Pays Basque-Béarn-Sud des Landes Numéro 4 Gratuit

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PlanètePlanète

PartenairePartenaireSurfriderSurfrider

Vos trucs et astucesVos recettes bios

Vos jeux

BixenteBixenteLizarazuLizarazu

InterviewInterviewexclusiveexclusive

MonMon jardin bio jardin bioPlanète JardinPlanète Jardin

Beauté bio Beauté bio et grossesseet grossesse

Planète BeautéPlanète Beauté

Crédit d’impôts ce qui change en 2010

Planète News Planète News

Les médecines Les médecines doucesdouces

Planète SantéPlanète Santé

PPP

L’ L’énergie fossileénergie fossile une ressource limitée

Planète Société Planète Société

Les panneauxLes panneauxsolairessolaires

Planète HabitatPlanète Habitat

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Édito

Le Printemps est là et avec lui de belles promesses de journées enso-

leillées pour l’énergie de notre maison, les légumes de notre potager ou

encore nos grands projets de nettoyage !

Nettoyage qui peut, (et doit !) s’étendre jusqu’à nos plages grâce aux

Initiatives Océanes de Surfrider qui organise régulièrement des net-

toyages et collectes de déchets sur nos belles plages du Sud Ouest.

C’est à cette occasion que nous avons pu rencontrer Bixente Lizarazu,

fervent protecteur de sa région et membre d’honneur actif de Surfrider. Il

nous a donné son point de vue sur l’environnement mais aussi parlé de

son action écologique au travers de son association « Liza, pour une mer

en bleus » et également de son actualité.

Cette quatrième édition de Planète EKOLOGIE célèbre donc l’arrivée des

beaux jours, mais aussi le renouveau qu’apporte cette saison. La richesse

de la nature à cette période de l’année est à son paroxysme et nous avons

à cœur de la protéger. Pour ce faire, Planète EKOLOGIE rassemble encore

plus de conseils, d’informations dans vos rubriques favorites et vous per-

met, en fin de magazine, de retrouver l’ensemble des annonceurs. Cet

annuaire est le condensé des coordonnées et des publicités présentes

dans Planète EKOLOGIE et vous permettra facilement de contacter votre

prestataire écologique local.

Bonne lecture !

Planète Ekologie

Planète EkologieDistribué dans plus de 300 dépôtsPays Basque, Béarn, Sud des Landes

Planète Ekologie est réalisé par la SARL BAB’S Éditions

21, quartier Amotz64310 Saint-Pée -sur-Nivelle

www.babs-editions.frcontact@babs-editions.fr

05 59 23 25 92

Directeur de Publication et Rédacteur en Chef

Christopher George

Rédacteur Adjoint et MarketingSuzanne George

Maquette et InfographisteCompo-Méca - 64990 Mouguerre

Directrice ArtistiqueMaryse Mignard

Nous contactercontact@planete-ekologie.fr

Publicitépublicite@planete-ekologie.fr

ISSN 2103-9194Planète EKOLOGIE est une marque déposée,

tous droits réservés

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Ce magazine est réalisé avec du papier aux normes PEFC

Imprimé en CEE

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64100 Bayonne

Tél. : 05 59 42 24 42

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Sommaire

Carnet de bord

13 PUBLI REPORTAGE FÉBUS

16 PUBLI REPORTAGE ASSAIN CONCEPT

33 PUBLI REPORTAGE CANA

37 PUBLI REPORTAGE JOLILOLA

41 VOS TRUCS & ASTUCES

46 JEUX

49 ANNUAIRE DES ANNONCEURS

50 LES GESTES QUI SAUVENT

13 PUBLI REPORTAGE UBLI FÉBUS

1616 PUBLI REPORTAGE REP ASSAIN CONCEPT

33 PUBLI REPORTAGE CANA

37 PUBLI REPORTAGE JOLILOLA

41 VOS TRUCS & ASTUCES

46 JEUX

49 ANNUAIRE DES ANNONCEURS

50 LES GESTES QUI SAUVENT

Planète Habitat 6 Le Solaire photovoltaïque

14 Les piscines naturelles

Planète News 17 Crédit d’impôt

ce qui change en 2010

Interview 19 Bixente Lizarazu

Planète Société 24 Des chevaux écolos au secours

de la biodiversité

25 L’énergie fossile : une ressource limitée

Planète Jardin 27 Jardinage bio :

pourquoi s’y intéresser

Planète Bien-être et santé 30 Médecines douces

La réflexologie et la sophrologie

Planète Beauté 34 Grossesse et beauté bio

Planète Gastronomie 38 Les recettes

19 Bixente Lizarazu

28Les médecines douces

6 Le solaire

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Écologique• Le solaire photovoltaïque est très intéressant car il est

écologique.

• L’énergie solaire photovoltaïque est 100 % renouvelable.

• Pas de création de gaz à effet de serre.

Économique• Vous créez de l’électricité grâce à votre panneau solaire

photovoltaïque : l’électricité consommée est gratuite si vous faites le choix de consommer une partie de votre production.

• Vous pouvez même gagner de l’argent car vous avez la possibilité de revendre tout ou partie de votre produc-tion d’électricité à EDF.

Solaire photovoltaïque et aides financièresVous bénéficiez d’un crédit d’impôt de 50 %, de nom-breuses aides régionales, locales… Vous êtes exonéré d’im-pôt sur le revenu sur la vente de l’électricité. Votre investisse-ment initial est considérablement réduit : divisé par 2 ou plus.Investissement de 10 K€ approximativement renta-bilisé en 7 à 10 ans.

Pour une famille de 4 personnes, comptez un investissement de 10 K€, déduction faite du crédit d’impôt. L’investissement peut être plus faible grâce aux aides. Si votre panneau solaire photovoltaïque est intégré au bâti de votre habitation, alors EDF vous rachète votre électricité au prix fort :Vous produisez autour de 1 400 € d’électricité par an si vous vivez dans le Sud, votre investissement est donc ren-table en 7-8 ans.

Vous produisez autour de 1 100 € si vous vivez dans le Nord, votre investissement est donc rentable en 9-10 ans.Gagnez 10 à 15 k€ sur 20 ans avec votre installation solaire photovoltaïque.Autre façon de voir les choses :

Habitat

Solairephotovoltaïque

Le solaire photovoltaïque consiste à convertir l’énergie solaire en électricité à l’aide de panneaux solaires.Un panneau solaire photovoltaïque vous permet de produire votre propre électricité sans pour autant vous rendre autonome. Vous continuerez à utiliser l’électricité du réseau EDF (ou d’un autre fournisseur). Mais

votre facture sera considérablement réduite.

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Une fois que vous avez remboursé votre investissement ini-tial (donc au bout de 7 à 10 ans). Vous vendez pour 1 000 à 1500 € d’électricité par an à EDF ou un autre distributeur. Cela sur 10 à 15 ans au-delà des premières 10 années, car une installation solaire photovoltaïque dure 20-25 ans sans maintenance importante. Cela fait donc autour de 10 à 15 k€ de recettes desquelles il faut déduire 2 000 à 3 000 € de frais de remplacement de l’onduleur...Attention : ces chiffres sont des estimations et comportent un certain nombre d’hypothèses.

Solaire photovoltaïque : pose & fonctionnementPoseL’installation d’un panneau solaire résulte d’un compromis entre :

• La nécessité de maximiser le rendement du panneau solaire.

• Les contraintes architecturales de votre habitation.

• Le souci esthétique.

Sol, façade ou toiture le plus souvent sur le toitIl existe 4 endroits possibles où poser le panneau solaire :

Sur le toit, la solution plébiscitée :

• Le panneau solaire ne réduit pas l’espace vital.

• Reste relativement discrète.

• Permet de bénéficier de l’inclinaison naturelle du toit sur une grande superficie.

Au sol dans le jardin ou en terrasse, le panneau solaire nécessite une grande surface disponible.

En façade ou en pignon Une solution par défaut.Elle ne permet pas un rendement optimal et peut se révéler inesthétique.

En auvent Le panneau solaire est incliné (angle de 30 à 50° par rapport à la façade) de manière à mieux rece-voir les rayons du soleil.Le panneau solaire s’intègre également à l’architecture de la maison : auvent de véranda, de balcon ou de fenêtre par exemple.

Panneau solaire intégration ou surimposition ?Le panneau solaire est la plupart du temps installé sur le toit. Il existe alors 2 manières de procéder :

• Surimposition : le panneau solaire est fixé par-dessus la toiture.

• Intégration : le panneau solaire remplace tout ou partie de la toiture.

Si vous prévoyez de revendre l’électricité, l’intégra-tion est préférable : EDF vous achète le KWh 0,60 €

contre 0,33 € si les panneaux solaires sont en sur-imposition.

Dans le cas de l’intégration, semblable à une fenêtre de toit en fait, il faut veiller à la bonne étanchéité du système. En évitant les « couches superposées », l’intégration est plus esthétique et demeure la solution privilégiée pour les constructions neuves ou en cas de réfection de la toiture.La dernière innovation technologique : les tuiles et les ardoises photovoltaïques. Les tuiles ou les ardoises qui recouvrent la toiture sont autant de panneaux solaires photovoltaïques. Elles s’intègrent donc parfaitement à l’ha-bitation.

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Orientation et inclinaison : plein sud et 30 °C par rapport à l’horizontalIl y a l’idéal : le panneau solaire orienté plein sud avec une inclinaison de 30 °C par rapport à l’horizontale.Et puis il y a la réalité qui oblige à composer avec l’architec-ture de la maison, la présence d’ombres projetées (arbres, clochers, immeubles en vis-à-vis, etc.).Une tolérance est donc accordée : le panneau solaire doit être orienté entre sud-est et sud-ouest et l’inclinaison est correcte entre 20 et 50 °C par rapport à l’horizontale.À noter que si votre installation vise à l’autonomie élec-trique, le panneau solaire doit être orienté de manière à obtenir un rendement constant, été comme hiver, quelle que soit la course du soleil, et non un rendement maximal mais en dents de scie.

Fonctionnement Un système photovoltaïque est composé :

• De modules solaires photovoltaïques : les fameux panneaux solaires, qui convertissent le rayonnement so-laire en électricité.

• D’accumulateurs qui stockent l’électricité (comme des batteries) en site isolé.

• Si besoin d’un onduleur pour convertir le courant continu en courant alternatif basse tension (230 V, al-ternatif 50 Hz), c’est-à-dire en un courant électrique di-rectement utilisable pour les appareils électriques de la maison et accepté sur le réseau électrique.

Panneaux solaires : le module solaire photovoltaïqueUn panneau solaire ou module photovoltaïque est un as-semblage de cellules photovoltaïques. Ces cellules étant très fragiles, elles sont protégées par une plaque de verre très résistante. Les modules sont de taille rectangulaire et mesurent entre 0,5 et 3 m2. Ils se montent en série afin de générer un courant électrique de plus forte tension.Il existe 2 types de modules, selon le type de silicium utilisé pour la cellule :

• Les modules avec cellules de silicium cristallin : ils ont une durée de vie estimée à 30 ans et un rendement avoisinant les 13 %. Ils fonctionnent aussi bien sous de fortes puissances que sous de petites puissances. On distingue :

– Les cellules polycristallines, les plus courantes au-jourd’hui : environ 50 % de la production mondiale.

– Les cellules monocristallines, plus difficiles à fabri-quer et donc plus onéreuses. Elles ont cependant un rendement quelque peu supérieur.

• Les modules avec cellules de silicium amorphe (couche mince) :

– Ils ont un coût de production plus faible mais sont moins fiables sur le long terme et ont un rende-ment plus faible.

– Les cellules sont capables de supporter des tem-pératures de chauffe très élevées et sont plus adaptées aux faibles puissances.

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Accumulateur et batterie solaireIls sont nécessaires en site isolé car la consommation d’élec-tricité et la production d’électricité coïncident rarement. Il faut donc un dispositif de stockage en site isolé. Les mo-dèles les plus répandus pour l’instant sont les batteries au plomb. Elles ont une durée de vie de 10-12 ans.

OnduleurL’onduleur est l’appareil qui rend utilisable l’électricité pro-duite par le module photovoltaïque. Il transforme le courant continu en un courant alternatif qui respecte les normes en vigueur. Il permet et correspond aux caractéristiques techniques des appareils électriques et du réseau qu’il sera amené à alimenter : 230 V, 50 Hz. Il n’y a pas de norme européenne qui garantisse la qualité et la fiabilité de l’ondu-leur. Vérifiez que :

• Le rendement de l’onduleur est supérieur à 90 % ;

• L’onduleur est protégé contre la foudre et les surtensions. Un onduleur a une durée de vie de 10 ans en moyenne.

Prix du solaire photovoltaïque Rappel des principes de base du photo-voltaïque :Vous investissez pour faire installer des panneaux solaires pho-tovoltaïques sur votre habitation. Vous revendez l’électricité aux opérateurs électriques à un prix élevé pendant 20 ans :

• 0,60 € par Kwh en 2010 si les panneaux sont intégrés à votre bâti.

• 0,33 € par Kwh en 2010 si les panneaux sont seulement posés.

Pour calculer la rentabilité de cet investissement, prenez en compte :

• Le coût de l’installation

• La quantité d’électricité que vous pourrez produire.

Investissement initial : autour de 10 k€ TTCPour une famille de 4, on considère qu’un équipement de 2 000 Wc de puissance est approprié.Le prix HT et hors pose est de 15 000 € approximative-ment.Vous devez ajouter la TVA à 5,5 % (habitation de plus de 2 ans) ou 19,6 % (habitation neuve).Ensuite vous pouvez soustraire 50 % de crédit d’im-pôt sur le montant TTC. Il est très probable que vous puissiez bénéficier d’aides régionales ou locales.Vous ajoutez le prix de la main-d’œuvre.Résultat : 10 500 € si vous bénéficiez de la TVA à 5,5 %.

Revendre la totalité (plutôt que simple-ment le surplus) : c’est plus rentable !Vous avez la possibilité soit de vendre la totalité de votre électricité et d’acheter ensuite l’électricité dont vous avez besoin ; soit d’utiliser l’électricité solaire produite pour la maison en priorité et de ne vendre au secteur que le sur-plus d’électricité.

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Si l’on fait un calcul purement économique, il est plus rentable de revendre en totalité son électricité so-laire et d’utiliser pour sa consommation person-nelle l’électricité normale que de revendre uni-quement son surplus.Si l’on regarde l’aspect écologique : il semble plus raisonnable que vous utilisiez le solaire pour votre propre consommation, en re-vendant le surplus.

TVA à 5,5 %

• Le taux réduit de 5,5 % s’applique sur le matériel et la main-d’œuvre.

• Uniquement si votre résidence (principale ou se-condaire) est achevée depuis plus de 2 ans.

• La TVA 5,5 % s’applique aux installations photovol-taïques raccordées au réseau d’une puissance infé-rieure ou égale à 3 KWc.

• Si votre installation est supérieure à 3 KWc ; la totalité doit être entièrement facturée avec une TVA à 19,6 %.

Subvention et aidesIl existe de nombreuses aides régionales et locales. Le plus simple est de demander à votre installateur, certains connaissent bien ces aspects administratifs.Voici les organismes susceptibles de vous aider :

• Conseil général de votre département

• Conseil régional de votre région

• Anah (Agence Nationale pour l’amélioration de l’ha-bitat).

Renseignez-vous auprès de votre Espace Info Energie, mis en place sur tout le territoire par l’Ademe.

Panneaux solaires photovoltaïques : quelles formalités ?Comment devenir producteur d’électri-cité ?Quelques démarches administratives sont à prévoir. L’idéal est de vous faire aider par votre installateur qui peut prendre en charge ces démarches et vous ap-porter une solution clef en main.Vous devez effectuer les procédures suivantes :

• Faire une demande de raccordement auprès du gestion-naire du réseau de distribution ERDF en vous rendant dans l’Accueil Raccordement Producteurs (AREPROD) le plus proche de chez vous. Contactez le 08 20 031 922 pour le connaître.

• Faire une déclaration d’exploiter une installation photo-voltaïque auprès de la DIDEME. La déclaration peut être faite en ligne sur le site.

• La signature du contrat d’obligation d’achat, auprès d’un distributeur d’électricité. Le distributeur s’engage à ache-ter votre électricité au tarif réglementé pendant un cer-tain nombre d’années.

• Obtenir une assurance responsabilité civile pour l’exploi-tation d’une centrale photovoltaïque.

En parallèle de cela, pour des raisons de sécurité et de cou-verture des risques, vous devez déclarer votre installation auprès du Ministère et auprès de votre assureur.

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Crédit d’impôt et aides pour vos panneaux solaires photovoltaïques

L’État favorise l’achat de maté-riel utilisant les énergies renou-

velables en accordant notamment un crédit d’impôt si vous payez des impôts, vous bénéficierez d’une

déduction de 50 % du coût TTC du matériel. Si vous ne payez pas d’im-pôts, l’Etat vous fait un chèque de ce montant.

Conditions :

• Logement acheté neuf : les panneaux solaires doivent avoir été installés par le constructeur.

• Logement ancien/en construction (jusqu’au 31/12/2012) : vous devez acheter le système à l’entreprise qui va l’installer.

• Être résident fiscal en France

• Le crédit d’impôt de 50 % s’applique : – sur le prix TTC de l’équipement hors frais de main-

d’œuvre ; – subventions déduites ; – est plafonné selon votre situation familiale à une

dépense de :

• 8 000 € pour une personne seule

• 16 000 € pour un couple

• 400 € environ supplémentaire par enfant à charge.Pour les panneaux solaires photovoltaïques :Vous pourrez bénéficier du crédit d’impôt si votre consom-mation d’électricité est supérieure à 50 % de la puissance des panneaux solaires photovoltaïques que vous installez. Le plus souvent c’est le cas, donc pas trop d’inquiétudes. Pour simplifier, cette condition sera approuvée si la puis-sance installée est inférieure à 3 kWc. Les recettes dégagées par la vente de l’électricité produite sont exonérées d’impôt sur le revenu.

Formalités pour l’installation de panneaux solairesUne déclaration de travaux à déposer en mairie est né-cessaire pour la pose de panneaux solaires. Pour une habitation neuve : intégrez les panneaux photovol-taïques dans la demande du permis de construire. Dans les deux cas, vérifiez auprès du service de l’urbanisme de votre ville des règles éventuelles concernant les toitures. Si vous êtes dans le périmètre (500 mètres) de protection d’un immeuble classé ou ins-crit, l’Architecte des Bâtiments de France devra être consulté.Les prix élevés de rachat de l’électricité produite par des panneaux photovoltaïques encouragent les particuliers comme les entreprises à investir dans l’énergie solaire. En seulement six mois, le nombre d’installations a augmenté de 66 %, s’est félicité le ministère chargé du Développe-ment durable dans un communiqué.Le 30 juin 2009, le parc photovoltaïque français représen-tait 135 MW pour environ 25 000 installations. La moitié de cette puissance est produite par seulement trois ré-gions, la Provence-Alpes-Côte-d’Azur, le Languedoc-Rous-sillon et les Pays-de-la-Loire, précise le ministère qui sou-haite voir se développer les panneaux solaires dans toute la France et non plus seulement dans les régions du Sud.Pour ce faire, le tarif de rachat par EDF de l’électricité so-laire est plus élevé dans les régions les moins ensoleillées. Il variera en effet de 32,8 euros pour les régions les plus ensoleillées à 39,4 euros pour les moins ensoleillées.Dans le cadre du Grenelle de l’Environnement, la France s’est fixé un objectif de 5 400 MW de puissance photovol-taïque à l’horizon 2020. ■

Source : www. solaire.comprendrechoisir.com, www.maxisciences.com

Le saviez-vous ?• Le ministère en charge du Développe-

ment durable a annoncé le 9 septembre 2009 que le nombre de panneaux photo-voltaïques installé en France a augmenté de plus de 60 % en seulement 6 mois.

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• •• Le ministère en charge du Développe-ministère ministère LLement durable a annoncé le 9 septembre t durt dur2009 que le nombre de panneaux photo-que leque levoltaïques installé en France a augmenté de plus de 60 % en seulement 6 mois.

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Publi-reportage

Bureau d’études thermiquesPour la construction neuvePour la construction neuve• Orientation du bâtiment et intégration dans le site• Répartition des volumes en fonction des recomman-

dations bioclimatiques• Proposition de matériaux et techniques en matière de

confort général• Présentation des matériaux et techniques en matière

d’utilisation de l’eau• Comparaison des techniques et des énergies renou-

velables• Vérification du respect de la réglementation• Études financières d’investissement et de coût de

fonctionnement• Établissement d’un cahier des charges• Vérification des devis• Surveillance des travaux thermiques spécifiques

Nos servicesNos services

Projets neufs, projets de rénovation, labellisation BBC Effinergie, labellisation passiv’Haus, accompa-gnement à la conception, formation

LandesPyrénées-AtlantiquesHautes-Pyrénées

Nos clientsNos clients

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• Diagnostic du bâtiment à domicile (thermique, ventilation, humidité, etc.)

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• Étude financière de chaque variante, présentation des avantages et inconvénients

• Choix par le propriétaire de la variante définitive• Établissement du cahier des charges pour les en-

treprises et les maîtres d’œuvre• Vérification des devis et de leur adéquation au ca-

hier des charges• Surveillance des travaux thermiques spécifiques• Veille technologique pour de futurs travaux

Les étapes de notre interventionLes étapes de notre intervention

Notre rayon d’actionNotre rayon d’action

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Qu’est-ce qu’une piscine biologique ?Les piscines biologiques, encore appelées piscines na-turelles, piscines écologiques, biotopes ou étangs de bai-gnade, sont la transposition dans votre jardin de ces pièces d’eau naturelle autrefois encore nombreuses et où il fait si bon se baigner.

Une piscine biologique n’est rien d’autre que ce que la nature nous offre comme exemple avec toutes les plantes et les animaux qu’elle attire. L’eau des rivières, des étangs, des lacs est purifiée par la combinaison des végétaux et des micro-organismes qui contiennent des bactéries ayant un pouvoir enzymatique. Ces bactéries

transforment les matières organiques en subs-tances que les végétaux peuvent directement ab-sorber.

Le concept de la piscine biologique a été redécouvert il y a une vingtaine d’années en Autriche après que les habi-tants aient constaté qu’une piscine biologique produit des effets similaires à ceux des spa ou des stations thermales. En 1985, un Autrichien, Peter Petrich, a créé la société Biotop pour mettre en œuvre l’idée d’une pis-cine naturelle dont l’eau s’auto-nettoierait en utilisant des phénomènes biologiques naturels. Biotope a eu du succès auprès des particuliers, des hôtels et certains parcs de loi-sirs se sont équipés rapidement. D’autres sociétés ont suivi comme par exemple Bionova en Allemagne ou Bioteich en Suisse.

Habitat

Retrouver le plaisir de la baignade avec une piscine

biologique

Une piscinenaturelle

Vous vous êtes sûrement déjà baigné dans de l’eau fraîche à la campagne ou à la montagne, dans un lac ou une rivière, et vous avez peut-être encore la nostalgie de cette découverte. Nos enfants ne pourront

peut-être pas connaître ce plaisir en raison de la pollution, des risques bactériens, ou de l’extension des propriétés privées qui empêchent l’accès aux cours d’eau. Mais vous pouvez encore retrouver ce plaisir dans une piscine biologique, qu’elle soit privée ou publique.

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Principe de fonctionnement d’une piscine biologiqueLes piscines biologiques fonctionnent sans produits chimiques en régénérant l’eau de la piscine par l’effet puri-ficateur des plantes. Une piscine biologique comprend une zone de baignade et une zone de régénération. La zone de baignade communique avec la zone de régénération. Avec une piscine naturelle, on évite à la fois les produits chimiques et les bacs de filtration au sable. L’eau n’est pas stérilisée comme dans une piscine classique et par conséquent elle permet une vie aquatique. Des micro-organismes s’y développent, et on n’y voit de petits invertébrés comme les crapauds ou les grenouilles. La présence de flore et de faune sont des indicateurs du bon état de l’environnement.

Dans la zone de régénération, l’eau est purifiée par les ra-cines des plantes aquatiques et les micro-organismes. Les plantes agissent comme des filtres vivants. Les bac-téries transforment les matières organiques en produits as-similables par les plantes et les plantes se nourrissent de ces matières organiques. Une piscine naturelle contient également du plancton qui aide à éliminer les algues et à filtrer l’eau. Le processus est entièrement biologique et n’utilise aucun produit chimique ni bactéricide ni algicide. La maintenance est très réduite.

Contrôle des alguesLes algues sont en concurrence avec les plantes dans la recherche de nutriments et de lumière. Au printemps, le développement des feuilles provoque de l’ombre qui suffit en général à éliminer les algues. On peut contrôler la croissance des algues en éliminant le phos-phore et en maintenant un pH un peu faible (5.5 à 6.5). Les composés phosphorés sont le plus souvent issus des fertilisants ou des urines. En général une hygiène stricte suffit à éviter les problèmes. Toutefois, vous pouvez aug-menter l’aération de l’eau pour stimuler l’activité biolo-gique et empêcher les algues de proliférer.

Néanmoins, en cas de prolifération, l’ajout de petites quantités de paille dans l’eau peut améliorer la situa-tion, sans recourir à des enzymes ou des solutions acides pour diminuer le pH, efficaces mais pas sans risque pour votre écosystème.Autre solution, dans le cas où les algues indésirables sem-blent se développer, le remède le plus simple, et le moins risqué pour votre écosystème, est d’ajouter des plantes supplémentaires qui feront concurrence aux indési-rables dans la recherche d’éléments nutritifs.

MaintenanceRetirer les débris végétaux au printemps et à l’au-tomne et garder un niveau d’eau constant en ajoutant de l’eau. Vous pouvez également vous procurer des tests

permettant de vérifier le niveau de contamination de l’eau de la piscine. Veiller à la propreté des pièces méca-niques (pompes, crépines...), si besoin les détartrer avec du vinaigre.

En suivant ces conseils simples votre piscine remplira ses fonctions pendant de nombreuses années.

Plantes pour piscines naturellesLa plupart des plantes aquatiques sont utilisables. Dans toute la mesure du possible il vaut mieux utiliser des plantes indigènes. Choisir des plantes adaptées à votre climat et aimant beaucoup l’humidité : Carex, brocheton, primevères, lis d’eau... Plantez-les en les regroupant par hauteurs voisines. Outre leur pouvoir de purification de l’eau, les plantes servent à stabiliser le sol.

Qualité de l’eauVous devez vous demander quel est le risque d’avoir des microbes pathogènes dans votre piscine. Les plantes aqua-tiques n’épurent pas tous les contaminants de l’eau, mais la probabilité de contracter une maladie grave dans votre piscine naturelle est faible. En cas de doute sur la qualité de l’eau de votre piscine naturelle, testez-la ou faite examiner un échantillon d’eau que vous aurez prélevé.

À un moment où notre environnement connaît des me-naces sévères et se dégrade, les piscines naturelles appor-tent leur contribution à l’écologie. Elles s’intègrent très facilement dans le paysage et contribuent de façon très sensible à la préservation de la faune et la flore aquatiques. ■

Source : www.univers-nature.com

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Assainconcept

Le bassin naturel de baignade

Qui n’a pas rêvé de se baigner chez lui, au pied de sa terrasse dans une eau claire et transparente comme dans un lac de montagne ?

une alternative écologique à la piscine traditionnelle !

AssainUne eau 100% naturelle,

Concept

sans produit chimique

une solution écologique pour la baignade

Les avantages d’un bassin de baignade naturel profi ter de votre bassin en toutes saisons. Écosystème esthétique et décoratif.

Jardin paysager de rêve. Le bassin s’intègre parfaitement dans l’environnement et peut prendre toutes les formes.

Bassin fi ltré biologiquement grâce aux bactéries, aux plantes et à la fi ltration Nexus.

La stérilisation ultraviolet permet de stériliser les bactéries non effi caces et les germes pathogènes. Elle vous garantit une qualité d’eau sanitaire (en option).

Respect de la nature et de l’environnement.

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Grâce aux piscines naturelles, fini la piscine chlorée, stérile et sans vie. La piscine naturelle laisse agir la nature dans le processus d’épuration de l’eau. La plantation de végétaux aquatiques dans le lagunage (ou dans la piscine naturelle) rendra ce lieu fleuri évoluant à chaque saison. Des cascades, lames d’eau, peuvent agrémenter ce petit paradis, d’une part pour oxygéner, condition indispensable, et d’autre part pour créer des courants, empêchant toute zone « stagnante ». L’équilibre s’établit grâce aux plantes aquatiques et aux bac-téries fixées sur des supports poreux comme la pouzzolane. Par le passage régulier de l’eau du bassin vers le lagunage, les plantes se nourrissent de substances organiques dégradées na-turellement par ces mêmes bactéries.Cette épuration biologique par les plantes est précédée d’une filtration mécanique qui limite l’accumulation de dépôts dans le fond du bassin. Il est possible de réduire le lagunage grâce au filtre mécanique et biologique : NEXUS.

La construction de bassin de baignades se réalise avec des ma-tériaux similaires à ceux de la piscine classique et du bassin. L’étanchéité, point essentiel, peut se faire en liner (par exemple en liner polypropylène, chimiquement neutre, recyclable et sans effet sur l’eau) ou en dur. Toute une gamme de couleurs est disponible.Pour assurer la qualité sanitaire de l’eau, l’usage d’ultra-violet apporte non seulement une action germicide, bactéricide et an-tiparasitaire mais rend l’eau limpide et claire en détruisant les algues unicellulaires microscopiques qui donnent une eau de couleur verte opaque dès les premières grosses chaleurs.Il est possible de créer autant de piscine naturelle que de styles différents avec toutefois une technique commune et ef-ficace, tout ceci à budget abordable.

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La loi de finance rectificative 2009 modifie les conditions d’attribution du crédit d’impôt en faveur des équipements DD et des économies d’énergie dans l’habitation princi-pale. Depuis le 1er janvier 2010, certains taux de réduc-tion ont baissé, d’autres sont des nouveautés, d’autres encore ont été purement et simplement supprimés, au grand dam des professionnels. Cet article sera mis à jour au fil des décrets d’application et précisions apportées par l’administration.

Crédit d’impôt pour le développement durable Logements construits avant 1977La majoration de taux à 40 % applicable aux matériaux d’isolation, parois vitrées, parois opaques, chaudières à condensation, appareils de régulation de chauffage

dans des logements construits antérieurement au 1er jan-vier 1977 et dans les deux ans d’une transaction est supprimée.

Parois vitréesIl s’agit des fenêtres, des vitrages, des volets isolants. Diminution de 25 à 15 % du taux du crédit d’impôt. La mesure est critiquée par les professionnels des menuiseries extérieures. Associée aux mesures en faveur des pompes à chaleur géothermiques (voir plus loin), elle pourrait inviter à aller chercher des calories dans le sol en consommant de l’électricité (et de la maintenance technique) plutôt que d’éviter la perte de calories et l’augmentation du confort par le changement des fenêtres.

Parois opaquesMaintien du taux à 25 % sur la pose et la main-d’œuvre, mais comme vu plus haut, suppression des 40 % sur les logements antérieurs à 1977.

Jusqu’au 31 décembre 2012 vous bénéficiez d’un crédit d’impôt sur le revenu pour les dépenses relatives à certains équipements DD et travaux pour économies d’énergie dans votre résidence principale. Les modifications et les nouveautés entrées en vigueur le 1er janvier 2010 font marche arrière sur certains points.

ce qui change en 2010

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News

• Bilan de compétences• Bureautique : Word, Excel,

Powerpoint…• EBP, Ciel Compta, compta-gestion• Anglais, espagnol, russe…

et basque• PAO (Photoshop, Illustrator,

Indesign…), CAO, DAO• Formation création et référencement

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Crédit d’impôt

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Appareils de chauffage

Chaudières à condensation le taux de crédit d’impôt diminue de 25 à 15 %.Appareils de régulation de chauffage : maintien du taux à 25 % sur le matériel.

TVA à 19,6 % sur les climatiseursLa loi de finances 2010 supprime la TVA à 5,5 % sur les climatiseurs au motif que la climatisation entraîne une aug-mentation des émissions de gaz à effet de serre à la fois au travers de la consommation de gaz fluoré qu’elle génère et des surconsommations d’électricité nécessaires à son fonc-tionnement. Le législateur souhaite favoriser des solutions alternatives moins émettrices de gaz à effet de serre.

Pompes à chaleur (autres que les pompes air/air qui ont été supprimées en 2009) dont la finalité essentielle est la production de chaleur, à l’exception des pompes à chaleur géothermiques : le taux passe de 40 % à 25 %. Le caractère de « la finalité essentielle de production de chaleur » demande à être précisé. Il vise les pompes à chaleur réversibles qui peuvent donc fonctionner en clima-tisation pendant l’été. La baisse du taux sur les pompes à chaleur est compensée par la prise en considération des dépenses relatives aux pompes à chaleur géothermiques (plus efficaces) et à leurs échangeurs de chaleur souterrain.

Pompes à chaleur géothermiques dont la finalité essentielle est la production de chaleur. Crédit d’impôts de 40 % sur le matériel.Pose de l’échangeur de chaleur souterrain des pompes à chaleur géothermiques : crédit d’impôt de 40 %. Il s’agit a priori de tous les travaux relatifs à la pose, c’est-à-dire le terrassement et le matériel. Le texte de la loi est assez laconique. Des précisions devront être apportées par l’admi-nistration sur le type et les caractéristiques des installations.Chaudières et équipements de chauffage ou de produc-tion d’eau chaude fonctionnant au bois ou autres bio-masses. Le taux reste inchangé en cas de nouvel équipe-ment (25 %) mais un nouveau taux de 40 % concerne le remplacement d’appareils existants. L’administration devra préciser si le remplacement d’une cheminée à foyer ouvert par un poêle à bois rentre dans ce cas.

PlafondsAttention aux choix des appareilsRappelons que pour pouvoir bénéficier du crédit d’impôt DD, les équipements, matériaux et appareils doivent répondre à des exigences de performances, c’est-à-dire correspondre à des normes minimales précisées dans les textes réglemen-taires. Le plafond des dépenses qui entrent en compte pour le crédit d’impôt DD ne change pas. Il s’apprécie sur cinq années consécutives. Il s’élève à 8 000 € pour une personne seule et à 16 000 € pour un couple marié ou pacsé et soumis à une imposition commune. Ce montant est majoré de 400 € par personne à charge ; il est de 200 € en cas de garde partagée.

Intérêts d’emprunt : construisez BBCEn 2009 les ménages qui ont acheté ou construit leur rési-dence principale ont eu droit à un crédit d’impôt égal à 40 % des intérêts de leur emprunt la première année et à 20 % les quatre années suivantes. Cet avantage diminue en 2010 sauf pour les logements neufs à la norme BBC : le crédit d’im-pôt passe à 30 % la première année et 15 % les suivantes. En 2011, les taux seront respectivement de 25 % et 10 % et en 2012, de 15 % et 5 %. C’est la date d’acquisition de l’habitation qui compte. Les habitations BBC conservent un crédit d’impôt de 40 % pendant sept ans.Pour rappel : le prêt à taux zéro (PTZ) pour l’immobilier neuf, a été doublé en 2009. Il peut atteindre 65 100 euros. Ce PTZ doublé est maintenu jusqu’au 30 juin 2010. Puis le plafond redescend de 48 750 euros jusqu’au 31 décembre 2010. ■

Source : www.ddmagazine.com

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Vous avez créé votre association, « Liza, pour une mer en bleus » en 2003 à la suite de la catas-trophe écologique du Prestige, cette pollu tion du littoral vous a beaucoup touché ?Quand vous vous rendez dans un endroit que vous connaissez et que vous aimez, la plage où vous allez surfer régulièrement, par exemple, et que vous voyez le sable et l’eau couverts de pétrole, ça fait un terrible choc ! J’étais déjà impliqué et concerné par la protec-tion de l’environnement mais suite à cette catastrophe, j’ai créé l’association « Liza, pour une mer en bleus » qui se mobilise pour lutter contre la pollution des mers & du littoral.

À l’époque, vous aviez organisé un match avec France 98 pour sou-tenir « Liza » dans sa démarche. Avez-vous d’autres projets de ce type dans un proche avenir ?Le match avait été organisé pour soulever des fonds afin de pouvoir créer l’association « Liza pour une mer en bleus ». Il a répondu à une opportunité de calendrier de l’Équipe de France et à la vocation de France 98 (association regroupant tous les internationaux cham-pion du Monde 98 et champion d’Europe 2000) qui a souhaité soutenir Liza dans sa démarche vis-à-vis de l’Environnement, de la préservation du littoral en géné-ral, et de celui du Sud-Ouest en particulier.

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Depuis son lancement, comment fonctionne « Liza » et quels sont plus précisément ses objectifs ? Les recettes issues du match ont été consolidées par la Ligue sur un compte spécial. Elles sont aujourd’hui gérées dans la durée par l’association « Liza » pour financer pro-jets et initiatives qui participent à la protection du littoral et des océans. Une commission indépendante a été créée pour sélectionner, en toute transparence, les projets. Mais l’association n’a en aucun cas vocation à se substituer à l’action des institutions et au rôle de l’Etat. Ses démarches ont pour but de réduire les différentes sources de pollutions des littoraux et des océans. Dans ce cadre, nous souhaitons particulièrement contribuer à :– Améliorer la réglementation concernant le transport ma-

ritime des matières dangereuses pour l’environnement.– Faire progresser la maîtrise du recyclage et du stockage

des ordures ménagères et des déchets industriels.– Améliorer l’efficacité du traitement des eaux usées et le dé-

veloppement dans les communes de station d’épuration.– Favoriser une démarche pédagogique ciblée sur les en-

fants par l’éducation.– Favoriser une démarche pédagogique globale par l’infor-

mation via les médias.

Vous êtes le parrain de l’association et de l’événement du même nom « L’odys-sée du flocon à la vague ». En quoi ses objectifs répondent-ils aux vôtres ? « L’Odyssée Du Flocon à la Vague » est une association qui a été créée en 2009, à la suite de la première édition de l’événement. Constituée d’acteurs du cycle de l’eau,

de sportifs, d’associations, d’entreprises et de fédérations sportives, elle a pour but l’organisation et la gestion d’évé-nements au service de la protection de l’eau, et plus gé-néralement de la planète. L’événement lui-même implique 10 équipes de 4 champions qui s’affrontent sur un par-cours de 3000 m de dénivelé... Parrainé par moi-même mais également par Mathieu Crépel, champion du monde 2007 de snowboard, médaille de bronze championnat du monde 2009. L’événement visite quatre écosystèmes, et propose des performances sportives accompagnées par un programme éducatif. À travers l’Odyssée du Flocon à la Vague, les concurrents suivent la vie d’un flocon du Pic du Midi, qui le printemps venu, se transforme en goutte d’eau pour entamer un long et périlleux voyage jusqu’à l’océan.

Cela fait maintenant 14 ans que vous êtes membre d’honneur de Surfrider Foundation Europe. Pourquoi êtes- vous particulièrement investi sur les « Initiatives Océanes » ?J’aime bien l’acte à la fois concret et direct d’aller nettoyer, associé à un volet éducatif où l’on entraîne des enfants avec soi tout en leur expliquant les pollutions du littoral. Parler d’environnement, c’est souvent parler de pollution qui est un sujet rebutant. Ce qui me plaît dans cet événement, c’est qu’il associe le côté agréable d’une « balade » sur la plage à une bonne action, utile et efficace.

Pourtant, les macro-déchets sur les plages qui seront ramassés, notamment lors des «  Initiatives Océanes », ne sont pas reconnus comme une pollution mais jugés par la législation européenne comme une simple « nuisance ». Selon vous, cela doit-il changer ? Absolument, parce que si ces déchets étaient qualifiés de « pollution » à part entière par la législation, cela signifierait que les responsables pourraient être recherchés puis jugés, au même titre que les pollueurs par hydrocarbures. Que ces déchets soient enfin reconnus comme une pollution permettrait de rendre chacun plus responsable de ses actes. L’individu qui va profiter d’une belle plage vierge et qui y laisse ses déchets mérite aussi une sanction. C’est regret-table, mais il faut bien une forme de répression pour faire évoluer les comportements.

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Retour sur les Initiatives Océanes 2010 : 800 sites nettoyés, 40 000 participants29-03-2010 par Sylvie Barrans

Les Initiatives Océanes ne sont pas finies, loin de là. Mais les quatre jours « phares », du 18 au 21 mars, se sont achevés brillamment sur un « flashmob dance » organisé par Mare Urdina à San Sebastian, capitale européenne de l’événement.

Une mobilisation mondiale

Pendant ces quatre jours, plus de 800 sites (plages, lacs et rivières) ont été investis en France, en Europe et dans le monde par environ 40 000 citoyens : enfants, femmes et hommes de tous âges. Les ramassages de déchets ne sont que la partie visible de l’iceberg. Derrière ces opérations de net-toyages et de sensibilisation, l’équipe de Surfrider Foundation Europe mène un travail de fond sur les macro-déchets. Les actions des participants auront un impact direct sur différentes études (quan-tification et qualification des macro-déchets) et sur les actions de lobbying de Surfrider. De plus, les rencontres avec le public, en particulier avec les scolaires, restent primordiales pour la transmission des connaissances et la sensibilisation.

Les macro-déchets : reflet de la société moderne ?

Des objets incroyables ont été trouvés : une bouteille de rhum encore pleine, un billet de 10 euros, un dentier, des moteurs de bateaux, des tongs, bonbonnes de gaz. Et les grands classiques, qui tuent la faune marine, empoisonnent l’eau, étouffent la flore ; les bouteilles en plastique, cotons tiges, calandres de voitures, caddies, canettes.Mais pour la quinzième édition, Surfrider s’est focalisé sur les milliers de petits media filtrants en plastique, ces fameux camemberts des mers, identifiés peu de temps avant l’opération. Cette nou-velle pollution fait l’objet d’une enquête initiée par l’antenne bénévole Côte Basque.Au Koweït, en Thaïlande, en Australie et sur 479 sites en France, les Initiatives Océanes ont été un succès encore plus grand que l’année dernière. Ceci grâce à une incroyable synergie de ses antennes, de ses adhérents et des bénévoles, tous autour des Mairies, des associations, des entre-prises et des écoles.

En route vers Gijon

Surfrider Foundation Europe félicite et remercie tous les participants, grâce auxquels l’association sera encore plus forte pour la suite de son combat contre les macro-déchets : les Journées Euro-péennes de la Mer (European Maritime Days) à Gijon en Espagne.

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clean ! La Newsletter de SurfRiderwww.surfrider.eu

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Selon vous, la région du Sud-Ouest est-elle un exemple de région éco-responsable ?Je le pense profondément. Et je suis fier de participer, à mon niveau, à cette prise de conscience. Je suis convaincu que chacun peut participer à l’amélioration et à la préservation de notre environnement. Pour ma part, je peux sans doute avoir un peu plus d’opportunités pour mobiliser des fonds et pouvoir utiliser mon image médiatique pour faire avancer un peu les choses, mais j’ai moins de pouvoir qu’un politicien qui va pouvoir décréter des lois pour agir sur un autre plan. Chacun à son niveau peut faire quelque chose. Nous avons la chance de vivre dans une région magnifique, entourés par la mer, la montagne et la campagne. Mais tout ces espaces sont fragiles et on commence à réaliser que la pollution de la terre et celle de la mer sont étroitement imbriquées.

Quelle est votre actualité écolo-gique 2010 ?

Je parraine un livre qui va sortir en octobre 2010 aux éditions Glénat.

Ce projet est en collaboration avec Françoise Latour, jour-

naliste spécialisée sur les questions de développe-

ment durable, et plus particulièrement ma-

ritimes. Nous avons réalisé ce livre dans le but de per-mettre à tous de

comprendre, de voir et de sentir que la mer, c’est nous ! Nous souhaitons faire découvrir, y compris à ceux qui ne s’intéressent pas à la mer, sa beauté ou ses fragilités mais surtout les liens qui unissent les hommes à la mer, pour aujourd’hui et pour demain. Dans ce but, nous y avons pré-senté la mer d’une manière à la fois pédagogique, esthé-tique et médiatique. Je suis l’auteur de la préface du livre et, aux côtés d’autres personnalités connaissant la mer, je té-moigne de mon engagement pour la protection des océans. Enfin, « Liza pour une mer en bleus » en est partenaire.

En 2010, comme plus de 40 000 personnes dans le monde, j’ai également célébré le printemps en rejoignant les « Initiatives Océanes » de Surfrider Foundation Europe ! J’étais sur la plage de Bidart avec Mathieu Crépel afin de prêter main forte à 120 écoliers de la ville. C’était bien plus qu’un nettoyage puisque nous avons sensibilisé la jeune génération à la pollution des eaux et à la problématique de la gestion des déchets. C’est fou de voir à quel point ces bambins s’intéressent à leur environnement : difficile de les arrêter dans leur quête aux macro-déchets ! Comme pour ces enfants, l’eau est pour moi une source de vie et de plaisir.

Que pensez-vous de notre magazine, Planète EKOLOGIE ?Quelle que soit l’action menée, que ce soit par des associa-tions ou par un magazine gratuit comme Planète EKOLO-GIE, l’aide est la même, le combat identique. Tout est bon pour éveiller les consciences à l’écologie et à la préservation de notre mer. ■

Interview : Suzanne George

éco-responsable

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éco-responsable

France 2010 - Crédit photo : Ben Stockley

Écopastoralisme, le naturel revient au galop !Saviez-vous que notre pays abrite un des patrimoines natu-rels les plus riches d’Europe ? Depuis les années 70, la protection des espaces naturels est ainsi au cœur des pré-occupations environnementales. Les milieux herbacés, en particulier, présentent un intérêt paysager et une grande richesse écologique.

Le pâturage naturel fait des heureux et rend service au paysage. En Europe, tous les grands herbivores se sont éteints, il y a environ 100 000 ans. C’est l’homme, grâce à l’agriculture, qui a donc maintenu les milieux ouverts pendant des millénaires. Mais de nos jours, pelouses calcicoles, landes, milieux humides et côtiers, pelouses dunaires… constituent des milieux contraignants pour l’agriculture moderne ! Sous la pression du modèle intensif favorisé par les politiques agricoles, ces terres difficiles à exploiter sont souvent laissées à l’abandon. Elles s’enfrichent et s’embroussaillent, entraînant une transfor-mation des paysages ruraux traditionnels et une érosion de la biodiversité. Ces dernières années, le regard porté sur ces

milieux a évolué. On a pris conscience de leur intérêt biologique. Mais comment gérer ces milieux ouverts, réser-voirs de la biodiversité ? Comment les entre-tenir ? Différentes pos-sibilités, plus ou moins adaptées aux sites, s’of-frent aux gestionnaires : pâturage, fauche, brûlis, désherbage chimique,

débroussaillement mécanique… Aucune d’elles n’est parfai-tement satisfaisante, cependant certaines tendent à se déve-lopper. Ainsi, depuis une vingtaine d’années, apparaissent des expériences originales et séduisantes de restauration et d’en-tretien des espaces naturels par des animaux domestiques. Ces pratiques pastorales sont depuis quelques années un ins-trument-clé dans la gestion des milieux naturels et souvent préférées aux opérations mécaniques. Des « méthodes douces » qui n’en restent pas moins délicates à mettre en place !

Les « brouteurs archaÏques » appa-raissent comme les emblèmes des nouveaux rapports, à la fois symboliques et concrets, que les écologues praticiens entretiennent avec l’animal, la nature, et le territoire. On peut tenter de les résumer en quelques mots : « une fabrication du sauvage » et une restauration des systèmes naturels disparus. Ces pratiques consistent à détourner les animaux domes-tiques de leurs conditions coutumières et à leur restituer la place qui leur revient en tant qu’espèces animales appar-tenant à l’écosystème. Dans le cas des équidés, certaines régions, comme l’estuaire de la Loire, permettent d’élever des chevaux de sport dans l’espoir de vendre les poulains en parallèle de l’activité de conservation du milieu. Cette stra-tégie commerciale ne fait pas appel à des races anciennes auxquelles nous nous attacherons. Dans notre dossier, qui n’a pas pour objectif le recensement exhaustif de tous les chevaux débroussailleurs en France, nous avons suivi la piste des petits chevaux primitifs. Il s’agit avec eux de promouvoir un cheval naturel, voire « dédomestiqué » – concept inventé par les hollandais –, très proche de son ancêtre sauvage et pouvant jouer pleinement le rôle de « grand herbivore » au service des milieux naturels. Nous espérons qu’il vous éclai-rera sur les pratiques en cours, leur efficacité et leurs impacts en terme de gestion et de conservation de la biodiversité. ■

Publié dans : Cheval Attitude N° 3 (juillet-août 2006)

Des chevaux écolos

au secours de la biodiversité

En France, il est encore possible de découvrir différentes races de chevaux ou poneys aux caractères primitifs, qui vivent dans des conditions proches de celles de leurs ancêtres sauvages… Des poneys slaves comme le Konik polski ou le Przewalski, aux races rustiques françaises comme le Pottok ou le cheval de Camargue, voici des herbivores venus de la nuit des temps pour préserver notre patrimoine naturel.

Société

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Société

L’énergie fossile a des réserves limitéesElle est issue de l’utilisation de combustibles fossiles comme le pétrole, le gaz naturel, le charbon et la houille…Ces ressources sont présentes en quantité limitée et non renouvelable. Leur transformation et leur usage sont générateurs des principaux gaz à effet de serre et des déchets polluants dans l’atmosphère et l’écosystème. L’utilisation de quantités colossales de combustibles fossiles est à l’origine d’un déséquilibre important du cycle du carbone qui entraîne des changements climatiques.

L’énergie fossile en périlL’épuisement de l’énergie fossile serait inéluctable. Les réserves de combustibles fossiles de la planète sont fixes. Aujourd’hui le rythme de la consommation actuelle est tel que l’humanité aura épuisé en moins de 200 ans les réserves accumulées pendant plusieurs centaines de millions d’années. Si l’utilisation du pétrole remonte à l’antiquité, la véritable explosion des forages spécifiques coïncide avec la naissance de l’industrie moderne (1859-1901). Voyant tout l’intérêt de cet « or noir », à partir des années 1900, le rythme des forages s’accéléra pour atteindre, au milieu des années 40, un rythme frénétique et très lucratif. Jusqu’en 1973, c’est l’abondance. Les réserves de pétrole semblent inépuisables et les prix s’effondrent encourageant encore son utilisation. Puis vint le premier

choc pétrolier en 1973 puis le second en 1979. Dès lors, des solutions alternatives ont vu le jour, mais l’économie mondiale est encore loin de pouvoir se passer des éner-gies fossiles et plus spécifiquement du pétrole.

Les principaux consommateurs d’énergie fossileLes pays développés d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie sont les principaux pays consommateurs de l’énergie fossile. Les États-Unis décrochent la médaille de champions du monde en consommation de pétrole. Les États-Unis consomment le quart du pétrole produit chaque année avec presque 5 % de la population mon-diale. Entre 1993 et 2003, leur consommation ne s’est pas modérée puisqu’ils affichent une hausse de + 16 % sur ces dix années. Des chiffres qui correspondent quasiment à la

L’énergie fossile une ressource limitée

L ’énergie fossile désigne l’énergie produite à partir de ressources naturelles de la planète. Vieilles de centaines de millions d’années, elles sont issues de la fossilisation des êtres vivants.

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Bientôt le charbon sans Co2Le charbon est de loin la source d’énergie qui émet le plus de Co2. Mais des technologies innovantes pourraient limiter cette émission. D’abord en améliorant le rendement éner-gétique des centrales à charbon pour produire le maximum de kWh avec une tonne de charbon: on parle d’efficacité énergétique. Ensuite, en captant le Co2 provoqué inévitable-ment par la combustion du charbon. Le moyen ? En sépa-rant le Co2 dans les fumées, éventuellement en changeant le mode de combustion (combustion sous oxygène pur, par exemple, ou après gazéification du charbon). De grands projets américains et européens de centrales basées sur ce principe devraient voir le jour vers 2015, avec pour but de réduire les coûts. Il faudra, enfin, stocker le carbone en sous-sol, dans d’anciennes mines ou gisements pétroliers, par exemple, ou dans des nappes d’eau profondes. Mais ces techniques sont encore en développement.

L’avenir positif de l’énergie fossile !Henri Prévot ingénieur général des Mines, auteur et co-auteur de plusieurs livres et rapports sur les problèmes énergétiques affirme des idées fortes et originales sur le débat de l’épuisement de l’énergie fossile. Il assure, entre autre, que la réduction des émissions de gaz à effet de serre ne va pas passer par un changement radical du mode de notre vie. ■

Source : www.bloc.com

Le saviez-vous ?• La vitesse d’utilisation des combus-

tibles fossiles est si importante depuis le XIXe siècle que l’humanité épuise ses réserves fossiles environ un million de fois plus vite que ce que la nature a mis pour les constituer.

• • La vitesse d’utilisation des combus-vitesse Ltibles fossiles est si importante depuis le es fosXIXe siècle que l’humanité ècle épuise ses réserves fossiles environ un million de fois plus vite que ce que la nature a mis pour les constituer.

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Le jardinage bio est une méthode favorable à la santé et qui préserve les sols ainsi que les nappes phréatiques.

Pour Jardiner Bio, vous avez besoin de connaître :

• Les méthodes de compostage et leurs utilisations

• Les traitements naturels au potager et jardin

• Reconnaître les herbes dites « mauvaises »

• Les moyens de luttes naturelles contre les ravageurs et les maladies des plantes

Deux questions parmi les plus courantesComment se fait donc la fertilisation ?La fertilisation se fait par l’apport de compost selon les besoins de chaque plante ou légume, de fumier et par l’utili-sation d’engrais vert : chaque parcelle inutilisée est semée d’engrais vert (moutarde, phacélie, trèfle, épinard, seigle, pois, lupin... dans le cas d’un potager bio) selon le terrain et la saison ou tout simplement laissée enherbée afin que le sol soit toujours couvert pour ne pas être « lessivé ». En plus de protéger le sol, l’engrais vert produit de l’humus et grâce à ses racines, le travaille.

pourquoi s’y intéresser ?

V ous commencez à vous rendre compte que trop de jardiniers utilisent des fertilisants et des pesticides chimiques, sans en connaître les graves conséquences sur leur santé et en terme de pollution dans l’eau, dans le sol : légumes trop riches en nitrates et contenant des résidus de pesticides, pollution des nappes phréatiques, destruction des auxiliaires en même temps que des ravageurs...

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Jardinage bio

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Y a-t-il des insecticides que l’on peut utiliser ?On utilisera en insecticide la roténone, le pyrèthre (tous deux issus de plantes), le savon noir liquide (dilué à 3 %) contre les pucerons et le bacille de Thuringe (Bacillus Thuringiensis : préparation microbienne) contre les che-nilles. En prévention contre les maladies, le cuivre et le soufre sont deux fongicides intéressants.

Dernières recommandationsLe jardin biologique est un jardin « nature » que l’on maî-trise et que l’on ne domine pas. Les insectes, les oiseaux et même les « mauvaises » herbes ont leur place et concou-rent à maintenir ce petit écosystème en équilibre.La culture bio dans les jardins s’avère intéressante et pas-sionnante, elle mérite d’être propagée. Le travail de la terre en harmonie avec la nature a incontestablement des vertus équilibrantes sur les plans physique et psychologique.

Voici les dix premiers conseils pour démarrer du bon pied dans le jardinage bio• Réduire la pollution en n’utilisant aucun produit chimique

de synthèse.

• Recycler les déchets animaux et végétaux en un bon com-post pour maintenir un sol fertile et sain ; le compost assure la fertilisation du sol.

• Le « mulching » et d’autres techniques permettent le contrôle des mauvaises herbes.

• Des méthodes préventives et quelques produits non toxiques permettent de lutter contre les ravageurs et les maladies.

• Pour bien réussir du bio jardinage, il faut un sol vivant, riche en humus et équilibré, capable de nourrir efficace-ment les plantes.

• Une bonne terre, chacun peut l’avoir au bout de quelques années, même en partant d’un très mauvais sol. Il suffit de l’enrichir en humus et de nourrir les êtres vivants qui le peuplent. Le jardinier dispose pour cela de deux armes de choc : le compost et les engrais verts.

• Le jardinage bio utilise des pesticides naturels, cepen-dant il ne faut pas perdre de vue qu’ils ont aussi une action sur l’environnement ; il faut donc les utiliser avec beaucoup de parcimonie.

• Les plantes s’influençant, il est nécessaire d’effectuer alternance et rotation des cultures ainsi que de choisir les bonnes associations de légumes. En règle générale on ne fera pas se succéder deux légumes de la même famille, développant les mêmes organes ou nécessitant les mêmes apports en compost.

• Il est très important de ne pas apporter trop d’azote ainsi que du compost insuffisamment décomposé pour prévenir des maladies.

• Encourager la diversité en cultivant un grand choix d’espèces et de variétés, et en diversifiant les habitats pour la faune (haies, murs, tas de bois...).

Mon Potager BioPour débuter son premier potager bio quelques principes fondamentaux sont à connaître notamment en terme de choix des plantes, d’engrais naturel, de rotation des cultures et autres traitements des parasites.

Un potager bio nécessite tout d’abord un enso-leillement généreux et une protection efficace des cultures contre les vents dominants. Évitez autant que pos-sible la proximité d’une maison qui ferait de l’ombre

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et les arbres gourmands en eau. Une fois l’emplacement choisi, le jardinier devra choisir des plantes adaptées à sa région et aux vicissitudes du climat. Pour faciliter le tra-vail du sol, le jardin sera divisé en carrés séparés par des allées. Les plantes vivaces comme les aromatiques, les asperges ou encore la rhubarbe seront reléguées de préférence en bout de jardin ou sur les bordures pour mieux réaliser les binages et bêchages futurs. Une fois les carrés délimités, les plantations pourront débuter au rythme des saisons.

Pour éviter l’apport d’engrais chimique et de pesticides, associez les plantes qui vont se compléter : sachez par exemple que l’ail, l’oignon ou encore l’échalote ralentissent le développement des légumineuses comme les haricots et les pois. Même chose pour les choux qui contrarient la croissance des fraisiers et le fenouil les carottes. Traditionnellement, les carottes se plantent à côté des poi-reaux, des oignons et de la coriandre, les tomates se plan-tent à proximité des oignons, les haricots à côté des radis. Les soucis tiendront éloignés les insectes des carottes, des choux et des laitues tandis que les œillets d’inde avec leurs odeurs particulières, éloigneront les nuisibles des tomates.Sachez de plus que le meilleur rempart pour échapper aux insectes ravageurs est de laisser une partie du jar-din en semi friche. Les ennemis des cultures pourront y trouver de quoi manger et par ricochet, les amis des cultures comme les rouge gorges et les abeilles aussi. Si par bonheur vous avez un terrain à ortie, garder-les précieusement pour leur grande efficacité sur les maladies les plus courantes que vous traiterez grâce à une décoc-tion adaptée (purin d’ortie). Une fois vos plantations mises en place, vous pourrez débuter la fabrication de votre propre compost pour amender votre sol à la morte sai-son. Ce compost aura le même effet chimique qu’un engrais sans pollution aucune.Enfin, l’année suivante, procédez à la rotation de vos cultures. Cette technique vous évitera d’appauvrir votre sol. Un arrosage au goutte à goutte avec de l’eau de pluie récupérée mettra la touche finale à votre potager bio.

Allez lesles enfants,au jardinage ! P lante un pépin de pomme : tu auras un pommier !

Le semis est assez facile, cependant il te faudra beaucoup de patience pour obtenir un pommier. Mais ça vaut le coup, et c’est très amusant.

Choisis une pomme bien mûre, coupe-la en deux. Prélève un pépin bien gonflé, brillant, d’une jolie couleur, entre brun et roux. Place ce pépin dans une petite coupelle emplie d’eau tiède. Laisse-le pendant 24 heures. Cette opération sert à ramollir l’enveloppe avant le semis. Remplis un godet d’un mélange de terreau et de sable à parts égales. Fais un trou au milieu, avec ton doigt, sur 1 à 2 cm de profondeur.

Pose le pépin au fond, recouvre de terre.Arrose doucement. Place le godet sur une assiette, dans la maison, près d’une fenêtre. Laisse la terre sécher en sur-face, avant d’arroser à nouveau.Lorsque les premières feuilles apparaissent, arrose dès que la terre sèche.Lorsque la plante a 3 ou 4 cm de haut, transplante-la dans un pot de 10 cm, empli de terreau. Pose ce pot sur le balcon ou au jardin, dans un endroit abrité. Pense à arroser, s’il ne pleut pas.Au fur et à mesure de sa croissance, n’oublie pas de la rempoter, à chaque fois dans un pot encore plus gros, puis de lui donner de l’engrais, lorsqu’elle a 2 ans. ■

Sources : www.femininbio.com, www.aujardin.info, www.botanic.com

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Savoir faire face aux agressions quotidiennes avec la réflexologie.

Technique extrêmement efficace, la réflexologie consiste à traiter différents troubles par une légère pression sur les pieds ou les mains. La correspondance entre chaque région du corps et une zone localisée, appelée « zone réflexe », des pieds et des mains permet de traiter le corps tout entier à partir de points précis.

doucesLa médecine douce peut être courante, tolérée ou bien prohibée. Quoi qu’il en soit, elle reste toujours

contestée par la médecine officielle, celle qui est fondée sur la méthode scientifique, bien que de nos jours, des médecins ont recours à ces techniques parallèles.

Bien-être & Santé

Les médecines

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Il y a deux sortes de médecine : la médecine convention-nelle et la médecine non conventionnelle, appelée encore « médecine douce », « médecine naturelle », « médecine parallèle » ou « médecine holistique ».

Qu’est-ce qu’on entend par « médecine douce » ?Une médecine douce est une médecine qui aide le corps à guérir par lui-même grâce à des substances naturelles telles les plantes, les huiles essentielles, les aliments, les miné-raux,…et suivant des techniques manuelles ancestrales et souvent empiriques.

Sa notoriété réside dans son efficacité indiscutable et dans le fait qu’elle apporte d’autres bienfaits à l’organisme : bien-être, beauté, équilibre, énergie, stimulation etc.Selon les lois en vigueur dans un pays, la médecine douce peut être courante, tolérée ou bien prohibée. Quoi qu’il en soit, elle reste toujours contestée par la médecine officielle, celle qui est fondée sur la méthode scientifique, bien que de nos jours, des médecins ont recours à ces techniques parallèles.

Les méthodes de la médecine douceSuivant les outils et les substances utilisés pour les traite-ments, la médecine douce regroupe plusieurs techniques.

une thérapie simple et efficace

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Les zones réflexesLa réflexologie repose sur une segmentation du corps humain en zones longitudinales et transversales.Les zones longitudinales partent des pieds, remontent le long des jambes jusqu’au sommet du crâne, descendent le long des bras jusqu’aux mains. Il y a 5 zones du côté droit et 5 du côté gauche du corps : la zone 1 relie le gros orteil au pouce, la zone 2 le second orteil à l’index et ainsi de suite. Les zones réflexes auront la même localisation sur les pieds et sur les mains.Les zones transversales sont identifiées sur les pieds : trois parties de l’ossature plantaire correspondent à trois parties du corps. Ces trois lignes sont celles de la ceinture scapu-laire qui se projette à la jonction des phalanges et du méta-tarse, de la taille qui est située à peu près au milieu du pied séparant le métatarse du tarse antérieur et enfin du plancher pelvien qui suit une ligne imaginaire traversant le tarse et reliant les malléoles de la cheville.

Le déroulementLe praticien vous installe dans une position confortablement inclinée, idéalement sur un fauteuil inclinable. Le dos, la nuque et les jambes doivent être bien soutenus et les pieds surélevés pour faciliter le travail.Avant le début du traitement, le praticien se renseignera sur votre passé médical, votre mode de vie et votre état émo-tionnel et psychique lui permettant de déterminer le type de traitement qui vous est adapté.Il débarrasse la saleté superficielle des pieds à l’aide d’un linge humide. Il les examine pour déceler toute trace de cal-losités, de crevasses, d’ongles incarnés ou d’infections telles que les verrues plantaires.Pour adoucir les peaux sèches et pour absorber l’humidité des pieds moites, le praticien les masse à l’aide de talc. Cette première approche vous permet de vous habituer au contact des mains du praticien et vous aide à vous détendre.Le traitement commence souvent avec le pied droit pour se poursuivre sur le pied gauche. Il se peut également que le réflexologue travaille simultanément des deux côtés pour stimuler les zones réflexes correspondant à la région du corps affectée pour une meilleure efficacité.

La duréeLes séances durent environ une heure. Même si vous vous sentez déjà mieux après la première séance, il est important d’en faire au moins trois pour s’assurer un résultat durable. Quatre à six séances sont souvent nécessaires et peuvent s’espacer à mesure que votre état s’améliore. Un traitement régulier permet de consolider les améliorations et joue un rôle préventif.

Les réactions possiblesLes réactions qui apparaissent après les premières séances peuvent être désagréables mais ne sont que des bons signes montrant l’efficacité et les effets de la réflexologie.

Certaines réactions peuvent effectivement se produire : légères nausées, diarrhées bénignes, à mesure que le corps commence à éliminer des toxines.

Les bienfaits de la réflexologieCette méthode de massage apporte une foule de bienfaits. Du point de vue système nerveux, c’est une technique qui permet de se libérer de toutes les tensions et des émotions négatives. L’organisme est alors totalement détendu. La réflexologie est égale-ment une méthode qui a fait ses preuves dans la lutte contre ces petits maux qui vous gâchent la vie comme les céphalées, les coups de fatigue ou encore les troubles de la digestion. Dans tous les cas, en profiter permet de se débarrasser radicalement du stress.

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La sophrologie pourrait être qualifiée de science de la détente, de la relaxation. Elle est une véritable alliée car elle offre la possibilité à l’être humain de « devenir auto-nome ». À mi-chemin entre la veille et le sommeil, la per-sonne va pouvoir stimuler différentes capacités enfermées en elle. Elle va ainsi pouvoir gérer son stress, ses émotions, apprendre à se concentrer, à positiver, à créer.

La sophrologie se base sur plu-sieurs principes fondamentauxAmener le schéma corporel à plus de réalité vécue, habiter le corps en bonne santé et conquérir l’harmonie physique et psychique.

• Renforcer l’action positive, afin de développer les élé-ments positifs du passé, du présent et de l’avenir, et de mieux utiliser tous nos potentiels.

• Développer la réalité objective, pour apprendre à voir les choses davantage comme elles sont, de développer plus de réalisme et d’efficacité dans l’action.

• Adapter les techniques et méthodes aux situations et aux participants.

• Prendre conscience de notre schéma existentiel comme réalité à vivre.

Les techniques et les méthodesIl existe deux façons de pratiquer la sophrologie, soit par des relaxations dites dynamiques, soit par des techniques spécifiques appelées sophronisations. • Les relaxations dynamiques : Elles sont très efficaces

et permettent une progression plus importante que les sophronisations. Pratiquées debout ou assis sur une chaise, en pleine lumière, elles constituent la méthode privilégiée en groupe et représentent l’un des piliers de la sophrologie. Elles regroupent plusieurs techniques suivant une méthode rigoureuse dans des objectifs à long terme.

• Les sophronisations : techniques surtout pratiquées en séance individuelle, elles sont nombreuses et choisies en fonction de l’apprenant et de sa demande. Parmi les exer-cices effectués, on trouve la concentration sur un stimulus interne, la projection sensorielle imaginée vers le futur ou encore l’évocation de souvenirs agréables. Cette méthode constitue essentiellement une adaptation, une personna-lisation en protocoles courts (5 à 20 minutes), précis et avec des objectifs immédiats ou à court terme. ■

Source : http://forme.suite101.fr, www.massage-zen-therapie.com,

www.femininbio.com

La sophrologie vise à développer la qualité de vie de l’être humain dans tous ses aspects, physiques et psychiques. Le but à atteindre étant

l’harmonie du corps et de l’esprit.

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Approche naturopathique du terrain L’activité d’une HE dépend de la composition des molécules aro-matiques qu’elle contient. En NATUROPATHIE, nous considérons le Germe et le Terrain. Certaines infections où le germe est particu-lièrement virulent continuent à flamber malgré les soins de terrain. Il ne faudra pas oublier la 3e phase essentielle, décongestionner les tissus.

Mode d’utilisation On utilise les HE de plusieurs façons :

• en vaporisant ou en les respirant,

• en les absorbant, à raison d’1 à 2 gouttes sur la langue, sur un sucre, 1 cuillère de miel,

• dans un bain chaud, à raison de 10 à 20 gouttes,

• en frictions ou massage sur le corps, pure ou mélangée,

• en suppositoires, en ovules gynécologiques, en cataplasmes, en cosmétiques, en parfumerie, dans l’art culinaire, en désinfection ménagère, …

La toxicité des HELa toxicité des HE peut être soit interne, soit externe. Par usage externe, certaines HE sont dermocaustiques. Ce qui signifie qu’elles sont irritantes pour la peau et les muqueuses comme les Phénols par exemple.

Précautions d’emploi des HEIl est surtout recommandé de diluer les HE dans des huiles végé-tales, dans les bonnes proportions, pour les HE indispensables, tant par la voie d’utilisation interne qu’externe. Ne pas utiliser des HE en injections I.V. ou I.M. Le risque d’allergie varie d’une per-sonne à l’autre, donc vérifier en plaçant un coton imbibé d’HE sur l’avant du poignet durant 24 heures. Ne pas laisser les HE à la portée des enfants, des animaux, des personnes fragiles mentale-ment, des femmes enceintes ou allaitant.

Margarett Girard

« Le germe n’est rien, Le germe n’est rien, c’est le terrain qui est tout » Louis Pasteur

des HE

L’aromathérapie

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Si votre peau est devenue plus sèche, pensez à l’hydrater en douceur mais sans l’agresser, sinon c’est la porte ou-verte aux points noirs, à l’eczéma et aux dartres. Troquez vos cosmétiques habituels contre une huile au noyau d’abri-cot biologique, en la massant délicatement juste après vaporisation d’un nuage d’eau minérale ou d’eau florale (rose, camomille, bleuet). Les huiles végétales et les prépa-rations contenant ces huiles se plaisent volontiers sur une peau légèrement humide, ce qui facilite leur pénétration.

Si votre peau est plus grasse, avec ou sans boutons et points noirs, il ne faut surtout pas l’irriter davantage en l’as-séchant avec des produits alcoolisés ! Aidez-la au contraire à retrouver son équilibre naturel. Oubliez vos produits de soins habituels et opter pour une formule douce et natu-relle : huile de noisette ou macadamia biologiques (à peine grasses, elles sont idéales pour hydrater sans as-phyxier les peaux à tendance grasse).

Attention arnaque !Ne vous fiez pas aux marques qui mettent en avant tel principe actif végétal, sous couvert de chimie. En effet, de nombreux cosmétiques ajoutent quelques milligrammes d’extraits végétaux dans leur composition pour revendiquer le titre de « produit naturel ». Soyez vigilantes, car presque tous les produits de beauté présents sur le marché contien-nent des substances allergisantes, dangereuses, voire toxiques. Les éthers de glycol sont les pires.Mais difficile de les reconnaître tant leurs appellations sont nombreuses : phenoxyethanol, propylène glycol, butyl gly-col… Ces substances toxiques provoquent des dégâts plus ou moins graves, allant de la simple intolérance à diverses malformations du fœtus.

Beauté

Beauté BioGrossesse et

La grossesse est un moment très intense dans la vie d’une femme. L’épanouissement et la vitalité peuvent illuminer le visage mais aussi générer de petites imperfections. Voici quelques conseils de beauté bio.

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Puisqu’il est difficile de décrypter les étiquettes, ne prenez au-cun risque et achetez vos produits dans les magasins de pro-duits biologiques, parmi les marques les plus naturelles : Wele-da, Logona, Lavera, Sante, Dr. Hauschka, Tautropfen, Phyt’s, etc. (Et choisissez toujours les produits les plus simples, sans huiles essentielles, NDLR). Pendant la grossesse, le corps change, les soins bio sont alors les meilleurs alliés pour la peau. Petits conseils pour garantir beauté et tonus ! Pour prévenir vergetures et cellulite, vous devez garder une peau ferme et tonique. Commencez par gommer les cellules mortes deux à trois fois par mois avec un des nombreux produits proposés dans les boutiques bios (exfoliants aux sels marins, gommage au rhassoul, etc.).Comme il a été prouvé que le massage fait perdre les centimètres gênants et non le produit utilisé, massez-vous tous les jours : aux crèmes anti-cellulite (trop alcoolisées et par conséquent desséchantes) préférez une huile que vous ferez pénétrer en massant délicatement, en partant de la cheville et en remontant vers la hanche.L’aspect de l’huile a moins d’importance que votre affinité avec telle odeur ou telle couleur. Bien évidemment, pour garantir la qualité des huiles, il faut les choisir de culture biologique. Pour préserver de jolies formes, n’oubliez pas de marcher régulièrement, à votre rythme, en tenue confortable. C’est la meilleure des gymnastiques pour le corps, le teint et la digestion. Ne vous en privez pas !

Pour vous assurer une peau éclatante et pleine de vitalité, les soins naturels sont LA solution. Voici quelques petits gestes épanouissants qui ménage-ront votre épiderme.

Pas de belle peau sans un net-toyage minutieux ! Que vous préfériez la com-binaison lait + lotion ou le savon, vous devez choisir des produits très doux. Sous l’effet des hormones, la peau de-vient plus sensible.Au réveil, contentez-vous d’une vaporisation d’eau pure aux eaux florales. Investissez dans un vaporisateur en verre, versez-y 1/3 d’eau florale biologique et complétez avec de l’eau Montcalm ou Mont Roucous, ou encore de l’eau filtrée. Si votre peau est sensible, privilégiez les eaux florales de bleuet ou de camomille. Si vous avez une peau à problème (grasse, boutons, acné…), préférez l’eau florale de lavande. Pour protéger la peau de votre visage contre les agressions extérieures (vent, soleil, pollution), pensez à appliquer chaque matin une crème nourrissante douce et bio. Les peaux into-lérantes retrouveront leur équilibre avec la Crème Soin Vi-sage de Weleda, tandis que la Crème de Jour protectrice à l’Iris (Weleda également) apportera douceur et hydratation

à tous les types de peaux (normale, sèche, mixte et grasse).Le soir, offrez à votre peau un soin-velours ! Les peaux sèches ne pourront résister à un massage léger avec une huile de noyau d’abricot bio, dans laquelle vous ajoute-rez l’équivalent de 10 % d’huile de germe de blé (soit, pour un flacon de 50 ml, 5 ml d’huile de germe de blé pour 45 ml d’huile d’abricot), à préparer à l’avance et à garder à l’abri de la lumière et de la chaleur, jusqu’à la dernière goutte d’utilisation !

Pour rééquilibrer l’excès de sébum qui empoisonne les femmes à la peau grasse, essayez ce soin digne des plus grands instituts de beauté : dans un flacon vide de 50 ml, versez à quantité égale de l’huile de noisette et de l’huile de macadamia et massez délicate-ment la peau de votre visage et du cou. Vous accroîtrez l’ef-ficacité de ces deux préparations en les appliquant sur une peau légèrement humide, c’est-à-dire après vaporisation de votre eau florale, par exemple.Il va sans dire que pour garantir la qualité des huiles, il faut les choisir de culture biologique.

Le chloasma, ou masque de grossesse, fait partie des petits tracas que peut connaître la femme enceinte. Il se caractérise par des taches brunes qui apparais-sent sur le visage.Environ 70 % des femmes sont touchées par cette hyper-pigmentation de la peau. Ce phénomène résulte d’une augmentation du taux d’hormones, entraînant une synthèse plus importante de mélanine.

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Pour atténuer ce masque• Évitez les expositions solaires qui accentuent les marques.

• Appliquez une crème bio adaptée aux actifs végétaux éclaircissants.

Halte au soleil !Si vous êtes enceinte durant l’été, faites bien attention ! Le soleil peut se révéler très néfaste pour votre peau. Ses rayons sont particulièrement mauvais pour votre visage car ils provoquent l’apparition du masque de grossesse. Si vous vous exposez au soleil, prévoyez une protection à indice maximal et nourrissez votre peau après exposition.

Une Grossesse en pleine forme !La grossesse est parfois difficile à vivre : nausées, problèmes digestifs, etc. Mais il ne faut pas la voir comme le parcours du combattant ; certaines formules existent pour la rendre plus agréable.

Petits soucis de parcoursCertaines femmes n’ont pas besoin d’examen sanguin pour savoir qu’elles sont enceintes : les nausées, poussées d’ac-né ou d’eczéma sont autant de signes révélateurs !Pour vous soulager, évitez l’automédication, surtout avec des médicaments allopathiques. Privilégiez autant que pos-sible les médecines alternatives et les remèdes de « bonne fame » (signifiant de bonne renommée, et non de « bonne femme » comme on pourrait le croire).

Les nausées ne résistent pas à un traitement ho-méopathique adapté à votre cas personnel. Pour ce faire, inutile de jouer les apprenties sorcières ; faites confiance à la compétence d’un médecin qualifié (l’homéopathie est une médecine reconnue et prise en charge par la sécurité sociale).

Les jambes lourdes peuvent être soula-gées par l’application d’une pommade aux extraits naturels connus pour leur action sur la circulation sanguine. En trai-tement interne, vous trouverez de nombreux complexes végétaux dans les boutiques de produits bio et naturels. At-tention : précisez toujours que vous êtes enceinte, afin d’éviter toute substance – même naturelle – non compatible avec votre état !

Les problèmes digestifs (constipation, lourdeurs après les repas…) ne résistent pas à un traitement homéopathique (prescrit par un praticien), associé à une hy-giène de vie adaptée à votre nouvelle situation. Par exemple, en fractionnant les repas…L’accoutumance au tabac et la consommation d’alcool est néfaste pour la santé du bébé, chacun le sait de nos jours. Inutile donc de répertorier les problèmes auxquels le futur bébé est exposé.Demandez conseil à votre médecin homéopathe pour vous aider à arrêter de fumer. ■

Source : www.femininbio.com

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Salade au goût très prononcé, la roquette se lie parfaitement d’amitié avec le basilic. Un mariage heureux adouci par la saveur sucrée des pignons.

Tarte à la roquette

Ingrédients pour 6 personnesPâte à tarte

• 250 g de farine demi-complète

• 100 ml d’huile d’olive équitable

• eau chaude

• sel

• 5 feuilles de basilic bio écrasées

Appareil

• 1 grosse poignée de roquette bio

• 1 filet d’huile d’olive équitable

• 1 c. à soupe de pistou

• 1 œuf bio

• ½ pot de crème semi épaisse végétale

• du fromage de brebis

• 70 g de parmesan

• pignons grillés

• sel et poivre

Pâte à tartearteP

• 250 g de farine demi-complè

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• 1 grosse poignée de roquette

• 1 filet d’huile d’olive équitab

• 1 c. à soupe de pistou

• 1 œuf bio

• ½ pot de crème semi épaisse végétale

• du fromage de brebis

• 70 g de parmesan

• pignons grillés

• sel et poivre

1. Laver les feuilles de basilic et les écraser grossièrement avec un pilon. Préchauffer le four à 180 °C (th. 6).

2. Préparer la pâte en mélangeant bien tous les ingrédients ainsi que les feuilles de basilic. Étaler la pâte et en garnir un moule huilé. Piquer et faire cuire ce fond de pâte à blanc.

3. Mélanger la crème, l’œuf et le pistou. Saler, poivrer. Laver et essorer la roquette.

4. Dans une poêle faire dorer les pignons dans un peu d’huile d’olive.

5. Placer les feuilles de roquette sur le fond de tarte cuit, arroser d’huile d’olive. Verser la crème au pistou sur la roquette. Ajouter le fromage coupé en tranches et les pignons. Saupoudrer de parmesan.

6. Enfourner 30 à 40 minutes. Servir tiède ou froide.

Préparation

Gastronomie

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1. Dans un saladier, mélangez 1 œuf, 1 verre de farine et une pincée de levure ou de bicarbonate. Délayez avec un peu de lait, puis ajoutez 4 à 6 c. à soupe de légumes réduits en purée, les herbes ou épices choisis.

La pâte doit être un peu épaisse, comme une pâte à blinis. Laissez reposer une heure.

2. Faites cuire à la poêle comme des crêpes que vous pourrez servir avec une petite sauce, par exemple aux amandes, à la tomate.

Préparationt une n peu ts en

blinis.

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aux légumesIngrédients• 4 à 6 c. à soupe d’un reste

de légumes

• 1 œuf

• 1 verre de farine

• ½ verre de lait

• 1 pincée de levure ou de bicar-bonate

• Épices

• 4 à 6 c. à soupe d’un reste 6 c. àde légumesgumes

• 1 œuf

• 1 verre de farine

• ½ verre de lait

• 1 pincée de levure ou de bicar-bonate

• Épices

Galettes bio

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Ingrédients pour 4 personnes• 200 g de tofu soyeux

• 60 g de sucre

• 3 œufs

• ½ sachet de levure

• 1 c. à soupe de maïzena

• 200 g de tofu soyeuxg de

• 60 g de sucre

• 3 œufs

• ½ sachet de levure

• 1 c. à soupe de maïzena

Ingrédients pour 2 grands verres • 2 expressos doux (café de Colombie

ou moka d’Ethiopie)

• 1 yaourt nature (de préférence pas trop acide)

• 10 cl de lait froid

• 2 cuillères à café de miel

• 10 cubes de glace

• • 2 expressos doux (café de Colombie pressoou moka d’Ethiopie)

• 1 yaourt nature (de préférence pas trop acide)

• 10 cl de lait froid

• 2 cuillères à café de miel

• 10 cubes de glace

Petits cakes au chocolat et tofu soyeux

Smoothie au café !

1. Blanchissez 60 g de sucre et 3 œufs, incorporer 200 g de tofu soyeux et fouetter énergiquement.

2. Ajoutez 200 g de chocolat fondu avec 1 c. à soupe bom-bée de maïzena et 1/2 sachet de levure.

3. Fouettez à nouveau.4. Versez la préparation dans de petites caissettes en papier.5. Enfournez 10 à 15 min. à four préchauffé à th. 6 (180 °C).

Préparation

Source : www.consoglobe.com ; www.pur-cafe.com

Onctueux et délicieux, voici une petite variante de café glacé qui va vous ravir dès le petit déjeuner.

1. Préparer tout d’abord les 2 expressos et laissez-les refroidir quelques minutes.

2. Mettez ensuite tous les ingrédients dans le blender en commençant par les cafés, puis le miel, le yaourt, le lait et enfin les glaçons. Mixer en 20 et 40 secondes suivant la puissance de votre blender puis servir et consommer immédiatement.

Préparation

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À Capbreton À Soustons

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Trucs & Astuces

La majorité des détergents que l’on trouve dans le commerce contiennent, pour la plupart d’entre eux du chlore, substance chimique très nocive et également un grave irritant des yeux, du nez et de la peau.

Le nettoyage de Printemps

s’annonce…

Pour lavez vos baignoires et lavabo, utilisez du bicarbonate de soude sur une éponge. Rincez à l’eau chaude. Si l’eau est dure, enlevez les dépôts calcaires avec du vinaigre blanc ou un jus de citron. Pour venir à bout d’une tache rebelle, imbibez un chiffon de vinaigre blanc ou de jus de citron et laissez-le sur la tache pendant quelques heures. Rincez.

Pour lavez vos carreaux Frottez-les avec un linge imbibé de vinaigre blanc et une vieille brosse à dents.

Pour purifier votre air de manière naturelle, rien ne vaut les « recettes maisons » et vous pouvez faire vos purificateurs et parfumer en même temps vos pièces.

Mettez du bicarbonate de soude dans une coupelle que vous placez ensuite dans le réfrigérateur pour neu-traliser les odeurs ou directement dans la poubelle (à la source).

Préparation pour vaporisateur. Mettez 1 cuillère à café (5 ml) de bicarbonate de soude dans 2 tasses (500 ml) d’eau chaude. Ajoutez 1 cuillère à café de jus de citron. Versez ce mélange dans un flacon pulvérisateur et vaporisez comme un purificateur d’air.

Vous pouvez aussi mettre quelques tranches d’agrume ou bien 2 ou 3 clous de girofle ou encore de la cannelle dans une casserole avec suffisamment d’eau, laissez mijoter pendant une heure ou deux et versez dans un vaporisateur.

Avec des huiles essentielles : 30 gouttes pour un vapo-risateur de 500 ml. Vous avez le choix des huiles et vous pouvez même en mettre deux : citron, mandarine rouge, pamplemousse, citronnelle… ■

Petits conseils pour un intérieur frais, sain et naturel…

42

Décoratives, oui, mais pas seulement ! Les plantes vertes peuvent dépolluer notre maison. Sélection des cinq les plus performantes et les plus faciles à cultiver.

L’air que l’on respire chez soi est chargé de substances irritantes pour les yeux, le nez, les gorges, dues aux pro-duits ménagers ou contenues dans les murs et les sols. La Nasa, en 1980, a été la première à mettre en avant les vertus purificatrices des plantes pour traiter l’air des capsules spatiales. Le Centre scientifique et technique du bâtiment et la faculté de pharmacie de Lille les étu-dient aujourd’hui. Le processus est le suivant : en res-pirant, certaines plantes absorbent les particules en suspension dans l’air et les évacuent par les racines. Celles-ci sont ensuite détruites par les micro-organismes présents dans le terreau.

Quelques exemplesLa fleur de luneLe Spathiphyllum peut atteindre 2 m de haut. Il est alors le plus efficace. Peu exigeant, il demande une lumière ta-misée, sans soleil direct, et un terreau toujours frais. Leurs grandes fleurs blanches s’épanouissent presque toute l’an-née. Elle absorbe des solvants toxiques : le benzène (dans la fumée de cigarette), le trichloréthylène et le formaldé-hyde qui émanent des peintures et colles, présentes par exemple dans les panneaux de particules ou utilisées pour coller les moquettes.

L’indispensableLe figuier pleureurDevenu très commun, Ficus benjamina n’en demeure pas moins très décoratif, faisant vite l’effet d’un petit arbre de 2 m de haut avec une grande surface filtrante. Il faut le placer dans la pièce la mieux éclairée de la maison, au salon par exemple, et l’arroser régulièrement, sans excès, quand la terre est sèche en surface. Des pulvérisations d’eau pure en hi-ver sont appréciées.

Il absorbe le formaldéhyde, un produit nocif présent un peu partout, jusque dans les peintures à l’eau, les tissus d’ameublement et les produits d’entretien.

AntidétergentLe palmierDans un grand bac, Rhapis excelsa peut être très efficace ! Ses palmes souples, non piquantes, peuvent atteindre 1 à 2 m de haut. Très exotique, il apprécie la lumière indirecte, près d’une fenêtre, à l’est, ou derrière un voilage au sud, en été. En hiver, vaporisez souvent les feuilles, dessus et dessous. Il absorbe l’ammoniac contenu dans des déter-gents. Bannissez les produits ménagers ammoniaqués, no-tamment certains nettoyants pour vitres.

Rapidement efficace La phalangèreLes touffes de feuilles rubanées de Chlorophytum como-sum émettent de longues tiges portant de petites fleurs, puis des plants qui ne demandent qu’à s’enraciner sur un pot de terreau. Pour dépoussiérer cette plante décorative en bac suspendu, il suffit de la doucher.

Elle absorbe les solvants des peintures et colles (toluène, formaldéhyde). Son action est durable et rapide, mesu-rable dès les premiers jours.

Trucs & Astuces

Ces plantes qui purifient l’air !

43

Spécial bois Le philodendronC’est une liane déve-loppant de très larges

feuilles brillantes et qui pousse vite dans de bonnes condi-tions. L’idéal est de le faire grimper vers le plafond autour d’un solide

tuteur. Il apprécie la lumière, mais sans soleil direct. Rem-potez-le au printemps dans un pot juste plus grand en apportant de l’engrais de mars à septembre. N’oubliez pas

de dépoussiérer les feuilles. Il absorbe le PCP (pentachlo-rophénol), un produit utilisé dans le traitement et la pré-servation du bois. Celui-ci continue à se diffuser, même quand on n’en sent plus l’odeur.

Dépolluez votre maisonCombien de plantes installer ? Comptez 1 plante par sur-face de 10 m2, avec une hauteur sous plafond de 2,50 m.

Comment les entretenir ?Choisissez un terreau riche en matières organiques (en ajoutant, par exemple, du compost à base de fumier) et conservez-le frais sans excès, surtout en hiver. Dépoussié-rez régulièrement les feuilles. ■

L’état de l’air dans un espace clos est un sujet de recherche depuis le début des années quatre-vingt, à l’époque où l’on s’est aperçu que l’air intérieur pouvait être aussi pollué que l’air extérieur. Dans les bureaux, l’introduction de quelques plantes est un moyen simple et rentable d’améliorer l’air ambiant pour tous.

Comme il n’est pas toujours possible d’investir dans un système de ventilation filtrant l’air et le purifiant, les

plantes ont une valeur esthétique qui agit sur le moral. Elles donnent une sensation de

bien-être et permettent de bonifier les prestations du personnel. Au cours de recherches menées dans des bureaux en Norvège, on s’est rendu compte que la pré-

sence des plantes purifiant l’atmos-phère intérieure favorisait la diminution des problèmes

de santé des personnes travaillant dans ces locaux. Ils ont affirmé que la présence

des plantes donnait une im-pression accentuée de fraîcheur

dans les bureaux en les rendant plus agréables et plus attrayants.

Quelques exemples de plantes à utiliser dans les bureauxEn règle générale, lorsque vous faites l’acquisition de plantes en pot dans votre jardinerie, renseignez-vous sur les ca-ractéristiques de chacune d’entre elles car toutes ont des préférences sur la température des pièces, l’exposition à la lumière du jour ou le rythme des arrosages. Les plantes ne supportent que très rarement l’exposition au soleil direct, ce qui signifie que les rayons du soleil ne doivent pas les toucher directement. Pensez-y lorsque vous les placez dans votre bureau car une plante qui ne se porte pas bien ne peut pas remplir son rôle de purificatrice de l’air ambiant. En voici quelques-unes que l’on emploie très couramment :

Le cactus est idéal pour supprimer les effets no-cifs des ondes électromagnétiques des écrans de télévi-sions ou d’ordinateurs. On peut donc le placer près des ordinateurs, de façon à ce qu’il ne gêne pas vos mouve-ments pendant que vous travaillez, car même lorsqu’il est de petite taille, le cactus possède des piquants très acérés.

Les plantes au bureau un moyen d’améliorer les conditions de travail

44

L’azalée est une excellente éliminatrice de l’ammo-niaque que l’on retrouve dans les dégraissants et dans cer-tains produits de nettoyage des sols. Elle est idéale pour

la cuisine ou les toilettes pour peu que la lumière soit suffisante. Le mieux est quand même d’utiliser des pro-duits sans Javel, en raison de la forte odeur de celle-ci.

Le chrysanthème peut enfin sortir des cimetières. C’est une fleur très décorative qui absorbe le trichloréthylène, de substances utilisées dans les peintures et les solvants. On peut les placer dans les pièces qui vien-nent d’être repeintes, sans les enfer-mer complètement dans la pièce. Bien sûr, les peintures sans solvants sont les plus recommandées.

En fait, nous sentons tous que les plantes, par leur effet décoratif, sont bonnes pour le moral et la santé en général, tout en embellissant nos intérieurs. Il suffit, pour s’en convaincre, d’aller dans une serre où l’on cultive une multitude de plantes avec et sans fleurs. On a l’impression que l’air est plus léger et plus frais. Alors, quand trouve-ra-t-on dans les grands magasins, les grands complexes commerciaux ou scolaires, des jardins d’intérieur pour notre santé et notre bien-être ?

44

Pour vos fleurs coupéesPour garder l’eau de votre vase propre longtemps, ajoutez à vos bouquets une branche de lierre dont quelques feuilles trempe-ront dans l’eau.

Les anémones Pour les conserver placez dans un vase rempli d’eau, un morceau de charbon de bois ou un tampon d’ouate imbibé d’huile.

Les roses Coupez les tiges en biseau. Vous prolongerez leur vie en ajoutant à leur eau 10 % de sucre.

Les œillets Ajouter 15 % de sucre à l’eau de ces gour-mands et ils se sentiront bien longtemps dans leur vase !

Le mimosa Ne mettez pas d’eau dans le vase, bien qu’éphémère il se conservera néanmoins plus longtemps. ■

--nnfefer-r-BiBienen ssûrûr

45

Pour votre peauMasque vivifiant pour

peaux ternes

Prenez quelques fraises bien mûres, écra-sez-les et mélangez avec une cuillère à soupe d’huile d’amande douce bio. Mettez

cette « bouillie » entre deux compresses de gaze et gardez sur le visage pendant trente minutes. Enlevez avec du lait frais et tiède.

Masque dépuratif (pour purifier la peau). Délayez vingt-cinq grammes de levure avec un fond de verre d’eau. Laissez-la gonfler pendant trente minutes, dans un endroit chaud. Ajoutez une cuillerée de miel li-quide, une cuillerée d’argile verte prête à l’emploi et un demi-yaourt nature. Bien mélanger le tout, et appliquer le masque avec les doigts. Laissez en place de huit à dix mi-nutes, rincez à l’eau tiède et tamponnez votre visage avec de l’eau de rose pour resserrer les pores.

Masque reposant et tonifiant Faire une pâte en mélangeant bien de grosses cuillerées de le-vure de bière, avec un peu d’eau de rose. Gardez vingt-cinq minutes. (Convient à toutes les peaux).

La tomate rend les mains jolies !Écrasez une tomate jusqu’à en faire une espèce de pâte que vous mélangez ensuite à un peu de glycérine. Appli-quez ensuite sur les mains en massant légèrement pen-dant quelques minutes.

Une pomme de terre cuite, écrasée dans du lait, vous donnera également de jolies mains.

Pour des mains douces, trempez vos mains, une fois par semaine, dans un bain d’huile d’olive tiède et brossez-les très doucement.

Mains moites ? Lavez-les avec une infusion de feuilles de noyer (chez votre herboriste), à raison de 25 g par litre d’eau.

Mains rugueuses ? Une friction avec la peau blanche d’une écorce d’orange les adoucira.

Pour vos onglesPour les renforcer, bain d’huile au citron. Faites chauffer légèrement (au bain-marie) 100 ml d’huile d’olive. Ensuite ajoutez 50 gouttes d’H.E de citron. Utilisez une partie de ce mélange pour y faire tremper vos ongles 10 min environ. Gardez le reste dans un flacon pour une prochaine fois.

Pour les blanchir, si vous n’avez pas de petites blessures autour des ongles (sinon ça va piquer) trempez-les dans de l’eau tiède dans laquelle vous aurez ajouté quelques gouttes de citron. Vous pouvez aussi les frotter doucement avec ce mélange. ■

Source : www.ecotruc.com, www.pleinevie.fr, www.efficience-ergonomie.com

au service de votre beauté

Pour vos mains

Trucs & Astuces

La Nature

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1

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4

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9

10

11

GrilleHorizontalement2. Thérapie basée sur les huiles essentielles7. Désigne un jardin réservé à la culture des légumes8. Mouvement des masses d’air se déplaçant d’une zone de

hautes pressions vers une zone de basses pressions10. Caractère divers des espèces animales et végétales11. Première des quatre saisons, avant l’été

Verticalement1. Matière ligneuse transportant la sève3. Capable de transformer en électricité un rayonnement lumineux4. Grandeur, dont l’unité est le joule, qui caractérise un système et

qui exprime sa capacité à modifier l’état d’autres systèmes en interaction avec lui

5. Produit organique ou minéral ajouté au sol pour le fertiliser6. Mélange de résidus organiques laissé en fermentation et utilisé

comme engrais9. Qui est extrait, qui provient du sein de la terre10. Construction servant de réservoir

Sudoku

Faci

le

Moy

en

Diffi

cile

Squaro

Le but du Squaro : trouver les ronds à remplir. Pour cela il y a dans chaque case un chiffre, de 0 à 4, qui correspond au nombre de ronds à remplir parmi ceux situés aux quatre coins de cette case.Par exemple la grille suivante :

Toutes les grilles présentes possèdent une solu-tion unique.

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Vous devez retrouver les 33 mots cachés dans la grille ci-dessus. Les mots vont de droite à gauche, de gauche à droite, de bas en haut ou de haut en bas.

Mots à trouver : 1) CONSTRUCTION BOIS PYRENEES2) PEPINIERES DU SUD-OUEST3) FLEURS ET TENDANCES4) J ARDINERIE LAFITTE5) PLANETE EKOLOGIE6) CONSEIL GENERAL7) EGOKI FORMATION8) UNIVERT HABITAT9) ASSAIN CONCEPT 10) EPICERIE VERTE11) BABS EDITIONS12) VIT’HALLES SPA13) GEOCLIMATIC14) PASCAL LORIN 15) TALAHRIDAYA 16) TECHNIGRAFF 17) NATURHOUSE 18) SURFRIDER 19) BIOBEARN20) BIOETIKA 21) JOLILOLA22) MATECOLO23) BIODIET 24) DERAULT25) ISOSAIN26) NATEXEA27) NEPVEUX 28) WANDERS29) SUNONE30) FEBUS31) HONDA32) CANA33) ECHO

Toutes les réponses des jeux sont sur le site www.planete-ekologie.fr

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HabitatSUNONE • Installation panneaux photovoltaïques • Quartier Hilaire – 64800 Montaut • Tél. : 0 800 007 021 .................................................5THIERRY DERAULT : Charpente en Bois • Hatché — 40700 Morganx • Tél. : 05 58 79 05 57 ..............................................................................6MATÉCOLO • Matériaux de construction écologiques • 300, route de la Fontaine – 40400 Tartas • Tél. : 05 58 73 35 60 .........................7PASCAL LORIN • Construction Bois • Rue de la Ferronnerie, Z.I – 40600 Biscarrosse • Tél. : 05 58 78 12 96 ...........................................8NATEXEA • Constructions, Rénovations, Matériaux écologiques • 9, av. de la Division-Leclerc – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 45 68 24 ..........9GEOCLIMATIC • Étude, réalisation, SAV de solutions solaires géothermie, aérothermie31, rue Chapelet – ZAC Négresse – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 54 86 74..................................................................................................................................10ISOSAIN • Isolation Ouate de Cellulose • ZAC des 2 Pins – 40130 Capbreton • Tél. : 05 58 47 65 16 ............................................................10CONSTRUCTION BOIS DES PYRENEES • Travaux de charpente, couverture, maison ossature bois • Chemin de Bordaxuenia 64310 – St-Pée-sur-Nivelle • Tél. : 06 86 54 06 22 .........................................................................................................................................................10UNIVERT HABITAT • Matériaux d’écoconstruction, Peintures, Décorations Naturelles, Bio Électricité • 3 bis, rue de l’Abbé-Grégoire – 64140 Billère • Tél. : 05 59 13 48 84 ......................................................................................................................12FÉBUS • Bureau d’études thermiques • 69, rue Saint-Gilles – 64300 Orthez • Tél. : 09 66 12 50 86 .........................................................13ASSAIN CONCEPT • Constructeur de piscines naturelles • 40, impasse des Hirondelles – 40900 Saint-Avit • Tél. : 06 17 53 56 90 ....... 16WANDERS • Poêle à bois, poêle scandinave. Poêle granulés. Insert à bois à granuléZAC du Golf • 64200 Bassussarry • Tél. : 05 59 29 61 88 ............................................................................................................................................51

JardinJARDINERIE LAFITTE • Rond point de Maignon – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 42 24 42 ...........................................................................3PÉPINIÈRES DU SUD-OUEST • Conception réalisation entretien – 40230 St-Jean-de-Marsacq • Tél. : 05 59 56 30 64 ...................27FLEURS ET TENDANCES • 39, allées Marines – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 59 65 601, rue du Bois-Belin – 64600 Anglet • Tél. : 05 59 03 08 80 • av. Maréchal-Soult – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 57 00 67 ...........28

Bien-être et santéFRÉDÉRIQUE NEPVEUX • Réflexologue, Hypnose, Reiki Usui • Tél. : 06 87 52 82 61............................................................................................31PASCALE DUSSIN TALAHRIDAYA • Coach Sportif et Thérapeute ayurvédique à domicile • Tél. : 06 72 17 49 95 ..................................32CANA • Collège Alternatif de Naturopathie et d’Aromathérapie • 9, rue Etxalde – 64500 St-Jean-de-Luz • Tél. : 06 84 83 46 58 ..........33

BeautéBIO BÉARN • Alimentation Bio – 41, av. Fouchet • Tél. : 05 59 13 81 81 / 19, rue Pasteur • Tél. : 05 59 98 81 92 / 36, cours Lyautey – 64000 PAU • Tél. : 05 59 02 89 87 ...........................................................................................................................................................2ECHO • Vêtements et accessoires écologiques – 6, rue du Helder – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 240 645 ...................................................34VIT’HALLES • Soins, Massage, Fitness Coatching • 3, carrefour de l’Hélianthe – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 22 12 13 ...........................35BIO ETIKA • Alimentation Bio • 7, av. du Maréchal-Juin – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 55 00 82 ...................................................................36JOLILOLA • Puériculture naturel, vêtements Bio • 10, rue du Sergent-Bernès-Cambot – 64000 Pau • Tél. : 09 50 38 52 09 ................37

GastronomieÉPICERIE VERTE • Épicerie Bio – Av. A.-Nobel, Rte de Morlaàs – 64000 Pau • Tél. : 05 59 40 24 35 / 15, av. des Frères Montgolfier – Pau-Lons • Tél. : 05 59 32 70 36 / 3, av. St-Cricq-Oloron-Ste-Marie • Tél. : 05 59 39 65 23 ..................................................................................38NATURHOUSE • Produits diététiques et naturels • 34, rue Bourgneuf – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 46 16 98 /32, cours Galliéni – 40100 Dax • Tél. : 05 58 58 26 32 / 33 bis, allées Bouchet – 40000 Mont-de-Marsan • Tél. : 05 58 44 15 63 ....... 39BIODIET • Supérette, institut Phyt’s, Produits de régimes, naturopathie • ZA les 2 Pins – 40130 Capbreton • Tél. : 05 58 73 83 40 /1, place Sterling – 40140 Soustons • Tél. : 05 58 41 54 01 ..................................................................................................................................................40

DiversEGOKI FORMATION • Chemin de Sempau – 64210 Bidart • Tél. : 06 99 90 65 28 ..............................................................................................17TECHNIGRAFF • Création de logos, travaux d’impressions, flyers, brochures • Tél. : 06 85 72 52 39 ................................................................18 SURFRIDER • Association, Protection de l’Océan et du Littoral • R 120, av. Verdun – 64200 BIARRITZ • Tél. : 05 59 23 54 99 ............23 HONDA • Concessionnaire - Garage Franco-Américain • 44, av. de Bayonne – 64600 Anglet • Tél. : 05 59 43 51 51...............................26

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1. Sécurisez le lieu de l’accident et les personnes impliquées

Évaluez les conditions de sécurité et vérifiez qu’il n’existe aucun danger supplémentaire (circulation, incendie, électricité...).N’approchez le lieu de l’accident que si cela ne présente aucun risque pour vous. Dans la mesure du possible, assurez la sécurité des victimes et des autres personnes présentes.Si la situation est dangereuse et si vous ne pouvez agir sans prendre de risque, alertez les services d’urgence. Établissez un périmètre de sécurité autour du lieu de l’accident en attendant l’arrivée des secours.

2. Appréciez l’état de la victimePrésentez-vous et expliquez à la victime ce que vous allez faire afin de la rassurer. Vérifiez qu’elle est consciente et res-pire normalement. Le pronostic vital est souvent en jeu en cas d’altération de la conscience ou de la respiration.

3. Demandez de l’aideServices d’urgences à alerter en cas de besoin :Le 18 : les sapeurs-pompiers pour tout problème de secours, notamment accident, incendie.Le 15 : le Samu pour tout problème urgent de santé, c’est un secours médicalisé.Le 17 : la police ou la gendarmerie pour tout problème de sécurité ou d’ordre public.Le 112 : numéro d’appel unique des urgences sur le ter-ritoire européen, recommandé aux étrangers circulant en France et aux Français circulant à l’étranger.Le 115 : le Samu social pour toute personne qui présente une détresse sociale (ex : personnes sans domicile ou sans abri et exposées aux intempéries.)Vous devez pouvoir fournir aux services d’urgence le numéro de téléphone ou de la borne d’où vous appelez, votre nom, la nature du problème (maladie ou accident), les risques éventuels (incendie, explosion, effondrement...), la loca-lisation précise de l’événement, le nombre de personnes concernées, l’état de chaque victime, les premières mesures prises. Vous devrez répondre aux questions qui vous seront posées par les secours.

4. Effectuez les gestes de premiers secoursDispensez les gestes de premiers secours de façon calme et non précipitée.

Si la victime parle, se sent mal, il est indispensable de lui poser des questions et d’alerter le Samu-Centre 15 qui pourra juger du degré d’urgence.

Qu’observez-vous ?La victime se plaint d’une douleur serrant la poitrine. La dou-leur peut irradier vers d’autres parties supérieures du corps (notamment le bras, l’épaule, le cou, la mâchoire inférieure ou l’estomac). Ces signes peuvent s’accompagner de diffi-cultés respiratoires, de sueurs, de nausées, ou de douleurs abdominales.

Que devez-vous faire ?Ne sous-estimez pas la situation : même si la victime pré-tend que ce n’est pas grave, elle doit immédiatement être prise en charge.

• Posez-lui des questions : depuis combien de temps dure ce malaise ? Est-ce la première fois ? Avez-vous été hos-pitalisée ou prenez-vous des médicaments pour cela ?

• Demandez à une personne présente d’alerter immédiate-ment les secours (le Samu-Centre 15), ou faites-le vous-même si vous êtes seul.

• Mettez la victime au repos dans une position confortable (allongée ou en position semi-assise ou assise).

• Vérifiez régulièrement que la victime est consciente et respire normalement.

Ces contenus sont extraits du guide des gestes qui sauvent de la Croix-Rouge française, remis à chaque participant à une formation PSC 1 – www.croix-rouge.fr ■

Les 4 étapes pour porter secours

Le malaise cardiaque

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