[2014-04-17] viglino envahit la capitale

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14 SION RÉGION LE NOUVELLISTE JEUDI 17 AVRIL 2014 Rue du Scex 10 1950 Sion Tél. 027 322 82 91 Fax 027 323 11 88 BA-chus CHI-noise BOU-rguignonne Faites votre choix de viandes: bœuf, dinde, poulain et kangourou Salade, riz ou frites Buffet de sauces et garnitures Pour vos fêtes, anniversaires, sorties de classes, etc., dans nos salles jusqu’à 120 personnes. BA - CHI - BOU 24.– SPECTACLE Son «Tribute To Alain Morisod» joué au Théâtre de Valère, un Comedy Club récemment installé au Grand-Pont, l’humoriste prend ses quartiers en vieille ville de Sion. Interview. L’humour se décline en capitale PROPOS RECUEILLIS PAR JEAN-FRANÇOIS ALBELDA Depuis l’émergence furieuse et subversive du duo Los Dos (Fred Mudry et Frédéric Recrosio) à l’orée de l’an 2000, les terres sé- dunoises ont assez peu été culti- vées par l’humour, qu’il soit va- che, potache ou tendre. Mais tout change, et depuis deux se- maines, un Comedy Club anime les «afterwork» de la capitale tous les jeudis soir, entre les murs du Point 11, nouvelle salle de spectacle ayant succédé au Carnotzet des artistes. Le Viglino Comedy Club sera, jusqu’au 29 mai en tout cas, un nouveau cen- tre névralgique de l’humour ro- mand, dédié à l’art du «stand up». Et comme une bonne nou- velle ne vient jamais seule, l’hu- moriste et musicienne joue son «Tribute To Alain Morisod» avec son acolyte Franco Mento le 24 avril prochain au Théâtre de Valère, salle mythique s’il en est. Sandrine Viglino, que vous évoque le fait de jouer dans cette vénérable salle qu’est le Théâtre de Valère? C’est un lieu assez magique, c’est certain. J’y ai vu beaucoup de spectacles magnifiques. La configuration de la salle, son at- mosphère... C’est un vrai bon- heur que d’y jouer. Qui plus est pour y jouer du Alain Morisod... Justement votre spectacle tourne depuis le début de l’année. Quels sont les re- tours jusqu’ici? Ils sont très bons. C’est drôle, on constate que le public est très divers. Certains viennent pour Franco ¬ qui est un musicien électro très pointu dans la «vraie» vie ¬, d’autres pour moi, et d’autres enfin pour Alain Morisod. Les gens ne savent pas trop ce que je vais faire, si je vais me moquer ou rendre hom- mage... C’est un vrai hommage, plein de tendresse et de bonne humeur, qui pique un peu. Qu’on aime Morisod ou pas, on ne va pas changer de point de vue, mais on se sentira proche et complice des autres membres du public, et on ressentira de la sympathie pour le personnage. A-t-il été difficile de trouver l’équilibre entre la tendresse et l’ironie? C’est là que la mise en scène de Sylvia Fardel a été précieuse. Comme l’habillage musical de Franco Mento et les projections vidéo de Maxime Gianinetti. Tout ça tient en équilibre. Et je trouvais qu’il était plus intéres- sant de prendre le contre-pied et de montrer à quel point il est génial. Il y a une critique parfois en arrière-fond, mais surtout beaucoup d’amour au premier plan. Alain Morisod a-t-il vu le spec- tacle? Pas encore, mais il m’a dit qu’il me ferait la surprise de venir un jour. Peut-être qu’il sera là à Sion, qui sait? D’ailleurs, avec votre Comedy Club, vous devenez encore un peu plus Sédunoise... Oui, on a monté ça avec un ami, Vincent Barraud, programma- teur à l’Avalanche Festival. Là, le but est de partager la scène avec de jeunes talents, comme j’ai eu l’occasion de faire mes armes avec Yann Lambiel. Je voulais faire découvrir des artistes pro- metteurs que j’aime bien. Ce cô- té scène ouverte manquait peut- être en Valais et à Sion. L’équipe du Point 11 est très sympathique et a été ouverte à l’idée. On fonc- tionne au chapeau et on reste ou- verts à toute forme de sponso- ring... (rires). On s’est laissé deux mois pour voir si ça allait plaire aux Sédunois, et on est vraiment très contents de la façon dont ça se passe. Nous continuerons cer- tainement après la fin mai. Les deux premières éditions ont donc bien marché... Très. Nous avons eu beaucoup de monde, et les gens étaient plutôt étonnés de découvrir de jeunes talents du canton ou d’ailleurs, dont ils n’ont jamais entendu parler et qui tiennent très bien la route. Il faut dire que le Valais est une terre très fertile pour l’humour. C’est bien de mettre un tel lieu à la disposition de la relève et de lui permettre de jouer devant un public. Ça n’est que là qu’on voit si ce qu’on fait fonctionne. Sandrine Viglino sur la scène du Point 11, là où se joue son Comedy Club tous les jeudis entre 19 et 20 heures. LOUIS DASSELBORNE VIGLINO, MENTO, MORISOD «Il a vendu 20 millions d’albums, joue dans le monde entier et après chaque gala, il peut passer trois heures à dédicacer pour ses fans...» On sent dans les mots de Sandrine Viglino une vraie tendresse pour le personnage d’Alain Morisod, pour sa générosité, pour son amour as- sumé des airs populaires. «Je viens moi-même du bal», rappelle-t-elle. Avec ce «Tribute To Alain Morisod», l’humoriste et le musicien électro Franco Mento décryptent ce «phé- nomène» national, kitschissime, at- tachant, urticant, touchant, en usant du contre-pied et du contrepoint. Et en se basant sur des éléments bien réels, issus de la biographie du chanteur «La vie c’est comme une boîte de chocolat». Au final, un spectacle de rassemblement, qui n’a d’autre ambition que celle du plaisir partagé. JFA SION Cours 60+ La photo numérique. Yeux rouges, prises à contre-jour, trop lumineuses ou manque de vivacité! Venez découvrir comment transformer vos photos en de superbes clichés, créer un album, cartes de vœux et autres. Les mercredis 30 avril, 7, 14, 21 et 28 mai de 14 à 16h, Fr. 200.-. Contact: Pro Senectute Valais, 027 322 07 41. MÉMENTO PUBLICITÉ Le ciné-club regards d’etiks propose ce soir la projection du film «Kinshasa Symphony». Un documentaire sur l’histoire de Congolais ordinaires pas- sionnés de musique classique. «Il nous a beaucoup touchées. Ce documentaire montre que des gens sont prêts à bien des sacrifi- ces pour la musique», explique Emilie Barde, une des fondatri- ces du ciné-club. Les images font le portrait du Congo d’au- jourd’hui, des habitants de Kin- shasa et de l’amour de la musi- que. «Le spectateur découvre au fur et à mesure du film que ces musiciens sont totalement habi- tés par leur passion. Ils construi- sent leurs instruments eux-mê- mes et en inventent de nouveaux avec un rien. Ils répètent souvent dans des conditions rudimentai- res. Et tout cela pour atteindre un seul objectif: le concert de la fête nationale qui leur tient vrai- ment à cœur.» Le documentaire tient aussi à montrer une musique clas- sique qui n’est pas réservée qu’à une élite. «Les musiciens de l’Orchestre symphonique de Kinshasa sont des gens ordi- naires.» Pour en parler à la fin de la projection, Carine Tripet sera l’invitée de la semaine. Cette professeure de pédagogie à l’école Tibor Varga est ana- lyste en système éducatif dans les pays en voie de développe- ment. Elle se questionne égale- ment sur l’élitisme dans l’ensei- gnement musical. Succès au rendez-vous C’est le quatrième documen- taire projeté par le ciné-club de- puis sa création en janvier der- nier. «Nous avons eu une bonne fréquentation lors des trois premiè- res, la salle était pleine, et notre concept plaît», explique Sophie Michaud, autre cofondatrice du ciné-club. Les films sont tou- jours suivis d’une discussion avec un protagoniste ou une per- sonne en lien avec la thématique abordée. «Nous choisissons les do- cumentaires pour qu’ils suscitent de l’intérêt chez les spectateurs, et qu’un véritable dialogue s’instaure avec l’invité.» Le film «Kinshasa Symphony» sera projeté ce soir à 19 h 30 dans la salle de l’association Alpagai à Sion. Avant la séance, un trio de violoncelles de la haute école de musique de Tibor Varga jouera quelques morceaux. SJ Informations sur www.etiks.ch Les musiciens de l’orchestre symphonique de Kinshasa sont si passionnés qu’ils s’entraînent régulièrement en pleine rue. DR DOCUMENTAIRE Des musiciens congolais se préparent pour la fête nationale. Un orchestre symphonique ordinaire BONS D’ACHAT Des sous pour aider les enfants «Je suis ravie. C’est merveilleux d’avoir pu récolter cet argent sup- plémentaire. C’est vraiment la ce- rise sur le gâteau», commente la présidente de l’association SOS Enfants de chez nous, Béatrice Jordan. Elle s’est vu remettre, hier en fin de matinée, un chèque de 20 000 francs par le Pour-cent culturel de Migros Valais. «Nous redistribuerons cet argent sous forme de bons d’achat d’une valeur de 50 ou de 100 francs de manière ciblée et rigoureuse», poursuit la présidente de cette association au service des enfants défavori- sés du canton depuis plus de vingt ans. «Si cette aventure per- dure, c’est avant tout grâce à la gé- nérosité de tous les donneurs. Les petits dons ont tout autant d’im- portance pour notre association et pour les familles dans le besoin», conclut Béatrice Jordan dont l’association n’entend toutefois pas se substituer aux services so- ciaux du canton. FDR Un duo atypique qui fonctionne à merveille sur scène. DR «Tribute To Alain Morisod» au Théâtre de Valère, jeudi 24 avril à 20 h 30. Réservations: www.ticketcorner.ch Viglino Comedy Club, les jeudis soir entre 19 et 20 heures au Point 11, rue du Grand-Pont 11, Sion. www.sandrineviglino.ch INFO+ xd - nv

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Sandrine Viglino envahit Sion avec son VIGLINO COMEDY CLUB et le TRIBUTE TO ALAIN MORISOD

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  • 14 SION RGIONLE NOUVELLISTE JEUDI 17 AVRIL 2014

    Rue du Scex 101950 SionTl. 027 322 82 91Fax 027 323 11 88

    BA-chus CHI-noiseBOU-rguignonne

    Faites votre choixde viandes:buf, dinde, poulainet kangourouSalade, riz ou fritesBuffet de sauceset garnitures

    Pour vos ftes, anniversaires,sorties de classes, etc., dans nossalles jusqu 120 personnes.

    BA

    - C

    HI

    - B

    OU

    24.

    SPECTACLE Son Tribute To Alain Morisod jou au Thtre de Valre, un Comedy Club rcemment installau Grand-Pont, lhumoriste prend ses quartiers en vieille ville de Sion. Interview.

    Lhumour se dcline en capitalePROPOS RECUEILLIS PARJEAN-FRANOIS ALBELDA

    Depuis lmergence furieuse etsubversive duduoLosDos (FredMudry et Frdric Recrosio) lore de lan 2000, les terres s-dunoises ont assez peu t culti-ves par lhumour, quil soit va-che, potache ou tendre. Maistout change, et depuis deux se-maines, unComedyClub animeles afterwork de la capitaletous les jeudis soir, entre lesmurs du Point 11, nouvelle sallede spectacle ayant succd auCarnotzetdesartistes.LeViglinoComedy Club sera, jusquau 29mai en tout cas, unnouveaucen-tre nvralgique de lhumour ro-mand, ddi lart du standup. Et comme une bonne nou-velle ne vient jamais seule, lhu-moriste et musicienne joue sonTributeToAlainMorisodavecson acolyte Franco Mento le 24avril prochain au Thtre deValre, sallemythique sil en est.

    Sandrine Viglino, que vousvoque le fait de jouer danscette vnrable salle quest leThtre de Valre?Cest un lieu assez magique,

    cest certain. Jy ai vu beaucoupde spectacles magnifiques. Laconfiguration de la salle, son at-mosphre... Cest un vrai bon-heur que dy jouer. Qui plus estpour y jouer duAlainMorisod...

    Justement votre spectacletourne depuis le dbut delanne. Quels sont les re-tours jusquici?Ils sont trs bons. Cest drle,

    on constate que le public est trsdivers. Certains viennent pourFranco qui est un musicienlectro trs pointu dans lavraie vie, dautres pourmoi,et dautres enfin pour AlainMorisod. Les gens ne savent pastrop ce que je vais faire, si je vais

    me moquer ou rendre hom-mage... Cest un vrai hommage,plein de tendresse et de bonnehumeur, qui pique un peu.Quon aime Morisod ou pas, onne va pas changer de point devue,mais on se sentira proche etcomplice des autres membresdu public, et on ressentira de lasympathie pour le personnage.

    A-t-il t difficile de trouverlquilibre entre la tendresseet lironie?Cest l que la mise en scne

    de Sylvia Fardel a t prcieuse.Comme lhabillage musical deFrancoMento et les projectionsvido de Maxime Gianinetti.

    Tout a tient en quilibre. Et jetrouvais quil tait plus intres-sant de prendre le contre-piedet demontrer quel point il estgnial. Il y aune critiqueparfoisen arrire-fond, mais surtoutbeaucoup damour au premierplan.

    AlainMorisod a-t-il vu le spec-tacle?Pas encore, mais il ma dit quil

    me ferait la surprise de venir unjour. Peut-tre quil sera l Sion, qui sait?

    Dailleurs, avec votre ComedyClub, vous devenez encore unpeu plus Sdunoise...

    Oui,onamontaavecunami,Vincent Barraud, programma-teur lAvalanche Festival. L, lebut est de partager la scne avecde jeunes talents, comme jai euloccasion de faire mes armesavec Yann Lambiel. Je voulaisfaire dcouvrir des artistes pro-metteurs que jaime bien. Ce c-t scne ouverte manquait peut-tre en Valais et Sion. Lquipedu Point 11 est trs sympathiqueet a t ouverte lide.On fonc-tionneauchapeauetonresteou-verts toute forme de sponso-ring... (rires). On sest laiss deuxmois pour voir si a allait plaireaux Sdunois, et on est vraimenttrs contents de la faon dont a

    se passe.Nous continuerons cer-tainement aprs la finmai.

    Les deux premires ditionsont donc bien march...Trs. Nous avons eu beaucoup

    de monde, et les gens taientplutt tonns de dcouvrir dejeunes talents du canton oudailleurs, dont ils nont jamaisentendu parler et qui tiennenttrs bien la route. Il faut dire quele Valais est une terre trs fertilepour lhumour. Cest bien demettreun tel lieu ladispositionde la relve et de lui permettrede jouer devant un public. anest que l quon voit si ce quonfait fonctionne.

    Sandrine Viglino sur la scne du Point 11, l o se joue son Comedy Club tous les jeudis entre 19 et 20 heures. LOUIS DASSELBORNE

    VIGLINO, MENTO, MORISOD

    Il a vendu 20 millions dalbums,joue dans le monde entier et aprschaque gala, il peut passer troisheures ddicacer pour ses fans...On sent dans les mots de SandrineViglino une vraie tendresse pour lepersonnage dAlain Morisod, poursa gnrosit, pour son amour as-sum des airs populaires. Je viensmoi-mme du bal, rappelle-t-elle.Avec ce Tribute To Alain Morisod,lhumoriste et le musicien lectroFranco Mento dcryptent ce ph-nomne national, kitschissime, at-tachant, urticant, touchant, en usantdu contre-pied et du contrepoint. Eten se basant sur des lments bienrels, issus de la biographie duchanteur La vie cest comme unebote de chocolat. Au final, unspectacle de rassemblement, quina dautre ambition que celle duplaisir partag. JFA

    SIONCours 60+ La photonumrique. Yeux rouges,prises contre-jour, troplumineuses ou manque devivacit! Venez dcouvrircomment transformer vosphotos en de superbes clichs,crer un album, cartes de vuxet autres. Les mercredis 30 avril,7, 14, 21 et 28 mai de 14 16 h,Fr. 200.-. Contact: Pro SenectuteValais, 027 322 07 41.

    MMENTO

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    Le cin-club regards detikspropose ce soir la projection dufilm Kinshasa Symphony.Un documentaire sur lhistoirede Congolais ordinaires pas-sionns de musique classique.Il nous a beaucoup touches. Cedocumentaire montre que desgens sont prts bien des sacrifi-ces pour la musique, expliqueEmilie Barde, une des fondatri-ces du cin-club. Les imagesfont le portrait du Congo dau-jourdhui, des habitants deKin-shasa et de lamour de la musi-que. Le spectateur dcouvre aufur et mesure du film que cesmusiciens sont totalement habi-ts par leur passion. Ils construi-sent leurs instruments eux-m-mes et en inventent de nouveauxavec un rien. Ils rptent souventdans des conditions rudimentai-res. Et tout cela pour atteindreun seul objectif: le concert de lafte nationale qui leur tient vrai-ment cur.

    Le documentaire tient aussi montrer une musique clas-sique qui nest pas rservequ une lite. Les musiciensde lOrchestre symphonique deKinshasa sont des gens ordi-naires. Pour en parler la finde la projection, Carine Tripet

    sera linvite de la semaine.Cette professeure de pdagogie lcole Tibor Varga est ana-lyste en systme ducatif dansles pays en voie de dveloppe-ment. Elle se questionne gale-ment sur llitisme dans lensei-gnement musical.

    Succs au rendez-vousCest le quatrime documen-

    taire projet par le cin-club de-puis sa cration en janvier der-nier. Nous avons eu une bonnefrquentation lorsdes troispremi-res, la salle tait pleine, et notreconcept plat, explique SophieMichaud, autre cofondatrice ducin-club. Les films sont tou-jours suivis dune discussionavecunprotagonisteouuneper-sonneen lienavec la thmatiqueaborde.Nouschoisissons lesdo-cumentaires pour quils suscitentde lintrt chez les spectateurs, etquun vritable dialogue sinstaureavec linvit.Le film Kinshasa Symphony

    seraprojetcesoir19 h 30dansla salle de lassociation Alpagai Sion. Avant la sance, un trio devioloncelles de la haute cole demusique de Tibor Varga joueraquelquesmorceaux. SJ

    Informations sur www.etiks.ch

    Les musiciens de lorchestre symphonique de Kinshasa sont si passionnsquils sentranent rgulirement en pleine rue. DR

    DOCUMENTAIRE Des musiciens congolais se prparent pour la fte nationale.

    Un orchestre symphonique ordinaireBONS DACHATDes sous pouraider les enfantsJe suis ravie. Cest merveilleux

    davoir pu rcolter cet argent sup-plmentaire. Cest vraiment la ce-rise sur le gteau, commente laprsidente de lassociation SOSEnfants de chez nous, BatriceJordan.Ellesestvuremettre,hieren fin de matine, un chque de20 000 francs par le Pour-centculturel de Migros Valais. Nousredistribuerons cet argent sousforme de bons dachat dune valeurde 50 ou de 100 francs de manirecible et rigoureuse, poursuit laprsidente de cette associationau service des enfants dfavori-ss du canton depuis plus devingt ans. Si cette aventure per-dure, cest avant tout grce la g-nrosit de tous les donneurs. Lespetits dons ont tout autant dim-portance pour notre association etpour les familles dans le besoin,conclut Batrice Jordan dontlassociation nentend toutefoispas se substituer aux services so-ciaux du canton. FDR

    Un duo atypique qui fonctionne merveille sur scne. DR

    Tribute To Alain Morisod au Thtrede Valre, jeudi 24 avril 20 h 30.Rservations: www.ticketcorner.chViglino Comedy Club, les jeudis soirentre 19 et 20 heures au Point 11,rue du Grand-Pont 11, Sion.www.sandrineviglino.ch

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