ce, m al.lillois a commis une f'an'e,

cettefaute

retombe sur l'iuteepellefims ( 6loule-Local.)

luio demandant nuerlm [ 11

surdrp ,61 te tin emao,

au,J 1 M 1 t _ éal t t

i 11 1_ p,.. lentde

[o

R1

1 e J 1 t bt ) 0 n o lo s a

ci,er, t f d I.udi,

l és niolo s quand nommé par 26 Je-p,rlements, 1 a ! d_ d' p', d,epart à ces débats, 10e sq e surtout il est

bl déb t. .dans lesquelsI t I 140 d is

d t rL l.'Irauobl ye d Gi a L a non ami, a euné I

les mêmes d s qu e le pi ésideet aret I]

lle R p bl q J mura il n'est

p d is

ir. e t l 1 ç t, ê ,.l( 6

n

. \ v r' pind t I sô t mpossib l =v àant

. 1 cette étrange chose, qu'onl d ouv exécutif ne prenne P.

p ris a i d^bois de i s yu 1 r-ues

1 lite ' 1 t pas encorep .1. Th is 1 da par la

c mm I n tres se saut réunisplusieurs fuis.

- M. Rousse, directeur général desfiuaances, a fou(n,r, dons le sera de lacommission chargée d examioar la pro-pnsition IVolmnubt, des ezolie,lions surla sonsuriptimi eu faveur da la libérationdu territoire.

Le, rames restant entre les mainsdu 1'é'r s'élerent encore à plus deLux millions, mixquels il faudra ajouterq.elquus acnWinas de mill+ frnnrs ap rèala veule des dons en nature.

Le gouvern t e e montrant pashostile xu prai t Vt 1 ski et la com-

' 151551 i pré nprinm Se, il'hur

t preparties

baa bulreq mes ontI,s datai-rot Larreins

necessi tls.

ce srjei linos les chambres de commerce ' , 'Peul fait espérer qu'à i lins deail i d

-ev pis sur 62 "'unis, complications n lie q,re ira Il

16 a. tqi '.ep n cérentenfa-1 t 4G él t d'un avis

UI b oppouiuiu,hIiP ém tdes d t et

1 p duf.t qui rII l danso ilt d hJ tsef t qua lev an

au premier'art du cr,rre la t s `chef a l'avènem t d e loi qui vintm l I n à l'impumlé en mauére dec

L 1854, la Prusse, à la Irait du traitéest o prns.:tev, avait invité ses coassa-es du 7,olleurein à émettre leur avis

tir l'opportuuilé d'une eodifiealios de lar t re L es genet uemems de Daviére,

s t J

fill f t souri e

f 3 Il I f t les uhesEW6s s

y Ctc t l 't

ilPlus tard,

I 1858 I g 1 1 rusien publiam d ns leq I il rcanm,ft laou

q i .tesn il n point de vuz particulier,et les choses eu remtérrul là,

App- I à <e prononcer sur la questionAe la propriété and islriell, , la chambre

aeue de Leipzig n'a pas hésité

pp les vreu. éetairés du cum-in d M. Ihouse et à s'associer tanet q 1 f d de la législation fran-ç. C l à ég d is laie, queI I t 'leu 1 rang émi-rent quelle occupe dans 1. monde; test

s us l'allie. tutélaire de cette législationqo, la peaduct on des dessins et modèles

ide fabrique eu Alsace a pu s'épanouir ets'élever au rang d'eue industrie sui tee.

double preuve du rôle que joutedans les choses industr elles l'origfealité

des dessins de fabrique, et des bieu-fsilsqui é attacheol b la garantie légaledu droit de propriété ezclusiys.

- 0. lit dans le Journal de Rouen du23 novembre :

. Nmre ville était avant-hier sous lecoup d'une ruelle émotion, par sortede b nouvelle d'un double assassinat,commis la vaille tout près de Doues,sur la gcoude route de Cantelen, vers lemilieu de la côte.

Voici les détails connus sur ce dé-

plorable événementVendredi sur, vers neuf barres,

Aille üonlard, àgée de ring[ deux ans

icile

- La commission des gràca a tenu iirironneuf

, et le jeune Delphin Luce, àgée

séance oematin, à neuf lieurs.. de ans et demi, employés l'un etl'autre chez us retordeur, rue du Pré-

-Mài. Iloltinger, t obtenu dode la Bataille, sot quitté leur atelier

,715 pour se roder, ainsi quille le faisaientui niiler des finances la reatuudm de la chaque ei au domicile de leurs la.somma de 120,000 le, vrrséa a Trésor malles, à Cauteleu, presque eu face de

ratioapar aut leur lamdle pour la hbé l'église. ils ont été ag.éI sur lede riter

tæ eare,viennent de la remettre à boulevard jiisgii à

lua

rvulul¢neuve de

la S. : de protection des Alsaciens e par un Jeune homme qui les aLorra s, de treuils français, 0, rue do laissée eu cal endroit.Provence, premdée par M. le comte laissés es

neuf heures et demi, des cris

fait prévoit, la jeu et file uh: priia auxconséquences du crime alleux dentelle

été urine.. Is l

n,à 1 ait heures matin, Il e la

heu deus la deteéglise

e de Cautel e,,en présence

IL

eueassisWUCe nombieme

et race ilhe, l',nhumahan du jeuneDelphtn Luce. 'fous les habitants da lacumroune et an grand nombre de pin

ames des envmons étaient ventis do..

er ce dentier bammsge à la rmlhaureu-viclime tombée au seuil de la r e

u les coups d'un misérable aao MLeererr, maire de llapea t

M. Elle Lefebvre, adjoint, assistaient àle céoémoese etmt accompagne le corpsjtsgn'au buteyct, cher

M. à chef de l'établissementsit travaillait le jeune Lace, vuula.ts'associer aux sympathies qui entourentla famille du pauvre enlank s'était char-gé généreusement de tous les fraisd'inhumation. s

-A Villeneure-Lvabet (Alpes Mariti-mes), l'abondance des pluies a occasion-né ne déplorable accident.

Les murs du cimetière se saut écrou-lés par suite de travail des eaux, et ilen rat résulté le spectacle le plus déso-lant

Vtin purs, imaginer.

Le cimetière étant situé sur la collinequi domins le chemin, Il éboulementgénéral sesr produit sur les terrains dé-trempés par les eauz et piès et les le.bustes le les croix, les cyprès et les tom-bes, entrai dans la chute , se sonttrouvés dispersés au mile. de la route.

La scène était horrible , raconte leSidcle; etylot lot des têtes et desemevi

nts épars çà et là; il y avait mé-lisqueieurs noce ol vhs eurent eurgr,

Il 'Ifs que la a, fote Je dn chat ail fait surg

Ir,

au Il IIen 15051te

de leurs cercues irisés, etqui sont restés étendus ou mfil,. de cestristes débris.

-Le Courrier il,, Pas.de-Cu(air croitsavoir qu'une instruction judiciaire estouverte en ce moment au sujet d'uneaffaire qui pourrait avoir des co.séque..ces sérieuses.

guerre, l'asile Délit , de111 111

ülongy, emploie, pour la productionde ses fontes, des débris de projecti-les et des obus entiers réformés, dontelle opère ledéebsegement.

Or, il parait que dans ces dernierstemps on a trouvé un grand nombred'obus qui, au lien de poudre ezpla-sible, en contenaient qu une matièreterreuse et inerte par conséquent.Les de de l'usine se saut jus-Jettent

émus de cette découverte etont provoqué de la part de l'autoritédes investigations qui se poursuivent

avec activité.a Ils rsaonnlle furent entendus, venant de la côte deMM Verne et qui antérienrerneut Cauteleu. Une personne, dont fis avaient

déjà, corme les autres moise rs de ban- appelé l'attenbun, prévint le pire duq cent généreusement snbred

la'jeune Luce, qui, cédant d m sentiment

tt "'ié té, viennent encore de lui ecom-nsomme de 23 ont, r. u'ils

d'inquiétude, descendit la côte, a

Pagné de quelques voisins et du gardef d' ' on upar autonsatlcet t du ésor,

L g t 1 P le

ministre

Lécdes finances.

champêtre.

Il. la 0. avait exploré 1. rame a... rienIl

Le

. g v m,.ntp pr.

opose l'a ré' voir, lorequ une mare de sang fat aper-1 t ante : - Lesesamens de sous chefs de mass- çue, et, malg ' l'obscurité de la mut,

Lue renimfasion de 50 membres que de l'armée aspirant au grade de chef on put suivie des indice. qui condmm-nommée C Lorles bureaux à l'effet viennent de commencer au Conserva renljuequuuz deux victimes que lassas

de proposer à 1 Assemble nationale un taire, sous la peésidenre de M. Ambrmse sir avait baisées e dehors de la route,

pi ojrt de lot pour régler les al lribtions Thamns, directeur. dans des ternes labourées fort en

ions Le jury est composé de MM. E. Redue pente.s et fies

dit,'

blii cdie pouvo rs pude la revpovsabillté ministérielle. , Charles Collet, Jouas et Relui Rober, , Le malheureux pin essaya de por-

t me na"Il 1 e vous de I Institut ter secours à son allant; mats celui cfsavez les no t I p p' vlogis esndsdats sent entrés m aras[ succorebé aux coups violenls qui onLieu. (1louvement). fions ne dem'md,ns lice dans e0 concoars, dent les éprinres loi avait portés à l'aide d un inslru-

cette com- onslstent à jouer un solo, à déchiffrer ment que l'on croit être un .mil dei f lel e. m a stj

exi tq i ales les gels, à Première vue et à écrire, en loges d

feu

eux menmmer.p,

A 12 heures i/2, hl.ai lrGrévy est au fuu-prisa iq qm in pas pays. Ieçuns d Imrmouie à quatre voix chant et

01diplomatiques

Les b b unes téies le Nous ue ( La Jeune fille, bord d'état de sau es luesbac et à iustruroamer un mord don- ns et

plci (as et diplomatiques sont ,m alns- us ous do faut créer d un ,so)+ sir, t ruleurait à reprendre sessees et

edo ns de marcher né et qui doit Litre développé par les co.- faisait entendre de pénibles -plrt, emep

; snous v

u ousspas

dmm fnfoetu.ée a été traosporOn parle d'in ordre de jour qui pro pmges-sivemenL. Nous espérons que, cannes. nets. Cettegémisse

iendr,il du parti gnuvememenlal et qui d'aerurd avec le gonvernemont, la com- tés au domicile de ses parents. On

serai alisi conçu : mission trouvera titre c mbinaisen qi i - Tout le mande tonnait M. Simon transporté également le pauvre enfantL'Assemblée nationale nomme nnr, ealiel'era ras eouditians d'na pouvoir ré- Faiv e, chef des gardes du palais au tri- chez son père.

Commission de 30 meurtries chargée de guliee et utilement établi. (Nouveau mou, banal de commerce. . Le thébtre de cet affreux assassinat

pri sinter un projet de bl ss+r Ira altrihu- enl.) M. Simon Fairre est le pins grand est s tué sers le mflfeu de la côte, à peubous des ponvofrs publics et sur les viMaiutenant, jouir Ni. le garde des sauveteur de France. 11 en està son cent- de distance d'un petit bois qui se trouve

cr.alitions de la responsabilité minfsté sc rx,ja n eux plus dire qii n mot du trente lroisfème sauvetage, et les médail. à gauch en montant, et sur nu point

ri, le., Message. Ce document, j'ose l'al'finaer, a les sans sombre qüil a reçues ceurrent oh mena la Scias il y a ors déclivité des

A 3 lieuses moins fil, la séance est eseontré quelque estime dans le paya absolument sa poitrine. 11 est décoré de plus rapides.

uverta. et ce o e.t pas trop dire que de consta- la Légion d'honneur depuis 1819, et ,Mlle Boulard a reçu de nombreusesmême oil eu ers- l'Académie française lui a décerné le prix blessures; elle o le visage tuméfié, etio 'à l'ét il di

ascuss rm geea n ter qul ordre du jour rappelle

s rea- Montyon en 1867. elle a eu le corps déchiré par les pierres,des couciosions de la commission char- senti que.igor sdmirauon etgn'ongée d'ezaminer la proposition de Ni. de rlu hommage à la dignité de ce lange. Pendant le siége, M. railm, qui a'u- braque l'assassin la traitait pour la jeter

lierdral. ge. (Assemimem à gauche). 5laintensat, voit pas quitté sur poste da tribunal de en dehors de la roule.M. le gai in des sceaux a la parole si à ce message mus ntpondez par une commerce, a su par son icteépiddé, In' , C'est à peine si elle pouvait hier

car ces coscinsions. mtcrdcton à M. 'l'halva de paraître air 171e àl'émeute, et arrêter par deux prononcer quelques paroles. Cependant

La commission a préeenlé la résolmien à la tribune, ma peur se dammi<ler fois les incendiaires, qui le meeaçaieut elle s dit, bien qu'avec peine, que lus-

suivante : i cette réponse aura le même effet. de mort. En recompense de cette noble Bassin toc était inconnu, que c'était uneutéta d'ant des favorisrea- al d mmerc f tibi ,y ye c or ,una hommee, le trArticle unique. - L'Assemblée nulle' (Nonvemesle; upplaudisscmen ts à gau- c .ilui. arc

le romm commit d 15 n- ch tiré dans sa demeure, saurée par M. rai- palot et portant u e blouse sur sonIres chargée de pi e, roter titi prof ,t M) llo'bie, rapportmm de la Commis- ire, a voulu que l'un de ses premiers aras. Elle a ajouté qui elle s'était ,per-

d: loi ralatff à le responsabilité saisi,- on Roi droy répond que l'Assemblée orles fut de rendre hommage au eonra- çue, en montant la côte, ga'urt homme

térielle. n'est pas crotte pour se livrer à des glus gardien, st il ev a perpétué le sou, marchait depuis assez longtemps derrière

d

ant, et s'arré-u. vnescns Avant que l A trié I m t tin 1 pl venir data une délibération. elle. Cet homme passa der

commence c g i-b:t 1 seloi, e &I esdeb t esprturi Après lui la o r ssion des maires tant toutà coup; il happa le jeune Luce

ment a pis é t 'I tevail iécl 1 i t t (Namur à ga 'chu) d ommunes domdéportement de la avec un instrument cmtondaet et tran-

nion qui I a cm u. de la r oluho il ü lb d n I ei de la S e, d^nt m Faivre Irait sauvé les se- chant, et si violemment, que la mort a

proposée par 1 L o p p : t - i d g - à 1 clives, déposées au tribunal de m- dis Litre instantanée.

ment d t lie t.:lie :t nie et f 1 p t r ecce, lui a décerné u.e médaille d'or- , Mlle Boulard se mit à courir, mais

de voir. for cela, il n'a qu'à ranprier l a iété du ys 1 d i nul e gent. le meurtrier la poursuivit, l'atteig.it

les demie t s d e qui dit, : d 1 . dent II y a peu de leurs enfin, M, Robert bientôt et la frappa avec le même ms

en résumé NeO v I It5- t l t hp,

q i p 1. i la Fleury, de I I I t l t i p. nto- tra1ament, Puis, quand elle (,IL ressemée'

p,, d,no

La ferme I 'clin R:.p 11 lié ,i p I ev à q deco. t let b I l m r il iraina à 1(1 mètres de là jusqu'à

ci. 1 m tété I rt l'eudrmt oh elle a été retrouvée.qu'une for re de mite st p t I t

te

d 1 n p é. r p u age d M F inee, .Celle Jeune fille avait sur elle uner

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voir D en h ie 1 n. 11 t 1 sel d. fur vers la Seine à travers les terres.

tuer à vos ll I I

ILf l t i 1 51, I p és 1 t - On écrit de Leipzig, le 19 novera' u Cet événement a causé à Conteleu

U e m a-été .i i t p té f le. l Lr. bic: me s rte de terreur. .IL,

est résnltê é : i il frnt y b t t q 1 m t del Sur l'titiahve de la viii de Ni D uaci. Ou lit dans le même journal, sous 1.I Il,amis sort 1 I t t a t '.- t p é dm'. se, la rliamb de m e 1 L p. g date de 26 novembrelL.

le fuel 1 d r d 1 d d b d la ,,spons b I té avait m s u t l d la q loi 1 1 ga , Une toute considérable n'a cessé,Ni.

rapport, t t l' I ( I t .f e d pis la r.,ntie de 1 r p t excui.,rve des die pendant toute la journée d'hier, de seé la st l 1 t t 1. p i d g t d t 10L.s ils Wbeique. porter vers Cauteleu pour ri,iler le

,al espa I s t i t .. . s .e n'll d . qu u m d 0 fi s L

aou a,

'ira ,clnsions dopl Pa

celle théàlre du crime odieux qui a si profon-

él t auL en, ns.a

1 a I f I f I 1 le: Pou- crpa atson ant été lavu bl a I Ir d'ment ém. notre populatfnn entiése'

Q. at 1. 0pe b l lé I I t 1 1 t 1 d l d P r d et oa en A lemagan d lêgi -1 f 1 Ir .ton p t s n ours

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lb1G ISmpr. naben, 5 OIO cpt. 57 8i h7 J. 5q Dauph 8 3010 fi xnn. t269 esôt 868 - tt 16 75 I 9 f:, e q c11 n amnnert pin

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