jactllllaires des iîiuies i - images.midi.bibliotheque...

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/ 4_ L?néL _ N 77 gMlNSTMflH & É3ACO) et TOULOUS !: J B L I C 1 T ôu 0 hcz ti I Corr:c ftDro : 5 Cth)e n Le Mi:flS ilan a niss1fl ila viltz d 1 rgflce dc Gns qu'1 a prvoqt*c h-mme tes jactllllaires des iîiuies au service es tab1isseueîts Je ert1it L43p1r110n publique s est vivement emue tomme es en inesuie de le faiie ure puis de la ré1IabiOI qite j'ai faite i la Tribu nce capitaliste cjui fonue &a ne d la COIILSIOfl plus cu moins formelle sur ks acnficcs cu elle reL1t prec e ttraditicnnelle qui existe entre les hauts ment parfrxude, t imposer t 1EtaL fonctionnaires des Finances et les Soci Quels que soient les traitrnents d ces tés Cpitalites qu ils ont pour missicn hauts fonctionnaires, tyi ri'ernr&chera ja £peclalC d ,urveiI er et de contiôler mais un etablissement ce crdit u tine Les niuls et piatiques que J ai clii Societe CpitalisLe detenteuis pou' ccs cievoiil derncei publiquement rappellent 1utres de monopoles ccncedes q t leur ii etL ies tares des administrations ru:s -' noiesaL iflOIUS d une époq b - - millions, de çonsentir une fction garantissentdes bn&fices de daines de ecetite ou les fonctionnaucs etaient sur ou nioins elcve cli. ces berhLe5 u. tout payés par les peTsCflfles qui avaient 'fonctionnaires qui les ur cnt garantie. )beo1n de iecoulIr a leuis sev'cs Leur Les ituItat, comptent .euls aan les n i taitcfleflt officiel était généralenent mo lieux cFaffaires et la - rncirae est tctale ese et .i tout le monde excusait les rnenL absente des concepts e es chefs c in n'ixrorniSsiOXiS constantes auxquelles ilS. dstrie. : La question se p6se alcs .e saoir si es ;puissances redoutables, qui cémcira- lisent la fonction publique en mettant aux enchères la trahiqn du fonctionnare, ne constituent pas un d4iger scia., n dan-. ger pour la Nation .tou t entièe; qu'elles parviennent à dornine'r. L eprience de ces uernires annees i gi1erïe abus avons des foncFionnanes ne I iise aucun dø1Je a ce si jet Lcs con UL SE' donnent eusvement pour nus ioTj, avec l'assentiiTent d!aiiicus d Mi-. ist qui les couvre. de dépouiller lEtat quiles pâie au profit des Scciéts qui leur pro2ettent un avenix plus doré. il serait (ntt.ress-nt de rechercher si la plupart de ivasiofls que j'ai signalées ne se sont pas produites au lendemain mmc du sacri- 'ice inpo3é iil'Etat au pøfit de la pu-. sace privée qUi accueille k transfuge.-: 1)ans tous les cas, la chose et certaine M. Celier, par exemple,- qui n'a ien ng!ig pour défendre rotanrnent les -intért de la Banque d FTance, de la nnque d'AIg(rie èt dc la ÇJomagnie des Ch:arge us R&unis, cortr ceux de l 'Etat; et cui s rs empressé :le passer aU servi- ce ce ses puissances privées dès que ses efforts ont été ccuronnés d succês. Il ne suffit pas de dénoncei ces scan- claies, il faut lC répriiIte d'abod, les prevenir ensuite. Une loi £p&ile a &é pcis&mefif voL . te cette fin, n 1919. L'arL.icle 10 de la loi &t 6 c.:ctobre 191-9 complète, en effet très heureùsement l'article .1 75 du Code Péal, en punisan de l'emprjscnnement; de laménde, t la fois, le fonctioinaire public qpii prend ou reçoit une participa-. ,(1ti 1ans les concessions, entreprises Oi legies qui éLaient directemlent soumise à s surveillance o-u it sin contr6le, et, ccm- Ifle cGrnpiices, les dirigeants de ces coi- C5S1Op cntiorjses ou reie nepôiivaieflt a'empêcher, d consentir, peL'sonne n'ignoait que le contribuae p:Yait en d&firiiive très chei' une organi- saicii adrnnistrative cestable qui enta- vait l'essor économique du Pays. II faut aVQ&Ter que nous en sOmrreS pr:esque 1 en France dans certaines sph ie, de I Adxrnnisrati&n Publique depuis diticns cans lesquelles cnt été i-encuvel6s les pïivilge de la Banque de Frante; delaI3hque d'Al.gi-ie, et crnisés les fliOflC4POICS privés des Compa:gnies de Chemins de Fei et de Navigatrn par exemple, conditions qui tcujoignent que 3euls les intét&s des oigarhies caçitalis- tes ent ét anlément sauvegardées; at- testent surabondamment que l'Etat etie contribuable sont cte moins en fendu.s devant la rapaciti des puissances 1'argent, au moment inifle ci tus ceux connaissent la pire détresse et où ces der- ni.res ne Peuvent dissimuler la p!us in solente richesse. ; C'est au prix des plus gt anda ffot qï;e nous ivns ussi à associer iEtat aUK bénéfices exceptionnels que tire la Banque de France de son piivige ci'é- rnisSiori. En fait, la c)aue' 'association est impteniment tournée ar la consti. tu.tiOn d'énormes r&serves. dcnt l'emploi chappe eptièrernent nu contci3le ie lE- tat asscci&, et scandalise cependant l'G- pinion publique, comme in fiirei- dc ier- tuction et de reconstruction cnt est sai- sic la Banque de. France, par exeiple, depuis l'armistice. L'a leçon des faits et atasi I -eernple de I etranger nous font aujotro hui tne obligation slno;n de limiter 'les .léfices; du moms d associex exbfetrnt l'Etat . au beneflce.s exorbitants cue 'réalint .-. entrepiises prive- grcc -w concc urs di La sanction est pr&cise et elle sapph xect ou incurect u elles cbftnnent ce la que rncontc'tab1ement aux cris que ai cites à la Tribune. Pourquôi -les rigueurs .Codie qui ne ditinguent pas entre les tehnouants ei jUi sont toujours brandiès San ccntre les petites getis, ne trJ- ventei;es pas ici leur app' licatiôn diii- gente ?. - 011 peut bien conVenir e les fail-. lances certaines de la Magistrature de ce r5 a I égard des puissances çi'argejit ' roivent sinon une justification, du mcins Une excuse dans la ccmpiticit tacite oc :iPi-1.i publique. Il n'est pas douteux q e Justice ne rrii F4 _o-___-_ 4otsqe 1opmioll Saura l'exiger. Dans les Pays 'narchiques et autocratiques, cer- raines catgcrjes de personnes sont çffi- Cielieflt audessus des lois et ne sau-. iaset rpondye comme le commun ces niol-tels, ce leurs crimes et élits. Dans une dmtocratje, il flO sauràit Y avrj1' PCIsonne ,4 J.- qu'il fle saurait y n enco - - " "i-' OUveflt des graces c L.- rat.. qui, comme . par hasatd, egarent UJot1rs sur les marnes personnes ti tiennent de près aux puissances d'argnt. I faut que Cela CCCSC d'autant mieux que s crjnes et d:ljt5 de ce puissances et leurs pIctagj_ sont autieiflent Pour l'ordre et la santé flra ledu Pays que ceux des petites gens.. r reprimer est une fl&cesaité fatale, ii raut hie oire que la répression est itiC ari emOU.5Se dan5 un milieu cor- °mp tentateir Ce q1Ii vaut mieux Ore, est préirnir les Crimes et its Par légialation rationnelle qui - esarrn les individus. - 1 dit avec raison, ii faut ciïie I Et re5 J"WC payerse3 fccor , tre plus impotant eflcore, t iduire 'c- - .'u' et à le5 garder ainsi d'une 1anIere plus serv1L' exclusif aI3 nest.:pas duteux que. que!l qt; bit sa J)Cnfle VO!Ùflte Et-ii- , ir PYer Ses hauts 3 ccilectivitfi. - Cette asôcTat1on cloh tie a3ur suïr les bz5ncficcs commerciaux, et non plus, comme jiisqu ici ui ie beneflces rc1.cir lis, ap1s dctation des ïserves. : . Aux Etats-Unis, rkrie Ici du 3 ocTobre 1917 a établi unirnpt de guerre, rendu depuis permenent, sur les excéuehts de btntfices. Le taux ie cet irnpit est pto- gressif e porte sur les hnéficC3 qui dé- passent 10 pour cent du capital investi dans l'entreprise; il est de 20 duïr cent sur l montant de la tranche des bénfices allant de I 1 à 15 pour cent du captal investi; de 25 pour cent sur celuide .16 20 pou cent, de 35 pour cent suit celui de 21 à 25 pour cent, de 45 pbui cent sur celui de 26 35 pour cent; e tO pcu cent du mcntant des bénéfices c!épassant -33 p0 ur cent du capita'. Dans ce systme. le partage eiéné- fices n'cstpas faussé pr la constituticn absive ces réserves et les bénéfices ies plus exorbitants sont de plus en plu se- vèrem:e.nt atteints : i est ainsi i la fois ssentie1lemcnt équitable e t mcral. Signalons tCUt dC suite qu'il a appOte au frésor américain 2 milliardi et demi de Joiiars en 1 9 I 9, soit plus de i 2 mii- liard3 et demi de francs au riair et la moitié de cette scmjrne en 1920. On peut ainsi juger de la verti na1 et fiscale dc cet mpt spcial, qui n'c's d'ailleur3 pas exclusif ce l'ilnp& SU le revenu in4ivichrel prciitement dit qui a prodiiif une somme à reu prè égale en 1920. I C'est p irnp?f :le c ne qtje ncu3 parvieflcrOnS n Fcance équilibréi Je budget de l'Etat et ce çui est peut- QUOTD SOCALJSTE kGONL tion déncralisatsie des puissances d'id- gent et leur emprise sur les fonctionnaires p ii h! ics . . -- '.: : IdOt!ord R 8TLfE, DpiiL4 dc 1'!hÇra7l, CHIENS DE I UXE La p1i npbk coiiqut que la jJnrnc j: fluais :Faite sra-t-el!c celle dc CC pcWs a,iirnsux u poiLi lo:isi ou c9ui!s quc l'on pot-la a co!oif sOj sous le bais, sou Jcus tut maiichoi ? Je viens dassister iu vernissage d ur exposi on cannè des plus rnondains. I-Ses mau!iands dc CabOtS cL k'utes djmesicns r'w)arn! fu)flt priée d'y exposcr letirs clerncrs pz.sdcis. Do nmc qu'on ne mélange pas ici scrCcc,i uVeC Éc torchons, il convicnt d no pcu cononIrc 1c t1Op7itoirej de chcns 1pièrcs d'(pag'lils, ric- lrres dc loulous) uvcc loi vu?goires ondtrs dc viande Onimi. lYapiès ion fifre : Exposition de cen de .1uxe présen1s pe leurs iiiabes, on ïgo dc cc :euc pouVZ ,trc cc cernissagç. Les chn3 y iitiafl1 peignis, friSés et dorn&i dr os d ru- bans. et le maUres cux-nime3 y Ca.-ais5lcnt vernis. Jlucutte odeur ncuzséiondc rie dait. &cn au contafre, ii crus mopiL ocx na- rifles une exquiFsc Ui&ric de paun-s & lon peu- vqi humer I'origen dei 'ante nnièras, le tabac blond ck.- c(istitigs pproi ct le fasrnn, l'ceillel, le corglopsis cl la rose de niesecri les tautous. Chiais dc luxe prent pai kws mai'rcs De relour clicz moi, jO ressaa ceto expli- collon impritno sur Ici cLTrtci d'cntréc. Eh bien,. elle si fausse, l'explicaLiorz, odio use- mCni gaUsse. Nons 1roinpis, ?crns. J e ne suie pas uVculc, i'imeinc. Donc, 'ui Vu; donc, j'ai issisLc auxphases sieoureuscs de cette cxhibitioij. Vraiment. ce no soni pas ls chiens qui furenf prscnts par leurs maUres. Je vovs jure que ce- sont les iiiaftres qui fnrcn precnf6s par leurs ehiçus. Cc ri'&cnt pas cotix-c qii l'on tenait en laisse, c'Mient ccuxL qui iraicni une $ccllc au boui de laquelle iin monsieur gw2tré, monoc&, cala,aishé, ou nnè dans? empanacli&, cnierhe, enlumin,e se torillcn ni en peus ani des ttLs ubo2crnents. - - 015 ! le cocas eoyez-donc s'il es hurux dc sa frøtwer pareille -fi?ie f,.. Poulet mignon, mmouJ geszx lu rim k cnir &c*nqa4k aoyons' Mais le poule& irignon mansours campre nant aT5ei!eften que la cercmonie c'ait u leur glaire, frtilltsien de la quéne, coquetaient du muïieau e semblaient faire de l'oeil ou Jury dis- pinsatcur ds rcornpcnses. -Et, ce soir, indiiant sur les kndresges bizarres de certains de nscs concmporains, je mc sou- Viens d'unc Cisjbz foie, najuirc, au cirnelière dci chiens, là-bas, dc l'aulre c&ié de Paris. Ah ! CeS ipithaphes ! Que de maximes ira- sur la pierre en /'honneur de Chouchou, de Riquet ou d'Azor I On emprunte ii Bu550n, Pascal, ii os lcs moralisjc çL na- !uralistcs. Mais, de ioules les rpiUipJtes, ce ul celle-ci qui me stupia devaoxege : « PIu je connais ies hommes, plus j:ame oon chi.n ». Car (je VOis ej5irtna que je n'cxagre pci), la dame qui aveU cominandt cc rnaiieohic pour abri- fer la dpouill morleile dc son griffon bruxel- lois, avaU sous l'crnpiic, quelque cho cern- me la colonelle dc la garde do Cupidon. iel-lelei6i:-:-'.., - " 'ç- " ' Demain : - LA F, RG UE-TA RTA S da Gers - Cos&l d Paris, 2 ftvi'.i-er. Les Ininist-L-es {t sO'US tepé;taires d'EUat sq s-ont réunis c-e ma-t-in -t o J4eu1-Ls IU »lifl S[e . (1( , fl j t ii 1gèrcs 'CTI conpi1 'de eti-biilet sous -la priri- dnc de -M. -Poiiuc-aré, M J'oincc n ini ii l gil -, ou cou- mu-t des incidetite de (Iwt et do Ober- Iogau.- - - » -.-- s----- L-e rnini-sfto- du- eomrnere -a - at jr1 à E'-' co1Ii,ii f L' 't 1I( ntion' Irane-ugrioles. Le onse!-1 s-st flSuii ---- (i(' 1i- s-ers -projets (i(po:;s sr --- l)un:at des C1ianibres. mîsson (h mistère oomi -110mo, 2 évrieir, - M. J3oaomi e remis -la dcimiss-ion du -ministère italien a-u roi. Le roi u fai appeler inrn-diatemrnt M. Orlando -pour foauxiei- -I-o nuvc-sii 'abiut. Les rojts Sfisbourg. Dan l'article 'cte fônd de sà première édition du matin, la i Ga- zette de Francfort - publie des détails ur les offres qui fiirent d'ailleurs repous- sées. Ce journal écrit : e Hugo Stinnes avaj, l'-idée poUr ainsi dire patric-tique que i'Allema-goe afin d-e faire face aux éché nces de janvief aVait besoin 4 un empr nt, n pensait aussi qué aelcn ! voeu du gouvernenrent anglais, il fallait faire dipoiaîtte Jedéficit des chemins de e-r et enfin -il avait l'intention de fa-ire -ine bonne affriire, voici donc ce qui fut prop-o-sé au ouve-fteflt -nglnis : - e Stinnes et e-s a1is èseiàIIt rend-c acqueieu oes chenuins ck j:cr cl i Rech et en échéance de -ttc rcnse, fisan- raient- avancé les 5(10- cr pour l'échéance dc-jarivier, qu! iîsh- cUaient-au zouvernrreitt aemand e. ttttpw : O.4 Au stj d a nue d Chine il a oI-éré «UNAN DLLÊMLTÉS . - - (Signé : L'CHO NATiONAL, org-an c1rnenis!,) REU\1OL\ DU 24 jINVJER 192-2 d'VVliQ J eiinesscs. - Le priocipe dune subventon- eelopte es ii'Oye i la omiTnSS1Ofl des finu ers qui fera des propptions à la C. A. F- cri fixera la quoit et l'emploi. Coircspoircarice incrneioÎialc. - Paul Faure donne connaï,sance des leFtie des Paxtis socia- lst-es espagnol, polonais, scandinave. Le .sçcr- taire est mandrst pour répondre. Après avoir pris conna-ssrrnce de l'invitation no Congrès du Labôur Party. la C. A. P. charge le srcrtaire d'excuser le Parti de ne pouvoir y envoyer de ddljgut et de iransmettre uue adresse de sympathie. Con5irencc intcrna!ionolepdc Paris. -' Pati Fure donne lecture des diverses 1ebtr de Partis invités. La C A. P. exaniine les quesuns d'organisation inarsirielle. Le bu'rau est che:p- Caviser eu sujet des 3ales de réunion. L-s Corri- rii-sson des affaixes ex-Lrrieare-s pr-prucra '-in rapport sur les question-s à l'ordre- du jour que la c_ A. P. devra ratifuir et qui pourra tre dirtri- Lu aux déI-rigus à la Con-f6rence interna ouale pour servir de base à la discussion. crnaine de propagande. Paul Faure rend compte de ce nue- le hu-r-eas si fait et des ré- çonses reçues des Fédérations. Diverse pro-po- si-tons sont renvoyées -au breau pou-r suta a con-ocr. - « Le Populaire ». - Un échange de vuas o 1iC1 su-r la ituaUon du Populaire. - - - Coisgs dc, lndpcndatss. - Pan1Faure rend campte du Cengrs sodauïsta allemand et doc confcren.ces fSs j Lusembourg de la mon les talion grsndrçs de Lepry des demn. rations spontané d--1a fule-enthousiaste à B-rlin, de la reu'ion du hrau de I Un en -des Pastis sacra rates de V cane Renaude! et Grumbach ojou ten-t diverses ex-p-l-icaUens suz le voyage de la dé- 1ég-atioos française- en Allemagise et la séance estlevée. - - - - La Secré1airc-ad3èir : HUBERT-ROUGER. L,4 COiFERENCE . SOCIALISTE INTERNA- TIONALE DE PARiS Samedi. dimanche et lundi, se tiendra, Paris salle de la Soc-i-été de Géographie, la conférence socialiste internationale résolu-e par l-a commis sion des partis adhérents à l'Union de Vienne. Lia convocation, fa-te par le parti scci-a-liste (S. F. -'I. O.), a éLé envoyée tous les par-iii so-eialites e-t communistes d'Angleterre, de Bel' giqu-e, d'italie et- d'Allemagne. L'-oh-jet de cette réunion es t d'-étudier la ques-. tiori des réparations et la reconstitution éceno- sflque et financière de l'Euro3e. D'ores et cléjut,- les socalis-tea -belges ont annon- cé cjuï'-ils- se feraient -représenter par une vi-n-gtai- aie de délégués. Le parti majoritaire aliemand adhérent la lie lntrn-aiiona1e et le parti des indépendants ont annoncé qu'ils enverraient des délégués. Les ccmmunste-s, jusqu'ici, n'ont pas répondu l'appel qui icur fn-t adressé comme - aux autres. Lei Italiens ont envoyé une réponse favora- :bi5-. Enfin le Laboue -Parti, l'lndépendant Labour Party et iii conseil -de-s Trade-Unions anglaises j enverront leurs -représentants. Le parti socialiste (S. F. 1. 0,) a té c1srgé - du-- rc1p-ort sur tes -questions i l'ordre du jeu-r. n fut présenté mardi, ii 17 h. à la commission - des affaire extéeieueSs du parti socialiSte par Blum et Vincent Auriol. La commission admi- nistrative permanente Va adopté dans une réunéon tenue dans la aGirée. - Le rapport Biem-Auriol, imprimé en fr5-nçais, en siflgais et en allemand, et qùi servi-ra de base de discusin, énumre un eieànble de pro- PôSi4ioiis aningues - celles qiuï furent adpirées -par : les -- conf&ences socialistes et syndicales d'A±nstedam l'an dernier. - - - La C. C. T. dont Jou-haux est le se-crtaire générai sera 5resentie en vue d'envoyer des dé. lé-gués ii cette conFérence. Voici les noms des délégués fratiçais désgné-s hier par la C. A. P. pour représenter la Fra-oce Paul Foure. secrétaire général du part-i; 8m-m, Auna!, Lebas, Evrard, Brackg-,'Presaemane, Va. renne, Renaude!. Longuet et Crumbach. ts d - srll f9pic IffiO Il serait cresion de céder à une coni- pagaie privée Ie lignes de chemins de- fer du Tchkin àctuelle-ment gérés par la Colonie. D'api'ès nctrc confiïe Frcihcc-b'idochi- hC la compagnie privée -intéressée ne -veut s'engager qu'a la conditicn- d'avoir les deux lignes de Ben-thuy et Langer n. Le pont D3umer ptovoque aussi des dis-. cussio-n-s, la c-o-in-panie en question ne ve-ulant pas- en preuïdre -n. charge à elle seu 1 e. Le Gciyenement, lui, ne veut i'ien v_oiT sous prétexte qu'à partir du mc-ment èi elle aura j-ris les lignes de Larigron et ln-'thu3',- e-11e sera seule à se servir -d-e cet -uvrage. Et l 5thle bien que le gouïvernènient a raisOil.- - - M)alheui-euCent. la Conariie pri- viC C-n questio de solides appuis poli- tiques. - - . -- Nous jerrcns bien s'- eujc-c trionihe- ;o-nt c:c la rsisteace dit- gouve-rncmen i,_ifl Tnnlcin - '1 "- \cl-ld i'c - -9: :DlT3oN réries-; eL L&flgU-'dG -r±1 CL Aveyrôrt l'Uk)Wiat3 i airi C iiii sI COozie. t 2 le 24 (r. ranger. 4 f5 - ', (r. s- t I)epus une semaine sa plaide devant uns ----- de justice de l principauté de Galles, une cue affaire d'ernpoiscn-nement,-eendue pIi-s coiir- piiqu-éc par l'intesve-nti-o-n d'uiv nombre in-rri de médecins. Le major Ar-mstroug est hccurè dc- voir empesonné sa femme en lui lais-ont avaler -de l'arsenic et ac-cessoirarnent d'avoir tenté dam- poisen-ner à distance, au moyen de bonbon-s toX- -ques anonymement expédiés, - son voisin et ami le sollicitor MarLin. Or, Mmc A-rmstrong rta -pas été soignés sou-lenuent à son domicile; eia a dté trrsi-tée tenap-orairenucnt dans une maison de -santé eu-r-ale et dans nue cl-inique urbaine. A p-lu. sieurs reprises, elle Si vu- se pencher sur elleS de praticiens appd-és en consoltatin et assis-tés de tout un personnei d'infirmières. Il est ii peine -utile de noter que ces homrnrs de sceiuce et de bonne foi non-t rien compris à la loiugue ma- idie de Mine A-rmetreng, qu'ils en ont n-r'tribr& les désordres s des causes diverses sur lesquel!aa ils ne se trouvaient pci-itt d'accord et que fine- lement deux de.nre cuir on-t - rédigé cl signé la déclaration de décès -en le justifiant par des ac- cidents cardiaques. s n -a I rien que d'odinairc. Dans la plu- parS des affaires d'em-poi-sonnemnt, les coupp- -bics agissent sous les yeux des médecins cana -éveiller 1curs soupçons. Quelques-uns des méde- Cires appelés up-rès de Mme Armsticag con-fient aujorzrd'hui aujue de la cour qu'ils eurent des doutes, des inquiétudes. aucue, aucun- mo-merst :na formeilé d'avecbi-scernent définitif. La re somption cviininelle et la pousu-ite sésuitent uni- quem-ent de -l'au-tojps3e. - --- - Au cours des in ercogaso ses recurrlii5 vendredi I avocat du m n te e ni b e a interp&L 1 urt de doctes s M H n s sir es reLirons- ente xierres .-ve saccu e V0r, 'ivez etc appel,. aussi o don"er es soins e 'VI Armstrong au cour d r ne mald s iu il fit au pi ntemps de 1920 Quel e etu t cet e rnsr-ladie et ccOnnieist lavez-vou-s soignée ? Aussi-tbi - toua les a4ocats présents et tecra 1e m4lecins ce sorit levés d'ue seui mouvement --pour crier d'une seuie voix M. Hiucks : ---- Ne rép-nndez pa5 ! Vo-us n'avez pas le droit - -de répondre ! Le secret proFessionnel vous l'in- teidit ! - La docteur montra alors qu'il ne concevait pas une iiofl si sjmplLst de ses ohliga1cns. - - Spontanémed-t, personnellerneCt, déclara--t-i-1, je ne dois rpondre, mua-la il apparent a-u juge de dkider si mon devoir de témoin dans -rifle affaire qui es-t d'intérêt soci-s-1 dot ou noir ie:mper-ter sur l-s devoir professionnel de ds-- ciét-ion qui men-gage tacitement, mais netement envers mon en-rien client, Je répondrai donc à la qua-tiori si- 'e juge m'ocdcnne d'y ré-por.-dre. Le juge ayant doné l'ordre attendu, M.- Hinsk- sexpliqu-a immédiatc-iitot. - - -- Je ù'E je-mois admis, -a-t-il dit ensuite, que ti secret -profeSsionnel pQt m'çrkiraîner à trous- tisa' iii justice. Cela semble -une exçe!len-te, :otsonnable et la- g'ique théorie des e1zdiatione. soc5 elle eSt Lii- rieuse-ment repou-sr&e ar les milieux médicaux - 1 et jud-i-ciaircs. Mille ardenas polurnques sont ou- : Veites et la question sera portée devant ia Ch-am- bic des Commune5 dès sa prem'àre réuni-ors. Les Anglais sapèrent aboutir à ruse législation -plus rnieili-gcrtc -r-- U sec-ret pedfessioil dii - médecin, - - COURFAYRAC. Un grand musc Aithur Nr-kisrls est morS : lun des p--:n s clsrfrs d'orchestre -du monde Né en I-bagne. ii -y e 66 ans, son succès ttai-t tel que ses soirées-étaient retenues plusieurs en- nées à l'avance, e l'on-conte qsil lui acewa Lcd- -c1iemnuent de monter au pupitre, en public. c-uns avoir ouvert eu préalable la partition- quA avoir à ti-, i-ger, ce qui ne l'emchait point, mème ecu jours-là, de cemporter autant de triomphes. Hé-làs ! il était joueur. Conabien de nu15 (alors q'u'-il é-tait chel doreh-estre du Gcwan- dl'-r,us. Cyan-t guerre) n'a-t-ii pas passées tait- ler une banque au café Rouer, -et combiefl- d 10,16, devant sa femme et sa flUe én 1arrns. l'huissier ne dut-il p-es venir poser les scellés- che lui - ' Mais ceci et rcmaisqudbte : la mre que, vous n'eussiez pas trou-v-é, dans -tout Lepzg. un seul bureau de tabac (et Dieu -sait s'il y s-n omit), un seul libraire, qui n'ait cd clans os vi-tri-ne la photo de N-iki-scli, au hit profil déeen chanté, sur lequel tombait une belle mèche de cheveux et vers lequel mntait la fumée d'une drernelle cigar-eie. Is fllX S'- 9t OMII S1S bil(t Le ccntr6leïrr 'du fra-in laiïs leUel 1' cardinaux ft-ançai'i c-nt-fait leur voyage; st t!:éClai'é à l'un dc: secrétaires qui accClZTi pagnaient Leurs E-rnine-nce et qui p-aria-if italsn. qu'il avait otdre de ne pas faim payer 1e prix des places salo-ts,- mais. qa contre. qu'il devait réclamei e ptbz 1e billets simples. Il exprirn u'en Itauie le et ies priiices acquittent toujours ie priC de leurs lilace. 1e ---i't du wagc;n-salc'ft -eetnIem-cf-aurnit été,ÇieI 4.898 lire: le' mon4 t , t f', +m Ilc-t rmpes dc premiere cl'iss ecet !evé à 1.966 lire par piOflflC. 7 .- - .-.-.-..--. I Vie IiUste ' L-ecretprFssioue1 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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4_ L?néL _ N 77

gMlNSTMflH & É3ACO)

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ftDro : 5 Cth)e

nLe Mi:flS ilan a niss1fl ila viltz d 1

rgflce dc Gns qu'1 a prvoqt*c h-mme

tes jactllllaires des iîiuiesau service

es tab1isseueîts Je ert1itL43p1r110n publique s est vivement emue tomme es en inesuie de le faiie ure puis

de la ré1IabiOI qite j'ai faite i la Tribu nce capitaliste cjui fonue &ane d la COIILSIOfl plus cu moins formelle sur ks acnficcs cu elle reL1t prec ettraditicnnelle qui existe entre les hauts ment parfrxude, t imposer t 1EtaL

fonctionnaires des Finances et les Soci Quels que soient les traitrnents d cestés Cpitalites qu ils ont pour missicn hauts fonctionnaires, tyi ri'ernr&chera ja£peclalC d ,urveiI er et de contiôler mais un etablissement ce crdit u tine

Les niuls et piatiques que J ai clii Societe CpitalisLe detenteuis pou' ccscievoiil derncei publiquement rappellent 1utres de monopoles ccncedes q t leurii etL ies tares des administrations ru:s-' noiesaL iflOIUS d une époqb - -

millions, de çonsentir une fctiongarantissentdes bn&fices de daines de

ecetite ou les fonctionnaucs etaient sur ou nioins elcve cli. ces berhLe5 u.tout payés par les peTsCflfles qui avaient 'fonctionnaires qui les ur cnt garantie.)beo1n de iecoulIr a leuis sev'cs Leur Les ituItat, comptent .euls aan les n itaitcfleflt officiel était généralenent mo lieux cFaffaires et la - rncirae est tctaleese et .i tout le monde excusait les rnenL absente des concepts e es chefs c inn'ixrorniSsiOXiS constantes auxquelles ilS. dstrie.

:La question se p6se alcs .e saoir si

es ;puissances redoutables, qui cémcira-lisent la fonction publique en mettant auxenchères la trahiqn du fonctionnare, neconstituent pas un d4iger scia., n dan-.ger pour la Nation .tou t entièe; qu'ellesparviennent à dornine'r.

L eprience de ces uernires anneesi gi1erïe abus avons des foncFionnanes ne I iise aucun dø1Je a ce si jet Lcs con

UL SE' donnent eusvement pour nusioTj, avec l'assentiiTent d!aiiicus d Mi-.ist qui les couvre. de dépouiller lEtat

quiles pâie au profit des Scciéts qui leurpro2ettent un avenix plus doré. il serait(ntt.ress-nt de rechercher si la plupart deivasiofls que j'ai signalées ne se sont pas

produites au lendemain mmc du sacri-'ice inpo3é iil'Etat au pøfit de la pu-.sace privée qUi accueille k transfuge.-:

1)ans tous les cas, la chose et certaineM. Celier, par exemple,- qui n'a

ien ng!ig pour défendre rotanrnent les-intért de la Banque d FTance, de la

nnque d'AIg(rie èt dc la ÇJomagnie desCh:arge us R&unis, cortr ceux de l 'Etat;et cui s rs empressé :le passer aU servi-ce ce ses puissances privées dès que sesefforts ont été ccuronnés d succês.

Il ne suffit pas de dénoncei ces scan-claies, il faut lC répriiIte d'abod, lesprevenir ensuite.

Une loi £p&ile a &é pcis&mefif voL. te cette fin, n 1919. L'arL.icle 10 de laloi &t 6 c.:ctobre 191-9 complète, en effettrès heureùsement l'article .1 75 du CodePéal, en punisan de l'emprjscnnement;de laménde, t la fois, le fonctioinairepublic qpii prend ou reçoit une participa-.,(1ti 1ans les concessions, entreprises Oilegies qui éLaient directemlent soumise às surveillance o-u it sin contr6le, et, ccm-Ifle cGrnpiices, les dirigeants de ces coi-C5S1Op cntiorjses ou reie

nepôiivaieflt a'empêcher, d consentir,peL'sonne n'ignoait que le contribuaep:Yait en d&firiiive très chei' une organi-saicii adrnnistrative cestable qui enta-vait l'essor économique du Pays.

II faut aVQ&Ter que nous en sOmrreSpr:esque 1 en France dans certaines sphie, de I Adxrnnisrati&n Publique depuis

diticns cans lesquelles cnt été i-encuvel6sles pïivilge de la Banque de Frante;delaI3hque d'Al.gi-ie, et crnisés lesfliOflC4POICS privés des Compa:gnies deChemins de Fei et de Navigatrn parexemple, conditions qui tcujoignent que3euls les intét&s des oigarhies caçitalis-tes ent ét anlément sauvegardées; at-testent surabondamment que l'Etat etiecontribuable sont cte moins enfendu.s devant la rapaciti des puissances1'argent, au moment inifle ci tus ceux

connaissent la pire détresse et où ces der-ni.res ne Peuvent dissimuler la p!us insolente richesse. ;

C'est au prix des plus gt anda ffotqï;e nous ivns ussi à associer iEtataUK bénéfices exceptionnels que tire laBanque de France de son piivige ci'é-rnisSiori. En fait, la c)aue' 'associationest impteniment tournée ar la consti.tu.tiOn d'énormes r&serves. dcnt l'emploichappe eptièrernent nu contci3le ie lE-

tat asscci&, et scandalise cependant l'G-pinion publique, comme in fiirei- dc ier-tuction et de reconstruction cnt est sai-sic la Banque de. France, par exeiple,depuis l'armistice.

L'a leçon des faits et atasi I -eernplede I etranger nous font aujotro hui tneobligation slno;n de limiter 'les .léfices;du moms d associex exbfetrnt l'Etat

.

au beneflce.s exorbitants cue 'réalint.-. entrepiises prive- grcc -w concc urs di

La sanction est pr&cise et elle sapph xect ou incurect u elles cbftnnent ce laque rncontc'tab1ement aux cris que aicites à la Tribune. Pourquôi -les rigueurs

.Codie qui ne ditinguent pas entre lestehnouants ei jUi sont toujours brandièsSan ccntre les petites getis, ne trJ-ventei;es pas ici leur app' licatiôn diii-gente ?. -

011 peut bien conVenir e les fail-.lances certaines de la Magistrature de cer5 a I égard des puissances çi'argejit' roivent sinon une justification, du mcinsUne excuse dans la ccmpiticit tacite oc

:iPi-1.i publique. Il n'est pas douteuxq e Justice ne rrii F4_o-___-_4otsqe 1opmioll Saura l'exiger. Dans lesPays 'narchiques et autocratiques, cer-raines catgcrjes de personnes sont çffi-Cielieflt audessus des lois et ne sau-.iaset rpondye comme le commun cesniol-tels, ce leurs crimes et élits.Dans une dmtocratje, il flO sauràit Yavrj1'PCIsonne ,4 J.-qu'il fle sauraity n enco- - " "i-' OUveflt des graces c L.-rat.. qui, comme . par hasatd, egarentUJot1rs sur les marnes personnes titiennent de près aux puissances d'argnt.I faut que Cela CCCSC d'autant mieux ques crjnes et d:ljt5 de ce puissances etleurs pIctagj_ sont autieiflent

Pour l'ordre et la santé flraledu Pays que ceux des petites gens..r reprimer est une fl&cesaité fatale, iiraut hie

oire que la répression estitiC ariemOU.5Se dan5 un milieu cor-°mptentateir Ce q1Ii vaut mieuxOre, est préirnir les Crimes etits Par légialation rationnelle qui- esarrn

les individus.- 1 dit avec raison, ii faut ciïie I Etre5 J"WC payerse3 fccor , tre plus impotant eflcore, t iduire 'c-- .'u' et à le5 garder ainsi d'une1anIere plus serv1L' exclusifaI3

nest.:pas duteux que. que!l qt;bit sa J)Cnfle VO!Ùflte Et-ii- , irPYer Ses hauts3

ccilectivitfi. -

Cette asôcTat1on cloh tie a3ur suïrles bz5ncficcs commerciaux, et non plus,comme jiisqu ici ui ie beneflces rc1.cirlis, ap1s dctation des ïserves. :

. Aux Etats-Unis, rkrie Ici du 3 ocTobre1917 a établi unirnpt de guerre, rendudepuis permenent, sur les excéuehts debtntfices. Le taux ie cet irnpit est pto-gressif e porte sur les hnéficC3 qui dé-passent 10 pour cent du capital investidans l'entreprise; il est de 20 duïr centsur l montant de la tranche des bénficesallant de I 1 à 15 pour cent du captalinvesti; de 25 pour cent sur celuide .1620 pou cent, de 35 pour cent suit celuide 21 à 25 pour cent, de 45 pbui centsur celui de 26 35 pour cent; e tO pcucent du mcntant des bénéfices c!épassant-33 p0 ur cent du capita'.

Dans ce systme. le partage eiéné-fices n'cstpas faussé pr la constituticnabsive ces réserves et les bénéfices iesplus exorbitants sont de plus en plu se-vèrem:e.nt atteints : i est ainsi i la foisssentie1lemcnt équitable e t mcral.Signalons tCUt dC suite qu'il a appOte

au frésor américain 2 milliardi et demide Joiiars en 1 9 I 9, soit plus de i 2 mii-liard3 et demi de francs au riair et lamoitié de cette scmjrne en 1920.

On peut ainsi juger de la verti na1et fiscale dc cet mpt spcial, qui n'c'sd'ailleur3 pas exclusif ce l'ilnp& SU lerevenu in4ivichrel prciitement dit qui aprodiiif une somme à reu prè égale en1920. I

C'est p irnp?f :le c ne qtjencu3 parvieflcrOnS n Fcance équilibréiJe budget de l'Etat et ce çui est peut-

QUOTD SOCALJSTE kGONL

tion déncralisatsie des puissances d'id-gent et leur emprise sur les fonctionnairesp ii h! ics . . --

'.:: IdOt!ord R 8TLfE,

DpiiL4 dc 1'!hÇra7l,

CHIENS DE I UXELa p1i npbk coiiqut que la jJnrnc j:

fluais :Faite sra-t-el!c celle dc CC pcWs a,iirnsux upoiLi lo:isi ou c9ui!s quc l'on pot-la a co!oifsOj sous le bais, sou Jcus tut maiichoi ?

Je viens dassister iu vernissage d ur exposion cannè des plus rnondains. I-Ses mau!iands

dc CabOtS cL k'utes djmesicns r'w)arn! fu)fltpriée d'y exposcr letirs clerncrs pz.sdcis. Do

nmc qu'on ne mélange pas ici scrCcc,i uVeCÉc torchons, il convicnt d no pcu cononIrc 1ct1Op7itoirej de chcns 1pièrcs d'(pag'lils, ric-lrres dc loulous) uvcc loi vu?goires ondtrsdc viande Onimi.

lYapiès ion fifre : Exposition de cen de.1uxe présen1s pe leurs iiiabes, on ïgo dc cc:euc pouVZ ,trc cc cernissagç. Les chn3 y

iitiafl1 peignis, friSés et dorn&i dr os d ru-bans. et le maUres cux-nime3 y Ca.-ais5lcntvernis. Jlucutte odeur ncuzséiondc riedait. &cn au contafre, ii crus mopiL ocx na-rifles une exquiFsc Ui&ric de paun-s & lon peu-vqi humer I'origen dei 'ante nnièras, letabac blond ck.- c(istitigs pproi ct le fasrnn,l'ceillel, le corglopsis cl la rose de niesecri lestautous.

Chiais dc luxe prent pai kws mai'rcsDe relour clicz moi, jO ressaa ceto expli-

collon impritno sur Ici cLTrtci d'cntréc.Eh bien,. elle si fausse, l'explicaLiorz, odio use-

mCni gaUsse. Nons 1roinpis, ?crns.J e ne suie pas uVculc, i'imeinc. Donc, 'ui

Vu; donc, j'ai issisLc auxphases sieoureuscs decette cxhibitioij.

Vraiment. ce no soni pas ls chiens qui furenfprscnts par leurs maUres. Je vovs jure que ce-sont les iiiaftres qui fnrcn precnf6s par leursehiçus. Cc ri'&cnt pas cotix-c qii l'on tenaiten laisse, c'Mient ccuxL qui iraicni une $ccllcau boui de laquelle iin monsieur gw2tré, monoc&,cala,aishé, ou nnè dans? empanacli&, cnierhe,enlumin,e se torillcn ni en peus ani des ttLsubo2crnents. - -

015 ! le cocas eoyez-donc s'il es huruxdc sa frøtwer pareille -fi?ie f,.. Poulet mignon,mmouJ geszx lu rim k cnir &c*nqa4k aoyons'

Mais le poule& irignon mansours camprenant aT5ei!eften que la cercmonie c'ait u leurglaire, frtilltsien de la quéne, coquetaient dumuïieau e semblaient faire de l'oeil ou Jury dis-pinsatcur ds rcornpcnses.

-Et, ce soir, indiiant sur les kndresges bizarresde certains de nscs concmporains, je mc sou-Viens d'unc Cisjbz foie, najuirc, au cirnelièredci chiens, là-bas, dc l'aulre c&ié de Paris.

Ah ! CeS ipithaphes ! Que de maximes ira-sur la pierre en /'honneur de Chouchou, de

Riquet ou d'Azor I On emprunte ii Bu550n,Pascal, ii os lcs moralisjc çL na-!uralistcs.

Mais, de ioules les rpiUipJtes, ce ul celle-ciqui me stupia devaoxege :

« PIu je connais ies hommes, plus j:ameoon chi.n ».Car (je VOis ej5irtna que je n'cxagre pci), la

dame qui aveU cominandt cc rnaiieohic pour abri-fer la dpouill morleile dc son griffon bruxel-lois, avaU sous l'crnpiic, quelque cho cern-me la colonelle dc la garde do Cupidon.

iel-lelei6i:-:-'.., - " 'ç- " '

Demain : -

LA F, RG UE-TA RTA Sda Gers -

Cos&l dParis, 2 ftvi'.i-er. Les Ininist-L-es {t sO'US

tepé;taires d'EUat sq s-ont réunis c-e ma-t-in-t o J4eu1-Ls IU »lifl S[e . (1( , fl j t ii

1gèrcs 'CTI conpi1 'de eti-biilet sous -la priri-dnc de -M. -Poiiuc-aré,

M J'oincc n ini ii l gil -, ou cou-mu-t des incidetite de (Iwt et do Ober-

Iogau.- - - » -.-- s-----L-e rnini-sfto- du- eomrnere -a - at jr1 à

E'-' co1Ii,ii f L' 't 1I( ntion'Irane-ugrioles. -

Le onse!-1 s-st flSuii ---- (i(' 1i-s-ers -projets (i(po:;s sr --- l)un:at desC1ianibres.

mîsson (h mistère oomi-110mo, 2 évrieir, - M. J3oaomi e remis -la

dcimiss-ion du -ministère italien a-u roi.Le roi u fai appeler inrn-diatemrnt M.

Orlando -pour foauxiei- -I-o nuvc-sii 'abiut.

Les rojtsSfisbourg. Dan l'article 'cte fônd de

sà première édition du matin, la i Ga-zette de Francfort - publie des détailsur les offres qui fiirent d'ailleurs repous-

sées. Ce journal écrit : e Hugo Stinnesavaj, l'-idée poUr ainsi dire patric-tiqueque i'Allema-goe afin d-e faire face auxéché nces de janvief aVait besoin 4 unempr nt, n pensait aussi qué aelcn !voeu du gouvernenrent anglais, il fallaitfaire dipoiaîtte Jedéficit des chemins dee-r et enfin -il avait l'intention de fa-ire

-ine bonne affriire, voici donc ce qui futprop-o-sé au ouve-fteflt -nglnis : -

e Stinnes et e-s a1is èseiàIIt rend-cacqueieu oes chenuins ck j:cr cl i Rechet en échéance de -ttc rcnse, fisan-raient- avancé les 5(10-cr pour l'échéance dc-jarivier, qu! iîsh-cUaient-au zouvernrreitt aemand e.

ttttpw : O.4

Au stj d a nue d Chine il a oI-éré «UNANDLLÊMLTÉS . - -

(Signé : L'CHO NATiONAL, org-an c1rnenis!,)

REU\1OL\ DU 24 jINVJER 192-2

d'VVliQJ eiinesscs. - Le priocipe dune subventon-

eelopte es ii'Oye i la omiTnSS1Ofl des finuers qui fera des propptions à la C. A. F- crifixera la quoit et l'emploi.

Coircspoircarice incrneioÎialc. - Paul Fauredonne connaï,sance des leFtie des Paxtis socia-lst-es espagnol, polonais, scandinave. Le .sçcr-taire est mandrst pour répondre.

Après avoir pris conna-ssrrnce de l'invitationno Congrès du Labôur Party. la C. A. P. chargele srcrtaire d'excuser le Parti de ne pouvoir yenvoyer de ddljgut et de iransmettre uue adressede sympathie.

Con5irencc intcrna!ionolepdc Paris. -' PatiFure donne lecture des diverses 1ebtr de

Partis invités. La C A. P. exaniine les quesunsd'organisation inarsirielle. Le bu'rau est che:p-Caviser eu sujet des 3ales de réunion. L-s Corri-rii-sson des affaixes ex-Lrrieare-s pr-prucra '-in

rapport sur les question-s à l'ordre- du jour que lac_ A. P. devra ratifuir et qui pourra tre dirtri-Lu aux déI-rigus à la Con-f6rence interna oualepour servir de base à la discussion.

crnaine de propagande. Paul Faure rendcompte de ce nue- le hu-r-eas si fait et des ré-çonses reçues des Fédérations. Diverse pro-po-si-tons sont renvoyées -au breau pou-r suta acon-ocr. -

« Le Populaire ». - Un échange de vuas o1iC1 su-r la ituaUon du Populaire. - -

- Coisgs dc, lndpcndatss. - Pan1Faure rendcampte du Cengrs sodauïsta allemand et docconfcren.ces fSs j Lusembourg de la mon lestalion grsndrçs de Lepry des demn. rationsspontané d--1a fule-enthousiaste à B-rlin, dela reu'ion du hrau de I Un en -des Pastis sacrarates de V cane Renaude! et Grumbach ojouten-t diverses ex-p-l-icaUens suz le voyage de la dé-1ég-atioos française- en Allemagise et la séanceestlevée. - - - -

La Secré1airc-ad3èir : HUBERT-ROUGER.

L,4 COiFERENCE . SOCIALISTE INTERNA-TIONALE DE PARiS

Samedi. dimanche et lundi, se tiendra, Parissalle de la Soc-i-été de Géographie, la conférencesocialiste internationale résolu-e par l-a commission des partis adhérents à l'Union de Vienne.

Lia convocation, fa-te par le parti scci-a-liste(S. F. -'I. O.), a éLé envoyée tous les par-iiiso-eialites e-t communistes d'Angleterre, de Bel'giqu-e, d'italie et- d'Allemagne.

L'-oh-jet de cette réunion es t d'-étudier la ques-.tiori des réparations et la reconstitution éceno-sflque et financière de l'Euro3e.

D'ores et cléjut,- les socalis-tea -belges ont annon-cé cjuï'-ils- se feraient -représenter par une vi-n-gtai-aie de délégués. Le parti majoritaire aliemandadhérent la lie lntrn-aiiona1e et le parti desindépendants ont annoncé qu'ils enverraient desdélégués. Les ccmmunste-s, jusqu'ici, n'ont pasrépondu l'appel qui icur fn-t adressé comme

- aux autres.Lei Italiens ont envoyé une réponse favora-

:bi5-. Enfin le Laboue -Parti, l'lndépendant LabourParty et iii conseil -de-s Trade-Unions anglaises

j enverront leurs -représentants.Le parti socialiste (S. F. 1. 0,) a té c1srgé

- du-- rc1p-ort sur tes -questions i l'ordre du jeu-r.n fut présenté mardi, ii 17 h. à la commission

- des affaire extéeieueSs du parti socialiSte parBlum et Vincent Auriol. La commission admi-nistrative permanente Va adopté dans une réunéontenue dans la aGirée. -

Le rapport Biem-Auriol, imprimé en fr5-nçais,en siflgais et en allemand, et qùi servi-ra de basede discusin, énumre un eieànble de pro-PôSi4ioiis aningues - celles qiuï furent adpirées-par : les -- conf&ences socialistes et syndicalesd'A±nstedam l'an dernier. - - - -

La C. C. T. dont Jou-haux est le se-crtairegénérai sera 5resentie en vue d'envoyer des dé.lé-gués ii cette conFérence.

Voici les noms des délégués fratiçais désgné-shier par la C. A. P. pour représenter la Fra-ocePaul Foure. secrétaire général du part-i; 8m-m,Auna!, Lebas, Evrard, Brackg-,'Presaemane, Va.renne, Renaude!. Longuet et Crumbach.

ts d -

srll f9pic IffiO

Il serait cresion de céder à une coni-pagaie privée Ie lignes de chemins de-fer du Tchkin àctuelle-ment gérés parla Colonie.

D'api'ès nctrc confiïe Frcihcc-b'idochi-hC la compagnie privée -intéressée ne-veut s'engager qu'a la conditicn- d'avoirles deux lignes de Ben-thuy et Langer n.Le pont D3umer ptovoque aussi des dis-.cussio-n-s, la c-o-in-panie en question neve-ulant pas- en preuïdre -n. charge à elleseu 1 e.

Le Gciyenement, lui, ne veut i'ienv_oiT sous prétexte qu'à partir du mc-mentèi elle aura j-ris les lignes de Larigronet ln-'thu3',- e-11e sera seule à se servir-d-e cet -uvrage.

Et l 5thle bien que le gouïvernènienta raisOil.- - -

M)alheui-euCent. la Conariie pri-viC C-n questio de solides appuis poli-tiques. - - - - . --

Nous jerrcns bien s'- eujc-c trionihe-;o-nt c:c la rsisteace dit- gouve-rncmeni,_ifl Tnnlcin -

'1 "-

\cl-ld i'c - -9::DlT3oN

réries-; eL L&flgU-'dG-r±1 CL Aveyrôrtl'Uk)Wiat3 i

airi C iiiisI COozie. t 2 le 24 (r. 4Ç

ranger. 4 f5 - ', (r. s- t

I)epus une semaine sa plaide devant uns -----

de justice de l principauté de Galles, unecue affaire d'ernpoiscn-nement,-eendue pIi-s coiir-piiqu-éc par l'intesve-nti-o-n d'uiv nombre in-rride médecins. Le major Ar-mstroug est hccurè dc-voir empesonné sa femme en lui lais-ont avaler-de l'arsenic et ac-cessoirarnent d'avoir tenté dam-poisen-ner à distance, au moyen de bonbon-s toX--ques anonymement expédiés, - son voisin et amile sollicitor MarLin. Or, Mmc A-rmstrong rta-pas été soignés sou-lenuent à son domicile; eiaa dté trrsi-tée tenap-orairenucnt dans une maison de-santé eu-r-ale et dans nue cl-inique urbaine. A p-lu.sieurs reprises, elle Si vu- se pencher sur elleS depraticiens appd-és en consoltatin et assis-tés detout un personnei d'infirmières. Il est ii peine-utile de noter que ces homrnrs de sceiuce etde bonne foi non-t rien compris à la loiugue ma-idie de Mine A-rmetreng, qu'ils en ont n-r'tribr&les désordres s des causes diverses sur lesquel!aails ne se trouvaient pci-itt d'accord et que fine-lement deux de.nre cuir on-t - rédigé cl signé ladéclaration de décès -en le justifiant par des ac-cidents cardiaques. -

s

n -a I rien que d'odinairc. Dans la plu-parS des affaires d'em-poi-sonnemnt, les coupp--bics agissent sous les yeux des médecins cana-éveiller 1curs soupçons. Quelques-uns des méde-Cires appelés up-rès de Mme Armsticag con-fientaujorzrd'hui aujue de la cour qu'ils eurent desdoutes, des inquiétudes. aucue, aucun- mo-merst:na formeilé d'avecbi-scernent définitif. La resomption cviininelle et la pousu-ite sésuitent uni-quem-ent de -l'au-tojps3e. - - --- -

Au cours des in ercogaso ses recurrlii5 vendrediI avocat du m n te e ni b e a interp&L 1 urtde doctes s M H n s sir es reLirons- entexierres .-ve saccu e

V0r, 'ivez etc appel,. aussi o don"er essoins e 'VI Armstrong au cour d r ne mald siu il fit au pi ntemps de 1920 Quel e etu t cet ernsr-ladie et ccOnnieist lavez-vou-s soignée ?

Aussi-tbi - toua les a4ocats présents et tecra 1e

m4lecins ce sorit levés d'ue seui mouvement--pour crier d'une seuie voix M. Hiucks :

---- Ne rép-nndez pa5 ! Vo-us n'avez pas le droit -

-de répondre ! Le secret proFessionnel vous l'in-teidit ! -

La docteur montra alors qu'il ne concevaitpas une iiofl si sjmplLst de ses ohliga1cns. -

- Spontanémed-t, personnellerneCt, déclara--t-i-1,je ne dois rpondre, mua-la il apparent a-ujuge de dkider si mon devoir de témoin dans-rifle affaire qui es-t d'intérêt soci-s-1 dot ou noirie:mper-ter sur l-s devoir professionnel de ds--ciét-ion qui men-gage tacitement, mais netementenvers mon en-rien client, Je répondrai donc àla qua-tiori si- 'e juge m'ocdcnne d'y ré-por.-dre.

Le juge ayant doné l'ordre attendu, M.- Hinsk-sexpliqu-a immédiatc-iitot. -

- -- Je ù'E je-mois admis, -a-t-il dit ensuite, queti secret -profeSsionnel pQt m'çrkiraîner à trous-tisa' iii justice.

Cela semble -une exçe!len-te, :otsonnable et la-g'ique théorie des e1zdiatione. soc5 elle eSt Lii-

rieuse-ment repou-sr&e ar les milieux médicaux -

1 et jud-i-ciaircs. Mille ardenas polurnques sont ou-: Veites et la question sera portée devant ia Ch-am-bic des Commune5 dès sa prem'àre réuni-ors.Les Anglais sapèrent aboutir à ruse législation-plus rnieili-gcrtc -r-- U sec-ret pedfessioil dii -médecin, -

-

COURFAYRAC.

Un grand muscAithur Nr-kisrls est morS : lun des p--:n s

clsrfrs d'orchestre -du mondeNé en I-bagne. ii -y e 66 ans, son succès ttai-t

tel que ses soirées-étaient retenues plusieurs en-nées à l'avance, e l'on-conte qsil lui acewa Lcd--c1iemnuent de monter au pupitre, en public. c-unsavoir ouvert eu préalable la partition- quA avoirà ti-, i-ger, ce qui ne l'emchait point, mèmeecu jours-là, de cemporter autant de triomphes.

Hé-làs ! il était joueur. Conabien de nu15(alors q'u'-il é-tait chel doreh-estre du Gcwan-dl'-r,us. Cyan-t guerre) n'a-t-ii pas passées tait-ler une banque au café Rouer, -et combiefl- d10,16, devant sa femme et sa flUe én 1arrns.l'huissier ne dut-il p-es venir poser les scellés- chelui- ' Mais ceci et rcmaisqudbte : la mreque, vous n'eussiez pas trou-v-é, dans -tout Lepzg.un seul bureau de tabac (et Dieu -sait s'il y s-nomit), un seul libraire, qui n'ait cd clans osvi-tri-ne la photo de N-iki-scli, au hit profil déeenchanté, sur lequel tombait une belle mèche decheveux et vers lequel mntait la fumée d'unedrernelle cigar-eie.

Is fllX S'- 9t OMII S1S bil(t

Le ccntr6leïrr 'du fra-in laiïs leUel 1'cardinaux ft-ançai'i c-nt-fait leur voyage; stt!:éClai'é à l'un dc: secrétaires qui accClZTipagnaient Leurs E-rnine-nce et qui p-aria-ifitalsn. qu'il avait otdre de ne pas faimpayer 1e prix des places salo-ts,- mais. qacontre. qu'il devait réclamei e ptbz 1e

billets simples.Il exprirn u'en Itauie le

et ies priiices acquittent toujours ie priCde leurs lilace. 1e ---i't du wagc;n-salc'ft-eetnIem-cf-aurnit été,ÇieI 4.898 lire: le' mon4t , t f', +m Ilc-t rmpes dc premiere cl'issecet !evé à 1.966 lire par piOflflC. -

7

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I Vie IiUste ' L-ecretprFssioue1

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Lc Vivmts

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leur »hoa:o5r1k11Hc

L'article publié par le Midi au:s pricnniers français rpatnesdAl-ernagne et dont cr n a pu etablir I icen

iité, caUsé paIn- les ftrni1Fes où il exis-e des di$paL.us )) da guerre me proOflce motjon. Nos indicatiGns ont d aiI

:eui-; i: repries pat plusieurs confrères,neaiïHflent par I'I-Icrnmc LibrJ et part'Ec1io Notiw;o!. Et cette doulcure.use af-

ire des six mcrts vivants » a valu: a-»inistère des pensions çomrr'e noue---- une avalanche dc Icttres pressantes ettinterrogatoires angoissés.

11 ebI temp d'en finir et de mettre àfl:e le parents de se livrer à des inves

figaticns qui auront peut-être plus de suc -cès que les recherches poursuivies jus-qulci par 1adrninstration.

ofl annonce que M. Mainot Va pro-hiieinent cornrnunquer à la presse aphotographie ctes six pcilus- iriccnrïus, eny j&ignant: les détail5 signaIt:ques qui ona pu recueillir sur Il est à souhaiteique cette ifltentiGn ne demeure pas ài'tnt de pronesse niais bien quelle soitra1isÉe sans retard.- Il serait bon nctamment cue pour chacrin de ces grrnds blesses on meubon-nt outre Ie.ar sigrialenrent, le camp ahe-:mnd d'oii il5 ont été renvc-s en Fran-ce, e les lieux de captivité où ils ontp passer sucessivnîent, comme aussi'ndrnit où ils 5ont actuellement internés.

. ikvrai dsre, et-ce seulement six na-dns captifs Cui se ticuvent daiis l'(-fyablc situation que Von connaît ? liy en avait huit jadis, qui fig u rent encoresur un tableau aux lnvaioes et pnrrnii les-4:Ieis deux n:aintenant sont morts, tan-*jSr 4Uf CICUX autres CaL pu être officielle-

nei-t reconnus. 11 y en a donc encore qua-e, a'il tTcnvien.drait d'ajeuter à ceux

dbnt n parlé le sénateur Monsservin lorsde ses révélations ai Sénat.

:nT3' ces iUatïC nutrs anciens captifsnm identfié9, un serait Serbe et passeraitpcur un nommé Slavko.

_es trOi9 autres sont Français.. Le pre-rCr a été appelé à tout hasard Deninck;

iL serait venn de l'asile t lon en Aile-).$ne, le ler février 191$. Sca sgne-

rnnt estie suivant taille I ra. 57, yeuxbku cheveux ehtain clair, barbe bkn-de. Le ecnd est désigné sous k nom

.'Authelme Mangin; il a &t& ranatri,lai arasi, de- lron, eE :se tiou-çe t l'asile& Cterrront-ferrard. TaiIè 1 rn. 6t; yeux4-itan, cheeux châtain foncé, ciairseMs, barbe cliâtan, teint pale. Le toi-sièn,e a ét& évacué de I'h6pital d'Epinai,et conduit le 26 décembre 191& à l'asilede Saint-Poiis. Nice: on le nominement Guigauc. Il poe une cicatrice rec-t;Iie au--dessus du sourcil gauche et esttatout au bras &cit.

Au reste, les photographies de CeS qua-tse nrilheùreux, gceque peu jaunies, setouVent aux h&vaid'es, où les renseigne-msnts ccncelnant les six autres captifsiflconnus ne sont pas encore parvenus.

- Mais, encore une fois, ce n'est pas clansuu coin perdu d gouvenieaisnt militaire,o1 l'on n'accède cjii'après bien des re-dicrehes, cu'i} convient 'de conserver desdccument5 pcut&re précieux. M. ivlagi-flot, tuteur des victmes de la gurre, doitJeur donner la pins lsrge et la pius cern-piète' publicité. Au mcins si, après cela,Jes mutilés dcnt il s'agit ne sont pas ra-connus, le geuvernernc'nt aura Çait ce qu'ij

saura pu pour les rendre à leurs familles.ll n apparaît pas jusaa'ici qu'il ait &t

trop.pressé d'aider à Çaire dipasaitre un

mystère particuièrenent attristant.

h. Fr:rtc ra4i 6ôsPa is. Le * Petit Prisien ' annonce

qua le gouvcnenhent français a fait ccn-naltre hier par tlégsamne au psési.dentcr Conseil italien, qu il acccptiit l'invita-iion à participer à la nfrence de G-

es-

M. POINCARE. VA S'ENTOURERD'EXPERTS

Paris. L' u Echo dc Paris croit sa-cir que M. Poirf n l'intention en

,tsici1 0e la Ccnféiencc dc Gènes (T fl-tckr pur s'entretenir avec lui, ies per-ennaiit&s qui, à des titres divers, çcur-

-iont le rens.nner entièrement.

- L' Echo de Paris o ajoute que de toute8 façons iI nest pas impoaibIe que

:d demain matin, le président de la R-i.pubiique s'entretienne de cette questionavec M. Poiiicar et M. l3oiugcois, ce.zlernier, président du Sénat et 7eprsen-tnt e la Frarice à la S.D.N., ainsi qu'a-yea M. Viviani dont 1 est question cern-me un des envcyé pi-incpaux dc laFrance à Gênes.

LA FRANCE N'A PAS ACOEPTEDE SE RENDRF A GENES

Paris lc M1inisère ccs affaires4tanères communique une ne suiviintInquelle la nouvelle pulie par ceitiins

'journaux et d'après laquelle le gouverne-mint français ivait tégraph 3\l. Ra-

o'mi, président ds'. conseil italien qu'ileetait d se rendre à l Conf6rcnce de

Cj)ics, est enonée.Je ôuVfliefrent frannis à la SUItC d!S

.isions ifltervetrnes Cenrs à. la, des-pière r&rnion du CwseiJ Ss,prme n ataflsfl]is aucune réponse au gt'u'tne-iCflt italien.LES FRMS DE Li CONFERNCE

Rnrn.e, L'Anc Vo'3ta uinoncekr frais uei conférence k Gênes

,;casio-nn s'élNent à. -5O iuilliohs.

L d 'Avon

fC$IftFS

'

o i g r e

ol-t s \Oié péc;pinnneL le b;c1g( I de 1922.Ced n'a pas enipécb6 cirUn rapporteurs cons-dencieux de pr&sente à la Ch!aIa des sa-p-ports ccmpkts. intreusants ei prodigiauseaientinsruc!ifs. Nous avons eu 1'ce1lent. rappot (-leM. Rouilloux-Lafont sur l'Atonauique et esTr.Tn'polts aiiens.

Dan8 ce travail, l'heneraWc rapporteur cossa-cre tout uts chipifte l'aéronastique à l'étSkflger, après avoir tnontr ce qu s'est accOaTLglichez nous. Nous éions cusieux de xwoir ce quse pr-tpare en Al1en1afl.5 à cet gaid ..Nous avansen sa'.isfaction.

LA11enagae se trouve gne sans doute dansson essar aérien nir le traité de Vesa1les donil'artkle 19 exclut forinelkmerit des foces mili-taires gerlflsilsiq5e5 teUte aviation militaire ou na-vale. -

Mais, dans quri pays plique-t-en rnieu u'cnAl1einsgse ir; d czeuo'aflagc ? L'AIlcnisne adroit à sue aviation coromercisle. Cihacun sailqu il xs'es pas bien d{fici!e de conditianxicr nuavion cnitne.iciai de telle sorte qu'il puisse de-venir, le cas échéant, un bon avton niilitaire.Actielienn-nt, il existe cri Allenrngiie uzi Officed'Empire de la kcomoricn afrienne et autorno-bile. Cet Office a peur isjet de cafer unseau automobile et de diriger les maison-s deconstruction aéronautique dsprès un programmeréfléchi er enfin d'o'-gaaisem des routes arienhicse(!icielleo.

Le bsdget de l'arenautique allemande n'étaitpour 92O que cia 2.5OO.O&O marks desiins à&tro ditribua aoui !omie de primes ki1om-txita1es. Msa le goavesneinnt alkrmarrd auraitdépasafi de beaacoup ce chike hudgrisre et onvaue à 70 tniliens de marks les sommea qu'il

s rlkinr.nt ouscse à son aviafion crnner-ciale.

Gr à ces su.bventieas. on Itouve facLe,meatc-ri Alkniag,se les cpitauc néce2sairesblismemnent de Compagnee le naMgatiop aérien-as. Il n eXiste 37. pamad lsqst1es 4 ont det'inortaaee : la De:tehe Luferederei, 1 S'a-blatL, la Rtzrnpr, la Lloyd Casling, qui sonteouteflue8 à la fois par ds niaia,ns de cas-tructiOSi, de grosses assoca1ions commerciales eidustri-s}Ies, des braques.La Deutsche Lufizeederei possàdr 40 avons e

19 hydravions, 3 gr'mda appareils aménagés eriiineuaiiem; la Saislating possède ô limousines,17 hip)aces et 3 hydraviaus ; la Runipler 13 avionsbLpas.

Ce n'est pas encore beaucoup l'AllemagneSambie ppater sturtout l'avenir; -etie secuae d'arganieer le cdr do sa future navigadenrrienuie. Eue n'a plus, sans doue, d'aviationinititaire, nia lea iturcies qu'elie poursut avecardeur oui pain- objet de lui fournirla paasibilit6de éaiiaem instantauneflt, le cas dhfisat. desfrbyicatiess prf-etienn&s. C'est urne £veins1Lt,conclut M. ouiI0ux-Lafent que, pour notre s-curit' miie, e.G-us avons intret à ne pas perdrede vue.

En Angleterre, le bsJge de l'aviation civiJeest de 50 rflill.055 de hanse-

lXois route3 a,ie.nnes seulement sont autori-; aujourd'hui : Londrer'-laxis, Londros-B.ruxei-

les, Lcndres-Amstar.dam. D'autres lignes ont ét(-p1ojcées, luisis elles n'ont pas eploilea par.

- ce qu'elles ne rpondcnt pas, pour la Grande'I3reiagne. à dss euains r&ea.

Mais lAngeteire a prvu aussi quatre Iignimpuirales, destinées à la rCler à ses dornnionsla ligne Angteterra-Egypte, Egypte-les mdcc, ksIndes Aitstralie, Egyp.ie-Le Cap. Ce saut Usiinpiemen des ïroicta.

Du reste, sus les 1r05 ligues en exploitation.de pu.-isr a;ucs ccmpagnies, presque enti&emerLtlivréa à elles-mfanes, ebiirnnent des résultatsremarquables. Elics ont téal.iefl 33.94 vols, par-couru 734200 milles, tmansprtu'i 70.000 passagers(un ecu! tué), 1 16.49B livres anglaises et elles pas-sdent 5 19 appareils.

li y e en Arigkterre quatre grandes Campe-gaies de navigation a1ienne : l'Air.c, la Hand-loy Page, l'lnstone ci l'Air poat of 13anks.

La &IgTque auss a une aronautique sommer-cia iniportdnte, qui s'alimente 55151mo en Fran-ce à l'aida de primes alicuéee à la durée, à a

- distance et à la recette pssag'u.Les Etats-Uns ont un r,seau postal aériefl

comprenant quat Es lignes : Ncw-Yomk-Chicagc',New-York-Sas-Fiautcisco, New-York-Washi-eugtan,et Key-West-La Havane. C'est d'ailleurs au tu.-fis poCi que se b-mue l'activité aronautiqueactuelle de k'Amiriue , 35 avïofls assurent laSflViCe avec r-n lrOaie ii.gide indfipend-ant drecondfliceis atrnorphLiques.

LItale n'e-'qilo:te rgulirement aucune lignn-or, en- .rCiCOn (le la SitIaCfl financ,re trs-rkare du budget dc 1A&onauiiquc, niais troistiuérairr5 iati-eseanta COflt tead-s, l'un vers

1'Oust, 1'auLe veis la Tripolu auue et le Irois.i-Jn ccrrprend ls pays scndinavea, ls Paye-

_s, la Suisse et lOuicnt. Notons enfih quetali étudie un type d'hydravion géant capabiade transterteu s-s prrsa5sms et qui serait le

1,,S tii cdle d'sr.i, sric de gantesqucs

i Espagne e un projet de réseau aérien capi-be de rayonner sur tot le pays, mais jusqualore:e sont dis comsgniee qui sesp!cstenila ligne Barceicr-Malega-Msroc et celle sePat crune-Biibati-Sateder.

Ce rapide spe?-:s naet1e que nous sommes en-(oie ies prenIre dans le domaine de la navigevti9;1 coenmereia1e auirienne. Né nous laissons pasdépsasèr.

Mat'ecl FRANCE.

la foie th L Vran)_,'s ' : - - - - il 'i:- :, ra totutans. Ils

oil: p - - l 'in a iiilu leu-r alun-1i(r i-- - PS ci's il. \'5::J'Qin et cl eg43Ompt-' ; iI-; :'..sont pcn:- l s da.atrs p-scianttIrs tuqia ; c-1, à 'u triis, i.l oa ahli uosi, en lXl4;, la firtu.ne Ie f.lui go monlai qu'à 18).0)) francs 'n'-i.t'un,(-.-fle (lait a L9J fO i} :-,tJtÏ.(lOOie1tvi.et" quans M. Vi)gs'nin quittaitsu5-SCrnta%uat 'Ei.t 'lu flavitailinaneue s3 siir-igPai a)tf'fiu'e-Iflent, W.ent-i1., vt'i.'i niilion, OCt ae1l-oc'-.i)icnl, -tast tlft stx

Viigrain.('est ici ç-u laxpel-iso oont laecusa-

<iOn (pli 1i ia-YlliP-r' i-1 :r}) (J&C liiaous_e4nrtitaire d'Jf-al V:il,cin Çavrsait ei-i,t-otieji irii1. aira s-HstsJU la

Jui .stiI'p!!i-e, Tli st tntt cli? Sol1:riee quanilin I t ce 50PPTt qn l'al-tUs u'its jsiJ-I i,i d fe:t'i 1M. Vii-eaifl. Leisau5 .kt1al-(i. .fl9 autstst

uA LA OAU[

La sir: C-s cuecrte à i ISOUS la pré-

dense d M. Rassi P,lret.La Chambre adepte sans dilat lit poposi-tiofl

des sselutons de M. Cornuchet t,idnt àjier l'article 1 12 du rugiraient e à règlementerla proctdure de la fixation de la date des inter-pc-i1ations.

Cette fixation a lieu de plen droi à la fin de lasiiance toutefois, sur La demande crta de I'anteirde liriterpc-llation et conimunqrrue au prsidant,la Chmnbre décde par e as is ou debout et rtfl5qu'ancun membre puisse prendre la paroi" . s il

cc_al procuid& iinpvdiatemeut à la fixaton de ladate -

n ças de jonctions d'interpellations, 1 c!o

tuic ne peut tie récknie avant que le p:eln;crsignataire ou Z sari dfaut (tin cle signatuCeSde chaque ilitempellatton est pu se Faire anisa-cire.

-La Chambre adopte sans dclbat le projet CIC

1. Lkbrec-, tendant à asignicirter le conttngeetde la Légion d'honneur mis à la dispositior dur,inistme de iii guerre, pour rlsompenser Les et-frsrers rayas d caches au cours de la uerse9l4-l9l&.L'ardue ci5 jour appelle leu suite de la cliersi-

sic-n du nrolet pstant Gaation du budget spcml posur l'erereiee 1922, des dpesses seccqvus-bIse en cx6cution des trait de pair.

M. PASCAL parle en faveur des prisonniersda gterre.

M. RIALr DE VJNEUIL présente de oh-n'flrtuOns au sujet ds veuves de guerre Si du

paiement cite pfcti1.I''!. GONNEF voudrait qua les Prisonniers r 55soient traihie poir le pensions et les iademeits5r le mune pied que les- peisonni-ss mINires.

&OGNON et ANTHO1E prs-autentions.

,DFitJ1SE prn'nte des remarques sur lad-

tnnustraion cearrale des ragiOns lilnmes. 11 cri-iat voulu ou à la fin de la guere l'Allemagneve se tise sorrne de 5 milliard3 pour la recesi-'nstion de rgins librcies.i'j. RI.T E!. VERNILUIL n'est pas belian

je la main d'oerivre allemande dans lea frgir2usliWra.

M. DESJARDINS prend la parole au sujet dej Àdeninskat:on centrale de5 rgiona librlc.

... 1INUi'EF dés:re l'applieaion du tra1t de\'sirsailIs as sujet des iuidnurts relatives r-rcrrpiOnC libéi-s. il fait l'écge des hshitants de

trritojrea dvastf s.M. PHLiPOTEAu renouvelle les snmes &-

e.srztions e M. tE-IEEL au nom ch Gouvariic-ment, s'associa à l'hommage rendu à ses haras,.

ta anite et renvØye à deniain et La sance'it levée à 19 h, 15,

AU SENATl:t iIas' ouvert à '2 liur f0 ousla priss"sa le \t. Lït uureos,-M, Moi'anti diose sasi sappert sur ferolet po!ian tgffemen-tatioii dfilïnÎtive

le a qu:e'ttion Ien loyers.M, Memieir c{emaitde à inLerpeller le gou-

vernernent sur l'tt±rona.uifque.. La date decette interpellation sera ultérieurementJixé.

Puig on proeè1e à l'é4eetian de neuf mcm-lires titulaires de la commission d'instn-uc-tim de la liante-Coup. Son-t candiciatsM<M. Mexa-udso )3nard, Guillet, i.eniari,Jesopli Louiiet, Pérès, POU:1C, flatier, fi-e h-arc!, Sirniiet,

On vo-Le ensuite pour enq nirnilircs slip-ians. SonLean4idats : M. Ilené BeBnard,

t10 Lita Cases, Loaii Mart-in, i\lctrand, Rcy-nisicU.

Le eeruUn qui suit &lei déigner le vice-prc3sicient eltarpé de présider la Cour de<usticeen c-as d'cauptîciement du pïrdsliibiit.liii seul oattdidat : M. Bienvenu-Martin.

Tous cm candidats SOft proclaniés élus,J.e Sénat vote enuio, par 25 voix eouttr

3, un crédii de 500.000 fraes pour eeoursdiix niarirJevs vieilia - du eMinge

L'ordre du jour ppelIe la discussion durojet portant abandon di la eonstructîon

eliirass5 lype s Normandie u.M. Dourncrtie, -pr&sident de la eomnïis-

si-on de la marine, steinanale le retrait pro-visoiro (e ce projet jusqu'à ce que le mi-nistre de l utantr eit. cri iesuro cIa dell-neT des explicaut i ons sur le rrsultat dc la

colrftlr.eneo fto Wpshintcm.Il eiht ainsi onèomi-t ef le énat s'a-

iouro à jeudi proehatin.Séance le'vé.e à 5 h. 2e.

FAITS DIVERSDEUX PSl % TB %(

PMI DES POCW%RHSBruxellas. Dans la nuit, -le poucier'

Lotèvre, -du poste dut Nouveau Mirehé-.aux-Grains, iof prévenu par un ptisaiitrpiu des énergumènes ttvastaint le caba-teL exploilé ar le époux X..., rue de laBraie. Il se dis'igea innnéditttement sur lesicux. I)cux indivdius, honteusement ivres,

hi'isaie.nt tout ce qu'ils trouvaient à -leurporiée. L'agent, &d par le fenanoier, réus-sit à exprdser les dangereux ivrognes.Dans lA rue, . a luUe eontiitnut de plus

heli'g. Lsfvre reeui. trailreusnrnent un ter-rible coup de picici dans l'abdomen. L'in-fyrtun-é s'-affaa sur 1 sol et 4es dneirg'u-mènes lui porhiren.t des coups do piedsclans la région dorsale. Aux cris pousséspar les ii!s'ssés, b 1olioier Poispoel accou-cuL ainri nue d'asires ageirits. Les deuxiracib1as haveurs Çul'elt tramés nu cent-misaartiat.

- . LE AøTRl D'UNE FEtNEIiM. Mors, cultivatênr aux Angu-'s est ve-

5111 d-cIa-rer lt la mairie la tnort do sa fem-me niais le aicicicoin die l'état, Civil ayantt'ctévé 5111? le corps de la défunte des con-lUSIQI)S surpecte, a Fefuse le permis d'in-

D'pr la rulannir pub.l ique, M. Mûrisnurni, dans a nitit, fué it femme

ht'ibon eus l laide d'ana ehiï.La hrigatk YrW4)ii) 4ict IYs4On n proetIé ii

une enqIlîte qui a permis 4e t-Ccoflsituerainsi lO cr;lpe

Saniedi5 vers 8 lanires, Mmc Moti von-tint sertir ioi-tr se rendre cho-,, tIlt voi-tin;son mari s'y olosa. Une diCÏ)I1tC s'en-suivit et, Monis, saisissant na iea iien fer, On !'at Ç}l 'larittsut' hs rnali'o, t.)w*i) inanhsée&ms la cuiisne. Le meèrtar prit aiorsune coi-de, a-ltaehas frnmc et la lramaa.sians la hamire ooiielpn'. iJaulopsie nti'norttu-é (u5a M-lino Mens iiàit eu le C}'f-se1e'fùt1c et leS V3UX cr-e'-.

I i.a 6rvc

L Vue Otvrc

Esilin -- Le correspondant de l'agence Fournier téiégrr5hie : s La gr.lec c4nralc des clic-minois allemands o com1ncnc i minuit. Le ce-sellé sic grève o lancé immédkztcnlcnt l'ordre

tous les syndicafs cl'oi-ailtcr la trafifc. Les mc-_surcg pi-aize pût le gouecrneinent ont covnmCflC

' joucr.s Lc gouticrnCflicnt (1 doniu l'ordre l'odmi

tiisiYttiOfl elcus Post ct Tlrigraphcs d'arnu('rfous 1cc messages edrcss&s dc la rovincc ou Ce-mit,t ccritrd de gr.lcc qui siagc &rlin. e

Ce matin, de housse heure, plusieurs convoisne prenedeut pas ir dtpart. On ne signule jus-qu'à présent aLcun incident.

I;ES J4ftRN,%L'X BEULJMHSNIt'Ri9N'i-ILS pAJLITRI

l3erlin. Une des premières constquencea dela grève des jieiiins de fer rside dans le faitlue les jourilana berlinois ne pourront peut-eLSe

pas assurer pendant longtemps leur publicationPar suite du manque de- papier. Dès la soired'hier, les journaux petivoyant que le trafic alletsubir un srrt est r&luit leurs formats.

L,e5 réserves de papier qui sa tcouveni clansk capitale alleniande sont des plus r&duitee.Des transporta per camions s'organisent.

tilLE N'li:S'F -PAS GIiNERALIil:i_cfct La rve des ahemius d fer

allemands n cainromncé à minuit. Le trafic destrains est interrompus. Seuls ies convois à destinatian des tersitOires occupiis sont partis cor-malesueirt, en effet 1e5 ciieiTlnôts de ces terri-toires ont dicidu de poursuivre le travail,

QUEL SORT AURA-T-ELLE?Coblentz. ---- La commission intersllie a in-

tetdit I e grè\-e des chemins de fer dans lesterritoires occ-urps. En, consdquen, Je S'ndicatdes cheminot5 a d&Iidé de renoncer à la giève.

Stnttgisrd. -- Ls cheminots ci5 Wurtembergentd&rident de ne pas s'associer à la grève qui nes'étendra pas non plus à l'Allemagne ceatrale.

Mernich. Oui peut s'attendre à ce que lesheminats ne s'SScient pas au mouvement de

grrve.&rlin, Le Berlmner TagebleIt écrit que larve aura au cela de ban qu'elle aura trancha

dans ur siens ndgsutif la quratien touijeure à nou-veau sOulevée du dtoit de grève des fonciion-flaires. -

L,& PREMIERE MATINEE DE CDØMAGEBerin, 2 février. Voici cjued asptct pré-

sentait ce malin, t H heuwes, la brève deselicniincts

A BeiIii1, le trafin- régulier des trains degrtncies lignes était oonriplèlonieirtsuspeiidutarif quciquets trains qui regagnaient leurgtu'o d'ai tache, Aucuet tiaii nest P1 partide Berin apris minuit 3(. Cela tient snir--tout. it l'entrée ccc i'fve des nneairieiens etdes ehallficurs de 'locomoliives, le perses-iIC1 tIcs gares et le aiuilleu.s se déclaiantpri Li asUror son service.

Le tsaflcies tnains tic inarehandises es-tégalement suspendu. Toutefois, la directionfait tons ses efror'Ls pour que le service de-strains asurirant le ravitaillement c'a vivreset en charbon puisse être repris dans lajournée. Dans !outes les gares de Berlin leguichets sont Le-raids.

D'après les dernière-s informatiens, onprovince aussi le trafic n dû iitre interjom-pu. A Erfurt, le personnel de ria tracti:oniestréduit-. A Ess-o's et dans tout le district doMsrnster tout trafic est arrêté.

TROIS RAPIDES EN PANNE

Fraacfort. 2 février. - r2iOis rapides ai-iaitt de Berlin fi Franofoit et transportantSOt) voyagetirS environ ont été thandonnéicet-te nuit par leur personnel en gare doifrida.

La gare prinoipie de Franefort, quiavait dté occupée -paT' les grévistes à min.ui'trente, n été évou' satls incident cc tua-l_iii ii cinq-heures.

Aat e Cnc!avc

Rame, 2 Mvrier. Les derniers prparatifsavant l'overtura du cane-lava ont té ffectusdans la joumnc d'hier. C'est ce soir que les car-ducaux serOnt appeis à choisir le nouveau sou-vercin-Pontife. Les cardinaux amricains n'étaient- eirrere serivés ce matin. Le nbin ds nouveauPape sera probablement connu dans la joumnede samedi.

Rame, 2 féviir. On ne cioit pas que lescarthaux américains puissent arriver à tempspour paslicpec ao Couilave. Mgr Gasparri aclamé qu'il suffisait de préparer des vivre5 pourdeux jours.

C'est dans au scrutin de dimanche matin quele nouveau Pape devrait bre élu.

LES CHANCES SEMBLENT ETREEN FAVEUR D'UN CAND1DATe REACTIONNA1RE e

Rame, 2 férier. Quatre e papabili s qunous avons dfjà indiqués, concentrent sur euune grande pcetie de l'attenti des membresdu Sacrsir-Coiàge, Ces s papabili e sont à droitele ptriarche de Venue, le cardinal La Fontai-ne ; au centre drot, le cardinal Laurenti ; au eau-tic gauehe, le car4inal Ratti, arehevèque de Mi-lail, et à gauche le cardinal Gaspasi.

En ce oui concerne ie chia d'usi cardinal se-ciflaire d'Etat, on est poilé à croire clans les -

mi-lieux relLg:-iflS que les catdinaux La Fontaineet Lauseisti partCraient leu-r choix sur le cardinalMersy del Val et le cardinal Riitti sur le cardinalGaspsirri.

On note encore que ic groupe..Merry dcl Valse présente au Clojuelave très homogène, isinejisque l'autre groupe est partagé en diverses tan-dances. Il sera, dit-on, difflcile notamment deconloridre les votes des cuurdurraux allemands aveccelui du cadinoI Mercieur oà ceux des cardi-neu polonais, qrr appartiennent tous à la tan-dansai de ga',Ir ire.

L0 CardiTiCi Mruty dc-1 Val croit que le Con-clave peut durer cinq eu six jouas.

es L'-I &ii

tis ii'- (oI

Cot'trs des 'CliiigenLancine. 51,33: Madrid, l2; Rame. 56, 1/8:

New-Yosk, Cs,nrve, 232,23; ruxeltes,95 318; Berlin, s /32; Ho-1lrtds', 442, 50 Nar-

:%i-ge, l9,So --,àde. 205; Vlnxsti, 3; Ru-maie, 10; Pss-ae, lt

I-L 1LT DES OFFICiERS Sii:ulli-LlAUX ARRli.TS-

Lile est bicu rsnrrrsantsre --- et i1 s

encore c-se la fameuse CVCSlUiC d cap;tC5Sede Koeperuick --- l'hstoire dciii toute laflr, fs:n n ce moment de goeges chasqui vange un pi r les civte de ce pays,encore à l'heure actuelle par de-e mnl-:tajre5 qjdoivent to-jjou---s se cro-re en guerre

Les chemins de fer là-bas sont militar.,3 etloLO comme chez noua peaslant ls

-- las c-ommssa.c-s gares. le-s gasdri, }'aj5ttalicti m!taie pour tout d-ire exercentleu-r rrutc-ri-té en eotetralant les pék 11s , enblai,t Ire voyageuiss à toïtta lis wslihl5 et imaginables. La presse, jtissr'à 5estemps darniers, éuuit reuppliir -clap doléente, i.dignées v:ciisnes de ce' réjltnerrt ci15

et de la'fantasie. ---------- -

MOLS un beau jour, ce fut fini de ripre pour tesmilita-res. lin efnt de troupe du nese de.ichai ,\datn, i.gd de 12 aira. s'éLarit fai5frux peuprs offrant torts 1e5 caracièxe& d'us,parfaite aui:heiic,té, rce,Lgés rusas toutes leglas et eslampillés des cachais ie plus v&sidjque, se pcfsenta ars chef ds gardes prép5sésaur çhinin9 de fer t l'ut-fit constater q-set tecasrimacdsint'da- Laenv l'autosiaat à fai;:e lecontr&le da voyageurs sur les chemins de ,roumains. 0rs élSit 5rLé. selon las papier5question, de fal!rtev sa misisop au s petit ep,i-

-

ra! s, .

Le colOnel qui reçut le s petit caporsi sclin. ausr6i devant I'iuvitstio qui lui étaiadressée et une circulare, epécia}enient u,ruig

cet ifet, donna iCfl5 LOiIVO1T5 au s gos-ie s.Le « petit ceposel 'r en osa aussit5i Salis pins

attendre. On l'avat pris ars sjsisiix ; l sut-eah!erne-nt je'u'r sCn- t!e. kendajit pi-,,ieur,in-ois, habillé d'un delcesu orné de gs-'cr,qcaporal, ciffé arr suuphr d'un d'o.fii,

il exerça sa moJaisasi, m-sis s-tiiCirtt à l'gair leCffitiCï5 et soldats en veyage &Urr toutea les li-gaas. Tous Jas m-iiiasires Leaniblaieni mainteusatdevant ce personnage cia 12 rrs, qui sernpLtoyabie et fssissit mettre arix erit- -tous

ceux dont les PapieTs nétsiient pas en règle. $lsrtout lo-xsqu'it avait effaise à des ffirirs supé-siesis, il était -terrible.

Ce fut parmi les c-eils, une juhilaian écartas.Encore que le petit s petit ce-pc-rai n) levs paruêtre ur inyst:ficateur pécore, ilsà a sévésite et à la léconvenute dr5 gris-r;its.

_C est tOUs fait par irasaret que lasnp-en-he-,sdu e petit caporal s fut d&cGuvert. Quelle humi-iiCon et luei désarroi parmi les inilitsiisesi bi

en cnt psis esncer r-ven-ae!_t la:re c'est qrte, déeemmn-t, ! était dfÇ.-'

_es estisoc de sors jeune lige, d'infliger un cliP-tuSiit ars s petit caral s. ALos, on- la eflVey&au rgmeat --- en altmander pour de boa.,.

L. L.

te scors de Lo Bikuhead- Loii-Ji'e, 2 fi\t'in31'. -- \rOlj d - n

pli.laisions sl1r. I dlCn)Ut5 I)I'JIiOaLcê iti.--après-midi par lord- Biektenlwaj

J-1 n vivement attaqué le eemte Gse3-e-ion ministre cl-o-j afi'oites és'a-ngèrce tL 1mn reproché d'-avoir fait enir:'r la Gands--l3retag-ne dans. in guerre sans aucune pré-pan-ailes. s Si la Gi'an-dn--rnrtrn,-, :.-t-j i4(,n'c_s pas aujourl'hui s-o-'ts la botte se l'Al-1cmagne, ce n'est pas oc' niinistro cu'il fautremercier. ni fi Itij e. reproelié égati-enientd'avo-r refassi an cléli nIe la gun.'re les et-ft)S do M. \TellizeéOs tilti incItaient. it ladispoitiûn -des'al-liés eute l'armé gseeqin,i:i-.i ccte -offre ava, tité acceptée, la pi-n'cluTe cl Ga_ili-poli .rc-sait toiithe et douxaanui-'s de gu,ttre auraient ctii évitée.-

!J Tr 91ll4llC 5rll-rbcli- :t:u-!-. : lP. a rlunibi',' you&

dla\Q '. lu n i- S erter lû ti'jt éCO)lOW-iOECavec t' ntnnn. Ce itaité (1tl1C ciicaticin i!:ut--i:in-uu

11ffW1S

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Çà et I

\l ueherl--s-, 2 teçi-.iee-. La pali-e eaitIriec 1iin t»Li' rotéger deux p5SLOl)'sait'Çs mornicnris, qui as-aient éi_).Tr lO. femmes, alers (tti'iiS faisaientsLopa.ganc1e en sun tIS' etrtttei' des-

i Ut' la 001e-nie n- -' \laflio-fl5 cl' talt LIi'(ity, n

--S-

Un cencirc meurtM. Rcnmayer Mirthiu vient de mourir à CIItS

gniarr-Labcrline à l'âge cent aria des suites d un

accident. li st'a-vatt jamais été malade.M. Romayer était né à Monistroi (Loure), '

20 juillet 1821.

ALBERT TIJOMASA NOMSRame, 2 février. Albert Ilienias arriv'f

Rame a (is une entre-vue avec M. I3ofl0'mannfesté te désise ds Comité Jnternat50ral

traivail de participer ii ri-ne consuliatif à la Cøi

férences de Gênes.

LA ,SAiNTE DU îOI ALPNONSE XJ1

MadrJ. La santé 'du s s'est améliem.souverain a repris ses oceispations.

- LES AFFAMES DE RUSSIECerdve. docteur N*sisen cefliT5

- -

que dans la Rep-ubir-qee de l35kteiich en :'des Soviets, les affamés se l:vrent à dessur icurs sembia-bÇ et s-s parats dévQm5t l5

cadavres de leurs satana. )es scène5 de,alismo sent pnticiiraiiClkt fràquente-S dai"

iuiage ile Tuslakliava o na homme à 4evOrc

-niLemant le coizis do sa filure. -

L'EMPRlnNT FEDERAL

Genêve. L'emprnsrt Fd.ral s 5 1/2 aurr!t. t-C monter-t totsda 283 mu1)1 S

eouvri rapidtimiit, Le cilpi!1l f101Pi ¶

so uill;èi . -

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

QuEJQLiiS I)ETA ILSRETR()SPLC TiFS

L'147'TITUDE DE 4 MUNC/PA LI TESOCIA Lis Ï

. Four bieii con1pCacxe la <'.stcn (h.1

il faut t»tr qukwL temps enau mcis dc juin quaii cJa

a 1a du persond de la tompagniep1oitante .Le peïsoflflel téclairait ne ugn-ei'ita-

iQn ie sahii. L Cun-grne ne fsitpas !e I)riflCPC de 1 a4icd,te la .0rn6t, mais pte»tt u peu.-

I'accoxi.eZ qu à la centiticn que le!:wiX 4:u mrt. cube detz soit relevé. de; eeitimes cL à centirnc.

. La municipaht i:iumrne insuHis:arnmnt eiti&e a

-inje formuee pa i (1i?11iC a-

La gve édat.Le Syndict des forces noijce (éke-.

icité) s Iéc.Iare ul&tuie :a S3;n1catk gaz.Les poû1paIeS entre ja Qcnianie t

a uuiiicipaIit ce peursuivent. Le ,cr-i1neI dc la Cernagnie attcise les

ufkur ct fours continuer lu tra-vail, ptn-dnt rcis jotvs, I'nterrï:pticn cechauffitc poi;vant am'me.r ans ces ap-pareils cles extan1emeffl vcseckrit irnporilk pour ur,e p'icc& a-3ez Ionue l'itiliation d.shs fours.

La muicipaIité s&ci:1iste aflLne lerbIèie SCL1 tout es faces. jII tn-

viag la quatidi de la réquiitm ci'ie cti:vtc e pesmrnd., tile'ahandcnrie cette iée U pres I vu

r'inipuiance (U pesarrnel ouvrkr t a.sttei l'adimnisttioi o ï usine. Le car-.vwicrs c;1rent netefl'eiit qu'ils scflt c

ce fbr.iquer du gaz, mk cpe leschniçknr font 4éfit anas kup ranrgsur sUr la nche normale de iex-

JOitatiO1i .

La sitiation est critique. Sj dans 24 heure un coTeproflhis ninteivient pas, lesçJurs cl'e l'usne ne iOfl plt chauffés,

la force électricue seTa aIt ; le poinage de eiufle . ér3 plus sui etrus sOflmCs en pleine caricuic); les ré-

rniqes n fOflcLiônnerOnt plusinditxj pivée lie pourra .pki procuiré.

C est la gy généralisée.En présenc des conséquences extra-

neIrre1t gxavs c Lette grève générali-la municipalit transig#et accorde à

tie pjovsionncl un reR\rllent Oe tanf,dfl1Cttaut à la juric$ction compétente k

cc trancher le iféend.L greve prend fin. La Compagnie in-

ente une action 5eant le Conseil deiéfçture, eL . . . attend les électjcnie.3O nc v nbie 1919 fut un trknpheo11r. db : le teliain éh;i.t éblayé. L

flcp.alité ociuIiste était batiue I

LES PREMIERES ABDICATIÔNS0E LA 1'4UN1CIPAL1TE ACTUELLE

.es négociai'n5 entre la Conpagpieu gaz: et la rFuaicipa1jté nctuelle com-

çèrcnt aj lenc&1ain de 1'in.stalktin..c M. Feuga ur le fauuii oc maire.

Elks n traîrèrent pas, et le 4 mai7?o, le conseil mnicipa.l confirmait cf.

icieHeiïent se prerrLiàre andicatii, Cee- m1hèuuan,t ps la .dçrni-..Des acco interViennent ente les

axties ifltér(Ssée Ces accorcs sont ainsi':ozçus ;I. La Compagnie 'di gaz est autciisée,Partir des iekvé du 1er mai 1920, a

Uflicnter le prix du gaz cJe &i CehtifliCSLar rntreeuhe compenser les char-55 ré51tant den.rdes Son per-unnel en qu'elles avaient o Légnrneet de fondé2. A jeeevoir une sutexe (le 2 centi1t Pa nt cube, acceptée par elle etfl)Uflicipalité, titre dc transaction sures 3 cent

2cm qu'elle 3vait de-fliandéd'apØiuer,Ffle lettre 2 ju t99, et pour le re-; as

a1p3chatien laquelle elle s'était)uriie devanttiihunaux adiinistra-NboYeflnant ce 1elvement supplé-eT1ti1re, ile abarid0 toute préten-in acet effet. so réserve qi SOfl:itation .n engage CUcUnC qu.stion ocrot laisse Subsister Je principe de Jaonpefl51

onc, avant k 4 92O, la Ccmpa-*aie it ' . . . , ; i j. eflu a ii?. inUiCipaIte le ,.an-;ge

: « Je Suis disposée jetirer»ce cnae la 5ute dit conflitk. " Si aCCeptez, vous, admi-.- atjo f .

ICUga, J cotidtiøns tuc pai,hettre du 12 juin 9J9 Çaieais cen-.

ea prédceser et que ceu;vaicnt repOUsée,tt M. euga S'était incliné. Il acce.pLit

'e Eng, &ins cette vciie, il allait.:ce.siori , d'hurnilir -tiit rflt 'niilatjjn ccntresgne. l'avc-:I4 e JaflVler

192 1 constitue Inij j, Plus }nteise que ;arnis ad-atior mkpale a sib Qepuistrt6 t*lflWays ékct;i.Oev:: u8 J)ie ilølt*i it-eira7i: le pjj

blir une à échelle cTeîtine à ré-gier le pl t6t pcaihkj le prix du gazd'aprr le prx c chai1yn et de char-ea de la main-.Wxuvre et de procéder

la révision géiérak du traitesio.ns. ))

Cette ccremissr désignée par 1c mai-le colTrpreudra 7 nieinbrei, savoir : 5 acl-cinti, IVtM.Domergue, Calibert, Amilliau$cidlkid etAudert; 5 onsilkrg muni-cipau; MM. LaporLte, Colotnis. lhcnsBiustier, Derta&iu; 6 personnalités duflOiMle sckntifioue ou inéjical touioii-

1 FEUG ES AJ[ DE TROUVERUNE CAUTION

Inis, cette Çoi, M. Feuga 'vcu.t sauverfaçade. II a besoin d'une ciu:tion. Et

ani le 3e accoids du 4 mai 92l ilest dit

li 1.J)IC CCfliJS5iOfl etrrï.unicia1e. ç.zgii& par k niaiies r u chargée d'éta-

sain: MM. Hérisson, Lpaire ingénieurj Cavailé, reteur(c l'Université ; Sabatié,: dcyen dc la Faculté s Sciences; Mu-ihe, proFesseu à la Fa'3Ité des Sciences;do'cter &ylac, prnfes&eur i la FacultéJe Miecine; Aky, professeur t la Fa-cuIté de Médecine et enfin un fonckrn-naire municipal, M Héiisscn, directeurdes servicea clrs tr.avatnc

rous ne çritiqcns pas k choix laitspar M. le mrc. Nous recorifljjsQfl lahaute valeur des s: notabilités dont s'lc-nC.Tnt le FaIt d Scierc.s etMecineNcis ne discijteron ia davantge le

çhoix paiticulirercent fudicieuxJo nts e{ 'les censerikis WLfl opru,r La, ) ,colxtpetence etc %Livj. ucuneit et lJesta-beau, notamment, pour ce qri toiçhe lequestions d'tiaiiage, cxdku et juatîfiela désignation flstteusc cont il ont été1'objet.

. V DeininLES TRA VAOX DE LA CQM)U!S510W

V

seques11 IL Q.Ilt 'u j yI i)1ues du-kite, ai ÇÙi.eiItO iflUfliCiJ) soda-Jistc'. Un gi'ard nombre ct'.aiis avaieri tnu£t recihe un lewer 1iom]age à la iniiui-

1'e (ft ce bon eanarack.V

De nomijreus35 41égaUons ét.aient joi-tjVS 11J cwtègc : PiiE.i socia1iiste, Bouise liiPrevail, COesei clos Prud'hGm1ne, Prsrn-fl('h uiniieipai,

U ciiïietite un deriier a.ieu fut ar-V' n&Te eaniurade par Bei1a, au n.iri

du Parti Soca1is&. par Jean flieu, au riumdI'tucieune mun1cifiaiLé sccii1iste, et par\iiflfy-fl(Ytla1, au nom du la Eouse dn Tra-:iii cL d JlJnorJ de SynVCi,iCS.

La jôurne p1u\irusc ajo1ilai aY1aï&t.CSa gnéra1e. A J5 h. 30 la pnib1 cé-

i'çu-ioal.ie ta.it einien e l'on quit;tat. lechamp de rpo oit notie ami AiiUC dJ1.tS()i ti1')i'r soiuine1.V V

X

Nous n.e narrerons . pS ii itû cr.cons-aiiee, iidtat ianleutablo Utequel .tont1aissées lea voiis daeo.s du iouveau cime...

tire, niais yrrLiment en ne peut s'cn.pliiquet)'in1tfe de l'adjoint dfléglu5 aux peinpeqUnJjres. . . . V

VV

V

il n4est u4V missih):'e akcr les fa-iniIes et .eS eor&ges paauger4VkIPS WiO boue. infecte, il.ors tj(ipuiVoiIgt{VOEups '1e clieirn itLo en)-

VpJ('riV IIidUS Q1Oi a cicuiaion.

V,V

VV VVjVV

:f»istt!ations poiw a Gi'ossesseL() mrCrei ii jtO hur's, Eiireai CntraI,

ij. ru Saiiit-Jérôrne. V

140 sam.ctli t 9 lieure, rue Varsovie, 5.Pour tous ienseignments s'wdVcrer aui3utmi ientral de 41, rUe

Sairrt-lirùine, dc 8 heures à miii ci dVi )IeuIs à 17 luures.,

V

LA1Vmuahe (le 122L'administration du Nerivel An!IILarC d

]a iJaiie-arouiie met en ce nomei la dei_iibèr wiain à la rùvision. qmi'al.e des acrei-ries et des rcrsejgueinen.ts qu'il publie, LaPrÙVCJVLaiïIe 1iition (!922 paraîtra dans latarinire q:1UflZafle de mars prochain.

}V

pePSOii1Cs qui auraLent des ei'reuVSt sg)&lor ou dcs mc diflca.tions à faim, otpriies ÇVI'eu avJei d'.urgeaco l'&1i4f'ur, M.Edouai'l Privat, ru' tLj .ltlizIousc.

1 1 (si ip ql.LOV 1'AiiirÉi ViV.re.!vrptiitj à . dwiiole ju'aux seuïs peiirou les quiiu'yiit SJgiI4 kril i)iiiletdfl dc ouni1)tion i

la I lc.air'iU E'Iouarcl Privai, Ul'I L FCFS aguiitsaiVf ou ss.

P!iX k) rAflnnairc en soucriptioI1 : hro-chi,I fr.; roJi genre demi reiiurp, f8 tr.J))V la n}iso en vente, Je prix se-a per

i_i Vt&; Çii pour 'CXO1).1p1ai;'e hiocli t'l Z2(} f V

V V pçjp 'exm)Ipairc reliri.-1L A VV t iJ EANflAG1V5 - 9RTJOrÉ:ufl;.1 jV Â '1 r:;,s o ;iIu, J e2ic.- ï1O)7

Faux et usa9e dc faux)Vj? agllt9 eyclstos do ervie te nuit

4Jnt coiit Je\ant M. Je ionni5sair deoic 4e arronIissemeet, qui i'a, apr's

eVflqUt', nus à n disposition de M. le l)i1_)OkUV' de a jé.,uj;çiue, Je. nommA (iIi'stVcMVaV1VVCC_. jaioL, 21 arts, JOUrOaVII. saflserlci;e 'V ,hVV: 4 Vh r9- I

It.VVVVV: I,iuVVuVVV jJUeS U'ltteiilule& j-

ti(iiPI1Jei( I L' le t'eiidi iI V Jc)i,u)ati('1 c'L ou OrLo au 5e ar-

h V V ut 00111! la fl1)fl1111(Ç0 'cuva I"-' V ' \ V

Vj VJjU.i1a1 Vlr1- 1Viflii L route de(I' IUCJIZIIidiSU \V,nd Cette coinnier_'VfliV l rr ux VVUt. V1V.V jJai:is a1V.XqUCÏS

i. 50 OV13J1i)1O SOi les Paiii det 1:il . jli) 4iaiflP s sur ceux dc 2 kilogs,]:iIH les a\oft iur les l)alut-

tLJtILt'S à AqentJ Mareau i\Jd JV3, dc Vjj ails,

u iuji et liattu Inc I, 4 hOUCCi. l'a-.tV; VSY)VV\ it an Vj ioiiioi'apIi. Ilj

VrV ti \-( .11.

,: au bIIicaU tts 1ptVu, Un

I VVV. d (1I4VS {S; au J)itrclu de po-11 d' a 1VUIL Saint-Miehel une '.iOUVCVrLUL'ei1u' cVuno pulite 1)i&ce i'titoffc; ÙÎ!. 0cm-lies, à POUVOIVIrVIO un pigeon voyageur;M. Ci)Uiginifl, IUU cics Tiiturierr, una chienne ttaL'1 L; à iE. 4aursens, avc11U0 do la Pnt-te-d'Oii', ti8, lUi e1ien policier'; au bureaudVC poiie des a]Ides Oharles-do-i?itte, unee]:6; à M. i\tonsch, 111VO peyras, VJV, Ulle pé-POl1flaiiC, 27, nu portehilet; L 1'aVdn11r,i_.tratioii des OmVIIVIJttS et traiiivay., deux pa-ilVUjeS cl un sa h main reni V niant WIC1 .lfle SoflmniCiat. autreS nbjers.

gjjThéirc des Vsriétéi

Marinée littéraireRL;PRlsE DE SA MSON

drrnc en 4 utcs dc BrnsinET COFIRENCE DE M. LE COMTE

DU IGURG DE LUZENÇO\'itZtV d 8eiriiiin

autant par lIliien-ce naeeuVtceie tics audi1cuys, que par lerégal (JUC nous wai m4naé b cowdren-CViOi

VPJur lre [ea'Jgusain on iie pairle pasioJs, fiVireuem1t, On. mie S'?Xp:1'ifl1e pas miions

V

\i. le ecn1t4 de Luzeriçoi .a p'1..i doJl)iiuiil l, contre 3crnsteiu cunrne uu.ei-icue avse, comme un psychologue .00V_coutumé aux vieissiuVies j la vie, conimeun 1itIaeuV CIJnVrg par une aavan;te cern-

I JI5'I1iC ce OO1TVOT la punt sIc n.oùe han-J i;no, t son ékgVaPVCV et 5 {lîstinetien.V

V

PCU)i_tVl\i s'est-il a3)u:é Vj4Qqi Lt AVqtbnle tmltre.dn J3CT'nCteiTI et « San.iou >

+.ii PaatVCU ftVr VI1QV15 aJaa1aiV5Sent tujVoirr-&t'iui peu vieUx, et tTsi peu ron1aflVtu3r.3a u ÇlUVll soit ap;puy6 sur 1'61flOflV de

flkjVi ami PaU1 flo'neour, pbue afflrmer qiieVli,. gVueis?& a faVt en no mne mie rveJu-I joli, VeaViV ui3stVUu.arlt 1'sprVit d'alti'iiisrne à'e.prit indivkluaiiiate, i flO nous a paVs CEJ\Vfljfl de la perîsiiatranVcc (Vie Ce renouvelle-iiierii cto la n1.JIi1taViité Ce fUt nueiusicn, cemniune it beaucoup ci'rne gtS-ViVrettSCS OU smir do a gueire de croire(JjVLe la soiiJJaril6 qui cimentait la vie col--IeILVV' des cVaVflpVsI allait aurvivre la mort 1udwiger.

V

JJCVS niua ot ie eciittumes d'an trIoinous repreirnent tous, du moins i.ious a spreps t4DVUO ls reprendre.

Et VIIC ttuâre de J3crnrtoin ne date paii rnGs yeux d'ivneieu.S aoinbattants. Peut-ûtreaVrernitil 4at i miOu 1aVViOflS eVnteV1ICLU auVcniji d la g jerre. Mais il mie date pm.

Sour' ce& résolves, los stIcxions do Jl. duBourg cia Luzençen aur es earae.trishiquedu thâtre de BLfltf'iflV PU muriiCflt qlld'être IouanVgce.

Il lui fait, si nous VC1S Jiien eon1.pri.trois rCpreOIJhs : 'Je UI) voir dans l'amourque sa faCe pliyiologiqUr; VLC faire exprimerVIBS li&yo d1iV; u!n. langage trop apparcfl.tajvcc celui d a iti du anal; CVt de ha-fouer exag'E1nent l'honneur le

de ')oVnfleijr -V--V- eu 10 faisant rcpr-senior ï)uV UfliWfl1V1YC Cjlii flVB peut pas môflieeu avoir la mOiflsir) cIart.

1)eutêtre le V conférencier st.i.l injustee.n accusant Beifl8Oifl de l'amour àUVfl a{iIVC hystiCo_Sefl5OPieJ. Sans doute, I)dramnaLu1io SOu)QOflfle_t_iI qu'un au Ireamour pite, t Ç((Vi du premier, qui incciiVii)i4Ve, qui F\-e, qui li remplace ]oirs_que la a1i'it charnelle est arrivée - 4:1:ClIC arLiVO toujours.

Oui., cerlainememit, Bernsteii le sali.. Etif1i)1ît1 i,l} ch.ei'rhant bien, ou ddcouvriidl Is.JasLsago de ent amour 5CÏII$mOVnIVaI clans s otV1i,alre. Mais ii retc vrai tout cto mnflj,çju'il s'attaedo avant toutet avec une coni-phaiS:anco dont les SCiItmflVCfl nlistes peu\ eutse choquer, LIa description do Faourehuim.e.l, et des ravages phyiologicjues etsoeiau dÔ.nt\iVl et l'osigiue.

FaUt_11 dire, corunie M. du Bourg de Lu-zCn5Yfl, que le diamnalurge exagère le rde(te cet amour *1ins ha vie quolidieiuie? iNon.

u vu leS choses Comme eIlesOnt. Quclq4pie peine que nons en éprOu-viens, il est exact, 11VICS que l'amour sen-suelj CJIV1VO la jatOUSlO physidilegique iunt lesmobiles pIVinCiPCVUX des hommeS de nouepOVqUO et proba11emVent de tous i5

temps.V

1CUVL-1 ce auni le ccn.frVeueicr s'ilI.Ution..!te-t-i Cii . croyant quo io setVii))eiit ([CI'IlOflieVUr est jflaCC1SSit)lC à iVlfl pkbcVieu., etqu'il ei indéraciuVaVlile au coeur d'un pain-cien de race, Quo M. le ceinte du Bourg de.1 uzcnoi mc pardonne si sur ce point clu-licat je fle eOfiWtXliS paS i 51% 00510 1111 )ri'.i-

4Pi'eIle I)'i piluC et (JIl'ii (SIinur la uoii.le (IU'filC n'ait plus.Je inlaiie ÇaVlal et (lVO p.lIIVC Cfl p1U ne-

(enlu6 de kVVflC5 z i'at naître C11(:Z cIles44 4jVem.1 lia « le an:t.imcnt .qu.eV celles < d'enliaiit "c iiui-auei.i SCUiCVS, dU telflPS q r'o:sn'a\Vnieiit pas eUt-014e fait dc chiite.

ic V4VLX bien tout dc inine qu'il y n que'-1lIe 4 1iCtla..0 tant &I'honiicul' dalull'j)iii d'uil nouveau i.jc1ie. Mais i1 n'y en uVll.iCUiI à S1lPpIi1flC1 tout seutVifllfl.flt 'l'iieu-neur 4tVa,1 Vl'ifl1:\ 410 CC hCJ!ÙVIV1O paur quife10}iie.5 ime SCiit que des objets d'nag". ' :arje vous u4sUfe due ces aeistOCl'ateS lit, otCVi) tlOOV'3 heaucorup de +ios jenr.

V

Et le C4i)iîdiCUCii a-t-il uii';on lOiS(1iJ0Paf au1croîh., il .CJdp]OJelC i.tmeut4ilJki !aiiga-gc' POPtiiiaiielU hdies ie 1a pee. Ne faut-il pas (U'i paVre, coUine bi a

0'il'V, irViis fli4ierion: niie&Tx p0111' lel4ai nf). -l'eVuteil(Le s'&nY11fler4(44 1(. 1t

4. j 4 .f .4(V.Jij,V,, ZUt'' 2.14LJL6*SJtrvs , ,.' .fl:- V.)'.V.V _VJ& L) t . V

V

J :1 4 \ : -.V

V :j :: :V V. 4V

4 4 J:

VdVVWV , t Ji())l. Je \I1ÎVflI11 liulti pL1.aitrait-Il au rinuViqrlc et \::,[jq11? Eviciemineiit.C 2!a nous choque, I 'nu, d'entellcDCe sur lscm' des gens bien liahII]its, chargcs dcI1aVgVI1C4, parlai- de mailciiis » et de 'Iaiu >. Mais enfla, c'est hien ainsi quedo t pal! C1 Brac.hai-L

'J.'OUtCVS Ces r4'rves ur 1s asserlioVn (Leii. du Bourg iio chniinutut s la force deses ciiiiqucs. TOUt au i)IUS efferchent-el lesà les restreindre, l les localiser.

M. du Jrrrg de LUZCnÇVDII a fait pourcoVniprendre et même pUni aimer Brrns[eimiuli client d'autant pLUS nleri[oinc (J,i'il l'hi 4

fallu, lui, cal.hol+qiie et anirtocm'ate., fullahitrVar [KIl) le sa l)emonna)t4 in i;li1i5 mlinie pour aiialpei' l'oeuvre d'un juif qui él-vo le ljeUPlm0 et qui VpaJ'le crCimenl..

Et il faut même admirer quil j bUS ai Lapi-ès sa critique 1tVtfauFC et inocule, vanLrails rdsVelvo la sClicliLVé de la SVLrLVCtti1e ileVia pjCC, l'liVabilet(i du Leehuiei.e,n c1ui . nelaisse dans son cruvre ijcn d'inutile, qui yfllVeVt tout ce qu'il est ncessaire, t iie.n ('11Pl1S. . . V

Et cela CSIV exact. T.1a ].i4ce Se ckroiile avecune logique dans les d\(fleifl(fl.t.5 par flltuais effrayante. Cette Iiistioire cl'adlt&cmainqu6 oi'j UVUO paI[VrÀcLen.ne au moulent dotromper son phubeiende nvani qu'elle ex-re, s'aperçoit quo son VIC(JiilVtO est &irr ici-

. srabe jwvciu dnn la fang deS liougesrnantina4rtrois; où un ancien débardeur de-

VVVii1L nidliardairVe i.,1iifle POUr' perdre sonrival, c'est uno histoire cjui ifeat pan priserIiez 3eorges Oh.n;et (a-t-il quelque chosei iVU celui-là?) , mais qui est prise ciaii la

vie de toue les jo.ui's courme I:e rcohdesqui agitent les peiSoflTnJg3

O'csl; J)0111 cela qu'elle est mouvanteparce qu'eUe t vrue. Â-t-on In dccii; d'exi-e.r nuira ehoe d'une oeuvre thdtrale i

V.Vpa4r surcroît elle VSt bien charpnmtée?X

ils Sont. fort hieu rupiésenl.és ces peson-migen par hi troupe de s T.aités Mme (r'

u lraimnenl La gra.nito allure quicoevii'iiL à ses origines et n sa SiLU5VtTOfl

V 1,I1O Lui Iicflfle fail une lein.i-rnoi.idamnePCVU 'naiJji'e. M. Berthoucl est parfait(1111111(1 11 doit (Ire v.iolen et iii. rein-itit font bien un r&Ie extrêmerneisI diIicatAu reste le publie s'aperçoit peu a peu

eue eL te lrou.pn est bien en ..eflcVt cormuela tilt iC conférencier, ' itt prcmiirade pro-.ViïlCe », puisqu'il est venu aujourd'hui avecloi emprcSOSfl4Cnt qui fait iien igurcr desje1tLliS SUiViulut.

L. H.

Cours e ConférencesHiSTOiRE POPULAIRE DE TOULOLJSE

Li j auourdhni vendredi 3 Uivrisr à I'ancienenVPaiV,:amViVne da cours y.blic municipal qui wata

£scuittl sc:erces, rue Lakanal, I.. Partie Choriolc- içfue. V Couis .8 heures u soir; Ede, duc è To4ouse. lava-

. siQ des Sarxarn, batahi 1 mai 721, med'El Samsch ; .Chdes ivtônai ; HunoÏ et

V

Cours yéiku, 9 heu'ais : I-leari IV.. Evène-meuts toutcuuis; juiQu' 1é4Lt 4e Nartt.Vtuall phémide : Anciejiexi Acadniie des

c;ifl de Toutouse. VV

Leaguo mcu.ndiio. Rvcajo .dt l'aze, par Ri-

MINER VA

Din,,'n, ,,rnedi. 4 fvruer, è 17 h. 15 i l'an-cienne h,culn; d Lettres, 17, u- de RinusaL:La Ntu dans l'uve de Fxncs Jamnies, paMÏik- Quic, profesetrr au lycée de jeunes fihte.

3iIeis d'entr.Se 1 franc tt .proeamrnes gtetu.i5toue les jours 17, rue de Rémuszt chez ic cou-deige. 4

Bureaux et ptDi5s ouvert ii 16 h. 30 feririis i17 h. 15 par Y1iCSUVt3 d'o.,dre.

kEZ PÂSTLR. PIac isqiiirom

u MTtUE xtrÏVV.(/iil( L litt-e (Verre

P-rti ocîaiïsîc (S.F.LO.)Â SSEMBLEE GENERALE

Les mlitmt' de la iecticn Toulousane sontpIés d'ari6ter u1 l'Assemblée gunirale qui auralieu samedi pochain. à 9 heures du soir, café)cujean, 7, boulevard cia Strash-ourg, sous lapu'sa4cnce u citoyen Servt.

Orde du Çour: Adh,sions; coffiut Fdral du5 f-r.V

V

V L Sccn1airc,V

Pul VICTOR.

c 4c

IJAION DES SYNJ)ICA TSDVt LA HAUTE CARONNE

BOURSE DU TRAV\LLCouc,odcs du1gials atV set4rdhlCiva

Toulouse, le 2 r'rer t22.. CONVOCATION

L'Union des Syndicats se réunira en Assembléegéaén.de samedi pOchz4ifl 4 fvrier 1922 è 9bcu-e.s du soir.

Orde du jour:10 Cômit National Ccnféckral des 13 et 14

£vrier;2° de l'U.D. de la Haute-Saxonne.

Ca,naades,Le traval de réolganisalion syndkle sonce

dans ies meiLleures condituons. En présence dela gravité de la sLuation, les militants se sontressaisis Il fl1OtC pOU: notre Union de pri î-tsa pcflue et de d&ermlaei son action.

li lui mpOte aussi, s'en rf&ant aux decisiandéjè piLses, notammeau aux oidres d.0 jour acop-té ux V du Conseil d'admirjsiraion des

. décembre 1921 et 14 janvier f922. restant ari

fjlèle et odhérenie è la C. G. T. ayant son2 I Jue late3eUe, Pa,is (10)), de prendie les dciuions de dsdpline et d'unité qui s'imoentpou: C4U0 le mouvement syndical soit aussi es-curé déserniais dans l'orcCe et daiis la mhode.

Neus cwtcns sur votre présence, le sainedj4 fvt-r ai so:.

:4,iut ri se1ldait, .V

V Marty-Rollan, sccrltaire de 'U D.Cazeneuve. sectiahe de la 131.

V

Sun4;c- dCV coopers-Tail1ctrs. Ruonmr n ielio Le samedi 4 f,vrier & 9 heue.s du soir

du TravaI.Cômmiskii dc l'.4monlilctiieçs. --- Les ariia-

rat in er'iisier. e sè5,cs. sc ltor bii±stes'

Au PrinteJnJ)s

__

COtJWES ftOHTttA1tfl .

V

A L'$IM#HTEJLE, m, e HMiut

Nosveaxrtés É1éjatnies10, 'Msac TOUIGUSE

(iraijde (hiij;yjac ,J

BLANC- LINGERIEIideaux et Dentelles

114, !.!1fl/i 6 au 11111(11 20 Fevriei-",---membres de la coimission de l'ameublementainsi quo d'aunes syndiqués voulant particnert la discussion sont pris d'être piésens diinai-che S févier f 10 du malin, Bourse du Ta,vail.

place Saint-Serai,,.V

La pr&sence de chacun est urgente. .

Oiehe <la jour : corespondaica du déhLgs f-dclral ; examen de la situation crié par Situe dela scisison dans la Fdlra(iou; dlcisions en-gager.

Le SociétgAniile dCb Poilus de Frt. --- Le,, men,bes

du bureau de l'AmcaIe ont lho:,i:ej.r deOrieVr d'assiier iZlUrVdi -4 tévCir ii 21 heceas, l.rue de Rmuaat, è a confc'rer.ce suhhqie oiJe V cilayen D,tzos, ancien con,battnt et etpitéde la HauteCarona. t.ra5teia d& la question LAftETE DU COMArFANT.

La. Toalonseine. soir, * 9 heure5 rdp-titiGu génraje.

A sss&nce ,nutuclle. La réu.n:an inensueliedu cOnel de . aura lieu le 4 février è-20 h. 30 dans le lieu odiI1aire des SéSnCCs, 17.rue tin Rmusat.

Union Amicale de Ii Cdte-Pve. Samdi 4fvrer Halle aux 'Crains, gr,zjd bai paré e soac-eiu ergaiisé car 1Unoik i\inoale de la Cête-Pavée.

Lyia dc SoZnt-Caprit,. soLr vendredi8 h. 30, calé des Pyé,:ées s.ptiti.ou et osjanisatina de la sode d disniuwlse nochain.

Monument (LX Morts du Pont-ees-Dernojse1lcs---Afin ddtab!lr la lit .. cosnplète et dlhsiUva desEnfants du qtratier mous pour la Pat:e, le Co-mité invte les parent, dsire-,jx de voir le nomde CClui qu'ilg pieuTent inscrit sur le rLioVfluaieu,t censulter le tables,) apposé c}iz M. 3osc. boa-langer, ainsi fuie dans Ils vestibule dede garçons et les UiVieni de faire reciress5r lese laissions involoataixmient commi ses.- 4uir toutes réclarnatons s'adresser avntle 15ivr.ar è M. le drecteuVr de lEo! ds garour,la brte devènt être remise è cene dat èper.cur du in1cnirnent.

FéclraL,on Rclgknalo &s R!rrnts. -- Le pr.-idnt et ie vice-rrésLdent retour d Conigs 4es

retraités tu à )3osdeaax scua la présderice deM. Lon Bonyssou, dipusé. pxéside.t da xue,Vgîariemerii,ajre de ci2ensc de ititrêts &s reiCeterendaont conWte 41e Ies, ifli4il4at st:nr.nclte po Vchain, t 10 Vda niatin. I, PleCe du

e La trésoxier percevcu les cotsat:ons d I92è psiir VIlC 9

VV

ENt!ASDEDEcFS.*Grt tø Iiàwhes

S5ei,er directemeràJx MPES FtUEBES EAL

Q,i i'cc4uet1t k l4it1iÇU lI:.s QtkTifR

é4-tsCMAS

TI-JEATRE DES VARIEVTES. Ce sor von-drecb. è 8 h. 15, 2e resjrscutcc.fl du rand cIa-me Populaire Rogcx la Honte, avec le concoursde MM. Bertoud; l3aerl, Rollet Lefèvre, Su.jsrl etM,chaii, et ?VIV\V1j CarèsVDsasa ...Me1ends.CiIlesRzimhau,li, et enfin le éscieix peti astiste . Douai qui chohaine les angiot de5 spscta-

Samedi première repsentatori Te3,sse de VLaP:Tc11o!, CVCVC 10 -CflCCC! de. MIle tIène Gi-rard, prenhièse chante u.sa des Cle3tns de Lyca;k spectacle cons1nence:a par Etzschants et5011CC. ballet dans(- par Mile Flone Natta etAngèle Tcurraires\ et tous le ccsps de b1iet.

TI-IEATRED ES NOUVEAUTES. Le nii:sgrand succès du moment. tous 1es eniVra La Rcvue cia la Ftn,nc, s-sec Besgc-r. Sogiae Fragay.Archer, lopin, Mausice Mafln Costumes et dé-cors nouveaux. -

GAUMONT-PALACE. -V- P;onan,rne du vondredi 3 au e.sdi 9 lévses : Vcr5 l,s L0i71è;e;grand draiiie interprété par Mne Yo,sova ; LeParadis Pcrda: flirts Gaumont, sése fausaaVc SPont dos Soupirs (La $ê(e ChCZ Jmpsi).

Vendredi débuts d-a Fils de Macfcnme Soas-Gsnetiré del'oeirvre 4Emle Museau ; nterprét t rla 1e1!e Hessésia.

COS.MOGRAPI-1. Tous les jours è 8 h. 45La Fille de 1 Tcmp,tc coissédie sentimentale in-erprétée par la déIiciese Bessis l3asrisaale ; Fat-y M1bcl et son chcss; Rirct!e ragabond.

(Voir la suite en qrzcitinse pcge).

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V

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

S7ie :poli'TO Garonnais à

SAINTGIRONS CONTRL

Tous ks sportmen se sn plu reconnaître

cette Saison que le Toec posédat une excellente

tne d'avants et tout le monde déplcrat que dey-

rière (Je tels foewarcis il n'y ait pas une ligne

de trois-qaurts sueceptibles de conclure.Or, k partie joué contre Nantes e mOntrt que

les Toécstes ont une divison d'attaque parfaite-

ment au point et Lavigne est dcdé à faire ou-

vrir outrance.Attendons-nous donc une magnifique partie

dimanche contre les poulains . de l'internaonalCahuc.

i.a prernire d'a.'nociation ira jouer son premiertnatch do championant à Sint-PauLCap de jeux

CHAMPIONNAT DES ' PYRENEES

Dimanhe 5 février, t 13 h. 30 le Stade (2)tencontrera sur e terrain Ernert Wallon des PontsJumeaux l'excellente équipe première de la Jeu-nese Sportive 1'arbaiee, champion d'ArmagnacBigorre de 2e série 1920-1921 qui ne fn élrminéeque par ie Stade Hendayais, chamipQn de France

L'équpe deuxième présentera une excelene

equrpe.A 14 li. 30, Villefranche et Pemiers se trouve-

-mot en pr&seflce pour la r iclu championnatdes Pyrrnes de 2e série q. i se sont qualifiésdans les poules et dimanche ous connaîtrons la

meilleure des deox,L'quipe du Club Sportif i ppamen est cern-

mandée par l'rx-stadiste Prad ri et l'rquipe rCti-feim de nonsbreux toulousain

L'équpe de Vl1lr5nche e t cnrnmande par'x-Tociste Billac. )3rrnori t Guicharcl prati-

qont clans ce quinze.Les élrments de va'teur ne aanquent dons pas

dans ces deux clubs et le ho de dimanche vau-cira le dplacement.

. TOCKEY CLUB TO rLOUSAINDimanche dernier Lavaur, le Tockey a bru-

.tsmment gagn la demi-finaie du chaorpionnatdes Pyrnes 3e série en batatnt GulIac par une a t an form&. Le u1tat n ndtque pa bienC que fut a si p riotiit.-' ces toulorsa n quima1gj 13 devcurie pour ses joueurs malades ouindisponhles r-urclassa son adverraim. Manquait.rai1 drôite des tois-quaits et deux troisième 1i

Le premier essai marqué par i'aulier Foissacet indscutaale, avo par Joueurs et poblic, nefut pas vu par l'abitrè pl.acil- trop iei.n qui crutsans doite au tuché premier du gaillacois dontil siffla la remiri en jeu.

il ne fut pas conte5tr par les Toulousains, spor-tifs ac leur sLp&rioriL était fort nette ; jo'iantconstamment claris 1es 22 zidvenies. Quelques mi-nutes après, Picar eatat un joli drop-goal. DansLa suite, p!usiour5 essais étaient rat&s de peu,ruais tn.algr la farouche dMeose des ronges. lesTockeyssites maxqtLsent un ee3ai (Tory) que Foissac transfofrmait superaement. Les attaques sesuccidaient ts rericiutables contre Gallac quine dut sonsalut d'un ScOre plus éiev qu'a deseups raiics diga.ge'ant leurs but.3La fin fut sfll par M. Miaihet qu ariiVra

impartialement eet hle partie.

cfi8oNll;tLJ RllIONAL I

i

flAUTE(i ALU)NNEPARbSOCIALISTE S. F. 1. O

COMirjE FEDERALLa prochaine rifli3fl du Cornité Fddra1 aura

'ieu à Tou1ousi, le dimanche 5 février, i 10 h.pr&cises d matin, café Denjean. 7, boulevardde Strasbourg, lar étage. sou-s la prilsdence deBedeuce.

Ordre du jour nomination du bureau f&l6raI;réunions de propagande pour 1922; s Le Po'pulaire >i et la presse socialiste; interfdératin;cuestiOng diverses. .

L.es section5 sont nles d ire r&ini.r avant cettedate Pour désnar laus dililgus au Comit&Fédéral.

La rapiieentation des sections au Comitlr F&d-ral est caiculie sur ie nombre de leurs man-dts au Congrès de la Fédération i raison de undlégu par trois mandats ou fraction de troismandat 3

En conséquence. tOutes ies sections du dpar-ment ont drot i un délégur titulaire qu'ellesdoivent choisir parni leurs membres.

E.ii outre, la sCctionS désignent un diusuppl&snt habitant Toulouse, pour Les epril-senteir toutes les fois que l'urgence de la délb&ration ne permettra pas aux dldgués tituaixesd'assister à la séance ; mais sauf l'urgence, ilest du devoir des section-s de prendre toutes dis-positions pour ra iare re.pr&senter directementpar Leurs dé1tgné5 titulaires.

Le secr&aure : BERLIA.

N. B. - A roidi 30, un déjeuner amical serviau zeataurant .Estràda-Bonnafous, place Dupuyziunira les dlge&s et ica membres de la Sectien Toulousaiise qui dé&reront y prendre poat.

e s s a o' sns mercure ni medic-irneat i ariibte s ui odcru d ' rue aprabte ( t u ocr digestionacde perinethnt rie oignci en secret et sic privations ni rctnu et si-vi iiJCrtLOnS toute 1c e stiCtt5 dOc gauss, goititani

Urinaires, rêcentes ou chroniques. Ira plus iriyé téras et rebelles à tous lo traiteriients. ttcou15nantr, Gonte nii1itsieBlennorrhrgie. CYste,Jjrcitluites, Métrites, etc. et toutes tes affections atixctueits ces inIscUos donneatuaissonce, sott qu'c1tei

1mlent été ziégligées on mit SOigtiéO. Gos 1)ragôes sont ausot un exceltent septique contre tes niataclies (le la -Veuo, tucontasnee'tii-ioe,

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L: Ph. Poputaasi, t'brboaue Progres, Bzir : Fé1i ibadie, Tsstsei : Carsboulves, ,¼Ibi Abadis, Qtt : Oarisi, CstsIarrasta Prat, Cctt Ayearcl, Caicassciene : }3roaat-flcue, Agsn:--- -

32 FEU1LLTO JU « ,

I-o" Le ret:

u 43ul F1VAL

'M. C1,imrrit Ader, notre compatricte hx

Muret vient de voic rilcompensec ses serve',par la cravate de 'commandeur de ia Lond'honneurs qui lui a ét dcernée dans ia dc-iniepromotion. .

M. Clament Ader est le premer hotime quiait volé, c'est-à-dire qui, le premier, ait réalissl

Une machine aérienne s'éleant du sol iar sespropres mo,ens. C'est en 1897, au camp de Sa-tory. soit six ans avant les expériences des frè-res Wright, qu'Ader iSussit ii voler sur parcoursde 300 mètres, Notre compatriote est donc bienle pi're de l'aviation moderne,

Flicitations pour la juste récompenses dont il

est l'objet.

COMMISSION DEPARTEV1ENTALEDans sa séance du 26 janvier 1922, la Commis- t

siori départementale a pris les décisions suivantes :

Elle a approuvé : l'Adjudicaion de fournituresde vêlures nécessaires aux enfants assités ;

Ladjucliraiion de fournitures de denrées ii l'aaile d'ali&ns de Totrlouse pendant le premier se-mestre ;

Le projet de rectification du chemin vicussal n .41 à TculouseMautaudran;

Le classement au rang des voies cicinales duchemin Entrès-Prats s Esténos;

Le déclassement du chemi vicinal n 8 de lacammune de iagrault;

Les trajts pour l'tablisseonent de circuits té-léphoniqu:es; -

L5 bail ii loyer de locaux detisoés aux servicesdes ofiices de placement et de la main duvre;

Lescoiitrzsts passés en vue d'b4eoa ir des coaces-sions d'eau pour divers inameuibles dépatemon-taux; - ii

L'avenant au bail . loyer pour le bureau de.poste de Liante ;

Le, bail i loyer d'une salle du Palais de la.bourse aux huissiers du teubunel de commerce ;

Le cahier des charge5 dressé pour la vente auxenchères d'arbres de la route départementale O

36;Le tait passé -peur l'installation d'un poste

téléphonique à l'école de Gourdan-Poligna, .La mise à la setr-aite de deux agent3 du per-

sonne1 &ecønda:ire de I'aiIe de Braquevilic.Le pogranrmè des 4ravaux à exécuter sur les-

chemins vicinaux per application de la loi duU mars 1880. .

Pour contribuer aux dépenses de traVaux ciom-insinaux, elle a alloué des subventions aux coosi-rnunes ci-après : -

Auzevil-le, réparations èi la mairie et è l'église;Marsouals, rparati-ons è la mai-solo d'école;Ville-mu-r, réparation au rnatlaieî scolare;

aux;-Foc, réparation au chemin vicinal nOl ;Lège, réparations au -Lot-cent 4e la Litch;Saint-Maitory. aéparations au bureau de postè.Elle n égalementaccordti des bourses d'éppren-

issage aux aveugles adultes Alié et 'fn-e . -

Des indemnté aux instituteurs et inat-itutoicesdéplacés par nécessité de sevice en 92l. -

Des subventions des Sociétés de Secours-mutuels. -

Une pensiôn de retraité è M. Mauven. agentevoyer auxiliaire à Sai-n-t-Cauden . .

E' en&-i e tribue des allocations mensuelles

Changernes d5ctrsse?;oS ABONNES SONT !1IiILS DE JOR»

L1HE A TOUT »'AflUSSlJt\('lENE Bl)I 't (J ft-, O

WNEC'LH)N DE LA OU?ELLF. -

- La Franc-e I sécria Cc-cardas3e. il4'y a que la Frarice, nton

- Noble paysj- Patrie du vin .

- Mère es -aflCurs ! Mon cher rnaî'Pie,- s-e ep-rit frère- Pssepoi1 après ce ducs13Ù ils avaient 1utt de lyrique élan, est-ce

eulement le manque absçIu de maravé-tus, joint à l'amour ce la patrie, qui t afait repasser la fronire ?

- Et toi ? est-ce uniqtiernent le mai-pa3s ?

Frère Passepoil Secoua la tte. Co-car-tasse baissa ses terribles yeux.

-- 11 y a bien attIre chose, fit-il. Un s irau diétour cFune rue, je m §Uis' trritviface à face avec. , , dcvin qti ?

- Je devine, rpattit Passepoil. Pci-reile rencontre m'a fait quiLitr Brte1le

u pas de ccurie. . - :

- A cet aspect, m-ou bon ' -

MURETAMICALE SPORTIVE MUJETAINE.

L'Assemblée gnéraIe de la Soci-& s'est tenuele mercredi 25 janvier dans la salle orduaire dsséances conformément aux staiuts, il e été peccé'dé au renouvellement du bureau, qui est cons-titsé comme suit:

Président : M. Diesol; Vice-présidesus MM.Nolle5 et Roussel; secrétaire générai: M. Sieirac;'secrétaire-adjoint : M. Maurette ; trésorier én&ral:M. Si-adous; trésorier-adjoint : M. Récole ; disec-te-us de tir : M. Artigtiè. -

- Les jeunes gens de la classe l922, candidats'au C.P.S,M, du Cen-tei' de Muret sont inforrisésque les séance5 d'entraînemeat en vue de cesépreuves auront lieu è partir de mercredi soirIr février dan-s la salle de l'Amicale, rue Adl-phhoe Bonhet, à 6 h. 30 dusoir,

--' AUTERIVEPARTI SOCIALISTE {S,F.LO,). La sectit

d'Auterive s'est réunie dimanche dernier ers r-éu-nion gén&'ale. Après avoir -règlé les comptes e-taccepté les nouvelles adhésions. i-1 a été procédéeu renouvellement du bureau. Le précédent nété réélu à l'unanimité.

Secrétaire Roques Théodore ; secrétaire-adjoint,Deilhes Merlus ; trésorier Lavail Léon, conseillermuaiopal ; déliégué titulaire à la Fédération Ro--que TIréodore ; dé1ég-u- suppléant habitant Tou- -buse. Fournier Joseph, de la Section Toulou-saine,

l'air de la Catac-gne ne irse valait pIurien. Ce n'est pas une hcnte que de ccer-le p-aa Lagardère, eh donc

- Je net saiui pai i C est hrnate, maisc'est assinéIP'ent p-ruGence, 1 u connaisl'histoire cte nos compagnons ct1ans 1 af-' -

faire des d-ouve de Caylus ?Passepoil baissa la voix pour demander

cela._.__: fit le Gasccn, je sais l'his-

taire. - Le-u ccuquin ('avait dit You -

n'tcuh'ez toua de' ma noin- L'ouvrage avance. Nous &ionS neuf

i l'ottaque, i5fl comptantie capitaine Lot- -ram, chef 0es bandouijers. Je ne parle.:mflire ias de ses gens.

- Neuf bonnes Iamis ! dit Cocca-rdasse'd'un air pensif. Ils s'étaient toue rele.vs -clans les fossé-s, taidacl-s, baifrés, saignes

mais vivants.- Sut' les neuf, St0upt et le capitaine

'i' 5m scnt ,parti3 lc premiers . Stai,tpitzétait (1C famille -bien qu'il eit l'air dunrustaud. Le capitaine Lcïrain était unhomerie dc guerre, et le cc-i d'Espagne luiavait dcinné u-n régiment. Staupitz urou-rut scus les mute de son propre manoir,aUprcs de Nusct-tib-erg ; il maurut c."uncoup-de poir/c,- lb, elitre les dauxyeux !

-IE°ab'5 epo'jl posa Ofl doigt à I'enriit in-,

diq u . - - -

ia t" r:,, i '

, Je senut,: -

[ii tii ds hiots kllSParis'. ---.-' Le Trocqurr, miflisite oies

Tt'icivaux publics a chargé le général \Vt-.ygend de' prendre toutS les mesures né-cersaires poLir que Ic t5flSt -dci char-boni; soit régiilièreueit arsuré en Rhç-nanie en dépit de la grave des cheminotsrllerrands,

FOUR ARRETER LA CSREVE

EN ,\LLMGNiL .Berlin, - Le ptéfe de police- a fait or-.ter deiiv chefs ou ' Syndicat comme

ayant contreve:.u- I'crc.c'rnance d hteren faisant d0 la ji'upagirtre pcsu'r la grè-ve. Le corps d-e.' vclO-ntaires entraîné-s I'i'em.placet' le-s gr&'stes fans les exploita-tic'ns vitpks de l'Ent entre peu i peu enaction, -

On ice emploic- etitto-ul ccmrie- nca-.nic-ieng o-UI?;CflptIr charger cii'p-our c-charger le-s trs'iins, de vivres. Rten qu àHanibc-txrg 10.000 dc ces vcic-ntaires s-c--

ront au trvail 'lemain m.atni.Les stn-vois de Ypit se fonîrius rares?s

Berlin. Les trains ver,ant de l'ouest. et duNc-td40uest ju c) ktanifort--on t cG -sas-rtcr dan diacrses °as..s d'ant le termeje lotir voyage

l3eaUcoup n'étraflgets cJui CM --voulu

ruitter Rerlin jeudi_matin (iCI cG reotterà leu-r hôtel, ies trains ne portant plus..

En Pavire o-n n sumale-- tuccun jitou-veritent; --- ' '-'' . - - -

Berlin. .- La ,izxève es chcminc-ts ai-

lemand's est cue partielle. l'aprise la soirée n'cnt scitb-iées par au-cu-n incident.

Les n.em'b'ie-s -lu Comité centra-1-yen ont pas encore lé mie en état dar-

estatiofl. -.,f

l;es fonds des ivet's r4rniiicats cri trèvequi se troUvaient clans dec banques ontet .oaieis. Ces- sornrnea s'éls'veut à pie-sieurs millions de marks. -

Let nouvelles pa-ri'enec des rsgicn de- Cassel,- dc Hambr,org ou Mackiem-bourg signalent que 'le sesvic& -cst as-uré-partiellement. -

. -

Les chgm:ins t1e far ingéni'ht ito-uta teanspoT-ter les !ent'ies alim-e'titires etilcait ctli knt dé.fat,t. -

Lç5 n-enibies dt Union do's cbrmin"tsallemiaride ne sont pas p'aitisaris de lagsve .

ta fi de la\\'-îing-lon. - O-i-i nitt - ' ïi-c riEI_I cjue l's ci ret W 3.biugln

ii '- Jt't fin samedi C OI u t eutiion pie-gilet e iaui a lieu iu eou di, liqilalle 1cc Irqi-.li ', infti-ciius '-ui ijet (if' I E'rUni-Ou iencscuoni cm egtoresi

Le lu'idt suivant ie ,pilc-tes seront Crlt5'M. Balfouir e1 les in-n'ibr,et de îit. dIéga-

tOi-t anglaisé quilter-oiiit \Vasit'ngtôn le I oule. 18 février. -

- --

J ea dLtcg'ttlonc fram'a e et italiennequittnl lIt capitale 'itrni t seune la sem'nneprctebaine. -

-La dliLgation japop.ais.o part le 1t fdvriepQur cIre t enclue le 21 (lu mcsne inoc It S-mi"I'lTOi-s-eO où elle s's-tni-arquetr-a. -

M Rasdirig prerentena es tt-iit,eq 'us Sna-t dès l-a fin de la confira-nce -et 'il ooit(iU'ii 5:010111 ratifis -aUsitôt.

Une nouvelle émeute aux 11nesCalcutta, - A la suite de l'arrestation

de deux n-on -coopérateurs prrs çte la villede Pabne clans le Bengale u-ne foule de2.000 -personnes a atlaqué le magistrat c-ela xgion et d-eux officiers de police dontl'un a perdu connaissance à la suite cies

miuvais traitements qi'il a teçus.1,.n fouIe a i'efuc' de se disDeràet et

s'est mise à lancer d-es pierres. La co-iicen Tiposté tirant -tout d'abcrd °o bFanc PUiSavec di petit ptomh. Quotite personnesont&é tuées et d'autres ont té bless-es.

La moitté te's travaillera de -la Standordjute M-jus dans le5 -envrons ie Calcuit-cip_nt repris le travail. -L-ec nuwiess au nom-bre c.e 4:000 taient en grève depuis le26 janvier.

pies d'un coup de p-c'inte cotte ies deuxyeux, là ! riandiéou. Pous ceux qui sa-vent et qui se souviennent, c'-est commele cachet ou vengeur.

- Les autres avaient fait leur chemin,reprit Passepoil, car NI. de Gonzague- n acubl -que nous-dans ses largesses. Pintoavait épotosé une madone ove Tu-rin, leMato;ior tenait une académie en Ecosse,Joet d Jugan avait acheté une gepti-'lhointnièr au fond de la b,ase Bi'ctagne.

- Oui, cui,fit encore Cocat'd-asse ; ilsétaient tranquilles et Ieur aise. MaisPinto fut tué à Turiri le Matac1or fut tuà Glascow.,.

Joc deJaga.n fut tué à M-orlai, con-tirtua frère Pasacpoi; tcus du- mmecoup ! - --

La botte ce Nevers, mo-rdédioux- La terrible bott de Neyer-sll gatdrent un instant le silence. Cci.

cardasse releva le bord affaissé de sonfeutre poitr esst-iyer scn fiant en sueur.

--- Il reste encore Faenza, dit-il on-suite. -

- Et Saldagne, ajouta frire Passepoil,Goazague avait fait beaucoup pour

ces deux-là. Faènza est chevalier.-- Lt Saldagiic est baron, Lèi tour

'viendra. - -

Un peuplu5 t6t, un peu.plus tard..--- i-.si-'ai'. L, Luiieaae 1i ne meme-en urmura le ascon, cl le notre T

i- 13 PtT

nôtie ausst I repeta P'tsscptl en- Le capilaine Lcn-ci]n mct;csut n Na- Frtcicnant.

C21hAc fheure d'été,..vJiuL,--:'' !lVtt-IMll luit-

HHI iie'ftitIlç,L- 'i i

--Hllll1lll-' ll-

\ -lY î11fliOS, i'illtll 'lt lllili1i' ('lll'l'ule,

I I I{, I 1 iOl R t.,( tl Abuielli' lit , t Il' b itiiL-

\]ll t.idti'I'..-, ' --

-

I 'I Hi'tl(l'.Llllt,kqu- o:.i l'liuuje d't- a ' roudu

il ' .iii:)eilclant la - gii-eIt' rlht

;l :tls sa i:'-uiO-i1 ciC'tie ii 1'h1UP(, ai') it,lli',

(fIl' I uitt-.Ct l'-COI-ni (lfl-PS lui-t- état not'-iïsal

&:iidi-auL que si l';\'ati'o ,d( I'Iiiiire enti i, --(Ii?-5 gi'auuts tra ' lltX clatit; les

il tuIgnes ai t ïJ-er(l1'e Ufll lieui'e- iu iiOSbit-ii in6rit 1-rux lrav.ailleui'S d-o a turt'e, quiSç,blt), sur l-a -h-rlie du.li's' ce titi coueliCi' dii

.s-oleltl, lets- obligeulit à s l-e-vc'r urte lt('Ut'O

pi utôt P0°1 1-l-tct' van-die le-tirs pi'oili.iitâ ot--

diil-utirine-il L' ii iin-u heure t-i:'ùs- fltUtlfliil-C,

(onsicIre--s ut sôul le ti"a'-'utU fait laii:illes.se cL l-a pio-sJ)iiritt (iiiCS et-quo lesti'av.aillcurs d-e -la terre miritutl uux asiStiquelques uig'ards LIC la part (lit nOS OU-Vf'I'

nants, polir' leur (lO-Ofler 113 repos ouquel ils

(i1l ; oit( -, Li.a\)qllrelir agticoh « oitl f t

V(ii1\'ili[tCFij.5 Çl]C l'S yaclie-at:s (î' iQi1-iOti\'4 et

titi C", qui s4rt'tkt-flt t l-t vlorli uit.'e do

l'i lii'la(e et CIUI ont cime des 'i(rU\ pour

1.0 il'L-iilflt-iOfl de- li-te:u-i'e d'ut-il à titre jléÇi'n'itit',

ignOi',einjt compliltme:flt le prtjt'idt-ee que ce-l-a 1)011e à toit-s les t-i'avaiileut's de plein -air

et siirtout -aux aglic-Ul-l-eurs, que sans ec4la,

ils n'en dernan?eaieltt pas le mainL1efl.Emc-t le \'(ell . Q:LtJO la l'Qi-tlU '19 mars O17

(liii a mE) t ll l'heure (i'rt- sot!- u brogéc tlitre dllrtiUr. ' -

La rorganisatiOfl de 'arne- et e rupe Saiaiste

Paris. - Le groupe -sc-cia)ste S.F.!O.s'est--réUcii a la C'hrn5r3 -d-an.i i

midi d'hier pour artêter ,sr-s C.;iSpCt;tOIts

en Vue u prochaincébat sur k yro-jet

de Ici militaire. £1 ia cnrié rn appro-hc-tio-n unaflime à t ',coptr&P;Ojet ce- i\'i.

Paul Bc-ric--ur -qui seoa pr:sent aprèS

-clu'auTa 6t rejetée la mC-'tiC'flpréjicidl-einvitant au dmésasm-ernetit 'gén&-al. Lecontie projet ne vaut ue par rapport à

une politique sohi à n'actrsr-ettre - d'au-ire guerre que e.il-r Qui nous serait ilfl'posée par la ciéfense du piy menacé.

-- Vôici' 5es grandes ligTrer tArm-é-e de bO.iJO - -s soit O.00O

hôrtrner de plus c 1 o ,. e alleniaridie'arres le tTat'-e cte p u,. huit rv s de

-service dont deut I école des : roctuescl: crx a I a couverti se n cbtl .,at cm mdi striche de L pattcn e crgdnlsalson oie e

gfl1-e5 tCOflOiTi1ClUCS dttitiés -'à la prépa-rer. .

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4rcemenl cux cosioinmat'a dg

s a-vo i- de ?sLéri tre ext raix dfiastt toute counence qualité éa1e.iJs eautiontment de 200 hsszci e*t exigé.

, La Maison accepte e zasst *'iaozte qusi*tre c8é eu 45Ufl. -

Onnoisa, Bayonne e Cabit, Voii;

Cacardasse se recressa.* Eh donc ! sécria"ti en homme q-uiprend sa-ri parti', Sais-tu, mbn bon ? quandi:1 m'aura couché sur le pavé ou sur I her-be, avec ce trou entre le-s deux sourcils,car j-e saie bien qu'on ne lu-i ési-ste pas,je lui dirai comme autrefois r Hé bupetit couqu-in ! tend'-mo-i seulement laninin, et, pour que je m-cure content, p-sr-çicinne au vieux Coçardasse ! n ' Cap-édé-

-çiiou ! voilt tout ce qu il n sera.Paspoil pe put une grimace.,-. Je tacherais qu'il me pardonnât aus-

si, dit-il, mais pas si tard.-, Au petit boniteur, ma caill ! En

attendant, il est exilé d France, -A Paris,du moins, on est 5ûr de pe pas le rencon-trer.

-. SGr ! répéta le Normand d'un aipeu convaincu.

T En-fin, c'est, en eet unive-s,----en-droit ou I ç-n ale plus de- chance de- l'évj-set. J y suis Venu pour cola -

- Mbi de même. - '-' --

-. - Et aussi poi-r m:ê recrnm-ander aubon souvenir de M. oie Conzagu-'e.

:-' flous doit birt quelque chose, ce-lui-la.

- -Saldagne et Faénza nous piotége-mat. ' -- - -, -

Jusqu ce que ius 3057cn$ grands,SetgflC'ur3 comme eu-*.

T» Sandiéou ! ferons-nous u-ne - bellej paire cl-e galants, mon bon

-

protiger " contt'e totit -.;:pendance et le, ,scl u pays. Elle-neêtre utilisée pour les besvgn,5ress;oa jntrieure eu- (:cCtTrjeure

1ilrty sa CeuParis. - Le 26 décembre aeriier t

ce-min-artiste Marty adressait Ufl leit'IL

M. Auctuoc, synchic;du Cons .

pal de Fariset dern;-mdciut que -ce r-'lGatchery --conse.iler'municii:nl, (lUjlpré-sente rux, .livei-es SCOflCc quraie-nt lieu puisqu il se rGuvait (5flpossibilité d'être présent. La 27 5O'M. Garchery - ri feçu Lne lettre de 1,11er

,iui demandant de bien vouloh êtrereptsentant. '--

Ra conséquence. il n été di,cj-o -

M. Gai'chelry aurait-demain Unesatiefl avec Marty à a pris de- Clvautc oi gi-ce à un? att-tc-r2saticl SPéci'le il pourra recueillir toute-s sestj ong.

tandru en maivasePats. - Hier aprèS-fliidi devaa 1

Chambre criminelle de la Cour 'de Cassa.tien est venir IC pOUi'VOi fo,riui ras L.dru contre l'atrt de la Cour -d'Assj5csdla Seine-et-Oise qui1 acand,m-né- a recit,

Le conseifflor Lahorde a-donné 'eoidi, rapport dans lequel -il a - exan'ij

deux rno-yensinciciués par Lnd50. Lc-.que ce dernier fut renvoyti '--cevaqt 'lCou-r d'Assies 'de Versatileap-ar un unuide -la Chambi'o des mis-ss- eni se pCUrVUt OfltieciL't ati't en cassaticaSon pourvc-i étant su-perisul'.

Le conseiller Laborde n poursuiviguement l'étu-d de a question ; puis M5Ta-Irnon,' avocat à la Cour de Cassatj sprésenté les argtinients 4e son mm-siten faveur de Landrir. L- vot gênéllianglois a prononcé 5cn r-quisitoire.

Après une jéljbéfcitio de ttc.is-qua,rd'heure la Cour a rejefu le pou

CA .I' LALA SITU.4TION.EN Ii2LANOL'--

. Lonclras. '- On mande de Dublin que -is avs

des cheminots irlandais cfltine, mais ic -di;tdes trmipes d'occupation - -b;-tattniciue n' psi

ét- -éarrêt, -

- LLS- TIOURLES 1)E PIiTTERSDORFOppein, - Dans le-s troibls nui ont es

à Pétteradoef lei Allemands ont -ei 3 --'ul, sait

un jeune nooume de 17 aise. -

.A'ux çlernièx-es oouvfis, tes rratooir cni osors moeL et un j3i -:s grièvement.eivaii'--' '- i -

SaYolIlriaE: I I C )t E !t S

LE $AVON DE 'lEiAG'-a MUX]t''Ret le meilleur

£saye4e. 'oti eti se'c satli4i*lDdx ,défian toute concureiie

I q-taJi 'hale' FIE(1'ET14 -

£2PEIA AudR}Pisent4tg ttensrnL4s psl

'i?'

Voyageur in Tilrest demaiidé avec aort miniinui,a de 5Î b

sa vue d'extenôisin d'aaeic, i,S

béneeii, l31 &tutisa d'aix.Sv*flflri. 3 Helvé-tis s, E,p-&,,ss Ardn1

v INSTITUT SÉROT5RPlOtîLaoi'atsirî ist Cuva-ta UloisU'eC?O&2e, 6C?tLa& fI$ I

Ouve;'ti;t *3s 3 is15, 3lise -

nul

it;-lt oavriier3 yiidietaée. S'' Met.

id'EtDp., 38 r.

tI s DAnRICM'

PRTEJ OISgfTE, RMflCL

MALADES SECRDES .DEU SEE

Progrès, bargerac Talabac, SI-Cirons 0010101M0, (iEaia1i

Le Gascon it une p--'ette et le Non'

mand répo-nidit sérieusement : -

- Je porte tt's bien 'l-a toilette. .eorit- Quand j'ai- demandé FaenZ

C-ocarcass-e,- cri m' répondu : «le chevalier n'eSt p-as visible- s.le chevalier ! répéta-t-il en hausSt10

paules, pas -visible ! J'ai vu le tc-m-

je le faisais tourner- Quand -je me su-i pr&sent a d

te de Saloagne, repartitgrand aqUas m'a tois- fort malho00 5

nient et m'a -dit : Monsieur le baio

reçoit pas s. . -

- Hein - ! aé-cria ,Uacatldsac , TIsnous aurcis,- nous aussi, de gr0quais, mordiou I -je t'eu,c que k rn.t

insolent come un- valet de- Eh ! soupii'a Passepc-t -

si I

seulement une gouvernante .

- As p-as pur ! mon bon: cela vi:0Si je comprends bien, tu n as pa

vu M. de- Pyrolles. siric8

- Non! je- vewr n's'o;lcSelui-rrtmîe. - - ' - - - 'cli-5

_;-_-'on ifit qu'il est mra,intenan

il

irii-lIkis ! . - - -- . ri

- A millial., I C esc ici n Mni:11 n

çoninie on I inue1le, Moi je iiC

fien je me eraj finrtncae 'in øci «'.F .dônc I'

-'

prévot.tt.4

-.-- , - --

7

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