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Page 1: LE THEATRE DIABOLO Compagnie théâtrale

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LE THEATRE DIABOLO Compagnie théâtrale

www.theatrediabolo.com

1 :: Le théâtre diabolo 2 :: Les pièces, leur fiche technique & leur presse

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1 :: Le théâtre Diabolo

:: La petite histoire… La compagnie théâtrale, « Le théâtre diabolo » a vu le jour en l’an 2000 à l’initiative de Jean-Emile Bousquet, comédien et metteur en scène.

Après une formation initiale au conservatoire d’art dramatique de Nîmes, complétée dans les domaines du chant et de la danse contemporaine, celui-ci a travaillé auprès de divers professionnels du spectacle, comédiens et metteurs en scène de théâtre et de télévision.

Il a dispensé pendant plusieurs années des cours d’art dramatique pour adultes et adolescents, dans différentes structures associatives.

Aujourd’hui, il anime dans les locaux de la compagnie, des ateliers d’expression théâtrale. *

:: Ses acteurs…

Parce qu’elle veut proposer des spectacles variés, originaux et vivants, la compagnie a su réunir de nombreux talents dans différents domaines de la création : des acteurs, bien sûr, mais aussi un créateur de costumes, des danseurs et des musiciens, amateurs, professionnels ou semi-professionnels.

La compagnie Diabolo a donc la chance de drainer à elle des énergies créatives diverses… pour offrir à son public des spectacles qui veulent mêler générosité et variété.

:: Les grandes histoires…

Le répertoire s’étoffe chaque année, en 2005-2006, le théâtre Diabolo vous propose un programme varié, pour tous les publics :

Les Heures blanches, un monologue issu du récit de Fernandino Camon, adapté par Diider Bezace.

Des Pommes pour Eve, une pièce de Tchekhov adaptée par Gabriel Arout.

Ca démange… forcément…, une création à partir des textes de Jean-Michel Ribes, adaptée par Jean-Michel Bousquet.

Impromptus, à propos de Molière, une création mêlant théâtre, danse et musique, à partir des grands classiques de Molière, adaptée par Jean-Michel Bousquet.

* L’Atelier du Théâtre diabolo est situé à NIMES, à l’angle des rues du Courtieu et de la Boucarié, à proximité de la coupole des

halles.

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2 :: Les pièces, leur fiche technique & leur presse

:: Les Heures blanches - Monologue –

Auteur - Ferdinando CAMON, La maladie humaine. Adaptation - Didier Bezace Mise en scène - Jean-Emile Bousquet Synopsis Il est venu seul… Tout ce chemin parcouru, et puis le sentier jusqu’à la mer. Et là, il l’a retrouvée, abandonnée, barricadée, cette cabine de plage de son enfance… Surtout, prendre le temps, rester prudent, ne pas se laisser griser par quelques souvenirs jaunis… Reconstruire à partir de ces bribes éparses. Refaire le trajet à l’envers. Retrouver la main qui te guide, les gestes rituels, les conflits, les petites ruses, les grandes souffrances , les rires aussi… Malgré soi, se laisser aller à la confidence … Raconter cet Autre, inconnu finalement, après toutes ces années…

Les auteurs

Ferdinando CAMON

Né à Padoue en 1935, cet auteur italien issu d’une famille paysanne. décrit dans ses premiers romans la vie des paysans pauvres de la région de Padoue. Il s’est révélé au public français par son ouvrage nommé : « La malattia chiamata uomo », la maladie humaine, dans lequel il racontait avec esprit sa psychanalyse.

Didier Bezace

Né en 1946 à Paris. Directeur du théâtre de la Commune à Aubervilliers, il a été co-fondateur du théâtre de l’aquarium à la Cartoucherie de Vincennes. Il mène parallèlement à ses activités d’auteur et metteur en scène un travail de comédien au cinéma et au théâtre. Il adapte pour le théâtre, le récit de F. CAMON et l’interprète en 1984, 1987 et 1991.

Distribution

Comédien - Jean-Emile Bousquet

Costumes, décors et lumières - Serge Gonzalez

Commentaires

« Dans LA MALADIE HUMAINE, l’auteur italien Ferdinando CAMON décrit avec rigueur et précision, les tours et détours de la relation qu’il a entretenue pendant sept ans avec son analyste. 180 pages, pour 1050 heures d’analyse.

Nous avons choisi d’en rejouer, quelques unes, celles où le silence, et non la parole, devient une des formes les plus intenses de l’échange entre les deux hommes (…)

Par étapes successives, le narrateur se laisse emporter par son récit. Il s’y engage seul et avec précaution, en maintenant la distance nécessaire au plaisir de raconter. Mais sa mémoire lui joue des tours, elle est trop bonne et voilà que l’autre resurgit, puissant et mystérieux, insaisissable, comme un magicien. »

Didier BEZACE, commentaires à la création.

« On entreprend pas une analyse pour guérir, on l’entreprend pour connaître sa maladie ». Parcourant la scène comme on se mettrait férocement à nu, Jean-Emile Bousquet a des comptes à régler avec la psychanalyse. De l'exaltation à transmettre, aussi. Et il le fait savoir.

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Dans ce monologue de Didier Bezace, tiré du récit de Ferdinando Camon, il nous fait grimper avec lui sur un étrange manège désenchanté, sorte d’univers fabuleux, moitié onirique, moitié décapant, aux confins de l’âme, du corps et de ses sens indociles. Parce que la psychanalyse, justement, est loin d’être un jeu d’enfant, l’acteur oppose un contre-pied radical aux postures entendues et accents rigoristes qui l’accompagnent d’ordinaire. Quand la simplicité et l’apparente naïveté de la mise en scène savent redonner un souffle libérateur et proprement jouissif aux mots de la thérapie. Toujours sur la corde raide, funambule … , Jean-Emile Bousquet fait de la légèreté du contenant la meilleure ouverture sur la fragilité de contenu du propos qu’il incarne dans son rôle de patient. Figurant le tête-à-tête avec son thérapeute, les souvenirs intimes en forme de carte postale jaunie par les années l’assaillent, comme à la porte de cette étrange cabine de plage d’un autre temps, disposée au centre d’une scène où l’acteur, avec bonheur, joue à feindre l’égarement. Un acte théâtral qui nous plonge dans une enclave de ″dépouillement actif″, telles ces minutes passées sur le divan sans prononcer un mot, telles ces « heures blanches » qui font parfois du silence d’un homme son refuge le plus riche, le plus drôle et parfois, aussi, le plus dangereux. Un instant d’émotion contenue, secondes éthérées où le sourire affleure en permanence, quand l’acteur et le patient ne forment plus qu’une indivisible entité.

Félix JOUSSERAND.

Presse

MIDI LIBRE, mardi 10 octobre 2000.

LES LABYRINTHES DU DOCTEUR FREUD.

Etonnant spectacle. A une voix. Celle de Jean-Emile Bousquet, qui interprète, en ce petit théâtre de poche de la rue Benoît-Malon, « les heures blanches », de Didier Bezace, inspiré d’un récit de Ferdinando Camon : « La maladie humaine ». Cet homme seul, devant une guérite toute blanche, comme le titre, et barricadée comme son esprit, raconte à mots feutrés, son « analyse », pendant sept ans ! 1050 heures sur le divan, en présence d’un autre, qu’il découvre, en même temps que lui, qui le laisse muet ou l’encourage : « C’est bien, continuez ». C’est l’autopsie d’un homme, et l’autopsie d’un psy, la marche aveugle de la psychanalyse dans les

labyrinthes creusés par Freud, les découvertes du sexe, du pénis, du machisme, des fantasmes. C’est aussi l’analyse collective, en Italie, chez le professeur Barth, et tous les blocages des autres, des femmes, des homos, des masos, des curieux esclavages de notre psyché. Le spectacle est à la mesure du texte. Jean-Emile Bousquet semble vivre lui-même cette analyse qu’il raconte, entre sa bicyclette et son thermos de café, en ouvrant sa guérite comme ses souvenirs, en dépliant sa chaise longue, en tirant de son siége de pêcheur des « boules de neige » colorées, pour en former le séminaire des patients. La mise en scène est ingénieuse, inventive, soutient le jeu du comédien, attentif, ironique, capable de glacer ou de faire rire … aux éclats. Une performance, qu’il faut aller voir.

Yvon PRADEL.

Fiche technique

Durée - 1 heure 20 Scène ou Plateau, dimensions minimales - Ouverture 6 m - Profondeur 3 m - Hauteur 2 m 50 Eclairage - Prise 220 V monophasé … 8 KW au minimum

Conditions financières - Achat du spectacle : 1000 Euros - Autres modalités à définir.

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:: Des pommes pour Eve

Auteur - Anton TCHEKHOV, Des pommes pour Eve. Adaptation - Gabriel AROUT Mise en scène - Jean-Emile Bousquet Synopsis

Depuis la pomme fatidique du jardin d’Eden, les filles d’Eve n’en ont pas fini avec ce fruit.

Pourtant, malgré les avertissements de l’histoire et de la légende, les

femmes ne se sont pas privées de mordre avec ardeur au fruit défendu… Avec des fortunes diverses … Parfois, croquant la pomme, il leur est arrivé de tomber… sur « une poire »… Parfois, elles en dégustèrent des « vertes et des pas mûres »… C’est la condition humaine. En particulier celle des femmes de l’époque Tchekhovienne.

Gabriel Arout , à partir de nouvelles et de récits de jeunesse d’Anton

Tchekhov , s’est attaché à faire surgir à côté de l’image traditionnelle d’un Tchekhov au sourire mélancolique, un auteur joyeux et goguenard, narquois et farceur, ce qui n’exclut pas le rire, et la caricature, ni la pitié, ni la tendresse, ni même l’angoisse.

Elles s’appellent Nadia, Aniouta, Pauline, Julie, Zina, Sophie, Olga ou Nina… Héroïnes à la fois une et multiples de cette pièce composée de sept tableaux ayant en commun une description minutieuse des relations homme-femme, avec en arrière-plan une peinture fine et caustique de la société russe. Comme souvent chez Tchekhov, les personnages ne sont pas des êtres d’exception, mais de petites gens très ordinaires, un peu frileux, étriqués ou prétentieux, pris dans la médiocrité quotidienne. Sept courtes histoires, comiques et féroces, avec pour seul lien, la femme, Eve, tour à tour intéressée, victime, candide ou garce. Ecoutons-les, comme en quelque bal de Saint-Pétersbourg, une coupe de champagne français à la main…

Les auteurs

Anton TCHEKHOV

Né en 1860 à Taganrog, petit port russe de la mer d’Azov, son père est épicier, fils d’un serf, fanatique religieux, c’est un despote familial. Sa mère est une personne douce et passive, pieuse et tendre, maltraitée par son tyran de mari. En 1879, il s’inscrit en faculté de médecine, il doit subvenir aux besoins de sa famille, car son père est ruiné, et donne des cours , fait de petits travaux journalistiques et ses premières tentatives littéraires.

En 1886, il publie son premier recueil de nouvelles, puis continuera à écrire, tout en exerçant la médecine. Il meurt en 1904, après avoir, à la fin de sa vie, écrit les trois pièces qui le consacrent grand dramaturge : la Mouette en 1896, Les Trois Sœurs en 1900 et La Cerisaie en 1903.

Gabriel AROUT

Fils d’un ingénieur Russo-Arménien, Gabriel AROUTCHEFF, dit Gabriel AROUT, est né en 1909 à Rostow sur le Don. Licencié es lettres, il a d’abord fait tous les métiers, de débardeur à chroniqueur sportif, avant d’aborder la carrière d’auteur dramatique.

Son œuvre est composée de pièces de théâtre, de traductions et adaptations littéraires ( en particulier Tchekhov, Dostoïevski et Pouchkine ) , ainsi que d’une vingtaine de films en collaboration avec entre autres : Luis Bunuel, Marcel Carné ou Alex Joffé.

Distribution

Comédiens - Evelyne Alvernhe - Catherine Gomez - Fabienne Nouvel - Luce Rault - Olivier Clerc - Jean-Emile Bousquet - Costumes – Annie Blat, Serge Gonzalez Décors et lumières - Serge Gonzalez

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Fiche technique

Durée - 1 heure 45 Scène ou Plateau, dimensions minimales - Ouverture 6 m - Profondeur 3 m - Hauteur 2 m 50 Eclairage - Prise 220 V monophasé … 8 KW au minimum

Conditions financières - Achat du spectacle : 1300 Euros - Autres modalités à définir.

:: Ca démange… forcément… Textes - Jean-Michel RIBES Adaptation - Jean-Emile BOUSQUET Mise en scène - Jean-Emile Bousquet Synopsis L’ironie féroce et la poésie, la fantaisie subversive et l’imaginaire revendiqués de Jean-Michel Ribes composent une pièce difficile à étiqueter. Parmi les textes choisis, l’humour, le surréalisme et la poésie pure s’entremêlent. Trois comédiens sur scène pour des monologues ou bilogues rythmés qui s’enchaînent facétieu- sement. Les situations sont parfois burlesques, les personnages font rire mais ils savent également émouvoir.

L’auteur

Jean-Michel Ribes

Auteur dramatique, metteur en scène, cinéaste, Jean-Michel RIBES est né en 1946. Dès l’âge de dix-huit ans il fonde sa propre compagnie théâtrale et crée ses premières pièces. Il se lie d’amitié avec Roland TOPOR avec lequel il écrira entre autres pour la télévision les séries « Palace » et « Merci Bernard ».

Depuis les années 1990, il alterne régulièrement les créations théâtrales et cinématographiques. Il dirige actuellement à Paris le Théâtre du Rond Point.

Distribution

Comédiens - Catherine Gomez - Olivier Clerc - Jean-Emile Bousquet

Illustration musicale - Didier Labarde

Décors et costumes - Serge Gonzalez

Lumières et sons - Serge Gonzalez

Fiche technique

Durée - 1 heure 10 Scène ou Plateau, dimensions minimales - Ouverture 6 m - Profondeur 3 m - Hauteur 2 m 50 Eclairage - Prise 220 V monophasé … 8 KW au minimum

Conditions financières - Achat du spectacle : 1000 Euros - Autres modalités à définir.

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:: Impromptus, à propos de Molière

- Théâtre, danse et musique –

Auteur - Molière. Adaptation – Jean-Emile Bousquet Mise en scène - Jean-Emile Bousquet Synopsis Une troupe de comédiens va jouer Molière, mais la troupe n’est pas prête, les acteurs ne savent pas leurs rôles… Le Roi va arriver… les courtisans s’impatientent…

Tour à tour, quelques-uns des principaux personnages des comédies de Molière vont entrer en scène : Sganarelle, Bélise, Dorine, Marianne, Clitandre…., des médecins, des bourgeois, des nobles, des paysans et des valets… Comment rendre hommage à un certain Jean-Baptiste POQUELIN, comment transporter les spectateurs vers une époque où le spectacle se jouait autant sur scène que dans la salle ?

Sous un jour inhabituel, redécouvrir ces répliques qui font mouche, ces paroles oubliées, ces vers que l'on croyait pourtant connaître mais qui sous les feux de la rampe prennent une autre couleur….

Du théâtre dans le théâtre, mais aussi de la musique, de la danse, de quoi redécouvrir les sens du mot "jeu".

Public (s)

Petits ou grands, néophytes ou spécialistes du théâtre moliéresque, cette pièce s’adresse à tous.

Les plus jeunes se laisseront entraîner par le rythme du spectacle, par la truculence des personnages, ou encore par la musique et la danse mi-baroques, mi-contemporains.

Les scolaires, collégiens ou lycéens, pourront mettre un visage et une voix sur les Sganarelle, Bélise, Dorine, Marianne, Clitandre qu’ils ont étudié. De plus, le dynamisme et l’humour du spectacle devraient convaincre les plus réticents à la littérature !

Les plus avertis enfin, pourront également apprécier la finesse avec laquelle sont traités les thèmes baroques du théâtre dans le théâtre, de la réalité et de l’illusion, de la scène et de la vie. Des textes à la mise en scène, l’auteur a ouvert des pistes de réflexion subtiles autour du « jeu ». Il exploite la multiplicité des sens de ce terme clé, et permet ainsi de réinterroger les fondements mêmes du théâtre.

Distribution

Comédiens - Evelyne Alvernhe - Catherine Gomez - Fabienne Nouvel - Luce Rault - Olivier Clerc - Jean-Emile Bousquet Violoncellistes - Isabelle Gaudin – Anne Josse Costumes – Serge Gonzalez Décors et lumières - Serge Gonzalez

Fiche technique

Durée - 1 heure 25 Scène ou Plateau, dimensions minimales - Ouverture 6 m - Profondeur 3 m - Hauteur 2 m 50 Eclairage - Prise 220 V monophasé … 8 KW au minimum

Conditions financières - Achat du spectacle : 1100 Euros - Autres modalités à définir.

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Presse

MIDI LIBRE, le 24 mars 2005.

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Le Théâtre Diabolo 12, Clos du Levant 30510 GENERAC

Contact presse et médias : Fleur Bouillanne, 06.83.03.77.02

Contact cours et création : Jean-Emile Bousquet, 04.66.01.91.09 - 06.17.14.00.15

[email protected]

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