ABONNEMENT9

18 fr.; 0 mois, 31 fr.; l an, 65 fr.55500'ai,

LE CONGRÈS DE LA PAIXI, n'est probablement pas trop tard pour parler du Congrès

pai, qui vient à peine de clore ses portes.

'le Ce fut une biencurieuse assemblée que celle qui réunissait

tes ombrages de Bierville des hommes venus des différents.`":"t. de l'Europe et °Mme du monde pour échanger des con.

ejéra'ntions surles meilleurs moyens d'éviter la guerre.

' Len catholiques voisinaient avec les protestants et des

,es échangeaientdès propos aimables avec des pasteurs,

éYm'f'rane..raaçons notoires, et des libre-penseurs célèbres. Une

e tripartite termina le Congres.ce dant que sous la direction de leurs pasteurs ou de leurs

protestants ou catholiques rendaient grâces à Dieu, /esleo:pense ors, sous la présidence de M. Ferdinand Buisson, en-

des discours civiques la manière de Jean-Jacques.i" be

à me réunion ou les hommes les plus attentifs à la

idoyaient ceux à qui un mysticisme ardent fait sou-e° pied, sortirent des résolutions sages et utiles. Cenotamment de celles qui visaient l'application de la

a journée de huit heures, ou des lois protégeant .1alii l l'enfant, la ratification rapide des projets de conven-lt,een,éla rés par le 13. I. T. en vue de l'amélioration du sort des

imc, travailleurs du inonde entier et la coopération listel-

tactile dirai autant des vux que firent adopter les délégués

'e associationsd'anciens combattants dont la place était tout

't fait indigure dans les débats oit leur voix devait phis que touto'utre se faire entendre. Il est réconfortant que des représen-tants de ceux qui ont fait la guerre profèrent des paroles depaix el s'associent

efficacement au désarmement ales haines.

- Je suis en revanche beaucoup matas enthousiaste de /a

ri.solationconcernant ceux qui, suivant une expression anglaise,

seul a des objecteurs de conscience », c'est-h-dire refusent parscrupule de porte les armes. Les congressistes ont cédé auxraisonnements d'ffn certain nombre de qua ers dont les pré°,op:ilions sont sans doute dignes de respect, mais auxquelleson eiourrait appliquer les paroles que prononçait en 1907 Jaurès

an Congrès de Nancy en réponse à la thèse d'Hervé sur l'insu,rettion en temps de guerre. Je crains bien qu'une pareille théo-rie ne favorise les pays ois le sens moral est le moins développe.Et, d'autre part, le critérium qu'a proposé M. Buisson pour dis-

tinguer l'objecteur sérieux de celui qui ne l'est pas est dépourvudc touterakur. Il n'y a pas et ceux qui ont fait la guerre neme donneront pas tort de poste plus pénible et plus dange-eaux que celui de combattant.

Ces réserves faites, il faut louer ceux qui ont organisé cettemanifestation. Les conservateurs, les guerriers en chambre, lesbellicistes qui au moment du danger usaient de leurs relationspour se mettre à l'abri, ne leur ménagent pas les sarcasmes etles injures. Cela ne saurait nous surprendre.

Il n'y ett pas d'ailleurs à Bierville que des mystiques chevau--chant des ehinières. Des congressistes à la fois sages et auda-dem. prononcèrent des paroles inspirées du sens le plus aigude la réalité. a Il ne suffit pas, dit sus orateur allemand, d'être'pacifiste au Congrès de Bierville. Il faut que vous continuiez à

°same/nes-st des haines, de taire que les peuples se con--aissent. aucun. Cela n'est certes pas pas suffisant pour établir

tisas la paix dont le règne suppose d'autres candi--ét la coopération d'autres forces politiques, économiques

soeffikg. Mois c'est une heureuse contribution a une oeuvretlymolao,t,tlasréalisation a besoin du concours nie doutes les bonnes

Henri FONTANIER,disputé dis Cantal.

ndefenseur des sous-préfets

29 aoùt. M. Guillaumeiisuleas de la Vienne, a

5t, usréaida"'

4 Monsieur le p nineur de

etsascnIs'

'taire con-le - riemandeie interpeller

emeut sur ses projek dePar décrets d'un certain

r'rm4itaiaiZreePeetime, en effet, que

réalWroreurnatae premier de la loi du

t al:ar lailseer?cere pas'Requent, Blémaleas et Br ,vb'y. 95'``l lis (1"

drIlln 00, dd e, fait, patrie en danger, L'espoir que toue

Populati'a;i=i,j1r..= f'antaeradu'g'6Z:Zra=7,..7.,C,"def. menu //"réd' ii.Z."11iell'alle"telcerellcerlaceocseren"coalre mm-

.Noite ne savons pas quel élan cette let-tre, venue di Mei, va donner aux cone,buildee volontaires, maie il n'est pas dou,tem qu'il ne faudrait pas beeucoup decommunicatione de ce genre à la presse,SES nom rendre parfaitement &liantes. Ilest vrai qu'el y a longtempe que le ridi-cule ne Nee plue personne, en France,

dernieres Rue-

ree:ig pua-mknes réponens-

s a, du reste, formoleaeuvées et condamnés,Guillaume Poulina

La lotira du zouave

Ce zouave de 2e classe. du 3, régimeactuellement à Skis Name qui a éans passer par la voie Inérarcique, sunistre de la Guerre, a eu une agréable meprise. Il pouvait recevoir quelquee item. dacsalle de àqoliv..e.etiveitirl,à

vuinemParrin7tout vif, e même par quelque-6,:liesizrZirteLjO bina ,uez titiaicvrai que la lettre du zouave était accom-pagnée d'un versement volmetaire, ce qui5,11 cama, sur l'entome au Mg/entent.

E sailli belle lettre, ai belle, colon ladirait fabriquée par un joyeux famietel

est ta vieille m'are infinne, la

R asstion et Adminhtttt ion 2 36, R Roquelaine - TOULOUSE - Tél. Compte Chèques Foetaux: &op,BUREAUX A PARIS 2 3, Rn. erAnekoiao, 3 (.. Axemeelixteme.dt) Téléphone 2 Central no.oill

...maneMe.

ePenSt,ao pas A,pa,,, far cars5;peur. se r t'ante? à Ssez /ho(' eord", bî'a.

'eers muait il l'epeese jr,1,5 .1 /),),, i -

'ton Son ',Gentg. verIp on, ÇoS's

Pe /Amarre. sa, /e5 Gra.65.

RU JOUR LE JOUR suite promis le pardon aux fraudez. repen-tante Hélas! ni vio/ence, ni douceur nepurent /es décider à devenir/ &edam &au

Trop ch PoissonsDans le ne sais quel port de b Manohe

di'Je teUct''t'rso'p

itecalcfi"Ot cc rh-,-

..at a ta mat. ait tta Urtit:s!lile coure mr le encoché.

On a crié au scandale, on a parié da cri-me comm la patrie on a réciamd un end-ibsasi pour as pichets «si o. 4.114971ment péché contre la communauté natio,

11 y a omnium belle krette que les choeses se paseent ainsi,

Dam les grands putt. da Nord, he puniau le poisson abonde, on lb restituecéan. A Bottiogne, chacun sait que le merelas caut Saisi, manne quand il y én apaa at na mut/A. rien quand il y ona beaucoup

Or, le principal est 'de MainiOrtir lescoms, L'intérét lia PaaL les difficultés durevitaillernnnt, la cherté et la rareté de lauiande, rien n'exiem devant ce rnalth.itrenissine économique .nsiecré nu t'Usage.

On a demandé aux municipalités AimePécher cette pratique d'acheterle poisem an excédent pour an

'',irepio-

iller en moins tes uudods'S des Irtipitatne.Mois les àrnai,aautaa as estime d,o9r-

trs.a as, corieuraten lsaala p.a.,,ia sudouble point de vue financier ci électoral.

ya cependant As raisons graves pourque k poisson, cette excellente nourriture,arrime en «bon ance sur nue marchés. Tom

lee Mlle, n'ont pas la chance de grands°Ms, certaines en sont totrienent privées.

On cr. rêver quand on rions ditImpossible d'empêcher, les chalutiers

l'être te de toutes vos forces, une fois renrtés dans vos foyers.» de ramier a ta (5a las, en,,n,On objectera, il est vrai, que les hommes qu'avait réussis oêemaZ7 ,,brkste.

Si Marc Sangnier ne représentaient guère qu'eux-mêmes, que bam.ibr.:;,az:Un.C,:,^,e,%;:certmns avalent été uniquement attirés par la perspective dama

voyage et d'un agréabe séjour dans un des plus jolis coinsde la banlieue parisienne. C'est possible, c'est même vrai pourquelques-uns. Mais la plupart, le très grand nombre, obéissaient

des Préoccupations plus élevées. Ils se rendaient à Bierville LA PRES'Eavee le sentiment qu'ils allaient travailler une uvre juste etnécessaire.

Sans doute on n'y rencontrait pas /es représentants des LEs ETRANGERS CHEZ. NOUS'grandes forces politiques, économiques et sociales qui exercent macre ro de Marseille démon-es France, en Palle, en Angleterre, en Allemagne et ailleurs astue action effective sur les destinées de leur pays et à ce point gloyarrons, loin de .netitres un bénéficede vue là, le Congrès n'a pas l'importance de nos réunions s.'" 04.1, . ..d'ai Pal ailé 044.-.cinliste.s ou syndicalistes internationales. C'est entendu, et les uindice du coût de 4 ais,

Promoteurs du mouvement eux-mêmes no sauraient le contes-ter. Mais même ramenée à des proportions plus modestes, cetteassemblée a été fort utile.

A l'heure où les forces néfastes semblent marquer un cer-

Mien de rota enooger ai bûcher ai roueSaisi, profeasion ellérésie.

André NEGIa.arums

fixe a 100, à 150 en chiffres ronds. Autre-ment dit, nn objet vendu en 1914, i franc-or en Antietere vaut actuellement II,. 50.or. Si l'on enulUtie cet indice par le ex

lantréveil, où les appétits impérialistes se mamfestent avec alors que e sommes

''.1.515 de réserve qu'il y quelque temps, où les préjugés elles en France qu à I indke 6(70. L etranger queégeigIneS nationaux menacent les institutions de paix pénible- no chez nous eut le pied de findice 600,tuent édifié., il n'est pas maUvais que des hommes VC1MS d'Un "" la-

Per Partcoout s'assemblent pour Meyer une protestation motivée ,,,,,07,5,_5,1,,,,,7,.°;,_7171.:stre la guerre et étudier les moyens les plus efficaces pour que nous aurions pu vendre à l'extérieur

Sul empêcher k retour. Leur renconire a pour effet de coopérer aaa arS mondiaux. Neutelemum, au 77.411/pas fameux de ses fournisseurs qui PS4 a.-

ht;ratt="_:;t1r,::paye tout cela en impes siMplémentaireeet en diminution de valeur ds franc amelem./ on le .paye.

Bref, le Bénéfice d'un milliard étant con-tre balancé oar 1.666 millions de déficit gurle coût de la vie, la perte nette eet pournoya de 666 crillions.

PAPERASSERIES FISCALESLa s Journée industrie& 1 fait alltaion

egos eza paperasses, étala, déclarations,que le fisc inflige à torrs les ("mea;, rno-uens, supérieurs si autres.

La ateistique mi les t. etcts e, lee formu-les à remplir et les itffirimis administra-tifs hermétiques ant une maladie natio.nale dom rime évidemment ne nous gué-' a. LoS cimdim y ont un certain entre-

menti ile ne ae font Pis mande Ouuitenur lee effets de cette pluie ils papier et ob.

tempérent. Les revaux, eux, comprennentmoine aieément le charme rituel des cc-lemme bien rempliee et flairent la brimade.Pcut-on dire 4 tort que font, dans un au-rie ordie d'idéee, as rendement de 'Meninsur les bénéfices amimie. les formules dedéclaration devant lesele/les le contribua.ble I, plue zélé prend ea tête à demi mainspour aieir exactement ce que l'on attend delui

LES BONS FRANÇAIS

« Le Quotidien u fait allusion sa civismedes possédants. Notre confrYte démontre que« n manque d'un eens absolu de esavpréhension soriole.

Si lee capitaux déserteurs sont mntrés,ces jour pua& ce fut avec une parfaitediarekn, car nil ne s'en cet aperçu.

Nous avons de bonnes reeons de croireque les effreeforts, en dépit du meetigenotre a Premier 7, perdue. dans leur dé.plorable méfiance.

Nos grande argentiers ont fait de louemieux, ile ont d'alma menacé, ils ont mre

SOCIALISTE

PROPOS D'ETE

çais. "Les minietres, fermes ou induIgents, ont

passé, mais les velem, lés livres, le dol-lars ne som pas reverie,

Si encore les bienheureux poseédante dea fortes » bank-notes déclaraient leursavous tl ay aurait one demomal.Male l'exporktion du caPitai Utam kite

mem une intention de fraude. I. nombredes dektations a, dérimire.

ha Ravolulloo grcoqueLE C.;ENERAL PANGALCS

DEPORTE EN GRETEAthènes, 2,9 août. Le général

Pangalos a eté déporté, hier soir,et est arrivé en Cxète après on

vaynno dos, ta temp teQuand les trcupes sont venues,

Io, chercher, Tex-dictateur n'a pasdissimulé sa crainte. Il croyait queIon venait rassassiner secrètement

Maltué ses protestations, on luidonna l'ordre de iiheibiller au505113 de la nuit, suit fut embatquéSUT tla petit PME°, qui ,écnit foret-aient secoué par !a tempête.

L'ancien chef de la Grèce sem-a alom craindre encore plus la

noyade que l'assassinat.I/ fut nécessaire de l'ennuenee

de force à bord du navire.Quand I' île de Crête parut

l'horizon, à l'aube, le généra/ P,u.ualoa fondu en larmes.

La première chose qu'il denten-! da fut d'abord d'adresser une lot-i tre au général Candilis pour plaies-fias contre le traitement qui lui étaitinfligé et pour solliciter son fuge-ment le .plos tôt possible,

Il avait ô ce moment-là 8.000drachmes en poche.

Il en conte d'emprunterParis, 29 août. En reponse à

Une question de M. Hubert-Ronger,député, Ic ministre des finances faitconnaître, par la vole du 9 Journalofficiel s, ce qu'ont coûté les divers

runds tr en ect 'payées atm intermédiaires et fagis depropagande cl imblielle

Rent 3 1/2 L amortissables a

Csmmi niais, 1.451.315 fr.; publi-lir, 975.000 fr.Osinli 5 5 ilnaetissalrtrn 192

Com. sieurs, 31.243,650 le.; publi-cité, 5. 41.485 fr.

Rent s sa 1924 (emprunt con-tracté nus Etalx-Unis a 11 Mt imitée, tord d. commas:atone et publicaté,pour 5 millions de dollars.

Reut s 6 `1 /920 I Commissions,71.093.518 fr. 50: pualielté, 7 militons902.183 dr

Enfin pour les rentes1.1 9S 1931, àgarantie de change, dont la liquida-ises d s cormussions de baraques 9/d'intermédiaires n'est pas terminée,on ém se les comMissions à 77

aviron; la publicité a coûté7.176.843 le.

Avait la ROullin

de UnauLE CITOYEN. UNDEN ESTNOMME DELEGUE° DE LA:SUEDE AU CONSEIL DE LA

S. D. N.

DESSIN SANS LE,GENI..

LUNDI 30 AUOT 1920

'a Asseoir autour d'une table les délégués de tous les °t'OHil'en, soit sous le nom d'Union nationale, soit sous le nom deconcentration et supposer que de ce rapprochement surgira lesalait, serait sans doute la pire des erreurs. Car ce serait trans-porter au sein de l'Exécutif toutes les çauses et tous les effetsde l'impuissance du législnli f »

M. Tardieu, ministru des travaux publies, écrivait cottephrase le er juin dernier.

Aujourd'hui, il est assis autour, do la table...Crest aman In conscience.

La pêche à 32 francsQue vous disais-je hier 7 :Si la visite de M. Albert Sarraut aux Halles produit un ré.

s'État, ce rte peut être qu'as détriment des détaillants,le ne croyais pris être si bon prophète.A peine mon article était-il imprimé, que 10 nouvelle arri,

rait de Paris, d'une affaire sensationnelle de mercantilisme tmie marchande de fruits avait été pincée à vendre une pêcheà un prix fabuleux! Elle cos demandait 37 francs.

Abomination de la désolation!Et die avait trouvé preneur à 32 francs.Cette marchande de pêches est arrivée it point pour faire

le bouc émissaire.Si le pain augmente; el le vin aussi, n'en doutez pas, et le

gouvernement vous le fera savoir, comme z sa » presse, la fauteen est à cette marchande de pêches.

Quelle horreur 1 Vendre une pèche à 32 francs ! Assurê.ment celui qui l'acheta, s'il n'est pas restaurateur est tout aemoins assez riche; et s'il est restaurateur doii la vendre un petphis 'cher. .

Combien plus cher 7Nid ne s'en est soucié. Peul être cinquante francs. Mais po

s'en fout.Le peuple vous dira, que le restaurateur a le droit de mess'

dre cette pêche cent francs si cela lai plaît, sous prétexte quenul n'est obligé d'aller la manger.

Hais, braves gens, nul n'était obligé davantage d'aller ache'!ter au marché cette pèche à 37 francs.

Si cette pêche a trouvé preneur à 32 fraises, c'est d'abordqu'elle était plus belle que la voisine entée 15 francs. Mais aussi,et surtout, que l'on ct bien voulu l'acheter, La marchande devaitsavoir qu'elle trouverait une poire pour celte pêche.

Et c'est contre cette march,ande (me vOils dirigez votre co.St,ockholm, 29 an2t. Le geu-

cienmdélég

inàue des-affaires &langé- yous,res, ué de la Suède à la Iseran-. du conseil de la Société des Na- Vans, leu e.ernerçanistions qui commencera à Genève le Voua, les ministres ?2 septembre. Pour,moi, je lu sens bouillonner en mon âme contre tortue-

La, délégués ô l'Assemblée deN

laSociété des Nations sont MM.Loefgrenn, ministre des affairesetrangeres le bar Mon Marke 11d7 Cest lui qu'il faudrait punir. C'est à lui qu'il faudrait in-Wur-temerg, ex-rrainistre des affai-

, lerdire tout commerce s'd en fait un, à moins qu'il ne prouveé'a'ag.area Préside' d' 'a n'avoir que de let clientèle britannique, américaine et espagnole,

au quel cas il le faut féliciter, de même que la détaillante desHalles.

Quoi qu'il en soit, j'ai tenu à signaler le ridicule de cettemanuvre.

Si roi, croit donner le change é l'opinion parce qu'on s'in-digne qu'une pêche ait été vendue et achetée 32 francs,c'est que ton prend le public pour une bande d'imbéciles.

Ce n'est point celle pêche de luxe qui influe sur la Mechère. C'est le contraire en un sens. C'est la tendance perpétuelleà la hausse, et l'invasion des étrangers qui payent avee le $ou-rire, qui incita la marchande si abuser.

Mais cette pêche-là n'était pas.à l'usage des pauvres. Pourmoi je ne vois pas d'inconvénient qu'il y ait des pêches centf(rosaitl'une. le ne plaindrai pas les acheteurs.

Plais je trouve scandaleux et insuppoi table qu'on s'atErrdeà ce marché de luxe alors que l'on n'a poursuivi encore aucunmercanti du blé, de tg farine, du sucre ott des huiles.

Léon FIUDELLE

ve. enient noms,- Unden,

UNDEN

cour d'appel, et Eidell, directeurgénéral.

On se rappelle le rôle très impor-tant que jcua Unden à la session demars à Genève. Malgré une pres-

e"e"ée de ne.' faut des mutners des arc/Meuthreux côtés, il s'onqqaa irrédocti" des matériaux, c1;1 temps et de l'

leur.C'est lui le gaspilleur. C'est lui le faiseur de vie Clerc, c'est

lui le profiteur

a Pour détruire une aille, il suffitd'un fou. Pour la reconstruire, il

es,

blement à la création de nouveaux g.,, Déod,,,, ct ,,,,,,,,,rasièaMes permanents. Pour témoigner pdpgdd. d, 10,1, da 1.1son désintéressement complet de /a po,..5edo., il offrit de céder le siège. ,temporaire de là Suède à une autrel Lel est le sujet qui fut rocsEa on ment sournis aux méditations

ÎlJacien retient son mandat au L'"mdidattudreguldj.réd'econseil de la S.D.N., bien que legouvernement socialiste de Stoc- Peu de candidats aperçurentkholm fut, dans l'intervalle, rem. mpsssbulisole amIncI, 1,tr.P, "t I

placé par un gouvernement base. oie te tte pensée. Le sou oestruu':tgeois. de villes, n'esme ns l''n

ert 1914. te ecsd a 1 E'Zo'pe

ENVOTES. V. LETTRES COLISlitais 'm'am' de e'Le' qui dpour réparer te mal, rassemblerouvriers, des architectes, des

DAKAR" tcUr'eZée..t. ttite-gcrmtp' a"raeisset 'nP.'en'té

URNES AERIENNES LATÉCOÈRE Al.'/duc«. Psue-sOlue lielsOise

depasrp7istillatnectet'.àde lsounraPains ni-elle

etdutogretnet,' Riensmucus de

dc:F1'éoluuar es P3ot a rrt ar d'o,,leat.ce sstn1;iiseems,anut e iz a i:enr%i es. ttnioortir

furent reçus 6t rum6r. fut em' eaé:p'riutadigisesuuesequarulluteisté 11e l101imrs.nasseFM, mie.are ose ijnezo%f te,,e :tacon:%art cseus,,

due de la Pm, et de la GUSITS..dcsvilnnes,iuuuerr,Josuux de miteManiées d'or et ale pierreries, .r define et de dentelle, 55e mien chapes

petites châsses ouvragées renfermantles reliqffes ales saints, sur dcs croixSI des bijoux d'Une telle matière etDonc. Guyot, arrêté, a ffit des d'os tel art que le moindre d'entre

aveux; ainsi qu'on s'en doutait, c'est eim vaut une fortune et que Influera.bina lui qui a étranglé Marie-Louise bis n'a plus de prix a.Beulaguel; comme excuse, il invoque Dis, Jésus de Nazareth, toi qui na-l'exécmitic cers:cté. qu'avaitla qm °mss. Lesmorte. Ah que vous fûtes marchands du Temple, toi qui ensei-nm edmil n Immune ndhe comme gnas /a pauvreté, tai l'ennemi des ri-vons, el pare de famille ! Puisque dues et l'avocat des humbles, queTOUS noies assez de celle femme corn- penses-tu de ees riclmsses aceumu-me, dit-on maintenant ça, il fallait lées dans ton église, que penses-tu devous 6' attendre I VOUS ara. Pella tes viraires, qui sont devenus lespssez de coi deux famines légitimes, 7unilres, les possesseurs de fortunesil fallait ta tuer S coups de revolver incalculables, alors que tant de gensdevant lemmns, publiquement, à la solls t ans la amers, que tant d'en.fa, da Unis; vols allairn un nen fants grandissent chétifs, quand lapleuré, et après, vous auriez dit a mort ne veut pas d'eux, car ils

je ne voulais pas la tuer lu (as Mandent pas it leur tain( y .rien... pas cinq ou six coups de Il y a, dit-on, des socialistes clivé-revolver I) et l'on vous eût IsSIsIS tiens. 51515 il n'y a pas de chrétiensvbs affaires de /smille si Mi/laures es, 50 ils exigersrent le par-enfin, à votre yje lquageoise, sas- atin.as d'or inutile. De chrétien s.ia-a vos effanes de bourse, si utiles, tage entre les pauvres, de tout eatcale, parasitaire, au-dessus des lois, liste rires a un dés. lasi-mêmnaQuelqaes mois nprés, on vous eût et encore, je dis des bêtises lui,prié, pour ta forme, de passer une était lad

.s..

Le Maladroit

él-vreuntasegpeorae

.ez ales lois Tant pis pour mus, Inonami a parce glie E0114 les mer cram-

Osa- es. alors sue votre rang somal etvotre situation de fortune vous mas-

s., sent permis de vous moquer Pelles.d /es lois vous seront impiloyskles rraS

,1àn r,.t'Er'se.teen's ri"Per,à'kep,asultis n"an

leeouy s171.0lbez reetc,l,q,mueor.,

0111

11714,é,e5.9.

g,disI

eur

Les trésors des (Huttesdes On a nianquê piller k Irébor dema- Notre-Dame.. il y lia S..01.e- hune I Ft pas un Ires, th.ri, a 9 c'est /e plus pointu/na et le

Mus vénérable amoncellement demerveilles suons 1511 puism.0 1, dit un confrère ! Et plus loin,le mémo journat ajoute qUe sic SOIS

Pacifisme des jurés, et l'on vous eût rendu,ou deux séances devant des juges et

blanc comme neige, à l'affeetion devotre pire et de votre fille.

Mais mi aviez-vous la tête I Vo.que vous avez sui comme un assas-sin vulgaire. romane un patmreWou, avez imagine une ridicule anisas

scene, comme m vous maez peur

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Un publiciste amérioain, dont leiouvrages révèlent Une connaissance-approfondie de la France et de Ilia-de, M. Weeideme Vient (Perie's unvolume intitulé : Opinion I, Oit

essaye d'analyser le carat.. Iran-

Toutes les pensées que les Fran.lai.. touchent, ils les clarifient, et.

pas vrai qu'aux-mêmes, ilslivrent rien et n'ont pas une

créative. C'est seulement- gens glu pensent d'ime ta-

teuse que l'obscurité est p.-.- el la simplicité une chose

nt oit noble respoet de Yindi-Ille part ailleurs

libre qu'en Pranec, libne,n4 limites très larges pour ta

presqueben e une qui °encorne la puante.Oct FrançaiS sent infiniment ri.tisassujettis à la tyrannie de l'opiniondo b majorité une, par exemple, les:loterie:aian ou les Allemands. Leursesprits ne sont pas s standardisitsL'egalité et la fraternité ont pu.45re je»es par-U.9119 bord, mata laliberil est encore une vérité enFrance t la haute do

Les Français vivent sobrement,n'aiment aucun entes, dépenAantmoins qu'ils ne gagnent, épargnantimur leurs enfanta que, comme loseatione, ils ne traitent pas commed'adorables jouets, ira enivrant gobaisers et les g6tent. tuais qu'ils éta-yent avec bon sens, tire tireshumaine.

Pour eux, Io mariage n'eut pst uneaventure fol/entent romanesque deIR jeunesse, /MUA tige associat on

Et pins, je pesas encore aux Fran-çais de la façon suivante t

Ils sont ici., médiocres, mos-qltinu.Des pthiodes d'ektiltatiort sesont, quo des entrés pesepters de de-

ca

qui soit au monde Ceux, mer. ilesFrançais, qui sont ignorants un

dans on monde ou Mea linban) . to

Frns....ah, l

étroits ont, l'égard de la clé, Uneatlitede de pistonnée Mûres, et non.dit rudes écoliers. Ils sont logique,

tellr eux, non seulement 2 et 2 font mu".

Oc:Pom. Dia

Le donne un plaisir esthétique

exImmes, b m

De Blasco ne/ le disaitr,.t,

orieo e

o.r0 it; or t ir rryenn

Gest le seul peut. adulto

sYs otm.. et Melle, net?s Antéricains ou comme les

d.

ttPlrer edSe, qui"'ttt.uièrr zuar

bulle

quand on l'entend parler par 'tour L'etle longuei4ranf:tis le désirent par ipe7 ignom

mais a2 plue 32 font (PL et non rte.tese.)erked:i,,,,grerneril,

doras des boutiquiers, us faitn,nnAen nettoie et précision mime

isses, 4.9, beu Pm

de a tond suivante .

alayes et eubrisquent tout

écrildl, h pense nus 4.. et Motet..

'.duesprits sont P'.lés, daims et ent

Unstiers Aucun .gouverne ent français

ex-4.tt,....

-de

Américains, une aventure entralnantde eintelpidild de l'Imagination, et.quelques autres des vertus que l'on

res d ro -leu vie, I. Fiançais mot

mission froide et terrible. Pour eux,acquérir rosi pas, comme pour les

tonale oisonh

fixe ct universelle rai' de devenir reg-

dam

asti-Dit 'argT.,550cr in put.sssesoe qu'il donne,

. armait h ellgeut let une

son m généreux de leur argent,

l

ansol,es rigide hassavis,

veu postt

par,.

ltopticoc

uotr

Maliens, bien qu'ils soient riches et-treuil niasse:eh et Oit les voiX [talion, pa.uores, une jeune fille,rmiLlent destinées à résonner dans tuu itta

tude vestes espace.. gLaiiiiis qui feraient d'elle the épou

La prose française eet la Merveille se et uno mère excellai., si odedi toue les siècles. Sa

qual-Lue.-ité

ne da pas dot, faudra qu'elles m'eu jamaia. La eim aro.. goure vieil. fille.

do mène que dans leur mimergine ou d'Anatole France est dei- e ma, même en une ouide.. EL pour led a alunis st.

Tarad'autre Omises, les F

f lerancais sont pis-

eiésio Irançaiso n'est pas ....g utr.huise que l'on puisse comparer it la '

t.,,nedos.1.

i.nlsio anglaise tuais quelque chose Ils sont dépourvue -de générosité..rune espèce différente, il est lin- 11.: ne donnent Jamais rien pour rien,ssible lie la déclarer nitre.Raci- Pur suite, ''0 5005 inc,e,iaLtee '.0ne miner ? Alfred de Vigny mince? eratitude.

Ils ne veulent rien ...Oder eom-me supériorité, qu'elle qu'elle soità une autre mec, et, lorsque cota-n. aux Jeux olympiques, cette nu.perior. est démontrée d'une ton-Mère gui la met 110. de doute, IlsvioNiennent chagrins et a...lm.

Ils sont étroite. Lee fOna quisont arrêté leur opinion, ils n'enchangent plus. Set. entre les na-lieus sujet/DP.4 titan veulentpas cOnvenir que le traité de Ver-sailles fut autre ch.° que juste intque ler Alliés aient eu la moudrepari de responsabilité dans laatterre.

Ils détestent Inc Américains parceque l'érique est riche, les Ils--Amliens, pause que la race liaient eest foré et prolifique, les Anglais,parce que I Angleterre a voulu lais-ser Eitillenagne subsister comme na-tion, et tous ces pays ensemble, et

utres encore, parer . dsme a 51

sant pas iranehs.Ile eonl, infinbnent plus inSuladres

que Ms Anglais. Tout tin liU'l/e leu-ohont, ils lu fianeteenL I.A.A. Un ro-Man français quelconque de l'At.-itou ou de l'Aierandrie antiquee, etvous avez aussitôt ttne impressionnavrante d'étre sur les boulevands.Ils ne auvent rien do la vie conte°,oirai. dans tout autre pays que letelle, et s'en muent encore moina11, sont contents d'eux-mentes,

pleine de responsabilité., praves, 1,00, pat, mirrempuncl lu femme doit Porter se gleau chnntage et au delà, et la vitu,e

Mie j. politique américaine, comparée e, lanunc Psd Peut' leur, est. dune blancheur de lis.

mariage ne rausail.pAlssi hiégnileblernont quon Fraeninee

Frençais sur cinq est fonction-

Plu gui ore !Etat Nutle paH ailleurs

0 Y'," . tt deNiste une bureaucratie aussi

t5têno l'ensemble do leur vie mes top et opeene.

béats uts'i,li1esai d'Pl,jeiptrU'eal.,'Ileeel A In longue, Je trouve quelque chu-dont l'éloignement par rapport aux se do Oumlitstis dalla 100' sIllons ocfaits coterais de l'existence no peut la Pi,fnve ...jt . ...et) Puqu'aboutie à la déception et au dé- Paroààsme Parce qu'ilssespoir ; ila se .Iixent des idéaIs rai- Y Mettrie. la verde. It y avait4mtnahles, difficiles sans doute à ide quelque ',ms. de t'Oum,.teindre, mais ne del/assaut pas pour. Vhter IDtge, pat puniait 'PDesLait co que peuvent Malien: les ela iale ".1+ t " '4r>

nu te-ais grand. Il genuit meu o. 14 yavait 2IMSi quelque chose de mnman d.e NapoffOnclinseranndiries'I'x'5'1e

Et pute, tout moment, tous, tousles Feintais, parlent ace. Les Anglais ne -parlent lies per-pétuellement CAugleterre, ni lesAméricains de fAmérique,trilais-ICSFaanpaia ne ressent de putter laIO.. a La Franco qui marelle à

. desCl pourtant, et pourtant.- h y a

dans les Français des retoure de fa-De qui empêchent tant mi do de-venir gris et monotone. Le sens dudr/mixtiligne produit sur pua l'effetdus appel do clairon, presque n'im-porte quand, do sacrifieront uneLon. l'art de tout ce qui leur es'cher pour une phrase éclatante. lmLe. page ; et ils ont plus duidfoie oeil. tout, leur% patientes én°.normes, leur la cule de la civilisation.-tu France

ellemêMe. Poi. une noble ItPli O f.'' tenu dn sctrifieua bu

idée, mn moins nebitS pour êtrela France 1

Palme fausse par la suites Oient insupportable. a

Et entre tes deux, M. Washburn no sait se (Helder 4 Choisir, Il imtempe pas monte de sujet moyen. Et vOtis

FEUILLE rom DU s Pliant47

InsTaticTtem CIVIQUE

C,15--r-,ent !es enerir.2fi-,s être sincé, avec le fcc. C'est ledevoir de cita...1 die en de dénia-

elnous in leurs salaires, revenus et bénéfices.Faire une déclaration frauduleuse,DOUSrcr aux agents tirs

titi;cesent pas se/liement tromperl'Etat, c'est mettre la main dans lupoche du voisin pour Inter papessespropres contribuabies

Rien à redire, n'est-ce pas, à ces,,,,,érités première./ eut un inlytitUteteauvergnat crut devoir écrire engrosses lutires au tableau noir etfaire reproduire par ses Olives surlems cahiers-journaux I

:Mai, quel tapage, dans le village]eDnuuoi se mêle-t-il, celuidà ? -/s'écalèrent les paysans révoltés.Qui l'a chargé de contrôler nos laé-nacca ? tt Et l'instituteur étant en

tert,ps secrétaire de mairie,l'affaire fut éVoquée devant le Cm,seil municipal. a Monsieur, lui ditviolemment un conseiller courrou-ré, nos contributions ne vous rager-dent pas I four l'usage cm'on enfait, noua en payons toujours as.

Et /e maire demande énergique.Ment au député d'Insister auprèS'du Ministre pour d'placer le péta.

rurales que les contribuables nepaien pas hssez d'impôts. L'hir-toit, ne dit pas si le député htla démarche.-

Mhis pourquoi mn 'P.S.,na au-vergnats se sentent-Ils visés lorsquelu professeur d'Instruction civiqueparle de déclarationS frauduleuses?

La Semaine des combattants

Paris, 2.9 août. -Lu Semaine doeoumnttant, qui groupe, en respea-tant leur autonomie et /eue enractèreparheulier. toutes les associatons na-tionales, iegionales, départementalesou locales d'anciens combattants etde victimes de lu guerre, tiendra soncongrès annue/, à tille. Le consolesdurera trois jours, les 11, 12 et 13septembre.

Toutes les associations d'ancienscombattants et de mutilés peuventparticiper au congrès de Line, enenyov,ant leur adhésion au secréta-riat général, 15, rue Juies-Lecesne,Le Ilavre (Seine-Inferieure, Jus-qu'en 111 sentembre, et, ensuite, 18,rue Boisyel'Anglas, à Litel (Nond).

Un matelot borde'aishéritz dn vtug..anq ols

13ordeaua, 29 août. - Un marin borde-luts 1,5. Meher. vient de fane un hériter

les, inattendu, mais fon cequet, pins, t

:L14veà. 750 000 dollar ..,t, a cour, duine à 26 eillims

Malter est matelot radio'séléeiaphiste.

ou'il venait, en effet, d'être informéide cet héritage, b lui légué par sa mère.

IMme Mat., apr4. avoir divorcé d'av.,

son mari, chef mécanicien à la Conenaanicdu Midi, à Bordeaux, où elle reca.:e.

Depuis lors, elle chercha à revoir .on filset lui écrivit maintss fols, mais ses lettres

Ine

furent Pas iamises au jeun. homme.Lo notaire d, Matter est en poseession de

'tout., les nièces elfes.. de le mmessice

ireaeonfre arsinea difficultés pour entrer en Marseille, 29 met, - Vers minuit tren-

Lna..Amez,e24auelaecotir...1.61tes,.n11,

!oeil de fasulle charsé de aérer Ses inté. dcc mmontrances. il s'ensui., une violentequerelle 50 111 de lequel/. I. fermiè.irêts.

- j'ai nous dit-il, mon semhe se orceaM noeee44e. s'arma d'sc IMen eI te,,=, nele.upl,ree,,er.rezreLt7.,%clinze, ieinousz

da Niera amour 4. moi,Comma nous le félicitons, il myes répond

, en sonnan t- Oh/ je n'avais na. bemin de =etc

Pair manas ma vie, j'ai mon brevet d'of-ficies mecanicien de nLarine marchand..

TOURTOTES FRANÇAIs ARRETE8EN ITALIE

Marseille, 29 août. - Des plaintesnombretues se sont élevees depuisquel ue te coutre la manieredont les touristes françals sont frit-tés en Italie. Dernièrement, les inca.00110 d'. car arrivant VintiMillefurent entourés par les carabinierset menés au commissariat de police,d'où ils ne furent relâché,' .111'.1lArNtune enquête st tir longues effet.,tions.

Voici un :fait plus grave Ungroupe de Marseillais, en villégiatureà Saint-Véran, étaient moules au colOr Simoun et duo étaient descen-dus sur le vilinge italien de la Che-nal, â quelques ki1011iereS de lafront:ie.. L'un /Veau élan. porteurApan appareil phOtOgraphique; tetele groupe flat Mettlyé d'esp,onnage,et aucune touriste nNtant muni deelitres d'identité, tous forent amenés

à Salure et eunprisonnés. Ce sontAL et Mme Henri Pore 110, Mme Crma-chine, sa Icelle al son 11.1., Tou-relle, Sue et Rues, tous 11,Leillais.Ils sont encore enfermés dans lescachots de Salace.

La prelecture des Hautes-Alpes aété saisie de cet incident.LE RAID De Doeicx

AURA-T-IL LIEU 7Nee-Vork, 29 août. - De graves

dissentiments s'étant élevés entre lesorganisateurs de la traversée aérien-ne l'Ailuntique, il nNst envisagé rienOr mains qu'une réorganisationtotale de I expédition. Il résulterart,te cette réorganisation que le omitne serait plus tenté par havisfemFrançais Fonck, mais par un émir.age entièrement américain, La tes'

hdive serait, en conséquence, repor-

Iltée à l'an prochain.

.mble également que dans leeus ou la participation de Fonck ne4erait obus considérée comme souhai-table, le lieutenant Snody, qui avaittié sêncisi par invieleor françaisLour l'accompagner dans son raidoomrne navigateur, renoncerait égs.10111001 à participer FentrePrise.

Le lieulenant Harney, vice-prési-dent et directeur général de l' e Ar.,onairtshnee qui patronne ta tenta-Ive, se mouire très attristé de lala pehlicité donnée au désaccord sur-venu, car il espérait que d'ici unedizaine de jours une entente seraitintervenue.

Ajoutons que, en dehors de laquestion de l'équipage, d'autres su-:ets paraissent avoir contribué au-desaecorti signalé il s'agit nota m-ment de la marque des moteurs àemployer, d, celle de l'huile, etc...

PETIT FAITSEVASIGN FORÇATS

New-York, 29 août. -Id fore., analéjusqu'aux dents, ont réussi à s'évader hierm atin de la prison 00.1 à lonia (Ma-

Des forces de police, venues de 12 villesvoisées, se Ontmises à leur poinmite. Le,prisounieen cut dû préparer lons!emPs àl'avance leur plan d évasion, car n'onque tdeedercelect l'oeeeelen coneeeeeteass témoin.

Pen après minuit il, se kvfnent, attaquè-rent les gardes des dortoir. et los liaotèrentsolidemem, rota ils prirent par surprise leshomme. qui montaiem snob devant leshurean4 de liAdimidervaion et les enfer,mirent dans les celbdei.

s'êire armés de fuels e de re-mbers, les forçats prirent la fuite, certainsà pied, d'autres dans deur autos.

UNE MERL' ASSOMME SON FILS

ett ttta t0t Ls meurteière a été anetée.

UN TRAIN ATTAQUEPAR DES VACHES

Troyes. 29 acat. - A Clairva,,soir dm passa,. d'un nal. de mara,an-dises, des vnehes en furie se sont jetées

IJ Ucord Ânslo-lieron elen'eenent s de V8CanCeS

.4tnis lecteurs ne pertes pas en(let cor, ae août. Le Bas Tafariavril aolu'e,,é, In 1001 do ' '

te' sorte toit e no ou'. a.iPU .ccetaire général de la S. 1). N.,

une lettre aveu document pr ,otestantPlumomett Pend,. Ootro

moire l'accord angl.-italien rotatif A ç... ai.tureNous acceptons des abonnements

diquait pas de Vacances d'une durée variableelifi''rCnle' enntuttels

élimeelliliesmuiten'.re gouverne- à toison de 0 fr. 20 Par una`td,e

Inenl élluomen souhaitait voir don- b,ner à sa protestation, le Secrétaire de eid,e, de l'abeenement et cellegénéral avait écrit ditiss ce senns. de eoo expiration.ras Tafari.

Getui-ci vieM de faire savoir au Ach.., le montant de rubor,secrétairre général de la 0. D. N. que nernent par mandat .carte ou chg.sa réponse parviendrait le 10 sep, que postal (50 5.277 Toulouse), ou[etre, silo prie de laisser jusque-là s Midi Socialiste o. 36. rue Roque.Ion choses un Fast bine, Tou/emee,

an pnur les matches ofSmiels..erment qua.ié., à partir do ler sentembrc, sma..rir

affaire une nomade demande de mutation.Ea.canséquance. ICS iOUCUS8 B.o, Bon-

nenalson, Dupont et autres sont qualifiés.

4. 7, en ocreoeAere

vous sergbie_cis tep -_quel. Tout te temps que vous désire-i - liii rêve V...Lque ineonsent... quelque involontm- . - D'in 00e,,, oui_ Merveilleuxro qu'eût été mon rôle cruel - Ales no 11.5agnons pa.la route, comme taus ceux qu'échafaudent à

nous ? - Soit, licatt jeune homme j'avais don.eût du aPrès COR subsister entre /a reit... Pm. àfiuNne ...te d. d. Matai. mais p e D ee chemin qui sa vers 'ciao ou

dix-hfille.Aquelqu'un,uit are le cerveau,Isa

-- Non, puisque vous males prou- Oui quand i,e y Surent, quand ils se mon Deur, 11 -devait le -garder hie

pp1iraC1e d'Amlt tionie

bour.

''',>,',7,1ee4t,oiterenj'eirau'Ie°'(:t?Dét

:: 'Ions Mei. agi pin., d

étoile'oh

lo emporlatt des titt- prononça oette phrase Salrtenu/Ment au king des haiee d'aube-

mutine o. ela et dattede dem

liera de fleurs qui semblaient .tant loo vibrant do paesion. avec un aou.en de fmn ranienor ug Piaci de petites perfunters, qua. ph qui fd Me lèvres.volage et déloyal ? la jaune tenni00 fut bien certat. de Et puis, :fresque.. 7--liais let evéneinents ettX-mêmus la soinuda du lieu, bien eerlahi. quo don,nier:Los 20,, voyons eomment persuime In pnannii entend. :ses menSieur André '1

dirai-je ... eet d10181101110ot menal YEt c'était de ta satisMetimb

mitisfeetion viejble qui éclatait tuai.tenant dans les flammes vie son ne-Perd.

Double_ do en bertle4erSamentsou IffiliPabmvie.

Taisez-vues, vous aVed.teup iFinteiligenco et trop de oraux:pour Porloy pare. jugementsBor v011s-Inerno et sur antres.- me sone indigne de velte, in-digne de Mie confiance que vousme téntaigl10.

- Vnlle WU. ealettupay.III volta en sof/plie, micianie...

Ils avaient, depuis im instant, re-pris loue liDrohe au long a,tee, sous los comtes et lei pruniers

Ion PNVI, ROUGETOneut ditqu'ellejouissait

qui le bordaient. La déflorais.eammonçait.

hélait une ehute silencieuse deRidge visante et parfumée. Dus Pé-tales Luttaient don ramures attepgeste. les promeneurs, ...Us-salent de blanc Ictus sûtes/ente,

/510401 osait prononcé cas derniersmats e nu Un to si douloureux iraeéuttnttsoe 4 on tour s'arrêta.

Et comme il lisait une questiondaus scs prunelles Pailletées, nom-mv il rompe-cuvait sen alpIn douer, il.saivail, tout de suite de repren-..,uno

Pertnettezenei, madame, et si...Milo que 00Ia 00000 Atre cneo.pour vous, vie vous rapater le Ira-digue Mener.. de l'au passe. ersana athée: d d

(441/11EWEEMBIEREE4.,

1")....A, Ch6.sue. wagons qu'elles ma te.eooeer ea- t

doinnms.La circulation a dis être interrompue pen-

dant quelques heures.

BAIGNADE TRAGIQUEQUE29 août. - M. llom.

par, 30 m ms. eployé ou .Crédit comme,ciel da Franco, s'était rendu sais.vers 19 heures, .vcc hrame ies noieenfant,. dom Veiné. est âgé de 5 ans, au lieudit In Gmvette. Apf4s avoir fan baignerles petits, M. Buren. manifeste le désirOs ne beignes à set tour.

Oa ignore s'il a Dicie celeieecere congestion ou s'il s perdu pied dans unendroit pmfond les do

rn4neu,es e,,tra.

raient louellament du soldai il dia».pour nc plus renne.. à la ...ria, se, lescanards terrifiés da fernrne.

Aux appels d,,,,,tré. ceIleci, les

narum dc régale de natation anivèrent

a.sscet et le corps de M. Romp,. putetre ramené sur la sive dis 0000555 après

. Man°Le 6, Olympique de Carmaux, Pan

Vie SportiveLe 27, Stade Lavelanétien, à Lavelanet.

LES

U. Toulousain, au Sm.

Le 20, Sport Olympien MarenSo. au Sta,

DECISIONS('se-

ceL;rotuis,,,aauprtsie M.. O.. Léry i,La F. F me. 12. c u ce inlin.

a om.

! lin dFo.; Le 24, ailledécision. suivante.

L'ordre do jour du prochain conseil son-

o., vice Le P1US sûr des placements

'iortle'udrr deb'rZluainnaxidZi»i'et Zunis

___vous rem.

_--faient qualifiés que pour les parties aml-1 sone, et qu'il ne emire en... nad.

minai que eens suspendus pour .un Aehetes des Bone de la Detenee Aletieletevete à oml en. an peut le. dee..

17

ssédieermis.

--.i11-7( NET tn--

BONS dela DÉFENSE NATIONALE

Le 2, Souriez-Ch:h Arceneen, à Pe-

51e, duo tLe janvier, Association de.

Ch..Inale du Mali, au Stadiu,m.

indre.La 9, finale des Pyrénées eu Toulouse

Bonnofoy Sportif.Le 16, Med. Saint-Cauchois, à Saint.

Cauden,Le 23, Toouse Bonhoure Olympique, au

Sendiron.La 30, Cerck A. Gastelssimeinele, Cas-

telsarrasin.Fila ton

Le 6, A S. Camassonnaise. (2), à Garces-80f.e.

Le 13, Football-Club meiRieus, a-St

dium.Le 20, Galba U. Toolouesin, au Collin.Le 27, Sport 0. Murena., à nomme

4 ta u contraire.

1 AN

si o

t70 e

0401,510 n e 0117 'à0 51111

11,000 MM D 9,875 o 5,725 ,5,l10

On trouve le. Bene de le Véjenee Na.ti nais encens Assen T ésm, P huntel, Bureaux de pat, Bannes deF sec., Dawa et Secte é. de c édit.ie Notaires. ete.

flin0141QUE de le T.S.F.-y_

Longueur d'onde 5 200 métresA 9 h. et 9 h. 511,cours des mar-

chés munLipaux des légumes et du.0: (00. lute -gx: vielole,exiceritToou2=

Le 21, Atitotm ,t0irt Amis de la station,s de commerçants de

aarnpio,Inet des Pyrénées,;

510001

L ville informations; cours des

'0015"Déve-ntme

niA 20 h. 30, more-sec der Lettres.

matique (heure de le Tour Eiffel).

Le 5, elserion. des Pvrénées. demi- A 30 b. 50, inforemtions; bulletinfine. ou Suide Toute:seri 121. météorologique ; radiodiffusion du

Le 12, en pourparlers. sujet du concours des a Livres flou.Le 19, SeMt-Gimus Sportif.C.Inb, Scint. verx2i».

Sponi, d. Cheefui. programme de la station Marseille.,

Chateamous.neux ou Union Sportive du Ber,. Potages TP...T,...Tin,S.,ilgtital horaire (heure de la'sa

Mais les piqûres étaient profon-des. Il dut n'envelopper les 'doigtssi' son Mauollow applique en ecini-lue. pour arrêter IN:roulement ousang.

Nadmile do Romeuil continuaitle -regarder.

520 quand ils se trouvèrent eûtecille, au long du chemin, elle ro-

ePrit-- Je rIC pexalie lainais COn.Cianee

de ina dignité. Je reMai fidèle monmari niais sans peimiiiir détruire enmoi la inuo. adoration quo favaiS

Pbf0 e e elle rem91. 5 Le Point., pendant qu'elle par- vOuén à Un outre... Je na . pas. Et, 4.114 nos...- Meneieur André, je passe othre lait tout d. l'heure, avait étendu la - lit ont Itcumm ne s'adressa lmel rue, 00 noie le JUiPmit ainsi, ou h voS. erupolos. Et jc veux, mainte- main vers une branche d'aubépine mais à votre père'toevraitêtre mot, Fa, tao, 110 me 00- M. 1111e l'initie. flagrante eu mm- qui anbalançait sur le etiomin. Et, - II ignorait mes sentiments.fuse 4 00 que le ouusidereesis MM holden. à qui t'ai pardonné, ma ret doua une sorte de folie inconsciente - Et inaintenaiit ?une injustice et je continue si Yetis nit tiboM4 d, par010 et d'attitude, il l'avait sevrée si vieleMinent quo - Il les ignore tenioll.,le voulez bien, â voue fuie crédit de veueedefier ce secret de ma vie. lés (pin. étaient éntrées dans sa - 'Pourquoi, 10,0,11, vous Miestinsse mon estime et de toute ma can- ii Ide.. j'époueai le aemte de chair et on avaient fait jaillir ie jeune fil/e_et libre, ne les lui avez-fiance, houguil ce fut sur la prière de mon mué. vous pas fuit Lemaitre ?intemit, il ne ans 01 plue que ré- pure, Mais je ne INIMM, Pus: Il balbutiait : I/ jétait toutes ses qumtiona d'unepondre.

Il trenidait convulsivement. t,--- Est-ce donc possible, madame? - de tu, suis piqué, eu voulant de voix -brêve, saccadée.- Cela est. - la Main (Vehme,' lette bravai.. - Fane que, cm conditions so-IL elle, sans le quitter des yeux, - Alors pourquoi ainquiesetem Mais on ne ocra rien. Un peu d'eau Laies, dent vous parliez tout then4eloppent. do son regael chan', noue 1 NI. Dames. Nmie adore. Il P.L. il, et tOut h l'heure n'y pa- Plieure, et auxquelles j'attachaisdo .,.0, e,,ed ,raoat où il y avait n'éCit P. ieeiebi, s'il el el. la 0e0- rell,a al,e, al,es piae d'importance qu'elles reeumaintenant connue une «Moite aida- Ulm. de boire votre malt 011m ? Justement, traversant la halo et nora,,,,,,,, 51,,,

ration et 01505050 ejunta., poterne .._ peut...etre. Nlaja le ne résistai limitant In chtûninltait là vers le- dresse ne répondit p'un

mince filet que Yavais peur missi fIll'a. Ma ton-do..7leetti;'Sretrx! Vite.' nI

pas suffisamment Pame que, de deett, an raisseAd.oxtecordez-mon côte Io révo que j'avais Lit, oteet il se tnntan pour teenwot. 00, or, 0,,,,,,,,t, ,iae la De.jr, i.:m

nvous u instant encore ? je 10 jugeais iMpOssIble. e 1

OUSEWald Bey cl le wigsat

1.`ancieo »d'Indre P'l,. /Agni Vient &etre penduseinplctc'° otceété 10 d'otnitlé tty, ,mandour Cazeneuv'e,

1'0L11'étoP'reil'ISS'bil'el dee

di' 'l',uoutenie, dqdlnsedn5 du

mal/in'his sês teueneespie, Ilasencerce avait

pue inajtmnnli11u

y'dile quelques mercis,épatement appris. h junehlffres, en qui est parpréeleux pour mi gran

Malheureusement, ilenseigner com.mt otileivrTz du nud end

Si,ectocles JeToul.Oult

THEATRE DUCAPITOLE' -'alto(Clittine -annuel« 804

THHEATRE DES VARIETES.tache (Flexure annuelle).

Gras anceàs, ineamur Mieet sa comana4rne. qui ont enlevé 1,14;ment Une Belle Cosse a,

cornédteen 4 actes débondante d'esprit et d,hua... Le peddle a fait Dm& laà se: intact..t en ne leurpas .es app/andissements, "num

THEATRE DES NO1.IVF-A132123,gaicurdle, dendia, n'n.ê....NNI drevue « On rit toujours e, eus e

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Un attrayant roman ruera:m. . Per.,Novram, dom . Les Cadets de 1. M,,.

Atipaion de peeimer ordre Boume lecélèbre comique marseillais

AMMICAN COSMOGRAPH - Rho,everture, vendredi 3 septembre.

FRANCE ALLEMAGNE

Le matai France-Alternes-ne aura lieu

M'ners'eni'lle,'Pra.71\t",'..L1:..117.a.a,

ane jouera h 1.7 avril à Paris et la FranceL 16 me à Belin.

Les ....mis eeront reeu. le 3 septembre

peésident, Dumont, y.. .présida; Lau-secrétaire aénérah Rutherford, recré,

mtalLe,ri:erteadu Manhan et Perrani

AUTRES MATCHES4. match Feance,Roomanie fafiots

le ler mare à Pane.Le match Paris-Armée française . joue-

ra le icadi de In Mi.Cer.ne.

AU FOOTBALL CLUB TOULOUSAIN

Dimanche proohain 5 septembre, le

Footbalhaub Toulousain ouvrira la ...4onis244.2.7 510 son Wiiique terrum de Ma-

RADIO-TOULOUSEdis de laPéelterie.Er. eget à mixe memen, le. 0-0,51,00 Longueur d'end. : 270 métres

du vicie ° 15 PROGRAMME DU 30 AOUTd., meilleurs elubs de 3, s400 do la resion. A 10 h. 15, cours des marchés mu-e Stade Gallica, Tous len sponits ont icipaux (légumes, fruits, lad); ex:-Démine à la mérucire les seec4s ninloor- saluts. do, inurnaux régionux.tés par cette société &nom u sa:son écot,- A 12 h. 30, cours des marchés nt-ée, mais le </eu d. cette n.-t,l,,tnouuu anaux; foires; changes de laretire mus sans contredit la mn...s ourse de Paris; météorolagie.

"P""" "i""" `` P"`"' A 12 L 4d concert par MM. tes

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il si sa liberté comM0t

mienne. lui Fe» I/ ne dépend q,0 -nous soyo. heure.. dElle s'arrêta. lus ni'a rie''Lui semblait endurer

sans none. Et' haat coup. cirt,sebout de fere., d'une rois1:3 Il balbutia

- Mais que puisde mbj.Jedlisievotre bonheur etvous toutes ees ob.e.

Le regard de. P..tait rive au yeage do

pnroo que, litellcje venx Une AlOua me o^"

conseit.Jadis, dam des

dee vote ne esse Fu,.Igmiteêtre plue, main'

bliées, moi, déjà j'en so

votre amabilité-ottudigs.0 C'était avent

'niai de celui-che que vous en penst, e.,00001opposiez ope je toms

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tee; sapA1E "FA. Anna Avinauu sou rirMBOURSOB, P.9 N.5_,

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Bernard B. 0 00i.es,.,,,,go gogget ,,, 0 ,,a0 s Carrefour St-Etienne-Barrière de

113 g:

s

0 'A Paris o'n0(i '4' 12 Barrière d DeCroix-Daurade-ar-

egeftwe.;1?'", '.i.o,ia., 0 ,-, Mara de Murat 0 656 ,10 e Derrière Ide Croix,Daugmlo-Place0 00 Esquirol . 0 50

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Lignes seetionnêss Croix-Lasurade 0 60» Barrière de Muret-Boole Bayard 000» Place Esquirol-Barrière de Croix-

'Daurade 0 00gr, JureeauesSi-Miénel

0 ag

pee-Junteaux-Carreioursin

0 50

/gags avons dit hier quel magni- contestable, est à chaque instant

s u"ès avait remporte notre frénenquement applaudi par ceux

Jouhaux au cours de sa con500l&gui savent les efforts du secrétairelieu

"ng0 du Conservatoire etcombien de is C.G.T. et son magnifique dé- salée

te;enbie, été ie ehoix vouement aux intérêts de Is classe ece

ce'ttedp petite en la circens- ouvrière.Pour parler de la crise financière ri."

ccecccec cf, actuelle et des solutions -- depuisoCe.si longtemps préconisées ! -.de laG .T., Jouhaux ama des formulesheureuses et salsissentes.

11. fatulrait pouvols reproduire in- te,..tégralement ici, dons son texte mé-me. une conférence qui est ve-ritable pzogramrne. Et c'est dorn-pismage vraiment que les nécessités:de la mise en page obligent lu jour-naliste lui-mêmc à de regcettabl,c 4.mus restrictions s.

" ait attire sachine a

- '''''orinslité de Jouhaux.I''''jlr'ee'rée par les organisa.

le-in d'avoir sonné quetoutes les pincest"" `us' ! étaient lanses,.

s les coins occuPés el qu'un, desolun-per' tore vCtifnblement tom ees' dans la. salle.

)I.: conférence était préaidée ParBedel qu'entouraient les trois ara-

,- Jouhaux, Forgue:s et Lamer-'sr,' Les diverses organisations mua.

éteient naturellement repré-

te I

Que la misé dont nous souffrons ....ait été prévue dès le lendemain del'a guerreepar la C.G.T., c'est ec:

'plupart des /militants. ce,,i de

"I'Lleé't'rria'rile'r de lé Bourse du TI' !les °oints essentiels du manifeste j

rail souhaita la bienvenue aux cira- eicc: quel dés sà

je- arS, trop connus porto qu'llse7 - Confédération générale du Travail ic%sem besoin d' méne o nu',sentés. r mettait toutes ch 15oses nu none. feuerdirè:.c .inacre d O ole péf %ntIirco:Ixtpo: uali nets mt,2o relu, les

sut Ji cura arguments J'of:" rué°o1Et ,kur,c'Smegr serre , j q Après meg.ifi

11502F UI DE BANLIEUE40 Capitalegiroix-Lrodutade ......... 0 85a Barrière Croix-Daurade à Croix-

0 00

LE eXIALISIE

eu{ TRIFIQ"4 tLe " iàaid ,

(1 un anches et j féours riés)

Daurade

N Croix-Daurade à BarrièreCroix Daurade 00G

» Barrière Cimix-Daitrade au Cap,-iris ......................... 0'kilornêtre Esquirol

Un tonnerre d'applaudissements établissement, les prix des repas, UN NOTE

ceynfe ,,ce j011., 11 m rtpour répondre à certains com.- A. 3i . --- II est interdit aux mar- cadavre d'un homlne paraissant age

.Z7ape".,''cihi'Ii apeAu pas le cLauficar qui effectuait

est stsJa. te fait entendre lorsque Jouhaux, plats, boissons et conerrnmations... Dimanche matin vers heures lenistes qui Finterrossépent brava.- chands cle vendre des denrées et d'une vingtaine d'années a éte décrut-

» Croix-Daurede au Capitole ...... 0 85

ment déclare que la Russie elle- gggé... gré200, vert dans tes eaux ne Pagés, au Leuose rom arr à un ix riem à ce/ui sejenetIn crise qu'elle traversait que quiêtéest marquépr ou asuniffiché

en

monnaie le ratibldévalore. eccie, cceeccicie Fériaux et T'

mes' n s t é d'a utre

u'olliser en relui:A.0-u'. Pur luI° Art 4. -MME lesSous-Préfets, ue se coins &eau assit Attire

rernè- ditsitt d I Pif

dernière p.mtre oie

l

la c° ,u; attentionmunicipaux de' Malice du départe- demeurantde

M.à ln JLeopoht Auditunertuncasse,qui, amui"

Jo du eitopen onha s Ne exeur ef co000gt d, nue harptlee, a fait d recherches escrée au râle que anix Sxiété 0gfe sono 0,h0gg.ég,,1kmm

01,00 g cet endroit el a ramené la sur-

cela est bel et i.,,,, té,,, en- toutes les mmruntunes du départe- s'est immédiatement transporté sue

lotions eist appe ee à lo. geet ég co gui fo face de l'eau le corps d'un homme

e actu,elle. Consolidation, con- médiatement publié egaffigré a cr. missaire de police du ler arrondisse-crise

mancteré-e

et

her

écono- non du présent arrêté -rü Prévenu par télephane. M. cOm-

gal ans de service à la Permanencemeut à hi diligence de MIVI. les les lieux, en compagnie de M. le froc.faut-il, pour empc maires et dont /es dis-Positious loue Pllual°N et a Prucédé "il'des ciapimux,(ust tiers des cm_ appliccm hait iccectivementles finances mordis-

ux fra,ais n est-il pas anime .r à Iiàimimsr Four restLrer Pu ucut'uns_g

thl Dimuche rorjraue jour mmos unparfad, pren-De Le soir, vers 4 heures, il a pu être

identifié. Il se nomme Bene Canette,figé de 18 ans, camionneur ebez sunpère, entrepreneur de transports,route de Périole. Il avait disparu deoins ce dentier (tenait' vendredi soir20 courant.

001110G DANS L LE CANAes inb,papippnhe __ pestent. sellen de payer scs trou souliers, Diorama, à 7 h. 20, mile eu nori: dee

Yenalt do quItter. rev.nt en cou, Asint-Gemder, IV, rai torgesitR ....Ida

ra - -...iules qui s'imposent.

es à doàà,e, àécraser le- lorsqu'il vit one épaisse future gelé- Mime, 1. somme far Orner ri, rot' deccdu. ver au-dessus de !immeuble quit I ans, rumen cantonner, durreurant rue

que le capitalisme a été UN INCENDIE OU UN ORBEessivernent local, national, in- TROUVE LA MORT,0,

faut qu'un organisme UN POMPIER DES BLESSURES00contrôle, solidement ebh sur Ries matin, heures, M. Perlalen international, fasse sentir Portés, entrepreneur, 47, essora-action. Car il faut éviter que gaga,. venait de sortir de son 000 ne,forces d'argent devermes misée, 12 bis, rue Ma erten, os Il

que exPotvé de rant sur set pua et constata uns sondoe,na ta parob Evcretsli quelle vision ex... de4oi unotre anxI Jouhaux,ocracontredic- écurie et sés dépendances Matent oitre do l'Union des Syndicats de lalpareil d.ocument témoignait Luta de la C.G.T.U, vint lasser la ttammes.Haine.Geronne, Julien Foù'gues l_es solutions internationales rio d potience de tous en répétant inter- al41. Chenille Déliai, plombier, ose-

. minablement /es antiennes con. nue Pastetir, 8; Eatabeati. lictit,nerd

nYk. remorogühlement cone'. internatignak de matières prerrae-Suturira /es proolèmes essentiels res, /*étalon monétaire internatio- Lx' %,,phéj.tterjtéàdià1,rrraCqxa'eU,

C'est un table., Pr°ule M cm" Préconisait déjà n'aPparaissent-el

T. que FOTM-Mia dtiei,22 né, les susceptibles de résoudre la crise ecececc tonnter, avenue de Paris, SI, soutientnombreuses inexag°tudes matériel- ggg ésjui, g0,00,g, gggiegj gag.

ois: des revendications de la CG. les pas mêour lui comme les roui-des pompiers en retraste; Visas, cart-

auditoire attentif. FOévement on présente ? L'office de répmutum déjà pénétré dans Décurie el, aidés

leelmuent le nwnde du travail. II Ont pus montré cm i/s étaient de prouyer que 10 ationtle de. Minimes, êtè MitrindriM.

etndicale et grofessionnle. fit 1 ces qu'opposent donc les réaction- 4_ 4._ commun:in, a rt I immeuble avecthelle mobile, de 1 organisation A e,-parla des huit heures, de I ffi, seuls des remedes véritables ? it à ftt ritei7truétiZeu'O'i

allusion aux coud-édens déPlorahles 00.17;!,g,non les eesnots cc. uueen t r. nue

d'existence one connalesele tant de isme raugmentation e la Prnlu 'fur. une suite An- ssus ce ta e se trouvaitde salariés toulousains et de la né- durée dotravail pleine sous. ignee par certaines outrances ei un petit appartement de deux pièces !

eunu,,dc , aucune, la cocweceeecc cuertomames iczlernen.n.chieeysa que l'ors, où habitait In famille Salerne, coin-son lai, pane du réer, de 1:1 more ci de trots

teille sunnites° Il terminamina en rare des volutfeg 1 . do,,,, ,,,&,,ci,ux. /..., a,,,,,,,,ç enlattiv, PRés le 6 ans, 4 ans etpelant tout ce

d1

11 saI Ainsi le danger de /a cr

liseac- ,,,) ,sa.leni enture, kegg 3 ness. M. Saledle, palefrenier, était

mettaient d'espoir dans les sem- , malle réside-441 non seuement kleciec;,,, _44'4, i iiii lui chez lui, avec son épouse et à! Dr-'s'use clan colon" Dei, venu <le Pans chez ses cofisiagrances social. dont la mise en au- 1 dans la souffrance qu'elle peut o.- du.,. pour passer les mmtnecs. Ln petheplicstion devait rester Fane clee porter à chacun de nos, rmis dans

t fi L

Ire ., Ci g ée d e 8 moi ts, ét ai dans sa.principales préoccupations dès roi., les éléments de réaction sociale qui - x

litants.lace ececdce ,:c encree, do !),,,i,,,,,,,, d ,grémenta de voiturette, au Cor êtage, ett la tem-,

Et c'est par un appel à l'action plus de cinquante ans ! Jouhaux et Lapierre ont assisté Stérantrr était généralement moins.hier au Congrès de l'U.D, et sont ctle.i!Li'ffcec yssieclai4,%peccffilleisacperveisecessaire que mat .in 1 mteressarg ! Le plus triste sot que la rosis

ue our ulatrulune Iff I'llôtel-Dieude la famille Salerne, GiaML sans domle connu,

ie rdlocution de Forgues. 1 sabilité des gouvernements qui se IneParne le amie meule Pour Pune. man 'nt, Us purent ddlificilement se. , sont succédés depuis /a guene ne

Pmyeet ne durent leur muid min

agibts é et la presence d'esprit deM. Oribet, qui réussit à sauter sur /a

'Après l'orgues, c'est (-ripieno !saurait faire oublier celle que /cs

qui prend la parole. Tout de suite !peuples eux-mêmes ont endossé. Ilit dit son Mtention de ne pas rets,' out fsllu que les masses réssis.sitda eot,/,0 E.ace d, joul,m., , mieux à certains sophismes commete contente de diusser le bilan des celui l'Allemagne qui paiera...Pr è I' ' il nomon de Ouse d'

ticuker /orsqu en aes-rouer commises ers par-

Lanka, termIn, son ardent es-Pesé est soulignant la situation SPé-citai des travailleurs italiens, ins-sellés do. le Sud-Ouest, radons laPliteliee au milieu de no. soulè-ve naturellement dc nombreux Pso-blèmes. -

Lapierre connue Fougues/ sc.'longuement applaudis

que 1 on ne s fut as heue àl'insoluble question du transfert.dont la C.G.T. avait tout de suitesaisi l'importance primordiale.

('est crailcurs toujours cettequestion des transferts que l'onmncontre en °resaler heu krsqu'onaborde le problème des dettesqu'elles soient allerna.ndes ou in-terallié.. Et parce que Firnpossi,bluffé de ces transferts apparaît,

e meu la stupéfiante aux térets de lpréj

a messe) prouveflo,roace de ses adversaires, tenue ln CGT. en réclamant la sta-L orateur, dont l'autorité est in- bilisatien nonne le bon combat.

trance (politique

T It sa- H o be cW,C.,,Fp,;°es,

Affi e he

safre que sOient itidigu6s, d'une ma-niere apparente. les pro: auxque.ssent mis en vente su &tai!, les den-rées alim entaires, produits et mar-chandises 'dc toute natura l'ex,ception dos inarchandises dites aieI axa

Arrêtons

inagaem, d uneAttque it e ai inire uffklIe d'une Putleurte Portunt

d'une faço n très ble et très ap-plaudi miro la gmnde majorité de parente, pour chaque produit mis'assisance monre quee utte en vente, les indications prévues

ficative le Comité d es Forges unA

P"ugruen° Pr6cédent.a milité contre le proj de /a C.C. e. - Les hôteliestaura-

e ceetgroupement teurs, caf etiers,aMnd

que les d:i

de capitalistes se/lamés à défendre recteurs ois Sésauts e tous établis--

milieu des violentes intcrrup, ut015505llutter/eus du

COURS DE JOUHAUX

l

dp rt sp

t t ll l»e6 sautai/ es, ouhaux se ai en- Les erfarro °si nc passent quhm mois h818`'.

III » Aueani ville. ''I onde 0 III s Sts)lurtin-du.s550,31-Esquircl ...... 0 gitg, e Lidande-Capite r 0 F5' 33 Stelartln-dusTonah-BarriCre u3.

'if LM:rade-Barrie°. ds Paris 0 50 l'Octroi ti 00ID » Barrière do Pari-timidité 0 Rit a Purpen-Ifiguirol 000m - I t, 42 Barrière St-Agne a Costarret 1 30i Cartoucherie-Esquirol 050

°g, » Barrière'Fil-Anne à Arizehile 0 g5 06 Esquirol à Btagoac I 30, a Barrière PA-Agne it St-Agne 0 00 a Esquirol à Purges 0 t35

", » $1.-Agrie 0 ca,tanot ol,.., Esquirol-Ceriducherio 0 509 » St-Agfte à Auzevills 0 RE ft Barrière tin l'Oetini à Blagnac ... 0 ab

42 Cupitale-Montandsan ois,, 6' Yilotneserilliurféra de Iluguaioé 0 'll ti Unsianet-Barrièrc ststIgne 1 201 s Bkrtiss'n'ac-Foritl'i7,30r 1 30Pu,a 0. bemoi,,eas-Mantetudran 0 ni » DartIf0e9 sle Cargnanv à ESsluisoi 0 00 » cartanetgq':gx 0 85' a Blagnae-Barriare de l'Octroi 0 85» Moultrunran au Capitule 000 ' .,,.., 0 , i s CastanatteAnzemile 0 rit » 13lagnacsPargan 0 65s Montaudran au Pont ües Demi- El° ve''''''' "'efF`uaEl egII go 6 Depitole-Auctunville it Ela-Pondère St-Agne 0 gh » Purparginegultf01 0 65g ,,, » Ausevilk3-&-.1srm 0 Mg ti Cartouoherte-Fequmal 0 56m» Pont des Deoiselles au Capitole 000 à l'aPil°1°4"tundu

' s Barrière de Paris-Casteninest 1 30 'r s ''t-Ag"."E.''''e st-Ag. 7 '68 Esquirol à tratmovt116 d 8544 fCapittede-Lafourguelta 0 85 » nBarrnire de Pas-Ausm

" -iTille . 005 0, a

2.'<,,.s g j, , i fo s Itisquirold tarriare ne 0 50» Barrière do 51otei à Lajourguritte 0 50 » Oser; ire rie PAMS-Laluntle 0 5 " s,1" à "°''''', ",f'd» iEr r s u-,, u.rol à t-M... tin u-Touch ... 085, o Bard 'no do Mure b Itraqueviiis 0 50» La fOlirgnetto-Capitale o h5 s Lalande 2 Castelginest e I. » Esquirol 2 Port an 0 Mt tr BragneviDe-Esquirot 085»Lafourguelte-13arrière de Muret ... 020 » Lelande à Ausamville 0 00 » EsquirolgAirtnticlione 0 50 » Birsquemlle-Barriere de Muret ... 000n0,0i0se de MuretsCapitole. ' 0 50 » Aucaniellle-CasteManest Ohat » Il arrière Octroi a Colomiers 1 30 » Barrière de Muret-Nsquirol 0 50a Castegalest-Capitole 1 70 .3 Barrière Octroi à St-Martin-du- Ile Dsquirol-Lardenne 0 on tr eastelgineet-Asnamvilk 105 Touch 0 NIa Barrière de Lombeg,Lardenne ... 0 50 s C.teleInest-Lalandei,La/vienne-Esquirol81, Castelginestellarriare de Paris 1 10 » Colomiers-Esquirol I 70! Omet sur la ligne t ocra perçu sur

ExCeptionnellement les dit/MM:11M et0 ln » St-Martin-du-Touch Cola/niers 0110 jOUrs Piens aprea-midi, le tarif ils 0.02 sp-ii Lardenno-Barrière Lombes ... 0 tO Aucadoville-Capitele '1Colomters-Barrièr. I Outres ... 30: Itl ligne 1 pour les ItanlitMiisDariiiiire de Lombes-Esquirol ..... 050 n Anoarnf ille-Barriem de Paris 0 Or counuidrust.murtna_duspouch 0 edidautu,

r e

boissons alimentaires a consommersur lace, sont tenus d'indiquer aupUblpic, d'une fanon très apparente, uaaaara mua... es <endure.lieuà la porte sa à la devanture ,de leur ...ut à ..°E Cdd.d0 dliPésnlb

08 Esquirolgalcatirrion 1n Esquirol-eis kettmulim 0» Esquirol-Barrière de Cagneux us Barrière de Cognaux-fit-Siinon 0s Derrière de Cagneux-us iutortStre 0» flt ki/ornètre 5 St Simon IlIl St-Simon a Esquirol I

n» St-Simon Barr re de Copieux 0I St-Simon-6f kilonséttx 0

0 °I s Aorevellle à Celanet 0 :411 s Pra'

à Bi 0 05

in ires Mente. Les quelques noiestrouvées dans les vêtements du noyén'ont pas permis de l'identifier et lecorps a été transporté immm

édiate-ent la morgue, à fia four-

s. des Panai. funèbres,

a eu un vertige Si est tombé damPeau. Il a pu toutefois remunier larive. a été transporté damiclie àraide de la camionnette municipale.

Le D, Jean REVGASSE 149 me deE0t:/outd... luauférê se. m'aine,

ému dont Ta solution intéresse di- nal, est-ce que ks evénementa goriquement certaines assertions et taire de l'inuneuldo, demeurant, 27, ACCIDENT D'AUTOHier vas 14 ieurz, le Nd ut 44, en-

ratertfne à Som té Mo,i

employée, menue de Lori,, O.

m dcin, conPar le ohauffeur Armand Penin, demeu-rent 58, allées de Lusse., a heurte et

F.Peer.2 1

le place Viiiso, Ce pas.. navait point

marche arrière pour ro.. Simeti rinesous le vat-cule et a été blessé au coudevauchet son pantalon a été forte/nem en-e.uurruuu. Laite gnai rem un. panuureatà La Fearmacie Parmenne dont les fraisont été. »coran. /c chméfeur de rom

QUI A VOLE LA VAISSELLE ?Sur plainte de Mme Jeanne Berme,

demeurant chemin de ronde des Pri-sons, Une enquéte est ouvertene arrondissement relative au vold'une certaine et-mutité de vaisselle,déposée dam une malle placée da.son galetas, non ferme oses, cure.Ude le 17 courant, ainsi que pour volde Duits dans son jardin, le 25 etle 27 courant.

her le priv desmordu cli

toiture d'ion immun/de toisa, d Oit ifput faire pssser une échelle à M. etMme Salerne.

Malheureusement, la petite Irèneno être sauvée et elle été IL VOULAIT VOIR SA FEMME

ulu resoudre hon, Pre rd de aug,g,grojg eche sous les décombres. Ses deux 10'55r500 PRIXttoe u ute-G ! t autres s eueru !,

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combattu par les ponxpkers, sous les rendu, vers minuit l'adresse pré-ordres de tem capitaine, M. Mauco, citée, où sa femme est employée. Ilet du lieutenant Latnolia.re, a brisé les grilles en fonte ainsi que'

Etaient présents sur les lieux t Si. certams carreaux des soupiraux ette cornmcorn-issaire central, M. le co aurait même jeté des allumettes en-missaire de police du ler arrondis- fla dans la a aces ée

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parmationClit'ukin'a erell'e'rerrea'no, kmcr, iremarques de sympathies q/1,111 lai oatcordées et les a amuré cpii/ mi/tait lamotion avec 55800m, puis, demandant qu'ilsvmdent Men 00 40v,' un succefseur, c'està l'unanimité eu'ils ont aostamé...rade Pierre Cou, le fondateur -lé la Sec-tion qui, une Bis de ulce, a bien voulu sedévouer a. Puni en assument ia charge,

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du 25 août 1926.13a.rd Tao ,, mas. à Lafourgume,

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ne Pense pas core la vérité soit bon- v000 de cette annulation. Il y trot, grrtus' gda'e in'a', rats', 'mvar'etsoOsés

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I es gag .11' . nu '', f e un 't '' Sent seules exceptés de cetM ,! F0".."- Wittcor,al. eurs. Les communistes, que son nt r tf a un muaient donné na eut de Tout s'est borné à dToes dee.' ma- " . LI ignoreront ésatexant d. leur me.

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LE BANQUET DU 4 SEPTEAlstele Mtni,e. , BRE. La section S.F.I.O. de

Montauban a reçu de M. Bell.,

Le, imicrintions sont resua Remis». teistbro indus. La Fédération socialiste de

président du cercle des travailleurs,une comtoise invitation lui dealers-dant de articiper au banquet du4 soute° e, anniversaire de là.proclamation de la République.

Nous reprochlisons les deux let-tres

Monsieur le Secrétaire duGroupe S.F.I.O.. à Mon.tauben.

Monmeur le Secrétaire,Le Cerob udes Travaitle,s fête-

ra le 4 Septembre, l'anirio essaimde sa fondation et de ka proclama-tion de la République.

I l_ es membres dot Cercle et laCommission rne chargera de vousfaire connaître que cette fête ré-publicaine aura lieu le samedi 4septembre, à 7 heures du soir, àl'hôtel du ?Tidi.

Le prix du banquet a été fixé à20 francs pac personne; je vous se-rais vivement reconnaissant dovouloir hien me faire connaître

I quels sont /es membres de votre2MM,Itte qui désireraient y assister.

Dans cette attente, le UMM prieSAINT-GAUDENS de croire à l'assurance de mes sen-

tir:ente dévoués.Pour /a Connnission

Le président, Fel/oc.X

Monsieur le Président daCercle des Travailleurs, àMontauban.

Monsiem le Président,Je vous remercie, au nom de la

Fédération socialiste (S.F.I 0) duTom-et-Garonne de votre invita-tion aimable an banquet que vousorganisez pour le 4 septembre.

Il nous est arrivé d'éIà de célé-brer ensemble les premières victoi-ces de la démocratie. P/us que

Lmais,les socialistes restent ana-chés aux grands principes réunis/4coins ou ils s'efforcent en toute oc-raison de faire passer dans lesfaits.

Mais aujourd'hui, nos deux Par-tis poursuivent des politigres ses-siblernent différentes, pour ne pusdire opposées. IM2ne avons le con-viction, nous, d etre restés fidèlesà la ligne de conduite que noneavions, les uns et les autres, décidede suivre.

Pourquoi, dans ces conditionsirions-nous célébrer ensemble l'a:vénernent d'une République sur I,

fions ?Tarn.dieronehe 5 ii

Nann,se. r0 U N15EiTAMAda 25 ..551 1924.

TARMN-EAR81gE

que/ciPPement de !agnelle nousn avons pas les ternes concept,

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ncours e de Muret et de /*Am ûne e8IX,LIA tee, usine lesLE Dl fions 1t Fége de charité FontairreadEruonna. -Co AgricA

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ence des visiteurs, me Exposition de lin- nir. nous pourrons à nouveau Vol

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tendre sans peine. A ch unaque ltr- g d. à cet appel et noue ne sauriens insiste -aux éMea nheront à mer.amememsamess

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n Pas de peine mettre les T. Lbppoeition dumyg.deura de ag, côté 1,0 lu, Mei-

raidi et dan.. Il est inutile d. ,emir POLE 'MUS LES nfli ES e, ema,graea. Veuillez, Monsieur le président.attendre dans br cour de la Prifecture, ...as Murer one excelle. 1.pr...y s.r uce trauuillune poons o- srtant enrées o

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