jacquolandin de janvier 2010

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www.ville-st-jacques-de-la-lande.fr De nouveaux ateliers au Point Accueil Emploi 10 janvier : le retour du cyclo-cross à St-Jacques PAGE 9 PAGE 6 LE PIGEON-BLANC SE TRANSFORME

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Journal municipal de la ville de Saint-Jacques de la Lande

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w w w . v i l l e - s t - j a c q u e s - d e - l a - l a n d e . f r

De nouveaux ateliers au Point Accueil Emploi

10 janvier : le retour du cyclo-cross à St-Jacques

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Le pigeon-bLanc se transforme

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out Saint-Jacques en parle

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Emmanuel Couet, maire, et l’équipe municipale vous présentent leurs meilleurs vœux

pour l’année 2010

Chaque année, la Ville reçoit les nouveaux habitants pour leur souhaiter la bienvenue.Emmanuel Couet, maire, a accueilli les Jacquolandins arrivés au cours de l’an-née 2009 notamment dans les nouveaux

Bienvenue à St-Jacques-de-la-Landeprogrammes immobiliers : le Jacobée, le Clos Alba et les Parcs d’Eole à St-Jacques Aéroport, les Rces la Source et Pierre de Coubertin au Pigeon-Blanc. La centaine d’habitants présents a pu échanger avec les élus et faire connaissance avec les

Une première planche, et non une traditionnelle première pierre, a été posée en présence des élus, des architectes, entreprises et futurs utilisateurs. Le bâtiment visant une certaine performance énergétique, est composé de quatre vestiaires dont deux répondent aux critères de la 4ème catégorie de la ligue de foot. Orienté nord-sud, sur une surface de 266 m2, il est conçu avec une isolation par l’extérieur et un bardage bois de type mélèze, une toiture terrasse végétalisée. L’eau chaude et le chauffage seront assurés par le solaire thermi-que avec appoint gaz.

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responsables d’associations et d’équipe-ments communaux. La soirée, organisée à l’Aire Libre, s’est clôturée par une in-vitation au concert de Gaëtan Roussel dans le cadre des Transmusicales.

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Première “planche” des vestiaires

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ça sent le sapinAprès les fêtes, n’oubliez pas que votre sapin peut avoir une seconde vie, à condition d’être déposé au bon endroit. La collecte de déchets verts et Ecosite sont à votre disposi-tion. Pensez-y !

Moment musicalL’Ecole Jean Wiener propose, au cœur de la médiathèque, un rendez-vous musical thématique, le samedi 30 janvier, à 11 h 30, autour de la musique traditionnelle. Outre les pré-sentations instrumentales proposées par les élèves de l’établissement, il s’agit aussi d’un temps d’échanges où chacun pourra découvrir ou re-découvrir cette musique.Renseignements : 02 99 41 35 18 ou à [email protected]

prenez note

Ne jetez pas vos vêtements usagés ! Le Relais leur offre une deuxième vie en les mettant en vente dans ses magasins ou en les valorisant. Depuis le mois de juin, des conteneurs ont été mis en place à Saint-Jacques allée de la Gautrais, mail Louis-Aragon, allée Lancelot-du-lac, rue Irène Joliot-Curie et devant Carrefour Market. « Nous passons tous les lundis et vendredis, explique Eric Esposito du Relais. La condition est que les vêtements soient propres. »Le Relais a été créé en 1984. 1 300 em-plois ont ainsi été créés en France et 250 en Afrique. Le Relais Bretagne, basé à Acigné, emploie 85 salariés. « Il gère les 850 conteneurs de la périphérie, précise Jean-Luc Veronneau, adjoint ; bon nombre

Le Relais : une deuxième vie aux vêtements usagésDepuis le mois de juin, l’association Le Relais met à disposition des conteneurs pour récupérer les vêtements usagés.

de salariés sont en contrat d’insertion. » Près de 3% des vêtements collectés sont mis en vente dans les deux magasins Ding Fring* de Rennes et de Saint-Grégoire. La moitié de la collecte est envoyée en Afrique tandis que 20 % sont valorisés et transformés en métisse, « un textile re-cyclé, explique Nicolas Morel, à base de jean et coton, mélangé à de la laine. Le pro-duit est fabriqué dans l’usine de Chemillé près d’Angers puis distribué comme isolant pour l’habitat. »

* Ding Fring : à Rennes, 51 rue du Puits-Mauger, Tél. 02 99 67 35 79 et à Saint-Grégoire, 2 rue des Petits-Champs, Tél. 02 23 21 56 94.

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Contact : 02 99 04 38 60site : www.lerelais.org

En attEndant LE BuS

Depuis le début des années 2000, les abris voyageurs sont de la compétence de Rennes Métropole.Deux tiers des 590 abris voyageurs ap-partiennent aux collectivités locales, le tiers restant étant la propriété de four-nisseurs (APIC et Adshell). Dans le cadre de la passation d’un nouveau marché, le remplacement des

mobiliers s’étalera de 2009 à 2013 au niveau de l’agglomération. Sur le terri-toire de St-Jacques-de-la-Lande les abris ont été changés permettant ainsi de les rendre accessibles aux usagers à mobi-lité réduite et de les équiper de mobilier annexe (banc, cadre d’information et poubelle).

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ossier

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Le Pigeon-Blanc accomplit sa mue. La première tranche de travaux ayant dé-butée au printemps 2008 est mainte-nant terminée*. La deuxième tranche devrait courir jusque fin 2012**. L’esprit de cette opération vise à permettre aux piétons et aux utilisateurs de modes de transport doux de retrouver toute leur place au sein de la cité. Rennes Métro-pole est maître d’ouvrage au titre de la politique de la ville : une convention est passée entre la communauté d’agglomé-ration et la Ville de Saint-Jacques pour la réalisation des études, la maîtrise d’œu-vre, les travaux et la réception. Rennes Métropole intervient sur le réseau aérien et la voirie ; Saint-Jacques sur les ré-seaux d’assainissement et d’eau potable ainsi que sur les espaces publics. « Ce quartier résidentiel des années 1950 avait connu très peu d’interventions : poteaux vi-sibles et gênants, chaussée et trottoirs peu fonctionnels, absence de mobilier urbain, etc. Il était nécessaire de le rénover de façon à hiérarchiser les rues et réparer les outra-ges du temps pour lui donner un nouvel élan », justifie Fernand Etiemble, adjoint à l’Aménagement et l’environnement. L’ensemble des voies concernées par la première tranche est désormais traité en zone 20, de nouveaux candélabres sont posés, des arbres (essences à feuillage

persistant, merisiers, poiriers...) sont plantés en rive. La chaussée et les trot-toirs sont au même niveau, l’eau pluviale s’écoule en bordure des propriétés dans des canalisations aériennes recouvertes de petits blocs de schiste. Ce “relookage” lui donne un caractère contemporain et renforce son caractère résidentiel. Le coût des travaux pour le volet “assainis-sement” de cette première tranche est de l’ordre de 450 000 e HT.

“Avec le futur quartier Courrouze, le Pigeon-Blanc nouveau, c’est tout St-Jacques intra-rocade qui change” souligne Fernand Etiemble.

Le “nouveau” Pigeon-Blanc se dévoile

La Ville de Saint-Jacques, accompagnée par le paysagiste Christophe Delmar, travaille à la requalification du quartier du Pigeon-Blanc dont la première tranche de travaux est achevée. Le point sur ce qui est fait et ce qui reste à faire.

Une des dernières touches à l’aménagement de la première tranche : les plantations.

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Echelonnement des travauxLa deuxième tranche de travaux concer-ne 1 700 mètres de voies de circulation, dont certaines sont très fréquentées. Aussi les rues seront-elles traitées les unes après les autres pour faciliter la circulation. Selon l’échéancier, la Ville intervient de janvier à avril sur les ré-seaux enterrés des rues de la Pilate et des 25-Fusillés. Puis Rennes Métro-pole prendra le relais sur ces mêmes voies pour effacer les réseaux aériens (téléphone, électricité), réaménager la chaussée de façon à casser la vitesse des véhicules et installer des feux tricolores aux deux extrémités. De la fin 2011 à la fin 2012, les deux collectivités inter-viendront sur les rues du Temple-de-Blosne et Irène Joliot-Curie ainsi que sur

Le “nouveau” Pigeon-Blanc se dévoile

Rue du Temple-de-Blosne actuellement…

… et après aménagement.

l’allée du Cormier. Cette dernière voie maintiendra son sens unique de circu-lation jusqu’à la rue Antoine de Saint-Exupéry. Le coût hors taxes des travaux supportés par la Ville sur la partie “assai-nissement” est également de 450 000 e. A noter que cette rue du Temple-de-Blosne, véritable artère de transit inter-quartiers, est destinée à devenir une rue de quartier. Les passages pour piétons seront sécurisés, les branchements allée du Cormier/rue de la Pilate et rue du Temple-de-Blosne/rue des 25-Fusillés

effacement des réseaux aériens, mode d’emploi

Une convention autorisant les services de Rennes Métropole à intervenir (tranchée, plantation...) est signée entre la collecti-vité et les propriétaires. Les riverains des rues de la Pilate et du tronçon allant de l’intersection rue de la Pilate/rue du Tem-ple-de-Blosne jusqu’à la rue Hélène-Bou-cher, seront les premiers concernés par la 2e tranche de travaux. Les interventions de Rennes Métropole sont gratuites.

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seront réaménagés. La voie sera égale-ment à niveau, le nombre de places de stationnement sera maintenu. Toutes les voies de cette tranche 2 sont classées zone 30. Une troisième tranche de tra-vaux est prévue à plus longue échéance sur la partie nord du quartier.

* Rues de la Croix-Verte, Lieutenant-Le Corfec, Hélène Boucher, Andrée-Récipon, Antoine de Saint-Exupéry et Marcel-Doret.** Rues des 25-Fusillés, du Temple-de-Blosne, de la Pilate et Irène Joliot-Curie, allée du Cormier.

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où et quand ?

tranches de travaux1ère tranche achevée2ème tranche à partir de début 2010

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ie municipale

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Être mieux armé dans sa recherche d’emploiLe contexte économique rend encore plus difficile la recherche d’emploi. Pour être mieux armé, le PAE (Point Accueil Emploi) propose plusieurs ateliers.

Service municipal de proximité, le Point Accueil Emploi se veut un lieu de ressources et de conseils pour les profession-nels, étudiants, entreprises et particuliers. « Nous proposons nos services pour une information, une orientation vers le bon prestataire pour un emploi, une formation, un recrutement, expli-que la responsable Erell Géré-Baril. Dans le contexte actuel de crise économique, il convient d’accompagner les demandeurs d’em-ploi pour mieux les armer dans leur recherche. Plusieurs ateliers seront organisés dans l’année, tous gratuits. »

Relaxation et connaissance de soiPour mieux gérer son stress, canaliser son énergie afin de se présenter de manière plus détendue en entretien face à un re-cruteur, le PAE organise un atelier de relaxation. Voula Sega-len, professeur de danse, propose une gamme de mouvements simples pour délier le corps et libérer les tensions. On peut y participer en couple ou entre amis (salle de la rotonde du 26 janvier au 9 février 2010 pour trois ateliers de deux heures, le mardi de 9 h 30 à 11 h 30). Le PAE propose aussi un atelier pour mieux se connaître et ainsi mieux cibler sa recherche.

« Il n’est pas rare qu’un demandeur d’emploi découvre, une fois en poste, que l’emploi ou les conditions d’exercice ne lui conviennent pas du tout. Pour éviter ces erreurs, nous proposons au cours d’une journée de huit heures, avec Sophie Poirier, d’essayer de mettre les mots sur sa personnalité et son mode de fonctionnement (19 jan-vier, de 9 h à 17 h 30). » L’atelier d’initiation à l’informatique, lancé en 2009, est reconduit cette année : « On y découvre le maniement de la souris, les bases du traitement de texte pour envoyer une lettre de motivation par internet, consulter des offres d’emploi ». Animé par Bruno Hallier, l’atelier se déroule à la médiathèque les mardis et vendredis, de 9 h à 12 h. Enfin, Erell Géré-Baril proposera des petits-déjeuners, « une rencon-tre entre responsables d’entreprises et demandeurs d’emploi » le mardi matin, de 8 h 30 à 9 h 30 à la Rotonde.

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Inscription préalable au PAE : 02 99 29 76 [email protected] Ouvert le lundi de 9 h à 12 h 15 et de 14 h à 17 h ; le mardi, jeudi et vendredi de 9 h à 12 h 15.

L’atelier initiation à l’informatique se déroule le mardi et vendredi à la médiathèque.

En janvier et février, Voula Segalen (à gauche) proposera un atelier de relaxation afin de mieux gérer son stress et canaliser son énergie

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ils traVaillent ici, ils ViVent ici …ils restent ici !

Depuis quelques mois, plus de 5 000 travailleurs sans-papiers de la région parisienne sont entrés dans une lutte, y compris par la grève, pour obtenir leur régularisation. Leur mobilisation cou-rageuse doit être soutenue par tous les travailleurs, quelle que soit leur origine nationale. Car, depuis longtemps, les capitalistes qui exploitent le pays ont utilisé des générations d’immigrés en fonction de leurs besoins : bretons ou auvergnats ; italiens, espa-gnols ou portugais ; maghrébins, africains ou turcs… la sueur et l’exploitation n’ont pas de nationalité pour les profits.Sarkozy et son ministricule Besson ont tenté, par le soi-disant “débat” sur l’identité nationale, de récupérer les électeurs d’extrême droite en donnant la parole aux racistes ou aux xé-nophobes. Si des travailleurs tombent dans le piège de s’en prendre aux travailleurs immigrés plutôt que de s’attaquer aux capitalistes responsables du chômage et de la pauvreté, ils se tirent une balle dans le pied. La division entre travailleurs immi-grés et “français” ne peut qu’affaiblir le monde du travail face aux licenciements et à la baisse du niveau de vie. A l’inverse, ce que craint le plus le grand patronat c’est l’union dans la lutte de tous les travailleurs quelles que soient leur origine ou leur couleur de peau : pour l’interdiction des licenciements et le partage du travail entre tous, sans baisse de salaire.C’est évidemment ce que je nous souhaite pour cette année 2010.fabrice lucas, le 15 décembre - contact : 06 16 13 83 06

un engagement important pour les jacquolandins

Le 14 décembre, la majorité a soumis au vote du Conseil municipal l’adhésion à la “Convention des maires”. C’est la Commission européenne qui a initié cette démarche nouvel-le et originale en s’adressant directement aux communes… passant outre le gouvernement.Nous avons voté cette adhésion, en plein sommet pour la planète : la 15e conférence des Nations Unies sur le change-ment climatique de Copenhague. Tout un symbole.L’engagement de la ville est important.En signant la convention des maires, la commune montre qu’elle est décidée à agir :- En fixant un objectif de réduction des émissions de CO2 d’au moins 20 % d’ici 2020.- En mobilisant les autres acteurs du territoires : les habitants pour leur logement et les entreprises.Nous sommes donc tous concernés. Car sans cela ces objectifs seront difficiles à atteindre pour la ville seule. La consommation énergétiques des bâtiments publics atteint 4 gigas watts/heure sur 120 gigas watts pour l’ensemble de la commune. Cette démarche s’inscrit dans la délibération de Rennes Métropole Plan Climat Energie de janvier 2008. Ce sont ainsi déjà 1 000 villes signataires qui se sont réso-lument engagée à dépasser l’objectif européen de réduction de 20% des émissions de CO2.Au moment, où nos parlementaires modifient le paysage politique, il faut rappeler que les collectivités locales assu-rent aujourd’hui encore 73 % de l’investissement public en France. Leur engagement est donc fondamental. La question du développement durable est très politique.

sommet de copenhague : un rendez-Vous historique, une chance pour l’humanitéDu 8 au 17 décembre s’est tenu à Copenhague le Sommet de l’ONU sur le climat réunissant les pays industrialisés et les grands pays émergents. Il s’agissait de prévoir une suite au protocole de Kyoto, entré en vigueur en 2005 et qui arrive à expiration en 2012. Objectif pour les partici-pants : s’accorder sur leurs engagements respectifs pour limiter le ré-chauffement climatique à +2°C d’ici 2100, et sur les mécanismes pour les faire respecter. Pour leur part, les entreprises françaises, par la voix de Laurence Parisot, Présidente du MEDEF, ont appelé à un accord mondial ambitieux et contraignant qui devait comporter des « engagements so-lides pris par 10 ou 15 pays industrialisés, y compris la Chine, ou l’Inde, qui contribuent aujourd’hui très fortement aux émissions de CO². »Grâce à l’application du Grenelle de l’Environnement et aux initiatives internationales prises par le Président de la République, la France était à l’écoute du déroulement de ce sommet : en effet, la France est respectée internationalement grâce aux dispositions que Nicolas Sarkozy a lancé avant les autres pays ».Sans préjuger des résultats de ce sommet, lors du conseil municipal du 14 12 2009, nous avons approuvé les termes de la convention des Maires concernant la mise en œuvre d’un plan d’action en fa-veur des économies d’énergies, et des énergies renouvelables, dans le domaine relevant des compétences communales : cet objectif inté-grera les évolutions démographiques, ce qui fait de Saint-Jacques une ville particulièrement concernée. Par ailleurs, nous considérons que les efforts visibles seront avant tout locaux, du fait de l’investissement des collectivités territoriales, d’une part, et des entreprises que nous hébergeons d’autre part...Nous profitons de cette occasion pour vous souhaiter à toutes et à tous une excellente et heureuse année 2010 !

les élus de l’opposition. permanence le samedi matin à 10h30 - tél. 02 23 42 43 70.

e tat c iV i lNAISSANCESEden Mollet, 1 rue Margue-rite-Yourcenar, le 23.09.09Nakim Madi--Juhel, 2 cours Camille-Claudel, le 06.10.09Emiline Colliaux, 2 rue Mar-guerite-Yourcenar, le 09.10.09Maëlys Bossard, 49 rue de la Pilate, le 11.10.09Marine Petavy, 10 rue Simo-ne- de- Beauvoir, le 12.10.09Aydan Le Cahain, 37 c rue Jules-Vallès, le 31.10.09Kurtis Hayford, 6 rue Ernest-Renan, le 02.11.09Lola Plessix--Delamarre, 16 rue André-Malraux, le 06.11.09

Aimric Leclerc, 6 allée Henri-Bergson, le 07.11.09

DéCèSMarie-Hélène Salmon (47 ans), 23 bd Eugène-Pottier, le 27.11.09Marie Guillard (75 ans), 3 rue des 25-Fusillés, le 28.11.09Marie Berthou (89 ans), 58 rue de la Pilate, le 02.12.09Yvon Roger (62 ans), 11 rue des Lilas, le 03.12.09Marie Richard (86 ans), 1 place S. Allende, le 07.12.09Andrée Segaud (95 ans), 1 place S. Allende, le 14.12.09Joël Chevrier (65 ans), La Haute-Bouvrais, le 17.12.09

pa r o l e à l a m a j o r i t é

parole à st-jacques tous ensemble

pa r o l e à l u t t e o u V r i è r e

Retrouvez le compte rendu intégral du conseil municipal affiché en mairie ou sur :

http/www.ville-st-jacques-de-la-lande.fr

co nse i l mu n i c i pal

permanences des adjointschaque samedi de 10 h à 12 h à la mairie,

n 9 janvier : Bernard Bougeard (administration générale et personnel)n 16 janvier : Monique Michelet (culture et animation)n 23 janvier : Yann Texier (économie, emploi et communication)n 30 janvier : Bernard Bougeard (administration générale et personnel)

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ssociations

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centre de la lande

C’est l’année de la Turquie en France. Pas question de rater l’événement à Saint-Jacques. Les associations turques de Rennes, le Centre de la Lande et l’Epi Condorcet ont concocté un programme des plus alléchants pour partir à la dé-couverte de la Turquie jusqu’en mars prochain. Zehra Sengul, jeune Turque arrivée en France en 2003 et résidant à Saint-Jacques, fait partie du comité de pilotage : « Les relations entre les différen-tes populations turques et kurdes sont com-plexes. Il est important de transmettre notre culture pour mieux la comprendre. Nous prévoyons d’organiser divers événements pour favoriser la rencontre entre parents, enfants et habitants à partir de la cuisine, la culture, le conte, le cinéma, la photo….»

Soirée de lancementLes diverses animations seront présen-tées le 21 janvier à 18 h 30 au forum de l’Epi transformé en café oriental pour l’occasion. On pourra déguster café turc, thé et autre jus de cerise. Un accueil tout particulier sera réservé aux associations

trois mois pour découvrir et goûter la turquieLe Centre de la Lande et l’Epi Condorcet proposent Trois Mois Avec la Turquie. Au programme conférences, expositions, films, résidence d’artistes et autres découvertes gustatives…

turques : AETTR (Association d’Entrai-de des Travailleurs Turcs de Rennes), Lale (associations des femmes turques), Turkoize (association des jeunes turcs de Rennes), Karayel (association culturelle turque) avec la Médiathèque Lucien Herr et l’Ecole de musique et de danse Jean Wiener. « Un nouveau partenariat s’instaure avec le festival Travelling Istanbul et l’association Clair Obscur, confient Ma-rie-Joëlle Brisseau, directrice de l’Epi Condorcet et Bernard Flahaut, anima-teur au Centre de la Lande. Un court-mé-trage sera diffusé, primé en 2009 à Travel-

ling Junior : “Bende Sira” – (C’est à moi en turc). » Un nouveau partenariat se tisse également avec le Carré d’Art de Char-tres-de-Bretagne et le collectif de photo-graphes “Il pleut encore” de Rennes. Pen-dant une semaine, le photographe turc Tolga Sezgin sera en résidence à Saint-Jacques et Chartres de Bretagne.Tout au long de la manifestation, la mé-diathèque Lucien Herr présente des vi-déos et extraits de musique turque, en partenariat avec la Maison des cultures du monde de Vitré. Et le 23 janvier à 16h, les femmes turques du quartier of-frent aux enfants une lecture d’histoires dans leur langue. A partir du 15 janvier, on découvre à l’Epi deux expositions photographiques : “Correspondances de Turquie” de Timurtas Onan et “Instanta-nés de la Turquie d’aujourd’hui”. Le 28 janvier, Gaye Petek, présidente de l’as-sociation Elele, propose une conférence sur “L’immigration turque” à l’audito-rium de l’Epi.

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Programme disponible sur le site de la ville, dans les établissements publics et commerces de la ville.

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office jacquolandin des sports

De gauche à droite (assis), Jean-Yves, Chantal, Serge, (debouts), Robert, Elisabeth et Pierre du Comité des fêtes.

« Avec la construction du stade, le club de cyclo-cross s’était mis au repos », regrette le trésorier Pierre Delys qui s’occupe de la course cycliste et du cyclo-cross au comité des fêtes depuis 1977 après en avoir été le président durant vingt ans. La commune n’a pour lui aucun secret puisqu’il y a travaillé comme facteur ! Le premier cyclo-cross voyait le jour en 1986 : « C’était une de-mande de Louis Demeuré, alors adjoint à la mai-rie, raconte-t-il. M. Jouvaud du VCR est venu nous donner des conseils pour tracer le circuit. Je me souviens d’un passage où les coureurs de-vaient traverser un ruisseau.

Cyclo-cross :un nouveau circuitGrâce à la ténacité des membres du club de cyclo-cross et au soutien de la municipalitéun nouveau circuit est proposé aux amateurs le 10 janvier à partir de 14 h 30.

Pour faciliter le passage, nous avions disposé des fagots. Les gens trouvaient ça particulièrement difficile et je me suis alors fait trai-ter de président inhumain ! » Durant ces heures de gloire, Saint-

Jacques a eu trois champions de Bretagne : Jean Guédart (cinq fois champion), Jean Régnier

et René Le Pêcheur (tous les deux trois fois cham-

pion). En 1990, alors que se construit la maison de retraite, un nouveau circuit est élaboré avec l’aide de René Le Pêcheur.

nouveau tracéLe nouveau cir-cuit s’en ins-pire fortement. « Le départ se fait dans le bas du stade. Le circuit remonte

jusqu’au niveau des salles de sport. Là, le cycliste est invité à ef-fectuer deux fois la montée et la descente. Il longe ensuite la li-gne de chemin de fer, passe devant les nouveaux bureaux, descend jusqu’au bas du premier terrain de football, traverse les bosquets, passe devant les tribunes et se dirige vers la sortie du stade, du côté du chemin de l’enfer. Puis il fait le tour du terrain pour sortir au premier portail, dans le chemin de l’enfer. Phase technique entre les arbres, montée de la butte de terre près du ruisseau, jusqu’à redes-cendre le long du grillage. Au grand portail, il retrouve le point de départ, coupe le terrain de boules avant de passer devant le terrain stabilisé. Le cycliste doit monter les escaliers et terminer face aux tribunes. » Les clubs de cyclo-cross s’associent et proposent le Challenge de sous-bois. La première épreuve avait eu lieu à Goven le 23 décembre. Les prochaines auront lieu le 10 jan-vier à Saint-Jacques, le 24 janvier Saint-Thurial et le 7 février à L’Hermitage.

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10 JANVIER 2010 A PARTIR DE 14 H 30

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ulture - Animation

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mediatheque lucien herr

La médiathèque est labellisée “Pôle Borgès” autour de la lecture et de la malvoyance.

Des cours sont dispensés aux Jacquolandins d’origine étrangère désireux d’acquérir les fondamentaux de la langue française.

Eclairage sur les accueils de publics adultesSur ses horaires habituels, la médiathèque ouvre ses portes au plus grand nombre. Que font les bibliothécaires pendant les heures de fermeture ? Ils consacrent leur temps aux accueils de groupes sur des créneaux réservés. Explications.

La médiathèque accueille actuellement quatre types de grou-pes adultes. Ces publics disposent de l’offre documentaire va-riée de l’espace des adultes et de son pôle multimédia (livres, CD-Roms, CD, DVD, internet).

Pourquoi des temps réservés ?Pour ces accueils de groupes, l’objectif de la médiathèque est double : participer à l’insertion et à la réinsertion des per-sonnes et faciliter l’appropriation d’un lieu et d’un service où chacun peut trouver sa place. De manière générale, le person-nel accompagne les publics dans son utilisation et sa décou-verte des collections mais peut le faire de manière beaucoup plus approfondie sur ces temps d’accueil réservés.Les propositions d’accueil ont été construites à chaque fois en partenariat avec d’autres structures pour répondre aux be-soins des personnes. Le PAE (Point Accueil Emploi) propose des modules d’initiation informatique sur 15 jours. Dans le cadre de sa mission d’accessibilité, la médiathèque labelli-sée “Pôle Borgès” autour de la lecture et de la malvoyance, propose en alternance avec les Champs Libres des cours

d’informatique adaptée à destination des personnes en situa-tion de handicap visuel. Les Jacquolandins d’origine étrangère, désireux d’acquérir les fondamentaux de la langue française, peuvent suivre en alternance les cours organisés par le Centre de la Lande et assurés par l’association “Langues et communica-tion” et les ateliers de mise en pratique à la médiathèque.Enfin, des personnes handicapées de l’ESAT (établissement et service d’aide par le travail) viennent également sur des temps réservés construits autour de thématiques variées.

une vocation d’espace citoyenLa médiathèque est souvent connue pour sa dimension cultu-relle mais reste plus discrète quant à sa vocation sociale. Cet espace de vie, d’échange et de croisement des publics en fait un lieu dédié aux citoyens qui dès leur plus jeune âge et tout au long de leur vie, peuvent y entrer pour compléter ou actua-liser leurs connaissances.

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Renseignements : 02 99 31 18 08

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théâtre de l’aire libre

SexamorCie de la Belle Meunière, mise en scène de Pierre Meunier et Nadège PrugnardPierre Meunier s’interroge sur le sexe : « Sexe est un mot. Ce n’est qu’un mot, mais il y a des mots qui vous laissent tranquilles. Il y a des mots, on peut s’asseoir dessus : talus, chaise, rivage et pen-ser à autre chose. Sexe, non. Pourquoi ? », s’interroge le metteur en scène dans la note d’intention du spectacle. Quoi qu’il en soit, Sexamor met en scène un homme et une femme sur le plateau du théâtre. Ils vont s’affronter, se séduire, se provo-quer, s’exciter, se confier, se défier, s’abandonner, se rappro-cher, se moquer... jusqu’à épuisement de leurs forces.

Jeudi 14 et vendredi 15 janvier à 20 h 30

Les Confidences sonoresJean-Louis Le Vallégant/UnicitéCe spectacle s’articule autour de confidences recueillies à Saint-Jacques-de-la-Lande par Jean-Louis Le Vallégant et mis

Premier trimestre en fanfare...

L’Aire Libre ouvre l’année en beauté avec Sexamor et Les Confidences sonores de Jean-Louis Le Vallégant. Détail.

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en musique par Le Vallégant Noz Unit. Ces musiciens asso-ciés depuis 2003 entretiennent un rapport d’intimité avec une musique populaire de Bretagne et d’Inde. Les Confiden-ces sonores se déroulent dans un lieu drapé de lin, construi-sant un lien intime avec le public. A revoir.

Jeudi 4 février à 19 h et vendredi 5 février à 19 h et 21 h

nouVeautéDe janvier à juin, la place de spectacle est à 9e pour les abonnés au Parcours Libre. Seule condition exigée, choisir au moins trois spectacles au cours du semestre. Vous souhaitez en voir davantage ? C’est possible, tou-jours au tarif de 9e. Le plus, à partir de cinq spectacles, l’Aire Libre vous invite à La Farce de Maître Patelin ou à Feydeau Café Concert.Le plein tarif est à 15e (10e tarif réduit).

renseignements : 02 99 30 70 70www.theatre-airelibre.fr

Sexamor par la Compagnie de la Belle Meunière.

Les Confidences sonores de Jean-Louis le Vallégant

Et aussi, au cours du 1er trimestre, à 20 h 30...n En délicatesse (Théâtre de l’Entresort), samedi 13 février.

n Bastards of milionnaires ! (Collectif Lumière d’août), vendredi 19 et samedi 20 février.

n Combat de nègre et de chiens (Théâtre Icare),jeudi 4 et vendredi 5 mars.

n Top of the folk (rencontres musicales),vendredi 12 et samedi 13 mars.

n The Nits, vendredi 26 mars.

n La Jeune fille de Cranach (Dorénavant Cie), jeudi 18 et vendredi 19 mars.

n PC

Page 12: jacquolandin de Janvier 2010

ie des entreprises

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Mensuel municipal - Mairie - 1, rue des 25 Fusillés - 35136 Saint-Jacques-de-la-Lande - Tél : 02 99 29 75 30Directeur de la publication : E. Couet - Responsable de la rédaction : Y. Texier

Rédaction : P. Charbonnier, T. Ruellan, R. Vaillot. Réalisation : C. Reland - Photos : C. Reland - Impression : Aramis - Distribution : D.Q.P. - Dépôt légal : 1er trimestre 2010

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Forget Formation propose également de passer les Caces pour la conduite de tractopelles, bulldozers, chargeurs et compacteurs.

Une entreprise de plus de 500 salariés dispose désormais d’une année pour effectuer son bilan carbone. « C’est une photographie de l’impact d’une entreprise sur son environnement, explique Michel Simon, directeur régional des établis-sements Forget Formation de Saint-Jac-ques-de-la-Lande, Auray et Brest. Nous proposons de l’accompagner dans cette dé-marche de transformation, de maîtrise du coût de l’énergie et des rejets de CO². Par exemple pour un transporteur, nous l’aidons à mieux organiser ses tournées de livraison, sa politique d’entretien de véhicules, les dé-placements de ses salariés. »

18 000 m² pour se formerForget Formation a été créée dans les années 1950 proposant alors un sou-tien pour passer le permis automobile, poids lourds et le brevet professionnel de conducteur routier. Implanté dans la région rennaise depuis 25 ans, l’éta-blissement a choisi Saint-Jacques-de-la-Lande en novembre 2007. L’équipe

Le centre de Forget Formation, installé à Saint-Jacques depuis 2007, propose à partir de cette année d’accompagner les entrepri-ses dans leur démarche environnementale.

Réaliser son bilan carbone avec Forget Formation

est constituée de 48 personnes dont 41 formateurs à temps complet. « Nous disposons de 18 000 m² d’espaces dédiés à la formation avec un plateau technique ex-térieur pour des exercices de travaux pu-blics. Nous pouvons accueillir chaque jour 120 stagiaires. » On y passe les Caces pour la conduite de machines, tractopelle, bulldozer et autres chargeur et compacteur. Un es-pace est réservé aux ouvriers VRD, ceux qui interviennent en aval ou en amont des machines pour la voirie, les réseaux et la distribution. Dans l’espace dédié aux métiers de la route, les stagiaires passent leur permis poids lourds, per-mis de transport en commun et titres professionnels de transporteur sur tout véhicule. « Nous nous intéressons aussi aux métiers de la logistique, la partie en amont du transport qui concerne l’organi-sation et la gestion d’un entrepôt, de la col-lecte à la livraison des colis. » Un espace est dédié à la manutention pour former à la conduite de chariots élévateurs.

Enfin, diverses formations concernent la sécurité des personnes, les gestes et postures, l’ergonomie et l’organisation du travail dans l’entreprise. En 2009, plus de 5000 personnes ont bénéficié d’une formation avec Forget.

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Contact : Forget Formation - ZA Mivoie - 5, Rue Henri Polles Tél. 02 43 11 11 35www.forget-formation.com