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iém. kdé Ide 8 b. soir. raie»: t£f*^ 7 S ^ A nnée. Æ? Æ ^Dtmanchèr^ Février^ t9êsk .Sx-'fiwiâiV 4Pfl-a Henri GAUCHIS, ^âdiotoisirstçiir. jomiiNiE Paraissant le le wiL B o Xf M 'B 2C SI xr n? a ' n n ia . ^ * ÏV 5 ^ ( TT * om . M a u m ttt, S° ?:.•-•.................... •*• •*• j 5“ »“.,................ »fr. 4*. .................... 4ft. B fr. l Sizmâi................... Sfr. jfr. 0» •’Aiom u s bnruia do jeamil «t dam tou lu bmmiix do poMa L’abonument oit panU t _d'aTaneo et eonBnu do ploiB drat jusn’à iifeop& d’aob ' " BV «tDAOYdi I e 5 0 îina^c h e Henri CÂUOH^, Administratèiir.' L; Ü .“x-IJ j -■ ^ & ’. r. -W:. ; X - i<t - ~ r - x ■'■--■• SENIrXS — 9-11, ÏPlaoe.'ihk l'HAtéMe-VUle - SE IV lilS ■r^jMjgpA-oi»» • IM mtBMMOraigfrjoli'é i^ t n«4i y aoiitpu yadw ; l Stnlis, It SO Février i904. K l Béfe des Japoeais. Le péril jaooe, dont on a beaneonp ri chez nons, est partout l’objet de la pins lériense attention. En ce moment, an Transraal, les propriétaires des mines sont partagés entre le désir d’appeler la Dsin-d’oenTre chinoise pour édifier ra pidement lenrs fortunes et la crainte de Toir les mines et le pays passer aux mains de ces onvriers jaunes, malgré les précautions prises pour les confiner dans lenr spécialité de travail et pour les ra patrier après deux ou trois ans de sîr- Tices. L’exemple des Etats-Unis est là pour lenr prouver qu’on ne se débarrasse pas facilement des Chinois. Les Américains ont mis en quaran taine, dans les ports de Californie, les lavires du Pacifique soupçonnés d’ame ner des Chinois, et les douaniers ont tons les droits sur ces derniers, traités comme des objets de contrebande. Avec la complicité de leurs compatriotes déjà dans la place, les Chinois s’introduisent quand même, embarqués à fond de cale en des tonneaux ou en des caisses, comme c noix de cocB > ou c poissons léchés >. Une fois d«is la position, ils 10 chargent de réussir mieux que per- wnne, soit dans la culture, soit dans le commerce. La crainte des Chinois est telle, aux Etats-Unis, que le président Roosevelt I dû intervenir persminellement pour faire modifier les conditions exception nelles imposées aux négociants chinois qui prendront part à l’Exposition de Saint-Louis. D’après le règlement de l'office de l’immigration, ces négo ciants devaient déposer une garantie de 2.500 francs, accompagnés de trois photographies lé^lisées, et s’engager par écrit à repartir pour La Chine par le iremier paquebot, dés la fermeture de l'Exposition. Devant le refus des négo ciants chinois, et devant la menace d un coup funeste porté aux relations com merciales sino-américaines, le président Roosevelt a fait modifier ces prescrip tions, mais les Américains pensant que cette invasion inévitable et, en appa rence momentanée, sèmera chez eux des germes qu’on ne déracinera plus. Or, c’est au moment où les Anglais au TransvaaJ, et les Américains chez eux, redoutent l’entrée de la race jaune, que ces deux mêmes peuples secondent, en Asie, le Japon, qui est le grand aiguillon decette race I Les Chinois ont d’abord traité les Ja ponais de c singes de l’Europe après ( avoir été les singes de la Chine >. De ieu côté, les nations européennes ont mdans le Japon, entrant comme elles 11 Chine, un petit concurrent commer çai dans le genre de l’Italie. Quelle irrenr ! Les Joponais ont pénétré chez airs frères avec de tout antres idéesjst diis de tout autres conditions. Ils se loitfùts Chinois, des pieds à la têts et cit pris aux Chinois, au milieu desquels la vivent, leurs habitudes et leur langue. Au lieu d’exhiber aux Chinois le vii^s snropéen dont ils sont si fiers, caisqui excite tant de défiances, ils air ont montré leur vieille âme mon- i au lieu d’etaler les engins mo- •srnes qui mettaient, pour les Chinois, as Japonais sur le rang des étrangers cjiemis, ils se sont montrés de tous peints semblables à eux. De cette &çon, “ calment les soupçons et amènent graduellement les Chinois à leurs propres idées. Dans leur infiltration commerciale et intellectuèlle, les Japonais ont été mer- veilleux de souplesse et d’habileté. L’identité de la langue écrite les a par- ticulièremwt servis. Tous les objets que couvre l’étiquette japonaise, immédiate ment lisible pour eux, sont accueillis par les Chinois aussi avides de nou veautés que défiants de ce qui vient dlEurope. D’objets en objets, les Japo nais sont en passe de conquérir à leur civilisation les marchés et les popula tions de la Chine.' . . . Mais ce n’est pas seulement dans les affaires ^ue le Japon exerce son action. Il veut japoniser les troupes, jsponiser l’enseignement, et par l’enseignement', japoniser tout ce qui en dépend. Quand ce programme se sera réalisé, quand la Chine se sera réveillée et. misé en marche, sons l’action du Japon, le règne de l’influence des Européens en Asie sera clos. C’est pour cela qu’il est im possible de comprendre, — sinon par les bénéflces immédiats qu’elle poursuit, la politique à courte vue de l’Angle- 'terre. 11 est encore plus impossible de comprendre que certains Français ne veuillent pas se rendre compte du rôle important que la Russie doit jouer en Extrême-Orient, dans l’intérêt de l’Eu rope. j \ B B IX ' BOBS IBtS'BiXBS'IOZTS : OM ir*A0CKPn fAM])’Qi9n3TOir AuoBasoafl i>i4 ra^ifo Lm anapneu, réclam , «to., çoacpRtutPacif atlas Dépi ECHOS de PARTOUT A Paris. — La 3i* exposition canine annuelle aura lieu b Paris, du 20 au 27 mai. sur son empla cement habituel de la terrasse des Tuileries. — La conunission de révision s'est pronon cée, à l’unanimité, pour la révision del’efiaire Danval. — On annonce la mort de José Frappa, le célèbre peintre de genre j il n’avait que cin quante ans. Daas les Dépariesseats; — A Berclc-Plage, tin incendie s’est déclaré dans l'ancienne école externat de Notre Dame. Les dégâts matériels sont assez importants. -- La grève des maréchaux - ferrants de Reims est terminée. Le syndicat n’a obtenu aucune des augmentations de salaire qu’il demandait. Ea Xorope. — Les pécheurs de Poldhu (Angleterre) ré clament la suppression du poste de télégra phie sans fil étabU b cet endroit, sous pré texte qu’il est cause du mauvais temps. — Un comité autrichien a pris l’initiative d’élever b Austerlitz un monument b la mé moire des 40.000 soldats français, russes et autrichiens morts sur le champ de bataille du 2 décembre 1804. Un appel va être adressé aux municipalités importantes des trois nations. Hors d*£avope. -L e vapeur Persio, de l’Anchor-Line, allant de Bombsj b Liverpool, est arrivé b Pord-Sald, avec sa cargaison en feu. — Aie suite d’un incendie qui brfrla tout un quartier de Baltimore, quatre compagnies d’assurances de cette ville ont dû déposer leur bilan. — La circulation des trains, au Canada, est complètement désorganisée par suite de chu tes abondantes de neige. Le transport des marchandises est suspendu, et les trains de vopageurs sont arrêtés de toutes perte. AVIS AUX UECTEURS Rappelons qae les letirts adressées à la direction dn joornil ei qui s goaient des laits, reafermeat des plaintes ou proitsia- tations, doivent êtreii«vêtaes4’ane «igna- tnre lisible et d’nne adresse. Les noms des signataires ne sont jamais dlvalgaés, à moins qae eenz ci ne nons demandent de les publier. LE FAIT DU JOUÉ ue r» 9 p<Mrà de U . BulwMik. M. Ferdinand BnisBon .a été chargé du rapport enr la supprea- aion de l’eneeigneme'ni éongtéga^ niste et ce rhéteur a appelé à^eon seceura toutes les ressourdes de son vocabulaire philosophique pour donner un Aux air de libéralisme'à sou personnage de sectaire passionné. C’est' ainsi qu’eva d rie mettre dehors les frères de la doctrine chrétienne, M. Buis son fait leur éloge. Singulier décor que celui dont ce rapporteur entoure, non sans ironie, les.gene qu’il frappe I Ne parlez pas à M. Buisson des drtdts du père de funille. Des pères de {uallle veulent des congréganistes pour enseigner leurs enfhnts, M. .Buisson répond que= < la loi refuse de patentes’en quelque sorte,- « pour le mettre à leur dàpoidtion, un c inbtrament eldleotit de compreasfon à ' < haute pnissanee).instrument qu’ils jnge- < raient très commode et que la loi juge < très dangereux >. Singulier langage et thèse plus singu lière encore I Le jour où M. Buisson sera tout puissant, qui nous garantit qu’ii n’im posera pas, au nom de l'Etat enseignant, un instrament de compression qu’il jugera très commode et que les particuliers juge ront très dangereux? Dans cet. ordre d’idées, on ne peut échapper à l’oppres sion, d’où qu’elle'Vienne, que par la literlé. Les fondateurs de l’enseignement laïque donné par l’Etat ont promis aux particu liers qu’ils pourraient, à leurs frais, «onsfl- tuer et entrôtenir des écoles privées; C’est contre ce droit que vont les prcqiositions nouvelles. On commence par imerdire aux congréganistes de tenir ces écoles; demain on fera plus pour entraver leur essort. Sans doute, M. Buisson, affectant de distinguer ia congrégation et le congréga- niçte, assure qu’il ne veut pas douter de la sécularisation sincère de 8s dernier, et que le droit d’enseigner lui restera. C’est un développement qui équilibre sa thèse et lui 6te,.pour unjnoment, «e qu’sUseï de brutal et de choquant. Mais ce n’est qu’un développement. Quand un De^ech-aa un- Girard proposera de mettre l’ancien coh- gréganiste en interdit, M. Buisson se taira et approuvera. Des rapports comme celui de M. Ferdi nand Buisson se caractérisent d’im mot. En montrant combien on peut mécon naître et violenter la liberté d’ime catégorie de citoyens, au nom de l’Etat, M. Buisson fournit è ceux qui pourraient s’emparer de l’Etat l’exemple de-violences et d’injus tices contre d’autres catégories de ci toyens. Rien de plus dangereux pour la République qui ne saurait se concevoir sans la liberté. La Guerre russo-japaise. Le senl fait de gaerre dont le télégraphe nons ait apporté la nonvelle, est nne attaqne de Port-Artbnr qui remonterait an té. Au conrs de cette tetiative des Japonais, un vaisseau russe aurait été torpillé. Hais liuformatien est-elle exacte? L’amiral Alexeîeff n'a lancé aucune dépêche à ce sujet et l’on sait combien le vic*-roi d’Ex- tréme-Orlent tient à renseigner fidèlement et rapidement le gouvernement de Péters* boarg. De différents cétés se confirme la nou velle d’une seconde attaque de Port-Artbnr, le té février. A proprement (parler, 11 ne semble pas qu'elle ait pris une grande extension, car, de Faven même de l’amiral japonais, deux contre-torpilleurs senlement y ont partie pé dncésédu Nippon. L’amiral AlexiLff n’a point télégraphié, estimant sans doute l’iacident de uible portée. Ij fiLu pénurie de noOTellA précises esté I; néture à'énfratâilr‘ l'lIèpâ- I. tieècè. kais’il he fàut uOint cubiiér que le intact suMerroétât MiFtl'étré immédiat [ entre les belligérants et qiiepour atteindre le Tàlou. ofi se iivnéra vràisemblablemieni' ; un grand combat, les Japonais avaient à parcourir une .distance moyenne de 350 à' 600 Uleimétret. Sûi'' mer; pour l’instant; m é reneontre sérieuse ne parsit guère immilienle, puisque la grande escadre russe dé Port-Arthur s’attsime à la défense de cet arsenal, dont la-position est capitale, et que l'échec dn 8 aora quelque yen mo déré raroeurdes Japonais. Quant à la di- vbisn deyiàdivostok, elle a pU jusqu'ici évoluer en inpr libre. . Cequi èri oertéin. c’est que de part et d antre les prapratifs se poursuivent avec la plus grande cété^té. DxcOté rasse; l u i r a i Akxçleffèonstate que la mobilisation'x’èst opérée jdazs d'ez- cMtettles conditions ; if a proclamé l’état ^esiégê à Poi^rlhuret alancé un ma- nlfeste>nx arméM^terreette mer- 'lés dtmr^eméBts' oondnueàt sanCrélâche en Corée, les trans ports ne cessant de déposer dans cette Ifrèsqu'tle des troopes, dn matériel et des vivres. Ues Ramees eo laairclie. Dipécbe'de. Loadres Un télégramme de Tckio au Daily Tek- frnpà annonce que les troupes russes eut ranchi le Taleu. Biles marchent sur Séoul et ont déjà occupé d'importantes wsltionB à Plng-Tang. La gamison japonaise a été grand#aent renfoKée. DépMM de Salnt-Pétersbouig : Suivantlechefd’état-maiordelamarine, le plan de l’amirar Alex* leff ne nécessite pas, pour les opératiens futuiies, une an mentatlon des forces navales autour de Port-Arthur. Censéquemment, les escadres russes des mers européennes a e partiront pas sans doute pour l’Extréme-Orïént. L’ainirai Alexfieff est toujours à Mouk- den. L’amiral Stark le remplace à Port- Arthur. Correspondanees avec» l’£xU;éme-Orient. Loi communications par la. voie transsi- tiaüeaa» avec le Japon et la Corée sont suspendus jcsqu’é nouvel ordre. Les corres;ocdanees pour ces pays doi vent en conséquence être achemicéss exclusivement par les voies maritimes suivant les errements mis en vigoeu'- avant l’ouverture du transsibérian. PARLEMENT SENAT Séanee du iS février. L’Enaeigraement aecoiulaire. Après dépôt de divers projet de loi d’in térêt local par H. Chaumié, ministre de l’instruction publique, le Sénat reprend la discussion des projet et proposition de loi concernant l’enseignement secondaire li bre. Le scrutin est ouvert lut l’ensemble de l'ardcle 3 (subventions), qni^est adènlé par 837 voix contre 8*. On voté eosuite l’a tisie i, qui interdit aux établissements d'enseignement secon daire privé de prendre le titre de collèges ou de iyeJes. L’article 5 est adopté après rejet d’un amendement de U. Riou. Ou vote sans discussien les articles 6 et 7. S u l’article 8 (grade exigés pour ensei- teor), on admet l'équivalence du certificat d’aptitude aux langues vivantes, qui est un diplôme, an grade de bachelier (avec la mention t larg es vivantes). Les articles 9 et 10 sont vo'és sans débat. Sur l’article é8 (inspections). M. de Bloie‘ demande que seuls les unir ers^ tires puis sent inspecter las étiblissemeots privés. Son amendtmeût est repoussé. M- de Lamarxélle demande A M. Uhau- miéde n^^munt privé. Lé ministre s’es ihe de l’article .41: < Est «lût ce qui est contraire à là Constitution, à la morale et aux lois s texte est adopté Séance du 49 février é90i. On reprend la discussion sur l’enseigue- meot secondaire, Après retrait d’un amendmnent de M. PontMer 4e CkamaiUard, les articles 13 (inspection) à 81 (sanctions) sont adoptés. H Eiott a la parole sur rarticlê 88 (ap pels delà décision du conseil académique). Selon l’orateur, le droit d’appel est di- mibué par la loi. Après expucations de' M. Chaumié, l’amendement est retiré. On vote l’article 88. Sur l’artide 83 (programmes, livres), M. de Mareire demùide la smpréssion de tome pénalité, c’est<'à-dirBde latermieture pour remploi de livras ioterdité. Par 810 vMx contre 87, cette «q>pres- sien est refUsée. Le texte est maintenu. Après rejet, par 119 voix contre 187, d’ua amendement de Jf. ' ------ ^ ---------------------------------- qui de mandait qu une fermeturé ne fût ordonnée qu’après avis conforme du conseil acadé mique, la discussion est suspendue La séance est levée à six ne B uvFuii ètlaa Députuiuiits (oat n œ u dtaMtamaot t bunxnx do jooniaL listes demandèrent rordrodt)^jpBr''ptir et simple, qui d toujou>e éqmrietp’ré, aux termes du règlement de la Chambrer et qui constituait, en ht eireonfittee, un eaëamotage. Les progressistes et les libéraux dé- cidérënt alors de s’absteitir en masse,' — cé qui eut lieu. voyée à mardi, trois heures. -♦ lettres et ren- ITnivrei^sité d e Pstriau Bubxau ni BrasmoiouRis. Un service spécial vient d’étre créé A la Sorbonne (Oalerie dns Sciences, andanne salle n° 1, entrée par la rue des Ecoles), destiné à. centraliser et à mettra A de dis- po -itiou du public tous les renseignemuiu relatifs auxmoyiens d’étude, conrs deltesle nature, conféreoces, laboratoires, imiuées, bibliothéipes, etc., existent à 'foris,ien- seignemente classés par sujet d ’étude, awe jtutes les indications relatives aux heures d’ouvertme, conditions d’admission^ etc (te bureau créé en conmnapar la -Wllo de Paris et ruoivwsité, estouvert au S ubllc tons les jours, sauf les jours fériés, e dix heures à midi, et de deux heures à cieq heures. Des iaterprétes sont attachés au bureau (téléphone : 818.61). é~’8e A-nesasass - Séance du 48 février. Les Chemins de fer slcérians. La (fliambra a commencé la dimaiiiton du projet de loi faisant remise du réseau des chemins de fer algériens par la métro pole à la colonie. La commistion des tra vaux publics est opposée au projet de loi qui a été déposé par la commission du budget, d’accord avec le geuvernement, et demande à la Chambre de sé prononcer pour le rachat avec exploitation par l’Etat. Après un discours de M. Sénac, qui est également l’adversaire du projet de loi, M. Thomson a soutenu les conclusions de la commission du budget, qui ont été coml»t- tues par M. Sibille. . Séanee du 49 février. ■ Les Chemins de fér algériens. La Chambre a continué la discussion du projet de loi tendant a la remise par l’Etat à l’Algérie des chemins de fer algériens. Jf. SüiiUe, continuant le discours qu’il avait commencé la veille, a combattu le projet de loi, qui a été soutenu, au con traire, par M. Boudin, rapporteur de la commission, et par M. Pliehon. Suite de la discussion lundi. HBOlill DiPUTimiU SËNLIS A. tra-srtexrai â e & U a . Li BérxiL ni Sinus. — L’auemblée ■ générale annuelle de ia Société de gym nastique et de tir le Réveil ds Seniw, a eu lieu lundi dernier, au gymnase, rue de la République. Après l’appel des membres actifs et pu pilles, le preeèS'verbal de la deraiére as semblée a été adopté. M. P. Baudeqnin, trésorier, a présenté ensuite la situation financière de.Kannée 1903 et ses eonutes ont été approuvés. Puis, H. Boullet, le dévoué secrétaire, a donné le compte-rendu de l’année écou lée. n a rappelé les sticcès du ctmééhn dé Uéru, cd lÿmnastes et pupilles concou raient en 8* division ; les tirs de Hén, Çompiégne, Précy ; les marches mensntlles, dont celle de Sentis à Paris, par la sec tion des marcheurs, restera un exemple pour les gymnastes à venir; les succès remportés par les gymnutss Moitié et Le- blond aux courses à pied de Cempiépe. Ces concours réonu donneut un ifonvel appoint de huit récompenses a sjôutiraux andennes, dont le Réveil a déjà féit aw l# moisson. LeÉésetiapris part à toutes tes fêtes locales, concours de pompes, 1i juUlet, ofi la séance de gymnastique au kiosque est Les journaux radeaux-socialistes' iàU UO Jta UO een* lis, M. Soye, n’a été approuvé que par 54 voix contre 366. Et ils oontflnent que l’honerable in- terpellatenr, M. Âudigier, a été blâmé même par ses amis politiques. Rien n’est plus inexact. La vérité est qu’on devait voter sur l’ordre du jour suivant : c La (tiiambre, flétrissant la délation...., passe à l’ordre du jour. » Pour voter Cet ordre du jour un au rait trouvé réunis tous les députés pro gressistes et libéraux et bien d’autews députés appartenant en groupe de rUiion démocratique. Sentant le danger, les radicaux-socia- minée par la séance annuelle offerte aux membres hosotaires qui y assistèMBt plus nombreuxquejamais. Pendant cette stance, une quête au profit des 7 gymnastes sous les drapeaux permit d’enveyw à ehaenn 5 francs. Le secrétaire twmine son rapport en espérant que l’année qui s’ôuvra sera aussi féconde que celle qui vient de £ i^ raltre. Son rapport est chaudetnent ap plaudi. Le président prmtant la parole, remercia les membres du Comité de leur ptédrax concours et de leur assiduité aux cCnvo- cations. Il fait l’éloge du secrétaire, t e tré sorier et de leurs adjoints, fétiche les lau réats des concours et exhorte à l’astidhité gymnutes et pupilles qui ne peuventman- quer de tonjonrs progressor avec un pro fesseur aussi tenace et aussi asdduqna H. Hillery, secondé par ses nutetéun Boullet et Maille. Il soundte au gymnasl# Riches le succta qu’a roppetté cette annta sou camarade Boullet en recevant le di plôme de moniteur. H est ensuite procédé au renouvellement du Comité. Les mem bres sortants sont radns A i’unanjmhi. Des pourparlers sent engagés pour l’w - ®®lïton du coorribr dsvoisb (26) L’IM O T E PAB ÉMILE RICHEBOURG PREMIÈRE PARTIE L a . o i i u t e XVIII LA BUPTUHE (Suite) ^Horrible ! gémit la jeun» femme. 'lait vicomte, ma haine i’avai'** ®; mais je sentis bientôt que îère * ardent et sm- Toute frissonnante, ivuwj irissonnanie, *ur lui son regard fixe où il y autant dç mépris que d'indignation. . '^arate de Sanzac, s’écria-t-elled’une Mi ’oix éni I oanzac, s’ecna-t-elled une l'nn - c o n d u i t e a été celle l'ne ® d'un lâche I ''icomf* P''°*^°pde se creusa sur le front ’isapp lèvres se crispèrent, et son ■-Ou^ ®®'"'r't d'une pâleur livide. an *’ •*j^^ria-t-elle de nouveau, vous Le,."*' vous êies un lâche I lureur** Sanzac étincelèrent ' ' Ah'n'T*j“' ’ taisez-vous 1 hurla-t-il. Siée le ' “‘t-elle, en dardant sur lui bi»n , , "““aa de son regard, vous *tesl Vous avez "•mvo, „ ’’°tre masque, et je vois enfin > yeux et sur votre 'visage toute votre hypocrisie... Dieu du ciel continua- t-elle, en donnant à sa voix une expression de douleur intraduisible, c’est pour cet homme que j’ai oublié tous mes devoirs, c'est pour ce misérable que j’ai trahi l'homme généreux qui m’avait élevée jus qu'à lui ! ..Ah ! mais j’étais folle ! folle !... l'.lle resta un moment silencieuse et re prit, s'adressant à elle même: — Bh bien ! malheureuse, l’ablme est-il assez profond ? Ton malheur est-il assez grand'? t’es-lu assez enfoncée dans la boue '? Où est ta dignité ? où est ta fierté î est ton orgueil ? Dans la fange où tu les a ietés. Aujourd'hui tu n’es plus rien, plus rien qu’une misérable, et, le front courbé sous ton infamie, tu peux t’abreuver de toutes les hontes! Le jeune homme la regardait, ayant son mauvais sourire sur les lèvres. Elle fit un pas vers lui, s’arrêta, et, le buste en arrière, un bras tendu et le regard fulgurant, elle'luicria : — Vicomte de Sanzac, je vous méprisa st je vous hais ! l'it sans lui donner le temps de répli quer. elle s’élança dans la chambre voisine elle s’enferma. Les yeux fixés sur la porte, le vicomte resta un instant immobile, comme galva- nisé. Soudain, il eut un mouvement brusque et rejeta sa tête en arrière. — Le roman est fini, murmura-t-il entre ses dents, après tout, qu'importe? Je ma suis vengé!... 11 tira de sa poche un porte-cigares garni d’or finement ciselé et, tranquille ment il alluma im londrès. Puis il sortit de la chambre, descendit l’escalier st s’en alla au fond du jardin respirer l’air rafraî chi du soir sous les grands orangers. XIX EKFACEDE l iKCONNU La comtesse était tombée dans un fau teuil. Sa douleur, trop longtemps conte nue, éclata tout à coup en larmes, en san glota et en gémissements. Le jour déclinait. Le soleil descendait rapidement, empourprant les nuages flo conneux qui nageaient à l’horizon. — Le spleil va disparaître bientôt, dit la malheureuse jeune femme, la nuit ne tar dera pas à arriver; et je suis encore ici, dans cette maison maumte. Il faut que je parte. Elle tendit l’oreille, écouta, et n’enten dant aucun bruit, elle reprit : — Je pleure... Ah! il est bien temps de pleurer! Larmes et sanglots inutiles!... Elle essuya sés yeux et ses joues. Sa poitrine s'était un peu dégonflée. — Allons, raurmura-t-elle, je n’ai plus une minule à perdre. Elle se leva, et tournant autour de la chambre avec une activité fiévreuse, elle rassembla très vite les quelques objets qu'elle allait emporter ; les langes de son enfant qu'elle ne voulait pas abandonner, qu’elle tenait, au contraire, à conserver et un peu de linge à elle. En efifèts d'habille ment. elle n’avait, noua le savons, que ce qu’elle portait sur elle. Les étoffes achetées su Louvre par le valet de chambre du vi comte ne devaient arriver à Mentob que la lendemain, et, jusque-là, ia comtesse n’avait encore accepté aucun cadeau de son amant. Elle eut bientôt rempli son sac de voyage. Dans le tiroir d’un chiffonnier, elle ■ prit son porte-monnaie. Avant de le mettre dans sa poche, elle compta- sa fortune. Moins une trentaine de francs qu’elle avait dépensés en menas objete pour sa fiUq, il lui restait tout l’argent qu'elle avait em porté de Paris : cinq cent trente-deux francs. — Je n’irai pas loin avec cela, se dit-elle en secouant tristement la léte. Enfin! soupira-t-elie. I ®’®PP™,®ba de la porte contre laquelle elle colla son oreille. . T,"^® n’entends rien, prononça-t elle . tout bas, il n est plus là. , Son regard s’éclaira d’une clarté sombre. — D’ailleurs, ajouta-t-elle, je ne le crains pas. Après avoir arrangé très vite ses che veux sur sa tête, elle mit son chapeau, prit aon sac de voyage et sortit de la chambre. Elle traversa la première pièce, et. résolur ment, elle descendit l’escalier, puis les marches du perron. Tout à coup, elle se trouva en face de Juanita. Celle-ci ne puf répnmér un mouvement de surprise. Madame, dit-elle, les yeux fixés sur le sac de voyage, monsieur est dans le jar- dm, là-bas, sous les orangers. — C’est bien, répondit la comtesse. Et elle marcha vers la claire-voie. , J u ^ ta n’osa lui adresser aucune ques tion. Tout interdite et comme clouée sur place, elle la regarda s'éloigner. ,.T)?,®°™tesse passa la barrière et descen- dit d un pas rapide l’avenue des orangers. Ou dlait-elle? Elle ne savait pas encore de quel côté elle se dirigerait. Elle s’en fuyait dola villa de Garavant comme quel- 9 “®® auparavant elle s’étail enfme de 1hôtel de Lasserre. Elle voulait s’éloigner “• Menton, d’aborii, et mettre ensuite antre elle et l’homme qui l’avait perdue la plus grande distance possible. Quand le vicomte lui avait demandé : Ou irez-vous? elle a-vait répoudii : «<!>•-. ?Mt moi ! » Et elle s’en allait, -en effet, diSTOsée à laisser au hasard le soin de la conduire. Sans éprouver^ encore autre chose qu'une vague inquiétude, elle sentait pourtant, la malheureuse, qu’elle se préci tait vers l’inconnu. Quant à ce qu’elle ferait, elle ne le savait pas davantage; elle ne prévoyait pas en core quelles luttes elle aurait à subir, quelles nouvelles souffrances elle devrait endurer. N’ayant pas eu le temps de réflé chir, elle ne voyait pas encore son isole ment. son complet abandon, les nom breuses difficultés qui allaient se dresser devant elle, les mi'le dangers auquels elle serait exposée, les iinpérieùses nécessités de l’existence, si elle voulait vivre. t'i-yre ! oh 1 oui, elle le voulait. Elle voulait vivre pour le repentir, vivre dans fespoir de retrouver sa fille, vivre pour oonseiver, en elle, son cher sôuvènir. Elle ne pensait qu’à son 'enfant, à sa chère petite Lucie, et elle entendait une- voix intérieure qui lui criait : « Marche en avant, ne crains rien, tu la retrouveras 1 » Mais quand cette voix avait parlé, elle entendait aussitôt une autre voix discor dante qui frappait ses oreilles par ces mots' terribles. « Tu ne la reverras jamais !» Alors, un frisson cournit dans tous ses membres et elle sentait én elle une angoisse inexprimable. Puis l’autre voix, celle de l'espérancé se faisaitentendrede nouveau, et elle avait comme un frémissement de ioie, et son cceur semblait se dilater. OuiAoui, se disait-elle, je ne Tai pas perdue Mur toujours, je reverrai mon es tant... Dioa «st bon. Après m’avoir châtiée, il aura pitié démoli Eiles yeux .au ciel, son regard implo rait celui quj^iuut et pardonne. : Déjà.elle ,âŸait la pensée de se laetti» /*: là recherche de sa fille, ne voyant pas les* obstacles, ne pouvant admettre qu’elle sntreprenait une tâche impossible. La malheureuse jeune femme se trouvait dans une situation exceptionaellemeni douloureuse et difficile. Pour elle, la grande lutte de la -vie allait commencer, lutte inces sante. Elle ne voulait pas songer à cela.’ Afin de ne point s’effrayer, elle évitai! d’arrêter sa pensée sur les sombres tacs- tualités de l'avenir. Maintenant, elle était seule au monde. Comme s’il n’eût attendu que le mariage de sa nièce pour disparaître de ce monde, le colonel de Noirmont était mort presque subitement quelques mois après. Sans doute là comtesse avait des amies, et parmi celles-ci. en première ligne, la mar^isC de Montperrey, dont. elle rtnimaÎMaiS l ’ex trême bienveillance, et qui lui avait tou-, jours temoigné une grande affection.. Mais pouvait-éllë s’adresser à la marquise oa n’importe à quelle autre de ses amies? Oh I - non, jamais 1 Elle eût préféré la mort. Ella sentait bien que le monde la repousserait, 3 u*elle serait l’objet du dédain des uns, u mépris des autres, et que de ceux qui lui avaient fait les plus grandes protesta tions d’amitié, elle n’aurait à attendre que de cruelles humiliations. Elle^ ne pouvait donc réclamer l’aide, l’appui ou les conseils depersbnnë. Elle ne devait compter que sur elle-même. Heu reusement eUegvait la volonté et ne. man quait pas dé. côurage. Dès qu’elle fiit en ville, ne voulant poini passer la nuit à Menton, dlé s'infnma -dn moyen de seiremfredplltice. Onllkè à dit que la vMttiilàpù cinqheifresjman qaT dépechqs. ^ u l a n jétâik,j en villa, au b u t ^ ^ î é f Va'ràit'paB.Jte^MBjra. â, qu’cfllesc b n u pôiffâè pasTe i

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Page 1: Henri GAUCHIS, ^âdiotoisirstçiir. jomiiNiEbmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_02_21_MRC.pdf · iém . kdé Ide 8 b. soir. raie»: t£f*^ — 7 S ^ A n n é e . — Æ? Æ

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_d'aTaneo et eonBnu do ploiB drat jusn’à iifeop& d’aob '

" B V«tDAOYdi

I e 5 0 î in a ^ c h eHenri CÂUOH , Administratèiir.'

L; Ü .“x-IJ ‘j -■ ^& ’. r. -W:. ; X - i<t -

~ r - x ■'■--■•S E N I r X S — 9 -1 1 , ÏPlaoe.'ihk l'H A téM e-V U le - S E I V l i l S

■r^jM jgpA-oi»» •IM mtBMMOraigfrjoli'é i^ t n«4i y aoiitpu yadw ;

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Stnlis, It SO Février i904 .

Kl Béfe des Japoeais.Le péril jaooe, dont on a beaneonp ri

chez nons, est partout l’objet de la pins lériense attention. En ce moment, an Transraal, les propriétaires des mines sont partagés entre le désir d’appeler la Dsin-d’oenTre chinoise pour édifier ra­pidement lenrs fortunes et la crainte de Toir les mines et le pays passer aux mains de ces onvriers jaunes, malgré les précautions prises pour les confiner dans lenr spécialité de travail et pour les ra­patrier après deux ou trois ans de sîr- Tices. L’exemple des Etats-Unis est là pour lenr prouver qu’on ne se débarrasse pas facilement des Chinois.

Les Américains ont mis en quaran­taine, dans les ports de Californie, les lavires du Pacifique soupçonnés d’ame­ner des Chinois, et les douaniers ont tons les droits sur ces derniers, traités comme des objets de contrebande. Avec la complicité de leurs compatriotes déjà dans la place, les Chinois s’introduisent quand même, embarqués à fond de cale en des tonneaux ou en des caisses, comme c noix de cocB > ou c poissons léchés >. Une fois d«is la position, ils10 chargent de réussir mieux que per- wnne, soit dans la culture, soit dans le commerce.

La crainte des Chinois est telle, aux Etats-Unis, que le président Roosevelt I dû intervenir persminellement pour faire modifier les conditions exception­nelles imposées aux négociants chinois qui prendront part à l’Exposition de Saint-Louis. D’après le règlement de l'office de l’immigration, ces négo­ciants devaient déposer une garantie de 2.500 francs, accompagnés de trois photographies lé^lisées, et s’engager par écrit à repartir pour La Chine par le iremier paquebot, dés la fermeture de l'Exposition. Devant le refus des négo­ciants chinois, et devant la menace d un coup funeste porté aux relations com­merciales sino-américaines, le président Roosevelt a fait modifier ces prescrip­tions, mais les Américains pensant que cette invasion inévitable et, en appa­rence momentanée, sèmera chez eux des germes qu’on ne déracinera plus.

Or, c’est au moment où les Anglais au TransvaaJ, et les Américains chez eux, redoutent l’entrée de la race jaune, que ces deux mêmes peuples secondent, en Asie, le Japon, qui est le grand aiguillon de cette race I

Les Chinois ont d’abord traité les Ja­ponais de c singes de l’Europe après ( avoir été les singes de la Chine >. De ieu côté, les nations européennes ont mdans le Japon, entrant comme elles11 Chine, un petit concurrent commer­çai dans le genre de l’Italie. Quelle irrenr ! Les Joponais ont pénétré chez airs frères avec de tout antres idéesjst diis de tout autres conditions. Ils se loitfùts Chinois, des pieds à la têts et cit pris aux Chinois, au milieu desquels la vivent, leurs habitudes et leur langue.

Au lieu d’exhiber aux Chinois le vii s snropéen dont ils sont si fiers, caisqui excite tant de défiances, ils air ont montré leur vieille âme mon-

i au lieu d’etaler les engins mo- •srnes qui mettaient, pour les Chinois, as Japonais sur le rang des étrangers cjiemis, ils se sont montrés de tous peints semblables à eux. De cette &çon,“ calment les soupçons et amènent

graduellement les Chinois à leurs propres idées.

Dans leur infiltration commerciale et intellectuèlle, les Japonais ont été mer- veilleux de souplesse et d’habileté. L’identité de la langue écrite les a par- ticulièremwt servis. Tous les objets que couvre l’étiquette japonaise, immédiate­ment lisible pour eux, sont accueillis par les Chinois aussi avides de nou­veautés que défiants de ce qui vient dlEurope. D’objets en objets, les Japo­nais sont en passe de conquérir à leur civilisation les marchés et les popula­tions de la Chine.' . . .

Mais ce n’est pas seulement dans les affaires ^ue le Japon exerce son action. Il veut japoniser les troupes, jsponiser l’enseignement, et par l’enseignement', japoniser tout ce qui en dépend. Quand ce programme se sera réalisé, quand la Chine se sera réveillée et. misé en marche, sons l’action du Japon, le règne de l’influence des Européens en Asie sera clos. C’est pour cela qu’il est im­possible de comprendre, — sinon par les bénéflces immédiats qu’elle poursuit, la politique à courte vue de l’Angle- 'terre. 11 est encore plus impossible de comprendre que certains Français ne veuillent pas se rendre compte du rôle important que la Russie doit jouer en Extrême-Orient, dans l’intérêt de l’Eu­rope.

j \ B B I X ' B O B S IB tS 'B iX B S 'IO Z T S :

OM ir*A0CKPn fAM ])’Qi9n3TOir AuoBasoafl i>i4 ra ifo Lm anapneu, ré c la m , «to., çoacpRtutPacif atlas Dépi

ECHOS de PARTOUTA P a ris .

— L a 3i* exposition canine annuelle au ra lieu b Paris, du 20 au 27 mai. su r son em pla­cem ent habituel de la terrasse des Tuileries.

— La conunission de révision s'est pronon­cée, à l’unanimité, pour la révision d e l’efiaire Danval.

— On annonce la m ort de José Frappa, le célèbre peintre de genre j il n’avait que cin­quante ans.

D a a s le s D é p ar ies sea ts ;— A Berclc-Plage, tin incendie s’e s t déclaré

dans l'ancienne école externat de Notre Dame. Les dégâts m atériels sont assez im portants.

- - L a grève des m aréchaux - fe rran ts de Reim s est term inée. Le syndicat n ’a obtenu aucune des augm entations de salaire qu’il demandait.

E a X orope.— Les pécheurs de Poldhu (Angleterre) ré ­

clam ent la suppression du poste de télégra­phie sans fil étabU b cet endroit, sous pré­texte qu’il est cause du m auvais tem ps.

— Un comité autrichien a p ris l’initiative d’élever b Austerlitz un m onum ent b la mé­moire des 40.000 soldats français, russes e t autrichiens m orts su r le cham p de bataille du 2 décembre 1804. Un appel va ê tre adressé aux m unicipalités im portantes des tro is nations.

H o rs d*£avope.- L e vapeur Persio , de l’A n ch o r-L in e ,

a llan t de B om bsj b Liverpool, est arrivé b Pord-Sald, avec sa cargaison en feu.

— A ie suite d’un incendie qui brfrla to u t un quartier de Baltim ore, quatre compagnies d’assurances de cette ville ont dû déposer leur bilan.

— L a circulation des tra ins, au Canada, est complètem ent désorganisée par su ite de chu ­tes abondantes de neige. Le transpo rt des m archandises est suspendu, e t les tra ins de vopageurs sont arrêtés de toutes perte.

A V IS A U X U E C T E U R SRappelons qae les letirts adressées à

la direction dn joornil ei qui s goaient des laits, reafermeat des plaintes ou proitsia- tations, doivent êtreii«vêtaes4’ane «igna- tnre lisible et d’nne adresse.

Les noms des signataires ne sont jamais dlvalgaés, à moins qae eenz ci ne nons demandent de les publier.

L E F A I T D U J O U Éu e r » 9 p<Mrà d e U . B ulw M ik.

M. Ferdinand BnisBon .a été chargé du rapport enr la supprea- aion de l’eneeigneme'ni éongtéga^

niste et ce rhéteur a appelé à^eon seceura toutes les ressourdes de son vocabulaire philosophique pour donner un Aux air de libéralisme'à sou personnage de sectaire passionné.

C’est' ainsi qu’eva d rie mettre dehors les frères de la doctrine chrétienne, M. Buis­son fait leur éloge. Singulier décor que celui dont ce rapporteur entoure, non sans ironie, les.gene qu’il frappe I

Ne parlez pas à M. Buisson des drtdts du père de funille. Des pères de {uallle veulent des congréganistes pour enseigner leurs enfhnts, M. . Buisson répond que=< la loi refuse de patentes’en quelque sorte,- « pour le mettre à leur dàpoidtion, un c inbtrament eldleotit de compreasfon à '< haute pnissanee).instrument qu’ils jnge-< raient très commode et que la loi juge< très dangereux >.

Singulier langage et thèse plus singu­lière encore I Le jour où M. Buisson sera tout puissant, qui nous garantit qu’ii n’im­posera pas, au nom de l'Etat enseignant, un instrament de compression qu’il jugera très commode et que les particuliers juge­ront très dangereux? Dans cet. ordre d’idées, on ne peut échapper à l’oppres­sion, d’où qu’elle'Vienne, que par la literlé.

Les fondateurs de l’enseignement laïque donné par l’Etat ont promis aux particu­liers qu’ils pourraient, à leurs frais, «onsfl- tuer et entrôtenir des écoles privées; C’est contre ce droit que vont les prcqiositions nouvelles. On commence par imerdire aux congréganistes de tenir ces écoles; demain on fera plus pour entraver leur essort.

Sans doute, M. Buisson, affectant de distinguer ia congrégation et le congréga- niçte, assure qu’il ne veut pas douter de la sécularisation sincère de 8s dernier, et que le droit d’enseigner lui restera. C’est un développement qui équilibre sa thèse et lui 6te,.pour unjnoment, «e qu’sUseï de brutal et de choquant. Mais ce n’est qu’un développement. Quand un De^ech-aa un- Girard proposera de mettre l’ancien coh- gréganiste en interdit, M. Buisson se taira et approuvera.

Des rapports comme celui de M. Ferdi­nand Buisson se caractérisent d’im mot. En montrant combien on peut mécon­naître et violenter la liberté d’ime catégorie de citoyens, au nom de l’Etat, M. Buisson fournit è ceux qui pourraient s’emparer de l’Etat l’exemple de-violences et d’injus­tices contre d’autres catégories de ci­toyens. Rien de plus dangereux pour la République qui ne saurait se concevoir sans la liberté.

La Guerre ru sso -jap a ise .Le senl fait de gaerre dont le télégraphe

nons ait apporté la nonvelle, est nne attaqne de Port-Artbnr qui remonterait an té. Au conrs de cette tetiative des Japonais, un vaisseau russe aurait été torpillé. Hais liuformatien est-elle exacte? L’amiral Alexeîeff n'a lancé aucune dépêche à ce sujet et l’on sait combien le vic*-roi d’Ex- tréme-Orlent tient à renseigner fidèlement et rapidement le gouvernement de Péters* boarg.

De différents cétés se confirme la nou­velle d’une seconde attaque de Port-Artbnr, le té février. A proprement (parler, 11 ne semble pas qu'elle ait pris une grande extension, car, de Faven même de l’amiral japonais, deux contre-torpilleurs senlement y ont partie pé dncésédu Nippon. L’amiral AlexiLff n’a point télégraphié, estimant sans doute l’iacident de uible portée.

Ij fiLu pénurie de noOTellA précises esté I; néture à'énfratâilr‘ l'lIèpâ-I. tieècè. kais’il he fàut uOint cubiiér que le

in tac t suMerroétât MiFtl'étré immédiat [ entre les belligérants et qiiepour atteindre le Tàlou. ofi se iivnéra vràisemblablemieni'

; un grand combat, les Japonais avaient à parcourir une .distance moyenne de 350 à' 600 Uleimétret. Sûi'' mer; pour l’instant; m é reneontre sérieuse ne parsit guère immilienle, puisque la grande escadre russe dé Port-Arthur s’attsime à la défense de cet arsenal, dont la-position est capitale, et que l'échec dn 8 aora quelque yen mo­déré raroeurdes Japonais. Quant à la di- vbisn deyiàdivostok, elle a pU jusqu'ici évoluer en inpr libre.. Cequi èri oertéin. c’est que de part et

d antre les prapratifs se poursuivent avec la plus grande cété^té.

DxcOté rasse; lu i r a i Akxçleffèonstate que la mobilisation'x’èst opérée jdazs d'ez- cMtettles conditions ; if a proclamé l’état ^esiégê à P o i^ rlh u re t alancé un ma-nlfeste>nx arméM terre et te mer-

'lés dtmr^eméBts' oondnueàt sanCrélâche en Corée, les trans­ports ne cessant de déposer dans cette Ifrèsqu'tle des troopes, dn matériel et des vivres.

U e s R am ees e o laairc lie . Dipécbe'de. Loadres Un télégramme de Tckio au Daily Tek-

frnpà annonce que les troupes russes eut ranchi le Taleu.

Biles marchent sur Séoul et ont déjà occupé d'importantes wsltionB à Plng-Tang.

La gamison japonaise a été grand#aent renfoKée.

DépMM de Salnt-Pétersbouig : Suivantlechefd’état-maiordelamarine,

le plan de l’amirar Alex* leff ne nécessite pas, pour les opératiens futuiies, une an mentatlon des forces navales autour de Port-Arthur.

Censéquemment, les escadres russes des mers européennes a e partiront pas sans doute pour l’Extréme-Orïént.

L’ainirai Alexfieff est toujours à Mouk- den. L’amiral Stark le remplace à Port- Arthur.

C o r r e s p o n d a n e e s avec» l ’£ x U ;ém e-O rie n t.

Loi communications par la. voie transsi- tiaüeaa» avec le Japon et la Corée sont suspendus jcsqu’é nouvel ordre.

Les corres;ocdanees pour ces pays doi­vent en conséquence être achemicéss exclusivement par les voies maritimes suivant les errements mis en vigoeu'- avant l’ouverture du transsibérian.

PARLEMENTS E N A T

Séanee du iS février. L’Enaeigraement aecoiulaire.

Après dépôt de divers projet de loi d’in­térêt local par H. Chaumié, ministre de l’instruction publique, le Sénat reprend la discussion des projet et proposition de loi concernant l’enseignement secondaire li­bre.

Le scrutin est ouvert lut l’ensemble de l'ardcle 3 (subventions), qni^est adènlé par 837 voix contre 8*.

On voté eosuite l’a tisie i, qui interdit aux établissements d'enseignement secon­daire privé de prendre le titre de collèges ou de iyeJes.

L’article 5 est adopté après rejet d’un amendement de U. Riou.

Ou vote sans discussien les articles 6 et 7. S u l’article 8 (grade exigés pour ensei- teor), on admet l'équivalence du certificat d’aptitude aux langues vivantes, qui est un diplôme, an grade de bachelier (avec la mention t larg es vivantes).

Les articles 9 et 10 sont vo'és sans débat.Sur l’article é 8 (inspections). M. de Bloie‘ demande que seuls les unir ers^ tires puis­sent inspecter las étiblissemeots privés.Son amendtmeût est repoussé.

M- de Lamarxélle demande A M. Uhau-miéde

n^^munt privé. Lé ministre s’esihe de l’article .41:

< Est «lût ce qui est contraire à làConstitution, à la morale et aux lois stexte est adopté

Séance du 49 février é90i.On reprend la discussion sur l’enseigue-

meot secondaire,Après retrait d’un amendmnent de M.

PontMer 4e CkamaiUard, les articles 13 (inspection) à 81 (sanctions) sont adoptés.

H Eiott a la parole sur rarticlê 88 (ap­pels delà décision du conseil académique).

Selon l’orateur, le droit d’appel est di- mibué par la loi. Après expucations de' M. Chaumié, l’amendement est retiré. On vote l’article 88.

Sur l’artide 83 (programmes, livres), M. de Mareire demùide la smpréssion de tome pénalité, c’est<'à-dirBde latermieture pour remploi de livras ioterdité.

Par 810 vMx contre 87, cette «q>pres- sien est refUsée. Le texte est maintenu.

Après rejet, par 119 voix contre 187, d’ua amendement de Jf. ' ------ ^— ---------------------------------- qui de­mandait qu une fermeturé ne fût ordonnée qu’après avis conforme du conseil acadé­mique, la discussion est suspendue

La séance est levée à six ne

BuvFuii ètlaa Députuiuiits (oat n œ u dtaMtamaot t bunxnx do jooniaL

listes demandèrent rordrodt)^jpBr''ptir et simple, qui d toujou>e éqmrietp’ré, aux termes du règlement de la Chambrer e t qui constituait, en ht eireonfittee, un eaëamotage.

Les progressistes et les libéraux dé- cidérënt alors de s’absteitir en masse,' — cé qui eut lieu.

voyée à mardi, trois heures.-♦

lettres et ren-

ITnivrei^sité d e Pstriau Bubxau ni BrasmoiouRis.

Un service spécial vient d’étre créé A la Sorbonne (Oalerie dns Sciences, andanne salle n° 1, entrée par la rue des Ecoles), destiné à. centraliser et à mettra A de dis- po -itiou du public tous les renseignemuiu relatifs auxmoyiens d’étude, conrs deltesle nature, conféreoces, laboratoires, imiuées, bibliothéipes, etc., existent à 'foris,ien- seignemente classés par sujet d ’étude, awe jtutes les indications relatives aux heures d’ouvertme, conditions d’admission^ etc

(te bureau créé en conmnapar la -Wllo de Paris et ruoivwsité, estouvert auSubllc tons les jours, sauf les jours fériés,

e dix heures à midi, et de deux heures à cieq heures.

Des iaterprétes sont attachés au bureau (téléphone : 818.61).

é~’8e A-nesasass -

Séance du 48 février.Les Chemins de fer slcérians.

La (fliambra a commencé la dimaiiiton du projet de loi faisant remise du réseau des chemins de fer algériens par la métro­pole à la colonie. La commistion des tra­vaux publics est opposée au projet de loi qui a été déposé par la commission du budget, d’accord avec le geuvernement, et demande à la Chambre de sé prononcer pour le rachat avec exploitation par l’Etat. Après un discours de M. Sénac, qui est également l’adversaire du projet de loi, M. Thomson a soutenu les conclusions de la commission du budget, qui ont été coml»t- tues par M. Sibille.

♦ .

Séanee du 49 février. ■Les Chemins de fér algériens.

La Chambre a continué la discussion du projet de loi tendant a la remise par l’Etat à l’Algérie des chemins de fer algériens. Jf. SüiiUe, continuant le discours qu’il avait commencé la veille, a combattu le projet de loi, qui a été soutenu, au con­traire, par M. Boudin, rapporteur de la commission, et par M. Pliehon.

Suite de la discussion lundi.

HBOlill DiPUTimiU

S Ë N L I SA . tra -s r te x ra i â e & U a .

Li BérxiL ni Sinus. — L’auemblée ■ générale annuelle de ia Société de gym­nastique et de tir le Réveil ds Seniw, a eu lieu lundi dernier, au gymnase, rue de la République.

Après l’appel des membres actifs et pu­pilles, le preeèS'verbal de la deraiére as­semblée a été adopté.

M. P. Baudeqnin, trésorier, a présenté ensuite la situation financière de.Kannée 1903 et ses eonutes ont été approuvés.

Puis, H. Boullet, le dévoué secrétaire, a donné le compte-rendu de l’année écou­lée. n a rappelé les sticcès du ctmééhn dé Uéru, cd lÿmnastes et pupilles concou­raient en 8* division ; les tirs de Hén, Çompiégne, Précy ; les marches mensntlles, dont celle de Sentis à Paris, par la sec­tion des marcheurs, restera un exemple pour les gymnastes à venir; les succès remportés par les gymnutss Moitié et Le- blond aux courses à pied de Cempiépe.

Ces concours réonu donneut un ifonvel appoint de huit récompenses a sjôutiraux andennes, dont le Réveil a déjà féit aw l# moisson.

LeÉésetiapris part à toutes tes fêtes locales, concours de pompes, 1 i juUlet, ofi la séance de gymnastique au kiosque est

Les journaux radeaux-socialistes'

iàU UO Jta UO een*lis, M. Soye, n’a été approuvé que par 54 voix contre 366.

Et ils oontflnent que l’honerable in- terpellatenr, M. Âudigier, a été blâmé même par ses amis politiques.

Rien n’est plus inexact.La vérité est qu’on devait voter sur

l’ordre du jour suivant :c La (tiiambre, flétrissant la délation....,

passe à l’ordre du jour. »Pour voter Cet ordre du jour un au­

rait trouvé réunis tous les députés pro­gressistes et libéraux et bien d’autews députés appartenant en groupe de rU iion démocratique.

Sentant le danger, les radicaux-socia-

minée par la séance annuelle offerte aux membres hosotaires qui y assistèMBt plus nombreuxque jamais. Pendant cette stance, une quête au profit des 7 gymnastes sous les drapeaux permit d’enveyw à ehaenn 5 francs. Le secrétaire twmine son rapport en espérant que l’année qui s’ôuvra sera aussi féconde que celle qui vient de £ i ^ raltre. Son rapport est chaudetnent ap­plaudi.

Le président prmtant la parole, remercia les membres du Comité de leur ptédrax concours et de leur assiduité aux cCnvo- cations. Il fait l’éloge du secrétaire, t e tré­sorier et de leurs adjoints, fétiche les lau­réats des concours et exhorte à l’astidhité gymnutes et pupilles qui ne peuventman- quer de tonjonrs progressor avec un pro­fesseur aussi tenace et aussi asdduqna H. Hillery, secondé par ses nutetéun Boullet et Maille. Il soundte au gymnasl# Riches le succta qu’a roppetté cette annta sou camarade Boullet en recevant le di­plôme de moniteur. H est ensuite procédé au renouvellement du Comité. Les mem­bres sortants sont radns A i’unanjmhi.

Des pourparlers sent engagés pour l’w -

® ® lïto n du coorribr d s v o is b

■ (26)

L ’ I M O T EPAB

ÉMILE RICH EBO U RG

PREMIÈRE PARTIE

L a . o i i u t e

XVIIILA BUPTUHE

(Suite)^H orrib le ! gém it la je u n » fem m e.

' l a i t 1® vicomte, ma hainei’avai'** ® ; mais je sentis bientôt que îère * ardent et sm-

Toute frissonnante,ivuwj irissonnanie, *ur lui son regard fixe où il y

■ autant dç mépris que d'indignation. . '^arate de Sanzac, s’écria-t-elled’une

M i

’oix éni I oanzac, s’ecna-t-elled une l'nn - c o n d u i t e a été celle

l'ne ® d'un lâche I ''icomf* P''°*^°pde se creusa sur le front

’isapp lèvres se crispèrent, et son■-Ou ®®'"'r't d'une pâleur livide.

an *’ •* j^^ria-t-elle de nouveau, vous L e,."* ' vous êies un lâche I lureur** Sanzac étincelèrent

' ' Ah'n'T*j“' ’ taisez-vous 1 hurla-t-il. Siée le ' “‘t-elle, en dardant sur lui

b i» n , , "““ aa de son regard, vous *tesl Vous avez

"•m vo, „ ’’°tre masque, et je vois enfin > yeux et sur votre 'visage toute

votre hypocrisie... Dieu du ciel continua- t-elle, en donnant à sa voix une expression de douleur intraduisible, c’est pour cet homme que j ’ai oublié tous mes devoirs, c'est pour ce misérable que j’ai trahi l'homme généreux qui m’avait élevée jus­qu'à lui ! ..A h ! mais j ’étais folle ! folle !...

l'.lle resta un moment silencieuse et re­prit, s'adressant à elle même:

— Bh bien ! malheureuse, l’ablme est-il assez profond ? Ton malheur est-il assez grand'? t’es-lu assez enfoncée dans la boue '? Où est ta dignité ? où est ta fierté î où est ton orgueil ? Dans la fange où tu les a ietés. Aujourd'hui tu n’es plus rien, plus rien qu’une misérable, et, le front courbé sous ton infamie, tu peux t ’abreuver de toutes les hontes!

Le jeune homme la regardait, ayant son mauvais sourire sur les lèvres.

Elle fit un pas vers lui, s’arrêta, et, le buste en arrière, un bras tendu et le regard fulgurant, elle'luicria :

— Vicomte de Sanzac, je vous méprisa st je vous hais !

l'it sans lui donner le temps de répli­quer. elle s’élança dans la chambre voisine où elle s’enferma.

Les yeux fixés sur la porte, le vicomte resta un instant immobile, comme galva- nisé.

Soudain, il eut un mouvement brusque et rejeta sa tête en arrière.

— Le roman est fini, murmura-t-il entre ses dents, après tout, qu'importe? Je ma suis vengé!...

11 tira de sa poche un porte-cigares garni d’or finement ciselé et, tranquille­ment il alluma im londrès. Puis il sortit de la chambre, descendit l’escalier st s’en alla au fond du jardin respirer l’air rafraî­chi du soir sous les grands orangers.

XIX

EK FACE DE l’iKCONNU

La comtesse était tombée dans un fau­teuil. Sa douleur, trop longtemps conte­nue, éclata tout à coup en larmes, en san­glota et en gémissements.

Le jo u r déclinait. Le soleil descendait rap idem ent, em p o u rp ran t le s nuages flo­conneux qu i nageaien t à l’horizon.

— Le spleil va disparaître bientôt, dit la malheureuse jeune femme, la nuit ne tar­dera pas à arriver; et je suis encore ici, dans cette maison maumte. Il faut que je parte.

Elle tendit l’oreille, écouta, et n’enten­dant aucun bruit, elle reprit :

— Je pleure... Ah! il est bien temps de pleurer! Larmes et sanglots inutiles!...

Elle essuya sés yeux et ses joues. Sa poitrine s'était un peu dégonflée.

— Allons, raurmura-t-elle, je n’ai plus une minule à perdre.

Elle se leva, et tournant autour de la chambre avec une activité fiévreuse, elle rassembla très vite les quelques objets qu'elle allait emporter ; les langes de son enfant qu'elle ne voulait pas abandonner, qu’elle tenait, au contraire, à conserver et un peu de linge à elle. En efifèts d'habille­ment. elle n’avait, noua le savons, que ce qu’elle portait sur elle. Les étoffes achetées su Louvre par le valet de chambre du vi­comte ne devaient arriver à Mentob que la lendemain, et, jusque-là, ia comtesse n’avait encore accepté aucun cadeau de son amant.

Elle eut bientôt rempli son sac de voyage. Dans le tiroir d’un chiffonnier, elle ■ prit son porte-monnaie. Avant de le mettre dans sa poche, elle compta- sa fortune. Moins une trentaine de francs qu’elle avait dépensés en menas objete pour sa fiUq, il

lui restait tout l’argent qu'elle avait em­porté de Paris : cinq cent trente-deux francs.

— Je n’irai pas loin avec cela, se dit-elle en secouant tristement la léte.

Enfin! soupira-t-elie.I ®’®PP™,®ba de la p o rte con tre laquelle elle colla son oreille.. T,"^® n’entends rien, prononça-t elle

. tout bas, il n est plus là., Son regard s’éclaira d’une clarté sombre.

— D’ailleurs, ajouta-t-elle, je ne le crains pas.

Après avoir arrangé très vite ses che­veux sur sa tête, elle mit son chapeau, prit aon sac de voyage et sortit de la chambre. Elle traversa la première pièce, et. résolur ment, elle descendit l’escalier, puis les marches du perron. Tout à coup, elle se trouva en face de Juanita. Celle-ci ne puf répnmér un mouvement de surprise.

Madame, dit-elle, les yeux fixés sur le sac de voyage, monsieur est dans le jar- dm, là-bas, sous les orangers.

— C’est bien, répondit la comtesse.Et elle marcha vers la claire-voie.

, J u ^ t a n’osa lui adresser aucune ques­tion. Tout interdite et comme clouée sur place, elle la regarda s'éloigner. ,.T)?,®°™tesse passa la barrière et descen- dit d un pas rapide l’avenue des orangers.

Ou dlait-elle? Elle ne savait pas encore de quel côté elle se dirigerait. Elle s’en­fuyait dola villa de Garavant comme quel- 9“®® auparavant elle s’étail enfme de 1 hôtel de Lasserre. Elle voulait s’éloigner “• Menton, d’aborii, et mettre ensuite antre elle et l’homme qui l’avait perdue la plus grande distance possible.

Quand le vicomte lu i avait demandé : Ou irez-vous? elle a-vait répoudii : «<!>•-. ?Mt moi ! » Et elle s’en allait, -en effet, diSTOsée à laisser au hasard le soin de la conduire. Sans éprouver^ encore autre

chose qu'une vague inquiétude, elle sentait pourtant, la malheureuse, qu’elle se préci­tait vers l’inconnu.

Quant à ce qu’elle ferait, elle ne le savait pas davantage; elle ne prévoyait pas en­core quelles luttes elle aurait à subir, quelles nouvelles souffrances elle devrait endurer. N ’ayant pas eu le temps de réflé­chir, elle ne voyait pas encore son isole­ment. son complet abandon, les nom­breuses difficultés qui allaient se dresser devant elle, les mi'le dangers auquels elle serait exposée, les iinpérieùses nécessités de l’existence, si elle voulait vivre.

t'i-yre ! oh 1 oui, elle le voulait. Elle voulait vivre pour le repentir, vivre dans fespoir de retrouver sa fille, vivre pour oonseiver, en elle, son cher sôuvènir.

Elle ne pensait qu’à son 'enfant, à sa chère petite Lucie, et elle entendait une- voix intérieure qui lui criait :

« Marche en avant, ne crains rien, tu la retrouveras 1 »

Mais quand cette voix avait parlé, elle entendait aussitôt une autre voix discor­dante qui frappait ses oreilles par ces mots' terribles.

« Tu ne la reverras jamais !»Alors, un frisson cournit dans tous ses

membres et elle sentait én elle une angoisse inexprimable. Puis l’autre voix, celle de l'espérancé se faisaitentendrede nouveau, et elle avait comme un frémissement de ioie, et son cceur semblait se dilater.

OuiAoui, se disait-elle, je ne Tai pas perdue M ur toujours, je reverrai mon e s­tant... Dioa «st bon. Après m’avoir châtiée, il aura pitié dém oli

E iles yeux .au ciel, son regard implo­rait celui qu j^iuut et pardonne. :

Déjà.elle ,âŸait la pensée de se laetti» /*: là recherche de sa fille, ne voyant pas les* obstacles, ne pouvant admettre qu’elle sntreprenait une tâche impossible.

La malheureuse jeune femme se trouvait dans une situation exceptionaellemeni douloureuse et difficile. Pour elle, la grande lutte de la -vie allait commencer, lutte inces­sante. Elle ne voulait pas songer à cela.’ Afin de ne point s’effrayer, elle évitai! d’arrêter sa pensée sur les sombres tacs- tualités de l'avenir.

Maintenant, elle était seule au monde. Comme s’il n’eût attendu que le mariage de sa nièce pour disparaître de ce monde, le colonel de Noirmont était mort presque subitement quelques mois après. Sans doute là comtesse avait des amies, et parmi celles-ci. en première ligne, la m ar^isC de Montperrey, don t. elle rtnimaÎMaiS l ’ex­trême bienveillance, et qui lui avait tou-, jours temoigné une grande affection.. Mais pouvait-éllë s’adresser à la marquise oa n’importe à quelle autre de ses amies? Oh I - non, jamais 1 Elle eût préféré la mort. Ella sentait bien que le monde la repousserait,3u*elle serait l’objet du dédain des uns,

u mépris des autres, et que de ceux qui lui avaient fait les plus grandes protesta­tions d’amitié, elle n’aurait à attendre que de cruelles humiliations.

Elle^ ne pouvait donc réclamer l’aide, l’appui ou les conseils depersbnnë. Elle ne devait compter que sur elle-même. Heu­reusement eUegvait la volonté e t ne. man­quait pas dé. côurage.

Dès qu’elle fiit en ville, ne voulant poini passer la nuit à Menton, dlé s'infnma-dn moyen de seiremfredplltice. Onllkè à dit que la vMttiilàpù cinqheifresjman qaT dépechqs. ^ u la n jétâik, j en villa, au b u t^ ^ îé f Va'ràit'paB.Jte^MBjra. â, qu’cfllesc b n u pôiffâè pasTe i

Page 2: Henri GAUCHIS, ^âdiotoisirstçiir. jomiiNiEbmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_02_21_MRC.pdf · iém . kdé Ide 8 b. soir. raie»: t£f*^ — 7 S ^ A n n é e . — Æ? Æ

LE CQURRIÉR BE L’OISE

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V." g g a r a ^ ^ é to t ^Bis*. la léance

* * L ^ S « r d a R M l. dÿirant anirra le monvaMBt de propagande «n f a r w de lagyimiaatiqne, lance un appel à touteU popnlatien ienlifienne,.eB W aTantagti obtenu» par l’Union de France en fareur de »e» gjinnuie*.

Cette année, plut de sortant de» rang» de no» toeiétés ont aboide pourU première foi» à lotir *“ 5t[Sment l’examen du cortiflcat dapütadM fdécretd’aodt t?03). » ^ / 5 :cenont, le moi» prochain, «« bom ju quatre présenM “mIabs da eiBonl ou, -da brgftditf* rin l ^ n d’entr'enx ont émemiUé minateur» et ont été cité», pot» “ dédsion ou rapport du )om. Cet w m en eenaUte en un tir 4 *00 métro», o®o ehe-de *0 kilomètre» (* jour» de tute), exercico» aux appareil», et lecture de »

aérait heureux d w n T « r dreserriceétou» ceux ?K :flter de ce grand ayantage. to sDoel 4 tou» le» jeune» garçon» de la Tille S Senli», petit» et grand». Pour le» ^til» le grmnaae est oureit gr&tmtement le» ioudi de 4 46 heure», et uneséaBce-récréa- i i“ «e« donnée son» la,direcüon de M. MUlery. Selon le» nouvelle» méthodes de ermnaïtiaue d’a»»oupli»»emMit. ü ne sera naa làit usage de» appareil», tel» quan- ^ iiT, barre fixe, trapèze, mai* seidement de la gjmnaatiqiie du jeûna âge, le» ma­mans peuteat donc être tranmuuos.

One sésôice spéc ia le p o u r Tèléran» a u ra lien le jeudi é g alem en t, de 9 4 < 0 heuin. Se fe ire inscrfire chez le secrétaire, M. BouUet, ou chez le p ro f a s e u r , M. Millery.I Le Comité fait appel en même ^ p s 4 tou» ceux qui peuvect se fûw inscrire membre» honoraire». Il rappelle que le» sociétés d'édacaiion physique sont utile» entre toute» BUe» relèTont aussi le niveau moral, car elle» arrachent des T.camM au iléaude l’alcoolisme en le» atiirantdans le» salle» de gymnastique cd il» puiseront la vigueur, l’énergie et l’exemple moral, alors dan» les cabaret» il» se tueraient puysiquement et moralement Sdton la belle figure employée par M. Eaule Cheys- »on, TOmbre de l’Insütut, les quatre porte» de sortie du cabaret donnant sur le» cou­loir» noir», étroit» et aboutissant lu n e4 l’hôpital, l'autre à la dalle de la morgue, le troisième au cabanon du fou et le qua­trième 4 la prison.

Se consacrer au développement de 1 édu­cation mwrale nûsonnée, c’est préparer de» aénération» laborieuses, rangées et éco­nome», aux idées saines et droits»; c est contribuer 4 édifier une société meilleure et jouissant de plu» de bien-être.

C’est au sorviee de cette belle cause que sou» convion» tou» le» homm»» de cœur et de progrès.

M T s ^ ^ q i ’ét* lot «MBéliàisBiMt onvert», WitmmvOraoB tBavanten enusissanee.»» ,

d ^ *« " * în î* '!^^oendUrait^unaM eiavromattirt, alla m catfiar dans-las mirai» .deOtimblv, où 11 ftt d éa im rt, im paquat ass<z tolemiatax d» lliit»,»ri5on (Emmi) arrêté, lereoeiinBt l’an- ttmrdu vol eonun'a di<x M. Collinat at déidgna ftirmm* s>» compilai la* frèra» TarpinCêu- cula) at Turpii (Consnmt).

tradni» davsm lalribugal, Brojon ast otm- dam é à traixa. moi» d’ainsrlsoniMmant, m frèm Turpin at la fnnina Brojon ehacnn 4 six moi* d’*mm^uu**i*et-

Chômant. — L’incortigiWa braeenniar, Ma- robal (Isau-Baptista), âgé da W ai», s.ait eicora (ait prandra d m m nuit du 19 janviar, tirant dasliisans au branth-r, dant tas pro­priété» data biroonidaFoNst.

Lalribuuai iù octrois danx mois d’ampri- sonnamant at 100 franc i d’amande.

Creil. — laW jw viar, dan» i» soiréa, 1m nommas Finmseoq (lugustiB}, *0 ans, at fiaot- trov (duiat), J6 ans, saUvraiant à Jaehiisa anx (tisans dans las boi» fia la Hauia-Pominaraia, iortau’ils tarant dérangé» par 1h gardM Lavu- saoT at Ltroy qui laur drasséraut proeès- vaibal.

Le CemiU.aa *

r ’'¥

Couszn. utnticiPAL. — Nous avos» reçu do l’honorable M. Cagny la lettre suivante ;

< Senlis, 80 février 1904.< Monsieur le Rédactenr,

c Laissez-moi compléter le «m pte-rendu de la séance du Conseil municipal de Senli» du 6 février 4904, publié dans le Courrier de l’Oise du 41 février.

< Lorsque M. Fantrat a fait 1 éloge de» sœurs de Saint-Joseph-de-Clnuy, il m a sem blé que, sans le vouloir, il pouvait pa­raître attaquer le personnel enseignant laïuue de nos Ecoles communale». J ai alors demandé la parole pour faire obser­ver à M. Fantrat qu» se» observations ne passeraient pas sa■.» prolestations, si elle» pouvaient être consiJérér» comme une critiqua du personnel de nos Ecoles, et j ai ajouté : » Tout le monde reconnaît, du € reste, à Senlis, que, dans le» Ecole»< communale», maîtres et maîtresses font « leur devoir et tout leur devoir. »

« C’est alors que, da snita, M. Fantrat a déclaré avoir tonjcurs rendu l’hommage qu’il mérite au personnel enseignant com-

Cette phrase de M. Fautiat ayant été reproduite dan» votre compte-rendu, je pensais que la chose principale avait été laite — lo public sachant ainsi que, en séance de notre Conseil municipal, les qualité» de no» institateur» et inst>tulriCî» avaient été racannaes. Je me trompais; pour certains amis de nos E oies, les ques­tions de persmne» ont leur importance, et il» ont désiré être fiié» sur mon interven­tion dans cette qaestôn. Jéspère leur avoir donné satisfaction, et je vous prie d’agréer l’assurance de mes meJleurs sen­timents.

c Paül Caosy,< Conteitler m uninpal. »

«* *Les Cellüles bb punition. — Uae cir­

culaire adressée aux corps d’armée sur la nropodtion de la directioudu génie, cons­tate que le nombre des cellule» de punition prévu dans Us types de casernements ré- glementiires est maiüteuaDt hors de pro­portion presque partout, avec les besoins normaux des corps de troupes.

Ce nombre devra être réduit 4 trois pour chaque régiment de cavalerie 4 cipq escadron».

* *Au TniAiRE. — C’est lundi prochain

que sera donnée par la tournée Frédéric Achard, la norvalle cièse de MM. Actony Mars et Léon Xinrof, la Marmette. dont le succès a été le véritable événement dela saison. , . ,

Nous savons, p tr eipérience, tou» les soin» qu’appcrœ M.F/éuéric Achard dan» la compositioa de se» sfeotaeles, dan» ia mise en scène des pièce» qu’il nous pré­sente, et nous espérons que cette fois encore les applaudissements ne feront pas défaut 4cet habile impretario et 4 ses artistes. . ,

Attendons-nous donc à passer une soirée très agréable et ren ious-Dous tins 4 la re­présentation de la Uarmotie.

. » :-----P o l i e * c o r r e o t i o i u i e U e d e M e n l i a .

Audience du iS février i9 0 i Présidence de M. Faisant, président

Ministère public : M. Mbusniïk, substitut.Chamily. - An mois dç mti 1«)3, * . Colli-

net, miira d« puis*nx-U-Htntb«rg»r, éttit vieiime d’un vol importswd» lisg», eemal» dans un# propriété qn i - B'bsbuait pts régn id'' msttt. Malgré 1«» Kobe chM faites i eatti dpo- qua, iM ma fd aura qui aviient .agi avae nne grande »cd>c< il» pursn’- ê're fliouvMt». Le iO jaovlvr iSOl !» g»nltria»r'» 4» N’»u!y-»e- Thtlle. »« ttonv»n| 4 ' oassige 4 Ch ub'v, ap­prit qui noanni'> Korinev, f mms D j o, «vxit d puisquriqtii tsmps viudu nu* cotaint

Flumaceq est osudamaé à quatre moi* d’am-

Sîi&onnanant at ^ fraitas d’amaidat Gtoflroy quinis ] jurs at bO (rano: d’amande.— Geoffroy (laies) d u s » la nuit au fusil, et

lejiurütendaescjlU t». La SO j«nvi*ril fut surpris par le garde Moral, au mumint ou il «tlratunUpiapnaàoneollet.

Il réeo.ta tu» nouvelle paia* d* le jonrs d’emprisounament et 40 francs d’amande qui s» coüfandra avea la première.

— Ls 8 septembre dermar, la contrOlaur chef Dalahareba, éiait avisé par ia gara di Saint-Lau-d’Eisa;*nt, qae trois voyageurs mu­nis de billats da troisième daase étaient montés en seconda. A l'arrivée du traio 4 Crall, eas trois voy.gaois las slaursGuyon (Bcgène), 89 an», Coiuuiier (Louis), *1 an», et Biifraaey (A'ignste), 33 ans, demenran! à Perl», (oreni intirpe.léj par la eonuêlenr, qui leurdmanda leurs bUieti at Us invita à payar Ix diffé>ence dnpiroonrs. Mallaipliés,oarUs':gtssaitd’u e b en minime somme, vingt centimes pour eha- con, les trois voyagaur» rafuièrect «t préten­dirent descendra Ûnn comput ment de troi- ; lime claise. — Laur t bstnation leur attire 4 enacon une condamnation à >5 hanei d’amendeavec appliCét on de la lai de iursis

Gouvieu». — «oé (Piarra), 4é an», prétend ao'une Infirm té l’empéchede travailler. I vit «n labrioant des balai» et surtout en oaptorast des lapins é l’aide da oolieti. Arrêté comme vagibo id 4 GeU iaax le 6 fevner, N .é est con- dauiue à 1 mois d’empnsonaemmu

— Corteville (Heit-i), âgé d* *8 ans, n’e»t pas un braconnier enanceux, en moins d’nn moi» il e’eit sorprenare 3 lois tendant ou viti-tantdiscoiiete. ,, .

Il est eoalemné â âO franos d amenda. Léctpnm. — L» 6 décembre, vers 8 hanres

dn soir, la nommé Destiecne (Ihomas), mar- cb>nd de chevaux 4 Levigneo, était entré dans le débit Uonier, pour se rafraîchir, bien qu’il n’en < fil P>» basoin, onbiiani u’aliumer la ian- teme de sa voiture qu'il avait laissée à la perte. Le garde-champêtre Luret, lui ayant fait obeer- ver qu’il s’était mis en contiaveuuon, Oistienne qui u’tst pas oummode, suitout quand 11 ast ivre, apaetropha le garda et finalement lui dit -qu’il l’em....

Il récolta trois amesdts de 96,10 *16 francs, Bastianne s’attasdait sans douu à mienx que cela, car il s’en va an remarçiaitt le Tribunal da son indu gtioa.

Hontataire, — A la snita d’ana querella d’atelier, BandbDin iGuetave), 33 ans, ouvrier d’usioa 4 Montauire, a exarce des vialenoH anr le sieur Van Meen.

En raisen du piu da graviA des fait», Bau- dhnin s’en tira avec 6 francs d’aminda.

«égent-fee-WavflSt. — Le S6 janviar, las sifUis Maibat (Ju-epb), 47 ans, et Carpentiar (ChirlM;. 49 sn>, »* sont peité réciproquement des coups.

Bail et est condamné à 16 francs d’amande, et Carpentiar à 96 francs d'amende.

Omoy-VUkri. — ChiViliier (Hanii), 94 ans, et Chevitiier (Maorie»), 3i ans, cnltivatenrs au Patii-Ylllers, sont poursuivi» pour avoir pénétré et circulé dans l'ei-cimte du chemin de ter. Ch .v»llier(H«n:iJ», da pim, outrtgé le can­tonnier Lsp'pa, qai l’invitait a sortir.

11 est ooudamiié à 60 francs d amende, avtc spolicatlcn d* la loi de sur i», t t Chtvelliar (Uinriee) a 16 f . anc» d’amende.

Pont Sa'nle-Mairenee. — Le 35 jtnvi'-r, le- nommé Bauchaid (Frinçoi ), âgi de 31 ans, ayant d‘ji a ion ar-lf U4 gia-jd nombre de coad:mn«tions, é.alt arrêté comme vegibind par la g-ndarmerie de Pon'. Fou lié, Baucnard lut trouvé nanti de 19 collets.

Acquitté du chef de vagabondage, Binchard est con^mné peur dé.enuon d’engins de chasse proh bés i 59 francs d’amende.

Senlis. — Se trouvant sans domicile et sans rrstüurces, le romme B‘'nnst (GuitavO,-âgé de J9 ans, chsrratier, s’ast présente, la 6 leV.ier, an bureau d* po ica, demandant à êti'e arrêté.

Bonnet s’entend condsmner à qttinxa jours d'empiiionnemtnt.

Contraventiotu aux leit fiseaitt. — Pour- SD vi la t tq été da l’admi.ietistton des Con- t butions iLOJccieo p,ur conttaveniions aux 'Ois snr les boniienrs de cru, te sieur Toussaint ( rnes’), âgo d» 48 ans, loueur d’alambic am­bulant a baiate Geuaviève, est condamné 4 t09 francs et 16 francs d’auianle, et entend proncnuer la oonfiscttion de scn apparail.

---------------e------------- -JStait c iv i l d e f ü e a l i s

du 43 au 80 février 1994. Naùtaneet.

18 : Ferrât (F.bianne-Madelaine-Haniiitte), rue du Gné da Pent..l.

14:Latallbr (Cilatts-Yolacde-CbristiaB*), me du Htauma, 9.

17 : Roehtfort (Jian-Robatt-Emüc), me Tleille- dc Paris, 98.

17 : Lecletc (Marcel), rue Saint-Etienne.L é e i t . •

BARONioBiLinn. — N. ïacfues- il,4iit.4idjudant nu 99P9égi-.

n t a ^ Mt nommé 4 tarncotte I Baron.IIS T ^A iN T -M A R T iN

Nos ÀncHtas. — Ainsi que noubTuvion» ahnoncé,ia 4'• Compagnie d’are fêtidt di­manche demiar bt.Saint Séba fion» .

Le» ardhw» ont tenu 4 comnmcer la fête on assisunt 4 ia messe. L’mrés-midi, il* se sont rendu» 4 leur staud; La soir, un banquet le» réunissait chez H. Lesnenr- Dnboi». H. (rressier, adjoint, da» conseil­ler» municipanx, quelque» mmnbre» hono­raire» assistaient aussi 4 ce banquet, qui se prolongea foh tard. Rarement on a vu une réunion aussi cordiale et aussi gaie.

La féte s’est terminée par un grand bal.Et c’est avec regret, presque 4 l’aurore, qu’on s’est séparé, en se donnant rendez- voiu 4 l’année prochaine.

BETH ISY -SA IN T-PIERREObjet laouvif. - - One pélmine a été

treuvée par M, Zimmennann; la réclamer 4 la Mairie, où eUe a été déposée.

Vite Aleete. — Le soir du jour des Cendres, vers onze heures, la salle de bal de M. Tourneur, hôtel de la TieiUe-Bou- teille, était bondée.

Jeunes gens, jeune» filles, hommes et femmes, tons masqués, prenaient leurs ébats.

Tout 4 coup, en entend cner au feu.Adieu lé plaisir; ce n’est plus qu’une'

panique générale, chacun ne songe qu 4 s’enfuir, on se bouscule,'on se précipite vers les portes, on oublie les manteaux, les pardessus.

Le feu venait bien de se déclarer dans un bâtiment contenant l’appareil produi­sant le gaz d’acétylène.

L’un des garçons de l’hôtel, v o j^ t la lumière baisser, s’était rendu dans ce bâ­timent pour remettre du carbure; en en­trant, il avait été renversé par rae agglo­mération de gaz. Cûnme il tenait une lan- terse 4 la main, le gaz s’était enflammé et avaH allumé un incendie 4 l’intérieur du bâtiment.

Immédiatement les secours éttic^orga­nisés ;.il fallait éviter une explosion qui, sans aucun doute, aurait amené une catas­trophe. On coupa donc les conduites exté­rieures de l’appareil, ce qui permit au gsz contenu dans la cuva da s’échapper. Pen­dant ce temps, on combattait l ’incendie; si bien qu’â peine une dem’-heure après, fout danger était écarté.

Les dégâts, purement matériels, sont peu importants; eh somme, il y a eu plus de paur que de mal, et l’alerta a eu pour ré­sultat de terminer brusquement le bal.

L’accident s’est produit par suite d’une fuite du gazomètre, et c’est vraiment pro­digieux qu’il ne se soit produit aucune explosion.

B R A SSEU SESuite de l’ivresse — Le nommé

Bieseman (François), âgé de 40 ans, va­cher, sujet be ge, ayant bu plus qup de raison chez le débitant D., la nuit dn Mardi- Gras, se trouvait comp’èiement ivre vers minuit; ce que voyant, le débitant et un consommateur prirent Brieseman chacun par tm bras et le reconduisirent chez loi. L4, les deux hommes essayèrent d’ouvrir la porte de la cour, puis celle de la maison fermées toutes les deux ; voyant

Btrarsés et, 1* plus fuipreuant de ravou- a én ièm u itl^ ité â^l’hôteUle ia

rafc*EÉnt6ee.^W5e»t évâiiiiBeal pasIgdqni a été assastiué puism’il vit.

Au Pmmiet ou crayait qtrncuBeerreur n’avait été commise relativement 4 l’iden­tité du cadavre.. L’assassinê se nommait bien LoufeNitterand. mais n'était un Mit- terand qui, bien qu’originaire du même pays que celui qui tratrâUle ActneUemeat

n’Àvait do commun avec iiii quele ninn.

Et on expliquait qu’il était possible que l’individu asnssiné, comiue le faisait ob­server le Mitierand ^e Meulan, ait vécu plusieurs années 4 Paris en s’affublant de l’état civil de ce dernier.

Or, voici que le» investigations prescrites

§ar H. Chnstophe, juge d’instruction 4 enlis, ont établi que le Louis Mittérand

de la rue de la Josquiére est également r, vivant. <>; r' Placé chez M. Dermigay, de Creil, il a travaillé successivement, depuis son dés'att de Paris, chez un boulanger d’Apremont, puis chez des commerçants de Crameisy et enfin, de Champagne (Seine-et-Oise).

Comme il est hors de doute que la quit­tance trouvée est bien la propriété de Louis Mittérand, de Champagne, et que les vête­ments de la victime paraissent lui avoir appartenu, on doit en conclure que ces vêtements ont été donnés ou vendus par Mittérand ou qu’ils lui ont été volés et que la quittance de loyer est restée dans l’une des poches dn vêtement.

Dant tous les cas, il est certain que la victime du crime de Crameisy n'est pas plus un Mittérand qu’un autre.

Louis Mittérand a été invité 4 se pré-

vfiit tin garçon laitier de Ncgont-ks trier- ges, M. Rallier (Oaésime), qu i venait

: fnmimt ch âq u e jouT éxpédwr ton lait en gàm de C rm ; Nortier lui offrit sMiiserviçes en tant qu’homnie de peine ;. HaUjer les r^nsa . Nertier, furfeux. tenta de le fapper

- d’un coup de couteau, mai» un facteur de la gare, M. Mériènfce, qui a ssh tiit à. iascène, lança un vigoureux coup de poingsur lé bras de Nortier qui lâiha son cou­teau; Natore'lement, Ryckaert prit la dé- fente de son ami de peu don.

Les deux peu recommandables individus mis hors d’état de nuire, furent arrêtés et conduits à Sanlis ; il faut croi-e qa’oa est bien traité là-bas.

C o n t r a v e n t i o n s . — L t dame Louise. Petit, 89 ans, marchande de poissons i Nogent-les-Vierges, a été l objet d ’un pro­cès-verbal pour avoir vendu daas la ville mercredi dernier, jour de marché.

— Carpeutier (Edmond) et Deltonr (Er­nest) se sont vu dresser procès-verbal pour ivresse, rue de la République, le 48 fé­vrier. .

Etat civil du 49 au 49 février 4904,Maiuamee. — 13 • Rissz Christi>u-Al»xaa-

d ’»-Amoine. - 1 4 : Tooxit Pi.rri-Eugèae. — 17 : Maicier Mtrieits.

Dicis. — 16 : Routé Josime-Jalia, 1 mois. — 17 : Wi<nuard Alphonse, 50 ans.

Publieatiani dt tnariagei. — Eitr» M. Hu- rl»r E nest-Léos, gtrçin boochtr, demeurant iCreU, «t Mlle Cinehin Blenebs-Aïuia, sans profession, domiciliée à Cr»il.

Mariagee. — (Né«nt.)

senter aujourd’hui samedi au cabinet du T R lî 'P Y -P .N -V A T iO îSjuge d’instruetion de Senlis, et nous tien- t i lU b t 'I - lh l9 Y A U V IJ

SAVêll DU com

drons nos lecteurs au courant des révéla- lions qu’il pourra faire.

L’exhumation du prétendu Mittérand a été faite hier, et le cadavre a été photo­graphié.) ^

La sûreté a également reçu des rensei-Snement» complémentaires sur l’identité

e l’individu qui, 4 Bruxelles, s’est déclaré l’un des auteun du crime da Crameisy.

L’assassin se nomme ' Jules - Renard et non Richard, comme en l’avait dit tout d’abord. ^

^ U ' 4 affirmé qu’il se trouvait en compa­r e d’un complice, celui qu’il ne connaît que sous le prônem de Jean, lorsqu’ils ren­contrèrent sur la route de Crameisy, leur victime.

M. Bourgeois, chef de la pohce de Bruxelles, vient d’adresser 4M. Christo­phe, juge d’instruction 4 Senlis, un rap­port détaillé sur les aveux faits par Jean Renard. .. , ,

Jean Renard cha’'ge son compico de la plus grosse part des responsabilités dans cecnme. ^

Un mandat d’arrêt contre est individu, qui a du s’embirquer 4 Anvers pour l’Amé­rique du Sud, a été signé et lancé par M. Christophe.

Jean Renard vient d’étre rondamné par la police bruxelloise à deux ans de prison pour vagabondage.

Une demande d’extradition a été mtro- duite auprès du goavemement belge et l’on pense que le chemineau n’attendra pas d’avoir purgé la condamnation qu’il vient d’encourir pour être mis âladispo-y silion du parqùevde Senlis.

13 : D-b3is(Eléonor»),v»BveM'Dgnet,r»Btière,88 ses, m» dn Tieax-Chemin-d*-Pont.

14 : Cottf»n(Muii-Alphoniiiiie),veiv Lmiire.cuisinière, 6* «ns, rue dn Feubouig Ssml-Miriin, 69.

16:Bi nzs (Amédé> Jales), mtnonvri»r, 71 ans, rn* dn Fsnhoug Saint-Mutin, 9.

Mariaget.(NéanL)

Publieationt de Uariaget.14 : Entre L* g'ard (Ern*»t-Âl»xandr«), ma-

ncnvri'-'.i',eidemi)is» leCott,r'aa(Loui8t) sans p.'ofessioa, tons deux à S.n'is.

^ -------------Blancheur

du teint.

f a i t s l o c a u xBêUGNY-SUR-THËRAIN

C o n f é r e n c e p o p u l a i r e . — Une Société d’enseigQi ment popaUiro ayant été créée, U conférence d inauguration a en lien merciedi. . ,

La mairie avait été transformée en salle de con férence et M. A. Hébert, percepteur de Cires-les-Mello, a pris la parole et dé­claré le succès da cetta entreprise.

M. De'aitre, maire, a ouvert la séance vers huit heures, tn rcm-arciaut tout» les personnes de benne volonté qu’il aren- coniréas dans l’accomplissement de la lâche que la mun'cipalité s’était imposée.

Puis H présente 4 l’assistance M. Proust, ingéoieur, qui se chargeait des projections.

M Hebert a eosUte oc-mmencé une cau- ssrl Sur i'1-.do-CLii.e, la Chine et ia japon.

Djs projectioiti émaillérent U d u c o an ,

gré la plu’e qui faisait rage, l’idée d’appeler M " Bieseman, qui était couchée, ou tout au moins d’avertir le fils Biesemun, qui sa trouvait au bal organisé par le débitant à l ’occasion du M ardi-Gra. François Biesimaa était telUment ivre que, lâché par les deux hommes, il tomba à terre et ne put se relever.

Rentrant à 2 heures du matin, Georgu Bieseman heurta sur là voie publique, près de sou habitation, à Brasseuse, le corps d un homme. Il le secoua et reconnu, à sa grande stupéfaction, que c’était son père. Transporté chez lai, il fut constaté qu’il avait cessé de vivre, ayant succombé à une congettion causée par l'ivresse et le froid.

L’atii ude du débitant est sévèrement jugée. Il a été l’objet d’nn procès verbal pour avoir donné'à boire à un consomma­teur jusqu’à l’ivresse.

CRAMANTr e h e r c i e b t s . — On nous prie d’insérer

la note snivanto, ce que nous faisons bien volontiers. ,

< Les nécessiteux secourus par la libéra­lité da H. Hoquet et de M"’ Sainte-Bsu'e, libéralité accordée à l’occasion du décès de leur très eilimè père, n’oublient pas que la reconnaissaoce est la mémoire du cœur. Aussi bien, empruntant les colonnes de votre estimable journal, ils s’empressent de remercier M. Moquet et M°“ Sainte- Beuve, du fond de leur cœur, da cette preuve de sympathie envers tes déshérités de la fortune et da cette bienveillante mar­que de générosité envers eux.

f Qui donne aux pauvres prête 4 Dieu.< Un abonné. »

CHAMBLY -F ê i e , . ^ Dimanche 21 février, fêta dite

du B ois^onrdy. Riuniou du cortège à 4 heure. A l’heure habituelle, embrasement de l’arbre, fcud’artifice.

Lundi 22, jour de foire, concert organi­sé par la Fanfare de Chambly, avec le con­cours d’artistes de Paris.

C o n g e s t i o n p a r l e f r o i d . — La nommée Levasseur (Marie), femme Binet, âgée de SI ans, demeurant à Ronqusrolies (Seine? et-O .s;). a été trouvée morts, le 44 cou­rant, p tès du marais de Chambly. Oucroit qu’elle a succembi a une congeitioa céré­brale causée par ta températnie. La fainille prévenue a pris les disposit ous nécessaires pour les coustatatious légàtei et l’inhuma­tion à Rouquerolles.

CHANTILLYD o n a u x P a u v r e s . — Nous apprenons

avec plaisir que M. Poirei, conseiller m u­nicipal, vient de faire don au Bureau de bienfaisance da Chantilly, de la somme de troii cenit trancf.

Au Lom des malheureux de notre ville noos adr.'SSO DS tous nos remerciements au (énéieux donateur.

CRAffiOlSYA s s a s s i n é e t j e t é a l ’e a u . — Nous

avons dit qa’au moment de la décou­verte du cadavre dans le Thérain, nna quittance de loyer avsit été trouvée dans une dos poches de l’assassiné; datée de 4897, elle é u it au nom deLonls Mittérand, garçon ^ tissie r, demeurant rue de la Jon- quière, à Paris.

Or un incident inattendu vient de se produire: un m ire Mittérand s’est révélé qui prot' te avec énergie coi tre son trépas r t H- vent pas conuouer a pa.«ser pliis I o d e len ps peur t to i11 L ctauf l est cnisi-nier-pàunier, lui auHi est originaire de

C i F t E I L .

La C o n f é r e n c e d e L o u i s e M i c h e l . — Mercredi soir, a eu lieu hôtel du Lion d’Argent, nne réunion où la citoyenne Louise Michel et le citoyen Girault ont pris la parole. Les deux orateurs ont développé les idées socialistes, applaudis par les asûs- tants, que l’on peut évaluer à 200 euviron. Lo citoyen Ktoaizinsky est monté ensuite

■ ■ issa“ " P® .

tout récemment; ûn contremsî're deC 'eil,

loyeLà la tribune pour porter à la connaissance des assistants un petit fait qui s’est passé

dit-il eu principe, a interdit à un de ses ouvriers de vendre un jo u 'n J de Creil, en dehort de set hturet de travail, une fois ta journée finie ; le dit ouvrier, peu payé, faisait cela pour augmenter son gain. Or, à la stupéfaction de quelques uns qui avàivnt mcore des illusions, le citoyen Klem, comme on l’appelle familièrement, déclare q le !e journal an question est le Travail, l’ouvrier un cantonnier, et le contremaître M. Alargent, 2* adjoint au maire de Creil, grand maître de la voirie et chef suprême des cantonniers. Quelques citoyens, indignés, proposent alors un ordre du jour de biâ ne contre M. Alargent ; cet ordre du jour est voté à l’unanimité.

Da quel cô.é soat les intolé'an 's. Mes­sieurs les radicanx-socialistes ? Est-ce du EÔtreoudu vôtreT Si l'on considère que le Travail est un journsl purement socia­liste, ne s’occupant pas du tout de politique locale, il faut reconnrître que la liberté est une chose inconnue de nos adversaires. Il eût fallu, sans doute, que le K-aeait chantât les louanges de nos administrateurs pro­visoires f Ces Messieurs n ’admettent pas la neutralité ; < vous ser z avec nous ou vous ne serez pas », telle semble être leur devise, et ils tâchent d’empêcher la diffu­sion du joornal coupable surtout de ne pas jeter des fleurs sons leurs pas. C. L.

C a i s s e d e SoLiDiRirÉ d e l a C o m p a g n i e g é n é r a l e d E l e c t r i c i t é — L’assemblée générale a eu lieu d^mmche dernier, 4 4 février 4904. à trois h»nres.

La séance est ouverte sous la présidence d e U Tilleaux.

Le secrétaire dor.ns lecture du procè - verbal do la dernière assemblée génér. le et de cemi de la dernière réunion dn cj: seil d’administration; il est ensuite procédé à l’acceptation de nouveaBX sosiétaires.

Le Président soumet au vote une modi­fication à l’article 45 des statuts, ainsi qoe plusieurs propositions concernant la So­ciété Tontes sont adoptée».

Il est ensoite procédé au vote pour le renonvellemep t du conseil d’adminiétration qui a donné les résultats suivants :

Président, M. Tilleaux, réélu; M. Thies- set, vice président, réélu; seirétaîre. M. Lavallière; secrétaire-adjoint, M. Brice; trésorier, M. Loii» Pierre; trésorier-ad­joint, M.B.'icard. . .

Pit-s Bi6]Hb*6s pour H Gen^itS-oDoLa séance est levée à six hen es et demie.

I iG ü B D E P r o p a g a n d e r a d i c a l s - s o c i a - LisiE — Les journaux radicaux anDoa<:eat pour dimanche prochain, sois la prési­dence de M* Hesse, délégué général dé la Ligue, une grande conféreece sur le Passé et l Avenir de la République, selon k s vues de H. Combes. _____ _

D o u b l e ARRESTATION. — Jeudi soir, le célèbre Ryckaert (François), se Pouvait 4 la g ire avec dn citoyen de» plu» distingué», le sieur Nortier, dont il avait fait connais- labceâ U malien de détention de Sénlu, d’où les deux compère» étaient sortis le m atin même ; - tons deux étaient légére- B iîtt ivre», ayart fait des sts lions prélou- gé«i d n tt quelqvM d û t i i d9 Crtil. Snr-

L is D é v a u s e u r s d 'E g u s e . — Après avoir opéré dans le caaton de Crépy, le» dévalisenrs d’église sont passés dans l’Aisne. Plusieurs vols avec effraction ont été commis cette semaine dans le canton de Villers-Cotteréts, ai^si qae dans la ré­gion, no.amment à Trcëines et Silly-la- Poterie.

On ne saurait donc trop engager les tré­soriers de fabrique à vider les troncs avant la visite des voleurs.

ERMENONVILLEC r i m i n e l l e t e n t a t i v e . — Un militaire

du 49* escadron dn train des équipages, à Pari», le jeune Alay (Maurice), âgé de 24 ans, vt n in t en permission de 45 jours, le 46 courant, à 8 heures 4/2 dn soir, se ren- d à t chiz son grand-père, M. Gallet, régis­seur du château de Chsâ'is. Il était snr la route de Sanlis à Meaux, au lieudit t la Fossière » , territoire d’Ermeaonville, quand un individu qui n ’a pu ê.re reconau la croisa et l’interpeUa grossièrement. Le soldat répandit sur ie même toa. L’autre braquant alors un révolver sur le jemœ qui voyant le mouvement fit dévier l’arme ;

r Léanmoins le coup partit, la balle l’atti i- gnit an doigt majeur droit, un second coup tiré ldi (ffleura le pouce et r icd e x d o U même main, enfin se voyant visé une troi­sième fois, le militaire se baissa vivement et la balle pàssa sans l’atteindre.

L’agresseur se p.eroit alors dans l’ohscu- rlté et s’enfuit dans la forêt. Il peut avoir, selon la déclaration da la victime, de 30 à 40 ans, il est de petite taille.

Arrivé chez ses pareats en proie à une émotion bien naturelle, le jeune Alny fut pansé par le docteur Gautrelet, de Baron, appelé à cet effet.

GOUVIEUXD o n a u x p a u v r e s . — .M. le baron Henri de

Rothschild, propriétaire à Gouvieux, vient de fiire don a u Bureau doBiaafii.sauce de la scm ue de mille francs, p o ir ô re .con­vertie en secoui» de toute nature en 4994.

M le Maire de Gouvieux adresse à M. !e Biron Henri de Rothschild, au nom des pauvres et en son nom personnel, ses re ­merciements peur cet acte de gésérosité, qui va permeUre d’alonoir bien des iofor- tunes et qui n’est qu'une preuve de plus de la b-enveillante-sollicitude de M. ie Baron Henri de Ra hschild qoifait distri­buer depuis longtemps des secours de toute nature aux indigents, Eoa saulemsnt à Gouvieux mais encore dans les communes euvironnactes.

MAREUIL-SUR-OURCQN o y é e . — On a repéché dans le canal

de l’Ourcq, à Sévran, le cadavre d ’une jeune femme paraissaniâgée de 20à25 ans. Voici son signalement :

Taille, euviron, cheveux châtain clair, vêtue d’un boléro noir, boutons dé nac'e blanche, ceinturon noir élastique, cache-corset blanc, jupon rouge, jnpoa de dessus noir, cravate en fourrure tête na­turalisée souleur grise, chapeau noir dit Candier, bottines à bouts vernis.

Le décès parait remonter à deux mois environ

M ESNIL-SfiINT-DENiSI e F e s t i v a l d u 42 j u i n 4904. — Lo

grand Festival concours d Harmonies, de Fanfares, d’Orphéons, de trompettes et de trompes de chasse, promet d avoir un succès coosidérab'ie et s'annonce comme une des plut brillantes solennités artistiques dn département.

Le Comité s’occupe avec ia plus grande activité d’organiser dignement cette fôie musicale et lont sera mis en œuvre pour queles visiienrs remportent le meilleur souvenir de leur séjour au Mesnil-Saint- Dsnis.

MONTATAIREC o n s e i l M u n i c i p a l . — Le Conseil muni-

cipaVse réUBira le 84 Février 4 9 heure» do m atin en s e is 'o n o rd in a ire .

ORDRE DU JOUR :1‘ F; j t d* comtn ction d’éoole. Ripport d»

U commission. . , . „2* Dimacde ds soutien ds famii’e.S* AoijuliitiDn ds te rn io s p ar ru it i d ’aligue-

”*î*G't9s Irrésouvrable».5* Affsirse div«rs»s.6‘ Lirt < d’assiitm ce médical* grttuU i.

Aux CONTRIBUABLES. — Le maire de Hoif taiaire inlorma les contribuables que te ’ Ôle des prestations et des droits d'épreuve des appareils à vapeur seront mis en recou­vrement par le perceptenr à partir du 24 courant. ______

C h i e n t r o u v é . — Un Terre-Nsnve, âgé de 8 à 9 .mois, à é>é trouvé rue des N.v- tiens par .M. Galand, demeurant a i n° 48 de celte rue. Le réclamer à cette adresse.

NEUILLY-EN-THELLEPÉTITION. — Parmi les pétitiofis pu­

bliée aii Journal officiel figure pelle dé­posée à la Chambre des députés par M. Alfred Cauville, de Ne> i ly-euTThelle. de- maDdent què l’article de ia loi nmnlèipale du s avril i88 t, sttit niodifié.

La pélitiun ce M. Cauville tendatti 4 rendre luétigible une cétégoriir de citbj^ps aux (hnctious œtmicipnies, la ebmiliiMiia décide de passer ùbNtrdredn jonr.

NOG ENT-LES-ViERGESCo u p s . — Sons le falladeux prétexte de

montrer 4 M. Choquet, chauffeur au Nord,.€ commant les Russns arrangent les Japo. nais ». le sieur Detilon (Yic or), de Lù- gn m ile , personnage très turbulent, a pcrté des coups à ce dem i' r, rencontré m a Fai- dherbe, le 46 février, sans provocation de sà pirt.

Le brutal Ditalen sera poursuivi pour » ces faits.

'Vérifions sérieusementnos feuilles d’impôts.

Oa peut faire rédaire soi-méme ses im- pôis dans les trois mois de la publication du rôle.

Ans contribuiibles qui viennent de rece­voir lears feuilles d’imoéts, et qui cons­tatent arec peine que loia de diminuer ils augmeoterri toujours, nous dirons :

Consultez le guide pratique et juridique dii coatrlbuaiile. que vient de pubuer M. Mercier, avoué boaoraire, professeur de législation ru’-aie à l’insiitnt agricole de Beaavais, sur la révision des impôts en ce qui concerne :

4° La prcpriété bâtie et les portes et fe­nêtres ;

i> La cote persosnelle et mobilière ;3* Les prest liions et la transformation

en t-xe vi .iuale; Les subventions indis- trielles ;

4* Les prestations et les taxes des auto­mobiles et des bicyclettes, etc ..

Cet ouvrage da plus de 200 pages contient tin s les renseignements nécessaires, les évaluations de propriété, les exemptions, les réductions à obtenir, le résumé de la jurisprndeace sur les impôts, enfin les for­mules préparées pour les réclamations à faire. I(contient aussi les lois, règlements,

I et ta jurisprudence sur la vitesse et la cir- * ' culation des bicyclettes et automobiles, et

les respoosabilités ea cas d’accidents. Avec cette brochure le contribuable connaît ses droits.

Prix franco : 4 fr. 60. Envoyer mandat à l’auteur peur le recevoir.

T ra it^ ffle s t p a r le s f ia y o ïs XEl PIS les CO0R4ITS DE l i u n IBÉQOEICE

des C anoops de la peau : E p ithéllom oide la face, de la langue, de ia lèvre;

des Tumaupo oanetpouooa du sein non opérées ou réeidivées après opéra­tion, ulcérées ou non ;

du Lupua uloéraux, épythèmataux; du Syoosia.

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Par les Courants oontinus, traite­ment des Fibrftmes utérins, des Rètré* otsssments urèthraux.

N. B. — Ce traitement ne comporte ni opération, ni emplâtre caustipe . Il n’oc­casionne aucune douleur.

Docteur GIRAUD,84, rue du Connétable, Chantilly (Oise).

LéMoniteur««Rentiers

■mbS *aBMnSMSSLa»t*awmpa«B« MShs ■ S»a» «s ts«Bi «Sa|L ■»*■ Smspaa

aas»mms.0i» OMnoaa^ïS^n^SS&lnS B ssfflygaa s g r guBaw a» m»*w «■*■ •*— »«««*.

— tjM M I w — — —S P M S w y m i i t M A

Le Gérant : En. Grésoixb.

ImBrimarie Administrative et Commcrcisli ds Senlis.

dkaBoao** Jaidtoialpos,Art. 1".

!M‘ Louis ESCATT, avoué i Seeiis, seceesHur «*

M’ DÉXBUH.•t M* THIBOniN, notaire

à Aey-*s-Malti»n.

V etite a u x E nchèresBN DÉTAIL BT FAR LOIS

de : environ

5 0 . 0 0 0 Pavés de Grès

SetrouvaBi !ur I* b’r« d» 1» route d* ROSOT-EN-MULTIEN i HAT, l» ohemisida PLESSIS-PLACT, .t Il route de VINGT et le loog da n u ' do F»rc de ROSOY (Oiie).

L’edjadieiiion svis ILu anX en­droits rù 80 trosvent lasdits D>- vii., 1* O im aaehe S M a rs 990Ô 4, d deux heures de reieoU. per le iLirivèr* de M- Thirouin, not i'* 4 Acy-*n-Hn tlan, eomoii à set iffst.

et etviron

50.000Pavés de Bordure

S) troavact i It G^re de BSTZ C7is»),

cet pavés de bordure seront vendus d la Gare de Betz (Oise),

L* D im an ch e 1 8 Mars lB O « ,

d deua heures de relevée.V a 1* mil iitèr* dudit M* Tbironls,

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lu *xê'ut=on d 'n y reodi par le I I

Zaâière isstine* del ■iudéoeabremil n i M r^ tré ;

Itanxr»qaêî», paMB»* de :

p.vm'èremeiit. — 1 (Ai'4 O'oroix l.monj S ^ à lv re u x rne JM il Monsieur MaroeUn f

pfgxièmement. — . gmoix, épouse assiti M Honsieiu Chirletiitanadiv. ave» l«q»'lEvren»;

Irrisièmimant. —1uâi1)*oro'x,ép’'Eisdigrfi4t da Mo-sienrl

m.L'e d’hôiel, a] iiaienre i Evreux ;

Qattrièmement. — 1 Dieroix, mouUnr, den

Osquièmement. — | ■Ma Daeroit, «panse i torisée da HonsUur 1 eh.f d’aciérie, svvc lé BMre à Ongrée (Btlgu

giXièmomoDt. — Hq Sicreix, moaleur, des |ii,ci-devantst Actnclq

laptlèmement. — n I.c^oix, époDse ssristi il Monsieur J istph M wr,avec lequel a l le r littii*;

Ponrtuiva Ayant pour avonél

Swiiei Morand, demi Bi, me SilBt-Hilaire, r

El Diéi.nci ou euB ptUsdi :premièrement. — .

|iiti BuU. rccev'ur i nearant à Kvrenx, èm , imméro 17,

. a Agissant• comme sibrcL « tant fonotionsl• 1* T fonne-il• croix; f Jeaf c oro^; 3' et] e croix , enfai I iiius du ma f Mopsienr ieà• Sicro'X et d< J• Laoorre, son L• deux décédésl I Mite fonctioiM• l'oppositOB dT a tant entre les .) a etMopsienr C a sus-Bcmmê,

Présen. l ’ayant pas d’avoué < fienrièmenieat. —

Hieaigae, pris a, demeurant t i

a Agissant a nomma snbr• hoc des miiu, a sus-nommés »J

[B sera nrooédé, le L M a in m t l i

. A d e u x I •tevèe, en l’etade ter* 4a H* Dumon

ricomiais 4 est «flit nnatioB, an plus i

taaeh^setir, 4 i’< *1 ea trois lots, pa

Ça u lots ou en èlas dont la dét ’gx

G É S I Q I H A ']|bis noauBLEs

tille D'HELl diNtendlaseman

Premiert^ o M a d o o n 4M**rent>ria,,à Pa ^ ^ d Haih’» , SI

»l» nuaaéro 7. et I, compraaant :

f.H «Wolr an re ^«nnatee» 4 Iri tes, cave, cour

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V S r ^ T Esr a ucm nO H

|} MArSONSSituées à H ^ L L E M E S f

présAse^,uTonéisson^nt de L ille ,rte FerdiBand-Maihiu,

n" 7, 9 et 11, t r o i s X i O T S

Par l«ts Isolés,éoiioB do lott on «a Uoo,

pba a m p lm m t éUtignéa ei-aprèi.

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L’adjodfcstioB snra Han le ll^ gd i 1 '% M su w 1 9 0 4 > * ^ id n u s htuTM de refeele,

H l'sad* et p«r S niaistéro de f DUKOIII, Bottlio 1 Aieq,

eomaii à est effet.

liiz4rnt=on d’on JcgfnieBt per iM K tdi par la Tribonal eieit d« S|iM mstuiea de Sentis, le prt' ETMwabre mil nenl cent troli, gi|liii4;piBxnqiéSo, ponnnitt et dili*

0 » i* •W iramaiiL — Madsma Eo- M oteroix limonidiàra, damai* ià W e o x ma Ji«4pMaa, Tiore

MaraaUn F viar ; uxilmimant. — HidimaBiiBa*

m u , époosa assistée et aotosisér kioisienr Charlai-Fi Ra BMoil, ^ulitr, STos Uqoal alla damaoraim i»;(rasiim ment. — «adima Fer-

MliOaeraix, époass assistée at ac- ^ di Honslaiir Alexandre Ba* Sn .l/a dliStal, aras laqnal ails ^■re 1 EReox ;(iitrüoament. — Moasieiv Emile

]iit^,msnlasr, dam>a int i Cr<il; ginitmamant. — Madam Har-

ÂDierois. épansa auisiéa at an* lUi éi Mensiinr éoHpb Conat, i l fieléria. aree laqnei alla de* imlOsgréa (Btlf’qsa); {sia^meat. — Honsienr Etienne

ffloaiaar, damanrant i San* bsMrint at aetoalUmsnt i Crétl; iutiioument. — Et Madama AUm

Iroi ipoDsa assistée et antoriséa kintlsar J:i8«ph Birlangar, atns- W,iTW leqnal alla damenra à Mon* lÉi:

FoiuriniTants la Tante,j InsI ponr atoné eonstitaé H' llanei Vorand, damsmast i Sin- Ib iu Siist-HIlaira, nnméro 10;1 ts iréi:nsi on anx dûment ap*

l is li:iMsiiérament. — Ifansliur A *

nPIsiiL reoaTsnr de rrntes, de- ■anst i Erranx, ras anx Boa* in,iiméio 17,

c Àgissant an nom at I somme snbrcgi tntenr tti- r sut fonotlons da tnteor . e ; i l ' Tronne-JosépUna Da* teroix; f JasB-Bintista Da- I ero'x; 3* et Chirlaa Da- s eroix , anfiats minenss listns da m irsgs d'antra f Hossiaor Iran - Baptista I Sieroix et d i dameTroene tLscona, son ép''asa, toas fdsex déoédés, nommé i • Mita fonction i eanse da I l’oppoiitbn d’intététs axis*I tait antre les dits minann ■ stHoisIaar Chsrias Benoît,I rai-ncmmé, laar tatear >,

Présent à la Tanta,I ïqut pu d’aToné eonstitaé ;

tadtaumant. — Et Kanslsar Wlbu’gaa, piineioal clare da Wn, limenrant 1 Asoq (Nord),

I Agissant an nom et I somma snbregé-tataar ad I hoc du minaars Saeroix,I su-Bommés >,

Unnoroflddé, le I , i in d l q n a - ^ e lla r a m il n e i i l c e n t ^tK , à d e u x h e u r e * d e ÿ n ie , Il i’»tide et par le mi- w i u K< Dnmont, notaire i "1. «amis i cet ifltt. 1 la Tante v stHatioB, an pins offrant at dsr- r ■sUrissenr, 1 l’extinction du g a trois 'ots, par lots isolés. ^ (s lots on an blce, d u im- *»lsj doit la dét'gialion soit :

O É S I G N A T I O MI ® ancïLES A TENDEK

m'.E D’HELIEHIIES t'KsdIssanisnl da Lille.

Premier lot.J’M Haiaon étsga. à nsage ^tMt>rls,,i l’snguda la ma ■««matli'a», snr laqnalla alla g“»««éro7.at delà ma Vol- . l ‘oapraaint ; bontiqna, eai- kli A." V an ras da-channés,g ^ a b r u i l’étage, graniaran-

ssTa, conr. citaraa d’aan da m é’altancM, tenant latitoii*’} lot, dekfcrt 1 1. ** Voltaire, dans

s «onsienr Dilpcrta. at nar la ma Ferdinand Hatbiu.

f tp S i’J ’ ^ i t i la eommnnanté ttonTant snr la toRaln dn

l ' ^ n ^o n est loué» moyen- “ “T/er annuel de 300 fr .

Deuxième lot.* étage, ànsfga

^ iïV Ï ' sise ma Far*

î auru-de-tsiiTin a? chambres à l’étaga,

oonr. esbi-^'riot t ’S Î ’?k i „ î V“î* tété an troii S tS w r iw *>îr4à iia8sUnrs «Ha, etpar;daTsnt

* '• oommnnantébüg ’shonTantsnrleteRaindn

woy*»- annuel cTe 352 fr .

| . ^ J ™ “iémeLot. :K ^ ’té î l î î? * ’ ^ o«*«t d’esU- Kf'*odiiaîrî’.îi1*' *■ >’*’’«le de R .* ^ la S” laqntile

E ÿ a ^ ^ i s s n » da débit, it.aT'.cs'ia at r^sin* an réi-

EwilriT |-t par d s n i t d n a n i t t M B « * A ^ .

C eU em aùim etit^im ét i JÊ»»- Û M K r R ù h i i ^ ^ b r m à i r â i iU e , j f u q e f m i ’ fêe r ie r liO J , m m ttim lo y e r de i l

a O S lB S A R R I X Bntmira des~ cli0 tH , À a sa s

•ondUois da eddht la s ekargaa dtassé'par K* Domtmt, notaira é Afoq, at d^iwé em son Bi*d* oû loua pm noM aant an p n id ta c nlisamoa. liivlnBBiBb&s e i-d a i» déstanés seront mis m vanta s v las misas 1 prix siriTantra, fixées par jcgemant précité, savoir :

Ponr la pramiff lot, snr la m isai p tixd a ...

Poorla danxièina ioLsor sella d e . . . . . . ..........

Ponr la trksièma let, SOT oelle d a ..t ................

Total des mises i ’ prix.... . . . . . . . . . . . I . . .

3.000

6.0QO

13.000Fait at rédigé par l’avoné ponr-

snivant soassigné,A SanUs, la la févri» 1904.

(Signé) HOBAND.EtanragistrA

VMlSTSssr potar lu rmasigiisnaiitrd* A M * M o v a m d f nvoaé i

Sealls, ponrsaivant la vante ;S» Et i M ’ D n m o n t , notaire

A Aseq, dépositaire dn cathier des charges.'

Ponr insartioa :(S1|b 4 Moband.

' Ait . 3.

d iü o is DB M* G e o r g e s M O R A N D

lioanoré en droit, avoné i Faxlis, ma Sdnt-Htialre, n* 10;

M> F E R R T , netaira t BétUsy-Saint Fiarra.

son uciTATion n i

R V A R A N T E P IE C E SD l

T E R R EP r é , B o ls , T a illis ,

A n in a ra M a r a is e t R âSises terroir de NËRT

(•action da V.ne'IUs), SAINTINES et BÉTHIST-

s a IlNT p i e r r e .D'an* oont'*ane* totale da

2 h o o ta r e a 12 a r e * 91 c e n t , E N A O IL O T S

4K« FACIlTt » ItlIIOI PUTIIILE OS TaruE

Plus amplementdisignietei^opris.

L’adindication anra tieo le D im a n c h e v in g t M a r a

lO O A , d itM heurs i» ralaeéi.

En n te d a at par la ministère d* M'FmT, notaira è Béttaisy*Saint*

Pierre, aom m isieete lib

D É S I G N A ' n O NIT

IM TSEa A P R E SDIS lltXinBLBS A V llD in

Terroir de Néry (section de Yaucellet).

Premier Lot.Trois ar» solxanta*naa( cantiaru,

délnoiion fait* da la partie vandn. aa ehamin d* far. da t*Ra*maraii, ian dit la Grand Bû. tenant d’an cdié la ehamin da far at Honaianr Babbé, d’antra cdté Madama vanve Bergaron. d’on beat H. Capiain, d’antra bont Moasiacr Handtl-Bargaron.

Saodon A, nnméro 103 partiapenr trots aruqittra-vingt-sapteantlarw.

Mise h prix : 17 ir. .Deuxième Lot.

Qnatra aras so''xant**dix-naaf ean- tiaru, contanaot réa’ilemant savant la Jaiüuanea cinq aras trente can- üaru, eantts non eemîfrisas, dt toRo, 11*0 dit las Gavas on la Br* trani, tanut d’OB (été nord at d'nn bont criant anx santés, d’antra. rSté Monsiaar Zénon Dtniar, d’antre bont " . Laqnanx-Chavaliitr.

Saetlon A, nnméro. 790, ponr qne* tra aru soixante qntnxa eanfiares.

U ise à prix : S6 fr.Troisième Lot.

Trais* *'*s soixante • hait etn* tiares aa t.R*, lian dit An-d*scni d* Vanaellas, tenant d'im côté Madsma Moqnat. d’» t a (0 4 la mèma. d’as bout Hotisianf Bsbbé-P.eart Albart, d’antre bont la Ccntnra.

Ssctien A, nnméro 101£, ponr qnatoix* aras qnaranta-cinq ean* Uaru.

Mise h prix : 130 fr.Qnatrième Lot.

Cinq aru seixanta-qnatra aan- tiaru da tarra-marais, liai dit anx Onnds lardins, tenant d’nn côté Monsienr Capltin, d’antia eètè Mon- iianr Barguoa * Barthélamv. d’na bont M. Capiain, d’antra bont Is ronta.

Seciion A. n* 268 partie, ponr ns ara qnatra-vingt-qaatra cantlaras.

U ise h p r ix : . SjSfr.Cinquième Lot.

> Six aru qnlcia ctntiares da t*Ra, lian dit 1a Chris*, tenant d’nn oOté Honaianr Patit, d'anira cèté Mon* s-anr Amait D<bnira, d’on beat 1a seota da VanaaOés 1 Néry, d antre bont an ritlon.

Scetion A, nnméro 479 pufia, pour six aras qoinzi oiiitlaras.

Mise à prix: 17-fr.^Sixième Lot.

Six aras dnqnii àla 1

inta oantiarH da terra, lien dit à la Hèr* Lonisa en la Bav.t, tenant d'nn cSté nord Madame D boira, nés Gmysr, d’antra eOié MensienrEmast D;bnira, d’nn bont iasanta, d’antra bont aeqnéranrLa* qnanx.

SietioB A, nnméro 663 partit, ponr einq aru soixinta-cinq een- Uaru.' - - Mise è prix : SO fr*

S ep tièm e^ t.Vlogt-trois arts da tarra, lian dit

De'rlàra las Maisons on le Chaise, a*eit d’nn (0 4 Mwalaor Léeè De-

bnfr , d’antra cOè nUnanrs Maxime

m e t:S B O . poor'viigt,.àt ,Mi ggigea eaeitetes*

f r ia i t # l r .

H nitU pe L o t S ix a ie in i i

mèma MM fit, ata» Ceildn. dh«ra Maxima-nBart, M lh b il: rmttrehontaniflhm.

Seelin A, miüèra SM^ponr etag; aru ^ q n in ia aantluie;

Mise h prix ; 60 fr.

seilk'et:

MèorièmeLet.irais aru sdxenie«m ’«ria ean-

Uerude t*R*,banditMPatit Cos. t e i i n t ^ c04M.Mande;4*Tgaroi,

4 070 fr d’niira eOtè anlants PaUt-Ismery, d tebon t Madama BRbé F w d’antre beat Monsienr PaMt ■riuL

fiaotion A nnméro 9C8, ponr trais aru qnatra-vfr gts. csnUaru.

M iM hpifix: 16fr,

Dixième Dinx aras qaaire-vtagt*dix osé-

tians da taRa, fian dit anx Qoatra Bût, tenant d’nn eOté Mantianr Jaan* Anrana Chevalfiar, d’antra eOtèMeop simv Ha«rd42iavaUiar, d’m.bont la ehamin de 1er, d’antra bont Monsienr Hid CtioU

Sutien A, nnméro 437 parti*, ponr denx aru soixante-qnins* eeitlirUi

lO M kprix: 40 fr.

O t^èm e LeL Sept aru qnatre-vingt-six een*

tiaras d* tarra, lian dit An*dassrns d u Carrlèru, on Dauns d*s Patit. Baissent on las Lostngu, tenant d’nn eOté Monsianr Ciplam, d’antra cOté. Montinr Acgntt* Otevalliar, d’nn bont Midama venva Fonrniqnat, d’an tra bont Monsianr Hisird çhavalliar.

Sto'.ion A, nnmcro 674. ponr' m is aru qiMtra-viBgf oisq oaniiares.

Misé h p rix: 30 fr.DonxièmeLot.

8k aru soixint* oeitiaru da bois, tin dit an Manlin da Néry, taeant

J’nii cdté Monsienr P.tit Bogèae, d’anoe cdté Mansianr Gattaiet Xtviari d’en boit Monsianr Hiranit, d’antra bont la lû

SaetloB A, numéros 1098, 1101, pour six aru.

n existe d u arbru.Mise b prix: 40 fr.

T r ^ è m e L o L Uir eirqalèma da lû appdé l«s

Qutra Bût. tinant d’nn oètéMonsianr I iabbé A bart, d’antra rèté Montlaiir Pitlt*B liar at antru,d’nn bont Men* sianr BuFa Cbanlliar, d’antre bont Monsienr J isapb BirUn.

Il existe d u aibms.Saotion A. numéro <0, peur nn

are qastre-vingt4ix euiüaru.M i s e k i ^ : Bfr,

Qimtorâème Lot.Sapt aru t’enta-denx O'nUsru de

tsiltis. iisn dit la Chais*, tenant d’on (été Monsianr Ecgèaa Bibbé, d’antra cè.é Monsiaar P*rrv , d’nn bont Mondanr FraBçais Grny», d’antra bont Monsianr Babbé.

Il (xista des arbres.Saetion A. numéros 441 psrtio at

44t parue, ponr boit aras u iss un* tiiros.

Misé k prix : 17 fr.Qninxième Lot.

Danx aru qn-Dit untiarei da t«Ra, ü'.n dit ie Iron anx G'and, Bl'OBa, tanant d’an cdté Moosifnr 8«rg*’o i Buibritmy, d’antra cd.é donstan.' B tnrgaois Appelinaira, d’oa boit la cbamm da f*r, d’antra bont a ronta.

Siotoa A, nnméro .198 partie, ponr danx w u trois ofitiaru.

Mise k prix : 35 fr.Lot.

IQ iek p r izr : Î3 fr .VingMrohièiae iiOL

, , aru aotXMita-bnlt éenthru lAM,'^éM'dit*Aq;dassns i l b ,

tuMét d’an ddid MOnsMr vTatHra'edtdMénsbnr F itw , boni n e senb, d’Udre-bont

insslnnesM b.'fiaMieBÀ.Éndéro i8N,:penr indiM 'A ^gH tti.eiM ietp...

I t o i p i i x : . . 33 fr.

in ingt^ nàtnèin Lot. fiépt anâsqneiim élanx àantbNs

de t e £ Uià'dh W L À t s -Püls, té- len tdm .ad té M wsféir Zéndn Dé­nier, d’entre sdtépm stnn.d’n bont MoBsbné Dam s, d’udra bônt Mo» iianrPedt-Raiiert ’

Saofion A, niiméra 157 paTlfo, pou' bnit aras dix eenfiaru.,

H b e k p r ix : ^ iO fr.

V in gt-cin ^ èm e L ot Oéiax aru qitatiie-^^t-dix ont*

tUrHd«pré.indme'llaa db, ta fi^ d’m ' ed'é MonsiUR Zénen. Daiiir,' d’anira ediè MensbnrHariant iUeXb,' d’nn bont Mondanr Fstlt*RéUv, d’antra bont MoiManr ItéB-AiinaM caisvalliwi

Section A, nnméro 168, ponr tiMs aruetaqunttaru.

H isek p H x : 4 fr ,

* yiBgt*sixième L ot Daara-tr*Bt*i-six’’eaniiafu d’anl-

nai*. lUndit • (habs, taïuint dkn edié Madnia'Fvrllrid’anmedMMo»* siaiir BotRgiob, d u -bMt’4ladtuM te r r f, dkntra boni le lûi '

il exisb d u arims.Sieiion A, n«nére 879,. Pbnr nn

are qaatre*viBgt-qntase aentlaru.Mise k p rix: ^ f îr .

Tingt*septième Lot.Cinq aras -qoatre-v b g t^ f ew -

tiaru de terra, lian dit imCh.min. da Niiot. twant d’en edté b chagîba d* f*r, d’antre cd’è la ronbÿ.'.d’nn bont- Monsiaar Rasurd Cbevalliiri d’anira bont>bobimi»dafu. .

SaettonB nnméro 41npartb, ponr trob aras dix bnit oantbm .

Mise k prix : " 38 fr.

Vingt-hnitièm iLotDtiK aru trante-bnit, cantiaru d*

bR*,1l n dit ah Petit Hoyer, tintht d’nn cdté ttiianis M ulm f Hoart d’antra cdté nhe santé at an*4tik i* •ap'éàma’ lot, d’nn bont mbiUirs Maxime Pioart d’antre, bont tme tenta. .

Statien A. noméru 888,838,884 at 836 ponr deux aru qnatra-vingu eantiéru.

M isek p rix : Sfr.

Yingt*nenvième Lot.Danx aru *o!xaiit*-Min untiaru

d* bois, Ibn dit av Hsnt da b Ctvéa, tenant d'nn cdté Monsbnr Esmary Pi(R*, d’antra cdté Monsianr Petit* Baliar, d’nn bont Madim* venva P<* t't-Oaniar, d’antra botf Monsbnr Ct- plaln.

Ssotion A, nnméro 742, ponr d e n ans soixante ustiaru .

Miiw k prix : S fr ,Trentième Lot.

Sapt aru oiaqnanb*danx ean- tittas da taRa, lien dit anx Grands éu d iu , tenant d’an edté Madame Pttit-Daniu, d’antre cdlé M. Albart Babbé, d’nn bont Monsianr b umta Dona, d’antre bont nn fossé.

Sntian A, numéro 899, ponr six aru viigt u n ib r u .

Mise à prix : 80 fr.Dix-septième Lot.

Trob aru qnttanta untiaru da twre, lien dit i’Eelûia dn le Fossé Briswd, tenant d’an cdté Mon-.i*nr Bjuigicii iaan-BiptUte, a’antre cdlé domianr Dominique Dabnir* atiu - nsars Pioart M axim , don bont Monsbnr Bonrgtob, d'atim bont nn fouè.

Il existe d u arbres.Stciion A, nxffiéras'iee at 107,

ponrirâlstfu omqnanta mntiaras.Mise k prix : 13 fr.

Dix*hnitième Lot.Danx . aru ci3qnaata*oiBq un*

tivas da tarra, Uae dd la tû da It CbaiMon b Paiita-Fiiuteina, tenant dtm -cd'4 Monsianr Zén^n Dsiisr, d’antra cdté Moasisnr Di r u -Pu qnbr, d’an bont b mèma, d’anira oont la ronta.

Il existe d u u b ru .Sscton A, nnméro 888, ponr danx

aru soixante cantiaru.Mise kprix : 75 fr .

Dix-neuvième Lot.On ara tranta-sixuntiuud» b>b,

Ibn dit à b Cbaiu, tanant d’on cdté Monsianr Bonrgaois, d’antra cdlé Ma* lama Lsqnenx-CtMraliw. d’nn boni Hontisnr Bmibiar, d'anm bont b ronta de Néry.

Il exbte d u u b ru .SMiion A, nnméro 37J, ponr nn

u e oinqnanta untiaru.M isekprix: 9 fr .

Vingtième Lot..Cinq aru solxanta-denx eentiaris

la tarra, lian dit en Hant da te ttevé* da Fay, tanant d’nn cdté Moniianr Oabidra, d’untra edté IL Laquex- CbtvalUw, d’ân beat Monsianr Ht* zard-Cbavallier, d’antra bont teCivéa.

Sact'oa A, numéros 893. 891, 895, ponr c in q u u soixantt*dix*bnit un* tiaru.

Mise k prix : 18 fr.Vingt*nnième Lot.

Trob aru soixaata*dix-bnit osn- tlarat da tem , iian dit t te Cavéa d u Srands Biiions on b Mardi Gras, te* nant d’nn cd’4 à te Garéa, d’antre o6'4 Midam* P«ii-Danitr, d’nn boot M'dam* venva CbaéâIli(r*Laqn(nx, d’anna bont Iasanta.

SutioB A, nnméro 788, ponr trMs u u quatre, v b g ^ x eantlaru. -

H isek p iix : 40 fr.Vingtrdeaxième ,LoL

iMUStaONniffiar, des dénx bontp|q;iljstti.; S'' 'cSieMidi'À, nnméro si^ 'p oh r'è^ ..

Mas & esiliaras.

Dsnx a 'u eirq aanfiuu d* pré, ’Jei dit an Boisiaan da Vanul’as, tantôt d’nn cdlé Monsianr Binr* bitf. d’antra cdb Msniianr Leqaa: x Cbrvallbr, d’nn bont 1* mèma, d’an­tre bont I* tû la VancaUu.

Il (X ist* d l bois.Seetion A, nnméro 378.

Mise k prix t 8 fr .

ITente-nnième Lot.Dn wa soixante-six untfam en­

viron de tarra, lien dit En b u lu MaisoM, An*4essons de la Cbaita, tanant d’nn cd'è Voislenr Patit-Ba* lier *t Monsianr Zénon Diniw, d’an- tra c64 Moasianr Dabnin-Choran, d’nn bOBt la lû da Vaneallu. d'antra bout Madama vaura Hédérb Da* niw.

Saetion A, numéros 350 at 351, pour danx aru tranta-siiq ean* tbru .

M isekprix: 8 fr.Trente^deuxième Lot,

Denx aras environ da tarra, han dit an Baide, tanant d’nn cdté Mon- siaiR.Cbrbtin Dscorbb, d’antra cdté aeqttéranr T av u n iu , d’nn bont Monsianr Laqunz , d’antra bont Mansitnr PatiL

M isek prix: 3 fr .

Terroir de Saintinn. Trente-troisième Lot.

Hait aras qaetra-vingl-trob ean* tiares d* pré, travanès p u 1* oba- min d« lu . lian dit Tiuan tenant l’on cdté Monsianr Héranit at b ehamin da tu , d’antra ed é Mas* sianrs Georgu Cbivalibr at Dabnin Léon, d’nn bont la rivière, d’antra bont te rente.

Seetion A, numéros 1115 partb, l l liy i|q tb , 1117 putie, 1119 parti*

M isekprix: 10 fr.’Trenterqiutrième Lot.

D iz-unl u es qnaranta at nn can* t iu u de ter» , ben dit à FonMnelle en la Btrns, tenant d’nn cdté Mon- aiaw Bargaron Birtbélamy, d’sntrr edté Madame Fontaina, d’nn bont Monsiaw Haxud-Cbevalllu, d’antra bont te sente.

Cadutn saetion B, numéros 88-33 putie, ponr treixa aru quarante un- tbru.

M iu k p r ix : i Ù fr. .Trente-cinqnième Lot.

Six « u eluraanta eanttaru dé tsR*, lien dit èvillars, tenant d’nn edté MoBslanr' Mandai, d’antra cdté Monsienr PictR-ChavalIiar at Mon- sbnr Hazord Ansalma, d’nn beat Monsienr Puqniu, d’antra bont an ebastin de fbr.

S.eiion A. nnméras 1134 p a r t ie . 1135. p a r t ie a t 1138 p a r t ie , p o n r sg p t a r u ^ s t r a - v iB g t - q a a t o r z a u h t i à r u .

iO sek p rix : 38 fr.Trente-sixième Lot.

D u x t t u tranta-eiBq untiaiM da tarra, lien dit VUlars; traversés p u la ehamin da fu , tenant d’nn cdté béritiars Villsin u te abimin da fu , d’antra cdlé la abainlB d e fR et Mbn- sianr Zénon Dani>r, d’nn bont Mn- dama Babbèlrançm, d’antra beat Iq cbaBain dà.Vnnuuu.. Saetion A, nnmère U89!pahisc: pour O nx v u trante-ttote untiaru.

M isek prix: 30 fr.'

M ant'dkn

drnvébeNtMMMkK (sLtèdnboii^

Scattoit Ac nm ifrenUSL et L U i, poi|r qnatra aréa tru la asntiaras.

IB sek p r ix : 7 fr .Trantfr-hnitièffle LoL

Outra aru seiXàntDebq untiaru 4a pob, lian dit An-dlmna dn Bas* qutD w izot, tanant d’nn edté Ma- damè Rnr^qnai. d’antra edté Mon* abnr tiiMabb d k i bout MaE Foarn'q^t, A ttira bnit la saÉM.

Il axis'a dhJtifis.Sistan B. nnméro 1)8 psrtb, pour

.six aru qnaraBttûepI em O éi^ M te k p r ix : iO fr:

T èrro é 4ê td thêty-^Sd iè t-fierre i Treitte-iwavième Lot

B n x aru tm ta aantiaru datoRa, üuditAJa- pdhira de ’h Ctaabai ta- oant rnn cdté at dèa 'dénx, bonb. Mohdanr da 8t»g*ais,'4Pahira edté tard. .

BaxIMaJitboit.SuSèn iÇbrnmérp 1413, ponr dinx

arà* qnttrM ingidix UBtbMS. p i f r e k ) ^ : R f r ,

(}fiiffantièihe Lot.

la M*! iia n d R n ^ m d J iÉ iM l te­nant diih cdté Msdamé BaUè, d’én- tra (filé Maaainir B U ^ a , d’hn boitbdkamin da f v , d’antra bou la cbamfrldaHtiMédmu. '

Saetion D. nnitéto 1093.

M isekprix : I fp ,L’a ^ ie a t io n aitta .Uen mi exésn*

tion d’nn Jngnnnt aontradietdra randn p v b Ihbnb'ai aivird* pr*- mièra instuiu de Sanlb, b -d x - hanf tentfier ’js il nanf u n t qn.tra, anrag(itré,' sons.bs ebVgà*, 'âans« t eend tiona- dh ORbr dis R a M

d r a u é p v H lanryi nolafrai Bé* bisy*SatBtPMm, at déposé a sim.

aitma, où. tonte p u so n a nuit an mndra CMuâtainc*, shirlu'ihf t pitx-snriànlaée* f ià fr s 'p e te Hghn*nipEiti(è.''_ -

L udiis imm*Bbi*s :ddpend*nt da sncuulon d* MonsioBr DMndr*

H«ri*nèR*. '

Fait at rédigé p v l’avotté^paiir* snlvant sonsai^é.

Sinlb, b lOléviiar 1904.Signé : G. MORAND.

Et anragisiré.

S’adrrssar pour Us renstignem nit .*4* A ÎÉ * -G e 4 > iM m M o -

vam d* nvooè d Senils, ponrsni- vont la vente;

S° A M * E s é a v y , avonè i SenUs, préaènt è b vente ;

3° A M . D i iM U o r d , géo­mètre a Bèthity-Salùt-Fièrra ;

é° Et è M * F e i w y , notiire Bèthipy-Saint-Fiem , déposi­

taire da cahier des charges.

Ponr insutlon : 8gd:M 0BAND

Sise terroir de itËNEVILLERS, lien dit le SaitOTè,

DEUX ACTIONSde jonissance

de. la S o o lé M d u G u de Font-Shtnte-Maxence,

é n fv o im l o t o ,-le fout pliw am pU m ent désigné

e i-(^ è s .

Abt. 4 .

»- ’ TfrDDM ni IM* G e o r g e s JRÔ RA IVD ,

liunaié an droit, avoné à Sanlis, ràa Ssini-Hiteira, n. 10;R f G E R A R D I N ,

BOteira i Irieôi ^Oi<*), et M * R E A G C H B lA I P S ,

netaira i Pont-Sta-'Msxanu.

AUX nnoHknis rniLigirns

L’adiadieitioBanra Ibn : ponr h Pièu TaRé,-la dandt dtoaepl Mara Bnil n u if nant quetPCk d danx h au N s de ral*vè*k an b naui* d* Manèvuiars, p v te mlnis*' lèra da M* Guudm, notaire è Triwt, ooBsmisè u t affit; atponr lu.Ao- tioU, la Vendredi dk-tintt Mara mil nauf oant duatNk i daux tioupoa d# N lavoa, an i'ataéa »t p u la miBbtèra d* m* BaanoDamps, nottirca Pont-Saïaïa-Maxanoa, éga* mnant umaus à est affit.

D É S IG N A T IO N■ xr

B U S E A P R I XPremier Lot.

Ctaqnanta-qnttra v a s sent aèn* tb r u da t«ra. tarroir da.Ménènil- Irs, Uan dit la Sintarra, tanant d’on (ôté Monsianr Tfaonral, d’antra cô’4 la bois dn Fay, d M bont Ma-talanr Wgnanrqob (-Moniisor DAlMs, umma f.(rm'.u), d’antra beat Ma­dama Diuy*, da Trioot. .

Mbe kprix: 38 fr.

Deuxième Lot Daa iaefion da )oàb<*nu da .b

Soètélé du Ctax da'; PohvSainta- Mixanu, portant 1a nnméro'896, an nom d* Fayan (Ed«ond-Pànl*èr* nuBdI.'k Pont-Stinta-Maxènu.

Mise à prix : 5 fr.

Troisième Let Usa aeiiOB da jonisunu da.lé

Seêléiè du Gex da Pont-SsinU*; Maxanca, portant la nnméro 837 an Bfom da Payan (Edmond-Panl-Ar- mand), è PoBt-Sainto'Maxanu.

■Mise*kpnx:. 8 fr. ‘

L’adjhdiMtlon dont s’agit anra' lian an .axéaatfon d’nn ingsmant eig-

10 1 1 .................

dinde, oA. taue . panMM pant en

Ib pièae' tsRa et laskcilMs bt ak ili dénudant 4b b Muaik m da'MMdanrHémtmdML'A»

nuhd Payu.

Fait atrtdigè par l’siVMd ;p6hrsnf* vantsonsslgBé.

8*nÜb,ia90fèrrlarl904:. (fflgité) MÔIÉAND. .

Etenragisfr '

9eiT«tset;Poyrlu fM seig tem m ti4* G é h fv e m / M o*

iMuid, n m è t i Sends, pehrsni- vnût la vente;

8 * A'ikf* G é r a r d ih , ' notaire i Ttioiir’jCObe) ; ^

3* A Ma- R e m u id ia m p e notaire i Font-Sainte4laxenee;

commiS;gnmar 4a. T run n at. d - yil'IéË eirib .:

Pour bisartion :(Sfgiié) MOBA|nr.

Ai»; 6 .

i H* Leute K8 CAVY, aviwè k Sm Ii, 7, tna daV illavvt;.

1 M* BAHDOM, nobite anPtessbrBaUaviUa.

R R E Ê T ^ in H G iT I Ü I

U N £ mAAISONSiM V SH L t-Ù -L dN è, '

n U rna d u Anglais,

J ) r x de TerréSis*#li*riroi'S‘d» m-ry-LÊ-LOSG!

U NANTEOlL-LEHèODODiN.

I.' .niafiâtioa bnrs Eah -b l e O to u a n e h c 8 0 M a r s

. , d uns heure <b rebeée,

xn LA sALU n'ècoLi nn sillt*7 . U-LOItO

Par te m in is^ ' da M* Bâudôh, notaire an Ptessis-BaUavllla,

.«ommiakseitff-t.

an-ebunte, .to-b(toM^k;lf*uk»bR ai Ou Cuin)kUf$6i»ù;rima^^ wipm Ahnhto.j& esaAtf .A H » . dhnr Cbaittk - s é r t , dmma>ïif miar. u Jaan Sihfy. «t dh bord k Mbnsiainr Aat^èAlàtsrtfar... O dastréskwtimi B hnmirc 559.

IDsfr’k ^ : ; 180 fr.

Terroir de WsMeuü fe-Hisuifouin D ix i^ L o t .

Dix*knit ans qiatra-'ligt-sapt unibru da tarra, ti-m dit an Bn- n aA on k te Santa des MannbR tanant dnnord k laranta, du loidi è Montiadr ^àaniirLaotera, eommé larmiar, at an'lavant k MeosUn< Msi-la. ■*

Cidastrés saetion F, nn<céru 6'6 UG,763. ■

:Mise kprix : 100 fr.QnMèmè et dernier Lot,

4)d«tocz* « u Klx!int*.-dix-Mnf: aratiwu de tura. Ban dit An-daûas d u hutiou da'HaBtfnil, tenant d’c. riant à Montianr Vital-lriMut, eoœm- farmitr.A’ouidaBt A Monsianr Nu- mandidnjnidi k Monsian* Cbirb; 171*001. comma'fsimter.'at dn nord kM..'Mailla, um au farmter.

Cadàsttés sèOden 6 . nnuèra 911. Mfriskptix: 80 fr.

(tes hnmanbtes dépstMent da b «Bèsuston da Madama vanva Vlgna- ran-Brngup, da SiUyrlKliOBg.

L’*dJndic*ttoB snr» Uan. an vuto l ’an ]ngènism rindn par le TrOinis? isivil d* SmUs, te t ois février 'Jt nahf UBt qnttra, at sou b» <tbs|H, e'ansas at oovdition* dn o biar dat ebargn draué p u H* Baaaon, no titra an Piutis-BalMvilia, at dépos( an ton ètndé, lù toiita pusonaa oant an pranéraeonnaiuanu, at sm las m s u è prix sns^ndiqnéu, I- xéu p v te jngUBAot sns-daté.

Frit at rédigé p u l’avonè ponr- snivant.towsi^.

A S»^,la90#nriarl904.(Signé) ioms ESCAVT.

Redresser pour lu renseignements :1* A M’ Lonis ESCAVT, avoué è

Sanite, ponrsnivant te ywt* ;9* A Mr BADD3N, notaira th

Piaula-Dri'aviil* , dépos'trira d - 0 b w das obarg*^'.

Ponr insertion:Signé :.L o u is ESCAVT.

raqdite randn par te T'ibnnalcivil; d* pnarikra tastanu da Sénbs, te éèÉme jte dinxdésambra mil„M*nf-untMoR <ebieiHbè'» u sonk tes^^*' ^ * otenau at conditions des dasAbatgu diusés..aaiair:.Pièèi da Terra, p v M. filBouira k Trienti er-peifrtiiktl-___pv,M* Bèinebamps, lUÉdfi* è Peat* BMaïa-Maxanu, t( i^f osèi en IstM.

'D É S I G N A U O I V. , . Bt

B r a E S A P R I XCémiMM'de'SiUy-le-teng:

Frémier Lot U n e Bialiaon, =ia i S!lty-b-

Long, «ài-u lu» d*a ADgl».i% unsk-. tmt an na corps d* logis, distdbiè OA denx pièces par b » at nn* trav< e (ta l)k:iai*bti''0 ; ht gcè sarvaat da bûohv, eoiRacts «n tniias, eonr de­vant p v Icqzrile i y a.accès s v . te rne.at dan* iaq/*!b sa. tronva nie grange unvarta *n tFilu jaréio dar* tièra eolonré de m tra at da bsiu, oostaoant y ermp'u oetta cow envi­ron lix arasnn uotisr*, te tant ta* nant dion côte anx bèiitiars Lwgi- i-' on rèvèsantanb. d’antra rôte et l ’on bon! A Monsiwr Cvbi*i d’antra bout p v davant.fc la rna.

M isekprix: 800 fr.

Terroir de Silly.-U- long '.Deiixième Lot.

H itérasqav-nta qnstr*unti rtt da terra, iian dit an Bonuv i. tanut d’O iv t . k Monlinr Vltai-Tlicant, bail (ntte daoxappaitanant à Men* s-anr.Tiial-Via«ent..d’aco'dant-è Ma­dama vanva Bèaava, dn cô.é nud k Madama vanva Bonue.'O-Cvtiv, at dn midi an-ebamln da te Frosusiim.

Csdattrés saetion A, nnméro 405.M isekprix: SOfr.

Troisième Lot.Hait aras soixtnta-qatezi un-

tlu«s da tarra, ban de ProGa te Garenne dn PoirUr Paitebarat, t'-- nant dn midi kMonstenr Dategarda Léon, dn nard a Monsiaw Pan; Bfry, d’oriant k Mimsianr Dassans, umma farmiar.^at d’antra A Maas: slaw Dnbong, eomma fattsibr.

Ctdasfrés ssétien E, nninéro 318M isekprix: 80 fr.

Quatrième Let.Qnaranta-quatre tru soixanta

natti Obnfiarw da tava, Uan dit an cbambnHa DrinmiFtin, v è s te Pont da GenrsebL tanant dn lavant k Moniianr Dobenrg, umma farmlar, dn êonehat- k Monsianr IhmUiw, dh midi anfit cbamin, at dn noid'é Monsienr Tigraex, nomma tvmter.

Cadutrès saetion C, tnmèru 536 at688.

M isekprix: 370 fr:

Cinquième Lot.D x - s a p t a r u q u a t n - v i F g t - b h t

untaru da t t R O , lien dit a h c b a - min d â Tita, tanant d'orieit k b la* ^ a Svabi, d’antra côté k Mon* siasr MoitilA umma fvmiar, daa dsnxbonb k M. Mailb, u m m Ut- mter.

Cadutrès ustion B, nnméro 98,M isekpnx: lOOfr.

Sbdème Lot.Doute vas îoteahta-ufk*' ew*-

t'tvaad(t*.R*. lien dit kte Bdtiada U Fanvarrh'v tanant d’oriantk MOn- slaw Giiltet on te*wésanbBts,.d’an* tra at dat d'hx bonud: Mensteu Dàbonrg,commatennter. .

Cadasbés saetion nnmM^GS.M ^ k pHx :. 80 fr.

S^tièmeLoLSapt aru sotxinta^slx unttaras dC

tSRa, liait dit sti Poiraiw d u Es.- sàrb, tanasl dn lavant k Monsianr iqiharohi'’dn ennebant k MOnsIaw terrt'C, dn nord a Monsianr Dn- lonrg, at dn mdt anx béijtiws'

Gannaron.Cadastrés sae'ion A, nwnén 97..

Mtee kprix: 40 fr.

flnitième LotTranta aras d* taRa, lian ditin,

Chamte Tvt da Nvt*nu,;tsBant d» aârdkMoat i-w viM-Tteelit eusima: iatiniwfd«"mièi k Muistew Mailla Mosmaiirmiv, totenntlhMeviJBr ten'dk; ^ t n v taam>ra«sl

ribsnlkM M ^M ailte U

Itndu de

Abt. 6.M” Loms ESCATT, avoné

ABanlb; DIET.notairakCtepy*

an-Vatete.

saèim A, lÛ u k p H x : l ^ f r .

HenvièBie-Letï Tiigt-nsttf a fs . sciuiMi • s « b m

t*tMrà.1f-B éad* FAhireCM t e Tbrf~‘~ t e P ié ts^ tHsini t e mÜt

VENTE «JR-O O TA TIO N

U N E M A IS O NOiraaaatonaM • DépanUanaw

Sisu è Cf ËPT EN-VAL0I4, rna d^U Pdit* Vitassa,

UN BATIMENTSis tniri è CBtPTrkN VALOIS,

con’jga k lamakon sos- déilg éa.

OIVE FlilCE DE TEERESita taRoirda GBËFTnr-VALOlS,

>im éii te Canonslè'a.

Vatob , d^Msitaira dn oR br d u -wuîféSo

Pow Ihsartion: '' S f g n è t L B ^

' ' kht.'T ■.«4« d» V BAIMTM-BBSVM,

rvcuétSanBa.

S é p a ïa â M i i i iC iir^.

b'imj gimtnt randn p v A fsid fsnta da unolwa par la TriSnha evfl da Sanfis, te 94 lévriw UQt, confirmé p v jngimau te d it Tribn* u t ea data du 11 nev.mbra 1903, vu«gkt-é;

Eatra t Midami MaddainTMatte- Célins Mvatiif .èponu d* Mpubnr

. . r te - iant da fait, 47, rna Labit, k Paris,

Damandvaau, A ] ^ M ’ Siinia-P-nvaiohra^iié. Et Monsiahr Ainott, snarnosaiié,

Défandanr, Aytnt M’ Cbambard ponr' tvand.

I appert:.sOna te séparst’on da corps a tte '

biàu a été menoBoéa d’eitra tes' ép ù x Anwtt; k te tiqcèta et t a - lirofilda te dama Anott.

Pow extrait:S’gaè : SADin-EIO Tl,

drus18 n i EL* G e o F g ç n M O R A N D ,

liunoié an droit,'avoué è Sanfis, rna Salnt-Hilàlra, n* 10;

M* B I p p o l ^ F E R 7FÉ,notaire è Seuls ; '

M* . t a i e s P L O C Q C É , notaira k Parte, 1 rha d’Hatavflia.

- W m a . ■.Stm UCRAIION

B»U N E

M A I S O NSituée k PARIS,

rue et placé Brèda, niimtee 9 (ix* ARtomirsiiâiR)

aveeOtenaantamoen ADèpuatetsoM .

i S 9 à p r i x ] _ S W f r .

l ’ad’THlicstioo anra Uan te M ta s te h u i t B fnra t 9 0 4 ,

haura ds-midi.Et U Chambre du Netairu d« P.ris,-

P v te ministère d*M PLOcqui, notaira k Paris,

eommmis k e*t aSU..

fs d r t is s r vour iss renseignements• A M* G . M oria o flji avoué

i Sentis, ponrsnivaEt la vente;S* A M * F e r l é , notedre k

SeuUv ;3° Et k M ' P l o e q u é , notaire

i Pans, 4, 'ine dHantevilieî dé­positaire dn cahier d u eh v g w .

i.'sdmdiesticn anra'lieu - l e D lm im o h e S O EGarat

8 0 0 4 ,’ d une heurs de relevés,

i i r l ’Btndè at p v te ministèra da M* DIET, notaira è Gr^y-an-ValMi,

commis k eu alai.

D E S IG N A T IO NCommune et terro ir de C r ^ -

en- Falots.Premier Lot

U a u M a iso n , tba k Crépy-an* Va.ois, rna d* ta Pstita Vituu,èbvè* awmvad’anru da-ebanssèaatd’nn prami.r étage, dnitéa an reste* ohanuèa an wrrtdor, cnitine, salle k mangv { an prusiâr étage aa danx chanbru.

éardin denikra d’anvinB 149 mè*ff**- . * .La tont tnaat par devant te rna t e .aPvtitaTitaasa, p v darrièN Mon* siahr Bandtn, d m cÔ4 Mssstenrt La NaiviU*, ItebM*. u a a iiy , d’antra .ôiétediaX'Aiittle;.

M issk p d x : l .2 0 0 f r . Deuxième Lot

U n B àttn iieiit, sis k ffrépy, mèma rna, eoniiga .an premier lot, disposé pvn: lira transforma an mai- .on dmbltsUoB, uva aona u bkti-BMta

IiTdin d v iik n d’e'-;viton 199 mè-Irêfa' Le ' ont tenant p v devant te rna da te PstiteVi e»a,psrdarrièr*MQMi<w Banden, d’antra côté Maïuienr B n d«qaln fils, d’entre (ô ÿ te uém ivlot:

Mise k prfr : 3 0 0 fr. Foeullé ds rUmion de ses deua lots

Troisième Lot l^gta'x arts scixinta-saiz* ean*.

tbru d’après lu rires, et rtagt v u qBitrt*viBgt*4ix-serf uUitBris d’aprèa-te boinagaed* tetra, tarrotr da Crépy, Uan dit te Canennitas, te­nant d’nn côté MusUirs Matemmeiva «rH zatd d’antra côté Mtmiianr Sin* raga, comme firmlw, d’nn: bont b Oimlgdn Bois du Braiu, d’antra

«tnda.da r 8 A » T E -B 8 DVS( avoné k Senlte.

Vente aux enchères publiques

CORPl DE MTWËNTSitné k NANIIDIL-LE-HADDOIBN,

rneanxFonairu. L’adjndteati <m anra Uan

l e Disnaractem 6 Btaura tO O A ,

d deua heuru te rcbaéa,P v le ministère te F M u n u r , notaira k Ntnbnil-la-Handoali,

com sèbkaataA tredresser pour U srtM sigtm m tt:

V k V S A H n H n v M , avonè k lanfis, ponrsnteant b vante;

fi* n k M* MABDELET, DOtaiN kNantanil-le-Handonin, dèpCsttaira dn oablvduebargu.

rM" GASTon LMB, Eesi- aièan teatt. avbié k SenUa» U , ma

Etndu t e S a b s l-n ^ .: attul da M 'IteL U tenti

IBLLO tn^m itaira ^Malle.

V E N T E S U R U a T A l l O N tP v I* ministère

da M'MiLLOitea, nqtrira k MaBo, e n m e a t loCni .

u n e m a i s O NSituée kCBRL,

rha Cbuba-Atgoste Dsgnm, n* | i

UN E M A B IT ftIlO Nprallcitiéa dnii» tentil; ■

Sitp#* à (JUQU ' 7 rB èd aH aû -d u -T âb ,ih ll; -

Dl» (âffPÉe de B » ilavee Ftiçhom Fat dénrdtom

Section F. nnméra 194 dn cadastre at nnsséré 87 dn buniga.

M iseàpiix : SO fr.

Ces isissesuVks.déîisniend d» la sue- eeeria» d e At .'Boudrgvm, décédé d Crépv-eii-.làlob.

L’àdindiution anrà lira mi axé* cation d’nn jngameiri randn p v b Tribnaal civi da Seatis dn qsima déunriiranrii naoteau tr. is, atiSaH; >éa durger: MiaUs at undltbaiAtet esbiv d u chaixts;.dr*ssé p v E B i t , aobi-ra é. C épy, at déposé: an son E itd* (û toSH penUM ii pant en

raadrApoBaaissuuUsnrIsmnriMs ^ t e è u B tt te

^ ^ f i j J ^ l t e v n n é p o ^

A Stn^teJliM étr'

liàa'dit AhdüsnstetettevG MM^ii■ a n 8 s li4 * t* ra î.:; .‘,';.iv

Gimàr

a f t e p i sG tiiéu so r te twrdr 4s (à lI L ,

ÇS TEfiRAipsnr.bqhal. exMsit jÉ t^ o it MH

v ae Trob aru quarante d nx untiaru Itehtodatu ia, Uahdit k La Gupallr, 4a-

nant d’nn eôtéMoBrianr Eagkn* F- n- Trente-sqttième L o t Cnq aru atequanteNim u it ia iu*" la r a ,liu le fn d k nnwfrw 817 putta, i bina, d'aat-a côté Monsienr Jean-

Page 4: Henri GAUCHIS, ^âdiotoisirstçiir. jomiiNiEbmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_02_21_MRC.pdf · iém . kdé Ide 8 b. soir. raie»: t£f*^ — 7 S ^ A n n é e . — Æ? Æ

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LE COURRIER DE L’OISE

lmto .de M* GtM»on ™ i SfoDlBeme.'i •■ droit, êwns à Sœli»» f “ «rjn.»i*«..

U ,itw Siim-FUrre. locsesMBT de IF Oiutroan*

Y rnt d» TfOiTirt;’ T O U R U I X E ! . notidre

i NtniUr-ea-ItoUt.

VENTE SUR HGiTATIONParle atioiitdre #e 1 ‘ CBM,

Bottire i Corbtf {S#5»8-t^Qlae),E n d e o z I<ote,

Di : l ' tu®

t æ a x & o n

Sitnd* à in-O M N O il ' (S^e>et-OU*)r

Grudt Kae on Ron» Nationale, nnmdro 4) ;

2’ un»I V L A J S O N

iitnéa an méae lien, UanditleTiriar.

L’adindieatian aura lien le D im a n o b e 6 B f«»« t 9 0 4 i

d deu» Meitrea et demâ de relenéi, n Ul Mtra® Dl BIS-OBAHOia

S'^raier pour U* reuieiaue**'*** i* AU* lOIR, atond à Sénia, ponr*

foiraat la TtBie ;S* A H* 8AVART, avoni à SenUi,

jrdMBtU rente;8» AIT GROS, notaire i Corbeü,

dipo^tatre dn ealiier dea ehaigia et ehariddlila rente;

4* A 1* HIUOTTiR, notaire i Mello (Oiae).

“ 6 A8T0H LOIR, lioen- eié en droit, arone ) Sinlia, 11, me

Kmdeide saint Piene,fnc:r' de H* OBULionn;

HILLDTIËE, notaire ileU o.

v E ] > r r i Bl ie Dimanche 98 Viorier m t ,

d deus tourw de relcoM,A *onlHy-eii-Th*1!n,

en l’Etude et par le ntinittère to n ' lo ta tr iu A , _ „

notaire andit NettiBy'^-Thalle, eomnris i eet effet.

, En exientionIpar le Trflmnel rirtt de **®ÿ*vJjl Irinct-troit désenbre mil nenf Mnt ltroia,de

La Nn*-Piopriéi4 einai qaelnin- frolt lorEqn’il a'y réanirA de :

Hoe iBsôriptioB d« trem tn-hnit tr à a o a de ren» anr eau, iroia pmr cent, » s a an nom de : rine-OÜina). renre en l'r noce»deCharlea-AdotpheGandelroy rtenJ'nodeadeloseph-lnlienl’nGiimit, M nne-proptiétd à Loni-e-

ï t t f f e ï f S ®arÂmilhnlteeBt qoetre-ringt-dix-bhft.

l ’iuttfruittdre u t âgée f environ et anii

S’adraeaer pour lai renuisnements : I* A M‘ ESCATT, arond 1 Senlia,

ponrantranttarenu;r à M' TOURIILLl, notaire i

NeniRy-en-Ihalle, ddpoeitaire dn u - hier datnbargea.

Etnde de 1* Lton BARANGER, OMamiasaire-priaenr .

dé l’airoQdiiflMMztt* SMttt (OIm)*I S E lÜ t H l i m SES lE IT E *

[vente mobilièrelé Dimanche 94 Féorier 4904,

à deua heurte de relevée.10 •/. w ana

A U C O M P T A N T

V e n te a u x E n c h è r e e

louage 6 dhWanx. 10 roitatea, lOéhambrM,

prie gare, aririrndiaaement de Senlia. léntileeiriéta..... 6.000ir. Somme demandée. .tLQOO Ir. .

Trèu siriMDi. S’adranBaraandnlonmaL 1811

n’ui

CHEVÜL r e f o r m ed e G e n d a r m e r ie .

A SINLIS, place de la Hiiia,eiUr* Ita Calé* dn'Nofd ft Ch«r-AmA U

lura, le Mardi 35 Février 1904, é quatre haurMut demie, par le mmtstire de H Btreuer, eomm^’ taire-priaenr de l’errMOUtoment dq. senlia, nreoédéii la V e n te d ^ fo r t C h ev a l n o ir mai t ^ , 1 m- 6S, rétorm* de la O e n ^ merle.

A M M JD JB M

PETITE JiAISORS’adrwet à «• F im . ip to e , en

, i M. i s n n i , 7, me de la ireij^ Seàlia.

C 3 : ^ 3 D » 3 e b :

d e a n iteEtnde de Loua ESCATT,

doctenr en drdt, ,I aroné i Senlia, 7, me de Tillerert,

anee' de M* BtuLm.

Q B C T T P S Bson ÏOBUCAHON8 JDDICUIBIS

' “ ‘•“ s a î s s r ’® '

[ O i g |2 M l l3 < D i :«iwia. à SAUlT-TAAST-lES-mLlO,

gar la ronte de Cites i Gülocontt,

DEUX PIÈCy' D’iEXilEStos en ladite «ommime

dé SADII-TAAST'LES-lflLLO.

L’adindieatiqn anralien l e Ibiinauac^e^^ff F éa rr ier

d deus heures de menée,E l la Mairie de Saint-Teut>iea-HeUo,

Par le miniatire de M'MxLLOxrii, notaire.

S’odreeaer peur Ire reneeiguemente ;1* A M' Gasion LOIR, aroné i

SenUs, ponrsnirant 1a rente ; .r A MV MELLOTIÉE, notaire i

Méiie (Oise), dépositaire dn cahier dea chargea.

Par lutte de laiiie xmmobilüre,

M M h T e n e e t P i iaiaee

terroir d’ADTBEOIL-EN-TALOIS, canton de Bi®.

L’édlndieatioB anra Ii«n le M a rd i h n it M a ra 1 9 0 A ,

heure de mtdt.En l'andience' des «riées dn t i^ t ! ^

d m depremièreüiatwi» to S ^an Palais de Jnstice de ladite rille, me de ItRé^liqilé.

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A tt ir a il d e C n ltn re , A] veDdra'anx énohètH, par anite de ] ceùaben de cnltnre, k CbèrreriOe,, n i a tomenre de Mme renre Mary-

VaileUelllJo mu » »*e*wv w«1ère de M* Baléseaox, notaire, la di-

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Arrondisaement Senlis. S’edr. an bureau dn JoqmaL 193

Étude de M‘ Kdmohd BICHABP, notairk kPont-Sté-Maxence.

D e u x M aisom s et S P iè c e s d e T e r r e , P r é e t J a r d in , sunés commoae et tarroir de Tar- nanO-snr Oiie, A v e n d r e pir ad indicadan, en la salie d« ta Mairie de Vfficenii-snr-Olée, tt par leminia- tkrede M* Richard, notaire kPont- Sainte-Maxence, le Dimanche SI Fé- rrier 1901, k deux heures dé releréo.

MÊME dTUDX

A v e n d r e par aâ]ndication ro- lontaire, a Coye, anja salli delà Mairie, le Dimanchi S8 Férrier 1904,

I k denx heures un quart de relarée, par le ministkre ne M* Btlésaanx,yw g* «UUiBtVAm mm J» aaa.*.—-ae—1notaire k Chantilly, t h e c ta r e O t a r e 7 0 c e n t ia r e s d e T e r r e e n M a r a is , terroir de Coye.

eee M é n a g e damande praoe : la mari c o c h e r - v a le t d e c h a m b r e on v a le t d e c h a m ­b r e ; la fsmms c n is ln tè r e , con­naissant la 'orvioa de- fe m m e d e c h a m b r e . — Benne:, ralé rances.

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civil de première instance de iis, an Palais de Instice, me de la Repnbiiqne.

Fadreuer pour lu renteignemente : r A M- SAiMIE-BEBTE, avoué k

Senlia. pcnrscirant If t aate. p A M* LÉFINE, hnissier k Bstt; 8* Et an Greffe dn Tribnnal civil de

Senlis, où le esbier du cbargu ut déposé.

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Mtan ÉTUDE

P r o p r ié té , ponvant itre oon- verae «n maison boaigsoise, sise k Béthisy-Sunt-Martin, sur le bord de la route de Cir«s-l*s-M*llo k Gillc-, , , . '.la ront» de Cir«a-l»s-M»ilo k Giuc-

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votontaire, te (Lmaitche 18 février 1904, k une henre, k Bédusy-Saint- Fterre, en l’Ktndc et par ie ministère de M' Ferry, noMlre.

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Pain la kilo Ira qté 19 a., la 15 0. BaanalakUo Ira qté^90, lé 850. Ontela

eantlO. . k l l . . .Butiaua. — 58 vaahai amoniltenttt to W k

SO vm m T^ to lT o k f9 0 iakno; M é ­trai da 35 k 50 tt. Fua. 214 paras gru to 1 U k 180 la kBo:»71S coarann to 16 k 60 te. ton;^ d a t a i t â a i l4 k lg f r . l ’nB.

reUMu 0» - ®54o**, 4a 16 k19 ir. ..OiaslO . . k l l . . . ttenards . . . k . . . Po*lab 6 50 k 8 . . . P igaou lk O k lIi. UjiM; da350k 450tepitaa.

G v e n d v im e H , 15 févriar.Blé, Ira qliqltté, 19 85. Sa 18 70, MétaD,*

1 4 % 8 a l 8 6B,«nxlOQkilci. : .

Baan8l40lk8301a kUo. (liibla a a i t l l .»k . . f r .

M è v u , 13 févritt.Blé, Ira qté, 10 . . . MétaU.........

Orga 14 75. Avoina 14 . , la ton^nxlOO kilosPain, la kUo, Ira ^ 31 *•, *» *9- „Banrra, la kilo, Ira qte 3 60, la 3 80.Otnte, lacant, I6 fr .. . .

P o n t-S a in to -M n x e n c e , I l févriar. Blé, Ira qualité, 10 75, i* *016, ^ 9 50.

^ *0*1^ l'hactolitra: Blé, Da qnjlW. i® ta 15 39, 8a 14l3.T 4t»U ,-. - y Saÿa, 9 80, Orga,. . .t Avoùia, Ira mutoé, 7W, L 6 78.

Banrra, la kilo, u a qualité, 3 80, i la 3 60. O iii, la cant, I l fr.

S o n g e e n e , 11 féVriar.Blé Ira qté 18 75, 8al7 94.Métdl ...S a i­

gla ......O rga 17 ...Avoina Ira qté 15 . . , anxiOOlülos.

A ITiactciitra : Blé Ira qté 15 . . , la 14 . . . Métail . . . . . Saigla Orga . . . ; . Avoina

’ Pain, to ktio, Ira qté 35 c., la 31 e. B*nna;to-]Éo,Braqtél80.(tote, lacant, 1 3 . . .

’ ) M M A R C H H ide» Bépertmoat limfiraphM.

A u m id e. (S.-Inf.), 13 févriar...Blé, Ira qté 20 30,1911» 17 83. MétaU.........

Saigla OrgaN71.ATOinai5 43,|lto,1486.cm cote: l’haotiUitra : -Ira qnaiilé, 16 . . ,

la 15 ...MétaU.. . . . . S ^ a . . . ..,Oifea,-U50, Avoina, Ira qnaUté, 7 85, la 8 'm.

Pain, to kUo, Ira qnattté, 30 e., la a.

O sA teu m -T h ia n y (Atena), I l février.

. . . , k P tttoailB . . k » 5 ^ la toat to-’lOOBtoi.’'

casuuny (Aima). 19 fé’riar.Blé Ira qté 10 . . . la 19 50. Stoto Ira qU 18 60,

la 1 3 . . . V g a Ira qté 15 . . , la 14 ...Avoine Ira qté 13 50, la 13. Farina Ira qté 30 . . . la 89 , . , to tont an 100 kUos.

R w e u x (Elira), 13 février.Blé 19 35 k 19 75. Saigla 14 . . k 1 4 16. Orga

15 . . k 15 15. Avoine 1350k 14 . . . ia tout:an

^*Ôn»te ITiactoUtra : Blé Ira qté 17 50, la qté17 ..,3 * 1 5 50. MéteU . . . . . S a i ^ OrgaU 50. Avcinalr* ^ 8 5 0 ,8a 8 . . .

Pain la kUo 31 c. l / l .

GIm m (Inra), 15 févHar.Blé, l’hactd. Ira qU 1615, la qté 14 50. Métail. . Saitto Grga .:. . i . Avoina, Ira qté

7 76 ,1*750.Pain, to kU. b * qtf 80 a., la qté 16.Baoia,tokU.180. tEnte,laçant 15Ir. i .-

CUaraa]r(S.-Inf.), 18 février.

On ootakiWiaatoHtré : Blé 16 S ^ 1010. Orga 11 . . . Avtfna 7.15. Pommai datarraG...

Banrra tokUolraqtf-193 k 8 2 0 , l a i 60k l9 0 .(E a b ,la o a m ll. . k ». fr . . .

7 . . k 8 . . . P ÿon i . . . k . . . . Upini da 1 50 k 4 50 te,m*a*.

Bsdiatta. - lIv a c h asgM sai d» 1 W k l W iakUog.,47vtches UfiwgttMd» 1 •• k l *0la kU. 8.vato*i am oni^lai 4* ,4»0k«0fr. te pièca. 'OOporasgraida 1 . . k 105 to kO. 580 S .ig M onacorann de 18 k 60 te pièaa: 150to S it îa lS k II ir. te pièce. 6 c ^ n x to MO k 6 0 0 ir. ta pièaa. . . poiteini to . . k ..Ir . te tfèaa. —

l i e s AiideIy*(Enra),.18 jinviir.Blé btenc to 10 . . k 10 75. Saii^ 13 50 k 1 1 . . .

Orga 1 4 .. k lA 5 0 .Avoina 1 4 ..8 1 4 5 0 , totont an xlO O k^ .

Fatnto kU olN qtf. . * ; 8a . . a. Banrra ta k tte T ..k T .- -a « te te d c { n i^ .. y k . f r . . . .

B o x m s s

Ooin A i f i i n n <i 19 Nniir ItH

Fonda d’Etat français.3 */. parpétnal ........a 7 , aaurnteabla....................

Yalenrt françaisas.Banque da Frmca .................Crédit Foodar.f . . . . . . . . . . . .Crédit Lyonnais ..........Société Générai*....................Suez. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Oiomlns to for françala.Est actions ...........Lyon . . . . . . . . . . I. .Midi — ; . . . . . . . . . . . . .Nord —Orléans — ........... ..........Onait, — . . . . . . . . . . . . .Est obigationi... . . . . I . . . . .Lyon — . . . . . . . . . . . . .Midi — . I . . . . .àAord — . . . t . . . . . . . . .Orléans — ......................Oacst — I . . . . I . . . . . .

YlUe de Paris.-ObUgaUcni. 1866 4 V..-. . . • . à . • . . . .1869 3 7 . . ...........................5871 ...........................-1875 4 Va.18 6 4 */.. a . . . . . . . . . . . . . . a1868 8 7 . ; . . . .Crédit Fonoiar.- ObligatlODS.Commvnatos 1879..................FoDO%r*i 1879.......................Commnnatov 1 8 8 0 . . . . . . . . . . .Fcndèr*il88).......................

— - 1 8 8 5 . . . . . . . . . . . . . .Mtaas d’or.

Bc Baars. . .Parrain. .............

Taleorfe dtvanaa.Roisa 1888. t . * Ho ntof......

BonrsaliiilUa.

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