w w w . v i l l e - s t - j a c q u e s - d e - l a - l a n d e . f r

Le partenariat favorise l’accès à la culture

Météo France fait “peau neuve”PAGE 12

PAGE 10

EclairagE sur lEs mEsurEs En favEur du climat

out Saint-Jacques en parle

2

Son meilleur souvenir au cours de ses quelque 36 années de bisounours ?« Vous me prenez de court ! Peut-être la commémoration des 20 ans de la crèche familiale. Beaucoup d’enfants sont venus, c’était un signe du bon état d’esprit qui ré-gnait. » C’est en 1975 que Marie-Gene-viève arrive à Saint-Jacques après avoir exercé comme infirmière en pédiâtrie à

35 ans au service des enfantsMarie-Geneviève Chevance prend sa retraite. De nombreux Jacquolandins la connaissent, elle a créé l’accueil petite enfance sur la commune et vu défiler environ 3 000 bambins au cours de son activité professionnelle.

l’hôpital de Poitiers puis infirmière en chirurgie infantile à l’hôpital de Rennes. « Je suis venue ici pour ouvrir une crèche fa-miliale et une halte-garderie, se souvient-elle encore. C’était très novateur à l’épo-que, Saint-Jacques était, dans sa catégorie, la seule commune de Bretagne à se doter d’une crèche familiale. » Sollicitée jusqu’au bout à l’espace Flora

Tristan qu’elle a créé avec enthousiasme, Marie-Geneviève n’a pas vraiment enco-re eu le temps de réfléchir à la manière d’occuper les mois qui viennent... L’une de ses deux grandes filles est maman d’une fillette : « Je m’en occuperais un peu, mais pas trop ! Je crois que je vais d’abord me poser, ranger les papiers, voyager, faire des mots croisés, me mettre à la peinture... L’aide aux devoirs me conviendrait bien... Je ne suis pas inquiète. Ah, et puis si ! je vais enfin pouvoir me mettre du rouge à ongles ! », lâche-t-elle dans un grand éclat de rire.

n PC

Marie-Geneviève Chevance (à gauche) va passer le relais à Nathalie Lemosquet à la tête de l’espace Flora Tristan.

3

St-JacqueS … en un Seul clicVous pouvez compléter l’information contenue dans les différentes parutions (Le Jacquolandin, Saint-Jacques en Bref et l’Info Métropole) par la consultation du site internet de la ville.Une rubrique “infos pratiques” vient désormais complé-ter les six autres et la page d’accueil réservée à l’actua-lité a bénéficié d’un toilettage.N’hésitez pas à redécouvrir le site de la ville sur :www.ville-st-jacques-de-la-lande.fr

RecheRche muSicienS FanFaRe de RueVous êtes musicien, vous souhaitez jouer dans un groupe ! La Fanfare de rue (Banda) de l’Ecole Intercommunale de Musique et de Danse Jean Wiener vous accueille tous les 15 jours, le samedi matin, de 10 h 30 à 12 h 30, place Croc à Noyal-Châtillon-sur-Seiche pour jouer de la musique festive (samba, boléro, funk…), avec ou sans partition. Renseignements : 02 99 41 35 18 ou ecolejeanwiener@orange.fr

prenez noteLe printemps des anciens

Le repas annuel des personnes âgées est fixé au mar-di 30 mars 2010 au gymnase Salvador-Allende. Les Jacquolandins de 70 ans et plus au 30 mars et leur conjoint pourront participer à ce repas. Inscription 5 euros par personne, à partir du 23 février au CCAS aux heures d’ouverture (fermé au public le mercredi et vendredi après-midi).

Afin d’améliorer la visibilité de l’ensemble des usagers du cours Jean-Jaurès (piétons, cyclistes, automobilistes), le ser-vice des Espaces Verts va procéder à la taille, au ras du sol, des haies de chênes verts situées sur cet axe.Cette intervention est prévue début février. Pour toutes informations complémentaires, les services tech-niques de la ville restent à votre disposition.Tél. 02 99 29 75 51

Taille des Haies de chênes verts cours Jean-Jaurès

ossier

4

pLan energie cLimat « La commune est déjà engagée en matière de développe-ment durable : en économisant l’espace avec le projet de ville compacte d’une part et en favorisant les transports collec-tifs d’autre part. Mais l’équipe municipale a conscience que nous avons encore beaucoup de progrès à réaliser en étant notamment exemplaire sur les consommations énergétiques des bâtiments communaux.La signature de la Convention des maires pour le climat nous conduit à formaliser nos engagements et est également l’oc-casion d’expliquer nos objectifs aux habitants et entreprises jacquolandins. »

ConVEnTion dES MAiRES PouR LE CLiMAT :

Saint-Jacques, 1 001e ville européenne à s’engager

Elus et techniciens s’engagent à réduire les émissions de CO2 sur la ville.

rénovation thermique : coup pouceVous êtes propriétaire et vous voulez réduire vos factures d’énergie ? En plus de l’Eco-prêt à taux zéro, l’Etat crée l’éco-subvention et vous verse jusqu’à 35% du montant de vos tra-vaux de rénovation thermique*.renseignements : Agence nationale de l’habitat08 20 15 15 15 ou sur www.ecosubvention.fr* Dans le cadre du plan de relance, offre limitée dans le temps, sous conditions de ressources.

La Convention des maires pour le climat, organisée par la Commis-sion européenne, a été signée en décembre dernier par Emmanuel Couet, maire de la commune. Saint-Jacques rejoint la trentaine de communes métropolitaines qui y ont adhéré. Cette initiative vise à promouvoir des politiques nationales et lo-cales volontaristes en faveur de la lutte contre le changement cli-matique. Elle s’est fixée pour objectifs de dépasser ceux de l’union européenne* en matière de réduction des émissions de Co2. « Nous attendions des engagements chiffrés lors du sommet de l’ONU sur le climat qui s’est tenu en décembre 2009 à Copenhague, or on n’a rien eu. Il est urgent de réagir face à l’ampleur de la menace que fait peser le changement climatique. Il faut anticiper sur la raréfaction des énergies fossiles en mobilisant les services de la Ville, les partenaires locaux et la société civile sur la nécessité d’agir en faveur de la planète », observe daniel Salmon, adjoint aux transports, énergies et déchets.

Saint-Jacques, signataire de la Convention des maires pour le climat, déroule un plan d’actions en faveur de l´énergie durable dans les domaines d’activité relevant de ses compétences. Le point sur ce dossier.

emmanuel couet, maire

5

avec tous les acteurs locaux... », rappelle en substance le technicien. Quelques pistes de travail concrètes émergent. une interrogation est notam-ment menée sur l’éclairage public : doit-on laisser éclairer toute la nuit ? doit-on réduire le nombre de points lumineux sur la ville ? doit-on réduire la puissance des éclairages ? un plan d’investissement pluriannuel est aussi évoqué pour isoler thermiquement les plus vieux bâtiments publics : écoles de la Croix-Verte, Eugè-ne-Pottier et Gabriel-Péri, équipements sportifs du stade Salvador-Allende. Reste encore à sensibiliser les habitants sur ces questions qui touchent au quoti-dien sachant que 1 877 logements sont antérieurs à 1975...

« La Ville ne peut pas contraindre, aussi de-vrons-nous organiser des forums, des portes ouvertes et des visites de sites pour informer, trouver des solutions pour faire réaliser un premier diagnostic de performance énergé-tique dans les logements les plus énergétivo-res... » conclut Vincent Aubry.* Réduction de 20% des émissions de Co2, amé-lioration de 20% de l’efficacité énergétique, au moins 20% d’énergies renouvelables en 2020.

n PC

Le volet thermique, la maîtrise de l’électricité et les économies d’eau font partie du cahier des charges des Parcs d’Eole.

Habitat 35 va équiper ses 10 logements situés rue Louise-Michel d’huisseries double vitrage et procéder au ravalement sur une isolation extérieure.

Daniel Salmon, adjoint au maire, et Gwénola Gainche, ingénieure, dans la “zone de rencontre” nouvellement créée au Pigeon-Blanc.

Diverses réalisationsun diagnostic passant au crible la stra-tégie de développement durable du projet communautaire a été réalisé par l’Agence locale de l’énergie au cours de ces dernières années. il note qu’en 2006, les métropolitains ont rejeté 2 millions de tonnes de Co2 dans l’atmosphère, dont 53% par les transports, 37% par la production de chaleur et 10% par l’électricité. Plus localement, on sait que 120 GWh sont consommés en gaz et en électricité par tous les acteurs de St-Jacques (dont 4 GWh par le patrimoine public). Mobilisée sur ces questions énergéti-ques, la commune a déjà engagé diver-ses opérations qui vont toutes dans le sens de la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Quelques exemples locaux...Citons par exemple les Parcs d’Eole de la Gautrais sous maîtrise d’ouvrage de la collectivité. un cahier des charges techni-que y réglemente la qualité des construc-tions et s’intéresse notamment au volet thermique d’hiver et d’été, à la maîtrise de l’électricité, aux économies d’eau…

Citons encore la pose de double vitrage à l’école de la Croix-Verte et à la mairie, la requalification du quartier du Pigeon-Blanc favorisant les modes de transport doux, la construction des vestiaires du stade Salvador-Allende avec isolation par l’extérieur, système combiné eau chaude sanitaire et chauffage solaire, l’achat de six vélos pour les besoins des agents communaux... « La Convention nous engage tous, pour-suit encore l’élu. Elle touche à nos modes de vie et de consommation, elle concerne tant l’habitat collectif qu’il soit pavillonnaire neuf ou ancien que les locaux d’entreprises, les commerces et les bâtiments publics. »

Sensibiliser les habitantsdepuis maintenant un an, Vincent Aubry, adjoint à la directrice de l’Amé-nagement urbain, coordonne la mission Convention des maires pour le climat. un plan d’actions devrait voir le jour d’ici à la fin d’année. « Il s’agit de remet-tre à jour notre connaissance du patrimoine bâti en partenariat avec l’Agence locale de l’énergie, de coordonner de nouvelles initiati-ves, de chiffrer les gains attendus en matière d’économie d’énergie, d’impulser des actions

ie municipale

6

Soutenir l’activitéBien sûr l’emploi demeure la priorité, avec notamment le maintien de l’inves-tissement par les collectivités. d’ailleurs la ville de Saint-Jacques accueille trois opérations d’aménagement économique : la Courrouze avec près de 950 salariés qui arriveront entre 2010 et 2011, Air-lande dont la commercialisation s’achève et Mivoie ii Le Vallon dont les travaux se poursuivent. Le Parc, l’extension de

2010 : ConfianCe eT DéTerminaTionLors de son discours de vœux, le Maire a d’abord rappelé le contexte particulier marqué par la crise financière, économique et sociale d’une part et par la réforme du financement des collectivités locales d’autre part. Face à cette situation, il a souhaité faire passer un message de confiance dans le dynamisme de l’économie locale, la vitalité démographique de l’agglomération et les collaborations entre acteurs publics et privés.

Le 8 janvier à L’Aire Libre, Emmanuel Couet, Maire, a présenté ses vœux pour St-Jacques et l’agglomération.

l’école du Haut-Bois, la requalification du cours Camille-Claudel, des vestiaires au stade-Allende, la rénovation du quartier du Pigeon-Blanc et l’entretien des bâti-ments communaux contribuent égale-ment à soutenir l’activité.

Poursuivre l’accueilConcernant l’habitat, la ville est engagée dans la réalisation des objectifs du Pro-gramme Local de l’Habitat (PLH). Mal-gré les difficultés rencontrées par le sec-teur de l’immobilier qui ont impacté les programmes visant à mieux accueillir les familles et offrir de la diversité de logements, 96 logements ont été livrés en 2009, 224 livraisons et près de 600 logements en construction en 2010.

assurer un service de proximitéEnfin, plus que jamais dans un contexte difficile, l’action de l’équipe municipale en faveur des services municipaux de qualité demeure une priorité. Le Maire s’est féli-cité du degré d’implication des employés communaux pour un service public de proximité apprécié des habitants.

impliquer les partenairesEmmanuel Couet a insisté sur le rôle des partenaires socio-culturels qui à travers leurs projets et leurs actions font le lien social, la solidarité et la citoyenneté au quotidien. il a d’ailleurs fait part de son inquiétude face au désengagement de certains financeurs notamment dans le cadre du renouvellement des conven-tions avec le Centre de la Lande et l’of-fice Jacquolandin des Sports. C’est sur un message de confiance qu’Emmanuel Couet a souhaité conclu-re : confiance dans les atouts de la commune et de l’agglomération, dans la volonté des acteurs et dans les par-tenariats.

n RV

Lors de ses vœux aux 200 agents, Emmanuel Couet, Maire, a exprimé sa reconnaissance pour le sens du service public et de l’implication du personnel communal.

7

intempÉries de JanVier : reFLet gLacÉ de notre sociÉtÉ

On se souvient de la vague de neige et de froid début janvier.Pour ceux qui ont un emploi, la pression à la rentabilité est devenue tellement forte que chacun devait se débrouiller pour venir au travail. Par exemple, alors qu’aux jours les plus enneigés la plupart des transports en commun étaient à juste titre arrêtés par sécurité, les cars de ramassage qu’organise PSA-la-Janais pour amener à l’usine les ouvriers habitant loin devaient rouler quand même ! Après de nom-breuses séances de chômage partiel, les patrons avaient décidé de produire ces jours-là : leurs profits ne souffrent aucun retard… coûte que coûte !Quant aux services publics, particulièrement indispensables dans ce genre de situation, la réduction continuelle de leurs effectifs ne peut que dégrader leur efficacité. Ainsi, les pré-visions météorologiques fiables de la station Météo-France de Saint-Jacques ont permis de limiter les accidents de la circulation en Ille-et-Vilaine. Pourtant, l’Etat envisage de sup-primer plus de 500 postes en France et de fermer des sta-tions locales qui ont montré en janvier leur utilité.Les intempéries sont sans doute inévitables mais elles révè-lent bien des choses sur le fonctionnement d’une société... qu’il faut décidément changer. Fabrice Lucas, le 15 janvier - contact : 06 16 13 83 06

2010 sera L’annÉe de ...A la manière d’un inventaire à la Prévert, nous balayons ici quelques uns des points forts qui animeront l’année 2010 :La courrouze,Un nouveau siège régional du Crédit Agricole en fin d’annéeUne nouvelle Préfecture à venir dont le concours d’architec-tes est lancé et qui s’installera à la suite du siège de l’entre-prise LegendreUn premier immeuble “basse consommation” (BBC) mis en construction sur la communecentre-ville morinais,Une nouvelle entrée de ville et un nouveau cours Camille- Claudelpigeon-Blanc/pilate,Une rue de la Pilate rénovée dans la section Temple-de-Blosne/Vingt-cinq fusillésUn Super U agrandi et rénové et la construction de loge-ments au-dessusBourg-aéroport,Un nouveau quartier qui prend forme rue de la Merceraisanimation et culture,Une nouvelle convention avec le Centre de la Lande et l’Of-fice Jacquolandin des Sports et la ville pour définir les ob-jectifs et les actions à mener pour les trois ans qui viennent.Un anniversaire : les 10 ans de la Médiathèque Lucien Herr qui a ouvert ses portes en septembre 2000développement durable,Une convention signée avec la Commission européenne sur le changement climatiqueUn engagement et des actions concrètes cette année encore

Fêter la nouvelle année autour de galettes des rois très sympathiques et conviviales est le plaisir de beaucoup d’entre nous, et nous espérons que cette nouvelle année apportera à chacun tout ce qu’il souhaite de bon pour lui et son entourage…Mais cette nouvelle année commence aussi très mal pour certains : nous pensons tout particulièrement à nos amis d’Haïti durement frappés par ce terrible tremblement de terre. Nous sommes de tout cœur avec les familles touchées par cette catastrophe et nous nous associons à leur peine… Au moment où nous écrivons cet article, nous ne savons pas encore combien de dizaines de milliers de victimes seront recensées…L’aide internationale s’est mise en place, avec beaucoup de difficultés, et la France figure au premier rang des pays qui contribuent largement à cette aide humanitaire qui comptera sans doute parmi les plus impor-tantes de ces dernières décennies… Nous ne doutons pas un instant que notre commune de St-Jacques, comme beaucoup d’autres, (Van-nes, par exemple avec le versement de 25 000 euros), contribuera, à la mesure de ses finances, à la reconstruction de ce pays qui depuis longtemps souffre de la pauvreté et de l’indifférence mondiale !Nous avons dans notre commune quelques Haïtiennes et Haïtiens qui souffrent, comme beaucoup en France, et qui sont sans nouvelles, pour certains, de leurs familles : ils seront sensibles à toutes formes de manifestation de sympathie et n’attendent qu’un geste de réconfort… Des associations se préoccupent de l’après-séisme et feront le maxi-mum pour contribuer au bien-être des sans abris. Nous ne doutons pas un instant des engagements de la commune et de chacun d’entre vous qui pourront ainsi conforter l’aide collective nationale et interna-tionale dont les Haïtiens ont besoin. Chaque geste compte ! même le plus humble… Nous laissons à chacun d’entre vous le libre choix de son aide : des organismes nationaux aux associations locales…Nous ne manquerons pas de nous associer aux demandes d’aides, et peut-être même que des aides physiques seront nécessaires (recons-tructions d’écoles, etc…) les volontaires seront les bienvenus…

Les élus de l’opposition. permanence le samedi matin à 10h30 - tél. 02 23 42 43 70.

e tat c iV i LNAISSANCESPablo Azé, 1 C rue Pierre-Brossolette, le 17.10.09Manon Bonafous, 69 ter bd Jean-Mermoz, le 18.10.09Enaëlle Marie, 73 rue de la Pilate, le 28.11.09Mao Lefaucheur, 1 Place L.- Sedar-Senghor, le 01.12.09Manon et Lucie Thébault, 6 villa dahouet, le 01.12.09Suzie Jeuland--Guillemaud, 2 rue Charles-de Gaulle, le 03.12.09Thomas Rebours, 26 mail Léon-Blum, le 03.12.09

Maëlys Bahurel, 8 allée des iris, le 10.12.09Tom Tanguy, 27 bis rue de la Pommerais, le 10.12.09Clément Glo, 58 rue de la Pilate, le 11.12.09

DéCèSRoselyne Penquerc’h (59 ans), 66 rue du Manoir, le 12.12.09

Marie Troadec (96 ans), 1 Place S.- Allende, le 25.12.09

Marie Méré (92 ans), 1 Place S.- Allende, le 18.01.10

pa r o L e à L a m a J o r i t É

paroLe à st-Jacques tous ensemBLe

pa r o L e à L u t t e o u V r i è r e

Retrouvez le compte rendu intégral du conseil municipal affiché en mairie ou sur :

http/www.ville-st-jacques-de-la-lande.fr

co nse i L mu n i c i paL

permanences des adJointschaque samedi de 10 h à 12 h à la mairie,

n 6 février : Yann Texier (économie, emploi et communication)n 13 février : Monique Michelet (culture et animation)n 20 février : Annie Malardé (solidarité)n 27 février : Fernand Etiemble (aménagement et environnement)n 6 mars : Annie Malardé (solidarité)

ssociations

8

depuis le 21 janvier, diverses anima-tions sont proposées dans le cadre de l’animation Trois mois avec la Turquie proposée par le Centre de la Lande, l’Epi Condorcet, la Médiathèque, l’Ecole de musique et de danse Jean Wiener en lien avec les associations turques. Au programme conférences, expositions, films, résidence d’artistes et autres dé-couvertes gustatives.

Un périple de 6000 kms !Le 15 février à 18 h 30 à la Ferme de la Morinais, Clotilde Gennet et Léa Glin, étudiantes à l’institut d’études politiques à Rennes présentent leur re-portage vidéo, réalisé l’été dernier, sur « La jeunesse turque et l’Europe », regards croisés sur la jeunesse avec l’association Turkoize et les jeunes de Saint-Jacques : « Pendant deux mois, nous avons recueilli

en prise directe avec la TurquieL’Union européenne a choisi Istanbul comme capitale européenne de la culture. La fête se poursuit à St-Jacques et met la Turquie à l’honneur.

centre de La Lande

les témoignages d’une vingtaine de jeunes turcs, au cours d’un périple de quelques 6000 kms, de la Mer Egée à la Mer Noire, en passant par le Cappadoce, jusqu’aux frontières de la Syrie et de la Géorgie. Nous sommes revenues avec une exposition pho-tos et un montage vidéo. Nous proposons un échange pour parler de la Turquie, inciter les jeunes à monter des projets de ce type et surtout, briser les nombreux préjugés qui sont parfois véhiculés. Nous avons rencon-tré une grande chaleur humaine, une hos-pitalité sans faille, des jeunes qui parlent d’Europe, partagent les mêmes envies, les mêmes rêves que nous. » (http://deuxbre-tonnesenturquie.blogspot.com)

n TR

Contact : Bernard FlahautCentre de la Lande - Tél. 02 99 35 36 16

queLques datesn Le 2 février à 15 h (scolaires) et à 18 h (tout public)Auditorium de l’Epi Condorcet.

Denise Schaffer, musicienne et conteuse de la compagnie Mze Shina, offre “Paroles de sable”, un conte musical : « Et si le récit commençait avec la plus ancienne épopée du monde, écrite sur des tablettes d’argile et vieille de quatre mille ans ? »

n Le 12 février à 20 h 30 Auditorium de l’Epi Condorcet.On découvre le film “Turquie, les éclats de l’Orient” et “Istanbul, l’extase du derviche voyageur”.Le photo-reportage d’Evelyne et Alain Basset « Approchons une diversité héritée d’une histoire millé-naire et d’un riche passé » (gratuit sans réservation).

n Le 23 février à 20 h 30 Auditorium de l’Epi Condorcet.Un programme de courts-métrages est présenté par l’association Clair Obscur dans le cadre de Travelling Istanbul (gratuit sans réservation).

© R

icha

rd V

olan

te

© A

lain

Bas

set

© A

lain

Bas

set

9

oFFice JacquoLandin des sports

« Les échecs sont un sport, atteste la res-ponsable du club isabelle Payoux. La discipline est d’ailleurs reconnue par l’office national et a sa propre fédération avec licen-ces et compétitions. » L’idée prend corps en septembre 2007 à l’école Eugène-Pot-tier. une équipe d’enseignants souhaite intégrer le jeu d’échecs à l’apprentissage des mathématiques. L’école présente des équipes aux championnats scolaires et remporte deux fois le titre départemen-tal de champion scolaire ainsi qu’une troisième place au niveau régional.

Plaisir de jouer« Mes enfants étaient très intéressés et je m’y suis mise peu à peu, découvrant le plai-sir de jouer », explique isabelle Payoux. Plusieurs enfants se passionnent et l’ap-prentissage se poursuit. isabelle Payoux crée une association, devient membre du comité directeur du département et responsable du développement des échecs pour les jeunes femmes. Soute-nue par la compétition Matpat que coor-donne l’Académie, l’école Eugène-Pottier continue de proposer les échecs aux élè-ves ; en 2008, c’est elle qui remporte le trophée régional. Aujourd’hui, à Saint-Jacques, une quinzaine d’enfants de 7 à 14 ans participe régulièrement aux ren-contres, dont certains, particulièrement

Le jeu d’échecs, un sport à part entièreDepuis décembre dernier, la section échecs est désormais rattachée à l’Office Jacquolandin des Sports.

assidus, pratiquent les échecs depuis cinq à six années. des liens d’amitié se sont instaurés avec les clubs de Bréqui-gny et de Montgermont : « Nous sommes

Isabelle Payoux (au fond), responsable de la section Saint-Jacques échecs.

les jeunes joueurs d’échecs portant déjà brillamment les couleurs du club, et les encadrants de Saint-Jacques Echecs.

regroupés dans une association plus impor-tante, Haute-Bretagne échecs, qui rassem-ble une soixantaine de jeunes et permet de faire progresser les enfants. » En deux ans d’existence, le club a déjà obtenu neuf podiums au championnat départemen-tal des jeunes dont deux titres et trois deuxièmes places ; cinq jeunes se sont qualifiés au championnat régional jeu-nes avec un titre de vice championne de Bretagne et une troisième place. Le pro-chain championnat de Bretagne jeunes se déroule au Lycée Bréquigny du 15 au 19 février. Sept jeunes sont d’ores et déjà qualifiés dont cinq filles. « Le jeu d’échecs intéresse toutes les générations. On est par-fois surpris des résultats ! »

n TR

Contact : Isabelle Payoux Tél. 06 07 48 42 14 Site : www.echecs35.fr Les rencontres ont lieu le mardi de 20 h à 21 h 30 et vendredi de 18 h à 20 h avec à chaque fois cours et parties libres (cotisation de 33 e plus le coût de la licence).

dimanche 10 janvier, le stade salvador-allende a accueilli un cyclo-cross organisé par l’office Jacquolandin des sports et le comité des Fêtes. 86 coureurs se sont affrontés et parmi eux des professionnels comme Sébas-tien Hinault et Christophe Laborie. podium :1er, Christophe Laborie (Sojasun Espoir), 2ème, Sébastien Hinault (EC Plouha), 3ème, Romain Hardy (Breta-gne-Schuller).Les organisateurs remercient les bé-névoles et la Ville de St-Jacques pour leur participation.

86 participants au cycLo-cross

© O

JS

ulture - Animation

10

de la maternelle à l’université. L’Aire Libre ouvre ses portes aux jeunes publics à l’occasion de l’accueil de spectacles et créations en résidence. Cette politique d’ouverture se concré-tise par une offre de spectacles diversifiée selon les âges, l’aménagement de temps de rencontres avec les artistes et les techniciens, la mise en œuvre d’ateliers de pratique artisti-

L’accès à la connaissance par le multipartenariatL’Aire Libre et l’Epi Condorcet s’attachent à nouer des partenariats locaux avec des établissements scolaires et universitaires, des équipements culturels et des associations pour bâtir leurs projets. Les objectifs étant, selon chacune de ces structures, d’initier les jeunes aux diverses formes artistiques et d’enrichir la vie culturelle de tous les habitants.

thÉâtre de L’aire LiBre

ques, la possibilité de produire et restituer des œuvres devant un large public... « Nous croyons aux vertus de l’initiation artistique dès le plus jeu-ne âge, soutient Jean Beaucé, directeur du théâtre. Et puis pra-tiquer soi-même une discipline artistique, c’est pouvoir travailler en groupe, respecter les consignes, écouter les autres, développer son attention et sa concentration, son imagination et sa sensibilité, etc. Toutes ces expériences sont fondatrices pour l’âge adulte. »

Un rôle de passeurPour parvenir à ses fins, l’Aire Libre établit des conventions avec les structures éducatives. Toutes les actions mises en œuvre rejoignent les programmes et les directives du minis-tère de l’Education nationale et du ministère de la Culture et de la Communication, mais aussi du Conseil régional, du Conseil général et de la Ville. de multiples exemples illus-

trent cette politique : mise en place d’un atelier de recherche à l’université Rennes 1 à l’occasion du spectacle Sexamor, or-ganisation d’un atelier de pratique artistique en collaboration avec le collège Jean Moulin lors de la création de n°1 oblige d’Achille Grimaud, rencontre des élèves de l’école Eugène Pottier avec le collectif Lumière d’août pour travailler sur le thème de l’aviation... de multiples partenariats se nouent avec d’autres établissements scolaires et associations, dont le Centre de la Lande, l’école de musique intercommunale Jean Wiener, l’Epi Condorcet, etc. une résidence impliquant Saint-Jacques, Cesson Sévigné et Chartres-de-Bretagne démarre avec le Concert impromptu. La médiation culturelle se poursuit, et c’est tant mieux.

www.theatre-airelibre.frn PC

Un Atelier de pratique artistique à l’école du Haut-Bois.

Les stagiaires de l’atelier Tout atout en répétition à L’Aire Libre

Le Concert Impromptu dans la cour de l’école Eugène-Pottier.

11

epi condorcet

L’accès à la connaissance par le multipartenariat

L’Epi Condorcet est partenaire de la manifestation Trois Mois avec la Turquie, pilotée par le Centre de la Lande. Cette initiative locale s’inscrit dans une dynamique na-tionale faisant écho à la Saison de la Turquie (plus de 400 manifestations pluridisciplinaires se déroulent en France du 1er juillet 2009 au 31 mars 2010 afin que le public découvre et comprenne les facettes de ce pays eurasiatique) et à la dési-gnation d’istanbul comme capitale européenne de la culture pour 2010. deux partenariats culturels majeurs sont impliqués dans la programmation jacquolandine : l’association Clair obscur dans le cadre de Travelling istanbul pour la projection de courts-métrages, dont l’un (Bende Sira) fut primé l’an dernier à Travelling Junior et le film “le garçon qui ne voulait plus parler” qui traite du thème de l’intégration sociale des immi-grés, sujet d’actualité s’il en est.

Un photographe turc dans la villeSecond partenaire majeur, le Carré d’Art de Chartres-de-Bre-tagne présente du 21 au 27 février une exposition photos du collectif turc narPhotos. Tolga Sezgin, l’un des huit membres de ce collectif, est en résidence au Carré d’Art les deux pre-mières semaines de février, hébergé pour partie à la maison des artistes à Saint-Jacques Aéroport. il est accueilli le 3 février dans la commune par le photo-club pour une présentation de son travail, le 4 février par les stagiaires de l’atelier Français langues étrangères et les adhé-rents de la Balade tranquille afin de découvrir le quartier de la Morinais, le 12 février pour une restitution de ses images et un échange avec le public. Le collectif rennais Il pleut encore accompagne l’artiste au cours de son séjour et s’engage à par-ticiper à la production de photos prises dans le quartier de la Morinais, à Chartres-de-Bretagne et dans le centre historique de Rennes. une exposition des clichés pourrait voir le jour en fin d’année. « Le multipartenariat est important pour enrichir la vie culturelle, se réjouit Marie-Joëlle Brisseau, directrice de l’EPi Condorcet. C’est comme une partie de billard à plusieurs bandes, on définit un thème et l’on rebondit vers de multiples partenaires ! »

© T

olga

Sez

gin

Un Atelier de pratique artistique à l’école du Haut-Bois.

n Une exposition de photo-graphies de musiciens turcs présentée en partenariat avec la Maison des cultures du monde de Vitré.du 27 janvier au 26 mars.n Des présentations thémati-ques de documents autour de la Turquie (littérature, musique, cinéma, documentaires...). a partir du 27 janvier.

mÉdiathèque

n PC

ie des entreprises

12

Mensuel municipal - Mairie - 1, rue des 25 Fusillés - 35136 Saint-Jacques-de-la-Lande - Tél : 02 99 29 75 30Directeur de la publication : E. Couet - Responsable de la rédaction : Y. Texier

Rédaction : P. Charbonnier, T. Ruellan, R. Vaillot. Réalisation : C. Reland - Photos : C. Reland - Impression : Aramis - Distribution : D.Q.P. - Dépôt légal : 1er trimestre 2010

Reproduction intégrale ou partielle interdite sans autorisation - Imprimé sur papier blanchi sans chlore.

Le 12 janvier, lors de l’inauguration, (au premier plan, de gauche à droite) Jean-Yves Le Drian, Président de région, Michel Cadot, Préfet de région, Emmanuel Couet, Maire et Gaëlle Andro, Conseillère générale.

La mission première de Météo-France est de surveiller l’at-mosphère, l’océan et le manteau neigeux, mais aussi de pré-voir les évolutions et diffuser les informations. Comme le souligne Hugues Ravenel, de la direction interré-gionale ouest, « Météo-France contribue aux travaux du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Nous apportons nos compétences dans les politiques publiques de déve-loppement durable : impacts locaux des changements climatiques, atlas éolien, gestion active de la qualité des eaux de baignade… Les agents de la direction Ouest s’impliquent également dans la sensibilisation aux changements climatiques auprès du public. En 2009, ils sont intervenus lors d’une quarantaine de conférences sur le thème des changements climatiques. »

effet de serre naturelL’inauguration du nouveau bâtiment de Météo-France avait lieu le 12 janvier en présence de François Jacq, président di-recteur général de Météo-France et des représentants institu-tionnels.

météo-france opte pour la haute qualitéenvironnementaleMétéo-France a inauguré le 12 janvier une extension de 500 m² de son bâtiment. Caractéristique : sa haute performance énergétique.

il offre à la centaine de salariés de cette structure de meilleu-res conditions de travail et accueille désormais les agents du Centre départemental d’ille-et-Vilaine qui étaient jusqu’alors logés dans l’ancienne tour de contrôle de l’aéroport. « La démarche se veut exemplaire, a tenu à préciser François Jacq. Il est naturel que Météo-France s’engage à réduire son propre impact sur l’environnement. » Les architectes, Catherine Proux et Yves-Marie Maurer, ont suivi l’esprit de la démarche de haute qualité environnemen-tale : « Nous avons obtenu le label de haute performance énergé-tique qui garantit une consommation inférieure d’au moins 10 % à celle préconisée par le réglementation thermique en vigueur. Cette performance est atteinte grâce à l’utilisation de briques monomur et la mise en place d’une double peau faite de parois de verre pour constituer un effet de serre naturel. Le bâtiment est également doté d’ampoules économiques, de système de récupération de l’eau de pluie et de panneaux photovoltaïques. » Sur la façade, le passant découvre des chiffres qui s’éclairent. C’est une partie de l’œuvre, réalisée par l’artiste Catherine Rannou, dénommée in-between-out : « ces mesures de tempé-ratures rendent lisibles en temps réel les climats intérieurs, entre deux et l’extérieur. »

n TR