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Musée du Châteaudes ducs de Wurtemberg
arcoursPdu Paléolithique
de la galerie Cuvierà la galerie archéologique
réhistoire
au Néolithique
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D’un point de vue chronologique, la Préhistoire est de loin la plus longue des trois étapes de l’aventure humaine.
La période préhistorique débute généralement avec l’apparition de l’Hom-me et s’achève par la naissance de l’écriture. Elle se divise en trois laps de temps, dont les limites varient selon les découvertes des scientifiques à tra-vers le monde. Elles se définissent néanmoins par l’apparition et l’évolution des outils. On parle alors de Paléolithique (pierre ancienne), Épipaléolithi-que et/ou Mésolithique (pierre moyenne) et Néolithique (nouvelle pierre).
Le mot préhistoire se décompose en deux termes : pré, qui signifie avant ou devant, et histoire, dont on retiendra la définition suivante : récit de ce que l’on a appris. En effet, la distinction entre l’histoire et la préhistoire se fait avant tout grâce aux premiers témoignages écrits.
Ce livret est conçu pour suivre un parcours à travers les collections perma-nentes, et découvrir la Préhistoire grâce au patrimoine régional.
Salle CuvierSalle
Évolutionbiologique
SallePaléontologie
régionale
Antiquité Âgedes métaux
Paléolithique
MésolithiqueNéo-lithique
PaléolithiqueMésolithiqueNéolithique
Préhistoire =
Qu’est-ce quela Préhistoire ?
O
PRÉHISTOIRE ÂGE DESMÉTAUX HISTOIRE
De la galerie Cuvierà la galerie archéologique
Plan des salles
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De nos jours, les paléontologues étudient toutes les formes de vie qui se sont fossilisées au cours de l’histoire de la Terre. Pour cela ils comparent les caractéristiques internes et externes des corps de différentes espèces actuel-les et passées, grâce à la théorie de l’Anatomie Comparée. Cette pratique a été fondée avec rigueur par Georges Cuvier, célèbre scientifique montbé-liardais du début du xixe siècle.
Cette méthode de travail permet aux scientifiques de trier, ranger, classer par groupes les êtres vivants actuels et disparus. Elle permet alors de mieux comprendre leurs liens de parenté et l’évolution de leurs corps au cours des temps géologiques.
Afin d’expérimenter cette théorie, retrouve dans l’armoire près de l’entrée la planche de dessin de Cuvier intitulée « Pieds de derrière de mammifères ». Puis, comme le scientifique, observe ci-dessous les pattes arrière de chaque animal et colorie de la même couleur les os qui sont identiques.
Comment étudierles êtres vivants du passé ?
Salle Cuvier
homme cheval rhinocéros laineux
Face à l’entrée, des reconstitutions du faciès de nos ancêtres sont présen-tées, des plus récents (à gauche) aux plus anciens (à droite). Elles permettent d’avoir une image plus concrète des membres de la famille des « singes » bipèdes, dont nous faisons partie. À proximité, les moulages de leurs crânes fossilisés sont disposés sur une des branches de notre arbre généalogique. Chacune d’entre elles correspond à un groupe d’individus.
Comparonsnos ancêtres préhistoriques
Salle Évolution biologique
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Groupe Homo sapiensVolume crânien : 1 350 cm3
Lieu(x) de vie : Afrique et Proche-Orient puis MondePériode : –200 000 ans à ......................................................................................Caractéristiques : face plane, .....................................................................................................................................................................................................................................................
Groupe Homo neandertalensisVolume crânien : 1500 à 1700 cm3
Lieu(x) de vie : ..........................................................................................................................Période : ……………………………………………………………… à –32 000 ansCaractéristiques : bourrelet au-dessus des orbites,.............................................................................................................................................................................
En t’aidant des schémas ci-contre et de ton reflet dans le miroir sur l’arbre, complète les fiches d’identité ci-des-sous des individus issus des groupes Homo neandertalensis et Homo sa-piens. Compare ensuite leurs lieux et périodes de vie, ainsi que les caracté-ristiques de leurs crânes.
Bourrelet sus-orbitaire
GorilleVolume crânien :350 cm3
Mâchoirevers l’avant
Homme moderneVolume crânien :1 350 cm3
Face plane
FicHes identités
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Forêt équatorialede Ronchamp(-367 M.A.)
Ichtyosaurede Noirefontaine(-180 M.A.)
Dinosaurede Plaimbois-du-Miroir(-150 M.A.)
Poissonsde Froidefontaine(-30 M.A.)
Formation de la Terre(-4,5 milliards d'années)
Apparition de la vie(-3,7 milliards d'années)
-542 millions d'années (M.A.)-542 millions d'années (M.A.)
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-251 M.A.-251 M.A.
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Plantes terrestresVertébrés terrestres
Reptiles
Oiseaux
Singes bipèdes
Mammifères
Romain-la-Roche(-160 000 à -50 000)
Gonvillars(-7 000 à - 750)
Mont-Vaudois(-6 000 à -2 500)
Gondenans-les-Moulins(-50 000 à -20 000)
Rochedane(-12 500 à -8 000)
Bavans(-10 000 à -6 600)
Santoche(-5 000à Gallo-romain)
Animaux
Outils
Poterie
Funéraire (mort)
sallesévolution biologiqueet Paléontologierégionale
Part infime de l'histoire de l'humain qui s'inscrit dans celle de notre planète, puisqu'il résulte des évolu-tions de la vie sur terre.
-2, 1 M.A. -1, 9 M.A.-2, 5 M.A. -400 000 -300 000 -70 000 -35 000 -12 500 -5 500 -2 000 0
Alternance de périodes glaciaires et tempérées
céramique
pierre polie
agriculture
Période de réchauffement Climat tempéré
domestication du feuchopper
biface inhumationsagaie et propulseur grottes ornées
chasse à l'arc
microlithes
Homo habilis Homo erectus Homo sapiens
Paléolithique NéolithiqueMésolithique
Âgesdesmétaux
Pliocène Pléistocène - Holocène
Des temps géologiquesaux temps humains
Profil de l’échelle en cubes des temps géologiques
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TERRITOIREDE BELFORT
DOUBS
JURA
SUISSE
HAUTE-SAÔNE
ALLEMAGNE
BELFORT
MONTBÉLIARD
PORRENTRUY
PONT-DE-ROIDEBAUME-LES-DAMES
BESANÇON
LA-CHAUX-DE-FONDS
PONTARLIER
NEUCHÂTEL
FRIBOURG
CHAMPAGNOLELONS-LE-SAUNIER
BÂLE
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ZURICH
LUCERNE
HÉRICOURT
Mont-VaudoisBrevilliers
Gonvillars
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BavansBeaucourt
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Gondenansles-Moulins
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VergranneSantoche
Villars-sous-DampjouxVillars-lès-Blamont
Montandon
Saint-Hippolyte
Locras
Latringen
Estavayer-le-Lac
Horgen
Robenhausen
Œfeli
Niederwil
Schafis
Auvernier
Vauclusotte
Bretonvillers
de Franche-Comté et de Suisse
et archéologiques préhistoriques
des collections exposées et/ou en réserves
Sites paléontologiques
Animaux
Outils
Poterie
Homme
Funéraire (mort)
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Il y a 160 000 ans…Voici les os et sque-lettes fossilisés des grands mammifè-res retrouvés dans l’aven de Romain-
la-Roche (Doubs) : ours des ca-vernes, mammouths, rhinocéros laineux, rennes, aurochs et bi-sons des steppes.
Il y a 25 000 ans… Voici les os fossilisés des ours de la grotte de Gondenans-les-Moulins (Doubs), os d’adultes et d’un bébé ours.
Il y a 12 500 ans… Voici l’abri-sous-roche de Rochedane (Villars-sous-Dampjoux, Doubs) montrant l’organisation d’un habitat et ses espaces de vie à partir de différents matériels archéologiques : ossements, armatures de flèches, burins et grattoirs, galets peints et gravés.
Salle MésolithiqueSalle Paléolithique
L’aventure préhistoriquedans la vallée du Doubs
Il y a 10 000 ans… Voici l’abri-sous-roche de Bavans (Doubs) occupé de façon répétée et semi-permanente à la belle saison. Les foyers semblent avoir été dé-diés aux activités de fabrication de l’outillage, comme le montrent les armatures de flèches en trapèze ou à pointe triangulaire, dénommées « pointes de Bavans » et qui font ré-férence dans le monde scientifique.
du Paléolithique au MésolithiqueL’homme fait évoluer ses techniques de chasse et passe de « charognard » à chas-seur à l’arc. Ce nomade, devenu « chasseur-cueilleur », suit le grand gibier en s’abri-tant dans des abris temporaires.
« Pointes de Bavans » retrouvées dans les fouilles menées de 1977 à 1987 par Gérard Aimé, archéologue bénévole, la découverte du site datant de 1905.
Évocation à partir des fouillesréalisées dans les années 1960-1970
par le Spéléo-club préhistoriquedu Pays de Montbéliard,
sous la direction de Pierre Mora, puis d’André Thévenin, archéologues.
Diorama illustrant les fouilles entreprises sur le site entre 1936 et 1955 par Stephan Bröckelmann, du musée cantonal de Bâle.
Diorama illustrant le site et son contexte de découverte lors des fouilles réalisées en 1980 par les bénévoles de l’association Archéo-Faune comtoise.
De -160 000 à -7 000 ans
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Il y a 6 000 ans… Voici le camp du Mont-Vaudois (Haute-Saône), caractéristique d’un des premiers habitats fortifiés et regroupés, en hauteur.
Il y a 7 000 ans… Voici l’abri-sous-roche de Baume de Gonvillars (Haute-Saône) montrant l’organisation d’un habitat et ses espaces de vie à partir de différents matériels archéologiques : ossements, armatures de flèches, lames de haches polies, objets de conservation et de fabri-cation de la farine.
Il y a 5 000 ans… Voici le dolmen de Santoche (Doubs), sépulture collective monumen-tale figurée par une maquette montrant une cérémonie funéraire.
Salle Néolithique
L’aventure préhistoriquedans la vallée du Doubs
Au NéolithiqueLes « chasseurs-cueilleurs » se sédentarisent : premiers habitats groupés, mais tou-jours sous abris pour la chasse itinérante.Ce mode de vie fait évoluer et apparaître de nouveaux outils : hache et faux, pour le défrichement des terrains (zones d’habitation, élevage et agriculture), et céramique, pour la cuisson et la conservation.
Maquette figurant le sitedécouvert en 1876 par M. Voulot, membre de laSociété d’Émulationde Montbéliard.
De -7 000 à -2 000 ans.
Évocation à partir des fouillés réalisées entre 1961 et 1966 sous la direction de Jean Pierre Millotte, archéologue.
Site fouillé en 1969par une équipe dirigéepar Jean-François Piningreet Pierre Pétrequin,archéologues.
Salle Néolithique
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Le site paléontologique de Romain-la-Roche est constitué d’un aven de plus de 12 mètres de profondeur dans un plateau calcaire.Ce gouffre relié à une cavité souterraine a été rempli par des effondrements, de la terre, des cailloux et des restes archéologiques et paléontologiques.
- 50 000 ans- 160 000 ans
Schéma de la coupe stratigraphiquede l’aven de Romain-la-RocheExtrait de la revue B. T., magazine documentairede février 1997, n° 1085.
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Formation de l’aven : agrandissement des fissurespar l’eau de pluie,formation d’une grotte et effondrement du plafond.
Piège naturel pourles grands mammifères(couches VIII).
Accumulation de cadavresd’animaux apportéspar l’eau. L’hommede Néandertal descend dans l’aven pour prélever de la viande et de la peau(couches VI-VII).
Occupation temporairede l’abri par l’hommede Néandertal, en périodede chasse (couche V).
Reconstitution avec défense de mammouthet partie arrière du squelette d’un rhinocéros
Reconstitutionavec lion des cavernes
Aven de Romain-la-RocheSalle Paléolithique
- 160 000 ans
- 50 000 ans
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Les animaux préhistoriques du site paléontologique de Romain-la-Roche sont représentés par plus de 20 000 restes de squelettes et plus précisé-ment par plus de 63 espèces, majoritairement des rongeurs, des mammi-fères carnivores et insectivores et des ongulés. Quelques espèces d’oiseaux, de reptiles, d’amphibiens, de poissons, ainsi que des gastéropodes et quel-ques mammouths ont également été retrouvés.
Dans le diorama de fouilles présentant le site, retrouve le squelette quasi entier d’un rhinocéros laineux femelle en t’aidant des illustrations. Relie les parties du corps de l’animal nommées ci-dessous à la photographie.
Parties du corps de l’animal : crâne, colonne vertébrale, pattes avant.
La variété des espèces suppose des animaux adaptés à un environnement entre steppe froide et forêts principalement de conifères. Associe le rhinocéros laineux et le blaireau, dont les restes ont été découverts à Romain-la-Roche, avec l’envi-ronnement lui correspondant.
Un de ces animaux ne vit plus actuellement en Franche-Comté. Lequel ?
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En effet, voici environ 10 000 ans, le climat terrestre est alors marqué par une végétation moins ouverte et des forêts mixtes. Les animaux ont donc également changé, migré, voir disparu.
Les animaux préhistoriquesde Romain-la-Roche
Salle Paléolithique
Reconstitution d’un rhinocéros laineuxpar la société Ophys (Lot-et-Garonne)
Blaireau naturaliséCollection musées de Montbéliard
Forêt de conifères Steppe froide
Atlas Ostéologique des mammifères, II Herbivores, de L. Pales et M.A. Garcia, Édition du C.N.R.S., Paris, 1981.
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Un abri-sous-roche ou baume est une caverne peu profonde dans un ver-sant raide d’une élévation rocheuse. Il est souvent le résultat de l’action du gel. En Franche-Comté, au Mésolithique et Néolithique, ces structures na-turelles servent souvent d’habitats temporaires et s’organisent principale-ment autour des activités culinaires, d’échange et de confort, la fabrication d’objets et la création.
Entoure et numérote sur les photos ci-contre les objets qui se différencient d’un site à l’autre. Indique ci-dessous, pour chacun d’entre-eux, leur nom, leur fonction et leur matériau.
Les abris-sous-rochede Rochedane et Gonvillars
Salle Mesolithique et Néolithique
Rochedane Gonvillars
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Évocation de l’abri-sous-roche de Rochedane - 12 500 à - 8 000 ans
Évocation de l’abri-sous-roche de Gonvillars - 7 000 à - 5 500 ans
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Au Néolithique, en Europe occidentale et centrale apparais-sent d’imposantes constructions pour abriter les morts d’une collectivité. Ce sont des « Tumuli » et des Dolmens, figurés sur les maquettes présentant les sites de Santoche et du Mont-Vaudois.
Des demeures vers la mortà Santoche et au Mont-Vaudois
Salle Néolithique
Représentation du dolmensur la maquette du site de Santoche
Représentation du « tumulus » sur la maquette du site du Mont-Vaudois.Il est entouré en rouge sur la photographie.
Hypothèse de restitution du premier état du dolmen de Santoche à la fin du ive millénaire av. J.-C.
Dolmen : monument en tables de pierre, couvert pratiquement toujours par un tumulus, dont l’accès est plus ou moins dallé. Il peut accueillir jusqu’à plusieurs dizaines de dépouilles.
Mont-Vaudois
Tumulus : monument de terre (tertre) ou de pierre (cairn), arrondi ou ovalaire, à une ou plusieurs sépultures. Son usage se prolonge jusqu’aux périodes historiques. Regroupé en grand nombre, il peut former une nécropole.
Une ouverture semi-circulaire a été taillée et polie dans la dalle frontale. Ce « hublot » a été interprété par les archéologues comme moyen de com-munication entre le monde des vi-vants et des morts. Les vivants dépo-sent les morts, à l’état de cadavres ou d’ossements, retirent certains d’entre eux (sélection des crânes ou os longs, rangement, nettoyage du sépulcre) et les enterrent à proximité. La sélec-tion n’est pas toujours liée à une hié-rarchie sociale mais à une répartition de classes d’âge ou de sexes.
Santoche
Extrait de l’itinéraire n°270 aux Éditions du Patrimoine, La Franche-Comté des dolmens. Sépultures collectives des ive et iiie millénaires av. J.-C. Doubs – Haute-Saône, Passard et Urlacher dir. : Passard (F.), Urlacher (J.-P.), Piningre (J.-F.), Richard (A.),
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Service éducatif et culturel
Châtel DevantCour du château - 25200 Montbéliard
Muséum Cuvier - Histoire NaturelleThierry Malvesy,responsable des collectionssciences naturellesTél. 03 81 99 23 [email protected]
Cellule d’Archéologie Urbaine -ArchéologieHélène Grimaud,archéologueTél. 03 81 99 23 [email protected]
Aurélie Dénoue,responsable des publics histoire naturelleet archéologieTél. 03 81 99 21 [email protected]
Sylvie Biron,responsable des publics art et histoireTél. 03 81 99 23 [email protected]
Centres de conservation
LexiqueArchéologie : science de l’ancien, des vestiges lais-sés par l’homme depuis la Préhistoire.
Bipède : qui marche sur deux pieds.
Crâne : ensemble des os de la tête.
Fossile : reste, trace ou moulage naturel d’orga-nisme conservé dans des sédiments.
Géologie : science comprenant l’étude des parties de la Terre.
Paléontologie : science des êtres vivants ayant existé au cours des temps géologiques, et qui est fondée sur l’étude des fossiles.
Sépulture : lieu où ont été déposés volontairement les restes d’un ou plusieurs individus décédés.
Stratigraphie : science qui étudie la succession des dépôts sédimentaires, généralement arrangés en couche.
Rédaction : Aurélie Dénoue, chargée des publicsConception graphique : Atelier Gaia - Élisabeth FuhrerPhotographies : Samuel Carnovali
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Musée du Châteaudes ducs de WurtembergCour du château - 25200 MontbéliardTél : 03 81 99 22 [email protected]