scot du trégor...19 |scot du trÉgor –phase diagnostic |journÉe d’Échange n 1 |1er juin 2017...

SCoT du TrégorConstruction du diagnostic partagé

Journée d’échange n°1 « Les Trégorois »

Jeudi 1er juin 2017

Réf. 17-060

Introduction

POPULATION

COMBIEN SERONS-NOUS DANS 20 ANS ?

EMPLOI ET ÉCONOMIE

OÙ ET COMMENT TRAVAILLERONS-NOUS DANS 20 ANS ?

MODES DE VIE

COMMENT S’ORGANISERA LA VIE QUOTIDIENNE DANS 20 ANS ?

LOGEMENT ET HABITAT

OÙ ET COMMENT SE LOGERA-T-ON DANS 20 ANS ?

Synthèse

UN REGARD SUR LES PRINCIPALES ÉVOLUTIONS TERRITORIALES

9h00 - 9h30

9h30 - 10h30

10h45 - 12h15

14h00 - 15h30

15h45 - 17h00

17h00 - 17h30

2030

2020

Si je suis né en… j’aurai en 2040

1940 100 ans

1950 90 ans

1960

70 ans1970

80 ans

1980 60 ans

1990 50 ans

2000 40 ans

2010 30 ans

20 ans

1950

1990

2010

10 ans

Introduction

POPULATION

COMBIEN SERONS-NOUS DANS 20 ANS ?

EMPLOI ET ÉCONOMIE

OÙ ET COMMENT TRAVAILLERONS-NOUS DANS 20 ANS ?

MODES DE VIE

COMMENT S’ORGANISERA LA VIE QUOTIDIENNE DANS 20 ANS ?

LOGEMENT ET HABITAT

OÙ ET COMMENT SE LOGERA-T-ON DANS 20 ANS ?

Synthèse

UN REGARD SUR LES PRINCIPALES ÉVOLUTIONS TERRITORIALES

9h00 - 9h30

9h30 - 10h30

10h45 - 12h15

14h00 - 15h30

15h45 - 17h00

17h00 - 17h30

SCoT du Trégor | Construction du diagnostic partagé

Journée d’échange n° 1 – « Les Trégorois »JEUDI 1ER JUIN 2017

Combien serons-nous dans 20 ans ?

Éric LEMERRE (ADEUPa)

L’état des lieux en 2017

8 |SCOT DU TRÉGOR – PHASE DIAGNOSTIC | JOURNÉE D’ÉCHANGE N°1 | 1ER JUIN 2017


� Dans le Trégor, Lannion et le littoral sont plus densément peuplés (« triangle d’or » : 37 % du total)

Figure 2. Population municipale des communes du Trégor

1. L’ÉVOLUTION DE LA POPULATION

Dans le Trégor comme en Bretagne, une population concentrée sur le littoral et dans

quelques grandes villes

20 %

7 %

4 %

Figure 1. Population municipale des communes bretonnes


1980

+ 0,75 % / an

2010

+ 0,75 % / an

2000

+ 0,10 % / an

– 0,20 % / an

� Forte sensibilité des évolutions démographiques aux cycles économiques

� 2010 semble marquer une inflexion

Figure 3. L’évolution de la population trégoroise sur 50 ans

+ 646 / an

+ 109 / an

+ 709 / an

– 184 / an


Une croissance démographique très liée à l’économie locale

1981Crise des télécoms

Boom de l’Internet

Boom économique avec l’arrivée du

CNET



Une croissance démographique qui s’essouffle ?

Figure 6. L’évolution comparée de la population trégoroise depuis 1999 (taux annuel moyen)

Figure 4. Evolution de la population entre 1999 et 2009 Figure 5. Evolution de la population entre 2009 et 2014

0,89 %

0,63 %0,74 %

-0,02 %

0,65 %

0,50 %


Figure 7. L’évolution comparée de la population trégoroise depuis 1999 (base 100)


Une croissance démographique qui s’essouffle ?

� Dans le Trégor, la rupture dans la croissance démographique récente est plus marquée



Des dynamiques différentes selon les périodes

2009-2014

1999-20091990-19991982-1990

1962-1968 1968-1975 1975-1982

Figure 8. L’évolution de la population selon les périodes

Évolution des communes

� 1960 – 1980 : un développement de Lannion puis sa périphérie

� 1980 – 2010 : diffusion de la population et homogénéisation des dynamiques démographiques

� 2010 – 2014 : un recul qui touche aussi le littoral


Période récente 2006-2014 :

� 93 % du gain de population pour les communes non pôles

� Un phénomène qui n’est pas spécifique au Trégor


Une croissance démographique récente qui ne conforte pas les pôles

+ 140

Figure 9. Evolution de la population des pôles du SCoT#1 et Tréguier entre 2006 et 2014


Figure 10. Solde naturel des communes bretonnes� En Bretagne, plus de

décès que de naissances depuis deux ans : le solde naturel est devenu négatif

� Dans le Trégor comme en Bretagne, le solde naturel est particulièrement négatif sur le littoral

2. LES RESSORTS DES ÉVOLUTIONS DÉMOGRAPHIQUES

Un solde naturel particulièrement négatif sur le littoral


Figure 11. Evolution des soldes naturel et migratoire entre 2008 et 2013

Source : I.N.S.E.E., Recensements généraux de la population

Figure 12. Evolution des soldes naturels et migratoire depuis 1968, dans le TrégorSource : I.N.S.E.E., Recensements généraux de la

population


Une croissance tirée par le seul solde migratoire

0,45 %0,5 %

0,2 %

- 0,35 %


� En 2013, 4 279 personnes se sont installées dans le Trégor et 3 532 personnes ont quitté le territoire soit un solde positif de 747 personnes

� Les nouveaux arrivants s’installent en majorité dans la ville de Lannion et sur la côte de granit rose

Figure 13. Origine géographique des arrivants dans le Trégor en 2013Source : I.N.S.E.E., Recensement général de la population

Bretagne50 %

Étranger4 %

Ile-de-France16 %

Reste de la France

30 %


Près de la moitié des nouveaux arrivants issus d’autres régions que la Bretagne


1968 2013

Vieillissement « par le bas »

Vieillissement « par le haut »

Figure 14. Pyramides des âgesSource : I.N.S.E.E., Recensements généraux de la population

3. LE PROFIL DÉMOGRAPHIQUE

Un vieillissement structurel de la population…


Figure 15. Différence entre les moins de 20 ans et les 60 ans et plus

� Une population plus âgée sur le littoral et en centre-Bretagne

� Une population plus jeune dans les villes, leur périphérie et le rétro-littoral

3. LE PROFIL DÉMOGRAPHIQUE

Un vieillissement structurel de la population… particulièrement sur le littoral


Figure 16. Evolution de la taille moyenne des ménages depuis 1968

� En 1/2 siècle, le nombre de personnes par ménage est passé de 3 à environ 2

� Le phénomène de « desserrement » des ménages a ralenti et devrait continuer à s’atténuer

� Un ralentissement qui aura un effet sur le besoin en logements et la construction

4. DE LA POPULATION AU NOMBRE DE MÉNAGES

Une forte diminution de la taille des ménages… mais un phénomène qui s’atténue

Sou

rce

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2017


Figure 17. Taille des ménages du Trégor en 2013Source : I.N.S.E.E., Recensement général de la population, 2013

� 75 % des ménages comptent 1 ou 2 personnes

� …soit 5 points de plus que la moyenne régionale

4. DE LA POPULATION AU NOMBRE DE MÉNAGES

Une majorité de petits ménages

Tré

go

r

1 personne 2 personnes 3 personnes 4 personnes 5 personnes et +

Les évolutions tendancielles


� Un phénomène massif d’augmentation de la population des seniors par effet de vieillissement structurel de la population

� Un solde naturel qui continue à se dégrader

� Le ralentissement de l’attractivité migratoire du Trégor dans un contexte de ralentissement global

� Une croissance démographique à l’arrêt

LES ÉVOLUTIONS TENDANCIELLES

Futurs possibles

questions-clés

� Quelle sera la pyramide des âges en 2040 ? Avec quelles conséquences ?

� Quelle dynamique démographique souhaite-t-on pour le Trégor d’ici 2040 ?

� Sur quels moteurs peut-on agir pour dynamiser et rajeunir la population ?

QUESTIONS-CLÉS POUR CONSTRUIRE LE SCOT

� Une baisse et un vieillissement durables de la population ?

� Une économie relocalisée, un retour à la terre et à la mer ?

� Des jeunes générations encore plus attirées par les métropoles ?

� Un cadre de vie attractif pour une économie numérisée ?

LES FUTURS POSSIBLES D’ICI 2040



Où et comment travaillerons-nous dans 20 ans ?

Thierry CONNAN (C.A.D.) François RIVOAL (ADEUPa)


Figure 1. Effectif et évolution de l’emploi dans les zones d’emplois

entre 1999 et 2013

1. VUE D’ENSEMBLE

Polarisation des emplois dans les zones à forte dimension urbaine

Moindres effectifs et croissances d’emplois :ZE Lannion, Guingamp, Morlaix et Carhaix

� 6 ZE de + de 100 000 emplois :¾ des emplois en Bretagne

� ZE de rennes :350 000 emploi (+28%)¼ des emplois bretons

� ZE de Lannion :32 000 emplois (+7,6%)2,4% des emplois bretons


1. VUE D’ENSEMBLE

Une évolution de l’emploi nettement inférieure à celle de la Bretagne

Entre 1968 et 2013 :

� Trégor : + 8,4 %

� Côtes d’Armor : + 8,7 %

� Bretagne : + 31,4 %

Bretagne

Trégor

Figure 2. L’évolution comparée de l’emploi dans le Trégor et en Bretagne depuis 1968 (base 100)

Côtes d’Armor


Trégor

Figure 3. L’évolution de l’emploi par périodes dans le Trégor depuis 1968 (base 100)

1990-2008+ 5 169 emplois

+ 0,99% / an

34 177

1968-1990- 1 900 emplois

- 0,28% / an en moyenne

30 908

29 008

2008-2013- 675 emplois- 0,39% / an

33 502

Pertes d’emplois : Agriculture, Construction, Fabrication de produits industriels, Information-communication

Légère embellie de l’emploi salarié secteur privé (Urssaf) : + 218 emplois (Industrie : + 168, Tertiaire : + 119, Construction : - 69)

Intérim : 100 emplois supplémentaires

2008-2013 :

2014-2015 :

Entre 1968 et 2013 :

� Trégor : + 8,4 %

� Côtes d’Armor : + 8,7 %

� Bretagne : + 31,4 %

1. VUE D’ENSEMBLE

2008-2013 : Une nouvelle inversion de tendance, perte de 680 emplois


1. VUE D’ENSEMBLE

Une proportion très importante d’emplois relevant du secteur tertiaire

Administration publique, Enseignement, Santé, Action

sociale

Sou

rce

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en

sem

en

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po

pu

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013

Tra

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t, A

DEU

Pa

, 20

17

Commerce,Transports,Services divers

Construction

Industrie

Agriculture

33 %31 %

Italique : Chiffres France

7 %3 % 10 %

13 %

8 %7 %

42 %46 %

Agriculture Industrie Construction Tertiaire

Trégor 7 10 8 75

Côtes d’Armor 8 14 8 71

Bretagne 5 14 7 74

France 3 13 7 78

Proportion très importante d’emplois relevant du secteur tertiaire, supérieure de 4 pts à celle

des Côtes d’Armor : 75 %

Figure 4. L’Emploi au lieu de travail en 2013, répartition en grands secteurs d’activités

7

5

10

14

14

75

71


Figure 5. L’évolution de l’emploi tertiaire entre 1999 et 2014

3. UNE ECONOMIE SPECIALISEE

Une moindre croissance du tertiaire et un recul important de l’industrie

Figure 6. L’évolution de l’emploi industriel entre 1999 et 2014

Bretagne : + 19,3 % (+ 145 376)

6 ZE « urbaines » : + 20,9 % (+ 124 867)

ZE Lannion : + 13,2 % (+ 2 266)

Bretagne : - 8,6 % (- 16 074)

6 ZE « urbaines » : -7,6 % (- 10 249)

ZE Lannion : - 40,9 % (- 1 957) *

* Fermetures d’entreprises : Alcatel, Corvis Algety, Higwave Optical Technlogies, AITAP, Bolloré Motorhome, Kerlude, Menuiserie Menou, PECI, Smarquantum, AEG Power Solutions (reprise par Brightloop Converters)…

Réductions d’effectifs : Alcatel CIT, SAGEM, Lucent Technologies…

Changement de secteurs d’activités de certaines entreprises : Alcatel passé de l’industrie au tertiaire



Une concentration géographique des principaux établissements

� Concentration géographique :Lannion et nord du Trégor

� 7 440 emplois salariés :22 % de l’emploi totalEffectifs compris entre 75 et 1 400 salariés

� 2 établissements de + de 1 000 emplois :

L’un public : Centre Hospitalier Pierre Le Damany Lannion Trestel associé au Centre Hélio Marin de Trestel (1 400)

L’autre privé : Groupe Orange (1 058)

� Une majorité d’établissements relevant de la sphère présentielle :

17 sur 22 (6 037 emplois, 81 % total emplois principaux établissements)

� Un poids plus important du secteur public :57 % des emplois des principaux établissements

� Une place importante dans le « top 10 » des collectivités territoriales et établissements publics :

L.T.C. : 1er établissement public, 4ème employeur du Trégor

Ville de Lannion : 1ère Collectivité territoriale, 5ème

employeur

Figure 7. Localisation géographique des 22 établissements de plus de 100 salariés



Une forte spécialisation économique dans 7 secteurs d’activités

Figure 8. Les spécificités de la structure d’emplois du Trégor en Bretagne

7 Secteurs surreprésentéspar rapport à la Bretagne :

32 % des emplois

Bretagne : 20 %

Côtes d’Armor : 22 %

7 Secteurs sous-représentés :

19 % des emplois

Bretagne : 30 %

Côtes d’Armor : 28 %



Une lente évolution vers une économie de plus en plus résidentielle

Sphère productive : Activités de productions de biens (majoritairement consommés en dehors de la zone) et de services(tournées principalement vers les entreprises de cette sphère)

Sphère présentielle : Entreprises et emplois qui visent à satisfaire les besoins de la population présente sur le territoire(résidente ou touristique)

Du fait des processus de mondialisation et de délocalisation, la sphère productive diminue de manière constante depuis 1982 au profit de lasphère présentielle

Avantages de l’économie présentielle :- Facteur de stabilité pour un territoire- Captation de revenus extérieurs- Faible exposition au processus de compétition mondiale (non délocalisable)

Inconvénients liés à un développement non maîtrisé de l’économie présentielle :- Eviction des activités productives- Emplois souvent moins rémunérateurs et plus précaires que dans l’économie productive (saisonnalité des activités touristiques et niveaux

de qualification plus faibles)- Risque de dépendance accrue de l’économie des apports de populations extérieures- Apport de populations extérieures susceptible de dégrader la qualité de vie (hausse prix de l'immobilier, saturation réseaux de transports,

artificialisation espaces naturels...)


Figure 9. L’évolution des emplois liés aux activités présentielles et activités productivessur le territoire du Trégor

Emplois présentiels :

24 211 emplois, 72 % total

Côtes d’Armor et Bretagne: 65 %

+ 25 pts entre 1975 et 2013

Emplois productifs :

9 290 emplois, 28 % total

Côtes d’Armor et Bretagne: 35 %

- 25 pts entre 1975 et 2013


Une lente évolution vers une économie de plus en plus résidentielle



Des difficultés de recrutement variables selon les métiers

Fortes difficultés à recruter

Faibles difficultés à recruter

Faible saisonnalité Forte saisonnalité


4. UN PROFIL SOCIO-PROFESSIONNEL SINGULIER

L’importance des catégories socioprofessionnelles supérieures

Figure 11. Répartition des emplois par Professions et Catégories Socioprofessionnelles

(PCS) 6 postes en 2013 - Comparaison Côtes d’Armor et Bretagne

Tourisme Electronique, informatiqueNumériqueInformation, communication…



Une amplification des fonctions de services à la population et métropolitaines

Forte progression des fonctions en lien avec les services à la population (de 28 à 45 %)

- Services de proximité- Distribution- Santé, action sociale…

Population vieillissante et forte activité touristique

Progression significative de certaines fonctions métropolitaines (de 13 à 21 %)

- Conception, recherche- Prestations intellectuelles- Culture, loisirs

Repli assez net de certaines fonctions :

- Agriculture- Transport, logistique- Fabrication- Bâtiment, travaux publics

Trégor, 1982-2013 :

Analyse fonctionnelle des emplois et non plus sectorielle (on s’intéresse aux fonctions remplies par les actifs et non plus à leur secteur d’activité ou PCS)

Professions réparties en 15 fonctions transversales aux secteurs d’activités

Parmi ces 15 fonctions, 5 sont qualifiées de « métropolitaines » et sont généralement très représentées dans les grandes agglomérations : Conception-recherche, Prestations intellectuelles (Conseil, analyse et expertise), Commerce inter-entreprises (commerce de gros et commerce entre entreprises), Gestion , Culture-Loisirs



Une forte présence des Cadres des fonctions métropolitaines (CFM)

Figure 12. Evolution (en %) du poids des Cadres des Fonctions Métropolitaines par fonction sur la période 1982-2013

� 3 554 emplois de CFM en 2013 :

Effectif X par 3 depuis 198211 % de l’emploi total du territoireFrance : 10 %, Bretagne : 7 %, Côtes d’Armor : 6 %

� Importante spécialisation des cadres du Trégor dans 2 domaines :

Conception-recherche : Volume d’emplois le plus important (32 %) mais divisé par 2 depuis 1999

Prestations intellectuelles : En très forte progression depuis 1999 pour représenter en 2013 31 % des CFM

Ces 2 fonctions concentrent 63% des emplois CFMBretagne : 39 %, Côtes d’Armor : 36 %


Figure 13. La part des personnes diplômées dans la population de 16 ans et plus

� Au niveau régional :

Forte proportion de diplômés dans les villes bretonnes, en particulier au sein des pôles de Rennes, Vannes, Quimper, Brest

Population préférentiellement urbaine et péri-urbaine

� Sur le territoire du Trégor :

Forte proportion de diplômés sur Lannion et dans les communes limitrophes, notamment littorales

5. LA POPULATION ACTIVE

Un niveau de qualification élevé


Figure 14. L’offre de formation supérieure dans le Trégor

Formations sanitaires et sociales

I.F.S.I.C. de l’Hôpital de Lannion

Formations de techniciens supérieurs

Lannion / Félix Le Dantec

Lannion / Jacques Bossuet

Tréguier/ Joseph Savina

Classes prépa

Lannion / Félix Le Dantec

Formations de techniciens supérieurs agricoles

C.F.A. Pommerit-Jaudy

Ecole d’ingénieurs

E.N.S.S.A.T.

Formations universitaires

I.U.T. de Lannion

� 8 établissements d’enseignement supérieur :

Presque exclusivement localisés sur Lannion

Une offre de formations diversifiée, jusqu'à l’école d’ingénieurs

� 1 800 étudiants en 2017

+ 9 % par rapport à 2015

20 % de l’effectif Côtes d’Armor

� 2/3 des étudiants à l’IUT (763) et à l’Enssat (409)

Baisse de l’effectif étudiant à l’IUT (-37)

� Différentes structures de recherche et de soutien à l’innovation :

Technopole Anticipa, CEVA…


Un niveau de qualification élevé


� Une population en âge de travailler plus âgée que la moyenne bretonne

� Des actifs qui vieillissent à un rythme rapide

Figure 15. L’âge de la population en âge de travailler

Figure 16. Le vieillissement de la population en âge de travailler dans le Trégor, entre 2008 et 2013

9 %

79 %

12 % 9 %

75 %

16 %


Une population active vieillissante


Côtes d’Armor : 9,5 %

Bretagne : 8,5 %

France : 9,7 %

ZE Lannion : 9,4 %

Figure 17. L’évolution du taux de chômage entre 2003 et 2016


Une amélioration récente de la situation de l’emploi� 7 701 personnes inscrites à Pôle

Emploi au 31/12/2016

16 % des demandeurs d’emploi des Côtes

d’Armor

Recul de 2,6 % en 2016 (-206)

Baisse la plus importante enregistrée à l’échelle des 8 EPCI costarmoricains

Pratiquement ¼ de l’effectif sur la seule ville de Lannion (23,5%)

� Taux de chômage (9,4%) qui reste parmi les plus importants de Bretagne

� Les recherches d’emplois concernent principalement :

- L’assistance auprès d’enfants

- Les services domestiques

- L’horticulture et le maraichage

- L’entretien des espaces verts

- La cuisine

- Le nettoyage de locaux


Figure 25. Chômage des jeunes et chômage de longue durée

Particularités de la ZE de Lannion :

� Relative sous-représentation des jeunes à la recherche d’un emploi :12,4 % contre 14,1 % en Côtes d’ArmorEffectif stable

� Légère surreprésentation des seniors :27 % contre 25 %Effectif en très forte hausse

� La récente baisse de la demande d’emploi a bénéficié principalement :Aux personnes de moins de 25 ansAux chômeurs de longue durée

Spécificités à mettre en lien avec :

� La structure démographique du territoire : Vieillissement démographique

� …et des emplois : Importance des postes liés au secteur du numérique dont les embauches progressent toujours et qui concernent plutôt des jeunes actifs davantage formés à ces filières)


Une amélioration récente de la situation de l’emploi

Les futurs possibles d’ici 2040

Les questions-clefs

� Comment conforter les piliers actuels de l’économie trégorroise ? Quelles nouvelles activités et quelles nouvelles formes d’emplois se développeront à côté d’eux ?

� Comment attirer et fidéliser la génération Y, et éviter le vieillissement de la population active ?

� Comment susciter l’émergence d’emplois moins qualifiés ? réduire la précarité persistante d’une partie de la population ? développer une offre d’emplois nouvelle dans les espaces les plus démunis ?

� Comment (ré)concilier les différentes formes du développement : urbanisation, maintien d’un espace agricole et d’exploitations économiquement viables, préservation de richesses paysagères et patrimoniales qui fondent l’attractivité touristique du territoire ?

QUESTIONS-CLÉS POUR CONSTRUIRE LE SCOTEMPLOI

� De nouvelles formes de travail émergent.

� Cette évolution ne concerne pas nécessairement tous les emplois.

� Existe-t-il un risque d’emploi à 2 vitesses dans le Trégor ?

ATTRACTIVITÉ

� La qualité de vie et un bon niveau de service sont les atouts d’un territoire qui reste peu accessible.

� La main d’œuvre devient rare.

� Le Trégor est-il attractif ?

PRODUCTION

� La distribution s’effectue par les plates-formes.

� Les big data deviennent un enjeu pour pouvoir répondre aux attentes des consommateurs.

� Comment développer le partenariat entreprises / recherche publique ? entreprises / créatifs ? Quels sont les produits identitaires ?

SERVICES

� La tendance est la sanctuarisation des centres-villes.

� Dans le Trégor, l’attractivité touristique est forte mais la période estivale n’est plus le principal moment de la fréquentation.

� L’offre de services est elle satisfaisante ? Quelles sont les formations à mettre en place ? Quels besoins pour répondre aux besoins d’emplois moins qualifiés ?

LES FUTURS POSSIBLES D’ICI 2040



Comment s’organisera la vie quotidienne dans 20 ans ?

Laurent LE CORVOISIER (ADEUPa)


Si notre vie tenaiten une journée

Dormir et s’occuper de soi

Étudier et travailler

Se divertir

Faire les courses

Se déplacer

Manger

S’occuper des tâches domestiques

9:58

2:50 4:32

2:54

2:13 1:02

0:31

Figure 1. Les temps sociaux des Français sur une vie, exprimés en

temps quotidienSource : I.N.S.E.E., Enquêtes Emploi du temps

1. VUE D’ENSEMBLE

De quoi est faite la vie quotidienne des Français ?


40 %

80 %

Figure 2. La part des françaises qui occupent un emploi salariéSource : I.N.S.E.E., Recensements généraux de la population

1. VUE D’ENSEMBLE

Une révolution : l’entrée massive des femmes dans l’emploi salarié

Des incidences multiples pour les couples bi-actifs :

� Un besoin d’acheter plus rapidement

� Un recours accru à la restauration, à l’équipement de la personne et à de nouveaux produits, inventés pour gagner du temps

� Une exigence de services qui permettent de concilier vie professionnelle et vie privée

1962

2014


Figure 4. Publicité pour le modèle « Safari » de la Renault 4 (1974)

2. LES MOBILITÉS

Des mobilités éclatées et rythmées par la voiture

Voiture, camion, fourgonnette

85 % 81 %

Marche à pied5 % 6 %

Deux roues3 % 3 %

Transport en commun2 % 6 %

Pas de transport6 % 4 %

Figure 6.La part modale des

transports dans le TrégorSource : I.N.S.E.E., Mobpro, 2013


1974 201019742010

Trajets domicile-travail(ou lieu d'étude)

00:24 00:23 - 4,2 %

Trajets (hors pro. et domestiques)

00:30 00:39 + 30,0 %

Total 00:54 01:02 + 14,8 %

� L’amélioration des moyens de transport a été utilisée par les habitants pour aller vivre plus loin de leur travail, pas pour réduire leur budget temps-déplacement (Orfeuil).

� Ces trajets domicile-travail se sont désynchronisés et éclatés dans l’espace.

� Les autres trajets ont considérablement augmenté, en part et en temps, traduisant l’engouement pour les loisirs.

Figure 7. Les temps des trajets des FrançaisSource : I.N.S.E.E., 2013

2. LES MOBILITÉS

Des mobilités éclatées et rythmées par la voiture


3. LES BASSINS DE VIE

Un élargissement des bassins de travail

Des déplacements domicile-travail :

� Principalement entre Lannion et sa première couronne

� Des flux sortants plutôt tournés vers l’est

Figure 8. Les déplacements domicile-travail


� Plus de 90 % des montants des achats sont consommé dans le Trégor

� Certains habitants (Centre-Trégor, Beg ar C’hra, Pays rochois) utilisent aussi des pôles proches

� Les habitants de la Presqu’île consomment beaucoup à l’extérieur, notamment sur l’ex-Paimpol Communauté (33 %)

Figure 9. Les comportements d’achat


Un élargissement des bassins d’achat


� L’appareil commercial est sans surprise concentré là où le marché est le plus important

Figure 10. Les marchés théoriques




Figure 11. La part des formes de vente utiliséesDonnées : C.C.I. des Côtes d’Armor, Enquête Commerce 2013

Achatsalimentaires

Achats nonalimentaires

Moins de 300 m2 19 % 29 %

Supers et hypers

68 % 19 %

Hard discount

6 % 0 %

Grandes surfaces spécialisées

1 % 43 %

Marchés 4 % 2 %

Autre donte-commerce

2 % 7 %




00:33

00:19

00:18

00:10

00:07

00:06

02:09

00:02

00:29

00:19

Activités récréatives (jeux…)

Lecture

Promenade

Sport

Participation associative ou religieuse

Spectacle

Télévision

Radio, écoute de musique

Visite, réception de la famille ou…

Conversation

Total : 4:32 / jour

1:33 / jour

Figure 12. Les loisirs des Français

Source : I.N.S.E.E., Enquête Emploi du temps, 2010


Un élargissement des bassins de loisirs

� Les Français consacrent 1 heure de plus par jour à leurs loisirs qu’en 1974

� Cet engouement concerne toutes les classes d’âge


Figure 13. Le Carré magique, à Lannion

Figure 15. Le Sillon, à Pleubian

� Quelques beaux équipements, concentrés sur le littoral

� Un enjeu d’attractivité

Figure 14. L’Imagerie, Lannion




� Beaucoup de manifestations culturelles à succès…

� … mais une absence d’évènement phare ?

Figure 16. Le Festival de musique ancienne de Lanvellec, ici à Tréguier

Figure 18. Les veillées en breton de Dastum Bro Dreger, ici à Pluzunet



Figure 17. Le Festival de Buguélès, Penvénan


Figure 20. Les activités sportives des Français

Source : I.N.S.E.E., Enquête Emploi du temps, 2010



Figure 19. La marche, premier sport des Français

� 90 % des Français de 15 à 75ans pratiquent au moins uneactivité dans l’année

� 65 % pratiquent au moins une activité au moins une fois par semaine




� Un territoire plutôt bien doté

� Des équipements plus nombreux à Lannion et sur le littoral…

� … permettant une plus grande variété d’activités

� Une géographie des équipements qui ne coïncide plus avec la géographie des jeunes

Figure 21. Les équipements sportifs, pour activités encadrées




� 320 km de côtes qui offrent un vaste terrain de loisirs

� Des sports nautiques très en vogue

Figure 22. Les équipements pour les sports nautiques


� Des équipements eux aussi plutôt au nord

� … porteurs d’usages sociaux riches

Figure 23. Les équipements de loisirs, pour activités non-encadrées




Figure 24. L’évolution du commerce de détail en FranceSource : I.N.S.E.E.

4. LES POLARITÉS STRUCTURANTES

Une lente érosion des commerces et services en milieu rural

� Un affaiblissement du commerce de proximité lié à l’exode rural, aux nouveaux modes de vie et à la concurrence des G.M.S.


Des centralités qui se distinguent

� Beaucoup de communes dépourvues de fonctions courantes

Figure 25. Les bouquets de services structurants


Aujourd’hui : des pôles qui rythment la vie quotidienne




� Quelques pôles assez complets… mais à l’offre perfectible







� Quelques pôles assez complets… mais à l’offre perfectible

� Une ville-centre qui propose toutes les fonctions attendues







� Quelques pôles secondaires assez complets… mais à l’offre perfectible

� Une ville-centre qui propose toutes les fonctions attendues





• La demande de services permettant de concilier vie professionnelle et vie privée

• L’accroissement, dans toutes les classes d’âge, de la demande de loisirs

• L’irruption du numérique dans la vie quotidienne (déplacements, achats, sports…)

• Le retour du magasin de proximité et les nouvelles aspirations du consommateur

• Les menaces sur la médecine hospitalière et la médecine de ville

LES ÉVOLUTIONS TENDANCIELLES

Les futurs possibles

Les questions-clefs

QUESTIONS-CLÉS POUR CONSTRUIRE LE SCOTLES FUTURS POSSIBLES D’ICI 2040

• Quels aspects de la vie quotidienne vont être transformés par le vieillissement de la population ?

• Comment les jeunes générations conçoivent-elle leur vie et le territoire y est-il préparé ?

• Comment allons-nous consommer, nous déplacer et nous divertir, à l’ère du numérique ?

• La dispersion des nouveaux habitants permet-elle un équilibre territorial ou freine-t-elle l’émergence d’entreprises et de services de proximité ?

• Comment la prise de conscience environnementale va-t-elle se traduire dans notre quotidien ?

• Les boomers à l’âge de la dépendance

• Des modes de vie durables

• Des jeunes générations plus attirées par les métropoles ?

• Une réorganisation des services publics dans l’espace rural ?

• La pénurie de médecins ?

• La fin des grands magasins ?



Où et comment se logera-t-on dans 20 ans ?

Anne FÉREC (ADEUPa)


1. LE PARC DE LOGEMENTS

Quelques chiffres-clefs


Indicateurs mobilisés: Part de résidences secondaires, part de maisons, part de logements vacants, part de logements sociaux, indice de la taille des logements, part de résidences principales occupées par leurs propriétaires, part de logements construits avant 1982

• Un parc de logements diversifié en type et en statut d’occupation :

– 40 % de logements collectifs,

– 46 % de locataires

– 17 % de logements locatifs sociaux

• Une vacance supérieure à la moyenne : 8,6 %

Les villes : Lannion et Tréguier


La typologie des communes

Figure 1. La typologie du parc de logements






• Des maisons (96 %) occupées par leurs propriétaires (80 %)

• Peu de logements sociaux (3 %)

• La moitié des logements construits après 1982

Les communes périurbaines






• Des maisons (96 %) occupées par leurs propriétaires (79 %)

• Un parc ancien

• Un taux de logements vacants significatif : 9,4 %

Les communes rurales






• Une part importante de résidences secondaires (37 %)

• Un parc de logements plus diversifié en type et en statut d’occupation :

– 23 % d’appartements

– 28 % de locataires

– 5,8 % de logements locatifs sociaux

• Un taux de logements vacants nettement plus faible que la moyenne : 4,5 %

Les communes littorales urbaines






• Des résidences secondaires nombreuses (37 %)

• Un parc de logements individuels marqué par la propriété occupante

• 5,4 % de logements locatifs sociaux

Les communes littorales rurales


• Une période exceptionnelle (2003-2008) : + 1 000 logements par an

• Depuis 2009, 475 logements en moyenne par an

• Une production dominée par la maison qui vient renforcer les caractéristiques du parc de logements trégorois…

• … plus de diversité à Lannion et sur la Côte de granite rose

2. LA PRODUCTION DE LOGEMENTS

La production vient renforcer les caractéristiques du parc

Figure 2. La construction neuve dans le Trégor


Figure 3. Habitat intermédiaire à Perros-Guirec


Quelques opérations d’habitat innovantes

Figure 4. Espace La Tronkolaine à Ploumilliau

Figure 5. Domaine de Kerivon à Lannion


Figure 6. Nombre de

logements livrés entre 2006 et

2014

Figure 7. Evolution du nombre

d’habitants entre 2006 et 2014

• La construction neuve est réalisée à 42 % dans les pôles…

• … mais les communes non-pôles ont absorbé 93 % de la croissance démographique entre 2006 et 2014

• Une conséquence de la baisse de la taille des ménages et de la typologie de logements construits


Peu de corrélation entre production et croissance démographique


• 24 % des ménages du Trégor sont locataires

• Dont environ un quart dans le parc HLM…

• … soit 7% des résidences principales totales

• 3 500 logements locatifs publics (+ 250 logements locatifs communaux)

• 4 communes SRU en déficit (< 20 %) et une commune carencée : Perros-Guirec

• Environ 800 logements locatifs sociaux mis en service au cours des 10 dernières années

3. L’OFFRE LOCATIVE SOCIALE

La moitié du parc est située à Lannion…

Figure 8. Le logement social public


• Une tension modérée : 3,3 demandes pour une attribution (Morlaix Co : 2,2 / Guingamp Co : 2,8 / St Brieuc

Co : 3,7 / Bretagne : 3,1)

• 73 % des demandeurs ont des revenus inférieurs aux plafonds du logement social à bas niveau de loyer (PLAI)…

• … or ce mode de financement ne représente que 30 % de la production

Figure 9. La requalification du quartier de Ar Sante, à Lannion

Figure 10. Logements sociaux à Plouzélambre

3. L’OFFRE LOCATIVE SOCIALE

Une réponse à la demande apparemment satisfaisante


Figure 12. Répartition des résidences principales selon le D.P.E.

• Les deux tiers des logements ont été construits avant les premières réglementations thermiques

• 21 % des résidences principales sont classées parmi les plus énergivores (E, F et G)

Avant 194628 %

Depuis 199125 %

1946 à 199047 %

Figure 11. Epoque de construction du parc

4. L’ETAT DU PARC DE LOGEMENTS

Des logements qui nécessitent probablement d’être améliorés


• En 2013, 2 900 ménages originaires du Trégor ont déménagé au sein du territoire (environ 6% des ménages)

• Les 2/3 de ces échanges se sont faits à proximité du domicile d’origine, dans la même commune ou dans le même secteur

→ Les secteurs = des territoires pertinents d’analyse du marché immobilier de L.T.C.

5. LES MIGRATIONS RESIDENTIELLES INTERNES

Des échanges qui se font principalement en proximité

Figure 13. Les migrations résidentielles internes en 2013


Figure 14. Le prix des maisons d’occasion• Une hiérarchie des

prix dans l’ancien construite selon la proximité du littoral et/ou des villes…

• … avec un contraste très marqué entre les communes littorales et le rural

6. LES MARCHÉS IMMOBILIERS

Des choix résidentiels orientés par les niveaux de prix


• De plus en plus de petits ménages mais un parc de grands logements

• … dont des ménages vieillissants qui veulent un logement en centralité et adapté

LES EVOLUTIONS TENDANCIELLES


Figure 14. L’évolution des critères de choix du logement avec l’âge



• De plus en plus de petits ménages mais un parc de grands logements

• … dont des ménages vieillissants qui veulent un logement en centralité et adapté

• Une pression législative croissante pour consommer moins d’espace :

– en favorisant la densification des espaces déjà urbanisés,

– en mobilisant davantage le parc existant



7,5%

4,0%

5,0%

6,0%

7,0%

8,0%

9,0%

10,0%

1975

1976

1977

1978

1979

1980

1981

1982

1983

1984

1985

1986

1987

1988

1989

1990

1991

1992

1993

1994

1995

1996

1997

1998

1999

2000

2001

2002

2003

2004

2005

2006

2007

2008

2009

2010

2011

2012

2013

Figure 18. L’évolution de la vacance dans le parc de logements du Trégor

• Une relative stabilité sur 40 ans, dans une fourchette comprise entre 5,5 et 7,5 %...

• … mais avec un développement notable du phénomène ces dernières années

• 5 000 logements vacants


Les futurs possibles

Les questions-clefs

QUESTIONS-CLÉS POUR CONSTRUIRE LE SCOTLES FUTURS POSSIBLES D’ICI 2040

• Combien de logements faudra-t-il produire à l’avenir ? Et pour répondre à quels besoins et à quelle demande ?

• Où privilégier cette production ?

• Quel niveau de mobilisation du parc existant ?

• Comment traduire les objectifs nationaux d’amélioration de la performance énergétique d’ici 2040 ?

• Un effort massif d’amélioration et d’adaptation des logements

• Des « déserts pavillonnaires » ?

• Des formes d’habitat réinventées, plus compactes, à des coûts accessibles, ou une poursuite de l’attrait pour le pavillon individuel ?

• Une désaffection pour le statut de propriétaire occupant ?

scot du trégor...19 |scot du trÉgor –phase diagnostic |journÉe d’Échange n 1 |1er juin 2017...

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