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Dounia News, revue de presse hebdomadaire, 10 avril 2016, propulsée par Splio, webmaster Sarie Abdeslam

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Bonjour, Je vous salue de Tanger d'où je vous envois la revue de presse hebdomadaire Dounia News. Bonne lecture et à la semaine prochaine. A.Sarie

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Dounia News, revue de presse hebdomadaire, 10 avril 2016, propulsée par Splio, webmaster Sarie Abdeslam

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Au début des années 1923, la commission interminis-térielle des affaires musul-manes discuta des travaux

à exécuter au cimetière musulman du Père-Lachaise. Elle conclut à l’inuti-lité d’édifier une mosquée dans cette nécropole, puisque l’on en bâtissait une dans « le quartier du Jardin des plantes.

Grande Mosquée de Paris

Le minaret vu du patioC’est un premier projet de mosquée qui est envisagé sans succès en 1895 par le comité de l’Afrique française animé par Théophile DECLASSÉ -Théophile Pierre DECLASSÉ, né à Pamiers le 1ᵉʳ mars 1852 et mort à Nice le 21 février 1923, est un homme politique français de la IIIᵉ République-, Jules Cambon -né à Paris le 5 avril 1845 et mort à Vevey le 19 septembre 1935, est un diplomate et administrateur français-, le prince BONAPARTE -Napoléon Joseph Charles Paul BONAPARTE — aussi appelé Napoléon-Jérôme BONA-PARTE ou prince Jérôme Napoléon —, prince français et prince Napoléon, prince de Montfort, comte de Meudon et de Moncalieri, né à Trieste le 9 sep-tembre 1822 et décédé à Rome- et le prince d’Arenberg -Auguste Louis AL-BÉRIC d’Arenberg, né le 15 septembre 1837 à Paris et mort le 24 janvier 1924 dans la même commune, 2ᵉ duc fran-çais d’Arenberg, est un gentilhomme français, qui a été homme d’affaires-.

Un article de La Presse du 12 janvier 1896 est pourtant encore optimiste concernant ce projet de mosquée qui

aurait dû être construite sur le quai d’Orsay avec le soutien financier du sultan de Constantinople, du vice-roi d’Égypte et du sultan du Maroc, no-tamment. Le journaliste Paul BOUR-DARIE -né à Montfaucon le 19 juillet 1864 et mort à Veyrac le 21 février 1950) est un explorateur français- jus-tifie la construction de la Mosquée de Paris dans le journal La Revue indi-gène : « Une telle proposition ne pou-vait être oubliée et disparaître. Elle correspond trop bien à la politique que la France se doit à elle-même de suivre envers ses fils musulmans, et qui doit se traduire tantôt en actes d’équité politique ou administrative et tantôt en gestes de sympathie ou de bien-veillance ». Dès sa fondation en 1906, La Revue indigène avait mis dans ses plans de reprendre ce projet dès que seraient réalisées les réformes qu’elle se proposait de préconiser et de faire aboutir.

Les membres de la délégation musul-mane maghébine venue à Paris en 1912 : MM. le Dr BENTHAMI, Dr MOUSSA, Mo-khtar Hadj SAÏD, avo-cat, etc., se rappellent que la question fut abordée à ce moment au cours des réunions qui eurent lieu au siège de La Revue indigène. Entre temps, M. Christian CHERFILS, islamophile, auteur d’un ouvrage connu sur Napo-léon et l’Islam, préconisait de son côté l’érection d’une mosquée à Paris. D’autres, sans doute, entrevoyaient la même construction comme désirable et possible. BOURDARIE évoquait, dans son article, la contradiction de l’al-liance avec l’Angleterre qui travaillait à dominer les pays à majorité musul-mane alors que l’intérêt français était de rester « l’amie du Turc selon le vœu de François Ier –sacré roi de France le 25 janvier 1515 dans la cathédrale de Reims. Il règne jusqu’à sa mort en 1547. Fils de Charles d’Angoulême et de Louise de Savoie, il appartient à la branche de Valois-Angoulême de la dynastie capétienne- et de Soliman le Magnifique -Soliman Iᵉʳ est probable-ment né le 6 novembre 1494 à Trébi-zonde dans l’actuelle Turquie et mort le 7 septembre 1566 à Szigetvár dans l’actuelle Hongrie-» et de garder « son

rôle de puissance mu-sulmane arabe ».

La Revue indigène, comme le projet de mosquée à Paris visait à ce que les citoyens français sachent « ac-corder dans leur esprit et dans leur cœur l’amour de leur patrie et le respect de l’Islam ». C’est pourquoi BOURDA-RIE n’avait cessé de faire pression et de faire partager son projet et avait entrepris de longues démarches qui finirent par trouver l’oreille du gou-vernement de l’époque. BOURDARIE confie dans son journal : « En mai et juin 1915, j’entrais en relations suivies avec un architecte, élève de GIRAULT -Charles Louis GIRAULT est un archi-tecte français, né à Cosne-Cours-sur-Loire (Nièvre) le 27 décembre 1851 et mort à Paris le 26 décembre 1932-, de l’Institut, M. Emmanuel TRON-

QUOIS -Emmanuel TRONQUOIS (1855-1918), un pionnier des

études sur l’art japonais-. Nos causeries roulant fréquem-

ment sur l’Islam et le rôle des musulmans français

sur les champs de bataille, M. TRONQUOIS émit un jour

l’opinion que le véritable monu-ment commémoratif de leur héroïsme et de leurs sacrifices serait une mos-quée. J’expliquai à M. TRONQUOIS les faits et les points de vue précédem-ment évoqués et nous résolûmes de nous mettre au travail aussitôt. Et ce fut dans l’été 1916 qu’un certain nombre de musulmans habitant Paris et d’amis des musulmans se rencontrèrent à plu-sieurs reprises au siège de La Revue indigène pour examiner et, au besoin, critiquer les esquisses de l’archi-tecte. Je puis nommer : l’émir KHA-LED, venant du front et de passage à Paris ; le Dr BENTHAMI ; le muphti MOKRANI ; le Dr TAMZALI et son frère ; Halil BEY ; ZIANE ; le peintre Etienne DINET-Alphonse-Étienne DINET, devenu plus tard Nasreddine DINET après sa conversion à l’Islam, né le 28 mars 1861 à Paris dans le 1ᵉʳ arrondissement et mort le 24 décembre 1929 à Paris dans le 14ᵉ arrondisse-ment, est un peintre orientaliste fran-çais- ; Christian CHERFILS -né le 13 mars 1858 à Martigny (Manche) et mort en 1926, Sociologue. -Membre de la Société de sociologie de Paris.

CHRONIQUE D’UNE

MOSQUÉE HABILEMENT CONFISQUÉE

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- Journaliste et critique au «Mercure de France» et à la «Revue blanche». - Homme de lettres et dramaturge. - Li-cencié en droit (Bordeaux, 1877)-, etc. À la suite de ces réunions, un comité fut constitué, dont la présidence fut of-ferte à Édouard. HERRIOT -Édouard Marie HERRIOT, né le 5 juillet 1872 à Troyes (Aube) et mort le 26 mars 1957 à Saint-Genis-Laval (Rhône), est un homme d’État français, membre du Parti radical et figure de la IIIe Répu-blique. Ministre au sein de nombreux gouvernements, il présida la Chambre des députés, sous la IIIe République, puis l’Assemblée nationale, sous la IVe République. Président du Conseil des ministres à trois reprises, c’est une figure du Cartel des gauches, coalition gouvernementale et parlementaire des années 1920.

D’autre part, il fut le maire de la ville de Lyon de 1905 à 1940, puis de 1945 à sa mort, en 1957. En 1946, Édouard HERRIOT fut élu membre de l’Aca-démie française.-, sénateur-maire, à l’époque, de Lyon, et la vice-prési-dence à Messieurs Lucien HUBERT -né le 27 août 1868 au Chesne (Ar-dennes), décédé le 18 mai 1938 à Char-leville (Ardennes), est un publiciste, homme de lettres et homme politique français. L’homme politique, député des Ardennes puis sénateur du même département, se montre très actif dans le domaine des Affaires Étrangères, mettant son esprit caustique au service de ses idées. Républicain, radical, il reste attaché à l’Empire colonial fran-çais et à une conception traditionnelle d’une Europe «civilisatrice», même s’il se montre soucieux d’améliorer la situation des populations indigènes et de lutter contre les abus. Au-delà de l’action militaire et administrative dans les colonies, il met l’accent sur la diffusion de la langue et de la culture française. Pacifiste, il consacre beau-coup de son temps à l’Europe et à l’Al-lemagne. Il est délégué de la France à la Société des Nations puis ministre de la Justice pendant quelques mois, en 1929-1930-, sénateur.

La commission interministérielle des Affaires musulmanes, saisie du pro-jet et Stephen Jean-Marie PICHON, -né le 10 août 1857 à Arnay-le-Duc (Côte-d’Or) et mort le 18 septembre 1933 à Vers-en-Montagne (Jura), est

un journaliste, diplomate et homme politique français radical-socialiste. Il fut successivement député de 1885 à 1893, diplomate de 1894 à 1906, sénateur de 1906 à 1924, et ministre des Affaires étrangères sous plusieurs gouvernements de la Troisième Répu-blique entre 1906 et 1920-, En tant qu’ancien ministre des Affaires étran-gères et sous son patronage, le projet fut apporté directement au président du Conseil de l’époque qu’était Aris-tide BRIAND, -né le 28 mars 1862 à Nantes et mort le 7 mars 1932 à Paris, est un homme politique et diplomate français qui a été onze fois Président du Conseil et vingt-six fois ministre-.

C’est ainsi que le projet d’une Grande Mosquée à Paris fut approuvé ». On peut clairement affirmer que Paul BOURDARIE est le véritable père du projet de la Grande Mosquée de Paris, il a travaillé inlassablement à la réali-sation de ce projet. Le premier concep-teur du projet est l’architecte-écrivain français Maurice TRANCHANT de LUNEL -1869, La Ferté-sous-Jouarre - 1932, La Seyne-sur-Mer)-, qui a été directeur des Beaux-Arts sous un cer-tain poète LYAUTEY -Hubert LYAU-TEY, né le 17 novembre 1854 à Nancy et mort le 27 juillet 1934 à Thorey, est un militaire français, officier pen-dant les guerres coloniales, premier résident général du protectorat fran-çais au Maroc en 1912- A titre d’in-formation, Maurice TRANCHANT de LUNEL est aussi l’ami, et pas des moindre, de Rudyard KIPLING -né à Bombay dans l’Inde britannique, le 30 décembre 1865 et mort à Londres, le 18 janvier 1936) est un écrivain bri-tannique. Ses ouvrages pour la jeu-nesse ont connu dès leur parution un succès qui ne s’est jamais démenti, notamment Le Livre de la jungle (1894), Le Second Livre de la jungle (1895), Histoires comme ça (1902), Puck, lutin de la colline (1906). Il est également l’auteur du roman Kim (1901), de poèmes (Mandalay (1890), Gunga Din (1890), et Tu seras un homme, mon fils (1910) sont parmi les plus célèbres) et de nouvelles, dont L’Homme qui voulait être Roi (1888) et le recueil Simples contes des collines (1888). Il a été consi-déré comme un « innovateur dans l’art de la nouvelle », un précurseur

de la science-fiction et l’un des plus grands auteurs de la littérature de jeu-nesse. Son œuvre manifeste un talent pour la narration qui s’est exprimé dans des formes variées. De la fin du XIXe siècle au milieu du XXe siècle, KIPLING est resté l’un des auteurs les plus populaires de la langue anglaise.

L’écrivain Henry James -Américain, naturalisé britannique le 26 juillet 1915- écrit à son sujet : « KIPLING me touche personnellement, comme l’homme de génie le plus complet que j’aie jamais connu. » En 1907, il est le premier auteur de langue anglaise à recevoir le prix Nobel de littérature, et le plus jeune à l’avoir reçu (à 42 ans). Par la suite, il a refusé d’être anobli. Cependant, KIPLING a été souvent considéré comme un « prophète de l’impérialisme britannique », selon l’expression de George ORWELL -nom de plume d’Eric Arthur BLAIR, né le 25 juin 1903 à Motihari pendant la période du Raj britannique et mort le 21 janvier 1950 à Londres, est un écrivain et journaliste anglais-. La controverse au sujet des préjugés et du militarisme qui seraient présents dans son œuvre a traversé tout le XXe siècle. Selon le critique littéraire Douglas KERR : « Il reste un auteur qui inspire des réactions de rejet pas-sionnées, et sa place dans l’histoire lit-téraire et culturelle est loin d’être soli-dement établie. Cependant, à l’heure où les empires européens sont en re-pli, il est reconnu comme un interprète incomparable, sinon controversé, de la manière dont l’empire était vécu. Cela, ajouté à son extraordinaire génie narratif, lui donne une force qu’on ne peut que reconnaître »-, de Claude FARRÈRE -né Frédéric-Charles BAR-GONE le 27 avril 1876 à Lyon, mort le 21 juin 1957 à Paris, est un officier de marine et un écrivain français- et sur-tout de la reine Élisabeth de Belgique -Élisabeth Gabrielle Valérie Marie de Wittelsbach, duchesse en Bavière, née le 25 juillet 1876 à Possenhofen et dé-cédée le 23 novembre 1965 à Laeken, épouse d’ALBERT Iᵉʳ, est la troisième reine des Belges-. (à suivre)

Partie n° 3/3 : Prochain Dounia News.(Publication en trois parties - N° 2/3)Abdelkader BENMOUSSA

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L’heure est grave. Surtout pour les Marocains d’Europe. Les derniers attentats, celles du

Bataclan et de Bruxelles ont scellé, dans l’imaginaire des Français et des Belges, le lien entre terrorisme et l’immigration marocaine devenue coupable d’engendrer des monstres. Sans quoi, comment comprendre que des inconnus puissent suspendre des têtes de cochons sur le portail de la résidence diplomatique marocaine ? Cet incident, ignoblement symbolique, est très parlant. Ses auteurs, par cette provocation, entendent signifier la responsabilité marocaine dans les tra-gédies qui ont frappées ces deux pays où l’immigration marocaine est l’une des plus importantes. D’autant que le geste est commis le lendemain d’une conférence organisée par la chancelle-rie marocaine sur le modèle marocain et la lutte contre le terrorisme.

On aurait souhaité que ce soit le CCME, dont c’est la mission d’être un espace de réflexion et de propositions qui soit, comme par le passé, à l’initia-tive d’une rencontre de ce type qui est conforme à ses prérogatives.

Or, nous sommes nombreux à obser-ver, avec un profond désenchantement, l’immobilisme qui frappe le CCME. Ce vide ne peut être comblé par l’ac-tivisme facebookien et débordant du Secrétaire général et unique dirigeant aujourd’hui du CCME. Un espace où on trouve toutes les prises de positions : sur le gouvernement Benkirane, sur le Sahara marocain, sur les attentas qui ont ensanglantés deux pays amis du Maroc… Sans compter les vœux qu’il nous adresse tous les vendredis que Dieu fait et pour lesquels il est ici remercié. Non pas que ces sujets ne soient pas dignes d’intérêt, mais en tant MRE, nous sommes en droit de nous interroger si toutes les positions prises par Monsieur Boussouf sont au nom de l’institution ou si elles expriment un avis personnel.

Les prises de position du secrétaire général du Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger, consistent à clamer « Pas de lien entre immigration et radicalisme » ou encore « la margi-nalisation des immigrés dans des ghet-tos a poussé les jeunes vers la radicali-

sation ». Un parfait spécimen du déni et de la fuite en avant qui, et c’est le danger, peut être interprété comme une justification sociologique aux atten-tats meurtriers qui sèment la mort et la haine. Une position qui verse dans le populisme irresponsable au mépris d’une analyse de fond sur l’échec des religieux musulmans en Europe à faire émerger un islam tolérant qui coha-bite dans des sociétés d’accueil avec ses valeurs laïques et ses composantes multi-confessionnelles.

Monsieur le SG pointe la responsa-bilité des Etats européens comme la France, la Bel-gique et les

Pays- Bas, cou- pables à ses yeux « de s’opposer à l’inter-vention des pays comme le Maroc et l’Algérie dans l’organisation et l’enca-drement des affaires religieuses, ce qui a ouvert la voie à un islam wahabite et radical venant du moyen orient ».

Dire cela c’est aller trop vite en be-sogne avec un mélange d’amnésie et d’ingratitude :

Faut-il rappeler que Monsieur le secré-taire général fut par le passé recteur de la mosquée de Strasbourg et qu’à ce titre, il a participé à la mise en place du CFCM (conseil français du culte musulman). Le rassemblement des musulmans de France d’obédience marocaine est majoritaire au sein du sein du CFCM, dont l’actuel président est marocain. Personne ne peut nier les efforts des autorités françaises à faire émerger un islam français et à son organisation propre. L’échec du CFCM ne peut qu’être imputé aux musulmans eux-mêmes, déchirés par les influences liées aux enjeux de pou-voirs, en relation directe avec les pays d’origine.

M. Boussouf fut aussi salarié de la Fondation Hassan II et à titre respon-sable des questions religieuses en Bel-gique. Par ailleurs et depuis 2008, date de la création du Conseil des Oulémas

d’Europe, dont le siège est dans l’une des presti-gieuses adresses de Bruxelles, il est notoire que que Mr Bous-souf garde une influence cer-taine dans le dit Conseil. C’est dire que c’est un homme d’influence et de connaissance sur la question de l’Islam en Europe en général et de l’Islam en France et en Belgique en particulier.

Ces dernières années, la construction et la gestion des deux grandes mosquées en France, ont été confiées au Maroc: La grande mosquée de St Etienne de-venue la grande mosquée Mohammed VI, construite et gérée par le ministère des Habouss et des affaires religieuses marocaines. Et puis la grande mosquée de Strasbourg construite sur un terrain de 10 000 mètres carrés alloué par la ville de Strasbourg. Elle peut accueillir jusqu’à 3000 fidèles. L’Arabie saoudite sollicitée a contribué à sa construction à hauteur de 1 million d’euros. Inaugu-rée en 2012, par Abdallaf Boussouf, en présence de Monsieur Manuel Valls en tant que Ministre de l’intérieur. C’est dire que les accusations citées plus haut à l’égard de la France n’ont aucun fondement. Ils relèvent, une fois de plus du déni.

D’autre part, dans un texte, proba-blement une réponse à Pierre Verme-ren qui a mis le doigt sur les origines rifaines des terroristes de Molenbeek, M. Boussouf n’a pas hésité à mani-puler les faits historiques pour mieux obscurcir le présent. Il fait remontrer l’immigration marocaine à la seconde guerre mondiale. Il évoque ainsi la glorieuse participation des goumiers et des tirailleurs marocains, plutôt issus du moyen Atlas que du Rif dans la libération de l’Europe. Or, la réalité historique est toute autre: les armées d’Afrique, tabors ou Goumiers, celles de Monte-Cassino ou Gembloux en Belgique n’ont strictement rien avoir avec ces kamikazes, enfants de l’im-migration économique.

Lire la suite de l’article :

https://goo.gl/fu7plV

Les attentats

de Bruxelles et le CCME:

entre déni et dérive

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Page 5: Dounia News, 10 avril 2016

Bravo à la France ! (par Chérif Boudelal – 30 mars 2016 - merci de partager)

Après un cauchemar qui a duré quatre mois, revoilà la France qui a retrouvé ses esprits !

Finale-ment la sagesse l’a emporté sur la co-lère et la vengeance à tout prix des gou-vernants,

puisque le président français, Fran-çois Hollande, a abandonné (ce jour 30 mars 2016) son projet de reti-rer la nationalité aux français issus de l’immigration en cas de fautes graves tel le versement dans le ter-rorisme.

La sagesse est meilleur conseil !

Rappelons que le premier «terro-riste» déchu de sa nationalité fran-çaise fut un héros de la résistance : Charles De-Gaulle !!!

Il est conseillé aux dirigeants fran-çais de chercher plutôt les causes des problèmes pour réparer les erreurs passées et non leurs consé-quences qui sont irréparables. Et les solutions existent si des hommes et des femmes dévoués à leur pays et à leur peuple ont la volonté de protéger, d’abord et avant tout leur peuple français et servir les intérêts de la France. Comment faire ?

Il convient de faire en sorte que la justice soit la même pour tous sur le même pied d’égalité. Pour ce faire, cinq étapes essentielles sont néces-saires à accomplir :

1) Il convient de faire en sorte que des centaines de milliers de jeunes issus de l’immigration ne soient plus des exclus de la République française, pour éviter à ce que des criminels n’aillent recruter parmi eux des mercenaires pour exécuteur leurs plans terroristes.

2) Quand on veut vivre en paix chez-soi on ne doit pas aller faire

la guerre aux autres chez eux pour susciter haine et vengeances au sein des peuples victimes auxquels on viole les souverainetés de leurs pays. Quand on va bombarder les peuples chez eux on ne doit pas attendre d’eux qu’ils viennent chez soi avec des bouquets de fleurs, c’est évident.

3) Si l’État français veut protéger son peuple il doit d’abord cesser de suivre, tête baissée, les USA dans leur croisade impérialiste pour hu-milier les peuples chez eux dont le but est de piller leurs richesses.

4) Il doit cesser de soutenir l’État terroriste d’israël qui commet des crimes contre l’humanité tous les jours contre les Palestiniens, car ceux qui versent dans le terrorisme ont aussi des sentiments, et de ce fait ils se laissent convaincre pour ser- vir un terro- risme orga-nisé qui n’a aucun rapport avec l’Islam ni avec la cause pales-tinienne.

5) Pour gagner l’amitié des peuples, l’État français doit impérativement rapatrier toutes ses bases militaires et ses soldats qui font le gendarme dans les pays du tiers monde pour protéger les sociétés multinatio-nales qui pillent leurs richesses.

6) Enfin, que ce gouvernement et tous les autres qui lui succéderont sachent que le terrorisme est un fan-tôme qu’un Etat ne pourra jamais vaincre par les armes. Ceci dit, la victoire contre le terrorisme réside dans le changement des politiques, à la fois intérieure et extérieure de l’État français.

Un conseil fraternel d’un citoyen immigré au peuple français et à ses gouvernants : n’allez pas trop loin pour avoir la paix et la tranquillité chez vous. Cherchez la faille dans les politiques sociales injustes vis-à-vis d’une partie de la population française, conduites depuis des dé-cennies par les gouvernements qui

se sont suc-cédé.

Appliquez le sage adage qui dit « Mieux vaut prévenir que guérir », et vous serez en paix et mieux aimés aussi bien en France que dans le monde. Si par bonheurs des dirigeants sages, compétents, sincères et dévoués à leur pays et à leur peuple arrivent au pouvoir en France et appliquent ces simples consignes, la France ne connaitra plus jamais de terrorisme sur son sol. On n’a pas besoin d’être expert en science politique pour comprendre ce qui est évident.

P-S. : tous ces problèmes sont trai-tés dans mon livre « L’immigra-

tion de peuplement en France au XXIe siècle », éd. Edilivre, 2014 ; dans lequel des proposi-

tions ont été faites aux gouvernants français, que je conseille notam-ment aux politiques français de le lire ; il pique un peu certes car il y a de l’harissa dedans, mais ils pour-raient apprécier son contenu parce qu’il s’agit d’une harissa pédago-gique. Certaines de ces propositions ont étés soumises aux gouvernants français à plusieurs reprises depuis les années 1990 et 2000, notam-ment dans deux projets associatifs que j’avais élaborés moi-même (en tant que président de l’association « L’Immigration Repères et Citoyen-neté »), mais apparemment les diri-geants politiques n’arrivent pas à évo-luer avec la société française.

Chérif BOUDELAL El-Boukhdachi

Auteur du livre : « L’immigration de peuplement en France au XXIe siècle; éd. Edilivre, 2014.

Il est recommandé de le proposer aux bibliothèques municipales et universi-taires pour permettre au public de le lire gratuitement.

A toutes fins utiles, contacter l’auteur au: [email protected]

Facebook : https://goo.gl/0l4cZz

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Page 6: Dounia News, 10 avril 2016

« Les richesses des pays arabes sont pour les bourgeois trabendistes, le nationalisme et le patriotisme sont pour les peuples »…

L’affaire des Panama Papers vient de nous montrer comment des grosses fortunes font usage des paradis fiscaux, comment des gouvernements des pays qui y sont des acteurs de premier plan laissent les per-sonnes impliquées, agir en toute impunité. C’est pourquoi, mon étonnement sur l’atti-tude du gouvernement marocain qui per-siste à fermer les yeux devant ces pratiques d’évasion fiscale et de fuite des capitaux, m’a poussé à publier, plutôt que prévu, la deuxième partie de mon pamphlet contre la bourgeoisie trabendiste marocaine com-mettant des méfaits et des actions de sabo-tage contre le Maroc et son peuple… La première partie de ce pamphlet a déjà été publiée dans D.N du 3 avril 2016.

En effet, la bourgeoisie trabendiste a établi sa domination sur l’extré-misme religieux, car elle en vit.

Elle le blâme, mais en profite. L’esprit bourgeois trabendiste s’acharne après les progressistes, les novateurs, le dyna-misme entrepreneurial. Il consiste en le détournement des deniers publics, la fuite des capitaux, l’évasion fiscale, le blanchiment… De même, il combat la pensée critique et réduit les penseurs, les chercheurs et les artistes à la misère. Les bourgeois trabendistes essaient d’entra-ver leur route par tous les moyens. Ils pensent que l’ignorance, le fanatisme et l’impuissance auront toujours la force pour elles. C’est pourquoi, pour rétablir la vérité et redresser la mentalité abâtardie, les hommes libres doivent dépenser des efforts énormes par le livre, par la parole, par les articles de journaux et de réseaux sociaux…, car les militants de la pensée arrivent toujours à déranger les combinai-sons des bourgeois trabendistes.

Pour que s’imposent la liberté et la jus-tice, et avec elles la vie, il faut souvent plusieurs générations d’hommes. C’est pour cela qu’il faut commencer par mettre tout en œuvre pour remuer toute la nation, et jusqu’à l’opinion internationale afin de contraindre les trabendistes à abandon-ner leur proie. On ne compte plus les « affaires » et les crimes dont est respon-sable la médiocratie de la bourgeoisie trabendiste. Toutefois, ces crimes et ces injustices se retournent contre ceux qui les commettent. En effet, chaque nouvelle «affaire» arrache les classes populaires à leur inconscience et à leur torpeur. L’ini-quité s’étale avec tant de cynisme qu’elle finit par révolter les plus inconscients. Lentement, la justice gagne à sa cause des

individus qui s’ignoraient.

L’esprit des bourgeois trabendistes est enraciné au cœur de notre société. Il s’in-filtre partout, contamine tous les milieux, et pervertit même les classes populaires en déformant leurs plus nobles aspirations. Il engendre la désunion, la fourberie, la tri-cherie… Il sème le désordre et engendre la dispersion des énergies au lieu de les concentrer et les focaliser sur le but pour-suivi. Il recommande la violence et le sabotage inutile. Il supprime le but, met à sa place l’incohérence. C’est la passion qui prend la place de la raison. Il livre au néant les projets qu’il entame et annihile l’élan des consciences et le change en pirouettes.

Si l’esprit bourgeois trabendiste domine et enveloppe à ce point nos mœurs, nos ha-bitudes et nos désirs d’affranchissement, c’est que nous

consen- tons à être trompés. Il nous trouve à sa disposition, hésitants, pour s’en emparer et ne nous quitte plus. Nous ne sommes pas assez forts pour lui résister, et il abuse de notre faiblesse. Notre cause semble perdue. Mais en dé-pit de tout cela, cet esprit trabendiste, se condamne lui-même. Il démontre qu’il ne peut vivre que par la dissimulation, pace que des bourgeois trabendistes se sont glissés dans les rangs de ceux qui luttent pour la vie. Ils s’habillent comme eux, ils parlent comme eux, mais ils agissent contre eux. Sur le plan tactique, la bour-geoisie procède à des caricatures de ré-formes, au lieu de réformes sérieuses.

C’est pourquoi, le réformisme rencontre de la part des révolutionnaires qui n’ont pas foi aux réformes, une opposition constante. Ils ne croient qu’aux moyens violents pour aboutir. Le faux réformisme des bourgeois pousse les révolutionnaires aux actes de sabotage. Les bourgeois trouvent dans ces gestes de rébellion une raison pour ajourner indéfiniment les vraies réformes. Ils ont intérêt à maintenir cet état de révolte, qui leur sert de prétexte à ne rien tenter pour améliorer le sort des classes populaires. Celles-ci refusent les pseudo-réformes que les bourgeois veulent leur proposer. Il y a là un conflit dont le vrai penseur essaie d’entrevoir les

conséquences. Il recherche la philo-sophie des faits so-ciaux. Il se met du côté des révoltés ; mais il est inquiet à l’idée que si les ré-formes ne peuvent s’accomplir en ré-gime bourgeois, les révolutionnaires eux-mêmes manquent de solidarité et d’organisation pour réaliser, sans meurtre, leur propre bonheur dans une cité de justice, de liberté et d’égalité.

Le péril bourgeois n’est pas un mythe. La bourgeoisie n’est ni un fantôme, ni un mannequin. Elle existe par ses méfaits et reparait sous un aspect menaçant. Son existence se traduit par les actes les plus incohérents. Elle s’oppose aux progrès des hommes et retarde leur émancipation intellectuelle tout en laissant croire qu’elle les favorise. C’est pour cela qu’elle essaie d’enrayer en vain l’évolution des classes populaires qui suit son cours. Il ne faut pas se laisser endormir par quelques pro-messes de réformes. La bourgeoisie ne peut tenir aucune de ses promesses de ré-formes, car elle ne peut renoncer à ses pri-vilèges. C’est malgré elle qu’elle cédera sa place à une société meilleure.

Par ailleurs, le processus démocratique court chaque jour de graves dangers de la part de la bourgeoisie trabendiste dont les coups sont mortels. Ce processus démo-cratique ne peut arriver à éviter ces dan-gers que par la patience, la cohésion dans les idées, la maitrise de soi-même, et la foi dans ses propres efforts. La bourgeoisie ap-parait à certains comme la sagesse même, par sa modération, sa pondération, son bon sens, par ses lentes réformes, par ses opi-nions juste milieu. Alors même que dans la pratique, elle ne prépare rien. Elle symbo-lise plutôt un retour en arrière, imposé sous des noms nouveaux, ayant pour soutien l’autorité, les institutions, tout l’arsenal des lois. Si une cité meilleure s’ébauche, c’est contre le désir des bourgeois.

La bourgeoise trabendiste qui n’invente rien, mais qui sait se servir des inventions des autres, est de toutes les époques. Elle a existé dans le passé et continue toujours à dominer dans le présent ; l’avenir en contiendra pour que nous la combattions en développant les vertus de courage, de volonté, de patience, de persévérance. Mais qui aura le courage de résister au courant au lieu de se mêler à lui ?

Saïd CHATAR

Labourgeoisietrabendiste

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«Il faut cesser de vouloir uniformiser l’humanité»

Après avoir consacré leur vie à une cause qu’ils jugent noble et

bénéfique pour leur peuple, beaucoup de dirigeants en viennent à défendre leurs propres intérêts. C’est à se demander quelles étaient leurs véri-tables intentions.»http://goo.gl/80zRgo

Formation

Connaître, comprendre et construire l’interculturel. Pré-

jugés, stéréotypes, discrimination, racisme : définitions, distinctions de concepts. Déconstruire les préjugés contre les étrangers et le racisme. Discrimination vs égalité des chances: cadre légal – Pratique

L’augmentation des flux migratoires vers l’Europe, comme conséquence de la crise humanitaire mondiale de ces dernières années, renforce la peur de l’autre et réveille les vieux mythes et préjugés xénophobes. Connaître leur genèse et leur fonctionnement, c’est le point de départ pour pouvoir les combattre. Une journée pour apprendre l’essentiel de la pensée raciste et des outils pour contribuer à la déconstruire.

La journée reparlera également de l’immigration marocaine en Belgique : 50 ans après… entre anciennes et nouvelles vagues. Le 21 avril de 9h30 à 16h30 au CAI

Infos et inscriptions :http://goo.gl/ziHees

Depuis les attaques de Paris, le monde a les yeux rivés sur les com-munes bruxelloises de Molenbeek, Schaarbeek et Forest.

Sauf que c’est un peu vite oublier que «Bruxelles» est le résultat

d’années de méfiance communau-taire, de négligence politique et d’une chasse au profit. Flamands et Fran-cophones portent une lourde respon-sabilité dans la délitescence de leur capitale.

http://goo.gl/8KNYEO

L’Exécutif des musulmans veut lancer une ligne pour les jeunes qui sont tentés par le départ en Syrie

L’Exécutif des musulmans de Bel-gique négocie actuellement avec

la Fédération Wallonie-Bruxelles dans le but de lancer rapidement une ligne « anti-radicalisation ». Ce nu-méro d’appel sera destiné aux jeunes en voie de radicalisation, mais aussi à leurs familles, amis, tout comme aux citoyens, aux professeurs, parfois inquiets, et qui se posent des ques-tions sur l’islam.

Après les attentats de Bruxelles, de nombreuses voix se sont élevées pour réclamer des gestes forts des musul-mans de Belgique. Ces demandes semblent avoir été entendues.

http://goo.gl/THSA7b

La Belgique face au radicalisme: comprendre et agir

Au cœur de l’actualité, le pro-cessus de radicalisation fait

toujours des adeptes… Mais des solutions existent ! Pax Christi invite Vanessa Matz pour en débattre. Ce 26 avril, Vanessa Matz, députée fédérale cdH, co-auteure du rapport « Radicalisme, conséquence d’une fracture ? » sorti en juin 2015, vien-dra présenter l’ouvrage tiré de ce rap-port. Un ouvrage où la question du radicalisme est abordée à travers les témoignages d’experts et de membres de familles de jeunes djihadistes. Y sont amenés à la fois des éléments d’analyse ainsi que de nombreuses recommandations politiques pour lut-ter contre ce phénomène inquiétant.

Date : 26 avril 2016 à 19hContact : Anne-Claire [email protected]éléphone : 02/738.08.04Adresse : Pax Christi International, rue du progrès 323 – 1030 SchaerbeekA propos de la caricature

de Charlie sur la Belgique et Stromae

Michel Collon. La une de Charlie Hebdo se moque de

la chanson de Stromae «Papoutai» (le père de Stromae a disparu durant le génocide au Rwanda en 1994). Il y a quelques mois, Charlie s’était déjà moqué du petit Aylan, décédé en Méditerranée. Qu’est-ce que la satire et où se trouve le courage dans la liberté d’expression ? Lire l’article http://goo.gl/8r4QKE

Rencontre-débat

Une rencontre-débat avec Djemila Benhabib, auteure de «Après

Charlie. Laïques de tous les pays, mobilisez-vous!». Mercredi 13 avril, de 19h30 à 21h30, Adresse: 127, chaussée de Charleroi, 1060 BruxellesRéservation vivement souhaitée auprès de Michèle [email protected] 0476 92 78 86

«Les responsables musulmans belges doivent sortir du déni»

Le Français Rachid Benzine est islamologue. Il enseigne à

l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence et à l’UCL. Si les musulmans belges souffrent incon-testablement de discriminations, leurs responsables, dit-il, doivent s’oppo-ser plus franchement aux discours salafistes et wahhabites que « la Belgique a laissé prospérer depuis cinquante ans». Le Vif

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10 mesures urgentes pour financer le développe-ment humain et la transition écologique

En 1998, plusieurs institutions spécialisées de l’ONU ont réalisé

une étude |1| pour tenter d’évaluer les ressources financières nécessaires à la réalisation des droits humains suivants : éducation primaire, accès à l’eau potable, aux soins de santé de base (incluant la nutrition) et à des infrastruc-tures sanitaires, ainsi que l’accès aux

soins de gynécologie et d’obstétrique. Ce rapport concluait qu’avec 80 mil-liards de dollars par an pendant 10 ans, en plus de ce qui était déjà dépensé dans les secteurs concernés, il serait possible de garantir universellement la satis-faction de ces droits |2|. Cette étude a très largement servi de base pour

la mise en place des objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). Le coût nécessaire à la réalisation des OMD a été réac-tualisé en 2012 |3|. Celui se montait à 120 milliards de dollars.

http://goo.gl/f8E11E

Lezing Nadia Fadil over radicalisering

Forum sociaal cultureel pedago-gisch werk met als gastspreekster

Prof. Nadia Fadil (KU Leuven)

‘Van individualisering naar radicali-sering: Het wetenschappelijk discours over radicalisering’

Deelname is gratis, wel graag aanmel-den via [email protected]

Meer info:

Het begrip radicalisering is op 15 jaar tijd tot een hype uitgeroeid. Dit concept werd ontwikkeld om de groeiende spanningen aan te wijzen bij gepolitiseerde vormen van islam, die mogelijks kunnen leiden tot vor-men van geweld. Het begrip werd gelanceerd door de Nederlandse vei-ligheidsdiensten na de 9/11 aanslagen in de lage landen, en werd al snel ver-

der opgepikt door het wetenschappe-lijk veld. Het ontstaan van militante groeperingen zoals Sharia4Belgium of Sharia4Holland en de aanslagen in Londen van 2005 hebben de ver-dere ontwikkeling van dit begrip op een spoorversnelling geplaatst. Deze lezing zal ingaan op het ontstaan en ontwikkeling van het paradigma van radicalisering in het Nederlandstalig wetenschappelijk veld. Door de ver-schillende trajecten van het begrip in verschillende disciplines na te gaan (i.e. politieke wetenschappen, crimi-nologie en veiligheidsstudies), zullen we trachten aan te tonen hoe radicali-sering veeleer gekenmerkt wordt door een semantische leegte en een perma-nente onzekerheid over diens beteke-nis. We zullen verder ook stilstaan bij de manier waarop dit begrip leidt tot

een her-interpretatie van processen die eerder als individualisering wer-den aangeduid, maar nu doorheen een veiligheidslens worden begrepen. Deze be-vindin- gen tonen aan hoe het radicaliseringspara-digma veeleer op de restoratie van een oude (Durkheimiaanse) sociologische preoccupatie met sociale cohesie en anomie wijst.

HIW 01.14, Hoger Instituut Wijs-begeerte, Kardinaal Mercierplein 2, 3000 Leuven

Datum : vrijdag 22 april van 14:00 tot 16:00

Lire page suivante :

Quiest Nadia Fadil ?

Arrestations de militants antiracistes : le MOC dénonce le deux poids deux mesures

Le Mouvement ouvrier chrétien tient à marquer sa plus profonde inquiétude

suite aux événements de ce samedi 2 avril, place de la Bourse à Bruxelles. L’arresta-tion du président de la Ligue des Droits de l’Homme ainsi que d’une trentaine de militants antiracistes posent de nombreuses questions.

Une semaine plus tôt, 450 hooligans, dont une partie de militants d’extrême droite, avaient défilé dans les rues de la capitale. La réaction policière avait été particulièrement clémente à leur égard, les forces de l’ordre se limitant à encadrer et accompagner le groupe de manifestants. Pourtant, certains d’entre eux n’avaient pas hésité à effectuer le salut nazi devant les caméras du monde entier, avant que les mêmes saccagent du mobilier urbain.

C’est évidemment le « deux poids deux mesures » qui choque dans la réaction des forces de l’ordre. Car, contrairement au week-end précédent, les militants et citoyens qui s’étaient calmement rassemblés ce samedi autour de la Bourse, ne représen-taient pas une menace pour l’ordre public.

Le MOC tient à dénoncer fermement la différence de traitement que la police a fait subir aux deux rassemblements. Il est fondamental de rappeler que racisme et antiracisme ne sont pas sont pas à mettre sur un pied d’égalité. L’un est contraire à la loi, l’autre est une expression démocratique essentielle, particulièrement en ces temps troublés. Que certains tendent à l’oublier a de quoi faire peur dans un Etat de droit comme le nôtre.

Le MOC exige également des respon-

sables politiques, communaux, régionaux et fédéraux que toute la lumière soit faite sur l’action de la police au cours de ces deux derniers week-ends.

Après les attentats que la Belgique a connus, ce sont les valeurs de la démocratie qu’il s’agit de porter haut et fort. La réaction totalement disproportionnée des forces de l’ordre et le silence complice de certains responsables politiques nous font craindre le pire pour l’expression, dans les jours, semaines et mois à venir, de toutes les voix qui prôneront plus de tolérance, de vivre-ensemble et de justice sociale.

La tentation de vouloir criminaliser les mouvements sociaux serait en effet la pire des réponses à la crise démocratique qui nous guette.

Christian KUNSCH, Président du MOC

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Q u i e s t N a d i a F a d i l ?

Fadil. Sociologue, cher-cheuse FNRS à la KUL.

Voici donc la troisième plume de notre quatuor de chroniqueurs néerlando-phones – après Jan Goossens et Geert Buelens et avant Dave Sinardet, la se-maine prochaine…

Malgré son jeune âge (30 ans), Nadia Fa-dil est une figure connue du monde intel-lectuel flamand. Sociologue, chercheuse FNRS à l’université de Leuven, elle s’implique activement dans le débat pu-blic depuis 2003, singulièrement sur les questions touchant au dialogue intercul-turel. C’est d’ailleurs dans cette optique qu’elle a accepté de tenir une chronique mensuelle dans Le Soir.

« On a souvent tendance à réduire le débat communautaire belge à un anta-gonisme entre deux groupes homogènes : les francophones et les Flamands, ex-plique-t-elle. Mais ce débat est traversé par d’autres divisions. Cette perspective permet non seulement de poser un autre regard sur nos polémiques – et de se rendre compte que le débat sur l’inter-culturalité déchaîne les passions des deux côtés du pays – mais aussi de porter un autre regard sur la Belgique. »

Selon Nadia Fadil, l’interculturalité est souvent abordée comme une thématique en marge de la société, détachée du pro-blème communautaire. Or, pour elle, l’interculturalité et le communautaire renvoient à une seule et même question : celle de la citoyenneté. Ou comment gérer et créer un « vivre-ensemble » à travers toutes les diversités qui traversent un pays…

Pourquoi il ne s’agit plus des filles voi-lées…

J’écris ces lignes alors que se répand la nouvelle de la fermeture définitive d’Opel Belgium. Cela ne me laisse pas indifférente et réveille mes souvenirs d’enfance des fêtes de Saint-Nicolas chez Opel, où mon père travailla jusqu’à sa retraite. Les longues files interminables d’enfants tout excités qui attendaient leur tour pour recevoir le cadeau du Grand Saint. Les petites bouteilles de Fanta et de Cola qui étaient distribuées à volonté et que j’avalais gloutonnement jusqu’à ce que ma langue soit tout orange et que ça goûte l’acide. Les films de Tom et Jerry dans la grande salle de cinéma. Les pe-tites autos électriques robustes de mon frère qui m’ont toujours plus fascinées que les petites poupées insipides que je

recevais…

Mais cette semaine, je n’ai pas eu beau-coup de temps pour des sentiments de jeunesse, et encore moins pour la ferme-ture d’Opel Belgium. Mon esprit était préoccupé par le tourbillon médiatique qui s’est déchaîné après la récente déci-sion de l’Enseignement communautaire d’introduire un code vestimentaire strict vis-à-vis de signes religieux dans toutes les écoles. D’hallucinants feuilletons à intrigue, thèmes et personnages se sont succédé à la vitesse de l’éclair et ont éclipsé les filles voilées, réduites au rôle de figurantes de leur propre film. Vous me suivez ?

Un motif important dans cette décision rapide de l’Enseignement communautaire fut la solidarité avec le corps enseignant et les directions des Athénées royaux d’Anvers et d’Hoboken qui essuyaient beaucoup de critiques en raison de leur code vestimentaire plus strict. L’impres-sion que ces écoles étaient isolées dans leur décision fut renforcée par d’alar-mants reportages qui envahissaient les médias sur le vandalisme, des cambrio-lages, des lettres de menaces et la situa-tion « intenable » du corps enseignant à Hoboken. Il fallait rapidement intervenir afin de sortir le corps enseignant et les directions de ce guet-apens et anticiper la décision en instance du Conseil d’Etat. Exit les filles voilées.

L’« action de solidarité » de l’Ensei-gnement communautaire n’était pas née de quelques heures que le « débat » de société prenait une autre tournure sur-prenante : les écoles musulmanes. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, politiciens et personnes du milieu vinrent gonfler les rangs pour se prononcer pour ou – de préférence – contre les écoles musulmanes. Il y eut peu de place pour la discussion ou la nuance sur la valeur de ces écoles. Par ce fait, la menace était grande d’éclipser rapidement des initia-tives valables comme les écoles Lucerna ou les écoles islamiques aux Pays-Bas, tout comme les problèmes d’insertion so-ciale dans l’enseignement obligatoire. Se positionner pour ou contre les écoles isla-miques fut tout à coup évalué comme un critère d’intégration, qui permettait aussi de distinguer les « bons » des « mauvais » musulmans.

Et un « mauvais » musulman fut trouvé cette semaine en Flandre. Il a fallu un pe-tit temps, mais depuis Dyab Abou Jahjah, il semble qu’on ait découvert un nouveau

« Filip De Winter de la com-munauté maro-caine » : Nordin Taouil. Connu aussi comme l’imam qui est réguliè-rement sommé par la VRT, les politiciens et consorts afin de calmer les jeunes quand il y a risque d’« émeutes ». C’est le même Nordin Taouil qui a été invité par Mme Heremans, la directrice de l’Athénée royal d’Anvers, à faire le même petit numéro à la fin du mois de juin à ses élèves. Mais tout cela, c’était sans tenir compte de l’imam lui-même. Il se positionna soudain contre le nou-veau règlement, fit quelques déclarations malheureuses, et défendit l’idée d’écoles musulmanes. Suffisamment de raisons pour en référer à la Sûreté de l’Etat, qui confirma que derrière l’apparence de l’homme de dialogue se cachait un dan-gereux extrémiste salafiste.

Pour ceux qui craignent que le pays soit sur le point de tomber parce que les Fla-mands et les francophones n’ont plus rien en commun, j’ai une bonne nouvelle : l’hystérie collective qui se déchaîne lorsqu’il est question de musulmans se manifeste tant d’un côté que de l’autre de la frontière linguistique, témoin le « non-débat » récent sur la burqa en Belgique francophone (comme il en pleut à Pa-ris…). Il est alors à tous les coups surtout question d’images angoissantes avec les-quelles vivent une grande partie des Fla-mands et des Belges, et rarement de faits réels. Les conséquences de tels débats ne sont pas minces. Les images d’anxiété collective concernant « l’Islam » sont injectées à forte dose et les musulmans se voient à nouveau confirmés dans leur rôle de l’Autre. Et pour les filles voilées, dont il est question, pour les questions urgentes de décrochage scolaire ou pour les sombres perspectives d’avenir pour la jeune génération, il n’y a pas de temps ni de mots. Tout comme je n’avais pas de temps pour la fermeture d’Opel Belgium. Des sentiments de jeunesse uniquement.

http://goo.gl/aQ634VSource : Reflets Magazine

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Les juifs marocains doivent rentrer au bercail « (vidéo) Hakim Hachkar

Dans une interview accordée à la chaîne israélienne i24, le réalisateur franco-Marocain Hakim Hachkar évoque la relation affective qui lie les juifs aux

Musulmans sur le sol marocain.. Nous les Marocains de culture musulmane, nous avons perdu une part de nous-mêmes, et ils (juifs du Maroc) ont perdu une part d’eux-mêmes, mon travail consiste à réparer cela’’. C’est par ces mots que le réalisateur marocain Kamal Achkar exprime sa déception pour la séparation brutale entre juifs et musulmans au Maroc. A travers son film Jérusalem-Tinghir, le réalisateur franco-marocain évoque ce lien si fort qui lie ces deux populations habitant le même sol.

http://goo.gl/nQa7Ap

Anis Birou en colère contre les ministres PJD qui abusent des services consulaires

Anis Birou ministre

chargé des MRE et des Affaires de la migration s’est emporté contre certains de ses collègues mi-nistres au dernier Conseil du gou-vernement. Ces derniers empiètent sur ses fonctions et utilisent ses ser-vices à des fins politiques. Benkirane lui a donné raison.

Des ministres PJD profitent régu-lièrement de leurs fréquents dépla-cements à l’étranger pour organiser des rencontres avec des MRE et faire la promotion de leur parti. Cela est presque de notoriété publique. Ce qui l’est moins, et c’est ce que vient de révéler Anis Birou, ministre RNI chargé des MRE et des Affaires de la migration, c’est que ces ministres, Aziz Rebbah de l’Equipement et du transport et Najib Boulif ministre délégué au Transport notamment, uti-lisent également les services consu-laires pour préparer ces réunions.

http://goo.gl/W9Wn3B

Les œuvres de Rachid Sebti pour lancer une galerie d’art dédiée aux artistes MRE

Ce sont les toiles de Rachid Sebti qui ont inauguré l’Espace

Rivage de la Fondation Hassan II. L’artiste Belgo-marocain est le premier MRE à avoir exposé ses œuvres dans cet espace destiné à jeter la lumière sur les talents maro-cains à l’étranger. Le grand public pourra contempler les créations de Rachid Sebti qui dédie son travail à la femme placée dans son environne-ment réel. Découverte.

http://goo.gl/8GbpAi

SEMINAIRE

Paris : Mi-grations et

développement présentera sa plateforme numérique pour la diaspora, le 20 mai prochain.

L’association Migrations & Déve-loppement va présenter le 20 mai prochain lors d’un séminaire organisé à Paris, son projet de plateforme numérique baptisée « Communauté de Développement Solidaire (CDS) ».

Destiné à rapprocher les MRE et leur pays d’origine, le projet « CDS » est soutenu par l’Agence fran-çaise de développement (AFD) et la Confédération suisse. Il consiste en une plateforme informatique dédiée à l’échange, au partage de compé-tences, de financements solidaires et d’informations. Une plateforme destinée à raffermir les liens entre les 2 rives de la Méditerranée, précisent les organisateurs qui attendent les MRE, les membres de la diaspora et les Marocains de cœur,

le vendredi 20 mai 2016, de 14h à 18h à l’AFD, située :5 Rue Roland Barthes à Paris.

Yabiladi Publié Le 05/04/2016

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Racismes hyper-décomplexés

Avec la déclaration de Laurence Rossignol, le racisme républi-

cain deslibéraux français actuellement au pouvoir atteint un niveau extraordi-naire, non pas dans son fond mais dans sa forme : islamophobie +négrophobie complètement décom-plexées, totalement assumées etexprimées dans un langage qu’on doit bien qualifier d’ordurier, où lemépris, la haine, l’inculture et la bêtise le disputent à l’ignominie et l’abjection. Rappelons les faits. Interrogée sur RMC, la «ministre des familles, de l’enfance et des (...)

par Faysal Riadhttp://lmsi.net/Racismes-hyper-decomplexes

Les musul-mans doivent rompre avec la logique identitaire pour se plon-ger dans les luttes sociales

La ministre des Familles, de l’En-fance et des Droits des femmes

déclenchait fin mars la polémique en assimilant les femmes voilées aux « nègres américains pour l’esclavage ». Au-delà de la « faute de langage », Rossignol décrit les femmes musul-manes comme prisonnières consen-tantes d’une religion oppressante. Les réactions au sein de la communauté musulmane n’ont pas manqué. Ainsi, sur les réseaux sociaux, les envolées lyriques traitant Florence Rossignol de noms d’oiseaux se multiplient. Les leaders d’opinion de la commu-nauté musulmane montent au créneau et s’indignent tour à tour des propos de la ministre. http://goo.gl/XqAqez

Les Jeudis de l’IMA

Le Coran, dictée surnaturelle ou parole humaine inspirée ?

Jeudi 05 mai 2016 - 18h30Débat animé par Abdennour Bidar

L’énergie musulmane et autres richesses françaisesJeudi 26 mai 2016 - 18h30Avec : Samia Hathroubi, Marine Quenin,Samia Orosemane, Françoise Vergès.Débat animé par Marc Cheb Sun, fondateur et directeur de la revue.

La lutte pour les droits des femmes dans les sociétés musulmanes : un état des lieux critique ? 16/06/2016 - 18h30Débat animé par Abdennour Bidar

Institut du monde arabe1, rue des Fossés Saint-Bernard Place Mohammed V 75236 PARIS CEDEX 05Tél. 01 40 51 38 38 | Fax 01 43 54 76 45 | Serveur vocal 01 40 51 38 11

COMMUNIQUE

Message à nos jeunes français de la communuaté musulmane

et communiqué sur l’Abandon de la réforme constitutionnelle: une victoire de la démocratie et du mieux vivre ensemble

Le président de la République a renoncé à son projet de faire inscrire dans la constitution la déchéance de nationalité pour des binationaux et l’état d’urgence.

L’Association: «Nous Français issus de l’Immigration..» avec toutes les organisations qui se sont mobilisées pour refuser cette inscription se réjouit de cet abandon.

Depuis des mois ces organisations ont rappelé les dangers d’une exten-sion de la déchéance de nationalité porteuse de divisions au sein de notre société entre les Français qui le seraient pleinement et ceux qui le seraient moins. C’était inciter à la désignation de boucs-émissaires, ouvrir la voie au renforcement des préjugés xénophobes, aux aveugle-ments identitaires et aux discrimina-tions racistes.

http://goo.gl/HUAktx

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Imam en France, une «profession» sans statut

Il y a des mosquées qui

courent après des imams stars, même si théo-logiquement ils ne valent pas grand-chose, s’inquiète M. Henniche. Une partie des imams est exploitée par les présidents d’association alors qu’une autre s’accapare la mosquée et impose sa tendance.

La désorganisation de la pratique de l’imamat en France va de pair avec le vide institutionnel laissé par un CFCM proprement administratif, construit loin des imams.

Pour lire la suite cliquez ici http://goo.gl/uWQ7UH

Le gouvernement sonne la mobilisation des acteurs musulmans contre la radicalisation

Reste à savoir comment ces ini-tiatives seront mises en mu-

sique, alors qu’une défiance subsiste dans les rangs musulmans envers le

CFCM et ses conseils régionaux.«Nous sommes disponibles pour agir sur la radicalisation, en espérant que l’État ne refasse pas l’erreur de cher-

cher un interlocuteur exclusif et associe des acteurs de terrain», a dit à l’AFP M’hammed Henniche, de l’UAM 93. La suite : http://goo.gl/Gh5hvn

Rencontre Thérapoé-sie Hommage à Ibra-him Ali De Soly

Un hommage à Ibrahim Ali assassiné par des colleurs d’affiches du Front

National le 21 février 1995. Ils voulaient attraper le dernier bus qui dessert leur quartier. Ibrahim Chibaco et ses amis ren-traient d’une répétition de musique. Ils se sont mis à courir pour l’attraper. Des col-leurs d’affiches du Front National leur ont tiré dessus. Ibrahim est tombé, il n’avait que dix-sept ans. Il préparait un concert et voulait juste rentrer chez lui.

Rencontre avec Mohamed Mbaé Taha-mida, alias Soly autour de son recueil :

Thérapoésie, Editions Coelacanthe.Samedi 16 avril 2016 à 15hMédiathèque Nelson MandelaBd Paul CézanneGardanneRencontre organisée par l’Association Contacts

Conférence de l’Observatoire national des droits de l’électeur

Du droit à la participation des MRE aux législatives. La

question de la mise en œuvre du droit des Marocains résidant à l’étranger au vote et à l’éligibilité, et partant à la représentativité politique au sein des instances élues, notamment à la

Chambre parlementaire des Repré-sentants, demeure une revendication ajournée depuis des décennies, non tranchée en dépit des multiples pro-messes formulées dans ce sens. Ainsi s’est exprimé Maître Khalid Trabelsi, Président de l’Observatoire national

des droits de l’élec-teur, à l’ouverture d’une conférence organisée, avant-hier mardi à Rabat, en collaboration avec l’institut allemand Konrad Adenauer, sous le thème « Quelle participation des MRE aux législatives 2016 ? ».

http://goo.gl/TlDX1x

La plus grande lettre ouverte du monde

Un million de signatures en 24h à peine! Ajoutez votre nom à la

plus grande lettre ouverte de l’his-toire, adressée à Donald Trump -- puis diffusez-la tout autour de vous: Il traite les Mexicains de violeurs et les femmes de “bimbos” ou de “grosses truies.” Il a promis de faire fermer les mosquées, de tenir un

registre des musulmans et de confiner les enfants d’immigrants illégaux. Selon un récent rapport, le discours de haine de Donald Trump, personna-lité politique aux États-Unis, pourrait menacer notre sécurité collective par-tout dans le monde. Trop, c’est trop! Une lettre ouverte est en train de faire le tour de la planète: signez-la en un

clic et faites entendre votre voix contre les incitations à la haine de Trump. Une fois que nous aurons atteint les 2 millions de signatures, elle sera publiée dans des journaux du monde entier:

Ajoutez votre voix https://goo.gl/54RDEg

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Plus de 185.000 Belges sont obligés de cumuler deux jobsLes soldats qui surveillaient les institutions juives n’avaient pas de balles dans leurs fusilsAttentats à Bruxelles : La marche « contre la terreur et la haine » aura lieu le 17 avril

Attentats de Bruxelles: la marche «contre la terreur et la haine» aura lieu le 17 avrilLes attentats de Bruxelles sont « indiscutablement un échec » pour la Belgique, a reconnu Charles Michel, refusant toutefois que son pays soit qualifié d’« Etat défaillant ».

Gad el Maleh: ‘’le Maroc c’est ma mère, la France ma femme, et New York ma maîtresse’’Sahara: 4O congressmen américains stigmatisent les dérapages de Ban Ki-moonLes Américains et les Russes se disputent aux portes du Maroc http://goo.gl/m4uh3tArabie Saoudite: Le Maroc décroche un financement de 230 millions de dollars Un haut responsable de la marque Ford vient de confirmer l’installation, d’ici 2020, d’une usine de production dans le royaume.La Russie en pourparlers pour vendre des avions et assembler des camions au MarocRAM : Reprise imminente des vols Rabat-BruxellesCasablanca: créer son entreprise en 24 heures http://goo.gl/EDo0axVigilance sécuritaire: les vigiles et scanners désormais obligatoires à l’entrée de tous les hôtels L’équipe du nationale de football a fait une belle remontée au classement FIFA du mois d’avril, publié jeudi 7 avril 2016, passant de la 81ème place à la 64ème.Maroc : la BAD alloue 112 millions $ aux infrastructures ferroviaires de l’axe Tanger–Casablanca–MarrakechAl Adl wal Ihssane rêve encore de califat Germania reliera Toulouse à Oujda cet été Maroc : Les homosexuels et les chiens connaissent le même sort !Maroc : Un couple marié lynché pour un baiser sur la joue !

30% des combattants étrangers partis en Syrie sont rentrés, 14% sont mortsNouveau camouflet pour l’unité européenne suite au non néerlandais à un accord entre l’UE et l’UkraineSuisse : des élèves musulmans dispensés de serrer la main de leur enseignante http://goo.gl/yNZ60NLa planification d’une déportation de masse : Chronique de « l’ensauvagement » de l’UE Said Bouamama http://goo.gl/RKLIQJEspagne : l’Islam sera enseigné dans les lycées dès la rentrée prochaine Le Conseil Théologique Musulman de France annonce le premier jour du mois de Ramadan pour le lundi 06 Juin 2016T. Guénolé: «M. Valls raconte en boucle n’importe quoi sur l’islam»Al Jazeera ne fait plus recette auprès des maghrébins de FranceEspagne : 200 000 élèves de confession musulmane obligés d’étudier l’islam au lycée

Quatre idées pour gagner de l’argent sur Internet http://goo.gl/8Z1WeuLes pratiques des organisations terroristes ne représentent l’islam ni de près, ni de loin, affirme Al-AzharPlus de 1.634 personnes ont été exécutées dans 25 pays en 2015, soit une hausse de 54% par rapport à 2014Le Maroc a prononcé neuf condamnations à mort en 2015 Bernie Sanders, le seul candidat juif de la présidentielle US, candidat préféré des musulmans américains ?

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Page 14: Dounia News, 10 avril 2016

La Fédération Etude Plus a l’honneur de vous convier à la 14ème édition du « Festival Internationale des Cultures et des Langues » dont le Gala parisien se tiendra le 24 avril 2016 dans la mythique salle du Casino de Paris.

http://goo.gl/FCPoC3