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Revue de presse Avril 2017 - Mars 2018

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Page 1: Revue de presse - Vert l'avenir

Revue de presse

Avril 2017 - Mars 2018

Page 2: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 02 MARS 18

Pays : FrancePériodicité : HebdomadaireOJD : 3536

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NACA 6753673500509Tous droits réservés à l'éditeur

AMALTIS Le négoce y développe un engraisazoté qui doit limiter les pollutions del'air tout en optimisant les rendements.

Une nouvelle usineà La RochelleL''entreprise de négoce

Amaltis a ouvert unenouvelle unité de productionau port de La Rochelle pourle développement de son nou-veau produit Azena®. Sur sonsite de Charente-Maritime,l'entreprise basée égalementà Parthenay a investi plus de3,5 millions d'euros pour lacréation d'un bâtiment dédiéau tamisage et à l'imprégna-tion d'urée pour offrir un pro-duit plus efficace et plus res-pectueux de l'environnement.L'engrais azoté qui y sera pro-duit doit permettre de limiterla volatilisation ammoniacaleet donc de réduire la pollutionde l'air. L'ammoniac est eneffet un précurseur de parti-cules fines. Parallèlement, enretenant dans le sol les nutri-ments, Azena® a pour objec-tif de maintenir l'azote sur laculture et d'en optimiser ainsile rendement.

Des pertes d'ammoniaclimitéesLes pertes par volatilisationammoniacale dans l'air repré-sentent en moyenne 15 à 20 %de l'azote contenu dans l'urée,voire le double en conditionsclimatiques particulières. Enimprégnant dans ce mêmeproduit un inhibateur d'uréase(NBPT), une enzyme qui faitpartie de la composition debactéries présentes dans lesol, l'émission d'ammoniac est

-s

L'engrais doit être intégrale-ment exploité par les cultures.

fortement limitée. Tout l'azotecontenu dans les petits grainsbleus de ce nouvel engrais estdisponible pour les plantes.L'azote d'Azena® est ainsiintégralement exploité par lescultures au lieu de n'en valori-ser qu'une partie, un atout entermes de coûts lépandage etde logistique. De quoi redon-ner tout son intérêt à l'urée,quels que soient les conditionspédoclimatiques et le type desol.Le développement de ce pro-duit fait partie du programmeVert l'avenir, lancé en 2017par le Négoce agricole centreAtlantique et qui vise à com-muniquer le plus largementpossible sur les actions misesen œuvre sur le terrain et àrenforcer les bonnes pratiquesagro-environnementales.

Page 3: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 20 FEV 18

Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 87903Edition : Deux-Sèvres

Journaliste : Antoine BOITEZ

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NACA 8182463500524Tous droits réservés à l'éditeur

AMALTISfer t i l isants

Parthenay, jeudi. Claude Beauchamp, president d'Amaltis , François Gibon, directeur du Negoce agricole centre-atlantique ; Denis Lefevre, commercialet Gilles Duquesnoy, directeur géneral d'Amaltis avec le nouvel engrais Azena

Un engrais made in GâtineAmaltis, l'entreprise parthenaisienne spécialiste des engrais fertilisants, a mis au pointun nouvel engrais plus performant et moins nocif pour l'air qu'on respire.

Antoine BOITEZantomeJboitez@courner ouest com

II faut croire que la terre gâtée a sus-cité l'inventivité d'Amaltis, une so-

ciété spécialisée dans les fertilisants.Pour rendre les récoltes fructueuses,l'entreprise a mis au point un nou-vel engrais, sous la forme de petitesbilles blanches très puissantes. Cesminuscules sphères d'azote contri-buent au rendement et à la qualitédes aliments.Pour rappel, l'azote est un élément àla base de notre chaîne alimentaire.Il fournit aux plantes l'énergie né-cessaire à leur croissance. Forte deson expérience dans le domaine, lasociété parthenaisienne a donc lancéAzena, un produit plus concentré etenrobé d'une substance chimique,qui évite la fuite de l'azote dans l'air.À l'arrivée, c'est moins de particulesfines dans nos poumons.

Pour la PME gâtinaise, Azena estune victoire écologique et sanitaire.« Le produit que nous avons lancéau mois de janvier permet de limiterles rejets d'azote cians l'air. Avec lui,la plante reçoit plus d'azote et il n'ya plus de perte. Il a fait ses preuveset nous permet de nous démarquerde nos concurrents ». détaille GillesDuquesnoy, directeur général de lasociété parthenaisienne.

UUne réponse agricoleet environnementale

intéressante »DENIS LEFÈVRE. Commercialchez Amaltis

Pour iou kg de ce nouvel engraismade in France, 46 % d'azote vontdirectement à la plante, contre 23 %dans la même proportion, pour les

produits classiques. Autant dire queles exploitants agricoles en ont pourleur argent. « C'est une réponse agri-cole et environnementale intéressante.Comme l'engrais est plus concentré,l'agriculteur sort moins son tracteurpour répandre et ilfaut moins de ca-mions pour le transporter », insisteDenis Lefèvre, commercial d'Amaltis.L'idée est si bonne que le Négoceagricole centre-atlantique (NACA),qui conseille et accompagne desagriculteurs, s'en est emparé pourla promouvoir dans le cadre de VertAvenir, une démarche de commu-nication percutante. « Nous avonslancé le programme Vert l'Avenir. Ildoit permettre de mettre en lumièrece genre savoir-faire environnementalet agricole. En sa qualité d'entrepriseau service des agriculteurs, Amaltisest une adhérente historique », se ré-jouit François Gibon, le directeur du

negoce.Pour fabriquer ces petites billes mi-racles, l'entreprise gâtinaise a misbeaucoup d'argent sur la table ceshuit dernières années. « Nous avonsinvesti huit millions d'euros en cinqans sur nos sites, dont 3,5 millionsd'euros pour notre usine de fabrica-tion d'Azena, à La Rochelle. Ce n'estpas rien pour une entreprise de vingt-deux salariés », constate ClaudeBeauchamp, le président d'Amaltis.La PME possède ses trois sites deproduction à La Rochelle, en Cha-rente-Maritime, et son siège histo-rique, à Parthenay. Dans la région,elle est à l'origine de nombreux em-plois directs et indirects. De l'aveu deson président, elle compte embau-cher prochainement sur ses sites deproduction.

Page 4: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 19 FEV 18

Pays : FrancePériodicité : Hebdomadaire

Journaliste : Anne Gilet

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NACA 5057363500505Tous droits réservés à l'éditeur

Avec son engrais Azena, Amaltis concilie performance et respect de l'environnement

La nouvelle unité de production d'Amaltis, dédiée exclusivement à l'engrais azoté Azena est opérationnelle Installée sur le port de la Rochelle,

elle a nécessite un investissement de 3,5 M€ « Une enveloppe importante pour notre entreprise, rappelle Claude Beauchamp, le president Ladirective de nos 27 négoces actionnaires était claire oui à ce nouveau site à condition de concilier qualite, securite, performance économique

et respect de l'environnement » C'est chose faite, se félicite Gilles Duquesnoy, directeur general d'Amaltis « Notre usine est unique en FranceL'un des bâtiments, dédie au tamisage et à l'imprégnation de l'urée, permet de proposer un engrais azote solide stabilise, de haute qualite»

L'objectif est d'atteindre, d'ici à deux ans, une production de 30 DOO t, dont 15 DOO t devraient l'être dès cette année « Maîs le site est configuré

pour, a terme, produire davantage », précise-t-il

L'engrais azoté le plus concentré du marchéQuant a ses performances agronomiques, Azena, reconnaissable a sa couleur bleue, n'a, selon Amaltis, rien a

enviera l'ammonitrate « Azena constitue une réelle alternative a l'ammonitrate, confie Denis Le Fevre,

commercial pour le secteur Nord-Ouest Aussi efficace, Azena, non classe, offre davantage de souplesse et

de sécurité tant pour le stockage que pour la manipulation C'est aussi l'engrais azoté minéral le plus

concentre A volume équivalent, il permet de fertiliser 8 % de surface de plus qu'un ammonitrate » Autreatout mis en avant par Amaltis sa capacite, grâce à son additif agronomique NBPT, de limiter les pertes

d'azote par volatilisation, au-delà de 70 % « Moins de volatilisation, c'est davantage d'azote pour les

cultures et moins d'azote perdu dans l'air », précise Denis Le Fevre « En investissant dans des outils pourreduire l'impact environnemental des pratiques agricoles, Amaltis a tout notre soutien », explique François

Gibon, le directeur du Naca, Négoce agricole centre atlantique, qui, depuis un an, développe le programmeVert l'avenir Azena s'utilise aussi bien sur ble d'hiver, colza, maîs ou prairie Amaltis compte proposer

différentes formulations d'Azena pure 46, soufre, potasse ou potasse soufré

Amaltis en chiffres :

• 40 MC de chiffres d'affaires

• 22 employés

• 4 installations• Une capacite de stockage de 45000 tonnes

• 200 clients négoces et cooperatives

• Le siege est à Parthenay, dans les Deux-Sèvres

Photo François Gibon, directeur du Naca, Claude Beauchamp, président dAmattis, Gilles Duquesnoy, directeur d Amaltis, Denis Le Fevre,

commercial et Nicolas Fontaine, responsable securité et qualite

Anne Gilet

Page 5: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 30 NOV/06 DEC17

Pays : FrancePériodicité : HebdomadaireOJD : 13837

Journaliste : A.B.

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NACA 1891992500505Tous droits réservés à l'éditeur

EnvironnemenVert l'avenir, le plan pour l'agriculture de demain ?

A quoi ressemblera l'agri-culture du futur ? Difficileà dire. En cette période de

crise agricole, ce ne sont pas lesdéfis qui manquent. Parmi eux, laquestion environnementale prendune place de plus en plus impor-tante dans les débats. C'est pour-quoi l'organisation syndicale duNégoce agricole Centre-Atlan-tique (Naca), qui regroupe près de120 entreprises réparties sur19 départements, a souhaité, cetteannée, s'inscrire dans unedémarche écologique. « Nousavons décidé de créer le pro-gramme Vert l'avenir pourrépondre aux nouvelles attentessociétales en matière environne-mentale », explique FrançoisGibon, directeur du Naca.Concrètement, l'organisationdéfend l'idée d'une agriculturedurable à travers diverses actionsprécises. Dans le Berry, les éta-blissements Villemont - collecteet stockage de grains - ont ainsiconstitué un groupe de septexploitations agricoles dans le

Q Au Subdray, près de Bourges, le Naca a tenu une conférence depresse, mardi 21 novembre, pour parler de son projet d'agriculture.

département favorables à une plusgrande diversification des cultures,notamment grâce au développe-ment des légumineuses (luzerne,trèfle...). « Cette rotation permetde préserver la structure des sols,détaille François Gibon. Ces végé-taux captent aussi plus facilementl'azote dans l'air et nécessitentmoins de produits phytosani-taires. » Conséquence directe dela réduction des engrais, l'impactpositif sur les abeilles. L'entrepriseVillemont est d'ailleurs la seule àavoir signé la charte de dévelop-

pement des pollinisateurs dans leCher. « C'est même l'un des pré-curseurs en France », souligneFrançois Gibon.À terme, le Négoce agricole espèreainsi atteindre l'objectif de30 DOO fermes engagées dans leprocessus. Dans cette optique, lesadhérents au syndicat animentcertaines conférences, commec'était le cas mardi 21 novembreau Subray, près de Bourges, afinde présenter leurs actions agro-environnementales. El

A.B.

Page 6: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 08/01/2018Heure : 17:47:18Journaliste : Elodie Viguier

www.sudouest.frPays : FranceDynamisme : 0

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Agriculture en Lot-et-Garonne : des insectes plutôt que despesticides

Sylvain Bit et Éric Netto travaillent ensemble depuis bientôt dix ans pour adopter la lutte intégrée.E. V.Sylvain Bit, maraîcher à Virazeil, a adopté sur son exploitation le Zéro phyto. Il va plus loin en privilégiant lalutte intégrée, qui détruit les parasites à l’aide d’insectes auxiliaires.Objectif : zéro résidu de pesticides. Sylvain Bit, maraîcher installé à Virazeil, compte parmi les 50 producteursqui ont adhéré à la lutte intégrée en Marmandais. L’agriculteur récolte 100 tonnes de fraises de saison et500 de tomates chaque année, sous 15 hectares de serres. En plein champ. Mauvaises herbes et insectesravageurs prennent ainsi leurs aises près de ses plants, qui nécessitent des traitements pour pousser dansde bonnes conditions.

« Cela me coûte trois fois plus cher que la lutte chimique. Mais je sais que je vends des fruits sains et dequalité au consommateur. Les agriculteurs ont mauvaise réputation. On les considère souvent comme despollueurs. C’est faux et bien plus complexe que cela. Beaucoup d’efforts sont faits. Moi le premier, et pour monpropre intérêt : mes filles gambadent sous mes serres et croquent dans mes fraises. » Solutions alternativesAdopter la lutte intégrée prend du temps. Et nécessite l’aide de techniciens au quotidien, qui étudient la qualitédes sols et la présence d’ insectes ravageurs qui ne cessent de muter. Le maraîcher virazeillais s’appuiepour cela sur les méthodes et le savoir-faire de l’entreprise Vitivista, adhérente au Groupement des syndicatsdu négoce Centre-Atlantique, présent dans 350 sites en France et 19 départements.

« Cela me coûte trois fois plus cher que la lutte chimique. Mais je sais que je vends des fruits sains »

Tous droits réservés à l'éditeur NACA 306244177

Page 7: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 08/01/2018Heure : 17:47:18Journaliste : Elodie Viguier

www.sudouest.frPays : FranceDynamisme : 0

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Avec le programme Vert l’avenir, lancé il y a tout juste un an, des centaines de techniciens accompagnent lesagriculteurs et cherchent des solutions adaptées pour que fruits, légumes, vignes et céréales poussent sanspesticides en France. « Le nombre de bestioles parasites est considérable. Leur nombre a augmenté avecles échanges mondiaux et les changements climatiques », détaille Éric Netto, technicien chez Vitivista,à Sainte-Bazeille. « Mais pour chaque parasite, il existe un insecte auxiliaire, qui le neutralise. Autrefois,on traitait à outrance. Aujourd’hui, on accepte davantage les pucerons, les acariens. Et les solutionsalternatives telles les champignons, les bactéries. »

Sous serres, le zéro phyto reste plus efficace qu’en parcelle. « On sent depuis trois ans une réelle prise deconscience. De plus en plus d’agriculteurs sont prêts à gérer le risque du zéro insecticide. En Marmandais,50 producteurs sur 70 ont franchi le pas. »

Terrible drosophileSylvain Bit est de ceux-là. Il sait que cette lutte écologique peut avoir des conséquences sur sa productivité.Il l’assume. « Cela demande beaucoup d’expertise, d’observation et d’adaptation. Nous sommes dans uneremise en cause permanente. Mais je remarque, depuis que j’ai adopté la lutte intégrée, une meilleure qualitédu produit. »

Sous ses serres, le maraîcher traite ses cultures à base d’huiles essentielles et d’algues pour lesfortifier. Mais il doit aussi lutter contre le thrips, minuscule insecte ravageur qui ternit ses fraises, mais encorecontre l’aleurode, petite mouche blanche férue de tomates. Il y a aussi la tuta absoluta, cette mineuse sud-américaine qui perfore la tomate dès les premières pousses.

« Nous utilisons une hormone sexuelle de synthèse badigeonnée sur un ruban adhésif pour piéger le mâle,qui ne peut alors plus se reproduire. »Le thrips, lui, est attiré par le bleu. « De la même façon, nous imprégnons un rouleau de ruban adhésif bleude phéromones. » Mais la bête noire des producteurs demeure pour l’heure la drosophile, cette mouchequi vient pondre dans les fruits (fraises, cerises, raisins, etc.) « Arrivée du Japon, c’est un gros problèmedepuis cinq ans », assure Éric Netto. Piégée avec du vinaigre et du sirop, Vitivista propose également dessachets chargés d’acariens prédateurs auxiliaires à déposer tout près des plants pour la neutraliser. Un travailtitanesque, lorsque l’on sait que 110 000 pieds sont plantés par exemple chez le Virazeillais…

Tous droits réservés à l'éditeur NACA 306244177

Page 8: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 08/01/2018Heure : 17:47:18Journaliste : Elodie Viguier

www.sudouest.frPays : FranceDynamisme : 0

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Les drones peuvent être utilisés pour les grandes surfaces.Crédit photo : AFP« Pour les grandes cultures, nous utilisons des drones. Ce n’est pas encore possible sous serres, maiscela le deviendra. » Véritable fléau, l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) a d’ailleurs lancé unvaste programme de recherche pour lutter contre la drosophile.

Tous droits réservés à l'éditeur NACA 306244177

Page 9: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 09 JAN 18

Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 280453Edition : Lot et Garonne

Journaliste : ÉLODIE VIGUIER

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NACA 0831033500508Tous droits réservés à l'éditeur

Ils cherchent la petite bête

Sylvain Bit et Éric Netto travaillent ensemble depuis bientôtdix ans pour adopter la lutte intégrée. PHOTO É v

Page 10: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 09 JAN 18

Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 280453Edition : Lot et Garonne

Journaliste : ÉLODIE VIGUIER

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NACA 0831033500508Tous droits réservés à l'éditeur

VIRAZEIL SylvainBit, maraîcher,a adopté sur sonexploitation le zérophyto et privilégiéla lutte intégrée, quidétruit les parasitesà l'aide d'insectesauxiliairesÉLODIE VIGUIER

[email protected]

Objectif: zero residu de pesti-cides Sylvain Bit, maraîcherinstalle a Virazeil, compte

parmi les SO producteurs qui ontadhère a la lutte intégrée en Mar-mandais. L'agriculteur récolte100 tonnes de fraises de saison et500 de tomates chaque année,sous IS hectares de serres. En pleinchamp Mauvaises herbes et insec-tes ravageurs prennent ainsi leursaises près de ses plants, qui néces-sitent des traitements pour pous-ser dans de bormes conditions «Ce-la me coûte trois fois plus cher quela lutte chimique Maîs je sais queje vends des fruits sains et de quali-té au consommateur Les agricul-teurs ont mauvaise i éputanon. Onles considère souvent comme despollueuis C'est faux et bien pluscomplexe que cela Beaucoup d'ef-forts sont faits. Moi le piemier, etpour mon propre intérêt : mes fillesgambadent sous mes sen es et ci o-quent dans mes fraises »

Solutions alternativesAdopter la lutte intégrée prend dutemps Et nécessite l'aide dè techniciens au quotidien, qui étudient laqualité des sols et la présence d'msectes ravageurs qui ne cessent demuter Le maraîcher virazeillaiss'appuie pour cela sur les metho-des et le savoir faire de l'entrepriseVitivista, adhérente au Groupe-ment des syndicats du négoce Gentre-Adanùque, present dans 350 si-tes en France et 19 départementsAvec le programme Vert l'avenir,lancê il y a tout j liste un an, des centaines de techniciens accompa-gnent les agriculteurs et cherchentdes solutions adaptées pour quefruits, lêgumes, vignes et céréalespoussent sans pesticides en France

« Le nombre de bestioles parasitesest considérable. Leur nombre aaugmente avec les échanges mondiaux et les changements climan-^^^^^^^ ques », détaille

Eric Netto, tech-« Cela m0 niaen chez Viti

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trance. Aujourd'hui, on accepte da-vantage les pucerons, les acanens Etles solutions alternaUves telles leschampignons, les bactéries. »

Sous serres, le zéro phyto resteplus efficace qu'en parcelle (lire ci-dessous). « On sent depuis trois ansune réelle prise de conscience Deplus en plus d'agnculteuis sontprets a gérer le nsque du zéro in-secticide. En Marmandais, SO pro-ducteurs sur 70 ont franchi le pas »

Terrible drosophileSylvain Bit est de ceux-là II sait quecette lutte écologique peut avoirdes conséquences sul sapioducu-vité. Il l'assume. « Cela demandebeaucoup d'expertise, d'observa-tion et d'adaptauoa Nous sommesdans une i émise en cause perma-nente. Maîs je remarque, depuisque j'ai adopté la lutte integiée, unemeilleure qualite du produit » Sousses sénés, le maïaichei traite sescultures à base d'huiles essentielleset d'algues pour les fortifier Maîs ildoit aussi lutter contre le thnps, mi-

nuscule insecte ravageur qui ternitses fraises, maîs encore contrel'aleurode, petite mouche blancheférue de tomates. Il y a aussi la mtaabsoluta, cette mineuse sud-amé-ricaine qui perfore la tomate dèsles premières pousses. « Nous utili-sons une hormone sexuelle de syn-thèse badigeonnée sur un rubanadhésif pour piéger le mâle, qui nepeut alors plus se reproduire. » Lethnps, lui, est atûré par le bleu. « Dela même façon, nous imprégnonsun rouleau dè ruban adhésif bleu dephéromones. » Maîs la bête noiredes producteurs demeure pourl'heure la drosophile, cette mouchequi vient pondre dans les fruits(fraises, censés, raisins, etc.) « Arn-

vée du Japon, c'est un gros pro-blème depuis cinq ans », assure ÉncNetto. Piégée avec du vinaigre et dusirop, Vitivista propose égalementdes sachets charges d'acanens pré-dateurs auxiliaires à déposer toutprès des plants pour la neutraliser.Un travail utanesque, lorsque l'onsait que 110 DOO pieds sont plantespar exemple chez le Virazeillais...

« Pour les grandes cultures, nousutilisons des drones (lire parailleurs). Ce n'est pas encore possi-ble sous serres, maîs cela le devien-dra. » Véntable fléau, l'Institut na-tional de la recherche agronomi-que (Inra) a d'ailleurs lancé un vasteprogramme de recherche pour lut-ter contre la drosophile.

Page 11: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 30 NOV/06 DEC17

Pays : FrancePériodicité : HebdomadaireOJD : 13837

Journaliste : A.B.

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NACA 1891992500505Tous droits réservés à l'éditeur

EnvironnemenVert l'avenir, le plan pour l'agriculture de demain ?

A quoi ressemblera l'agri-culture du futur ? Difficileà dire. En cette période de

crise agricole, ce ne sont pas lesdéfis qui manquent. Parmi eux, laquestion environnementale prendune place de plus en plus impor-tante dans les débats. C'est pour-quoi l'organisation syndicale duNégoce agricole Centre-Atlan-tique (Naca), qui regroupe près de120 entreprises réparties sur19 départements, a souhaité, cetteannée, s'inscrire dans unedémarche écologique. « Nousavons décidé de créer le pro-gramme Vert l'avenir pourrépondre aux nouvelles attentessociétales en matière environne-mentale », explique FrançoisGibon, directeur du Naca.Concrètement, l'organisationdéfend l'idée d'une agriculturedurable à travers diverses actionsprécises. Dans le Berry, les éta-blissements Villemont - collecteet stockage de grains - ont ainsiconstitué un groupe de septexploitations agricoles dans le

Q Au Subdray, près de Bourges, le Naca a tenu une conférence depresse, mardi 21 novembre, pour parler de son projet d'agriculture.

département favorables à une plusgrande diversification des cultures,notamment grâce au développe-ment des légumineuses (luzerne,trèfle...). « Cette rotation permetde préserver la structure des sols,détaille François Gibon. Ces végé-taux captent aussi plus facilementl'azote dans l'air et nécessitentmoins de produits phytosani-taires. » Conséquence directe dela réduction des engrais, l'impactpositif sur les abeilles. L'entrepriseVillemont est d'ailleurs la seule àavoir signé la charte de dévelop-

pement des pollinisateurs dans leCher. « C'est même l'un des pré-curseurs en France », souligneFrançois Gibon.À terme, le Négoce agricole espèreainsi atteindre l'objectif de30 DOO fermes engagées dans leprocessus. Dans cette optique, lesadhérents au syndicat animentcertaines conférences, commec'était le cas mardi 21 novembreau Subray, près de Bourges, afinde présenter leurs actions agro-environnementales. El

A.B.

Page 12: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 13 OCT 17

Pays : FrancePériodicité : Hebdomadaire

Page de l'article : p.7Journaliste : C. P.

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NACA 0367652500501Tous droits réservés à l'éditeur

TOUTE L'INFO

ECONOMIE Le négoce agricole développe un programme de valori-sation de pratiques durables Exemple avec les plantes campagnes.

Négoce Agricole s'engage«vert l'avenir»Porte par I espoir de ledun e

la quantite de produits utilises et les couts de productionde son colza LudovicBouteiller s est jeté a I eau cette annee«Seul j aurais eu du malconvient I exploitant de Lusseray ev oquant les IO ha de colzasemés en même temps qu uncouvert compose de legumineuses vesces et trèfle incainat Céréalier sur 118 ha ilapprécie les conseils rassurantsde Cedric Clochard le techruden des Ets Lamv «Limplantalion des plantes campagnesen parallèle de la culture ducolza ett ime technique que I onteste depuis 5 ans Lexperiencepermet de pieciser la mue enœuvre dont la réussite dépendaussi pour partie du climat >cadrait le conseiller lors de laconference de presse orgamséc par le Naca Négoce Agncole Centre Atlantique mercredi 4 octobre aux RuraliesCharge d accompagner lesagriculteurs dans une activiteéconomiquement viable uneproduction qui reponde auxbesoins, du marche et des pra

EN CHIFFRES• 120 entreprises cle NegoceLe negoce Agricole CentreAtlantique draine 19 départe-ments ll compte 120 entreprises et 2 DOO salaries 4millions de tonnes decéréales sont chaque anneecollectées dans 350 depôtsLes adhérents du Naca deve-loppement 2 milliards d euroscle chiffre d'affaires

.Préconiser des itinéraires techniques raisonnes avec les agriculteurs

tiques qui tiennent compte desattentes de la societe le negoceagricole revendique le lienentre conseil et vente «Pourtiavaillei ai ec efficacité il fautpouvoir agir sur I itinéraireagronomique > certifie Francois Gibon directeur du NacaDans le cas presente lors decette journee de communica-tion dédiée au programme dunegoce agricole <Verl Lavenir»les partenaires piecisaient<Litmetaire technique devcloppe avec les plantes campagnes permettra de faire I econorme delhei blade post semisLe couvert détruit pat le gel aucours de la saison culturale errestitue au sol influencera a labaisse les besoins en fertilisalion azotée pour les futures cultures Cette precomsatum de raison n est possible que si Ionconnaît bien I exploitant sonexploitation les précédents culturaux»Lensemble semé le 21 aout enune seule fois pour des raisonsde simplification de chantier

souhaitées par Ludovic abénéficie d une meteo stimuJante Le couvert sorti enpaiallele du colza tapisse lesol étouffant les mauvaisesherbes «Ces plantes jouent unrôle intéressant pour la structuration du sol Elles partielpen! également a la lutte contreles altises Nombreuses ellesattirent le ravageur limitantainsi les dégâts sur la cultureprincipale» explique Ludovicimpatient de voiries resultatsQuèlques semaines apres lamise en terre I exploitant pleind espoir se gai de bien de Irancher S il est sur d avoir faitleconomie de 40 a 45 €/ha ace ]our (") I opportunite economique de ce programmeagronomique reste encoie aprouver Elle le sera si le rendément est a la hauteur decelui des annees précédentesC est le souhait de Ludovic

CP(*) Lus plantes campagnes coûtent30€/ha L'herbicide post semis éco-nomise coûte 90 a 95€/ha

Page 13: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 12/10/2017Heure : 18:45:39

agri79.reussir.frPays : FranceDynamisme : 0

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Le Négoce Agricole s'engage « vert l'avenir »Pour répondre aux besoins des agriculteurs dans un contexte d'évolution des usages, le négoce agricoledéveloppe un programme de valorisation des pratiques durables. Les plantes campagnes sont de celles-ci.

Ludovic Bouteiller (à gauche) a bénéficié des conseils de Cédric Clochard (au centre) et François Gibon. -© C.P.

Porté par l'espoir de réduire la quantité de produits utilisés et les coûts de production de son colza, LudovicBouteiller s'est jeté à l'eau cette année. « Seul, j'aurais eu du mal », convient l'exploitant de Lusseray enévoquant les 10 ha de colza semés en même temps qu'un couvert composé de légumineuses, vesces et trèfleincarnat. Céréalier sur 118 ha, il apprécie les conseils rassurants de Cédric Clochard, le technicien des EtsLamy. « L'implantation des plantes campagnes, en parallèle de la culture du colza, est une technique que l'onteste depuis cinq ans. L'expérience permet de préciser la mise en œuvre de cette pratique dont la réussitedépend aussi pour partie du climat », cadrait le conseiller lors de la conférence de presse organisée par leNaca, Négoce Agricole Centre Atlantique, mercredi 4 octobre aux Ruralies.

Chargé d'accompagner les agriculteurs dans une activité économiquement viable, une production qui répondeaux besoins du marché et des pratiques qui tiennent compte des attentes de la société, le négoce agricolerevendique le lien entre conseil et vente. « Pour travailler avec efficacité, il faut pouvoir agir sur l'itinéraireagronomique », certifiait François Gibon, le nouveau directeur du Naca.

Tous droits réservés à l'éditeur NACA 302210027

Page 14: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 12/10/2017Heure : 18:48:00Journaliste : CP

agriculteur-charentais.reussir.frPays : FranceDynamisme : 0

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Négoce Agricole s'engage «vert l'avenir»Le négoce agricole développe un programme de valori-sation de pratiques durables. Exemple avec les plantescampagnes.

Préconiser des itinéraires techniques raisonnés avec les agriculteurs. - © CP

Porté par l'espoir de réduire la quantité de produits utilisés et les coûts de production de son colza, LudovicBouteiller, s'est jeté à l'eau cette année. «Seul j'aurais eu du mal», convient l'exploitant de Lusseray évoquantles 10 ha de colza semés en même temps qu'un couvert composé de légumineuses, vesces et trèfle incarnat.Céréalier sur 118 ha, il apprécie les conseils rassurants de Cédric Clochard, le technicien des Ets Lamy.«L'implantation des plantes campagnes, en parallèle de la culture du colza, est une technique que l'on testedepuis 5 ans. L'expérience permet de préciser la mise en œuvre dont la réussite dépend aussi pour partie duclimat», cadrait le conseiller lors de la conférence de presse organisée par le Naca, Négoce Agricole CentreAtlantique, mercredi 4 octobre aux Ruralies.

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Date : 13 OCT 17

Pays : FrancePériodicité : Hebdomadaire

Page de l'article : p.7Journaliste : Christelle Picaud

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Négoce Agricole s'engage « vert l'avenir »Pour répondre auxbesoins desagriculteurs dans uncontexte d'évolutiondes pratiques, lenégoce agricoledéveloppe unprogramme devalorisation depratiques durables, lesPlantes campagnessont de celles-ci.

H par Christelle Picaud

Agri 79

Porte pai l'espon dereduire la quantite depioduits utilises et les

coûts de production de soncol/a, Ludovic Bouteiller s est(ete a I eau cette annee < SeulI awais eu du mal > convientlexploitant dc Lusscray cvo-quant les 10 ha dc colza scmcsen même temps qu un couvertcompose de légumineuses,\ esces et trèfle incarnat Cerea-hei sur 118 ha, il apprécie les

fe

« Litineraire technique développe avec les plantescampagnes, permettra de faire I economie de l'herbicide

post-semis», explique le Naca

conseils lassuianls de CeducClochai d le technicien des BibLam> < Limplantation displm lits campagne s en parallèlede la culture du colza est unetechnique que Ion teste depuis5 ans Lexperience permet depied set la mise en œuvre dontla réussite dépend aussi pourpartie du climat >, cadiait leconseiller loi s de la conferencede presse organisée par le Naca,

Negoce Agricole Centie Atlantique le 4 octobre dernier auxRuralicsChai ge d accompagnei les agri-culteuis dans une activite economiquemenL v labié une pi oduction qui reponde auxbesoins du marche et des pratiques qui tiennent compte desattentes de la societe le negoceagricole revendique Ic ben entreconseil ct vente < Pour travaille]

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Date : 13 OCT 17

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avec efficacité, il faut pouvoiragir sur l'itinéraire agrono-mique », certifie FrançoisGibon, directeur du Naca. Dansle cas présente lors de cettejournée de communicationdédiée au programme dunégoce agricole « Vert L'ave-nir », les partenaires préci-saient: « L'itinéraire techniquedéveloppé avec les plantes cam-pagnes, permettra de faire l'éco-nomie de l'herbicide post-semis.Le couvert, détruit par le gel aucours de la saison culturale etrestitué au sol, influencera à labaisse les besoins en fertilisationazotée pour les futures cultures.Cette préconisation de raisonn'est possible que si l'on connaîtbien l'exploitant, son exploita-tion, les précédants culturaux ».

Favorable à lastructuration du sol

L'ensemble, semé le 21 août enune seule fois pour des raisonsde simplification de chantiersouhaitées par Ludovic, a béné-

ficié d'une météo stimulante.Le couvert, sorti en parallèledu colza, tapisse le sol étouffantles mauvaises herbes. « Cesplantes jouent un rôle intéres-sant pour la structuration dusol. Elles participent égalementà la lutte contre les attises. Nom-breuses, elles attirent le ravageurlimitant ainsi les dégâts sur laculture principale », expliqueLudovic, impatient de voir lesrésultats.Quèlques semaines après lamise en terre, l'exploitant pleind'espoir se garde bien de tran-cher. S'il est sûr d'avoir fait l'éco-nomie de 40 à 45 €/ha à ce jour(I), l'opportunité économiquede ce programme agronomiquereste encore à prouver. Elle lesera si le rendement est à lahauteur de celui des années pré-cédentes. C'est le souhait deLudovic.

C1) Les plantes campagnes coûtent50 €/ha. L'herbicide post-semiséconomisé coûte 90 à 95 € /ha.

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Journaliste : C.P.

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ÉCONOMIE Pour répondre aux besoins des agriculteurs dans un contexte d'évolutiondes usages, le négoce agricole développe un programme de valorisation des pratiquesdurables. Les plantes campagnes sont de celles-ci.

Le Négoce Agricole s'engage« vert l'avenir »

Porte pai I espoii deleduire la quantite deproduits utilises et lescouts de pioduction

de son colza Ludovic Bou-teiller s est (ete a I eau cetteannee « Seul j auiais eu dum a l > confient I exploitantde Lusseia\ en évoquant lesIO ha dc colza semés en muni,temps qu un couvert composede légumineuses vesces ettredi, incarnat Ccrcalicr sur118 ha il apprécie les conseilsrassurants de Cedric Clochai dle technicien des Ets Lam\< Limplantation des plantescampagnes en parallèle de laculture du colza est une tech-nique que I on teste depuiscinq ans Lexpenence peimetde preciseï la mise en remi ede cette pi atique dont la i eussite dcpcnd aussi pour partiedu climat » cadiait le conseillei lors de la conference depresse organisée pai Ic NacaNegoce Agricole Centre Atlantique mercredi 4 octobre auxRuralies

Ludovic Bouteiller (a gauche) a bénéficie des conseils de CedricClochard (au centre) et François Gibon

Charge d accompagnei lesagiiculteurs dans une activiteéconomiquement viable unepioduction qui leponde auxbesoins du mai che et des pi atiques qui tiennent compte desattentes dc la société le negoceagricole revendique le lienentie conseil et vente < Pouitra\ aillei ai ec efficacité rl fautpouvou agu sul litmeiaiieagronomique », certifiait Fran-

çois Gibon le nouveau directeur du Naca (\ oir encadre)

Opportunité économiqueDans le cas piesente lois decette journee de commun!cation dédiée au piogiammedu negoce agi icole < V c i tLav eni! > les pai tenait espiecisaient < Litineianetechnique développe avec lesplantes campagnes pei meta a

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Date : 13 OCT 17

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Journaliste : C.P.

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de faire l'économie de l'herbi-cide post-semis. Le couvert,détruit par le gel au cours dela saison culturale et restituéau sol, influencera à la baisseles besoins en fertilisation azo-tée pour les futures cultures.Cette préconisation de rai-son n'est possible que si l'onconnaît bien l'exploitant, sonexploitation et les précédantsculturaux ».L'ensemble, semé le 21 aoûten une seule fois pour desraisons de simplification dechantier souhaitées par Ludo-vic, a bénéficié d'une météostimulante. Le couvert, sortien parallèle du colza, tapissele sol et étouffe les mauvaisesherbes. « Ces plantes jouent unrôle intéressant dans la structu-ration du sol. Elles participentégalement à la lutte contreles altises. Nombreuses, ellesattirent le ravageur, limitantainsi les dégâts sur la cultureprincipale », explique Ludovic.Quèlques semaines après lamise en terre, l'exploitant,

plein d'espoir, se garde biende trancher. S'il est sûr d'avoirfait l'économie de 40 à 45 €/ha à ce jour (*), l'opportunitééconomique de ce programmeagronomique reste encore àprouver. Elle le sera si le rende-ment est à la hauteur de celuides années précédentes. C'estle souhait de Ludovic.

C.R

(*) Les plantes campagnescoûtent 50 €/ha. L'herbicidepost-semis économisé coûte90 à 95 €/ha.

I EN CHIFFRES IH Le Négoce AgricoleCentre Atlantique draine 19départements. Il compte 120entreprises et 2000 sala-riés. 4 millions de tonnes decéréales sont chaque annéecollectées dans 350 dépôts.Les adhérents du Naca déve-loppent 2 milliards d'euros dechiffre d'affaires.

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Date : 13 OCT 17

Périodicité : Hebdomadaire

Journaliste : Daniel BIRON

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AGRICULTURE

Le négoce renforce son conseilÀ l'occasion de la présentation de l'implantation de plantes compagnes, le Négoce agricole Centre-

Atlantique explique le bien-fondé de son expertise dans le conseil et la vente de produits. Unexemple était présente à Lusseray, le 4 octobre dernier.

Alors qu'un récent sondage auprèsdes agriculteurs montre que 64 %d'entre eux sont favorables a la sepa-ration des activites de conseil agrono-mique et de vente de produits phyto-pharmaceutiques, alors que SegoleneRoyal quand elle était ministre del'Environnement avait lance avant sondepart une expérimentation dans cesens et que le candidat EmmanuelMacron s'était déclare en faveur decette mesure, les entreprises dunegoce et de la cooperation s'm-quietent de la mise en oeuvre et desconséquences de telles mesures

Fort de 120 entreprises de negoce,avec une représentation sur dix-neufdépartements de Nouvelle-Aquitaine,Centre-Val-de-Loire et Vendee, avecun chiffre d'affaires de 2 milliardsd'euros par an, pour 4 milliards detonnes de collecte de céréales etoleoproteagmeux, le Negoce agri-cole Centre-Atlantique (NACA) estsur cette même inquiétude et réfuteles arguments avances pour justifiercette separation

François Gibon, directeur deNACA, le dit clairement, « // esf exclud'accepter cette separation du cense//ef de la vente La vente de produitsest liee au conseil préalable » ll faitd'ailleurs remarquer que pour la ventede produits (engrais, phytopharma-ceutiques), « la tendance est plutôta conseiller moins de consommationde produits » En effet, selon lui, leconseiller vendeur n'a pas intérêt avendre plus que ce dont l'agriculteura besoin, simplement parce qu'il ne

reviendrait pasLa mesure ne semble pas non

plus devoir permettre une ameliora-tion de la securite D'une part, parceque les vendeurs doivent aujourd'huiposséder un agrement pour le faire etd'autre part « déconnecter le conseildelà vente c'est risquer de voir explo-ser la vente libre en direct » ajouteFrançois Gibon

C'est la raison pour laquelle leNACA s'est lance dans une opera-tion d'envergure pour montrer l'im-portance du lien entre la vente et leconseil, l'importance de la relationentre l'agriculteur et le technicien dunegoce Mercredi 4 octobre, CedricClochard, technicien aux Etablisse-ments Lamy (sud Deux-Sèvres), estvenu expliquer le choix fait par l'en-treprise de conseiller la mise en placede plantes compagnes pour la culturedu colza Les principes sont promet-teurs, l'expérimentation debute chezLudovic Bouteiller, agriculteur a Lus-seray, qui a implante dix hectaresde colza avec des légumineusesSa decision a ete motivée par le faitque cela doit reduire les traitementsherbicides en particulier « Se passerd'intervenir, cela signifie une meilleuremarge » dit-il

Concrètement, le semis simultanéde la plante principale et de plantescompagnes qui lèvent en mêmetemps, fait que « les plantes com-pagnes lèvent avant les mauvaisesherbes et les étouffent » avanceCedric Clochard « Ce/a évite laconcurrence des mauvaises herbes

Ludovic Bouteiller avec Cédric Clochard dans son champde colza juste implanté.

et du colza » La presence de plantescompagnes structure le sol, les légu-mineuses développent un systemeracmaire qui sera favorable au sys-teme racmaire du colza, qui pourraainsi aller plus profondement cher-cher l'eau et les mineraux Quand lesplantes compagnes se dégradent,avec les gelées d'hiver, leur dégra-dation apporte de la fertilisation natu-relle

Chaque secteur est particulier(terre, hygrométrie, climat) et néces-site une decision locale qui pourl'agriculteur ne peut se passer d'unconseil Dans le cas de Ludovic Bou-teiller, ce dernier a fait le choix desupprimer le desherbage qui suivaitle semis

On compte également sur la pro-

tection contre certains ravageurscomme l'altise, qui habituellementmange les feuilles de colza et quipourraie bien se satisfaire de cellesdes légumineuses

Alors que l'on passe cinq trai-tements en moyenne sur ce typede culture, la presence de plantescompagnes pourrait reduire ceux-cia trois Maîs l'agriculteur se dit déjàsatisfait d'avoir fait une economie

de 20 % sur les traitements, environ50 euros par hectare Ce n'est pasnégligeable, sans compter l'effortpour limiter les mtrants, aux abordsd'une zone de captage

Daniel BIRON

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Date : 12 OCT 17

Pays : FrancePériodicité : Hebdomadaire

Page de l'article : p.15Journaliste : Christelle Picaud

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Technique

Négoce Agricole s'engage« vert l'avenir »

Pour répondre aux besoins des agriculteurs dans un contexte d'évolution despratiques, le négoce agricole développe un programme de valorisation depratiques durables. Les Plantes campagnes sont de celles-ci.

I Christelle PicaudAgri 79

Porté par l'espoir de ré-duire la quantité de pro-duits utilisés et les coûts

de production de son colza,Ludovic Bouteiller s'est jeté àl'eau cette année. « Seul j'au-rais eu du mal », convient l'ex-ploitant de Lusseray évoquantles 10 ha de colza semés enmême temps qu'un couvertcomposé de légumineuses,vesces et trèfle incarnat. Cé-réalier sur 118 ha, il apprécieles conseils rassurants de Cé-dric Clochard, le techniciendes Ets Lamy. « L'implanta-tion des plantes campagnes, enparallèle de la culture du colza,est une technique que l'on testedepuis 5 ans. L'expérience per-

met de préciser la mise enoeuvre dont la réussite dépendaussi pour partie du climat »,cadrait le conseiller lors de laconférence de presse organi-sée par le Naca, Négoce Agri-cole Centre Atlantique, mer-credi 4 octobre aux Ruralies.Chargé d'accompagner lesagriculteurs dans une activitééconomiquement viable, uneproduction qui réponde auxbesoins du marché et des pra-tiques qui tiennent comptedes attentes de la société, lenégoce agricole revendique lelien entre conseil et vente.« Pour travailler avec efficacité,il faut pouvoir agir sur V itiné-raire agronomique », certifieFrançois Gibon, directeur duNaca. Dans le cas présentelors de cette journée de com-munication dédiée au pro-

gramme du négoce agricole« Vert L'avenir », les parte-naires précisaient: « L'itiné-raire technique développé avecles plantes campagnes, permet-tra de faire l'économie de l'her-bicide post-semis. Le couvert,détruit par le gel au cours de lasaison culturale et restitué ausol, influencera à la baisse lesbesoins en fertilisation azotéepour les futures cultures. Cettepréconisation de raison n'estpossible que si l'on connaîtbien l'exploitant, son exploita-tion, les précédants cultu-raux ».Lensemble, semé le 21 aoûten une seule fois pour des rai-sons de simplification dechantier souhaité par Ludo-vic, a bénéficié d'une météostimulante. Le couvert, sortien parallèle du colza, tapisse

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Date : 12 OCT 17

Pays : FrancePériodicité : Hebdomadaire

Page de l'article : p.15Journaliste : Christelle Picaud

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L'agriculteur (à gauche), Cédric Clochard, des établissements Lamy,au centre, et François G/bon à droite

le sol étouffant les mauvaisesherbes. « Ces plantes jouent unrôle intéressant pour la struc-turation du sol. Elles partici-pent également à la lutte contreles attises. Nombreuses, ellesattirent le ravageur limitantainsi les dégâts sur la cultureprincipale », explique Ludovicimpatient de voir les résultats.Quèlques semaines après lamise en terre, l'exploitantplein d'espoir se garde bien detrancher. S'il est sûr d'avoir

fait l'économie de 40 à 45€/ha à ce jour ", l'opportunitééconomique de ce pro-gramme agronomique resteencore à prouver. Elle le serasi le rendement est à la hau-teur de celui des années pré-cédentes. C'est le souhait deLudovic.

Les plantes campagnes coû-tent 50 €./ha. L'herbicide post-semis économisé coûte 90 à95 €/ha.

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Date : 09 OCT 17

Périodicité : QuotidienOJD : 180176Edition : Deux sèvre

Journaliste : Philippe Engerbeau

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agriculture

La technique qui révolutionnela culture de colzaLa Naca recommande l'utilisation de plantes compagnes dans la culturede colza. Qui protègent la planète et améliorent les comptes de l'entreprise.

L e principe est simple.Sur des cultures decolza faire pousserdes plantes (appelées

plantes compagnes) qui empê-cheront les mauvaises herbesde proliférer. Tout simplementparce qu'il n'y aura plus deplace ! C'est le principe de laconcurrence : les plantes com-pagnes « étouffent » toute pos-sibilité de sortir chez les ditesmauvaises herbes.

Le secretdes plantesqui utilisentl'azote de l'air

Mardi dernier à la chambred'agriculture des Ruralies legroupe syndical la Naca (Né-goce agricole Centre Atlan-tique) avait invité l'un de sesadhérents le groupe de négoceprivé (en céréales) Lamy etl'un de ses clients agriculteurproducteur de colza à Lusse-

Culture de colza avec trèfles et vesces. Le colza grandit plus viteque les deux plantes compagnes : un des éléments dont prendcompte le technicien de la Naca à chaque fois.

ray, Ludovic Bouteiller. Qui vautiliser cette technique poin-tue, cette saison, pour la pre-mière fois.« L'utilisation de ces deuxplantes compagnes (NDLR le

trèfle et la vesce) en mêmetemps que la pousse du colza,au final, permettra de réduired'un quart l'utilisation d'en-grais, de 20 % le désherbantchimique utilisé habituellement,

de réduire considérablement lerisque de lessivage (NDLR quiconduisent à la pollution deseaux de surface et des nappesphréatiques) et améliorer lescomptes d'exploitation de l'en-treprise puisqu'elle utiliseramoins de phytosanitaires », af-firme François Gibon, direc-teur a la Naca. Ce dernier con-seille cette technique à sesadhérents (ils sont 125) depuiscinq ans et même s'il avouequ'une expertise et un appren-tissage à la hauteur sont néces-saires les résultats sont déjàlà!L'un des secrets réside dans lefait qu'ici la plante compagneutilise l'azote de l'air, abon-dant, et qu'elle le restitue autravers ses nodules à la terreou aux racines du colza.L'azote étant la denrée rare enquelque sorte puisqu'en tech-nique conventionnelle on l'ap-porte sous forme d'engrais desynthèse.

Philippe [email protected]

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Date : 09/10/2017Heure : 05:01:09Journaliste : Philippe ENGERBEAU

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La technique qui révolutionne la culture de colza

Culture de colza avec trèfles et vesces. Le colza grandit plus vite que les deux plantes compagnes : un deséléments dont prend compte le technicien de la Naca à chaque fois.© Photo NR

La Naca recommande l’utilisation de plantes compagnes dans la culture de colza. Qui protègent la planèteet améliorent les comptes de l’entreprise.

Le principe est simple. Sur des cultures de colza faire pousser des plantes (appelées plantes compagnes) quiempêcheront les mauvaises herbes de proliférer. Tout simplement parce qu’il n’y aura plus de place ! C’estle principe de la concurrence : les plantes compagnes « étouffent » toute possibilité de sortir chez les ditesmauvaises herbes.Le secret des plantes qui utilisent l’azote de l’air Mardi dernier à la chambre d’agriculture des Ruralies legroupe syndical la Naca ( Négoce agricole Centre Atlantique) avait invité l’un de ses adhérents le groupe denégoce privé (en céréales) Lamy et l’un de ses clients agriculteur producteur de colza à Lusseray, LudovicBouteiller. Qui va utiliser cette technique pointue, cette saison, pour la première fois.« L’utilisation de ces deux plantes compagnes (NDLR le trèfle et la vesce) en même temps que la poussedu colza, au final, permettra de réduire d’un quart l’utilisation d’engrais, de 20 % le désherbant chimiqueutilisé habituellement, de réduire considérablement le risque de lessivage (NDLR qui conduisent à la pollutiondes eaux de surface et des nappes phréatiques) et améliorer les comptes d’exploitation de l’entreprisepuisqu’elle utilisera moins de phytosanitaires », affirme François Gibon, directeur à la Naca. Ce dernier

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Date : 09/10/2017Heure : 05:01:09Journaliste : Philippe ENGERBEAU

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conseille cette technique à ses adhérents (ils sont 125) depuis cinq ans et même s’il avoue qu’une expertiseet un apprentissage à la hauteur sont nécessaires les résultats sont déjà là !L’un des secrets réside dans le fait qu’ici la plante compagne utilise l’azote de l’air, abondant, et qu’elle lerestitue au travers ses nodules à la terre ou aux racines du colza. L’azote étant la denrée rare en quelquesorte puisqu’en technique conventionnelle on l’apporte sous forme d’engrais de synthè[email protected]

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Date : 30/09/2017Heure : 10:32:16

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Aller vers une agriculture de conservationLe syndicat Eaux de Vienne a organisé jeudi une réunion de sensibilisation à la préservation de la ressourceen eau potable à destination des agriculteurs.

Une table ronde en présence de M. Boutet (Eaux de Vienne), M. Raynard (Agence de l'eau Loire Bretagne),M. Villeneuve (Coop de France Centre Atlantique Limousin), M. Valette ( NACA) et M. Marchand (chambred'agriculture).CHEVALIER BERNARD

Dans le cadre de sa démarche de préservation de la ressource en eau potable, Eaux de Vienne organisait,ce jeudi à La Margelle, une journée de sensibilisation sur le thème des techniques agricoles, ouverte à tousles agriculteurs et partenaires des territoires Re-Sources. Eaux de Vienne est engagé dans le programmerégional Re-Sources pour reconquérir et protéger durablement la qualité de l'eau destinée à la consommation.Le syndicat doit être porteur, médiateur et fédérateur, il veut prendre le rôle d'animateur sur le territoire, prendreen main les informations collectives, créer du lien.

Un programme varié

Quelque 150 personnes étaient réunies à La Margelle pour écouter une conférence de Frédéric Thomas, unagriculteur de Sologne, qui, autour de l'agriculture de conservation, a fait part de son retour d'expériences.Après le buffet, trois ateliers pratiques ont été présentés à Genouillé: « Le couvert végétal, un allié pour messols » (Frédéric Thomas), visite de l'essai « couverts végétaux » (Ocealia) et démonstration de matériel «Semis direct et semis sous couvert ». Le but affiché est bien de rassembler les agriculteurs, partager lesexpériences et faire évoluer les pratiques agricoles.Pascal Levavasseur, directeur de l'ingénierie et ressources en eau, est satisfait du nombre de participants: «Si on veut reconquérir l'eau brute, il faut emmener tout le monde vers une agriculture de conservation, il fautdépasser la prise de conscience, aller vers une évolution des cultures, avoir l'adhésion de tous (agriculteurs,coopératives, chambre d'agriculture...) en sachant que l'agriculteur reste l'acteur principal. »

Respecteret se servir du sol

Une agriculture de conservation c'est quoi? « Les sols se sont appauvris avec l'agriculture traditionnelle. Ilfaut tenir compte du sol, le respecter, se servir du sol comme matière vivante. On peut faire le pari que cette

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Date : 30/09/2017Heure : 10:32:16

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agriculture servira aux rendements, avec le changement climatique, l'élévation des températures, les terresseront moins "séchantes" », précise Pascal Levavasseur.Si le programme Re-Sources fonctionne, à terme, il n'y aura plus besoin d'une usine de retraitement, si le solva bien, le sol ira bien quelques années plus tard.

A consulter le site de Frédéric Thomas sur « L'agriculturede conservation ».

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Date : JUIL/AOUT 17

Pays : FrancePériodicité : Bimestriel

Page de l'article : p.17Journaliste : FABIENNE LEBON

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NÉGOCE AGRICOLE

Fortet-Dufaudtourné « Vert l'avenir »Le Négoce agricole Centre-Atlantique poursuit sa campagnecle réhabilitation cles pratiques viticoles. Exemple chez lenégociant Fortet-Dufaud, qui a développé le service Optimusde protection raisonnée de la vigne.

vert l'avenir

Expertise

Conseil

Proximite

Adaptation

Le viticulteur Laurent Lablanche (àgauche) avec son conseiller chez For-tet-Dufaud

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Date : JUIL/AOUT 17

Pays : FrancePériodicité : Bimestriel

Page de l'article : p.17Journaliste : FABIENNE LEBON

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Début avril, le Naca (Négoce agricoleCentre-Atlantique) était à Bordeauxpour présenter la technique de laconfusion sexuelle en viticulture,

première étape de son programme intitulé« Vert l'avenir ».

Le 21 juin, le même rendez-vous « Vertl'avenir » était fixé à Salles-d'Angles, chez lenégociant Fortet-Dufaud pour présentercette fois, le service Optimus de protectionraisonnée de la vigne. « Notre programmeVert l'avenir vise à promouvoir les bonnespratiques agricoles et a montrer que les né-gociants et les agriculteurs travaillent maindans la mam dans un partenariat quiconjugue agronomie et environnement etqui se veut attentif aux demandes de la so-ciété civile dans ce domaine », rappelle enpréambule Jean-Guy Valette, le directeur duNaca. Et de prendre en exemple le serviceOptimus, marque déposée par l'entreprise

LE NACA EN CHIFFRESLe négoce agricole Centre-Atlantique estimplanté dans 19 départements du sud-ouest et du centre de la France (Charente,Charente-Maritime, Cher, Corrèze, Creuse,Dordogne, Eure-et-Loir, Gironde, Indre,Indre-et-Loire, Landes, Loir-et-Cher, Loiret,Lot-et-Garonne, Pyrénées-Atlantiques,Deux-Sèvres, Vendée, Vienne et Haute-vienne). Le syndicat représente 120 négo-ciants et grossistes, qui emploient 2000salariés dans 350 sites (dépôts ou points devente). Les négociants cle ces départementsréalisent en tout un chiffre d'affaires dedeux milliards d'euros.

de négoce charen-taise Fortet-Dufaud,pour prouver que cet-te tirade n'est pasqu'un vœu pieux. Nepas croire pour autantqu'il s'agit d'une nou-veauté : « Au con-traire... le service aété créé en 1996 parle négociant Jean-Mi-chel Dufaud, alors as-socié à Pierre Fortet.Il entre dans sa 22ecampagne ».

3000 HECTARESDE VIGNESCOUVERTSLe viticulteur LaurentLablanche, qui ex-

ploite en association avec son frère 47 hec-tares de vignes à Chadenac (17), s'estabonné au service dès le départ. « On étaiten pleine crise du cognac. A l'époque, ils'agissait plus de réduire les intrants dansun souci d'économie ; aujourd'hui, la pro-blématique est plus liée à l'environnement »explique le viticulteur.L'outil d'aide à la décision (OAD) mêle ob-servation attentive de la vigne et informa-tions météorologiques alimentées par unréseau d'une vingtaine de stations installéesen Charentes et Gironde, avant qu'une ana-lyse de tous les paramètres ne soit délivréepar un technicien de Fortet-Dufaud. L'ob-jectif : gérer le risque d'attaques de mildiou,d'oïdium et de botrytis. « L'analyse estquasi-quotidienne de début avril jusqu'auxvendanges, puisque le développement deschampignons est fonction de la températureet de l'humidité. Le système de suivi desstations météo s'appuie donc sur les condi-tions climatiques et la réceptivité de lavigne » expliquent tour à tour Benjamin Gar-nier et Olivier Ancelin, techniciens conseil-lers préconisateurs.Aujourd'hui, 261 viticulteurs des Charentesbénéficient de ce service facture 39 eurospar hectare (plus 150 euros de dossier) as-surant une couverture de 6000 hectares devignes.Le même service est proposé en Gironde,département où l'entreprise Fortet-Dufaud,créée en 1981, déploie aussi ses services.En tout, l'entreprise qui emploie 30 salariés,dont 14 techniciens préconisateurs, gère unportefeuille de 700 clients.

FABIENNE LEBON

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Date : 04/07/2017Heure : 09:51:34

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Avec Optimus, les vignes sous contrôle

"Vert l’avenir" est mené par le NACA. Laurent Lablanche (à gauche) y participe depuis le début. BenjaminGarnier est l’un des techniciens de Fortet-Dufaud.

A Salles-d’Angles, l’entreprise Fortet-Dufaud accompagne 261 viticulteurs Son programme vise une vigneplus durable, mais aussi plus rentable.

"J usqu’en 2000, on nous prenait pour des fous." Mais les fous ont fait leur trou en Charente. Olivier Anselinest technicien au sein de l’entreprise de négoce agricole Fortet-Dufaud, créée en 1981 à Salles-d’Angles :30 employés, 13 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel. Et un programme qui séduit de plus en plus deviticulteurs : Optimus, un système de protection raisonnée du vignoble. Il a été lancé en 1996, bien avant queles problématiques écologiques ne voient le jour, mais alors que les ventes de cognac étaient au plus mal.

L’idée de l’entreprise, c’était déjà de traiter moins et mieux les vignes, en proposant un conseil personnaliséaux agriculteurs. Mais à l’époque, "on voulait moins traiter pour réaliser des économies , pas par soucipour l’environnement" , avoue le viticulteur Laurent Lablanche, qui profite des services d’Optimus depuisle début. En échange, il paie, chaque année, 150 euros de frais de dossier et 39 euros l’hectare surveillé àFortet-Dufaud.

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Date : 04/07/2017Heure : 09:51:34

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6.200 ha de vignes couverts

Grâce à onze stations météo implantées en Charente et quatre en Gironde, l’entreprise procède à uneobservation régulière des vignes et, via divers outils de modélisation, anticipe l’apparition de champignonspouvant provoquer des maladies : mildiou ou oïdium. "La température, l’humidité et la pluviométrie sontmesurées afin de statuer sur les principaux champignons devant être traités" , précise Olivier Anselin, l’undes 14 techniciens de l’entreprise qui interviennent auprès des viticulteurs.

L’observation s’effectue parcelle par parcelle : celles qui sont touchées plus que les autres sont gérées enpriorité. Et les traitements sont adaptés à chacune d’elles. "On joue avec la récolte du client. On gère le risque,on le juge acceptable ou non selon l’étape d’élaboration des germes des plantes" , poursuit Olivier Anselin.

Ce qui était d’abord une volonté de réaliser de simples économies est désormais devenu un véritable enjeuenvironnemental : comment mieux travailler en contaminant moins les sols? Comment traiter au plus justeen ayant, au bout du compte, une vendange de qualité et en quantité? "Optimus s’inscrit dans le plan éco-phytosanitaires 2018 ainsi que dans le Grenelle de l’environnement" , précise Benjamin Garnier, égalementtechnicien chez Fortet-Dufaud.

Développé depuis 22 campagnes, le système accompagne aujourd’hui 261 viticulteurs en Charente,Charente-Maritime et Gironde, où l’entreprise possède aussi un dépôt. 6.200 hectares de vignes sont couvertspar leurs services contre à peu près 1.500 au début des années 2000.

Des bonnes pratiques mises en avant par le Négoce agricole Centre Atlantique (Naca), dont Fortet-Dufaudest membre. Dans le cadre de son programme "Vert l’avenir", le groupement, présent sur 19 départements,encourage ses 125 négociants et grossistes à parler de leur savoir-faire. Comme l’apport d’azote modulé surcéréales grâce aux images par satellite, le désherbage alternatif ou les nouvelles productions de lin…

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Page 31: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 04 JUIL 17

Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 34276

Journaliste : Geoffrey CLÉME-NÇON

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ENTREPRENDRE

OptimusLes vignes sous contrôle

A Salles-d'Angles, l'entreprise Fortet-Dufaud accompagne 26l viticulteursSon programme vise une vigne plus durable, mais aussi plus rentable.

vert l'avenir

«Vert l'avenir» est mené par le NACA. Laurent Lablanche (à gauche) y participe depuis le début. Benjamin Garnier est l'un des techniciens de Fortet-Dufaud. photo cc

Page 32: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 04 JUIL 17

Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 34276

Journaliste : Geoffrey CLÉME-NÇON

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Geoffrey CLÉMENÇ[email protected]

H iisqu'en 2000, on— — H nous prenait pour

JJ H des fous.» Mais les^^^^ ^1 fous ont fait leur

I^F trou en Charente.Olivier Anselin est technicien ausein de l'entreprise de négoceagricole Fortet-Dufaud, créée en1981 à Salles-d'Angles : 30 em-ployés, 13 millions d'euros de chif-fre d'affaires annuel. Et un pro-gramme qui séduit de plus en plusdè viticulteurs : Optimus, un sys-tème de protection raisonnée duvignoble. Il a été lancé en 1996,bien avant que les problématiquesécologiques ne voient le jour, niaisalors que les ventes de cognacétaient au plus mal.L'idée de l'entreprise, cétait déjàde traiter moins et mieux les vi-gnes, en proposant un conseil per-sonnalisé aux agriculteurs. Mais àl'époque, «on voulait moins traiterpour réaliser des économies, paspar souci pour l'environnement»,

avoue le viticulteur Laurent La-blanche, qui profite des servicesd'Optimus depuis le début. Enéchange, il paie, chaque année, 150euros de frais de dossier et 39 eurosl'hectare surveillé à Fortet-Dufaud.

6.2OO ha dè vignescouverts

Grâce à onze stations météo im-plantées en Charente et quatre enGironde, lentreprise procède auneobservation régulière des vignes et,via divers outils de modélisation,anticipe l'apparition de champi-gnons pouvant provoquer des ma-ladies : mildiou ou oïdium. «Latempérature, l'humidité et la plu-viométrie sont mesurées afin destatuer sur les principaux champi-gnons devant être traités», préciseOlivier Anselin, l'un des 14 techni-ciens de l'entreprise qui intervien-nent auprès des viticulteurs.L'observation s'effectue parcellepar parcelle : celles qui sont tou-chées plus que les autres sont gé-rées en priorité. Et les traitements

On joue avecla récolte du client.On gère le risque,on le juge acceptableou non selon l'étaped'élaboration desgermes des plantes

sont adaptés à chacune d'elles.«On joue avec la récolte du client.On gère le risque, on le juge accep-table ou non selon l'étape d'élabo-ration des germes des plantes».poursuit Olivier Anselin.Ce qui était d'abord une volonté deréaliser de simples économies estdésormais devenu un véritable en-jeu environnemental : commentmieux travailler en contaminantmoins les sols? Comment traiterau plus juste en ayant, au bout du

compte, une vendange de qualitéet en quantité? «Optimus s'inscritdans le plan éco-phytosanitaires2018 ainsi que dans le Grenelle del'environnement», précise Benja-min Garnier, également techni-cien chez Fortet-Dufaud.Développé depuis 22 campagnes,le système accompagne au-jourd'hui 261 viticulteurs en Cha-rente, Charente-Maritime et Gi-ronde, où l'entreprise possèdeaussi un dépôt. 6.200 hectares devignes sont couverts par leurs ser-vices contre à peu près 1.500 audébut des années 2000.Des bonnes pratiques mises enavant par le Négoce agricole Cen-tre Atlantique (Naca), dont For-tet-Dufaud est membre. Dans lecadre de son programme «Vertl'avenir», le groupement, présentsur 19 départements, encourageses 125 négociants et grossistes àparler de leur savoir-faire. Commel'apport dazote modulé sur céréa-les grâce aux images par satellite,le désherbage alternatif ou lesnouvelles productions de lin...

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Date : 03 JUIL 17

Périodicité : Hebdomadaire

Journaliste : Anne Gilet

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oOPTIMUS

Forfet-Dufaud (16) affiche ses ambitions pour Optimus survigne

Depuis 22 ans, Optimus séduit les viticulteurs de la région duCognac. Développé par le négoce Fortet-Dufaud (16), ce servicepersonnalisé permet une protection raisonnée des vignes baséesur un réseau de stations météorologiques. C'est désormaisBenjamin Garnier qui, au sein de l'entreprise, en assure ledéveloppement. « Face aux contraintes environnementales etréglementaires grandissantes, les surfaces suivies par Optimus ^^^^^^^^^^^devraient se développer », expliquait-il, lors une présentation le 21juin. En 2016, plus de 6000 ha ont été suivis chez près de 260viticulteurs. Chaque viticulteur abonné au service Optimus reçoitun bilan récapitulatif en fin de campagne : météo, coût de sa protection phytosanitaire, calendrier des traitements,Indicateur de Fréquence de Traitements phytosanitaire, nombre de passages, bilan de la fertilisation... Desgraphiques permettent au viticulteur de se comparer aux autres utilisateurs. En moyenne, « Optimus permet deréduire l'IFT de deux points, hors herbicides », explique Jean-Guy Valette, du Naca, porteur du programme Vertl'Avenir qui soutient Optimus. Ce service inclut un réseau de 11 stations météo, la modélisation du suivi du mildiou,de l'oïdium et du botrytis, un réseau de pièges des vers de grappe. Les observations sur les parcelles desviticulteurs restent toutefois primordiales pour évaluer la nécessité de protéger la vigne ou non.

Forfet-Dufaud en bref : CA de 13 M€ dont 67 % en vigne et 33 % en grandes cultures. Négoce implanté de Cognacà Libourne.

Anne Gilet

30/06/2077

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Page 34: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : MAI/JUIN 17

Pays : FrancePériodicité : Bimestriel

Page de l'article : p.25Journaliste : FABIENNE LEBON

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LE NEGOCE S'ENGAGE « VERT L'AVENIR »La méthode de la confusion sexuelle (lire ci-dessus) est précisément l'une des dé-marches briguées par le Négoce agricoleCentre-Atlantique, dans le cadre de samarque « Vert l'avenir ». Laurence Frouin, dugroupe Isidore, était d'ailleurs aux côtés deJean-Guy Valette, directeur du Naca, pour lelancement du programme à Bordeaux le 5avril. Lobjectif de « Vert l'avenir » : montrerque le négoce, partenaire des producteurs,est capable d'apporter des réponses pourune viticulture durable et responsable, aumoment où le secteur se sent particulière-ment pointé du doigt par la société. « De-puis les années 2000, la demande duconsommateur a évolué demandant à laproduction agricole non seulement un rôlenourricier de qualité, mais aussi la prise encompte de l'environnement. Pour les ac-teurs de la filière, dont les négociants fontpartie, cela signifie réussir à conjuguer envi-ronnement et économie dans un partenariatgagnant », souligne Jean-Guy Valette.Pour le directeur du Naca, il s'agit « d'inver-ser la tendance, c'est-à-dire que l'agricul-

ture soit pointée du doigt dans le bon sens,pour montrer ses pratiques modernes etresponsables ». Et Jean-Guy Valette deprendre pour exemple « le développementde l'agriculture connectée et numérique »ou « le biocontrôle, élément central qui n'enest qu'à ses balbutiements ».Le programme « Vert l'avenir » du négocede Centre-Atlantique est né en parallèle desdémarches de viticulture durable en Cogna-çais et du plan de réduction des pesticidesdu Bordelais. « Le programme vise à pro-mouvoir les bonnes pratiques, reprend J.G.Valette. Aujourd'hui, nous sommes à Bor-deaux pour mettre en avant la confusionsexuelle, appuyée par le groupe Isidore àtravers un réseau de surveillance dédié ; finjuin, nous serons à Salles d'Angles où l'en-treprise Fortet-Dufaud va présenter Opti-mus, un service personnalisé de protectionraisonnée de la vigne. Jusqu'ici, on faisaitdu développement durable sans le dire.Maintenant, on va continuer de le faire,mais en le disant ».

/ FABIENNE LEBON /

l'avenir

Expertise

Conseil

proximite

Adaptation

De gauche a droite Laurence Frouin et Jean Guy Valette

Page 35: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 15 JUIN 17

Pays : FrancePériodicité : Hebdomadaire

Page de l'article : p.11

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Le négoce vert l'avenirDans le cadre de son programme de valorisation des bonnes pratiques enagriculture Vert l'avenir, le Négoce Agricole Centre-Atlantique présente à lapresse « OPTIMUS, un service personnalisé pour la protection raisonnée dela vigne » chez l'entreprise Fortet-Dufaut à Salles-d'Angles le 21 juin.

Optimus est né en 1996,en pleine crise viticoledans le Cognac. Au-

jourd'hui, ce service aux viti-culteurs, basé sur unaccompagnement techniquepersonnalisé, s'est développéet propose des conseils affinésgrâce à un réseau de 15 sta-tions météo réparties sur lesCharentes et la Gironde. Ainsi,261 viticulteurs ont souscrit àce service payant, soit unecouverture de 6000 ha devigne.Optimus répond aux enjeux dela filière Cognac notammenten termes de respect de l'envi-ronnement et d'évolution dumétier de négociant. Sur leplan économique, en permet-tant une récolte saine, de qua-lité régulière, et en optimisant

les rendements ; et environne-mental d'autre part, en traitantet fertilisant au plus juste, entenant compte des risquesréels et des besoins de la cul-ture mais aussi, en utilisant lesproduits les plus neutres pourl'homme et l'environnement, àdes doses les plus réduites pos-sible.Mais ce système ne sauraitexister sans le conseil person-nalisé du négociant qui est lapierre angulaire du dispositif.En effet, si Optimus permet derécolter des données, notam-ment climatiques, et de préci-ser un niveau de risque grâceà cinq modèles basés sur lesprincipales maladies de lavigne (mildiou, oïdum, botry-tis), le négociant va quant à luiapporter l'analyse finale, un

conseil ultra personnalisé ainsique le suivi année après annéede l'exploitation.

Pour une agriculture plusdurableLe programme Vert l'avenir aété lancé le 5 avril dernier. Ils'attache à promouvoir le lienfort, entre négociants et agri-culteurs autour de quatre pi-liers que sont l'expertise, leconseil, la proximité et l'adap-tation.Les négociants agricolescontribuent ainsi au dévelop-pement économique des ex-ploitations agricoles et appor-tent des réponses concrètes etadaptées pour une agriculturetoujours plus durable et res-ponsable.

Page 36: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : JUIN 17

Périodicité : Mensuel

Page de l'article : p.69Journaliste : M-N. C.

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echmgjje^

"Vert L'avenir".vert l'avenir

Le programme desbonnes pratiques dunégoce agricole

Certes, le négoce agricole vend des produits, mais il développe aussi un savoirfaire d'expert et de conseiller qui accompagne les agriculteurs dans l'adoption

des bonnes pratiques. Pour donner plus de visibilité à cette mission qu'il assumedepuis longtemps au quotidien, notamment auprès du grand public, le NégoceAgricole Centre-Atlantique (Naca) dont le groupe Isidore est adhérent,lance le programme " Vert l'Avenir "

« Le but est que l'agriculture soit montrée du doigt, non pas pour les

craintes qu'elle suscite, maîs pour I exemple positif des engagements

qu'elle sait prendre en faveur du développement durable », explique

Laurence Froum, directrice marketing, services et communication du

groupe Isidore « Le monde agricole a change Nous sommes les vecteurs

de ce changement et nous voulons le faire savoir A travers ce programme

nous répondons à une demande de nos clients maîs aussi à une demande

des clients de nos clients pour mieux communiquer sur nos savoir faire »

Des cultures pérennes aux grandes cultures, un inventaire des pratiques

a permis de dégager une dizaine de thématiques autour desquelles va

s'articuler le programme Vert I Avenir' La mise en place de réseaux de

surveillance dédiés à la lutte par confusion sexuelle contre les vers de la

grappe en viticulture est la première d'entre elles Pour la Gironde, il s'agit

d'un réseau de 550 pièges alimentaires En amont, un travail de proximité

pour identifier les besoins de chaque secteur est réalisé pour définir les

îlots de lutte collective sur plusieurs exploitations Viennent ensuite la

programmation des plans de poses, I appui aux chantiers de pose, et le

suivi des œufs, des glomérules, des larves et des dégâts au sem de

quèlques parcelles de références afin de déclencher les éventuelles

alertes de traitements. « En 2016 en Gironde, nous avons installe despièges sur 5 500 ha, ajoute Laurence Froum Nous estimons que cela

représente environ 60% du marché sur ce département En utilisant la

confusion sexuelle, nous mettons en avant plusieurs avantages Nous

favorisons la faune auxiliaire et apportons un gain de qualitê de vendange

par rapport au botrytis Et nous pouvons atteindre une baisse de l'IFT

insecticide de 70%. »

Pour autant, le zéro traitement contre les vers de la grappe n est pas

garanti car selon les conditions météo, un traitement insecticide de sou

tien est parfois nécessaire Le programme ' Vert I avenir ' devrait bientôt

comprendre d'autres thématiques pouvant intéresser la vigne : présenta-

tion d un réseau de stations metéo dans I optique de mieux maitriser les

maladies de la vigne, utilisation de l'agriculture de precision, modulation

des doses, appui à la mise en service des pulvérisateurs en début decampagne, test de réglage de la qualité de la pulvérisation a la vigne,

développement du biocontrôle. En amont, ce programme comprend un

volet formation destiné équipes ' terrain " L'idée est de renforcer leur

implication vers une meilleure appropriation de I ensemble des bonnes

pratiques actuelles et futures, notamment sur le biocontrôle La formation

vise aussi à donner aux techniciens les outils pour mieux maitriser une

communication plus vulgarisée autour des bonnes pratiques En outre, un

logo ' Vert I Avenir a été crée pour servir de repère des lors qu'une des

thématiques sera évoquée par les négociants ou leurs clients agricul

leurs Quant aux autres supports de communication, ils se déclinent sur

internet via un compte twinner (@vert_lavemr) et très prochainement grâcea un site et a une page facebook

• M-N. C.

Page 37: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 08 JUIN 17

Pays : FrancePériodicité : Bimensuel

Page de l'article : p.4Journaliste : Sylvain Desgroppes

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Négoce

Vers une nouvelle agricultureLe groupement cles syndicats du Négoce Agricole Centre-Atlantique s'est penché surdeux des grands enjeux de l'agriculture post-2020 lors de son congrès.

Le groupement des syndicats duNégoce Agricole Centre-Atlantiquetenait ce mercredi 03 mai sontrente-troisième congrès annuelau Rocher de Palmer. à Bordeaux.Une agriculture qui se transformeà grande vitesse face à de multiplesenjeux (changement climatique,développement durable, compétitivité,regroupements), une politique agricoleeuropéenne au centre des débats,autant de raisons qui ont incité lesdirigeants du NACA à centrer leurcongrès sur l'agriculture en 2025.

I/agriraHonr numériqueAu cours des interventions, deux

grands axes ont ainsi émergé. Toutd'abord celui de la révolution numé-rique que traverse la société, et àlaquelle l'agriculture est confrontée.« Dan s fes mois à venir, les négociantsdoivent structurer leur organisationen matière de gestion des données.On ne peut pas rester en dehorsde cette Révolution Numérique »,affirme Jean-Guy Valette.

D'un point de vue historique.

INoëlie Aussel. responsable agricul-ture de précision à John Deere, estrevenue sur les grandes étapes dedéveloppement des nouvelles tech-nologies au cœur de l'agriculture. « lly a eu les prémices avec les wstèmesde guidage eî donc l'agriculture deprécision pour limiter les intrants,puis la télématique pour gérer lesdonnées et augmenter la performance,et aujourd'hui on parle de centre desopérations », explique-t-elle.

Des propos repris par UilbertGrenier, enseignant chercheur àBordeaux Sciences Agro. « On estpassé du troupeau à la vache, il fautpasser de la parcelle à la zone. Lesinterrogations sont anciennes, lestechnologies ont permis de sauterle pas », avance le chercheur. Uneévolution dont le but est d'avoirune analyse plus fine, plus précisedes besoins de chaque zone d'unemême parcelle.

Mais une évolution aussi quidemande une nouvelle approche dutravail de l'agriculteur, téléguidée parles résultats des analyses de données. Et

par les conseillers, physiques ou virtuels,«//y a la capacité à mesurer, apporterpar les capteurs. Puis la capacité àanalyser, avec la modélisation et lesoutils d'aide à la décision. Enfin, ily fl l'action, et ensuite la traçabilitéet le retour d'expérience », détailleencore Gilbert Grenier.

Cet apport presque illimitée desoutils numériques, au sein de l'agri-culture comme de l'ensemble de lasociété, a amené en fin de congrès àl'intervention d'Eric Sadin. écrivain etphilosophe spécialiste de la question.«L'agriculture .suit ce-mouvement denumérisation du réel, d'organisationalgorithmique de la vie. Les capteursmesurent, rétroagissent, suggèrent.Jusqu 'à quel point doit-on aller dans/'accompagnement et l'optimisation »,se demande-t-il...

Quelle PAC?Autre axe du congrès, la Politique

Agricole Commune et son avenir après2020. Pour le directeur du NACA, ilfaut «poursuivre la PAC dans uneEurope forte. La construction de la

PAC post-2020 se fait (les maintenant ».Les orientations de cette PAC ont étéprésentées par deux experts européens.

Alors que Ic programme actuela été lancé en 2015. les réflexionspour la prochaine réforme sont eneffet déjà commencées. Au défialimentaire el à celui du développe-ment durable s'est rajouté désormaisun autre défi, plus global, auqueldevra répondre la future PAC selonArnold Puech d'Alissac. membre duConseil Economique Social Européen.«Les orientations de la future PACdoivent répondre à la gestion desrisques et des crises (volatilité' desprix, système assurantiel), à larecherche d'innovations, et au nou-veau fonctionnement de (a chaîned'approvisionnement», estime-t-ilYves Madre, co-fondateur de FarmEurope, rebondit sur la question de['assurance, affirmant «le besoind'améliorer ie système, pour qu 'il soittenable économiquement, tout en sedéclenchant à partir de 20% de perteset non 30 % comme aujourd'hui».

Les précomptions des deuxexperts sont reprises et défendues parJean-Guy Valette lui-même. «Hfautabaisser la franchise à 20 %, tout

jean-liuy Valette,directeur du Négoce Agricole

Centre-Atlantiq ue.

en trouvant des éléments incitatifspour élargir la base de cotisations. Ilfaut aussi réfléchir à la constructiond'un budget et d'un programme àplus long terme pour stabiliser lesstratégies des entreprises », conclutle directeur.

Agriculture de precision, agri-culture numérique, « agriculturemesurée » selon Gilbert Grenier, lesterminologies sont différentes, maisl'enjeu est le même. S'approprier lesévolutions futures, au sein d'une futurePAC qui devra proposer une sécuritésur le long terme, des mécanismesassurantiels plus forts. Le tout pourretrouver une meilleure compétitivité.

Sylvain Dcsgroppes

Page 38: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 02 JUIN 17

Pays : FrancePériodicité : HebdomadaireOJD : 3536

Journaliste : S.D.

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NACA

Une agriculture mesurée avec Vert l'avenirSYLVAIN DESGROPPES

Aux côtés de Jean-Guy Valette (à droite) étaientprésents Pierre Bertin (au centre) et Pierre Car-rère (à gauche)

Pour le directeur du Naca, Jean-GuyValette, porteur du programme Vert

l'avenir, « il faut passer d'une agricultureraisonnée à une agriculture mesurée, avecplus d'exigence dans le choix des intrants,la sélection des variétés, et plus d'innova-

tions technologiques ». L'exemple en a étédonné le 22 mai au salon de l'agricultureNouvelle-Aquitaine par Pierre Carrère,ingénieur à Geosys. Il a développé lesystème Cérélia, qui permet de modulerl'apport d'azote en fonction d'images parsatellite.Pierre Bertin, ingénieur chez Piveteau, atémoigné que « Cérélia apporte un conseilpour moduler les doses, être plus préciset donc plus efficace ». Le tout étant dedisposer d'un matériel adapté pour modu-ler efficacement les doses conseillées. « Ànous de réaliser un audit et de s'adapterau matériel de l'agriculteur. On sait que lecap à franchir pour que le conducteur d'untracteur optimise les données à sa disposi-tion est important », complète Pierre Carrère. S.D.

Page 39: Revue de presse - Vert l'avenir

ZEPROS METIERS COLLECTIVEDate : MAI/JUIN 17Périodicité : BimestrielPage de l'article : p.13

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Une avancéeVert l'avenir

Vert l'avenir s'attachera à promouvoir ce lien fort entre négociants etagriculteurs. Avec 1850 salariés, 350 sites de dépôt et points de venteet 2 Md€ de CA en 2016, les entreprises du négoce agricole contribuentainsi au dynamisme économique des territoires ruraux.

Le Négoce Agricole Centre-

Atlantique (Naca) a lancé le

5 avril à Bordeaux son pro-

gramme Vert l'avenir, basé sur

quatre piliers [l'expertise, le

conseil, la proximité et l'adap-tation). Ce programme a voca-

tion à promouvoir les savoir-fairedes entreprises du négoce agri-

cole au service des agriculteurs

« durables ».

Besoin de compétitivité des en-

treprises agricoles, évolutiondes métiers notamment liée

aux nouvelles technologies...

Pour parvenir à relever ces dé-

fis, le Naca [125 négociantsprésents sur 19 départements)

et ses entreprises adhérentes

travaillent main dans la main

avec les agriculteurs afin de dé-velopper une agriculture nour-

ricière toujours plus respec-tueuse des hommes et de l'en-vironnement.

En relation directe avec les chefsd'exploitation agricole et ancrés

sur leur territoire, les négociantsagricoles sont des acteurs éco-

nomiques majeurs.

Page 40: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 29 MAI 17

Pays : FrancePériodicité : Hebdomadaire

Journaliste : A.G.

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Piveteau (16) teste et valide le pilotage de l'azote par satellite

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SARL DEMOGRAINS

A l'occasion du salon de l'agriculture Nouvelle Aquitaine, qui se tenait à Bordeaux du 23 au 28 mai 2017, leNégoce Agricole Centre Atlantique (Naca) organisait une conférence pour mettre en avant l'outil Cérélia, dugroupe Géosys, pour moduler les apports d'azote. Le négoce charentais Piveteau, qui l'a utilisé cette année pourla première fois sur 300 ha, témoignait de l'intérêt de ce système : pour affiner le conseil mais aussi pourrépondre à une réelle demande des agriculteurs. De tels outils entrent parfaitement dans la stratégie développéepar Vert l'Avenir, en avril dernier : accompagner les agriculteurs au quotidien pour adopter de bonnes pratiques.

A.G.26/05/2017

Page 41: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 24/05/2017Heure : 10:10:33Journaliste : Stéphanie Bot

www.circuits-culture.comPays : FranceDynamisme : 0

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Cérélia, un conseil « au plus proche de la date d’épandage »

Lors du Salon de l'agriculture Nouvelle Aquitaine, Vert l’avenir a tenu une conférence de presse sur le thème« l'apport d'azote modulé grâce aux images satellites ». Pierre Carrère du groupe Geosys, Pierre Bertin dunégoce Piveteau et Jean-Guy Valette, directeur du Naca ont présenté l’outil Cérélia.Article avec accès abonnés : https://www.circuits-culture.com/content/vert-lavenir-naca-cerelia-un-conseil-au-plus-proche-de-la-date-depandage

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Page 42: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 24/05/2017Heure : 11:22:04Journaliste : Renaud Fourreaux

www.agrodistribution.frPays : FranceDynamisme : 0

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Groupe Piveteau en pince pour l'outil de télédétection CéréliaPrésent au Salon de l'agriculture Nouvelle Aquitaine à Bordeaux, le Naca organisait le 22 mai une conférencede presse sur le thème de la modulation de l'azote grâce à l'outil de télédétection Cérélia, en faisant intervenirun de ses nouveaux utilisateurs, le Groupe Piveteau.

Pierre Carrère (Geosys), Pierre Bertin (Groupe Piveteau) et Jean-Guy Valette (Négoce AgricoleCentre-Atlantique).

Dans le cadre de son programme Vert l'avenir destiné à « apporter des réponses concrètes pour uneagriculture plus durable et responsable », le Négoce agricole Centre-Altantique a souhaité mettre l'accent sur« l'apport d'azote modulé sur céréales grâce aux images par satellite », et plus particulièrement sur Cérélia.Cet outil de pilotage de Geosys a été testé pour la première fois cette année sur 300 hectares par le négoceagricole charentais Piveteau.« Cela fait partie d'une stratégie globale pour développer les outils qui sont sources d'innovation pour le négoceet qui ont un intérêt technique pour l'agriculteur », rappelle Pierre Bertin, ingénieur agro-environnement chez

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Page 43: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 24/05/2017Heure : 11:22:04Journaliste : Renaud Fourreaux

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Piveteau. Proposant déjà la pince N-Tester, le négoce avait enregistré des demandes de la part du terrainpour examiner d'autres outils.« Après avoir fait le tri dans l'existant, on a choisi Céréalia qui est un outil très sophistiqué et en même tempsfacile à mettre en œuvre. Il ne bouleverse pas notre façon de travailler. Face à nos interrogations en casde couverture nuageuse, Geosys nous a rassurés : le conseil pourra être recalé à la demande des équipestechniques ou de l'agriculteur ». Un premier bilan sera tiré en fin de campagne.

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Page 44: Revue de presse - Vert l'avenir

AGRA PRESSE HEBDODate : 8 MAI 17Périodicité : HebdomadairePage de l'article : p.40-41Journaliste : JCD

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ECONOMIE ENTREPRISES

« Nos négocesdéveloppent de bonnespratiques depuis toujours »

Suite au congrès du Négoce agricole Centre-Atlantique le 3 mai, sondirecteur Jean-Guy Valette, met en avant les bonnes pratiques desentreprises. L'occasion de faire le point sur la mise en route des cer-tificats d'économie de phytos.

« Les fichesaction viennent en

réponse àune demande

sociétal^, c'estimportant d'entenir compte »

*• Comment se porte votre activité?Négoce agricole Centre-Atlantique rassemble 120 adhérents pour 4 Mt de collecte.Son activité est avant tout d'assurer la promotion du négoce agricole. Maîs aussid'apporter du service au-delà du cœur de métier, dans ce qui touche à la politiquede l'eau, la qualité, également via des achats groupés. Depuis la création, la volon-té des conseils d'administrations successifs est de développer des activités ou desstructures qui renforcent l'efficacité économique des négoces. Il y a en 1989 la créa-tion d'Asfona, organisme de formation des salariés et des agriculteurs si besoin. Àson actif, plus de 38000 Certiphyto (Certificat individuel de produits phytopharma-ceutiques, NOIR) concernant notamment 33000 agriculteurs. On a, en 2003, prisune participation dans le Laboratoire Atlantique Analyses de La Rochelle. En 2009,créé Atlantique Céréales, un service marché de matières premières agricoles. Et plusrécemment France Palliée, qui démarre la construction de silo en partenariat avecquèlques coopératives. Une autre de nos activités est de développer des actionsde communication. Exemple avec la démarche Vert l'avenir qui vise la promotion debonnes pratiques en grandes cultures et vigne. Cela concerne notamment la protec-tion intégrée avec station météo, la confusion sexuelle en viticulture, l'utilisation desdrones, l'allongement des rotations en grandes cultures... Arrivent aussi les CERF(Certificats d'économie de produits phyto).

*"Le décret sur les CEPP vient justement d'être publié, où en êtes-vous dans sonapplication?On est en ordre de marche pour la mise en oeuvre opérationnelle des fiches action.Celles-ci viennent en réponse à une demande sociétal, c'est important d'en tenircompte. Le problème avec les CEPP est que le dispositif inclut une pénalité à lacharge des distributeurs pour des actions menées par des agriculteurs. Il ne s'agitpas d'une bonne mesure. En revanche, promouvoir des bonnes pratiques agricolespour limiter limpact des phytos fait partie de la démarche qualité de nos entreprises,qui les développent depuis toujours.

••Le congrès du Négoce agricole Centre-Atlantique, le 3 mai, a notamment tourneautour de « la révolution numérique ». Comment vos entreprises l'abordent-elles?Il s'agit de former, sensibiliser l'ensemble des équipes techniques. On ne peut pas

Page 45: Revue de presse - Vert l'avenir

AGRA PRESSE HEBDODate : 8 MAI 17Périodicité : HebdomadairePage de l'article : p.40-41Journaliste : JCD

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passer à côté des OAD (Outils d'aide à la décision), de la révolution technologiquedepuis la parcelle jusqu'au bureau de l'agriculteur. Notre congrès s'est inscrit danscette prise de conscience, pour que chacun aille plus loin dans la maitrise des évolu-tions techniques. Gilbert Grenier, enseignant chercheur à Bordeaux Sciences Agro, aemployé cette formule « passer d'une agriculture raisonnée à une agriculture mesu-rée ». Des mesures plus fines permettront demain d'analyser jusqu'à la parcelle, pasde plus grandes surfaces comme aujourd'hui. Les décisions seront prises à l'aided'un ordinateur, de l'électronique embarquée, permettant une modulation des phy-tos, fertilisants. Avec comme résultat plus d'efficacité, qui ira de pair avec les bonnespratiques.

••Autre thème, la Pac. Quelles évolutions en attendez-vous?Nos entreprises souhaitent une Pac révisée, à la fois simplifiée et permettant à laFrance d'assurer sa première place dans TUE, une Europe forte. Toutes les difficul-tés se sont empilées avec la récolte 2016 de faibles rendements, des prix bas. LaPac doit aller plus lom que la simplification des procédures. Il faut trouver des outilspermettant de minimiser les risques climatiques et sanitaires, de limiter la volatilitédes prix. Propos recueillis par JCD

Page 46: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : MAI 17

Pays : FrancePériodicité : MensuelOJD : 6252

Page de l'article : p.11Journaliste : Marion Coisne

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Le Naca contre l'agri-bashingSUD-OUEST Le Naca lance le programme Vert l'avenir, pour communiquersur le savoir-faire des négociants, et plus généralement de l'agriculture.

A"Iujourd'hui, legrand public.s'intéresse à ce

qui se passe dans les champs,fait part Laurence Frouin,directrice marketing serviceset communication du groupeIsidore. Nous avons réfléchià la nécessité d'apprendre àmieux parler de ce que l'onsait faire. » De là est né Vertl'avenir, lancé par le Naca(négoce agricole Centre-Atlantique) le 5 avril àBordeaux, pour accompagnerles entreprises sur le sujet.

Apprendre à parler du métierAvec deux grands axes : formerles salariés en interne etinvestir les réseaux sociaux.En pratique, des sessions de

« Nous sommes trop dans lajustification », explique LaurenceFrouin, du groupe Isidore,aux côtés de Jean-Guy Valette,directeur du Naca.

formation de deux jours sontorganisées pour les équipes,pour apprendre à parler dumétier. « C'est une chance que

les gens s'intéressent à nosmétiers, observe LaurenceFrouin. Même si c'est parfoisdu côté négatif, par la critique.Mais ils s'y intéressent, c'estpositif. Nous devons être prêtsà répondre à cet intérêt. »Deuxième volet du program-me : internet. Un compteTwitter @vert_lavenir est déjàactif, et un site internet www.vert-lavenir.com, ainsi qu'unepage Facebook, le seront bien-tôt. Ils sont animés par le Naca,avec des contenus produits parune agence de communica-tion. « L'idée, c'est de partir surdes exemples concrets, commela lutte contre les vers de lagrappe avec du biocontrôle »,illustre Laurence Frouin.

Marion Coisne

Page 47: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : MAI 17

Pays : FrancePériodicité : MensuelOJD : 6252

Page de l'article : p.11Journaliste : Marion Coisne

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Le Naca contre l'agri-bashingSUD-OUEST Le Naca lance le programme Vert l'avenir, pour communiquersur le savoir-faire des négociants, et plus généralement de l'agriculture.

A"Iujourd'hui, legrand public.s'intéresse à ce

qui se passe dans les champs,fait part Laurence Frouin,directrice marketing serviceset communication du groupeIsidore. Nous avons réfléchià la nécessité d'apprendre àmieux parler de ce que l'onsait faire. » De là est né Vertl'avenir, lancé par le Naca(négoce agricole Centre-Atlantique) le 5 avril àBordeaux, pour accompagnerles entreprises sur le sujet.

Apprendre à parler du métierAvec deux grands axes : formerles salariés en interne etinvestir les réseaux sociaux.En pratique, des sessions de

« Nous sommes trop dans lajustification », explique LaurenceFrouin, du groupe Isidore,aux côtés de Jean-Guy Valette,directeur du Naca.

formation de deux jours sontorganisées pour les équipes,pour apprendre à parler dumétier. « C'est une chance que

les gens s'intéressent à nosmétiers, observe LaurenceFrouin. Même si c'est parfoisdu côté négatif, par la critique.Mais ils s'y intéressent, c'estpositif. Nous devons être prêtsà répondre à cet intérêt. »Deuxième volet du program-me : internet. Un compteTwitter @vert_lavenir est déjàactif, et un site internet www.vert-lavenir.com, ainsi qu'unepage Facebook, le seront bien-tôt. Ils sont animés par le Naca,avec des contenus produits parune agence de communica-tion. « L'idée, c'est de partir surdes exemples concrets, commela lutte contre les vers de lagrappe avec du biocontrôle »,illustre Laurence Frouin.

Marion Coisne

Page 48: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 21 AVRIL 17

Pays : FrancePériodicité : Bimensuel

Page de l'article : p.6Journaliste : Alain Monget

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Politique

Le Négoce Agricole Centre-Atlantique passe au vertSTRATÉGIE Le NACA (Négoce Agricole Centre-Atlantique) a lancé le 5 avril sa marque «Vertl'avenir», un programme qui entend promouvoir les bonnes pratiques agricoles, mises enplace par les agriculteurs et accompagnées par ses entreprises adhérentes.

Depuis plus de 30 ans, leNACA met à la disposition deses entreprises adhérentes denombreux services, bien au-delàde son implication syndicale :conseils techniques, accom-pagnement vers les certifica-tions, outils en réponse auxexigences réglementaires dansle cadre des politiques de l'eau,appui aux fonctions supports... Ilregroupe aujourd'hui 125 négo-ciants et grossistes. «Présents•sur 19 départements (régionNouvelle-Aquitaine et départe-ments limitrophes), nous repré-sentons 350 sites de dépôt etpoints cfe vente, I 850 sala-riés pour un chiffre d'affairesglobal de 2 milliards d'eurosen 2016. En relation directeavec les chefs d'exploitation, lesnégociants agricoles sont desacteurs économiques majeurset contribuent à l'animation desterritoires ruraux» explique Jean-Guy Valette, directeur du NACA.La problématique de l'isolementphysique et managérial étanttrès présent dans le secteur,il s'agit également de renfor-cer et maintenir le lien socialet de proximité entretenu auquotidien entre les négociantsagricoles et les agriculteurs.

vert l'avenir

Jean-Guy Valette directeur du NACA et Laurence Frouin de l'entreprise ISIDORE ont présente les enjeux duprogramme «Vert l'avenir*.

Communiquer sur lesbonnes pratiques

Avec son nouveau programmebaptisé «Vert l'avenir», le NACAsouhaite conjuguer la demandesociétale et les pratiques agro-nomiques des agriculteurs. Ils'agit de promouvoir les savoir-faire des entreprises du négoceagricole, au service d'une agri-culture toujours plus durable.Ce programme s'appuie sur desvaleurs d'expertise, de conseil,

de proximité et d'adaptation, etbénéficie d'un réseau de 600techniciens formés et dépê-chés sur le terrain. Lobjectifest de valoriser, notammentpar le biais d'un site internetdédié et les réseaux sociaux,les nouvelles pratiques et lestechniques innovantes dansla région Nouvelle-Aquitaine etles départements limitrophes(Cher, Eure-et-Loir, Indre, Indre-et-Loire, Loir-et-Cher, Loiret,Vendée).

Confusion sexuelleExemple d'une nouvel lepratique «/abe//isée» Vertl'avenir, la confusion sexuelleutilisée en viticulture et enarboriculture. Laurence Frouin,directrice 'DéveloppementServices» du Groupe Isidore aapporté son témoignage surla démarche menée par sonentreprise dans le secteurviticole, principalement dansle Bordelais. Comment luttercontre les vers de la grappe quientraînent le développement dela pourriture grise ? Sa solution :la confusion sexuelle, méthodede lutte naturelle contre les

insectes ravageurs, qui s'appuiesur la diffusion de phéromonesdans les vignobles. Pour lesvignobles bordelais, les papil-lons Cochylis et Eudémis sontdans le collimateur. En utilisantdifférentes techniques de diffu-sion libérant régulièrement desphéromones de synthèse, onsature alors l'espace, déso-rientant le mâle. La reconnais-sance entre mâle et femelleainsi perturbée, la reproductiondes espèces visées est forte-ment limitée.

La nécessité du collectifPour garantir une protectionefficace des parcelles, un travailcollectif des viticulteurs estobligatoire. Les conseillers tecn-niques s'occupent de la gestiondu plan de pose global, de lafourniture des capsules, de lacommunication, de l'animationdu réseau de surveillance...«Les gains se retrouvent dansla qualité de la vendange, maîsaussi au niveau des IFT insec-ticides : nous avons constaté70 % de diminution en utilisantla confusion sexué/te» indiqueLaurence Frouin, «même si desfois, un traitement de soutienest nécessaire». Le groupeIsidore suit 5 500 ha en confu-sion sexuelle dont 4 900 ha enGironde.

Alain Monget

Page 49: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 26/04/2017Heure : 14:27:19

www.terre-net.frPays : FranceDynamisme : 0

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Le Négoce Agricole Centre-Atlantique lance son programme Vertl'avenirLe Négoce agricole centre-atlantique (Naca) a annoncé le lancement de son programme "Vert l'avenir" basésur l'expertise, le conseil, la proximité et l'adaptation. Ce programme a vocation à promouvoir les savoir-fairedes entreprises du négoce agricole au service des agriculteurs, tournés vers une agriculture toujours plusdurable.

Le Négoce agricole centre-atlantique (Naca) vient de lancer son programme "Vert l'avenir". Ce projets'attachera à promouvoir le lien entre négociants et agriculteurs. « Les négociants contribuent audéveloppement économique des exploitations agricoles et apportent des réponses concrètes et adaptéespour une agriculture plus durable et responsable. Ce programme souhaite s'adapter aux différentes demandessociétales en apportant l'expertise et le conseil aux agriculteurs autour de quatre axes : expertise, conseil,proximité et adaptation. »

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Page 50: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 21 AVRIL 17

Pays : FrancePériodicité : Hebdomadaire

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Le NACA lance son programme« Vert l'avenir »Le negoce agricole centre-Atlantique (NACA) vient de lancerson programme « Vert l'avenir » afin de promouvoir lessavoir-faire des entreprises du negoce agricole au servicedes agriculteurs tournes vers une agriculture toujours plusdurable Fort d'un reseau de 125 négociants présents dans19 départements, le NACA comprend 1850 salaries etaffiche 4 millions cle tonnes récoltées et 2 milliards d'eurosde chiffre d'affaires

Page 51: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 20/04/2017Heure : 10:47:17

agriculteur-charentais.reussir.frPays : FranceDynamisme : 0

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Le Négoce agricole Centre Atlantique passe au vertAvenir Agricole et Viticole Aquitain

Le NACA a lancé, le 5 avril, sa marque «Vert l'avenir».

Jean-Guy Valette directeur du NACA et Laurence Frouin de l'entreprise Isidore ont présenté les enjeux duprogramme Vert l' avenir. - © Avenir Agricole

Depuis plus de 30 ans, le NACA met à la disposition de ses entreprises adhérentes de nombreux services, bienau delà de son implication syndicale : conseils techniques, accompagnement vers les certifications, outils enréponse aux exigences réglementaires dans le cadre des politiques de l'eau, appui aux fonctions supports... Ilregroupe aujourd'hui 125 négociants et grossistes. "Présent sur 19 départements (région Nouvelle-Aquitaineet départements limitrophes), nous représentons 350 sites de dépôt et points de vente, 1 850 salariés pourun chiffre d'affaires global de 2 milliards d'euros en 2016. En relation directe avec les chefs d'exploitation,les négociants agricoles sont des acteurs économiques majeurs et contribuent à l'animation économique desterritoires ruraux" explique Jean-Guy Valette, directeur du NACA. La problématique de l'isolement physiqueet managérial étant très présent dans le secteur, il s'agit également de renforcer et maintenir le lien social etde proximité entretenus au quotidien entre les négociants agricoles et les agriculteurs.

Lire la suite dans notre édition papier du 14 avril

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Page 52: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 14 AVRIL 17

Périodicité : Hebdomadaire

Page de l'article : p.8

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TOUTE L'INFOAGRICULTURE DURABLE Le NACA a lancé, le 5 avril, sa marque«Vert l'avenir».

Le Négoce agricole CentreAtlantique passe au vertDepuis plus de 30 ans, le

NACA met a la dispositionde ses entreprises adhérentesde nombreux services, bien audelà de son implication syndi-cale conseils techniquesaccompagnement vers les cer-tifications, outils en réponseaux exigences réglementairesdans le cadre des politiques del'eau appui aux fonctions sup-ports II regroupe aujourd hui125 négociants et grossistesPresent sur 19 départements

(region Nouvelle Aquitaine etdépartements limitrophes),nous représentons 350 sites dedepôt et points de vente, I 850salaries pour un chiffre d'affoires global de 2 milliards d eu-ros en 2016 En relation directeavec les chef s dexploitation, lesnégociants agricoles sont desacteurs économiques majeurset contribuent a I animationeconomique des territoiresruraux, explique Jean GuvValette, directeur du NACA Laproblématique de l'isolementphysique et managenal étanttres present dans le secteur, ils'agit également de renforceret maintenir le lien social et deproximite entretenus au quondien entre les négociants agri-coles et les agriculteurs

Communiquer sur lesbonnes pratiquesAv ec son nouveau pi ogrammebaptise "Vert I avenir', le NACAsouhaite conjuguer lademande societale et les pra-tiques agronomiques des agriculteurs II s'agit de promou-voir les savoir-faire desentreposes du negoce agricoleau service d'une agriculturetoujours plus durable Ce pro-gramme s appuie sur desvaleurs d'expertise, de conseil,de proximite et d'adaptationet bénéficie d un reseau de 600techniciens formes et dépêches

vert t'avenir

Jean-Guy Valette directeur du NACA et Laurence Frouin deI entreprise Isidore ont présente les enjeux du programme Vert l'avenir

sur le terrain L objectif est devaloriser notamment par lebiais d un site internet dedie etdes reseaux sociaux les nouvelles pratiques et les tech-niques innovantes dans laregion Nouvelle Aquitaine etles départements limitrophes(Cher Eure et Loire, IndreIndre et Loire Loir et CherLoiret, Vendee)

Confusion sexuelleExemple d une nouvelle pratique "labellisee" Vert I avenirla confusion sexuelle utiliséeen viticulture et en arboricul-ture Laurence Frouin, directnce «Developpement Services»du Groupe Isidore a apporteson temoignage sur lademarche menée par sonentreprise dans le secteur viti-cole, principalement dans leBordelais Comment luttercontre les vers de la grappe quientraînent le developpementde la pourriture grise ' Sa solution la confusion sexuelle,methode de lutte naturellecontre les insectes ravageurs,qui s'appuie sur la diffusion depheromones dans les vigno-bles Pour les vignobles bor

delais, les papillons Cochyliset Eudemis sont dans le colli-mateurEn utilisant différentes tech-niques de diffusion libérantrégulièrement des pheromonesde synthèse, on sature alorsl'espace désorientant le mâleLa reconnaissance entre mâleet femelle ainsi perturbée lareproduction des espècesvisées est fortement limitéePour garantir une protectionefficace des parcelles, un travai! collectif des viticulteurs estobligatoire Les conseillerstechniques s occupent de lagestion du plan de pose globalde la fourniture des capsulesde la communication, de l'aramation du reseau de surveil-lance «Les gains se retrouventdam la qualite de la vendange,maîs aussi au niveau des IFTinsecticides nous avonsconstate 70% de diminution enutilisant la confusion sexuelle»indique Laurence Frouin«même si parfois, un traitementde soutien est nécessaire» Legroupe Isidore suit 5 500 ha enconfusion sexuelle

AVENIR AGRICOLEET VITICOLE AQUITAIN

Page 53: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 13 AVRIL 17

Pays : FrancePériodicité : Hebdomadaire

Page de l'article : p.13

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Vert l'avenir est lancéLe Négoce Agricole Centre-At-lantique lance son programmeVert l'avenir, basé sur quatre pi-liers que sont l'expertise, leconseil, la proximité et l'adapta-tion au service des agriculteurs.Ce programme ambitieux a pourobjectif de valoriser les savoir-faire des négociants agricolesdans l'accompagnement desagriculteurs et l'aide à la prise dedécision sur l'exploitation agri-cole. Fort d'un réseau de 125 né-gociants présents sur 19 dépar-tements, le Négoce AgricoleCentre-Atlantique se positionnedepuis plus de 30 ans commeun partenaire incontournable desagriculteurs. Avec 1850 salariés,350 sites de dépôt et points devente, et 2 milliards d'euros dechiffre d'affaires réalisés en 2016,les entreprises du négoce agri-cole contribuent ainsi au dyna-misme économique des terri-toires ruraux.

Page 54: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 11/04/2017Heure : 22:13:08

www.puissance2d.frPays : FranceDynamisme : 0

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Vert l'avenir : un programme lancé par le Négoce Agricole Centre-AtlantiqueLe Négoce Agricole Centre-Atlantique lance son programme Vert l'avenir, basé sur quatre piliers que sontl'expertise, le conseil, la proximité et l'adaptation.Ce programme ambitieux a vocation à promouvoir les savoir-faire des entreprises du négoce agricole auservice des agriculteurs, tournés vers une agriculture toujours plus durable.Du besoin de compétitivité des entreprises agricoles aux nouvelles demandes sociétales en passant parl'évolution des métiers et des savoir-faire, notamment liée aux nouvelles technologies, le secteur agricole doitsans cesse s'adapter.Pour y parvenir, le Négoce Agricole Centre-Atlantique et ses entreprises adhérentes travaillent main dansla main avec les agriculteurs afin de développer une agriculture nourricière toujours plus respectueuse deshommes et de l'environnement.Fort d'un réseau de 125 négociants présents sur 19 départements, le Négoce Agricole Centre-Atlantique sepositionne depuis plus de 30 ans comme un partenaire incontournable des agriculteurs.En relation directe avec les chefs d'exploitation agricole et ancrés sur leur territoire, les négociants agricolessont des acteurs économiques majeurs.Avec 1.850 salariés, 350 sites de dépôt et points de vente, et 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires réalisés en2016, les entreprises du négoce agricole contribuent ainsi au dynamisme économique des territoires ruraux.De plus, leur expertise conjuguée à l'accompagnement quotidien des agriculteurs, tant dansl'accompagnement de leurs choix techniques que dans la mise en oeuvre de nouvelles pratiques, les rendentporteurs permanents d'innovation et de progrès.Enfin, le lien de proximité que les négociants agricoles entretiennent au quotidien avec les agriculteurs leurconfère un véritable rôle dans le maintien du lien social, dans un secteur où l'isolement physique et managérialest une problématique récurrente.Vert l'avenir s'attachera à promouvoir ce lien fort, entre négociants et agriculteurs, qui se développe depuisde nombreuses années.Les négociants agricoles, par leur conseil et leur expertise, contribuent au développement économique desexploitations agricoles et apportent des réponses concrètes et adaptées pour une agriculture toujours plusdurable et responsable.

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Page 55: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 10 AVRIL 17

Périodicité : Hebdomadaire

Journaliste : Marie-NoëlleCharles

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Le Naca voit l'avenir en vert

ert I avenir

Le Négoce Agricole Centre-Atlantique souhaite rendre plus visible son savoir-faire d'expert et de conseillerqui accompagne les agriculteurs au quotidien dans l'adoption des bonnes pratiques. Pour cela, il lance sonprogramme Vert l'Avenir. "Comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, nos entreprises denégoce font du développement durable sans le faire savoir, a expliqué Jean-Guy Valette, directeur duNaca, le 5 avril à Bordeaux à l'occasion du lancement de ce programme. Notre objectif est d'expliquer quele monde agricole a beaucoup changé et que nos entreprises de négoce agricole sont le vecteur de cechangement."Dans la pratique, il s'agit de former les équipes à prendre conscience de leur rôle, à communiquer plusfacilement sur leurs compétences et à renforcer leur implication vers une meilleure appropriation del'ensemble des bonnes pratiques actuelles et futures, notamment sur le biocontrôle. L'idée est aussi depermettre au grand public de mieux comprendre révolution des techniques agricoles. Le programme Vertl'Avenir contient actuellement une dizaine de thématiques. La confusion sexuelle en viticulture pour luttercontre les vers de la grappe étant la première mise en valeur. D'autres seront bientôt présentées comme lamise en place d'un réseau de stations météo, l'agriculture de précision, la modulation des doses ou encorele choix variétal pour contourner le cycle des ravageurs. "Avec toujours en ligne de mire, l'optimisationéconomique et la recherche de rentabilité pour l'exploitation agricole", précise Jean-Guy Valette."Grâce à ce programme, nous pourrons aussi s'intégrer dans les différentes démarches qui existent déjàcomme le Système de management environnemental du Vin de Bordeaux ou le référentiel viticulturedurable à Cognac, poursuit Laurence Frouin, directrice marketing, services et communication du groupeIsidore. Mais nous resterons vigilants pour que ces démarches ne deviennent pas trop chronophages pourles agriculteurs. Le temps de travail reste le premier poste de charge au sein d'une exploitation : nel'oublions pas".

Page 56: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 10 AVRIL 17

Périodicité : Hebdomadaire

Journaliste : Marie-NoëlleCharles

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Côté communication, un compte twitter a été créé (@vert_lavenir), un site internet le sera bientôt de mêmequ'une page facebook. En outre, le logo du programme sera utilisé par les entreprises à chaque foisqu'elles témoigneront à propos de ces bonnes pratiques.

Le Naca est présent sur 19 départements. Il regroupe 1850 salariés dont 600 techniciens et rassemble 125négociants avec 350 sites pour un CA consolidé global de 2 Milliards d'€ et 4 millions de tonnes decéréales collectées.

Photo : Laurence Frouin, directrice marketing, services et communication du groupe Isidore et Jean-GuyValettre, directeur du Négoce Agricole Centre-Atlantique.

Marie-Noëlle Charles

07/04/2077

Page 57: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 07/04/2017Heure : 15:06:43Journaliste : Stéphanie Bot

www.circuits-culture.comPays : FranceDynamisme : 1

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Promouvoir les bonnes pratiques avec Vert l’avenir

Dix bonnes pratiques ont été répertoriées et seront valorisées par le plan d’action Vert l’avenir. Ce programmeest porté par le Négoce Agricole Centre-Atlantique.

Article avec accès abonnés: https://www.circuits-culture.com/node/4600

Tous droits réservés à l'éditeur NACA 292130895

Page 58: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 06/04/2017Heure : 15:20:03Journaliste : Marion Coisne

www.agrodistribution.frPays : FranceDynamisme : 0

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Sud-ouest : Le Naca agit contre l'agri-bashingLe Naca, négoce agricole Centre-Atlantique lance le programme Vert l'avenir, pour communiquer sur le savoir-faire des négociants, et plus généralement de l'agriculture.

« Nous voulons prendre le temps d'expliquer. Nous sommes trop dans la justification », explique LaurenceFrouin, du groupe Isidore, aux côtés de Jean-Guy Valette, directeur du Naca.

« Aujourd'hui, le grand public s'intéresse à ce qui se passe dans les champs, fait part LaurenceFrouin, directrice marketing services et communication au sein du groupe Isidore. Mais avec un peu deméconnaissance. Nous avons réfléchi à la nécessité d'apprendre à mieux parler de ce que l'on sait faire pourrépondre à ces attentes sociétales. »C'est ainsi que le négoce agricole Centre-Atlantique (Naca) a mis en place le programme Vert l'avenir, pouraccompagner les entreprises sur le sujet. Avec deux grands axes : former les salariés en interne, et investirles réseaux sociaux.Apprendre à vulgariserDes sessions de formation de deux jours sont organisées pour les équipes, pour apprendre à parler du métier.Et répondre à des questions pouvant paraître de prime abord incongrues, voire des remarques agressives.

Tous droits réservés à l'éditeur NACA 292069637

Page 59: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 06/04/2017Heure : 15:20:03Journaliste : Marion Coisne

www.agrodistribution.frPays : FranceDynamisme : 0

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« C'est une chance que les gens s'intéressent à nos métiers, observe Laurence Frouin. Même si c'est parfoisdu côté négatif, par la critique. Mais ils s'y intéressent, c'est positif. Nous devons être prêts à répondre à cetintérêt. »Investir Twitter et FacebookDeuxième volet du programme : internet. « Pour trouver des réponses, beaucoup vont sur internet. Or, nous n'ysommes pas, constate Laurence Frouin. Il faut y aller. » Un compte Twitter @vert_lavenir est déjà actif, un siteinternet, www.vert-lavenir.com, sera lancé courant avril, et une page Facebook sera active dans les prochainessemaines. Ils sont animés par le Naca, avec des contenus produits par une agence de communication, surlaquelle le réseau s'est appuyé pour le lancement du programme.« L'idée, c'est de partir sur des exemples concrets, comme la lutte contre les vers de grappe avec dubiocontrôle », précise Laurence Frouin.

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Page 60: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 06 AVRIL 17

Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 280453

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Ils veulent promouvoirune agriculture durableÉCONOMIE Le Négoce agricole Centre Atlantiquea lancé hier le programme Vert lavenir à BordeauxPour répondre aux défis alimentai-res, environnementaux et sociétaux,le secteur agricole a dû faire face àde nombreuxbouleversements. Par-ticulièrement pour développer uneagriculture nourricière plus respec-tueuse des hommes, des animauxet de la nature. Afin de répondre àces nouveaux enjeux, le groupe-ment des syndicats Négoce AgricoleCentre Atlantique (NACA) a lancémercredi à Bordeaux son pro-gramme Vert l'avenir. Le projet apour ambition de promouvoir lessavoir-faire des entreprises du né-goce agricole via les réseaux sociaux,par exemple, et d'accompagner auxchangements qui se traduisent parl'avènement de nouvelles technolo-gies.

Problématique du bio-contrôle«Avec ce programme, nous souhai-tons valoriser les métiers de négo-ciants, indispensables à tous les ni-veaux puisqu'ils apportent un conseilet guident l'agriculteur dans seschoix stratégiques surl'exploitatioa

En parallèle, le grand public de-mande plus de transparence et lesnégociants souhaitent mettre enavant les innovations et le progrèsdans leurs nouvelles pratiques », sou-ligne Jean-Guy Valette, directeur duNégoce Agricole Centre Atlantique.Vert l'avenir replace ainsi au cœurdes réflexions la problématique dubicKrontrôle. « Avec 125 négociantset350 sites d'implantation présentssur 19 départements, toutes nos en-treprises sont partie prenante »,ajoute Jean-Guy La Valette.

Porté par le groupe Isidore, le nou-veau procédé de lutte contre les rava-geurs en viticulture est un exemplede ces nouvelles pratiques. En Gi-ronde, par exemple, chaque année,4 900 hectares de vignes sont trai-tées à l'aide de la méthode dite de« confusion sexuelle », une techni-que de biocontrôle relativement ré-cente qui consiste à utiliser des phé-romones pour empêcher les insectesmâles et femelles de se rencontreret d'engendrer ainsi de la pourri-ture.

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Jean-Guy Valette, directeur du négoce Agricole CentreAtlantique, et Laurence Frouin, directrice communicationIsidore. PHOTO EVA FONTENEAU

Page 61: Revue de presse - Vert l'avenir

Date : 03 AVRIL 17

Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 171431

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La confusion sexuelle, alternative aux pesticides

viticulture

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hectaresPour la cave Malepère. La confusion sexuelle vaêtre développée cette année sur 350 ha, avec pour objectifde doubler cette surface, si l'expérience est concluante,expliquent les responsables.

« II est important de prendre le chemin de ces solutionsalternatives, en culture raisonnée. Avant on faisait 3 ou 4traitements, aujourd'hui on en fait plus du tout ».

Yannick Ceste, viticulteur à Arzens, qui a adopté laconfusion sexuelle

C'est une initiative qui mérite que l'on s'y intéresse. Laconfusion sexuelle, cette méthode qui consiste à perturberla phase de rapprochement des papillons mâles et femellespar émission de phéromones synthétiques, est un procédéqui a vu le jour il y a une bonne trentaine d'années. Cetteméthode s'est développée et a fait son apparition dans leLanguedoc-Roussillon voilà quèlques années. Aujourd'hui,la cave coopérative de la Malepère a décidé d'inciter sesvignerons à utiliser cette technique, pour réduire leurimpact sur l'environnement. « Nous avons toujours étéattentifs et nous avons toujours essayé d'inciter nosvignerons à adopter des pratiques plus respectueuses del'environnement. Avec ce procédé, on essaye de réduirenotre utilisation de pesticides », explique Thibaut Llasera,responsable vignoble pour la cave Malepère.

Cette année, environ 350 ha ont été « confuses », sur lesI 800 que compte la coopérative. Des diffuseurs chargesde phéromones sexuelles, 500 par hectares, ont été placesces derniers jours sur les parcelles concernées. La posese poursuivra encore pendant quèlques jours « On espèredoubler la surface dès l'année prochaine, et l'idéal seraitd'atteindre 1000 ha confuses. Ces phéromones empêchentles papillons des vers de la grappe de se retrouver et de sereproduire, les rendant ainsi inoffensifs puis absents desparcelles protégées », explique-t-on à la cave.

Une première étape

D'autres produits chimiques sont utilisés, avoir recoursà cette méthode n'est qu'une étape. Mais d'après Jean-Luc Théraroz, les vignerons adhérents ont bien accueillil'idée. « Nous avons proposé l'idée, expliqué le procédé,les coûts, et les retours ont été intéressants. 40 denos coopérateurs se sont lancés, dès la première année.Aujourd'hui, les consommateurs veulent des produits plussains. Adopter ce type de méthode répond à ces attentes,d'où l'engouement de nos vignerons ». La cave coopérativeespère ainsi petit à petit à réduire l'utilisation de produitchimique dans ses vignes.

Le recours aux pesticides peut être limité grâce à laconfusion sexuelle