cetimenews 34 sept. 2009

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 CETIME news Responsable de la publication: Mohamed Férid HERELLI  Coordination : S. Ben Fadhel - ont participé à ce numéro : M. Ouazaâ - T. Ben Saâd - B. Zarrouk - W. Ouerghi - M.A. Balti Photographe : E. Trabelsi - Conception et réalisation:  A. Ghariani  LE CETIME - GP7 - Z.I. Ksar Saïd - 2086 La Manouba - Tél .: 71 545 988 - 70 146 000  - Fax : 71 546 637 - 71 546 380 Numéro vert : 80100348 - E-mail : [email protected] - site w eb : www.cetime.ind.tn Edito : Actualités : - Coo p é ratio n Tu niso - Fran çaise « CTI ACTIT » - Coo ration intern ation ale : Tun isie / ONUDI / Ben in -  Visite d u salon intern ational de la soudure à ESSEN -  Formation qualifiante en ultrasons niveau II P . 1 P . 2 P .3 P . 4 P . 5  Veille & Informations : - Le soleil domestiqué - La nouvelle directive machines arrive - Log iciel Gestion Qualité de s procéd és de soud age Donn ée s du Secteur : - Indicateurs d u secteur IM E (8 mo is 2009) - Liste d es ind ices de s prix de ve nte ind ustriels Agenda : - Prog ram me Equ ip’ Auto ( Paris 13- 18 oct. 2009)  Invitation MECAFILTER P. 7 P. 1 0 P. 1 2 P. 1 3 P. 1 4 P. 1 6 P. 1 7 P. 1 8  Les énerg ies renouv elables rev êtent aujourd’hui une importance particulière à l’échelle planétaire au vu des contraintes climatiques qui pèsent lour d su r l’environ- nement et des défis énergétiques qui s’im posent. Ainsi, et dans le cadre du 11ème plan de développe- ment économique et social, la politique nationale dans le domaine de l’énergie a été axée sur deux volets es- sentiels à savoir, la maîtrise de la consommation d’é - nergie et le renforcement de la contribution des éner- gies renouvelables et alternatives à la production totale de l’énergie électrique. En effet, le programme national po ur la maîtrise de l’énergie prévoit po ur la p ér io de 2008 – 2011 l’élév ation du taux des énerg ies renouv e- lables de 1 % à 4 % à horizon 2011. Da ns le souci de porter l’approv isionnem ent en éne r- gie renouvelable à 25 % en 2013, les différents acteurs écono miques publics et priv és sont appelés à dép loy er des efforts considérables et nécessaires à la mise en œuvre efficace des programmes nationaux. De sa part, et étant soucieux d’orienter ses services vers les champs d’activité à hau te v aleur ajoutée pour le sec - teur IME et l’Industrie tunisienne en général, le CETIME a entrepris les démarches nécessaires pour élargir sa gamme de p restations dans le dom aine de l’énergie, par la m ise en place d’un nouv eau laboratoire d’éva- luation de la conformité des produits photovoltaïques. Par ce choix , le CET IME v oud rait soutenir le dév elop- pement de l’électricité solaire en Tunisie qui prend de plus en plus de l’ampleur av ec sa généralisa tio n à tous les secteurs économiques (Industrie, Agriculture, Services). La croissance de ce secteur est appelée à évoluer d’une manière considérable avec l’entrée en vigueur imminente de la réglementation régissant ce domaine. A ce titre, et fort de son ex périence en conseil, assis- tance, contrôle et essai, ainsi que les actions de veille, de diagnostic e t d’assistance e n m atière d’efficacité énergétique, le CETIME devrait, à l’aide de ce nouveau service, répond re au mieux aux besoins év olutifs des différents opérateurs économiques utilisant cette nou- velle source énergétique, en apportant l’assistance requise et les services escomptés, moyennant l’acqui- sition de laboratoires bien éq uipés et la m ise à dis- position d’un personnel technique qualifié pour réali- ser les mesures, tests et essais de performance des équipements photovoltaïques pour déterminer leurs spécifications et leur conformité avec les normes na- tionales et internationales en vigueur ( voir notre dos- sier sur l’énerg ie solaire). EDITO  RIAL L’énergie solaire photovoltaïque : un secteur p romett eur pour l’industrie tunisienne SOMMAIRE  

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EDITO RIALL’énergie solaire photovoltaïque : un secteur prometteur pour l’industrie tunisienneLes énergies renouvelables revêtent aujourd’hui une importance particulière à l’échelle planétaire au vu des contraintes climatiques qui pèsent lourd sur l’environnement et des défis énergétiques qui s’imposent. Ainsi, et dans le cadre du 11ème plan de développement économique et social, la politique nationale dans le domaine de l’énergie a été axée sur deux volets essentiels à savoir, la maîtrise de

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CETIME news Responsabl e de l a publ i cat i on: Mohamed Fr i d HERELLICoordination : S. Ben Fadhel - ont particip ce numro : M. Ouaza - T. Ben Sad- B. Zarrouk - W. Ouerghi - M.A. BaltiPhotographe : E. Trabelsi - Conception et ralisation: A. GharianiLE CETIME - GP7 - Z.I. Ksar Sad - 2086 La Manouba - Tl.: 71 545 988 - 70 146 000 - Fax : 71 546 637 - 71 546 380Numro vert : 80100348 - E-mail : [email protected] -site web : www.cetime.ind.tnEdi t o :Act ual it s:-Cooprat ion Tuniso- Franaise CTI ACTIT -Coopr at i on i nt er nat i onal e: Tuni si e /ONUDI /Beni n-Vi si t e du sal on i nt er nat i onalde l a soudure ESSEN-Format ion quali fiant e en ult rasons niveau IIP. 1P. 2P.3P. 4P. 5Veille & Inf ormat ions :- Le sol eildomest i qu-La nouvelle di rect ive machines arri ve- Logiciel Gest ion Qualit des procds de soudageDonnes du Sect eur :-Indicat eurs du sect eur IME(8 mois 2009)- Li st e des i ndi ces des pr i x de vent e i ndust ri el sAgenda:-Programme EquipAut o ( Paris 13- 18 oct . 2009) Invit at ion MECAFILTERP. 7P. 10P. 12P. 13P. 14P. 16P. 17P. 18 Les nergies renouvelables revtent aujourd hui uneimportance particulire l chelle plantaire au vu descont raint esclimat iquesquipsentlourdsurl environ-nement et des dfis nergtiques quis imposent.Ainsi,etdanslecadredu11meplandedveloppe-mentconomique etsocial,la polit ique nat ionale dansledomainedel nergieataxesurdeuxvoletses-sent ielssavoir,lamatrisedelaconsommat iond -nergieetlerenforcementdelacontributiondesner-gies renouvelables etalt ernat ives la product ion t ot alede l nergie lectrique. En effet, le programme nationalpourlamat risedel nergieprvoitpourlapriode2008 2011 l lvat ion du t aux des nergies renouve-lables de 1 % 4 % horizon 2011.Danslesoucideport erl approvisionnementenner-gie renouvelable 25 % en 2013, les diffrents act eursconomiques publics etprivs sontappels dployerdeseffortsconsidrablesetncessaireslamiseenuvre efficace des programmes nat ionaux. De sa part,ett antsoucieuxd orientersesservicesversleschampsd act ivit haut evaleurajoutepourlesec-teur IME et l Industrie tunisienne en gnral, le CETIMEa entrepris les dmarches ncessaires pour largir sagammede prestationsdansledomainedel nergie,parlamiseenplacedunnouveaulaboratoired va-luat ion de la conformit des produit s phot ovolt aques.Parce choix,le CETIME voudraitsout enirle dvelop-pementde l lect ricit solaire en Tunisie quiprend deplusenplusdel ampleuravecsagnralisat iont ousles sect eursconomiques(Indust rie,Agricult ure,Services).Lacroissancedecesecteurestappelevoluerd unemanireconsidrableavecl entreenvigueurimminent edelarglement at ionrgissant cedomaine.A ce titre, et fort de son exprience en conseil,assis-tance, contrle et essai, ainsi que les actions de veille,dediagnosticetd assistanceenmatired efficacitnergtique, le CETIME devrait, l aide de ce nouveauservice, rpondre au mieux aux besoins volut ifs desdiffrent s oprat eurs conomiques ut ilisantcet t e nou-vellesourcenergtique,enapportantl assistancerequise et les services escompts, moyennant l acqui-sit ion de laboratoires bien quips etla mise dis-positiond unpersonnelt echniquequalifipourrali-serlesmesures,testsetessaisdeperformancedesquipementsphotovoltaquespourdterminerleursspcificationsetleurconformitaveclesnormesna-t ionales et int ernat ionales en vigueur( voirnotre dos-sier sur l nergie solaire).E D I T O R I ALLnergi e sol ai re phot ovol t aque :un sect eurpromett eurpour l i ndust ri e t uni si enneS OM M A I R Ehttp://w w w .th nktun s a.tn/P a g e 2CETIME NEWS N 34 ACTUALITESLaccordcadresignen j anvier2007 parlaDirect ion GnraledesSt rat giesI ndust riellesrelevant duMinist re de lI ndust rie,de lEnergie et des PMEet le rseaudes Cent res TechniquesI ndust riels Franais ( CTI )a permis dlaborerun programme de cooprat ion visantlappui lamise en rseau des cent res t echniques sect oriels t unisiens.Cet t e act iona t concrt ise parlacrat ion de lassociat i on des cent rest echniquesindust rielst unisiens ( ACTI T) .Ceprogrammeviseaussilapromot ion desact ionst ransversalesdappui,dassist anceet depar t enar iatent r e le CTIetlACTI T, lies la R&D, linnovat ion, la veille, la nor malisat ion,et c.Cest ainsi quuneact ion dappui relat iveau volet R&Dat organiseles22-23et 24sept embre2009 auprofit du CETI ME etdu CNCC ( Cent re Nat ional du Cuiretde la Chaussure) .El le at consacre lt ude des inst rument s de financement de la R&D, lchange dexprience enmat ire de mont age de dossiers et llaborat iondune fiche act ion t ransversale relat ive audve-loppementdune mt hode globale de compt abilisat ion des gaz effetde serre.Cet t e act ion, fort e composant e environnement ale et rglement aire,const it ue une cont ribut ion leffortnat ional de rduct iondes missions de gaz effet de serre.Elle concerne,out re lescent res t echniques sect oriels, lANME,lANPE etdaut res st ruct ures simil aires.Coopr at i on Tuni so- Fr anai seCTI ACTI T Con t act:M. N. Mak hl ouf post e 14 50P a g e 3CETIME NEWS N 34 ACTUALITESDans lecadre de lacooprat i onavec l ONUDI ,le CETI ME a reu une dl gat i on Bni noi se venue enTunisiepourprendreconnaissancedelexpriencet unisiennedanslamiseniveaudusect eurindust riel.Cet t e dlgat ion estcompose de M. Mat hi eu Kpohi houn ( expertindust riel)et M. Jacques Houenassou( expert financier) .. . , reprsent ant l eBur eaudeRest r uct ur at i onet deMi seNi v eau- Rpubl i que du Bni n -Mi ni st r e de l I ndust r i e.Ladlgat i onaeudesent ret iensavec M.MohamedFr i dHer el l i , DGduCETI ME,quileuraprsent les act ivit s du Cent re etsa cont ribut ion dans l a ralisat ion du programme nat i onal de mise niveau,depuis son lancementen 1996 cej our.Les membres de la dlgat ion ontpar la suit evisit les ples de compt ences mcaniques,lect ri queset lect roni ques ainsi que le Cent re de Document at ion etde VeilleTechnologique. A la fin de cet t e visit e la dlgat ion bninoise sestint resse auxact ions de conseil et dassist ancet echniquequelesCent r est echniquesI ndust rielsTunisienspour raient mener aupr of it duproj etBninoisde mise niveau.Coopr at i on i nt er nat i onal e :Tuni si e/ONUDI/Beni nCont act:M. M. Ouaza post e 1528Vi si t e du pl e de compt en cesen soudagePhot o de gr oupe en souv eni rdel eu rvi si t e au CETI MEP a g e 4CETIME NEWS N 34 ACTUALITESDanslecadredurenforcement desliensdecooprat ionent releCETI MEet lI nst it ut deSoudureAllemand( GSI / SLV) et loccasiondelexposit ionint ernat ionalet enueESSEN- Allemagnesurlesoudageett echniquesconnexesdu14au19sept embre2009,desreprsent ant sdu CETI ME onteffect u une visit e ceSalonpoursenqurirdesderniresnouveaut sdansledomainedusoudage, not amment lesnouveauxquipementsddislaformat ionvirt uelle en soudage.Cet t e exposit ion int ernat ionaleset ientt ous les 4 ans ESSEN prs deDusseldorf ( Allemagne). Elle ar assembl prs de 1050 exposantssur une surface rpart ie en 12 halls.Unelist e dt aille des principauxfournisseurs mondiaux,sous forme deficheE Ent reprise ,estdisponible auCETI ME .A t ravers cet t e part icipat ion,lesexpert s du CETI ME ontprisconnaissance des lment s suivant s : les compt it ions ent re 8 diffrent ssimulat eurs de soudagevenantde 6pays, les nouveaux mcanismes dedveloppemntdes format ion dist ance, les services deconsult ing ensoudage etcont rle, les programmes de cert ificat ion desent reprises etdu personnel t elle quela normeI SO 3834 relat ive auxEnmargedecet t evisit e, desrencont resont t organisesaveclesreprsent ant sdelI nst it utde Soudure Allemand( GSI SLV) ,delI nst itut deSoudureI talien( I I S) et avecdesreprsent ant sdes fabriquant s desimulat eurs desoudage.Lebut decesrencont rest antprincipalement lorganisat ion, enTunisie, desessionsdeformat ionpilot esayant pourobj ect iflobt ent iondudiplme SoudeurI nt ernat ional ( I W) I nt ernat ionalWelder .I lest signalerquloccasiondeceSalon, lesreprsent ant sduCETI MEont pudcouvrirlesplateformessimulat eursdeformat ionvirt uelledest insauxformat ionsqualifiant esdessoudeurset effect uer quelquesessais,cequileurapermisdeconst it ut eruneideglobalesursur lesderniresavancest echnologiques dans le domaine.ent reprises oprantdans ledomainedu soudage, les nouvelles t echniques desoudage,decoupage etdecont rle non dest ruct if, la prot ect ion des surfaces etlest echniques y affrent es, . .. .Les r epr sen t an t s duCETI MEencou r s d essaid u nsi mu l at eu rSALONI NTERNATI ONAL DE LASOUDUREET DES TECHNI QUES CONNEXESESSEN -ALLEMAGNECon t act:M. K. Bou azi z post e 1476Vue Gnr al e surl es st andsDmon st ar t i on de r obotde soudagepar poi nt s - St and de GEMP a g e 5CETIME NEWS N 34 ACTUALITESF O R M A T I O N Q U A L I F I A N T E E N U L T R A S O N S N I V E A U I IDans le cadre de son programme de formation pour lanne 2009, le CETIME organise, encollaborationavecleCentreTechniquedesIndustriesMcaniquesfranais CETIM etavec lappui du Ministre franais de lImmigration, de lIntgration, de lIdentit Nationale etduDveloppementSolidaire,unsminairedeformationsurlethme Formationqualifiante en Ultrasons niveau II et ce,du 19 au23 octobre et du02 au 06 Novembre2009 au CETIME.Cesminaireintresselesingnieurs,cadrestechniquesettechniciensayantsuiviunstage de formation en Ultrasons niveau 1 et acquis une bonne exprience dans la mthodede contrle non destructif par ultrasons.A lissue de cette formation, les participants seront aptes pour: raliser le contrle par ultrasons des pices mcaniques, interprter les rsultats du contrle par ultrasons selon les normes en vigueur, rdiger des instructions de contrle par ultrasons pour les agents de niveau 1, se prsenter lexamen de certification COTEND niveau 2.IlestnoterquecetteformationqualifianteenUltrasonsNiveauIIseraanimeconjointement par les experts des deux Centres (CETIME /CETIM) dans le domaine du CND.Con t act:M. W. Ouer ghi post e 1493P a g e 6CETIME NEWS N 34 ACTUALITESGui dede l achet eurTuni si enVous t es f abri cant , oprantdans l e sect eur El ect ri que, El ect roni que ou de l El ect romnager, Voust esprest at ai redeServi cesdansl esect eurEl ect r i que,El ect roni queoudel El ect romnager(Bureaud Et ude,Ingni eur Consei l , Mai nt enanci er, Inst al l at eur,)Ce c i v o u s c o n c e r n e c e r t a i n e m e n t .Afindefacilit erlaccessibilit devosproduit set vosser vicesliscesindust r iesauxacqureursnat ionauxet internat ionaux, not amment lesachet eursdesgrandsproj ets, leCent ret echniquedesindust r iesmcaniques etlect riques (CETI ME) laboreact uellement ungui dedel achet eur t uni si en.Ceguideestconupourlecompt edelaFdrat ionnat ionale de llect ricit etde llect ronique ( FEDELEC) .Ainsi, nousvousinvit ons part icipercet t einit iat ive,etvousinscrire grat uit ementdansce guide enserfrant lun desdeux sit es suivant s:www.cet ime. ind. t n Act ualit s Guidedelachet eurt unisienwww. fedelec- uaf. comAct ualit s Guidedelachet eur t unisienLinscript ionest simple,ilsuffit det lchargerlaficheent reprise, r emplir lesdonnesdevot reent reprise, lalist edevosproduit s/ servicesenserfrant lalist efigurant danslessit eset t ransmet t rela f i cheent r epr i se auCETI ME,par Fax aunumro:71546637 oupar Emai l ladresse :el ect r i que@cet i me. com. t n.Pour plus de renseignementcont act erLe CETI ME,Tel . :71 545 988,M. Mar ouane SBAI-post e 1492ouMme Ami na GHARI ANI - post e 1532P a g e 7CETIME NEWS N 34 VEILLE & INFORMATIONSLeSoleilconst it ueunenormesourcednergiedanslaquellenousbaignonsenpermanence. Lhommeacompr isdepuislongt empslint rtpourluidexploit erunet ellesourcedelumireet dechaleur.Tout efois,ilat confront j usquauj ourdhuiauxdifficult sdercuprer cet tenergie,dela t ransport er,dela st ockeroudelat ransformerenlect ricit : lexploi-t at iondecet tesourcenergt iqueestrcenteet sedveloppemaisrest eencoret rscot euse. Lnergiesolairefait part iedes ner gi esr enouvel a-bl es( Lesnergiessolaire, olienne eth y d r au l i q u e, l ab i omasse, l agot hermie. ) .Act uellement ,ilexist edeuxvoiesdut ilisat iondelnergiesolairequit ransforment direct ementle rayonnementenchaleur ou en lec-t r i ci t , r espect i vement l esol ai r et hermique et le solaire phot ovolt aque.LeCEAsest part iculirement impliqulorsdupremierchocpt rolier,audbutdesannes70,danslesappli-cat ions t hermiques.I la mis en uvredanslePacifique,ds1978,lespremiresmaisons, hpit auxet ht elssolairesaumonde. Depuislesannes1980,ilcont inuesesact ivit sdansledomaine t hermique pourles bt imentset aorient sesrecherchesverslnergiesolairephot ovolt aquedont ilestdevenu un act eur maj eur.Lnergiet hermiqueduSoleilpermet aussideproduiredellect ricit parvoie t hermodyna-mique. Celancessit edest em-pr at ur esi mpor t ant es( delordrede1000C) quelonat t eint enconcent rant lalumiresolaireavecdesmiroirs.Eneffet , quinapasfait lessai, unj our, debrlerunmorceaudepapieravec unmiroirexpos ausoleil ?Ce principe, connu depuislAnt iquit ,est ut ilisplusgr andechel l e. I l ex i st eauj ourdhuidescent ralest her-modynamiquesdanslesquellesdescent ai nesdemi r oi r s( hl i ost at s) ser vent f ai reconvergerlerayonnement solai-resur unechaudireplaceenhaut dunet our. Danscet t echaudire,desliquidescalopor-t eursvont emmagasinerlachaleur( ilspeuvent at t eindreplusieurscent ainesdedegrs) ,lat ransport erversunrservoirdeauet changerleurchaleuravecleau.Ainsichauffe,celle-ciset ransformeenvapeur, en-t ranantune t urbine pour produi-redellect ricit commedansles cent rales t hermiques conven-t ionnelles.Lapuissancedecet ypedinst allat ionest delor dredequelquesmgawat t s; pourcompar ai son, unecent r al enuclairefournit unepuissancede1000mgawat t slect riques.Unprot ot ypedecent ralet ourat const ruitenFrancesurlesit edeTargasonne, danslesPy-rnes,audbutdes annes 80etfutexploit de 1983 1986.L' NERGI E SOLAI RETHERMI QUELner giesolair et her miqueestut i l i sepr i nci pal ement pour l echauffagedeleauoudeslocaux. Onut ilisepourceladescapt eur st her mi-ques. I lenexist ediffr ent essort es,maisleprincipeestt ouj ourslem-me:lecapt eurt hermiqueabsorbeles phot ons solaires et les t ransformeenchaleur.Lemat riauquileconst i t uedoi t t r ef or t ementabsorbant , t elloxydedechrome.Cet t echaleurestensuit et ransmiseun liquideou un gaz qui la t ransport e( et quelonappellepour cela caloport eur ) versunrservoirdest ockagednergie.4m2decapt eurst hermiquespermet tent derpondreauxbesoinseneauchaudedunefamilledequat repersonnes et10 m2assurent lechauffagedunemaisonde100m2sousnoslat it udes. Cet ypedet echniqueest, par exemple,ut ilispourles plancherssolairesdir ect s . Danscecas, lecaloport eurest dir ect ement envoydansleplancherdesbt iment s une t emp-rat urede25Cenviron, const it uantunchauf f ageconf or t abl edeshabitat ions.Pann eau xsol ai r es en si l i ci umpol y cr i st al l i n au cent r e d t udes d eCadar ach e.Un e cent r al e sol ai r een Cal i f or ni e pourl u t i l i sat i on t her mo dy nami que dur ay onn ementsol ai r e.P a g e 8CETIME NEWS N 34 VEILLE & INFORMATIONSDescent ralesavecdescollect eurscylindro- paraboliquesexist ent l-chelleindust rielle; danscecas,lerayonnement solaireest concent rsurunaxeolecaloport eurestchauffplusieurscent ainesdede-grs. Cet t et echnologieest ut ilisedanslaplusgrandecent ralet hermi-que solaire aumonde,sit ue enCalifornie, dont lapuissancelect riqueat t eint150 mgawat t s.L' NERGI E SOLAI REPHOTOVOLTA QUELint rtde cet te t echnique estdeconvert ir lnergie du Soleil direct e-menten lect ricit .Cet te conversion,appele effetphot ovolt aquea t dcouvert eds1839par EdmondBecquer el( 1820- 1891)Pre dHenriBecquerel qui obt intle pr ix Nobel dephysique en 1903,conj oint ementavecPierre etMarie Curie,pour la dcou-ver t e de la radioact ivit naturelle. ) ,mais cenestquen 1954 quapparutlapremire cellule phot ovolt aque,ouphot opile, hautrendement ( 6 %;les r endement s act uels sontde lordrede15 %) .Les cellules phot ovolt aques sontfa-briques part ir de mat riaux semi-conduct eurs,comme le silicium,pro-duit s part ir dune mat ire premirede t rs grande puret :la qualit lect roniqueestde 10 milliardimesde t aux dimpuret s !Act uellement ,etpour longt empsencore,un t iers de la populat ionmondiale na pasaccs llect ricit ,or le Soleil estpart out .Cestpourquoicet t e t echnique pourraitconst it uerune solut ion pour des applicat ions peuconsommat rices dnergie :parexemple,dans les rgions rurales,pour lclairage, pour aliment er lespompes eau,les r frigrat eurs,lest lviseurs,et c.AuCEA,des modules produisantlafoisdellect ricit et delacha-leurpourchaufferlesmaisonssonten cours de dveloppement .Enrsum, leSoleilconst it ueunesour ced ner gi epr opr eet( presque! ) inpuisable, doncpro-mi seunbel aveni r mai sencore t rs cot euse.Sansdout earriverons- nousma-t riser cet tenergieavant quelasourceneset arisse, dansenviron5 milliards dannesEneffet ,lemomentviendrao,court dhydrogne, leSoleilbrleradelhliumpour let ransformer encarbone. Maisleprocessusnirapasplusloin:lat emprat urenepermet t rapasdepoursuivrecet t ealchimiest ellairej usqularduc-t ion du curen fer. Alors,lagravi-t le comprimeraj usquce quil aitlat ailledelaTerreet leSoleilde-viendraunenaineblanche,t oiledefaibleluminosit ,pourdispara-t redunemort douce,cont raire-mentauxt oilesmassivesquiex-plosenten supernovae.On dist ingue deux marchsnaissant s,mais en croissance t rsrapide :lesapplicat ions aut onomes,o lnergie estproduit e,st ocke etut ilise en un lieu unique,etlapplicat ion connect e au rseau,appele souvent toi t photovoltaque.Lapremire applicat ion, la plusrpandue,estapparue dans ledomaine spat ial pour lessat ellit espuisles t lcommunicat ions,lebalisagemarit ime etarien, lesbornes darrtdurgence, lclairagedomest ique, laudiovisuel etlepompagede leau.MaiscommeleSoleil nestpas prsent24 heuressur 24, cet t e applicat ion ncessit elut ilisat ion debat t eries qui assur entle st ockage de lnergie en vue duneconsommat ion hors priodedensoleillement .Au CEA, desrecherchessontmenesen part iculier sur lesbat t eries auplomb,drives des accumulat eursdaut omobiles.Les t ravaux port entnot ammentsur la dure de vie desbat t eries,pourlinst antlargementinfrieure celle des cellules phot o-volt aques ( respect ivementdelor drede dix ett rente ans) .La seconde applicat ion,avecconnexion au rseau,consist e const ruire,avec des modules phot o-volt aques, des t oit s etfaades debt iment s etmaisons produisantdellect ricit qui sera soitconsommesur place soitinj ect e danslerseau.Dans ce f our ,l es pl aques de si l i ci umsontdopes un e t emp r at ur e comp r i -se ent r e 700et90 0 C pourcr erl esj on ct i ons quiconst i t uentl ecurde l acel l ul e phot ov ol t aqueUnexempl ed appl i cat i onaut onome :l es t l commun i cat i onsCEA da la recherche lindustrie -N 13,juin 2009Il VEILLE& INFORMATIONSCETIME NEWS N 34 La cellule photovoltaque contient des charges lectriques du fait du dopage : ngatives dans le type n(excs d'lectrons), positives dans le type p (dfaut d'lectrons). Ces charges crent un champ lectrique au niveau de la jonction. Les photons de la lumire solaire arrachent des lectrons aux atomes de silicium et crent des charges positives et ngatives. og0QVPO^71 as Les charges sont mises en mouvement par le champ lectrique cr par la jonction, ce qui produit un courant lectrique. 4 **0 c-o ;; 1 COMMENT HA MARCHE? Cnetechnique tireprofit des propritsoptolectroniquesdes semi-conducteursquipermettent, sous certainesconditions, de convertirl'nergielumineuseen nergielectrique.La technologie la plusdveloppeutiliselesilicium commematriaude base. Unecellulephotovoltaquepeut tre, parexemple, constituede deux couchesde siliciumdont on aura modifilespropritsde transport lectriquepar dopage. L'ajoutd'atomesdebore favorisera laconductionparcharges positives. Le siliciumserade type p. Le dopagedu siliciumpar des atomesdephosphoreamliorera la conductionparcharges ngatives. Le siliciumseraalorsde typen. La miseencontactd'unsilicium dopp et d'unsiliciumde typen se traduitparlacrationd'une jonction, ditep-n.Lorsqu'onexposelacellule un clairementsolaire,des lectronsetdes troussontgnrs auniveaudela jonctionp-n,qui peuttreconsidrecommela zone activedelacellule.Ces lectrons etces trous sedplacentensuite, respectivement traversles zones n etp,pouratteindreles lectrodes. Cettesuccessiondeprocessus, appeleeffetphotovoltaque, conduitainsi la production d'uncourantpouvantalimenter un appareillectrique. CEAda la recherche lindustrie -N 13, Juin 2009 Page9 Il VEILLE&INFORMATIONSCETIMENEWS N 34 Solutions RGLEMENTATI ON La nouvelle directive machines arrive Tous les constructeurs de machines et fabricants de composants devront tre prts le 29 dcembre prochain. La nouvelle directive scurit machines entrera alors en vigueur. Pas de gros changements techniques au programme mais plutt de petits ajustements et des volutions dans les procdures d'valuation des risques. Cela ne se fera pas en un jour, les industriels prparent donc activementla transition. HL'essentiel "^katebutoir:le29dcembre prochain. A minuit, la directive v'meuropenne98/37/CEqui mMm^^rrgissait la miseenuvre de la scurit des machines deviendra obsolte et sera remplace par unenouvelle mouture : la 2006/42/CE.Pas de panique,selon les spcialistes, il ne s'agit pas d'une rvolution. Quelques diffrences essentielles sont cependant noter et devront tre prises en compte, aupremierchef,par lesconstructeursde machines. Mais aussi, par les fournisseurs de composants,derelais etd'automatesde scurit. La premire raction es industriels est lapeur:combiena va coter ? Comment grer les nouvellesexigences, les nouvelles procdures ? C'est comprhensible: l'arrive dela premiredirective taitunbouleversement fondamental,analyse Jean-Pierre Buchweiller, ingnieuraudpartementingnieriedes quipements de travail del'INRS.Maisici,les Le 29 dcembre2009, tous les industrielsconcerns devronttre aupoint. La directive 98/37/CE sera remplaceparune nouvellemouturenomme 2006/42/CE. Elle concerne les construc-teurs de machinesmais aussi les fabricants decomposants et toutproduit vou s'intgrer dans unemachine. Il s'agit d'une adaptation lgre qui engendrepeu de modificationstechniques. Le plus gros travail est d'ordre documentaire, avec l'application denouveaux procds d'valuation des risques. changements sont lgers, les rgles sont juste un peu plus prcises. Un rafrachissement,une volution, un"lifting"...Les spcialistes de la normalisations'accordentetsemontrent rassurants.La 2006/42/CEimposepeu d'ajustementstechniques. Le gros du travail concerne plutt la documentation qui devra intgreruneanalysedes risquesdtaille, suivantunemthodologieimpose.Car simultanmentl'arrivedelanouvelle directive, la normeEN 954-1,la bible des constructeurs de scurit machines, laisse la place.Les industrielsdevrontdornavant utiliser l'une des normes de remplacement l'EN ISO13849-1 oul'EN CEI62061 (applicablesdsnovembre 2009).Cesnormes prvoient des exigences pour la conception et l'intgration des parties lies la scurit des systmes de commande, y compris les logiciels.Lascuritd'unsystmeyest classe en cinq niveaux de performances (PL pourPerformanceLevel), de PLa(le plus bas) PLe(le plus lev). Ils sont valus en prenanten compte des facteursplus prcis quedans la prcdentemouture,comme notammentletempsmoyenavantune dfaillance dangereuse, le taux de couverture dediagnostic,lecomportementdansdes conditions de dfaut ou les conditions environnementales. A partirdecesdiffrents critres, l'ide est d'obtenirla dure de vie avantla panne. Parexemple, le niveaude performancePLesignifiequ'ilyaune chance sur cent rnillions qu'il y ait un dfaut en une heure : soit un risque de panne tous les 115 7,41ans ! Cette nouvelle norme est issue de cellesutilisesdansle process. Elleest plus complte et donc plus contraignante. L'EN 954-1 concernait purement la scurit es machines mais pas la fiabilites lments du systme. Onpeut avoir un systme de scurit trs performant. Reste savoir quels sont les risques qu'il tombe en panne. L'EN ISO13849-1inclut une partie de fiabilit du systme de scurit , prcise Marc Potelon, chefdeproduitsinterfacechezPhoenix Contact. On va plus s'intresser aux procdures de Les fabricants de composants de scurit proposent aux industriels, et enparticulier aux constructeurs de machines, des prestations de service en conseil, ingnierie et desformations dans le domaine de la scurit machines. Pilz notammentproposait ds 2008 des sminaires sur la nouvelle directive. Page10 Il Il VEILLE&INFORMATIONSCETIME NEWS N34 La premire tape est l'valuation des risques. Puis viennent l'installation des dispositifs de scurit, comme un arrt d'urgence et enfin, le calcul du taux de dfaillance de ces quipements. scurit pour fabriquerun produit,ajoute Jean-Pierre Buchweiller(INRS). C'est tout de mme unervolutionculturelle ! Carlasimple approche dterministe, qui passait par applicationd'ungraphepourl'estimationdes risques et la dtermination d'une catgorie, est rvolue. Elle laisse place uneapproche probabilistequitientcomptede lafiabilit descomposants,delaqualitdes essais... bref,leshabitudessontbouscules.Les quipestechniquesdevrontl'vidence bnficierdeformationsappropries,et surtouttrefamiliarisesavec unmodede rflexionqui ne leur est pas toujoursfamilier. les notions abordes, notammentlestudes statistiques, ne sont pas compltement acquises , pointeainsi Pascal Persigny, ingnieurchez Apave. Chaquerisquedoitdsormaistre associ une valuation : frquenced'accs aupointdangereux,probabilitd'occurrence, svrit du dommage alors qu'auparavant, un simple relev des risquessuffisait. Cette volution est due l'usage gnralis de composants lectroniques pour viter les pertes de scurit. Par consquent, il est normal que l'on s'inquite de leur dure de vie sans dfaillance ou de la probabilit qu'un dfaut survienne, remarque Olivier Arbogast,responsabledudpartement conseilchezPilz. Dansl'anciennenorme, on pouvait sous-estimerun risque, les calculs tant diffrents, il n'est pas impossible que lesfabricants soient obligs d'installer plus de scurit. Des risquessous-estims Lesconstructeursdemachinesdoivent s'attendre ce que les acheteurs de machines et les autoritsstatutaires cherchentdavantage examinerles procduressuivies, les prtentionsetlesrsultatsobtenus.Ils devront veiller ce que le processus itratif dfinisoiteffectudemanireefficaceet dmontrerlesrsultatsintgrsdansla conceptiondes machines. En pratique, cela revient appliquer des formulesstatistiques complexes, collecter des informations pour chaquemachineet chaquecomposantqui prsententdesrisquesetlesajouterau dossier technique et la notice d'utilisation. Lesclients disentque a faitplus depaperasse. Maisaujourd'hui,onexpliquece que Ton doit vrifier, plaide Didier Novat, responsable produits quipementsde scurit chez Sick.Ce qui devrait avoir tendance d faciliterle travaildes constructeurs de machines. Pourtant,duct desfabricants,lesavantagesnesontpas encore vidents et c'est plutt les contraintes qui sont releves. Le calcul du taux de dfaillance n'existait pas auparavant. Calculer tout ce qui s'y raccroche n'est pas forcment trs clair, tmoigne MagaliGallier,responsableproduits "# Dossiersuivreauprochainnumro MESURES817-SEPTEMBRE2009-www. mesures. com Page11 P a g e 1 2CETIME NEWS N 34 VEILLE & INFORMATIONS1 -I nt r oduct i onSou dage 20 04Ver si on2. 0 estle nom donn un logiciel inf ormat ique de gest ion de la qualit du soudage dvelopp sousenvironnement Wi n dow sXPet l eSGBDRVi su al Fox Pr o6.0 . Sonrlepr emierest decr er, st ocker ,i mprimer etgr ert ou-t es les inf ormat ions enrappor tavec la document at ionof f iciel dusoudagequecesoit auniveau des qualif icat ions demodesoprat oiresdesoudage( QMOS) , desqualif icat ionsdupersonnel( QSO) desoudageoudescahierset fichesdesoudage( DMOS) . I ls' adresseprincipalement auxspciali st es, t echni ciens soudeur set ingnieurssoudeursquiont lachargedegrerunser vicequalit dusoudageet derdigerdesDMOS.C' est principalementun out il degest ion dusavoirf air e d' une ent r epr iseau niveaudes qualif icat ions des pr ocds def abrica-t ion, desmodesoprat oiresdesoudageet de sonpersonnelsoudeur.I lpermet aussi auxor ganismesof f iciels decert if icat ionderdigerles DMOSP,les cert if icat sdequalif icat ions desoudeur s et lesprocsverbauxdeQMOS.Celogicielest ut ilet out ut ili sat eurspciali st equigre pl u s de 10 0QMOS et pl u s d e100 cer t i f i cat s desou deu r s .Celogiciel est part iculir ementadapt laralisat iondes cahier s desoudageetdesf iches de pr ocduredesoudage.2 -Le modu l e de gest i on des modes opr at oi r es de soudageLelogiciel Sou dage2 00 4Ver si on2. 0gr e plusieur scodes, normes ou r gles dequalif icat iondemodeopr at oiredesouda-ge:I lest principalementddi l a n or mal i sat i on f r an ai se eteu r open n edusou dage. NFEN288- 3et NFENI SO15614- 1 NFEN288- 4et NFENI SO15614- 2 ASME I X Rf rent iel COGEMA Rf rent iel DCNRCCMS3000I lest possibledecr er denouvellenor medans lelogiciel ou demodif ier les paramt res d' unenor meexist ant e.Lelogiciel Sou dage2 00 4Ver si on2. 0: Disposed' out ilssophi st iquspourcreraut omat iquement unenregist rement dequalif icat iondemodeoprat oiredesou-dagepart ir de donnes pr - r emplies. Cet t ef onct ion minimiseconsidrablementla saisiedes donnes son st ri ct mini-mum. Vous assist een pr cisantl' import ance dechaquechampparl' af f ichagedecouleur d' arr ireplandans les zones dechampdesaisie.Les champs saisirsontenf ondj aune. Vous assist epar l' af f ichaged' cr ancont ext uel adapt chaquepoint impor t antdevot r e saisiedes paramt res . Gr eunemasseimport ant ed' inf or mat ions commeparexemplela dsignat iond' environ 1500 dsi gn at i on s demt au xd' appo r t : lamarquecommerciale,la dsignat ionnormalise, lenumr o dugroupepour vous simplif ierlet r availdesai-sie.Leclassementdes list es est modif iablevot reconvenance. Vous n' avez plus qu' slect ionnerla mar quecommer ci a-le et lenom duproduitdesoudage. Greladsignat iond' environ 150 gaz depr o t ect i on desou dage: lamarque,la dsignat ioncommerciale, let ypedemlangepourvous simplif ierlet r avail desaisie.Leclassementdeslist es est modif iable vot r econvenance. Vous n' avezplusqu' slect ionnerladsignat ioncommer cialedugaz. Gr e les cr oquis desoudage( pr par at ion et disposit iondes passes) dechaqueenregist rementdemodeoprat oir e desoudage.Chaquecr oquis desoudage( auf or matBMP, GI FouJPEG)est modif iabledir ect ementl' cr anparappel aut o-mat iquedulogicieldedessinnat if( f onct ionOLE) . Disposed' unebibliot hqued' environ 50 cr oqu i sde sou dage st an dar dsavec schmadeprparat ionetdisposit i on despasses desoudage( surt les, t ubes, piquages) etd' un out ildeslect ion pour simplif ierlet r availderappor t age. Disposedef onct ions int gres puissant es per met t antparexemplelecalcul aut omat iquedel' nergiedesoudage, du r ap-port cyclique, delaf rquenceou de la duredepulsat ionpourlecour antpuls. Unmodeoprat oir edesoudagepeutcont eniraumaximum10sriesdepasses. Disposed' out ils sophist iqus der echerchepour ret rouver unenregist rement selonplusieur s cr it r es ( ent repr ise, nor me,gr oupedemat riau,t yped' assemblage, procddesoudage) par ar bor escence. Disposed' out ils puissant s decalcul devolumeet depoids demt aldpospour dif f rent s t ypes deconf igur at ion. Disposed' out ils gr aphiques decalcul desquivalent s Chr omeet quivalent Nickelselonles diagrammes deSchaef f ler,Delongou Espy. Disposed' out ilsd' impressionpourcrerdesf ichier sd' t at spersonnalissd' impressionoumodif ierdest at sd' impressi onexist ant slivrsaveclelogiciel. Disposedeplus de150f ichiers d' t at s d' impressionsophi st iqus pour imprimerdes DMOS, des list es dequalif icat ions demodesoprat oiresdesoudageselonplusieur scrit res( ent r eprise, norme, procd, groupedemat riau) .Un logicielde Gestion de la qualit des procds de soudageDossi er su i vr eaun u mr o p r ochai nCon t act:M. K. Bou azi z post e 1476P a g e 1 3CETIME NEWS N 34Les indicateurs du secteur IMEpour les 8 premiers mois 2009DONNEES DU SECTEURExportations du secteur IME(Comparaison des 8 premiers mois (de 2005 2009) Durant leshuit premiersmoisdelanne 2009, l esect eur desI ME aenregist runebaisseauniveaudes ex por t at i ons par rapportaux huitpremiers mois delanne 2008. Selonlesderniresdonnessect orielles,cet tebaisseestdelordrede 459.2 mi l l i onsde di nar s quivalent 21.43% ( 12794. 1 MD cont re 16283.7 MD).Cet t e baisse englobe t ous les sect eurs sans except ion.Malgrcet tebaisse, l esex por t at i onsdusect eur I MEvoluent unryt hmecroissant depuislemoisdef vr i er2009.Sour ce:I NSSour ce:I NSLe sect eurI ME aaussi enregist r,durantla mme priode, une bai sseau ni veau des i mpor t at i ons,value 632.1 mi l l i ons de di nar s ( 7308.9 MD cont r e 7941 MD) .010002000300040005000en MDExportations en million de dinarsExportations en million dedinars1962,1 2403,4 3337,4 4191,1 3731,98 premiersmois 20058 premiersmois 20068 premiersmois 20078 premiersmois 20088 premiersmois 2009010002000300040005000600070008000en MDImportations en million de dinarsImportations en million dedinars4393,4 5204,9 6833,3 7941 7308,98 premiersmois 20058 premiersmois 20068 premiersmois 20078 premiersmois 20088 premiersmois 2009Importations du secteur IME(Comparaison des 8 premiers mois(de 2005 2009)P a g e 1 4CETIME NEWS N 34Liste des indices des prix de vente industrielsBase 2000 / anne 2009DONNEES DU SECTEURPr i xun i t ai r eenDTI ND.MECANI QUES ELECTRI QUES Janv i er Fv r i er Mar s Avr i l Mai Ju i n Ju i l l etProduits de la sidrurgie 205,2 194,4 194,4 181,7 181,7 181,7 181,7Rond bton (barre de 10) 263,3235,0235,0235,0235,0235,0 235,0Fer forge pour le btiment (carr 12) 216,1216,1216,1158,4158,4158,4 158,4Fils maill 143,4143,4143,4143,4143,4143,4 143,4Tubes et tuyaux 132,5 132,5 117,6 117,6 117,6 117,6 117,6Tubes et tuyaux en acier noir 132,5132,5117,6117,6117,6117,6 117,6Produits en acier 297,2 222,9 222,9 222,9 222,9 222,9 222,9Trfiles en acier 297,2222,9222,9222,9222,9222,9 222,9Mtaux non ferreux 103,2 103,2 103,2 103,2 103,2 103,2 103,2Soudure d'tain 103,2103,2103,2103,2103,2103,2 103,2Produits de fonderie 124,1 124,1 124,1 124,1 124,1 124,1 124,1Regard alvolaire 124,1124,1124,1124,1124,1124,1 124,1Construction mtallique 170,3 161,3 158,8 158,8 158,8 158,8 158,8Pylnes mtalliques 156,3121,0121,0121,0121,0121,0 121,0Charpentes mtalliques 198,6198,6198,6198,6198,6198,6 198,6Porte en aluminium 209,7209,7209,7209,7209,7209,7 209,7Bureaumtallique 110,4110,4100,3100,3100,3100,3 100,3Rservoirs mtalliques 158,7 158,7 158,7 158,7 158,7 158,7 158,7Citernes (le kg) 145,7145,7145,7145,7145,7145,7 145,7Citerne eau(rservoir) 170,8170,8170,8170,8170,8170,8 170,8Outillage et quincaillerie 153,5 153,5 153,5 153,5 153,5 153,5 153,5Lames raser 100,0100,0100,0100,0100,0100,0 100,0Fait tout 124,1124,1124,1124,1124,1124,1 124,1Niveau eau 203,4203,4203,4203,4203,4203,4 203,4Serrures de porte 147,1147,1147,1147,1147,1147,1 147,1Paumelles(110par55*2.7) 189,2189,2189,2189,2189,2189,2 189,2Crmones 197,5197,5197,5197,5197,5197,5 197,5Autres ouvrages en mtaux 139,8 138,5 137,6 137,6 135,0 135,0 135,0Bidons en fer blanc(1/2L;1L) 119,7119,7119,7119,7118,1118,1 118,1Boites conserve 120,8120,8120,8120,8115,5115,5 115,5Vis boulon ( mtaux M 5/10) 171,4171,4171,4171,4171,4171,4 171,4Ressorts lame 300,0266,7266,7266,7266,7266,7 266,7Articles de mnage divers (casserolessrie)122,9122,9122,9122,9122,9122,9 122,9Couscoussier 124,7124,7124,7124,7124,7124,7 124,7Thire 139,5139,5139,5139,5139,5139,5 139,5Coffres forts 154,6154,6154,6154,6154,6154,6 154,6Classeur mtallique 152,2152,2138,4138,4138,4138,4 138,4Poignets 188,9188,9188,9188,9188,9188,9 188,9Ensemble salle de bain 176,0176,0176,0176,0176,0176,0 176,0Mlangeur vier 94,5 94,5 94,5 94,5 94,5 94,5 94,5Ao t181,7235,0158,4143,4111,1111,1222,9222,9103,2103,2124,1124,1158,8121,0198,6209,7100,3158,7145,7170,8153,5100,0124,1203,4147,1189,2197,5135,0118,1115,5171,4266,7122,9124,7139,5154,6138,4188,9176,094,5Aot2009P a g e 1 5Liste des indices des prix de vente industrielsBase 2000 / anne 2009CETIME NEWS N 34 DONNEES DU SECTEURLe CETI ME met t r a r gu l i r emen t vot r e di sposi t i onl a l i st e act ual i se d es i n di ces des pr i xCon t act : M.Med A. Bal t i- post e1 4 67Pr i xun i t ai r eenDTI ND.MECANI QUES ELECTRI QUES Janv i er Fv r i er Mar s Avr i l Mai Ju i n Ju i l l etAutres appareils d'usage gnral 99,5 96,6 96,6 96,6 96,6 96,6 96,6Filtres 99,5 96,6 96,6 96,6 96,6 96,6 96,6Equipements mnagers 116,8 118,3 118,3 118,3 118,3 118,3 118,2Rfrigrateurs 109,6 110,7110,7 110,7 110,7 110,7 110,7Machines laver 102,2 104,3104,3 104,3 104,3 104,3 104,3Chauffe eau lectrique 116,4 116,4116,4 116,4 116,4 116,4 108,2Cuisinires 144,0 145,9145,9 145,9 145,9 145,9 145,9Radiateur gaz 99,4 105,7105,7 105,7 105,7 105,7 105,7Chaudire simple 118,9 118,9118,9 118,9 118,9 118,9 118,9Chauffe eau gaz 97,2 97,2 97,2 97,2 97,2 97,2 97,2Moteurs lectriques 172,2 172,2 172,2 172,2 172,2 172,2 172,2Moteurs lectriques 110,2 110,2110,2 110,2 110,2 110,2 110,2Transformateurs 182,5 182,5182,5 182,5 182,5 182,5 182,5Matriel lectrique 138,8 138,8 138,8 138,8 138,8 138,8 138,8Interrupteur 150,6 150,6150,6 150,6 150,6 150,6 150,6Prise de courant 123,5 123,5123,5 123,5 123,5 123,5 123,5Fils et cbles isols 245,6 245,6 245,6 245,6 245,6 245,6 245,6Fils lectriques (H07 , SYT1) 285,6 285,6285,6 285,6 285,6 285,6 285,6Fils et cbles tlphoniques 85,0 85,0 85,0 85,0 85,0 85,0 85,0Accumulateurs et piles lectriques 190,1 190,1 190,1 190,1 190,1 190,1 190,1Batteries (TR14;M12PG) 252,5 252,5252,5 252,5 252,5 252,5 252,5Piles et cbles lectriques 106,5 106,5106,5 106,5 106,5 106,5 106,5Lampes et tubes lectriques 117,9 117,9 117,9 115,4 115,4 115,4 115,4Lampes et tubes lectriques 117,9 117,9117,9 115,4 115,4 115,4 115,4Appareils de rception de l'image 46,3 46,3 46,3 46,3 46,3 46,3 46,3Tlviseurs couleurs 37,3 37,3 37,3 37,3 37,3 37,3 37,3Antennes T.V. (6VHF , 8UHF) 135,6 135,6135,6 135,6 135,6 135,6 135,6Instruments de mesure 180,6 180,6 180,6 180,6 180,6 180,6 180,6Compteur lectrique (Mono-triphas) 180,6 180,6180,6 180,6 180,6 180,6 180,6Matriels optiques 139,9 139,9 139,9 139,9 148,4 148,4 148,4Montures de lunettes (enfant) 140,0 140,0140,0 140,0 150,0 150,0 150,0Montures de lunettes (adulte) 142,1 142,1142,1 142,1 150,4 150,4 150,4Monture de lunette Femme 138,5 138,5138,5 138,5 146,2 146,2 146,2Cycles et Motocycles 120,5 120,5 120,5 120,5 120,5 120,5 120,5Motocycles 126,2 126,2126,2 126,2 126,2 126,2 126,2Pices pour motocycles (cble defrein)76,5 76,5 76,5 76,5 76,5 76,5 76,5TOTAL BRANCHEI.M.E. 149,6 144,3 143,8 142,9 142,5 142,5 142,5Ao t96,696,6118,2110,7104,3108,2145,9105,7118,997,2172,2110,2182,5138,8150,6123,5245,6285,685,0190,1252,5106,5115,4115,446,337,3135,6180,6180,6148,4150,0150,4146,2120,5126,276,5142,5Aot2009P a g e 1 6CETIME NEWS N 34 AGENDAS12 - 20 Oct .Magntoscopie niveaux 1 & 213 - 15 Oct .02 - 04 Nov.Rdaction et qualification dun mode opratoiredesoudage selon le code ASME, API1104etEN I SO 156419 Oct . - 05 Nov.Radiologie industrielle niveau 2NB. (requis radi ologi e i ndustrielle ni veau 1)26 - 27 Oct .Connai ssance et prventi on de la corrosi on desmatriaux mtalliquesConception, exploitation et entretien desarmoireslectriques (BT)13 - 14 Oct .Matrise statistique des procds (MSP)19 - 23 Oct .; 02 au06 Nov.Thermographie infrarougeUltrasons niveau220 22 Oct .28 Oct .Soudage des alliages daluminium02 - 04 Nov.La Maintenance et lexploitation deschaudires industriellesCon t act :MmeF.Am mar- post e140 3Formations spcialises au CETI ME :Octobre/ Novembre 2009HYDROGEN SHOWSalon et confrence sur l' hydrogne et la pile combustibledu 25 au 27 n ovembr e -Mi l an ( I t al i e)ht t p: / / w w w . h y dr ogen sh ow . com/ en / i n dex _h t e. aspE- mai l : f i er ami l an o@f i er ami l ano. i t+39 (02) 4997 1 - +39 (02) 4997 7379REED EXPOSITIONS France - Salon MIDESTTour VISTA - 52, quai de Dion Bouton - CS 80001 - 92806Puteaux Cedex - FranceTel. +33 (0)1 47 56 52 34 - Fax +33 (0)1 47 56 21 40E-mail : [email protected] - http://www.midest.comN1 mondial des salons de sous-traitance industriellehttp:/ / www.mecatronicexpo.com/1 2 - 2 3O c t o b r e2 0 0 9P a g e 1 7CETIME NEWS N 34 AGENDASSTRATEGIE INDUSTRIELLE DE LA TUNISIEA LHORIZON2016EQUIPAUTOLieu:Parc des Expositions-VillepinteDate :Mercredi14 Octobre2009Horaire :de15h30- 18h15 h 30: Accueil etenregist rementdes part i cipant s16 h 00: Ouvert ureparMessieurs : Of f i ci elconf i r mer ( France) Chok r iMamoghl i - secrt aire dEt atauprs du minist re du Commerce etde lAr t isanat16 h 20 : Proj ect ion dun film sur laSt rat gieI ndust rielle de la Tunisie lhorizon201616 h 25: Prsent at iondela St rat gie I ndust rielle lhorizon 2016 pourle sect eurdes I ME par : Monsieur Fabr i ce REYNAUD-Ernst& Young16 h 45 : Tmoignagesde Messieurs: Hi chem ELLOUMI-Pr sidentde COFI CAB etde la FEDELEC Ami neBENAYED - Direct eurGnral de MI SFAT PascalDENEAU -Direct eur du syst me Qualit & Syst me dI nformat i ondu Groupe " CI PI - ACTI A" Fat h iEL GHALI- Pr sident Direct eurGnral St Tunisienne NOUR 17 h 10 : Dbat s :Modrat eurs: Monsieur Phi l i ppe DELACLOS -Direct eurGnral du CETI M France Monsieur Fr i d HERELLI -Dir ect eurGnral du CETI ME Tunisie17 h 30 : Rcept ionCon t act : M.Mou n i rZal i l a,con su l t an t PMIFI BA/ PARI SP a g e 1 8P a g e 1 9CETIME NEWS N 28~'-=-~- --- ,-,--' -'-~' 34a,,a.| :~'~~;--' --7' -- Q--- -~- 4--; ')- Q--'--' Q';-V' Q-;-- -',- J-;-- Q- -=;-;--- ~','---~' ,=-- --' -~- Q- -,-'; -='--(' Q-~=-; ---=-' ~'-----' - ;-=--'-=--' '--(' .,.,...| _z,; : --- ,-V' 1992 -~- 2001 - _,;- 27 ~;' 2001 --- ,-V' ;'--!; _----- _--- 540 -~- 1994 _,;--' - 10 Q,'- 1994 -;--' J--- ----; =;,~ =-~- _----';Q';-V' Q-;-- ~-,'~-- '-=;-;----' ~','---~'- ~'=-',.a; ....,; :~'=-' ~'~~;--' ~'- ~','---~' ,'=-'- ;;-- --'; ,=--' --~-'; =>--'; -'-~-' ~V'=- - --'-' =;-;--- -'= .,,...| ....| a... :~'---- J- ')=,'= ;' ->--' J='- 4--; ,'---~V' -'-,-- =--,--' ,--~--' Q-;---' .a,..; ,.,u :_~-V' ,'----' --= ~ -;--' - J---- --' 125000 _-! J~- Q' Q---; - 250000 Q' Q--- '-! - ~'= ---'- ;' - -' ~--- ,'---~V' .,--~--' Q-;---' ~'---- J-;--- ----=-' ~'--7'-'-V' _-- --~--' ~-,--' :-'-`' - --- ,'-, -'-= -'--=' -'-`' _'= ----'' .`-- --'' ',-- -=,---''==--'' -'--,-'' ,-- _'' --+-, _'---`' -- --- -'' -'','=-'''-.'---`' - '+'='- ,,-''- ,+-'' -- -'-'=' -'=-' _',-- ----'' --+' -'--'',,-'' -,'-- -,---' .--;-'--' =',--' :1 - --= -`' 292 --' 2009 _,- 02 -, 2009 ,-=- .'=- =--- '-,----'' .'=- ='-, '+- _'---`' =,-, =, '+----, -+-'' ,,-'' _'= -'-`' _'=,-=- '+- _'---`' =,-, =, -=-'' ,-= .2 - _,- -'--'' -+-'' _'--`', .,--'' ,,, ,''-'' ,, - ' 10 -,2009 ,,'--, -+-'' ,,-'' _'= -'-`' _'= ----'' .'---' -`'=- =--- '-,,-= -`'---` ,,--'' ,-'--'' ='-, '+- -'='' ,-,,-'' =--`' .,,-- ,-'--,'+- -'='' ,-,,-'' =--`' .,,-- ',-- -=-'' . ----' ~'~~;--' :,-, ,' .-', -'', -+-'' ,,-'' _'= -'-`' -'='' -'--,-'' ,,-'' _'= -'-`'-','-= '=-' --' --'-'' --'' ',-- '+,'= -=,---'' -+-'' '-,- -'' ,,-'' J-;---- --'--' =~-V' : -'-`' ,,-'' : ,-,-=- -'--- .,'--''- ,,- -+- -,--'+='= ,' -`-'' .='- ----'' ,,-'',-+-'' ,-'' -- ,,-'',-,,-'' -''---`', -'-'-''--,-'' .='- ,,-'' _'= .,,--'' ='----~--' ;'=- - =',=-V' :--,-'' '+' _=- -'' --=-'' ,-'-='' ='--'' ,-' _,--'' .=' =-''- ,--'',,-''- ,--'' --'' - --'= +- _,- -'-'--~--' ,'--- : -+-'' ,,-'' _'= -'-`' _'= ----'' ,,--'' ---'' =--- -,-= 60% == ---'-'' --'' ',-- -=,---'' -'-`'~=~-' _;-=~-,--' :-'--,-'' -=-'' ,-= -- .,,--- _'---`' - ,,-+-'' ,' -'='' ,-'--`'=--', -','-' ',-'' - -'-- '+-',=' ---'-' ,-,,- .--;-'--' =',--' :1 - --= -`' 292 --' 2009 _,- 02 -, 2009 ,-=- .'=- =--- '-,----'' ='-,'+-_'---`' =,-, =, '+----, -+-'' ,,-'' _'= -'-`' _'=,-=- .'=- '+- _'---`' =,-, =, -=-'' ,-= .2 - _,--'--''-+-'' _'--`', .,--'' ,,, ,''-'' ,, - ' 10-, 2009 -+-'' ,,-'' _'= -'-`' _'= ----'' .'---' -`'=- =--- '-,,,'--, ,,--'',-'--''='-,'+--'='' ,-,,-'' =--`' .,,-- ,-'--,,-= -`'---` '+- -'='' ,-,,-'' =--`' .,,-- ',-- -=-'' .----' ~'~~;--' :'+- '='' _,'--'' '--= -+-'' ,,-'' _'= -'-`' -'='' ,= -'--,-'' .-'',-'--`' --'--'' -= ,-' _-- _'= -'-`' _- - ,--'' -'--,-''-'', -+-'' ,,-'' _'= -'-`' -'='' -'='' -'--,-'' :- -'-`' _'= ----'' =`+--' -'---'- - .' ---- 1000 - . -=,--- ,-- -'-' '---- ','-,--''',,-- '+,'= -=,---'' -+-'' ,,-'' _'= -'-`' ,-, ,' ,'-,----'' = .----,-'' +-'', ,,=''J-;---- --'--' =~-V' :,,-'' -''---`', -'-'-''- '=' -`-'' .='- ----'' ,,-'',-+-'' -'-=--'' _- '-'' '=' -=--'' ,='-='' -','-''--='' -'---- '' -','-= .J-;---' ~-~' :,-=' _-`' '---'' ,'-, ',-- =--'' -'-`' ,,-'' -,'-- == -=-''- -'' --'' --'-'' --'' -''=-'' ---''- ='-, ',=''- _'---`' -'=- ,--- '+'`=,--'' . =| 3 9 =_=v _,= -= -- w w w . cnf cpp. nat . t n ~';-' -;- ',;, ~'-'~,(' --,-- -='--' ;-,-' _-- -,;-' --=; --~-'- J'~-(' ;' 1493 ,.,,ilal ,.,l eil ,..,.l ri.,ll qr iehttp: //w w w .th nktun s a.tn/ _'=-'=,-',,''---=--''-''=''--- --+--'',='--''='=-'''=--''''-,-'' -',- -'--=' -=- -'', -,-'' -,'-'' -'= - -,-''='=-'' -- - -='' ='- ,'= . ===-'' --, '='' .'=- '--`- ----=' -, '=-'--,='--=`',,-'--`',---''-=-'='' =-'' '-, ,,-'-' ,--= _'= -, '=,-= -''=''-'--,,=-,+=-'=''=`+--' - ,-'-+'' '='' ''' _'--`' ',--'', ---=--'',-'` +=. '='' =-'' -=,'' _-'--'' ' '----'' 2008 2011 -'-----_,-'' - ---=--'' -''='' 1 % _'' 4 % . _'=,-,-''-'='-''.---'=-`'--,_''---=--''-''=''----_,-'' 25 % ---,-= 2013. _,-=_'=-=,-,-'='-' '=_'=,,-,-=.',-'='-''-'=`'=,-='' _-'-'' -- ,-=-' -,+='' -,`- . -'--,-' ---'--, =- ., ----, -+= -, -'' .-, ,-'-+'', ,,-',-'' -'='--'' _'= -'+=,-'',,-=,''_-'-'',-=-'=,----- -'=-'- -'- ='-' -'--=' -`'=- -- ,='--'' --'=-,,--'-,-=-=--'-`-`''-'-'=`',-,-'='-'' -'=---'' . ---'--_''-'=`''-.`=--''_-,, ,---'' '='' .`--' .'=- .-'='' ,=-'' -'+''-'='=-''--,-''-='-='-'''--`- ,-,-''-'-`',=''',.--''_'=-,,,='',',=,... ,,--'',-',-''_''-'-`'-=-'-.'=-'' '- ,=--' -,---'' ,= '-, .=--- -'' -'+'' . -`'=--',''--=_'='-'---',='-' ,--''-'-'',-'=-'',,--''--='--'',='=`' --='--'',,=--'' -','-=--'=_''-,,-''--= .'=-_'=-''-'--,----'-''+---,-'',--'' -''=,,'=''='=-'',,=,',--'' =-,'' _'=-''-',='=,-'-_'=-'=`''-=-',- -'-=--,-=-''-''-'--'',--,'--'' ,='=-''-'+=,-'',-'=---,-=,''-'+=,-'' ',='--'',=,-'--`'---,--''2016 ',=-,=`'---','-,=='--- _'='+-,--,--=',''-'='=-'',=--''-' -,-'' --- -'' ,-'-+'', ,,-',-'' -'='--'' -'-''-,'-','-----''-,---',-=-''--,=`' -',--'' .`= '+'-=' -'' ,--'' . ,-,--' -'-~' J;;~--' ,----' : -,)-' --,- --=- _-~---' : .- - _'-- / ---' '- - ;'~ : _', --=- - -- - ,,- - , -,`- - -,=, =,'' -='-'' ,-'--=- - ,,-- : -'-'='' ,-''= - '=-' ,,--- : -','' -,-' -'--=(' ,---' : = . , . --- 7 ;-- 6 --~-' ,~- --'-~-' -=---' 2086 - -;- - ~-')-' : 71 545 988 - 70 146 000 Q-'--' : 71 546 637 - www.cetime.ind.tn