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Antibiotique ou Probiotique dans les pathologies inflammatoires chroniques ? Prof.Jacques DAELE CHR Citadelle DPT ORL CCF LIEGE BELGIUM

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  • Antibiotique ou Probiotique

    dans les pathologies

    inflammatoires chroniques ?

    Prof.Jacques DAELE

    CHR Citadelle DPT ORL – CCF

    LIEGE BELGIUM

  • Pathogènes, vous avez dit Pathogène ?

    • Corps humain : 10 000 milliards de cellules

    humaines et 100 000 milliards de microbes (500

    espèces différentes)

    • 10 fois plus de bactéries que de cellules humaines

    • 90% de notre corps ne nous appartient pas

    • Rôle important dans le maintien en bonne santé

  • Phylogenetic tree of the most important microbial taxa

    in the human intestinal tract, along with their relative

    contributions.

  • AberrationMost relevant observations

    and potential correlationReferences

    Crohn's diseaseDiversity decrease – reduced F.

    prausnitzii

    Kaser et al. 201051; Sokol et al. 200952; Willing et al.

    201053

    Ulcerative colitisDiversity decrease – reduced A.

    muciniphila

    Png et al. 201054; Kaser et al. 201051 ; Lepage et al.

    201155

    Irritable bowel syndromeGlobal signatures –

    increasedDorea and Ruminococcus

    Salonen et al. 201036; Saulnier et al. 201156; Rajilić-

    Stojanović et al. 201113

    Clostridium

    difficile infection

    Strong diversity decrease –

    presence of C. difficileGrehan et al. 201057; Khoruts et al. 201058

    Colorectal cancerVariation in Bacteroides spp. –

    increased fusobacteria

    Sobhani et al. 201159; Wang et al. 201260; Marchesi et al.

    201161

    Allergy/atopyAltered diversity – specific

    signatures

    Stsepetova et al. 200762; Bisgaard et al. 201163; Storrø et

    al. 201164

    Celiac diseaseAltered composition, notably in small

    intestine

    Nistal et al. 201265; Di Cagno et al. 201166; Kalliomäki et

    al. 201267

    Type 1 diabetes Signature differences Vaarela 201168; Giongo et al. 201169; Brown et al. 201170

    Type 2 diabetes Signature differencesLarssen et al. 201071; Wu et al. 201072; Kootte et al.

    201273

    ObesitySpecific bacterial ratios

    (Bacteroidetes/Firmicutes)

    Ley et al. 200674; Turnbaugh et al. 200910; Musso et al.

    201175

    Intestinal microbiota-associated diseases, syndromes, or other aberrations, with

    summaries of multiple studies that support an association between the microbiota and

    the indicated aberration.

  • Disease or aberration Type of support Reference*

    Alzheimer's diseaseMicrobiota in a mouse model of

    Alzheimer's diseaseKarri et al. 2010103

    Atherosclerosis Analysis of plaques in humans Koren et al. 2011104

    Autistic spectrum disordersAnalysis of mucosa in children with

    autism spectrum disordersWilliams et al. 2011105

    Chronic fatigue syndromeCultured microbiota in patients with

    chronic fatigue syndromeSheedy et al. 2009106

    Colic babiesLongitudinal analysis of colic babies

    cohortde Weerth et al. 2012

    Cardiovascular diseaseCardiovascular-diseased mice and

    microbial metabolismWang et al. 201148

    Depression and anxiety Probiotic intervention in stressed mice Bravo et al. 201134

    Frailty Analysis of elderly and high frailty scores van Tongeren et al. 2005107

    Graft-vs-host diseaseReview of human data on graft-vs-host

    diseaseMurphy et al. 2011108

    Multiple sclerosisInvolvement of microbiota in mice with

    multiple sclerosisBerer et al. 2011109

    Nonalcoholic fatty liver disease Effect of choline depletion in humans Spencer et al. 2011101

    Parkinson's disease

    Role of enteric nervous system and

    review of Parkinson's disease

    development

    Braak et al. 2003110

    Rheumatoid arthritisMicrobiota as predisposing factor in

    rheumatoid arthritisScher and Abramson 2011111

    Retrovirus infectionMouse retrovirus infection relies on

    microbiotaKane et al. 2011112

    Poliovirus infectionMouse microbiota promotes poliovirus

    infectionKuss et al. 2011113

    Indications for associations between the microbiota and health aberrations, provided as an alphabetical listing of

    the aberrations suggested to be associated with the intestinal microbiota, along with support for such an

    association.

    http://nutritionreviews.oxfordjournals.org/content/70/suppl_1/S45.long#fn-1

  • Microbiome

    Microorganismes : virus, bactéries, moisissures

    Planctonique (1%)

    mobile

    Biofilm (99%)

    Communauté de microorganismes adhérents

    Matrice extra-cellulaire polymérique

    Métaboliquement inactif (quiescent) : peu de réponse aux AB Bacteries et fungi

    Intracellulaire

  • Biofilms

  • Biofilms

    • Formation du Biofilm1. Implantation

    2. Adhérence

    3. Agrégation

    4. Croissance et maturation

    5. Détachement

    • Plusieurs structures différentes• Réponse des microorganismes à l’environnement

    • Programme génétique bactérien

    • Matrice : Extracellular Polymeric Substance (EPS)• Polysaccharides, protéines, nucléotide, AND extracellulaire

    • Canaux de transport des fluides et des nutriments (concentration des nutriments, communication inter-cellulaire)

  • Biofilms

  • SUPERANTIGEN

    Up to 30% of patients’T-

    cells may be

    nonspecifically stimulated

    by superantigen binding

    compared with

    stimulation of only 0,1%

    of T-cell population via

    the conventionnal

    antigen-specific MHC

    restricted activation

    SuperantigSuperantigèènesnes

  • Healthy mucosa (SEM)

  • Cryofixation SEM : biofilm

  • Biofilms mediated Infections

    Chronic

    Rarely resolved by host defences

    Resistant to directed antibiotics

    Acute exacerbation

    Microbial Community is difficult to define

    and culture

    Require surgical removal to be resolved

  • Microbiome

    Microorganismes : virus, bactéries, moisissures

    Planctonique (1%)

    mobile

    Biofilm (99%)

    Communauté de microorganismes adhérents

    Matrice extra-cellulaire polymérique

    Métaboliquement inactif (quiescent) : peu de réponse aux AB Bacteries et fungi

    Intracellulaire

  • S.A25%-30% permanent carrier in the nostrils/

    Intracellular

    75% monoclonal

    20% Of all human Staph. Inf. are

    autogenous

    60% intermittent carrier

    20% almost never carrier( Compétition)

    71% carrier in N. Polyposis

    0% SAE IgE in controls

    50% SAE IgE in N.Polyposis

  • Monoclonal S.A. In 75% N=37From Lacroix S.

    Same serotypes in healthy and diseased

    TO 100%

    T10 63%

    T3O 70%

    T240 73%

  • Méthodes Culture dépendante

    Isolement et Culture avant identification morphologique ,biochimique ou génétique.

    99% des MO observable ds la nature ne sont pas cultivables par des techniques standards

  • Méthodes culture dépendante

    • Biais des milieux enrichis ou appauvris

    • Absence de croissance si disparition des biofilms ou des relations symbiotiques

  • Méthodes Culture dépendante

    Pourquoi non cultivable?

    T°, pH, sources de nutriment, communauté complexe et dynamique de polymicrobisme, biofilms, réaction immunologique de l’hôte

    MO à croissance rapide « étouffe « les c. lentes

  • Techniques moléculaires

    • Analyse directe du DNA / RNA bactérien sans culture

    • Capable de caractériser les assemblages microbiens complexes

    • Détecte le matériel génétique de MO non viables

  • Méthode non culture dépendante PCR

    L'amplification en chaîne par polymérase ou réaction en chaîne par polymérase (PCR polymerase chainreaction) est une méthode de biologie moléculaired'amplification génique in vitro, qui permet de dupliquer en grand nombre (avec un facteur de multiplication de l'ordre du milliard) une séquence d'ADN ou d'ARN connue, à partir d'une faible quantité (de l'ordre de quelques picogrammes) d'acide nucléique (séquence spécifique d’ADN (l’Amplicon)) et d'amorces spécifiques constituées d'oligonucléotides de synthèse de 20 à 25 nucléotides).

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Biologie_mol%C3%A9culairehttp://fr.wikipedia.org/wiki/ADNhttp://fr.wikipedia.org/wiki/ARNhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_nucl%C3%A9iquehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Amplicon

  • DENATURATION

  • HYBRIDATION

  • HYBRIDATION

  • ELONGATION

  • DENATURATION

  • HYBRIDATION

  • DENATURATION

  • HYBRIDATION

  • Polymerase Chain Reaction

    Pyrosequencing

    Fluorescence In Situ Hybridation

    Matrix-Assisted Laser Desorption/Ionization Time Of Fly

    Universal Biosensor Ibis T 5000

    Méthodes

  • Le pyroséquençage est une technique qui permet d’effectuer un séquençage rapide et à moindre coût. En effet, cette technique ne nécessite pas de clonage (donc gain de temps et d’argent), et permet une lecture directe de la séquence obtenue après le séquençage.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9quen%C3%A7agehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Clonage

  • Les nucléotides ne sont pas ajoutés tous ensemble comme dans une réaction de séquençage normale mais l’un après l’autre. Si le nucléotide ajouté dans le milieu réactionnel correspond à celui attendu par la polymérase, il est incorporé dans le brin en cours de synthèse (d’élongation) et libère un pyrophosphate. Une ATP sulfurylase vient alors transformer ce pyrophosphate (PPi) en ATP qui est alors utilisé, couplé à une luciférine, par une luciférase. On a alors production d’oxyluciférine et d’un signal lumineux (une apyrase dégrade les nucléotides en surplus).

    C’est le séquenceur ou plus précisément un capteur CCD (Charge-Coupled Device) qui va capter ce signal lumineux et le reproduire sous forme d’un pic sur le pyrogramme. La hauteur de ce pic est fonction de l’intensité du signal lumineux, elle-même proportionnelle au nombre de nucléotides incorporés en même temps.On peut donc déduire la séquence à partir de la taille des pics obtenus. Par ailleurs, en cas de mélange de nucléotides à une même position (polymorphisme de séquence), la taille des pics permet d'avoir une quantification de la proportion de brins porteurs de l'un ou l'autre des nucléotides.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nucl%C3%A9otidehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Milieu_r%C3%A9actionnelhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Polym%C3%A9rasehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Pyrophosphatehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Lucif%C3%A9rinehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Lucif%C3%A9rase

  • Technique de l'hybridation fluorescente in situ. En A : sonde. B : sonde colorée à l'aide d'un flurochrome C : hybridation avec l'ADN nucléaire. D : apparence du chromosome

    métaphasique où la sonde s'est fixée.

  • Technique d’ identification de pathogènes dans des prélèvement cliniques ou environnementaux.

    Ibis T 5000 associe l’amplification en chaine par polymerase (PCR) avec la spectrometrie de masse sur un materiel biologiques ionisés par electrospray et l’analyse des bases puriques ou pyrimidiques. Ce système permet l’identification et la quantification d’un large éventail de pathogènes incluant toutes les bactéries connues, les principaux groupes de moisissures pathogènes ,la plupart des familles virales responsables de maladies chez l’homme ou l’animal ainsi que leur degré de virulence et leur résistance au A.B.

    (Dpt de la défense USA TIGER Triangulation Identification for the Genetic Evaluation of

    Risks)

    Ibis T5000Universal Biosensor

  • The T.I.G.E.R. concept of operation. In Step #1, nucleic acid extracts from the sample of interest (e.g., air sample, clinical specimen,food product) are extracted and amplified with broad-range PCR primers. Step #2 is mass spectrometry based analysis of PCR derivedamplicons. Signal processing in Step #3 yields unambiguous base composition signatures from multiple genomic regions that arein turn used to identify the microbe(s) in the sample.

  • IBIS T 5000New approach to the sensitive and specific identification of bacteria, viruses, fungi, and protozoa based on broad-range PCR and high performance mass spectrometry. The Ibis T5000 is based on technology developed for the Department of Defense known as T.I.G.E.R.

    (Triangulation Identification for the Genetic Evaluation of Risks) for pathogen surveillance. The technology uses mass spectrometry derived base composition signatures obtained from PCR amplification of broadly conserved regions of the pathogen genomes to identify most organisms present in a sample. The process of sample analysis has been automated using a combination of commercially available and custom instrumentation. A software system known as T-Track manages the sample flow, signal analysis, and data interpretation and provides simplified result reports to the user. No specialized expertise is required to use the instrumentation. In addition to pathogen surveillance, the Ibis T5000 is being applied to reducing health care associated infections (HAIs), emerging and pandemic disease surveillance, human forensics analysis, and pharmaceutical product and food safety, and will be used eventually in human infectious disease diagnosis. (JALA 2006;11:341–51)

  • MALDI-TOFMatrix-assisted laser desorption/ionization time of flight mass spectometry.

    La spectrométrie de masse MALDI-TOF permet l’identification des bactéries par analyse de leurs protéines totales (protéines ribosomales et protéines associées aux membranes). Selon les études, les résultats d’identification obtenus avec la spectrométrie de masse (95 % - 97,4 % d’identifications correctes) sont comparables, voire meilleurs, à ceux des systèmes automatisés utilisant des méthodes conventionnelles (75,2 % - 92,6 %). La qualité de l’identification est fonction de la richesse de la banque de spectres enregistrés. Outre l’identification des micro-organismes, il est possible de réaliser du génotypage de polymorphismes ponctuels (SNPs). La spectrométrie de masse devient une alternative au séquençage standard des gènes 16S rDNA.

  • Identifying biofilms

    Imaging

    Scanning Electron Microscopy

    Transmission Electron Microscopy

    Confocal Laser Scanning Microscopy

    Imaging adjuncts (with CLSM)

    LIVE/DEAD Stain-BacLight Bacterial

    Viability Kit

    Fluorescent In Situ Hybridation with

    species specific probes

  • Confocal Scanning-Laser

    MicrographBacterial cells

    PMN cells

    Channels

  • Microbiome différent dans la CRS?

    • Méthodes de détection

    • Culture

    • Observation directe

    • Microscopie optique / colorations

    • Microscopie électronique

    • Détection de l’ADN ou de l’ARN bactérien

    • après amplification (PCR)

    • détection directe (FISH)

    • Screening (pyroséquençage, PCR couplée

    à spectrométrie de masse)

    spécificité

    sensibilité

  • Microbiome différent dans la CRS?Auteur, année Sujets

    CRS/N

    Prélèvement Technique

    1 Ramakrishnan 2013 0/28 Ecou. MM qPCR 16S/rRNA/pyrosequencing

    2 Aurora 2013 30/12 Lavage MM 16S rRNA pyrosequencing

    3 Boase 2013 38/6 Ecou. MM Culture Ibis T5000

    4 Abreu 2012 10/10 Bross.Sinus Max PhyloChip analysis

    5 Feazel 2012 15/5 Ecou.MM culture 16S rRNA,

    Pyrosequencing

    6 Stressmann 2011 43/0 Biops. Inf T/Poly 16S rRNA/pyrosequenc/ T-RFLP

    7 Frank 2010 26/16/5 Ecou. Narine 16S rRNA pyrosequencing

    8 Stephenson 2010 18/9 Biop.Muqueuse 16S rRNA pyrosequencing

    9 Healy 2008 11/3 Biop.Muqueuse FISH DNA probes (HI,SP,SA,PA)

    10 Sanderson 2006 18/5 Biop.Muqueuse FISH DNA probes (HI,SP,SA,PA)

    11 Lina 2003 0/216 Ecou.Vestibule N Culture

    12 Rasmussen 2000 0/10 Lavage nasal Culture/Capillary sequencing

    13 Choi 2014 8/3 Lavage nasal Pyrosequencing

  • Microbiome différent dans la CRS?N N

    1 Aureobacterium 15 Helicobacter

    2 Alicycliphilus 16 Lachnospira

    3 Burkholderia 17 Lactobacillus

    4 Carnobacterium 18 Micrcoccus

    5 Citrobacter 19 Moraxella

    6 Cloacibacterium 20 Mycobacterium

    7 Corynebacterium 21 Neisseria

    8 Curtobacterium 22 Pediococcus

    9 Cyanobacterium 23 Peptoniphilus

    10 Diaphorobacter 24 Propionebacterium

    11 Enterobacter 25 Pseudomonas

    12 Enterococcus 26 Rhodococcus

    13 Fusobacterium 27 Staphylococcus

    14 Haemophilus 28 Stenotrophomonas

    29 Steptococcus

  • Microbiome différent dans la CRS?N 1 2 3 4 5 6 7 8 9 1

    011

    12

    13

    14

    15

    16

    17

    18

    19

    20

    21

    22

    23

    24

    25

    26

    27

    28

    29

    1 X X X x x x x x x x

    2 x X X X X

    3 x x

    4 x x X X x x x x x x

    5 X

    6 x x x x x

    7 x X X x x

    8 X x x

    9 x x x x

    10

    11 X x x x

    12 X x x

    13 x x

  • • Sujets sains

    • Actinobactéries (Propionibacterium, Corynebacterium)

    • Firmicutes (Staphylocoque), Proteobacteria

    (Enterobacter)

    • Patients CRS

    • Plusieurs microbiomes différents

    • Diminution de la diversité

    • Staphylococcus aureus

    Microbiome différent dans la CRS?

  • Exemple: Choi et al. 2014

    Allergy. 2014 Apr;69(4):517-26

  • Exemple: Abreu et al. 2012

    Sci Transl Med. 2012 Sep 12;4(151)

  • Analyse comparative de la communauté bactérienne

    Nicole A. Abreu et al., Sci Transl Med 2012;4:151ra124

    Published by AAAS

    14 sujets

    7 Controles 7 CRS

    10 Controles/ 10 CRS

  • Exemple: Abreu et al. 2012

    Sci Transl Med. 2012 Sep 12;4(151)

    Corynebacterium Tuberculostearicum

    +

    Lactobacillus Sakei

  • Exemple: Aurora et al. 2013

    JAMA Otolaryngol. 2013 Dec;139(12):1328-38.

  • DYSBIOSE

    • ABONDANCE

    • DIVERSITE

    • STAPH AUREUS

    • BACTERIES « Acide Lactique »

    • PROPIONE BACTERIUM ACNES

    • CORYNEBACTERIUM TUBERCULOSTEARICUM

    • LACTOBACILLUS SAKEI

    • Prevotella

  • Antibiotique ?

  • Antibiotique ?

    • Liu et al., 2013

    • 6 patients

    • Prélèvement maxillaire, analyse ADN (pyroséquençage) avant et arpès traitement médical maximal (4 semaines, cefuroxime, moxifloxacine)

    • Amélioration endoscopique

    • Réduction de la diversité du microbiome.

    Int Forum Allergy Rhinol. 2013 Oct; 3(10): 775–

    781.

  • Probiotique

    • Traitements probiotiques utilisés pour réduire le

    nombre d’infections des voies aériennes

    supérieures

    • Effet positif validé chez les patients sensibles par

    une revue Cochrane, puis chez les volontaires sains

    (West et al. 2013 ; Bifidobacterium lactis)

  • Probiotique

    Auteur, année Méthode Probiotique Résultat

    Abreu, 2012 Souris, CorynebacteriumTuberculostearicum

    Lactobacillus Sakei

    c. Caliciformes (inflammation)

    Cleland, 2014 Souris,Staph. Aureus

    Staph. Epidermitis

    c. Caliciformes (inflammation)

  • Probiotique

    Auteur, année Méthode Probiotique Résultat

    Abreu, 2012 Souris, CorynebacteriumTuberculostearicum

    Lactobacillus Sakei

    c. Caliciformes (inflammation)

    Cleland, 2014 Souris,Staph. Aureus

    Staph. Epidermitis

    c. Caliciformes (inflammation)

    Auteur, année sujets Probiotique Résultat

    Mukerji, 2009 77 CRS Lactobacillus Rhamnosus p.o.

    Pas d’amélioration du SNOT-20

  • Modification du Milieu

    • Eradication du biofilm in vitro

    • Antibiotiques

    • Soda cafféiné sucré

    • Peptides salivaires

    • Probiotiques

    • Traitements physiques (lavages, flux d’air, lumière, laser)

    • Antiseptiques

    • Mucolytiques

    • Surfactants

    • Lait fermenté

    • Furosémide

    • Acide citrique

    • Dexamethasone

    • Bleu de méthylène

    • Violet de gentiane

    • Citrate d’ammonium

    • Miel

  • Modification du Milieu

    • Eradication du biofilm chez l’animal

    • Antibiotiques

    • Acide citrique

    • Surfactant

    • Hydrodebrider

    • Nitrate de Gallium

  • Modification du Milieu

    • Eradication du biofilm chez l’homme

    • Antibiotiques

    • Irrigation de mupirocine et doxycycline

    • Irrigation de surfactant « baby shampoo »

    • Injection IM thiamphenicol glycinate acetylcysteinate

  • Interaction Hôte-

    Microorganismes

    Hôte

    Composition du Mucus

    Anomalies ciliaires

    Déficit de l’im. Humorale

    Anomalies de l’im. Innée

    Allergie

    Déficits enzymatiques

    Microorganismes

    Diversité Quantité

    Biofilms

    Staphylocoques aureus

    Pseudomonas

    Moisissures

  • Modification de l’Immunité

    • Anticorps monoclonaux

    • anti-interleukin-5 (Mepolizumab)

    • anti-immunoglobulin E (Omalizumab)

    • anti-interleukine 4 et 13 (Dupilumab)

  • En Conclusion

    1. Le microbiome est différent selon la pathologie

    • Quantité

    • Diversité

    2. Le microbiome a une impact clinique

    3. La réponse immunitaire locale est altérée

    4. Stratégie thérapeutique ?

    • Antibiotique / Probiotique

    • Modification du Milieu / de l’Immunité (cytokines)

  • Probiotique

    • Dysbiose

    • Microbiome très différent selon les patients

    • Abondance

    • Diversité

    • Staphylococcus aureus, Proteobacteria (Enterobacter)

    • Actinobactéries (Propionibacterium, Corynebacterium)

    • Compétition

    • Staphylococcus epidermitis Staphylococcus Aureus

    • Lactobacillus Sakei Corynebacterium Tuberculostearicum

  • Probiotique in CRSAuthors A N Method Result Bact

    S.S Mukerji 2009 77 CRS QoL No improvement L.Rhamnosus

    E.J.Cleland 2014 Mouse ModelS.Aureus

    + S. Epidermidis

    L.Q. Swandt 2011 18 ENT biofilms

    Beneficials effects on eradicing Biofilm

    Biofilm

    Q.Hoa(ReviewCochrane)

    2011 Rev. URTI Episodes infectieux / AB ds URTI

    L.Casei

    N.P. West 2013 464 URTIEpisodes infectieux

    B.lactis

    N.A. Abreu 2012 Mouse Model Protectif v/ CorynebacteriumTuberculostearicum

    L. sakei