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:.; Années - j'Ça NISTRÀTi4 et $$ «t OiLOUS u L I C I T 2 ta ru ai 3jrvu d: r dz ø4li CQr4t t Nro : 1 ctus .- ..,--- Le rentre aujourd'hui. - 1.IITÉ La ccure de cbats padementaies au fC7flC! OJjicic offretoujours le pkis grafl inu:&. Des discussions engages. Qcctze un cneigfleri1eflt. Et cet ensCi- .gneIT.t devicnt pcieux 1csque. à la rib;r cR Farkiïnt sontétales les ta celasoc1et abtuelie et I immoralite yri qi j crble êtie 1 apaflae fl1 hnancieï officiel. . Aeet ncu ne saûrtons trop cC n- il1: no mi la lecture du cuscours , e Btho au ccurs ce I interpella1on sur. la cocnhtuïc de la banque industrielle de Chine. Cc affaite est une rédition de I af- faie Réehette. Deux groupes financrs itetI'i.n contre tsutre et se hvrent t:ne batr.e sans Terc. Dun coté, la Banque. 1ncudel!e de Chine. de 1 autre la Ban- cjuc fn0c Chine -iDpUy,c par les gnds tab:s:Eenients Ce crédit français; notam- 3TeTi le Cdt Lyonnais et le Cc'mptcir d'Ec&iapte. Le QIL de ces tablissementr nus u- tresreraitfort pu et leur lutte nous lais- sere froids. si I enjeu de la liatalle en- age. n'était c9nsitut par I épargue les p&s que de modestes épargnistes cnt encore IaTcanceur de confier à cc.s entre- pisr Ces malheureux ivent re pro- tég Et c'est poules. nettre en garde ct e les crnpris3Wnt ils seront ennre 1Zct cFuè nQtie ami Berthe a montre les erss des atices financière et l'c e peu relit t jour. par es uts Fo-t rna es cl i ninr r des Fiarncs c1u; minagent par des cc 4les de an 's puissantes et pae 1eiEes nupTès dr tblssements de cré cont i1s 6rit le ccnti.&ie. : Lnim.OrElit. et l 'nsrue staknt cmns leur nuc1itl crue. t 1(jfic c1 L2. ÂRTHE. -:-- ;J touhe iç au point dou- du prcbèine t . j Idens Iindiciaer o- «on puisse y poi'ter remède. Les inrpec- eui. des iinarces, tes hauts fonctioxmaires du intre des fiiarces e.i piaienient is dec- d moveenet gnrzd des fonds, ont. je pair; TiCOt mison de der.dre i'inrêt au . ctdirQ 1iné3êt de 1'Etat. que se podut-i ? Les grandes baa- - iLe -ont pris 1abtude de proser das postes r d.- ortbendes atwc hauVs fonctioanaires qui te oOiejit, et la e:dition. je pourras mese re & règle, veut au ministrc des finances. iue :cn bandonnè les 25.000 ou 35.000 francs 'apcntements offri3 t ces fonctionnaires. con- lac ies 100.000. 200000 ou 300.000 francs que es cntrôis proposent à !eurs contrôleurs (Ap- 1auu:sements à 1'eatr&negauche). Çct ainst que les loups sapprivoisenr 4On rit). e .ais e prcJuver. Une collusion tacte se He rnre 1cr grans a1jJssements et minis- re ides fnances. Cda, c'est la Rtb1iqte des hera camarades Lrs pr&judiciab1e aux int&êts I de E at (Apn1anc ssements a eati.me gau the). iEL1X. - Cet à nous quelle coûte cher, r- M ARTHE. _: JetGisuncoup d' il. Cher her quels sont les principawi fonctionnaires du rntiistèno des finances qui sot passés cc &cvic O des finances privées dont ils avaient s cOiij1,c. Nous verrons que presque tous les di- du mouvement gnrc des foads ont u V5 eUe voie or abando'ine leurs fC'LLons pubiiques pour passer au service des tabIss- rrcenu: qui1e rciiaient . M de ROUGE Cela prouve leur valeu i( Ex,çciaticns à I'eataêrne gauche). ! BÀRTHE.. -- -M .. Serrnent, ancien diecteuv ciu nouvement gnérades fonds, est acttceie- .tflei pnaident de ic banque de l'Union Pari- - icana ; M. Luquci, ancien directeur du mouve- netï g.hiénaI des fonds Cst président ds CMdit vtoibiiie; M. Ce!iier, ancien dkecteur du mou- eut gén&iral des fonds, est administrateur du tQii National UEsconcpte et utre (\'l, BOUISSON, Les Chargeurs xanis; par Xeisi. , ,:iM. BARTEE. - Nous en repunjerons out ce. M. de Tntmomain, ancien directeur du Oin;ement genera des fonds est adminietrateur ,e a Banque de lh).dO-Chifle; M. Guernant, r.eian directeur du mouvement g&n&ai des fends .t a Sociit C.nàra1e et à la Baaua de ItdC1nne; M. Privat-Desonanai, ancien direc- ur de a comptahi1it pulique est directeur u Cr&it Français; M. Moreau, ancien inspec- - cor 4es fincr.ces est dcrecteur dt la Baruue . Algéri.e; M. de Moaplant, ancien inspecteur es lncnces est président - de la Banque dido- Chizre et du Cr.ditlndustriel; M. Sinmn, ancien nspecteur des 'finances est directeux én&al de !4 Sccet Gnér, .- 1. Henry LeMire. - Et fi n a - s aacen T (Rcr au centre). BARTHE. ..-_ M. Thion d6 Lac}iaurne, an- uispecteur de3 finances est directeur d . ianque cl indo-Chine ; M. Ptccot, ancien ins- des finances-est directeur du Cr6dit ; M. Andre Homberg, ancien inspecteur rkd lices est admLnLtrateur de la banque de ii-. ne. .trretom Ita 4 nunrratio, car elle Ourra:t etre poursuvse. k'Veus comprenez très ben. Messieurs, ilue 4ueques-uns de la carrière attendent ocjcajo I e vre la :t de leurs atns. !esqutla con fleOtainsi dea amiti6s au niaistère des linan- c1 ces bien. tres bren e I extnême gansohe), -- 4;' pour euz des prévenances certaines, et ) ci Une façon permanente (Applaudjssesn . -extncme a*he; divers),.5 j-- un j;ci p.ij -' - tLll o.4 M. BARTHE. - ...Le directeur gnral du snouvement génra1 des fonds qui, siégeant au anc des niinistres, cornmecommissaire du gou- verr.cnient, a discutii avec nous des affaires im- portatntes, comme le renouveement du pivge rie la Bssnqu:e de Fronce, celui de la 13anque d'Alg.mnie, les conventions mariiims. M. Cellier, qu'est-ii devenu ? H est administrateur de la compagnie des Chargeurs x.muni3. -M. BOUISSON. - C'est ceis, trèc bien ! M. BARTHE. .;.administrateur de la Ban- ue dAlgnie et du Comptoir dEscoinpte (Ap- piaudirsernents à gauche et à l'extrême gauche). M. MOUTET. M. Celier tait comrxiissaire du gouvernement quond rions avons discut le renouvellement du privilège de la Banque ri Ai- nie, et c'est lui qui en siance de la Cham- hie, a tà moi adversaire et qui, à côté du mi- nistre e comba i in iesarguments que j'ac'ais d- veiopps contre le renouvelement, Or, au-jour- d'hui i-l fait jartie du conseil d'administration dc cet établissement financier. C'est de la conntsp- tion ! (Arplaud-issemenrs à gauche et à nie gauche; ixterrutions au cent-m et à droite), N'est-ce pa qce te-us ces cenegne- ments et ces pxécions sont difiar1ts ? Ît p-uis,1';-n s'étonne que le petit épar- gniste soit mal défeitcu ccntre les enire- prlsea financières qui 1ui sorltirent les quielques m;alheureux billets de cent francs qu il a pu mettre de côté. Ceux (lui (1OjVnt contr3ler' les agissements des établissements finrAciers ont trop d'inté- rêtc ne pas gêner leurs cprations. Com-- lite le dit le citoyen Mcutet c'est ce la corruption. Mais ce n'ert pas seulement au minis- tare des financcn que l'on trouve, des exçmplesoù i'intér&' général est sacri- fi aux intrts priyés. . Ces prit'cue ncus Ici. vC.ns scus un aspect un aifférent, dans ces assem- hles cl&librrantçs où le contrôle de cer- tains services publics est ex&rc& précis- ment par des personnages qui ont partie lié avec ces mnie srrvices. A j'ouhu- c, notammmt, ricc:s avcris souffert, et nous souffronsenccre e l'ingrerice i'un ancien élu, conseil de puissantc.t &ccit&s dcnt les intérts cnt ét n:ieux défendus que ceux des contrihuabls qui evaient ecpendantccnfié les leurs à ce person- nage. On dit encore que I on ietrouve- rait, si on cherchait bien; des exemples semblables dans l'as8emblée municipale d'une très grande ville dé notre région. , Ce scnt ries situations immorales. Et e même qu ilclevrait être interdit à un fonctionnaiie ou ministère des financea, sous peine de sanctions très sévères, de passer dans une s&ciét6 financière cc-nt il aUxait eu le ccntr6le, de nme il devrait être interdit r ceux qui détiennent un mandat électif - serait-il de conseiller municipal - (le cumuler leur fonction et une profession qui les lie avec les servi- ces publics que, dans l'exercice de leur mandat, ils sont amenés à contr6Ier. . C'est Pi de la simple honnêteté admi- uistrative. Ne comptons pas su le Blcic atiOflalpOul'irnflÇser, . iiiLiElws: GALANTERIE Les hommes n'ont jamais vu d'un très bofl ccii les 5en-imcs occuper des situations, usqu'a prsc réserVées ou sexe forL D8 le jeune iige la 1Ue commence, Les jeu- tics fuies on ce le ton de se monrcr ngdes aux jeunes gefls en enlevcnt les rcmières p1acc aux dcrrrhires agr6gaties dc lettres, histoire, eec. Ïrntn&Eaement les jeunes gens rcl clam rent. !l viennent d'obtanit da M. Lon B&ard qua I'CcS de8 agrégations leur soit i°terdil. Le sexe 5er rurite biai son nom. ix, MiRA NDERIE. n cÇait Mi°ul!, Ye'cs j4ii'ande, Ugftcment s iimu s, urr,ciL contre une s!aue Un scrgcnt de ville survint qui lui dii - je Vais Vous drcier une confracnllon. Voue n'avez pas le droit de faire cc que eosua Sa°s dire un moi, tris digne, Yre Mircndc saisg boutonnière entre son.pouce c son in- dcx, puis il mii sa lg(on d'honneur sous e ez de son jjerlocuÊeor 4pt qui, il sa retourna du ctr de la sfaia. La plus drd!, c'est que l'agent, onné cf !capecfuaux. le salua cf disparift dans Z'otnbrc. FA UVRES OBESES Non seulcmcni les gC gros souffrcnl toute leur Cia dc ce qU'i!s cønsidrent comme une i°. jirmil, mais coiM qu'il est question dc taxer II s'agit, en e5fat, d'un irnpt 1'çiçs d tarir injorjuna. pøids. Tout individu qu dtpasseraU le poidj di f0!' iiid. devra Verser une taxe I'Efat. Q ne les Français, qu'un léger embonpoint cita' grmr, sa rcssurent, C'est en Allamagna que la mesure, pardt-iI, est çnViscsg. pour idet cons. blet le céJiçiL. QUOTN SOCALJSTE FONAL L'Agcca Stcj'a°i publie la note suivante Q ueiques journaux publirnt une version exa- géi'ée d'un incident qO ses.t produit ii Se-beico, entre des matelots ieiiens et que'ques ilérnents aitIs de la populetion yougo-slave, lui attri- huant un caractère de grovit tel qu'il serait su- eptiblc de troubler les bonnes reiations çntre l'italie et la Yougo-Siave. Il s'agit d'un de ces nombreux incidents cl'irn perianco bsr1unient kcale qui se produisent dans les ports d'Adri.tique, en raison de Ta si tuation qui y est crié'e par la guerre et qui, eU général, : sont cemmuns dsns les zones liroitro- phes des autres pays qui ont participé -à 1 guelte. : --' - - - Les conversations en -y es au sujet de cet inciaent se poursuivent entre le gouvernement de Reme et 1e gouvernement du Boigiac!e. £tIes sont cinipreintes du plus grand d&sir d en- tente et ont permis de mettre en plus vive lu- rnire les intenliions cordiales de c&laboration cui-ir,5Ipirent les deux gônvernements. Le gouvenr.e.ment de Baignade a cdonnri nne enqtite rigoureuse pour la viniflcation de faits & a doiini des instructions énergiques aux auto- it6 locales pour qu'eues prennent des niesu- rer efficaces en vue de petivenir ix rptitien d'incidents de ce genre. L'enqute est conduite rapidement avec la cccptirati.oii des rq,orésen- tants consulaires italien-s, Le gouvernement italien joint ses efforts à ceux du gouvernement yougoslave pur dliii- rer -toute occasion de conflit et assurer Fa paci- fication conpidte des esprits dans 155 villes adria- tiques. Un avion de guerre rnonsteueux On signale au Journal, d'après une publication atironauti:qùe am.iricaine, la cr4ation d'un nouvel engin de guerre destié, on va s'en rendre comp' te, à idvoI.tonner1ea nsithudes de combat sur retre et sur mer. L'appareil, qui est naturellement construit dans le plus grand secret, pour le conpte de l'armée et de la marine anidniçaine, est un aéra' plane, de mcdàle r&duit, dont la carène con- tient une très farta charge d un explocif puissant. Cet avion peut dtre dirigC du sl par iè moyen ries ondes hertzieimes. La cor te d torpille cd- limbe qu'il conStitue pourrait être lancée contre une flotte ou cciire une ville distante de plus de 200 mikes du pôint de dépert. Lors des preiiers errais, ditIe ccnfi-àre rimé- ricain I '- iin vola au-desic de I" civ "Ï c.rL cl atterrit après avoir traversé deux Etats. tes " srrs " potrsis or cotio Nous avens dit les bénéfices scaraaleux réAi- sis au cours de ce dernier exercice, par les raffineries 5ay. Maîtres du mamhé du sucre en Fiance, les dirigeants et prcpriétaires de ces raffineries ont pu encaisser plus de 50 millionS eu uneannée, en maintenant sur un produit de pnemiàre r,-éceseitédes prix vraiment cas-gérés. lYun exercice à l'autre, le gain obtenu s'était diecl plus de 40 millions. Sur la piainte du syndicat des betteraviers, auquel s'était joint ('d. Lefèvre, marchni,d de confitures à Saint-Ouen, une instruction avait td ouverte. Elle fut confiée M. Franck, qui vist de clore son enquête en inuuipant de coalition et de spéculation illicite ies deux administrateurs des raffineries et sucreries Say, MM. Letort et Tinardon. Q uant aux cinq directeurs des usines Say, il seront seulement poursuivis pour spéculation iJlicite, Les deux plaignants se sont portés partis ci. vile au procès. Parmi les avocats con&titués on cite déjit t Lamour5 Cassai-a et Chaul- gram. - ;ouss t1s Esrotists Eraçis A BEZIERS (3, 5 juin 1922) Les espérantistes isolés. c'est-à-dire n'ayant pas adhéré au groupe de leur lcalité, sont priés de faire connaître leur adress à la Secrétaire du Comité local : RMesano, I I 1 , avenue Cleroéxi- ceau. Béziens, qui, dans la 2e quinzaine de janvier, leur adrescera la première circulaire ra- lative à ce Ccsngrs National. Parmi les adhé- rents déjà inscrits, se trouvent : MM. Rouet de l'lsle, directeur du Service Hydrographiaus de la Marine, conimandeur de la légion d'honneur; Th. Cart, pncfesseur I'Ecoie des Hautes Etudes Politiques ; Archdeacon, rnécàne de l'aviation; D. Eyquem, conseiller à la Cour de Cassation cia Paris; Di Rienzi, inspecteur des P. T. T., à Paris; Tiard, ingénieur, & Paris; général Bas- tien, intendant militaire it Strasbourg. Londres, pour le Congrès des espérantistes an- glais compte sur un minimum de mille corgres- aistes les Français, qui représenternt la nation, qui e toujours tenu haut et ferme le flambeau du progràs, ne seront certainement pas moins nomiareux, éziers, - FÂrMO [fflÇ1S sra-L-IIc rdito I Paris, 9 janvier. - L'Echo le Paris 'dit que d'après certains brujt, le traité fraacobnitanni que comporterait un annexe militaire. Le gouvernement français y exposerait sa !éseiution de réduira l'armée à 500. 000 hcznines. 4_a_--- - .,_ *- le TràitôFranco-Ang!ais 'J Cannes, 9 janvier. L'envoyé Spécial de l'Agence Fourier apprend que ce matin vers 10 h. 15, i5 un crOisement de rues, deux auto- nobiies sont entrées en collision, D.ans l'une des voitures ce trovat M. Harvey, eprésentat fcie ux des EtaslJnis u ConseIl suprême. Le choc a té si violent qu le ministre anié- iccin a du être transporté à son domicile où im médecin a été appelé immédiatement. . Briand et L!oyd Gecirge, qui se diapo- calent à partir pour le Gc1f-CIub. où ils vont déjeunet, se s o nt auprès de M. Larvey, à Il heures. rti.tPHow Mardi '1k) Jf1ie 'l9 EDlT'-iOS Fyrsiinre3 et Lingued '1rn ctt Aveyron 5ToLthLise let EflVirOI AEONNEMEN'rs taDts S Ftsr,i e (:oIiu, 12 (r. 24 (r. Etrsuar . , 4(r. 27ft.. L* s 45 t. Avr dtpcnsé piuicurs milliards conh'e cs St>vies jn;emcni, 3eur tendre I'i rnin, sur ks injonclions du rei;e du moflde ligué n !.ur vcur conlre nous La Comdîe sur hi Côtcd'Azur - rAIflS, tout ia se -pesscr comme si l'oit cIc1 o la v1lc de rr,cortnaftic oJftctCLlc ment la RdztLtblique occiclîste Jdéirative tusse des Sovjels I On fera des laçons cl de5 niirLcs, cri / mefira dgsccndijiGrts et- des formes, 1-naj3 cri la rccornO2tra, Btirnd la recc-rncdtra; cc qui n'est-pas cxlrciordi- nc1i:j.e, mo'is le Bloc National lui-même la reconnaiIra cc qui est bçciuco:op piis d'ie ! loo iotis rappelez, comme moi, la tdampagrie législatite de novembre 1919, lhornme arr u coutcai-enircicsdents » les millicm dépensés contre nori,r par l'U- ilion des !nt(rêts Econcmiqucs. Parce que nous CpprOLWiOflS le principe de la révcslulion rts.Se, perce que flctrs la décla. rions légitic, parce que, scias les CXCU- ser, nous en cxjiliqttiotis les inévitables Cxcè3, fsCLTCC que notés bldmicns l'action contre-révolutionnaire des Glliés, Parce qLle flCOSflCtiS mcnlrioils pariisans de re- conrzcttiea chaque pays le droit d'orné- na1er à sa guise ecrt organisation politi- - que, intéric.ure, parce que nous dernan- dions q',e l'on 'lic cragni pas d'entrer en rcicrlions avçc le5 dirigeants du régim des sovictt, les ennemis du socialisrnc t:ious ont fait, dans les campagnes, et jus- que dolas ToLlouse rifle .rcputaton de bcilcheviks )i qui a cntrané l'échec: preqcie total des listes socialistes dans ka vu arterncits nicnaionQtl du ud Ouest. ; . Pour ma ort,j&tte suis pas près d'eu- bliar la grande réihicn électo'ralc qui eut lieu, au Conservatoire. le 8 novembre et cgi cours de laquelle, chargé de traiter ce ctjet pa.r mcc compagnons deii,ste, j'exprimai les idées értun'érées plus haut en conjrontont la révolution russe avec la révcluticn frcnçcrisc. Je n'ai pas prc- ncncé,c soir-M, itn mot qui aitdépaiscé ma pensée. J'c2i demandé que l'on s'ef- Jcrçit dc campidre larévoInffon russe, les cause5 décisives qui l'avaient engen- dréc ci que l'arn eût l'habileté et l'hen- nêtelé de prdliqucr à tien égard une onspecton bicrw.cillanie, tout en faisant Lit court crédit à l'action du temps et à i'évokltion normale de l'esprit et dcri cari- ccptier.s de ses chefs. Je le fis avec rnCfl tempérament qui, je ni'Cti cxc1i:C, s'est pas tcujoWr3 dénué de quelque vérnence, et je vois encore, à la sortie, tels et els camarades, dont certains sont, dcpuI lors passés au cc-m- n-iunismc, me ieprcchcr amicalement d'ê- ire aIlé un peu loin dans l'adhésion rai- sonnée que je Venais de 'donner à la ré- voluticin russe. Electoralement, ils aooient peut-être raLon et il est fort possible que, pour m'être aliéné part ce langage, les suJjragcs dc certciins républicains non se- cialistcs, mats sympathiques nos ten- dances cl à nos personnes, jé pie cis, ert qticlque mesure, ijnicidé crt soir-là. Peu m'importe, si j'cii au moins goIé la volupté, fêt-ce devant quelques tinte- rés, de dire cc que je pensais déjà, à cette daI, ce que 1.2 venais aussi de répcndi'e, irot jours auparavant. une interroga iion publique de ici ti Qépêchc u,- et que je tt'ai jamais cessé de penser 'dcpuis I ors. Ce fut, en effet, notre jeje projon. de, durant celte trop ccurte campagne, n'est-ce pOs, Bedcuce, A aria!, Rieux, Cutsles, Fontcrnulles, 'Agàde P d0 crier, 'dans les centres principn.rx d0 départe- nient, cc cri'il y avait de plus intime aci I ond de nos ardçtrtcs com)ictiens socialis tgs. Cela, ce sotwenir, cette fierté - aprèis et rnelgréTours - les millions rdc l'Union des intérêts Economiqucs, 'ils ont dépouillé certains d'entre ncis 'dc mandats périssables, ils resteront impuis- sctnt3, fl1iflC 4cçru; iccu&l,, nous le ravir t Voici, d'ailleurs, que sôhie, vcttii la revanche pclitique, l'hue dc la revan- ehe mcale. Cédant à sa lâcheté parle- rnentaire leBloc National vient le stp- primer les élections partielles qui l'eus- rient çç plus en plus condamné. Mois toute sa thsc sur la éuoluLiort rt,ssç et sur le potiverncrnjt svieis vicit 'd'être désavoue ci miè déroute par la CohJértJcede Cannes. Sut' la propc. sition de Lloyd Cecrge5 lî alliés, Frari- çais comp?is, otit résoU d5admctte les gozweïttcints ruses, leè e bandits »; les (t torliosnaires t, les (t assassins » 'de 1'o- tiembre 199 à la table diplcsntatiqae ccm- mufle. On consent enfin commercer avec ces (C voleurs u, Ofl se résigne à dresser aiec ces (l banqueroutiers u kies bilans fructueux d'affaires montées et ccrnmiun-ei l'ori ne rougira pas de passer à la croisse de ces « barbares » pour j i?léd! copieux çqtippi I ta sic près trente nios "échecs contrc.ré- vclut,mnaircs, aPJès aLiC&& g'ap-illé les milliards avancés à ll rangel et à Deni.. iine, aplès avoir fait trier plus d'hcm- mes pour ruiner la révolution russe qu:'et- lé n'c. n avait elle-même sacrifié pur -'é tabtir, les Iiiés se décidnt t recannai- ie sclennc1lemcnt jux rtalicrns le droit -e 'd'or'anisr librement leur régime de propriété, leur économie tf leur gonwer- nemerit ». Sons doute, ils se donnenat les gants de pcsc dçs ccnditions pour l'en- trée er tappcïts avec les soctets, mais ils savent bien et ils savent deptris long. temps que, ces conditions, les soviets les avaient par avnce et en principe oc- ceptés.38, sans ferrite de propositions po- sIjives l diverses reprises, et notamment par Tchitchcrine, présCntées par eux.. Même s'il est niaIérie!lentcnt 'difficile au go,twernement rusSe, - comme c'est prcbcrble - d'éxéctiter à la lettre certai- ne_s de ces ccnditions, il rester que;'danrs l'intérêt de l'Europe et des pdtits por- teurs français de rente russe, le BLOC pa- tional avait le devàir de prendre longue 'depuis longtemps déjà avec les dirigeants dç la Rassie et de travailler à leur jacili- ter leur propre têche. Si elle venait i't cchocer c est, pour une large part a lapolitique âiupide et aveugle de la Frn- cri é]ectcirale d j9jj que la Joute en cornberait, . ,: Souhcailon3, dans l'intérêt de la poix g- nércslc, dans l'intérêt des classes cujrià- ras, et dans l'intérêt de- la reprise accTae d u travail européen prcductiJ, que ces pourparlers sensotionriels abcrnissent l'établissement d'un régime solide et dts- rable, prcJitable d tous. Mais à flOUS 50- cialistes, juUavion tirs juste en novem- bre 1919, cl dcMt le Bloc national ne rou- gLI pas d'adopter vaille que vaille sri cc pcin#, la politiqn'i-e, il sera permis, jc pense, de dire qu'une foès de plus il au- ra, c toril le ntoirts. mal carvi les inté- têts de la France, cri les servant 'de mou- valse humeur, l'ép& anglaise dans les teins, coitinte un subal'terncj humiijé, ç pcut-êtrt trop tarc I rILFN PBFVOf. i4 ncen députS. Con3cile! é°érf de la 111e-G ie5 Le sermefit de non agression Commentant, da l'Erho de Paris, la teneut de la résolution adoptée par le Conseil suprême, Pertinax aiim inquiétante la clause 6, disant 'r Tous les Etats devraient prendre l'engagement collectif de s'abstenir de touta agression contra icurs voisins, s s N'est-ce point là, dit-il, l'amorce du fa- -nieux pacte an6-fianco-allamaad, char à M. Uioyd George ? Nous craignons, que ce texte ne se retourna cotitre nous et qu'il ne nous prive, à brêve écléance, de tout moyen d pression militaire contre l'Allemagne. s - En ce qu.i corcerne les anendemer.ts que M. Briand n fait apporter au texte primitif de la, résolution, Pertinax, préizisant, lui aussi, que. d-ans le texte original britannique, la Conférence de Gênes était qualifiée sinip lement de e derme- mique e, observe que M. Bniand a fait ajouter les mois (r et finan-ciérs e. peur bien marquer que lu di:scussion siaura pas de caractère poli- tique. Un peu plus bas, on lisait dans les pro. positions anglaises, -que l'eort ccmmun des puissanCes (n&cessairc pour faire disparaître la paralysie du systàme européen) devrait être rnêms de supprimer e tous les obstacles d'ordre politique qui font dehec au commerce s. M. Briand a obteAu que l'adjectif i politique s fût rayé,. annes, 9 jartvi&r, - C matin. It 10 h. 3l les niinistres des finances se sont réunis et on-t examiné tee I)ass des ntpaeations. I1 continueront eiis:uit la séance par l'étudt u consortium clavant assurer la reconIStiD tution économique- rie l'Europe. irje Consel suprtiineest cotwoquié . pout 17 heures. : -- - Cannes, t janvier. 'A midi trente, ofl déclarait que l'i5tat de santé cia M. Ilarve-y' ministre ibrfléri43ai11, VhStihtfle d5un aociden 'autornoLile n'était pas aussi grave qu'ol l'avt?t craint. Le ;rtt.re n'a eu aucune fracture, mais s-ouffro rie nombreuss ,eo-n;u- siens. Il devra, ,"8,rèS 1 viS (ICi ntsdecifl garder .1usieurs la chambre. UNE ALLLtNC1! HES F'TIi'ES NATIONS Cannes, ¶1 janvir. - Daas mil!'eUX officiels de la Qonféreuie rie CaiinJ ? dé-. clavait- dans la soir d'hier ciun des -! vcrations qui ayiiient 1ieu actuellumb ' entre MM, Llcyd (learge tt Briand sort4 raient non seulement rme alliance entre la lt'lnCe et l't G"tadc-flret-agne mais er e- r Un aeeorl ertti i ptite pu4sarieø Srs I Itlls vc1t Ir rîs I Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Nro : 1 ctus.-..,---

Le rentre aujourd'hui.-

1.IITÉLa ccure de cbats padementaies

au fC7flC! OJjicic offretoujours le pkisgrafl inu:&. Des discussions engages.Qcctze un cneigfleri1eflt. Et cet ensCi-.gneIT.t devicnt pcieux 1csque. à larib;r cR Farkiïnt sontétales les ta

celasoc1et abtuelie et I immoraliteyri qi j crble êtie 1 apaflae fl1

hnancieï officiel.. Aeet ncu ne saûrtons trop cC n-

il1: no mi la lecture du cuscours, e Btho au ccurs ce I interpella1on sur.la cocnhtuïc de la banque industriellede Chine.

Cc affaite est une rédition de I af-

faie Réehette. Deux groupes financrsitetI'i.n contre tsutre et se hvrent t:nebatr.e sans Terc. Dun coté, la Banque.1ncudel!e de Chine. de 1 autre la Ban-cjuc fn0c Chine -iDpUy,c par les gnds

tab:s:Eenients Ce crédit français; notam-3TeTi le Cdt Lyonnais et le Cc'mptcird'Ec&iapte.

Le QIL de ces tablissementr nus u-tresreraitfort pu et leur lutte nous lais-sere froids. si I enjeu de la liatalle en-age. n'était c9nsitut par I épargue lesp&s que de modestes épargnistes cnt

encore IaTcanceur de confier à cc.s entre-pisr Ces malheureux ivent re pro-tég Et c'est poules. nettre en gardect e les crnpris3Wnt ils seront ennre1Zct cFuè nQtie ami Berthe a montreles erss des atices financière etl'c e peu relit t jour. par es utsFo-t rna es cl i ninr r des Fiarncsc1u; minagent par descc 4les de an 's puissantes et pae1eiEes nupTès dr tblssements de cré

cont i1s 6rit le ccnti.&ie.:

Lnim.OrElit. et l 'nsrue stakntcmns leur nuc1itl crue.

t 1(jfic c1L2. ÂRTHE. -:-- ;J touhe iç au point dou-

du prcbèine t . j Idens Iindiciaero- «on puisse y poi'ter remède. Les inrpec-

eui. des iinarces, tes hauts fonctioxmaires duintre des fiiarces e.i piaienient is dec-

d moveenet gnrzd des fonds, ont. jepair; TiCOt mison de der.dre i'inrêt au

. ctdirQ 1iné3êt de 1'Etat.que se podut-i ? Les grandes baa-

-iLe -ont pris 1abtude de proser das postesr d.- ortbendes atwc hauVs fonctioanaires qui teoOiejit, et la e:dition. je pourras mese

re & règle, veut au ministrc des finances.iue :cn bandonnè les 25.000 ou 35.000 francs'apcntements offri3 t ces fonctionnaires. con-

lac ies 100.000. 200000 ou 300.000 francs quees cntrôis proposent à !eurs contrôleurs (Ap-1auu:sements à 1'eatr&negauche).Çct ainst que les loups sapprivoisenr 4On rit).

e .ais e prcJuver. Une collusion tacte seHe rnre 1cr grans a1jJssements et minis-re ides fnances. Cda, c'est la Rtb1iqte des

hera camarades Lrs pr&judiciab1e aux int&êtsI de E at (Apn1anc ssements a eati.me gauthe). .

iEL1X. - Cet à nous quelle coûte cher,r- M ARTHE. _: JetGisuncoup d' il. Cherher quels sont les principawi fonctionnaires

du rntiistèno des finances qui sot passés cc&cvic O des finances privées dont ils avaient s

cOiij1,c. Nous verrons que presque tous les di-du mouvement gnrc des foads ont

u V5 eUe voie or abando'ine leurs fC'LLonspubiiques pour passer au service des tabIss-rrcenu: qui1e rciiaient .

M de ROUGE Cela prouve leur valeui( Ex,çciaticns à I'eataêrne gauche).! BÀRTHE.. -- -M .. Serrnent, ancien diecteuv

ciu nouvement gnérades fonds, est acttceie-.tflei pnaident de ic banque de l'Union Pari--

icana ; M. Luquci, ancien directeur du mouve-netï g.hiénaI des fonds Cst président ds CMditvtoibiiie; M. Ce!iier, ancien dkecteur du mou-

eut gén&iral des fonds, est administrateur dutQii National UEsconcpte et utre

(\'l, BOUISSON, Les Chargeurs xanis; parXeisi.

, ,:iM. BARTEE. - Nous en repunjerons outce. M. de Tntmomain, ancien directeur du

Oin;ement genera des fonds est adminietrateur,e a Banque de lh).dO-Chifle; M. Guernant,r.eian directeur du mouvement g&n&ai des fends.t a Sociit C.nàra1e et à la Baaua deItdC1nne; M. Privat-Desonanai, ancien direc-ur de a comptahi1it pulique est directeuru Cr&it Français; M. Moreau, ancien inspec-

- cor 4es fincr.ces est dcrecteur dt la Baruue. Algéri.e; M. de Moaplant, ancien inspecteur

es lncnces est président - de la Banque dido-Chizre et du Cr.ditlndustriel; M. Sinmn, anciennspecteur des 'finances est directeux én&al de!4 Sccet Gnér, .-

1. Henry LeMire. - Et fi n a- s aacen T (Rcr au centre).

BARTHE. ..-_ M. Thion d6 Lac}iaurne, an-uispecteur de3 finances est directeur d

. ianque cl indo-Chine ; M. Ptccot, ancien ins-des finances-est directeur du Cr6dit

; M. Andre Homberg, ancien inspecteur

rkd lices est admLnLtrateur de la banque deii-. ne. .trretom Ita 4 nunrratio, car elleOurra:t etre poursuvse.k'Veus comprenez très ben. Messieurs, ilue

4ueques-uns de la carrière attendent ocjcajoI e vre la :t de leurs atns. !esqutla con

fleOtainsi dea amiti6s au niaistère des linan-c1 ces bien. tres bren e I extnême gansohe),-- 4;' pour euz des prévenances certaines, et

)

ci Une façon permanente (Applaudjssesn. -extncme a*he; divers),.5j-- un j;ci p.ij -' -

tLll o.4

M. BARTHE. - ...Le directeur gnral dusnouvement génra1 des fonds qui, siégeant au

anc des niinistres, cornmecommissaire du gou-verr.cnient, a discutii avec nous des affaires im-portatntes, comme le renouveement du pivgerie la Bssnqu:e de Fronce, celui de la 13anqued'Alg.mnie, les conventions mariiims. M. Cellier,qu'est-ii devenu ? H est administrateur de lacompagnie des Chargeurs x.muni3.

-M. BOUISSON. - C'est ceis, trèc bien !

M. BARTHE. .;.administrateur de la Ban-ue dAlgnie et du Comptoir dEscoinpte (Ap-

piaudirsernents à gauche et à l'extrême gauche).M. MOUTET. M. Celier tait comrxiissaire

du gouvernement quond rions avons discut lerenouvellement du privilège de la Banque ri Ai-

nie, et c'est lui qui en siance de la Cham-hie, a tà moi adversaire et qui, à côté du mi-nistre e comba i in iesarguments que j'ac'ais d-

veiopps contre le renouvelement, Or, au-jour-d'hui i-l fait jartie du conseil d'administration dccet établissement financier. C'est de la conntsp-tion ! (Arplaud-issemenrs à gauche et ànie gauche; ixterrutions au cent-m et à droite),

N'est-ce pa qce te-us ces cenegne-ments et ces pxécions sont difiar1ts ?

Ît p-uis,1';-n s'étonne que le petit épar-gniste soit mal défeitcu ccntre les enire-prlsea financières qui 1ui sorltirent lesquielques m;alheureux billets de centfrancs qu il a pu mettre de côté. Ceux(lui (1OjVnt contr3ler' les agissements desétablissements finrAciers ont trop d'inté-rêtc ne pas gêner leurs cprations. Com--lite le dit le citoyen Mcutet c'est ce lacorruption.

Mais ce n'ert pas seulement au minis-tare des financcn que l'on trouve, desexçmplesoù i'intér&' général est sacri-fi aux intrts priyés. .

Ces prit'cue ncus Ici. vC.ns scus unaspect un aifférent, dans ces assem-hles cl&librrantçs où le contrôle de cer-tains services publics est ex&rc& précis-ment par des personnages qui ont partielié avec ces mnie srrvices. A j'ouhu-c, notammmt, ricc:s avcris souffert, et

nous souffronsenccre e l'ingrerice i'unancien élu, conseil de puissantc.t &ccit&sdcnt les intérts cnt ét n:ieux défendusque ceux des contrihuabls qui evaientecpendantccnfié les leurs à ce person-nage. On dit encore que I on ietrouve-rait, si on cherchait bien; des exemplessemblables dans l'as8emblée municipaled'une très grande ville dé notre région., Ce scnt ries situations immorales. Et

e même qu ilclevrait être interdit à unfonctionnaiie ou ministère des financea,sous peine de sanctions très sévères, depasser dans une s&ciét6 financière cc-nt ilaUxait eu le ccntr6le, de nme il devraitêtre interdit r ceux qui détiennent unmandat électif - serait-il de conseillermunicipal - (le cumuler leur fonction etune profession qui les lie avec les servi-ces publics que, dans l'exercice de leurmandat, ils sont amenés à contr6Ier.

.

C'est Pi de la simple honnêteté admi-uistrative. Ne comptons pas su le BlcicatiOflalpOul'irnflÇser,

. iiiLiElws:

GALANTERIELes hommes n'ont jamais vu d'un très bofl

ccii les 5en-imcs occuper des situations, usqu'aprsc réserVées ou sexe forL

D8 le jeune iige la 1Ue commence, Les jeu-tics fuies on ce le ton de se monrcr ngdes auxjeunes gefls en enlevcnt les rcmières p1acc auxdcrrrhires agr6gaties dc lettres, histoire, eec.

Ïrntn&Eaement les jeunes gens rcl clam rent.!l viennent d'obtanit da M. Lon B&ard quaI'CcS de8 agrégations leur soit i°terdil.

Le sexe 5er rurite biai son nom.ix,

MiRA NDERIE.n cÇait Mi°ul!, Ye'cs j4ii'ande, Ugftcment

s iimu s, urr,ciL contre une s!aue Un scrgcnt deville survint qui lui dii- je Vais Vous drcier une confracnllon.Voue n'avez pas le droit de faire cc que eosua

Sa°s dire un moi, tris digne, Yre Mircndcsaisg boutonnière entre son.pouce c son in-dcx, puis il mii sa lg(on d'honneur sous e ezde son jjerlocuÊeor 4pt qui, il sa retournadu ctr de la sfaia.

La plus drd!, c'est que l'agent, onné cf!capecfuaux. le salua cf disparift dans Z'otnbrc.

FA UVRES OBESESNon seulcmcni les gC gros souffrcnl toute

leur Cia dc ce qU'i!s cønsidrent comme une i°.jirmil, mais coiM qu'il est question dc taxer

II s'agit, en e5fat, d'un irnpt 1'çiçs dtarir injorjuna.pøids.

Tout individu qu dtpasseraU le poidj di f0!'iiid. devra Verser une taxe I'Efat.Q ne les Français, qu'un léger embonpoint cita'

grmr, sa rcssurent, C'est en Allamagna que lamesure, pardt-iI, est çnViscsg. pour idet cons.blet le céJiçiL.

QUOTN SOCALJSTE FONAL

L'Agcca Stcj'a°i publie la note suivanteQ ueiques journaux publirnt une version exa-

géi'ée d'un incident qO ses.t produit ii Se-beico,entre des matelots ieiiens et que'ques ilérnents

aitIs de la populetion yougo-slave, lui attri-huant un caractère de grovit tel qu'il serait su-eptiblc de troubler les bonnes reiations çntre

l'italie et la Yougo-Siave.Il s'agit d'un de ces nombreux incidents cl'irn

perianco bsr1unient kcale qui se produisentdans les ports d'Adri.tique, en raison de Ta situation qui y est crié'e par la guerre et qui, eUgénéral, : sont cemmuns dsns les zones liroitro-phes des autres pays qui ont participé -à 1

guelte. : --' - - -Les conversations en -y es au sujet de cet

inciaent se poursuivent entre le gouvernementde Reme et 1e gouvernement du Boigiac!e.£tIes sont cinipreintes du plus grand d&sir d en-tente et ont permis de mettre en plus vive lu-rnire les intenliions cordiales de c&laborationcui-ir,5Ipirent les deux gônvernements.

Le gouvenr.e.ment de Baignade a cdonnri nneenqtite rigoureuse pour la viniflcation de faits& a doiini des instructions énergiques aux auto-

it6 locales pour qu'eues prennent des niesu-rer efficaces en vue de petivenir ix rptitiend'incidents de ce genre. L'enqute est conduiterapidement avec la cccptirati.oii des rq,orésen-tants consulaires italien-s,

Le gouvernement italien joint ses efforts àceux du gouvernement yougoslave pur dliii-rer -toute occasion de conflit et assurer Fa paci-fication conpidte des esprits dans 155 villes adria-tiques.

Un avion de guerre rnonsteueuxOn signale au Journal, d'après une publication

atironauti:qùe am.iricaine, la cr4ation d'un nouvelengin de guerre destié, on va s'en rendre comp'te, à idvoI.tonner1ea nsithudes de combat surretre et sur mer.

L'appareil, qui est naturellement construitdans le plus grand secret, pour le conpte del'armée et de la marine anidniçaine, est un aéra'plane, de mcdàle r&duit, dont la carène con-tient une très farta charge d un explocif puissant.Cet avion peut dtre dirigC du sl par iè moyenries ondes hertzieimes. La cor te d torpille cd-limbe qu'il conStitue pourrait être lancée contreune flotte ou cciire une ville distante de plusde 200 mikes du pôint de dépert.

Lors des preiiers errais, ditIe ccnfi-àre rimé-ricain I '- iin vola au-desic de I" civ "Ï c.rL clatterrit après avoir traversé deux Etats.

tes " srrs " potrsis or cotioNous avens dit les bénéfices scaraaleux réAi-

sis au cours de ce dernier exercice, par lesraffineries 5ay. Maîtres du mamhé du sucre enFiance, les dirigeants et prcpriétaires de cesraffineries ont pu encaisser plus de 50 millionSeu uneannée, en maintenant sur un produit depnemiàre r,-éceseitédes prix vraiment cas-gérés.lYun exercice à l'autre, le gain obtenu s'étaitdiecl plus de 40 millions.

Sur la piainte du syndicat des betteraviers,auquel s'était joint ('d. Lefèvre, marchni,d deconfitures à Saint-Ouen, une instruction avait tdouverte. Elle fut confiée M. Franck, qui vistde clore son enquête en inuuipant de coalitionet de spéculation illicite ies deux administrateursdes raffineries et sucreries Say, MM. Letort etTinardon.

Q uant aux cinq directeurs des usines Say, ilseront seulement poursuivis pour spéculationiJlicite,

Les deux plaignants se sont portés partis ci.vile au procès. Parmi les avocats con&titués oncite déjit t Lamour5 Cassai-a et Chaul-gram. -

;ouss t1s Esrotists EraçisA BEZIERS (3, 5 juin 1922)

Les espérantistes isolés. c'est-à-dire n'ayantpas adhéré au groupe de leur lcalité, sont priésde faire connaître leur adress à la Secrétairedu Comité local : RMesano, I I 1 , avenue Cleroéxi-ceau. Béziens, qui, dans la 2e quinzaine dejanvier, leur adrescera la première circulaire ra-lative à ce Ccsngrs National. Parmi les adhé-rents déjà inscrits, se trouvent : MM. Rouet del'lsle, directeur du Service Hydrographiaus dela Marine, conimandeur de la légion d'honneur;Th. Cart, pncfesseur I'Ecoie des Hautes EtudesPolitiques ; Archdeacon, rnécàne de l'aviation;D. Eyquem, conseiller à la Cour de Cassationcia Paris; Di Rienzi, inspecteur des P. T. T.,à Paris; Tiard, ingénieur, & Paris; général Bas-tien, intendant militaire it Strasbourg.

Londres, pour le Congrès des espérantistes an-glais compte sur un minimum de mille corgres-aistes les Français, qui représenternt la nation,qui e toujours tenu haut et ferme le flambeaudu progràs, ne seront certainement pas moinsnomiareux, éziers, -

FÂrMO [fflÇ1S sra-L-IIc rdito I

Paris, 9 janvier. - L'Echo le Paris 'dit qued'après certains brujt, le traité fraacobnitannique comporterait un annexe militaire.

Le gouvernement français y exposerait sa!éseiution de réduira l'armée à 500. 000 hcznines.

4_a_--- - .,_ *-

le TràitôFranco-Ang!ais'J

Cannes, 9 janvier. L'envoyé Spécial del'Agence Fourier apprend que ce matin vers10 h. 15, i5 un crOisement de rues, deux auto-

nobiies sont entrées en collision,D.ans l'une des voitures ce trovat M. Harvey,

eprésentat fcie ux des EtaslJnis u ConseIlsuprême.

Le choc a té si violent qu le ministre anié-iccin a du être transporté à son domicile où im

médecin a été appelé immédiatement.. Briand et L!oyd Gecirge, qui se diapo-

calent à partir pour le Gc1f-CIub. où ils vontdéjeunet, se s o nt auprès de M. Larvey, àIl heures.

rti.tPHow

Mardi '1k) Jf1ie 'l9

EDlT'-iOSFyrsiinre3 et Lingued

'1rn ctt Aveyron5ToLthLise let EflVirOI

AEONNEMEN'rstaDts S

Ftsr,i e (:oIiu, 12 (r. 24 (r.Etrsuar . , 4(r. 27ft..

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s45 t.

Avr dtpcnsé piuicurs milliards conh'e cs St>viesjn;emcni, 3eur tendre I'i rnin, sur ks injonclions du

rei;e du moflde ligué n !.ur vcur conlre nous

La Comdîe sur hi Côtcd'Azur

-rAIflS, tout ia se -pesscr comme si l'oit

cIc1 o la v1lc de rr,cortnaftic oJftctCLlcment la RdztLtblique occiclîste Jdéirativetusse des Sovjels I On fera des laçons clde5 niirLcs, cri / mefira dgsccndijiGrts et-des formes, 1-naj3 cri la rccornO2tra, Btirndla recc-rncdtra; cc qui n'est-pas cxlrciordi-nc1i:j.e, mo'is le Bloc National lui-même lareconnaiIra cc qui est bçciuco:op piisd'ie !

loo iotis rappelez, comme moi, latdampagrie législatite de novembre 1919,lhornme arr u coutcai-enircicsdents »les millicm dépensés contre nori,r par l'U-ilion des !nt(rêts Econcmiqucs. Parceque nous CpprOLWiOflS le principe de larévcslulion rts.Se, perce que flctrs la décla.rions légitic, parce que, scias les CXCU-ser, nous en cxjiliqttiotis les inévitablesCxcè3, fsCLTCC que notés bldmicns l'actioncontre-révolutionnaire des Glliés, ParceqLle flCOSflCtiS mcnlrioils pariisans de re-conrzcttiea chaque pays le droit d'orné-na1er à sa guise ecrt organisation politi- -que, intéric.ure, parce que nous dernan-dions q',e l'on 'lic cragni pas d'entrer enrcicrlions avçc le5 dirigeants du régimdes sovictt, les ennemis du socialisrnct:ious ont fait, dans les campagnes, et jus-que dolas ToLlouse rifle .rcputaton de(ç bcilcheviks )i qui a cntrané l'échec:preqcie total des listes socialistes danska vu arterncits nicnaionQtl du udOuest. ;

. Pour ma ort,j&tte suis pas près d'eu-bliar la grande réihicn électo'ralc qui eutlieu, au Conservatoire. le 8 novembre etcgi cours de laquelle, chargé de traiterce ctjet pa.r mcc compagnons deii,ste,j'exprimai les idées értun'érées plus hauten conjrontont la révolution russe avecla révcluticn frcnçcrisc. Je n'ai pas prc-ncncé,c soir-M, itn mot qui aitdépaiscéma pensée. J'c2i demandé que l'on s'ef-Jcrçit dc campidre larévoInffon russe,les cause5 décisives qui l'avaient engen-dréc ci que l'arn eût l'habileté et l'hen-nêtelé de prdliqucr à tien égard uneonspecton bicrw.cillanie, tout en faisant

Lit court crédit à l'action du temps et ài'évokltion normale de l'esprit et dcri cari-ccptier.s de ses chefs.

Je le fis avec rnCfl tempérament qui,je ni'Cti cxc1i:C, s'est pas tcujoWr3 dénuéde quelque vérnence, et je vois encore,à la sortie, tels et els camarades, dontcertains sont, dcpuI lors passés au cc-m-n-iunismc, me ieprcchcr amicalement d'ê-ire aIlé un peu loin dans l'adhésion rai-sonnée que je Venais de 'donner à la ré-voluticin russe. Electoralement, ils aooientpeut-être raLon et il est fort possible que,pour m'être aliéné part ce langage, lessuJjragcs dc certciins républicains non se-cialistcs, mats sympathiques nos ten-dances cl à nos personnes, jé pie cis, ertqticlque mesure, ijnicidé crt soir-là.

Peu m'importe, si j'cii au moins goIéla volupté, fêt-ce devant quelques tinte-rés, de dire cc que je pensais déjà, à cettedaI, ce que 1.2 venais aussi de répcndi'e,irot jours auparavant. une interrogaiion publique de ici ti Qépêchc u,- et queje tt'ai jamais cessé de penser 'dcpuisI ors. Ce fut, en effet, notre jeje projon.de, durant celte trop ccurte campagne,n'est-ce pOs, Bedcuce, A aria!, Rieux,Cutsles, Fontcrnulles, 'Agàde P d0 crier,'dans les centres principn.rx d0 départe-nient, cc cri'il y avait de plus intime aciI ond de nos ardçtrtcs com)ictiens socialistgs. Cela, ce sotwenir, cette fierté -aprèis et rnelgréTours - les millions rdcl'Union des intérêts Economiqucs, 'ilsont dépouillé certains d'entre ncis 'dcmandats périssables, ils resteront impuis-sctnt3, fl1iflC 4cçru; iccu&l,,nous le ravir t

Voici, d'ailleurs, que sôhie, vcttii larevanche pclitique, l'hue dc la revan-ehe mcale. Cédant à sa lâcheté parle-rnentaire leBloc National vient le stp-primer les élections partielles qui l'eus-rient çç plus en plus condamné. Moistoute sa thsc sur la éuoluLiort rt,ssç etsur le potiverncrnjt svieis vicit'd'être désavoue ci miè déroute parla CohJértJcede Cannes. Sut' la propc.sition de Lloyd Cecrge5 lî alliés, Frari-çais comp?is, otit résoU d5admctte lesgozweïttcints ruses, leè e bandits »; les(t torliosnaires t, les (t assassins » 'de 1'o-tiembre 199 à la table diplcsntatiqae ccm-mufle. On consent enfin commerceravec ces (C voleurs u, Ofl se résigne àdresser aiec ces (l banqueroutiers u kiesbilans fructueux d'affaires montées etccrnmiun-ei l'ori ne rougira pas de passerà la croisse de ces « barbares » pour ji?léd! copieux çqtippi I

ta sicprès trente nios "échecs contrc.ré-

vclut,mnaircs, aPJès aLiC&& g'ap-illé lesmilliards avancés à ll rangel et à Deni..iine, aplès avoir fait trier plus d'hcm-mes pour ruiner la révolution russe qu:'et-lé n'c. n avait elle-même sacrifié pur -'étabtir, les Iiiés se décidnt t recannai-ie sclennc1lemcnt jux rtalicrns le droit

-e 'd'or'anisr librement leur régime depropriété, leur économie tf leur gonwer-nemerit ». Sons doute, ils se donnenat lesgants de pcsc dçs ccnditions pour l'en-trée er tappcïts avec les soctets, maisils savent bien et ils savent deptris long.temps que, ces conditions, les soviets lesavaient par avnce et en principe oc-ceptés.38, sans ferrite de propositions po-sIjives l diverses reprises, et notammentpar Tchitchcrine, présCntées par eux..

Même s'il est niaIérie!lentcnt 'difficileau go,twernement rusSe, - comme c'estprcbcrble - d'éxéctiter à la lettre certai-ne_s de ces ccnditions, il rester que;'danrsl'intérêt de l'Europe et des pdtits por-teurs français de rente russe, le BLOC pa-tional avait le devàir de prendre longue'depuis longtemps déjà avec les dirigeantsdç la Rassie et de travailler à leur jacili-ter leur propre têche. Si elle venait i'tcchocer c est, pour une large part alapolitique âiupide et aveugle de la Frn-cri é]ectcirale d j9jj que la Joute encornberait, .

,:

Souhcailon3, dans l'intérêt de la poix g-nércslc, dans l'intérêt des classes cujrià-ras, et dans l'intérêt de- la reprise accTaed u travail européen prcductiJ, que cespourparlers sensotionriels abcrnissentl'établissement d'un régime solide et dts-rable, prcJitable d tous. Mais à flOUS 50-cialistes, juUavion tirs juste en novem-bre 1919, cl dcMt le Bloc national ne rou-gLI pas d'adopter vaille que vaille sricc pcin#, la politiqn'i-e, il sera permis, jcpense, de dire qu'une foès de plus il au-ra, c toril le ntoirts. mal carvi les inté-têts de la France, cri les servant 'de mou-valse humeur, l'ép& anglaise dans lesteins, coitinte un subal'terncj humiijé, çpcut-êtrt trop tarc I

rILFN PBFVOf.i4 ncen députS.

Con3cile! é°érf de la 111e-G ie5

Le sermefit de non agression

Commentant, da l'Erho de Paris, la teneutde la résolution adoptée par le Conseil suprême,Pertinax aiim inquiétante la clause 6, disant'r Tous les Etats devraient prendre l'engagementcollectif de s'abstenir de touta agression contraicurs voisins, s

s N'est-ce point là, dit-il, l'amorce du fa--nieux pacte an6-fianco-allamaad, char à M.Uioyd George ? Nous craignons, que ce textene se retourna cotitre nous et qu'il ne nousprive, à brêve écléance, de tout moyen dpression militaire contre l'Allemagne. s- En ce qu.i corcerne les anendemer.ts que M.Briand n fait apporter au texte primitif de la,résolution, Pertinax, préizisant, lui aussi, que.d-ans le texte original britannique, la Conférencede Gênes était qualifiée sinip lement de e derme-mique e, observe que M. Bniand a fait ajouterles mois (r et finan-ciérs e. peur bien marquerque lu di:scussion siaura pas de caractère poli-tique. Un peu plus bas, on lisait dans les pro.positions anglaises, -que l'eort ccmmun despuissanCes (n&cessairc pour faire disparaître laparalysie du systàme européen) devrait êtrernêms de supprimer e tous les obstacles d'ordrepolitique qui font dehec au commerce s. M.Briand a obteAu que l'adjectif i politique s fûtrayé,.

annes, 9 jartvi&r, - C matin. It 10 h. 3lles niinistres des finances se sont réunis eton-t examiné tee I)ass des ntpaeations. I1continueront eiis:uit la séance par l'étudtu consortium clavant assurer la reconIStiD

tution économique- rie l'Europe.irje Consel suprtiineest cotwoquié . pout

17 heures. : -- -

Cannes, t janvier. 'A midi trente, ofldéclarait que l'i5tat de santé cia M. Ilarve-y'ministre ibrfléri43ai11, VhStihtfle d5un aociden

'autornoLile n'était pas aussi grave qu'oll'avt?t craint.

Le ;rtt.re n'a eu aucune fracture, maiss-ouffro rie nombreuss ,eo-n;u-siens. Il devra, ,"8,rèS 1 viS (ICi ntsdeciflgarder .1usieurs la chambre.

UNE ALLLtNC1! HES F'TIi'ES NATIONSCannes, ¶1 janvir. - Daas mil!'eUX

officiels de la Qonféreuie rie CaiinJ ? dé-.

clavait- dans la soir d'hier ciun des -!

vcrations qui ayiiient 1ieu actuellumb 'entre MM, Llcyd (learge tt Briand sort4raient non seulement rme alliance entre lalt'lnCe et l't G"tadc-flret-agne mais er e-r Un aeeorl ertti i ptite pu4sarieø

Srs I Itlls vc1t Ir rîsI

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Page 2: Nro : ctus tLll QUOTN SOCALJSTE FONAL ., *-images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101...Années - j'Ça et $$ «tNISTRÀTi4 OiLOUS u L I C I T 2 r dzta ru ai 3jrvu d: ø4li

Toute la misère .soeial ient do cc quequestioii-'.cive n'cst pas rsolue.

si la qu.etjoi'&jit.r n'est pas rsoluL J atisfa;ion: de produceur ds huai-bJe, de souffrante, c'cs parce que ces

peti$.s, sans le travàil desquels la vie n'exis-irait pas., ii(gligean la question conorni-ont trop saerifl h la flaUvais) politi-uaillei'io, aux dangereuses ques1ion deet qu ls n oii pas comprisque leurs militants et dirigeants en syn:Ii-iliSflie, rie devaient pas êtro des sortes,ti:e eIeÎs qu'ils se donnaint; niais bien desd1guos qu'ils s'étaient choisis, qui avaientfl}crite iiui eonfiance et devaient la iiiri-E.'r tous -les jours pour prsenter et défen-he leurs intérêts eonomiques ckjà dis-cuts et étudi6s dns les associations syn-d aleS.

Et encore, il n'ont pas compris, quotoute la foie toute l'autoriki d'un miii-:iut ciJgu est (ta1LS 1 COiiS1Ofl, l'enter-te, l'union des uasses ouvrières u nonidesqulle; il parle et. il cornmance d'agir.

Si, en ra1ité, ministres et dépats bour-t , 1I ont que les valets de a i ia ci,

ls i1Tars daffaires de I hourgeoisie ca-.pitaliste, c'est parce que Ira finaniriors, lescapitalistes pèseit de tout le poids cia leurassteiafioïi natiorale et internationale surLtes 1cisions des geuvernant e des pou-:fts pubiics.

Il n'y a que les producteurs agricolesat lts ouvriers des cités pour rester divi-s on regard des unions et ententes pa-tmonales et tra assez fous pour se figurerroe, parce q&ils enverront un Iiomm h

djrutation avce un prograannie qui leur(011V1eflt et une tiquetto qui leur plaît,.ii ont des chances d'aboutir à leurs lins4'éaiicipation et à leurs esplrs de Jon-lur

ii aui convenir que dans la elas ou-:vr:&èie, il y a trop de brut.alit, 1e nié-flauicr, d'ignoianee, d'indifférence, pour fa-ciliter la besogne d'un militant et aider auLCri1t(meflt du niilitantisme.t,iI y n do arrivistes, des trompeurs,

1tIe la classe ouvrière se frappe la paitri-.iie c'cs1 tant pis pour elle.

Jgnoraiit eL,touour prêt h ocx. teillir, hroiro 10 mal, le travailleur (pris dans son

ii5Uibie) est toujours l'enfant ou le saii-vage charnis de ce qui brille, titincelle.PçaiC 1Ui : c totit nouvean tout beau » est1kine enictitttle rigoureuse. Le camaradequi l'a servi longtenïps, patient et oi)stinîans ses effoits, le militant qui n maintenulganisation an milieu de tous les cern-Jas et de tentas lies trahisons ceu-i'eistent pins ds que paraît le nouveau

;ve.lnh, riraIeinent fort en gueule et dontla « platine devieiit vito una Xaeui6 ra-warquab1e .ci'1ocutiort.

Les politiciens d magogues, les ardents4t passioxrnts b la lutte des places, saventse servir rnorveillensesxent do cette dis-i()SitiOfl de la inaa U\riro à Nonlouêtre trompie.

Ainsi la c]assc ouvrièi,e, nullarnent cF&-vouéc h ses intrêt, supportr le poids esa méchaneetl envers elle-même par unyndicaIisnio insuflisant et même certaines

f;iis d'uit caractère h ce point terne, qu'ei-e lustilie tous les abandons dont elle est

victime.Sn faut se deuiaiiic1u eV taehci dn trou-

Ner une réponSei Au sein des proccupatidns sociales du

du eentre et de l'est do l'Europe. Dans cet-te entente se trouverait la Pologne.

Cet accord serait destir6 à pri'eiir fou-.te agression toujoirs possible d la ïart ieI'Alle3nagae ou de la Russie.

J)Ei'.u'r rns DELEGUES ALLEMANDSBerlin, 9 janvier. -- Dès qu'il a reçu coni

inuaicaticis officielle do l'invitation duGonsei.1 suprême, le gouvernement elle-MUid s'est occupd d d'sigrmr la dtiléga-

:tiOn allemande qui quitte Berlin aujour-t'hui b 14 heures pour Paris. Cette déIga-

tion a t sa ttic le clooteus RatiauL'AlIRlVEE DE M. DUBOIS

Ui ac 9 yin-s ici M DUl3Or' pJ ( -dent do la COfliïfliSSi011 des rparation5, va-iiant dc PariS., cst arrivé e inatin à aii-mes.

LES BUSSES 1J()NT SE I1ESEWNER' Ecrlin, 9 janvier. Certains jciurnauxaroint savoir quo le gouvernement aile-ivaiid n ôtd avisd de i'arrivia prochaineJans la capitale d'une dlôgatiois bolelic-vl3te ayant h sa tête Radek. Ces dflégwsdo i\loscou vieniient s'entretenir avec I esiinisti'es allemands sur les eorvesations

qui ont lieu à Cannes et viennent chercherjs renseignements sur la pochain con-

Arenee inleinationalo de Cines

luIS TIIESES DE MM. BRJANI)Ï ET LLOYD GEORGE

r Londres, 9 janvier. .. D'après des inror--uations reçues de Cannas, le « Daily Mail '>'ait ôbscrver que de5uis quelqûos jours]cs convcrsaiions 50 pourSuivaient entreo liciirs ininisti'e s anglais et français,e i:1r arriver h une esitesite entre les dau

.nation, suais la thc soutenue par 1%!.

1risnd ftat OJ)O5O à celle prscnte varM LlosJ Geoigc EJL effet li' puid ut eutosceil bsitiiniqu. iniait dsi I coru' t-sioji d un lin ord « ti tpai tite > chas iequeserait entrée galmt l'Alemagae. lU'.Brianci ipondait qu'il prtfcrait ne conclu-

aucUn aeeordplutôt que d'y voii' engÎd-ber i'Allanagne. Fiiaienicnt le premier)flistre al3glei$ SC rallia h la hise de M.

Jiriaiid.Les experis fcanais et angiai

etucflenient des notes à ce suiI i)nf; ou rnses Pa»pi otitres et qui seront

S

LES ETATS-UNIS )NT-1I. A GENES] I(Jrcs, 9 ier. - Oit mande de \Va-(,t_ T)u L't 'legs 'sphjr' trait si\or Ç411C Iii pse'}d?ut Iii enr

x:ÇL flughes cvsiuirrntt ;urnh ou ni,fl1Vkt itioii que is ecu ms 1 '

tindrc pa 't tt eonrrne *îe (itnei-S_o gcu\o1nimI aftTr; 'nu e J)O I

lrtsoti ui3it !C Pt'itUfl.3 ti OTTtfwt' do- rLcOnmtb le-go W3N3 i1(4it ct

.}vict3 peuveit-ils iidve part à une con

Examens SyndicaIiscs

us L'AiLE CON Ntemps prnt, qui donnera toute l'ampleuraux questions eonoiniques qui sont lesquestions vitales du pays, si ce n'est uneoiganrsation syndicale avisée, existant par-tout où &exercc le labeur huniain, et don-r1ant une expression, an corps, aux per'-S(CS d'niancipaiion des proldtnirs cour-1is sous 1s durts d'un travail' d'escla-ys l.,.

Dans b syadiealisnle, la Politique, toutesles po1itique 1b toua le partis, ne sontquo pau\'ies.

Avant, bien aant cette division miséra--bIo vonlue et oQnonimle par do pauvresétres d'arnbitioii mesquines et d'orgueilmalade, qui n'ont jamais rien compris iila beauté et surtout h la fore d'un syn-&caiisme n'attauuant pas les susceptibi-lités politiques, e1igieuses et pilitosophi-que, des travailleurs disaient qu'il dtaitbien suffIsant d'appartcnr au Parti sana-liste peur travailler efficecement h soneflian{TlpatlOfl. ris étaient- sans s'apercevoirqu'ils n6gligeaient une instruetin ifl(lis-iensabie quiIs sic pou'caient. dernierqu'en syndicalisme et quinsi ils remet-taient leurs intérts n biq-uant leur di-gnité et leur souveraineté, entre les mainsdo gens hors de leur situation profes-eurs ou avocats , sincères sans doute, mais

dont la snerit a besoin d'être entrainéeet constamment soutenue.

D'autres travailleurs disaient encorePour être un bon syndiqué et devenir un

parfait syndicaliste, il faut appartenu' euparti socialiste. ».

Ainsi on d&miait toute vertu révolution-.flaire au syndicalisme que l'on plarait avenune suffisasire pLeine cPidiotio bien au-des-sous du parti politique. On ne se doutaitpas en parlant ainsi, que l'éducation p0--litique du poup le est toujours à faire, carla peuple n'a toujours su se donner quedes maîtres qui l'ônt grugé honfeuscmnt.

Ii ne faut pas oublier que ha valeur réel-le du socialisme, comme celle de tous lespartis poiitluas est en raison. directe del'intérêt qu'il accorde à l question écono-uique dortt 1e solutions sont toute à.

raiSon d'être du symidicalinw.D'abord l syndica,lisrnc, la politique

RIirès. S '

'Aujourdhiui, après cette erimniadlle di-vision, ce SOflt les mêmes mots qui ra-viennent eervis par des pdiitiien5 qui onttoujours considéré le syndicat pomme unilevage farneux d'électeurs.

Une révolution n eu lieu en Europe Pc-litique en ses commencements et s'effor-gant mainteiWit d'étaNir en regard desmitres Etats du monde, un nouveau régi-me coriomiqUe. De ar cette révolution,les seuls révolutionnaires sont comniunis-tes et le congrès do Marseille (décembrel92), premier congrés du Parti (lonirnu-niste en Frarice, en adoptant la thèse deDunois e dé1aré quo le syndicalisme dc-vna coordonner son action b celI du cern-munismne, le communisme selon lUi étantl'expression parfaite des besoins et de l'ae-tion de la classe ouvrière.

Pauvre hnrnrno que cc Dunois et pauvreparti que le paiti communiste I

Comme si le syndicalisme se gonflait demots et do forrnuie h...

MARTVROLLL%J,Scre'tafre iIe Z'V. D. d la Hou&-Garorrn

D1gu. à la propaga:-zdc dc la C. G. T

férence à laquelle e gouvernement parti-olpe.

L'opinioii se répand de plus en I)ltlS quedans son propre intérêt, k'Amérique nepeut rester à l'tiaart

L'INVITATION A LENiN1Reme, 9 janiver. Le bruit avait couru

que in geuverneniert italien avait lancé1111e invitation drs niaintenant au gouver-nernriit de Soviat pour pari isiper i I sConférence internationale iO (lénes. Unenote officielle colluiriile on bruit et préciseque c'est iar l'intermédiiairi de la déléga-tien économique russe que l gouverne-

ieitt italien a mU itu LLnhiI L 'L I ii L ( Uerscmfle eu ftahiï pdu le rnos LIC fé\rier.

M.. Harvy, arnaaeur de Etat-Uisvctîrne trtui acceut

Paris, 9 anver. - Oa mande de Cannes uJouind, it la date du B jaiwier

( Dcpus hTer la rurnenur couuit qu MM.BrLand et Lloyd lo&ue les stian-ces duCQnsil surrne leur lssaent des Ioiirs, teti-taient de mettre sur pied un rcjet d'acQrdfraco-brLannque dont il a &té tant perlé cesjours-ci.

e Hier, dans la soirée, a chose est devenueÇficielle et M. Brand en personne l'a confirrne.« li s'agit pour le deux pays auquels se join-

dra vraiseinbk-biennL Ittalie, de- signer un ac-ccxci dans la forme de celui du Pacifique.

e Le texte a étS remis airnanche à M. LioydGeorge qui en a approuv5 les principes.

e Dans la joutne de lundi la question pour-ait être ébrdie dans sese rades lignes par

la Conférence. »

.

[s Fuflurs s{sssfrts

La CnfimatiOn he1vU comptaitau ler janvier 1922, 33.100 fcnctiornizi-res, enuipIo-yés et ouvriers de 1adfns-tiatiOn et 35.832 cheminots.

LI fallait compttu-, dat le total, 38.004fonctionnaiïes, 14 4i4 emploe, 12 )36ôuviers; 3 .39 auxiliaires.

S Lç bidg. et pour ks taiternents et in-den-mtézi du peTeonnel e l'aciiTanisration était de 214,500000 francs et pourCeux des chernnots, etc 238.300.000 h.

Le traitement moyen ressoi-t ainsi à6.600 francs suisses par an et pari-ié : &cit. au cours çlu change» prs dejô.000 franc français

L'Affaire Tilgran

LMS aiHs E;eserLotir e PrieeE ovrI

La Vic Par1emenaire

SWte}ieflL 3rÎpps sÈI SCSOR_OFd

En attendant I'ouvetture u fanicuxpi rcès , vraisemblablement dans j se-n-mine du I 7 au 23 janvier. on prépare etl'on ressasse, dans les ieux camps det accusation et de la dtfense, les argu-n-tents les plus passionnés. On prtVOt,Jusqu'ici, une quatantaine de térncmns àcharge contre un nombre triple de té-tflOifls à décharge. Parmi ceux-ci, on citeMM. Gecrges ClexpenceacL le ci-ûe-Vant Tigre le maréchal Foch à cetteépoque général commandant le 2Oe ccrps

et le maréchal Fayc-lie, ex-généralcommanctant la 139e brigade à l'état-ma'jcr de laquelle fut attaché le lieutenant

ilgrain .on a auesiparié du général Parisot,

heau-pere de l'accuse.S

A son sujet un çe nos lc-çteurs nousécrit: :- S-

u Quel motif partrculier le général\Jctcr Parisot, rue Poncelet, 47, et villades Vannes à Ponipey (Meurthe-ct-Mo-sille), ce multiplier les plus pressantesdémarches auprès de tentes les personna-lités militaires ou politiques capahes d in-fluencer les juges du conseil de guerrequi vont juger Lrrijt Vilgt'ain ?

« Le générai Parisot serait-il le beau-père d'Ernest Viigrain et agirait-il ainsipcttr sauver l'honneur de la famlle (voirle Tout Paçis l92L page 594 : ViigrainErneat. ancien sous-secrétaire d'Etat (etMmc née Louise Parisot), quai a'Orsay,55) ?

S S

O E8t-1 exact quo le général Parjsotaurait déjà obtenu la promesse d'un of-ficier i conseil d'agir tris énergique-ment aup-rs -ccs autres juges militaires ?Quel est Cet cfficiet ? »

Nous aurions voulr savoir ce- que pen-sait de cette lettre le général Parisc-t.Malheureusement, il est atteint commeM. Jeanneney par la grippe.

Néanmoins, ncus avons pu ohtenrquelques instants d'entretien ave:e Mn-i.eD -. - - , -&L arisot, au aoimciie meule OU generela courtoisie de l'accueil nous fait undevoir de reproduie ec lespointa essentiels de la conversation. MnrnParisot défend son gendre avec véhé'n-tcnce elle no-us retrace à grands traitsla conduite du lieutenant Vilgrain auxdébcts de la guerre. e Mon gendre a toujcurs fait scn devoir, et tout cC qu'en aécrit contre lui n'est qu'infamie. Il avaitsubi uné opération ts douloureuse, aucour d'une appendicite, et malgré l'ira-p&ssibilité physique où il se trouvait cecontinuer le pénible métier d'officier cl in-fanterie, il refusa toujours de se faireévacuer. . . ),

S

I noue resterait, mdame, efÇ!eureiun sujet exts'êmen%enL délfcat : en a ini-iué que le généel Parisot aurait essayéci user ale ton influence sur ies futursjuges du conseil de guerre.

-S est une infamie de plus. Mon mii-ri n'a pas vu le général Penet depuislongtemps, et ji s trop conscience de 5Øflhonneut' de soldat pour oser une démar-die pareille. D'ailIeur, n'est--il pas ma-lade en ce mement et dans l'impossibilitéde quitter Paris ?

-Xrj la uite &s déclaratio.s auc nous a

faites, hier. M. \'iollette, ancien ministredu ravitaillement, nous eucrions vculudonner les explications de M. Jeanne.ney, ancien ministre, qui avait été misen cause.

l\'l. Jeannenc, actuellement souffrant,-n a pu nous ieceVôir, Nous voulôns es-pérer que cette maladie n't pas d'ordrediplomatique. . .

S-S

FÂI,rs ifi VERSLANDRU Ef LES PtCELLES

Il y a encore des gens qui pensent li Land-u.Quatre jeunes fTies du département de la Man-che ont envoyé au eondsmn de Versailles, latve qu'elles ont trouvé clans la galette, avant-hier, et lont choisi comme roi.

Landru e lrouv justement la plaisantcre dmauvois goét et a d4claré à son gsr&en qui1 yavait des gens s stupdes

LE MEURf)t1Ei A DES AMISIi s'est pais5 Naples. une scène assez curien-

se qui fera réfléchir les jaloux et même ceux quine ie sont pas.

Un paysan Napolitain , apsès avoir travaiil enAftiirique pendant quelques années, e5inté.graitson demkil. - Il s'eierçut que sa femme né luiétait pas restée fidèle, li il taa, li se sauva dansla carnpane, puis, il y a quelques jours, ii dé-cda de se livrer it la justice.

Q uand sta amis connurent sa déeison, ils ai-lèrent Te cherche, et pour lui proerver quiis ap-prouyaient sa vangeaee et sa fufite, le pei-taCntsur leurs épaules jusqu'au ceapen-dant qu'une )oyeusc musique marchah en tStede la troupe,

Çâ et LaLE CNGRES PAN.AMtRiCA1N DE )22

Lojidres, ja1sviCr. - On rriarèle de New-Yorîzque la conférence pan-améecaine de 1922 auralieu à Sar,tao du Chili.

L'AGiTA TION MONARCHiSTES SS

EN I-IONGRIEZueeh; 9 janver - On mamie de 1udast

que hi pM&M khi- Caseii de miaisues cliiHongrie, le cone Bethleem a déclaré qu'il lut-tesait par tOus IC-S iflC-yefl COfltie l'agitation dcsmonarchi8e& teesîaat au rtabisernent des Has'bourgs. S

M Rskowi et ! coate S!gsay dief, dupasiL moaarchste Ott envoyé leuis t4rnøins auo5nje Beihleemea i pxovo&ziaeit n duel.

gouvernernnl va preodre dcs niesures con-tic lea mertée royouite.

LE 1-IUREAULES lNTERPELLATlNS

Paris. Derna'n, au Pa.lais.-Pournla séance sera présdée par M. Sicgfried,déput du Havre, doyen c'ge de laChambre, assisté des six plus jeunes de-putés présents. Il proflCflCera le dsccursd'usage et ouvrira le scrutin pcu 1 eiec-tion du bureau définitif.

M. Raovi Péert se présentC sans COfl-cr.i'ïent. En eût-il un que sa réélectic nn'en serait pas meins assurée.

Les quatre vice-présidents portants,MM .Ar ago, Raibei'ti, Andié Lefevre etPuech, seront égalen'ienti-t&lus sans ois-cussicn, ainsi que les questeurs MM.Saumande, Lenail et Duclaux-Monteils.On ne prévoit de changeiiierts pøsiblesque poti;x les secrétaires.

Sejudi, insmallaticn du bureau; discours

d'ouverture de M. Raoul P ér et çt fixationdc l'ordre du jour. S

La Chamiz,re se trouvera a1or ei facede deux méthcc!cs i ou voter d abord lebudget des dépenses recouvrables pourle quel eue n voté w douzièm provisoirgou entreprendre immédiatement la dis-cUStdiOfl des interpel!Fations nombreusrsque la conftrence de Londres et celle ceCannes ont fait renvoye après la ren-tée.

S-Les interpellations sont nom&euses tvisent pour la plupart la politique exté-rieure du gouvernement, notamment cal-les de MM. Mmccl Sembat; Margaine;Marcel Cachin, ce Bauctry d'Asson et LeCour-Granchnaiscn, sur la conftrence etcWashington; de M. c'I3llet, sur les ne-corda d'Angora; de M. de ChappedelaineSUT la politique du gouvernement en AsicMineui-e ., de M. Engerand, sur la propa-gandie calnnmieuse contre la France Uas.certains pays ; de M. Paul Messier, suiola carence financière de l'Allemagne ;de M. Marcel Habert, sur la C:ilicje; deM. Magne, sur les échéances allemandes;ce M. J.-L. Bonnet, sur le régime des ter-ritoires rhénans de M. Méritan, ur lesintérêts de la France en Orient.

L liste s al1ongeia sans doute encoreLe débat aura ionc beaucoup d'ieuret l'on vcit qu les' projets aie icis miii-taires rie pourront pas venir en discussionavant le derniers jours du mcis ou lespremiers de février.

Au Luxembourg le Joyen t%-

vient la présidence de la séance de ren-trée est ÏVI. Denis, sénateur de la:Mayen-ne, gé de 89 ans.A son éfaut, on pour.

t appele au fauteuil r MM. Cordelet(88 ans), Riotteau-Goniet (S ans), Méline(84 ans).

s Aprè le discours dii dayei-, le Sénafs ajournera à jeudi. M. Bourgeois serazeélu présidant ce' jour-là, ainsi que lereste du bureais sauf MM. Loubet et L'emarié. scci&aircs; le premier est arriv6au terme de sen iandat, le second ne sereprésente pas.

L président prononcera imméc'iat-ment après les élections le discours tra-ditionne! et le Sénat sen-mettra à l'ouvra.ge, e art-à-dire à la fixaticn de son ordredu cur, On ne sait encore si l'Assembléesiegera vendredi ou s ajournera à mardi.Il- est probsble- que la loi sur les loyerssera une de ses prenrières préoccupa-tic ri s. -

émso?1s tI5IstitteursMoulins, - Quatre instituteurs et me-

tilutrices de.l'Alljer ont adressé au prefetlacis démissions de membres élus c,tïCon,ci1 dcprstaiental de I enseignemertpiilrr,rc rieur proteJei contic la icvo--ition de Mlte Marthe Bigot institutricec.om?rLuniste de Paris.

AflDi. - Les délégués des institt,feriet des institutrices du Tara au Conseilcépart-cnrsntal de l'instruction PtJrnaire; ont adi-essé nu préfet leur rnissjcn parasprt de sclidarité avec MIle MartheBigot, -

[O u SciillsDoe

Leipz:g, 9 jaflsiCr --- Au COflarS 5Oceste fl-dépendant, le prdsdent du parti, Crispien asouha la bienvenue aux d&tégués étrangars.parmi lesquels se trouve Grumbsch, représes(antles socialistes français.

Dans son &acours d'inauguration, CispienS sCst élCvé contre ies concessions faites par ks- sddaliste m.ajoritares aux perts bourgeci il alaissé estendre gue le congrès de Liepzi5 fcta1t

1 plus our i'ùnion des deux permis Soeial5ses quele cengrs des aocislista majoritaires de Goer-

S liiz.Les socialistes majoritaires déclarent, dc ieui

cété, que le seul oI)st5ie * én rappr&-hmenFiS la doctetne profsssé par IaiIe gauche dupasti indépendant.

Dhitman et Sceger ont 6t élus président.-

CA1NET MILITAIREParis, jaiivki', Jutqii'i,i a cou -des

séances' des conseils de riCson, ii ésit seleu-ment pris nOte. en plus cks ren5einen-iet e-btife à l taille, u pbids et au -é?inittrc to-nacique, d'indications diverses permettant de dé-ter-miner I'apitude phyequc ds futurs appeésaux différentes armes, es vue de la meglauierépartition ducentagent. S

Désonnais, dans le but 'd'êt i-enseigie -avctoute pxécis.iôri sur le dé puy-si4ue de jètinea itls les cmrnatd5ns de

5ruemen les interrogeront in4v54tr-tleuntpour s'avoir s'ils pratiquent l'dducation phyiqsieet kntdsorts. S S S S S S

Les relcs StfltfS44iC qtt4 seanif tas-umocsi des indicarMris ainsi seiuil1its eit-lijint de cosapeira.te dveloppeaiiesu phyque -au'.quoi sont pasvelias keeetines gens du contingentsuivant quiis ont eu iren une éducation physiqu,

La Vie rrièr

Jx sr!llres (.'t,'C:S

en persEecîïyeChez ,oa Minaï

ci-: MATIN UNE LWFJULE ALi DJMINUïïO:,i IJL'S SALMm

J'ais, g janvier. Ls Cempagnie il..ii,es du Nord ont fait conr.eitr. ainsiCLU'oIl le sait, qu'elles reprenaient lc'ur 1m-liCité d'action, aucua accord aven Icursonne-1 n'ayant pu être conclu, _ S

Elica viennent de faire ,ffiehrr iansleurs exploitatfon un aris inforrnan 1-euepersonnel qu'à parUr du 14l janvicu cou-saut, et ce jusqu'au er hs'ril prontta-inFçu1i_e première baisse de 2 fr, 1i par jour e_.,iait apphquc-e aux saa1rea drs ctiiIan1t t de 2 fiiuse aux sa a1stejeA or-'yrier; ugé tic moin de i3 ans

A partir du 1er avril prochain, TC C)Iépagirret; r4idluiront dans les môrnea p!Opu,tions les différents salaires cc qu p'irre-;la dhrinution tOii et quotidienn t i -C? fi'ancs. Ajoutons que, par contre r(Iciripité de vie elièt' continueraà Q,lt'u C.loué aux ouvriers mineurs.

S

S CHEZ M. Lt TROQU1LPris, t janvier. -Aprùs-deuaiui, dai\f

l'apiès-mnidi, M. Je Trocquer. niiitsirn destravaux publics e D'anici Vincent. spi-ais1-tre du travail, recevront . nudéjt annoncé, les délégns des niinus'du Nord, qui leur ont deniandé uné ai-.diente pour les entretenir dc la sitpatiorlL

A chaqu-c baisse cia 2 fr. 5Cr corrnspor'8une baisse du/irix dil elmarbon C1C ¶i

5 tonne Au le auil, den IL .h ubCrca et du Pas-tic--Calais aura bais4de !O francs par tonne.

S

Pour concurrencer l'es charbons ajigiaisla baisse devrait atteindre 5 h 20 fancS-par tonne, suivant les endroits, Donc1 ellseumemertt par l'amélioration de Çont-iTlclos naine-s etpar la rduction de divn'-tics qu on pouri 'r aU indre de li ades qu'on purra y arriver, entemps quepar la baisse des sa!sires

Au Transvaal3pliannesbiirg, 9 janvier. .-' Enviroi4

14.000 hommes ont pris part au reï1'cfdum sur l'opporturrit& d'une gt'évo 4'vale do l'industrie nrinhère. Les réuTtai-.ne sont pas encore publiés, mais l'ophigénérale est qu'il t aura une mn-jr}idix contre un pour l baissUéalD-Qidix contre sm en favir-r de la grève.On apprend n dornr heure, que la Fd.

duation mndustime1t hud-kfrLca resercié la rève

S

/1L -i-:-- jLes Wvars rîgsureu

River froid, hIver en1piré? 3n reencore -la question.

Au cours des sièei, II s'est trouva e4hivers Si anormaux, qu'il n'est pasté-i'ét d'en citer qnei-ques-uns. C'est aitiqu'eu l'an iOO et en l'ami 763, l-a Mr -oirfut gelée entièremnsint et qu'en 821 dechariots pes-amnieiit chargés pirr'nt VrTverser le Damilse, l'EiJje et la ejnn péh-dent plus d'un nioisr

r

Des hivers rigoui'eu:v, il y en cuL cj 113en 12&i e-n1281, en 1316, en 1322, en é'nf331. L liv e-r de 140$ fut surnommé tt legrand hiver ». Lb greffier tin ParlementParis. a rapporté sur SeS registres qua iaSaison était si ri'ourer'se qu'il ne lui étafpas possible d'enregistrer es arrôts t cjuj:er'e1e gelait dans sa ptunae dSC troiscli trois mois, i)1a1Té le geand feu qd'rentretenait ontieueh1ement dans Ie cliai'?-bras.

En 4422, I s gela si terriblement, dit uitauteur ancien, qu'en amoinede trais joht.le -vineigne, le vergus geloient- dedans l-celliers et i)efldoieflt 1.55 glaçons èsdes caves )

S Ln vent terrible s'éTaya le 7 octobrô ilei dura près de neuf heures, reiversanides maisons ans neiùbre, à Paris, et- àcampagne uné infinité d'arbres fua'rrut e'-,i;aciiiés. On c?i compte plus de 30f) dan leSeul bois de Vineennea.. La glée eomnsnnrtrle 31 décembre et continua pendant- dons;réels 2! jours.

En i638 et ceci sfest pas une ga1éja,l'eau du port do Marseilie gela -autour de-S- 1ères, et ci-i 1657, à Paris, le pua-t Maii-l:ut cétruit tLV 22 niaisons ednsItuitotle us I 1net de iO9, tesuie Ihiffon ouf'-des miles teilenient désastreuses qrfovtil_M iccait les eilwta sngt-emq rus apri-"On établit aueours de l'hiver de i?Id

b Louidres des boutiques sur la Tamise et24 ans a-près, on construisit, sut' la glacedu flou y e une cuisinière spacieuse dans la-ecIUC1IO on fit s's3tir Un boeuf entier. C'étaitii rqretter le retour du printemps!

La Révolution connut, elle aussi, detempératures d'exception; le 81. d-éreinhre1-7, l thertniniètro l'Ohaervatormarqua LIS degrés au- dasous de zéro o,en: i95, à la faveur des glaces, la cavaleriade Piciiugru fit proilnière la ilotc liol-.iandase. S

Au XJXO siècle -: Si?, la retrailo dc 1i-ecu; iI82O, ois beaucoup de personnes lu-er irt frou t '-'s nirt -de' Ç, oni sur l's ou-.tes; D2D, avec IOE 4egks; -f838, S7O.-S La ginirre SCLLkib-tO SELuveiit pactiser OV-le froid, it not1t neu mppelons encorepain- gelé que IOU5 avens mangé, tandmque levifl se 4é1)itaif. en tranches et- que leeliarhcnfaisait bTTtL4:ii janvier 'I7.

u seuil do li ti'le ann fa';im 1i1Ia ie frGisi iiou laisse en paix 1temps d-e rC5taiircr ns vuine. S

flohert CASTEL' '-cleeCliaies

Londres, Rome. 2,jfiSNew-Yrk, 12,08,50; (euve, 234,25 Brxelles, 9iBerlin, 7 -1/4 ; Heitsade, 444,75; Vienne, O 7J16;Suède, - 302; Nîge. t,M! Roinnanie, 14J,54).

4

-L155Z Ti44)TE3 L1R

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: Nro : ctus tLll QUOTN SOCALJSTE FONAL ., *-images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101...Années - j'Ça et $$ «tNISTRÀTi4 OiLOUS u L I C I T 2 r dzta ru ai 3jrvu d: ø4li

CHAUFFEUR, valet de darnhze, cuisinèbcmes rfrnces demandent pace. Ecr :

nard, Hte1. Faget, Toouse.

E

COMMENT IL EST DETERMINELe ubIic -- et il Faut le dire un

nornbxe co1SeiJJerS municipaux --ignorent cue Je pTiX de I'é1ectricit tfcnction ecte du prix du charbcn ci-tcinuiné paï ta fixation de I'indc co-

ncn:ique S0VL.flis à I'hornokgation dL ï1X

des chabcnz; pcut les centralc ,Icctri-1cs. Conquence : Ie prix cie

gie :hychau1que cnt f'ixs uivnt lesfluctuatioflS des prix des charbors.En d'autres teirnes, quelle que Loit lafaçon dont I'lcctricit est produite, soitpar la houlik blanche, c'est-à-dire parIeau, scit par la houille noire, c'est-à-:itc par le chaThon, scn prix est, à l'heu-ie actuelle fcricticn diiecte dt prix ducharbon.

C'est là une trouvaille ce M. Ciavelle;ancien 1T1inistte ceS travaux publics d.iministère Cemenceau.

Il est intéressant de rapprocher le prhi-ipe i-dessrs ce 1pp1icaton qui cri

Sst faite, et e connaître les consquences ciui en rsuitent.

Pour que notie drnontration ne puiseêtre coflttcVete, nous prendrons les

1agiiments dans le (L Journal Officiek .»(bats parlementaires, Chambre des rie-ptt&s, sance du 30 dccmbre 1921, pa-gcLs 5430 et suivantcs).

Un député cri la Louie, M Ntrcnqui n'eEt pas un ocialiste - dans unvigourelix rquisitore contre la SacitLoirc et Centre, n mis en lurnire, auxapp1aucisements UflaflirieS dc la Chanibre, jes actes sttpfiants c ladite Socié-té. et a denandé au Gouvernemc-nt epeue; tIe wiesures tnergiqr!es centrelCz agssemeflts de prechtctei . ce force.

Dc son disccux si sr'bstantiel et s fort,nes cxtrayCfls les passage3 suivants qui

tttrciit en 1un!re I affjrrriation clic prin-cr>c du prix théorique: de l'électricité

HOMOLOGATION DU PRIXDES CHARBONS POUR

LES CENTRALES E! FCTRIQUESM. Nc2ron. Autre uet de

iii&ontentcrnent. Il a trait la fixationce 1'inclex éconcTiique et à l'honiokga-tion du prix des charbons pour les en-traies électriques. .

Au criur & la 2e éancc du 7 décem-bre dernier, mç,n honorable collègue M.Laudier, qui est, je crcis, maire de Bour-

es a déj attiré. Morieur le ministicvotre attntiOfl sur cette questiCn.

J e suis obligé d'y revenir poir vous si-haièr d:ez faits regrettables, laisse-

raient supposer que vos services n'appOr-tCnt pas tout le soin nécessaire à la dé-

des irrt(rts des consomrnteurs,Comment peut-on, en effet, expliquer,dMonsieur le ministre, crue vcus ayez lais-sé fixer le prix des chaibon, comme jevais l'indicjuer, pour les régions où laCon,ipagnie électiiquri Lciro et Centrerisc de ccirbustible pour la productionpartielle du courant électrique

Montiuçon : I 14 fr. 43 la tonneRoanne : 120 fie. 60 la tcnneSaint-Etierme : 166 fr. 10 la tonne.Permettez-mci de vous le dire, c'est

une véritable monstruosité, étant donruque pour la mme période, vous avez af-fecté au secteur électrique de la Con'r-pagaie du gaz de Lycn, le taux de102 fr. 75. O, tout le monde sait queSaint-Etierne est un centre minier, alorsque Lyrin ne l'est pas.

Coninrnt expliquer que le taux ducharbcri soit fixé par vous, pour Saint-Etienne, avec envircu 55 p. 100 ct'écartcri plus par iapport à Lyon ?

D'autre part, les charbons coutent àSaint-Etenue environ 80 francs la cnneet: non !66 fr. 10. Cornnent expliquercet écart de 100 p. 100 ?

Corr:unt .epliquer par ailleurs'VO;l. eriivez - pcir la Hrut-Lnire, laLoire ctl'Ailier cii, commepar hasard!a Çi :agnie leCticne Lcire et Centrdistiigu de 1 énergie électrique - à unindex éccncrciquc uniforme de 171 fr.r-ior la haute tensic'n et de 219 faancspour la baE -c tenrion, alcrs que le chai-bon qr'i inteyvien. dans l'établissementde cet inc'ex a été fixé, ccnune je l'ai ditplus haut, à 114 fr. 43 pour Montluçon,:\ lzO fr. 60 pour Roanne, à 166 fr. 10pour Saint-Etjenne ? (Très bien ! Trsbien !J

PRIX DE REVIENTDU KILOWAT.HEURE DISTRIBUEA'!. Neron. - !Vkssieurs, il r-

suite d'un obcurnent qui a été produitdevant ic . conseil de péfecture de laJ-iauteLcire pnr le défenseur du syndicatds communeset dont l'exactitude n'a,p:isété contestée par le défenseur de la Ccra-.pagnia que, pour 1919, l'énergie totalehyrnaulique de la Compagnie a té dc69.459.033 kikwats-heure ; t que l'éner-ie totale thçnïique a été de 8.225.585

kilowatts-heureTou.jcur5, d'après le maire document,

le ecût du kikwatt-hèutc, en tenantCOmpte de la prGchtcticrL au,si bien hy-draulique que therniique, a été en 1919dc 0.0322 en usine; et le kilowatt-djstri-4.,ué est revenu la Conipognie, toujorrse1 1919. en tenant CQ1Ypte de tous lesfrais sans exception (frais généraux, dis-ifibution, in'érts des obligations, amor-tirsement, iserv légale, etc., etc. . .) ettel que ce chiffr esort o. bilan mme(k la Compgnie, de 0.0812.

Peur ciuefles. raisons le prix d Yev;ent»eùtil tre rbternz à u taux nu&i faible ?JC estd'ab.d en riuisirL de l'origine du

cutant qui est. Our lCornpagnie iJee-Pqtt. ck itCentc srott

lique, poUr les 9 dixièmes hydraulique,pour I dixième thennique.

C est parce que les usines de la Com-pagnie ccnstruites ipuis longtemps,sont, sauf ècHe de I'Ance, çcniplètemçnta mcrtics . .

PRJx DE VENTEDU KILOWATT-HEURE DISTRIBUE

M. Nrcri . . Vçycns mante'riant quels sont, d'apxs les taiifs dutemps de paix, les prix de ventc del'électticité par la Ccmpanie électriqueLcire et Centie ? Peur la lumire ils sontde 65 centimes en moyenne.

Pour la force motrice ils sont en prin-cipe, à Ssint.-Etienne, de 50 centimesle kilowatt pour les puissances les pIuséievéès.

Les contrats passés entre Ta Campa-gnie Loire et Centre et les concmma-teurs prévoyant tarif dégressif et éta-blissant un minimum de conscmmationM. Néron continue en ces termes

. Pour toutes ces considérationson peut admettre que k prix de ventemoyen de la force mtrice es de20 centimes par applicaticn de I'ensemhie des tarifs du cahier des chargescl' av:ant-guerre. -

L'&art entre Te de revient ce8 centimes 12 et le prix moyen de 20 Cen'timer pour l force motrice et de 65 cen-tin-cs pc'ur la Iumière était donc, semble-t-il, amplement suffisant en tant quenéfice normal,puisqu'il atteint des 200 et500 p. 100 du prix de revient; et cela,je le répètC, Sans aucune augmentation.Or, les augmentations consenties à Saint-Etknne ont coublé le i'ésultat.

Dans la Hau1c-Leire, pcur un prix dcreL)ient identrquc do 8 centimes l2, laCompagnie lectflqtie Lcsirc-ct-CcntrecJsigrzé dccnt le Conseil de Préfectureles commrfles syndiquéç.s pour tenterd obtenir I .80 le k1lotwstt-hure I

Entre 8 centimCs 12 et 1 ,8O, l'écart estsi je ne nie trompe (Cs, dc 2.000p. 100.

M. Victor Constant. .- Ce n'est pasun benéfice illierte cela !

A'!. Nércn. .- Il convicaf de vo us faireremarquer que la Compagnie électrique

_i Centre-et-Loire ne' pouvant, devant leCcnseil de Péfecture de la Haute-Loire;ccinteskr Cet ordre de grandeur, o essayéd'établir que, d'après elle, cet écart n é-tait pas de 2.000 . 100, mais seulementce 1.700 p.IOO. Il me semble que,me pour ce dernier chiffr,..ut commen-taim est superflu. .... .. s

Qu'a répondu le Mini2tle à 1'argumentr.tion de M. Néron ?

. Rien sur le prix de revient de l'électri-cité. ?cius pouvons donc considérer quelts chiffres avancés par ie député c laLoire scnt exacts. Nous n'avons pas laprétcnticn ae conclure que, prr Voie dccnréqU:ence, ces prix doivent nécessai-rem:e9 être ceux Jes ociétés qui explci.tent Iculouse: ct la iégicn. Mais ucuspouvons sans cninte de nous tromper,avancer que ces prix C rapprochçnt sers-siblemctsie cepx auxquIs arrivent lesproducteurs d'électricité qui utilisentpour ies 9 dixines la fcTce hydrauliqueet polu le I dixième la fcrce thermique.LA CONDAMNATION DE L'INDEX

ECONOMIQUEEcoutons I'cpinic'n du Ministre sul' l'in-

jconomiaue et sort apl1cation quantaux prix dc revnt de la force électrique:

M. Yec Le Trocquer, ministre des tra-vaux publics. --- .......Mes collègues ontparlé de 1'incx éccncmique. Cette ques-tien mé i ite d'tre examinée de très prés.EIl remonte, je: vous 1e rappelle, a'mois de septembre 1919.

Ii s'agisrait de c.éfinir les majorationsde tarifs que les productc irs d'énergie

ilîi(qu:e étaierit autorisés perce-vuir u fait dc l'augmentation du prixdu diarbcn, ces matières plernières etce la min-d'uvse. Je reconnais très vo-lcnters que cette circulaire dite des in-ccx éCOflOfliiqUes a prcvcqué des riti-qus.

Je réponds ici à la ciucstion qu'a pcséeM. NÉiic'n.

On cc'nçc'Ç)'index jour les usines f lier-miqties.;c n le coriçc.'it moins poui lCsu:nes hijcfrciuJiques.

Toutefois, dans Ie usines hyctrauligue3comme dans les usines thermiques, il yri de la min-d'oevre. li y en si moins,mais l y en a. D'autre part il y a certai-nes matires premires.

Donc on peut crinecvcir le fcnctionne-ment dtin index économiquernais réduitposr les distributions hydrcélectriques.

Néanmoins, au fll:Ci5 e juillet 192f,j'ai déjà eu soin de préciser, dans uneciroviaire ss'r liJeIlc j'attire l'attentionde mes coilues, que d'une façon éné-raie, je n'admettais pas le jeu de lin-dex éconcmiqc peur les ntrCpriscs dedistribi'tiori d'énergie électrique qui re-courent cxclr.uivenieflt à la force hydrau-hque.

C'était là une règle générale, sous ré-serve dc lexamen es cas d'espace (Tsbien ! T55 bien I)

M. Yves Le Trocauer TIC plaide mrnpn les circonstances atténr'antcs. Il con-dar:ne l'ind économinuc c1e son pré-décesseur M. Claveilk, et il n essayé,prétend-il. d'apporter une atténuationaux ccflséquences désastreuses a dit M.Néron, de n ppiication.

QU'A FAIT NOTRE COMMISSIONEXTRA-MUNICIPALE ?

Ù. si nous revenons à la question quihGus préoccupe Telouse, nous savonsque I

une co'mrnsSOn pnie en ceTio.rssein d'étudir le prix auquel devait êtrelivrée l'électricité aux consc'mmateuls.

Nous rie ccnnairsofls rien des travauxde cette ccrqirisiûn que les prix maximaauxquels elle est .arnivée. Et, coincidencetroublante, ces prix nous les retrouvonsdans fa lettre d'offies de M. Fabre cujcertainement ne ls a pas ccInus en con-sultarit le mdc dc café ou en tirant lescartes.

Miz d'alr'd. ccmmant la commissionextraniunicipalc est-elfe arrivée à obternrccii. prix ? S'est-elle contentée c'apçli-quel' la circulaire Claveille ? S'est-elfeinspirée 1'e la circulaire du 21 juillet 1921à laquelle le ministre des travaux publicsa fait alluicn dans sa répcnse à M. Né-ton, ou a-t-elle agi par rapprocherrentavec les prix pratiqués dans les autresgrands centres et arbitrairement a-t-ellefixé ceux que nous connaissons et qui nesont ps inférieurs, pour J'éclairae à1 .20 le kilowatt-heure ?

LES LACUNES DU RAPPORTjGALIBERT

Le Conseil municipal et le public dol..vent savoir. Or, dans le dossier constituepar M. Galibert aucune pièce des travauxde la copimission extra-municipale ne f i-gure. Pourquoi ? Suffit-il de signaler cete lacune pour qu'elle soit réparée ?

C'est là seconde que nous constatcns.En premier lieu, l'absence de.' rapportdes cervices techniques de la m:airie sula gestion diecte de l'usine. En seccndilicu la copie des rnpports dc la çomnus-

ext:armunisripaIe.Ncus avons lieu de penser que la ccm:

mj5:jOfl extraniunicipale' a respecté la tra-clition cri applicjmnt la formule de l'indcx éCOflCmiqUC Claveille. Nous aurionsain'r& qu'ellc innovât,

L'EAU NE COUTE PAS 'AUSSI CI-1ERQUE LE ÇHARBON

Pcrtr iéxcuc'te lC questions "éIcctri-cité:, la science C?) administrative se coin-p1it à heurter le bon senr. Cette scien-ce (?) dit, en effet : « Le pri xde l'ékc-ticité, quelle qqe soit la façon dont elleest prorite, ert fcnçdon di. prix dUcharbon . Le bon sens rpcnd : «la forte thermique, l est naturel que 'eprix du charbon intervienne, et que' le

iix derevient de cette force subisse' icsfluctuations au prix c charbon. i\lais,poïr ce qui conçerne la fcxce hydrauli-que, i'eau n'i jamas été achetée ritant qu'eau pour les producteurs dt'élec-'tticité, et les entrepries de dirtdbutiond'nerge éiectsique recoufant exclu%i..veinent ou preais' eç1usivenient à laforce hydraulique, deivent tenir compteau consonnrratei.tr c tte charge qu'ilsonten moins s.

Cette questiox est d'une im.pertanceexceptionnelle. En r&alit& en matièieélectniclue, depuis l'établissement de l'in..ccx éeononiiqu;e, le prix de revient de1 élctiicité est un prix de revient « honciue s, alors qu'il serait indispensabled avo. COIT::rrle 'égulateur des prix de'I électricité, un prix de revient «

ploitation peatique )), basé non p'lu surdes iriOicaticns trop souvent fantaisistesdupnix du eharbon, niais sur Une' explci-tation dans laquelle la force hyd:rauliqueexciurivement ou presque exclusivement,serait utilisée.

L'es conséquences de ce pftx Je rcv?cnrégulcCnr sciaient coflsidérables nonsaulem:ant dans qa rigion toulousaine3mais dans le pays tcut entier.

Une occarion unique se pi'ésente,Toulcuse, pour établir ce,,prix d'expici-.tation pratique. Nes édiles le compren-ctront-ils, et profiteront-ils de çette aces-non unique ?

Et Ajnt conamu ?

_ I

Demainjg riscoFis

Restitution dcs Corps es

MIifaires morts pour Ja FrauceHier uad, 9 ianvr, à 13 h. 45, sont ar:%,s

la 5ara d'partemeata1a de Toulouse-Lalande; 25CerCues contenant les corps des mitajes cri-ginares de Toulouse, tornbs au Champ d'h.ui-i1cu.

Une cidégation de la Muncipa1ité est ahe a-auer les dpou1ks morteies de nos gloreax car.-cioyefls ci préscater Icuas fanilies ks rnda-la'nces atttsjées de la ve de Tcixlou.sc,

Lès corps oni ét transférés par le servicc mo-nicpal ds pompes funèbres au dposjtairsp,ai de Texre-Cahade et seront ir.ljui5 ad.-vidudlemcni, après entente avec la £arnj?e.

1'ttentat à la pudeurde la rue du

Un de flus con1rres re)atat aiant-hir'le traitsîcj't - a '1'oiiuusc d"tn 'ioiuinçj tL,hj sincuJp dc vol à J3zier,s, t cii qui 1ajustice voyait l'auteu:' pr(sun1. de l'attn-tat à :i j)U:dellL' 5111' i.ifl iljlCtt:' J' la ruedu Poflt-'ie-'I'ouiijs. Oit se OuvienL que ep 'uii:r inuuip ilans e''tt affar avait 1)t -ii'lici drine oioiiuoiu cl noi lieu.

Mais notre eouïri'e, 1'uur sut Jet(cdiuits t1e N., ckk'IaiIt cj'u'i4 itSit d(jà

ut jiistc 1)01)1' une autr4' &ffiiireditt.teittat à la iiudi" niaja II otibiisi. d'ajou-tri' que . fut itlax duve t le trijnr;fslorrec tionnel.Eu tout cas, la pcite He,

hier avec celui qis'on suppose C'tre le vrtiiauteur de l'attentat, rie l'aii1iit pascoilitu et aiiait >ost, dans af1irtioris.

Lse nysti'o ret dorse enires

Lraud Bazar-RcIame13, inc Alsace-Loi'iaiiie

Aujoui'dhui ina'di 10 et jours suivants,gr'ande mise est vente à notre rayon, à l'in..triCui, d'un ste1c contid'able de faïenceet v&i'i'ei'ie.

Suci'ifli, uii lot: important d'arUeles denI.IiOqe aluminium.

Visiter rias magasins çje vente ; nu ta-g:?, linerie, bonneterie, fourrures3 iara-pluies.

La panne quotidiennehier la Paine quOtidie:rine do trams s'e.t

priicluite avec son hahiLuell'a ponctu'alit,de 17 h. kO h 18 h. 10. Elle n'a siirpris per-suIin.e, car torrt le monde l'attendait, et tÔjles optimistes pi'tendaieirt cpt'elle n'a'rri-verait pas. Mais la compagnie fait bien lese1ioes et n'a lias man:quô de servir à sesfltkles clients le régal d'un petit arrêt do

emj-liei,fl'e. -Voil que Toulouso rivalio sous ce rap-.

port avec quelques autres villes de Franco- rai'es il C:Sti vrai. ,

A aujourd'hui.la proehain

Le Cri tic Toulotise:&ujourd'hui, dans tous les kiosques, 'le

prumier riumdro de la sdi'io nouvelle. For-niaI grand journal ; SjX grandcs,page:s (tedessins et fantaisies cl'actualit ", chroni-(lues liabitueHes de Quassia d'Aamara, deCourdillon et de Piroulel. P r ix &flnitif etinvariabLe : O fr. 40 le nunr'lr. us:qTi'icitout le nion'rfe lisait le Cri rie Toitloun1rintu-rant tout le monde 'aeliètora.

Vol 1c 830 francsUne enquête st ouverte au 2e arrondis-

sement relative au vol d'un s a à )aiUrenfermant la somma de $31 francs, di-vers papiers et objets, commis ce matin,vers O heurres, au bureau dri pesta duGrand Hôtel, rue de Met; au pré,Iudice doMlie Pujade Manie-Claire, empluyie ah Ciitbureau. ,

f

Découverte tl'kItl foettiDans la inatinde dhiar un foetus du sexe

masculin paraissant avoir i niais de gesta-tioji, a dtd ci(COuVert rue du Canal, dansIn canivcau, en face l'inimiah1e portant :13nurnno 155

M. le eommssah'e do pOiC:O dU C ar-rondissemeirt a ouvert une enquête et f attransporter ce foet4ss à la Facultii dii md-ciecine, aux flua d'autopsie.

, .Ae ei4tcn d'u( '

Samlfi derrtier, vers 12 heure, roui " 1

ay9iiiie, a Saiit-?dortin--liui-'1'oueli, l'an-temobilo' 21295-T, conduite par M. LaeGutrire, r1omielié place. d'Asta'ac. à MirondoÇ3eis), a lieiiOk ( icrnm s M Ca agi eAn:dr,d, rentier à Saint_MaTtindu..TOUeh,gd de 41 ans.

ftelexd aussitôt par l'auteur involontairedo l'accicien et par clos voi'sibs, le hleasd aétd reconduit à son domicile par ces der-aines. Un docteur de la loca;litd appcdd erstoute lsLe, a déciard quo les hie r surr:s 'O-(ticS par 1Sf. Cassagne dtaiept sans gravitdet qU(' l'iflCapaCitd de travail serait deqUCI(lOes jouI's seulement.

TrouvaiIkTtduanier - à-Muio Saijathior,, cric Noire-

T)anc', 2, une deisarpa l'ourl'ul'C ; h MUe Pi-que'ai, place Olivier, 4, un ,j:11ii t'hiiiai'rêt; à 1\lme Ldyant, rue des Poicr:s, :32,

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1)11E .'t 'IDUT 1!N(ElI:Nr D'ftDBESSI3L'AMIENNE BAM)E ET ) f,'. 60 POURCOXFEC11O Ut L% ØUVLE. I

PubIictieu de MariagesDu 7 janvier 1922

'Adriax Canasrasre, mécanician, uo d FUel-vCrsité, 1 et Marcdï}e- jarian, ouvrière d'usine, sVirb (Tara).

Gaston Déjen e-m&cyé cornpiii1e du Mrd aToulouso et Mine Ceixec, s. p. è Verfe.il.

Paul Couarsé, peinnse en faïee, s

Tcleane et Louise Dupont, rnixyée des pestes.use jonqulères, 3.

Dube-rnet Vidai, vannier. à Pinsagul, et GissotRaymonde. nie des Mulins.

Lahori Lucien, coiffeur, rue Traversière 1

3r.ianc, 10 et Blanclicu Louise. coriiae, rueTeuinante <le Luppé.

J ean-Lousl Cigiri, cOiffeur, boulcva:d rIa Stias--bourg, 19 et Raymonde Vissirte, coiiieuc, hou-kvard da Straslourg, f9.

Vergez Pacal, -cutristeur. chema -dr Lrc,21 ai Igeur Cypriar, risfuaàre. c}ernn 1n 3u-:5, 23.

Lapuyade Henri, avcs.at, rue Rayrnondé ,

et Grack Denie, rue Mo,rpLdsir. 36.Taillefr Eugène è Riesioros, {Asige), ct Fran-

cine Molinies-, s. p., à Lardenner.Mirarida Jules, rn&aaicien, rta de5 Fenaiaee;

87. ci Marthe Safls, ctem4sièjc, rua des J3a.vcs,Lousi Lavigne, veyngeus de conimerce, rire VO-

cfleuve, 15, et Anas Capdevi!a, cotenesçaek-,routa dc l3alma, 9.

Pirre Caiia-rd, libraire. è Narbonne, et CkitTrou, sp., IUC de Rimusai, 8.

NaissancesDu 7 et S janvier 1922

Luckn Brssières, rue cl'Auricl, 2; MadlineCoste, eue du Tabac, 2; Renée Poutard, euecI'Auric:l, 17 : Jean Carreg, rue de l'Hcmrne-Ar-rflé, fl George-tie Fourastan, rue LigaF,' ses,Amédée Lagasse, Croi,,-taurade ; Redue tadan_le rue Saint-Jean, 3 bis; Pau-1 Boutct, è Londen-ne.

flécèsDu ' et S janvier 1922

Du'ptrz Lor. 77 rue Peyssac, 22: MrrryFdouar:d, 53 ans, s,,o Troy, 9; Cayrou Jean. (9ans, rue Cayrou ; POUrCIDOSY Piexre, 83 erra, -place-Marengo, 3 : Raptariel C'éc-ie, veuve Broc, (t9 ces,rue de Rémusai, 13; Bardalou Françair, 52 ans,lue d'Aquitaine, 3; Lassorre Peul, 55 ans; im-passe Cahuzc, 26; Mcnceiet Pierre, 59 ans, -rueSainte-Jeanne, I ; Facca:rère Bertar,d, 47 ans,route de Bayonne &6, julien Faust, veuve Gal-mettes; 36 al,s, rue du May, 9 Veozart Se-phie.'euve Bonnet, 61 an- , ru teavesièee Berjard, li

Ba:iéiy Barthélemy, veuve, Cazen,- cve, 72 ans.rue du Pont-Mcniaud-:-an, 12; Blanc BaptOte, 55arIa, rue Frizac, 54; Duvios Marie, \'eave Osonsteau, 71 ans. place SainnEtienne, 12; B-ache5n,Ma-igueite, 'i-pouce T'lomas, 60 ans, pa:o BoOoCité Jecauet Gustave, 53 ans, piace 'laoL1 ) ia,1 IDerfcausse, 17 anS, rue SaintMichel, 15 : Mc-rta-:ric'l Phi'liope, 48 ansi iue Caussada, 8.

Hcsnces, 3 ; IlêPiicI militaire, I.

COURONNES IUOHTUA1RESA L'Uh%1O'!tE'ELLE, rue de Ité:niat t

-: ENCASDEI)ECE5

:f Cent toutes 'démarchesS'cdre8ser dire'c!ernelf

AUX P1PE FUNÈES CENEALESQt,zi 'rJcctzr,ent de eovl

ØfUREAUZ &ANS ÔUS LE QtTÇ

FÂtREs ;& -

-J CNEMAS

Lez SociétésChoraLr de Croix-Jisrcdc. Ce so:r,

10 janvier, è B h. 45, répétition patsr le s 1er et 2eténors; vendredi barytoas et basses.

Union Chor0fc -.- Ce ai&, èheures précisrs, répti:on pour 'les roupcs son-.r.eloy-Marengo. Café Laguerre.

Associoticri Tculooafr,c déi A i'dfls Sos-Of-.ç Gnsnd bol, -_ L'assrciat:o. Totd,,-saine .ics Anciens Sous-Of{ciers donnera le di-manche 5 jauvier un grand bal penn'rna à ÏHa11e aux Grains.

Un briln orchestre conviera la Jcuneso joui-losaine aux douces joies des danses anciennes etaux excentricités des danses nou;'ePcs. Rien n'aitd néglié pour faire de cette rurlion une vraicfête de famille.

Prix d'entrée unique : I franc,Ikrrnor,ie dcs Jlnckns Coinb&ann. -__ Répéti-

1io générale ce soir, O janvier, à 2F heures pré-Cises, au siège social, salle Loubet, rue Sainte-Ursule.

Ct'Ç5déaiion 'dcs pritncui-s ..« L"nation1 des exportateurs de fruits léjLirse'r etprimeurs (lont le siège social ei ii Tulouse er-ganise à l'occasion de son asem!,lée générr.r:annue'ie qui aura lieu le sanidi 21 coueSot. è15 h., un raportant congr5s deun è l'édifia-tion d'une Conffdéxation des pr.tnuu3,

Les déltigués profesfionn&ls des gtandr v)lecomme Pa'es, l3rueiles, Lcndre, Rouan 13m-deaux, Lyo», Marii et ceux desexistaflts déjà, Normandic, Or'lSaCaif, Vallés duRhne, Pyrénées-OrientaSes, Lot-ct'Gareurr. eSt.exposeront les justCs ci ioyaies revaaàics%:ons dea cOrporation. MM. Is parlenertta:os mcmbn's

du Comité le patronage; MM, cn1, eejs-merciaux des grands réseaux de chenfi de fer:MM. les dirccteurs ds services agr'oos dipar-ternentaux, ont tr invités à pendre poat auxtracaux de cet important congr, au'ri.icl Sm,tconviés tous ceux que la 4uestias pfles'rs jatirCCSO

THE.ATRE DES VARIETES. Ce sbir mardiè 8 h. :30, le toph1 succès de t'Apct!o dePaiis R&c de VoIre, opérette viennoise en 3actes de Oscar Sirsues, dont la reprise viext d'ob-tenir le melsur aecueO auprès du public Teulen-sain. Demain. rneso:ed, deuxiède seprésenlatonde La Rabouillcusc, pi&e en 4 acres de Emilo Fa-bre, d'après le céibre rontn de H. de Baizac.avecle concours de ?t-l. Henri Tanneur, du Tha-tir Antoine. - - .

Jeudi. Se mAtinée littéraire, conférence par M.J. Marsa, piofesseur è la Falculté des Lances,chevalierde la Légion dhcnr.aur; au pso,gram-rneLe- Rabouilleuse. En soirée Rave do Valse.

Location - ouve-ste pour ces représentatOnS.THEAT1E 13ES NOUVEAUTES. Ce s»ir.

début de Da)bet, le poupulaire diseuT Fiaiç'adans se-n nouveau répertoire qui est de teid pe-inier ordxe, bi» entouré par les Azzonis, seso-baies flegmatiques, Jlowden ads Lady. exee»-triques; les Massan, ductistes. Demiel, t.ii-que: et \'alonsbret. gracieuse diseuse.

C!est la aéic des grands programmes qa .en'.tnue aux--N ouveauté.e.

- GAUMO-PALACE. Apjourd'hti' estinée è3 h .:L' ALiant4e. En soirée. à 8 h. 4e'.L'Orplselt"e ; Le Parc Gorioz t Le Pen 4e.-.Soupirs.

AMERICAN-COS1OCRAPH- AujourdhUè e h. 45. .feo Cufpa, iivCC la regrett St5Z5flGrrsdais; Le ft1'rc dr 'LOs -e4c , .

Le Prix de I'Ekcirîcitê. =

Cômment il est déterminé. - Ce que c'e que " l'indexECOflOk1k!UC "- QU' (ai! notre Commission

inW,iCipaC. Lcs!acunes du rapport Cali!ert

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: Nro : ctus tLll QUOTN SOCALJSTE FONAL ., *-images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B315556101...Années - j'Ça et $$ «tNISTRÀTi4 OiLOUS u L I C I T 2 r dzta ru ai 3jrvu d: ø4li

Lt ( TIO: DES 1tEPA1%:VfIOXSC)1; - Le mins1.es des firianee se

ouL daiis Jnpr-iniili, a 15 heureset ont. ii 1's chuItcis fournis 1ar 1\1..LoueJieir. 1 'acoiU a cotnpleL uais ïesI' to'is à Rtflclre les J1gus aile-

(lui S'1'1 .faii dans la jou r ie dejticçi.

I a deiflÔ cFaute part que la coin-tr . _ gacanties si&gerait Berlin,., . IIouveau: pouvoiis très ôtea-

Li: ViS Orgaui de tellelU'ii fl Inssent pas double cm-x ile la con1mi3ion des rpa-

:a 1 '

. LE RE\IPLAÇANT DE M. IIMIVEY. f1fl1C: M. Harvcy, anibasai1eur deslLtt-Us iL Lorlires ant dan;s lobliga-;tLoii k irl'ei la uhambre pendau deuxUli trorr 'urs, ii o Ct remplacé dans l'a--is-nki aux -dclib'ations du Ctnseil su-

qline r)a _\I. i\iyr'on 11eL1'ick,&le £tus-Unis Poris.

s BJLlUS ALLEMANDS7 .

iroNT ETRE ENTENDUS. - Le conscil supr&me n dc.eid

les ci(idgUs allemands dans'apr's-nnd de mercredi. Eu cou'quenceira t:iee r une a é adressd E Paris.Çi.es digus allemaiici's quiteiit. Paris

ipaedi :uatiii t ciestivatioii de Cannes.

n: DL1 %R1 DC M DOI MER' (;:nis i _- M for mer min 1 t QcS fi-incej quitt. Garnies dans l'a pr.s-inidi

d'hier i 15 Iieufes se rendant ît Paris aflu:1'as 1er à la ioUverLare 4 s ckbats par-1cneuaiees.

J)ns e cas où sa pseiice serait nces-are i Cannes Iii. Doumer revieiclrai( lin-.

nîtdiatement.LA SEANCE DE LUNN 50111

Dans a sanceti1ii:e soir, letprrne dteidt la c1aiicn d'un

L f LT (1 1 ('110' de 1 0U\ 01 dc en-,yccatiop aux divers Etas qui rtie.i1ye-20nt h :' Confrenc.e connmiquz de Gènos.

:i Ç) ( fi 5,'p tint.' T ut pffl'( Ult Ins-)aTt QR le sececitariat de la S. l) N. serMte1iugi t1e ce travail, mais après cii'ussionl t ' iii a1acr taoaduteoL re

lrc: lU;'L i and, en s quflhit] l pi!ent ducn)) suprne u aL(rcss a uui de tous

V

ftiFreice e Ci'e

s

i tcflr ntisy1iijtl co jotIr, zt bt' (u

-- e tbsorbtI.( e tizt' dt OLtS L ijdcç1 syttIiLju

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FEUILLETON DU (( MIDI t

re1L Pil1sIPaul FEVAL

Venir ainsi jusUe sous les fenêtes1e M le Maiqs, ajouta Passepoil.

- COTflbje1 sont-ils ?.Trois, six, huit...Juste autant que no1is.

. Pendant cela, les fojrrageurs faisaientIeui piovisiQfl ttanuuilemeflt. rit et prC-'diguant les gcrges chauc.ès. Ils savaientbicn que les vieix fauconneaux c.e Gaylustaieflt muets dapi.is longtemps.'C'&aient encore des justaucorps de

lb uffle, des feutres belliqueux et de ku-gues apireS; ce beaux jeunes hommespoir la plupart, parmi lesquels cux ou:rois paires de moustaches grises; seule-

r-'ent, is avaient d plus que n.oz prévôts

.1es pistolets à l'arçon de leurs selles.Leur accoutrement n'était du reste

1oint pareil. On reconnaissait cns ce pe-tit escadron les unifGrmes dlabrés de di-'ers corps réguliers. Il y. avai tdeux chas.-

,eud de Brancos, un canonnier de Eiaid1çs, un miquclet d'-e de mcnts

les minisLres les voeux u rtablissemen.tdu Coiioil à M. Rarvy, ainbsacleur çicLIaIs-Unis à Londres.

Le Conisieil n'a pa aehev l'étude de laquestion clos rpai'a;ion. Celte question se-ra de nouveau étudiée aujouuzl'hùi rhardit 7 heures et c'cst h ce metnen là queles ininisLre ii'ierort la sonime défini-tive à demander 1'MîernagrLe jour f922.

(lette somme sei'ait ahêbée dès à rdsenten principe t 720 millions., dout f!kO revieli-tiraient L la Franco.

La eance du (ontel s'est terrnin&i aprèsqu les trois poiut suivai1Ls ont .Mô arré-tés: ;

La question du consorlium est régie.Un accord u pu se faire;

Un coiïiit r er Ireint a'dresse.r les con-\OC1tiOiiS pOUL' la eOflfdroflCO tic Gênes,mais I& ministres avant de quitter Canhe'rcligeront l'orcir du jour de cette eoif-ionco &onomiqie.

l. G'e31. le ouvernemenl italien qui estchargé de l'oranisaUon de cetita conf-rcnqe.

CONTRE-PROFOSITIONS ALLEMANDESCannes. I)ans les milieux officiels de

la Confêience on afimrine que les dlguésaIleinands vont prsenter des eontre'ii'o-1)OSitiOflS quine seront pas aeceptne eu cequi concerne les réparations.

LE BADiOTELEGIAMME dc T.LTCIIERINECannes. - Voici le texe iu radiotélé-

gramme adressé par Titelierin «suDrême :

(( Conseil sunrcene, tnnes.a L gouvernernent russe accepte avec

&a;lifaetion l'invitatirn n la ConférenceéCOnomique pour le finis ÔO mars.

r ]jfl( réuniôn du Comilé exécutif centra!désignera les déIégus changés de se ren-dre à la Conférence.

(C Si le rési(ient du Conseil des commis-saires du peuple retenu par le nombreuxtravaix et notamment par la famine quisévit en Rurir, ne potvait ne joindr àcette délégatior, les clélegués seraient mu-fis de tous les pouvoim nécrssaiios. Rienn'entravera donc de la part do la Russiela bonne marche de la Co'nféiernre. - Si-gué : Titchciinne. »LA REUNION DU (NSE1L DE LA S. ii. N.

Elenève. - Le Const'iI de la Société desNations cmnieenccra demain n:iaidi, à 15heures, &t nouveilo session.

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t 'fL vU - dirt - L de. Preg-j'c$, ?j .

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un vieil arbalétrier qui avait dci h laFronde. Le surplus avait perdu son ca-chet, comme snt les méc)ailles frustes.Le tout pouvait être pris pour une belle etbcnne bande de voleurs de grand che-min . . -

Et, de fait, ces aventutiers. qui secoïaient du nom de volontaires royaux,ne valaient guère nieu que des bandits.

Q uand ils eurent achevé leur besogneet chargé leurs chevawr, ils iemontrcntle chemin charretier. Leur chef, qui étaitun des deux chasseurs de Brancas pertantles galons de brigacier, regarda tout au-tour de ki, et dit

- Par ici, messieurs, voici justementnotre affaire. Il montrnit du doigt le ca-haret de la Pomme d'Adam.

- Bravo ! cri?rent les fcurmgeurs.Mes maîtres, murmura Cocanoasc

junior, je vous conseille de dciocher vosépées.

En un clin d'oeil. tous les ceiniturcns fii-rent rcboudés, et les prévot. d'armes,quittant la fen&re, se mirent autour destables.

Cela sentait la bagarre d'une licne.Frère Passepoil souriait paisiblement -ousses trois poils cie mcustache.

- Nous disions donc, conimenç Cocardasse afin de faire bcnne contenaricque le meileurmcyen de tenir la rç.ca uli prevot giuci en c qut e0t tOu)Odrfont d ingereux Au mGme'it p'ai'ure1-t

le Traite Francon1aisLE PACTE DE GARA-N TIES

FRANCO-ANGLAIS

Çanries. - Le pacte de garanties françoan-lais a été définitivement accepté dans I apr-

inidi d'hier par vI. Lice-d Geore.LA GRNNDE-BRETAGNE EST SEULE

ENGAGEECannes. - Ou affirme que le pacte de gar

tics franço-anglais engage seniement la Grande-Bretagne et non les Dominions.

M. Uoyd Corge en approuvant le texte dispacte de garantie aurait déclaré i M. Briand uedans de telles conditions ilespérsit que la Fran-ce reviendrait sur sa décision première en ce quiconcerne les sous-marins puisque la flotte britan-iicfue était piête maintenant li lui donner tout

50 aPUi dans le cas d'un conflit.

Léninè ira à GènesParis. - Le correspcdnnt de lApence For

ner té6graphic de Cannes que Lenine vient dctaire savc,ir au Conseti stiprême qu'il acepaitlnvitation qu lui avat été achessée et que selontoute probalités il se readrait Genes pour assis-ter aux dé1bats de la Cosciérence Economique.

Dans son message Lénine ajoute que dans lecas oi les affa5res intéricûres de Russie, et no.taituicnt la famine le mettraient dans limposci-

iiité de se déplacer, il délaguerait à Genes, dchautes peronnahités, munies de pleins pouvoirs.

Une interpellation de M. EhrlichParis. - M. Ehrlich, dépuié vint de déposr

une demande d'interpellation sur la politiqucu :iugouvercenienit à 'égar.d de la Russie.

J, (10 ll' p;is

pfsidtllE dC !1 t{pI1bllt1li rj!sC[cadres. - Les extrmiste.s irlandais ont es-

rayé de nouveau dans I'après midi de lsndi defaire annuler le traité de paix intevenu cntceh'Agleterre et Firiande, le correspondant de l'A-gence Fourni.er apprend en effet qua lorsque ¶de Va1ra eut présenté au Parlement Iriandz.issa démission dé président de la République, p.u-sieurs extrémistes demaadarent quil soit pwcédé li sa réelection.

Apras une longue discussion. le Par1emntIrlandais procéda à un vote. M. de Valra ntfut par réélu président car I lui manqua dewvoix.

Dans le cas oi il aurait été réélu, le traité dapaiK ango Irlandais aurait été considéré ccminenui- -.-.

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Enin en nous faisant parvenir le montant de1 abonnement jusquau 31 décembre 1922, nouedésigner les titres de cinq volumes.

.- '-esplusieurs maraudeurs dont le visage barbu.se mcntra à la porte; 1 auberge est pleineenfants

- Il faut la vider, répcidirent ceuxqui le suivaient.

C'était simple, c'était logique. Le chef,qui se nommait Garrigue, n eut pcintd objections à faine. Ils descencirent tousde cheval, et attachèrent effrontementleurs montures chm-gée.s de foin aux an-neaux qui étaient au mur du cabaret.

Jusque-lit, nos prévôts nàavaieflt pasbougé.

Çt ! dit Garrigue en entrant le pre-fluer, qu'on déguerpisse, et vite ! il n yr place ici que pcur les volcntaires durci.

on ne répondit pcint. Cocorciasse setourna seulement vers les siens, et mur-mura

-- Dc la tenue, enfants ! Ne nous em-.- lIolà I fit en ce moment le chef 0es

portons pas, et faisons danser en mesurem,scleurs les volontaires du roi.

Les gens de Garrigue encombraient dél-là la porte.

* Eh bien ! fit celui-ci, que vous at-cndit?- - Priez-les it le canonnier de Flan-

dres, de passer par ie fenêtres.Ennên,e tcmps ilprit le verre plein de

Ccicerdasse, et le IrrIta à ses Rvres.Çais-igue disait ccpendant :- V-Us p- rre rustres,

r-LA FEDERATION DES SERVICES

La Banca ta1aà di Scontorouvre ses succursalas

Rome. - A la suite du jgernent rendti par letrtbunai la direction de la Banca Italiana di Scort:to vient d'ordoner è toutes ses succufeales dereouvrir heurs poilas et de ppursnivre les opéca-tiens de venie et dachat de titrs

CA ET LADES TANKS AU MAROC ESPAGNOL

, Madrid, 9janvier. -,.- On.ipande.de Mélilla quadans la matinée de dimanche commencé le dé-barquernent de six tanks accomparnés de leurséquipages. Ces chars d'asaut vont participer àl'action ofenuiva ue les troupes espagnoles vontepérer clàns la région de Me!ila. Dans l'apras-midi de dimanche, e générai Sanjurjo, accom-pagné de son état-major, a visité longuement lespostes aVanCés

- .

CHANGE?vIENT DIPLOMATIQUE- Paris. Dafis Is rnilii5 diplomatiques de Parison affirme que le comte Boniri Longare ne vapas rester ambassadeur d'italie ii Paris. Il seraxemplacé à brève échéance par le comte 3froza.

D'autre part, notre ambassadeur à Rcm, M.Barrère changerait également de poste.

LE DEPART DF. LA DELECATION.

ALLEMANDE

Berlin. * La délégation allemande n qutftiBerlin dans l'apris-micli de lundi à 4 heuresLes d&iégias sont. munis de pleins pouvoirs etdes documents nécessaires pour pouvoir répondrea routes les questions posées.

. LE CONGRES DE LIEGE

Liège. - A la séance de ce matin du congr3des cherninois français, on n entendu succest-vernant plusieurs ispporis sur la eévision dessalaires, sur le reièvsinent des indemnités de ré-sidence sur la mise à la retraite à 60 ans, surla nomination dè spécialistes dans Ira servicestechniques. Des voeux ont été approuvés dansce sens,

LE CONGRES DES CHEMINOTSREFORMISTES

Paris. - La Fd.dération clos cheminots réforflistes dont le secréaire générai est Montagne. et

qui demeure la seule affiliée à la C. G.T. a décdé de tenir son coarès général du 13 au 20annee. .

'Les cheminots exinmistes ayant appels cetteflouveile oiit décidr dom. 1yrr tous ies moyenspour ernpécherlc cçrs d'avoir lieu.

g

SUCCES .GB'i';NU

ABONNEMENTS

Trois mois r 12 francsSix mais : 24 francsUn an : 45 francs.N.-B. - Joindre au montani de l'aixinnomant,

pour les frais de port et d'ainbaliagee Ir. 75 pour i'COVOi de I volumeI fi. 20 pour .Fenvoi de 2 volumes2 fr. 20 rour l'envoi d volumes.

En outre, pour manifester noiSe reconnaissance1 tous les aims du s Micb Socialiste s, corre.e-

pondants. collaborateurs, dépositaires. lecteurs.inilitanta des groupements. associations, syndi.cats, ace aux dévouements desquels le acm-bec de nos abonnés ne cesse de s'accroitre, noirsleur réservons les mêmes avantagea pour tous lesnouveaux abonéa qu'ils nous adresserons d'icile 15m janvier.

C'est dire qua dans ce cas la prime sera dou-bic puisqu'elle sera envoyée au nouvel abonneen même temps qu'à celui de nos amis qui noirsaura adressé l'adhésion do CO1Ut-Ci avec le mon-tant de l'abonnement. Il n'aura sa charge queles frais de port et 'l'embalL*ga iu&qués plushaut. -

qie ncus avons besoin de vos brocs, deVOS tables et ce vos escabelles ?- As pas pur ! fit Cocardasse p-rmor,nous allons vous doner tcut cela, mesmi gncns .

li écrasa le broc sur la tête du cancn-nier, tandis que frère PassepoIl envryaitsa lource escabelle dans la poitrine deGarri gue .

Les seize flamberges furent au vent aumême instant. C'itaient tous gens d ar-nieS solides, brss et batailleurs pargcfit. Ils allaient avec ensemble et debort coeur.

on entendait le ténor Cocardasse do-miner le tumulte par sen juron favori.

Vivadiou ! scivez-les ! servez-les t

disait-il.A quoi Garrigue et les siens répcnc-

rent en chargeant tête baissée,.-- En avant ! Lngatdère ! LagardèreCe ut un coup de théâtre. ocarcasse

et Passepoil, qui étaient au premier rang,reculèrent, et mirent la table massive en-ne les deux armées; .

As pas pur I s'écria ie gascon ; basles armes partout !

Il avait déjà trois ou quatre volcrrtai-res fort maltraités. L assaut ne leur avaitpoint réussi, et ils ne voyaient que trop0ésormais à qui ils avaient affaire.

Qu'ave:z-vcus dit là ? repritfrre Pas-sepcil dont la vcix.trernblait 4'émQtic'n.q,i'ayez-v.sjsdit- I

t

DE SANTParis. '-. La F'éduiaticn des services de srt

vient de décidsr. que tous sés mrml,res ou ro1 cs syndicats qui ne seraient pas rad:tSsC. G. T. de la rue Lafayette sCrait rachs dses livres.

. DEMISSION DU CABINET IRLANDAISLondres. - M. de Valéra a présenté clans La

matinée d'hier au parlement Irlandais la dr3.sion du Cabinet ainsi que la sienne.

MORT DE M. BULOTPn:ris. - M. Bulot, procureur gén&ial qui osn,

mc on le sait avait été. victime il yjours d'un accident d'utcrnobie est mart hrà I'H.lpital Beaujon cira suites de ses blessnres

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Le mercredi 18 janvier 1922, 13 h. 30,des Lois, 25, des nantissements dont Ios roosu.naissances portent es dates des mois de avrdmai, jiur], juillet i913 antécieurs.

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SCcialistes, syndicalistes, ouvriers et payseni,tous à l'oeuvre pour nous aider à la dîufusion d4votre journal : LE MIDI SOCIALISTE.

LISTE DES OUYiGES(nilotIa Nol!, par Borys Daniel,La Nuit (lu (biome, pat Corrard.&nohiiicI. )ar Cotiturïer,L'AvdHtuI'e piés'clentieile, par Gaiitrs, tL'txanteI1, pat I's et Ibels.Les Faux Dieux, par (ifil Mary.Au Pays de Lilierté, par Mrszarte,I_a Guerre universelle, iar Niémuann.Citez lcs liifldoklS, par -L, Queneduy,POiitts dc ue feniquis, rar Pinte Utuia

La succàs obtenu par ces primer n d$pasénos prévisions. . A lhure actuel, d-oeoi on-'rages sort ceplètement épuisés, et notre hiha

se trouve réduite aux dix tItres anr,oncés plushaut.

Qne ceux do nos ams qui veulent en profiter.5e hatent de s'abonnei ou de se réabonner d'icile 8 janvier ; qu'ils 'nons passent un nouvetabonné pour profiter de la nouvelle prime,

Q ire ceux qui ont reçu ces bales primos lesmontrent à leurs amis pour encourager leur abon'nement au s Midi Sociahite s.

Rappelons que ces volumes reliés toile sansvendus 5 francs en hibraire. C'est un vrai cadeaufait à nos bnés de 1922.

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Les autres pnévts murmucaient et ri-saient :

Nous allions. les manger commemauviettes I

- La paix I fit Cccardasse avec auto.rite. .

Et s'adressant aux volontaires ensarroi : . -

- Répondez franc, dit-il, pourquoiavez-vous crié Lagancière ?

- Parce que Lgardère est notre chaf,répondit (iariigue.

- Le chevalier Henni de Lagaracre ?- Oui.Nc-tre petit Parisien ! notre bijou I

roulcula frère PassepGil qui avait dàl'oeil humide.

Un jntant, fit Cocardasse ; pas delu)ét)nise t .

Nous VOfls laiss Lagardrchevau-léger du cotps.

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