s u p p l é m e n t

Lieux de VieS O M M A I R E

n Bienvenue à La Chanaye

Entre nous

n Zoom sur le quartier Saint-Clément

n Les souvenirs des Saint Clémentinsn Les fêtes de quartier sont de retourn 6ème édition du Salon des Jobs d’étén Un dimanche à la campagnen La vie rurale en Bourgogne du 18ème siècle à nos jours

Infos pratiques

n Galerie Mary Annn La NAFSEP recherche un(e) bénévolen Le 55ème Concours des Grands Vins de France…n et le 6 ème Salon des Vinsn Gastronomie : un Mâconnais distinguén L’indice Atmo du mois de févriern « Mise en scène d’une ville plus propre ! »n Cultivons notre jardinn Vaccinationsn Gardes de la médecine libéralen Numéros Santé urgencen Les Points Information Mairie (PIM)n Allô mairie ?

L e m e n s u e l d e l a v i e à m â c o n

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« Un Mois à Mâcon » va présenter chaque mois un centre social. Ils

sont au nombre de quatre sur le territoire de Mâcon. Cette nouvelle série d’articles s’ouvre avec la présentation de celui de « La Chanaye ».

Pour Laurent Dardoullier, directeur de cette structure « un centre social permet de coordonner les partenariats entre les différents acteurs institutionnels qui opèrent sur un territoire donné (Ville, Education Nationale, CAF, Conseil Général), ainsi que toutes les associations. Mais le plus important dans un centre social, ce sont les habitants eux-mêmes qui doivent y trouver une écoute et une place privilégiées ».

« Le Centre Social est un catalyseur, un accompagnateur, grâce auquel le « faire avec » et le « faire ensemble » prennent tout leur sens » ajoute-t-il. De fait, c’est un véritable fédérateur d’actions, mais à la condition que les habitants s’impliquent et les fassent vivre. Les opérations « Faites et de la soupe » et « Festiv’Sud » en sont de parfaits exemples : dans les deux cas, le succès est cha-que année au rendez-vous, car les habitants du quartier de la Chanaye se sont totalement investis dans ces deux manifestations. Tradition venue du Nord, « Faites de la soupe » réunit 600 personnes place Salvador Allende : c’est l’occasion de faire des découvertes culinaires, de s’amuser, mais aussi de se rencontrer. En effet, quoi de mieux qu’un repas pour tisser du lien entre les populations et les générations ? Pour Festiv’Sud, ce sont les jeunes du quartier qui sont mis à contribution : ce festival de musique est organisé par la Ville, avec eux et pour eux. Quant à la programmation, elle fait généralement la part belle aux groupes locaux : pour l’édition 2009 qui s’est tenue le 28 février dernier à la Cave à Musique, on a pu voir sur scène New School, un collectif originaire des Blanchettes.

Pour Caroline Théveniaud, adjointe en charge des centres sociaux, voilà bien la preuve concrète que les centres sociaux sont le creuset où se mêlent professionnels, associations et habitants : «le Centre Social est un lieu où l’on trouve aide et assistance, mais il se veut aussi et surtout lieu d’expression, de création, et d’initiatives. De plus, le Centre Social se doit de recueillir la parole des habitants, car une action ne vaut que parce qu’elle est le fruit de discussions, de rencontres, d’échanges ». Dans cet objectif, les centres sociaux vont dans les mois à venir organiser des portes ouvertes afin de mieux expliquer leur rôle auprès de tous les habitants.

Présenter

Bienvenue à la Chanaye !

Apporterdu mieux vivre aux habitants

Centre social de la Chanaye2 rue Paul Eluard, T. 03 85 20 51 55.Horaires d’ouverture : 9h00-12h00 et 14h00-18h00

+ d’infos

Le Centre social, c’est…Développer des temps de rencontre ouverts à tous.Organiser des sorties familiales pendant l’année (montagne, mer, parcs de loisirs, sorties culturelles…).Soutenir la vie associative en renforçant le lien entre la Ville et les associations : Fête de quartier, Fa Si La Chanaye…Participer aux opérations comme « Contes et Lumières, Carna’ville, Repas de Quartiers ».

Alors n’hésitez pas à pousser la porte de votre centre social, Laurent Dardoullier et toute son équipe vous y attendent.

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L’histoire du quartier de Saint-Clément est indissociable de celle de son église, seul élément de continuité du VIe au XXIe siècles. Au départ, avant même la constitution du bourg et la création de l’église, il y avait une abbaye féminine, considérée comme un haut lieu du christianisme mâconnais. En effet, c’est au VIe siècle, selon la charte 103 de Saint Vincent, que le roi Gontran offrit à l’évêque Eusèbe des terres sur Saint-Clément pour y implanter un monastère de religieuses augustines, qui occupaient leur temps entre la prière, le service aux pauvres et l’instruction des jeunes filles. Leur chapelle devint église paroissiale vers 915 pour répondre aux besoins spirituels de la bourgade naissante autour de l’abbaye.Par la suite, l’église a connu de nombreuses péripéties : pillée à plusieurs reprises, détruite en partie par un ouragan, mais aussi maintes fois transformée, à tel point qu’elle comporte aujourd’hui des éléments d’origines et d’époques diverses, le plus ancien étant sa tour carrée qui est un des rares vestiges mâconnais du XIe siècle.

Prospérant autour de cette église, Saint-Clément resta jusqu’au XIXe siècle un village rural. Après la Révolution, c’est une paroisse de 700 hectares dont 400 de terres labourables, 200 de prés et 80 de vignes. À cette époque, on vient du Mâconnais et de la Bresse

Quand reverra-t-on la fresque du Père Liochon ?« Le Père Liochon était un simple épicier-tonnelier qui reste pourtant un personnage incontournable dans la mémoire collective des Mâconnais. Il avait d’ailleurs attiré l’attention de Pierre Bonte et du « Petit rapporteur ». Avec son vélo « fourre-tout », il n’était pas rare de le voir rouler à contresens dans la rue de Lyon, béret sur la tête et lunettes sur le nez. Passionné de voyages, il participa à la dernière croisière du France et au premier vol commercial du Concorde.

Pour lui rendre hommage, une fresque avait été peinte au début des années 1990 sur le mur mitoyen de l’ancienne épicerie. Elle était composée de cartes postales, on y voyait le paquebot France, le Concorde, l’église Saint-Clément et les clés de l’épicerie-tonnelerie familiale. Or, depuis, ce mur a été détruit, mais, avant sa démolition, la fresque a été photographiée et numérisée. Et la municipalité s’est engagée à la reproduire un jour, sur un bâtiment du quartier. »

Aujourd’hui situé entre les quartiers de la Chanaye, de Bioux et de la Percée sud, Saint-Clément a autrefois été une paroisse rurale avant de devenir faubourg

de Mâcon, puis d’être intégré complètement à la ville en 1856.

en pèlerinage à Saint-Clément « pour la guérison des douleurs » : autrement dit les rhumatismes chez l’homme, mais aussi la boiterie du bétail.Son annexion à Mâcon interviendra dans les années 1850. À l’origine de ce rattachement, la décision de la compagnie des chemins de fer de construire une gare à la sortie de Mâcon : celle-ci aurait donc dû s’appeler « gare de Saint-Clément-lès-Mâcon ». Pas question pour le maire de l’époque qui, pour éviter cet affront, finit par décider l’incorporation totale de Saint-Clément à la ville.Du reste, le tracé du chemin de fer Paris-Lyon-Marseille va complètement bouleverser le quartier, puisqu’il passe devant la porte principale de son église. Dès lors, des travaux de transformation et d’agrandis-sement sont menés entre 1854 et 1856. Trois nefs gothiques sont créées portant sa longueur à 38 mètres. On y insère aussi la porte gothique de la chapelle Notre-Dame-de-la-Pitié, une cloche de 508 kg et une nouvelle cuve baptismale. Mais, surtout, l’entrée ne se fait plus contre le talus du chemin de fer, mais sur la place : l’église a changé complètement d’orientation et entre du même coup dans une nouvelle phase de son histoire !Depuis la dernière guerre, Saint-Clément est un des quartiers qui s’est le plus transformé, avec la construction de nombreux immeubles de part et d’autre de la nouvelle Percée sud. Sa population dépasse les 8 000 habitants en 1950, mais il reste alors encore habité en majorité par des agriculteurs et des jardiniers qui alimentent les marchés de la Ville. Au fil des décennies, cette paroisse rurale se

transformera peu à peu en une zone urbaine d’habitation et d’industries.Depuis les années 2000, c’est une importante restructuration dont bénéficie ce quartier, tant au niveau de l’habitat que des infrastructures. Georgette Degoulange, conseillère municipale en charge du Point Information Mairie de Saint-Clément en témoigne : « Le quartier s’est beaucoup rénové, de nombreux bâtiments vétustes ont été démolis, pour permettre le réaménagement des voiries, la création de parkings et d’arrêts de bus, mais aussi l’aménagement d’espaces verts et arborés ».Et c’est loin d’être terminé. Parmi les projets en cours, notons le démarrage de la construction d’une résidence pour seniors de 60 personnes chemin des Blanchettes, par un promoteur privé. Par ailleurs,

route de Lyon, la Ville est en négociation avec la boulangerie « Le fournil de Saint-Clément » pour fixer l’ indemnité d’éviction afin de permettre ensuite la démolition du bâtiment en très mauvais état. À la place, un immeuble de service (commerce en rez-de-chaussée et bureaux à l’étage) devrait voir le jour à l’horizon 2010. Enfin, rue Bigonnet, dans le contrefort du terre-plein de la voie ferrée, l’aménagement d’un parking de 70 places environ est prévu. Qu’on se le dise, Saint-Clément a les yeux tournés vers son avenir !

Sources : - Mémoire en images – Mâcon, Tome II (1939-2000), par les Cartophiles mâconnais (édition Alan Sutton).- Les grandes heures des églises de Mâcon, par Bernard Rebuffet (1974).

Zoom sur le quartier deSaint Clément

Se souvenir

Paroles de Saint-ClémentinsAnnie Dubois-Guillot« J’ai vécu toute ma jeunesse dans ce quartier. Mon baptême, ma communion et mon mariage ont été célébrés dans l’ancienne église. À l’époque, Saint-Clément, qui abritait surtout des paysans et des maraîchers, en particulier dans les hameaux de Fontenailles et des Noyerats, cultivait vraiment sa différence par rapport à Mâcon. Dans les années 50, il était tout naturel de voir des troupeaux de vaches traverser la route devant les voitures pour aller brouter dans la prairie sur le champ de course et, quand on n’avait pas école, on allait vendanger dans des vignes à l’automne… Parmi les figures du quartier, je me souviens de Léontine Brun qui partait, avec sa charrette à bras, vendre ses légumes au marché de Mâcon. J’avais à peine une dizaine d’années quand ma mère et moi faisions des bouquets de fleurs que nous confions à Léontine pour qu’elle les vende sur le marché : le soir, j’allais chez elle chercher ma monnaie, c’était mon argent de poche ! »

Monsieur Mélinand« Né rue de Lyon, j’y suis resté jusqu’à l’âge de 13 ans, avant d’entrer comme apprenti dans la société de quincaillerie Maringue, où j’ai ensuite travaillé pendant 46 ans. Saint-Clément, c’est le quartier de mon enfance, que j’arpentais avec toute une bande de copains. On se retrouvait au patronage au couvent des sœurs, on jouait aux cartes… Dès les beaux jours, tout le monde sortait sa chaise dans la rue pour discuter.Je me souviens en particulier du Père Liochon, que l’on surnommait « Totoche ». C’était vraiment un original ! Il disait qu’il était sourd, mais quand on faisait exprès de laisser tomber une pièce de monnaie derrière son dos, il se retournait à chaque fois ! Sa mère tenait l’épicerie où on allait s’approvisionner en rouleaux de Zan et autres confiseries. »

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Zoom sur… 6e édition du Salon des Jobs d’étéLe samedi 4 et le mercredi 8 avril, l’espace Carnot – Montrevel à Mâcon accueille la 6e édition du salon des Jobs d’été.Chaque année, à l’approche de l’été, les jeunes sont nombreux à chercher un emploi saisonnier pour la période estivale pour financer leurs études, partir en vacances, enrichir leur CV ou tout simplement faire leurs premiers pas dans la vie active. Pour répondre à leurs demandes et les accompagner dans ces démarches, le Point Information Jeunesse de Mâcon, en partenariat avec l’e Pôle Emploi et la Mission locale, organise le Salon des Jobs d’été. Cet événement s’articule autour de deux journées : un temps de rencontres et de découvertes avec de nombreux postes de jobs d’été sur le bassin mâcon-nais et en Europe affichés le samedi à l’espace Carnot et une journée consacrée à l’aide à la rédaction de CV et de lettres de motivation avec la mise à disposition d’ordinateurs, le mercredi qui suit. Nouveauté cette année : un espace conseil réunissant des chefs d’entreprise sera mis en place le samedi matin, de 10h00 à 12h30. Il proposera des simulations d’entretiens d’embauche et des conseils de professionnels. Rappelons que toutes les offres d’emplois seront mises en ligne sur le site : www.jobsdete-bourgogne.com. Elles seront consultables au PIJ avec un code d’accès.Renseignements : PIJ, Stéphanie Grivot, Nassera Bougrine, Virginie Bonnin, Place Saint-Pierre - 71000 Mâcon. Tél. 03 85 21 91 97.Salon des Jobs d’été 2009 : samedi 4 avril de 10h00 à 17h00 et mercredi 8 avril de 9h30 à 12h00 et de 13h30 à 17h30Espace Carnot Montrevel - Hôtel de Ville de Mâcon.

Un dimanche à la campagneLe Comité des fêtes de Loché, en partenariat avec l’Amicale des chasseurs, organise, le dimanche 19 avril, une journée placée sous le signe de la pêche et de la brocante.C’est un des grands rendez-vous qui annonce le retour des beaux jours : un joli moment de convivialité. Depuis une dizaine d’années, la journée « Pêche à la truite » organisée autour du lavoir de Loché réunit un public nombreux. Pour la 2e année consécutive elle est menée en partenariat avec l’Amicale des chasseurs de Loché qui dresse une brocante sur le chemin des Boutats. « 120 kilos de truites sont déversés dans le lavoir et pratiquement tous pêchés dans la journée » souligne Marie-Suzanne Sandrin, Maire Déléguée de Loché. Pour compléter le programme de cette journée familiale par excellence, les organisateurs proposent un déjeuner sur place et, nouveauté pour cette édition, une pêche au canard sera mise en place, pour les plus petits, dans le bac de la fontaine.Renseignements : Mairie de Loché – Tél. 03 85 35 60 73.Horaires d’ouverture : de 14h00 à 18h00 le lundi et le jeudi.

La vie rurale en Bourgogne du 18ème siècle à nos joursLe vendredi 24 avril à 18h30 un colloque conférence sur le thème « vie rurale en Bourgogne du 18ème siècle à nos jours » se déroulera à la Médiathèque.Ce colloque sera animé par Pierre Trontin issu en ligne directe de cette terre nourricière, de laquelle il a recueilli maints témoignages dans son enfance par voix orale, avant de s’abandonner à des recherches approfondies qui lui ont permis d’écrire le roman historique en trois volumes intitulé « Tonnerre de Bresse » qui a connu un grand succès et a été récompensé en octobre 2008 par le prix « Jura ». Nous avons tous connu, dans un passé plus ou moins lointain, des ancêtres qui étaient paysans, donc de racines terriennes. C’est la raison pour laquelle beaucoup d’entre nous se passionnent pour l’histoire, somme toute pas si éloignée, de nos aïeux campagnards, dont la vie en même temps était si différente de la notre d’aujourd’hui. Quelles étaient en effet les joies et les peines de ces ruraux souvent démunis, peu instruits, à la merci des disettes et des guerres ? Comment vivaient-ils leur quotidien avec des journées de travail interminables, trop souvent impuissants face à l’accident et à la maladie ? Famille, polyculture, habitat, patois, religion, maternité, service militaire, loisirs, vieillesse, place de la femme, ainsi que nombre d’autres sujets seront évoqués lors de ce colloque conférence. En fin de séance, vous serez invités, pour ceux qui le souhaitent, à enrichir le débat par vos témoignages personnels.

Depuis le 13 mars et jusqu’au

17 avril, le PIM de Saint-Clément à Mâcon accueille une grande exposition consacrée aux habitants et leurs souvenirs. A découvrir.

Les Saint-Clémentins n’ont pas fini de nous surprendre ! Après le formidable succès de l’exposition « Un siècle de Saint-Clément » organisée en mars 2008, les habitants décidaient, il y a quelques mois, d’organiser une nouvelle manifestation, mais à leur initiative. Ainsi, une grande collecte de photos notamment de classes, objets et documents en tous genres, était lancée. Ils ont été nombreux et nombreuses à répondre présents. En toute simplicité, ils ont confié leurs jolis souvenirs au PIM pour une exposition inédite réunissant une centaine de documents.Très impliqués dans la vie du quartier, les commerçants de Saint-Clément se sont associés à cet événement en racontant la petite histoire de leur commerce. Les témoignages présentés dans le cadre de l’exposition ont été rédigés par Georgette Degoulange, Conseillère Municipale, chargée du Point Information Mairie de Saint-Clément.

Coup d’envoi d’un printemps festif avec les fêtes de Flacé et de la Déserte.

Fête de Flacé : du 11 au 13 avrilTraditionnellement, lors du week-end de Pâques, le Comité d’entraide de Flacé organise, avec le soutien de la Ville de Mâcon, sa fête de quartier accompagnée d’un marché aux puces. Le comité va donc investir la place Albert Desnoyers et les par-kings alentour les samedi 11, dimanche 12 et lundi 13 avril. Stands de tir, manèges, pêche à la ligne, jeux « Autos-Scooters » : pour le plus grand plaisir des petits et grands, tou-tes ces animations foraines seront en place

un peu avant et un peu après la fête du quar-tier, soit du 7 au 16 avril. Enfin, le lundi 13 avril, le marché aux puces devrait attirer un large public, de 6h00 à 20h00, dans la cour de l’école Henri Matisse.

Fête de la Déserte : le 1er maiQuatre ans déjà que l’ADLD (Association de défense des locataires des quartiers Perrière-Marbé-Déserte) organise une fête de quartier, au printemps, en plein coeur de la Déserte. De 14h00 à 17h00 : stands avec jeux divers, promenades en poney avec le club de Laizé et en 2CV avec « Val Deuche Saône », kart à pédales, structures gonflables, jeux de boules sur cible… La nouveauté cette année, c’est une plus grande place accordée aux danses folkloriques avec plusieurs formations qui se produiront sur le podium : danseuses orientales du groupe lyonnais Laïla et des danseurs de rock acrobatique venus de Chalon-sur-Saône. Parallèlement, un clown déambulera sur la place pour amuser les enfants. À partir de 20h30, la soirée dansante débutera sous la conduite du DJ de « Tess Animation » qui cumule les talents de chanteur, danseur et animateur.

À noter que cette fête prend de l’ampleur chaque année. Selon Christian Perrier, président de l’ADLD « elle contribue aussi, à sa façon, au réveil du quartier nord, au moment où celui-ci bénéficie d’une profonde rénovation. Qu’on se le dise : le nord de Mâcon bouge ! »

Point Information Mairie de Saint-Clément92 bis rue de Lyon, Nassera BougrineTél. 03 85 22 15 06. Horaires d’ouverture : du mardi au vendredi de 14h00 à 17h00.

Comité d’entraide de Flacé :Tél. 03 85 29 00 97ADLD :Tél. 06 68 20 61 33

Les souvenirs des Saint Clémentins

Les fêtes de quartiersont de retour…

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La NAFSEP recherche un(e) bénévoleLa NAFSEP (Association Française des Sclérosés en Plaques) lance un appel pour trouver un ou une bénévole sur le département. Volontaire et disponible, ce bénévole deviendra le correspondant de la NAFSEP en Saône-et-Loire. Il aura pour mission de faire connaître l’association et la maladie en menant régulièrement des actions au plan local, par le biais de rencontres amicales, de réunions d’information, de groupes de parole ou de manifestations de collectes de fonds.Cet appel s’adresse aux personnes directement ou indirectement concer-nées par la sclérose en plaques. De plus, il est nécessaire d’avoir le sens de l’écoute pour soutenir les personnes atteintes de cette maladie, les informer et les orienter dans leurs démarches administratives. Afin de mener à bien sa mission, le bénévole bénéficiera d’une formation et sera encadré par les membres du siège social.Présente sur le terrain depuis 1962, la NAFSEP apporte, jour après jour, son soutien aux personnes atteintes de sclérose en plaques, ainsi qu’un service social, des permanences juridiques, une permanence téléphonique de soutien psychologique et un réseau de 110 délégués et correspondants départemen-taux, tous bénévoles.

Pour rejoindre l’association, contacter le 05 34 55 77 00 ou envoyer un mail à nafsep@nafsep.orgPour plus d’informations : www.nafsep.org

Le 55e Concours des Grands Vins de France…En 1954, année de sa création, le concours des Grands Vins de France réunissait à peine 68 échantillons. Le 18 avril prochain au Parc des expositions, 10 300 échantillons seront soumis à l’appréciation des dégustateurs et l’équilibre entre toutes les régions viticoles de France est parfaitement respecté, même si Bernard Delaye, président du Comité des Salons, Concours & Foire Nationale des Vins à Mâcon, constate « une forte augmentation des vins issus du Bordelais et du sud-ouest depuis 5 ans ». Tous les vins de France seront donc là. Un pal-marès viendra récompenser les meilleurs d’entre eux : médaille d’Or, d’Argent et de bronze. En ces époques ou la fiabilité du produit est une exigence de plus en plus forte de la part du consommateur, le Comité oragnisateur axe son travail sur le suivi des vins, de manière à garantir leur traçabilité, de la vigne au linéaire. Le Concours des Grands Vins de France à Mâcon reste donc un facteur essentiel de la promotion des vins français dans le monde.

… et le 6e salon des vinsParallèlement, le Salon des Vins se tiendra du 18 au 20 avril 2008 au Parc des Expositions de Mâcon. Bernard Delaye constate avec plaisir que l’événement a « fait le plein » avec 90 exposants environ, dont 80 % sont des habitués. Ainsi, en quelques années, le Salon des Vins a su réunir une riche carte des appellations du territoire viticole français, mais le nombre d’exposants reste limité, dans un souci de sélection. Munis d’un verre de dégustation, les visiteurs auront ainsi accès à un vrai parcours initiatique avec des découvertes à chaque stand, notamment des cépages originaux et des appellations prestigieuses, rares et originales. Le secret du succès de ce salon selon Bernard Delaye ? « Le consommateur aime avoir le contact direct avec le producteur ».+ d’infos : www.concours-des-vins.com

Gastronomie : un Mâconnais distinguéLa finale régionale Bourgogne du concours national de recettes « Le Bœuf, les Races à Viande de France » s’est déroulée à Dijon le 10 février dernier. Maxime Delangle du lycée professionnel Dumaine est arrivé 3e ex-aequo. Véritable révélateur de talents, ce concours est organisé par le CIV (Centre d’Informa-tion des Viandes) et INTERBEV (Association nationale Inter-professionnelle du Bétail et des Viandes) Bourgogne. Les cinq candidats présélectionnés des lycées hôteliers de la région se sont retrouvés derrière les fourneaux le 10 février pour mettre au point, en à peine 4 heures, leurs recettes originales déclinées autour de trois morceaux du quartier avant du bœuf, à choisir parmi le paleron, le jarret, le collier, la macreuse à pot au feu, etc. Le palmarès a été établi par un jury composé de personnalités de la région et de professionnels de la restauration. Parmi les lauréats, Maxime Delangle, étudiant au Lycée Professionnel Alexandre Dumaine de Mâcon a été classé 3e ex æquo pour son plat intitulé « Le boeuf en trois (D) découverte, dégustation, déstructuré ».

« Mise en scène d’une ville plus propre ! »

La compagnie de théâtre, « Trottoir Express », vous accueillera le 8 avril sur la placette de la rue des Murgerets pour participer à la manifestation présentant les moyens mis en place pour garder une ville propre. Aussi, rendez-vous à 14h pour le début des hostilités. Une course de relais, un match de basket et des questions de rapidité seront organisés pour les enfants du quartier des Murgerets par le Sictom du Mâconnais. Ces jeux seront animés par la troupe de théâtre. Une manipulation des engins de nettoyage

et d’un camion grue pour la collecte des conteneurs sera présentée aux petits comme aux grands par la Ville de Mâcon et le syndicat. Une exposition, agrémentée des « œuvres d’arts » réalisées par les enfants de la Maison de Quartier des Gautriats et du Point Enfants des Saugeraies, sera visible sur place. Nous vous attendons nombreux pour passer ensemble une agréable après midi !

L’indice Atmo du mois de févrierRépartition par jour : • indice 3 : 19 jours• indice 4 : 3 jours• indice 5 : 6 jours

Les indices :10 : très mauvais09 : mauvais08 : mauvais07 : médiocre06 : médiocre05 : moyen04 : bon03 : bon02 : très bon

ATMO est satisfait, la qualité de l’aira été bonne au mois de février.

Si vous désirez plus d’informations sur la qualité de l’air à Mâcon en temps réel, vous pouvez consulter un technicien

qui est joignable au 03.80.38.92.31 du lundi au vendredide 8h à 11h45 et de 12h30 à 18h ou le site Internet

www.atmosfair-bourgogne.asso.fr.

Numéros Santé urgence • Drogue info service : 0800 23 13 13 (appel gratuit d’un poste fixe)• Violences conjugales féminines : 0800 05 95 95• Protection et assistance aux personnes âgées : 0800 02 05 28

Gardes de la médecine libérale En cas d’urgence mais en cas d’urgence seulement, les médecins généralistes de Mâcon assurent une permanence, sans rendez-vous à la maison médicale de garde rue Ambroise Paré 71000 MACON :• tous les jours à partir de 19h00 et jusqu’à minuit • le samedi à partir de 14h00• les dimanches et jours fériés de 8h00 à minuitEn dehors de ces horaires et toujours en cas d’urgence, si dans la journée vous ne parvenez pas à joindre votre médecin traitant faites le 15. De même, pour une urgence après minuit faites le 15 qui apportera une réponse adaptée. La Maison Médicale de Garde (MMG) accueille les patients au tarif payant conventionnel.

Les Points Information Mairie (PIM) sont ouverts du mardi au vendredi, de 14h00 à 17h00

• PIM de Marbé : Maison de l’Abîme. Tél. 03 85 21 01 39 - Agent d’accueil : Isabelle Conseillère municipale à votre écoute : Elisabeth Guillet

• PIM de Saint Clément : 94 Rue de Lyon. Tél. 03 85 22 15 06 - Agent d’accueil : Nassera Conseillère municipale à votre écoute : Georgette Degoulange

• PIM des Saugeraies : 153 Rue Louise Michel. Tél. 03 85 22 16 05 - Agent d’accueil : Mylène Conseillère municipale à votre écoute : Denise Noton

Allô mairie ?

Un numéro vert est à la disposition des Mâconnais qui souhaitent signaler des petits problèmes ou des dysfonctionnements, qu’ils aient ou non un caractère d’urgence. Par exemple : « une branche d’arbre est tombée rue… », « une fuite d’eau est signalée dans le quartier de... », « l’éclairage public est en panne au carrefour de... ». Le 0 800 33 72 73 vous met en relation avec une opératrice qui prend note ou vous oriente vers le service concerné. En revanche, ce numéro ne doit pas être utilisé pour joindre un correspondant à la mairie. Dans ce cas, il faut continuer à utiliser le standard de l’Hôtel de Ville : 03 85 39 71 00.

n Du 31 mars au 12 avril : Sylvia Battisti, peintre. Exposition « Liberté d’expression ».n Du 15 avril au 3 mai : Frères Lutz et Stefén sculpteur céramiste et peintre (collages et aquarelles). Direction de la culture - tél. 03 85 39 71 47. Horaires d’ouverture de la galerie : du mardi au dimanche de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00. Hôtel de Ville - quai Lamartine à Mâcon.

Ce mois-ci c’est aux potagers que nous allons nous intéresser. Voici nos conseils :

Tous les légumes peuvent dès à présent être semés sous abri : les jeunes plants seront repiqués trois semaines après la levée.En pleine terre, vous pouvez semer les poireaux (que vous repiquerez en juin), ainsi que carotte, épinard, laitue, oignon, pois...Semez les herbes aromatiques comme le persil, la coriandre et le basilic. Aneth et ciboulette sont à semer au chaud.Côté entretien, bêchez légèrement entre les fraisiers pour ameublir le sol et profitez-en pour apporter un bon compost (que vous aurez éventuellement fait vous-même : voir le rappel ci-après).

Rappel : le brûlage des déchets végétaux est interdit !

Le brûlage à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels des déchets végétaux, issus des jardins et parcs, est interdit sur Mâcon et les communes associées, aux particuliers comme aux professionnels. C’est ce que stipule l’arrêté préfectoral du 6 janvier 2004, qui modifie l’article 84 du règlement sanitaire départemental pour Mâcon et les communes associées. D’une manière générale, le brûlage n’est autorisé que sous certaines conditions et uniquement pour les communes rurales de moins de 2 000 habitants.La valorisation de ces déchets doit donc se faire soit par compostage individuel, soit par apport en déchetterie. Dans ce dernier cas, les Mâconnais sont invités à se rendre sur le site de compost de la Grisière. Le SICTOM propose également, sur abonnement payant, un service de collecte en porte à porte. Renseignements : service hygiène et santé de la Ville de Mâcon, tél. 03 85 39 71 76.

Vaccinations Les prochaines séances de vaccinations auront lieu :• au Centre Médico-Scolaire : 23, rue Mathieu, les mercredis 8 avril, 6 mai, 3 juin et 1er juillet de 10h30 à 11h30

• au Centre Social des 1 000 Fenêtres « En Marbé », 1320 avenue Charles de Gaulle, les mercredis 8 avril, 6 mai, 3 juin et 1er juillet de 14h à 15h

• au Centre de « Vie Quotidienne » des Saugeraies, 309 allée René Cassin, les mercredis 8 avril, 6 mai, 3 juin et 1er juillet de 15h15 à 16h

• au Centre Social « La Chanaye », 2 rue Paul Eluard, les mercredis 8 avril, 6 mai, 3 juin et 1er juillet de 16h30 à 17h45

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