N° 144- Jeudi 13 Avril 2017

Les VainqueursWARAA

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Siège : Derrière EPP KélégouganTél : 90-02-52-45 / 22-61-13-06E-mail : micheltchadja@yahoo.fr

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DIRECTEUR DE PUBLICATIONMichel Yao TCHADJA

(alias Ezi Akoma)Cel : 90-02-52-45 / 22-32-92-57

SECRETAIRE DE REDACTIONPamphile S. NUMENYA

REDACTIONEZI Akoma

AchileA. Fic

Jack NukunuHubertine Akouvi

Séna Le Libre PenseurINFOGRAPHISTE

Pamphile S. NUMENYAIMPRIMERIELa Colombe

Tirage : 3.000 ExemplairesRécépissé N° 0471/29/05/13/HAAC

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172 ou 22-22-21-39Police secours 117

WARAALes Vainqueurs

SOCIETE

Lomé a accueilli le s 11 et12 avril , la 12ème AssembléeGénérale du Forum desAdministrations FiscalesOuest Africaines (FAFOA).Placée sous le thème « miseen œuvre des mesures deconformité efficaces dansle secteur financier pouraméliorer la collecte desrecettes fiscales » cetteassemblée a servi de cadrede débats et d’échanges en-tre les experts et praticiensen fiscalité de la sous-ré-gion ouest africaine dans lebut de trouver les stratégiesadéquates pour relever lesdéfis fiscaux dans le sec-teur financier. Il était ques-tion donc pour les partici-pants de converge r leurse f for ts ve r s unemutualisation des expé -riences acquises dans ledomaine afin de disposer

d’une stratégie permet-tant de comprendre etde cerner les contoursde tous l e s mouve -ments relevant du sec-teur financier dans laperspective d’une fisca-lisation e fficiente.Le commissaire par in-té rim de l ’OTR, M.Adédzé Kodjo, dans sonmot d’ouverture des tra-vaux a au prime abordsouhaité une bienve -nue aux dé légationsétrangères avant de té-moigner son engoue -me nt vis-à-vis duFAFOA. «Le Forum desAdministrations Fisca-les Ouest Africaines esten train de faire du che-min, il représente indé-ni able ment aujourd’huipour les pays membres unlieu par excellence de con-

ce rta tion e t demutualisation des expé -riences en matière fiscale »a-t -i l re le vé . Consci ent

Les Administrateurs fiscaux ouest africains en 12eme Assemblée Générale à LoméDe la nécessité d’optimiser les recettes fiscales par l’application

stricte des mesures conformes au secteur financier

donc que cette 12ème AG ac-couchera d’e fficaces re -commandations pour uneoptimisation des rece ttes

Le tourisme est un secteurimportant qui rappor tebeaucoup en termes écono-miques à plusieurs pays.Mais au Togo, ce secteursemble être un peu négligé.Le gouvernement parle tou-jours de la relance du tou-risme mais on ne voit pasencore les vrais signaux dece tte relance. La preuve,pe ndant longtemps iln’existait pas un ministredu tourisme pour organiseren bonne et due forme lesactivités dans ce secteur.Dans le gouverneme nt

Klassou, c’est la ministreLegzim-Balouki qui avaiten charge le commerce, lapromotion du secteur privé,l’industrie et le tourisme,plusieurs secteurs donc quipesaient sur cette femme.Depuis le 31 mars, elle a étéun peu soulagée. En effet,M. Yaovi Ihou, homme d’ex-périence selon certains ob-se rvateurs, a é té nommépour occuper le port e -feuille de ministre de l’in-dustrie e t du tourisme .Même si cette décision està salue r, i l y a encore

mieux à faire. Le tourismeest un secteur importantqu’il ne faut pas négliger.Il doit être doté de moyensadéquats pour une vérita-ble re lance.Selon le gouvernement, leTogo compte accue il l ir500.000 visiteurs à l’hori-zon 2020 à la fois pour letourisme de conférence etd’affaires et pour l’éco-dé-couverte de plus en plus envogue. Cette noble ambitions’explique par le fait que leTogo a fait des efforts loua-bles dans beaucoup de do-

ma ine s notamment, laconstruction des infras-tructure s routi è re s, laconstruction et la réhabili-tation des centres hôtelierset surtout le climat de paix

Après la nomination d’un ministre en charge du tourismeIl urge de relancer véritablement le secteur touristique

et sécurité qui Règne mal-gré un environnement in-te rnational secoué par leterrorisme. Pour l’atteintede cet objectif, il doit falloirprendre des dispositionsurgentes et concrètes.Le Togo dispose aussi debeaucoup de sites touristi-ques qu’il doit valoriser. Sice secteur est bien relan-cer, le Togo ne fera que ga-gner sur le plan économi-que.

Michel Tchadja

fiscales dans les paysmembres, il a donc ex-primé sa volonté de lesfaire suivre par l’insti-tution qu’i l di rige .« L’OTR attend beau-coup des travaux deces grandes consulta-tions et ne ménageraaucun effort pour ins-crire dans son pland’action le s nouvellesme sur es e t r ecom-manda tions qui ensortiront » a-t-il laisséentendre.La pr ési dente duFAFOA, MadameElfriedaTamba pour sapart est revenue sur lanécessité du contri-buable e t du contrô-leur fiscal à opter pour

un passage volontaire faceau devoir fiscal.

Lino

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Les VainqueursWARAA ACTU

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Le che f de l ’Etat FaureEssozimna Gnassingbé apris part le lundi 10 avrildernier au sommet extraor-dinaire de l’Union Econo-mique et Moné taire Ouest-Africaine (UEMOA) qui s’esttenu à Abidjan, capitaleéconomique ivoir ienne .L’ordre du jour de cette ren-contre entre les dirigeantsdes huit pays membres étaitde pose r un diagnostic surla situation économique etfinancière de l’union. Ilsont également abordé lesquestions liées à la ratio-nalisation des organes del ’Union dans le sens durenforcement du processusd’intégration, ainsi que desaspect s poli tiques e tsécuritaires.A l ’ouve rture des travaux,le président en exercice del’UEMOA, le président ivoi-rien Alassane Ouattara asalué les résultats encou-

rageants de l’union qui se-lon lui est « le fruit des po-litiques économiques cohé-rentes mises en œuvre parles pays membres avec l’ac-compagnement des orga-nes et des institutions com-munautaires e t le soutiende la communauté inte r-nationale ». A en croire auxchiffres, la croissance éco-nomique de la zone UEMOAest quatre fois supérieure àce lle de l ’Afri que Sub-sahari enne . «  Avec untaux de croissance écono-mi que de 6% en 2016,l’UEMOA a affiché un tauxquatre fois supérieur à lamoyenne de l’Afrique Sub-saharienne (1,6%) selon lespremières indications, lesperspectives économiquespour l ’année 2017 sontégalement favorables »a-t-ilfait savoir.Revenant à l’ordre du jourde la conférence, le Prési-

dent Ouattara a souhaitéque cette session extraor-dinaire s’appesantisse sur« l’état de l’union ainsi quesur la gouvernance des ins-

titutions » en vue de pren-dre des décisions néces-saires pour renforcer la co-hésion ainsi que l’intégra-tion régionale des é tatsmembres, ceci pour le bien-

ê tre de leurs populationsrespectives.Il é tait question lors decette rencontre de prendredes décisions nécessaires

pour  l ’avenir de leurs ins-titutions ».Face aux menaces te rroris-tes devenues permanentes,le président en exercice del’UEMOA a préconisé une

intensification urgente dela mise en œuvre du pland’action pour la paix e t lasé curi té dans l ’e spaceUEMOA, adopté le 5 juin2016 à Dakar.Notons aussi que le chef del ’Etat Faure EssozimnaGnassi ngbé depui s sonperchoir a donné sa lecturede la situation politique etéconomique qui prévautdans la zone UEMOA. C’estdonc dire que le présidenttogolais a pris une part ac-tive dans les prises de dé-cision de ce sommet.Notons pour conclure quece sommet a auss i é tésanctionné par la nomina-tion du nigérien AbdallahBoureima à la tête de lacommission de l’UEMOA enremplacement du sénéga-lais Cheikh Hadjibon.

Lino

Sommet extraordinaire de l’UEMOA en côte d’IvoireL’Etat de l’union, la gouvernance des institutionset la question du terrorisme au cœur des débats.

Le Che f de l ’Etat FaureEssozimna Gnassingbé étaithier à Monrovia au Liberiaoù il a pris activement part

à une réunion régionale surl’épidémie post-Ebola

Les che fs d’Etat présents àcette rencontre ont passé enrevue le rapport de la réuniondes experts tenue la veille,

et ont défini les perspectivesde la période post-Ebola en

Réunion régionale sur l ’épidémie post-Ebola hier à Monrovia Faure Gnassingbé a active-ment pris part aux travaux

C’est hier qu’a pris finla conférence de hautniveau sur l’améliora-tion de la fournituredes services de recher-ches et de sauvetages(SAR). Organisée par laCommission Africainede l’AviationC i v i l e(CAFAC) sousl ’ impu ls i onde la commis-sion del’Union Afri-ca ine, cettere ncontre amobilisé desexperts afri-ca ins du 10au 12 avril àLomé. ;C’est le mi-nistre des in-frastructureset des transports qui aouvert les travaux dece tte conférence. Aucours de son interven-tion, il a laissé entendreque cette rencontre apour objectif phared’aider les Etats à met-tre en place des straté-

gies pour sauver des vieshumaines. Ainsi pourlui, ce la sera possiblegrâce à l’e fficacité desopérations de recher-ches et de sauvetages encas d’accident d’avion.Ce n’est un secret pour

personne. Les récentsrapports montrent queles aviations africainesont connu plus d’acci-dents. C’est donc pourre médier à ce la queLomé a accueilli cetteconférence. Ainsi cetterencontre a eu pour ob-

Sécurité aérienne  en Afrique La conférence des experts ducontinent s’est tenue à Lomé

jectif principal, la sensi-bilisation sur la néces-sité de mettre en placeou alors à maintenir lesse rvices SAR afin decoordonner le protocoled’accord.Outre la CAFAC, l’autre

organisation présentequi est l’Organisation del’Aviation Civile Interna-tionale (OACI) dont leprésident Bernard Aliua relevé les difficultés deson institution avantd’amener les Etats Afri-

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Les VainqueursWARAA POLITIQUE

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La Première Agence de Presse Privée au Togowww.savoirnews.net

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SAVOIR NEWS

C’est donc le 14 avril2014 contre toute at-tente que le président dela République FaureEssozimna Gnassingbé adécidé après avoir dis-sous le Rassemblementdu Peuple Togolais (RPT)sous la bannière duquelil s’était présenté auxélections de 2005 puisde 2010 de créer sonpropre parti Union Pourla République (UNIR).L’ idée de ce tterefondation de la part del’actuel chef de l’Etatétait de ramener toutesles forces vives du paysqui ne se retrouvaientplus dans les idéaux duRPT et ceux voulant ap-porter leurs expériencespour bâtir un Togo nou-veau et prospère à se re-

trouver dans un nou-veau creuset. Fort heu-reusement, la mayon-naise a pris, pourpreuve plusieurs mili-tants de l’opposition àl’instar même du pre-mier vice-président deUNIR Georges Aïdam enest une illustration.Ce fut donc le premierpari gagné par ce jeune

parti. La démonstrationde l’adhésion massive àcette nouvelle force po-litique s’est matérialiséepar la nette victoire (63sur 91 sièges lors deslégislatives de 2013).Puis la victoire éclatantede son candidat FaureGnassingbé à l’électionprésidentielle de 2015.Par ailleurs, le procès

que l’on peut dresser àce jeune parti est l’ab-sence de congrès maispour dire vrai ce parti aencore le vent en poupeet se trouve en bonneposture pour remporterles prochaines électionslégislatives et locales.Une simple lecture de lavie politique actuellelaisse entrevoir mêmeque l’opposition enperte de vitesse œuvrepour laisser un boule-vard à UNIR de dirigerencore le pays pour 5ans. Alors que les cadresdu parti UNIR sont déjàsur le terrain pourremobiliser l’électoratpour le s prochaineséchéances électorales,le chef de fil de l’opposi-t ion opte pour une

précampagne en Eu-rope. Et pour le restedes autres partis del’opposition, c’est tou-jours la question desréformes politiques etinstitutionnelles qui està l’ordre du jour. Cecimême laisse entrevoirque les partis de l’oppo-sition sont convaincusdu bilan des activitésmenées par le chef del’Etat et ne compte quesur une probable limi-tation de mandats pourlui stopper.C’est dire qu’il revientdonc aux leaders del’opposition de revoirleur stratégie de combats’ils aspirent un jour di-riger ce pays.

Lino

UNIR célèbre ses 5 ans d’existence demainQuel bilan pour ce parti présidentiel ?

Décidément, les partis del ’opposition sont toujoursprêts à se disputer les placesquand il est question d’en-voyer des représentants dansn’importe quelle commis-sion. Tels des chiens qui bon-dissent sur un os jeté, le CARdu « revenant » Me YawoviAgboyibor et l’ANC du Chef deFile de l’Opposition se dispu-tent les places qu’occupe l’op-position dans le Conseil Na-tional de Suivi de la Décen-tralisation (CNSD).Selon les responsables duCAR, Jean Pierre Fabre s’ac-croche à son titre de Chef defile de l’Opposition et il s’ac-capare des avantages de toutel’opposition. Ils soutiennentmême que ce parti s’est ac-cordé avec le parti UNIR pourattribuer une place à l’UFCau sein du CNSD. Pendant cetemps, l’ANC qui veut jouerla victime dénonce un désé-

quilibre excessif dans lacomposition de ce Conseil etré clame pl us demembres.Selon une lettreadressée au ministre encharge de l’administration

territoriale, ce parti indiqueque le chef de l’opposition nedoit pas être assimilé à un

député parce qu’il ne peutpas être député. Il exige doncque le nombre de députésreprésentant l’opposition ausein du Conseil soit porté de8 à 9.

Le CAR qui voit l’ANC assezgloutonne trouve que le pro-blème de l’opposition actuel-

A la quête des intérêts personnelsLe CAR et l’ANC se disputentles places au sein du CNSD

lement est lié au statut del’opposition. Pour la formationpolitique du bélier noir, lestatut de l’opposition consti-tue la colonne vertébrale detoutes les réformes en pers-

pective. Il est donc illusoirede s’attendre à une justecomposition des institutionset à des élections libres etdémocratiques sans l’abroga-tion d’un tel statut qui laissela latitude à un parti quisiège au gouvernement de

s’accaparer des places qui re-viennent à l’opposition dansles institutions.Dans cette pagaille organisée,le peuple ne sait plus à quelsaint se vouer quand il se rendcompte que les partis de l’op-position ne pourront jamaisformer un bloc solide contre lepouvoir en place. « Il suffit decréer une petite commissionoù les partis doivent siégerpour voir comment l’opposi-tion s’entredéchire simple-ment à cause des émolu-ments à percevoir dans cettecommission. », ironise un mi-litant du parti UNIR. Pendantque l ’opposition des payscomme le Burkina Faso et laGambie ont pu affronter et ren-verser avec succès le pouvoiren place, l’opposition togolaisese contente de petites placesdans des commissions. Toutporte donc à croire que l’oppo-sition n’a pas encore le pro-gramme de l’alternance dansson agenda.

Jack NUKUNU

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ACTU-COMMUNIQUE

TOGO TELECOM INFORME SON AIMABLE CLIENTELE QU’ELLE ORGANISEUNE VASTE OPERATION DE REHABILITATION GRATUITE DES INSTALLA-TIONS TELEPHONIQUES A DOMICILE.

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LA DIRECTION GENERALE

COMMUNIQUE

Afrique de l’ouest, dans l’op-tique des réformes mondia-les fondées sur les enseigne-ments tirés de l’épidémie.Faure Gnassingbé désignéen novembre 2014 par laCommunauté économiquedes Etats de l ’Afrique del’ouest (CEDEAO) comme su-pe rvi seur du processusd’éradication de l’épidémie,s’était déjà rendu à Monro-via le 11 mai 2015.Précisons que plus de 11.300personnes sont mortes (pour28.600 cas recensés) lors dela dernière épidémie d’Ebola,qui avait démarré en Afriqueoccidentale en 2014.

Réunion régionale sur l ’épidémie post-Ebola hier à Monrovia Faure Gnassingbé a active-ment pris part aux travaux

Le Libe ria a payé le pluslourd tribut avec 4.800 décès.Depuis la fin de l’épidémieconfirmée en janvie r 2016,la région s’organise en vuede la Reconstruction et dudéveloppement.Mi-mars dernier, des scien-tifiques ont annoncé avoirmis au point un vaccin pourprotéger gorilles et chimpan-zés du virus Ebola. Le vaccinpeut leur ê tre administréoralement, dans la nourri-ture, donc plus facilementque par injection.

La Rédaction

Suite de la p 3

cains et tous les inter-venants à se mettre ensynergie pour renforcerla législation.Il faut rappeler que cetterencontre se situe dansle contexte de la mise enœuvre des recommanda-tions des conclusions10/20 du groupe régio-nal Afrique Océan In-dien édition 20. Les tra-vaux du 2ème jour se sontorientés sur le SAR dansles pays membres ainsi

que son utilisation avecles autres continents.Au cours de cette assise,il a aussi é té questiond’adopter une déclara-tion commune et définirdes objecti fs pour lafourniture des servicesde SAR. L’Afrique dé-tient jusqu’à ce jour 3%du trafic aérien interna-tional.

Charles

Sécurité aérienne  en Afrique La conférence des experts ducontinent s’est tenue à Lomé

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SOCIETE

L’un des objectifs des déci-deurs en initiant une se-maine culturelle au cours del’année scolaire est de per-mettre aux élèves de se dé-foule r e t surtout de sedéstresser. Cette traditionest respectée chaque annéepar certains établissementsscolaires. C’est le cas ducomplexe scolaire Le Bon àDague Assevenou dans lapréfecture des Lacs.La fondation du CS Le Bon àla tête de laquelle se trouveMonsieur ADOUVI Didace aoffert aux élèves 2 jours d’ac-tivités culturelles le s 7 et 8Avril de rni e rs à DagueAssevenou. Une caravane asillonné les quartiers envi-ronnants le vendredi dans lamatinée suivie d’un récitaldans la soirée. Cette der-niè re a permis à certainsélèves de montrer leur ta-lents en tant qu’artistes enherbes et à d’autres de dé-

montrer leurs capacités decréativités artistiques.La journée de samedi a été

consacrée au football dans lamatinée avec la finale dutournoi interclasse suivid’un pique nique.Dans l’après midi une céré-

Semaine culturelle au TogoDeux jours d’activités ont marqué l’événementau Complexe scolaire Le Bon à Dague Assevenou

monie spéciale , la premièredu genre dans la localité deDague s’e st dé roulée. Il

s’était agit de distinguer etd’encourager les me illeursde chaque classe du primaireau lycée qui ont émerveillésur le plan travail et compor-

temental. Pour le fondateurADOUVI Didace ce geste estun acte d’encouragement à

l’endroit de ses élèves et unemanière de les inciter à plusde travail car a-t-il déclaré lecomplexe Scolaire Le Bonveut prôner l’excellence dans

le travail. Les artistes l’évan-géliste Nouziayovo, Djifasonet Kelly Agboti ont entretenu

l’ambiance et tenu en ha-leine les élèves pendant 3heures d’horloge.

James

Du 3 au 7 avril, les collè-ge s e t lycées , publi cscomme privés ont connuune ambiance particulière.C’était en effet la semaineculture lle qui devait clôtu-rer en beauté le deuxièmetrimestre. Cette semaine a

été instaurée pour permet-tre aux é lèves de rompreavec le stress des cours etse familiariser avec les ac-tivités artistiques et cultu-relles, dans une ambiancefestive et conviviale. C’estaussi une initiative à tra-vers laquelle les élè ves do-tés de talents particuliersse font découvrir. Théâtre,musique , poésie , danses,ballets, sketchs, ke rmesse,récital, peintures, dessins,pique -nique…Nombreux sont les artistes

chanteurs, comédiens e thumoristes, le s présenta-teurs radio, des managersd’artistes et même des jour-nalistes qui ont fait leurspremiers pas dans leurs do-maines respectifs grâce auxsemaines culturelles. Mais

aujourd’hui, force est deconstater que ces semainesdédiées à la culture sont deplus en plus vidées de leursubstance. Les élèvent nes’intéressent plus aux acti-vités notamment les confé-rences, la sensibilisation etautres qui devaient norma-lement leur apporte r unplus à leurs connaissanceslivresques. Ainsi, s’absen-tent-ils aux heures des con-férences et des activités im-portantes pour leur forma-tion. Mais ils envahissentles salles aux moments des

récitals et des soirées dan-santes. « Pendant la se -maine culturelle il y a desé lèves qui ne vont pas àl’école, ils pré fèrent fairedes petites activités afin detrouver de l’argent pour sefaire remarquer le jour du

pique -nique », nous a con-fié un élève. Et selon lui,pour se remarquer, l’achatdes boissons alcoolisées estassez déterminant.La semaine culturelle estde nos jours une semainede débauche où les élèvesse débarrassent de leur te-nue scolaire pour porte rdes tenues osées des starsqu’ils voient régulièrementsur les chaines télé . C’estau cours de cette semaineque plusieurs partenairessexuels se créent. La se-maine culturelle est deve-

La semaine culturelle dans les établissements scolairesUne belle initiative à repenser

nue une semaine de dé -bauche au cours de la-quelle le contrôle des en-fants semble échapper auxparent s e t aux e nse i-gnants. La preuve on dé-nombre plusieurs cas degrossesses au 3e trimestre

de l’année scolaire.Pour arrêter l’hémorragie,ce rtaines écoles ont jugémieux mettre fin aux se-maines culture lles. Maisest-ce la bonne décision ?Quand on sait que ces se-maines ont des objectifsnobles au départ, les ban-nir complè tement, c’e stampute r aux é lèves unepartie de leur éducation.Aujourd’hui, le corps édu-catif doit réfléchir sérieuse-ment sur le mécanisme àmettre en place pour don-

ner aux semaines culturel-le s leur valeur d’antan.Pour l’heure, les responsa-bles d’établissement peu-vent déjà limiter considé-rablement les soirées dan-santes e t contraindre lesé lèves à participe r à des

activités plus instructivescomme la lecture, les con-férences débats sur des su-jets lié s à la jeunesse , l’ini-tiation à l’entrepreneuriatet autres. Les responsablesd’é tablis sement doiventaussi prendre des disposi-tions pour que les activitésfinissent à des heures rai-sonnables . Le s parentsaussi ont leur part à jouer.Ce n’est pas à cause de lasemaine culturelle qu’ilsdoivent arrê te r de veillersur leurs enfants.

Jack N.

Des jeunes élèves en tenues dévergondées Exécution des danses traditonnelles par les jeunes élèves

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CLUB DIPLOMATIQUE DE LOMETHEME : « CONSTUIRE UNE COMMUNAUTE DE

DESTIN POUR L’HUMANITE »Orateur : SEM. LIU YUXI, Ambassadeur de la

République Populaire de Chine au Togo.Date : 28 avril 2017.Lieu : Hôtel SARAKAWAHeure : 18h 30mn.

Samedi 15 avril 2017Kara: Gbikinti # USKorokiKpele Kponvié : Kotoko# Ange fcDIMANCHE 16 AVRIL2017Kegue : Dyto # FoadanWome : Maranatha # ASTogo PortKpalimé  : Gomidi #SemassiKara : Asko # AgazaSokodé : Unisport # ASOTR

D2 : 20ème journée

DIMANCHE 16 AVRIL2017

Zone nordNiamtougou : Kakadl #FoukpaBaf ilo : Sara FC #OdalouKoussoumtou : Agouwa# AS DankpenMango : Doumbé #

ASCKDapaong : Tigre Noir #TAC

ZONE SUDOscar Anthony : EtoileFilante # Gbohloe suAblogamé : Asfosa #Abou OsséTsévié : Espoir fc # SNPTFCKouvé : Hirondelles #IfodjèBadou : Okiti # Arabia fc

James

Championnat national D1 21ème journée

Nommé Premier minis-tre le week-end dernier,mardi 11 avril BrunoTshibala s’est entretenutour à tour avec la Dé-mocrat ie chrét ienned’Eugène DiomiNdongala, l ’aileOlenghankoyi du Ras-semblement des forcesacquises au change-ment, les dissidents dela Convention des Répu-blicains conduits par Si-mon Bolenge, les chefscoutumiers et le groupeparlementaire del’UDPS. Au menu de cesdiscussions , le pro-gramme assigné au gou-vernement, la situationsocio-économique de lapopulation et les élec-tions notamment.Les rencontres ont lieuà la Cité de l’Union afri-caine. A cette occasion,les chefs coutumiers ontindiqué leur choix quantà la répartition des pos-

tes dans le futur gouver-nement.Le ministère de la Dé-centralisation et des Af-faires coutumières lesintéresse particulière-ment. Les chefs coutu-miers espèrent en effetpouvoir contribuer à larésolution de la multi-tude des problèmes quisont observés depuisdes années dans ce sec-teur.Mais certains des hôtes

du nouveau Premier mi-nistre ont promis d’allerd’abord examiner lespropositions qui leuront été faites, avant derépondre. C’est le casdu groupe de JosephOlenghankoy qui a toutde même apporté sonsoutien total à BrunoTshibala et au gouverne-ment qui sera mis enplace.

Africatime

RDCDébut des consultations en vue de

la formation du gouvernement

Bruno-TSHIBALA nouveau PM RDC.

Une session extraordi-naire de la Conférencedes Chefs d’Etats et degouvernements del’Union Economique etMonétaire Ouest-Afri-caine (UEMOA) s’est te-nue lundi à Abidjan.La croissance économi-que au sein de l’Unionéconomique et moné-taire ouest-africaine(Uemoa - huit pays) de-vrait demeurer forte en2017, à environ 7% ,malgré la persistancedes menacessécuritaires et un con-texte économique mon-dial morose, ont estimélundi ses dirigeants àAbidjan.«Le taux de croissancedans l’Uemoa est estiméà 6,8% en 2016, contre6,6 en 2015" a annoncéle ministre sénégalais del’Economie et des Fi-nances, Amadou Ba,président du conseil desministres de l’Uemoa.«Un taux quatre fois su-périeur à la moyenne del’Afrique sub-saha-rienne. Ce taux était de1,6%», s’est félicité, deson côté, le présidentivoirien AlassaneOuattara, à l’ouvertured’une session extraordi-naire de l’Uemoa.«Au plan sécuritaire endépit des efforts dé-ployés par l’Union, la si-tuation demeure préoc-cupante dans la sous-région, marquée par larecrudescence d’actesterroristes, d’enlève-ments et autres crimesperpétrés par des grou-pes armés non étatiquesdont la seule volonté est

de semer la peur et lechaos» a déploré le pré-sident ivoirien appelantà observer une minutede silence en hommageaux victimes.L’Uemoa avait dénoncé,en mai 2016, la chute de6% de l’activité touristi-que depuis 2015 et desrecettes générées de3%, en raison essentiel-lement de menaces «ter-roristes» dans sa zone.Les attaques desjihadistes ont «porté at-teinte aux sites touristi-ques» de l’espace com-munautaire, alors queplusieurs États, dont leNiger, le Burkina Fasoet le Mali, sont toujoursclassés dans une zone«rouge» par les pays oc-cidentaux, gros pour-voyeurs de touristes,avait souligné un expert.Les chefs d’Etat del’Uemoa ont salué uneperceptive économiquefavorable en 2017 avecun taux de croissanceattendu de 7% , soutenupar la bonne tenue desproductions agricoles,industrielles et des ser-vices.Le taux d’inflation dansl’Uemoa s’est réduit à0,3% en 2016 contre 1%en 2015. Toutefois, letaux d’endettement glo-bal de l’union est passéà 45,1% du PIB en 2016contre 70% , la normecommunautaire.Les présidents des huitpays membres del’Uemoa, Côte d’Ivoire(Alassane Ouattara),Burkina Faso (RochMarc Christian Kaboré),Bénin (Patrice Talon),Sénégal (Macky Sall),

Mali (Ibrahim BoubacarKe ïta), Togo (FaureGnass ingbé), Nige r(Mahamadou Issoufou)et Guinée-Bissau (José

Mario Vaz) étaient pré-sents à ce sommet. Tousces pays ont le franc CFAcomme monnaie. La po-pulation g lobale de

l’Uemoa avoisine les 90millions d’habitants.

Africatime

Economie-UEMOAUne croissance à environ 7%en 2017 contre 6,8 en 2016

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