cahier du participant - naturequebec.org · 19 h – 21 h accueil et remise des documents grand...
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Cahier du participant
Hôtel ChéribourgDisposition des salles
Jeudi 17 mars | 20 h 30 Assemblée du RMN
Vendredi 18 mars | 9 h 15 - 17 h 15 Formation approfondie Quel organisme dirigez-vous ? Celui d’hier ou de demain ?
Vendredi 18 mars | 9 h 15 - 17 h 15 Samedi 19 mars | 9 h 15 - 12 h 15
Formation approfondie | La conservation en terres privées : le chemin à parcourir pour négocier des ententes durables
Grande virée A B C
D
E
F
Vendredi 9 h 15 | Initiation aux options de conservation
Vendredi 15 h 45 | Municipalités et organismes locaux : une approche régionale de conservation et de concertation
Samedi 9 h 15 | Web 2.0 : tailler une place à votre organisation dans les réseaux sociaux
Vendredi 9 h 15 | Les dons de bienfaisance : à chacun ses privilèges et ses obligations
Vendredi 15 h 45 | Patrimoine vert : des outils pour lancer votre programme de dons planiés
Samedi 9 h 15 | L’utilisation de nouvelles catégories d’aires protégées pour une meilleure conservation
Samedi 19 mars | 13 h 45 - 15 h 15 Conférence de fermeture | Grandeurs et misères des muncipalités dans la conservation de la biodversité
Mot de bienvenuePausesKiosquesCocktail
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 i i i
19 h – 21 h Accueil et remise des documents Grand Foyer
20 h 30 Assemblée générale du Réseau de milieux naturels protégés Terrasse
1 jour Salle Terrasse 1 jour et demi Salle Grande-Coulée
VENDREDI 9 h 15 – 17 h 15
Quel organisme dirigez-vous ? Celui d’hier ou celui de demain ?
Paul Montminy
VENDREDI
9 h 15 – 17 h 15
SAMEDI
9 h 15 – 12 h 15
La conservation en terres privées : le chemin à parcourir pour négocier des ententes durables
Francine Hone et Terri Monahan
Salle Chéribourg Salles du Parc et Memphrémagog
9 h 15 11 h 45
Initiation aux options de conservation
Annie Gariépy Centre québécois du droit de l’environnement
Pause 10 h 15 à 10 h 45
Les dons de bienfaisance : à chacun ses privilèges et ses obligations
Aline Bolduc, conseillère en fiscalité Raymond Chabot Grant Thornton SENCRL
Pause 10 h 15 à 10 h 45
11 h 45 13 h 15
Dîner
13 h 15 15 h 15
GRANDE VIRÉE
Assistez à quatre présentations au choix parmi les suivantes VISITE D’UN MILIEU NATUREL
A | salle Chéribourg | Un projet écosystémique de protection d’espèces en péril dans le sud-ouest de la Montérégie | Priscilla Gareau | Ambioterra
B | salle du Parc | Les municipalités et les entreprises, des partenaires essentiels pour la conservation ! | Romy Bazo | Nature-Action Québec
C | salle Memphrémagog | Plan de protection des frayères à éperlan arc-en-ciel de la rivière Saguenay | Sébastien Cloutier | Comité ZIP Saguenay
D | salle Abénaquis | Conservation et mise en valeur de la biodiversité : guide d’accompagnement pour les intervenants et les producteurs agricoles | Alexandre Bélanger | Club agro-environnemental de la Rive-Nord
E | salle Montagnais | Mise sur pied d’un organisme de conservation : un cours d’eau source d’inspira-tion et d’action | Françoise Bricault et Élise Lacroix | Conservation des vallons de la Serpentine
F | salle Appalaches | Le Réseau d’observation sur la Route des Baleines : une expérience unique pour protéger les mammifères marins | Lucie Garon-Langelier | Comité ZIP de la rive nord de l’estuaire
G | Le marais de la Rivière-aux-Cerises : des écosystèmes riches et d’importance dans les Cantons-de-l’Est
Stéphanie Houde et Benoît Vaillancourt, Les amis du marais de la Rivière-aux-Cerises (LAMRAC)
La grande virée sur le terrain aura lieu cette année au
marais de la Rivière-aux-Cerises, situé au cœur même
du secteur le plus touristique de la région des Cantons-
de-l’Est, à mi-chemin entre le parc du Mont-Orford et le
lac Memphrémagog. Ce milieu naturel abrite des
habitats fauniques très intéressants, caractéristiques de
l’Estrie.
Inscription à l’accueil / Place limitées (15 personnes)
© Lamrac
i v C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
Salle Chéribourg Salles du Parc et Memphrémagog
11 h 45 13 h 15
Pause
15 h 45 17 h 15
Municipalités et organismes locaux : une approche régionale de conservation et de concertation
Mélanie Lelièvre et Marie-José Auclair, Corridor Appalachien
Patrimoine vert : des outils pour lancer votre programme de dons planifiés
Pierre M. Valiquette, Réseau de milieux naturels protégés
Salle Chéribourg Salles du Parc et Memphrémagog
9 h 15 12 h 15
Pause
10 h 15
10 h 45
Web 2.0 : tailler une place à votre organisation dans les réseaux sociaux
Diane Bourque, spécialiste du web
TABLE RONDE L’utilisation de nouvelles catégories d’aires protégées pour une meilleure conservation
Intervenants : Louise Gratton, Conservation de la nature Canada Louis Bélanger, Nature Québec Mélanie Gaudreault, ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs
Modérateur : Christian Simard, Nature Québec
12 h 15 13 h 45
Dîner
13 h 45 15 h 15
CONFÉRENCE DE FERMETURE Grandeurs et misères des municipalités dans la conservation de la biodiversité
Jean-François Girard, Centre québécois du droit de l’Environnement
© Nature Québec
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Message du comité organisateur
Chers participants,
Il nous fait plaisir de vous accueillir au pied du mont Orford pour les Ateliers sur la conservation des milieux naturels : Rendez-vous 2011.
Grâce à l'implication d’organismes communau-taires comme les vôtres, de nouveaux sites d'intérêt écologique sont protégés et mis en valeur chaque année. Votre engagement et vos actions contribuent de façon significative à la protection du patrimoine naturel du Québec pour le bénéfice de toute la population et des générations futures.
Il nous apparaît primordial de vous appuyer dans vos démarches de conservation, et c'est dans cet esprit que le programme des Ateliers a été élaboré. Cette année, nous avons le plaisir de vous présenter une nouvelle formule d’événement articulée autour de deux fils conducteurs : des outils innovants qui vous permettront de dynamiser vos stratégies de collecte de fonds et des mécanismes de concertation avec les municipalités, regards croisés pour mener à bien vos projets de conservation.
Pour aller en profondeur et suite aux suggestions des participants des années antérieures, deux formations spécialisées vous sont proposées. De plus, afin de favoriser les échanges, une table ronde sur l’utilisation de nouvelles catégories d’aires protégées vous est également proposée.
Notre objectif est toujours de vous présenter des outils pour vous aider à planifier et à réaliser vos projets de conservation, à les faire connaître, à bonifier vos partenariats et à diversifier vos sources de financement. Nous remercions particulièrement ceux et celles qui ont accepté de partager leur expertise et leur expérience lors de ces ateliers.
Cet événement représente aussi une occasion unique de rencontrer d'autres intervenants de la conservation provenant des quatre coins du Québec et d'étendre votre réseau de contacts. Nous espérons que le programme de cette année saura vous satisfaire et que les connaissances acquises porteront leurs fruits.
Bons Ateliers !
Le comité
1 Christine Bélanger | Fondation de la faune du
Québec | Tél. : (418) 644-7926 poste 123 |
2 Sophie Bérubé | Pêches et Océans Canada|
Tél. : (418) 775-0796 | [email protected]
3 Héloïse Fernandez | Nature Québec |
Tél. : (418) 648-2104 |
4 Danielle Lavoie | Fondation Hydro-Québec pour
l’environnement | Tél. : (514) 879-4100 poste 5812 |
5 Luc Robillard | Service canadien de la faune
d'Environnement Canada | Tél. : (418) 649-6136 |
6 Annie Simard | Ministère du Développement
durable, de l’Environnement et des Parcs |
Tél. : (418) 521-3907, poste 4573 |
7 Pierre Valiquette | Réseau de milieux naturels
protégés | Tél. : (514) 933-1558 |
2 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
VENDREDI 9 h 15 – 17 h 15 VENDREDI 9 h 15 – 17 h 15 SAMEDI 9 h 15 – 12 h 15
Salle Terrasse Salle Grande-Coulée
Quel organisme dirigez-vous ?
Celui d’hier ou de demain ?
Paul Montminy
La conservation en terres privées :
le chemin à parcourir pour négocier
des ententes durables
Francine Hone et Terri Monahan
Pauses au fil de l’événement
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Le vendredi 18 mars, de 9 h 15 à 17 h 15, salle Terrasse
Consei l ler en développement d’organismes à but non lucratif [email protected]
Après une dizaine d'années dans le domaine des
affaires culturelles (musées, parcs historiques
nationaux et Orchestre symphonique de Québec),
Paul Montminy a été directeur du Bureau du
soutien financier à l'Université Laval à l'occasion de
la grande campagne de souscription de 1984-1989,
puis adjoint au président du réseau de l'Université
du Québec. Il est travailleur autonome depuis
1993 et travaille à peu près exclusivement avec
des organismes à but non lucratif.
Les mandats qu’accepte monsieur Montminy sont
très variés et essentiellement définis par les
besoins des organismes avec lesquels il collabore :
recherchiste, animateur, conférencier, formateur,
rédacteur, coach, mentor, etc. Ses principaux
champs d’intervention sont le financement des
OBNL, la gestion des ressources humaines béné-
voles, le leadership des conseils d’administration, la
mise sur pied et le développement de fondations,
les investissements socialement responsables, la
stratégie organisationnelle, l’innovation sociale.
Parmi ses réalisations récentes, il a conçu et mis
sur pied la structure organisationnelle du Lieu de
mémoire habité des Augustines et accepté de siéger
au conseil d’administration de la première fiducie
sociale d’utilité publique au Québec dont le
mandat est de protéger à perpétuité un patrimoine
culturel à la fois tangible (mobilier et immobilier)
et intangible.
Résumé de la formation
Qui d’entre nous pourrait prétendre que la
bataille qu’il mène depuis quelques années déjà
n’aura bientôt plus raison d’être... car le
« problème » sera réglé et disparu ? La pérennité
des causes que nous défendons n’exige-t-elle pas
son parallèle dans la pérennité des moyens de
nos organismes ? Pourquoi notre organisation ne
serait-elle pas fondée sur les mêmes principes de
développement durable que ceux que nous
prônons si vigoureusement pour notre
environnement ? Nos organisations ne sont-elles
pas des « organismes » vivants ?
Le fil directeur de l’atelier sera celui du
développement durable appliqué aux organismes
en environnement. Nous apprendrons à
concevoir puis à rédiger une vision de l’avenir
désirable pour notre organisme. Nous
examinerons ensuite les rôles et responsabilités
des dirigeants (notamment les membres du
conseil d’administration) dans trois domaines.
La première grande responsabilité des dirigeants
d’organismes s’apparente à l’une des lois
naturelles les plus célèbres — l’évolution des
espèces par la sélection naturelle des organismes
les mieux adaptés aux changements. Le débat en
rencontre plénière, portant sur la gouvernance
fondée soit sur la mission (les créationnistes),
soit sur les savoirs (les évolutionnistes), promet
d’être animé !
Nous passerons un peu plus de temps sur la
deuxième responsabilité des conseils d’adminis-
tration, l’acquisition et le renouvellement des
ressources humaines, et sur la troisième, l’acqui-
sition de ressources financières ou matérielles
pérennes. Pour ces deux chantiers, les partici-
pants commenceront sur place à structurer leur
plan stratégique afin rendre possible la vision
qu’ils auront élaborée plus tôt dans la journée.
4 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1
É v a l u a t i o n d e s a t e l i e r s
1 = Totalement en désaccord
2 = En désaccord
3 = En accord
4 = Totalement en accord
Par souci d'amélioration, les
organisateurs de cet événement
souhaitent connaître vos
commentaires sur chacun des
ateliers de formation. Ainsi, nous
vous serions reconnaissants de
remplir une fiche d'évaluation
après chaque atelier.
Merci du temps que vous
accorderez à l'amélioration
de cet événement!
Désaccord »»» Accord
1 2 3 4
De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
1 2 3 4
Le formateur est à l’aise avec le sujet traité.
Le formateur utilise des moyens didactiques appropriés.
Le formateur répond adéquatement aux questions.
1 2 3 4
Les informations reçues correspondaient à la description de l’atelier inscrit au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise par le formateur me sera utile.
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Le vendredi 18 mars, de 9 h 15 à 17 h 15, salle Grande-Coulée
Le samedi 19 mars, de 9 h 15 à 12 h 15, salle Grande-Coulée
Biologiste en conservation [email protected]
Diplômée en biologie de l’Université York de Toronto, Francine Hone travaille dans le domaine de la conservation des milieux naturels depuis plus de 25 ans. Elle a consacré une grande partie de son travail à concevoir, développer et mettre en œuvre des projets de conservation, notamment pour les secteurs privé et public, dont le Service canadien de la faune d’Environnement Canada où elle a travaillé pendant 13 ans. Au cours de ces années, elle a favorisé le développement de nouvelles approches en conservation au Québec, parmi lesquelles la conservation volontaire sur terres privées. De plus, elle a soutenu plusieurs organismes locaux dans leurs démarches d’intendance privée auprès de propriétaires et d’intervenants locaux et régionaux, ce qui a permis de préserver à long terme un grand nombre de milieux naturels exceptionnels.
Aujourd’hui, en plus d’être consultante en conservation, elle œuvre toujours auprès de plusieurs organismes de conservation. Elle est co-fondatrice de l’organisme Corridor appalachien, un organisme reconnu en 2003 par le ministère de du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs du Québec, pour sa contribution à la sauvegarde de la biodiversité du territoire. En 2007, elle a reçu le prix Femmes de la Terre (Fondation Yves Rocher) pour l’ensemble de son travail en conservation de la nature.
Consultante en conservation [email protected]
Diplômée en communication de l’Université Concordia, détentrice d’un certificat en écologie de l’Université du Québec à Montréal et d’un certificat d’agent immobilier affilié, Terri Monahan œuvre à la conservation des milieux naturels depuis plus de 10 ans. En tant que co-fondatrice de l’organisme Corridor appalachien, elle a participé au développement et à la mise en œuvre d’une stratégie de conservation transfrontalière et en a assuré la gestion à titre de directrice générale au cours des premières années. Depuis les six dernières années, elle a agi à titre de consultante auprès de nombreux organismes de conservation, dont Corridor appalachien, Conservation de la Nature Canada et plusieurs organismes locaux, ce afin de mener à terme des dossiers de conservation. Sa connaissance de la démarche de conservation et son expertise dans le domaine des transactions immobilières, en plus de la négociation d’ententes légales, lui ont permis de conclure des ententes de conservation pour plus d’une centaine de dossiers, et ce avec de nombreux propriétaires.
Résumé de la formation
Cette formation permettra aux participants d’approfondir leurs connaissances de la démarche nécessaire
à la négociation d’ententes légales de conservation sur terres privées. La matière sera présentée sous
forme théorique et appuyée par des mises en situation reflétant des expériences concrètes. Les principaux
thèmes abordés seront les suivants :
1. Démarche générale à suivre dans un dossier de conservation (recherche d’informations, arpentage,
évaluation de la juste valeur marchande, recherche de titres, etc.).
2. Compréhension du droit immobilier dans le contexte d’un dossier de conservation (donation, option
d’achat, acte de vente ou de servitude, etc.).
3. Approche auprès du propriétaire.
6 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
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É v a l u a t i o n d e s a t e l i e r s
1 = Totalement en désaccord
2 = En désaccord
3 = En accord
4 = Totalement en accord
Par souci d'amélioration, les
organisateurs de cet événement
souhaitent connaître vos
commentaires sur chacun des
ateliers de formation. Ainsi, nous
vous serions reconnaissants de
remplir une fiche d'évaluation
après chaque atelier.
Merci du temps que vous
accorderez à l'amélioration
de cet événement!
Désaccord »»» Accord
1 2 3 4
De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
1 2 3 4
Les formatrices sont à l’aise avec le sujet traité.
Les formatrices utilisent des moyens didactiques appropriés.
Les formatrices répondent adéquatement aux questions.
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Les informations reçues correspondaient à la description de l’atelier inscrit au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise par les formatrices me sera utile.
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VENDREDI 9 h 15 – 11 h 45
Salle Chéribourg Salles du Parc et Memprémagog
Initiation aux options de conservation
Annie Gariépy
Centre québécois du droit de
l’environnement
Les dons de bienfaisance : à chacun ses
privilèges et ses obligations
Aline Bolduc, conseillère en fiscalité
Raymond Chabot Grant Thornton
SENCRL
Pause 10 h 15 – 10 h 45
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Le vendredi 18 mars, de 9 h 15 à 11 h 45, salle Chéribourg
Avocate, Centre québécois du droit de l’environnement meagariepy@gmail .com
Me Annie Gariépy est membre du Barreau depuis
2003. Elle a complété une double formation à
l’Université du Québec à Montréal en droit (2000)
et en biologie, option écologie (1996). Elle est
présidente du Centre de recherche et d’information
en droit de l’environnement, un organisme partenaire
du CQDE, depuis 2001. Elle est également admi-
nistratrice de CIME Haut-Richelieu qui œuvre à la
protection de l’habitat du Mont-Saint-Grégoire.
Me Gariépy pratique actuellement en droit de
l’environnement et de l’énergie. Dans le cadre de
sa pratique, elle représente les intérêts
d’organisme qui font la promotion du
développement durable et sont préoccupés par
l’environnement. À titre d’administratrice et
d’employée, elle a œuvré au Centre québécois du
droit de l’environnement (CQDE) pendant près de
10 ans, où elle a occupé le poste de
coordonnatrice Conservation et biodiversité entre
2002 et 2006. Elle a conçu et réalisé le Programme
de formation en intendance privée du CQDE.
Conférencière et formatrice, elle a aussi œuvré
comme analyste juridique à des questions touchant
l’énergie, le statut de l’eau, l’agriculture et les sols
contaminés.
Résumé de l’atelier
L’Atelier introductif aux ententes de conservation
est destiné aux organismes qui ont pris la décision
d’utiliser l’intendance privée pour atteindre leurs
objectifs de conservation d’un milieu naturel. Il
s’adresse également à tous ceux qui veulent
parfaire leur compréhension des outils juridiques
qui s’offrent à eux pour mener à bien leur projet
de conservation. Il s’agit également d’une occasion
de mise à niveau concernant la conservation
volontaire pour les nouveaux représentants
d’organismes déjà initiés aux options de
conservation.
Grâce à une revue comparative des principales
ententes de conservation dont, notamment, la
vente ou la donation, les servitudes de conservation, la
réserve naturelle, voire la fiducie d’utilité sociale, cet
atelier permettra de mieux saisir la nature et la
portée de chaque entente.
Par exemple :
Quelles sont les caractéristiques propres
à chaque option de conservation.
Quels sont les points forts et les lacunes
de chaque option de conservation.
Quelles sont les exigences juridiques et
pratiques reliées à chaque option.
À l’aide de mises en situation, l’atelier aidera le
participant à entrevoir les multiples possibilités
que permet l’utilisation éclairée des différentes
options de conservation.
10 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
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É v a l u a t i o n d e s a t e l i e r s
1 = Totalement en désaccord
2 = En désaccord
3 = En accord
4 = Totalement en accord
Par souci d'amélioration, les
organisateurs de cet événement
souhaitent connaître vos
commentaires sur chacun des
ateliers de formation. Ainsi, nous
vous serions reconnaissants de
remplir une fiche d'évaluation
après chaque atelier.
Merci du temps que vous
accorderez à l'amélioration
de cet événement!
Désaccord »»» Accord
1 2 3 4
De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
1 2 3 4
La formatrice est à l’aise avec le sujet traité.
La formatrice utilise des moyens didactiques appropriés.
La formatrice réponde adéquatement aux questions.
1 2 3 4
Les informations reçues correspondaient à la description de l’atelier inscrit au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise par la formatrice me sera utile.
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 11
Le vendredi 18 mars, de 9 h 15 à 11 h 45, salles du Parc et Memphrémagog
Conseillère principale en fiscalité Raymond Chabot Grant Thornton SENCRL bolduc.al [email protected]
Conseillère en fiscalité chez Raymond Chabot
Grant Thornton SENCRL depuis 1986, mon
expérience de travail est le reflet de notre
clientèle très diversifiée. En bref, mon intervention
est effectuée au niveau de particuliers, de sociétés,
de succession, d’organismes à but non lucratif et
œuvres de bienfaisance. Au cours des années j’ai
pu développer une expertise concernant les
entreprises en agriculture et les organismes de
bienfaisance, ces deux types d’organismes étant
nombreux dans notre belle région.
Résumé de l’atelier
Cet atelier présente une revue détaillée des
obligations et avantages fiscaux, tant du point de
vue de l’organisme de bienfaisance (donataire) que
de celui du contribuable (donateur).
Les quatre grandes catégories pour fins de
bienfaisance reconnues par les tribunaux seront
passées en revue, ainsi que la notion fondamentale
de ce qu’est un « don ».
L’atelier présentera les différentes obligations et
exigences de production qui sont applicables aux
organismes de bienfaisance selon leur statut
juridique, ainsi que les conséquences importantes
d’un non respect de telles exigences.
Des exemples et des tableaux synthèse des crédits
et déductions applicables selon la nature des dons
effectués et selon le statut du donateur seront
présentés. Il y aura discussion concernant les
particularités applicables dans l’année de décès
d’un particulier.
Finalement le programme de don écologique sera
abordé en détail quant à la définition d’un bien
écologique, celle des donataires admissibles aux
dons, ainsi que par une revue des avantages fiscaux
spécifiques au programme.
12 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1
É v a l u a t i o n d e s a t e l i e r s
1 = Totalement en désaccord
2 = En désaccord
3 = En accord
4 = Totalement en accord
Par souci d'amélioration, les
organisateurs de cet événement
souhaitent connaître vos
commentaires sur chacun des
ateliers de formation. Ainsi, nous
vous serions reconnaissants de
remplir une fiche d'évaluation
après chaque atelier.
Merci du temps que vous
accorderez à l'amélioration
de cet événement!
Désaccord »»» Accord
1 2 3 4
De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
1 2 3 4
La formatrice est à l’aise avec le sujet traité.
La formatrice utilise des moyens didactiques appropriés.
La formatrice réponde adéquatement aux questions.
1 2 3 4
Les informations reçues correspondaient à la description de l’atelier inscrit au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise par la formatrice me sera utile.
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 13
Le vendredi 18 mars, de 13 h 15 à 15 h 15
À 6 tables différentes, des représentants de 6 organismes présentent simultanément leur projet ou leur outil de conservation. Chaque exposé dure 25 minutes, après quoi les participants changent de table pour entendre une présentation différente.
Choisissez 4 présentations parmi les suivantes. Pour faciliter votre choix, référez-vous aux résumés disponibles aux pages 18 à 21.
VENDREDI 13 h 15 – 15 h 15
En rotation Visite d’un milieu naturel
A | Un projet écosystémique de
protection d’espèces en péril dans le sud-
ouest de la Montérégie
Priscilla Gareau, Ambioterra
B | Les municipalités et les entreprises,
des partenaires essentiels pour la
conservation !
Romy Bazo, Nature-Action Québec
C | Plan de protection des frayères à
éperlan arc-en-ciel de la rivière Saguenay
Sébastien Cloutier, Comité ZIP
Saguenay
D | Conservation et mise en valeur de
la biodiversité : guide d’accompagnement
pour les intervenants et les producteurs
agricoles
Alexandre Bélanger,
Club agro-environnemental de la Rive-
Nord
E | Mise sur pied d’un organisme de
conservation : un cours d’eau source
d’inspiration et d’action
Françoise Bricault,
Conservation des vallons de la Serpentine
F | Le Réseau d’observation sur la Route
des Baleines : une expérience unique
pour protéger les mammifères marins
Lucie Garon-Langelier,
Comité ZIP de la rive nord de l’estuaire
G | Le marais de la Rivière-aux-Cerises :
des écosystèmes riches et d’importance
dans les Cantons-de-l’Est
Stéphanie Houde et Benoît
Vaillancourt
Les Amis du marais de la Rivière-aux-
Cerises (LAMRAC)
Inscription obligatoire à l’accueil.
Places limitées.
14 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
Mon premier choix :
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 15
Mon deuxième choix :
16 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
Mon troisième choix :
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 17
Mon quatrième choix :
18 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
Le vendredi 18 mars, de 13 h 15 à 15 h 15
Depuis 2009, Ambioterra a mis sur pied un projet de conservation volontaire dans le bassin
versant de la rivière des Anglais afin de protéger la biodiversité en général, et plus
spécifiquement une espèce de poisson en péril : le fouille-roche gris. Au Canada, cette espèce
est protégée en vertu de la Loi sur les espèces en péril, alors qu’au Québec elle est protégée
en vertu de la Loi sur les espèces menacées et vulnérables. Plusieurs autres espèces menacées
ou susceptibles de l’être bénéficient de ce projet : barbotte des rapides, anguille d'Amérique,
tête rose, salamandre sombre des montagnes, salamandre pourpre, couleuvre tachetée,
couleuvre à collier, ail des bois, noyer cendré et le pin rigide.
Le projet comporte plusieurs volets : inventaire de poissons, caractérisation de l’habitat,
sensibilisation, activités d’intendance et de recherche, diagnostic environnemental,
restauration et protection de l’habitat. À long terme, il permettra de créer de nouvelles aires
protégées en milieu privé et un plan de conservation écosystémique pour le fouille-roche gris
dans le bassin versant de la rivière des Anglais.
Depuis 2007, Nature-Action Québec a réussi à protéger à perpétuité 290 hectares des milieux
naturels en zone périurbaine dans la plaine du Saint-Laurent. Cette réussite est le résultat du
travail de concertation avec les acteurs locaux (municipalités et entreprises privées), de
patients efforts de persuasion et du changement de mentalités.
Nous vous présentons ici deux résultats concrets de démarches entamées pour
l’acquisition/donation des milieux naturels riches en biodiversité. Les facteurs suivants ont
contribué au succès du projet :
implication de la municipalité au niveau financier et stratégique ;
bonne volonté d’un promoteur immobilier ;
engagement financier des entreprises privées autour du milieu ;
donation de compagnie ;
désir et persévérance d’un organisme de conservation.
À travers ces 2 cas réels, nous voulons partager avec vous notre expérience, nos ‘trucs’ pour
vendre, négocier, concerter et CONVAINCRE nos partenaires. Vous êtes intéressés à savoir
comment nous avons réussi à changer la mentalité d’une municipalité pour sauver 12 hectares
des milieux naturels d’un développement domiciliaire imminent ? Comment nous avons fait
pour convaincre 6 compagnies à faire de dons écologiques ? Comment nous avons fait pour
convaincre une municipalité de nous donner le fonds de gestion pour chaque propriété
acquise ? Comment nous avons réussi un montage financier de 2 millions de dollars ?
Et beaucoup plus !
Je vous invite à participer à cette présentation et à partager également vos bons coups !
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 19
La rivière Saguenay est une des plus grandes rivières du Québec. La Ville de Saguenay,
5e conurbation québécoise, est établie en bordure de la section de rivière appelée Moyen
Saguenay. Le Moyen Saguenay a récemment été identifié en tant qu’unique lieu de
rassemblement et de frai de l’éperlan arc-en-ciel du Saguenay. L’éperlan constitue la base de
la chaîne alimentaire de la rivière Saguenay et il est aussi pêché sportivement. Les activités de
pêche hivernale représentent à elles seules plus de 4 M$ annuellement en retombées
économiques régionales. Or, en plus d’être localisé en zone urbaine, le Moyen Saguenay draine
un bassin hydrographique fortement influencé par les activités humaines.
Cet état de fait préoccupant a motivé l’initiation du projet Bilan des connaissances du plan de
protection des frayères à éperlan arc-en-ciel de la rivière Saguenay par le Comité ZIP
Saguenay. Ce projet vise à dresser un portrait de la situation actuelle en fonction des
connaissances les plus à jour concernant l’éperlan arc-en-ciel du Saguenay. Ce bilan est la
composante initiale d’un exercice de concertation qui met en commun les expériences et
expertises de tous afin de cerner les enjeux et proposer des solutions afin d’assurer la
pérennité de l’habitat de reproduction de l’éperlan arc-en-ciel du Saguenay.
Dans le cadre du programme de mise en valeur de la biodiversité des cours d’eau agricoles
2005-2010, programme mis en place par la Fondation de la faune du Québec et l’Union des
producteurs agricoles, un réseau de 10 projets par bassin versant a su mobiliser et sensibiliser
plus de 500 producteurs agricoles. Issus de régions agricoles différentes, ils ont initié et
contribué à l’amélioration de la qualité des écosystèmes riverains et aquatiques par bassins
versants. La réalisation de ce vaste chantier de 9 millions de dollars a permis de mettre en
place des pratiques agricoles bénéfiques, l’aménagement d’ouvrages de lutte à la pollution
diffuse et la conservation de la faune et de la flore en milieu agricole.
À la suite de cette expérience enrichissante et prometteuse pour l’avenir, les promoteurs et
coordonnateurs de projet ont élaboré un manuel d’accompagnement pour la mise en œuvre
d’un projet. Maintenant disponible, ce nouvel outil vise à informer et accompagner les
intervenants qui souhaiteraient amorcer et mettre en œuvre un projet de gestion intégrée de
l’eau en milieu agricole. En atelier, nous vous proposons de regarder et d’analyser les
principaux facteurs de réussite de ces projets.
20 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
Conservation des vallons de la Serpentine est une association qui a vu le jour en 2006. Notre
mission est de protéger à perpétuité les milieux naturels de notre territoire situé en Estrie, au
cœur du corridor appalachien. Afin d’atteindre cet objectif, nous avons opté pour le moyen le
plus accessible aux propriétaires privés : le don de servitudes de conservation. En 2008,
l’obtention de notre statut d’organisme de bienfaisance nous a permis de bénéficier d’un outil
financier essentiel, le visa fiscal pour don écologique. Nous avons pu acquérir notre premier
terrain, un fonds dominant, auquel se sont rajoutées des servitudes de conservation. Notre
action trouve tout son sens dans l’affiliation que nous avons avec d’autres organismes comme
le nôtre, créant plusieurs noyaux de conservation afin de former un corridor sur la chaîne des
Appalaches.
L’objectif de cet atelier est de faire ressortir les points forts de notre succès, par un historique
de sa création. Nous identifions les actions considérées comme incontournables, ainsi que ce
qui est propre à notre cheminement. Nous partagerons aussi ce que nous considérons
représenter nos défis pour assurer la pérennité de notre association. Nous espérons que le
témoignage de notre expérience saura aider ou inspirer d’autres personnes pour l’amorce et la
poursuite d’une action similaire.
Dans un contexte où tout est mis en branle afin que l’achalandage touristique régional soit en
croissance, le Comité ZIP de la rive nord de l’estuaire et ses partenaires (Parc national du
Saguenay, Parc marin du Saguenay−Saint-Laurent, ATR Manicouagan, Pêches et Océans Canada,
MRC de La Haute-Côte-Nord, GREMM, ROMM et Route bleue des baleines) se sont préoccupés de
l’impact d’une éventuelle augmentation du tourisme en Haute Côte-Nord et en Manicouagan
sur les mammifères en péril. En effet, l’intérêt de la clientèle touristique est majoritairement
tourné vers l’observation des mammifères marins et les activités d’observation en mer
constituent, de ce fait, une industrie florissante.
Cet engouement s’explique par la proximité du territoire à l’estuaire maritime qui est
hautement fréquenté par plusieurs mammifères marins. Cette vaste région constitue d’ailleurs
un habitat essentiel à plusieurs espèces pour la réalisation d'activités assurant leur survie et
leur rétablissement. Le Réseau d’observation sur la Route des Baleines est né dans le but de
minimiser le dérangement des mammifères marins en péril par la valorisation de l’observation
à partir de la rive. Ce réseau est une activité éco-responsable qui s’étend sur 517 kilomètres de
littoral et qui met en valeur 12 sites d’observation aménagés entre Sacré-Cœur et Baie-Trinité.
Un guide, un audioguide et un site Web ont été créés de façon concertée afin de diffuser
l’information et promouvoir le Réseau. De plus, le contenu de ces outils permet une
sensibilisation efficace de la clientèle face aux bons comportements à adopter visant la
protection des mammifères marins. Ils permettent également d’avoir une portée locale,
provinciale et même, internationale. Laissez-vous séduire par cette expérience unique avec les
mammifères marins !
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 21
Le vendredi 18 mars, de 13 h 15 à 15 h 15
Le marais de la Rivière aux Cerises, situé au cœur de la ville de Magog, comporte une histoire
impressionnante. Sa formation date de l’ère glaciaire. Sa visite guidée permettra aux
participants de se familiariser avec le regroupement de ses différents écosystèmes : le Marais.
Constitué de quatre milieux naturels différents soit le boisé, le marécage, le marais et la
tourbière, cet environnement favorise la diversité de centaines d’espèces animales et
végétales qui pourront être observées durant la visite.
Les différents aménagements installés sur le site au fil des années favorisent l’accès, mais
également la compréhension des visiteurs de ce milieu : sentiers sur pilotis, terrasse couverte,
tour d’observation, panneaux informatifs, etc. Toujours dans une perspective d’éducation,
l’organisme offre des classes nature aux jeunes de la région en été et reçoit régulièrement des
groupes scolaires. De plus, des services inusités sont offerts sur le site : des visites guidées en
kayak ou en canot, une visite audio guidée et un rallye.
Avec l’ouverture au printemps 2011 du Centre d’interprétation du Marais (CIM), LAMRAC
élargira ses fonctions en devenant une attraction touristique unique à saveur éducative sur le
territoire de Magog. Construit selon les principes de l’architecture verte, le bâtiment respecte
l’harmonie et le rythme de la nature en s’inspirant de la physionomie et du fonctionnement
d’une cellule végétale. L’exposition « Destination marais : Suivez le guide! » est présentée de
façon permanente et met en scène le monde mystérieux des créatures du Marais. Une
boutique, un café et une salle en location pour différents événements sont également offerts.
22 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
VENDREDI 15 h 45 – 17 h 15
Salle Chéribourg Salles du Par cet Memprémagog
Municipalités et organismes locaux :
une approche régionale de conservation
et de concertation
Mélanie Lelièvre et Marie-Josée Auclair
Corridor appalachien
Patrimoine vert : des outils pour lancer
votre programme de dons planifiés
Pierre M. Valiquette
Réseau de milieux naturels protégés
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 23
Le vendredi 18 mars, de 15 h 45 à 17 h 15, salle Chéribourg
Directrice générale Corridor appalachien melanie. lel [email protected]
Tél . : 450 242-1125
Mélanie Lelièvre participe au développement de l'ensemble des activités du Corridor appalachien. En tant que directrice générale, elle contribue directement à la coordination de projets spécifiques, administre la gestion des ressources humaines et financières, contribue au rayonnement de l'organisation et au développement de partenariats. Mélanie a de fortes compétences en gestion d’organismes et de projets environnementaux. Avant de joindre les rangs du Corridor appalachien, elle a occupé divers postes de direction, notamment au sein d’une grande entreprise de services environnementaux où elle dirigeait une équipe de cinq directeurs et vingt-cinq professionnels. Agronome de formation, spécialisée en agriculture biologique, c’est avant tout la protection de l’environnement et la biologie qui l’ont attiré au sein du Corridor appalachien.
Présidente Corridor appalachien [email protected]
Marie-José Auclair se consacre depuis une trentaine d’années à la protection de l’environnement. Elle maîtrise bien les enjeux de la gestion environnementale au Québec et a acquis une solide expérience dans la communication scientifique. Au sein d’Environnement Canada (1981 à 2000), elle a œuvré en études d’impact sur l’environnement et a produit les bilans sur l’état du Saint-Laurent, notamment dans le programme d’implication communautaire ZIP.
En 2004 et 2005, et depuis septembre 2008, elle est commissaire additionnel au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement du Québec (BAPE). Elle a rédigé une cinquantaine de publications et avis scientifiques touchant la protection de l’environnement et l’écotourisme.
Elle préside Corridor appalachien, un organisme voué à la conservation des habitats naturels des Montagnes Vertes. Depuis le printemps 2010, elle est vice-présidente en Environnement et responsabilité sociale chez Trebora Conseil, une firme qui offre un service d’accompagnement auprès des organisations qui désirent intégrer les principes d’une gouvernance durable au sein de leurs activités.
Résumé de la formation
Grâce à des résultats concrets en faveur de la conserva- tion des milieux naturels (plus de 9000 ha en 2010) obtenus depuis le début du projet, Corridor appalachien a suscité un intérêt grandissant pour la conservation chez de nombreux propriétaires. Cet intérêt se traduit par une augmentation de la superficie protégée, soit par des acquisitions, des donations de propriétés ou de servi-tudes, ou l’application d’un statut de réserve naturelle.
Un des principaux facteurs de réussite du projet du corridor appalachien réside sans aucun doute dans l’étroite collaboration entre Corridor appalachien et les groupes locaux de conservation (les « membres affiliés »). Plus qu’un simple partenariat, cette relation Corridor appalachien / membres affiliés en est une d’entraide mutuelle et de synergie.
Fort de cette façon de fonctionner, Corridor appalachien a su, au fil du temps, tirer le meilleur parti des partenariats et transposer cette façon de faire dans ses relations avec d’autres acteurs présents sur son territoire, en l’occurrence les municipalités qui voient un intérêt grandissant à
préserver des milieux fragiles ainsi que la beauté des paysages.
Bien entendu, la collaboration entre les groupes de conservation et les municipalités n’est pas nécessairement « naturelle » ou spontanée. Les visions quant au développement diffèrent parfois entre ces deux entités mais, heureusement, de nombreux objectifs communs peuvent paver la voie d’une collaboration gagnante pour le plus grand bénéfice de l’ensemble des communautés.
Cette conférence aborde de façon centrale le thème de « la collaboration avec les municipalités ». À l’aide de différents exemples et situations, les conférencières exposent quelques cas types de partenariats que Corridor appalachien a vécu récemment. Les exemples fournis et l’angle abordé vous amèneront à saisir les facteurs de succès d’une collaboration gagnante qui pourront ensuite être transférés comme pistes de collaboration dans vos organisations respectives.
24 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
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É v a l u a t i o n d e s a t e l i e r s
1 = Totalement en désaccord
2 = En désaccord
3 = En accord
4 = Totalement en accord
Par souci d'amélioration, les
organisateurs de cet événement
souhaitent connaître vos
commentaires sur chacun des
ateliers de formation. Ainsi, nous
vous serions reconnaissants de
remplir une fiche d'évaluation
après chaque atelier.
Merci du temps que vous
accorderez à l'amélioration
de cet événement!
Désaccord »»» Accord
1 2 3 4
De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
1 2 3 4
Les formatrices sont à l’aise avec le sujet traité.
Les formatrices utilisent des moyens didactiques appropriés.
Les formatrices répondent adéquatement aux questions.
1 2 3 4
Les informations reçues correspondaient à la description de l’atelier inscrit au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise par les formatrices me sera utile.
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 25
Le vendredi 18 mars, de 15 h 45 à 17 h 15, salles du Parc et Memphrémagog
Conseiller en planification Administrateur du Réseau de milieux naturels protégé[email protected]
Pierre M. Valiquette est architecte paysagiste.
Il possède une solide expérience dans la
planification de la conservation des milieux
naturels en territoire urbanisé. Depuis 1976, il
réalise des mandats en utilisant l’approche du
développement durable. Il propose régulièrement
le concept d'intendance communautaire, orienté
vers la collaboration entre les intervenants privés,
publics et communautaires, pour réaliser des
projets de protection et de mise en valeur de
milieux naturels et patrimoniaux. Pierre M.
Valiquette est un des animateurs du projet « Give
Green Canada / Patrimoine vert » pour augmenter
la philanthropie verte au Québec et au Canada.
Résumé de l’atelier
Si vous êtes épuisés par la recherche constante de
revenus pour vos besoins opérationnels, le don
planifié vous offre la possibilité d’obtenir du
financement récurrent. L’avantage majeur d’un
programme de dons planifiés est qu’il constitue la
méthode la plus efficiente de générer des revenus
pour votre organisme !
Comme organisme de conservation, vous protégez
des milieux naturels, des milieux de vie. C’est
votre engagement, votre mission. Une donation
s’obtient en communiquant votre passion et votre
vision à des donateurs. Parce qu’ils partagent et
veulent soutenir ce que vous faites , ces derniers
peuvent faire des dons majeurs d’actifs, en sus de
leurs dons réguliers. Ce sont des dons planifiés.
Au cours des 10 dernières années, les organismes
environnementaux ont identifié le manque de
fonds récurrents comme la principale barrière à la
réalisation de leur mission. Les organismes qui
concentrent leurs efforts sur du financement par
projets ne bénéficient pas de la source de fonds
récurrente que fournit le don planifié.
Patrimoine vert a été créé afin d’aider les
organismes environnementaux et de conservation
à augmenter la participation des donateurs au
soutien de leur mission à partir de dons planifiés.
Pas besoin d’être un expert. Il ne faut que
commencer !
26 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1
É v a l u a t i o n d e s a t e l i e r s
1 = Totalement en désaccord
2 = En désaccord
3 = En accord
4 = Totalement en accord
Par souci d'amélioration, les
organisateurs de cet événement
souhaitent connaître vos
commentaires sur chacun des
ateliers de formation. Ainsi, nous
vous serions reconnaissants de
remplir une fiche d'évaluation
après chaque atelier.
Merci du temps que vous
accorderez à l'amélioration
de cet événement!
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De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
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Le formateur est à l’aise avec le sujet traité.
Le formateur utilise des moyens didactiques appropriés.
Le formateur répond adéquatement aux questions.
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Les informations reçues correspondaient à la description de l’atelier inscrit au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise par le formateur me sera utile.
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SAMEDI 9 h 15 – 12 h 15
Salle Chéribourg Salles du Par cet Memprémagog
Web 2.0 : tailler une place à votre
organisation dans les réseaux sociaux
Diane Bourque
Spécialiste web
TABLE RONDE | L’utilisation de
nouvelles catégories d’aires protégées
pour une meilleure conservation
Intervenants : Louise Gratton, Conservation de la nature Canada Louis Bélanger, Nature Québec Mélanie Gaudreault, ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs
Modérateur : Christian Simard, Nature Québec
Pause 10 h 15 – 10 h 45
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 29
Le samedi 19 mars, de 9 h 15 à 12 h 15, salle Chéribourg
Spécialiste [email protected] Tél. : 514 240-2114
Diane Bourque est spécialiste Web et travaille à
son propre compte. Elle se spécialise dans
WordPress, les réseaux sociaux et la formation
Web. Diane a travaillé 20 ans dans le domaine
judiciaire et se propose de passer les
20 prochaines à participer au Web dynamique. Elle
est détentrice d'un baccalauréat en musique et
d'un baccalauréat en droit. Elle vit à Montréal
depuis 1993, mais est native de Bouctouche au
Nouveau-Brunswick. Elle a créé mon premier site
Web en 1995 et a, par la suite, géré différents
projets Web.
Depuis 2006, elle offre des services Web. Elle
travaille avec des entreprises, organismes et
professionnels qui veulent prendre une place sur le
Web qui soit transparente, pertinente et
dynamique. Elle leurs offre des solutions pour leur
présence Web dans les réseaux sociaux et les
accompagne dans leur compréhension du Web
dynamique. Elle leur apprend à écouter, parler,
interagir et communiquer sur le Web. Diane crée
des sites Web sur la plateforme WordPress ce qui
permet au client de gérer le contenu de son site
Web de façon autonome. Elle donne aussi de la
formation Web pour débutants, intermédiaires et
avancés.
Résumé de l’atelier
Le Web social fait principalement interagir entre
eux des utilisateurs qui partagent les mêmes
intérêts. En découle une diffusion continue de
contenus pertinents au sein d'une communauté
d'intérêts qui, aussi virtuelle soit-elle, prend ses
racines dans l'activité humaine.
Les réseaux sociaux nous sont maintenant
familiers : Twitter pour communiquer et suivre
des discussions dans un domaine d’expertise
donné ; Facebook pour rejoindre sa communauté
et l'amener à interagir avec son contenu ; LinkedIn
pour réseauter avec des professionnels et
rejoindre des groupes de discussion ; et
finalement, YouTube, SlideShare et Flickr pour
complémenter les précédents.
Fil RSS ? Clés API ? Applications pour Twitter,
Facebook et LinkedIn ? Comment faites-vous
interagir votre contenu dans la Toile ? Avez-vous
une communauté Web ? Connaissez-vous les dix
étapes à suivre pour la mettre sur pied ? Avez-vous
un gestionnaire de contenu ?
Cet atelier abordera ces différentes questions et
mettra en lumière les chassés-croisés entre
communications, relations publiques et marketing
à l'ère du Web 2.0. Exit les discours traditionnels
en silo : on utilise désormais la Toile pour
communiquer, interagir et vendre, tout ça à la fois.
Tailler une place pertinente, transparente et
intéressante à votre organisme dans l'univers
merveilleux des réseaux sociaux vous intéresse ?
Cet atelier est pour vous.
30 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1
É v a l u a t i o n d e s a t e l i e r s
1 = Totalement en désaccord
2 = En désaccord
3 = En accord
4 = Totalement en accord
Par souci d'amélioration, les
organisateurs de cet événement
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commentaires sur chacun des
ateliers de formation. Ainsi, nous
vous serions reconnaissants de
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Merci du temps que vous
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Désaccord »»» Accord
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De façon globale, je suis satisfait(e) de cet atelier.
L’atelier était bien structuré et facile à suivre.
La formation me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
1 2 3 4
La formatrice est à l’aise avec le sujet traité.
La formatrice utilisent des moyens didactiques appropriés.
La formatrice répondent adéquatement aux questions.
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Les informations reçues correspondaient à la description de l’atelier inscrit au programme.
Le contenu de l’atelier a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise par la formatrice me sera utile.
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 31
Le samedi 19 mars, de 9 h 15 à 12 h 15, salles du Parc et Memphrémagog
Conservation de la nature Canada [email protected]
Louise Gratton est écologiste et détient une maîtrise en biologie de l’UQAM (1981). À l’emploi
de Conservation de la Nature du Canada depuis
2001, elle agit comme directrice de la science pour
la région du Québec. Elle y est, entre autres,
responsable de la planification de la conservation à
l’échelle des paysages. À ce titre, elle participe aux travaux des Commissions sur les ressources
naturelles et le territoire de la Montérégie, de
l’Estrie et de Chaudière-Appalaches. Auparavant,
elle a cumulé plus de 20 ans d’expérience comme
consultante en écologie et acquis une solide
expertise dans l’inventaire, la protection, l’aménagement et la restauration des milieux
naturels partout au Québec. Madame Gratton est
également membre fondateur, aviseur scientifique
et secrétaire du Corridor appalachien, un
organisme voué à la protection des Montagnes
vertes. Elle œuvre bénévolement au sein de plusieurs autres organismes et comités tant
nationaux que locaux. Elle est ainsi active au sein
de « Deux pays, une forêt », un organisme
binational voué à la conservation et au
développement durable des Appalaches. Pendant,
près de 10 ans, madame Gratton a été membre du Comité aviseur sur la flore menacée et vulnérable
du Québec. En 1998, elle recevait du ministère de
l’Environnement, une reconnaissance pour sa
contribution à la protection des milieux naturels.
En 2003, elle était honorée comme « Partenaire
essentiel » de la Fondation de la Faune du Québec et « Gens d’Action » du Naturaliste canadien par
la Société Provancher d’histoire naturelle du
Canada et, en 2009, par Protection des oiseaux du
Québec, pour sa contribution à la conservation au
Québec.
Nature Québec [email protected]
Louis Bélanger est professeur titulaire au Département des sciences du bois et de la forêt, Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval. Depuis plus de 10 ans, il est responsable de la commission Forêt de Nature Québec. Ayant su s’entourer d’experts en écologie forestière et en aménagement forestier, Louis Bélanger, avec les membres de la commission, établit les positions de Nature Québec dans ce domaine, rédige les mémoires de l’organisme et participe aux audiences en commission parlementaire.
Louis Bélanger a ainsi participé activement à la commission Coulombe sur la gestion de la forêt publique québécoise (2004), ainsi qu’au Sommet sur la forêt (2007). En 2008, ces événements ont mené à la sortie du livre vert, lequel a jeté les bases de la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier. Au nom de Nature Québec, Louis Bélanger s’implique au sein d’une multitude de comités et de tables de concertation, au niveau de la certification forestière, de l’aménagement écosystémique, des aires protégées ou encore des réserves fauniques. Il est le représentant des groupes environnementaux au sein du groupe de travail forêt du Plan Nord et vice-président de l’équipe de rétablissement du caribou forestier.
Depuis plusieurs années, Louis Bélanger dirige le projet d’aménagement écosystémique de la réserve faunique des Laurentides. Ce projet pilote a permis au gouvernement d'établir les balises pour l'aménagement écosystémique et a contribué à l'élaboration du manuel d’aménagement écosys-témique qui encadrera ce type d'aménagement au Québec. Louis Bélanger a également travaillé à la création d’un nouveau type d’aires protégées qui serait adapté à la réalité des réserves fauniques, des zones d’exploitation contrôlées et des pourvoiries, tout en répondant aux normes de conservation internationales, afin que ces territoi-res puissent assurer pleinement leur mission de conservation. Les résultats de ces travaux ont reçu un accueil enthousiaste du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs.
Louis Bélanger est récipiendaire du prix Boréal 2010.
32 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
Ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs [email protected]
Tél. : 418 521-3907, poste 4498
Mélanie Gaudreault est détentrice d'un baccalau-
réat en biologie et d'une maîtrise en ressources
renouvelables. Elle a travaillé plusieurs années à la
Direction de la recherche forestière du MRNF
comme chercheuse en modélisation de la
croissance des forêts, et occupe actuellement la
fonction de chargée de projets de conservation
volontaire en milieu privé au ministère du
Développement durable et des Parcs (MDDEP).
Dans le cadre de son travail, elle est responsable
du statut de paysage humanisé, de la
reconnaissance de réserves naturelles en milieu
privé, et est coordonnatrice provinciale du
Programme de dons écologiques (volet visa fiscal).
Nature Québec [email protected]
Tél. : 418 648-2104
Christian Simard, directeur général de Nature
Québec, est une figure connue de la scène
environnementale et politique. Il a été député
fédéral de Beauport-Limoilou de 2004 à 2006;
adjoint du président de la Fondation de la faune du
Québec (1996-1997) et directeur général de
l’Union québéco ise pour la conservation de la
nature (UQCN) de 1988 à 1995.
Christian Simard a également été membre du
Comité permanent sur l’environnement et le
développement durable de la Chambre des
communes. Le Sierra Club du Canada avait
reconnu son travail en le sélectionnant dans son
équipe de 12 candidats « écolympiens », tous
partis confondus.
Résumé de la discussion
Dans le sud du Québec, la tenure privée représente souvent un obstacle à la création d'aires protégées de
type classique, soit les réserves écologiques, les parcs nationaux et les aires de biodiversité.
Peut-on faire preuve d'innovation et appliquer de nouvelles catégories d'aires protégées, reconnues par
l'UICN, mais moins contraignantes en termes d'utilisation du territoire ? Une réflexion de ce type a été
réalisée pour les territoires fauniques structurés (réserve faunique, zecs, pourvoiries). Est-il possible de
l'étendre aux terres privées ou dans des zones à tenure mixte ? Des conférenciers viendront nous parler
des potentiels, des contraintes et des défis que posent ce nouveau type d'aires protégées.
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 0 9 33
34 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1
É v a l u a t i o n d e s a t e l i e r s
1 = Totalement en désaccord
2 = En désaccord
3 = En accord
4 = Totalement en accord
Par souci d'amélioration, les
organisateurs de cet événement
souhaitent connaître vos
commentaires sur chacun des
ateliers de formation. Ainsi, nous
vous serions reconnaissants de
remplir une fiche d'évaluation
après chaque atelier.
Merci du temps que vous
accorderez à l'amélioration
de cet événement!
Désaccord »»» Accord
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De façon globale, je suis satisfait(e) de cette table ronde.
La table ronde était bien structurée et facile à suivre.
La table ronde m’a apporté des pistes de réflexion qui me permettront d’être plus efficace dans mon travail.
1 2 3 4
Les intervenants sont à l’aise avec le sujet traité.
Les intervenants utilisent des moyens didactiques appropriés.
Les intervenants répondent adéquatement aux questions.
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Les informations reçues correspondaient à la description de la table ronde inscrite au programme.
Le contenu de la table ronde a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise me sera utile.
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1 35
Le samedi 19 mars, de 13 h 45 à 15 h 15
Centre québécois du droit de l’environnement [email protected]
Biologiste et avocat spécialisé en droit de
l’environnement et en droit municipal, Jean-
François Girard pratique au sein du cabinet
d’avocats Dufresne Hébert Comeau où il offre,
depuis 2002, une expertise particulière aux
municipalités qui désirent relever les défis du
développement durable et qui veulent améliorer la
qualité du milieu de vie de leurs citoyens.
Me Girard est également président du conseil
d’administration du Centre québécois du droit de
l’environnement (CQDE). Il y fut employé,
responsable du secteur Conservation et biodiversité,
de septembre 1998 à janvier 2002.
En plus de publier des articles dans des revues
spécialisées, il présente régulièrement des
conférences et des séminaires de formation aux
élus et aux groupes de citoyens dans les domaines
du droit et de l’environnement. Il est d’ailleurs un
conférencier régulier des Ateliers sur la conservation
des milieux naturels, où il présente annuellement
une conférence sur les développements récents en
droit de la conservation.
Résumé de la conférence
Près de dix ans après l’arrêt Spraytech, nous
avons voulu mesurer l’évolution de la
jurisprudence en matière de protection de
l’environnement par les municipalités, ce par
l’étude de certaines décisions choisies,
particulièrement dans un contexte législatif en
constante évolution. Notre étude de l’action
législative au cours de la dernière décennie, ainsi
que des différentes décisions des tribunaux tend
à démontrer que le rôle et les responsabilités
des municipalités en matière de protection de
l’environnement se sont accentués.
En parallèle, comment a évolué le monde de la
conservation et l’action des organismes ? Force
est de constater que ces derniers occupent une
place stratégique auprès des municipalités et
qu’ils jouent un rôle crucial dans le succès des
projets de conservation des dernières années.
Sur la base de ces constats, la conférence
esquissera les perspectives d’un avenir où les
défis de la conservation iront grandissant.
36 C a h i e r d u p a r t i c i p a n t —
A t e l i e r s s u r l a c o n s e r v a t i o n d e s m i l i e u x n a t u r e l s 2 0 1 1
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1 = Totalement en désaccord
2 = En désaccord
3 = En accord
4 = Totalement en accord
Par souci d'amélioration, les
organisateurs de cet événement
souhaitent connaître vos
commentaires sur chacun des
ateliers de formation. Ainsi, nous
vous serions reconnaissants de
remplir une fiche d'évaluation
après chaque atelier.
Merci du temps que vous
accorderez à l'amélioration
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Désaccord »»» Accord
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De façon globale, je suis satisfait(e) de cette conférence.
La conférence était bien structurée et facile à suivre.
La conférence me permettra d’être plus efficace dans mon travail.
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Le conférencier est à l’aise avec le sujet traité.
Le conférencier utilise des moyens didactiques appropriés.
Le conférencier répond adéquatement aux questions.
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Les informations reçues correspondaient à la description de la conférence inscrite au programme.
Le contenu de la conférence a bien répondu à mes besoins.
La documentation remise par le conférencier me sera utile.
Nature Québec © 2011
Comment citer ce document :
Nature Québec, 2011. Ateliers sur la conservation des milieux naturels. Cahier
du participant à la rencontre des 18 et 19 mars 2011, Québec. 36 pages.
Édition : Héloïse Fernandez
Mise en page et révision : Marie-Claude Chagnon
Imprimé sur papier Rolland Enviro. Contient 100 % de fibres post-consommation.
Sans chlore. Accrédité Choix environnemental et FSC recyclé.
ISBN 978-2-923731-31-5 (Imprimé)
ISBN 978-2-923731-32-2 (pdf)
Crédits photo de la page couverture (de haut en bas, de gauche a droite) :© Québec couleur natu© Québec couleur nature 2006, Benoit Parent | © Québec couleur nature 2008, Josée Rivard | © Héloïse Fernandez | © Québec couleur nature 2008, Daniel Houx | © Québec couleur nature 2006, Daniel Dagenais | © Québec couleur nature 2008, Stéphane Miller | © Québec couleur nature 2008, Stéphanie Goyer-Morin | © Québec couleur nature 2007, Mathieu Dupuis | © Québec couleur nature 2008, Gilles Choquette | © Québec couleur nature 2007, Serge Chénard | © Pêches et Océans Canada, Pierre Joly | © Québec couleur nature 2008, Pierre Giard | © Québec couleur nature 2007, Costina Mircea | © Martine Hamel | © Pierre Arpin | Graphisme (montage photographique) : Corsaire design