20 ans de mode pour harry lafond

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20 ans de mode pour Harry Lafond

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2 23 février 2013No 805

Pour réservations, appelez au 3840-1964.

Samedi 23 février

Vous n’avez pas encore vu à ‘oeuvre la formation musicale K-Zino ? Ça ne saurait mieux tomber ! Faites-vous inviter à EN-CODED ce samedi. Cette fête privée qui se tiendra à Musseau sera animée par les DJ Steezy, Djenil et Dagga, ce dernier ayant fait le déplacement de Jamaïque. Sans oublier l’invité, le rappeur Sniper. Le jeune groupe K-Zino clôturera la soirée. Et si malgré toutes vos brasses vous n’arrivez pas à

obtenir d’invitation, vous pourrez toujours acheter votre ticket d’admission au prix de $20 US.

Samedi 23 février

Savourez les meilleurs morceaux de ‘album « The cactus and the dragon » de ‘artiste écossais Mark Mulholland dans le cadre agréable du Yanvaloo, ce restaurant qui prend ‘allure d’un petit bistrot français, amical, chaleu-reux avec tout juste le petit zeste de couleur lo-cale qu’il faut ! L’admission est gratuite et le chanteur devrait commencer à performer dès 8 h pm.

DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Frantz DUVAL

RÉDACTEUR EN CHEFGaëlle C. ALEXIS

SECRÉTAIRE DE RÉDACTIONDaphney Valsaint MALANDRE

RÉDACTIONDimitry Nader ORISMAGilles FRESLET Myria CHARLESWinnie Hugot GABRIELTeddy Keser MOMBRUNJunior Plésius LOUISRaphaël FÉQUIÈREEnock NÉRÉLégupeterson ALEXANDRE

CORRECTIONJean-Philippe Étienne

CRÉATION ARTISTIQUEResponsable graphiqueRéginald GUSTAVEStevenson ESTÈVEPhotographesFrederick C. ALEXISHomère CARDICHONJules Bernard DELVAMoranvil MERCIDIEUYonel LOUIS

Publicité: 2941-4646 [email protected]

Rédaction: 2945-4646 / 3806-3717

Une publication de Ticket Magazine S.A.

15 621FANS

L’AGENDAde

Découvrez chaque semaine les coins branchés, les restos en vogue et les meilleures affiches de la ville avec en prime les recommandations de votre magazine préféré !

Samedi 23 février

Tropicana nous offre une fois encore ‘occasion de profiter de ce bon vieux compas qui se danse sur un carreau. Retrouvez donc ‘orchestre cinquantenaire dans toute sa douceur, secondé de DJ Constant, ‘un des pion-niers du domaine au Club International ce samedi.

Admission : 500 Gdes

Samedi 23 février

Fanatik Bebi, men Bebi ! Oui, Kreyòl La sera au Mango Lounge ce samedi. Les prestations du

groupe à Port-au-Prince semblant être comptées. Ces retrouvailles avec Bebi, qui sera accompa-gné de DJ Valmix pour ‘oc-casion, ne devraient être manquées sous aucun prétexte.

Admission : 500 Gdes

Samedi 23 février

Princesse, animal sau-vage ou super héros Le temps d’une soirée, soyez ce que vous avez toujours voulu être. Et surtout, dansez en toute quiétude sur la musique des DJ Gia-nick Barrau, Ted Bounce, Franco The Saint, Full Blast et de bien d’autres invités encore à Kiss & Tell, ce bal masqué qui se tiendra à Villa Tina sur la Route de Frères. Admission : $ 20 US

Préparé par: Daphney Valsaint MALANDRE

Qu’en est-il de la relation entre Rihanna et Chris Brown ? Voici la réponse : ils sont tou-jours ensemble et heureux ! Les deux chan-teurs étaient surpris ce mercredi 20 février à Hawaï profitant en tête à tête d’un moment de simplicité. Comme au bon vieux temps...

C’est sur l’île américaine que Rihanna s’est exilée pour fêter ses 25 ans, un anniversaire que Chris Brown ne pouvait pas manquer. Breezy l’y a rejointe et s’est offert un instant de sérénité en compagnie de sa chérie agressée à Londres après la présentation de sa collec-tion Rihanna for River Island lors de la Fashion Week. L’heure n’était plus aux tensions mais à la tranquillité...

Habillé d’un maillot de baseball des New York Yankees et d’un short rouge Pyrex, l’interprète de Home jouissait du bord de mer avec Rihanna, ultrasexy dans une jupe résille. La nouvelle Creative Partner de la marque de produits de beauté M.A.C s’adonnait à son nouveau passe-temps favori à savoir fumer des blunts et postait sur Instagram une photo d’eux dans une voiture, illustration parfaite de leur rapprochement.

La romance entre les deux artistes est bel et bien repartie. Après une Saint-Valentin ratée, Rihanna et Chris Brown ravivent la flamme loin de la ferveur de Los Angeles. Le 8 mars, l’interprète de Stay donnera le coup d’envoi de sa tournée mondiale Diamonds World Tour au First Niagara Center à Buffalo (État de New York) et s’arrêtera les 2, 3 et 8 juin à la Park & Suites Arena à Montpellier, à la Halle Tony Garnier à Lyon, puis au Stade de France à Saint-Denis. Le chanteur de 23 ans, suspecté d’avoir menti sur l’exécution de ses travaux d’intérêt général et sous le coup d’une nou-velle sanction judiciaire, acceptera-t-il de la suivre comme RiRi l’avait fait durant sa tournée en Europe intitulée Carpe Diem ?

Rihanna et Chris Brown :en amoureux pour l’anniversaire de RIRI

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323 février 2013No 805

Dans quel état d’esprit abordez-vous les vingt ans de votre agence de mode ?

Avec le même engouement, le même enthousiasme qu’au début. La même envie de créer, de travailler avec les jeu-nes. De partager mes connaissances avec eux… J’aborde cet anniversaire aussi avec quelques frustrations aussi. J’ai pu réaliser au cours de ces années combien les portes sont closes pour l’épanouisse-ment des jeunes. Il y a comme quoi des gens qui s’opposent littéralement à cela. Quand vous frappez à leur porte, ils vous disent carrément que la condition des jeunes ne les concerne pas.

Comment comptez-vous célébrer cet anniversaire ?

Pour le restant de l’année on prévoit de reconstituer la tribu à travers plu-sieurs activités. On projette de faire des spectacles, des défilés… On compte aussi renouer avec les rencontres hebdo-madaires. Le plus important pour nous c’est de faire la rencontre des anciens et des nouveaux. Je continuerai à faire la promotion de Kafe Koule, la collection que j’ai lancée en 2010. J’en ai été inspiré durant mon séjour à Thiotte au lende-main du séisme.

Au mois de mars, nous lançons du 4 au 16 les inscriptions à Grav pour recruter de jeunes talents à qui nous donnerons un séminaire sur la démarche,

Fondée en 1993 par le créateur de mode Harry Lafond, Grav Production aborde son 20e anniversaire avec beaucoup de projets dont le recrutement de jeunes talents à dessein de se perpétuer. Harry Lafond, le père de Grav, nous a conté aussi au cours de cette entrevue la saga d’une des meilleures insti-tutions dédiées à la beauté et au fashion.

le protocole vestimentaire, l’introduction au mannequinat…

Quels sont les critères pour être admis ?

Je dois signaler que ce recrutement est destiné à tous ceux qui veulent chasser leurs complexes, rejeter les a priori qu’ont les autres sur eux. Appren-dre à marcher, à s’habiller convenable-ment, cela procure de l’assurance. Il suffit d’avoir un esprit jeune. L’agence est située au numéro 90 sur la route de Juvénat, en face de l’entrée du Village Résidentiel de Juvénat. Nous sommes joi-gnables sur Facebook et au 34 43 95 99.

Racontez-nous un peu la saga de Grav Création et Production.

Le 14 décembre 1993 est une date que je n’oublierai jamais. C’est le jour où ma petite sœur Gravelle Guirand a rendu l’âme suite à un soudain accès de fièvre. Ce départ inattendu de celle qui a été mon premier mannequin m’a motivé à extérioriser mes talents de couturiers et de coach de mode. Cela a débuté comme un cercle littéraire, comme il y en avait un grand nombre durant les années 90. A partir des années 2000, cela a évolué en une agence de mode. Une famille soudée de jeunes aimant la mode… Nous avons pris part à tout ce qu’il y avait de culturel : que ça soit Miss Vidéomax, Starmax, Musique en Folie…

Quelles sont les péripéties auxquel-les Grav a pu faire face au cours de ces deux décades ?

Les mêmes auxquelles n’importe quelle institution qui soutient les jeunes fait face. Quand il faut monter un spec-tacle ou réaliser d’autres projets, il nous est souvent arrivé que des sponsors nous méprisent. Il parait parfois impossible de faire fonctionner cette grande famille quand je n’ai aucun contrat à honorer.

Où sont passés vos mannequins de la première époque ?

Ils ne sont pas invisibles. Le ma-quilleur Maikadou est passé à Grav. Il y a aussi Nerlande Molière, Jean Raymond... Il ne faut pas oublier Rachel Albert qui brille de mille feux sur les catwalk du runway ou de la Fashion week. Elle est partie à Hollywood récemment. Je ne saurais citer tout le monde.

Quel regard portez-vous sur la mode en Haïti de nos jours ?

Pour moi, elle est en danger. Et ce ne sont pas les fripes, les pèpè qui la mena-cent. C’est plutôt le plagiat par certains de nos créateurs de ce qui se fait ailleurs qui met la mode haïtienne en danger. Je ne dis pas qu’on doit ignorer ce qui se fait ailleurs, mais je suggère qu’on s’inspire beaucoup plus du terroir. Notre culture est intarissable, alors pourquoi faut-il toujours copier sur l’étranger ? J’espère que la jeune génération de designer pourra y remédier. La mode chez nous n’a pas trop de mauvais. Elle est quand même plus dynamique aujourd’hui car il y a plus de créateurs qu’avant. Elle pourra profiter de la promotion qu’on fait du tourisme ces jours-ci.

Propos recueillis par Chancy Victorin

[email protected]

On a collaboré avec d’autres groupes de jeunes comme les compagnies de danse de Jean René Delsoin. On a éga-lement travaillé avec Bertrand Labarre pour réaliser le spectacle “Hommage à Michael Jackson” en 2009. En parallèle j’ai enchaîné avec mes collections comme Araignée, Retay, Athéna et Kafe Koule, le tout dernier en date. Mes mannequins ont par conséquent servi de modèles pour les présenter

20 ANS DE MODE POUR

HARRY LAFOND

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4 23 février 2013No 805

Article 30

L’usage correct du téléphone est d’une importance notoire tant sur le plan social que professionnel. À cet effet, les entreprises doivent instruire leur person-nel et établir des règles, puis s’assurer qu’il suit les normes.

L’image téléphonique se capte à travers la voix, le décibel, l’intonation, la manière de s’exprimer et surtout le sourire. C’est tout un arsenal qui capte l’attention des clients potentiels, aug-mente le prestige de l’entreprise et peut contribuer à sa productivité.

• Principesdebase- On se nomme au début de la

conversation et on s’assure de la dispo-nibilité de l’interlocuteur.

- La personne qui appelle met fin à la conversation. Si le receveur doit le faire pour des raisons personnelles, il veillera à s’en excuser.

- On répond le plus vite possible, c’est une marque de respect envers la per-sonne qui appelle.

- On retourne un appel dans le plus bref délai, sinon c’est une offense à la personne qui a pris le temps de vous téléphoner.

- On prête toute son attention à l’interlocuteur. Il est impoli de parler à d’autres personnes à tout bout de champ durant une conversation téléphonique. Cependant, il est permis de s’excuser auprès de la personne au téléphone, de se mettre en mode garde (téléphone fixe), de s’enquérir des besoins de l’autre et reprendre l’appel le plus rapidement possible, en veillant de nouveau à s’excu-ser auprès de celle qui était en attente.

- On laisse des messages clairs et brefs, en mentionnant son nom, ses coor-données. Les cahiers de message sont conçus pour palier aux oublis compte tenu des informations déjà inscrites.

- Si on se trompe de numéro, on ne raccroche pas, mais on s’excuse genti-ment avant de le faire.

- Si on utilise le haut-parleur (spea-kerphone) pour une raison donnée , on avise la personne en question.

- Lors d’un transfert d’appel, on avertit la personne qui appelle qu’on la met sur le mode d’attente (hold). Puis, de temps en temps, on donne signe de vie au cas où l’on tarde à lui répondre, et on lui demande si elle veut toujours attendre.

- Si on répond au téléphone de son collègue, on se nomme en disant qu’il est absent et qu’on lui transmettra le message.

- Lors d’un appel en instance, on essaie de terminer avec l’appel avant de prendre au nouveau ; dans l’impossibilité, on s’excuse pour répondre brièvement afin de revenir au premier.

- Le transfert d’appels d’un secteur

à l’autre des grandes compagnies sont parfois désagréables. À cet effet, il est important de connaître le département de la personne recherchée pour éviter l’énervement de la musique ambiante en ligne et une perte de temps.

- Les appels personnels au bureau sont à éviter, sinon on est le plus bref possible.

- Quand on reçoit quelqu’un, on peut toujours informer sa secrétaire que l’on ne reçoit pas d’appel. Cependant, si une urgence se présente, il y a deux options :

a) Dire à sa secrétaire de passer l’ap-pel à qui peut donner une réponse.

b) S’excuser auprès de ceux qui sont présents pour prendre l’appel.

- Lorsque quelqu’un reçoit un appel, les personnes présentes doivent se reti-rer ou saluer s’ils étaient prêts à partir.

- Quand on place un appel d’ordre professionnel :

a) On salue, puis on dit son nom et celui de la compagnie.

b) On vouvoie et on utilise ‘‘Monsieur’’ ou ‘‘Madame’’.

- On s’identifie à nouveau en se connectant avec la personne désirée.

• Savoir-faire:appelssociaux

LE TÉLÉPHONE SOCIAL ET PROFESSIONNEL

Remarque : Dans le domaine social, l’agressivité et la curiosité sont à bannir.

`Savoir-faire : appels professionnels

Remarque : Que ce soit sur le plan social ou professionnel, les person-nes aiment que l’on cite leur nom. On termine l’appel sur une note positive en remerciant l’interlocuteur.

LE SAVIEZ-VOUS ?Les clients aiment se sentir spéciaux.

À cet effet, un patron qui appelle per-sonnellement son client lui donne la sensation qu’il a un traitement différent au sein de l’entreprise. Pour contacter l’auteur :[email protected] twitter : dismoicommentrecevoir

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523 février 2013No 805

Présente-toi au public.Je suis Perri Pierre. Je suis né un 28

décembre à New York, mais j’ai grandi en Haïti notamment dans la ville des Cayes. J’ai effectué mes études classiques chez les Frères de l’Instruction des Chrétienne, aux Cayes (Collège Frère Odile Joseph). Après ça, je suis retourné à New York en 2006, où j’ai fréquenté Queens College, City University of New York où j’ai étudié l’Art Dramatique durant quatre ans. Pen-dant que j’étudiais là-bas, je jouais dans une pièce. En été 2009, suite à une audi-tion, j’ai été choisi pour aller performer

dans une comédie musicale, ‘’Oeudipus’’, en Grèce. J’étais apparu dans plusieurs TV Show comme Law and Order, Cupid et Kings respectivement sur ABC et NBC aux Etats-Unis.

Après tes études, tu as fait quoi ? Après mes études, j’ai écrit avec un

condisciple un court-métrage de vingt minutes qui s’appelle « J-12 ». Ce film parle de l’histoire d’un immigrant haïtien qui est affecté après le séisme du 12 jan-vier 2010 en Haïti. J’étais l’acteur princi-pal, producteur et directeur dans ce film.

A un moment où le cinéma haïtien donne à réfléchir à cause de l’absence de salles de cinéma et de spectacles, de problèmes de piratage et d’une pauvre production, des Haïtiens d’origine font parler d’eux un peu partout à travers le monde. C’est le cas de Perri Pierre, jeune acteur et réalisateur, qui commence à connaître le succès dans le cinéma américain.Perri Pierre a remporté le 30 juin 2012 le « People’s Choice Award » au concours « International Movie Trailer Festival » qui s’est déroulé du 9 janvier au 31 mai 2012 avec la bande d’annonce de son dernier film, « Three of One Kind », nous avait apprise Rachelle Swartz, présidente du fan club du jeune acteur. La remise des prix a eu lieu le 30 juin dernier à Los Angeles où Perri a reçu ses nombreuses récompenses dont un chèque, un « Award » et des considérations pour la distribution de son film aux Etats-Unis. Et cela ne s’arrête pas là pour l’acteur Perri Pierre, puisque la semaine dernière il a dévoilé le poster de son dernier court-métrage titré « Addiction », à paraître en avril 2013. Le lundi 3 décembre 2012 le NY Daily News en avait parlé.Dans une interview accordée à Ticket Magazine là où il vit aux Etats-Unis, Perri Pierre nous a presenté « Three of one kind » qui est un scénario de Zack Van Eyck (Los Angeles, Californie) dans lequel il a tient le rôle princi-pal, Richard Smith-Davis.

Perri Pierre un acteur

ADDICTPerri Pierre un acteur

ADDICT

J-12 a participé dans plusieurs festivals de film. Il sera diffusé l’année prochaine pendant trois mois sur des chaines aux USA dont NBC dans un show, Badami. Après J-12, j’ai signé avec un écrivain de Los Angeles pour produire son film qui s’appelle « Three Of One Kind ». Avec la bande annonce, on a participé à un concours, «International Movie Trailer Festival», et nous avons remporté le « People’s choice award » avec plus de votes.

« Three Of One Kind » parle de quoi?

Ce film raconte l’histoire d’un jeune garçon, Richard, qui est à la recherche d’une femme parfaite. Mais celui-ci finit par réaliser que tout le monde aura tou-jours ses défauts.

Tu as joué quel rôle là-dedans ?Acteur principal.

Donc, tu as pratiquement joué le rôle principal dans presque tous les films ?

Oui. Dans « J-12 », qui est un scénario de Perri Pierre & Matthew Peartree, j’ai joué le rôle principal dans la peau du personnage Vladimir Jean (immigrant haïtien). Dans « Three of One Kind », un scénario de Zack Van Eyck (Los Ange-les, California), j’ai joué le rôle principal dans la peau de Richard Smith-Davis et ce sera la même chose pour « Addiction » dans lequel je serai acteur principal en tant que Jason. Le scénario est de Steven Spiel & Bethany Moriaty (Australia). Ce film sortira en avril 2013.

Quels sont vos souhaits pour le film « Addiction » ?

Je veux que ce court-métrage soit l’un des meilleurs de l’année 2013 dans le monde entier, mais aussi celui qui sera le plus populaire de l’année 2013.

Quel est ton rêve, ton objectif dans le domaine du cinéma ?

Remporter un Oscar. C’est ça mon plus grand rêve. J’aimerais aussi tenir le rôle principal dans un film produit par un studio de Hollywood comme Fox ou Universal ou bien produire un film que l’un de ses studios aurait réalisé.

Gilles Freslet ([email protected])

Le groupe a un compte très actif sur Facebook, une page Youtube avec les vidéoclips de ses dernières méringues carnavalesques. Certains refusent à le croire, pourtant il s’agit bien d’une bande à pied. Mais avec une différence : elle ne chôme jamais.

Lorsque les festivaliers brûlèrent le mardi-gras sur le Carénage au Cap-Haï-tien, les musiciens de Tabou Band avaient déjà l’esprit tourné vers de nouveaux succès. Cette bande à pied ne sort pas ses instruments et ses déguisements seu-lement pendant la saison du carnaval.

« L’an dernier, nous avons honoré cinquante-quatre contrats », informe avec fierté Ashley Salomon, l’un des managers de la bande à pied. A Miami, le Haitian Compas Festival prévu pour mai s’annonce comme un test majeur pour Tabou Band, après la participation très remarquée du groupe aux défilés des trois jours gras.

Tabou Band le sait bien. C’est d’ailleurs ce goût du challenge qui avait porté le groupe fondé à Port-de Paix en 1984 à s’installer à Port-au-Prince en 2010. Les musiciens et les dirigeants de Tabou Band s’étaient lassés de dominer la

scène des festivités dans le Nord-Ouest: ils voulaient conquérir d’autres cœurs.

Petit à petit, ce rêve se concrétise. Basée à Christ-Roi, Tabou Band 4 x 4 est aujourd’hui invitée à diverses activités socioculturelles dans la capitale. C’est bien elle, avec ses cinq “ tanbou “, ses deux « ilikon », ses trois « kòne » et ses cinq “ twonpèt “ qui avait enflammé le public au Stade Sylvio Cator au dernier match éliminatoire pour la Coupe du monde de la sélection nationale de football (catégorie U-17). Ses rythmes mettent l’ambiance aussi à chaque match du championnat universitaire de basket-ball et aux rencontres de l’Asso-ciation haïtienne de Basketball corporatif (ASHBAC).

« Nous offrons notre animation à un faible coût pour des activités d’ambiance et de foule », informe Ashley Salomon. Cette stratégie s’avère bien payante : la bande à pied a déjà obtenu des contrats auprès des plus grandes entreprises de la place.

Cette année, c’est pour sa perfor-mance sans faille pendant les dimanches précarnavalesques qu’elle a été invitée à participer au carnaval de Pétion-Ville. Pari

gagné. La ville est conquise par le réper-toire musical de Tabou Band, ses couleurs et son incroyable capacité d’animation. La preuve : le groupe est déjà invité à la prochaine édition.

Entre-temps, les 32 musiciens du groupe ne dorment pas sur leurs lauriers. Tout en préparant leur participation au Carnaval des Fleurs programmé pour cet été, ils sont en train de finaliser un album de huit morceaux. Ils espèrent aussi, cette année, séduire la diaspora aux Etats-Unis, où ils comptent déjà pas mal de supporters. « Notre performance

à la Haitian Festival Compas pourrait nous ouvrir de nouvelles opportunités à l’étranger », souhaite Ashley Salomon.

Dotés d’une vision moderne du secteur, les responsables de Tabou Band refusent toutefois de se couper de la tradition. « Nous cultivons les pratiques propres à toutes les bandes à pied, soutient le manager. Si aujourd’hui les bandes à pied sont toujours traitées en parents pauvres, nous voulons démon-trer qu’il s’agit d’un secteur culturel riche, inclusif et de grande valeur. »

Carl-Henry Cadet

Tabou Band : une bandeà pied pas comme les autres

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Samedi 23 février 20136

fibres (rouges ou blanches ou peut-être les deux), une bonne respiration, une bonne circulation du sang à tra-vers le corps, la stabilité au niveau de l'activité cardiaque etc...

En plus, la natation peut être apprise et pratiquée à tout âge, et ceci quelles que soient les conditions physiques de l'individu. Au niveau de l'Association haïtienne de natation et de sauvetage, (ASHANASA), nous allons déployer tous nos efforts pour intégrer toutes les opérations de secours visant à sauver des vies ou à prévenir des blessures et des cas de noyades en Haïti.

Il est anormal de vivre sur une île comme Haïti où ¾ de terre est

recouverte d'eau et où seulement peu de gens savent nager. En Haïti, la natation ne devrait pas constituer un sport de luxe. S'il en était ainsi aupa-ravant, il faut dire que l'ASHANASA définitivement va la transformer en sport de masse.

D'ailleurs, pour se rendre dans certaines villes de province, on est bien obligé d'utiliser la voie maritime. Dans cette optique, savoir nager re-présente non seulement un sport idéal pour tous, mais aussi une nécessité spécialement pour nous qui vivons en Haïti. Il est vraiment triste que dans un pays comme tel il y a des gens qui se noient habituellement à près de 15 à 20 kilomètres du rivage. Il n'y a aucun sauveteur bien équipé dans certains lieux stratégiques pour voler au secours des victimes dans un cas de naufrage.

Dans son plan, l'Association haï-tienne de natation et de sauvetage de concert avec le président de la fé-dération internationale de sauvetage au niveau mondial va commencer à former non seulement des agents de sauvetage dans nos plages, hôtels, et villes maritimes, mais aussi à préparer des athlètes pour représenter Haïti aux différentes joutes sportives comme la Francophonie, les jeux Centre , Amé-rique et Caraïbes, ceux de l'ODEPA et

pour finir les Jeux olympiques. On ne doit pas oublier les championnats du monde de natation particulièrement très suivie et qui voit le public faire le déplacement en nombre imposant.

Il faut admettre que le travail n'est pas facile, mais avec la participation et la bonne volonté de tous, nous parviendrons à le réaliser. Dans cette perspective, nous avons besoin de l'appui de tous les secteurs concer-nés du pays pour arriver à diminuer drastiquement les cas de noyade qui se produisent annuellement.

Nous avons les moyens nécessai-res pour le faire. Roberto Clemente dirait ceci: "If you have a chance to help others and fail to do so, you are wasting your time on this earth" (Si vous avez l'opportunité d'aider les autres et vous refusez de le faire, vous gaspillez votre temps sur cette terre). Alors, messieurs et dames, s'il vous plaît, nagez et sauvez les autres.

Patriotiquement,Notre adresse : " Ecole Nouvelle

d'Haïti " Bizoton 61, Impasse Villa La Perle #40 Bis, Carrefour, Haïti. Pho-ne: 2228-1833, ou (760) 799-5514. E-mail: [email protected], Web: www.ashanasa.org "en construction"

Dr. Evenel Mervilus Président de l'Association haïtienne

de natation et de sauvetage

Natation et sauvetage en action

Au championnat de basket-ball interscolaire

Kensley Desrosier (Lycée Marie Jeanne) et Johanna Hargan (Collège Bird) Photo : Yonel Louis)

Lycée Marie Jeanne

Collège Bird

L'Associatation haïtienne de nata-tion et de sauvetage (ASHANA-SA) avec le support du Comité olympique haïtien (COH), vient

de franchir une étape assez impor-tante. Elle vient d'être affiliée à la "International Life Saving Federation, (ILS)" (Fédération internationale de sauvetage) laquelle s'engage à faire la promotion de la natation et le sauve-tage. Par le biais de cette association, Haïti fait partie maintenant des 170 pays affiliés.

Le Dr. Evenel Mervilus, président de l'Association haïtienne de natation et de sauvetage (ASHANASA), de concert avec les membres exécutifs et ses partenaires internationaux prend la détermination de promouvoir la na-tation sur tout le territoire national.

Pour cela, des programmes assez ambitieux sont déjà élaborés et seront très bientôt mis à exécution sous le guide des experts en natation et de sauvetage de l'extérieur.

La natation considérée comme l'une des disciplines sportives les plus complètes, est aussi l'une des rares à permettre un développement muscu-laire qui se fait proportionnellement aux bras comme aux jambes. Elle permet également de développer des facteurs psychologiques tels : le contrôle de soi, le développement des

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Samedi 23 février 2013 7

commencé à jouer au volley-ball à 10 ans, ce qui fait une cinquantaine d’années de pratique du volley-ball comme joueur et une quarantaine en tant qu’entraîneur. J’ai entraîné à tous les niveaux : jeunes, plus âgés, olympiques et dans différents pays comme l’Australie, l’Italie, les Etats-Unis et même avec les handicapés dans des seats in sport.

Depuis 1984, je suis toujours aux Jeux olympiques mais aussi aux Jeux paralympiques avec les sélections américaines de volley-ball.

EN : Vous avez vu des joueurs haïtiens de volley-ball à l’oeuvre durant le week-end. Techniquement, qu’est-ce qui manque à nos vol-leyeurs ou encore sur quoi devraient-ils travailler pour s’améliorer ?

JK : Sur leur intelligence du jeu. Techniquement, les joueurs haïtiens ont un très bon niveau, par contre il leur faut pratiquer un peu plus pour améliorer leur intelligence du jeu, voire leur compréhension du volley-ball. Ils ont besoin d’être en situation de chercher les moyens pour pouvoir s’en sortir.

EN : Vous êtes venu ici pour for-mer des entraîneurs à qui vous avez enseigné des techniques jusque-là ignorées pour la plupart comme la mâchoire du chien par exemple ou le smash du cobra dans le volley-ball de plage. Comment peut-on porter les joueurs qui évoluent dans les championnats locaux à les utiliser afin que les plus jeunes s’habituent à ces techniques et arrivent à les maîtriser?

JK : Très, très belle question. J’ai travaillé avec un premier groupe de dix entraîneurs d’abord à Saint-Do-mingue puis à Phoenix, en Arizona et ils ont eu beaucoup de travaux

pratiques à réaliser. Cette formation que nous réalisons ici intègre d’autres entraîneurs dont la formation est à la charge de ceux qui ont été déjà for-més lors des deux premiers stages. Je joue un rôle de superviseur mais aussi j’intègre quelques notions de travail comme la formation sur le volley-ball de plage ce matin (19 février) et l’ex-ploitation des petits espaces dans le but de permettre aux athlètes d’être plus en contact avec le ballon. Donc, les 10 premiers ont eu un rôle de professeurs mais aussi de stagiaires qui ont appris de nouvelles choses qu’ils pourront aisément enseigner aux jeunes apprentis volleyeurs.

Je veux croire que ce qu’ils ont appris comme joueurs et comme jeunes entraîneurs, ils le pratiqueront pour servir de modèles aux apprentis volleyeurs, mais aussi l’enseigneront aux plus jeunes ou dans leurs clubs pour que plus de volleyeurs le mettent en pratique et que plus de jeunes le connaissent et l’exploitent.

EN : Quelles sont vos espé-rances d’instructeur après cette formation ?

(Je lui disais que dès aujourd’hui je vais utiliser cette exploitation du terrain qui permet aux gens que j’en-traîne d’avoir la possibilité d’être plus en contact avec le ballon - intervient le traducteur Frédéric François)

JK : J’espère que, dès ce soir, les nouveaux entraîneurs commenceront à mettre ce que j’ai pu partager avec eux en application.

En outre, j’ai vu la sélection natio-nale des moins de 15 ans jouer contre l’Ecole nationale des talents sportifs (ENTS) et j’ai pu remarquer trois jeunes volleyeuses(1) de l’ENTS qui ont assez de talent pour pouvoir aisément inté-grer le collège aux Etats-Unis (NDLR : Il s’agit de Julie Samate, Soleida Pierre et Sarajine). Et si elles ne parlent pas l’an-glais, elles peuvent aisément évoluer à Montréal, en France ou n’importe où il y a un volley-ball de haut niveau, car elles sont excellentes.

Aujourd’hui, nous avons travaillé sur le volley-ball de plage(2) parce que je crois que si on habitue Julie Samate et Soleida Pierre à jouer en-semble au volley-ball de plage, elles peuvent devenir de très grandes pro-fessionnelles.

Nous avons aussi travaillé, lundi 18 février sur le sitting volley-ball qui est du volley-ball pour handicapés, des gens qui ont des problèmes aux ge-noux et qui sont obligés de jouer assis. J’espère voir une équipe haïtienne de sitting volley-ball disputer le tournoi international de 2015 au Canada.

Propos recueillis par Enock Néré/[email protected]

VoLLeY-BaLL/ForMation

Objectif de John Kessel : améliorer le volley-ball haïtien

La Direction technique nationale de la Fédération haïtienne de football (Fhf) organisera au siège du Centre technique Fifa goal, sis au Ranch

de la Croix-des-Bouquets, une séance de formation de haut niveau, destinée aux entraîneurs haïtiens officiant dans le championnat national de première et de deuxième division. L’objectif est qu’ils soient à jour, dans ce qui se fait de meilleur dans le monde du coaching. Ré-pondant à une question de Ticket Sport, le Directeur technique national indique « les inscriptions et les préparations vont bon train ».

La première sur toute une série de séances de formation destinée aux en-traîneurs de football en Haïti pour l’année 2013 est fixée au mois de mars. Ce sont des experts venant de France qui animer-ont ce séminaire. Ils répondent aux noms de Nicolas Huysman et Jean Charles Des-

granges. Selon Wilner Etienne, un autre expert pour parfaire les compétences des gardiens, devrait en principe se trouver en Haïti, mais « je dois confirmer son nom le 27 février », a-t-il précisé.

A la question, pourquoi une telle séance de formation ? Le patron de la Direction nationale a répondu ce qui suit: « dans le cadre de ses activités de forma-tion et aussi avec le projet quadriennal de revigorer le football haïtien, la Direction technique nationale a lancé définitive-ment les inscriptions sélectives pour la formation de haut niveau d’entraîneur qui sera organisée du 17 au 28 mars 2013 sous l’égide de trois experts français »

Qui sont qualifiés pour prendre part à ce séminaire? Wilner Etienne répond : « Cette formation sera consacrée stricte-ment aux entraîneurs ayant déjà obtenu les niveau 3 et 4, ou une équivalence de stage à l’étranger et travaillant déjà au

niveau du championnat de D1 ou D2 durant trois ans ».

Concernant les critères de participa-tion, ils sont définis ainsi : être âgé de 22 ans et plus, être en bonne condition physique et en bonne santé (certificat médical exigible), avoir déjà obtenu son diplôme 3 ou 4 exerçant déjà le métier d’entraîneur durant 3 années au niveau des championnats de D1 ou D2, capacité de pouvoir parler et écrire le français, une lettre d’accompagnement de son club, ajouté à cela un résumé de carrière et des frais de participation de 10,000 gourdes.

S’exprimant sur les inscriptions qui ont débuté, il y a deux semaines, le coach Etienne a fait savoir que « Ça débute timidement. Ce qui est certain, avec ou sans beaucoup d’entraîneurs, et même avec une dizaine, cette formation de haut niveau aura bel et bien lieu », a-t-il

martelé pour couper court aux rumeurs faisant état d’un possible report.

Pour finir, la Direction technique nationale a souligné à l’intention des entraîneurs du football en Haïti que sans cette formation, aucun entraîneur ne disposant de ce diplôme, ne pourra pas officier comme titulaire sur le banc dans les deux championnats nationaux », « Cette mesure rentre dans le cadre de la structuration du football haïtien pour l’amélioration efficace du niveau de jeu ».

Signalons que toute personne répon-dant aux critères précités peut retirer le formulaire d’inscription disponible au Centre technique Fifa goal, situé au Ranch de la Croix-des-Bouquets et au stade Sylvio Cator.

Légupeterson Alexandre /[email protected]

Séminaire pour les entraîneurs de foot

Du 17 au 19 février, l’instructeur américain et directeur du développement du sport à la Fédération américaine de volley-ball, John Kessel, a assuré pendant trois jours une formation d’entraîneurs suivie par une quarantaine de participants. Après sa séance de travail axée sur le volley-ball de plage et de quelques techniques non encore observées dans la pratique du volley-ball haïtien, il fait le point pour les lecteurs de Ticket Sport

Enock Néré : M. John Kessel, quel a été l’objectif principal de cette formation d’entraîneurs?

John Kessel : A mon arrivée, ma première phrase n’a pas été: je viens vous enseigner quelque chose, mais plutôt: nous sommes là pour travailler ensemble à l’amélioration du volley-ball haïtien.

EN : Quelles sont les carences que vous avez observées chez nos entraîneurs ?

JK : La chance aux entraînés d’avoir un peu plus de contact avec le ballon lors des séances de travail. Les entraîneurs haïtiens ont tendance à disposer les athlètes sur un trop grand espace, ce qui laisse moins d’occasions aux entraînés de pouvoir toucher le ballon. Comme vous voyez, nous avons disposé les filets de ma-nière à ce que les athlètes puissent évoluer dans un espace réduit et puissent être plus souvent en contact avec le ballon.

EN : Pour les lecteurs de Ticket Sport, parlez-nous un peu de votre passé de volleyeur ?

JK : J’ai maintenant 60 ans et j’ai

1 - « Les joueuses citées par John Kessel accompagneront la sélection nationale de volley-ball en tant qu’invitées afin de pouvoir suivre le plus de compétitions possibles en tant qu’athlètes en devenir », assure le tra-ducteur Frédéric François

2 - « La Fédération haïtienne de volley-ball est invitée au championnat des jeunes de beach volley qui doit se tenir en Chine en 2015 et nous de-vons disputer les éliminatoires en 2014. Nous travaillons à constituer des équipes et voilà que sans être informé de ce qui se fait, il estime que Julie Samaté et Soleida Pierre peuvent former une bonne équipe de volley-ball de plage » poursuit Frédéric François.

Page 8: 20 ans de mode pour Harry Lafond

8 23 février 2013No 805

Pour toutes suggestions écrivez-nous à [email protected] Production

JEUX - 62

Les mots peuvent figurer dans tous les sens : horizontalement, verticalement, en diagonale, de haut en bas et vice versa, de droite à gauche et inversement. Les trois lettres restantes désignent une plante potagère dont le bulbe au goût piquant est utilisé comme condiment.

MOTS CACHÉS

ABRUTI CLIMAT OCTOGONE SCRIPTEACCEPTÉ COCHON OMBRE SENSÉEACHEVÉ COSMOS OMNIUM SURVOLAHURIR DISTINCTE OTARIE TAILLISALEXIE ÉCOLE OZONE TAMPONASTATE ÉCRUE PEINT TANNINBICHER ENGIN PILORI TAOÏSMEBREBIS FARCIR POLIO TAULEBULLE FIEFFÉ PROUE TOISECACTUS FISTON RAJAH TOURETCALOMNIER LAVABO REMISE TOUTECAQUET LUPUS SADIQUE URGERCARBURE NÉANT SALOP VAUTRERCÉLERI NEUTRE SANTON VIRILCISELÉ NOIRCI SCAMPI

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Horizontalement1 - A dirigé le pays en 1990. 2 - Menée à bien. Trompé.3 - Printemps. Mus par le vent.4 - Suffixe d’origine grecque. Article. Note.5 - Règle. Revue.6 - Élément désignant l’atmosphère. Possessif.7 - Président haïtien.8 - Coffrets. Pronom personnel. 9 - Légumineuse. De l’après-midi.10 - Assassinée. Collecte.

Verticalement1 - Thérapie. 2 - Pension. Symbole chimique.3 - Conjonction. Approuvé.4 - Abîmé. Repasser.5 - Mettrons en quarantaine.6 - Quartier des environs de Port-au-Prince.7 - Unités monétaires de la Roumanie. Cube à six faces.8 - Achetasses.9 - Attirée. Trou dans un mur.10 - Coutumes. Respect.

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Une grille de Sudoku se compose de 81 cases regroupées en 9 blocs de 9 cases. Place un chiffre de 1 à 9 dans chaque case vide. Chaque ligne, chaque colonne et chaque boîte 3x3 délimitée par un trait plus épais doivent contenir les chiffres de 1 à 9. Chaque chiffre apparait donc une seule fois dans une ligne, dans une colonne et dans une boîte 3x3. Quelques chiffres ont été placés pour vous aider.

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PYRAMIDE

Complétez la pyramide avec les nombres manquants. Chaque brique contient la somme des deux cases situées en dessous de celle-ci.

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Découvrez la valeur de chacun des symboles. Les chriffres correspondent au total de chacune des rangées et des colonnes.

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En changeant une seule lettre, inscrivez un nouveau mot au-dessous du premier, et ainsi de suite jusqu’au dernier. Pour vous aider, certaines lettres des mots à trouver sont déjà en place.

G A L O P

G NA L O

L SO N G

S EO N G

G EN O M

M EO I NM O M I E