n ANNLE. 10.405.

ABONNEMENTS :O MOIS, 33 fr. 6 mois, 64 fr. ; un an, 122 fr.

UNE VENDEEen puissancej.

E n'aurai garde de reprendreles sujets que traite avec tantde réflexion documentée et de

prudente interprétation des faitsnotre sali A. Leroux. Si je revienssur les dernières décisions du Co-mité de Londres en ce qui con-cerne ce qu'on continue nom-mer sans beaucoup d'exactitudele t velte/ des volontaires » de.l'Espagne, c'est pour signaler lafaçon dont nos nationalistes »ou « nationaux o. comme Vousvoudrez, envisagent la situationde leur pays le nôtre aupoint marqué par ces résolutions.

Certes, leur sympathie pour lesrebelles espagnols et les Etats fas-cistes qui, en les servant, se Ser-vent d'eux, vol connue dès le pre-mier jour. Je ne sais si pourtanton y a prêté assez d'attention etM l'on en a considéré suffisam-imnt les conséquences pour la Ré-publique françaim, c'est-à-direpour la France.

Il est bien entendu que, dans legouvernement de Grande-Bretagne,l'influence « conservatrice » a, dèsle premier jour, contribué aux hé-sitations et atermoiements qui outfortifié /a position de Franco etdes puissances fascistes. Mais nela croyez-vous pas encouragée parl'attitude de la partie de la pressefrançaise qui a yu tout de suitedans /a guerre en Espagne uneespérance de recul dans le mondesic tout ce qui constitue, justifie,zenforte PIN° et /a réalité deFront populaire ?

En tout cas, h. l'heure qu'il est,on pourrait croire que la gravitédes événements aurait pu réfrénerl'amour pour Franco dans lesmeurs qui soi-disant ne battaientque pour « France d'abord».

L'effort que l'on doit (Mi-dainefoi comme avec persévérance pourécarter les possibilités de guerren'empêche pas de constater que,chez Hit/er et encore plus chezMussolini, certaines mesures seprennent qui ne s'expliquent bienque par une pensée de préparatifsbelliqueux eu cas de besoin. Vo-lonté de guerre ? Cette expression-là n'est jamais tout à fait juste.puisqu'après tout, si aventureuxou si prêt aux coups de forceque l'on soit on voudrait tou-jours de préférence les profits dela guerre sans l'avoir faite. Maisenfin, la partie qui se joue pourta paix du monde est assez com-pliquée et assez difficile, elle en-gageassez l'avenir français pourqu'on y regarde à deux fois avantd'apporter une aide morale à ceux,qui menacent celui-ci ou d'uneobligation à la défense ou d'unerésignation à l'amoindrissement.

C'est le moment où les alliés queFranco a renoontvés chez nousredoublent de compliments, d'ad-miration et de bassesses vis-à-visde lui et do ses soutiens. On pour-rait citer, dans la presse d'hiermatin, bien d'autres noms etd'autres exemples. Contentons.nous du Nérillis de l'Epoque. Nonseulement, en rappel.t les pre-miers moments de ce qu'il ap-pelle la « révolution espagnole us

-imatotmillilitioutsoesetrot,

VICTIME DE L'AIR

smulillftonnumosiml

, qui est en réalité la o contre-révo-lution a, il redit que la Répu-bliqne française aurait dû « pren-dre parti pour Franco », mais en-core il accuse le Front populaired'avoir, en ne le faisant pas, « of-fert aux Allemands et aux Italiensune occasion qu'ils ont saisie àla Volée v Ainsi, n'est notre paysqui est, le coupable de la guerroportée au delà des Pyrénées parles fascismes hitlérien et mussoliMen, !

C'est vraiment hop de cynismeet c'est vraiment trop fournir àrelis-qui n'ont pas encore comprisde quoi il s'agit dans toute l'actionfasciste en Europe la preuve que,dam la paix maintenue ct à pré-server, les forces de guerre ontdaos noire pays l'appui d'une Ven-dée possible.

Attention IBRACKE.

-

DE NOUVELLES DIFFICULTESONT SURGI SUR LE RETRAITDES VOLONTAIRES ET SURLES FONCTIONS DE LA COM-MlmON INTERNATIONALE EN

ESPAGNE

Il, Corbin

avant la réunion d'hier après-midi

nOnnne pnopositiam destinées iraloire 'et:ales:g:7Z ' liane! se."gelmalgré ce frayai/ préporaMirele (sauné des Treiae s'est trouvé hindema des difficultés imurmontabLes.Il n'a eu aides d'autre ressource quide renvoyer ecs difPositas me goauarnenicols, et de prévoir une nouvetSréunion nous agnat aprés-nadL

suitleinrûlrtnee 'Zeit edrie'je. le;fee:, uezliuus 51e aulx

apl,sgk sonne toujonrs, par lm déiétais

G'a:tet iimanimitssoit remisa pour qu'uns décisiOn atun calai:nye valable et exécutoire. I,est inutile d'insister sur la nature eles eonsemeences d'un, telle pré/enlion. L'encre as Conitte eran plus 9e,

lantnaleet,intiae,,I"e2,odesreftraire d'un seul de ses memur

a.:ejpdchenalt toute sanclusion pratique.

De «erse le délégué italien ,a refus!de reconnallre comme dannatima s'obdigutoires les évaluations que la

00e,,5

1',"re's ce=1°' reee del 'so'14one.

On a aussi disante sur le nombredes aolontaires, gui doivent etre rap.Peler, ti litre symbolique c. Une prerObez proposition fixant es nombre dbop) si o racine acceptée, car elle aumû cOnaltué un désavantage flanquesensible pOur le gouvernement,. Per

Es Mi,sitle na"ger' e"'t duishirefaretrieseittslogibarmau de Paris, qui s'est tuée, des ellrells des bria.tdes nermallonn

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ANGLETERRE-AUSTRALIE

SOCIALLS

L'aviateur anglais Broadbent qui adécidé de s'attaquer au record Ansgleterre-Australie que détient Pa-viatrice néo-zélandaiseJean Battes.Cette initiative donne lieu à unsingulier chassé croisé, car MissBatten tente actuellement de battrele record Australie-Angleterre dé-

tenu précisément par Broadbent.

Ansts-nenceardsar cepoes paumas*se faim facilement en réduisant le Mal-ts» Ida» proportiOns gui ne posent Ime-de lets probiemes,

Le Comité a décidé de Iranienne areluite des gouvernements intéressés lepriael d, mmiutton gui emnêssuct lmzOo points anisants

Le setrall, sous un consd,national, de fouies les personnes enga-geas dans le conflit espagnol guiSont Pas de nationalité espagnole, ougui n'étaient pas de nationalité espa-gnole a la date de Juillet MM;

Arrangement pour le retrait fm/nhdlat d'un nombre symbolique de natio.falun non Espagnols combattant dansles rangs des deux jactions espagnoles,

La nominaUon de deun cannais.Miens gui seraient envoyées en Espagnipour contraer le retrait dm volanteT.;

La question de déterminer les condatons ri, ce out et trait d t'Octroi dmdrints de belligérance,.

Recifficnetton par les gouvernernenis paritelpants de leurs engage

dl'ramis fi ne pas permettre CenvOinnUbealin volontaires en EsPagnes

4. Ce seudditsentent el le renforce-,meut du e.trdle terrestre et naval enLiez alla,

Le Comité ss réunira à nOnvean Sinatrés midi,

André LEROUX,

LA PROCHAINE REUNIONDU SOUS.COMITE DE LONDRES

tondre, 23 octobre. C'est mar-di, à 16 heures, et non pas lundi com-me on l'avait prévu hier, que le sous-comité de non-intervention tiendrasa prochaine réunion.

Ce délai a été décidé afin de permettre aux divers gouvernementsd'étudier avec plus de loisir le textede la résolution qui leur a été cora-muniquée hier soir.

La note officieuse de Rome, an-nonçant inc l'Italie ne fere Phsa dé-smmais e aucune con'cession impor-tante s. causé une certaine unTri.

Londres, oh l'on attribue à là dé-légation italienne comme d'ail-leurs a certaines autres narres-possibilité importante dans /es dif-fi.ltés que rencontre le mmité denon-intervention.

Une impatience esses nette mea-rait d'ailleurs dans les commentai-res des milieux diplomatiques, sur /aséance d'hier, et l'on y constate atmla bonne volonté unce.aire au suc-cés des discussions a. fait, en biendes cas entièrement défaut.

On espère qu'avant mardi, les dé-légations, dont l'attitude a contribué

accumuler les obstacles, adopte-ront des dispositions plus concilian-tes. Faute de quoi, on pourrait êtreamené à constater l'échec du nouveieffort tint par la Grande-Bretagne etla France pour tirer le comité de nonintervention de l'impasse on il avaitabouti,

M. Cadiergues, propriétaire g Gramat,s'est noyé accidentellement dans un pui.oû il allait chercher de l'eus pour abreu-ver son bétail_

Le professeur Bruni, a Mie son 93meanniver.ire.

Le général Gouraud sera.t.il nommér,rédbal de France.

On en parle... Le con.il des ministresdéclera,

- Une explosion s'est produite dans untunnel en con...gnon. Trois ouvriers onteé 000 et Pholottro 44I179 41.É.711»

La Conférenvs nationale des Fédéra.tiens n'industrie, réunie h Paris parla CGT. le 21 octobre 1937, considèreque les c,ontrats condi s du Ieaon,ldoivent dorénavant revétir le «tractbre de conventions nationales industriel-les.

Elle déclare que ces conventions na-tionales doivent, pour assurer la nein.tê du travail et permettre la continuitéOs la production dans l'inténét généralde notre économie uariollale, contemrles points communs suivants

/.° Définition m'adse de l'obJet, 05 15

durée et de la portée des conventionscollectives MS, juridiquement, neraient être confondues avec les con.trate individuels de travai/. Les conven-tions collectives nationales doivent sesubstituer aux conventions locales quiseraient en vigueur. La conclusion deconventions nationales implique néceesairement des amé.gernents ré,gionauxon locaux de certain. clauses partie..lières.

2° Création de commissions de con-eiliation paritaires industriel/,e dépantemente/se et nationales. Ose commis.sions paritairm auront h connaltreconflits qui pourraient résuiter, dansl'industrie considérée, de l'appli.tion

DifiliMODO11111111MIlllillitlInIDDID

L'EXODEdes Asturiens

DES BATEAUX TRANSPORTANT'DES REFUGIES DE GIJON

CONTINUENT D'ARRIVER DANSLES EAUX FRANÇAISES

Pendant que sur une mer dé-montée et lugubre Ms infortunésréfugiés de Odinn errent au largeCri côtes françaises et abordent,cornme ils le peuvent, maigre lemauvais état de la mer, le sort drumineurs asturiens continue b pré-occuper gravement l'oPinlonpéenne.

On eraint que Franco, malgré lapressante démarche faite par lesautorités franc0-anglaises,le premier prétexte venu pour dé-créter ou pour tolérer un épouvan-table massacre.

Environ 60.000 mineurs asturiensaccompagnés de milliers de femmesni d'enfants qui ont voulu les sui-vre, se mraient réfugiés dans lamontagne et dans les mines, plutôtque de se rendre.

UNE GRAVE MESURE DUGOUVERNEMENT FRANÇAIS

Hendaye, 23 octobre. Le g011-enterrent Jranddia bise d'en-noyer des ordrss aux autorités a lafrontlrre pour que, 4 Pfc-fir de de-main 25 octobre, tous les Espagnolsâgés de /8 d 48 ans satané refoulés&MS loue, paye.

MEETINGouvrier à Paris

Hier, a eu lieu suris grande pelou-se du Bois de Vincennes un grandmeeting contre la vie chère organi-sé par l'union des Syndicats de la ré-gion parisienne.

La concentration s'effectuait surplusieurs points de la banlieue. Ledéfilé a duré plusieurs heures. Lafoule était immense.'

Au meeting, ont pris in. ParoleJulien Racamond, secrétaire de la

C. G. T.; Houri Baynaud, secrétairegénéral de l'Union des Syndicats ou-vriers de la B. P.; Boully, des C.-pérateurs; Guérin, de la Fédérationdes locataires; Rias, secrétaire de /aFédération de l'Agriculture; Lacour,secrétaire -de la Confédération duPetit commerce et de l'artisanat; Les-se..., délégué. du Comité régionaldu Rassemblement PoPulaim, Enfin,Henaff peine de /a tragédie espa-gnole.

Pas d'imitante.

JEAN BATTENVOLE VERS L'HE DE CHYPRE

Bassorah, 22 .tobre. L'aviatrimsnaraullmnun Miss Jean Batte, ce,tente de battre le record Australie-An.gleterre, est arrivés a Bassorah, 47 h.00 ce matin. Elle en est repartie qua,rante Minutes plus tard pour Vile deChypre.

L aviatrice Jean Batten a atterri 4as h. 30, sur l'aérodrome de Messe,près de Damas. dane d'excellentes con.dit... Elle rem.endra h 4 .heuree

I lets DU SM ObolEts Ott k>mdrni

des conventions et à etatuer sur madans le plus ,bref allai

I° Reconnaissance et reepcol du droitsyndical des travailleur, et du droitd'opinion. Insertion dans les coma.Sons de clauses .uvegardant ces droitset libertés.

4° Définition du rôle ace délégués ou.!triera et des modalités d'élection des

Mystérieux entretien

geruno-liallenLES ENTRETIENS DE ROMEPORTENT SUR TOUS LES

PROBLEMES INTERNATIONAUX

Berlin, 23 octobre. Le voyageinopiné de M. von Ribbentrop à Ro-me a provoqué quelque inquiétude.

Le fuhrer chancelier a vraiserobla-blablement chargé 31. von Ribben-trop de présenter à M. Musmlisai demuvelles suggestions Concernantl'attitude communo de l'Allemagne etde l'Italie dans la question d'Espa-gne au cas on les délibérations doux.'mité de non-intervention aboutiraientà une impasse.

Selon certaines informations, M.von Ribbentrop aurait été chargéégalement de sonder le chef du gou-vernement fasciste au sujet de Fatittude italienne à l'égard du pacte

germa/Io-nippon contre le Komin-tern. On crie, à Seclin, que M. vonRibbentrop s'entretiendrait aussiuvée le duce de e l'activité antialle-mande s dans les Etats de l'EuropeCentrale.

Les relations avec la Tchécoslova-quie et avec l'Autriche constitue-

raient un élément essentiel des pour-parlers de l'ambamdseur du Reich âliom.e avec le duce, Au cours de sonentrevue, M. von Ribbentrop, croit-on à Berlin, a évoqué également laquestion des revendications robais-les allemandes, dont M. Mussolini etM. Hitler se sont déjà entretenus aucours de 1 récente visite du duce enAllemagne.

LE Dr SCHACHTministre de

l'économie du Reichdémissionnerait

Berlin, 23 oc1obre. Le bruitcourt a Berlin que le docteur Schachtdonnerait, dès la semaine prochainesa démisscion comme ministre de l'esefelémie du Roch, sa ais Il conserve-rait la présidence de la Reichnanck

Le docteur Schaeht ne serait pasremplacé. Le ministère d'Etat muongéré par deux secrétaires d'EtatIL Fosse, qui est déjà, depuis long-temps, secrétaire d'Etat au ministèreIn l'économie, et M. Neumann, char-

gé /tar le général Goering de la duce-lion du pl. de 4 ans.H n'est pas possible h l'heure ac-

melte, d'obtenir confirmation offp 1

cielle de ce bruit..

os VOUS Y CROYEZ, VOUS, AU RETRAIT DES VOLONTAI+

RES ? »tt LE MIDI » POSAIT CETTE QUESTION EN MANCHETTE,

IL Y A QUELQUES SEMAINES,IL LA POSE DE NOUVEAU.H. SAIT BIEN QU'IL POURRA LA rosrs ENCORE PEESLEATES

FOIS DANS LES SEMAINES A VENIR.-

L'INSTITUT DENTAIRE DE LA VILLE DE PARIS

La ni.icipalité de Paris a inauguré, jeudi, son Institut dentaire, édialié grâce à la générosité d'un riche Américain, E. Eastman. Des seins

gratuits y seront donnés aux écoliers, Voici une vue intérieure del'Institut dentaire Eastman.

eleee?, 'neele Culr. LA RUCUUEet sans risque do bnimades.5° Régies assurant toutes garanties

d'impartialité en matière d'embauchageet de licenciement des travailleurs. Ré.L°eriioârii.es'et'iehebesei

périod=reZ agent des truststravailleurs licenciés par un établisse.ment. Création d'une commission spé.

gies h observer en mati de e

ciale chargée d'examiner les motifs derenvois ou de menaces de renvoie. Rd-canadien totale du préjudice ca.é auxouvriers en cag de licenciement nonjustifié.

6° Fixation du taux des salaires mi.nima et réels. EMblissement de l'échet.le mobile dm salaires destinée à ga-rantir à ceux-ci une valeur re.tanlspendant toute la durée d'applicationde /a convention.

7° Droit aux congés payés selon lesprincipes de la loi de Juin 1936 et lesmodalités prévues par le projet dresséSar la Confédération générale du

Troc8°Mesures â prendre pour la forms,lion -d'une Main-fuvre qualifiée, â sa-voir l apPrentissage proprement dit,cours de pefectionnement pour les pro-,fessionnels, rééducation professionnellecour les elômeurs.

de"regrd'egiée:re:cre7e,ilestrarafi par le controte men. et'tous autres moyens al/MD-Dries.

G° Les conventions collectives de,vrout couvrir toutes les catégories detravailleurs rattachées 501051e indus-trie, qu'ils travaillent h l'intérieur ouS. l'extérieur des établiseements.

La Confédération ridnerale_ do TravaiL

15 juillet dernier, M. de La Roc.

III ,,.11 venait d'aCheter le Petitque annonçait eu monde admira-

Journal.Dans quelles conditions ? Là.dessim

flottait un certain brouillard.Le colonel expliquait que, pour évi-

ter d'avoir des « contacts n avec quivos ce soit, il avait chargé une société,la x Société Indépendante de Pressa s,tormte eneeninefnent d'adhérente duParti, de traiter l'affaire.

En même temps un placard annon-ait Sac cette société était constituée

Rep.itcatlie lgelsdinrllons oan

I'l'e:jnrsnidsl'etfuloOrt.nr. iu aurie'rieriat'sePa'srenteferont extrêmement tourd pour ta Mu-té. d'entre mer) n 151011 nue prOMDM-

Vren'ttljerrePee'sOs 10h

'nef0S1aohérents du PAF. Un appel pressant01 1 1 I

Il ne semble guère- g'-vr'oir etclei

entend:u.En effet, trois mois après, 15 est encorerégulièrement répété dans le Petit Jour-na/.

Les x deux millions d'affiliés auPIF. n'ont done même pas eu la géné-rosité de se fendre en moyenne de troiafrancs par tête? II faut que la confiance'

e ég 50 dDe

fait'celui-el ne va Pas fort. Ls.

plus granele partie du tirage ne sert

uend 11' eire h'é selles

l O1s.C'est sans doute Pourquoi la S. I. R.

vient de décider d'augmenter d'un seulcoup son eapital, qui passe de 6 à 14rail/ions. Cette augmentation est annon,cée sue Bulletin d'annonces légales »du 11 octobre,

L'annonce légale a noMmment Perudans une feuille financière ou nousl'avons trouvée: Plutee,Bourse, 12, rugde la Grange-Batelière.

Elle était euivie de renseignementsOn plus baut intérêt. Il ne s'agit pasmoins, en 0511, 550e de la liste des souscripteurs des premiers six millions, dee'membres de la fameuse x Société Intlé,pendante » constituée le 2 juillet der-Inier, siège social 9, rue Vignon Smécé.demment 2, avenue Coorge-V).

Cette liste de commandimIr. luxmembres du P.S.F. la noie, avec /elmMbre factions souscrit par chaquefondateur:

MM. Jean Schwob d'Hé.

Messit.... 300=110nsLéon Stirnberg de

. . 1.196Richard.Fienr1 . F &

lissierAndrée.marie Po

OseMile Germaine Andrée

MM, 2.0%°6

Fernand 05551 1,60Léon Roland.Gos-

Solin 566aMaroe1 Bene!. 500Henri de Halêshe 52350

Un certain nombre de ces personnegis nous sont, none l'avouons, inconnus!Sui se cache derrière ces hommes de

"in7seis,Opnaceer, l'unie'trre'enis nouesont familiers.

C'est un fort joli échantillonnage Osedeux cents familias que cette brochettede PAF, s'imposant e lin lourd sautlice !

Faut.. présenter h noe lecteurs lafamille Schemb d'Héricourt, rois dutextile et de la finance? Certes non.

Fautil indiquer que M. Roland.Gostrès proche parent de l'agent de;

change et du prélat du même nom, estprésident du Conseil d'administration.du chemin de fer de Dakar à Sainn.Louis?

Quant 5 M. Philippe Crus, Md jeanle mie principal dass les negociationidsur la vente du P, J., c'est no des matd

[ne,de lu calezenln 550015 0e Ne,v,

17:e (usd50 naesxi Os lu 00050e 0e.crame Ce Prolétaire est, en outre, àIl tète des Huileries Dante de Renifle,ie la compagnie d'assurances francs,aalionne e La Concorde n, de la Con,'rassois Parisienne de Réescomute, des!Mues et Usines de 211e de Silésie. en

Enfin, le pies beau de tons. c'est le

'10ill:"1..qui détient la pr eque totalité,deseactions et contrôle 5:fait le Petit'IoUrnal.

De Naleche? Les de Nalêche sont tout'fimplement te Journal des nabats.

C'est-Mire très exactement et 511GelleBlet, is enimee),:ge.N;

Le Petit Journal n'a jamais pabliécette liste oû la finance protestan(NeuflixeCruse) coudoie sans aucungène les gros milieux d'affaires isralites (Javel) et l'aile marchante deecoffres-forts catholiques elioland,Ceosse,Mn.

DrôleOr s réconciliation nationale cique celle des millions!

En commentant dernièrement la broscintre électorale du l'A.F., nous éonst.tions que ,dosons ligne My était con.,sucrés aux trusts, la haute-banque/aux assurances-

Bien sùr!(Un_ jureconnuissance du yentrel

liseea'n,qerurlete?fangteliF;1'éno. crions eue leur chef ne se senq

l'léltérWmt:teif:IMs'estrl'ule'te moniruinent la France°

Jean-Maurice DEanDatla._,

UNE IMPORTANTECON FERENCE

MINISTERIELLES'EST TENUE HIERline importante conférence ministé.

Melle s'est Squm hier aprésmidii'Entel Matignon, soue la présidencede M. Camille Chautemps. 'Y amis,talent Léon Blum, vice-président duConseil; Maurice Viollette et PaulFaure, ministres d'Eta,t, Daladier, mi.Mem de 1a Défense nationale; PierreCe, ministre de raie: M. Georges Bonn'net, mMistre des Finance, Huit.Monte, ministre des Cobol.; MSAlexis Léger et lm amiral représententM. Comminchl, Ministre de la Marine.

La conférence, qui avait débuté 1 1Sheures, s'est terminée ri 20 hem..

A coups de fusil

un pere

abatses deux enfants,

II se Jette ensuitedans un puit5

et se casse une jambe1

Orléans, 22 octobre. Ce matin,SoUgy, non loin d'Orléans, un cultiva,Mur, M. Eloi Paul, Sel de 36 ans, 5154â coups de fusil ses deux enfants, Jean;6 ans, et Lucette, 4 ans.

Resté veuf depuis trois ans, sa femmes'étant culettles en se jetant dans mipuits, Eloi Paul s'était toujours eeenDOde ses enfant et rien ne laissait prévoirle drame de ce matin. Vers 5 heuree,Pain se /eva, fit habiller le petit Jean,le fit asseoir sur la descente de lit, puispren.t son fusil Il le déchargea DO,deux fois à bout portant sur l'enfant.Il porta aime le petit cadavre sur sonlit

Rechargeant Son arme, Paul s'appro.cha ensuite de Lticette qui, réveillee,imait dans son berceau, e 11 111 tiraaussi deux coups de fuel. La petite futCoudroyél

Le pe meurtrier se rendit aussitôtCes sa mère, dont la maison est mn.sine, et lui dit

11 10505 de tuer les enfants, 05,1les voir. Moi, je vais me suicider.

Paul a/la effectivement se jeter dansIII puis, mais Il avait eu soin de s'atta,ober à la corde; 11 se fractura une jan,be mais ne se noya pas Quer,/ lee gendermes le retirèrent, c'est avss le plusgrand calme qu'il 11 00 récit de son clou.ble crime, sans en manif.ter de cc.grtts

-- Depuis mittoo Fors ramis lin-tention de tuer les en!ents, expliqua.t.S,SeGs malade, le voulais me suizile.44

40 CENT:DIMANCHE 24 OCTOBRE 1937,

La Conférence Nationale des Fédérations

s'est prononcée en faveur des

CONVENTIONSNATIONALESINDUSTRIELLES

Elles précisé le caractère de ces conventions « pour assurerla stabilité du travail et permettre la continuité de b produo

tétin dans l'intérêt général de notre économie nationale »

AU COMTE DES TREIZE

Coup d'arrêtà Londres

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

2 ammenneassmsme

En Espagne Une mise au pointI de Henri Tasso

sur les incidents.de Marseille

Nee carrada Henri Tasse, 5005'eem s

LESt LES REBELLES BOMBARDENTDES BATEAUX DE REFUG1ESLa Rochelle, 23 octobre. - Le bu'

tenu espagnols Carreau ayant abord 80 miliciens:4 femmes nt unenfant, est entre dans le port de laRochelle-Pallice, remorqué Par lechalutier rochelais a Les Baleines..qui Pavait -découvert en mer allant

. .Il a

Les passagers de ce bateau on:reçu des vivres par les soins de lapréfecture. Les réfugiés ont recordeBous large- de (Won des bateaux defaible tonnage, surchargés, ont cou-lé et i'ne d'ailides ont été lem/Merlepar des et des bateaux rebel-le. -

LES OPERATION MILITAIRESaladrid, 25 octobre. -- La tranquil-

lité a régné sur les fronts prochesde la capitale, où on signale seule-ment une canonade assez intense

dans les environs du pont des Fran-çals e u

Les troupes républicaines ont et-fent. -Une .reeonnnissanee dans lesecteur de Villaverde, au sud de Ma-strié, et se sont emparée de quelquesrnitrailleuses et caisses de munitiomsabandonnées par les insurgés.

Sur le front du centre, sur le Sara-ma, le long de la voie ferrée, dans lessecteurs voisins de celui de la Cuestade la Reina, les insurgés ont attaquéles positions ropublimines pour es-sayer de rompre les lignes et Inter-rompre les communications entre lesdeux secteurs. Leurs attaques n'ontpas donné de résultat appréciable etfurent aisément repoussées par lestroupes gouvernementales.

Une canonade assez intense s'enga-gea après l'action entre les deux ce-tilleries et les batteries répuhlicei-uns dirigèrent leur tir sur des con-centrations de troupes qui lenteientdese former pour réitérer l'attaque.

Un appel des deux Internationalespour les Asturiens

La Fédération Syndicale Internatinpale et l'Internationale ouvrière socialiste publient un manifeste, au sujetde la prise de Pilou par les nationalletes, dans lequel I/ est dit notamment :

a Demain, comme sine, nos InternAtionales mettront tout en uvre pourraire une réalité de la sécurité coll.aine. 'Aujourd'hui, elles ont remplirun devoir pressant : des dizainee deaaitllora dlfommes, de femmes, d'en.tants sont exposés au plus affreux mas-sacra ; if faut sauver ces existences.Il faut qua les puissances aident, sansdee, à l'évacuation des populations,en prêtant à cette uvre humanitairele concours de leurs marines.

e Que, dès aujourd'hui, les organisa.tiens, affiliées à nos Internationales,tassent auprès de leur gouvernement/es démarches nécessaires. Qu'elles ale,lent l'opinion publique !

a II faut -sauver la vie des imputaHom/ asturiennes ; il faut sauver laliberté de l'ESPag. 1 il fent sauver lePals

organisée

uàPour sauver

DreaIe1

lles Asturiens!

Devant Ta Situation tragique descombattants et de la population desAsturies, et notamment Ghon ;stin de les sauver des massacres quiillustrent si cruellement l'emrée desfascistes dans les villes ropublicai-es, le Cligna International de Coor-dination pour l'Aide FESpagne Ré-pablicaine a adressé télégraphique-ment des appels à ses comités na-tionaux.

En ce moment, dans chaque paysdémocratique de délégations se ren-dent auprès de leur gouvernementrespectif afin que se constitue sousl'égide des gouvernements françaiset anglais une commission chargéed'empècher ces massacres et de sam.ver la vie des dizaines de Milliers decombattants mode la population civilede Gnon et des Asturies, et pourque les gouvernements des payé dé-mocratiques agissent immédiatementauprès de Franco et l'obligentépargner ces populations.

Les Présidents du ComitéInternational ProfesseurVictor BASCII; professeurPaul LANGEVIN.

Ln guerrede Chine

L'OFFENSIVE JAPONAISEIMMINENTE

Shanghai, 23 octobre - Un pue-te-parole de l'armée >Permise adéclaré à la presse que les troupesjaponaises ont attaqué durant lanuit et occupé plusieurs localitésa dont le nome ne peuvent etredtvulguês actuellement a. Il a dé-claré en outre que l'armée japonai-se, profitant du beau temps, pré-parait activement l'offensiVe géné-cale annonCée elePuis Plusieurs .-maines.

LA BATAILLEENTEd LION-HANG ET TA-ZANG

Shanghai, 23 octobre. - Decombats très violents se pOursui-vent sur le front de la route deLiowflang-Ét Ta °dong, busek. 10Mlometrescvers l'ouest.

D'après l'agence chinoise a Cen-trot News n, une attaque lanonal9efaisant suite un intense bombar-dement; -a contraint lesc forces chi-noises Meer. Chen Chia Gong,à, 6 kilomètres nord-eset de NenZiang. Des- eontre-attaques chinoi-ses, venant du sud, conee KechiaPailou, ont échoné.

Sur la route de Lmu Hong kZang. les attaques Japonaises con-tre Chen Chiache et Tou' Chleche,Ca 1,510 mètres au nord de Ta Zang,or.' échoué. Ims troupes chinoisesoccupent toujours Kouang Fou.

UN MARECHAL EUCECUTEDen Tain. 29 .26 re.

major japonais 9,99P rend « sonr-,ae sûre chinoiSe s que le maréchatZekkng Bous Liang 40e exécutépal ordre du maréchal Tchang. Raienek, à la fin du mois de septembrealors que l'on annenselt ro no:ni.

%Won commc eme. se

sucrIinirode, a d0000, te ar d, e

ê

cisions sur les Incidents municipauxde Marseille autour desquels la pressede réaction MEM grand brait.

EU peu de mots Tossa- a rallle/16ms justes proportions cet incident t- 11 est exact, a-t-il dit, que j'aiconsidéré engane un devoir d'appeler,au lendemain des électrons canton.,l'attention de mee collégrasLlotsgreerlin'en'ertrnienrg généraies ft-que d'ailleurs aucun de mes colléguesne se refuse à étudier - doiventetre roses, en raison deouil'économieneuve le. rem, tant des lois maintesvoulues par le pu s. depuis juin 1910,apportant aux collectivités un surcroîtde dépenses importantes auxquelleselles ne peuvent échapper.

La colle de Marseille se trouve dansles s conditions que toutes lesgaeile,se co,4ectivites sa.aeualmn fi-

'mime que ',tn"littrer ierées pur dothommes appartenant 8 tous les pneus

prul

monlcipmit actueue arrivée i935,a trouvé une situation financière dé-sastreuse, non pas, suivant les diresdes hommes politiques, mais suivant

lttra'dier CL euedre gle"it'g'r tteefg:que, par M. Mniéel Régine, Ge dmh

loeemt%wenZse toujours en partie

Au surplus, si l'on veut bien 'ad-mettre de bonne foi, que depuis monelTrIVCC à la malais, l'administrationifgre 'd Peng '124 taatt netgais

primitifsetse,''WriedVo650 millions, dont 500 millions de ri.,Preluin"196fibideIr rerelun'eV I,Ironsquosupponlocl 105 hudgeta 1005particuliers, des exploite°os privéesiere're grbet?n:i'.de: rPeeee'esd'économies I réaliser si possible?

Dans le suite de l'entretien, HenriTasse s'étonna de l'émotion miensemble sotie voulu créer sur des me-sures h prendre, lesquelles s'imposent,

no iso'er telitqua.enapIgnePlUté n9r1lrenaae trnosuo Ioules, Igoolo. a s

ment, ete...).

Os pofietee%le'v'glut%,`Mtlel.situe. aussi simple et aussi clairequi n'est pas imputaide à une geennlocale et ce. sans souci, non pas dupréjuedim_ecausè é des hommes, mais

Ilecieericge7111% rpl'ri'ee ceil11:nous' traversons, ma tâche d'adminimMateur municipal.

LES VISÉES NAZISTES

SUR LES SUDÈTES

Une brig ade sudète

Prague, 21 octobre. - Selon des ren-seignements de source généralementbien Informée parvenue à Prague, unebrigade sudète analogue à la Légionautriohieme, a Me mise récemmentsur pied en Saxe, sous le nom de bri,gade sudète na 1. Elle réunit 1° desTchécoslovaques vivant en Allemagrof2° des Tchécoslovaques vivant en Al-lemagne et qu'une enquête de la Ges-

tee..2=orw-der1'egiecodelsovtrouas vivant dans les pays allemandsde Tebecoslovaquie, membror du partid'Henlein, ceux-cl étant S la fois agents

titrehde'e "rneeignements et dert.

La brigade sudète Ir 1 compte annatal nef 2Dir="7i Bonobusest une certain Rodait Merle, de Pau-moie. Elle a des sections â Berlin,Leipzig et HandMarg. La section deDresde compte 380 hommes. Ceux-cfreçoivent un salaire de 7 marks par

anulonore 000 ramassema e. IteaiceoS dans doc rames

ferVeri'yeeerVetrarnil httiéeiean et lemême. Ils suivent des cours de tact,que révolutMnnaire et font des exerci,ces d'uutrusportent un unifenne uns avec un Infli.gne sur les bras.

Les fascistes marseillais!Idétenteurs d'armes

restent toujours impunisMarseille, 21 octobre (Par UleltIenc)

- En plat dernier, b /a suite d'uneperquisition dans un bar si..10, ruede la Loge, la Snrete découvrit dans9aPPurfement de Philione ...déni, Pmron d'un peut bar, deux mitraillettes,10 revolvers, 50.000 cartouches et un lotde gourdins solides, hialgrê trius lesrecherches, Philippe Buconint, quiavait disparu, ne put être arrêté.

Son asst.cie, Jean Poggi, r sa ma,

solos lus enerdèl'a dm0 de asterminer par un non-lion en faveur deCRS deux derniers. Seul Minent Dunchini reste Inculpé. Et comme il courtencore, WU est condamne - si on sehase sur l'attitude scandaleuse de laniagistratum marseillaise dans des cas.dentiques, on peut en douter - s'il estsonda/une d.sonsmous il n'en sonofrira pas bcaucOop,

line conndie de plus vient de seaime. - Petit Pantin

Nouvelleslu ParleuteudLe président de la Commissiondes Finance de la Chambrereçoit le anciens combattants

Notre camarade 0. Valiûre, °tés/dentla Commission des Finances de la

_Membre, a reçu /e bureau de la Con.Mderation Nationale des ADDellS Conebatelets et Victimes de la Guerre. qui

ad'hérents concernent lo rajustement deepvaniooeso égard à Psugmentaion ducoût de la vie.

...ememmoemmememmeorememeame,

sond des troupes chinoises, pour nep00 alarmer les anciennes troupesdu jeune marinhal, dont quatre di-visions étaient affectées à. la Men-

aumemlim Aprà

Les faRts ms le Loiret, de 1.- 5-60 en 1936nombre des suffesrag socialistesest passé à 7.590 en 1937

d ujoreaV:,reir:ejarerinNe,

INUENOIES FORETS DAN8 L.anosun. - On situais aeuvesazondl. de tore.. Le feu a telt d. raya.

eur le tersitudre de quatre ...ler,dane le Alidoe, aux enolrons de Morgan,.Plus de 0.0,000 hectares de Pl... Pte tapro. d. flamme.

INTOXICATION PAR DES CHAMPI.

Pero .t dans cm état guce. rode on ned...espère cependant pas de le oAver.

e'r's'r17 s"%lvFlani87 rrNralre

foseà. ente... Sauveur Aeldr1 log.aYa Até tué sur le cuop et drgx ouvriers. ouiavalent prie place à ses eûtes, out ét4

TEE PAR UN TRAIN. - S êtant dupeurdemmult engagé suc vole du ehem. de

Ven,713=7.,:é Uens.''frZr'e;rprlepar le raplde r9ne-Le-ereid9 am le haPPle.xe mort mt

Tann-roua DISCUSSION. - A Tonie, au

matit des plus futiles, un nommé flarnadl

et. sema ené a, s te t se.UN MARA/TUEUR EST ACE.- On signa-

le de Moteur Cruels.) one le ourdie. &onePropriété a Iné, d'un eenp de Cusil. un vo.leuà Amar en Mohamed, e'êten

_Un morutier en détresse

est ravitaillé en merpar un chalutier

Lorient, sa octobre - Le chalutierDam A., qui vient de rentrer a Lurient, a rencontré par 49° 60 de latitede nord et 8° 59 de longitude ouest, lepavillon en berne, le trois muta mos.tier Ben Nom, de Saint-Malo.

Ce navire Malt en détre.e et185100Pagemanquait de vivres et d'mu de

Puis plusietim Jou.,moisDepuis le de mal, le Den Han

MI revient du Groenland avec 5.000tonnes de morue, 01011 Sans nouvelle/de France, son poste de TOI', s'étantbrisé.

Ces joym derniers, il fut abordé dan/la brume, pas un vapeur inconnu nallui brisa son mât de beaupré.

Le chalutier a largement ravitaillaMI vivres et en eau le voilier,repris sa roUte pour Saint,Malo.

Incidents au MarocUne vingtaine d'arrestations

ont été opéréesRabat, 22 mrabre (dé°. Heves). 9-

Une vMgtatne d'agitateurs nationalimtes de Fos se sonErendus da. la mat,née eu autocar Khemisset ace.bourgads située sur la route Ralbat...Fes:Après avoir assisté à la prière dite hl'heure, h la Mosquée, ils out provoqué,à la sortie, une manifestation parmi lesfidèles qui se dhigirent, au nombred'une centaine, devant le siège du mn.tele. civil. Ils furent dispersés Menai.reemenl par la police indigène.

éu na 9 .Une vingtaine d'ammtations ont été

opérées pour refus de circuler.Une eompagnie de la 100100 en garni-

son OMeknès et vingt gendarmes deRabat ont été transportés KhemIssetafin d'éviter une nouvelle manifesta-tMm

L'ordre est entièrement rétabli, malsles espri. sont encore agités.

011111111F111110111111111111111111111U1111111119

PRES DE MONTBELIARD

DEUX SEPTUACE:NAIRES

SONT TUES

A COUPS DE HACHE

Les deux victimes ont été attaquéesau moment où elles s'apprerrient

à se coucher

LES POLICIERS SUIVENTUNE PISTE SERIEUSE

Besançon, 22 octobre. - Un crimevient d'are découvert dans la petitecommune d'Alleole. Proche de Mont-béliard.

Ce matin, vers 10 Mures, un enfantte cinq ans, le petit Simon. se prés.-tait, comme de courume, /a ported'une maison occupée, au centre duvillage, par M. Ciesles Mettey, âgé de79 ans, et sa Mine Catherine,neuve Emonot, âgée de 77 a., pourMur annorter les irmrneux.

PIUSOIli18 MU/Mâle. SEN appels,l'enfant pénétra dans la cuisine unaffreux spectacie l'attendait. Les cada-ores des deux septuagenatre gisaientsuris sol, dans une mare de sang.Affolé, le petit Simon courut

prévenusespar, 5, &erten,. gendar,mes.

Les deux victimes, qui pessédaientquelques ennemies, ont être ilerdillie9hier jeun vers 2.1 ou K heures, au mu.ment oh elles s'apprêtaient à se mettreau lit. Le ou le agresseurs leur Pec

sco'.e.sladnigt."ere"tt'entT, de.

htean'areell= s est trariaporte sur les 11,DIS et l'autopsie descorps a éte confiée au docteur Paivnid'Arclerroa, et I on serait, affirme-don, am

PLniems voisins. ont déjà été in.r.

Rua este série..11111R---

Horace Weill-Raynalvient de mourir

Notre camarade Emmellue Weill,daynal vient d'avoir la douleur de per-des son merl, Horace Weill-Raynal, ingénieur en chef des Pen.. at

Am van/ante et dévouée minante du, os sin s t enne e

qarah Weill-Raynal, ses fils et bellemille, nous adressons, dans le deuilcruel qui les frappe, nos sentiments de,,-,,,r.,toi1.3.deleancm et de fraternelle

La ponce poursuit activement son en.alite sur l'assassinat de Roger LnPond et les vérifications Succèdent auxérifications Mats malgré cette activiténlassable on peut Men dire, po. l'unemot du moine, qu'aucune piste sérieuse,est suivie. -

inspecteurs de la police judiciaire,e sont rendus é. nouveau au garsgequare Malherbe pour y entendre lesruai ens.

On sait que Roger Le Blond avaittebeté sa voiture da. un garage. 111.snePie 30 traites de 1.000 francs ava/iséesmr sa maîtresse.Aux gardiens du garage on murnit

liverses photographies de personnesnupçonnées d'appartenir a l'entouragete Le Blond. mals ils n'en reconnurentdicurie. Cependant. ID ont pu apporterertainm précisions. C'est ainsi qu'onait que Roger Le Blond venait mu.ont chercher sa voiture le mir, vers2 heures, en déclarant ; a On m'at..nd, je vals h StGermaM a Et les geriens remarquérnnt â maintes rein..eux à trois individus qul l'attendaient

seAussi renertexa%cherollettelle du et-

'e ncla prononce d chantoung

LE MIDI SOCIAI.ISTE

notre correspondant Partloulierd

0m 005 00 .90nageade, vient de mar.mr, aux élections ...Wei.. tin .19-A très net:Malgré des difficultés de lentsire, le 000le/1.1e reprend vie dans= Loiret, et désormais il faudra comp-er avec m. on'm m veuille ou non.Vingtquatre candidats étaient sur las

ange le 10 octobre; ite out totaliséMu de 7.600 voix. mem 1.6o0 voixut troM candidats à la députation en

Pithivier.ville, /es candidate so-.alistes étaient en tête du Front PO-pclaire, hMontargis, à Orléans, lesROVIUX soda/Muss mnt compacts, dansle Giemots, nous allions à la lutte pouxla premiére fois. Un exemple. et nouspourrions en citer plusieurseserehp,,bhese,anas le

es'o'ctinalets'pea's'ern ld a 74Ire nOIXen 18 mois 1

Les coups que notre Fédération areçus, et tels ne viennent p. de laréaction, Pont grandie, mais désormaisnous pouvons répondreuceertes

Pas«Zilerd'aUel e e'turit,e de la Fée-tete du Loiret. Le sucera

erPs.ok>el'Îe eole's'aces. En avent ! - Jouagoux.

En Seine-Inférieure, depuis 1936le nombre des voix social ries

a quadruplé

(De notre correspondent particulier.)Rouen, 21 octobre. - St la Fédéra-

tion socialiste de Seine-Inférieure n'en.lève qu'un seul siège aux élections can-tonales (celui de Fécamp conquis dehaute hitte par notre camarade Lillysur la réaction) il n'en est pas molusvral que c'est peut-êt. dans ce décru.-

la,"p1tU i,,urste,i'parrfpnnor't"d ereutrnmal 26. n

Affaiblie par /a scission 0000e etln.. .diverses autres causes sur leen.,/es 11 est inutile de revenir aujourd'hui,la Fédération n'obtenait a/ors que 6.454voix.

Aujourd'hud, les élections cantona/esviennent de chiffer de façon plus préaise encore les résultats obtenus. De6.694, le nombre des voix socialist0passe h 25.573. A Fécamp, comme nous

0000e oamni'ntoLally est 0I0 après ivoir obtenu 1.103vais dès le premier tour, contre 75 enms. A Diepro, P Eu, nos candidatsfrisent t'élection et, presque partoutsdleurs ils obtiennent un nom,bre fortimportant de suffrages Au Havrenous contrits°os â faire battra M.toréer. Oe0000001 LuI Eshen.O et aDieppe nous entamons fortement leo0-Ositions des renégats Lebret et Dal,mando - Louis Béquet.

L'avance socialiste dans le cantonde Céret (Pyrénées-Orientales)

Céret, 22 .tobre (PoPalaigeL -Populaire a déjà parle du résultat ded

Hil./éF.Or*nteiù.,teà.,sol demalsoanl

nseu: dar,o 15v assenrIbléee &parte-mentale.

Tl est bon ceperedant de maligneségalement l'avance socialiste dans lecaMon de Céret, depuis Mngtemps re-résenté par un radical de réaction, M.T

En effet, alors que celulei était Mu

'oliena::ns el.UPel',111:. dense=cette fois que 1.380 -- et a bénéficié,de l'appui officiel deo fascistes.

Par contre, les candidate de Front po-polaire ont eu 1.083 voix dont 630 elJoseph. Roigt, candidat de notre parti.1

Progrès socialistes en Quercy

(De mtre correspondant particulier.)Le Bourg, 22 octobre. - Pour la pse-

miére fois, des Mus socialistes viennentO, l'emporter aux Merdons cantonales.1

Au premier tour, notre camarade A.Delchié, mairc du Vigien, bat, â Gour-don, M. Deuliac et gagne parti le

jeune camarade E. Mmeaud est ém 0on-1miner d'arrondissement.

Lade

Fédération du Lot est fière de 0ouux succès.

f11111111118111111/11111111111111111111111111111111,

momerie d'exalosiisà Toulouse

DES ENGINS TEES DANGEREUXDEPOSES DANS UN KIOSQUE

A JOURNAUXTOulouse, 23 octobre - Aujour-

d'hui à 14 h. 30, Mme Lamee, mar-chande de jOurnaux, lekteflUe desAllées JeansJaurêS, s'est présentéeeu cabinet du chef de la Sûreté,porteuse d'un paquet abandonne

LE CONSEIL NATIONde la Fédération Postale

a terminé ses travaux hier, par le votede deux résolutions concernant

Les 40 heures Les traitementsLe conseil national de la Fédération

postale a ',ouragan, ace trayeur, hier,a Pa Maison de la Mutualité.

La discuta-ion a porté surtout surt'application dm 40 heures unie P. T. T.,et eue les tradenunts,

Les débats ont ête retiras er réaOétis resoluliong P.-aptes d t

Clôturé les 000115.

Les traitementsLe Conseil national fédéral, réuni

les 20 et 22 octobre 1937 h la MaisonOn la Mutualité,

Dénonce la dérision des propositionsgouvernementales quant au rajuste.ment de l'indemnité de vie chère ac.cordée aux fonctionnaires dans un mo-ment oil l'indice du mat de la vie tid.passe 600 ;

Déclare inacceptabies de telles prupositiocu qui se concrétisent daal unsecours de 100 francs à quelquesuns.de 66 francs â la grosse majorité, et de1k francs aux retraites.

Demande impérieusement que desmesures énergiques soient prises con.Ire les spéculateurs ou fauteure de vieobère, et que notre pouvoir d'achatsoit garanti par l'institution de 0I0-demuité mobile.

Rappelle que /a grosse majorité despostiers gagne moins de 1.000 francspar mois et Si trouve ainsi dans l'im-possibilité absolue de vivre déc.,

En conséquence, le Conseil nationalfédéral, après constEtation des septiens federa/es.

Décide, si l'opposition du gouverne.

P. une personne, hier vers 14 heu-res, sur rétalege de son kio.me.

M. Lomme porto le paquet auxEpaves. Un agent, intrigué par unbout de cordon qui dépassait dupaquet, ouvrit ce dernier et troissachets de poudre se répandirentsur le journal qui les renfermaient.

Après examen du contenu de nepaquet, plié dans un journal russeet une carte géographique italien-ne, il s agit de sachetS contenantun explosif violent formé de ched-dtte, d'un cordera bilzford et d'undétonnateur.

Les premiers renseignements re-cueillis permettent de tiare que lecontenu du paquet pouvait permet-tre la COnfeCtiOn d'Un engin dan-gereux.

Iee Pe.met a été aussitôt préve-nu et le commissaire Chef de la Sû-reté a ouvert une enquete.01111111111111111r111O1111111111111111111111M

Ladtniral est sauvéLajmiral, sur le sort de qui on était

lit'ôua:,?3'. `a. '-c.r.=rereAriàleerreeone.Nos camarades espagnols. en noue

60013.1149.91na01 cette nouvelié, nous ont

r9';otriU1eVaiten-Velersat.lele ltes reg:au sujet de Lemire], et dont certainsrisquaient de donne.r l'impression quele gouvernement républicain espagnolpouvait recourir à une procédure som-maire. Pour notre part, nous n'avonsjamais rien pensé de pareil

Nous savons trop, en effet, la fidélitédu gouvernement espagnol aux règlesde la justice et son respect de la per-sonne humaine pour le croire capabled'autre chose que de gestes justes ethumains.

Parmi les démarches accomplies enfaveur de Ladmiral, Il faut indiquercelle du groupe da avocats socialistes,

te procès Pozzo di Borgo contreLa Rocque se déroulera dans laplus vaste salle du Palais de Justice

de LyonLyon, DI octobre. - L'autorité judi

claire vient de décider d'affecter it Vaud'eue du 26 octobre on sera évoquéel'affaire ('omo dl Borgo-La Rocque, lasuite de in les Chambre, la pl. vastedu

'd'assises n'étant pas disponibÎe ce jour"

En prévis.n de l'affluence probableet afin d'amurer daoo toute la mesuredu possibie Ventrée des représentantsdes journaux Intéressés par le procès,l'autorité judiciaire a décidé qu'il neserait délivré qu'une seule carte parjournal, soit de Paria soit de movince.

Enfin, Il sera instamment demandéaux photograeles et cinéastes de n'o..car une

055eSur0:z udee°,quelque 000100e qua ce sontstradhler lecoure nommai des débats.

ment à nos revendications actuellesmodestes et insuffisantes, demeure in.transigeame, de se concerter avec leCartel des services publics pour ame.ner le Parl0OS003 satisfaire nos Mg/-times revendications. Au ma on il n'enserait pas ainsi, d'envisager et de praparer la cessation du travail.

Par ailleurs, le C.N.F. constate Oseles reculs successifs de tous les gen-vernements devant Ms puissancesd'argent ont rendu difficile une polit9que sociale favoruble à l'ensemble dola classe ouvrière.

O invite d'ores et déjà 0001 55e mi.litants et adhérents I agir dans lesgmupenients départementaux et Mea.co.tftuant le Rassemblement popu-laire pour soutenir ses revendications.

I/ déclare que /a C.G.T. devrn repren-dre sa liberté d'action et poursavreune action autonome si les groupes etPartis associés da. le Rassemidementpopulaire se refusent I reconsidérerle programme du 6 mai afM d'y intro-duire les réformes de structure prévuespar le mouvement syndical da. sonplan de travail.

Il demande enfin 5 tous ms postiers.unis plus fortement que jamais, dancomplis l'effort indispensable et urgentde redressement afin que la C.G.T., entoute indépendance devienne réelle.mont /a plus grande force morale etntatérielle as service des classes labo-

Les quarante heuresLe Conseil national fédéra], réuni

les 21 et 22 octobre 1937 1 la Malson

UN VIGOUREUX DISCOURS

DE M. CORDELL HULL

Toronto. 22 octobre. - M CordellHull, secrétaire d'Etat a reçu «ajouril'hui, le titre de docteur en droit

honoris causa de l'Universitê doToronto.

Au cours de la cérémonie, le .cré.taire &Etat a lancé un appel leconscience outragée du genre humain

reea'':i.eVitigealedreinn9Z..- discours du seceétairedEdat ema-mlunlumplpslloso plulioumu pointa le01500005 du 0010t0001 Rouas000u k Coins.go. Il souligne, 00000eau, l'importan-

ÎashrleÎelPost meleirrna.1:6'es"al:res'nationale dont l'ordre dots être assurepor In 10011011 dma lois,

L'ordre dans les re90000ns internatio.nales, a dit M. Hull, est aussi vitalque dan les relations à l'intérieur d'unenation. L'interdépendance de toutes lesnations est un (acteur ausmtal dans le monde civilisé que l'interdépendance des individus dans la na.don. ThéoriqueMent, une nation peuts'isoler 00 00205 du monde, commepourrait le raire un individu dans lananon. Mais, finalement, la netteInexorable doit être PaYée Per la di.,

l'on d st nd 0 1' 'ais m r I

et spirituel..Pour le respect du droit

internationalLe maintien de t'ordre Internant/.

'leAïeelertilVZe.h2,..urtrgoau Os taro

des dites règles..Insistant sur l'importance de l'établis

gement du sens du respect mutuel en.

Orujso tesgler les différends par des moyens im-PitiqUeS. Mena 104114 east réellement

tn, n'oserait prétendre que le P.P.F.ne soit comprimé uniquement d'hon-neses gens; qu'il n'y a que des ci-

toyens bien pensants llanos raugs.A plus forte raison, n'oserait-on écrire

<m'il y a parmi eux des dirigeants s'inté-amans aux maisons... de société.

Aussi la stupéfaction des que/nues Mar-saillais qui liant Marseille-L tee, organe de

chefrégi,Do,,, )

bond unique dans le 4' canton 9, fut-elleC'est ce que l'enquête s'efforce d'établir grande la semaine dernière.En un artmle massif, sous le titre a

ROGER LELE BLONDse rendait souvent la nuit

à Saint-GermainQu'allait-il y faire ?

SI de St-Germain, pour savoir trà Ro-ger Le Blond se rendait si fréquem.meut

Ajoutons nue lm obsèques de la olct,me ont été cd/Crées Met matin.

A propos de la piste suivieà Saint-Namire

SalobNazaire, 22 octobre. - l/ aem-ble que la piste suivie h Saint-NazaireOse

Veluer'ne Bleslnét. tneelTtadoive pas être compIntement abandonts,,ée, car la victime est eHectivement

cru% es' cl= ive IL% Pe'sn'mr.R0000 I.e 13.10,00 azi,vi dans son es.

babco,R Tea ,hoee' a" d" "00-.11 qmt1roaue's"PalraoiCs"1avraloe r"'":cariétaire, M. Louis.

Au cours de cette conversation, II noPut aucunement ua achat d.fonds de cornmm ce. Le seul débit envente I S,-Nasame ne fut pas ce jour-làvisite par 0001m I 00 000, ont la présauce n'a d'ailleurs été signalée, dansaucune agence de /Mati% t

gne da temps », un rédacteur se lamentesur k marasme des affaira.., spéciales s

...Dme le commonimé d. Tolunol,publié par Ira jonc.. du 18 septembre,nous avons pu lire sous la rubrique des dé-clarations de failli. sur citation, la notesavanteI s V..., tenancier de rmson spé-ciale, domicilié et demeurant rue Vent,magny, à Marseille. e

AU PORTUGALDus ururimossei coingsLES VOUDRAIT CASLMIlt

0-a.zur00001,00,0 Ou Onnca Aemmlu

re-Lo.ve,:zepu:=ei'v'Z'au droit de vete tousne. CO, ofessent des idées con/cal-

R,C

érodas.v mannes 5tou551 00e,e oar-a dé-ler Veut

Pestent des arratrer d la dise,mise socle, s encore e ceux qui'ze,e:roy

LA CRISE MINISTERIELLE

AU LUXEMBOURG

Luxembourg, 22 octobre. - Après lerefus des socialistes de participer âgouvernement constitue par lui, ktBech, ministre d'Etat, a décliné la mis.sion de oonstituer un nouveau gonvokDOMBItt.

do lu

15 050010e

adade1:i1,O,9ere deil es imo en 1 str, 9s,r,

T. T. a un caractère nenement COM.lectre rerLItli'l'inl''str',ition se.

merda' et Indastriel dont lestravaillent nult et jour, semaines, di.

d'a: easTCheetrai'n'e'd ;e fer, ete.... j

One les administrationsImprimerie nationale, Monnaies et Bo

010050010v, i0l0000ehf.

eue 21: d:enetleit,1 ci

p10,,ahf

Pas de fiscalité viennent d'etre trisLeo,rntemd:ntmtoeetveeresd, .0an,L10.%nri,qe0: ,adoens.

voiles et importantes O la trésorerie,sans aucun bénéfice pour le personnel;Considère qu'il est dom absolument

r écessaire de réaliser les projets par.faitement étudiés par le Conseil sue,rieur des P.T.T., acceptes par gadm,ntstration et le personnel, sans aile.Ors qu'un projet général pour l'ensenn,ble des fonctionnaires ait été prépare

mur fd aluns genrten'artmenntet,. le Consedi natio-nal ne murait accepter tous aménage-ments de service qui auraient pour or.et d'aggraver les conditions de travail

actuelles du personnelDonne mandat au bureau fédéral de

mettre en couvre tous les moyens dontIl dispose pour instaurer Ou premierjanvier 1988 /a semaine des quaranteheures dans la corporation.

COMME ROOSEVELT

contre les violateurs des traités » et les,o perturbateurs de l'ordre international 00

Le secrétaire d'Etat américain lance un appel nà la cons-cience outragée du genre humain pour mettre en actionles forces nécessaires Sis restauration de la paix mondiale

termine, â moins que les conditions derèglement soient raisonnables et am.'tables par les deux partira.

L'ordre internatioml peut être de.,MM de beaucoup de talons'.drayeraitls et des accords quila suspicion et la méfianèe Pey. -tillent une action de la part d'au.,

ainsi que l'intervenlibrn ans len refres domestiques, le. refus-de l'ennui.tre, derespecter l'indépendatee la.souveraineté et Pintegrite rorroorisodes autres Etats..

La Malédiction de la guerree Dan$ les circonstances actuelles, a

conclu M. Cordell Hull, aucun groupa Id Individus, dans une nation engame!

It'llies1"011afterres.'AerVeP=ne peut achesd'un conflit armé, dans quelmie pnrta,du monde nomme soit.

La civilisation moderne a survê910,1malgré tout, a progresse même, Mc,que les violateurs de traités et les pe9-.turbateurs de l'ordre ont été toujou,

l'exception plus que La règle ..Quelques tragédies qu'ils aient cau,c,'.

pendant leur brève apparition surscène de l'histoire, finalement, ils odû toujours se plier à la volontél'énorme majorité désireuse de ponrsiuIre la marche en avant..

OS ECIIOSLes maisons closes, baromètre

des affairesa -C'est un signe des temps. Et ni Foi

désirait rivoir une preuve supplémentaire dumalaise des affaires, du désarroi économi-que, m la houverait dans le spectacle decette st Maison Tellier », mue dans l'obli-gation de cesser ses paiements et de révé-ler publiquement sa détresse devant le Tsi-

b'aiEtlPaaurteltr oiernoie let

ticlie''rs'ierp:;;1 0 a ou'épicurien gilets.ie qui s'appelle LéonBlurn » I

Quelqu'un avait dit, 0 y a lorattemF,déjà t « Quand la bâtiment va, tout va I si

Noe P.P.F. ont une autre mesure Pamjuger de la boom marche des af fairele succès dm maisons gros numéros

Evidernment. dans Marseille, de mauveses langues ont prétendu que le P.P.F. étaitcelui des gangsters et des amis; ellen af-fument que leur journal est subventionnépar les patrons de a maire. T,lllrr m

Mais cc ne mat que de mauvaises lei,'gare

1/ petit systême comme01 dOs dolas

II , en se fret.rossée de e

manche dune, fenlere >Uns cartelélectorales a. loue les e salage.. s cl>

,,leeàe'finfOrltler mea a belbccdo Y..clre Une..tre

Nui n'eu. d cepett eue noua se amMeutes a cm. 05 mut sale:air

qrt aine. ay nt privé du drolt de[eue lea manu," eeprits electeur CAlicsr de France- Hélas,n'est Cu rAVO

Le >Ume français ne vent tms

rad "Irn.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Au Conseil Généraaverse ge NUM% L'APPRENTISSAGE

D'UN a BLEU »

rUne mention spéciale pour notre

La séance d'hier ne nous a donné nouvel élu Cambon qui a bien rap-aucune émotion. M. Montalègre y porté à lui seul. hier soi, le quartétait bien, mais M. Henri Auriol de la centaine d'affaires inscritesn'y était pas. au programme,

N'eranecho que M. Montalègre a C'est sans doute, nous a dit lepouvait rectifier les assertions pro-

Au- représentant de Grenade, avec lefél.ka la 'aille par M. Hearl sourire et en manière d'excuses querial lorsque ce dernier déclara que mes collègues veulent hâter monle premier venait d'adhérer aux tissa e apartis de droite.

M. Montalègre n'a rien dit. Ilfaut bien en conclure eue M. Auriolne s'était pas trompe, n'avait pastropé le conseil ni le public.

M. Montalègre n'est donc plusradical.

A-t-il donné sa démission demembre du parti de M. Sarraute ?

Et s'il ne Pa pas fait, est-ce quela fédération départementale vaI 'exclure ?

Gee questions doivent être po-Sées.

Non que nous espérions la moin-dre réponse.

Mais nom les reposerons s'il y alieu.

Done, la séance d'hier n'a été quede travail obscur, plus nuisiblequ'utile au portemonnate des con-tribuables.

Elle a vu octroyer nombre desubventions avec une générositévisiblement oublieuse des conseilsd'avarice formulés le premier jourpar le président.

Nous ne détaillerons pas la ré'partition de cette manne.

Cependant, il sied de souligner levote de certains crédits parfaite-mente justifiés et auquel nos amisne sont pas étrangers.

POUR LES COMMUNESDU CANTOle D'AUTEHIVE

C'est ainsi que à propos des cré-dits peur réparations des dégâtscamés par les orages et inonda-tion, notre camarade ROQUES,représentant d'Auterive, a réussiaprès un plaidoyer aussi habile que D'une part, des pertes de traficchaleur'x foirenocraitre résultant de la crise économique etdenualté des communes de son can- de la concurrence routière;ton sinistré en juillet dernier. D'autre part, /es fortes majora-

Au lieu de 70% que le rappor- fions de dépensca imposé. parCeur leur accordait, Remien a fait l'augmentation des prix de matiè-

res et de mem - eeuCes deux causes combinées ont

antratné des déficits croissantsd'exploitation, atteignant parfoisuneetelle.1.171Pertalleeequeeesneatenblées départementales ont été con-duites à envisager la suppression;d'un certain nombre de lignes.

Cette soMtion empirique ne sa.,rMt se généraliser Sans dangerpour l'économie nationale et mêmedans certains cas, pour la défensenationale.

La création de la Société Natio-nale des Chemins de Fer, pourrait,semble-bit, être complétée par lacentralisation des lignes vicinalesen une société nationale des Che-mins de fer vicina., comme cela

Il signale que les chemim de fer existe en Belgique. Des accords deve-du Sud-Ouest prévoient pour l'en-nus fendes entre les deux sométesploitation de l'année prochaine la nationales faciliteraient la liaison

bagatelle de 4 millions et demi des lignes ,vicinales avec les gran-ge% faudra combler, parbleu! Ce des lignes et toutes améliorationsqui ne les empêche pas de desman- d'exploitation technique ou de ren-dre un crédit supplémentaire de dement commercial.700.000 franm poas l'année en La Société nationale des cheminscours, de fer vicinaux pourrait être créée

Arrêtons-nous aussi à un autre en participation entre l'Etat et lesrapport de Dominique Rieu, luté- départements.cessant l'aérodrome commercial Elle aurait pour mission de ré-projeté aux cortes de Blagnac. former l'exploitation et de pomma-

Nos lecteurs sont au courant, ers l'équilibre financier, nutum-parce que nous en avons dit à l'oc. ment dans la mesure nécessairecasion de la précédente session, au pour ne pas aggraver les chargesprintemps dernier. L Etat gus de plus en plus lourdes qat pèsents'en étonnera après avoir accep- sur les budgets départementaux.té le projet, ne se montre pas fo. C'est en vue de ces résultats quepressé de le réaliser. Voici qu'il votre ',madère commission vousdéclare ne pas avoir d'argent pour propose la décision suivantepayer les techniciens chargés d'élu- Le Conseil Général émet le vceublir le projet dans le détail! Dorai- que soit créé en participation en-nique Hien propose alors, au C. G. Ire l'Etat et les departesnents, unequi l'accepte, de faire effectuer ce Société Nationale don Cheminstravail de pure technicité par les Fer vicinaux pour réformer leurservices compétents et qualifiés de exedoltation en liaison avec la Sa-la ville de Toulouse, moyennant doté Nationale des Chemins de Ferune équitable et modeste indemnité créée /e 31 août 1937, sans char-

ges nouvelles poas les budgets dé-partementaux.

Notons enfin, l'adoption d'unGeorges M'ON fait voter un stock certain nombre de veeux déposésde subventions dont le total attehat par nos élus au cours des premiers10.000 fr. environ et en fait rejeter jours et dont nous avons publié lessen autre Stock. textes :

adopter une subvention de 90%,soit 60.000 francs de plus. (Ilshesetde la réfection des chmatus vici-naux).ehelentei,'VK'n' 1'3millions et demi a été inscrit aubudget pose divers crédits déjàvotés.

POUR L'AEROI/R011EDE BLAGNAC

Notons également que DominiqueRIEU a défendu plusieurs rapportsportant crédits divers pour repars-tiens à des immeubles départemen-taux (tribunal civil et commercial;Immeubles rue de Cugna., rue desRécollets)

tee"

SUBVENTIONS

Mais on a bien vu qu'il n'avaitnul besoin d'apprendre et qu'il pas.séduit déjà la maitanse des anciens.

D fait allouer 22.000 francs àl'école de Gourdan-Polignan; quel-ques bourses pour des écolos pro-fessionnelles diverses; 10.000 Pourle fonctionnement du service desépeoanee; 70.000 francs pour lescalamités agricoles; 3.000 francs auComité des Fêtes de Toulouse, e..

Nous retenons encore les rap-ports de Dandrieu qui a fait allouerplus subventions aux conseillers ducommerce entée.-- ies100 fr.); àla Société le Chasse de Roquefort(500 fr.); a un élève de l'école na-tionale de Laiterie (1.000 fr.) cors-jeter une demande de garantiede crédit immobilier.

LE RAPPORT DE BEDOUGESUR LA COORDINATION

DES TRANSPORTSEn dehors de ces interventions

qui pèsent plus ou moins sur lesfrnances départementales arrêtons.nounou rapport de Bedouce sur Mcoordination des transport.

Les décrets-lois promulgués le 31août 1937 sur la Société Nationaledes Chemins de Fer et sur le coor-dination, déclare l'ancien ministredes trameoi publics, devraient êtrecomplétés par une réforme profon-de du régime des chemins de fervicinaux.

Ces chemins de fer, généralementconcédés par les départements, ont

Dans ses quatre MaisonsDEMAIN POlUlt LA JOURNEY

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evievelse, da emeet.a.

Pow la déclaration obligatoire dela tuberculose et la desurfection

gratuite. (Vceu de Hyon et Rieu).A un sujet de l'ouverture de

classes dont la création a été dé-cidée. (Voeu Audouy).

Octroi des allocations familialesaux agriculteurs. (Vu Cambon).

Octroi des subventions pour dé-gàts causés par les calamités. (Voeude Msequère).

A 18 h. 30, cette séance laborieu-se est levée et la suite renvoyéeà demain lundi à 14 h. 30.

On espère l'espoir fait vivrefinir mardi.

DEMIE- VOUS ncerZEIPrépares vos mem. à

de languesL'ÉCOLE BERLITZ

vivantes69, rue de la Pomme Tél. 205-0itProf. retiensou p, toutes land.Leçons particulières et en classe

Renseignee-vous.. +

Auss Melundgs uses McMerci aux 19.613 électeurs Socia-

listes qui dès le prendre tour ont as-sure la victoire de nos candidats enI. plaçant en tête de tous les Pares.

Merci aux électeurs Communistesqui au deuxième tour ont renforcecette victoire.

Mais c'est pour nous un devoir deremercier tout particullerement ceuxparmi les Républicains Radicaux quiont eu le courage et le n.erite de con-tinuer la lutte Républicaine au se-cond tour.

En dépit de la silences,. retraitede leurs candidats ils ont, en effet,compris qu'il entait i,a devoir à ac-complir : celui de maneester, es Pré-seconde la reaclion déconfite l'Uniesnécessaire qui samegardera

A. BEDOUCE E. SERLIAConseillers Généraux

LINIERES SAMAZANConseil/ers d'Arrendisement

lllll IIMIIIIIIII111111111111111111111111111111

Le COSSU el OURLET13 bh, rue de Constantsawriense

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littéraleall111111111111111MMICIIIMMIninIM

On démasquales huileries

ET C'EST DE BARBAZAN1

QUE NOS VIENT LA LUMIERE

I A in suite de son incontestaMe

I semure..se.M.eefrnet.f)t,':.0.et non devoir, d'adresser a ses M.-teurs du canton de Barbanan seseemereiements chaleureux et leu-pression de son inaltérame dévoue-ment.

1 h n'y aimait _len d'anormal nid'étrange à cela si ces remercie-ments ne iepassaient en importan-ce et en teneur, ceux qu'on sana-rame d'adresser aux qtelques cen-taines d'électeurs qui vous ont rée-in .nseiller générai

Mais M. Ducos, vMe-président dela Chambre et ancien ministre atrouve l'occasion d'un véritablemanifeste et s'est servi de ce mi-nuscule événement pour laisser en-trevoir de grandes choses.

Lisse attentivement ce petit pas-sage de rien du tout où il est ques-tion de cette petite patrie de Bar-baxen que, dit-il à ses électeurs,

vous aimes comme la grande H.tt Libre elle est, continue-t-il, li-

bre vous votées qu'elle reste s. Etil conclut r st Vous n'avea pas tolé-ré qu'elle devint un fief des diri-geants provisoires d'une grande ci-te que MS amis, presque Vain-queurs déjà cette fois, ne tarderontpas à reprendre o.

Diable ! De quelle grande citepeut-1/ être question sinon de Tant-ouse ?C'est dose Toulouse que les amis

ai M. Ducos s presque valnqueursdéjà cette fois-ci », rte tarderontpas a reprendre.

Eh, eh I il va Milan se bien te-nir I

Le seul moyen de se prémunircontre un danger étant d'abord dela regarder en face, voyons un nus'il est Imminent, comme M. Ducosl'annonce, ou même s'il est simple-ment possible, comme M. Ducos ledcelre.

A Toulouse, ne tenant compteque de la ville et laissant de côteInc communes rurales, sur 52e44Inscrits, c'est-à-dire sur 52.844 ci-toyens loi avaient l'occasion d'ex-primer /eues préférences, les quatreamis de M. lancm n'ont groupé surlem= noms: le 10 octobre dernier,que 12.670 suffrages, no. pas toutà fait le quart des électeurs.

n reste paz conséquent 39.974électeurs qui n'ont pas voulu voterpeur EUX

Eu affirmant que ses amis ontété presque vainqueurs cette foie-làM Ducos n'est ni très difficile nisuitout tees sérieux.

D faut qu'il ait une piètre Idéef, l'intelligence de sec électeurs deEmba:mn pour essayer de leur fai-re Craire m'ans'emparer d'une ville comme Tou-

LE MID) e0C10 LISTE lessennemmesssommeasensiteraosaeratemo 3

uns (15.).

FOL 'QUE-FOURRURESMusses es la Peau el au lets me 1-31tpDBillun

l

4aaa. r, Antoine Beureale, al lorliculhareuse quand on n'y atm.ee qua ce1.670 voix sur 52.644.Encore est-11 Indispensable de

eréciser que ces 12.670 voix recueil-lies par les amis de M. Ducos sontMin de constituer un recensementexact des troupes sur lesquelles M.Onces peut compter.

s'agit, en effet, de troupes dansle genre de celles de Franco, c'est-à-dire de soldats recrutes un peupartout, pouvant être appetés,jour au lendemain, à marcher con-tre leurs alliés de la veille.

Que resterait-il aon amis de M.Ducos s'ils n'avaient à compte quesur leurs propres troupes et nonplus sur cette sorte de brigade in-terpolitique venue, le 10 octobre.'renforcer leurs squelettiques ba-taillons ?

M. Ducos est plus fixé que qui-!conque.

Et c'est évidemment pour main-tenir l'indispensable cohésion decet assemblage disparate qu'il secomptait à évoquer la perspectived'une nouvelle croisade à entre-prendre en commun.

Mute pourquoi diable raconte-L-1itout ça aux électeurs de Barbaaan?

Simplement parce que, en le ra-contait à Toulouse, tout le mondese... foutrait de lui !

1111111D1111111I111111111111111111111111h11111

Henri Selliervictime d'un accident

Notre ami Henri Sellier, sénateur,ancien ministre de la Santé publiquedu cabinet Léon Blum, revenait deLuchon où il était allé faire sa cureannuelle.

Notre camarade Poggfoli, maire duBourget et président de l'associationdes maires socialistes de France étaitavec lui dans la voiture qui les raimenait vers Toulouse.

La voilure qui les transportait dé-rapa et nos deux camarades furentblessés.

Une ambulance dépêchée de Tou-louse en toute hâte les transporta âIn clinique do profemeur Ducuieg.

Leur état n'inspire pas d'insolé-

PU RIMSUR MESURES

Qgf.<zrees, \SÎLe

NI PRIMES, NI REMISES ILLUSO BTS maisLA MEILLEURE QUALIIL 114....ILLEL RL 4-FOIX

eue mus remmvandom mssu nus semés PRIMA LAINE à .. 4a5 /r.'ItA, t'élément roue, mulne vue. moulage Pi . é formage à 525 fr.

PARDESSUS sur ntesures u 5i1i5 et 425 fr

ill TOULOUSE'TAILLEUR10Peelli1110

11-,_---

Un nouveaumarché

des fleurs- --ARRETE

Concernant la création d'un nou-veau marché sua fleurs ms 15Place Matabiau et sur le Boule-vard de Strasbourg.

Nous, Maire de /a ville de Tou-louse,

Vu la lol municipale du 5 avril1934 et notamment l'article 97

Vu l'article 471 paragrePhe 15 duCode pénal

Vu l'arrêté municipal en date du23 avril 1895, portant création d'unmarché aux lieurs sur la Place Es-quirol ;

Vu l'arrêté municipal en date du18 octobre 1935 réglementant lecommerce des fleurs et la circula-Won aux abords des cimetières 1

Considérant que da. l'intérêt .dela circulation et du bon ordre, clans'Intérêt également des vendeurs etdes acheteurs et aussi afin d'anou-res le dégagement des marchésd'alimentation et de la voie publi-que, il est indispenanble de réuniret de grouper sur un même palotcentral de la ville au fur et à mesu-re de la disparition des marchandsde fleurs abonnés actuellement surles divers marchés aux fleurs quise tiennent sans coordination mmdivers emplacements de la voie pu-blique où ils sont souvent une gêneIncontestable et à forfit:mi les nou-veaux abonnés

ARRETONS :

Article premier. L'arrêté mu-nicipal en date du 23 avril 1895,portant création d'un marché auxf/eurs sur la Place Esquirol estmodifié comme suit

Article 2. -- A dater de la mise enpinne du présent arrèté, le mar-ché aux fleurs créé sue la Plane Es-quirol sera transféré sur la P/aceMatabiau et, en cas Minsuffleance

Lee/place, setera.Lt ëlrogh g é os nu ef rl

mément aux dlepueltlona de l'arti-cle 10 du présent arrêté.

Article 3. Il est et demeure In-terdit à tous pépiniéristes, jardi-niers, revendeurs. producteurs di-vers ou marchands que/conques dese livrer à la vente de fleurs ou ar-bustes sur tout autre 'emplacementou partie de la vole publique autre

A il heures, hier matin, aeu lieuau palais des beaux arts I, Inaugu.ration officielle de l'exposition flo-rale et fruitière d'automne.

On remarquait autour de nos amtsOiner Bedel, :Valets et Rogalle,_ ail-

'elelte'stral) eTthe.iel d;13,11.cuevU.MPrie5skient de la soci.eté d'agriculture; du

président duurconn,,ceo u reacizrt

président'''. la société des artistes.méridionaux; Pop, doyen de la Fa-culté des Sciences, président de lasociété d'Horticulture; notre ami Fa-lande, conseilier municipal; M. Ley-gue, profesturs d'horticulture ellesmembres du bureau de la anneléd'horticulture.

Les personnalités s'attardèrentpendant de longs instante devant I.magnifiques fleurs et les fruits auxchairs abominablement impudiques.

Il nous fut donné en somme d'as.sister non seulement à une emiesi-lion de lIeues nuis à nom noponilionde peinture.

Quels coloris chatoyants, tantolagressifs, tantôt voluptueusement es-tempes qui ne retinrent l'attentiondes connaisseurs et des profanes ;quels artistes de grand talent sontnos braves jardiniers qui ont su ain-si, nous donner par leurs plus bellescréations, des tableaux aussi ...ani-sants et aussi poétiques.

Hélas, pourquoi Mut-il que cettefeerie soit appelée sitôt à disparaître!Quelques jours encore et de cettemunifisence de beauté et de séduc-tion il ne rmtera plus que quelquestiges brisées, des couleurs fondueset quelques pétales gisent à terre re-croquevillés dans une dernière ago-

'

R. C.rulICUC5M111111111111111111101113 lllllll

Les uvres targuesCERCLE LAIQUE

ETIENNE BILLIRESGroupe Fontaine Lestang, Le Pech

Los membres du Conseil d'Admi-nistration sent Instamment priés debien vouloir assister à la réunion quiaura lieu demain lundi à 21 heures.

. CAPITAUX immédiatementMes pour hanomeques en travauxcons:nations. Taux /es plus basALAR', 70, allées Jean-Jaurès.

que celui qui est fixé à l'article 2esei precède

Subsieteront les 't'osques spécia-lement édifiés Pour la vente desfleurs sur la Place Esquirol, surl'Avenue Jann James et sur lesboulevards, ainsi que les installa-tions en plein vent ,actuellementautotsés sur les divers marehésmais leur disparition sera poursui.1vte par vole d'extinction.

De même n'est pas visée par /aprésente réglementation la venteSes fleurs telle meelM se Pratiquetraditionnellement aux abords descimetières de Toulouse à l'époquedes fêtes de la Toussaint, du 9 oc-tobre au 3 novembre de chaque an-née.

Marché de GrosArticle 4. Le Marché de Gros

se tiendra dorenevent et unique-ment sur la Place Mata/Mau. Ilcommencera b 4 heures pour pren-dre fin à 7 h. 30 précises

Article P. Les étalages defleurs seront dionosés des deux cô-tés de la Pince, partle de La placecomprise entre le kiosque â jour-naux situé en face de la rue desMoutons et le fond de la place. Ilsseront disposés entre une ligne ja-lonnée par les arbres et une deuxiiii.me ligne conventionnelle située enavant de la première et formantune bande de 2 m. 50 de largeur.de telle sorte qu'il devra rester enpermanence une allée centrale li-bre de 6 mètres de largeur. Il serade même rigoureusement interdit

empiéter sur tome la bordure dela place, partie comprise entre larangée des arbres et le canantes..

Article O. Les étalages serontfaits sue le sol s'il s'agit de plantesd'ornement ou de fleurs en pots ettiges ou de fleurs coupées exposéesdans des corbeilles ou paniers. Ilsseront faits sur des tables montéessur des tréteaux s'il s'agit de fleurscoupées. Les tables auront obliga-toirement une hauteur uniforme deO m 90 II sera réservé entre cha-que émulonsonféeleur, ai u:11'11PirI:tUeàqlldilirreo.'il

Marché de DétailArticle 7. Le Marché de Détail

se tiendra à l'avenir et uniquementsue la place Mat abiau. Il commen-era une demi-heure après la fin

du marché de gros, c'est-Mdire à8 heres pour prendre fin comme tesautres marchés à 12 h. 30 précises

Mikis 8. Les étalages de fleurs' seront placés comme pour le mar-ché de gros, des deux côtes de la

Iplace, mals dans la partie comprise, entre le deux.ns arbre situé aprèsIla partie clmentée oh se dresse ta

37, rue de Rémusat TOULOUSE

Présente actuellement lm

SPLENDIDE tOLLEETION D'HIVERen PaLLE1ERIES et BOVIZEURES

(Vol. é gc1eineni mn inciorporoble choix oe TAPIS)ocreau. en conliance aux plus justes orgx

ue et le kiosque a journauxmentionné dé> à l'article 5. (Cettepar le sera speclalernent reserveeaux abonnements mensuels). Lahauteue obligatoire des tables atm"que le passage réservé entre chaqueMatage mat les mêmes que ceuxprévus a l'article 6 qui precède.

Article 9 La partie compriseentre le kiosque et le fond de laplace et réservée de 4 à 7 h. 30 auMarche de Gros, sera aff.tee apartir de 8 Mures au prolongementdu marché de détail et plus spécia-len.ent aux marchands non abon-nés ou occasionnels.

Article 10. En cas d'insuffisan-ce de place, en raison d'un apportplus important de marchandise, lemarché de détail sera prolongé surle Boulevard de Strasbourg, sur lacontre-alles M. des numéros pairspartie comprise entre le carrefourBayard et le carrefour Jean-Jau-rès.

Les étalages, dans ce cas, serontinstallés de chaque côte de 10 Pa,tie cimentée de la contre-allée quidevra rester toujours libre, ainsique la partie comprise entre larangée d'arbres et la bordure dutrottoir près

dusur canniveaeau.Les tables trétux seront LAM R UAES DE IMP.-Diegt.,,

disposées en arrière de /a partie cl- In. ,,,,e es ,,,,ea, ,,,,,,,,»mentée ; les fleurs en pots et teesau contraire, seront meaMes enavant jusqu'â M ligne formée par A u

PALAISles arbres côté deLeslatenbtoerdsn::.trot.,

Article /1.

causent a la van 1 1 e de leurs magesins, sont et demeurent eigouree-

.

sement interdits ; seuls sont auto- Le tribunalMans les paranols de forme exclusi- e,orrectiom menel ette.

vement rectangulaire et de couleur damne le nomme Benn Rave, nu

serpineres de toute sorte, en raisonde leur in.thétique et surtout dupréandlce porté aux commerçantsriverains par suite de la gêne qu'ils

roen, à 15 joues de prison pour de

.0g

.Mut dé carnet anthropométrique.

Article 12. Les camionnettes Le pauvre bougre, il est commeou autrm véhiculm des marchands beaucoup d'autres sans doute, pré,de fleurs ne pourront en aUCIM cas tend ignorer Ce mileSt cet ustensile,.etre gares autour de la Place Mata- La.ent Dub., 54 ans, sans pro9bisa qui doit être a:instamment de- festins ni domicile fixe est coudera»gagée en raison du trafM très in- ne it 4 jours de prison.tense sur cette place des dIvers au- Abus de mnfiance et Meroquerk,tobus qui en font leur arrivée et Le nommé Philippe Marti, 32le. départ. Elles pourront station- ans se faisant passer pour lm dé.ner à proxlmité en respectant la marcheur de la maison BousqueLcèdre des jpece paies pu impairs no 22, rire Clatre-Paltilhae, avait pr.parcage de la rue Raymond IV. pose a Mme Fonqueran 5, rue Job,

Article /3. La velte et M jour un poste de T.S.F. Il avait encaissédes fêtes du premier de l'An, de _1(10e_feran et s'était fait signer 4Pâques, de Pentecôte, de l'Ascen-sien, de la Si-jean, du 15 Août, de ,linnmp réé vneinaunmest, .sen àf u iesscal censla Noël, le' Marché de détail dure- "°ma toute la jou.ns et a 1 occasionde M. lote des Morts, de la Tous-saint, 11 durera toute la journée du29 octobre au 3 novembre inclus.

Article 14. Lee PrescriPtims salon sociale, son mettre étantdes arrêtés antérieurs sont main- moyennement rétribué. Pour se po.

ger un peu mieux il avait us.pà1 etatanan de M. Ben Zahen, miteraprèle judiciaire en Algérie; Moletésme fait, sous le couvert de sa nom

tenues en Ce qublles n'ont pas decontraire amo dispositions qui pré-

.

Article 15. Toute infraction el'une quelconque des dispositions velte alentite il s Malt fast envoyerdu présent arrêté sera constatée et par un commerçant algérien la

somme de 3.000 francs et enfin 11avait essayé d'escroquer 500 francs

M. Pores, ouvrier à la base abisienne de Franceeal.

Il est .ndamné à un an d'emprissonnement et 5 ans d'interdictionde séjour.

Pour tout ce qui conciserASSURANCES, consuttex M. Hen.MARCEL, 12, rue Rivais. Tél. 213-56.Révision des polices. Vériftcation derisque. Consultations gratuites. PHmes três réduites.

poursuivie conformement aux /an.Article 16. M. le Chef des Ser-

vices de la Police administrative, M.le Chef des Serveces des Emplace-ments et Marchés et M. le Commis-saire Central de police sont char-gés, chacun en ce qui le concerne,de l'exécution des prescriptions duprésent arrêté.

Fait â Toulouse, au Capitole, le22 octobre 1937.

Le IVIatre,Signé : ELLEN PREVOT

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Sylvain, Dupart et Brochet qui, parelur tenue et leur finesse, rendentintéreesant des rôles parfois) insi-gnifiants.

Dans les danses fantaisietes ré-glées par M. Stone, maître de bal/etil y a un ordre, un ensemble Par-fait et les figures que dessIne toutce monde chatoyant et joyeux sontd'une hamnonie toujours complète.Aussi faut-il accorder au corpsballe et à Mmes Nijni, Delshon etTeyehené une' part du succès de lasoirée.

Et M. De/eaux se met à l'unissonen conduisant ...entrain Pectivrede Fra. Lehar que la ,présentationspectaculaire de M. Falier a eomp-tueusement habillée.

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Président: M. Rioufol; ministèrepublic: M. Chassaing; greffier: le.

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an ns la m.gance et la distinction servent par- quelle salle de la rue du Taur, bal defaitement le personnage de Missia use. Orchestre Nègre et' sel' boyi.PaLmieri lui prote une jolie voix Musette parisien jazz américein; rtnano aigus brillants et la fait même trains chantés.damer avec une grâce souple et Réduction aux camarades du P. S.charmant, J. S. et de la P. S. G. T.

M. R7da'Calraie aalalas"ty. Pala. 11111111111111111111III llllll Oin1111111111111

dapter son talent à une eeuvre ly-rique. Beau cavalier, plein d'aisan-ce et de chic, il a le physique né-orseaims au jeooe Peinermé de toutes les femmes. Il dit par-faitement ce qu'il doit chanter etreste le danseur fameux que l'onconnaît Son tour de chant où M.Reda-Caire est vraiment à sa placelui valut le plus grand et le pluslégitime succes.

M. Fouchy est Camille de Cou-Des bourses d'entretien peuventment le personnage et lui lait chan- être accordées aux enfants d'âge sed-ter avec un joli timbre et beaucoup spire qui fréquentent une école pried'adresse les Min et Orme qui maire publique éloignée de leur do-

sont dévolus, ointe et qui, de Ce fait ne peuventMIle

gne ambasadrice une silhouette l'école.p. prendre leur rmas de midi 'à

igréable et chante avec goût- Les demandes des familles doiventM. Desomer déploya tout à son aire remises d'extrême urgence auxIse sa verve comique dans Popoff.M. Brebans s'est dépensé hono-

'alitement pour faire a porter e lessffets du comique Figg et Mme(orner a su n'accentuer le ridicule

de son personnage qu'exactementdans la mesure nécessaire pose nepas toucher l'outrance.,Citons encore MM. Canevary, La-horde, Bu; Boas, Croaty et MOM8

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Après notification du dit mandat,Par M. le C,runinissaire de Police,Chef de la Sûreté, (larcin a été déféréim Parquet.

1 LA COURSE AUX VELOS' M. Lacaille Raymond, employé àro. N. L A, demeurant 145, routed'Espagne a porté plainte maire in-Connu au 7e arondissement pour volde sa bicyclette, commis /e 22 cou-rant vers 22 heures devant un cinémade l'Avenue de Muret.

M. Aupssign. Henri, boulanger 45,eme des Couteliers. a Porté Plainteéon., ineptinn. nu ler arrondisse-/osent pour vol de sa bicyclette nom-Mis le 21 courant entre 13 et 20 heutes, dans un pecluit situé au fond ducouloir de l'immeuble.

ENCORE UN FORTE MONNAIEMine Ribes Jeanno ménagère de-

tneurant 14, rue Délie a porté plain-te contre inoonnu au ter arrondisse-ment pour vol de son porte-monnaiecontenant une somme de 90 francset divers objets commis hier verstui heures, dans un magasin de larue AIcone.,

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Par suite du choc, M. Riga) a étélégèrement contusionne.

L'automobile a subi quelqu-es dégâts.

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Madame--Prançois RICARD, néeCA,PBER; Madame et Monsieur R.DITPUY etblent Tille Suzanne; Madameet fi/onsieur H, .73ogy-0sou, née SI-CARD; Mesdemoisell. Ro. et JegimeCApBER; Madame et Mo.ieur P.cAnupyILLE et leur fille dom.Madame ét Mo.leur J. BOUYSSOUPI leur Bile -Annie Monsieur etMadame M. FRANÇOIS et leur fa-rMlle; Mo.ieur et Madame L. FRAN-COIS, ri leur menu; les famillesDUPOY, BOUYSSOU, CAPIDEVILLE,GROS, DUPRAT, LABROQUERIE euole CHAUMONT ont la douleur devous faire part de la perte cruellequ'ils viennent d'éprouver en la per-sonne de

Monsieur 'François SICARDCharcutier aux Abattoirs Industriels

de Fenouilletleur aPOPX, père, beaupére, grand-père, frère, beau-frère, oncle, cousin etallie, décédé à l'âge de 60 ans, et vousprient de ben vouloir a.ister h sesobsèques qui auront lieu le lundi 25octobre 1937, à 9 heures, en Peglistd'Aucarnville (Flaute.Garonne).

On se réunira u la maison mortuaire,chemin de "Roulis.- -

II ne sera pas fait d'autre invitationRemerciement a L'église.Inhumation au cimetière de Terre.

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CES (Sectign Gaz d. Toulouse). - Répon-dant à le convocation adressé. par son hm

"" ""'''''cleiT U'ros:s7r'Cureeirenr4- A VIE DES I

Uré::,.,271. à 1: amure, du TraZ 1Vendredi 2 2ectobre 1937 .7, 18 heures 30 OCIETESen présence du camarade Julien Fugues,

d. l'Union de. Syndicats Conté-ad: la Benn-Garonne,délie

Aprèe avoir fris ConnaiserCe dee fait.eaves reproches au nomme R.faits étant de nature à porter atteinte à

A prononcé à l'unanimité l'exdusionl'unité syndicale:

Syndicat de rEcleirage et des Forces Mo-trio.. (Section Gaz d. Toulouse) du nom-mé R. Roques et donne mandat au bure.du Syndicat de pana, ce ordre do jour à,La connaissance de te Fédération de l'Eelei.rage ainsi qu'a l'Union du SyndimtsConfédérés de la Haute-Garonne.

Renouvelle son entière confienu au bu.reau syndical et se sépare aux cris de rvive gunité syndicale vive lu C. G. T. I

PERSONNEL DES HOSPICES CIVILS.- Réunion générale le M.& 25 octobre,à 17 h. le Boers. du Traveil.

JOURNEE NATIONALE EN FAVEURDES AVEUGLES CIVILS. - A tous lestravailleurs,

Camerades,L'Uni. Départementale de la Haut..

Garonne ayant reçu de Ia C. G. T. et dePAsocietion des Aveugles de Fr.. desinstructions pour l'organisation de le Jour-née Reliure.. faveur de. Aveugles Ci.vils qui est °remisée avec l'autorimtionde 'Etat pour le dimenche 24 octobre pro-chain.

L'Union Départementale demande à tonsles tmveilleurs de répondre à cet intéres-mot mpel de mlidarité.

Camarades navifieurs, pensez à cesduhéntés qui vivent une autre vie quenous.

L'Union Département.lo demande àtous les collecteurs désigné mir le Syndi-cat cretn, présents aujourd'hui dimanche,à 9 heures, à la Bourse do Travail (me,mriad.

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SPECTACLETHEATRES I NEM '1/4 S ONCERTS DANCINGS

THEATRES

THEATRE DU CAPITOLE. - Anjou,en matinée à /4 lu. 30 aura lieu au

Capitole. la seconde représentetion de)Rioul,oen,ucAaubeaou jeudi un grandsuccès, le baryton Nougaro, remis de sonindisposition interprétera la nfie de Rigo.gero.

Le soir, à 20 h. 30 r e Le Veuve Joyeu-se pour le derrière représentation degrund fanmisiste Reda.Caire, qui raresigné pour l'hiver eu Casino de Perie nepour. revenir parmi nous cet. sais..

Mardi, Grand Gela d'Orée,aHéradiade e, In dief-dmuvre de Masse-

net avec le ténor Charles Fronval, M. Bar-sa, Tom., Mlles Ander. et GermainePape.

CINEMAS

GAUMONT-PALACE. - Permanentde 14 à 19 h, 30 et 21 h, r a La danseuserouge

VOX. - Permanent de Pl 8 19 h..21h45 45 : La mais. d'en face o ete Bataillon dee sens emour

TRIANON. - Penuanent de /4 h. à19 h Double Crime sur la LigneMaginot (Deuxième semaine/.

VARIETES. Permanent de H à19 h. et 21 h. o a Le fauteuil 48 a.

PLAZA. - Permanent d. 14h. à 19 h.et 21 h. t a Le Roman de Margueritepantin o. Dendème sensainek

NOUVEAUTES. - Permanent de 14 à19 h. et 20 h. 45 t a Le dernier traM deMadril a et Tete chaude e.

GALLIA-PALACE. - Permanent de14 à I 9h. et 21 h. t . Trois Angiomeeu Peneionnat

OLTMPIA. - Permanent de 14 S. à1 91, 21 h. r a Un de la Légion a.

CINEO. - 15h., 21 h, Fanfared'Amour a; e Rende 713 a.

REX. - 3 h., 9 h. e Marthe Richard,espionne au service de la Franc. net

L'Ecole de. Journalistes s, avec ArmandBernard.

EDEN-C1NEMA. - 15 (h, et 21 h.a Les Gallé. du Palace a avec ArmandBernard; e Je ne mis pas un Ache

ODEON. - e Le Coma de MonteCeinte e, Eliseo 1-nadir Smsexan even-tures.

FLORIDA. - Matinée 14h. 45; mirée20 h. 45, deux grands films r a Dora Nel-son a; e Les Deux Oehelines a.

SAINT-AGNE CINEMA. - 3h. et 9 h.Deux films très gais « Les Geltés del'Escadron s avec Raimu et Fernandel ete C. F. 2 - 2.222 ,avec Mille Mathis etCherpin.

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Argourd'hui dimanche, à /0 h. 30 eu nié.eu, café de France, place de le Colombe.réunion du bureau.

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Mairie de ToulouseDECLARATIONS DE DECES T

CONVOIS FUNEBRESLe maire de In Ville de Totila.°

a nonneur de rappeler à ses adsministres, afin de les mettre engarde contre des erreurs regretta-bles, que les déclarations de décèsne peuvent être reçues que dans lesbureaux de l'Etat Civil, à la Mai-rie, conformément aux artic/es 77et 78 du Code Civil et du Décret du15 avril 1319.

Il rappelle, an outre, qu'aux ter.mes de l'art. 97, chap. 4, de la LoiMunicipale du 5 avril 1884, l'autocité municipale règle /e mode detransport des personnes décédéesles inhumations et exhumations

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réglé et dansé par M. STONE,Mlles NUM, DELHSON

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dens le relu de PendeM. FOUCHY, M. BREBANS,

M. DESOMERMese Liii,, DEGRAVES

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Rendez-voltu de tous les joueurs debasket à 13 heures ',Mei... au siège,café Trinqué, ou à 13 h. 30, à Crois-Daurade (terra. du Cercle laïque).

OLYMPIC OUVRIER ST-CYPRIENSection basket. - Rendemvous de

tous /es joueurs ce dimanche 29, surIn tem.. de l'Emancipatrice, équipesGel III, i 11h. 30; l'équipe I 14 nprécises. Ma.hes contra l'Étoile Rouge

Section association. - Chst anjour-'hui dimanche que notre Mugge I

Icone,eIcotnen el'AvenirProlétarien (sur mn vérjairo,

en vue de la Coupe du Midi (ire se-I rie).1 Formation de l'équipe

: Marchet; arrières 1 Legat,Thomas I demis l Andrand,suerez; avants : Bonnet, Escou-boue, Charnus, Arpajon, Méjuto.

Notre équipe de.ième ren.ntreraen match amical PArmnal (2) sur no-tre terrain, à 14 h. 30 précises.

Rendez-vous de tous les joueurs pla-ce intérieure, à 13 h. 45.

L'IRISBasket. - Rendez-vous de tous les

joueurs de basket aujourd'hui, au siègecafé Repue. 13, avenue des Mlinimes,14 le, use Déplacentent de Grenade.

Départ de ta gare 0000m1 S 11 h. 45.

Retour vers 19 heures.Tous les camarades qui voudraient

acmmpaaner les mulles, Pourront .joindre ode, dernières.

ASSOCIATIONET BASKET-BALL

Les résultats des matches officielsoit amicaux de la journée du dimanche24 octobre sont me. Par E.L place du Capitole. Bar de POPera.Alio : 210.62.

Les clubs en présence et les arbitressont pries di vOldoir bien faire le ne-essaire.

ETOILE ROUGEBasket. - Emin. III et II à

13 h. 30, équipe I à 14 h. 30, convo-quées au .rrain de l'Emancipatrice(Croix-cle-Pierre). Matches contre

UNION SPORTIVEPROLETARIENNE

Par suite de deuil cruel frappantnotre secHte, nos équines ne dirnite-rant Pas de matches ca laudes basket,et notu prions nos camarades dercsillet Rousé de ne pas se déplacerSur notre terrain, ainsi que l'arbitre

TOm nos camarades de la sectionbasket mal priés d amister h la remMon de la section, mercredi 27 octobreh 21 heures, Bourse du travail.

Nécrologie

L'union Sportive Pro/Ormier:ne apprend avec tristesse le décès de notrebon camarade Sicard, pr.he parentde nos .Marades Louis François, ter.lutine de PU. S. P. et René Francois,secrétaire de la conunission de basketde PLI S. P.

LIMion Sportive Prolétarienne leuradresse se plus sincères mndoléan.aPMne la peine qui les frappe.

C. R. Id. - BASKETBALLLes secrétaires des sociétés suivantes

Pax, Flèche Rouge. A. S. OheMinots,Moscou, C. C. Montauban, =tangue,ont déposé des demandes de licencesau cours des dernières réunions de iamminission de basket.

Noics prions les camarades de renomceler leurs dernandee auprès du cama-rade Gros, qui se tient à leur disposi-tion tous I. Jours (samedis, diman-ches exceptés), au Foyer du peuple, larue du Taur.

Prenez note. camarade. clue I. dmMandes déjà décorées sont à votre dis-position et, peuvent être retirées désaujetrdhui ch. Mons°, 1, place duCapitole.

CERCLE 7-ASQUE OROLE-DAURADEBasket. - Aujourd'hui dimanche

l'équipe du Cercle rencontrera veiadeen olumpionnat Réunion des joueursde l'équipe /I h 14 heures; équipe I à15 heures.

Formation de l'équipe I e AvantsGuarric (cap.), Manneville 10. Daydê;arrières 1 Bordes, Sise-es.

Equipe II: avants: René Jean (eap),Bordes, Nougayrol; arrières l Maury.Soule.

AVENIR PROLETARTENtlyinénee

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ASSOCIATION SPORTIVEDES CHEMINOTS DE TOULOUSESection basket. - Nos équipes ren.

contreront cette après-midi, en mat-ches comptant pour le champion.tdu C. R. du Midi. I. équipes du SportTravailliste 000udien.

Sur ce même terre., l'équipe I dela Flèglm Rouge rencontrera l'équipe Ide Mas-Grenier.

Horaire des rencontres t à 14 rieur.,Flèche Bouge oontre Mos; S 15 hemses, A. S. Cheminots 04 courre Trate-Cocus (11; à 16 heures, A. S Chemi-nots 12) contre imis-Ccens 121.

RenJemvons des lodens et des 511.veurs o 13 h. 30, à la Maison des Cam1Milots

111110:0111011111111110 lllll 01111111011111101

Jean-Jaurès fit côté du cinémaII A VIE« Les Variétés »). SéleCtion d'aPP1.relis des Meillettr. marques. PORTIVE

RUGBY

CHALLENGE YVES-DU-MANOIR

RACINC......CLUB CHALONNAIScontre STADE TOULOUSAIN

L'équipe du Racine-Club Chalonnais quirencontrer. ce mir. aux Ponts-Jumeeuxl'équine du Sade Toulousain, sem forméeav. les joueurs suivants s

Fout I. Boillereult, Soueltaire. Connes(sélectionné de le Coup. Nationele), ChristWIectionné militaire) Routard, Laar..Ferra.). Isélectionm de Bourgogne), dahu-.. (international molerre). PinsonneseDeseumbine, Cordon (int. militaire), Coder.et Finat (internationeux). &reflet, Tugen-daht, Vade et Foret II.

De mn caté l'équipe du Rade Toutou_sain alignera le foneration

Arrière :Corner:Troie-ouerts I &ourdi.. Auriac. Duri-

an... Pérez)Demis r Gaussene. Berné;Avent, Fins, Andrieu, Guero, Del-

rtné, Pimou, Lope, Desvergne.Arbitre M. Perrev.Couo d'envoi à 14 h. 30.

1

E nlever de rideau. à 13 heures, StadeToulon.. SI renne Biran. Seromns

I

Usb III,ven. des arte pour le saison 1937-

38 <neinua tous lrejoue.. de 111,10019 heur au secrétariat du S.d. Toutou-sain, 117allées Jun-Jaurès.

; te secrétariat sera ouvert c. matin, de, 9 heures à 11h20.30.

1

-C W TOULOUSAINU. S. FUXEENNE II/

contre FPour sen deuxième match de 1 Coure

de. pyrénées (Excellenue-Honneur).ra mennère du FootbeILClub WondarlandToulousain rencontrera aujourd'hui sur sontermin du Stade de le Poudrerie l'équipecorresponde/ne de Sportive Fu.

' xé<,.L'équipe fuxéen.. evee Roueix, Dedien

et Chausson possède des lignes arrière.ru, leU .ereme. re ontabies, qm ont sou-vent donné à leur ésuspe des victoire. re....mues; le pack un peu lourd ion. sur-tout pour procurer es créer des «trime

eau jea u. e)casiqrse, moins brallent)

ambrerai qui demeure malgré tout ut daq.ger constant pour radverma.,

Le match est cepi.1 pour lespes, car,uns victoire de fiun demeassure

mit en classement général du le COUpila première place, sera pelpitent et pet,:tique.

CYCLO-TOURISME

UNION CYCLOTOU01STETOULOUSAINE (U. V. F.)

Partie..eu à là pssonère sortie hiver.nate eln Mun, depattementei detOnrietne.

Rendez-vo. ce matin, à 8siège de rU. V. F., cale Lem.),d. du Capitale).

Départ à 8 h. 30 rr,eien,Il à. 30. 4

Sortie de renies-midi; Rendu-a,.sièga de l'U. C. T., 47, boulevard c.nom., Il précises: itinéraire à défi.der.

RANDONNEURS TOULOUSgesAujourd'hui clature de n saison par

banquet ennuol servi eu Calypso, à 20 àA cl.13L30.:, a..);,:eiféhocrsirzg,r offset

ggnen111111111,11M1111111S11171111111111111/11

DANS LA

BANLIEUELARDENNB

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DANS LE DEPARTEMEN1I

SAINT-GAUDENSGRANDE FOIRE AUX CHEVAUX. --

La grande lote, aux cheval,a de denierjeudi d'octobre, une due plce importantesde tome la région, se tiendra le 28 pandorecourant

Grand chois de cheveux de tieeg racee,r0117 tOUt service (selle, trait Raer. PoeUnit, mules. mulets gt ânes),

Villefranche-de-LauragaisC'en ce soir, eu Pare des Sports que r

jouera la rencontre amicale qui doit oParnser los réserves de Tue- au F. C. Voilefrencheis,

Lxne d envoi h lé h. 50,

MARCHE DU H OCTOBRE 1937. -Coure pratiqués

Froment, Ire quel., 144 francs; 2reequalité. 140 francs; Ina me lité, 136 RanceSeigle, 90 à 92 francs, Moine, 56 francs:Me., 90 à 10 Ofrance ;Haricots, 240 1 280francs. Pommes de ter, 34 36 francsIle tout l'hectolitre),oPourreges. - Foin, he qualité, 13 lailue qualité, 11 francs: P.111e, Ire 30.111415 fiance; 2me qualité. 13 franc. (I. toutle quinte».

Animaux condas norche, - Vu«250; Porcs, 290.

Prix moyens. -Veau. 6 g 7 fr. 50 le

-Volailles da paire). - Pouiste, 18 à 26francs; Dindons, 70 à 77 francs; Pinmdu32 à 40 francs; Canards, 38 à 44 fr..,Pigeon, 9 à 14 fr., Lapins, 5 à 1Si',run.

ufs. 7 fr. 200 dé,. 791, douzaine.Fruits. - Châtaignes, 55 à 70 Saoul

Noix. /05 à /IO francs (l'hectolitre).Puce gras. 7 à 8 fr.. le kilo.

REVELGRAND MATCH DE t100TBALL.

C'en aujourd'hui 2 h. 30 précises quesere donné le grand metdh de Footballen. le Sélection Universitaire de Toul..se et l'équipe première d. Revel,

En lever &rideau t Olympique .de Là.brusuière contru les juniors Revelms.

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l'avoir tué. Et ron obligé de nom 1.1

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Les Pharmacies PLANADE eMAS informent .leurs clientéequ'elles fermeront à tour dedu. dimanche midi au lundi Oudhpartir du 31 octobre.

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LISEZ ET FAITES LIRELE e 91101 SOCIALISTE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

La ViChallenge Du Manoir

-----Après quelques jours d'entracte,

Va reprendre plus intéressant que ja.mai. Les clubs petit à petit, trouventla bonne carburation Si von songe en-sui. au judicieux équilibre qui Mgredans les Poules et la renommée des

currents, on peut dire que la jour-n. du 24 octobre nous réserve de bel-les rencontres.

Voici d'ailleurs la liste des matchesportés sur le calendrier du Callengepour la journée dalSoUrd'hui.

POULE 13

STADE TOULOUSAIN contreR. D. PE CHALONS

On va commencer par pouvoir pren-dre dimanche la tempêlature du Stade.déclaraient ces jours-ci quelonies eue-porte. du graml club rouge et noir.

Il recevra, en effet, sur son herbe, leRacing Club de Chelons. Châlons pos-sède une équipe de jeunes qui a Viser.euedes Viennois, veulent arriver.

On se souvient déjà qu'en avril de-nier. sous le ciel de Tua-un, les Canas-sonnais les éliminèrent d'un poil, diffi-cilement. Cette saison, les Châlonnaisviennent de battre le L. O. U. et U Les-diguières, 'é F. C. de Grenoble lu,même; b ce propos, le Progrès de Lyonécrivait

a Battre les Alpins sur leur terrainn'est pas à la portée du Premier venu.Etpourtant le R. C. Chalonnais, le plusreceit menins a la dignité de cheva-lier du a du Manne a. a réussi cet ex-ploit. La qualité de ses centres - ol-seaux rares de la, grande volière - enfut à. /one .

R. O. de Chatons présentera doncau Wallon, une équipe redoutable com-plète en toutes ses liants.

Les avants font preuve d'un couregeet d'une énergie jamais en défaut, avecles zèbres qui, aux ailes de la urne ligne,ont nom BoMardet Ferrand. Quantla Orne rinser, Obrist-Clounot, les Bour-guignons prétendent qu'elle Ma Pas sonégale en France. En demi, une excel-lente paire. Pinsonneau ou Dubois-Oahu., ce dernier raMde dans latransmission et fln irnllvien..

Les trois-quarts tangue constituentcertainement un des plue beaux assem-blages opérant dans un club françaisà l'heure actuelle - Descombins prendde Pa.urance b chaque PeMie, Coulonau jeu subtil et office., a retrouvé lafemme qui faisait de lui, le meilleurcentre militaire français; Finat ayantretrouvé la santé est redevenu l'irré-sistible ailler, au déboulé foudroyant.à la défense Impitoyable, fleurelesaqson adversaire Milliand qui se trouveêtre justement l'altier gauche de l'éon.po de France.

Quant U Coderc, que dire de lut quin'ait pas déjà été maintes fois écrit -(l'est le rugbymen ne, ...P., qui senlève lentho.iasme des foulee par gonbrio et auquel tous les centres fran-çais ne peuvent étre que faiblementeeerpaeêm

Et après çà. mes amis, est-ce qu'ilfaut monter anis bien tassé?

L'affaire est claire comme un soleil' printannier, malgré la valeur desRouch, Auriach, Geaussens, lesaa tan-gos châlonnais r sont inférieursleurs vis I rie. Il faut donc si les Tou-lousains vedent gagner que les avantsserrent les dents et en mettent commedes sourds.

Sinon les .rottes toulousairies sontcuites.

Après un début miteux, devant Lyon.les Touloudains se sont un peu ressai-sis devant Lézignan. Une victoire leurest nécessaire pour ramener la con-fiance de leurs plus chauds PniûNegia

Et cependant gare, si les Pinet, Cou-lom ou an,. Codera, tâtent trop sou-vent du ballon.

QUOlqu'il en soit, c'est la grande, latrès grande foule qui ceinturera diman-che le ground célèbre du Wallon. Poursavoir si le a vieux a stade amènerason payillon devant a les lamies s ûhâ-Innnais. les gars du fameux terroirBourguignon. qu'on n'a jamais vus hl'oeuvre encore à Toulouse.

De notre correspondant châlonnaisQuelle sera l'équipe déplacée par le

R. C. C.? Actuellement, un forfait estcertain, celui de Christ. Vraisemblable-ment, il aura comme remplaçant le vo-lontaire Vadot, bien fait pour ce genred'exercices.

Ne dit-on MM également que la Pré-.n. de Fine et de Descombins estdouteuse?

Pour Descombins, c'est une autrehistoire. L'espoir tango a rejoint hier/e régiment et sa pre.nce la-bas surle terrain des Ponts-Jxneaux est pro-blématique. Dsmmage, car II serait centainernent distingué.

RUGBY Lot équipiers suivants sont convo-qués pour taire le der...ment ;

Arrière t lirenot; trois-quarts t FinatCodera Cannon Descombina demis t

Cahuzac, Pirmonneau; avants t Per.rand. Lagrue, Ballard, Goulot, Vadot,Foret. Boilleraut, Souchet..

Au cas Où Finat et Descombins se-raient indispernilûes, on choisirait dansles jeunes éléments juniors, les C.P.Ion Dubois. etc...

A TOULON. - et. C. Toulonnais con-tre C. S de Vienne.

Un arma choc d'où les Toulonnaismieux entraînes et qui jouent chee eUxpourraient bien sortir victorieux.

Au demeurant, les ohempiona deFrance serinent chaque talaus, asseztard en forme.

A PERIGUEUX. - U. S. A. P. ren-tre C. A P.

Les ré/dg/Miens viennent d'être st,rieusemet tem,. Par 1. Menais.Catalans au complet doivent avaler latruffa

A LYON. - Ln. Il. contre Section

FEUILLETON DU MIDI

reeriumnalmFANICME... ET

Mais, Fandor dans l'instant qu'ilveut sauter à la gorge du Maitrede l'Epouvante, apprendra une foisde plus que Fantomas est l'Insai-sissable !

La silhouette légendaire s'.irse.Les bras croisés sol décroisent.Aux mains de F.tômas une

Inondé ltrrre lie fer se lève dans unmouvement menaçant, retombeavec une terrible force.

- Ah ! gémit Fender.Et c'est en vain qu'il veut lutter

eneore dominer la torpeur que lecoup terrible fait naître en lm.

Tout son corps est pes.t. Ses

ACHETEZ nVOTRE e

Sportive

Les Palois feront bien d'amener cequ'ils ont de mieux aux Iris sinon ilstomberont sur un deuxième bec de gazle premier s'étant situé à Toulon.

A BEZIERS. - A. S. B. contre LaGéneree.

S Biterroise qui semble cetrefois reprendre du poil de la bête, allet,une équtpe jeme, made renforcée pard'excellentes rentrées devrait avoir rai.5m assez nettement de la Générale.

A PARIS - Stade F.S.Mai6 contreF. C de GrenoWe.

Favori, le F, C. de Grenoble.

POULE A

LES BIARROTS A CARCASEONNSLes Biarrots qui viennent de battre

l'Aviron sont gens, chacun sait ça, dif-ficilement maqéables.

Si les lignes arrières bien lancées parGuilbert, sont capables de confection-ner un jeu rapide et clair, les avantsoù brillent Daguerre, Lean, r'ef°r',Laseamg, Boullhaye, sont le point fortde l'équipa Les Biarrots se défendront.mais en tent état de cause, ils serontbattus par un quinze qui leur tiendra

- tête en avants et se montrera meilleuren lignes arrières. Voilà notre avis,

A BORDEAUX. - B. B. U. C. con-tre C. A Briviste t favori le a B. U. C.

A TARBES. - Stadoc.te contre A.S. Montferrand.

Rude bataille que a Bibendum s peutgagner b condition qu'il . déplace aucomp/eL

A PARIS. - R. C. de France contreC. A. Beglais.

Favori., le R. C. de France.A BAYONNE. - Aviron-S. U A.ge-

nais.Les Agenais qui viennent de rosser

parisiens du Racing et Périgourdins,ont l'air <lavoir une équipe Jeun, pst.tant arden., vite avec laquelle II neSema pas bon faire J.Jore 1m Sapes-ais, même sur leur herbe du Hardie,pourraient s'en aPereereft.

A NANTES. - Stade Nantais contreC Nar.nnals,

Les Nantais jusqu'Ici n'ont pas faitpreuve d'une forme tmn.endante.

Némunoiria'- thetiednirs-ceet-ntris-lén'ont pue /habitude de rigoler. Aurai,les Narbonnais, s'Es veulent gagner, se-ront-ils bien avisés d'amener leur mei,Nur materiet au Pays du netit b u

COUPE DES PYRENEESVoici les matches qui se disPuteront

dimanche.-A ArcS - S. C. Albigeois Contre U.

Morealbanaise.Les deux équipes qui ont bien perdu

de leur ancienn splendeur, ne doiventP. être loin de se valoir. Cependant,sur leur herbe, Ira Albigeois l'emporte-ront de nen.

A GRAULHET. - S. C. Graulhet°.contre Castres Olympique.

Les Graulhet,le ont battu dimancheles Outrais en match amical, diman-che dernier. En partie officielle les pe-tits gris pourraient bien prendre leurrevanche. mais ce sera dur. très dur.

A TOULOUSE. - F. C. Wonderlandcontre U. S. Poéenne.

Nous faisons des Toulousains nos fa-votis dont la lime d'avants est plusMits./rte que celle des Ariégeois.

CNA MP I ONNATD'ARMAGNAC-BIGORRE

A - F. C. Lourdais contreF. C. Auscitain.

Victoire très difficile des locaux oumatch Md.

TOURNOI DU SUD-OUESTA VILLENEUVE. - C, A. Villeneu-

vois contre T O. E. C.La jeune é.qMpe villeneuvoise don-

nera du fil à retordre aux Toulousainsmais si ceux-ci se déplacent tu completlis gagneront.

A BORT. - A. S. Bortolse contre Li-moges U. C.

Favori, l'A. S. B.

gri en egri

14.1 A sGAGNE

_par Mer, cel AUain7e..e iagtealle

membres /ui senabient devenir co-tonneux

Jérôme Fandan a //impressionvague de ch.eeler, de tomber, deheurter que/que chose, par-dessus.quoi il bascule... et la conscience nelui revient avec ses forces qu'àl'instant où il tombe à 1 mer, sAsune vague le prend, le roule, l'em-porte.- Ah ! je ne m'ab.donneraipas !

Désespérément alors, il nage, Ilcombat le flot mauvaiS.

Ce qu'a fait Hélène, sans sesyeux, Il aura bien le courage de le

A TULLE. - S. C. Tulliste contre A-A. Bayonnaise.

Favori, le S. C. Tulliste,

MATCHES AMICAUXA PEZENAS. - Stade Piscenois con.

tee S C Biterrois,A LEZIGNAN. - F. C. Lezignanais

contre U. s. Thurinoise. (ChallengeSud-Est).

CHAMPIONNATCHEZ LES TREIZE

A BAYON/TE. - Côte Basque contreR. C. de Roanne.

A PAU. - Section Polo. contre S.A. Villeneuvols

A ALBI. - Albi XIII centre Tou-louse Olympique mn.

POTINS

o-- Les bruits les plus divers couhrent a Toulouse, sue la future compo-sition du Toutou. Olympique XIII, deGaga.

Apr. Bès, Chevalier, certains affir-ment que Delo. du Stade ToMousain.Un des mei/leurs avants français, a

donné son adhésion à l'animateur trel-mate t mi cite encore le nom de Betu-set, mais celui-là, ne fait que revenirsur !eau.

o- C'est l'avant Prin-ClaO, mi aété nommé capitaine du Rugby ClubToulonnais

ASSOCIATION

HIER SAMEDI, A TOULOUSE

Le Toulouse Football-Club écrase

les réserves sétoises par 5 bute à rien.Ou avait annoncé une forte équipe

autrichienne mais à In dernière mi-nute, I. joueurs n'ayant pu obtenirleum passeports, Il fallut faire aPPoiaux réserves professionnelles du F. C.de Sète renforcées par plusieursjoueurs internationaux.

Le contre.tcmps fut préjudiciab.aux intérêts clm organisateurs, car larecette dut s'en ressentir fortement.Comprenez par la que les deux équipesfirent leur entrée devant un Public pastrês nombreux.

x xLa première mi-temps a été de beau-

coup la plus intéressante. Les visiteursfirent tout d'abord impression parleurs moyens athlétiques et par la sû-reté de leurs attaques. Cependant peu

peu, /es locaux coordoxerent leurs«fort, et parvinrent à imPoser leur Mu.Cette supériorité se concrétisa avant lami-temps par deun jolis buts de Hugo-Vitch.

Au cours du second tim. l'empriseJaunie se fit pq19 nette. Trois nOtiv..ux

, alita furent ajout. au .om Par Jeli-neem, Camarata Montsalier. leshommes de Roux sortirent donc vain-queurs par 5 buts à O.

n 1 ?I ANous n'aviose pur cru h une aussi

nette-. victoire toulou.ine.été acquise avec une aisance remmena,Rie et d'où, pour être sincère, la fan-taisie n'était pas exclut. C'est alimi

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LE SYNDICAT,

qu'en deuxième mi-temps les locauxont bien souvent facilité par leurs fan-taisies la triche de leurs vis-à-vis, etc'est vraiment incompréhensible queceus-ci ne soient PeS Peoenus à sau-rer l'honneur.

Noux considérerons donc cette partiecomme un simple entraînement pour leT. P. C. Entrainement qui aura permisde mettre aU Point Certaims eombMai-sons d'attaque et de révéler lûfiterCamasata et l'inter KukOVitch. Nousregrettons que l'ailler Montsalter ne selivre nes plus franchement, car II seraita

Dans les arrières, Laurent a fait .ègrande partie. Les degngsments Puis-sants de GUIu qui faisait sa rentrée,Ont été perticulièrement remarqués.

Les Sétois ont pre.nté une bonneéquipe où certains i.eurs rent d'uneMasee supérieure, mais insuffisammentse.ndéa

Notons en termitmnt que le nouvelavant çentre essayé au T. F. C. (Tri-boulet) ne nous a oas paru digne defigurer en équipe I du club. - Frais-mont

LOTERIE NATIONALTIRAGE DE LA le° TRANCDI

1 9 3 7

UN HEUREUX COUP DE FILET

Les inspecteurs de la police judiciaire ont arrêté, hier, nne bande decambrioleurs qui pillaient, la nuit, les magasins n'hésitant pas à tireraur les intrus qui venaient les déranger, Les perquisitions opérées à/mn' domicile permirent de mettre la main curas lot important d'armesautomatiques et de munitions. Ci-dessns e les cambrioleurs dans les lo-ceux de la police indiciaire. Lie g. à. dr. ; Ponjois, Bière, Sellea et Torrèse.

faire à son tour ? L'îlot est proche.U atterries

;andin., tombant à la mer, avaittout naturellement pionge. Mais,bon nageur, aidé aussi par les re-mous puissants des vagin., il re-venait vite h. la surface.

Helas . a peine apparaissait-ilqu'à ses côtés des balles sifflaient

Penché sur le bastingage, Fan-tômes voulait achever celui qu'il

Avait-il atteint Fandor cepen-d.t ?Certes, le Tortionnaire devait. le

Quand, ayant plongé de nouveau,ayant nagé pour s'éloigner du tho-nier, Feodor, à bout de souffle, de-vait revenir à la surface pour jr re-prendre haleine, il apercevait /eMonstre debout à l'arrière du bâti-ment.

Ah . 1 abonunable besogne qu'ilaccomplissait aErs ! Et qu'elledonnait bien la meanre de cettepersistante cruauté dont il était ca-pa/én !

Ne songeant qu'à ses haines,haluil sur un 1115.

Au mât d'artimon, le seul mat qurfut encore debout, le Maître de

l'Effroi achevait de rependre lemeilleure. Berlingot !

- Abummsutinit . hans Fandom,Mais le vent et la mer l'entre

naient, l'empêchaient de rien tenterEt, t.dis qu'il dérivait ainsi,

jouet des Flots, épave humainevouee peut-être à la mort, JeromeFandor apercevait F.tômas qui,de nouveau immobile, s'était campéles bras croisés, silhouette noire,silhouette tragique, à l'avant du

on er en pe

en naufrage - et bien que lepublic fut toin d'ers connaître en-core les detans - 051 parle ancore àConcarneau.

La tempête qui le PriumIlua sefaisant ainsi complice des sinistresvouloirs de Fantomas a provoqué,hélas, d'autres deuils encore. A lamort les thoniers payèrent . lar-ge tribut.

Hélas I on oublie pourtant les si-nistres, sur les cotes bretormes !Us sont trop nombreux les navi-res qui s'en sont allés au port in-connu des bâtiments perdus.

Mais on commente, parfois, à laveillée, les incidents qui marquè-rent la tragique aventure.

DETENTE A LONDRESrent-on dire que ça va rachis mal

Londres, parce que la rupture a étéévitée de justesse ? Disonale, male s'yiroyOne pue trop. L'Italie fasciste jouemn Jen Infernal avec, dans . continu,te. une dorce rare; elle n'a qu'un but,ilienne penses gagner Ou temps. Ellean a gag. mardi en . livrant avecan machiavélisme hideux 9 eu que leTemps lui.mdme a /nen dIspesire

une manuvre d'obstruction a. On aeau tout perdu. C'était mal la connaî-tra La rupture eût gâté toute l'affaire.Grandi a donc afeandon. - dit le Pe-tit Parisien - e son attitude négativede la veule n et proposé qu'on dée.chût en Espagne une oommission char«gée de recenser les combattants Oran-gere. Ce faisant, de nouveau nudi. aPané du temps.

Mais toute heure gagnée par el/e estperdue .pour la paf, Perd. Pans ladémocratie .pagnole, perdue Peurdémocratie internationale.

L'optimisme du Petit Parisien semblebien être de Pu. oommûne

Mais, si m séance d'aujourd'hui acréé une atmosphère /avorable d laP.mate des discussions, d mirait té-méraire d'en déduire ta, les ellioa"tés wons s'écarter d'eues-mêmes. Enpartortt de l'esprit de comPromie deatEmeicomit son acceptenon dant unelarge mesure des ProPositions fesses.anglaises, le comte C.(11. a exprimél'espoir one, pour arriver d un accordfinal les autres gouvernements fe-raient preuve d'une égale bonne vo-legs.Que resteratil dee propositions Ban-

co-anglaises al leurs auteurs. pour fairepreuve de bon. volonté, consentent,sur leur Met, le plus mince m.. ?ÇA, DE L'INFORMATION !

L'attitude du Journal deMettre abnmimble et frise de plus en plus lahaute trahison.

L'organe Guinier tresse des reuron-nes a gitane, ce el, véritablement, estun comble

Alors que l'obstruction soviétiquefaisait preneir PM/me total des négo-ciations, une intervention conciliantede l'Italie permet de repartir sur denouvelles bases.Encore une fois, il 1PP a psa de loi

qui punisas l'altération consciente etvolmtaire aria rerité par voie depresse. Le Jour.; peut dosa impulse-ment se permettre d'écrire obstruelion soviétique là ou l'obstruction tra-ie fasciste ambre les yen, P Pent émût,dans un article de tête stand XXX, cequi 1.411.. une origine extra-rédaction.

11111

Dés que /a non-intervention, mal-gré l'opposition du parti nimunie-te, de la C. G. 7'. et de quelques bon-nes âmes, a été adoptée officiellementVar le gouternement de M. Blum, onerst efforcé de la saboter.ON, ce n'.t pas M.solinf, bien sûr.

ON, c'est le parti commxisto et c'estla C. G. T.

Le Journal fait écho au bluff et auchantage de la presse liftière-fasciste :

ROMmir Ers frima/me d sens uniquevers Darce/one, c'est fournir as le/m'armats ti l'Allemagne et d iltalte,le meilleur des Préte0es n.ur ,ntea.sifier leur propre interventi..

Lutterons-nous avec l'elllentdane etl'Italie d qui enverra le plus de neo,tériel, le Bau de munitions, le pPPS

Programmes du 'mur

Radio-ToulouseA 11h. 40. - Orchestre Mmehonique.

Semai, religieux du culte catholique.A 12 heures. - Informations: nouvel/es

de la matinée; concert varié; fantaisies ra-diophoniques taRrus,éadsalsesses.

A 13 h. 15. - Sélection sur l'opérerrarevue a Parade du Monde si extra,'is defilms, chants et orchestre.

A 14 heur.. - Informations. Premièresnouvelles de 1%,..è.-r.id.i; communiqué dePO. N. M.

A 14 h. 5. - Service religieux du culteprotestant

A 17 h. 30.- Concert anglais; chan.opéra-cornique.

A 15h. 53. - Audition particulière deLa Dépêche st nouvelles de la jour-

née diffusiées demais ras studios de la rueBayard.

A 19 h. 15. - OmatuesOs musette. ALondres, le club d. Vimmines.

A 20 h. 45. - Sélection a Faust oPé-ra-comique de Gounod. Concert des voixd'or; fantaisie radiophonique a Proven-ce s.

A22 heur.. - Informations: concertanglais; march.

Quand le douanier Le Gallec, deservice au Cabellou, aper ut, eneffet, l'épave a derai demo e parIre flots, il n'imagina pas qu'unseul rescapé pouvait encore setrouver à bord.

Emu, mais résigné, comme se ré-signent les gens de mer devant lespires naufrages, il fit tranquille-ment son rapport et le porta àl'Inscription Maritime.

L'epave à coup sûr abandonnéese trouve à la pointe Est... s, ! Cerapport n'était, en somme, qu'endocument adiranistratif, bref etlaconique...

A mer basan, pourtant, les gensde la marine, montèrent à oued.

Mais alors, deux étonnementsdevaient les frapper et rendre à ja-mais mémorable La perte du bâte.

Sur le pont, d'abord, évanouimais vivant, portant encore autourdu cou un morceau de filin, unhomran se trouvait

- Berlingot ! s'écriait un desvisiteurs...

On le soignait. On l'emportait.- Il vivra ! annonçait peu d'uns

tants plus tard, le Médeein-Chef duvieil hôpital de la Ville C/ose. Mais

L'EPARGNE

tjM0 r-DE Ld e A

de volontaires t On a dit qUe nouenous bornerions aCeepter en transitvers l'Espagne le transport dm four-'bitures de guerre. Même ainsi limité,cc serait un acte d'intervention enmur d'une des deux parties, donts'autoriseraient, pour se Justifier,ceux gal ont nord Mur engagementdo non-intersentioa

Dans cette course à l'Intervention,ou l'on cherche Unous engager, tous1m risques de guerre sont inclueLaissez faire Mussolini, pas-

ser ! Les exploiteurs du patrio-tisme en sent la..BAHJIY FAIT CHORUS

ohorus avec l'anonyme du Journal. Aaunun prix s'orclatnet.11, la Francene doit reprendre sa liberté d'action

Or, c'est précisément Id, rem?, de,plaise d M. Maisky et aux agents duHomintern en France, ce que le paysne comprend Da, Pale neveut mu.

Au moment od la Conférence deLondres risque d'échouer Pur la Pa,finie de l'un et les réticenees des au-erre, le risque de guerre se rapprocheet rapidement qu'il n'est pas, en

As.gleterrecomme on France, un seuletre sensé qui ne se croie en devoirde tout faire pot. .niurer eettetastrophe.

Mais n'y a pas que des hommessensés en France. Combien sont-ilsas gouvernement, les hommes aumur Meer, ou les fo. qui excusentleur passion partisane en se préten-dant des patriotes d In mode rêve-luttonneire, et qui, désireux de sau-ver t'Espagne rouge de sa défaite et.la Russie d'an échec moral ievepara.

répêtent a La liberté ou lamort e La mort des autres, bienentendu. Et la liberté d'instaurerohm nous ta dictature du pro/étariat.L'honorable Ballby prétend. a qu'Ils

sont huit les ministres français ((Ili ré-vent ainsi de nous faire intervenir en:EsPagne e.

Car liberté d'action et interventionsont pour ce maitre fourbe me seuleet méme ohose. Ce qui est faux.

LES FONCTIONNAIRESCOMBLES

Les fonctionnaires n'ont pas une arme-SI mauvaise presse qu'on pourrait croi-re. Après Baia'', qUi a donné l'exem-pie. M. EMIN Roche (la République)déclare a qu'il faut donner satisfactioneux fonetIonnairee a. Y a-5-11 été auto-risé par Joseph Caillaux, qui, neCroyant unis, lui, qu'a a l'intérêt de laEmme x se moque COMI. un poissond'une pomme, de l'intérêt des fonction-naires ?

Il n'est pas I.qu'an vidame Se Re-Bilis qui ne plaigne les fonctionnaireset n'opine que e la collectivité nationalese doit de sue donner satisfactionSeulement, comme il est extraordinal.rament malin, devina a dans leursmenaces actuell. les arrière-penséesPolitiques a

Voici- Nous souffrons, disait en subs-

tance M. Delmes temps ou régnaitM. Blum, mais nos aleS socialistessent au poavoir et TOUS acceptonsnos souffrances pour ne pas compli.quer leur tache.

Blum fut tomba M. Chautempser succédé. La direction radicale

e eouplau /a direMion socialiste. Et

LA T. S. F.A 2 Ni 35. - A. Noctambules a.

Informations.A 24 heures-tus de l'émission,

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tions.A 9 h. 15. - Tour Eiffel Causerie

Agricole.A 9 h. 30. - Paria-P. T. T.A IO heures. - Nice Concert,A II 1. 45. - Grenoble Concert,A 11 1. 30, - Ren.se Concert,A 1 2h. /5. - Montpellier concert.A I 3heur.. - Conced de disqu. per

Toulou.-Pyrénées.A 13 h. 15. -Parie-F. T. T. Info,

mationsA 13. h. 30. - Concert de disques par

Touleu.-Pyrénées,

la commotion a été violente, il seralong à se remettre

Et Berlingot nu, en effet,Capitaine d'un nouveau Ultelier- dix armateurs se sont offerts

Boom lui donner un commandement-Berlingot n'est-il pas un les roisde la péche, un des as de la flot-tille ?

Pourtant on chuchote qu'on n'alamais fait P.tière vérité sur lesévènements qui ont entouré sonneuf

- Imbus avez été pendu ? lui a-t-on demandé.

- Oui done ! Je me sali pris lecou dans un filin I

- Mais comment cela fuLil pousible ?

che moi-méme ?- Eh ! croyez-vous que je le sa-

Berlingot est la discrétion même.Le douanier Le Gallec est aussi

discret mie Berlingot en vérité.Peut-etrs, d'ailleurs, a-t-il reçu

des ordres ?Sur le mât du thonier, à l'instant

même où Pon visitait l'épave alorsque l'on découvrait le anpitaine en-core vivant, le fait est que le doua-nier Le Gal:ec faisait une surpre-ouate trouvaille:

-eFrk:"E1

le mer. kt Delmas vient nous dire 1- nous ne pouvons plus attendreun seul Jour,

C'est cousu ,u fil rouge-Le vidame oublie simplement que cle-

Puis le tem. ou De/mas consentait unrépit au premier gouvernement doFront populaire, sis moie se sont écou-lés et que la vie tel devenue en secmois sensiblement pins chère 7

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économique et sociale.De 19 heures à 19 h. 30. - Concert

symphonique. Orchestre la directionde M. Tartane.

A 19 h. 30. - Radio-Journal de France.A 20 heur.. journal parlé.A 20 h. 15. - Communiqués: DisquesMiss Hellen (Andra,.A 20 h. 30. - Reade de Lille ConcertA 22 h. 30. - Relais de Paris.P. T. T.

Informations: Météo.De 23 heures à 23 h. 30. - Dimans Par

Toulouse-Pyrénées.

AUDITIONS SELECTIONNEESA 1 3s. 15. - Radio-Toulouse

rade du MondeA 19 heures. - Munich Rigeletto

opéra (Verdi/.A 2 Oh. 30. - Paris-P. T. T. : s La

Fran. en chansons s.A 20 h. N. - Radie-Paris Théâtre g

a Dix figes dans un pré . 0.11. Oient,).A20 h. 30. - Alpes-Grenoble Soirée

variée.A 20 h. 30. - Lille, Limoges, Toulou-

se Concert vocal et' instrumental.A 21 heures. - Radio-Cité Renan..

311i98i0. Le Rosier de Mme Hassan m21 h. IO. - lie-de-France : Retranmaire

sion de l'Européen.

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Lavé de pluie, 'tâché d'embruns,ne présentant aux regards que destraces d'encse à demi effacera,peian lisibles, un papier était fixé !

Ce papier, le laboratoire de lapolice mobile de Nantes l'examina.Personne ne sut s'il avait été ounon, entierernent déchiffré.

Il comportait pourtant un messa-ge d'importance.

Quand, sous l'action des réactifsle chimiste eut révélé - c'est leterme technique - les lignes paliesse fonctionnaire put lire, en effet:

Prière de transmettre au poli-nier Jura mes meilleures félicita-tione 1...> La Partie se continue_Jans avait déjà abattu la Dame !Je reconnais loyalement que Fun-de,. étant, libre et sauf, c'est l'as,cette fois, qui tombe sur le tapisQue Juda pourtant ne l'oublie pasIl est d'autres atouts I Et le jeucontinue !

En frémissant, le chiniste avaitalors déchiffré la plus horrifiantedes signatanes, celle de Fantômes !

Non Certes / Ces closes offi-cielles ou pas, admises de tous, ouniées par cantaian, ne sont pas en-core oublii- à Concarneau !...

(A suivre).

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Pourquoi ils préfèrent NESTLÉ

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Dans le cur de toute sage.femme i/ y atoujours des sentiments de femme, un ins-tinct de maman ; el/es comprennent d'au-tant mieux les soucis et les joies de leursclientes ; elles sont fières des beaux ré-sultats obtenus grâce au régime qu'ellesont elles-mêmes consei/lé.

Si dans leur immense majorité les sages.femmes ont adopté Nestlé et le conseillentsystématiquement lorsque l'allaitementmaternel est impossible ou insuffisant,c'est parce qu'elles ont chaque jour l'occa-sion de voir /e Lait Sucré cita Farine

en> Lactée Nestlé l'eeuvre dans leur clientèle.

Comment n'être pas acquis à Nestlé lors-que l'on sait que sur 10 enfants bien per-tants et heureux de vivre, 8 sont des Bébés

fia!,01 510l5 Nestlé, quand on sait que dans les ré-gions où Nestlé se répand, la mortalitéinfantile perd aussitôt du terrain ?

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"Voyez ce teint qu'il prendd,éjà, un teint de lait, de,bon lait Nestlé !"

Mais à leur instinct de femme les sages-femmes allient des connaissances scientiafigues ; elles ont confiance en Nestlé parcequ'elles savent comment Nestlé fabrique,comment il maintient vivantes /es vitami-nes de son lait, dose les éléments nutritifsde sa farine. Soudeuses de leurs nourris-sons parce que femmes, ennemies des tâ-tonnements parce que sages, les sages-femmes comme les médecins sont dansleur grande majorité adeptes de Nestlé.Comment vous, parents, vous mamans,n'en seriez-vous pas adeptes aussi ?Lait Sucré Nestlé seul jusqu'à 6 mois,puis une, et 2 et 3 bouillies de FarineLactée Nestlé rempla-çant autant de biberons,voilà la bonne et sageméthode, le sûr moyende mener à bien votrelourde et belle tâche.

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