newsletter dounia news du 25 octobre 2015

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Au tour des Omeyyades, une dynastie de califes arabes de ré- gner sur l’ensemble de l’Empire musulman (califat omeyyade, 661- 750), depuis sa capitale Damas (aujourd’hui en Syrie), puis dans la seule péninsule Ibérique avec l’émirat de Cordoue (756-1031, érigé en califat rival des Abbassi- des en 929). La conquête du pouvoir : Les Omeyyades appartiennent à l’ancienne oligarchie de La Mecque, qui a obtenu le pouvoir avec la nomination du troisième calife, Othman Ibn Affan (644- 656), le seul membre de cette aris- tocratie à avoir rallié le Prophète Mohamed (Paix et bénédiction d’ALLAH sur lui) au début de sa prédication. À la suite de l’assas- sinat de Othman en juin 656 par des mutins de l’armée d’Égypte, la famille des Omaiyya accuse, pour conserver le pouvoir, le quatrième calife, Ali (656-661), de compli- cité dans ce meurtre. Très vite, une forte opposition se dessine contre le calife, mettant en cause sa légitimité. Elle se groupe essen- tiellement autour de Mouawiya, neveu de Othman, qui exige, selon la vieille coutume arabe, la ven- geance du meurtre de son oncle. Gouverneur de Syrie depuis le ca- lifat de Omar, Mouawiya dispose d’une excellente armée, rompue à la discipline et à l’art militaire au cours des escarmouches de fron- tières contre les Byzantins chré- tiens. Fort de cet instrument, il re- fuse de céder son poste au nouveau gouverneur nommé par Ali. Et, en 657, il rencontre les troupes de Ali en Syrie, non loin des ruines de la ville romaine de Siffin. Bien que battu, il parvient à sauver la situa- tion : acculés à la défaite, ses sol- dats élèvent le Coran à la pointe de leurs lances en criant : « Que Dieu en décide ! » Ce subterfuge convainc, et Ali est contraint, par le parti pieux du camp, d’accepter cet arbitrage qui met en cause sa légitimité. Cela amène la défection d’un groupe important de ses adeptes, les khari- djites (« ceux qui sortent »). La po- sition de Ali s’affaiblit davantage en 659, lorsque les arbitres dési- gnés par les deux partis rendent un verdict qui implique son abdi- cation. Quelques mois plus tard, Mouawiya réussit à s’emparer de la province d’Égypte et renforce sa position. En 661, Ali est assassiné par un kharidjite. Son fils Hassan renonce à ses droits au profit de Mouawiya, qui étend alors son pouvoir sur tout l’Empire et fonde la dynastie des Omeyyades. Le califat omeyyade de Damas (661-750) et l’organisation de l’Empire omeyyade : Gouvernement et administration Califes omeyyades de Damas À l’avè- nement de Mouawiya, l’Empire musulman souffre d’instabilité et de manque d’unité. Cette situa- tion découle essentiellement de la décentralisation de l’administra- tion, ainsi que de la recrudescence du désordre et de l’anarchie parmi les nomades. Pour assurer la cohé- sion de l’Empire, le nouveau calife substitue à l’Expansion de l’islam au temps des Omeyyades théocra- tie islamique un État arabe sécu- lier, fondé sur la caste dirigeante arabe. Certes, le facteur religieux reste important, et Mouawiya sait admirablement l’exploiter au cours de ses multiples campagnes contre les Byzantins, qui lui per- mettent de se poser en champion de l’islam. Mais il fonde ses rap- ports avec la population non pas sur le lien religieux, mais sur un nouveau lien moral, en s’appuyant sur la fidélité de la nation envers son chef séculier. Toutefois, sa souveraineté n’est ni religieuse ni monarchique et relève plutôt du régime des cheikhs préislamiques avec une autorité plus étendue. Lire la suite de l’article : https://goo.gl/oItFTE Il était une fois … Un Grand Maghreb Uni ! Publication en plusieurs parties – Episode N° 7/15 (Abdelkader BENMOUSSA)

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La revue de presse Dounia News du 25 octobre 2015 vous souhaite une bonne lecture. Sarie Abdeslam

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Au tour des Omeyyades, une dynastie de califes arabes de ré-gner sur l’ensemble de l’Empire musulman (califat omeyyade, 661-750), depuis sa capitale Damas (aujourd’hui en Syrie), puis dans la seule péninsule Ibérique avec l’émirat de Cordoue (756-1031, érigé en califat rival des Abbassi-des en 929).

La conquête du pouvoir :

Les Omeyyades appartiennent à l’ancienne oligarchie de La Mecque, qui a obtenu le pouvoir avec la nomination du troisième calife, Othman Ibn Affan (644-656), le seul membre de cette aris-tocratie à avoir rallié le Prophète Mohamed (Paix et bénédiction d’ALLAH sur lui) au début de sa prédication. À la suite de l’assas-sinat de Othman en juin 656 par des mutins de l’armée d’Égypte, la famille des Omaiyya accuse, pour conserver le pouvoir, le quatrième calife, Ali (656-661), de compli-cité dans ce meurtre. Très vite, une forte opposition se dessine contre le calife, mettant en cause sa légitimité. Elle se groupe essen-tiellement autour de Mouawiya, neveu de Othman, qui exige, selon la vieille coutume arabe, la ven-geance du meurtre de son oncle. Gouverneur de Syrie depuis le ca-lifat de Omar, Mouawiya dispose d’une excellente armée, rompue à

la discipline et à l’art militaire au cours des escarmouches de fron-tières contre les Byzantins chré-tiens. Fort de cet instrument, il re-fuse de céder son poste au nouveau gouverneur nommé par Ali. Et, en 657, il rencontre les troupes de Ali en Syrie, non loin des ruines de la ville romaine de Siffin. Bien que battu, il parvient à sauver la situa-tion : acculés à la défaite, ses sol-dats élèvent le Coran à la pointe de leurs lances en criant : « Que Dieu en décide ! »

Ce subterfuge convainc, et Ali est contraint, par le parti pieux du camp, d’accepter cet arbitrage qui met en cause sa légitimité. Cela amène la défection d’un groupe important de ses adeptes, les khari-djites (« ceux qui sortent »). La po-sition de Ali s’affaiblit davantage en 659, lorsque les arbitres dési-gnés par les deux partis rendent un verdict qui implique son abdi-cation. Quelques mois plus tard, Mouawiya réussit à s’emparer de la province d’Égypte et renforce sa position. En 661, Ali est assassiné par un kharidjite. Son fils Hassan renonce à ses droits au profit de Mouawiya, qui étend alors son pouvoir sur tout l’Empire et fonde la dynastie des Omeyyades.

Le califat omeyyade de Damas (661-750) et l’organisation de l’Empire omeyyade :

Gouvernement et administration

Califes omeyyades de Damas

À l’avè-nement de Mouawiya, l’Empire musulman souffre d’instabilité et de manque d’unité. Cette situa-tion découle essentiellement de la décentralisation de l’administra-tion, ainsi que de la recrudescence du désordre et de l’anarchie parmi les nomades. Pour assurer la cohé-sion de l’Empire, le nouveau calife substitue à l’Expansion de l’islam au temps des Omeyyades théocra-tie islamique un État arabe sécu-lier, fondé sur la caste dirigeante arabe. Certes, le facteur religieux reste important, et Mouawiya sait admirablement l’exploiter au cours de ses multiples campagnes contre les Byzantins, qui lui per-mettent de se poser en champion de l’islam. Mais il fonde ses rap-ports avec la population non pas sur le lien religieux, mais sur un nouveau lien moral, en s’appuyant sur la fidélité de la nation envers son chef séculier. Toutefois, sa souveraineté n’est ni religieuse ni monarchique et relève plutôt du régime des cheikhs préislamiques avec une autorité plus étendue.

Lire la suite de l’article :

https://goo.gl/oItFTE

I l é ta i t une fo i s … Un Grand Maghreb Un i ! Publication en plusieurs parties – Episode N° 7/15 (Abdelkader BENMOUSSA)

T Toute personne ayant sui-vi l’actualité internationale a déjà entendu parler d’un certain conflit entre sunnites et chiites, en sommes, des musulmans qui se font la guerre au nom d’un intérêt politique, éco-nomique et/ou religieux. Souvent les icônes qui symbolisent ces deux courants musulmans sont d’une part, l’Iran chiite et d’autre part l’Arabie Saoudite sunnite. Plus que cela, cette question s’intègre depuis trop long-temps dans une espèce de haine et de refus de l’Autre au sein même de cette communauté musulmane. Les événe-ments, chez nous en Belgique, qui prouvent que l’actualité dans ces pays où les populations sont majoritaire-ment musulmanes, ainsi que la repré-sentation que ces musulmans ont des uns envers les autres, sont notamment les départs des jeunes belges en Syrie et le tragique incident qui eu lieu en 2013, au sein d’une mosquée chiite à Anderlecht et où l’imam y perdit la vie. La personne à l’origine de ce crime a directement fait un lien avec la crise syrienne (la Syrie est majori-tairement sunnite et est toujours gou-

verné par la dynastie des El-Assad, qui sont Aalaouites, une branche dans le chiisme) et, selon lui, la responsabi-lité des chiites.

Qui sont finalement ces musulmans qui contiennent clairement diffé-rentes tendances ? Ces guerres qui s’incrustent de plus en plus au sein de la communauté musulmane seraient-elles similaires à ce qui a pu exister entre catholiques et protestants pen-dant un moment ? Et qu’en est-il de la situation en Belgique ? Essai de réponses dans cet article.

Islams et musulmans.

C’est en 610 du calendrier grégorien, que le prophète Muhammad apporte le message du monothéisme, inté-grant et reconnaissant les religions monothéistes précédents, à savoir le judaïsme et le christianisme. Puis, après avoir instauré une nouvelle religion, ce dernier laisse en 632 une nouvelle communauté de croyants, un état islamique (à ne surtout pas confondre avec l’actuel) dont le mode de vie et les règles sont particuliers au message divin. C’est donc au moment de son décès, que la réelle cassure au sein de cette nouvelle communauté se créé. Qui pourra succéder à ce leader religieux, militaire et politique ? La succession revenait pour certains à Ali ibn abou Taleb, cousin et gendre du prophète alors que pour d’autres, il était complètement légitime que cela soit son meilleur compagnon, Abu Bakr. Les premiers deviendront les chiites (chi3at ‘ali, en français : par-tisans de Ali), alors que les seconds sont les actuels sunnites. C’est ainsi que les deux principaux courant en is-lam sont appelés : le sunnisme (envi-ron 85% de la population musulmane au monde) et le chiisme (plus des 10% des restants). Toutefois, il est à noter que le troisième courant musul-man sont les ibadites anciennement appelés les Kharidjites. Ces différents

courants ne vont bien entendu pas res-tés figés à cette période, différentes écoles de pensées et des divisions à l’intérieur de ces mouvements vont se créer au fur et à mesure. Actuelle-ment, parler d’un islam sunnite signi-fie englobé des expressions musul-manes complètements différentes et variées. Par exemple, l’expression religieuse en Indonésie ne sera pas complètement la même qu’en Égypte ou qu’en Turquie. Chaque nation a ses propres expressions spirituelles particulières. Le chiisme n’est éga-lement pas monolithique, le chiisme iranien n’est pas identique au chiisme yéménite ou à celui des Alaouites en Syrie. Ils intègrent tous le courant chiite mais sans pour autant être simi-laire. Une particularité chiite est aussi l’existence d’un clergé ce qui est ab-sent dans le monde sunnite.

Au-delà de ces explications, chaque personne faisant le choix d’appartenir à une religion puis, à un courant précis n’est pas le garant ni le porte parole de la théorie proposée, il y a donc une liberté individuelle chez les croyants. Ce qui nous pousse à conforter cette idée par cette fameuse citation de Gandhi : « Il y a autant de religions que d’individus ».

Chiites vs sunnites une nouvelle ver-sion des catholiques vs protestants ?

Il y a plusieurs aspects qui nous poussent à croire qu’effectivement il y a un lien entre les deux mais pas seulement. Les États sunnites veulent maintenir leur influence dans la région et ce qu’en bien même, il existe au sein de leur société des populations musul-manes d’obédience chiite. En Jorda-nie, en Arabie Saoudite, au Bahreïn (population majoritairement chiite gouvernée par une dynastie sunnite) par exemple. Aussi, les Etats princi-paux qui symbolisent l’islam chiite sont comme évoqués : l’Iran, la Syrie, le Yémen ou encore l’Irak. Dans ces nations, il y a également une popu-lation sunnite, qui est parfois même majoritaire ou importante.

Lire la suite de l’article :

https://goo.gl/D2MT9q

L’islam belge n’existe pas, il faut absolument parler des islams belges.Par Ikram Ben Aissa

«Chibanis» marocains en France : continuons le combat ! Remarques au CCMEPar Abdelkrim Belguendouz Universitaire à Rabat, chercheur spécialisé en migration

Si-gné CCME et paru sous le titre « France : un décret permet aux chiba-nis de profiter de leur retraite

dans le pays d’origine», le site officiel du Conseil de la communauté maro-caine à l’étranger ( CCME), publie à sa une depuis le 19 octobre 2015, un décret du gouvernement français n° 2015-1239 du 6 octobre 2015, rela-tif à l’aide à la réinsertion familiale et sociale des anciens migrants dans leur pays d’origine et à la création d’un fond de gestion». Ce décret est signé par le Premier ministre ( Manuel Vals), la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes (Marisol Touraine), le mi-nistre de l’économie, de l’industrie et du numérique (Emmanuel Macron), le secrétaire d’Etat chargé du budget ( Christian Eckert).

Un clonage médiatique

Le site ne s’est pas contenté de don-ner l’information en reproduisant le décret en question, mais cette publi-cation a été accompagnée de juge-ments de valeurs positifs, comme on le constate à travers la notice de pré-sentation suivante, assortie d’un com-mentaire du CCME :»Un décret per-mettant aux migrants âgés de choisir librement leur lieu de résidence sans perdre leurs prestations, a été publié le 8 octobre 2015. Le décret entre en vigueur à partir du 1er janvier 2016.

Cette disposition prévue dans la loi de programmation pour la ville et la cohé-sion urbaine du 14 février 2014, MET FIN À DES ANNÉES DE COMBAT DES «CHIBANIS» QUI RÉCLA-MAIENT DE POUVOIR PROFITER DE LEUR RETRAITE DANS LEUR PAYS ‘ORIGINE. Dés 2016, avec la mise en place d’une AIDE (!!!) spéci-fique pouvant aller jusqu’à 550 Euros par mois, ils auront LA POSSIBILI-TÉ D’EFFECTUER DES SÉJOURS DE LONGUE DURÉE DANS LE PAYS D’ORIGINE SANS PERDRE LEURS DROITS»

Pour l’essentiel, et en dehors de la remarque sur les luttes menées par les «chibanis» et qui doivent mainte-nant, selon le site, être terminées, , le CCME ne fait ici que reprendre à son compte l’interprétation très discutable véhiculée par le ministère français des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes et relayée notam-ment par l’AFP et par bien d’organes français de la presse écrite, concer-nant la mesure prise par la ministre Marisol Touraine.

Amateurisme du CCME

Pourtant, à défaut du suivi de longue date du dossier par les responsables du CCME, une simple vérification de leur part ou un contact par leurs soins du tissu associatif agissant sur le terrain en France dans ce domaine ( comme CAP SUD MRE, l’ATMF, El Ghorba, Collectif Justice et Dignité des chibani-a-s), aurait dû les amener à faire les constats suivants :

1-La mesure était prévue déjà depuis plus de huit ans ( loi relative au droit au logement opposable dite «DALO»).

2-Le nombre des retraités «chibanis» en France est de 800. 000 étrangers, toutes nationalités confondues ( dont 175. 000 marocains), alors que la

mesure ne concerne que très peu de personnes qui vivent seuls dans des foyers ou résidences pour immigrés : quelques 35. 000 selonle ministère de la Ville. . .

3- La mesure n’est pas une «aide», mais le remplacement de l’ASPA (Al-location de solidarité des personnes âgées ) et de l’aide personnalisée au logement ( APL) par cette «aide», est très problématique.

4- En effet, cette «aide», «qui peut al-ler jusqu’à 550 Euros», est inférieure au montant de l’ASPA qui est déjà de 800 Euros.

5- Pour bénéficier de ce qui est en fait une «aide au retour» déguisée, il faut séjourner plus de six mois dans le pays d’origine.

6- La mesure ne règle pas du tout la prise en charge des soins médicaux pour les étrangers (ici au Maroc), qui est très importante pour les personnes âgées, dans la mesure où le bénéfice à la sécurité sociale tombe si on ne sé-journe pas en France plus de six mois.

Dans un article précédent, en date du 15 octobre 2015 intitulé «les chibanis» marocains en Europe entre la chaîne «Aljazira» et «Médi 1 TV», publié par «Dounia News» et auquel le lec-teur est invité à se référer, nous avions largement analysé la question pour ne pas avoir à revenir longuement à la démonstration du caractère trompeur et mystificateur de la présentation que font les officiels français de la mesure prise. Le jour même, l’attention avait été également attirée par une alerte de CAP SUD MRE avec pour titre : «une avancée, mais pas encore LA solu-tion».

Lire la suite de l’article :https://goo.gl/KpA5x1

Médiateur interculturel, une idée prometteuse pour le dialogue entre musulmans et non-musulmans

Une étude menée par une équipe de chercheurs du Centre Interdisciplinaire d’Etudes de l’Islam dans le Monde Contemporain (CISMOC) a tenté de mettre à jour les bonnes pratiques en matière de dialogue entre musulmans et non musulmans. Financée par la Fondation Roi Baudouin, l’objectif était de donner et/ou de susci-ter de nouvelles initiatives visant à atténuer les tensions croissantes entre ces personnes de sensibilités différentes, exacerbées par l’actualité. : https://goo.gl/D9Fj1B

Sunnites et chiites à Bruxelles : douce romance ou guérilla ?

L’Iran accuse son ennemi sunnite d’avoir fermé un point de passage, provoquant l’engorgement » entend-on sur les ondes après la catastrophe à la Mecque ce jeudi 24 septembre. Les relations entre sunnites et chiites s’enveniment… Qu’en est-il à Bruxelles ? : http://goo.gl/0qOz0K

90 secondes pour comprendre pourquoi de plus en plus d’écoles interdisent le port de signes religieux

Pourquoi de plus en plus d’écoles interdisent le port de signes reli-gieux distinctifs ? Le journaliste de Bel RTL Frédéric Moray avait 90 secondes pour vous l’expliquer ce vendredi matin sur les ondes. : http://goo.gl/CBFyYC

Aïd al Adha : Une perte de 1,7 million d’€ pour le secteur ovin en Flandres Le « Boerenbond » (association de défense des droits et des intérêts des paysans) estime que le secteur ovin en Flandres a perdu jusqu’à 1,7 million d’euro à cause du boycott de l’Aïd al Adha.

Cette estimation concerne uniquement la Flandres et seu-lement sur la vente de moutons pour l’Aïd al Adha. Nous n’avons pas eu de chiffres pour la Wallonie et Bruxelles. Il faut aussi souligner que le prix au kilo de la viande de mouton a aussi connu une forte baisse, vu que les ventes ont chuté pour l’Aïd. (lire : Les prix de la viande s’écroulent à cause du boycott de l’Aïd)

Le Boerenbond accuse le ministre flamand Ben Weyts de ne pas avoir donné assez de garanties sur la capacité d’abattage dans les abattoirs agrées.

Dimanche dernier différentes associations musulmanes et union de mosquées se sont réunis pour discuter des futures actions à mener concernant la problématique du sacrifice de l’Aïd al Adha. Source: Islamic Events

TOUCHEPASAMONMOUTON ! Neutralité et islam, un couple à réconcilierNous demandons la fin de cette ingérence constante dans les obligations religieuses des citoyens issus des différentes communautés religieuses » lit-on dans un appel au boycott de l’Aid promu par de très nombreuses organisations musulmanes belges en 2015. Les relations entre Islam et Neutralité sont tendues : http://goo.gl/gAAwgO

Journée d’étudeDans le cadre du Festi-val des Libertés, à l’ini-tiative du huisvandeMens Brussel et en collabora-tion avec AWSA-Be, nous organisons une journée d’étude sur: «Le monde de l’islam et la pensée libre». Quand? Mardi 27 octobre 2015 à partir de 13h Où? Au KVS BOX Quai aux Pierres de Taille, 9 à 1000 Bruxelles Prix d’entrée: 5 euros.

Informations: [email protected] ou 02/242. 36.02 Inscription obligatoire! Inscrivez-vous par virement bancaire sur le compte : BE07 0011 2809 7266 (Vri-jzinnig Brussel) Avec la communication : Journée d’étude KVS + nom + nombre de personnes

4Dounia News

Le professeur Maâti Monjib, un éminent historien

qui enseigne à l’université Mohammed V à Rabat, a subi la semaine passée, un contrôle policier très poussé à l’aéroport Mohamed V de Casablanca. La police des frontières lui a fait savoir qu’il était signalé comme « recherché pour atteinte à la sécurité de l’Etat ».

En plus de ses activités académiques, Monsieur Maâti Monjib di-rige la revue d’histoire «Zamane» et milite activement en faveur des droits de l’homme au Maroc, notamment au sein de l’associa-tion «Freedom Now, dont il est le Président, « qui défend la liberté d’expression dans la presse.

Invité à participer à un congrès académique à Barcelone au début de cette semaine, le professeur Maâti Monjib s’est vu interdire de quit-ter le pays sur ordre de la DGSE marocaine. Le 16 septembre, il a commencé une grève de la faim en protestation contre cette répres-sion qui le frappe ainsi que de nombreux intellectuels et activistes démocrates marocains qui ont été convoqués et interrogés pendant de très longues heures par la police judiciaire maro-caine.

Le professeur Maâti Monjib est bien connu et appré-cié par les démocrates et militants marocains des droits de l’homme à Bruxelles où il a donné plusieurs conférences.

L’AMBDH dénonce vigoureusement ces mesures répressives qui frappent le professeur Maâti Monjib et lui manifeste son entière solidarité et son estime.

Bruxelles, le 18 septembre 2015

Le Conseil d’administration.

Abderrahman Cherradi

https://goo.gl/rB3ZMe

La Foire musulmane 2015 s’apprête à prendre ses quartiers sur le site de Tour et Taxis à Bruxelles. Du 6 au 9 novembre prochains, la quatrième édition fera la part belle aux débats, aux rencontres, aux confé-rences, à la culture (des concerts et des expositions sur le prophète Mahomet) ainsi qu’à un grand mar-ché présentant des produits destinés principalement à la communauté musulmane.

Quelque 20 000 visiteurs sont attendus sur les

quatre jours de la foire dont les organisateurs ont déjà dévoilé sur les antennes d’Arabel, la radio de la communauté maghrébine de Bruxelles, une partie du programme. Un programme qui entend faire oublier la polémique de l’an dernier. Souvenez vous: le prédicateur originaire du Koweit Tareq Al Suwaïdan invité à donner à une conférence avait été interdit d’accès au territoire par la Belgique suite à de propos jugés antisémites tenus quelques mois auparavant. : https://goo.gl/QRwBSe

La Foire musulmane 2015 de Bruxelles sur le thème «Islam et réformes»

5Dounia News

Vidéo. Ce que pensent les Ma-rocains de l’égalité homme-femme en matière d’héritageAlors que le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) vient de recomman-der la révision des dispositions de la Mou-dawana concernant l’héritage, il s’avère que les femmes sont les premières à s’opposer au prin-cipe de l’égalité sur la question... Micro-trottoir. : https://youtu.be/NJAvgLsA8ko

Le professeur Maâti Monjib, un éminent historien qui enseigne à l’université Mohammed V à Rabat, a subi la semaine passée, un contrôle policier très poussé à l’aéroport Moha-med V de Casablanca. La police des frontières lui a fait savoir qu’il était signalé comme « recherché pour atteinte à la sécurité de l’Etat ».

En plus de ses activités académiques, Monsieur Maâti Monjib dirige la revue d’histoire «Za-mane» et milite activement en faveur des droits de l’homme au Maroc, notamment au sein de l’asso-ciation «Freedom Now, dont il est le Président, « qui défend la liberté d’expression dans la presse.

Invité à participer à un congrès académique à Barcelone au début de cette semaine, le profes-seur Maâti Monjib s’est vu interdire de quitter le pays sur ordre de la DGSE marocaine. Le 16 sep-tembre, il a commencé une grève de la faim en protestation contre cette répression qui le frappe ainsi que de nombreux intellectuels et activistes démocrates marocains qui ont été convoqués et interrogés pendant de très longues heures par la police judiciaire marocaine.

Le professeur Maâti Monjib est bien connu et ap-précié par les démocrates et militants marocains des droits de l’homme à Bruxelles où il a donné plusieurs conférences.

L’AMBDH dénonce vigoureusement ces me-sures répressives qui frappent le professeur Maâti Monjib et lui manifeste son entière solidarité et son estime.

Bruxelles, le 18 septembre 2015Le Conseil d’administration.

Si, ce sont des Hommes… L’immigration issue des pays musulmans en Europe est au cœur de débats souvent nau-séabonds dans le continent qui a donné nais-sance, il n’y a pas si longtemps que cela - à l’histoire de l’échelle humaine- au nazisme et au fascisme.La haine de l’islam est depuis le début de ce XXIème siècle un phénomène qui prend de l’ampleur. « Talibans », « al Qaida », puis plus ré-cemment « Daech», mouvements criminels et terro-ristes nés de la folie des grandeurs des…grandes puis-sances dans une région bien particulière du monde, ont réveillé la bête au cœur d’une Europe où l’immi-gration musulmane est devenue « la proie» à abattre. : http://www.ccme.org.ma/fr/editorial/45218

Liste des nouveaux consuls du RoyaumeSalaheddine Mezouar a appelé les trente et un consuls généraux qu’il a affectés ce lundi 19 oc-tobre, dans différentes villes européennes et du Maghreb, à multiplier leurs efforts pour satisfaire les prestations consulaires au profit des Marocains résidant à l’étranger. : http://goo.gl/pplqbs

Salaheddine Mezouar procède-ra, ce lundi 19 octobre, à un vaste mouve-ment qui tou-chera quelque 53 consuls gé-néraux en poste dans différents pays. Les nominations inter-viennent dans le cadre de la dy-namisation des activités consu-laires au profit des Marocains résidant à l’étranger.

6Dounia News

Quel avenir pour le Maroc?Mustapha Tossa est l’invité de l’Esprit d’actu pour un entretien consacré à la la situation politique et économique au Maroc. Journaliste, spécialiste du monde arabe, Mustapha Tossa intervient également régulièrement sur LCI, France 24 et et TV5.

http://goo.gl/Kx7An9Vidéo: https://youtu.be/DusKsZrlz7g

Colère à La Mecque : la sécurité du Hajj était assurée par une société israélienne Rappel: Le 7 octobre 2013, le quotidien libanais Al-Akhbar a révélé que la sécurité du pèlerinage à La Mecque – le Hajj - est assurée depuis 2010 par la filiale d’une société israélienne de sécurité: Al-Majal G4S, dirigée par un certain Khaled Baghdadi . G4S est une société qui intervient dans les territoires occupés en fournissant des équipements de sécurité aux colons, mais participe aux interrogatoires musclés de détenus palestiniens dans plusieurs prisons israéliennes. Sur le papier, Al-Majal G4S appartient à une com-pagnie brito-danoise. Il n’empêche qu’en Israël, G4S cite d’autres activités en Arabie à Djeddah lors du transfert des pèlerins vers La Mecque. D’après le site Internet Asrar Arabiya – Secrets arabes – G4S a passé une annonce, en 2011, pour recruter des employés pour une mission de 7 jours dans la ville sainte au moment du Hajj. : https://goo.gl/w9HHLH

Ahmed, soupçonné de terrorisme à cause d’une horloge, va étudier au QatarAhmed Mohamed, jeune homme célèbre dans le monde entier pour avoir été soupçonné, à tort, de terrorisme après avoir apporté une horloge suspecte à son collège de Dallas, a décidé de poursuivre ses études au Qatar. Direction le Qatar. Le jeune texan Ahmed Mohamed a accepté, mardi 20 octobre, de continuer sa scolarité à Doha, un mois après avoir été interrogé à tort par des policiers qui avaient confondu une horloge artisanale, qu’il avait amenée à son collège, avec une bombe.. Lre la suite de l’article : http://goo.gl/Y1E5t4

L’histoire d’Ali, 7 ans, qui vient de fêter sa rentrée des classes: «Je veux devenir architecte et construire une belle maison pour ma mère »Le journaliste iraquien Ennas Al Sharifi a accompagné un jeune réfugié iraquien lors des pre-miers jours d’école au Luxembourg. L’histoire d’Ali, 7 ans, raconte le chemin de l’intégration d’un jeune réfugié iraquien qui vit depuis près de deux mois avec sa mère au Luxembourg.

Ennas Al Sharifi (traduit de l’anglais par Marc Vanacker)

«Do you speak English ? » « Yes » « Great, let’s play ». Telle est la première conversation qu’Ali a eue avec ses nouveaux amis à l’école de Redange, où il vit depuis peu avec sa mère.

Mais commençons depuis le début. Ali a sept ans. Il habitait en Irak, à Bagdad avant de s’enfuir avec sa mère. : http://goo.gl/mwgDdF

7Dounia News

L’Unesco étudie une résolution qualifiant de musulman le mur des LamentationsLe conseil exécutif de l’Unesco doit examiner un texte modifiant le statut du mur des Lamentations à Jérusa-lem. La directrice générale de l’organisation a mis en garde les pays membres, au vu des tensions qui règnent actuellement au Proche-Orient.L’Unesco va-t-il rattacher le mur des Lamentations au complexe de la mosquée Al-Aqsa ? Le conseil exécutif de l’organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture doit se pencher sur cette question, mercredi 21 octobre, suite à une résolution soumise par l’Algérie, l’Égypte, le Koweït, le Maroc, la Tunisie et les Émirats arabes unis. : http://goo.gl/ehPVAG

Des militants veulent faire repartir la «marche des beurs» 32 ans aprèsPrécarité», «discrimination»: «rien n’a changé» dans les banlieues depuis la «marche des beurs» de 1983, regrette Arbi Rezgui, un militant anti-raciste qui a décidé de refaire le trajet vers Paris 32 ans après.Parti du quartier des Minguettes à Vénissieux (ban-lieue lyonnaise) samedi matin, il va traverser une bonne dizaine de villes avant d’arriver à Paris, le 31 octobre pour un rassemblement à 14H00 place de la Bastille. :http://goo.gl/geuB1j

La police d’Ottawa demande aux musulmans de signaler tout abus commis contre eux

La police d’Ottawa encourage les musulmans à dénoncer les abus commis contre eux, rap-porte le quotidien anglophone Ottawa Citizen le 16 octobre dernier.

Dans un courriel envoyé aux représentants de la communauté musulmane, le sergent-chef David Zackaris, de la section « Diversité et relations ethniques », explique que si ces actes malveillants ne sont pas dénoncés, la police ne pourra éviter d’autres incidents sur les musulmanes d’Ottawa.http://goo.gl/ynWytT

Constitution des Plateformes Technologiques dans les pays du Maghreb

Le Centre National de l’Informatique s’apprête à organiser un Workshop de for-mation sur les projets TIC H 2020 et sur la constitution des Plateformes Technologiques au pays du Maghreb, les 5 et 6 novembre 2015 à l’hôtel Regency, dans le cadre des deux projets de Coopération euro-médi-terranéenne avec la Tunisie: MEDDIALOGUE ET MOSAIC. Il est à préciser que MED-DIALOGUE est projet qui place un intérêt particulier sur le programme de recherche et d’innovation Horizon 2020 dans le domaine des TIC, vise à soutenir le dialogue entre l’UE et les pays partenaires méditerranéens (MPC) et à promouvoir la coopération en matière de re-cherche TIC dans le cadre d’Horizon 2020.Ce projet a pour objectif de sensibiliser aux appels à propo-sition d’Horizon 2020 et de former les structures concernées à élaborer des propositions et de trouver des partenaires en vue d’accroître leur participation au programme. http://goo.gl/W0ZTYO

les imams venus d’Algérie devront décrocher un diplôme uni-versitaire de laïcitéLa France a signé un accord le 8 octobre avec l’Algérie pour rendre obligatoire l’ins-cription des imams algériens détachés arrivant en France à un diplôme universitaire de laïcité, a annoncé lundi le ministre français de l’Inté-rieur, Bernard Cazeneuve, également chargé des cultes. Lisez la suite : www. maglor.fr

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La police de Dubaï arrête quatre MarocainesSi la police de Dubaï a arrêté quatre femmes marocaines, c’est parce qu’elles étaient ivres. En fait, elles n’ont pas été appréhendées pour ivresse à proprement parler, mais pour être apparues ivres-mortes sur une vidéo diffusée sur internet. Les faits remontent à la semaine dernière, dans une station-service. Trois asia-tiques ont filmé des Marocaines ivres-mortes qui étaient incontrôlables. Elles semblent avoir été forcées à descendre d’une voiture, avant de tenter de casser les vitres pour ce qui semble être un différend avec les passagers du véhicule. : http://goo.gl/fjWGys

Arabie Saoudite - Les femmes de chambres marocaines, trop libres, trop exigeantes ! L’Arabie Saoudite souffrant d’une crise de la main d’œuvre sur son marché du travail domes-tique, se tourne vers le Maroc. Mais un problème surgit, les marocaines seraient trop exigeantes. En effet, les femmes de chambres marocaines, recrutées en Arabie Saoudite, exigeraient, à leurs employeurs, trop d’avantages et des conditions de vie et d’hébergement trop couteuses et luxueuses. : http://goo.gl/ZpkTnM

Hamid El Mousti. Il y a 2 ans j’ai promis de donner 10.000 euro á n’importe quel chercheur qui trouvera un vaccin contre l’ignorance et la stupidité des arabo-musulmans. Les arabo-musulmans du Danemark ne s’interessent que de rece-voir des subventions de l’Etat sans bouger le petit doigt. Le gou-vernement actuel de droite, soutenu par l’extreme droite vient de diminuer ces subventions de 50%. Cela touchera durement leurs enfants. D’aprés le bureau des statistiques du Danmark, les dano-marocains sont la lanterne rouge de la societé danoise. Amen

François Hollande, né le 12 août 1954 à Rouen, est un homme d’État français. Depuis le 15 mai 2012, il est le 24e président de la République française.Magistrat à la Cour des comptes, et avocat pendant quelques mois entre 1996 et 1997, il est premier secrétaire du Parti socialiste de 1997 à 2008, pendant la troisième cohabitation puis dans l’oppo-sition. Maire de Tulle de 2001 à 2008, il est député de la première circonscription de la Corrèze de 1988 à 1993 et de nouveau de 1997 à 2012, et préside le conseil général de la Corrèze de 2008 à 2012.Il porte la kippa mais intedit aux jeunes musulmanes de porter le foulard. Deux poids deux mesures.

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Ben Barka: un demi siècle après, le crime est toujours une énigme Icône de la gauche marocaine, Mehdi Ben Barka a été enlevé le 29 octobre 1965 à Paris. Un demi-siècle après, l’affaire n’a toujours pas livré tous ses secrets. Sous le titre «Le crime-énigme…Un demi siècle après l’enlèvement de Mehdi Ben Barka », Al Massae a consacré un dossier à l’affaire de l’icône de la gauche marocaine dans son édition de week-end (24-25 octobre). Alors que l’on commémore le 29 octobre prochain le 50ème anniversaire de la disparition de Ben Barka, l’affaire demeure entourée d’un halo de mystères.Pour le journal, l’affaire n’a pas encore livré tous ses secrets. Pour preuve, en mars dernier, le quotidien israélien Yediot Aharonot a révélé, documents à l’appui, l’implication des services secrets israéliens, le Mossad, dans l’enlè-vement de l’homme politique marocain.

Lire la suite de l’article : http://goo.gl/4CjX63

La compagnie aérienne low cost Ryanair lancera au printemps prochain une nouvelle liaison depuis Bar-celone, vers Marrakech.

Rassemblement de soutien à Saïdou de Z.E.P. et à Saïd Bouamama. Tous devant le TGI de Paris le 21 octobre à 13 h

Selon l’Insee, près de 9% des habitants en France sont des immigrés

les forces armées marocaines veulent fabriquer leurs propres armes

Lire l’article: http://goo.gl/1KBWmv

Au maroc, la parlementaire ne sait ni lire ni ecrire. Lire l’article: http://goo.gl/WjdtiR

La Belgique serait le pays européen qui fournit le plus de recrues à l’Etat islamique par habitant

Prières de rue: Marine Le Pen jugée pour provocation à la haine raciale

Nous ferions mieux de nous inquiéter un peu plus de la faible croyance envers les valeurs clés européennes

et un peu moins de la prétendue force de l’islam radi-cal. — Jonathan Holslag

En Belgique, près de 1.166 000 personnes font du bénévolat

Maroc : Nabila Mounib, l’émissaire rouge de Sa Ma-jesté au chevet des relations avec la Suède

Le prince saoudien Majed bin Abdullah ben Abdu-laziz Al Saud accusé d’avoir obligé 3 femmes à le regarder avoir une relation homosexuelle

Driss El Yazami : « Le Maroc est prêt pour un débat sur l’égalité homme-femme en matière d’héritage »

Bousculade de La Mecque : le bilan dépasse les 2 100 morts

Le déficit de l’Algérie franchit la barre des 10 mil-liards de dollars

Le patron de Twitter offre un tiers de ses actions aux salariés

Passage à l’heure d’hiver dimanche 25 octobre 2015

L’INFO A NE PAS MANQUER

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Dounia News, revue de presse hebdomadaire, 25 octobre 2015, webmaster Sarie Abdeslam, propulsée par Splio