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Théâtre et marionnettes

Bon Débarras ! Compagnie Alula

Mercredi 14 octobre à 15h Représentation scolaire mardi 13 octobre à 14h30

Théâtre municipal Idée originale : Sandrine Bastin Mise en scène : Muriel Clairembour, assistante mise en scène : Margaux Van Audenrode Scénographie : Sarah de Battice Marionnettes : Jean-Christophe Lefèvre, Annick Walachniewicz / création lumière : Dimitri Joukovsky / décor sonore : Michov Gillet / régie : Mathieu Houart / construction décors : Ateliers Berton, Sarah de Battice, Raphaël Michiels / graphisme affiche : Anne Crahay / diffusion : Margaux Van Audenrode Avec Sandrine Bastin, Perrine Ledent, Chloé Struvay A partir de 8 ans / Durée 1h

Le débarras, ce petit placard sous l’escalier. La cachette idéale, le terrain de jeu favori des enfants. Dans cette maison, de 1900 à nos jours, des générations d’enfants y ont trouvé refuge. Des années les séparent, pourtant leurs jeux, leurs émotions et leurs aspirations se ressemblent. Dans une scénographie inventive, au rythme des entrées et des sorties des marionnettes, aussi émouvantes que réalistes, cet espace anodin devient le théâtre d’histoires vécues ou imaginées, d’échanges complices, de secrets partagés ou d’interdits transgressés. Neuf tranches de vie qui s’entremêlent pour nous faire traverser un siècle d’Histoire. Bon débarras ! célèbre notre enfance, celle de nos parents et de toutes les générations. Avec le soutien de la Fédération Wallonie- Bruxelles et de Wallonie-Bruxelles Théâtre Danse. Avec l’aide des Centres Culturels de Waremme, Braine l'Alleud, Chênée, Tintigny-Rossignol et Remicourt. Merci à l’asbl Ferme de la Dîme, Alexis Nachtergael, Geoffrey Mornard, Olivier Palgen, Jean-Marc Delhausse, Éric Gierse, la Cie Dérivation

Extraits de presse

« Avec une ingéniosité folle, la compagnie Alula a imaginé une scénographie dépliable qui fait rebondir une histoire à tiroirs, un jeu de piste mélangeant les époques à travers le passé d’un même lieu. [...] Bon débarras! réussit l’exploit de brasser un siècle d’histoire sans avoir l’air d’y toucher, soulignant d’imperceptibles évolutions dans la société, comme l’éducation des enfants ou le statut des femmes. De tableaux en tableaux, des détails se répondent et c’est à nous de recoller les morceaux d’une pièce subtilement instructive. » Catherine Makereel - Le Soir

«Trois manipulatrices, [...] donnent une vie quasi réelle aux marionnettes tant et si bien qu’on oublie très vite que ce ne sont pas des comédiens, quelle prouesse !» Jean Michel Gauthier - RegArts

« Un siècle d’histoire raconté avec humour et juste lenteur, sous l’escalier, dans les coulisses des jeux et petits drames d’enfants, voilà le tour de force réalisé par la Compagnie Alula et ses marionnettes. » Laurence Bertels - La Libre Belgique

«Ce spectacle fait réagir, invite à porter un regard neuf sur ce qui se passe aujourd'hui, à se situer dans le temps. A découvrir !» Le Journal des Enfants Site internet de la compagnie : https://alula.be/bon%20d%C3%A9barras.htm

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Théâtre

Compromis Reprogrammation

Samedi 17 octobre à 21h Théâtre municipal Pièce de Philippe Claudel Mise en scène : Bernard Murat Assistante mise en scène : Lea Moussy Décors : Nicolas Sire, costumes : Carine Sarfati, lumières : Laurent Castaingt Diffusion : Pascal Legros Organisation Avec Pierre Arditi, Michel Leeb et Stéphane Pezerat Durée : 1h30

Deux amis, un appartement vide. L’un est un comédien médiocre, l’autre un dramaturge raté. Le premier vend son appartement et a demandé au second d’être présent lors de la signature du compromis, pour rassurer l’acheteur. Car s’il écrit de très mauvaises pièces, il a tout de même un visage rassurant. C’est sa grande qualité. On attend l’acheteur. D’ailleurs, acheteur ou pigeon ? En l’attendant on parle. On se flatte. On se moque. On se taquine. Cela glisse peu à peu. On se blesse en se lançant à la face ce que l’on retient depuis longtemps. Et l’acheteur finit par arriver. Il va assister à un règlement de comptes, farcesque mais sans concession, entre les deux amis. Va-t-il en demeurer le spectateur, en devenir l’arbitre ou en être au final la seule victime ? Compromis est une pièce à la fois drôle et mordante interprétée par deux grands comédiens qui s’affrontent dans un duo-duel réjouissant ! Extrait de presse

«Philippe Claudel ne cesse de nourrir de sa noirceur ironique ce feu d’artifice de quiproquos, d’intrigues psychologiques, de renversements de situation, de dialogues crépitants, auquel le public qui rit beaucoup assure le succès de ses effets. Et si le vrai compromis était celui de l’amitié ?» La Croix « Pierre Arditi et Michel Leeb ont des rôles qui leur vont comme un gant. » Au balcon.fr

« Stéphane Pezerat, épatant... » Télérama Extrait vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=K-h47G-GjYA

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Théâtre

Des plans sur la comète

Samedi 24 octobre à 21h Théâtre municipal Pièce de Tristan Petitgirard Mise en scène de l’auteur Décors : Olivier Prost / Costumes : Virginie H / Lumières : Denis Schlepp / Son : Romain Trouillet / Vidéo : Mathias Delfau Avec : Noémie de Lattre, Hélène Degy, Anne Plantey, Jérôme Anger Durée 1h30

Estelle, jeune cosmologue, est fâchée avec son père, scientifique lui aussi. Elle ne veut plus le voir depuis qu’il a refusé son entrée au CNRS. Ses recherches portent sur l’univers et elle s’apprête à faire une découverte majeure lorsque son père réapparaît dans sa vie. La rencontre n’est pas due au hasard. C’est Garance, sa meilleure amie, qui a entrepris de les réconcilier sans lui dire… Seulement, Garance n’imaginait pas un seul instant que ce serait elle qui s’en rapprocherait… Leur relation doit demeurer secrète. Apparaît alors Sophie, la troisième amie du groupe, qui, par son humour et ses gaffes, va nourrir les quiproquos. Après le succès de Rupture à domicile, Tristan Petitgirard explore les rapports humains dans cette jolie comédie, aux réparties particulièrement savoureuses. Production : Atelier Théâtre Actuel, ZD Production, Sésam’ Prod, Fiva Production Avec le soutien de l’Espace Carpeaux de Courbevoie et la Ferme des Communes de Serris

Extraits de presse « Une comédie hilarante et tendre à la fois. » Le Parisien « Deux ans après Rupture à domicile, Tristan Petitgirard a écrit une nouvelle pièce hilarante. L'originalité de cette comédie est d'offrir des moments d'émotions entre deux fous rires. » Le Point « Cette romance enjambant 25 ans d’écart est emmenée comme une comédie de Molière. Elle nous distrait en nous donnant à rire des travers de notre époque. Les quatre comédiens sont épatants. » Toute la culture « …absolument irrésistible : le texte, la scénographie, les comédiens tous formidables. L’humour est enlevé, chaque réplique fait mouche. » Coup de théâtre Site internet et extrait vidéo : http://www.atelier-theatre-actuel.com/fiche.php?menu=165&fiche=643

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Opérette

La Fille de Madame Angot Les Compagnons du Théâtre

Report

Samedi 31 octobre à 21h Dimanche 1er novembre à 15h30 Mardi 3 novembre à 21h Représentation scolaire le mardi 3 novembre à 14h

Théâtre municipal Mise en scène : Jack Gervais, chef d’orchestre : Julien Ursule, chef de chœur : Didier Oueillé, chef de chant, pianiste, répétiteur : Eric Laur Durée : 2h30 environ avec entracte

«La fille de Madame Angot, œuvre magistrale de Charles Lecocq fut créée le 4 décembre 1872 aux Fantaisies parisiennes à Bruxelles et le 21 février 1873 aux Folies dramatiques à Paris. Avec La fille de Madame Angot, nous plongeons en plein directoire entre les intrigues politiques et les exubérances des Merveilleux et des Merveilleuses. La mère Angot, femme de petite vertu dont on murmure qu’elle fut séduite par le grand turc, a une fille : Clairette, qui est élevée par les dames de la Halle. Ces dernières voudraient la marier à Pomponnet, le perruquier qui est amoureux d’elle. Mais Clairette lui préfère Ange-Pitou, un chansonnier habitué à la geôle pour ses chansons subversives. Mademoiselle Lange, qui a une liaison avec Larivaudière, est la favorite du Directeur Barras. Elle se retrouve fortuitement avec Clairette qui devient sa protégée. Mais Clairette déchantera car la séduisante Lange ne peut résister au charme d’Ange Pitou, ce qui conduira Clairette à accepter la main de Pomponnet. Ange Pitou se résignera à attendre Clairette, persuadé que celle-ci ne sera pas plus vertueuse que sa légendaire mère… Vous pourrez fredonner « Barras est roi, Lange est sa reine », « C’n’était pas la peine de changer de gouvernement », « De la mère angot, je suis la fille », le Choeur des conspirateurs… (Marie-José Amalvy)

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Danse hip-hop

Échos Compagnie Alexandra N’Possee Vendredi 6 novembre à 21h Représentation scolaire à 14h30

Théâtre municipal Chorégraphie : Abdennour Belalit Création lumière : Stéphane Avenas Texte et mise en scène théâtrale : Fréderic Kocourek Adaptation musicale : Cie Alexandra N'Possee Interprétation : Abdennour Belalit, Alexandre Sanavixay, Ludovic Lacroix ou Hichem Serir Abdellah, Mickael Arnaud, Islam El Shafey Tout public à partir de 8 ans. Durée : 1h

Avec Échos, la compagnie Alexandra N’Possee invite la danse

et l’écologie à dialoguer.

En résonance avec nos préoccupations, le spectacle pose un regard sensible sur la fragilité de

l’environnement, qui s’exprime ici à travers la force et la fragilité des corps et du mouvement.

Dans une scénographie épurée, soulignée par les jeux de lumière, cinq danseurs, torse nu,

incarnent avec virtuosité et émotion la force et la vulnérabilité de la biodiversité.

Les chorégraphies, aériennes ou au sol, sur le plateau recouvert de terre, nous plongent dans

une atmosphère onirique et fascinante.

Chaque mouvement, chaque tableau nous interroge ou nous émerveille et nous invite à

inventer notre propre histoire. Échos est un spectacle aussi intense que délicat qui interroge notre rapport à la Terre et nous rappelle la nécessité de la préserver. Co-productions : Relais culturel Haguenau / CCN La Rochelle / Espace Malraux - Chambéry / L'agora – Bonneville / Théâtre municipal de Pamiers / Théâtre de Charleville-Mézières / Association 4A - La Bohème Centre de résidences d'artistes – Vinsobres

«Abdennour Belalit invite l'art et l'écologie à dialoguer à propos d'une même source, d'une même préoccupation : préserver et promouvoir la liberté d'être et de se mouvoir, parce que tout, dans l'un comme dans l'autre, participe avec force et fragilité, de ce même vivant désir du beau, du tragique, du sublime et du différent. » « Abdennour Belalit signe ici une pièce très sensible où, (..), il utilise l’immense force de frappe du hip-hop sur le public de tous âges (..) pour faire passer un message. Il est derrière lui le temps de la prouesse technique, il impose ici une réflexion sur ses racines, sur le monde tel qu’il le voit et surtout s’inquiète de voir où il va. » Le Bruit du off

Extrait vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=InxnGDTPy6c

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Musique

David Kadouch - Edgar Moreau Duo piano-violon Dimanche 8 novembre à 17h Théâtre municipal Programme Poulenc : sonate pour violoncelle et piano Prokofiev : sonate OP 119 pour violoncelle et piano Rachmaninov : sonate OP 19 pour violoncelle et piano

« David Kadouch est un musicien prodige. Il n’a que 13 ans lorsqu’il donne ses premiers concerts au Métropolitan Hall de New York. Il est nommé aux Victoires de la Musique en 2010. On est captivé par son jeu éloquent et incarné. Edgar Moreau est un génie passionné. Il commence le violoncelle à 4 ans. Artiste très sollicité, il participe aux festivals les plus réputés. Il remporte les Victoires de la Musique en 2013 et 2015. Tous deux forment un duo de haut vol, complice et bien équilibré, au jeu fougueux et habité, d’une intelligence proportionnelle à son intensité émotionnelle. » Présenté par Forum dans le cadre des Dimanches Musicaux avec le concours de la Ville de Castres

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Théâtre

Un Cœur simple Compagnie Les Larrons

Vendredi 13 novembre à 21h Représentation scolaire à 14h30

Théâtre municipal De Gustave Flaubert Adaptation : Isabelle Andréani, mise en scène : Xavier Lemaire Scénographie : Caroline Mexme, régie : Rodrigue Louisar Production Les Larrons, en coréalisation avec le Théâtre de Poche-Montparnasse Spectacle créé au Théâtre La Luna - Festival d’Avignon 2018 Avec Isabelle Andréani Tout public à partir de 10 ans. Durée 1h15

Nomination aux Molières 2019 dans la catégorie seul(e) en scène Paru en 1877, dans le recueil Trois Contes de Gustave Flaubert, Un cœur simple retrace le l’histoire de Félicité, une servante au grand cœur officiant à Pont-Lévêque, en Normandie, au XIXe siècle. Isabelle Andréani l’a adapté pour le théâtre et l’incarne avec toute la force émotionnelle et lumineuse qui la caractérise. Dans une mise en scène épurée de Xavier Lemaire, on suit le destin de Félicité et cette vie modeste qui défile avec son lot de vicissitudes, de peines et de joies. Isabelle Andréani donne vie à cette femme bienveillante et courageuse avec générosité, tendresse et dignité. Elle restitue à merveille la puissance du verbe de Flaubert. Extraits de presse LE FIGARO (…) «Régulièrement des adaptations voient le jour. C’est le Félicité de Jean Audureau. Jean-Pierre Vincent créa la pièce à la Comédie Française. Inoubliable Françoise Seigner, Madame Aubain ; Denise Gence, Félicité. Aujourd’hui, c’est la magnifique Isabelle Andréani que l’on applaudit dans la petite salle du Poche. Pas d’autres décor que des claies de bois jetées sur le sol, face au public, dans une grande proximité. Isabelle Andréani, interprète, signe l’adaptation : on entend, on retrouve, presque toute la nouvelle. Mais le personnage dit « je ». On est fasciné, immédiatement happé par cette interprète qui efface toute distance, dirigée par Xavier Lemaire. Avec son visage lavé de toute sophistication, son regard si clair et si sincère, sa vérité, son grand art de dire, de faire vivre, elle nous bouleverse. Elle ne tient pas en place. Le bel oiseau, le perroquet naturalisé, est sage. « Aimez les humbles, les gens de peu », dit Flaubert. Aimons ce théâtre ». Armelle Héliot

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TELERAMA «…A-t-elle rencontré le rôle de sa vie ? Celui vers lequel la portaient son expérience et sa maturité ? A observer les noces qui unissent sur la scène la comédienne Isabelle Andréani au personnage de Félicité, héroïne du récit de Flaubert, on se dit que ce rendez-vous allait de soi. Entre l’actrice et la servante existe une même humanité. Une identique humilité. Celle d’Isabelle Andréani, qui sert en officiante zélée les phrases et le propos de l’auteur, celle de cette bonne du XIXe qui parle des coups durs comme des joies de la vie avec les mots vrais d’un cœur qui ne sait pas tricher. Nous entrons à leur suite dans le monde d’en bas, là où s’active une domestique aimant avec force ceux qui l’aiment, sans attendre plus que le peu qu’on lui donne. Félicité n’est pas une âme innocente, mais une femme exemplaire de tenue et de dignité. Chaque mot de Flaubert l’affirme. Chaque regard de l’actrice le soutient. Belle leçon de grandeur.» L’EXPRESS « Isabelle Andreani, mobile et enjouée, épatante de

naturel, restitue la simplicité touchante de Félicité et éclaire le sens de sa vie. » Site internet de la compagnie : https://www.leslarrons.com/movies/un-coeur-simple/

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Théâtre - marionnettes

De quoi rêvent les pingouins ? En votre Compagnie

Création

Mercredi 18 novembre à 15h Théâtre municipal Création 2020 Conception et interprétation : Cécile Guillot Doat et Jean-Marie Doat Mise en jeu et chorégraphies : Amandine Doat Collaboration artistique, éclairages : Frédéric Stoll Création bande sonore : Nicolas Carriere Administrarice de production : Lucile Hortala Chargée de diffusion : Céline Minette A partir de 6 ans. Durée : 50 min

Un pingouin se retrouve dans un laboratoire confronté à l’absurdité de notre monde moderne. Deux

soigneurs tentent de l’apprivoiser en lui enseignant des gestes répétitifs sans aucun sens pour lui.

D’autant que les dispositifs mécaniques des expériences se détraquent et s’emballent.

Au fil des tests, sa fièvre monte et dans son sommeil agité des images de banquise, d’ouvrier de

plateforme pétrolière, de touriste et de brise-glace viennent le hanter.

Ce spectacle à la croisée du théâtre, de la danse et de la marionnette, aborde l’urgence de la

mobilisation pour le climat en utilisant les ressorts de l’humour et de l’émerveillement. Il présente la

domestication et la vulnérabilité d’un seul animal sauvage comme la métaphore poétique de

l’exploitation de la nature par l’homme et de la fragilité des équilibres du vivant.

Soutiens : Ville de Millau, Théâtre de la Maison du Peuple - Millau, Ville de Castres,

Odradek - Centre de création et de développement pour les Arts de la marionnette,

Odyssud Blagnac, Aveyron Culture, Centre Social et Culturel du pays Ségali, MJC

de Rodez, Théâtre des 2 points,Théâtre de la Vista - Montpellier.

Site internet de la compagnie :

http://envotrecompagnie.wifeo.com/de-quoi-revent-les-

pinguouins.php

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Magie - mentalisme

Puzzling Les Illusionnistes

Vendredi 20 novembre à 21h Théâtre municipal Conception et interprétation : Rémy Berthier et Matthieu Villatelle. Création lumière : Yann Struillou. Regard extérieur : Kurt Demey. Tout public à partir de 8 ans. Durée : 1h10

Avec humour et habileté, les Illusionnistes revisitent les codes de la magie traditionnelle pour nous plonger dans leur univers où les phénomènes les plus improbables peuvent se réaliser. Dans une mise en scène inventive, ils ont réuni les expériences les plus fortes de la magie et du mentalisme, qu’ils assemblent à la manière d’un puzzle pour construire avec les spectateurs une mosaïque de mystères et d’énigmes à décrypter. Au fil des numéros, ils détournent notre attention, jouent avec nos certitudes. Et pour cela, ils n’hésitent pas à prendre des risques : chaque soir un (vrai) chèque de 1000 euros est mis en jeu pour les spectateurs qui se sentent de défier les lois du hasard ! Puzzling est un spectacle à l’univers singulier, aussi drôle qu’intrigant, qui vous réserve de belles surprises et un final renversant ! Extraits de presse «(...) Numéros ébouriffants, jolis partis pris de mise en scène et pastilles humoristiques (...) Chapeau bas messieurs !» Le Parisien « Puzzling, pas seulement de la magie, du grand art… » La Tribune « A mi-chemin entre la magie contemporaine, le mentalisme, le spectacle d’humour et le cabaret, leur show haut en couleurs et fort en sensations se savoure à plusieurs niveaux. En famille, entre amis, la promesse d’un moment troublant est donnée ! » Sortir à Paris.com

Site internet de la compagnie : http://www.lesillusionnistes.fr/spectacle-magie

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Cirque

Sol Bémol D’Irque & Fien

Vendredi 27 novembre à 20h30 Représentation scolaire à 14h30

Théâtre municipal Production : D’Irque & fien Mise en scène : Fien Van Herwegen, Dirk Van Boxelaere, Leandre Ribera Lumières : Bran Waelkens, costumes : Julia Wenners Alarm et Carmen Van Nyvelseel Inspiration musicale : Alain Reubens, Techniciens/manipulateurs sur scène : Fill de Block, Nicolas Charpin Avec : Fien Van Herwegen et Dirk Van Boxelaere Tout public à partir de4 ans. Durée : 1h

Ils nous avaient enchantés avec Le Carrousel des moutons. D'irque & Fien sont de retour dans une nouvelle création qui mêle la musique, l'humour et la légèreté des prouesses aériennes. Sur scène, des grues, des poulies, quatre pianos qui s’empilent ou s’envolent... Dans un décor aux airs de bateau échoué, Sol Bémol met en scène un couple qui se cherche, se perd, se retrouve, espère trouver l’équilibre et l’harmonie d'une vie à deux. Lui voltige, jongle, grimpe et retombe au gré des notes, luttant contre les forces de la gravité. Elle, sans se soucier de l’inclinaison de son piano, le balade et nous enchante avec sa musique vagabonde. De situations inattendues en vertigineux équilibres, D’irque et Fien nous entraînent dans un univers onirique, titillant avec délicatesse notre âme d’enfant. Prix du meilleur spectacle de cirque TAC - Valladolid, Espagne, 2017 Soutiens : Gouvernement Flamand / Le Boulon, Centre national des arts de la rue / Le Cratère, Scène nationale d’Alès / le Théâtre de l’Archipel, Perpignan, Scène nationale

Extraits de presse

« D’Irque et Fien, c'est un duo sur scène comme dans la vie, qui voyage de ville en ville avec sa valise et son piano. Leur langage universel leur permet de franchir les frontières et de toucher tous les publics. » Culturebox

« Une réussite de plus pour ce couple atypique qui nous rappelle parfois le grand Chaplin. » Le journal

« La scène finale, grandiose, rappelant d'une certaine manière celle des Temps modernes de Chaplin, leur offre l'espérance d'un avenir ... au 7e ciel! » L'humanité

« Sol bémol distille une gaieté sans arrière-pensée, déconnectée de la réalité, sorte d'invitation au voyage et visant à l'universel. » Le journal

« Voilà tout ce beau monde pris dans une frénésie d'accumulation qui va se terminer en pyramide musicale vertigineuse et déjantée. » La Dauphiné Libéré Site internet de la compagnie : https://www.dirque.com/fr/

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Musique

Fanny Azzuro Récital de piano Dimanche 29 novembre à 17h Théâtre municipal Programme Schumann : scènes d’enfants Rachmaninov : variations sur un thème de Corelli / Préludes OP 32

« Lauréate de prestigieux concours internationaux Fanny Azzuro est invitée à travers le monde. Elle consacre son premier album au répertoire russe qui lui est cher. Les enregistrements suivants feront aussi l’unanimité des critiques. C’est une artiste passionnée, généreuse au jeu clair et riche en couleurs, qui allie virtuosité et poésie. Réceptive à tous les genres musicaux, Fanny Azurro joue aussi du tango avec le Spiritango Quartet et vient de créer «un récital dansé» avec Parelle Gervasoni. » Présenté par Forum dans le cadre des Dimanches Musicaux avec le concours de la Ville de Castres

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Opéra

Carmen Compagnie Opera 2001 Mardi 1er décembre à 20h30 Théâtre municipal Opéra en quatre actes de Georges Bizet Livret d’Henri Meilhac et Ludovic Halévy D’après la nouvelle de Prosper Mérimée Version originale en français Direction musicale : Martin Mázik Mise en scène : Roberta Mattelli Décors : Alfredo Troisi, costumes : Arrigo (Milan), perruques : Mario Audello (Turin) Chaussures : Calzature Epoca (Milan) Solistes, Chœurs et Orchestre de la Compagnie Lyrique Opera 2001 avec la collaboration du Ballet Espagnol de Murcia, chorégraphie Matilde Rubio Durée : 2h55 avec entractes

Le personnage de Carmen, femme séductrice et rebelle, au destin tragique, a été créé par Prosper Mérimée, dans un roman publié en 1847 resté très confidentiel. C’est à l’opéra de Georges Bizet qu’il doit sa renommée internationale. Carmen est aujourd’hui l’opéra le plus joué dans le monde. Carmen, jeune et jolie bohémienne, employée à la manufacture de cigares de Séville, arrache une fleur de son corsage et la jette au brigadier Don José. Lors d'une querelle entre les cigarières, l’armée intervient et Don José cédant au charme de Carmen, la laisse s’échapper. Pour l’amour de Carmen, il va abandonner sa fiancée Micaëla et déserter. Mais son amour inconditionnel ne suffit pas à Carmen qui lui préfère le toréador Escamillo... Sous la direction musicale de Martin Mázik, les solistes, chœurs et orchestre de la prestigieuse compagnie Opera 2001 vous feront redécouvrir cette œuvre incontournable et intemporelle. Extrait vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=UbJGtY_dsDE

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Musique

Concerts de Noël Conservatoire de Musique et de danse du Tarn Samedi 12 décembre à 20h30 Dimanche 13 décembre à 17h30 Théâtre municipal

« Chaque année, à cette période précédant Noël, les élèves du Conservatoire de Musique et de Danse

du Tarn proposent au public un moment musical, annonçant les fêtes de fin d’année. Ceux de l’antenne

de Castres ne manquent pas ce rendez-vous et les deux concerts, donnés au Théâtre, en témoignent. Cette année encore, le programme des deux concerts sera différent. Celui du samedi sera plus particulièrement consacré aux orchestres et celui du dimanche, aux groupes de chant choral et ensembles instrumentaux. Nous vous donnons donc rendez-vous pour célébrer ce moment en musique ! »

Soutiens : Département du Tarn, communes et intercommunalités adhérentes et DRAC Occitanie

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Fable musicale

CaCHé ! Mercredi 16 décembre à 15h Représentation scolaire le jeudi 17 décembre à 10h

Théâtre municipal

Création 2020 Texte et mise en scène : Tom Poisson Musique : Fred Pallem Scénographie / Lumière : Christophe Genest Avec Marlène Bouniort, Cédric Laronche A partir de6 ans. Durée : 1h

C’est l’histoire d’un petit garçon qui va passer sa vie enfermé dans une armoire. Celle-ci deviendra peu

à peu son espace de rêverie et de liberté. Les livres qu’il va lire, les courriers qu’il pourra envoyer grâce

à une mystérieuse boîte aux lettres, la compagnie de son ami imaginaire feront de lui le plus libre des

hommes.

Le petit garçon devenu vieux nous raconte sa vie pleine de rebondissements et d’échanges avec le

reste du monde.

Caché ! est la nouvelle création jeune public de Tom Poisson et le fruit d’une belle complicité artistique.

Ces textes pleins de tendresse et de poésie, sont mis en musique par Fred Pallem. Ils sont servis par

deux formidables comédiens-chanteurs qui nous plongent avec délicatesse dans l’univers de ce

personnage en quête de liberté.

Caché ! est un spectacle sensible et espiègle qui nous rappelle la nécessité de s’affranchir des

contraintes pour s’émanciper. La scénographie

La scénographie est essentiellement centrée autour de cette armoire préparée. Celle-ci ressemble comme deux gouttes d’eau à l’armoire de nos grand-mères.

L’intérieur de l’armoire est un monde à part entière. On y trouvera des livres, des vêtements suspendus, une carte du monde, une mappemonde, des petits instruments de musiques. Cette base scénographique va se « déployer » au fil du récit puisque les flancs de l’armoire peuvent pivoter créant ainsi plusieurs modules d’expression, symbolisant par là-même l’ouverture mentale qui s’opère chez notre héros. Une voile fera aussi son apparition, transformant notre armoire sédentaire en moyen de locomotion.

Extrait vidéo et site de la compagnie : http://www.tompoisson.fr/cache/

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Théâtre

Plus haut que le ciel Samedi 19 décembre à 21h Théâtre municipal Pièce de Florence et Julien Lefebvre Mise en scène : Jean-Laurent Silvi, assisté de Nastassia Silve Décors : Margaux Van Den Plas Lumières : Eric Milleville Costumes : Frédéric Olivier Musique : Romain Trouillet Avec Frédéric Imberty, Margaux Van Den Plas, Thomas Ronzeau, Axel Blind, Nicolas Le Guen, Jean Franco et Héloïse Wagner Durée : 1h20

1884, Paris. L’Exposition Universelle de 1889 se prépare. Dans les bureaux de l’entreprise Eiffel, Nouguier et Koechlin, deux ingénieurs, présentent le projet d’une tour à l’assistant de Gustave Eiffel. Une tour de 305 m, la plus haute au monde, une prouesse de technologie. Aberrant, incompréhensible, inutile, leur projet est immédiatement refusé. D’ailleurs Monsieur n’a pas le temps, il est trop occupé par l’écrasante gestion de sa société. Il est cependant difficile de balayer d’un revers de la main l’idée du siècle, surtout quand au même moment Claire Eiffel, sa fille, cherche l’étincelle qui redonnera à son père le goût du rêve, de l’aventure et de l’exploit ! Sept comédiens nous plongent avec entrain dans cette épopée pleine de rebondissements. Dans une scénographie ingénieuse, ils nous font revivre les émotions de ces créateurs de génie et les nombreuses péripéties qu'ils ont dû affronter pour réaliser ce projet fou. Et même si nous connaissons tous la fin de cette fabuleuse histoire, ils parviennent à nous tenir en haleine jusqu’au dernier instant. Extraits de presse

«Un spectacle vivant, comique et didactique!» Le Figaro « Un spectacle pour tous les âges, dont on sort aussi essoufflé que si l’on était monté à pied » Figaroscope «La pertinente mise en scène de Jean-Laurent Silvi, à la Feydeau, au rythme effréné, truffée d’humour et de rebondissements, magnifiée par la beauté des costumes et des décors, s’articule autour d’une réalité

augmentée (vidéo) faisant naître toute la magie nécessaire à cette fascinante aventure.(…) Cette exquise comédie, aussi joyeuse qu’instructive et servie par d’excellents comédiens à l’enthousiasme décapant et très communicatif, s’adresse à tous, particulièrement aux plus jeunes. Mieux que la réalisation d’un rêve, Plus haut que le ciel désigne la voie de tous les possibles » Politique Magazine Site internet et extrait vidéo : https://www.theatresparisiensassocies.com/pieces-theatre-paris/plus-haut-que-le-ciel-4254.html

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Musique

Prélude au Réveillon Ensemble orchestral du Tarn / Direction Pierre Caner Jeudi 31 décembre à 20h Théâtre municipal Par l’Ensemble orchestral du Tarn Direction : Pierre Caner Durée : env. 1h

«Que faire pour la soirée du réveillon de la nouvelle année ? La question peut paraître insolite tant le concert du «Prélude au réveillon», organisé au théâtre par la Ville, le soir du 31 décembre, est devenu un rendez-vous très attendu de la vie culturelle de Castres. Pour la neuvième année et, nous l’espérons, toujours pour la plus grande joie du public, l’Ensemble Orchestral du Tarn et son chef, Pierre Caner, nous préparent un programme « surprise » dont le contenu est jalousement gardé. Nul doute qu’il alliera, comme à l’accoutumée, classiques et musiques de films, airs d’opéra et musique légère, succès populaires et « pépites » à découvrir… A l’issue du concert, vous pourrez partager, avec modération, une coupe de champagne* en compagnie des musiciens de l’orchestre. » *L’abus d’alcool est dangereux pour la santé.

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Théâtre

Un Monde fou Vendredi 8 janvier à 21h Théâtre municipal Auteur/Compositeur : Becky Mode Direction artistique : Andréa Bescond Mise en scène : Éric Métayer Création lumière : Jean-Yves Desaint-Fuscien Son : Vincent Lustaud Avec Éric Métayer Durée : 1h40

Molière 2008 du spectacle Seul en Scène Sam, acteur au chômage, arrondit ses fins de mois en tenant le standard d’un grand restaurant. Restant poli face aux caprices des VIP, il prend le temps de répondre gentiment aux correspondants qui le méritent. Du haut de sa cuisine high-tech, le chef le harcèle, le manager le snobe, on oublie de lui garder son repas et on lui demande d’exécuter les tâches les plus ingrates. Mais des signes d’un avenir meilleur lui redonnent espoir, et son père l’attend pour Noël... Avec son talent comme unique accessoire, Éric Métayer incarne les 32 personnages de la pièce, passant de l’un à l’autre à un rythme étourdissant. Il nous enchante une fois de plus avec cette galerie de portraits savoureuse qu’il campe avec justesse et véracité. Sa gestuelle, ses mimiques, ses intonations de voix sont époustouflantes ! Éric Métayer nous embarque avec virtuosité dans son monde fou où transparaît une émouvante humanité. Extraits de presse « Éric Métayer, acteur d’une espèce rare, un animal polymorphe et polyphonique, doué d’un système moteur extravagant, d’une énergie fabuleuse et d’une élasticité physique peu commune». Le Figaro «Un record de virtuosité» Les Échos «Un petit bijou dont l’ouvrage est digne des grands orfèvres» Pariscope

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« Seul en scène, il va incarner, entre fureur et déférence, ironie et mélancolie, trente-deux personnages au téléphone ou à l’interphone. Patron, clients en tout genre, collègues de tout poil, père, ami, rival : le défilé et condensé d’humanité est haut en couleur, petitesses et grandeurs. Et permet au comédien virtuose de passer en quelques secondes du burlesque à la tragédie. En artiste caméléon, seul face à une méchante table de bois censée figurer son standard, Éric Métayer est d’une admirable légèreté. Jamais il ne s’appesantit sur un caractère, mais vole de silhouette en silhouette. » Télérama Site internet et extrait vidéo : https://www.matrioshka.fr/un-monde-fou

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Cirque et musiques du monde

BaDaBoum Compagnie Gondwana Dimanche 10 janvier à 16h Théâtre municipal Perrine Ball : fil dur, accordéon, acrobaties, équilibres, clown, percussions corporelles Nicolas Paradis : kora, guitare, flûte traversière, kazoo, portés, percussions corporelles Louisa Marcandella : vélo acrobatique, monocycle, n'goni, saxophone, accordéon, portés, acrobaties, équilibres, percussions corporelles Yani Aït Aoudia: n’goni, guitare, cajon, portés, vélo acrobatique, percussions corporelles Création 2013 - Co-Production JM France/Cie Gondwana

Tout public à partir de 4 ans. Durée : 50 min

Sur scène, quatre artistes, à la fois musiciens et acrobates, jouent de tout et s’amusent d’un rien. Ils se remémorent leurs souvenirs et nous invitent à une traversée du temps où équilibres, rires et portés acrobatiques s’enchaînent au gré de situations burlesques ou poétiques. À l’endroit ou à l’envers, sur un fil ou à vélo, ils se chamaillent et se défient. La musique est au cœur de cette aventure collective et tout est prétexte à faire chanter l’accordéon, la guitare, le cajon, le saxophone et les instruments magiques de l’Ouest africain. Parfois même, il ne suffit que de son corps et de ses mains. BaDaBoum est un spectacle rythmé et pétillant, une rencontre mystérieuse, musicale et circassienne qui invite au voyage et à la découverte. Extraits de presse «Une acrobatie tout en rires et en poésie, une esthétique mise en musique au son de l'accordéon, de la guitare, du saxophone et des percussions du Pérou ou de l'Afrique de l'Ouest : ici réside la singularité de la jeune compagnie Gondwana et de ses quatre interprètes, circassiens et musiciens. » Télérama « Quand cirque et musique jouent ensemble, le résultat laisse rêveur ! Un spectacle sans parole mais qui dit beaucoup de choses. Même si le fil conducteur est présent, chacun se fait son histoire et se laisse emporter dans cette belle poésie créée par la compagnie Gondwana !» Fréquence Sud Site internet et extrait vidéo : https://www.cie-gondwana.com/

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Danse hip-hop

Les Forains, Ballet urbain Compagnie Rêvolution Vendredi 15 janvier à 21h Théâtre municipal Pièce pour 8 danseurs Chorégraphie d’Anthony Egéa D’après Les Forains d’Henri Sauguet sur un argument de Boris Kochno avec l’autorisation des Editions Salabert - Copyright Universal Direction musicale : Philippe Forget - Orchestre de l’Opéra de Limoges Musiques enregistrées : partie orchestrale enregistrée par l’Orchestre de l’Opéra de Limoges sous la direction de Philippe Forget Création musiques électroniques / Musicien - DJ: Frank II Louise Scénographie et lumières : Florent Blanchon, costumes : Hervé Poeydomenge Fabrication du décor : Atelier de construction de l’Opéra de Limoges Fabrication des Costumes : Atelier de confection de l’Opéra de Limoges Photo : Pierre Planchenault Tout public à partir de 7 ans. Durée : 1h10

«Une vraie fête de la jeunesse et de la danse» disait Jean Cocteau à propos des Forains. Créé en 1945 au lendemain de la guerre par le compositeur Henri Sauguet et le chorégraphe Roland Petit, le ballet évoque la parade d’un cirque s’installant en périphérie de ville. Anthony Egea revisite cette œuvre mythique dans un spectacle réjouissant, qui mélange les genres avec allégresse. Une magnifique rencontre entre la musique classique, le hip-hop et l’univers électronique de Frank II Louise qui se mêle à la partition originale. Clowns, frères siamois, prestidigitateur… Nous voilà plongés dans la vie d'un cirque, pleine de tendresse, de mélancolie et de poésie. 70 ans après, la place du village est une rue de banlieue, les saltimbanques d’après-guerre se sont transformés en danseurs hip-hop virevoltants et les numéros de cirque sont devenus un grand show urbain. Dans ce ballet décoiffant, la danse, virtuose, se mêle à la musique symphonique de Sauguet, enregistrée par l’Orchestre de l’Opéra de Limoges. Les tableaux sont ponctués de notes électro mixées en direct par Frank II Louise, irrésistible Monsieur Loyal de cette joyeuse piste aux étoiles. Production Compagnie Rêvolution Coproductions : Opéra de Limoges / Oara Soutiens : Opéra de Limoges / Le Cuvier- CDC d’Aquitaine / Centre Culturel Jean Gagnant de Limoges Partenaires : Drac Aquitaine / Conseil régional de la Nouvelle Aquitaine / Conseil départemental de la Gironde / Mairie de Bordeaux En coréalisation avec l’Office artistique de la Région Nouvelle Aquitaine (Oara)

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Extraits de presse « Un spectacle décapant qui s'adresse à tous les publics. Et aux grands enfants que nous sommes restés. » Théâtre online « La danse se charge de légèreté et d’élégance propres au classique. Le travail aérien se marie avec la percussion et l’ancrage au sol des danses urbaines. » France TVinfo «Un cocktail étonnant et détonnant qui fonctionne tout naturellement.» France Info

« Les danseurs vêtus de très beaux costumes de cirque vont et viennent avec une incroyable énergie et donnent à la scène une folle allure. Le spectateur plonge dans un univers baroque inspiré des Freaks que l’on croisait dans les fêtes foraines : bateleurs, siamois, femme-araignée, tous ces personnages hors du commun donnent vie à un musée vivant où le féerique côtoie le fantastique. » France TVinfo

Site internet et extrait vidéo : https://www.cie-revolution.com/compagnie/creations/en-tournee/les-forains/

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Musique

Fanny Clamagirand - David Bismuth Duo piano- violon Dimanche 17 janvier à 17h Théâtre municipal Programme : Tchaikovski : souvenir d’un lieu cher Stravinsky : Divertimento Le baiser de la fée Chostakovitch : 2 préludes Rachmaninov : Romance et vocalise Grieg : sonate n° 3 OP 45

« C’est sur la scène des plus grandes salles et des plus importants festivals que Fanny Clamagirand a construit sa réputation en compagnie d’orchestres de renom et aux côtés des meilleurs chambristes. L’élégance, la sensibilité de son jeu font l’admiration de tous. Désigné par le magazine Pianiste comme l’un des dix pianistes français les plus doués de sa génération, David Bismuth est salué par la critique pour son jeu lumineux et profond, un poète dans l’âme. En musique de chambre il est très recherché. C’est un duo fusionnel, bouleversant de beauté et de sentiments. » Présenté par Forum dans le cadre des Dimanches Musicaux avec le concours de la Ville de Castres

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Théâtre

L’île au trésor Compagnie 9Thermidor Mercredi 20 janvier à 15h Représentation scolaire le jeudi 21 janvier à 10h

Salle Louisa Paulin Création 2020 (titre provisoire) D’après «Treasure Island» de Robert Louis Stevenson Conception, jeu, construction : Stéphane Boireau Violoncelle, composition, création sonore : Pierre Burette Regard extérieur, aide à l’adaptation : Ophélie Kern Costumes : Manu Fouché A partir de 6 ans. Durée : environ 45 min Nous connaissons tous les aventures du jeune et courageux Jim Hawkins, embarqué sur un navire à la recherche d'un trésor enfoui sur une île déserte. La compagnie 9Thermidor s’empare de ce grand classique en s’inspirant de la tradition du livre-disque de notre enfance, dont l’intérêt est de mêler textes, musique et images. Elle en propose une adaptation joyeuse, vivante et respectueuse de l’œuvre, dans une mise en scène simple mais ingénieuse. Avec la complicité du violoncelliste Pierre Burette, Stéphane Boireau nous embarque avec malice au cœur de ce récit d’aventures palpitant.

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Théâtre

Cyrano(s) Compagnie Les Moutons Noirs Vendredi 22 janvier à 21h Représentation scolaire à 14h30

Théâtre municipal D’après le chef d’œuvre d’Edmond Rostand Mise en scène collective Masques : Yannick Laubin Collaboration Artistique : Paola Secret et Iris Mirnezami Lumières : Remy Cabaret Graphisme : Olivia Grenez Avec : Roland Bruit, Axel Drhey, Yannick Laubin, Pauline Paolini, Bertrand Saunier Tout public à partir de 10 ans. Durée 1h35

Cyrano aime Roxane mais n’ose lui dire car il se sent trop laid. Christian aime Roxane mais n’ose lui dire car il se sent trop sot. Cyrano prête son esprit à Christian pour réaliser à travers lui son amour. Roxane aime Christian mais tombera sans le savoir amoureuse de l’esprit de Cyrano. Et si Cyrano n’était pas vraiment laid ? Et si sa laideur était dans la vision qu’il a de lui-même ? Les Moutons Noirs rendent hommage au chef-d’œuvre d’Edmond Rostand en y ajoutant leur patte et leur folie.

La mise en scène, particulièrement astucieuse, permet à chaque comédien de venir nous confier entre les actes le complexe qui est le sien. Tous arborent tour à tour le célèbre nez en y apportant leurs différences et singularités afin de représenter ce Cyrano qui sommeille en chacun de nous. L’originalité de la mise en scène n’occulte cependant pas le texte d’Edmond Rostand que les comédiens interprètent avec beaucoup de justesse. «On rit, on rit beaucoup. On rit franchement. Et quand l’émotion doit être là, elle apparaît, belle et lumineuse. Un coup de cœur !» Bulles de Culture / Avignon Production : Les Moutons Noirs Avec le soutien du Tarmac La Scène Internationale Francophone, Le Lavoir Moderne Parisien, Le Théâtre Traversière Paris

« Cinq comédiens arborent tour à tour le célèbre nez en y apportant leurs différences et singularités afin de représenter ce Cyrano qui sommeille en chacun de nous. » Note d’intention

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Cyrano nous touche parce qu’il est profondément humain. Nous partageons ses rêves, ses aspirations mais aussi ses imperfections, ses complexes ainsi que sa soif de liberté et sa volonté de s’affranchir des standards et des codes de la société. Animés par l’amour de ce texte, Les Moutons Noirs rendent hommage au chef d’œuvre d’Edmond Rostand tout en y ajoutant leur patte et leur folie. Se réunir autour de cette pièce, c’est inviter le spectateur à réfléchir ensemble à ces différences qui font partie intégrante de nos identités. Nous avons tous du panache !

Extraits de presse « Cyrano(s), par les Moutons Noirs au Théâtre du Roi René : Comme à leur habitude, les Moutons Noirs, dans cette nouvelle création, s’approprient un texte dramatique pour en offrir une lecture très personnelle, décalée et recentrée autour d’un thème précis. Ici, leur leitmotiv : « nous sommes tous Cyrano » ! Si le constat paraît plutôt simple, le traitement qui en est fait dans le spectacle est, lui, extrêmement émouvant : jouant tour à tour Cyrano, les acteurs, entre deux actes, se mettent à nu et expriment au public, en quelques mots ou quelques gestes, leurs propres complexes et incertitudes. Ces instants brefs – presque trop, car le plaisir qu’ils nous procurent nous donnerait envie de les prolonger davantage – sont de purs instants de grâce d’une force profonde. Ce que les vers perdent de précision esthétique dans leur diction, ils le gagnent en intimité, en immédiateté. Si l’on va voir les Moutons Noirs, ce n’est pas tant pour la littérature que pour le goût de la mise en danger des artistes, une vision de notre propre humanité, sur le fil… Pas de costumes, peu de scénographie, tout est dans la voix des acteurs, leurs expressions, leurs gestes. Dans ce théâtre, il n’y a véritablement que Cyrano – autrement dit, que nous, face à nos peurs – et une exhortation brûlante, bouleversante, à se battre pour s’aimer quand même. Car, si Cyrano s’était fait refaire le nez pour effacer son complexe, il n’y aurait pas eu d’histoire, n’est-ce pas ? » Théâtre actu « Cette originalité de mise en scène n’occulte pas le texte d’Edmond Rostand. Bien au contraire ! Il résonne dans les voix des comédien-ne-s avec une justesse extraordinaire. La poésie, l’humour, la vivacité. Tout y est. De façon splendide. Cyrano(s), c’est un très beau Cyrano de Bergerac. Quelques objets pour tout décor : des tabourets, des chaises, un porte-manteau, un micro sur pied, quelques pièces de tissus pour tout costume. Et une inventivité folle. À chaque ouverture d’acte, un comédien vient lire la didascalie, indiquer où l’on se trouve. Et de trois fois rien, la pièce surgit avec une force incroyable. Le burlesque de certaines scènes est encore amplifié par les décalages que la troupe imagine. Quelques références à l’actualité. Rien d’excessif mais surtout très bien imaginé. On rit, on rit beaucoup. On rit franchement. Et quand l’émotion doit être là, elle apparaît, belle et lumineuse. C’est un spectacle coup de coeur de Bulles de Culture. » Site internet de la compagnie : https://www.lesmoutonsnoirs.fr/copie-de-ruy-blas

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Théâtre et marionnettes

Petit détail Compagnie Rouges les Anges Mercredi 27 janvier à 15h Représentation scolaire le jeudi 28 janvier à 9h15 et 10h30

Salle Louisa Paulin D’après l’album jeunesse « Les oiseaux » de Germano Zullo et Albertine (Ed. La joie de Lire) Prix sorcière 2010 Mise en scène : Laurence Belet Comédiens marionnettistes : Denis Lagrâce et Loëtitia Besson Scénographie et marionnettes Projections et animations : Joël Abriac en collaboration avec Albertine Animations sable : Gabriel Gonzales Création musique originale : Philippe Gelda / Création lumière et régie : Marco Gosselin Costumes : Kantuta Varlet Avec la voix de François Fehner A partir de 3 ans. Durée : 35 min

Entre désert jaune et ciel bleu, un camion rouge suit une route serpentine. Quand il s'arrête, le

chauffeur ouvre les portes arrière du véhicule et une nuée d'oiseaux s'envole. Tous, sauf un petit

oiseau noir. Timide, il se cache, là… Le bonhomme va tout faire pour que le petit volatile puisse lui aussi

fréquenter l'azur.

Petit détail est adapté du magnifique album d’Albertine et Germano Zullo, Les Oiseaux.

Marionnettes, théâtre, chanson et projection d’images restituent à merveille la force émotionnelle de

cette histoire simple, où l’amitié a le pouvoir de concrétiser les rêves semblant inaccessibles.

En partenariat avec : Côté Cour (Besançon /25), Festival Marionnettissimo (Tournefeuille/31), Espace Job (Toulouse /31), L’Usinotopie (Villemur sur Tarn/31), Odyssud (Blagnac/31), Le Cratère Scène Nationale d’Alès (30), Le théâtre des trois ponts (Castelnaudary/11), ADDA82. La compagnie est conventionnée par la ville de Toulouse et soutenue par le conseil Départemental de Haute Garonne et par le conseil régional d’Occitanie. /Illustration : Albertine

Note de mise en scène « On parle beaucoup de pédagogie, de savoirs à ingurgiter, de notions, de valeurs à transmettre aux enfants. On se questionne sur la place exponentielle des écrans dans leur quotidien On observe le rythme effréné des images, des vidéos et films qui leur sont destinés On écrit beaucoup de livres de développement personnel pour nous, adultes qui n’avons pas appris ou qui devrions réapprendre les choses simples qui mènent (enfin !) au bonheur….

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Alors comment permettre très vite aux enfants de profiter de la richesse de ces petits riens, qu’on ne voit que si on leur apporte de l’importance et qui peuvent transformer nos quotidiens ? Arrêtons-nous un instant dans notre rythmes fous et observons dans nos vies ces petits signes avec eux, pour qu’ils puissent ensuite les reconnaître et les collectionner chemin faisant. Un livre ? Un spectacle ? Ce n’est qu’un point de départ, le début d’un chemin. L’album jeunesse « Les oiseaux » offre cette opportunité avec son onirisme, son texte poétique, un découpage cinématographique et des gouaches aux couleurs chaudes. Germano Zullo et Albertine emportent le lecteur dans leur monde d’une fantaisie douce et généreuse. Et cela fait directement écho à des choses qui me chatouillent, me titillent.

Bien sûr, transmettre des connaissances est important, mais à quoi bon si l’on ne sait pas profiter d’un sourire, un regard, une rencontre…Cela aussi mérite réflexion et intérêt. Alors est née l’envie d’ouvrir une parenthèse dans ma recherche actuelle, et de rassembler mon équipe autour de ce projet. A nous maintenant, créateurs de spectacles de rassembler nos cerveaux, nos émotions, nos idées, de conjuguer nos talents et dans cette synergie, de donner vie à cet album, pour

éveiller les plus jeunes à ces petits signes, ces petits bonheurs et de tenter de réveiller les adultes par la même occasion. Et si jamais, en sortant du spectacle, enfants et adultes venaient à avoir envie d’en parler ensemble ? Pour nous alors, ce sera Le petit rien qui fera de ce jour-là, un jour pas comme les autres…

Laurence Belet Site internet de la compagnie : http://www.rougeslesanges.com/spectacles#cbp=/petit-detail

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Jazz

The Glenn Miller Memorial Orchestra Le Meilleur des Années Swing Dimanche 31 janvier à 17h Nouveau spectacle

Théâtre municipal Direction musicale et chef d’orchestre : Frank White Chant : Paul Wood, Fiona Page 16 musiciens - trompettes, trombones, saxophones, piano, batterie, contrebasse Spectacle présenté par Music For Ever Production Durée : env. 1h40 avec entracte

Voilà plus de trente ans que le Glenn Miller Memorial Orchestra perpétue avec succès la tradition des Années Swing et son esprit festif. La prestigieuse formation est de retour avec un nouveau spectacle créé et dirigé par le chef d’orchestre Frank White. Au programme : les morceaux les plus populaires de l’ère du swing interprétés par Paul Wood avec un bel hommage à Frank Sinatra naturellement, ainsi que des arrangements originaux de New-York, Come Fly With Me, The Lady Is A Tramp, Mack The Knife, You Make Me Feel So Young... Vous pourrez également réentendre les plus grands tubes des années 40 interprétés par la chanteuse Fiona Paige : This Can't Be Love, Why Don’t You Do Right d’Ella Fitzgerald et Peggy Lee... Glenn Miller est à l'honneur dans la deuxième partie, ainsi que les mélodies intemporelles des big bands de l’ère du swing dont l’incontournable Sing Sing Sing .... Une immersion au cœur des plus belles années du jazz ! Site internet et extrait vidéo : https://www.glennmillermemorialorchestra.com/welcome/index.php

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Cirque

My Land Recirquel Compagny Vendredi 5 février à 21h

Théâtre municipal Par la Recirquel Company Budapest Direction artistique, mise en scène et chorégraphie : Bence Vági Interprètes : Rodion Drahun, Roman Khafizov, Sergii Materinskyi, Yevheniia Obolonina, Andrii Pysiura, Mykola Pysiura et Andrii Spatar Consultant cirque: Krisztián Kristóf, consultants artistiques : Illés Renátó, Gábor Zsíros Musique: Edina Mókus Szirtes et Gábor (Fiddler) Terjék Diffusion : Temal Productions / Production Müpa Budapest / Coréalisation : Théâtre du Chêne Noir Tout public à partir de 7 ans. Durée 1h

Meilleure production au Fringe d’Edimbourg 2018

My Land est un merveilleux spectacle à l’univers singulier. Bence Vági, directeur de la compagnie Recirquel - pionnière du cirque contemporain en Hongrie, s’est entouré de sept acrobates ukrainiens de renommée mondiale pour cette création inédite alliant cirque, théâtre, danse classique et contemporaine. Entre ombre et lumière, My Land explore les origines de l’humanité et exprime le lien éternel qui unit l’Homme et la Terre-mère. Portés par des chants sacrés, palpant et fouillant la terre recouvrant tout le plateau, les artistes évoluent dans un espace empli d'illusions, sublimé par des acrobaties à couper le souffle. Extraits de presse «Le ballet rejoint ici le cirque, dans ce spectacle ensorcelant et magique.» The List

«Un spectacle acrobatiquement éblouissant et d’une beauté à vous couper le souffle.» Edinburgh Reporter

« Atmosphère électrique... un torrent de force, de courage et de précision. » The Scotsman ide

« Réalisé avec beaucoup de précision et de beauté. » Edinburgh Gu

« Un spectacle époustouflant avec de merveilleuses performances. » One4Review

Site internet et extrait vidéo : https://www.temalproductions.com/spectacles/my-land

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Musique

Quatuor Hermès Omer Bouchez, Elise Liu, violons Yung-Hsin Lou Chang, alto Antony Kondo, violoncelle Dimanche 7 février à 17h

Théâtre municipal Programme Schubert : ouverture en do mineur D 8a Chostakovitch : quatuor n°7 opus 108 Beethoven : quatuor n°15 opus 132

« Depuis sa création en 2008, Le quatuor Hermès est salué et ovationné aux quatre coins du monde. Leur florissante carrière est jalonnée de nombreux prix prestigieux. Sincérité, finesse, sensibilité, délicatesse les caractérisent. Leurs CD ont été tous encensés par la critique internationale. Virtuoses, passionnés, très engagés les Hermès jouent avec la fougue et l’intelligence de leur éclatante jeunesse. Eblouissant ! A ne pas manquer… » Présenté par Forum dans le cadre des Dimanches Musicaux avec le concours de la Ville de Castres

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Théâtre

Le Malade imaginaire en la majeur Vendredi 12 février à 21h Représentation scolaire à 14h30

Théâtre municipal De Molière Mise en scène et adaptation : Raphaël Callandreau Avec Raphaël Callendreau, Cécile Dumoutier, Rosy Pollastro, Simon Froget-Legendre, Arnaud Schmitt Tout public à partir de 10 ans. Durée : 1h15

Argan est persuadé d'être l'homme le plus malade du monde. Afin de s'assurer un secours quotidien et durable, il a décidé de marier sa fille à un médecin. Mais celle-ci ne compte pas se laisser faire... Quatre comédiens, tous investis de plusieurs rôles, nous font réentendre les mots de Molière avec une grande justesse. À la manière d’une comédie musicale, le texte est ponctué de mélodies entraînantes accompagnées au piano, qui apportent modernité et légèreté à la pièce sans jamais la dénaturer. Cette adaptation musicale aussi brillante qu’inattendue est servie par une mise en scène sobre qui fait la part belle au verbe et au jeu. Voilà une belle occasion de redécouvrir ce grand classique en famille. Extraits de presse « Si ses atours de spectacle de variétés sont l’occasion idéale d’initier les plus jeunes à Molière, on se régale tout autant qu’eux de ce Malade dépoussiéré, à la dimension aussi populaire qu’éternelle. » Télérama Sortir « Le jeu d’interprétation des acteurs est riche et nous fait très vite entrer dans l’histoire. Ajoutez à cela que l’on rit beaucoup grâce aux dialogues bien pensés et entrecoupés de mélodies entraînantes accompagnées au piano. (...) Ça swingue, ça chante et c’est atypique ! » Musical Avenue «Raphaël Callandreau transforme la satire la plus connue de Molière, entremêlant prose et chansons qui swinguent, et c’est une réussite.» Télérama

Site internet et extrait vidéo http://www.comedie-bastille.com/appert/product.php?id_product=137

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Chanson

Vrai ou pas vrai ?! Catherine Vaniscotte Mercredi 17 février à 15h Théâtre municipal Composition musicale et mise en scène : Catherine Vaniscotte Arrangements : Frédéric Schadoroff et Laurent Rochelle Création univers et objets papiers : Catherine Cappeau A partir de 3 ans. Durée : 45 min

Voyager dans l’imaginaire illumine notre quotidien. Gardons les pieds sur terre et laissons-nous divaguer ! Dans une scénographie composée de précieux papiers animés, Catherine Vaniscotte et ses musiciens racontent en chansons ces fantaisies cocasses. Au son du piano, saxos, clarinettes et bandonéon, ils nous plongent dans leur univers poétique et coloré, propice à la rêverie et à la réflexion. Catherine Vaniscotte

Catherine Vaniscotte est une artiste aux multiples facettes, à la fois chanteuse, comédienne et metteur en scène. Créative et très prolifique, la chanteuse a créé de multiples spectacles, en grande partie à destination du jeune public. On se souvient notamment de Princesses Oubliées ou Inconnues, Rue de la Pomme ou Monsieur Truc, autant de pièces créés pour les plus jeunes et jouées en milieu scolaire. L'artiste a travaillé sur la mise en scène de pièces à l'univers fantastique, à l'instar de l'homme sans tête, inspiré de Le Néouanic, ou encore de Litanies, inspirée de Jacques Rebotier. Aussi connue pour ses musiques, Catherine Vaniscotte est riche d'une longue discographie, qui

s'étale de Magasin Zinzin à la Java des Couleurs, en passant par les morceaux de ses spectacles, dont Rue de la Pomme et Princesses Oubliées.

Extrait vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=jPyG7MnRZSQ&feature=youtu.be

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Humour musical

Oh la belle vie ! Cinq de cœur Dimanche 21 février à 17h Théâtre municipal Mise en scène Philippe Lelièvre, assisté de Margot Dutilleul Direction musicale : Didier Louis Lumières : Laurent Béal, son : Mathieu Bionnet, scénographie : Nils Zachariasen, costumes : Claire Djemah, chorégraphies : Frédéric Jean-Baptiste Production Arts & Spectacles Production / Soutiens de Conservatoire Jean-Baptiste Lully - Puteaux, Espace Sorano - Vincennes, Théâtre Simone Signoret – Conflans Sainte Honorine, Théâtre Le Ranelagh - Paris et La SACEM. Avec Pascale Costes, Karine Sérafin, Sandrine Mont-Coudiol, Patrick Laviosa et Fabian Ballarin. Tout public à partir de 6 ans. Durée : 1h20

Les Cinq de cœur forment un quintette vocal a cappella aussi déjanté que virtuose. Après le succès du Concert sans retour, les revoici sur scène pour un nouveau marathon musical. Certains prétendent qu’on peut vivre d’amour et d’eau fraîche. Eux, ne vivent que d’humour et de musique ! Ils ne quitteront plus la scène, du soir au matin et du matin au soir : le plateau sera leur terrain de jeu, leur terrain de vie. Dans une mise en scène impeccable, truffée de trouvailles délirantes, ils revisitent les airs célèbres et les grands titres, de Joe Dassin à Schubert, en passant par Gainsbourg, Aretha Franklin ou Pharrel Williams. En peignoir ou en serviette, le pommeau de douche en guise de micro, ils chantent, jouent la comédie et nous entraînent avec malice dans leur univers fantaisiste où chaque instant du quotidien apporte son lot de surprises. Extraits de presse «Dans le genre, c’est l’une des formations les plus exactes, virtuoses, talentueuses, aussi bien dans les techniques du chant que dans les situations de comédie.» Le Monde «Une bulle de fraîcheur déjantée.» Télérama « Un spectacle drôle, frais et pétillant (…) » Le Parisien « On sort du théâtre avec la pêche et en poussant la chansonnette » Le Figaro

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Présentation Cinq de Coeur Cinq chanteurs, deux sopranos, une alto, un ténor et un baryton formés à l’école rigoureuse du classique, décident d’utiliser leurs voix de la manière la plus délirante possible. Ils écrivent et interprètent des spectacles alliant virtuosité diabolique et comique irrésistible. Entre music-hall et théâtre, ils réinventent un genre développé par les Frères Jacques, entre humour et émotion, en y ajoutant la singularité du chant a cappella. De nombreux metteurs en scène Anne Roumanoff, Marc Locci, Pascal Légitimus, Meriem Menant (Emma la Clown) et aujourd’hui Philippe Lelièvre, les ont accompagnés sur ce chemin. Leur répertoire n’a qu’une limite, celle de leurs envies : du bruitage d’animaux à la beatbox, en passant par les oeuvre classiques les plus célèbres, la chanson française de tous bords et la variété internationale. Leur objectif : vous surprendre, vous toucher, vous éblouir, tant par la cocasserie des situations qu’ils inventent que par la beauté du chant a cappella. Site internet et extrait vidéo : https://www.theatredeparis.com/fr_FR/theatre/cinq-de-coeur-dans-oh-la-belle-vie

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Théâtre

Pigments Samedi 27 février à 21h Théâtre municipal Pièce de Nicolas Taffin Mise en scène : Elodie Wallace, Nicolas Taffin Musique : Diane Poitrenaud Lumières : Jean-Philippe De Oliveira Avec Mathilde Moulinat et Nicolas Taffin Durée : 1h10

Chloé est artiste peintre, Nicolas est neurologue. Tous les deux partagent le bonheur d’une belle histoire d’amour jusqu’à la découverte d’une trahison. Alors que leur histoire prend fin et que la confiance est brisée, un évènement inattendu va bouleverser le cours de leur existence et leur offrir une deuxième chance. Mais à quel prix ? Dilemmes, mensonges, secrets, Pigments est le portrait d’un amour maculé qui tente de retrouver touche après touche les couleurs vives de ses débuts… Quelles qu’en soient les conséquences. Mathilde Moulinat et Nicolas Taffin - l’auteur, donnent vie à ce texte fin et sensible. Ils nous transportent dans l’intimité de ce couple avec justesse et émotion. Extraits de presse

«Les comédiens jouent avec aisance et sincérité une partition tendre et troublante à la fois.» Spectatif

« Un spectacle où tout a été travaillé dans un objectif d’excellence » Théâtre côté cœur

« Cette pièce restera gravée comme le sont les traces indélébiles des belles histoires » La Grande Parade

« Un moment de théâtre qui touche au cœur » Publikart

« Deux acteurs époustouflants pour un texte intelligent et drôle » La critiquerie

« Touché » La Provence

« Un texte admirable, aiguisé, sur et opérant » Toute la culture

« Deux comédiens exceptionnels » La voix du Nord

Site internet : https://www.theatre-laluna.fr/spectacle/pigments Extrait vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=dIjoBb2ZPPo

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Danse

Ceci est une rose Compagnie Julio Arozarena Vendredi 5 mars à 21h Théâtre municipal Chorégraphie : Julio Arozarena Interprétation : Julio Arozarena et 7 danseurs, musicien live / Citypercussions : jB Meier / W. Amadeus Mozart, F. Chopin , F. Schubert, C. St-Saëns et musiques traditionnelles cubaines Lumières : Francis Mannaert Performing Arts Services Durée : 1h10

Originaire de La Havane, Julio Arozarena débute sa carrière au Ballet de Cuba avant de rejoindre en 1993 le Béjart Ballet Lausanne dont il devient l’un des danseurs principaux. Après une collaboration avec Bartabas et un passage à l’Opéra de Nice notamment, il réintègre le Béjart Ballet en tant que maître de ballet de 2006 à 2019. Aujourd’hui, c’est au sein de sa compagnie qu’il partage sa pluralité artistique avec ses formidables danseurs, dont certains ont travaillé avec lui au Béjart Ballet Lausanne. Julio Arozarena prône le dialogue entre les arts. Il en fait ici une merveilleuse démonstration. Ceci est une Rose dévoile une partie de son univers chorégraphique. Des pièces dans leur intégralité, pour certaines, et des fragments d'autres qui nous guident à travers un espace où le classique, le traditionnel, le rêve et les souvenirs, la danse et la musique conspirent avec la poésie et le mystère. Cette poésie que les corps expriment avec une grâce infinie et qui donne à cette fresque les couleurs et les parfums du bonheur. Julio Arozarena

Julio Arozarena est diplômé de l’École Nationale d’art de Cuba. Julio reçoit les diplômes de danseur et professeur de danse en 1983. En qualité de danseur principal, il intègre le Ballet National de Cuba dirigé par Alicia Alonso, du Ballet Royal des Flandres et du Béjart Ballet Lausanne. Il interprète tous les principaux rôles du répertoire classique, et aussi de création contemporaine grâce à sa pluralité artistique. Il rejoint la compagnie équestre Zingaro à Paris comme danseur et assistant chorégraphe pour les spectacles "

Éclipse "et " Triptyk ". Il signe de nombreuses pièces ornées de succès à travers le monde en qualité de chorégraphe, notamment à la direction artistique et chorégraphe invité au Béjart Ballet Lausanne. « Ceci est une rose est un clin d'œil à Magritte. J'ai déjà travaillé avec son univers. J'aime beaucoup son approche artistique : la peinture doit être poésie et la poésie appelle le mystère. J'adhère vraiment à cela. C'est une pièce avec sept danseurs et un percussionniste. (..) Ce sont de petites phrases chorégraphiques indépendantes qui créent un poème. Ce sont des tableaux qui composent un univers.

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(..) Je suis chorégraphe, si j'étais écrivain, je choisirai d'être poète. Car la poésie offre cette liberté de dire sans démontrer, ni justifier. Je tends vers cela avec une approche surréaliste. Il n'y a pas de message, il y a juste à ressentir. (…) C'est une sorte de voyage. De la même façon que je prendrais plaisir à écrire un poème, les danseurs doivent avoir plaisir à écrire, à modeler cette pièce. C'est aussi le plaisir de se perdre dans les méandres du mystère. Les danseurs sont aguerris, ils ont une certaine liberté. (..) Il fait partie du spectacle. Il y a une frontière indicible entre danse musique et poésie. Les arts se soutiennent, se complètent. La rencontre des arts c'est très important pour moi. » Julio Arozarena (propos recueillis La Montagne)

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Musique

Tedi Papavrami – Xavier Philips – F. Frédéric Guy Trio violon – violoncelle - piano Dimanche 7 mars à 17h Théâtre municipal Programme Beethoven : Les Esprits Chostakovitch : trio n°2 opus 67

« 3 solistes de renom pour constituer un trio d’excellence. 3 artistes amis heureux de partager leur passion de la musique de chambre. François Frédéric Guy s’est imposé comme l’un des plus fascinants pianistes de sa génération par son jeu ciselé, lumineux et coloré. Xavier Phillips est un magnifique violoncelliste à la sonorité chaude et envoûtante. Tedi Papavrami est reconnu comme un des plus grands violoniste, racé, sensible, un son d’une beauté émouvante. Un trio chaleureux d’une intense complicité musicale doté d’un grand sens du dialogue. Un coup de cœur ! » Présenté par Forum dans le cadre des Dimanches Musicaux avec le concours de la Ville de Castres

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Commedia dell’arte

Le Capitaine Fracasse Fraternal Compagnia Samedi 13 mars à 21h Représentation scolaire vendredi 12 mars à 14h30

Théâtre municipal Dans le cadre du Carnaval vénitien

Spectacle produit par Fraternal Compagnia (Italie) Texte de Théophile Gauthier Mise en scène : Massimo Macchiavelli Comédiens : Alice Amico, Aurélie Ianutolo, Jean Briault, Luca Comastri, Massimo Macchiavelli,Gabriel Bird, Luca Mazzamurro Musicien : Umberto Cavalli Masques : Luca Comastri Tout public à partir de 8 ans. Durée : 1h20

L'histoire se déroule au milieu du XVIIe siècle. Le baron de Sigognac, jeune noble ruiné, vit reclus dans son manoir. Un soir d'hiver, il offre l'hospitalité à une troupe de comédiens égarés. Il décide de les suivre à Paris pour y chercher fortune et conquérir le cœur d’Isabelle dont il s’est épris. Au cours de son voyage, Sigognac se fait comédien et devient le Capitaine Fracasse. Il devra aussi déjouer les ruses de son rival, le duc de Vallombreuse et connaîtra bien d’autres péripéties. Accompagnés par un musicien qui alterne la vielle à roue, l'accordéon ou encore la nyckelharpa, les comédiens de la Fraternal Compagnia nous content - en français et en italien - ces aventures rocambolesques, n'hésitant pas à faire participer le public qui se prête volontiers au jeu. Masques, chants, combats d'épée, quiproquos et rebondissements rythment le spectacle, dans la grande tradition de la Commedia dell’arte.

Extrait de presse

Le Capitaine Fracasse (magnifique commedia dell'arte)

Venus tout droit de Bologne, les italiens de la « Fraternal Compagnia » nous offrent un très beau spectacle de commedia dell'arte avec ce capitaine Fracasse revisité. (…) « C'est une création ! On s'est inspiré du roman de Théophile Gautier et des films, et on l'a adapté en commedia dell'arte », explique la comédienne Alice Amico qui, avec ses six autres camarades, donne le change sous le soleil de la scène de la Cour des Platanes. « On a joué sous toutes les conditions, pluie, vent, canicule... » Pour leur premier Festival, la troupe nous conte, en français et en italien, les (més)aventures du baron « sans le sous » de Sigognac qui rejoint une compagnie de comédiens en route pour Paris. Il espère ainsi retrouver sa fortune, son titre et aussi l'amour, même si le destin semble en vouloir autrement... Pendant 1h20, les acteurs masqués et en costume jouent avec force les quiproquos, pantalonnades, combats d'épées et comédies propres à ce genre théâtral populaire italien. Accompagnés brillamment par un musicien qui alterne entre la vielle à roues, l'accordéon ou encore la nyckelharpa, les comédiens franco-italiens nous transportent dans de folles aventures, n'hésitant pas à faire participer le public qui se prête volontiers au jeu. La « Fraternal Compagnia » nous propose ainsi un beau spectacle de cape et d'épée et de commedia dell'arte. La Provence

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Théâtre – comédie policière

Piège pour un homme seul Compagnie Libre à nous ! Vendredi 19 mars à 21h Théâtre municipal De Robert Thomas Mise en scène Florence Fakhimi Avec Pierre-Etienne Royer, Aurélie Vatin, Fabrice Pannetier, Adrien Daquin, Sarah Gaumont Création lumières Elodie Murat et Edouard Mutez Durée : 1h30

Chamonix, automne 1960. De retour de son voyage de noces, Daniel Corban signale à la police la disparition de sa jeune épouse. Elle n'est pas rentrée depuis quelques jours à la suite d'une dispute, et il s'inquiète. Lorsque celle-ci réapparaît, il affirme que la femme qu’on lui présente n’est pas son épouse. Pourtant tout semble prouver le contraire ! Alors qui croire ? Daniel Corban est-il fou ou le jouet d’une manipulation diabolique ? Piège pour un homme seul nous plonge au cœur d’une intrigue captivante dans une mise en scène impeccable qui ménage le suspens jusqu’à la dernière minute. Les mensonges se succèdent, le doute et la suspicion s’installent. On frissonne, on croit comprendre, puis on perd pied. Pris au piège, on se fait balader par une troupe de comédiens parfaitement investis dans leurs rôles, qui nous tiennent en haleine jusqu’à la révélation ultime. Premier succès de l’auteur de 8 femmes, Piège pour un homme seul devait être adapté par Alfred Hitchcock avant sa mort. Extraits de presse « Une mise en scène hitchcockienne ! » Le Parisien

« Le suspens perdure jusqu’aux dernières minutes. » Le Dauphiné libéré

« La troupe a séduit le public. Un excellent moment. » La République du Centre

« Une pièce policière remarquablement jouée par ces 5 acteurs ! » L’Union

« On se laisse prendre au piège pour notre plus grand plaisir. » Reg’Arts

« La mise en scène habille et bien menée par Florence Fakhimi ménage le suspense jusqu’à l’ultime révélation de cette aventure riche en rebondissements. » On-mag.fr

« La fidélité au texte original est absolue ; le jeu des cinq comédiens, époustouflant de duplicité, ménage un suspense qui prend littéralement aux tripes. Machiavélique et angoissante, cette comédie policière à rebondissements est la garantie d’une soirée… inoubliable ! » Presta plume Site et extrait vidéo : https://www.funambule-montmartre.com/piege-pour-un-homme-seul

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Musique

Jazz et swing avec le Big Band 81 Dimanche 21 mars à 17h30 Théâtre municipal

« Par la richesse et la diversité de ses effectifs, le Big Band 81 est capable aussi bien de produire

le background velouté et discret qui accompagne les chanteurs que la puissance éclatante des

cuivres relayée par les ondulations des sax. Cette alternance repose sur une cohésion de tous

: professeurs, élèves, professionnels et amateurs. C'est là l'originalité de cette grande

formation de jazz associée à l'ADDA et au Conservatoire de musique et de danse. Dans un

souci de renouvellement, chaque saison apporte de nouvelles découvertes tant au niveau des

membres que des arrangements et du répertoire. Peuvent alors s'intégrer, en guest stars, des

invités de marque. Ainsi les 17 musiciens du Big Band 81 déclinent-t-ils leur identité musicale

: du swing, rien que du swing en affirmant cette volonté de conjuguer les fondamentaux avec

un souci d'évolution permanente. »

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Théâtre

Notes, Kiffs sémantiques et cascades soniques Compagnie DNB Jeudi 25 mars à 14h30 Théâtre municipal Textes : Edith Azam, Camille, Aimé Césaire, Frédéric Dard, Brigitte Fontaine, Victor Hugo, Boby Lapointe, Gherasim Luca, André Minvielle, Valérie Philippin, Jacques Rebotier, Arthur Rimbaud, Valérie Rouzeau, Christophe Tarkos… Direction artistique : Marlène Bouniort Lumières : Amandine Gérome Mise en corps : Fabio Ezechiele Sforzini Musique : Thomas Bouniort Avec : Marlène Bouniort et Marc Compozieux Tout public à partir de 12 ans. Durée : 1h

Notes est un nouveau genre de cabaret littéraire aussi délicat qu’espiègle : il y a là de la poésie, de l’absurde, de l’écriture très musicale (Hugo, Rebotier...), du roman, du langage «de rue», de l’alexandrin classique, de la chanson (Camille, Prévert...) et même du dictionnaire franco-ado. Ça joue avec les mots, les rythmes et avec les corps qui dansent le tout. Notes est une ode gourmande et ludique à la musicalité de la langue française, interprétée par deux comédiens-musiciens amoureux du vocable. Un véritable feu d’artifice poétique ! Soutiens et partenaires : Région Occitanie, Département Haute-Garonne, Ville de Toulouse, Spedidam, Théâtre du Grand Rond (Toulouse), Théâtre Municipal (Cahors), Espace Palumbo (Saint-Jean), Centre Culturel Alban Minville (Toulouse), Ville de Montastruc, Théâtre du Colombier (Les Cabannes), Association L’Ecluse

Le spectacle NOTES est un nouveau genre de cabaret littéraire aussi délicat qu’espiègle: il y a là une écriture très musicale, du roman, du langage «de rue», de l’alexandrin classique, de la chanson, du dictionnaire franco-ado... Ça joue avec les mots, les rythmes et parfois avec les corps qui dansent le tout. Une ode gourmande et ludique à la musicalité de la langue française, interprétée par deux comédiens-musiciens amoureux du vocable : un véritable feu d’artifice poétique. NOTES est un spectacle sur la richesse et la musicalité de la langue. C’est une proposition originale sur une action quotidienne rendue banale et pourtant si riche : s’exprimer par la parole. ll nous semble important de rappeler les bases dans notre société de supra-communication. Mettre en bouche des mots comme on dégusterait une friandise en redonnant le ludique, le joyeux et le sacré à notre langue française via des auteur·e·s à l’écriture très musicale. Parce que le corps est indissociable de l’esprit, cette création explore le mouvement émotionnel et corporel que peut générer tel mot, telle phrase, tel texte, mettant ainsi en valeur l’importance de choisir les mots justes afin de mieux s’intégrer, se défendre, s’exprimer...vivre.

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NOTES est également un voyage de la langue à travers les âges : le public visé se veut donc intergénérationnel. Outre le projet artistique, c’est un projet fondamentalement social propice à tisser des liens pour mieux vivre ensemble. NOTES. Elles peuvent être fausses ou précises, peuvent se prendre, se donner, se recevoir, s’entendre, se jouer, se chanter et donc, se danser. Un mot français polysémique parfait pour illustrer cette nouvelle création. Le travail sur la musicalité de la langue - et de la corporalité qu’elle génère - est devenu la marque de fabrique de la Compagnie D.N.B presque malgré elle. Cela semblait donc aussi naturel que nécessaire et savoureux, d’explorer le sujet plus profondément à la façon du chercheur ou de l’archéologue. Les textes du spectacle

« Le dos de la langue » - Jacques Rebotier « Dictionnaire Ados Français » - Stéphane Ribeiro « Le Mariage de Roland » - Victor Hugo « En parler » - Valérie Philippin « Du pop corn dans la tête » - Edith Azam « Ta Katie t’a quitté » - Boby Lapointe « Samba » - Aimé Césaire « Je gonfle » - Christophe Tarkos « Voyelles » - Arthur Rimbaud « Comme à la radio » - Brigitte Fontaine et Areski Belkacem « Les anges se font plumer » - Frédéric Dard « Chant de consonnes » - Valérie Philippin « Prendre corps » - Ghérasim Luca « Mon vélo » suivi de « Mon père » - Valérie Rouzeau « Le Baleinié, dictionnaire des tracas » - Christine Murillo, Jean-Claude Leguay et Grégoire Oestermann « Rocarocolo » - André Minvielle « Je peux me parler » - Christophe Tarkos « Tout dit » - Camille Mais aussi : des textes de Marlène Bouniort et Marc Compozieux, des extraits de « Langue de bois » de Franck Lepage, des micro-trottoirs de passants toulousains, interviews de Robert Angebaud, Pierre Debauche et François- Henri Soulié, et des citations de Michel Bernardy et Valère Novarina.

Site internet de la compagnie : https://cie-dnb.fr/notes/

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Théâtre

Plaidoiries Richard Berry Vendredi 26 mars à 21h Théâtre municipal D’après «Les grandes plaidoiries des ténors du barreau» de Matthieu Aron Mise en scène : Eric Théobald Scénographie : Johan Chabal et Julie Noyat, lumières : Johan Chabal, musique : Sébastien Galiana, vidéos : Mathias Delfau Production : JMD Productions Avec Richard Berry Durée : 1h25

Meilleure pièce de théâtre aux Globes de Cristal 2019

Les grandes affaires judiciaires ne sont jamais enregistrées. Les paroles s’effacent. Grâce au travail de reconstitution de Matthieu Aron, les mots sont à nouveau prononcés. Incarnant les grandes figures du barreau, Richard Berry nous fait revivre cinq grands procès qui révèlent des faits de société majeurs ayant marqué l’histoire judiciaire de ces quarante dernières années, parmi lesquels les procès de Christian Ranucci, de Véronique Courjault ou encore le combat de Gisèle Halimi. Des affaires qui ont défrayé la chronique, suscité des débats; et des plaidoiries, magistrales, qui ont contribué à leur manière à faire évoluer notre société.

Extraits de presse « Richard Berry est saisissant. Remarquable. » Figaro Magazine

« Du grand art. » L’Obs

« Une force incroyable. » France Inter

« Une prestation magistrale. » LCI

« Passionnant » Paris Match

« Une performance d'acteur épatante » France Inter

« C'est bluffant. Les spectateurs debout. Allez-y ! » RTL

« Richard Berry est saisissant. Remarquable. » Figaro magazine

« Des mots puissants. » Journal du Dimanche

« Passionnant. C'est plus que du théâtre. » Europe 1

« Une belle performance d'acteur. Captivant. » France TV

« Une prestation de haut vol. un pur moment d’histoire. » BFM

« Merveilleux ! Richard Berry est tellement possédé, qu'on a l'impression qu'il est avocat. » Canal +

« Une interprétation coup de poing, un spectacle fort et direct. » France 3 Paris Île-de-France

Extrait vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=wJOI62GHGrg

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Humour

Olivier de Benoist Le petit dernier Mercredi 31 mars à 21h Théâtre municipal De Olivier de Benoist et Paul-Marie Debrie Lumières : Gaël Cimma, accessoires : Jean-Lou Chaffre Production : Ki M’aime Me Suive Diffusion : Music For Ever Prod Durée : 1h20

Après avoir beaucoup parlé de sa belle-mère et de sa femme dans ses premiers spectacles, Olivier de Benoist a décidé de se fâcher avec les seuls membres de sa famille qui le supportaient encore : ses enfants. Avec son humour grinçant, mais jamais vulgaire, il vous prodiguera moult conseils pour une éducation réussie, puisés dans son expérience de père de quatre charmants bambins. Car si avoir un enfant a de bons côtés - tout le monde se rappelle de la joie intense ressentie lorsque votre enfant dit pour la première fois «Papa», «Maman» ou «Je m'en vais, j'ai pris un appart» -, il n'en reste pas moins que le supporter pendant plus de 18 ans n'est pas une sinécure. Extraits de presse «Olivier de Benoist est aussi irrévérencieux qu’il est attachant car il y a finalement beaucoup de tendresse dans son regard sur l’humain.» Le Dauphiné Libéré «Une leçon de parentalité pleine de surprises.» CNews «Les tirades de ce garnement font mouche.» Le Figaro

«Olivier de Benoist, rire à haut débit» Ouest France «Faux macho, vrai comique» Le Parisien Site internet : https://www.olivierdebenoist.com/presse-olivierdebenoist

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Théâtre – manipulation d’objets

Vent debout Compagnie Des fourmis dans la lanterne Mercredi 31 mars à 15h Représentation scolaire jeudi 1er avril à 10h

Salle Louisa Paulin Ecriture, création : Pierre-Yves Guinais, Yoanelle Stratman Interprétation : Yoanelle Stratman, Pierre-Yves Guinais, Julie Canadas, Vincent Varène (en alternance) Aide à l’écriture, regard extérieur : Amalia Modica Création sonore : Jean Bernard Hoste Création lumière : François Decobert Illustrations : Celia Guibbert Tout public à partir de 7 ans. Durée : 50 min

Dans le monde d’Eona, tout est d’une blancheur immaculée, et rien ne résiste au vent. Un vent puissant, capricieux et omniprésent. Entraînée par une bourrasque, Eona atterrit dans un univers grouillant de mots, de sons, d’inscriptions et de couleurs. Emerveillée, n’ayant connu que le silence, elle tente de comprendre ce qui la sépare de cet autre monde. Les paroles, les pensées et les libertés seraient-elles balayées par ce vent si violent ? Eona fera tout pour s’affranchir de ce silence qui l’écrase. Ce spectacle visuel et sans parole aborde avec subtilité la question de la liberté d’expression. Une échappée poétique pour marionnettes dans un univers de papier. Partenaires & Soutiens : La Région Hauts de France / Le Nautilys, Comines (59) / Maison Folie Beaulieu, Lomme (59) / Maison Folie Moulins - Lille (59) / La Manivelle Théâtre, Wasquehal / La Makina, Hellemmes (59)

Note d’intention En 2016, la compagnie présente le spectacle Clic en Corée du Sud. L’occasion pour nous de découvrir les liens étranges tissés entre ce jeune pays et son voisin du Nord. Nous apprenons que plusieurs organisations tentent d’envoyer des signaux en Corée du Nord notamment grâce à des ballons d’hélium avec des tracts, des journaux, des livres... L’organisation Flashdrives for Freedom a ainsi envoyé plus de 20 000 clés USB dans l’espoir de faire découvrir aux nord-coréens les cultures du monde et de dénoncer ainsi le régime. Celles-ci contenaient des films, des programmes d’actualité, des clips de musique... Pourquoi le régime nord-coréen a-t-il peur de ces « attaques » ? Comment les citoyens nord-coréens perçoivent-ils de tels signaux ? Font-ils semblant de ne pas savoir ce qu’il se passe de l’autre côté ou n’en sont-ils tout simplement pas conscients ?

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En Corée du Sud, ces faits divers ne sont pas médiatisés. Ils sont même très bien cachés. Alors pourquoi ce vent de censure dans ce pays qui, contrairement à son voisin, semble libre ? En France, les attentats de janvier 2015 ont été l’occasion de parler de la liberté d’expression et de la liberté de la presse, notamment à l’école. C’est dans ce contexte que nous avons créé Vent debout. Nous souhaitions aborder la question de la censure en imaginant une fable poétique sans parole. Et évoquer la violence de l’oppression tout en restant fidèle à notre esthétique artisanale et en travaillant avec le matériau délicat du papier. Dans Vent Debout, on retrouve une nation dans laquelle les pensées sont conditionnées et les libertés étouffées. Le vent représente l’oppression qui emporte tous les mots, toutes les envies de communiquer. Tel Eole dans la mythologie grecque, les moulins à vents envoient bourrasques et tempêtes. Pour nous, ils permettent de maintenir les habitants dans une pensée et un mode de vie uniques. En suivant cette petite fille, nous découvrons « l’autre côté », représenté par l’autre face de la table. Un monde de papier journal, où les pensées s’expriment sur les murs, supports de toutes les libertés. Nous la voyons grandir et suivons son combat pour la liberté. À l’heure où des journaux comme Médiapart sont perquisitionnés par le pouvoir en place, on peut se questionner sur l’importance de la liberté d’expression dans un pays où il serait aisé de la croire acquise Extraits de presse « Vent debout est un véritable plaidoyer pour la liberté d’expression et contre l’oppression. Un spectacle ingénieux gonflé de poésie brute. » Le Mag « A la manière d’un conte aussi, Vent debout se dresse comme une petite pépite de tendresse et de talent, à voir sans tarder ! » La Provence « La Compagnie des fourmis dans la lanterne parvient de façon magistrale à créer une proposition jeune public poétique et puissante, d’une délicatesse et d’une drôlerie certaines. Le tour de force de Vent debout réside aussi dans un récit sans parole, qui transmet pourtant à tous, petits (dès 7 ans) et grands son message universel et nécessaire. A la sortie, on emporte avec nous le souffle de ce vent, paradoxal, entre beauté et poids du monde » Ouvert au public Le site de la compagnie : http://desfourmisdanslalanterne.fr/spectacles/vent-debout/

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Marionnettes

Temps Compagnie Haut les Mains Mercredi 7 avril à 10h et 16h Représentations scolaires jeudi 8 avril à 9h15 et 10h30

Salle Louisa Paulin Création 2017 Mise en scène et manipulation : Franck Stalder Flûte et habillage sonore : Zakia En Nassir Création lumière : Emmanuelle Joubier Photos : Florent Hermet, vidéo : Antoine Asselineau A partir de 1 an. Durée : 25 min

Ecouter le silence qui précède la tempête. Etre à l’affût du moindre bruissement. Observer le temps et y voir la beauté. A travers des haïkus, Temps nous offre un voyage visuel, musical et sonore au fil des saisons, jusqu’à la migration. Un défilé de tableaux, autant de bulles poétiques à souffler et à contempler. Production/Diffusion : Association La Curieuse Soutiens : Association Kiteus, Tournon-sur-Rhône (07). La Bobine, Grenoble (38) Maison Pignal, Livron-sur-Drôme (26). Conseil départemental de la Drôme (26)

« Bulles poétiques à souffler et contempler »

Le spectacle

Le spectacle est conçu et pensé spécialement pour les jeunes enfants. Le spectateur peut ressentir plutôt que comprendre. Il aura besoin de tous ses sens pour cheminer dans le spectacle. Cette approche sensorielle permet à chacun de recevoir cette proposition, en fonction de son âge, de son expérience, de son origine. Le choix des matériaux est parfaitement en lien avec les capacités de perception des jeunes enfants. L'atmosphère créée est rétro projetée sur l'ensemble de la structure afin d'immerger le public dans un bain sonore et pictural. Notre souhait : accueillir le public dans un espace rassurant en créant une atmosphère de crépuscule d'été sous un arbre.

Le décor sonore et musical La musique est jouée en direct, diffusée et bruitée. Flûtes traversières et objets sonores (tambour océan, sonnailles, rhombe, tuyaux harmoniques, tambour d'eau, noix ...) sont utilisés, ainsi que la voix et le corps. Les sons fixés sont travaillés dans une

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démarche électroacoustique. La matière sonore pré-enregistrée est exclusivement végétale et organique. La musique suit et illustre le temps des haïkus, leurs rythmes, leurs couleurs. Sur scène

La structure: une bulle Le spectacle se joue sous une structure permettant de confiner l'espace de jeu et l'espace public. La structure est une tente pliante à toit plat de 5,2 m par 5,2 m : l'espace public occupe la moitié de l'espace ainsi que l'espace scénique. L'espace scénique est composé à jardin de l'espace musique / bruitage. La diffusion du son se fait en plusieurs points, de sorte que le public soit immergé dans la matière sonore.

A cour plusieurs îlots, laboratoire temporel et météorologique de la marionnette. La structure permet la projection d'ombres et de lumières au-dessus des têtes. Le site de la compagnie : https://www.la-curieuse.com/artiste/cie-haut-les-mains

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Musique et danse

Candela Compagnie Gilbert Clamens Dimanche 11 avril à 17h Théâtre municipal Adaptation, arrangements : Gilbert Clamens Chorégraphie : Marta Balparda Œuvres : El amor Brujo (l’amour sorcier) de Manuel De Falla / Pavane pour une Infante Défunte et Boléro de Maurice Ravel / Asturias d'Isaac Albeniz et Boléro de Maurice Ravel. Musiciens : Gilbert Clamens, Aurélien Clamens : guitare, Kiko Ruiz : guitare flamenca, Wilfredo Jose Perez Alvarez : violoncelle, Sabrina Mauchet : violon, Fernando Uehara : flûte et J. Manuel Cortes : percussions Voix : Servane Solana Danse : Marta Balparda Mise en espace, lumière et son : en cours Durée : environ 1h30

Spectacle proposé par la Casa de España avec le soutien de la Ville de Castres Création 2020 - Première représentation

Gilbert Clamens a toujours été inspiré par l'Espagne. Fort de plus de 30 années d'expérience en tant que concertiste guitariste international, compositeur et pédagogue, il nous propose sa dernière création "Candela". En revisitant des œuvres mythiques de Manuel De Falla et Maurice Ravel, ce passionné de musique du monde conjugue à merveille deux univers qui se sont longtemps côtoyés en Espagne sans jamais se rencontrer. Porté par des d’artistes de haut vol, tous animés par la même passion et la même générosité, ce spectacle décloisonne et mélange les genres. La musique traditionnelle est portée par le flamenco et la guitare de Kiko Ruiz. La musique classique est servie par la voix de Servane Solana, soutenue par 6 instruments : 3 guitares, violoncelle, violon, et flûte. Trait d’union entre ces chefs-d’œuvre, la danse de Marta Balparda, à la fois fougueuse et délicate, tisse une trame dramaturgique. Note d’intention « Je veux donner à l'auditeur l'occasion d'entendre les guitares qui sont restées enfouies dans l'imaginaire de ces compositeurs » Gilbert Clamens propose une nouvelle approche (lecture) des oeuvres de M. De Falla et de M. Ravel en unissant deux univers qui se sont longtemps côtoyés en Espagne sans jamais vraiment se rencontrer : la musique traditionnelle portée par le flamenco, et la musique classique servie par les guitares, le violoncelle, le violon, la flûte et la voix.

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Ici, la guitare est au centre du sujet. Telle une inspiratrice que l’on dissimule avec soin, la guitare est une part essentielle de l’inspiration des musiciens espagnols. Son ombre s’étend particulièrement sur l’oeuvre de M. De Falla. Il est hanté par cet instrument au point qu’une part importante de son travail vise à rechercher tous les moyens instrumentaux pour incarner la sonorité d’un instrument à cordes pincées. L’orchestre sec et âpre de L’Amour sorcier de M. de Falla ne vise-t-il pas tout simplement à être une grande guitare ? Ne trouve-t-on pas dans cette oeuvre une illustration éclatante dans laquelle l'orchestre véhicule une pensée musicale qui semble jaillie directement de la guitare elle-même ? Alors, doit-on parler dans ce cas précis de « transcriptions » ou au contraire de réécriture ? Je souhaite présenter une version décalée, loin des versions classiques dans laquelle j’imagine une danseuse qui a non seulement du talent, mais qui donne à voir des choses nouvelles. Le nom de Marta Balparda m’est apparu comme une évidence. Ce personnage imaginaire voyagera dans les différents univers et tissera une trame dramaturgique. Dans l’amour sorcier, Manuel de Falla suggère le mystère, le mouvement, l’agitation, les cris. Tandis que s'enflamme un corps de danseuse, une musique de transe et d’incantation conduit le personnage jusqu’à l’épuisement final sur les martèlements verticaux joués par de vigoureux rasgueados. Gilbert Clamens

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Théâtre

La Mécanique du hasard Théâtre du Phare – Olivier Letellier Mercredi 14 avril à 15h Représentation scolaire jeudi 5 avril à 10h

Théâtre municipal D’après le roman de Louis Sachar / Le Passage Adaptation : Catherine Verlaguet Mise en scène : Olivier Letellier Interprétation : Fiona Chauvin en alternance avec Axelle Lerouge et Guillaume Fafiotte en alternance avec Loïc Renard. Assistanat :/ Jonathan Salmon et Valia Beauvieux Création lumières : Sébastien Revel / Création sonore : Antoine Prost Scénographie et régie générale de tournée : Colas Reydellet / Costumes : Nadia Léon Tout public à partir de 9 ans. Durée : 1h

Au camp de redressement du Lac Vert, Stanley Yelnats est condamné à creuser des trous en plein désert "parce que ça forge le caractère !" dit-on. Mais bientôt, c’est une légendaire malédiction familiale qu’il va déterrer : l'histoire de son arrière-arrière-grand-père voleur de cochon, de son père inventeur de génie, de son arrière-grand-père dont la diligence a été dévalisée... Mais aussi des histoires parallèles, que l’on découvre étrangement liées par des indices distillés tout au long du récit. Dans une scénographie épurée propice à l’imaginaire, deux comédiens tour à tour narrateurs et personnages donnent vie à ce récit captivant. Adapté du roman de Louis Sachar, Le Passage, La Mécanique du hasard est un magnifique conte initiatique qui questionne les notions d’héritage et de libre arbitre pour nous démontrer que chacun a le pouvoir d’inventer sa propre histoire. Soutiens : Les Bords de Scène (Ablon) ; Fontenay-en-Scènes (Fontenay-sous-Bois) ; Les Tréteaux de France - CDN d’Aubervilliers ; Le Grand T – Théâtre de Loire Atlantique (Nantes) ; Centre culturel d’Avranches Co-productions : Théâtre de la Ville – Paris ; Le Strapontin (Pont-Scorff) ; Théâtre de Chevilly-Larue ; Tangram Scène Nationale d’Evreux ; Théâtre du Champs au Roy (Guingamp)

Intentions « Texte foisonnant, rempli de symboles, farci d’humour et truffé de clins d’oeil, « Holes » - Le passage en version française - roman américain de Louis Sachar paru en 1992, est un texte initiatique, un récit d’aventures, une histoire à tiroirs. Le héros, ou plutôt l’anti-héros, Stanley Yelnats, devra parcourir un immense trajet, dans le temps, dans l’espace, pour arriver à devenir enfin ce qu’il a toujours été. Stanley Yelnats, ça se lit dans les deux sens, comme une histoire en boucle qui illustre l’impérieuse nécessité de remonter aux origines pour comprendre, voire modifier le présent. Comme un miroir, cette histoire nous renvoie chacun à nos propres expériences, à nos héritages, ceux que l’on subit et ceux que l’on choisit, et à l’invitation qui nous est faite de briser le cercle vicieux de la fatalité. Si le texte de Louis Sachar nous rappelle que chacun doit accepter d’affronter ses propres peurs, ses propres démons, pour prendre en main son destin ; il nous révèle aussi que ce sont les rencontres, la

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capacité d’ouverture, les amitiés qui permettent de traverser les épreuves et de se sortir du trou. Au travers de l’histoire se posent aussi quelques problématiques sociétales d’une féroce actualité : racisme, pauvreté, traitement de la délinquance, rapport de domination, entre autres. Il m’est apparu terriblement excitant de raconter ce roman sous la forme d’un récit. Le comédien et la comédienne prendront, parfois ensemble, parfois seuls, le soin de nous conter les aventures de Stanley Yelnats au camp du Lac Vert. Nous nous faufilerons dans les tiroirs cachés du texte, nous plongerons dans l’ambiance du far-west, nous humerons ensemble les parfums des oignons qui poussent non loin de la rivière qui coule à l’envers.

En multipliant les récits, en dédoublant les points de vue dans le temps ou dans l’espace, les deux conteurs nous emmèneront d’une étape à l’autre, d’une époque à l’autre, tissant avec les spectateurs les liens invisibles d’une même histoire. C’est cette double complicité, entre eux et avec le public, qui viendra nourrir l’imaginaire des spectateurs. Avec eux, nous ressentirons la soif qui assèche la gorge, la chaleur qui brûle la peau, les ampoules qui creusent les mains, la sueur qui perle, la peur qui tétanise les muscles. Nous partirons d’un espace volontairement dénudé d’où

tout peut surgir : objets signifiants ou matières symboliques. Une machine à jouer, sobre, un support aux imaginaires plus qu’une ’illustration des lieux. Différents niveaux pour évoquer les relations entre les personnages, différents espaces pour signifier diverses temporalités, Comme les lieux, les personnages ne seront pas incarnés, ils seront sobrement esquissés, laissant ainsi la part belle au jeu des comédiens pour que les corps et les mots dessinent des images mentales pour que chaque spectateur s’approprie ainsi le récit. Au fil des mots et des sons, dans la lumière du désert, nous avancerons ensemble, avec Stanley Yelnats et chercherons à comprendre ce qui, dans la petite mécanique de nos vies, relève du hasard ou du destin. »

Olivier Letellier Extraits de presse « Dans sa mise en scène, Olivier Letellier se sert d'un objet insolite pour suggérer images et paysages, et transforme le duo d'acteurs en acrobates du récit, en jongleurs qui s'amusent avec les pièces d'un même puzzle, jusqu'à ce qu'elles s'imbriquent toutes. Captivant ! » Télérama « Avec de simples jeux de lumière, la mise en scène d'Olivier Letellier restitue les odeurs du western et permet aux acteurs de prendre beaucoup de plaisir à raconter une histoire à tiroirs et suspens. Et nous en donnent en retour. » Le Figaro « LA MECANIQUE DU HASARD bat son plein, avec ces multiples ressorts parfaitement investis par les interprètes très vifs qui font de ce récit exaltant, une vraie ruche d’abeilles stimulant et piquant de façon jubilatoire notre imaginaire. » Théâtre au vent/Le Monde « Un spectacle ambitieux, original et séduisant. » La Petite revue Site internet : https://theatreduphare.fr/spectacles_la-mecanique-du-hasard.htm

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Humour musical

Sax Les DéSAXés Samedi 17 avril à 21h Théâtre municipal Production : Encore Un Tour Avec : Guy Rebreyend, Michel Oberli, Frédéric Saumagne, Samuel Maingaud Mise en scène : Gil Galliot Lumière : Stéphane Vélard, costumes : Claire Djemahc, Chorégraphie : Aurore Staude Régie son : Mathieu Nogues / Régis lumière : Alexandre Barthelemy. Durée : 1h30

Après avoir été ́ridiculement recalés lors d’une audition ratée, quatre virtuoses du saxophone se rencontrent pour la première fois. Contre toute attente, une complicité́ s’instaure et donne bientôt vie à un voyage musical au cours duquel chacun se révèle avec ses différences, ses rêves et ses fantasmes. Mais soudain ça déraille et nos acrobates de la musique basculent alors tour à tour dans le show ! Partant à la dérive, les saltimbanques se rejoignent dans des tonalités variées où le funk tutoie la musique classique, les mélodies tziganes se confrontent à la bossa brésilienne, le chant africain bouscule le duduk arménien alors que Bruno Mars tient la dragée haute à Charlie Mingus… Dans une mise en scène inventive, ils s’affirment comme un quatuor musical atypique, aussi cinglé que virtuose ! Extraits de presse

«Ce quatuor prouve que l’on peut être virtuose sans se prendre au sérieux : un régal.» Figaroscope

« Etonnant et particulièrement audacieux « Sax » se distingue par son originalité et la maitrise pluridisciplinaire de ses protagonistes » Artistik Reso

« Si la star du spectacle est le sax, les Désaxés sont les artisans de cet éblouissant tour de magie musical qui donne une pêche d’enfer. Un spectacle à ne pas rater ! » Musicalavenue

« Les DéSAXéS font se gondoler des salles entières dans le monde entier. » Le Parisien

« Les DéSAXés rendent un hommage facétieux à celui qui fut l’ami de Berlioz. » Télérama

« Lorsque le talent et la fantaisie parlent, le sax exulte ! » L’Onde bleue

« Il y a des spectacles qu’on souhaiterait ne pas voir finir, quelques notes de musiques pour commencer, des rêves pleins la tête pour finir, entre les deux une créativité à faire pâlir les dieux. » Actu Media

« C’est fou voire inimaginable tout ce que l’on peut faire avec un tel instrument ! …. Bref, que de talents « atypiques » réunis… » Sortiz.com

Site internet : http://lesdesaxes.com/web/

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Danse

Le K Outchou Compagnie Myriam Naisy / L’hélice Mercredi 21 avril à 10h et 15h Salle Louisa Paulin Création 2020 Chorégraphie et scénographie : Myriam Naisy Danseurs : Nicolas Maye, Audrey Hector Création sonore : Jacky Mérit Avec les musiques de Ballaké Sissoko, Vincent Segal, Agnès Obel, The Young Gods Lumière : Christophe Olivier Costumes : Philippe Combeau A partir de 2 ans ½. Durée : 30 min env.

Outchou est né en Amazonie, sur l’arbre hévéa. Espiègle et très joueur, Outchou saute dans des flaques imaginaires et partage des danses rebondissantes avec son ami K d’or. La fée plastique croise sa route, le monstre pétrole l’effraie... Portés par des compositions musicales de Jacky Mérit, deux danseurs nous plongent avec délicatesse dans l’univers d’Outchou. Au gré des tableaux colorés et drôles, Outchou s’amuse, ondule, s’étire. Pour cette nouvelle création, Myriam Naisy a puisé son inspiration dans le caoutchouc, cette matière si familière, aux possibilités infinies. La chorégraphe pose un regard sensible sur l’environnement et les dangers qui le menacent, avec le sens de l’esthétique et de la poésie qui caractérise son travail. Cette création est accueillie en résidence à Odyssud. La Compagnie est soutenue par la Ville de Blagnac, La Région Occitanie Pyrénées-Méditerranée, Le Conseil Départemental de la Haute-Garonne

Note d’intention Le caoutchouc est le sujet principal qui se décline à travers le personnage "Outchou" En tant que chorégraphe, je vais m'intéresser surtout à l’élasticité, l’imperméabilité et le rebond. Ce qui induit tant dans les couleurs que dans les matières une multitude de possibilités chorégraphiques abstraites. Dès la naissance d’un enfant, le caoutchouc fait partie de son quotidien et de ses premières expériences tactiles. Après le sein de la mère, l’enfant au biberon découvre la tétine de caoutchouc, puis la lolette. Dans la baignoire, il découvre des petits animaux en caoutchouc comme le canard ou le poisson. Pour développer sa dextérité, l’enfant joue avec des balles roulantes et rebondissantes. Les ballons de baudruche sont aussi symbole des fêtes d’anniversaire chaque année. L’enfant grandit et dès qu’il fait ses premiers pas, on le chausse de bottes en caoutchouc et son imperméable le protège de la pluie. Enfin, dans ses activités aquatiques, il porte bonnet et lunettes de bain, bouée et palmes. Bref, l’enfant connait et s’attache à cette matière et peut-être même à son odeur particulière. Au-delà, le personnage porte un message concernant la nature, l'écologie et la planète. "Outchou" est confronté à des matières toxiques tels le plastique ou le pétrole, tandis qu'il côtoie joyeusement des matières naturelles et nobles comme le maïs, son ami "K d’or".

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Sa couleur de prédilection est le vert, comme la plante ! Les danseurs se transforment en culbutos et scoubidous. Les couleurs primaires donnent le ton à l'esthétique du spectacle. La scénographie est constituée d'objets colorés et élastiques, bottes rouges, palmes bleues, ballons verts et balles multicolores. Les jeunes spectateurs auront une brève interaction avec le spectacle Les enfants dans la salle sont guidés par une bande sonore qui leurs propose quelques actions interactives, comme si la scène devenait un livre géant tactile. Ainsi, par un geste simple appris en amont avant l’ouverture du rideau, ils vont agir pendant le spectacle. Par exemple, un geste précis, fait à l'unisson, sur un moment donné, transforme la lumière du plateau. Plus tard, une action gèrera immobilité et remise en mouvement dans un tableau... En action finale, leurs applaudissements provoquent une pluie de balles rebondissantes.

Site internet : https://www.cmnhelice.com/le-k-outchou

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Opérette

La Mascotte Les Compagnons du Théâtre Samedi 1er mai / 21h Dimanche 2 mai / 15h30 Mardi 4 mai / 21h Représentation scolaire le mardi 4 mai à 14h

Théâtre municipal Opéra-comique en 3 actes d'Edmond Audran Livret d'Henri Chivot et d'Alfred Duru Mise en scène : Frank Thezan Chef d’Orchestre : Julien Ursule, Chef de chœur : Didier Oueillé, Chef de chant : Eric Laur Durée : 2h30 environ avec entracte « La Mascotte fut créée au théâtre des Bouffes-Parisiens le 29 décembre 1880. Qui n’a pas rêvé un jour d’avoir sous son toit Bettina, gardienne de dindons et mascotte de son état qui protège de tous les sorts et fait prospérer son maître Rocco le fermier ? Bettina est amoureuse de Pipo, le berger. Celui-ci le lui rendant bien. Mais un obstacle empêche les deux tourtereaux de s’épouser : Bettina, pour ne pas perdre ses pouvoirs, doit garder sa virginité. Rocco accepte de céder Bettina au service du Prince Laurent XVII car celui-ci est un grand malchanceux. Il l’engage donc mais à une seule condition, il doit veiller à ce que nul ne courtise Bettina à seule fin qu’elle conserve son pucelage. Le prince Laurent XVII prospère, et par gratitude, anoblit Bettina. Il lui invente de nobles aïeux et la présente à la cour. Dans une soirée à la cour, des troubadours font irruption et parmi cette joyeuse troupe, s’est dissimulé Pipo qui veut reconquérir son amoureuse, Bettina. Il est reconnu et jeté en prison dont il sortira avec l’obligation d’épouser Fiametta, la fille du Prince Laurent XVII. Bettina, folle de jalousie accorde sa main au vieux monarque. Une double union est donc projetée, mais Pipo et Bettina comprenant qu’on se jouait d’eux s’enfuient du palais, déguisés en mendiant et malgré les recommandations du Prince à Pipo de ne pas épouser Bettina, l’amour l’emporte et Bettina perd bientôt… ses dons ! Vous serez heureux d’entendre « la vendange se termine », « un jour le diable », « Ah, qu’il est beau l’homme des champs ! » et l’incontournable « Le duo des moutons et des dindons….» (Marie-José Amalvy)

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Théâtre

Louise au parapluie Vendredi 7 mai à 21h Théâtre municipal Pièce d’Emmanuel Robert Espalieu, mise en scène de l’auteur Avec Myriam Boyer, Prune Lichtlé et Guillaume Viry Durée : 1h30

Myriam Boyer est de retour au théâtre avec cette comédie humaine qui dépeint notre rapport à la société actuelle avec beaucoup d'humour et de tendresse. Ce n'est pas parce que Louise a passé toute sa vie en usine à enfiler des baleines de parapluie qu'elle n'a pas d'opinion sur la vie et la société. Et c'est ce qu'elle va prouver à son fils Antoine, ex-sportif devenu Youtuber, en décidant de se présenter aux prochaines élections municipales de sa commune. Des élections, mais surtout la reconquête d'un fils pour Louise, avec la complicité de Jacqueline, sa collègue et nouvelle amie, devenue leur trait d'union. Myriam Boyer incarne avec la bienveillance qu'on lui connaît Louise, une ouvrière pleine de bon sens prête à se battre pour les valeurs qui lui tiennent à cœur. Extraits de presse «Myriam Boyer déborde d’humanité et de sincérité. Elle rayonne dans cette fable positive et tendre.» Le Parisien « De la belle ouvrage, un spectacle bourré d'humanité qui donne du baume au cœur… » La revue du spectacle « (Myriam Boyer) Sa voix acide et tendre à la fois, sa présence moelleuse, ce qu’elle laisse affleurer d’enfance en Louise, cette détermination heureuse du personnage combattant, sa lucidité ́enfin, tout donne à ce moment de théâtre un intérêt et une noblesse humaine. » Le Journal d'Armelle Héliot « (…) Myriam Boyer fait vivre cette Louise avec une infinie tendresse. Elle ne la joue pas, elle lui prête corps et voix. Douceur et emportements. Elle s'efface au profit de son personnage qui prend alors vie sous nos yeux. Avec délicatesse et précision. Epoustouflant. »

Rue du Théâtre

Extrait vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=nl-uqKz1RNQ Interview Myriam Boyer : https://www.youtube.com/watch?v=1Xkc-JZHAjs

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Les Théâtrales Par les élèves de l’Ecole municipale d’art dramatique 3 spectacles gratuits

Théâtre municipal

Le Revizor Vendredi 21 mai / 21h Comédie en cinq actes de Nicolas Gogol créée et publiée en 1836 Par la troupe Vitez - Mise en scène : Hélène Marques Durée : environ 1h20

Dans une bourgade de province russe, le bourgmestre et les notables sont en panique, dans l'attente du «Révizor», inspecteur du tsar envoyé incognito par le gouvernement. Prenant par erreur un jeune voyageur, pour le redouté inspecteur, tous le soudoient afin de dissimuler la gestion catastrophique de leur ville. Après avoir réalisé qu'il s'agissait d'un quiproquo, le jeune homme se jouera de la méprise des fonctionnaires qui, abusés et terrorisés, se prêteront à toutes les bassesses pour complaire à celui qu'ils imaginent être le « Revizor », allant jusqu'à croire habile de devancer ses attentes quand il n'en formule même pas.

L’École de la Médisance Samedi 22 mai / 21h Comédie satirique de Richard Brinsley Sheridan Par la troupe Louis Jouvet - Adaptation et Mise en scène Véronique Charmeux Durée : environ 1h30

Le salon de lady Sneerwell est le théâtre de multiples bavardages. Les nombreux cancans et commérages étincellent de toutes parts. Dans cette brillante comédie de mœurs, deux intrigues se nouent avec son lot de complots, de calomnie, de rumeurs. Ecrite au 18ème siècle, L’école de la médisance est une pièce joyeuse et féroce à redécouvrir pour mieux nous éclairer !

Les Uns chez les autres Dimanche 23 mai / 16h d’Alan Ayckbourn, adaptation de Gildas Bourdet Par la troupe Jean Vilar - Mise en scène Christian Rizoud Durée : environ 1h40

Dans leurs cottages si semblables, ils ont l’air bien heureux ces trois couples, où les hommes sont collègues. Cependant, le couple Foster boîte : Frank commence à avoir des doutes sur la fidélité de Fiona, sa femme, qui a oublié l’anniversaire de leur mariage, et donne comme alibi à son retard, sa sortie avec Mary Chestnutt. Dans la maison voisine, Bob Philips dit à sa femme Carol, excédée de ses absences, qu’il a été retenu par les confidences de William Chestnutt, époux malheureux de Mary. Mais quand Mary et William viennent dîner chez Carol qui voudrait les «réconcilier», les alibis s’effondrent, les malentendus se multiplient et William devient fou de jalousie. Gare à la casse…

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INFORMATIONS PRATIQUES BILLETTERIE Tarifs

Tarif plein

Tarif abonné*

Tarif réduit**

Tarif scolaire

Tarif A

1ère série 41 € 38 € 27 €

2ème série 38 € 35 € 24 €

Tarif B

1ère série 36 € 33 € 23 €

2ème série 33 € 30 € 20 €

Tarif C 28 € 25 € 16 €

Tarif E 12 € 9 € 7 € 6 €

Tarif F 20 € 17 € 10 €

Tarif J 6 € 6 €

Tarif abonné* : accordé aux détenteurs de la carte Scène culturelle, aux groupes de 10 personnes et plus et aux adhérents 2020/2021 de l’Espace Apollo de Mazamet. Tarif réduit** : accordé aux étudiants jusqu’à 26 ans, aux moins de 18 ans, aux demandeurs d’emploi, aux bénéficiaires de minima sociaux et aux personnes percevant l’Allocation adulte handicapé. Les réductions sont accordées sur présentation obligatoire d’un justificatif récent. Tarif scolaire : représentations scolaires. Ce tarif peut être également proposé aux collèges et aux lycées sur certaines représentations en soirée. Renseignements : 05.63.71.59.93

Ouverture de la billetterie Abonnements A partir du dimanche 27 septembre : ouverture des abonnements au guichet de 8h à 18h (matinée réservée aux habitants de la commune de Castres, sur présentation d’un justificatif de domicile). L’abonnement est possible tout au long de la saison, dans la limite des places disponibles. Billets hors abonnement Dès le lundi 28 septembre via la billetterie en ligne sur www.ville-castres.fr (sans frais de location, retrait des billets au Théâtre à partir du jeudi 1er octobre). Le choix des places ne sera possible qu’en l’absence de mesures de distanciation physique. A partir du 1er octobre au guichet ou par téléphone au 05 63 71 56 58 / 05 63 71 59 95 Pour les réservations par téléphone, le paiement immédiat par carte bancaire est souhaité. A défaut, un chèque à l’ordre de la « Régie de recette Théâtre » doit être envoyé dans les 8 jours (passé ce délai le Théâtre se réserve le droit de remettre les billets à la vente). Les billets réservés et réglés en ligne ou par téléphone sont tenus à votre disposition au guichet.

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Abonnement Choisissez librement 5 spectacles minimum, parmi ceux comprenant un tarif abonné et bénéficiez : De la gratuité de la carte Scène culturelle D’une réservation prioritaire avant l’ouverture de la billetterie au public Du paiement différé et échelonné Du tarif abonné toute la saison pour compléter votre abonnement Bulletin d’abonnement disponible au Théâtre ou sur www.ville-castres.fr Pass Dimanches Musicaux : Pour en bénéficier, la carte Scène culturelle est obligatoire (sauf pour les adhérents de l’association Forum). Le Pass ne constitue pas l’un des 5 spectcales minimum requis pour s’abonner. L’achat d’un Pass hors abonnement ne sera possible qu’à compter du jeudi 1er octobre.

Modes de paiement Carte bancaire au guichet et à distance / espèces / chèque / chèque culture / chèques vacances Possibilité de paiement différé et échelonné – Pour toute réservation d’un minimum de 90 € effectuée avant le 31 octobre, vous pouvez régler en trois mensualités (prélèvement de novembre à janvier). Pour en bénéficier, il vous suffit de vous munir d’un RIB / IBAN le jour de votre réservation, d’une pièce d’identité et de signer l’autorisation de prélèvement qui vous sera remise au guichet.

Carte Scène culturelle Sans abonnement, elle vous permet de bénéficier du tarif abonné tout au long de la saison Plein tarif : 12 € / Tarif pour les groupes de 10 personnes et plus (CE, associations) : 6 €

Partenariat La saison culturelle est organisée par la Ville de Castres. Ses partenaires : MONSIEUR BRICOLAGE - CREDIT AGRICOLE NORD MIDI-PYRENEES

CONTACTS CONTACT PRESSE Service Communication - 05 63 71 58 44 - communication@ville-castres.fr INFORMATIONS ET RESERVATIONS Théâtre municipal Place de la République - 81100 CASTRES Horaires : du lundi au vendredi : 10h - 13h / 14h30 - 17h30 / Samedi : 10h - 13h 05 63 71 56 58 spectacle.vivant@ville-castres.fr INFORMATIONS ET PROGRAMMATION Théâtre municipal / Administration - 05 63 71 59 95 spectacle.vivant@ville-castres.fr

Comités d’entreprise, groupes et visites commentées du Théâtre 05 63 71 59 96 Etablissements scolaires et structures de loisirs 05 63 71 59 93