Doc..sEPTIELP ANNEE N. 0.915

Anowcamersle te. t, nana 23 fr.: I an, 45 fr.

1 eeemelmememeememmewmagmegem

peildÉTÉ INDIVIDUELLE

ET POP' TÉ COLLECTIVELa profonde erreur que nos adver-

saires commettent en nous accusantde n'admettre le droit de possessionpolir personne ne opus étonne pas.Elle a été commune à nos adversai-res de tous temps.

Persuadés que nous sonnues lesennemis de la propriété, h, tenantsréacteurs politiques et /es conserva-teurs sociaux pensent, de bonne foi,que nous poursuivons l'expropria-lieu immédiate et brutale de tousIra propriétaires.

Et, à l'appui de leurs opinions, Ilsleur arrilrellelerrr des textes deMarx, de Guesde et de Lafargue oùceux-ci affirment la nécessité du col-lectivisme, du communisme ou dusocialisme comme on voudra.

Combien faudrehil donc répéterde fois à ces braves gens que al noussommes socialistes; communistes oucollectivistes au choix de noscontmnpteurs ce oral pas paréenue nous sommes les ennemis de la

mais tout au contraireparce que DO/19 en sonmies les pluschauds partisans et que nous vou-lons universaliser, c'est-à-dire enfaire profiler l'ensemble des mem-bres de la Société.

Pourquoi parlons-nous de pro-priété collective ?

Mais uniquement parce qu'elleexiste

Est-ce que les chemins de fer, lesmines, les grands magasins, les ban-ques, les Compagnies transatlanti-ques, /es métallurgies, les aciéries,PII lefilfin'ettes -*Medi-yes T

Les détenteurs des actions on desobligations de ces entreprises nesont-ils pas propriétaires en com-mun ?

Pourquoi accepter et reconnaitrepour quelenes-uns ces proprié-

tés collectives gomme des formesnormales de possession, imposéespar les découvertes scientifiques, etrepousser et combattre le socialismequi ne fait qu'étendre ces formesnormales de possession à l'ensembledes éléments Immains T_

Au nom de que/ droit supérieur etdivin réserver /a nrcpriéte collectiveaux capitalistes oisifs qui /a détien-nent, Dieu sait comment et par quels !moyens ! et refuser d'en faire béné-licier les salariés du muscle et ducerveau qui in rnettemt ris valeur etla font produire ?

Et combien, Marx, Guesde, Lafar-gue, avaient raison d'affirmer que si

Conseil de Cabinet

29 Mlle. Lee ministres et mus-secrésnies. dErst se mm Muras se matin en conseil4, mbinet, au ministère des stharss ',trams/am.eau I/ prEstdeu. de M. René. Renoult, garde'II smart,

lEsmev Aux PPonLEME.NTAIRESId. René, Reno-rit a mie ma colt/eues an mn.nui d, ta 0e0e5 parlementaire. Le conmil

oim à l'ouverture de la séance de carerstientim. iv perde des sceaux eu Sénat et leI,a.:,r,6tine d.. Pintés., à ta Cloambre communique.. télégramme du présidevv du cermet! re-.9situt éta, de. travaux de la Conférence dei..d,

.tL,tn demanda ensuite aux deux

assererer'smn'-ner les p7ablè'rnes urgents quià ror/re du Dur, notamment les calderavida et la lei sur les loyers. En outre. te'.°-''.des sem., déposera sur le bureau du S'eno

zraotot dr lei sur /amnistie et se tiendra 'tanné.''". , ta dt .tion e I o mission d,tentitspentivile et'cric'nst' nelle' deCetctemAssemblée.

MOLIVIleet ADMINISTRATIF

ministre d. riatsuss,.`"oototssiota d, conseil la première na,c armaient adminiemtif en préttistat'è".

CEtiLMONIES OFEICIEI t Fuest.., 'eamil a deléguè MM. Camille Chseemps..16Irede l'intérieur: Duesnil ministre de /az .., m

Victor Delbies. ministre' des régions 11,et de MoroDiatfori,soussmerétaim d'EmsIItimement technique, POU( représenter lenement uns fêtes Imam-belges qa, dpie Item au Htivre les 3 et 4 août, en pré-misse herMer d. Belgique et des mem.souverneinent belge.

I, ministre des travaus publics etministre du travail, se rendront leur.annster au Crand-Pria d'Eu-

r,,,,. ie,,,,,,,,,,r,o1:icler-Clc yhddeLFreng,

.Rernoldr. vamistre 'dtt Cent>tne.s-ce,,u'es'irl'en:' r,17:al l,'"

Raaction et AaLainietradie. 3e, Rue Requelaine - TOULOUSE é VI Campiu COvc555 pesteux tBUREAUX A PARIS 46. Rue de Trévise. 46 (IX* Arsondiasemen) Télépkose ; Rersère S...

--...,.*sayaggissiasaasisessanagaiestatifflicassiteAsanas/au saleseexiamt. ge..6.Y.Y.Yuga aaaaas ..... eamateomeretiessasene

Seranintallieneaterl

toute la propriété individuelle deve-nait capitaliste, sa transformation enpropriété collective s'imposerait, aunom de la justice sociale et de l'in-térêt de la production elle-même.

Mais quand la propriété collective,commune, n'existe pas, nous n'avonspas la prétention de l'établir de forceet de t'imposer par la violence.

Nous savons que c'est technique.ment et socialement impossible.

On ne crée pas à coups de lois etde décrets des formes nouvelles detravail.

C'est dans les flancs radine de lasociété moderne atm s'élaborent leslinéaments du monde de demain etvouloir devancer l'évolution ou /aprécipiter ne pourrait que la mettre:en péril

C'.t là toute la raison de notreattitude vis-à-vis de la petite pro-priété indoatrietle ou agricole.

Nous ifavans pas plus à expro-prier le petit propriétaire quiexploite soli bien avec l'aide dessiens tql parfois avec le concoursplus ou moins passager de salariésdont il achète la force-travail auprix fort, que nous n'avons à expro-prier le maréchal-ferrant, le char-ron ou le menuisier du village quivivent, eux aussi, de leur proprelabeur.

Elle ne lésera pas l'intérêt légitimedes laborieux, mais fera rendregorge aux inutiles !

Si le socialisme tend à remplacere la propriété polir ruer des mit-thoniers- et nes métayers par unvéritable droit de possession effectifet réel, il veut laisser indépendantset libres sur leurs domaines les non,hreux petits propriétaires à qui iln'aura pas à remettre la terre puis-qu'ils la possèdent déjà.

Ce qu'il pourra faire pour ces mil-liers de petits possédants ce sera deleur donner les possibilités de déve-lopper leurs moyens de travail etd'accroître leur rendement.

Il sera pour eux l'aide précieux, leconseiller prudent qui leur prou-vera, non pas par des paroles, maispar des actes, toute la sollicitude ettout son désir d'intensifier leur pro-onction.

Et si, un jour, la culture se fait encommun sur une terre devenue com-mune, c'est crue l'ensemble de cespetits propriétaires l'aura librement

DEUX MAAIFESTAT/IDLS PACIFISTESLa Commtsston emministiative permanente du

PH. sociaIiste &EDO. y déoirld d'organiser'deur manifestation, soutra la guerre t Pane leSi juill.,, anniversaire d. Pasemelnor do Jau-rès, Peut,. le 21 septembre, soixantième anni-versaire de l'Internationale.Cos manifestations seront faitee en accord ame

la Confédération Génés.rrled., neve.time la Confédération Généra/a do Travail .etla Ligue des /Droits de /Homme nous Porgsn,sation, en France, de la manifestraion notera. -tionale du 31 juillet (anniversaire de, let mon deJaurès) cc., la atterre.

/NCIDLS A LA PROPADAINDEInchels, motion député du Nord, a Mg nommé

ddidesé yarresioser.La Cormnisstin adminietrstive du Parti dé-

cidé de remPlacer notm camarade Théo-Brétin,permanent à la protmgande. élu mimes,

pat acère camarade inehe/s, ancien député duNord,

Abonnements de vacances

Antia lecteore de partes pas en vacan-ces sans acon fait le nécessaire pour queie a Midi Socialiste vous Parvienne pen-dent col, aillégiatstre.

Nous acceptons des abonnements de1

COMPERE-MOREL.Vacances d'aine dorée variable d raisondécidé.

d'edifq"tto2r° rien' ragé; t'a.nient la date der''"""° c."'i , départ de l'abonnement et celle de son

exPA'drteis's'er le montant de raisonnementpar menslat-eagte On chCque postalin' 55.277. Tantouse). au y Midi Sociailiste n, 36, rue Rcolialaine, Toutou..

Le Monument Jean JaurèsA CASTRES

A l'heure où, sur tous les pointsde la France, ries foules recueilliesCommémoreaf le lae anniversaire dela mort de Jean Jaurès, Cuistres seispesc a lmnorer cantine d consvient là mémoire du plus illustre de ses en-

Les travaux d'érection du monument sont Ir

commencés, et sous peu la statue dé Jeau4,/aturès teuvre du 'statuaire L.dbrielPech se dressera sur la place qui portedéjà le nom dit grand tribut,.L'inauguration du monument est prévuepote le mois d'octobre prochain. De gran-des fêles, dont le programme est à l'étude,

1accompagneront cette imposante citrémo,

Désireux de connaitre d'ores et déjà lesfends dont il pourra disposer, le Comitéprie tous les detenteurs*de listes de sous-cription de youktir bien les faire parveniravec les fonds recueillis, au trésorier dirComitéM. Frédéric Saulière, 34, rdace Soult, àCastres, compte-courant 11-778, bureaudes chéques postaux de Toulouse.

M. Lodge use malade

Ner,Yodr, 29 On mande de Cam-bridge, petite ville de l'am de Messachussets.que M. Ledge, le sénateur bien connu, est trèsmalade, ll e dû subir une aOO,vlivv. Sen d'dJPire de ué. VivrP inquiétudes.

M. Lods, est un dee adverssires les plus acher.nés de la Satiété dee I\tions es de la politiquede M.

eeixeseeteeeeoseleetteLISEZ ET FAITES LIRE

LE c. MIDI SOCIALISTE it

SOCIALISTE

RU JOUR LE JOUR

Fat, en.arro, une lotion mereedloom quiev,, ',Amitose d, pellicule, ses. no/micro In0.R1 da crave es donnent d vos chevesne la ma-plesas et le flou de le soie. Veillez-mas nie P.,"

La cliente permet. La coreear prend son faxeset le semas, sue la Dm de se clierde échocelée.

11Sita osa 5001 case la dao tâte den-flemme eg braie canune torche Sous les yeseépataient& du pacageivv mu s'y a. le tema,d, mu lâcher pour na Pris être lui-même trona.fermé en Nem.

L'opénelian °soi:taire s'yehacy 1 rhapiged. Ladom, s'on lisera peur-dire, mais elle pans useaume ea /merdé.

Déplorable «sentine qui a fait déjà phis dunedemanie de air-times eg cati d'errieer a s'osPeAsienne chiameate ?aisselle eut l'intosedeneeireccenter que l'en lit la fafaie lotion S basedédier.

Pear se rendre Plus belle Sa mieux est dé-cidément l'ennemi du bien panure Iv"-

ois' n/ sec.. le la Main,met mon cane.

Aloi, pourquoi les femmes mie-dies si peumisonnab/es dès qu'A s'esit de seias caperaisOn ne sevra jamais, non ea-quelierie « fait de victimes, à croire, ras asiole,soc età question de leurs cheveu, delem >agiote, de leurs pieds vu du reste, les fillesd'Ep, I., pl., lotes, ie, phes attirées gentenitonka notions et 8e conduisant somma de, gossestgai iovent sou, ies allumette..

F4 qua dire de de ce, y sedia-saurs dv logeai s qui ne serrent +ardeurs pas, ondépi, des interdictions ci de. plue horribles ex:>Armées, que l'éthee eat en liquide soleil soi',end feu tiès facilement, sada...mie:ad on aea gain de glace, à eget an Mitanni cliama.

ANDItt: NE.C.DES.

LOJIE. es-oies:dent de ReicUsies, amaanmas LA TRAVERSES DE PARIS A LA NAGEva disoome au Tmeadéroro.,.,4==,, Geerdelle, Senna.. edgemet

da I ennieersaire de ivnvort de /armés.7 km. On i h. 51.

La Vie du Parti Dans les Coulisses

LA DEDNETRE DE LASTEYRIEOn nv nom avait pas do qu'un peu aven, sa

brusque retraite, lovons, d, Lasteytie av,it étécartibridé. Ou pin...remissent. romit.failli faire,car, réveillé pr, ho bruit, il s'en,,o ana revoEeret surprit dam la pike voisine un cembrioleurauctuel i/ tint, no'mçon affirmé, ce lanèage

PONCE-PILATE COMMUNISTELa coutume demande, voulus-il, dans de nom.

breusee villes allemandes, que ms cc...et/SC[8enunimpeur nouvelle..0 élus défilent au de-lvod da la première sis,. qui 0MI t,FITIO, de-m. le bourgmestre qui km serre la main. Ceshake_hand indispensable confère v,u nouvel 51iias validation pour laquelle il n'aurait pas le deintde sièger.

Or, sur dernières élections mrrekirtiles deCe/senttirtiten. dans ta Ruhr, une fart, misai 'comm... fut élue. On vit alors sose seèee peubanale t tes élus corturronistee entrèrent, le itsurdo la première sésnee, précédés d'un huissierFor,u un seau plein d'emr et une pièce d'étoffemuge, Et après avoir sep, I. tedMonne/Iv na-ortIe de main, chaqse cenmiller ednomunista al-lait se tromper /a main dans 1. 5e31/1 ou Se l'es-sysar l'égfra écodste.

Ainsi se pstibieient-ile dv leur bref contact avm/a bourgeoisie.

VIEILLE-5 LUNESAstint les vacant:es a:idem...Ires, rappelons

une vieille histoire d'élmtion, très amusantemeus .,oislic, Aronde Bayer se mosentrat

Jadis étans /es Beimhes-du-RhAne cortire M. Eu.omis, du Fm,

Eugène Rostand osait etiduit Salluste, à sesmoments perdus. Mets la version de cacieredieaOs Ceflii, n'assit po eu Dom. d. Plaire itprofesseur du lycée marseillais, grand agent élec-toral d'Antide Beyer.

A one réunion, dans mue oeil, voisine du coursBelsunce, on vit soudain bondir le professeur.

Citoyen:, clarna-t-il, vo Restant/ tien cm*,im,atersr. Il se vante de sen inerrootims, de sontalent.,il c,, neve en avant sa probité littéraire,Eh bien I je vais voue dti, ro qu'il est

Gtovens, l'homme que ,'vos 000v devant vous

Trop Coquettes salle. A le guille-tine A l'eau D

Et /a tram. Raseur/ dut s'enfuir pour sau.ver . vie...

Itykoff et Mussolini

On se rappelle /ce déclarations de Rvlsoff,fans. apréo son retour en

Italie'ori a voyagé

prrntemps dernier. D'après les influ-a.0 indiens, k préside. deo mets aurait féli,cité vivement Mussolini pour Tordre et /a arcs-périt.; économiques qu'il a trouvé en Italie. Cmdkr,..eons a,nt fait quelque bruit en Euro,(en Russie presse communitio a caché à sealecteurs In voyage du ch,ef d. PEtat à l'étranger/,le gonvernement mese s'avise malmenant, deuxmei, obis tard. d, le» atténuer. DaPrès o.cem-munimté am vient d'être envoyé à la emsse.Rykoff aurait simplemenr constaté quea fait au peint de vue économique Plus do M..grès que ies autree 17.3, de l'Europe 7) et queI, capital italien noue"tm trouver des plaeementsintéressants mr les otites russes de la mer Noire.Mais ce communiqué, publié par I. a Praydene souffle mot sur le voyage du Flykolf. Les le,.teu. russes doivent ignorer sa visite à Mussolini.Pourquoi 7

Ça barda au Maroc

29 Mlle/ Ls corresponcht. du Ti-ntes à Tanger télégraphie que 1, 25 joillet,les Rif_foins ont attaqué en tome I,, pestes espagnols etse sots, emparés d'un mem avancé, infligeant atiaEspagnols des perte. aériens.u.

Lo. combat csntieue. et de nembrstm Damésarrivent à Tétouan.

On exttand dvii 1.117 feu "tes eue..

Sans le souvenir de la Ruhr1raccord serait déjà signé.

Siell Mai

soc(ifNtrillIONALE D'IMPII[SSIONSociété anonyme an capital de 2ii0.009 francs entièrement versésConstitué le 4 aêût 1920. Registre d. Commerce s Toulouse 483 O. Stands déposés.cher Ms HILARIOT, Notait. à Tou/muse

Siège soeiaL à TOULOUSE, 7648, RUE ROQUELAINE 36-38

BUT DE LA SOCIETELa Société a pour objet s Toutes les opérations se t'attachant directement osVoient au commerce de la Librairie et de P/mprinterie, à t'édition et I in vente detons Journaux et Publications et en parti culler la publication du journal

LE pelIDIQUOTIDIEN SOCIALISTE REG/ONAL DESSERVANT 15 DEPARTEMENTS

Émission de 1.000 Obligations de Cent francset 200 Obligations de Cinq cents francs

INTERETS SIX POUR CENTTitres ,sels dimputs présents et futtir à l'exception de tous droitsde transmission et de conversion.L'intérêt est payabk annuellement le 1" aoilm de chaque année.Ces obligations seront mnorties en vingt années à raison de cin-quante obligations de cent francs et de dix obligations de cinq centsfrancs chaque année à partir du 1- laàt 1931. Les obligations à amoriirseront désignées par tirage an sort. Ce tirage aura lieu chaque annéele 25 juin.Le premier lime aura lieu le 25 juin 1934. A partir de celle der.nière date, la Société se réserve la faculté de remboursement par anti-cipation ou de rachat en bourse.Ces obligations sont garanties en principal et intérêts par l'ensemblede l'actif social dont l'évaluation, il l'heure actuelle, n'est pas inférieureà 11 /I demi-million.Il seru créé une Société civile de souscripteurs on porteurs d'obli-gations.Le bulletin de souscription se trouve en quatrième page.

Puldication partie an e Journal officiel du lundi 7 juillet 1924.Les souscriptions sont reçues au Siège do la Société., 36, rue Roque/aine, à Ton-us, Les versements peuvent être faits au crédit du compte de la Société 515n5510-..._ale d'Impression, à la Banque (jourtois_m rstome, jr.-rta dt- ra -uerenselNationale sont accéptes en paiement pour leur valeur'etc.

Séria,tPari. 29 juillet: La séance est ouverte

à 45 h. lii, sous la notation. de M. deselves. Mil. Itena Renault et J. Goilart sontau banc dis entrer...ab

' L'AILNISTIEM. Renoua stéltorto le Projet Fg;tio qta est renvoyé à la commiss,cn do

té-station civile, et P.., avis à la DITImision des fi....LA CONFERENCE DIU LONDRES

M. RENOULT. Ito président du Canseiia la regret do ne peuvoir assister auxséances du raclement, étant retenu à Lon-dres par la eenferenee dont les travaux novoo pas encore tormin..

Là garde des sceaux donne lecture dutélégramme qu'il a repu do M. Herriot o;qui .t.Are lei reaultais ostenus à eojour.

La leeturo est suivio avoc beau.%) d'al:tertioo, mais ne donne lien Is aucune ma-nifestation.

D'ORDRE DU JOURM. BILINOULT. Lo gOuvernement de-

mande au Parlement 'AUL le cOnceurs dontil s besMn pour le vote de divers- lentes.Le Sénat aura à discuter, après la 00..-bre, un projet comportant le veto do cré-dite supp/Proentaires. Tout à Meute je se-rai entendu par la commission do égista-Lion civile oè oriminolle au sujet dos pro-jets coneornam les loyers oc ronniain Lacommission fera e.naîtro les résolutionsquello :mn prises. Je demande au Sénatdo fixer une nouvelle sda; Mo Pour adoPte,/es crédits supplémentaires et pour con-naître les décisions de la commission delégislation civile.

M. MILLIED-LATIROIX, président de Sacommission d. finances. Notre commis-sion fera diligence aussitét que les méditssupplémentaires auront été votes par /aChambre.

RATIER. La discussion de rani-nistie a été préesee, il la Chambre, demusieurs séances des commissions. L.débats se sont prolongés en lés,. Peu.quo ; de nombreux ameaseinens ont étéd0rns6s ; on ne peut demander a la com-mission du Sénat &examiner au pied !colun projet aussi considérable, et do prendreà bref délai u. décision.

BRE:VIEIL Je demande it la cOinnti,sien de faire le marna/un d'effort pourque le projet soit voté le plus rapidementpossible.

Je no veux pas rentrer dans te fond duria.at ; mais le pays s'est prononcé leli mai dernier, li ne comprenerait pasnouvel ajournement.

Oc Sénat, sur la proposilien de hi. Mii-liPs-Latoroix.- fixe sa prochaine sêanee àdemain, à f5 heures.

La séance est lovée à 16 h. 36.

A LA cummartELm rentrée. de /a Clambre s'est effec-

tuée sans chahut. Tous les siéent& ne se:assisans

,ken ,.c1ys rius.érIls n,'en faut. LOS vac...

Dès le début, M. Painlevé fait I'Mogeminime de M. Ignace, député de Faris,

t comme on sait cesjours gernims.Puis il annonce que /e préoident duronsell ne pausa pas assister, de quel-

ques ictus aux débats et qu'il s'en ex.case Pos lu télégramme suivant

LA 00MV-1/NICATIONDU PRI...S./DENT DU CONSEIL

Paris, 29 juillet. Voici le texte dotélégramme adressé cle Londrca au gatisnereent par le président du cavacil susctat ces travaux de la Conference, etdont il a été donné lecture, cet après;

raidi. aux dors ChambreLe gouvernement aurait désiré, ru se

'sentant aujourd'hui devant les Clam,lares, leu, porter In texte complet d'uniaccord auquel il travaille depuis deus

,amesi mais en dépit d'un effort cons-tant. la négociation n'a pu eroare êtreL's'rnI,i'eè's'diffirrents article, de raccord daParis, pria .atime base des discussionsde la Cenférence, mn été rcnvoy-és à descommissions, qui n'ont cessé de siéger.

a La première cantrejeion. clamée des'occuper dcv manquements et dosons,'tiens, a telouàl'SvOniSoibP des conclu-sjons que les repr6tsentents des prète,urséventuels ont estiméav inytaffisantes pourassurer le succès de rearprian de 8011ssiltium do marks or reelvn au pa;., Do-w.. De ce fait, ces rebella/Mn rs ont P,encore être adoptées à la Conférence.

ri La délégation française, sont en cherchant à rionnet aux prêteurs dm sécuritéslégitimes. veille à ce nu'atname atteintene, soit portée ni au trimé de Versailies,pour le cms où 5 s'appliquerait PaStion collective, aux droite de la France.

0 Le deuxième commission chargéeirétudier les conditions de l'Allemagne,

fait approrover, hier, par la Conftlrenceplénière unanime, rensembie 0e scs con.chisiong

y Demeure réservsè le point qui cancer-.ne In maintien des cheminots français etbelges sur la vive gauche du Rhin.

6 La troisième commission penisuit"rayai] sot les mestations cn nature etI,. transferts. La Conférence plénière aidans sa séance antorisé cette cremmission à étudier son prosnammc sans lalimitation du mandat qui, jusqu'à pata.sent, lui avait été inspereée.

20 CENT.MERGREDI 30 MILLET. 1924

LE CONSEIL D'ADMINISTRATION.

La rentrée tin Parlement

Il Herriot, télégraphie de Londres

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

En ce qui concerne l'admission desAllemands. Vaccaro s'est facilement éta-bli sur les propumness d un magn ra secepos6 d un juriste Eançais et d'un juristebrimnnigue ce comité a déterminé lespoints qui doivent être réglés, soit entrela C D. R, et l'Allemagne, soit entre legceuvernement allemand, soit enfin entreles gouvernements alliés.

s Conformément à ces pronmitions, laC.D R.a été priée de bien voulnr se ren-dre à Londms.

s, Les chefs de gouvernement convo-queront la délégation allemande lorsqueI accord sur ks questions msentielles seraréalisé entre les Alliés.

se Les négociations, qui impliqcstet denombreuses difficultés technique, ré.dan eue encore plusieurs jours i le gewvernernent les poursuit avec la ferme vo.lacté d'assurer à la fois la métras, cesdroits de la France, le rétablissement del'Entente interalliées et la paix. Il est dé-sireux de soumettre /es résultats de cesnégociations aux Chambres, dès qu'uneconclusion sera intervenue, pour qu'ellesen délibèrent à la date qu'il leur convier.dia de cboisir. -- Herriot t

SERVICES MARITIMESLE PRESIDENT. Le gouvernement de-

mande la discussion immédiate du projetadopté par le Sénat et portant approbationd'une convention avec les Chargeurs Réu-nis relative à l'exploitation des servioesmaritimes postaux entre Bordeaux et laGâte occidentale «Afrique.

La commission et te gouvernement étantd'accord pour l'adoption, le Proaef est adop-té sans discussion.

La Chambre nomme ensuite les membresde divers conseils ou commission,LA .1lOURNIM DE REIT HEURES

nit LES GRANDS DESPIAU(L'ordre du gor appelle la discussion de

/a proposition de résolution relative à lajournée de huit heures accordée aux agentsdes grands réseaux d'intérêt gélifiai mutees que les mécanielens, chauffeurs etagents des trains. Le rapporteur, notreami Lobet. seuffrant, est absent

M. André Hesse, premier orateur ins-crit dans la discussion générale, monte h

In tribune.51. HESSE. Jr rappellerai brièvement

les conditions dans tesquelles le décret du15 septembre 192C fut pris par Ill. Le Troi-e..

Ce décret a .mplètement bouleversé lerégime de la loi de huit heures tel qu'ilavait été établi pour le personnel des ré-seaux. L'accord intervenu entre les délé-gués des Compagnies et ceux du person-ne se trouvait ainsi fâcheusement rompu.

M. Le Trocquer a ensuite demandé donouvelles propositions aux Compagnimais non au personnel...

M. LE TROCQUER. Il a êté consulté.911 André HESSE. Mais aucune de ses

observations «a étê priie en considéra-tion. Le décret de 1022 est d'ailleurs illé-gal- ot il est b ramure actuelle déféré auConseil «Etat

M. LE, TROCOUER. Je -suis entière'ment d'a..ul avec vous sur le fend mêm,

Alors, vous voterez le Pro-jet de résolution ?

M. LE TROCQUER. Oui..-e,.te;eWii. rote %Pr> Fee egieleI. I. doo Compa.gnies et les

. uls qui permit. danst'ailva de la rue-

ut are son-... C'est à quoi je

ferme intentionan pers , ce oui lui est dû.-e cme j'accepte la

'I. de Phanie. et 51orinaud demandentla loi de huit heures soit appliqués

!es réseaUx algériens.Barabard affirme qu'A, Dijon, certains

leyds font plus de huit heures de tra-

priTnAt. -- La loi sera appliquéeClub

in:DOUCE. La commission des tra-,a1A publies insiste PL., le cule du projetde résolution qui doit amener une stricteapplication de la loi de 8 heures et pourrine le minislre renfoloe le contrôle, afique tons les a,gents soient rappelés au res-pect de la loi.

M. André Berthrm propose après lesmots e « grands réseaux d'ajouter l « doFrance, d'Algérie et des colonies ».

Le gouvernement et la commission amcontent.

Ainsi modqiée, /a proposition de résolu-tion est adoptée.

LES ABONNEMENTS DE TRAVAILET ITNIFJCATION DES ABONNEMENTS

L'ordre du joue appelle la discussion deJa proposition de résolution tendant b in-viter le gonvernement à refuser l'augmen-tation des tarifs d'abonnements de travailet l'unification des abonnements ordinai-res adoptés par le Conseil supérieur deschemins de fer, le 28 juin 924.

PEYTRAL. Je suis d'accord avec lacommission en ce qui n00800s, R1599-nements de traimil, mais je dois faire desréserves en ce qui concerne les abonne-ments ordinaires. Bien des abonnés n'ontpas de raison de ne pas subir une augmen-tation de tarifs. Tuotefois, pair le sabon-liements de banlieue, un tarif spécial necomportant qu'une très légère augmentationsers envisagé. Il p mn dune la un régimeme faveur oci dols paraître intéressantà la Chambre.

M. BRUET, rapporteur, -- Je propose,pour donner satisfaction aux observationsde itf, le Ministre d'ajouter à la proposi-tion de résolution, sauf en ce qui concernelet prulidS

M. PEIGNARD. Les abonnements debanlieue ont subi une augmentation de100 p. cent.

Il est demie impossible de le relever anouveau.

La proposition. de résolution est adoptée.

OUVERTURE, ANNULATION ET REGU-LARISATION DE CERTAINS CREDITS .M. LEFAS se rdaint que rien dans le

budget ne soit prévu pour les habitationsA bon marché. Par là., dit-dl, vous empê-cherez la construction pendant la périodefrété, période particulièrement favorable.

Enfin, /es subventions de l'Etat aux of-fices désirant construire des maisons enfaveur des familles nombreuses sont no-toirement insuffisantes. I/ faut donc ré-server le chiffre de 5 millions prévu pourCe serait un placement à rendement immé-diat bln supérieur à la dépense. (Appt.-dissements),

M. VIOLLETTE. S'il est souhaitable>le modifier les Iris en vcoeur dans lese. indiqué par lis. Lefas, on ne peut lefaire dans un cahier de crédits simplementcet ubJet dans le cahier actuel de erêdit.(aires.

171. GODAIT, ministre du travel/. Jemus d'urraeir avec M. tete, ;anis j'estime(galopent que c'est dans le proohain bud-get que <Rama être réalisée /a politique deout est n&cessaire à l'avenir de notre race.

logement que le gouvernement a en vue etJe réclamerai les 105 millions nécessai-

res et je in efforcerai d ode. cor nub-nictitation de crédit en faveur des habita-tions paurt-fes familles nombreuses.

Divers oesteura interviennent en faveurdes sinistrés de leur département et la dis-cussion générale- est close,

c vote des divers chapitres du budgetaffairant au ministère Ms finances sepoursuit rapidement.

On adopte sans observations les Copi-nes relatifs à plusieurs ministères.

Répondant à une question de /11. Tran-chand, M. François -Alberti, ministre del'instruction publique, fait cette déclara-tion

M. FRANÇOIS ALBERT. « Je rectal-nais que le prix de l'internat ayant -da êtreaugmenté dons les etablissernants sema-blaires, il y aurait I Ru «augmenter lescrédits aux bourses et je demande un relé-veinent de 500,000 MW!' fraises. n

La Commission .accepte.La Chambre adapte les chapitres affai-

rant h l'instruction publique et décide depoursuivre 1en débats demain b 15 heures.

L'affaire MatteotiLE DEPTITE SOCIALISTE AURAIT ETE

ASSASSINE PAR ORDRE SUPERLEURDECLARATIONS Dr. LA VEUVEDE L'ASSASSINE. MANDAT

IYARRET CONTRE UN ATTACHECOMMERCIAL RUSSE EN FUITE

On mandeAu cours des ,derniers interrogatoires

qu'il a subis, M. Cesare Rossi, à en croirele « Serena » aurait déclaré u « Je Ittle strialiMiLé â charger M. Duinini de séquestrerPdattexii pendant quelques jours, pourl'empêcher de prononcer A la Chambre 1c

discours annoncé,. rai fait cela parce qu'ilne tombe pas une feuille que Dieu ne /enenidle ».

Le « Screno « ajoute u Cette locutionétait habituelle à M. Cesare Rossi quand ilvoulait dire qu'il agissait par ordre su-périeur ..

Il .nvient toutefois de relever qu'auxrévélations da ï Sereno o dauber Fem-mes cc curas le secret de /Instruction, cequi rend sujette b caution toutes les indis-crétions. Quoi qu'il en Mt, comme robser,'ce le n Corriere della Sera », l'affaire Met-Mei est sendaltoment ramenée au pre-mier plan.

Le député socialiste Baldesi, avec quiM. Cesgre Rossi aurait, selon 64. Faneur-ri, entretenu des relations amicales, qua-

', de joyeuse invention la révélation dudéputé de Crémone.

Miti parlé une seule fois avec M. Gess-. Rossi, écrit M. Baldesi dans La a Cduss-tins et c'est en novembre 1022, quand jefus invité b etonoson divers problèmes eV.-ritualistes, '.ci --ré«

e Mussolini. La diversion de M. Pari-naccii ne prend pas o. conclut Raides,

Tous les journaux de l'apposition, sur-tout les sues/lais, voient en effet dansl'intervention de M. Farinerai .e tenta-tive de diversion. M. Furinaeçi, dams sonjournal Grenons nuova 0, tour repondqu'ils peuvent écrire ce qu'ils voilent, maisqu'ils tronverout h qui parler.

M. Fein.. ayant écrit que a Turati,greens,. sit letegliani, chassés par Mme

mem vara mpeetlimariPnve-pute socialiste », Mme veuve Matte. dé-clara une Mond. « ;

« Démentez formellement cela en mou« nom; rai t.jours eu de l'estime pour

Ion amis et les minpagnons de mon mari.a J'ai pour M. Turati une vénération filin-. le et pour les défenseurs de mes enfants

j'ai t.jours eu le p/us grand respect eta la plus grande considération. »

Mme veuve Matteoti conclat ep qualifiantde M. Farinasoi sur la façon dont les de-véhémentement de mansonme l'assertionputés socialistes auraient obtenu la cons-titution de partie civile de ses enfants.

Lcehlitoràiale dilates savon, quegue

orem ree.es gageret%acemm, ation aurait

ial rosse, ami de Naldi d'etF7Limp-

-mmal-Ïïit».. .mPlin.és dans

l'affaireCejournal.assure que l'individured"r-e senti enfui en Russie.

les 1100 Fiscs des Fouctloi:saires

Pares, 29 juillet. Le groupe soda-liste (S.F.I.O.) de la Chambre a tenu cematin une réunion au cours de laquelle ila reçu une délégation Ce fonctionnairesqui /Li a exposé ses doléances en ce quiconcerne notamment raugmentation cevie chère de 1.800 francs, engagement so-lennel puis avant les élections par les élusdu Cartel des gauches.

Les membres de la délégation ont indi,gué que /es communistes qui, jusqu'ici,avaient refusé de faire partie c.'e la corn-mission Hébrard de Villeneuve

fonctionne au ministère des liane.ruaen vue des traitements des fonction-nairesont accepté d'entrer dans cettecommission.

Apr.ès cette audition le groupe a déni-ré d'entervenir dans la discussion ce laloi des crédits pom demander au mouvranement de lui donner l'assurance qu'unprojet conneportant l'augmentation de viechère sera déposé et voté en octobre etqu'il spécifiera que ce projet aura effetrétroactif.

s-

Le scrutin d'arrondissement

Dans c Paris-Soir a 111. L.-0. Frosaardplaide pour un vote rapide du scrutind'arrondissement,

« Puisque les Chambres rentrent mardi,pourquoi le gouvernement no leur deman-derait-il pas d'aborder tout de suite, enattendant /es accords de Londres, /a ré-forme électorale I Amis et ennemis daCartel s'empotent h condamner la loi d'anbitraire qui npus régit. Peu nombreux sontceux qui songent à lui substituer la R. P.intègre. Pour tous les gens avertis, lapreuve est faite désormais que la R. P. neréalise pas le maximum de Mettra, qu'elleest un scrutin d'argent, qu'elle Mi-neMe lm partis pauvres, qu'es) ne traduitpas avec la sensibilité nécessaire les mou-vements d'opinion, que son len normalaboutit en le voit en Belgique, on l'avu en Italie empêcher tonte maternésérieuso et homogène de se constituer.

« Le scrutin uninominal a des défauts,que /a péréquation des circonscriptionspermet d'atténuer; mais il est simple, clair,honnête u il met te candidat en fare del'électeur et l'élu sous le contrêle directde ses mandants. Qu'on le re Casse ormeau plus tôt. On y est. au (mg désside,la Chambre et au Sénat u

La Conférence de Londres

LA REIJNION DES CHEFSD.E. DELEGAT1ON

',pares, 29 t allel. Ines chefs de de-légation ont tenu, ce matin, à lh heures,

Downing,Street, leur réunion habituel-le. En dehors du baron Elayashi, MM.!dynamo et Clérr.ntel y ont Pria Part. La

conversation a surtout porté sur les tra-vaux de la première coartarrission cryi esttoujours à la recherche ces garanties pro,Prie, à satisfaire les prête.s riPi serontsollicités de souscrire à l'emprunt de 800millions de marks-or prévus par le planDawes, pour /a r.tauration de réAlleno-g. Les représentants français vont,_,,raereeire l'initiative de présenter ime nouàvelle formule qu'on travaillera hanettre àpoint cet après-mich.

R, Macdonald muait fad bon recueilaua idées n'ont s'inonde le projet français,lin e-ânert anglais. M. Wiliammut anteneuremont avait préparé. un Pr..le analogue, se rencontre cet an/ès-midiavec son collègoe français, M. Aron ex-peu de la délégation française à la GD.K., en eue d'établir un texte caca si

POrsible.Du ctséé français oc parait ne vouloir

traiter à Londres la question de l'éuscua-lion militaire de la Ruhr qui n'est Pasposée par le plan Dawes et nui est parconséquent exclu du, nrmnamerne de laconférence quo si l'on élargit le débat entraitant d'entres problèmes u nécurité etdettes ineralliées.

LA JOURNEE DE DEMAINLe premier condé siégera demain ma-

tin à 9 h. 30. Le troisième à 10h. 30.L'après-midi, les chefs de délégation auxquels seront adoints MM. Glémentel etI-Iyunans, se sonneront a .a Clburerbec cescommunes pour se prononcer bleue toursur les conclusions auxquelles auront 1abouti dans /a matinée les experts_

--Yab

Cogférence fralco-rHsse

La réunioir d'une conférence d'enfleslaquelle participaient les délestes et lasexperts le mot est d autnalité des gou-vernements français et russe a toujoursété, semblet-il, dans l'idée et dans Pintes-tiOn de Ill. Herriot.

Partisan .résolu de la reconnaissance «jure des Soviets, le président du Conseil.en affirmant h maintes reprises cette opi-Mon, et nOtamment dans la .drielarationministérielle, a toujours ajouté que cetteformalité devrait are Précédée el adieu-rée, suivant sen expression, des Informa-tions et des renseignements nécessaires.

Une conférence franco-russe n'aurait passoin:rirent d. te but.

E la préparer, oer commedi.t .t'utrunnphère. Auesi est il prokable

1 gne des entretiens officieux tant Parisqu'a Pêtrograd, s'ébaucheront,

Le gouvernement enverrait dans ce casIL Ftur eieunezprésentene Mvesti de tau-

tlementaires. le nom Pre-YI. de Manne, rine' son voyage rée cl au pays des Soviets qua-lifie rd celte mission d, diplonote a in

Slain ri. c'est I

sénateur chi Lot accepterait, dans les cir-constances présentes, ce mandat «Piero,malien s'il lui était proposé.

Un autre parlementaire qui ont, cv ototto,un ami personnel et dévoué d, M. liernot,est bien informé des choses de Russie et ya même accoMpli, en 1017, après la pre-nne, révolution, une ernssIon quési-offnelrllr Aussi le nom do Moulut, dent le ta-lent et la largeur d'esprit s'accommode-raient fort bien bue te/ rôle, a-Iii été sou-vent prononcé au cours de ces purs der-niers.

Pour les fusillés de huent et de Hu

UNE DEMA,RCEIE DE LA LIGUE,DES DROITS DE L'HOMME

Au moment où se discute à la Charmber la loi d'amnistie, on ne peut s em-pêcher de penser aux malheureux qui,

1

fusillés pour des crimes qu'ils n'avaientt pas commis, n ont pas encore été râla-,' Mités!

Bien que la Ge. de Cassation ait re-1

jeté les pourvois en révision que /a Li-gue ces Droits de l'Homme avait formésen faveur ces fuselles de Sovam et deFlirey, tom espoir de réhabiliter leur mé-moire ne semble pas perdu.

La Ligue des Drnits de l'Homme avaitdemandé vainement au précénent gou,vernement la coneuniunication des dossiersn'enquête. Elle vient de renouveler m de-mande. Dans l'étude approfonok desdossiers, elle espère trouver lm élémentsde nouveaux pourvois en reestod.

Il est imPossible que les familles de cesmalheureuses victinms continuent à sup.porter les eonséquences matérielles etmorales de condamnations imméritées.

Une course de Gallus de la Poix

MAIS CE NE SERA PASPOUR ATTEINDRE DES MALFAITEURS,

Peur la neer/11E1-e fois à Nantes est or-ganisée une course cycliste où /es concur-rents seront exclusivement des agents depolice en fonctions dans les départementssuivants u Morbihan ; Vendée ; Loire-Infé-rieure ; Maine-et-Loire et Meet-Vilaine.Elle sera disputée sur 30 kilomètres, lesmachines de service étant seules autori-sées. L'arrivée mira Heu au vélodromePetit-Breton et sera jugée après Redit/oursde piste. Bien que Pepseuve soir convena-blement dotée de prix et de primes, il nesemble pas que son succès scat certain.La psychologie pintait autoritaire des gar-diens de la paix ne parait pas denoieteprêter b une manifesration publique dansjequalle le populaire oublierait peut-êtretrop solontiers que le coureur peste ordi-nairement un uniforyne qui est redoutai>lret parle au nom de la Loi gui ne l'est pasmoins ceci étant la représentation 'ces'timentakeTde cela t A >Tantes, on ne croitpas que les agents de Police déPraillmtfinalement leur uniforme pour endosserun vieillot de course et abandonnent leurbût. blanc pour se donner en spectacleserin route el lins un vélodrome,

LE MIDI SOCIALISTE

LISEZ ET FAITES LIRELE r MIDI SOCIALISTE g

PETITS FAITSUN ENFANT BRISE VIVANT

Amélie-les-Bains, 29 juillet. Mardi da.la matinée, Te -Trançois Raison, 7am, était occupé a faire chauffer son cafétensons, la lampe fil exp/osion, commun,.quant le feu à un bidon d'essence.

Le magasin fut aussitôt en fa, et l'en-fant, entouré par les flammes, fut griève-ment brûle. Malgré les soins augurassesdes docteurs Bouts et Pniarle, il est mortquelques heures après.

UN ENFANT SE NOIEAP.i=, 20 juillet. -- Hier naracriob, la dom

ocre dl; château de Laurens. ne voyant Pasrem., son fils, âge de 14 ans, qui, meseuajota-nettement s'amusait Pêcher an bon aàrptarault, pcs ses voisins de l'aider à le mimera

Amis de mann..cr recherche des Pécimitrede sable murèrent la hem do pêche plantéedans la one. P.a...un math., ils fouilli.rem la entière et ramenèrent le cadame du pauvrepetit.UNE PERME COUPEE EN MORCEAUX

Pan, 29 juillet. Au moment de meure sousPresse, noua apprenons radé Aret, près Carlin,Wo femme a éte amenée et coupée en morceauxh coupe de hache.

1.5 dé.Wls manquent.Le pamuet armam les lieux.

A UTRIBUNAL DU GERSAuch, 29 juillet. Le jeune Caubet. obs.'

cillé à Roquelune, est accusé de tentative d'as.sassinat, le 13 avril dernim, sur /a personne de M.Marcel Dao, de Lanisc, dans le bois de la Fou_molle.

Cette affaire dont on avale ned6 au sue urne,a été appelée à l'audience conectiwnelle de esSut. Elle fut jugée â huis clos.

M. Taband, sebsitut du Percuteur de la Répu-blique occupai; le siège du ministère Public M°Martien, le jeune et dimingné avocat qui doisbieniOi quitter le barrem, a.iste l'amusé.

See témoins som entendus parmi tesqueis lavictime Marcel Duboa, mitaine« mesir eu des rela-tion, nye, h ssem de s'était tefusé à lademander en mariage.

Mo Talmud requiett une condamnation sévère.Mn Martien monone une Rit/mue plaidoirie à lasmto de hquelle In mêmel, aptes en avoir de rhété, prononce l'acquittement du imme Caubet

DISSIMULATEUR DEMASQUE

Châteauroux, 28 juillet. Une iliforma-tion était ouverte, é y a deux ans, c.treM. Henri Laberto.nniére, minotier à Argen-tan auquel t'administration des contribu-tions directes reprochait d'avoir disshruleune partie de ses bénéfices de guerre. SI'

exPerl comptable a Pans, fut désogné pour examina t'importante coroptabi-lité et la correspondance misie au domi-cile de Al. Labertonnière. Son rapport, mer-venu relie semaine au juge d'instruetion.accuse une dissimulation de 1.527.000 fr.

>

Nouvel exploit du bandit Daniel

Dans le Gard, le bandit Daniel, réfugiédans les heis, tient les gendarmes en

échec depuis Mois meis.Depuis près ne trois mous, le bandit de

Flaux (Gain) s'est rnfugié dans les bois deIn région et sou histoire pmmonne au plus

1 haut point non seulement la populationtirs& dbilebusfisèqPILIIInie 70 kilomètres.

Les bruits les plus fantaisistm circulen5m le barbait. Centains l'ont vu se faisantrases à Saint-Quentin-ls-Poterie, d'autresbuvant au vin blanc à Saint-Victonla-Coste, Mc. On l'a vu partout, même àAvignon, où il serait allé acheter descartouches.

Voici résuntés les divers attentats re-prochée au bandit jusqu'à co casase

Le II mai, à 23 bernes, les habitantsdu village de Flans étaient réveillés parplusieurs coupes de fusibLes ép,oux Blanc,M. Chausson et le cantonnier Blaud, sor-tant du café, s'acheininaient vers leursdemeures «eu quartier d'Archirobelle.Scmdein, ils essuyèrent deux coups ce feutirés par len individu en embus-cade dennère un figuier, à la sarde du villageChausson, mortellement blessé, expiraitpeu après; M. et Mme Blanc, moisis griè-vement atteints sont aujourd'hui remis.

Le soir de cet attentat, Marius-Alphon-se Daniel, voisin des blessés, disparaissaitde chez ses parents , marne de son fusil, ilavait gagné le bel et Pris le 05rtortuis.

Après enquête, devant cette fuite ac-créatrice, M. Améric, juge d'instructionà Uzès. lançait le 16 mai un mandat d'ar-rêt contre Daniel Toutes les opérationsde police demeurèrent irdruct.uses, carle fugitif, braconnier averti, connaismitla forêt dans tous ses recoins.

Le 4 juillet, presque deux /mis après lecrime. le cantonnier Blaud, le seul quin'avait pas été atteint le soir du 11et qui travaillait à 300 mètres du village,emMait Plusieurs coups de fenil, tiréspresque à bout portant par Daniel. Fortheureusement, les cartouches n'étantchargées que de petits plombs de chame,les blessums ne furent pas graves etBlaud est aujourd'hui rétabli.

Le parquet d'Urée entreprit alors denouvelles battues. Dans la nuit du 5 au6 juillet, les gendarmes, en embuscaderés de la maison de Daniel, le virent

sortir, vers 22 heures chargé de provi-sions Sommé donc rendre, le malfaiteurouvrit le feu sur lm gendarmes et gagnala forêt, laissant sen place la plupart ries.provisions.

Ce troisième événement décida le par-omet à organiser une chasse en règle et,hier, les gendarmes de la brigade d'Uzèset de Connam, depuis deux mois déjàsur la 'mèche, allaient prendre leur fac-tion. à la tombée do la nuit, lorsque, arri-vés près du village ils aperçurent unhomme qui fuyait dans le ehernén creuxlormeam le cimetière.

Le brigadier cria « Haut les mainsmais aussitôt Daniel, car c'était lui, tiraitun rams de fusil et ressemait le maquia.é.mhappant à la fusillade des gendarmes.

La Vie SportiveCyclisme

UN GRAND SPRINTER FRANÇAIS11 y a musant ému. écoles ds mont, tout

d'abord emmêlement la bonne et la mauviette. en_mûe celle du démettes< ete otnanamd àmike, 16.4 mécanique e je rias dire qui cor-trepond à la seconde. Le démarrage c'est pour la..118. I. changement de vitesse rapide. ie Pas-sage brusque de la deuxième à la troisième, oude le noinièrna à la nusexAme, le demain.

rds,tre Ca croquet nittér.ire

Le Maurice Magre d'aujourd'hui7ane

On a bien raison do le dire m les amis sontlm plus mal servis. Voilà troM mois quej'ai reçu /o dernier livre de ve,s de Mblêri. Magne; aujourd'hui seulement pariede ce poète qui m'est particoli refilentcher, h nos lecteurs toulousains parmi les-quels, j'en suis sûr, ml compte de nombreuxanimateurs.

Pourquoi ai.de tant tardé t Je dois' dontner la raison dé cet ajournement. qui pour-rait passer pour de lu néglige/ice c'estId scrupule que j'ai de ne pouvoir louamper sans restricton le présent recueil deeeMi que je considère comme Un des plusMatas Poêles de !époque. Les raserms queje dag faire, non sur da technique maissur sen inspiration, ne [nimbent pas d'ail,leurs au beau talent de Maurice Magre, etsont, en s.nome, Une Preuve de ma sincèreestime et de ma haute admiration.

Deux choses avaient conquis d'embléeles premiers admirateurs de Magre t ilavait, dis sa vingtième année, remonté lecourant des fades sentimentalites Poéte-que, ei célébré magrnif9quement l'efforthumain, créant ainsi, avec sa c Chansondes Hommes a, la formule mederne de lapoésie sociale. Il avait aussi chanté naseToulouse en vers inoubliables dont cer-tains, reproduits ces jours derniers dansnoue t Programme-Album o de l'Oesposi-don étonnèrent par leur éloquence et leurcouleur les jeunes générations st chantentencore Mos toutes les mémoires e

..Toutousei le mendiant jette en l'ait sa béquilleEt les nanounem rient lorsque l'on dit ton non,Pays des beaux mbleaux, pays des jeunes fil/es.Puce de la jeunesse et pays des chansons I

PaSs où la lumIèce est plus douce mu artistes,Paye des vieux bétels dans les quartiers déserts,Où jadis des rêveurs, pour /saure aux yeux tristes,Consumètent lent vie à composer des vers...Paye des troubadours, de jongleurs et des Rus,Pays des Capitouls, pays des Molettes,Pays de Vestrepain, cordennier et poète,Dont /es vers étaient beaux et droits comme ses

Luta.J'atm, mn Capitole avec son ait romain.-Et tu sembles, le soir, une ville de conte,Quand le soleil couchant fait flamber Sb -SarniaEt teint d'or et de .ng Tes tombeaux de tes

Eccmtes...

Or. de cette force généreum et de se belenthousiasme, il subsiste lien peu dansles oeuvres nouvelles de Magre et tout par-ticulièrement dans n La Puede du Mys-

re u iII, dont j'ai à parler aujourrhui.Par cette porte mystérieuse et Maudite,le poète spontané et sincère d'autrefois afait un pas de plus loin des grandes routeshumaines, vers les impasses ombreuses desillusions malsaines et des désirs iinrurs.L'artifice a remptae,é la vérité, et c'est tropsouvent le destin des artistes de chercherdans ID domaine des divagations maladivesun regain des premiers rêves dont uneexPlosion prématurée a tari la pure sèveoriginelle. La oie littéraire de la capitale,

.compteur ee r .e, a él u Or peu 8 perame première do Maurice Magre. Il n'estplus qu'un c Toulousain de Paris «est-a-dire un doux enfant qui met cn .rvieede modes et d'aberrations funestes son ta-lent et son coeur,

diaCernoni-nous-dans l'érran-ge contrée où nous conduit Maurice Ma-

Ce ne sont, plus « les /its pleins

ho démmtage, si Poe en croit leaelndlaomsimonde des techniciens qui gravite autour du suasder des coureurs, est en dedin rime camé étrangersurtout. A Vinsenms on ne vit ou un seul dé-marmot t Lucien Mishard, et cette vertu bienfrançaise, celte du démarrage, /ni permit de do-miner de la tête et des jambes ses advetsairee detocs pays, ronges, bleus, ce:lue, mem, ou Umue.

Un amen, puissant athlète MU un peu à kMoeskope, un Wilhe Fenn, mm Eêmpsey souples,nu roue de pédale agile, tin del Grosso énemi.me et aocrocheur, sont de bons sonneurs, massleur style est trop « méeenew n. 11 manqua d'en-volée, de b.o, de cette classe que mantra Mi-chna. Dans ce dernier reposent d'ailleurs enplus de qualités athlétiques extraordinaires, trenteans d'expériences, celles de son père ancien cou-mus, un cerveau bien équilibré et bien guidé.

Cugnot, c'est Paell,m ad, mil attend qu'une féehiedaname loi ami.. sa «««ond mémo«. laconfiance et la volonté. Cela viendra un ion, etun Der ce magnificue sprinter sera imbaqable, cesera le jour où Michard sem devenu un parfaitLudovic amis et oh lm sem un nouveau Sadd-Ion. C. ru, .stAI lamais I/ appartient à Cu-

RUGBYCHAMPIONNATS DE FRANCE DE 45 SERIE

Pout ce championnat met engagés ZO comité,,représen. per 22 clubs Pyrénées et Langeedocayant droit à deux teprédentame chacun. L'dtedes rencontres est le sevm, les matches devantse,,d,..,ispu,te,t,eautu l rran. teuvriu du p._Ireinino%rr:o0,,,,mmé

Lyonnais; 2. Fmacke-Censté cohue Alsace; 3. At,lav,toig,,due comre Berry: 4. Auvergne contre Canne:S. ChamPagne contre Parie; 6, Côte d'Azur contre

Deuxième tour, 8 aura 7. Vainque.cone. Pyrénéesl (au es où le Lrotiuir vaferItPas vainqueur le mauh aurait lieu en termin nen.ire): 8. Vairon., 2 conne Aires lai Alsace estvainqueur, match à jouer en terrain neutre); 9.Laa.cd. 2 contre Atmagnac-Bigorre: 10,Ventrue°, 3 contre Côte d'Argent; Il. Cite Samque contre vainqueur las termin ;mette); 12,VainqUelir 5 contre Limousin: 13. Pyrénées 2 con.ers Péenord-Agenals; 14. Vainqueur h contreLanguedoc, I.

p.ama de flmle, 22 mars; demi-fine/es, 5 avril;finale 19 :mal.

L'ordre des rencontres dee quaua de finale seraétabli lorsque la commission des enlenerters eme.aman lm huit emmenerr du deuxième mar.

CHAMPIONNAT DE FRANCE DE ln SERIERoui corseta d'engagés dans ce champions t

représente par deus aube Pyrénées et Lanzned:.amui dron i deux clubs chacun. Usedro des ren-contres est le suivant, les matchsr étant à disputersur le wrain du club premier !lemme

trePrr'imo'ustien7,23. Tes'syréréte's Pctrat'uvee'rg'n'er';-.Ltennais contre Alpes.

Deuxième tour. 22 nmrs ; 4 Vainquez I contrePgrénéesi 5. léangeedoc cohue Armagnac-8,Serre, 6. vainqueur 2 contre Languedoc, 7. Veine

Finale, 19 avril.La compoeltion des demi-Andes sera faim Par lacemmiselon rira cal.ndider,. dans ma séance du24 ma.,

>

COURS DES CHANCES

bombe, 86 55, EsPagne, 262 75; Relie, 85 751Far..., 262 75, Suinee, 363 50.

Us faine équivaut è Londres. à 0 fr. 290; àNew.Yeek, à 0 fr. 262; à Baroelerre, à 0 Ir. 380.à Genève, à 0 fr. 275,

d'odeurs légères, /es divans profondsms des tombes.. les étrangesflemles étagères a !Io la virion bandelairi-21(c'est plus encore e un jardin

hélée.Intsardeux.aux ombragm 81/sla flore exotique et funéraire, meg

tés de personnages inqui.étants, ep'wCOUPOILLIOS de nareteseS et court Satfet'lrées de pierres maléfiques ;

noirs, de guides aveugles, d, nsiens et de farunmes... bout ceévqqqne une imagination subtileflamme d'une inspiration perverse és',ange corrompu et inéluctable que'le poète .Ale I somme je voudrais ne jamais le tenu,Cet ange ami chevenx courts coutom,

.sr.r,,,,d.r,;:` ,1,2".7L ;72:du Inc

Visions maladives 4no toutco oto.ltdiers, ces hallucinations, ces arelcus,Mes et éphémères, où ?mirer tient lie,readset leot le heouemdoe,deshaelellvei

tus le clair idéal ; le poème (Làson crime et sa déchéanee u«de Cygnes v, m des plus beaux dnle plus noble, à la splendeur et, .1.s.

des stropbes mallarmeennesBeauté que j'ai tuée un el, moi oisons s

lbas,Beamé des oiseaux puas que mea yeux

1,113/ Socs 5e8 vie appeler les tentas>Ils ne terlendrom plus dans mm par, eat

/1 est las, Inquiet, désespéré, man(grise de ce fallacieux en chantemee4:me cet amant de eceur dépeint dasslivre, rivé à la gueuse Oui Id kedn4puissant à S'arracher des bras hm%qui l'étreignent e

Ainsi mi. prisonnier qui m.-4C

Je romprai ce collierd'amour et do rente,Mais par pitié, ras tom de suite. m tej

hW+Et ce n'est pas beaucoup, Al,

,,,,elPourcette éternité de vide gni m'attend

Misions maladives mais rambiennieumment et somptueusementdégelaDans ces descriptions étranges, ers édons morbides, nous retrouvons es fvigoureuse, pittoresque, facile, mecolorée de prestigieux poète de « anson des Hommes », des « Lèvres et te %ccret ». de ri La Montée aux Entes aila une rirthesse d'express on et dounevariété de traits et de touchesvus qui vous entraînent, malgré galivresse dans les fennecs nimbes et I,liMs inquiétants. Et c'est Peur nomgret plus amer encor, de voir tantmoule, avec tant de ddliciese sensibiàmise au service de subtilités équivegosdc joint ma saines.

Maurice /Segré était le poète des le

trialo et eurned,re 'T.a.;',Nk deedo..se pour 15014 talent et pour Miromis.

(1) ta Parie da Mme..,Pula,,.-queCharpenti. Paris /924.

Les voeux du congrèsdes Officiers de compile

Amiens, 28 jelet, La séanceciné'congrèsnatiwal des officieer dourneedéges

eu lieu hier eprèsonidi,à Phatel-de-ville a.Ptésidée par M. André Lefèvre, ancienAuntés avoit incité les congressistes à neP Mer risum ce congres, leurs sujesde mécontentement, le président a fait

uma minute de recueillement mue how+oaitietn d ernMément mous pots la Fluan a ame t abordé lexemen dee varsIer principaux do rené su out été edeng,

.Raoldiaserami des pâmâtm d'instructionles officiers de complément «aro. PaHue.: courtes périodes d'instruction t

Pour ceux qui ont fait campagne, rets..Pnrlement es adoption du moi.m d, nt

non industrielle; affectation des tésemieevent leur compétence technique et contreéviter l'embusqua.os ou les etreuts,

grade, d'offeeem supérieur, facilité dnotariat avec 1, grade supéqem Pour 151 rsrayée des cadres avant la limite d'am,sedum des t'élimera de réserve, en ;missnahre dès 1,11 pais /mu ferre:en de tree0;

PréPsrert augmentation én centiare"Légion d'honneur: établissement d. ,,,drebasés enr les rende. rendus et conte,son; modification à ce propos, du1913. qui ne penne, d'attribuer Ir 1-enne°''neer qu'aux aumôniers en activité dePour pouvoir T'embuer sue réformé, en ee,

peur les parcoursde lem notamment en attribuant unnombre de kilomètres à und rédseetion des cercles Iniliteires par comnilsicaRires d'officiers de l'active et d, levote au plts tôt par le Sénat du statut elsstem de complément; guerre; deenueek° *eye. des redus pour bleme,1guerre; autorisation pore I. officiersan Période de service, d'aehetercomme les officiers d'amive; retraiteselle è 60 ans, pour te, officiers amisguerre.

BibliographieLES CARRIERS

DES DROITS DE L11011.08,0Le meurtre politique du députa,1"

Giammo Matteotti a soulevé danpartis une unanime réprobatim.Ira responsables f M. Campolongladans les Cahiers dm Droits de IR.,10 juillet : Mussolini et ses Prievi91;tenants Et dans une étude vibri1,dignation, c Le Fascisme desû'è4montre, à raide de documents ihier, que la responsabilité de ceSas forfaits sans nombre qui le

Incombe, de l'aven même der.

x Pere faSeitteeDans les mêmes cahiers, M. Rer

agrégé des facultés de droit.c Rapport des Farder. sur %o..'des réparations capacité de pn.l'Allemagne, maidlisation monetaes,Léa payer, ressourtees affectées %.!ments. sanctions et garanties. tranY,S1paiements ; toutes les parties do0tiql-sone judicieusement °Mimée

Sur l'affaire du a Bonnet 190,5se,lira nom Intérêt la dernière imrn.de la Ligue des Droits de 1 M'Oi e, RI,motivé la libération de Landés,,,yr1vol de l'affaire devant lu memfins de revision. pipe'

Les Cahiers des Droits derue de l'Université, Paris (70;

.Abçameaâflaks 111111120111

lield11111111 2 MM& massé ill1111111011111

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Fuestigitation ou sein o

Uneleçon de bon sens gure factice et -tromperiSZIors fo'n'

ternet en p/ach lopte l'exercice' de na':

pour nene,ecasse est. fini, toutes choses reprennentvral visage; et si l'on admire res-

camotem, none rend compte qu'il n'afait quîebeser nos sens.

Escamoteur de talent, M. Bach ? Oui,certes. Et son papier ci-dessus le Prouvesurabondamment. Et qui escamote rusPeu à tort et à travers, les indices com-me les millions.

Mais escamoteur seulement.Kernol et Cornu, les grarAs

tes qui firent courir tout ToLlosge, n'ontpas un art plus facile et plus sûr pourpus présenter des vessies en place delanternes.

11 est vrai que Carmo s'escamotait lui-mgme

Mais est-il certain que M. Bach n'y ar-riveta pas à st pur?L.H.

Un accident qui a consternéla ville

M. 00c', sans doute jalocx de 8011se mde de lui faire concurren-

D'-"Z dgr pédagogue. I, voicise'nejeecend à me tuner une leçon,'d'arithmétique encore / lulun lissé-- et gratuitement par Cless115 le

sIsisen'h4e !subtil confrère nue comble.lsrs astur bien une leçon d'arithané..

-I entend ln a mistrer ? Et nePas plus exactement une preuve

o ,gaastria en sophistique 1A ,0/., de juger.A ,ogos du tableau des indices sur te

de la vie, publié par o le Journal deToaloage iot Pas le o Mlvi u, te imueca-

lote municipal écrit ce qui s,it

UNE LEÇON D'ARITHMETIQUE

chronique de Tou/Ouse ..),GA,Detrzsurs..

POUR RIEN

Le Midi nous apprend que ce ouicettteit tu) francs en 1914 .fite en cePurent . 365 fret, à Pari, 377 francs à Quelle émotion dans Toulouse durant&Mem ab 423 fr. à 'Toulouse. toute la journée d'hier h La nouvelle avait

Oest tent biais inexact, parce que ce clé, lancée et elle est de celles qui cou-" f anus à Paris et à Bor- rent vite et que Gen n'arrête d'un Pr-out cuestar

dcaux en 1914, coûtait chie eceldent d'auto survenu, en pleine

terspie de 100 fr.1.. rei1101, à cette en pleine ville. dont Bordes etU100-9.4. les joueurs internationaux dti

ituin, date. Stade Tenlotteain étaient les prit/ci/legsI es /enseignements itatietues remos !victimes Reins Doses, panes défonees,

à,gts par le Midi sugnifient sangle- il crevé, bras broyés et autres titi/auneseert przt que, sauf erreur d'apprécias équivalentes étalent le lot de nes math' r.

tuteurs pessille, cc qui coetait 100 ceux rugbymen.frets à PariS en 1914 coûte actuelle-dent / Les loUrtang étaient ut-allia d.r..temteg

',Park, 6t qui .rour-é

dàelnis',Iect'Psen2Zriel9urlrea2'3' 1"e're fleems resrebe.eVexierryptlnZ eparsf

L fempe tendes dent le rèclacIEIP sien/tees, les moins inquiétés. Les coter-ie, /Midi e parie à tort ei à travers, I saliens dans alehers tertre.. qu'un

race port entre les pets Io- sen' thème penilant Put le jour. Les bruitstguerce s ter prix actuen. lies plus effarants eirculaient. Mill ànet ovens

PiP,.'"a" Ttle e ce,' deux jouets était mort . Lequel ?Onairdame.-

ee payaient, 14 hetes. Rond-Peint Lafayette, Fun

avant,. e"E,./Zt "e", ',us Ir, satan pas log, Mais enfin, il enfanalOatçued'àI un. Et les 'persennes qui Ins teenta-es/ère aine le Midi1914 I gnitioid dans l'autre 1 De quel romp ns

1_ vit notammentr 'bretelles pas Pthjel 1.171, était femmetJe quart en moinsmariée et aurait déchiré qui 'ell e eût mieuxfiers, à Parts en 1914, valait environ &midi, conjugal. Durant toute la tour-ria'à Paris /lue pièce de vin valantaimé, périr dans l'accident spic rentrer au

75 fr. à Toulouse. En multipliant 75 Per née. des rassemblements se te.lent surten-loi,ain 4.23 on obtient pour 1 les lieux du sinistre. On palpait l'obstacle

1924 le tg de 317 fr. 25, sensiblement sur /epel avait buté l'auto : le MM&lnnézzeta au SIOnibre obtenu en munis uateret set

d; se penehait Stir le

Ipar /00 l'indice parisien 3.65. La i PaMl nem y déc.-sels es traces du sate

riàce ee,e, 100 freetee à pe, !généreux répandu ; quelques-uns mêmedistinguèrent des traces sanglantes à l'in-ris vent en 1924 365 fran. à Paris et / Mrseetion du boulevard et de la rue du317 fr. 25 à Toulouse. 1Bearnais. et /es suivirent vers le pont des

le d'excuse aimais de rituel Huelene Catalans, ee qui, sans doute, indiquait Pi&trate suivi par l'auto de /a polit.

Brel. Mut hier, poqua 1g heures, toutToulouse fut bouleversé et conlert

Le soulateement ne vint qu'A la sortie despremières Mitions des journaux qui rela-taient l'accident.

Alors en vetnn.eyen, l coûtde

crue Bures ne figue. pasdans la tragédie et l'on sut ails, eueeni élevé de Tinette e te Bteeeee e, immetI

tes en matière rrinctices en pleine séance

d"

mur Ici pin-peser ce petit exerce d antlissreis il ne m'en voudra pas

voisilu concurrencer M. Thocnas,oui recemme,A la Iton abx je...lis-

de (Sergeil municipal

'"41Z1I l.'que le coet de la vie a T n 'Ale;'ete l'ancienenoulouse,eLe blessé est le frere d'Almonte. 'Voilà

te alerte qui aura révélé combien lesToulouseins aiment les athlètes qui por-tent à travers la France la gloire de 13n-

chèmetent de 1924 1 vin hue Stade g.

/Pt scusiblereent teins elevc qu'àJeun" Pez/s, et que la cherté de la uneéggend a, mains aPtunt rfer elliffrueeaux Ac 1514 que des incices rie surens

Voiei comment l'accident se produisitTe r, Midi n affirme, d'autre port, mie/es estimations de la cveeurt'ntcuulosic, Dan. la Rit du lundi ou mach, ver. 1 h 30,

Ovesà Toul,,,,g, grg, kiadOt egagé... esche F., indestriel, rue Baya,. cowluisaid sonfejt gozzpetEre je, .stemohge dans _aucele tgvu ps pled

rnunreuo s'1"3" "355"'""a" hÔ6Pizt dea la direuo. à ment, dem ut,

s'63 qu à " s--°3's le? ...Pr". fort emm rotant, la vette drapa et inerlentduc hrpoltante commission auront a j, grande vitesse beta de la mue euent ente. leFP'3" il'En eu'ere les t'anaux S. B. z 'ondoie.tre.., erit WaC de la place.

t,, dors iran's e , ereer ,

some. au, se tr....iera à l'agc,re festIn n'ai jamais eu la boese des rrathéz sur le roi. M. Bimssa eut une très forte

(Je ne mien vante pas, mais je eee s ouies, Rot M Gauhe,rapt). Tout de Même, j ai tendance à a.,ipme gelons dee peur: na',',,veule cette dissertation arithmétique, de ce dernier cm une légère contusion au dessustelle te soit sa valeur intrinségue. est du sein dao, L, C. a subi des lésionstotalement étrangère au Lon sens ternes: Mlle , a eu une forte balafre au ri.

-1'01 bjett dit gine ce qui coûtait en 1914 sage.1410 fr., chiite en ce meule. 365 fr à M .Biézz-zz aîezz ira, "s""Pools et 4,3 fi. a Toulouse.

c Pardon, ait M. Hasch, c'est inexact rt.stî

ne coûtait pas 100 fr. à Toulouse mendieseatent soc transporté à riSeol-EleeeOrel bizarre argument en velité. Et n'a p enteedre eee 'élit Cache, Srb:erme et

com«bien pénible /*exemple tué du vin 1 MER D et P. ee ve nue éte, MoteurLin hcctentre de vin craltait, cet-il, à MIL L G, ni M. Rimasse

Paris 100 fs et à Toulouse 75 fx Or il 11 ...Me leacidçntne coûte pas métre en ce moment aussi & '11E.°cher à Toiddoe qu'à Paris

th eici volts dit 14 contraue A Pa- e.rie le vin qui coûtait en 1514 coûte En ce Et le docteur TréeIncru -1 305 f

A Toulouse il ne coûte ose 317 fr ?

L G ambré Med ArnauttMeremel M Cachesons à penser le con- Sebeteas Fesse, ainsi one Mlles P. M. D.out nons.inclinent

naPe que ne MÛ coûtaitlOtitI à Pari? Eices'Z.'s Met, eentuZe'irre4 ie au 0

Ori. Mais en 1914 il ne etteit que Toujours rien b son sujoLfz, Dene gtea Tout en qu'on pers faire, 0'es1

ilo.àl'infin sur les diverses hypolttéses tuaEt tsteetzephi S n or n ,ergie atee i envisagées :accident, grime, sequealration,

eue suicidere`s.: '2-63 fs. s'il PF.itssujui e"sc"s-P"sq lilgus'one n'est plus solide que l'autre Olsvire proportion &augmentation qui à , t szutenirPure f/ tarait éditer 91 . de encens ucune Hare sg p tjuu,ici ertne

Paris. en coûte dHA

e:rient 48 je. maitre te voie quelcontiemoins Comen.dani., à tout peenrYe. Far rident pa-

C'est donc bien qu'à Toulouse, par raft la virose la Mus vraisemblable.rem/Met choisi par M.Bach lui-mêmg etavec les chiffres fournis par lui, le coûtrelu vie s'est élevé bien plus qu'à Paris.

N.,ons n'avons jamais dit autre chose.S, vous examiniee les prix do logement

7 lernaine di la mitelpalite PeutI'èle actif et effectif voue feriez et

plir d'évidence encore les mêmes

,pris sont passés à Paris du sinoplepftro,ple et ici ou simple au quadruple et

eu tintuple, sans toutefoiss soient

qu'à absolument aussi élevés iciPezieNn-1'ePec-e que

u'au, a été

tezzen,bis sensib/e. Ceell la ezmitale/tout cela °tues. à Dire que ne gPevous aviez en 1914 avec 100 fr., vox.Pre usz pl, ravoir à Paris qu'avec

lm clu avec 423 frvent nes dire q.u, on set a mml-ingeghà à Frei, qu'ici. Cela signifie

5,1n,e. ka charges sent passées de 1 à 3.25t:aris et de 1 à 4.23 à Toulouse.

tdr regrette que le défendue du Oapi- et celle du putt. Respectueux de toutesonce, roUeTtirarao'iV't'71" " - --e- poser quand ils Pentendpt rédainent

4 Plua tortueuse dialectique ne7P1Sealel conPe le bon sens Etbeau jongler avec les chiffre.;, lesubthser ou le. donner Per nEi il°

111111111111

u. uemiter da môme M. Sebes.. eut Po_

te petit tommette Montent

SAND/CAL DES CONFECTIONNEUBSDETAILLANTS

Toulouse, le 29 piiilet 1e24.Monsieur le Directeur,

Les sehdicate des Pet tu con:matte tstaillanti, Spardiers et articles assiinilés,Confectionneurs détaillants peue bouta,Maedmads forains. EtaisgiRes. Grenue-ment des pharmaciens protestataires, id',nia â t lettre sièges 900i811%, bC11101/.,1Strasbourg, le 28 juillet 192L protestentevee la plus grande énergie contre -appli-cation éventuelle, dans la deteatinetil,l'article 23 A du 29 deeembre 19l3 sur Iorepos hebdomadaire. Cet met, est uneviolente atteinte d la liberté- Individuelle.à la liberté commerciale, à la liberté Cetmerciale, O R liberté du travail mii provo-que Pindienation des Pethe eomrnerçants,

pour eux le telt de travailler le Minu-te.(Suivent les nombreuses eignaturesde Chatt des présidents des syn-dieate preildtatairee eisdessued

LE MIDI SOC/ALIsTE

A Monsieur le Ministre.Monsieur le ministre,

Le Syndicat des marchands foraine-étal,alites de Teilleuse et de la R.égion, Peulsle 27 Millet 1924, s'élèvent arec la olusgrande indignation contre le dispositif del'article 43 A de la loi du 29 décembre 1923,qui, transformant le repos hebdomadaireen repos dominical et oblitmlolre, porte laplus grande atteinte à la liberté indivi-duelle de conscience ut de travail.

Ils protestent d'autant plus enerMique-ment que eette 1.i arrive à im moment oùles petits patrons on besoin de toute leténergie et de tout leur travail pci, couver /es nouvelles charges gai fair sontimposées par tes Impala pst les e,iesientet par lino vie de Plus en Plus eh.,

Ln Syndicat prie 5lonsteur le Ministrede bien vouloir atténuer /es offe, de cetteloi, en attendant qu'il veuille bien un de-mander l'abrogation.

Peur et par ordre Le SeCretaire,

VENDEURS l'Issus et Blancsont demandes aux

Grands Magasins du Printemps10, /Pa d'Alsace à Tonlonse

Buire ou se présenter à la Mosellan

CA ET LADISTINCTION MOMORDIQUE

Nous apprenons avec plaisir que nU-rtiversité de Liège vient de cheferer, pardecisien du 22 juillet, le titre de atteur-ès-seienees e honoris causa â M. PaulSabatier, Doyen de notre factilté des scien-ces, membre de l'Institut.

La remise solennelle du diplôme serafaite 2. Liège /e 2 août.

DU COMME D'ACTION TOULOUSAINEPour /es ceuvres de la Maison des Mères

et des Habitations à Bon marché.I. tirage de la tombola étant Précoce,

blemeut fixé au samedi 2 août, à 13 b. etdemie très précises, à l'ancienne Facultédes Lettres, rue de Rémusat, le publie etles commerçants sont prévenus que zeSbilfets restants seront retirés des diversesmaisons de commerce où ils sont en dépôtMins la journée du vendredi tee août. Laveule continuera au pavillon des alléesJean Jaurès, jusqu'au 2 août a midi.

La liste des numéros gagnants paraîtraelle tous /es journaux de la ville, Une liste

officielle sera vendue au sfége du ûomitérue du Taur (au premier) où aura lieu

également /a délivrance des lots tous lesjours de g heures a midi jusqu'au 31 aofitdernier délai.

CAISSE 14ES ECOLESSoirée Artistique da 2 août

Le rhinite de la Caisse des Rodes orga-nise pour le samedi 2 août prochain, à20 h. 30, dans l'enceinte de l'Expositionune soirée de bienfaisance qui promet d'ob-tenir le pl. vif succés.

Une note u/térieure Titra connaître lesdétails de plie fête destinée à venir euaide aux enfants malheureux.

MEETING INTERNATIONALJacoblers au- comité d'action, /es meetinginternatital centre la guerre aura Mu cesoir salle du cinéma Arnaud-Bernard.

Orateurs', Guy-Serran, délégué régionaldu Parti communiste ; Muller, député auReichstag allemand ; Sanger, délégué del'A. IL A. C. ; Ilenry Bovine, délégué dela C. G. T. U ; Hytte, délégué des Jeunes-ses communistes ; Une déléguée des fers,mes communistes

SOUSCMPTIOX-TOMBOLAL'ETOILE DU NORD e

Le tirage de la puseription a eu lieu lejeudi 24 billot, dans la salle du gymnaseArnand-Bernagl Voie' le liste des numé-ros gagnante (lire dans le sep titre,-

2176 11958 2174 togui 10121 526184R3 0751 11615 MM 10151 1032.1

11016 ritIe /0231 5900 litrit 11861RPR 11203 3891 7819 114140 3169

0.12 PIM 9736 (III tee 7294810 18301 14685 11526 11828 1766046 11558 14218 9984 11130 2806

10920 1026/ 701 1116810443 1,171 1330 83.54 1133 niai6471 8524 11007 6/56 1666 5016

Les lots peuvent etre retirés elles AI. Pi-cru teeprier, H, rue elits Prés Pus lesjours, de te à 19 heures. Les hils non DI.Plantés avant le 15 août pale'ut amuis à

seeiétê.UN VOLEILIR DE POULES AIIRETI7

Le Service de la Stch à mis à la disposPie, de M. le C pulpaire de PolieeUme arondIssetnent le tete MatouPierre. âgé de 34 ans demeurant alléesuint Agile. 12, qui a redent Pile l'aziteurdo plusieurs sois de salEide renunis

uMuse et dans le l-a. irae

15 et la motrice numéro 29 service B, quige dirigeait vers la gare Matabiau. L'autodébouchait de la rue du Musée au moment00 le trarnsvay arrivait sur ce point. L'autoara le radiateur elle capot détérigrés et /afusée de la roue gauche arrière Passée.Tnut s'est borné h, des dégâts matériels.

ELLE N'AIME PAS LES DOUCHESSur plainte de Mme Jourdan Marie, de-

meurant boulevard Lascrosses, M. le com-missaire de police du 9e arrondissementa ouvert une information coutre la nom-mée Carton, sa voisine, qui, lundi matin,lui a lancé le ce,ntenu d'u,n seau d'et, luimouillant complètement ses vêtements.

VOL D'UN PORTEFEUILLEle comndssaire de police du 3e ar-

rondissement a ouvert une enquête contreMe.oa pour vol d'un portefeuille conte-nant une somme de 870 francs et diversesPièces d'identité au préjudice de M. Pen-deries Germain, entrepreneur Be menui-serie rue du Ceint ODs 17, qui a perduce portefeuille samedi 26 courant et dont/a déclaration de trouvailie n'a pas étéfaite an bureau des épaves jusqU'à cejour.

LES FEUX D'HERBESHier vers 12 h. 45, un commencement

d'incendie s'est déclaré daes des herbessèches Elamo un terrain vague appartenantft la ville près du Pont des Fidalans. Lean' ormiers de la caserne centrale, sous lesordres du sergent Cadmia ogd éteint Rfeu après un quart d'heure d'efforts. Vingtmètres carrés d'herbes ent été brûlés. Lescauses de l'incendie sont inconnues.ENFANT RENVEOSE PAR UN SIDE-CAR

Lundi vers 13 h. 20, le jeune Bentathde 10 a., demeurant allées Jean Jaures65, a été renversé au moment oit il tra-versait la chaussée des Allées Jean Jaurès(côté des numéros impairs) ar un sit-eu conduit per M. Beltrot Orages. em-ployé à la Compagnie du Midi, demeurantrue du 10 avril 31 bis, et st brun cl avaitPris place la femme de ce (termes et Parune bieveletP tnonliie par M. BlantaretJean, demeurant rue Arago 34, qui suivaitle aide-car de três près.

Deleve aussitôt par les auteurs de l'acci-dent, /e Pune Bened, qui portait une en-tai/le au mollet gauche, a été conduit b lapharmacie Fouchon où un pansement sep-maire lui a été tait et chez M. le docteurIzard qui lui a fait une mature de sérumanti-tétanique. La blessure n'est MS grave.M. le commissaire de police du te error-clissemert procède à I ee enquête.

ACCIDENT DANS UN CHANTIERHier matin vers 8 h, ao, rue Rapas, dans

une mals. en Pesten-taon. Je jeune Pon-ey Antnnin, âge de 7 ane, demeurant r.Malbec numéro 4, manuvre au servicede M. Débit entrepreneur, est tombéd'une hauteur de 3 mètres. Dans sa chute,il s'est fait des contueions multiples surdiverses parties du corps. Rompe Mes luiavec la casultnelfe munidpale. AL le duo-leanli'dllardir, ,ruaadé en Ioule bOte,derdare que, sa. complications, R blessépourra /prendre le travail dans une quinezairte de /mus.

OU VA-T-IL ?Le jeune Cubant Irénée, âgé de 17 nes,

a quitté le &mie& de ses parents barrièrede Launaguel depuis le 26 parant 00h.dit matin, e a pas reparu. Signalement :17 ans, taille petite, cheveux et sourdisbruns, yeux noirs, teint JI11.1t, vélo ,

complet bieu mark, chaussé de sandzilesreins, coiffé d'un petit leder_hletu rose,

VOL D'UNE BICYCLETTEAL 1e commissaire de police du de ar- i

rondissement a ouvert une euritte contreineonnu mon- vol tune hkyclette marqueO La Française-Distant 0 dernier inodèle,d'une velem de 1.200 frimes, voniires dansle camant de la suit dernière an préjudiertdé hl. Riout Eultne, demeurant tillées JeanPures 37, dans un nidaul de se maison.Le sedice de /a Sûreté a été avisé auxfins de reinerehes.

LES VICTIMES DU TRAVAILHie,' sep M. Dire, datte., à h Compagnie.

do Sud-Omet, 32 ats, dememant edlée Maiengo,14, été vistive d'en ascite, de nal à laeure degrinn. La le er-rivequ'il ,ha,ultslrempanné ca waren eei rentrait au depût,Scia M. Di,. con:, « devanture sI, plaque du ferez et le nad R la èac,dcresumac:in. le: onumnales M. Dire le fortementcau..siocesilui saigné *eh.. ho 2rife,ii Grime,oe eller lei a emosesi qPR 47esuPaetô de

RIXE SANGLANTEVers 19 h. 30, une discussion a éclaté

un Fravçsbset un Espagnol, au bar Fathe, rue desNevers, au cours de laquelle Cslboo Fran-çois, 34 ans, chauffeur, rue Saint Nicolas 26reçut un coup de couteau de l'espagno/Lopees è l'omoplate gauche et co bras gal-ette. Cette Messure, assez sérieuse, a né-.

'Dietz. Quant à Loues, il a ré mis h la dis-position de la justice.

tes rundsteNs CHEZ NOUSHier matin, la municipalité do Toniloue a rem,

dans la Salle d, illustres /a délégation des an-cirse éièvres du lycée de Tunis, venus en France

QUITTE POUR LA PEL11 pour un voyage a cardes.Atant-hier, yen, 15 heure,. ie tramway 52,05 In hienvenue sertîtes M Nui las, pre-

teeerv.t la lett 15 qui passant à l'Hue,. fesseur darde ou Lsp. de lares et préstuentAn la Granle-Allet et d,t Boulingrtn. It de l'As...gon des Anciene élut a expasi lelampent lin etPlutt par M. Dés but scientifique do voyage avs élèves du LycéeJacques, ildneutant place Saint-Etienne. ii, de Tess, uni est do se perfectionnes date I,qui sulsail la :tele Mottent que te /Farm sep, transats, est, la get, des ...lu centres,any. Tout s'est borné à des d'este mle Mareeille, St-Etienne, Lyon, Pans. Rouen,riels. Bordeaux, Toulpee, Nîmes, ete. M. tsit..le, re-

A1ALADE DANS I,A eue mercie aussi Toulouse dn son bon accueil.

Félix Jean. figé de 29 ans,aétértiell

frai,-pë d'une atteque de peralysie pee, gifilez7TC5EDieeerfleYeleebit vers 17 houresupiage daintriergesConautt. I t tel- co amionnett te otiepale, il a ele admis salle Exposition de Tou/OuseNotre-Darne.

est Ions ma sje hure vois 'Il lieui.e-4SibzuSBoucan, bOnd di'

Ïte'S?

la eue des Pra, et a été transportée à l'Hô- JEUDI 31 JUILLET1,%lieDieu à t'aide de la crunionette munici- â 21 heure.

ettNvettsee PANS MAL - SOIRÉE DE GALADirnanehe, vers 7 h. 30, Mme DoppiaJeannh demeurant

plaeeArnatubtliernerth CONCEBT VOCAL ,ET INSTRUMENTAL/4, a été renversée, au momen dl elletraversait le bottant d'Arege, à heu- avm le commues deleur dn la Die ge la Baient. par mie au-tomobile conduite par 51. Murat Lents, dermeurent boulevard de Strasbriung, 70, 9cise dirigeait vers Arnaud -Bernard tOuneallure modérée et en tenant sa droite.

Dans sa chute. Mme Doutent, s'est lettune plaie au bras droit et Epttques er.abymes. à la jaznbe droite. Re ev-i,sitôt, elle a hie lranoportée,per lil. Murat bla pherreacie Malavialle, rue de la con-corde, 42, où elle a reçu quelques soins.

My Murat l'a truite eeroOttite A sonaornielle,

CAMIONNETTE CONTRE TRAMWAYHier vers 10 h. 3(1, une collision s'est pro-

duite rue Alsace entre une camionnetteautomobile appartenant à M. Mestres Jo-seph, marchand de primeurs rue des Prés

Mlle Thountièrea, Ire chanteuee légèredu Théâtre du Capitole

AI. Rousse., ter ténor d'opéra-comiquedu Casino de t'ait

emmena+ Envoyez vagi Lettres, allezAu MAROC par AVION

laartt Ô fotttlattas st il Cetttattca tels len611 V.71, Te resseGagellatea Rusa.

MI« et men". 'I M ri. il Sema. pigeas

; 0100110S 4.17ÉCON11215 Paon-55 ut111164011110-11101401111Reign

1411e2247152426242311020Cai..aasesssape.. aja 124 ogat Imungs54e,1,-

VIE SPORTIVE TorErie-Miemea-Sporia. Rémige de tousles anciétairee, ce wir menue. 30 jui/let, à 21 h..

LIGUE D'ATHLET1SAIE DES PYRENEESLa Ligue d'Athlétisme des Pyrénéee informe

tous ses Clubs et athlètes. affinés que la réunionorganisée le 3 août par l'Union 01Y..,P,C.,P.techoise, à Montech, lem est interdite mus 'peinede supermion, ce chrb n'émou pas affilié à laFédération Françaiee d'Al/Mame.

CHALLENGE TOLOSAEn mgme temps que la travemée se courra le

Challenge Tolosa, détenu par le T.O.E.C. derme1922 et 1923.

Article premier. Le Challenge reviendra auclvb dont trois nageurs auront adorerai le medlemclasserneG, et ce par addition de pointe,

Art. 2. Ce club aura la garde d. Challengependant une année et devra le retourner «mimeours avant la Traversée au siège du T.O.E,C.dans le Ca. où l'épreuve n'aurait pas lieu.

Art. 3. Le club ayant gagné pen Pdant aisannéee consécutives restera possesseur définitifdu Challenge. Le Comité,

COURSE CYCLISTE FEMININEL'erra

01,1,,,GrcuitMéric a confirmé une fois de Husla valeur de nos cyclowarnens qui firent men:én/le

urs un parcours des p/ Mmus accidentés. e MariaFerrage a escaladé les ou,',, de Pechlousque etde Mervilla avec nne virtuosité remarquai:de pre,nant dem cette partie du trajet trais minutesd'averse sur Mine Fouillions,

Cette dernière qui s'avère de plus enpliacommeun véritable as réussit à arriver au con.

Pale de Baziège avec vingt secondes seulementde retard, ayant effeAue le trajet de Castanet àBaaiège à la moyenne effarent, de 33 à l'heure.

Au déPart de ce contrôle, la championne duSuol-Et collait h la roue de Mme Ferrage mi sevoyait distancée dàs Mg-statuera, Mme Dupe.etri fit une 005,0 splendide réussisealt à rejoindraMine Ferrage gai, à Pomponnant n'était phisqu'en troisième position. Pendant ce temps, MmeFouilleuse accentuait son avance cour couper laligne d'anûée à 16 h. 56 effeetuate lede 50 km. en 1 h 45, moyenne 28 km. 000: 2°Mme Dupuy, à cinq minutes: 3. Mme Ferrage,à. /0 minutes. En deuxième catégorie MlleRaynarld qui fit à l'aller une course superbe sevit, au retour, distancer par Mme qui te,mina E parceins en 2 h. 04, 2e Mlle Reynaud,en 2 h. 14- 3. Mlle Morin en 2 h 14 3/5.

Nous devons adresser nos félicitations au dé.voué M. Méric à qui revient l'honneur de rama-nisation, En résumé, Mlle Etna. peur S Cr-drame fémirin. Les résultate obtenus mus per.Mettel, d espérer que le jour n'est peu: Aue pasEin MI le champimmat de France féminin

ou,,,.dmrecomnenser lee effraie mente:rés ces amm.te er des ana. féminins dans mue cité.

LES el PIONNE/TES A TOULOUSELes vaillants pactes qui ont commente ta

grande randonnée qui doit Ics amener samedi.

Pentes organisations toulousaines.L'et Rome d. Fmnemals son nt.' eu feront

les atterissages et où séjournes,. les avion....sera inter.« au public afia d'éviter mes risce,e.d'accidente.

ILeceM dos hangarde et dee abords immédiatsdu batimem de l'aéro-gare sera résumé auxmoulu,,, de l'Aérai:Mb dee Pyrénées, à cesdr la section toulousaine de l'association fran-çaise «retienne porteurs ars de la rte 197.4, et àcem qui ae serom procuré des cartes d'entréespéciale mises en vente au prix rio-taon de10 francs. et dont le montant servira intégralement à créer des mimes qui ,.m,-au distribuéesaux gagnants de l'étape Nimee-TRIcuee.

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Réunion memeelle eoir 39 juillet.

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<0.««(1.< d< «< noyers <0. Yee-sister la réunMn mensuelle qui aura lieu aucafé Car. avenue:de 1.00... .

Orte de lui,, Adhésion, causerie corancamarade du parti.

VIE OUVRIERE

Centité Tolly lm deéreaR dmorganisations d'avant-garde, adhérents, as Comitésont tenus aPassister la réunion qui aura lieuau aigga, 'à 9 heures jeudi 31 juillet la Boursedu Travail.

LES SOCIETES

Ligue des Droie d. //Homme. L'Assembiéeérale ensuelle aura lieu ce soir, mercredi,

LM'm

t'ira,re, à 21 hem..Orne de jem : le Q.estions importantes, ur-

gentes: 2. °Muances.Pour taus renseignemeets concernant la Li-

gue des Croc de l'Homme et deCepen andresser ou ..rire eux doyens maritimes du Comité dele r, roc de Toulous r, W ,e t Ch. Mailleeide.22, Côte Pavée; A. CP., trésorier génege/, ave-nue de Terre-C.Mde et A. Souleillan, secrétairegénéral, 6, rue de la Calomberm.

Cercle 1.igue Lest:dna., Las membre. ae-tifs du Cercle Lecue Lespinasse, ent invités sse due, ce,,, mercredi 30 juillet, 8 h. 30,selle des Menions, Mec.

Ordre du jeu, : Came, rende de le distribu-tion des récampenses: admission.:sursnloO, do

Lia, a, de défens, des cnee.ears. Aujourd'huimem:en. 30 belle, à 9 heure. du reg, deniers

dee dee quartier,: ci-aprèsFer à Chem}, Nébaude, Croiacle-Pierre. SainteCécile, Lai/a/ramette etgenvirons, su café Roque-larme, avenue de Muret.

oadre du jour ; Cepas tendu edmiaistratif,ehtenvellemee dee de 1923, admiesion

duo,nouveauxadrhérents. Préeence de riameur.Aesociati. Sportrue de la Côte Pende. Ce

soir mercredi, à 21 heures, aura lieu eu siège s,Hal le premier entraînement thé/inique et pratiqueeu salle :nomination de la commis:don de s.l..P ouPrésence obligatoire de ts le. jeueme.

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MOnsieur Henni BOUTARICAran! de Comptoir dee Self de Bayonne

et les raient de lem faire l'honneur d/easter auService de Neuvaine qui sera célébré demain jeudi,31 juillet 1924, à dix heuree et l'Otater. de Si-jean-Baptiste Pue du Musée).

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Sas:trige regarda ces hotrxresavait péniblement recrutés depuis quatremes: c'était tout ce nui xi lestad tlet cesanciennes forces dans la montagne.

Niais tonna que loin d'eue abattu, lebandit avait refonne dans Venise mêmeen, Lande plus tri-mutable peut-être.

Une sombre satisfaction brilla dans sonrdgerd noir.

- Tout le monde est là ? dit-il. Bien.Combien sont-Lit là-haut ?

Six en tout, répondit l'un des linon.lys uni sem/st/ait être le second de San-

go. Quatre aux abonda de le grotte;r eux devant la porte du prisonnier,

Le diable est pour noua, dit Sandri-issu Mais â faut agir vite.

2,,dhebrino a rôde. Par ici ess,,srs, et il pommit bien reve.

- . ne reviendra plus I dit le-.Itef. Le vieux compte et réglé.

'EP

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INTERETS D pour 100

ulietin de SouscriptionJe soussigné (nom et prénoms)

demeurant àdéclare souscrire (nombre - obligations de fr.

Sn paiement de nta souscription je verse la somme defrailcs pour libération des obligations pur

moi souscrites.

Fait à le 192

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Les bandits frémirent.- N oubliez pas te que te vom ni Pro-mis, reprit Sanirigo. Le trésor citrons la

grotte. Vous la fouillerez de fond encomble. Et quand VOOS aviez trouvé, i/ ya mené peur vom.

Les yeux des bandits étincelèrent etquelques jurons de joie éclatèrent. malgréla rude diecipline qu'ils observaient enprésence du chef.

- Enroute I conernandtt Sandre°.En quelques instants, les bandits lu-

rent dehors et se dispersèrent par dessentiers différents. Sans doute chacund'eux avait reçu d. ardres antérieurs etsavaient ce ce'il avait à faire.

Sandrigo sortit le cernier, et, pensif,prit lentement le chemin de la Grotte-Noire. Arrivé à mille ras environ de lagrortte, il s'étendit derrière une grossetouffe d'arbustm et attendit.

L'attente dura une heure environ.Au bout de ce tempe, ah sifflement

prolongé traversa la nuit.- C'est fait ! murmura le bandit.

Il se leva alors et, sana Phnt Prenare deprécautions, s'avança rapidement vers lagrotte où il entra.

L'intérieur de la grotte était éclairéepar unetorche.

Quatre hommes ligottés solidementétaient assis dans un coin, côte à côte, ledos à In nsustulle de grenat.

- I/ a fallu en tuer deux, dit le limite jnant de Sandale.

RG

Ii.-- Lad A.

Sanzrigo fit un geste d'indifférence.Et jetant un regard sur les prisimniers,

il dit- Déliez-les.En un

instant'les quatre prisonniers

furent ditachés et se levèrent.- Ecoutez bien, dit Sandrigo. Vous

étiez de ma bande. Veut Vete êtea révol-tés contre moi poux obéir froc intrigant,un homme q ni n'est Paa, qui na Sera

tmais des nôtres, Oten plus, le viensdeVenise. J'ai pu anr:roc-her prère ces'.Personnages a qui t ai arradta, la véritésur cet hatrine gui est venu poster le trou-ble dans notre organisation Sevez.vousqui est celui que volis avez aveuglementadopté pour chef ? Cet un des ruine,.Pana agents du Conseil des Dix. SonPlan est bien simple inspirer, confianceà testes les bandes de la montagne, leamener à Venise et les capturer d'unseul coup.

-Tu mens 1 dit l'un de prisonniers.Sandrie se leva, rosa le canon de son

pistolet en le front de celui qui avait pe-lé redit :

ne voix ferme.-- Tu mens t répéta le prisonnier cru.

Une détonation retentit.Le rnia/heuteux s'affaissa, la tête fre-

cassée, et un enternurre de craintive ad-miration parcou ut Ira bondit,,Froidement. Sandrigo or rassit sut l'es-

cabeau qu'il avait pris en entrant.

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- Je continue, duitsil. Vouiez-vous êtredes nôtres ? Vouiez-voua répéter à rioscompagnons égarés ce que je viens devous dire, et les prévenir de Iffroyabiecange qu'ils encourent ? Si vous êtes deshommes si vous êtes cm vrais bandits,vous accepterez, et vous saliverez vos frè-res. Quant à moi, j'oublierai le passé, etvom admettras au partage des trésors quisont ici. Décidez vous sur l'heure.

- J'accepte I fit l'un des prisonniers.- J'accepte vend, dit le second.

Et toi ? fit Sandrige, s'adressant autroisième.

je cis comme le pauvre Luietu meus I

- Tu es donc prêt à rejoindre Laie?gronda Sentine,

- Olé, plutôt que de trahir. Et vouedeux, voos paierez tôt ou tard votre lâ-cheté... Frappe, Sand...

L'infortune n'eut Pas te th.155 d'ache-VenSandriet d'un geste foudryant, avait

levé mn poignard. L'arme s enfonça toutentière dans la poitrine.

Les deux traitres détournèrent la tête,un nen Miles.

Vom etes p.antennés, leur dit San-drigo. Vous etm désormais cies nôtres

lb

comine si rien ne s etait jamais nasse.baissèrent la tete en balbutiant un

remerciement.- Surveilles-mei ces deux gaifiards,

B AS L'AVEIUR n""' """'"` Ma" MADl.haute au publie au (2112 do axe, I s Barreau-1.10m. tEstendel. Ear,I /Ma 9-EFEVRE. 17. rue Mauus, Parias prénom date ds nisenstbee. jMo..

mamans Sandrigo à Famille de son se-cond, et au premier signe... pas de pitiel

Puis, à haute voix- Muintenant, que l'on commence les

fouilles !

L'Il rugissement de noieparc/es impatiemment attendues. Les tor-ches s'allumèrent, et bientôt on entenditie bruit des pica sondent et attaquant leeanit dans tous les coins.

Sanotigo s'était dirigé vers le fond dela grotte, une torche a /a mant.

Il parvint à une porte solidement ver-rouillée, et se pendia pour écouter. Au-cun bruit ne lui parvint.

- Est-ce que l'homme serait mort 1pensuddl.

Ales, il munit et entra.La ôtent de la torche éclaira le cachot.Dans l'angle le plus lointain et le plue

sombre ee tenalt un home, accroupi,les vêtements en lambeaux, maigre, have,les yeie brillant d'un étrange éclat.

C'était Bernée.A la vue de cet inconnu qui entrait une

torche à la main, le poignard nu 'à laceinture - la lame toute rouge encore- Bembo se mit à gelotter et se rencoimn dans mn ongle.

- Vota venez me tuer t bégaya-Lit.! je le vois I L'irràpitovable Roland

trouve sa vengeance incomplète.., il mcfait tuer I

- Ra-murez-vous, dit Sandrigo.Bembo n'entendit pas. Il continue sa

DEPUIS DIX-SEPT ANS 101Seul,DE IMUSIATISMEs, ET Me 1,,-:se,RADICALEMENT RUER/el'

à Monsieur,Depuis dix-sept ara, je nOuff,rhumatismes, Lamât aus jambes ig;bras, tantôt aux epatiIes et dans

; ;Cs reins surtout étaientvent pris. L'année dernière. je g;ji-;un enta pouvant à peine marcher-ut/durant des douteurs atroces. geenfin décidée à suivre le Traitepd, /Ceefeeus », je n'ai pas lardé rssu'Isiune amélioration et, 00,09 dem moletraitement bien suivi, j'étais gus, se,calement. Prdventivement, à els,-nouvellement de saiso5, j'enquelques flacons. -tittPaye, aSatled de ma reronnaisame,que ceux qui souffrent aient conflueremède.

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plainte de cette voix devenue enfitulecrue lui donnait l'émouvante.

- N'ai-je donc pas assez expié 10.Mon crime fut atroce, et je paisla smtffrance que l'ai infligée à Relu4treintenant que Fui souffert, mei sienNlais tdut à des Eames, rilexne le droit t,épunir ! Et puis, dites lui à Roland, and,n'est qu'un honnisse COnene Met. OiCdites-le lié bien.., et que Dieu sel eiMent la supretne pence. Oui, Dieu se1,Car Dieu. iiI frappe avec fermeté,

, aussi pardonner ceux vol se repente'et je rne C6pens, raid I Je one rusent ljPasse toutes le, rrinutes cle mi, miséesexistence à demmukr pardon I Mais

I ne m'entera

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