qui est-ce

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Qui est-ce ? Didier Didier, c’est moi.

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Page 1: Qui est-ce

Qui est-ce ?

Didier

Didier, c’est moi.

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Bonjour à tous, je m’appelle Didier. J’ai dix-sept ans, encoreécolier naturellement, J’ai une petite passion, j’aime bien me branler.

Fils d’un père assez riche, j’ai perdu ma mère à ma naissance.La bonne que nous avions, (Je l’aimais bien), venait tous les soirs medéshabiller, me mettre au lit et me racontait une histoire, pour m’endormir.

Papa la flanquer à la porte, lorsqu’il s’est aperçu qu’en me racontant des histoires le soir, elle me branlait, j’aimais bien, mais bon.

Une bonne copine est venue m’aider pour mes devoirs, elle était bonne la fille, elle m’a vachement bien aidé, elle m’a tous expliqué.

Pas pour mes devoirs bien sûr que non… mais comme j’étais puceau, elle m’a montrée comment je devais m’y prendre pour la baiser.

Elle a pris ma queue dans la main, la fit danser pendant un temps ce qui la fit grandir, grossir, briller dans ses doigts puis enfin, fait grossir mon gland dans sa bouche, elle le passât plusieurs fois dans son huître, qui était toute mouillée. Enfin se l’enfonçât dans sa moumouille. Putain que c’était bon.

Elle m’expliqua que je devais entrer et sortir, ne pas sortir complètement et que je pouvais lui entrer jusqu’au fond comme un butoir, eh rang, dans sa cramouille, bien profond.

Elle est venue trois fois, elle m’a appris les rudiments pour baiser, maintenant que j’ai compris, je peux le faire seul. Puis elle a disparu, je ne l’ai plus revu à l’école non plus, disparu complètement volatilisé.

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Résigné, je me suis mis à me faire bander et jouir moi-même, du papier à cul dans mon lit, pour récupérer mon jute et je me faisais sauter la zezette. Je n’avais pas d’autre solution.

Papa a trouvé une autre solution lui, sans le savoir. Il a engagé une bonne à tous faire, comme j’ai compris, vraiment à tout faire. Elle était muette, elle s’appelait Irène, mais je la trouvais très belle, de mataille. Elle avait environ vingt-cinq ans, moi, dix-sept.

Elle avait une poitrine assez grosse, un ventre plat, une forêt noire anthracite.

Comment je le sais ?… Elle me la montra pardi, elle n’était pas farouche du tout, du moins pas avec moi et je crois avec personne.

Sa chambre se trouvait à côté de la mienne, la salle de bain enface de ma chambre, et au bout du couloir la chambre du paternel.

Je me suis aperçu, qu’elle allait toujours à poil de sa chambre dans la salle de bain, je pouvais admirer son cul, vraiment une merveille.

Quelques fois, elle se trompait de chambre et atterrissait dans celle de mon vieux. Elle devait se faire sermonner quelque chose de séreux, elle restait assez longtemps, et je l’entendais même crier par moment. Certainement qu’il la battait. Part-contre, Je ne l’ai jamais vu avec un bleu ou quoi.

Elle était admirable, avant de se rendre dans la salle de bain, elle venait me donner un bisou, elle était complètement à poil. Non, elle ne m’embrassait pas sur les joues, mais sur mes couilles qu’elle prenait délicatement dans ses mains avant de les lécher et de les sucercomme une glace à la vanille me faisait juter et avalait tout avec délice.

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Un jour, je me suis marré, une fois, j’ai juté trop vite, elle à tout reçu sur le nez. Putain que je me suis marré. Elle est partie en claquant la porte, elle était en colère.

Le matin, c’est elle qui me lavait le cul, ma bite et mes couilles, elle mettait ma main dans sa chatte, pour que je la fasse jouir. Putain qu’elle gueulait la salope, heureusement mon vieux n’était plus là.

Lorsque j’étais en avance, j’avais le droit de la baiser, sur la table de la salle à manger. Elle se couchait sur le dos, ses jambes en l’air, ses cuisses largement ouvertes, comme elle ne portait jamais de culotte, me présentant sa chatte trempée que je devais bien entendu, remplir à ras bord. D’abord mes deux doigts pour la faire se tordre sur la table, et d’un coup, ma bite se forçait le chemin, comme j’avaisappris de ma copine.

Ses nichons étaient durs comme du bois, ses Mamelons qui pointaient me provoquait et je mordais dedans, les léchait. Elle se tortillait de plus belle.

Elle se redressait la bouche ouverte, râlait, poussait mon cul au rythme qu’elle désirait, je rentrais, sortait, elle voulait quej’aille très vite, elle se tordait sur la table, elle râlait de plus belle, criait, et lorsque je lui remplissais sa soute à bite de mon foutre, elle restait étendue sur la table sans bouger, laissant

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échapper mon jute de sa chatte encore grande ouverte, qui se répandait sur le sol.

Elle hoquetait, comme si elle pleurait, mais je voyais comme elle était heureuse. C’est même très souvent qu’elle venait me chercher, pour baiser.

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Le camp

Irène avait trouvé un nouveau jeu, elle voulait absolument que je lui défonce le cul. Putain, son cul était vachement étroit, nous l’avons d’abord bien rempli avec du beurre, sa cramouille pissait de la cyprine à tout-va, j’en buvais de temps en temps, pas dégueulasse ce truc.

C’est elle que m’a montré, que je devais boire de son con et lachatouiller avec ma langue. C’est vachement excitant, pour moi comme pour elle.

Je m’étais inscrit comme aide moniteur, pour les grandes vacances, afin de changer d’aire et de mouchie, et justement, nous avons une initiation, d’abord pendant deux jours, là j’ai connue Josiane, une fille, putain le blé, belle comme le jour, mais juste comme ça, sans aller plus loin, c’était la Josiane, elle me plaisait, ellem’avait même dit que je lui plaisais. Je serais bien sorti avec elle. Lorsque nous nous sommes séparés, elle m’a donné un baiser sur la bouche.

Quelques mois plus tard, nous avons de nouveau une préparation, quelque chose de sérieux, cinq jours que nous devions rester là-haut. Il devait régner une discipline exemplaire, très sévère, encore plus pour les filles. Ne me demandez pas pourquoi. Nous le savions du départ, Interdit de flirter, attention si tu te fais prendre.

Nous voilà au départ, putain la joie, dans le minibus, nous étions dix, neuf filles un garçon… moi. J’étais déjà très content, j’allais retrouver Josiane que j’aimais beaucoup. Seulement voilà, c’était la merde, elles me regardaient toute avec une sale gueule, qui

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ne me donnait pas envie de les draguer, elle ne me faisait absolumentpas bander, Josiane non plus.

Le comble, les connasses n’avaient apporté que deux tentes. Une tente pour cinq filles, une autre avec quatre filles… et moi bien entendu. Josiane était bien la, mais comme les autres, elle ne me desserrait pas les dents, ne me regardait même pas. Pourtant, au staged’avant, elle me prenait par la main, m’embrassait sur les joues, je nepouvais pas comprendre ce changement.

Les filles mon totalement ignoré, aussi j’annonce que je pioncerais sur le bord. Pour moi il m’était plus facile, si je voulais respirer de l’aire frais, je pouvais rouler dessous, en plus je n’avais pas le choix, c’est la place qu’elles m’ont laissée.

Pour les filles, cela leur état égale, elles ont haussé les épaulesd’un air d’indifférence, en fait, elles avaient décidées, je n’avais rien à dire, ben voyons.

Ça commençait bien, une ambiance de… merde. Je dois vivreavec ça, heureusement qu’au retour j’aurai ma Irène, elle ne peut pas me parler non, mais elle peut ! Me baiser, me caresser, me faire jouir,me branler me sucer. Je l’aime bien ma Irène, j’aime bien la faire sauter. J’étais déjà tout content de retrouver Josiane. C’est foutu et merde.

Toute la journée, pratiquement aucune fille ne m’a adressé la parole, c’est à peine si une ou deux me regardait. Cela ne me dérangeait plus, mais c’est quand même dur à encaisser.

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La première nuit.

Après le repas du soir, les filles se rassemblent, et comme je m’y attendais, me laisse de côté. Je vais me laver, je me mets en pyjama comme de toute façon, je suis fatigué, je plonge dans mon duvet.

Dans la nuit, tout est calme. Puis, une main est passée sur mon ventre, me caresse langoureusement. Je me retourne un peu, la main à disparue. Je cherche à voir, mais il fait nuit noire, je ne peux absolument rien voir, dehors comme dedans.

La main revient, puis une deuxième. Elles ouvrent la veste de mon pyjama, ma visiteuse nocturne, (cela ne peut être qu’une fille, il n’y à que des filles ici) pose ses lèvres sur les miennes, m’embrasse, sa langue cherche la mienne, laissant ses lèvres collées aux miennes. Ses petites mains froides glissent sur mon ventre et pousse mon pantalon sur mes cuisses, ses mains me font déjà bander, mais je ne bouge toujours pas.

Je ne pouvais rien voir, mais j’étais sûr que la fille ne pouvait venir que de l’autre tente. Elle caresse mon bijou, elle commence lentement à le branler. Je lui attrape la main.

Pour avoir plus de liberté de mouvement, je fais glisser mon pantalon avec mes pieds sur mes chevilles. Je roule la fille dans mon duvet qu’elle avait ouvert, je tire la fermeture, elle est prisonnière, dans mon duvet avec moi. Elle le sait, elle ne cherche même plus à sesauver, mais il m’est toujours impossible de la voir, de la reconnaître.Avec cette action, sa chemise de nuit s’est relevée sur sa poitrine, elleest en culotte. Sans problème, je lui enlevais cette culotte qui rejoignis mon pantalon dans le bas du duvet. Elle est maintenant nue

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contre moi qui bande, Elle est douce, chaude, j’aime beaucoup ce contact, ses seins contre ma poitrine, ses mains qui me caressent.

Elle avait, comme je peux me rendre compte envi de moi, ellecaressât ma bite doucement, de pleine main, elle me masturbait lentement, comme c’est bon. Son autre main s’intéressait ! à ma bite, mon cul et ma bouche. Sa chatte était trempée, ses nichons déjà bien dur que je mastiquais des deux mains et avec ma langue, ses mamelons pointaient, me provoquaient. Je ne pouvais rien voir, mais je sentais ses caresses.

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Elle faisait monter ma bite, en la caressant et la branlant lentement, sa bouche collée à la mienne, me roulant une pelle maison, j’avais envie de l’emmancher, de la prendre avec ma bite, au plus profond d’elle.

Je réussis malgré l’étroitesse du lieu. Un duvet pour deux, c’est un peu étroit, on ne pouvait pas bouger. Je réussis donc à rentrerma bite en un coup, au plus profond dans sa moumouille. Elle ne s’y attendait pas. Elle sursauta, poussa un râle étouffé dans le creux de mon épaule, elle me repousse avec force et insistance. Elle m’a presque mordu la langue, Seulement sans que je ne m’en rende compte, elle avait ouvert le duvet, se fit rouler dehors et disparue.

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La fille à côté de moi, revenant de pisser me bousculât, je voulais encore l’engueuler, j’étais remonté à blanc, je me rappelai que c’était Josiane. Je l’entends, comme si elle pleurait, mais je m’enfoutais, elle ne me traitait pas comme il faut.

J’étais déçu de Josiane et cette fille qui me violait presque que je ne pouvais pas reconnaître et qui ne le voulait pas non plus, je n’avais pas pu la caresser comme je l’aurais aimé et pour finir, ma bite. Cette bite raide comme une trique, mon gland qui voulait éjaculer et coulait déjà. Je me retins. Je me fais rouler en dehors pour prendre l’air frais et je me branle, je me fais éjaculer, pour faire retomber ma bite. Merde, cela m’a fait du bien.

Putain que j’ai aimé de sentir la chaleur de ce corps contre le mien, ses seins contre ma poitrine, ses mains sur ma bite, ses caresses, ce branlage, ma queue la pénétrant, elle s’était vite retiré, mais cela avait été bon. J’avais l’impression d’aimer cette inconnue

Il était tard, ou plutôt de bonne heure le matin, je n’avais pas réussi à dormir, peut être une heure au maximum.

En, me lavant dans les douches, je remarque un peu de sang séché sur ma bite, je ne suis pourtant pas blessé. Enfin, on verra.

Après la toilette, petit déjeuné. En rangeant mon Duvet la culotte est toujours là, je n’ai donc pas rêvé. Dans mon duvet a un peu de sang également, je commence à me poser des questions et si elle avait été pucelle ? Que je l’ai dépucelé ? Il faudra bien qu’elle me le dise. Je scrute les visages, rien à faire, je n’arrive pas à savoir qui est-ce.

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Deuxième nuit

Dans la journée, j’ai préparé ma place de telle façon que l’on ne puisse nie entré, nie sortir.

Le soir venu, j’enlève mon pyjama dans mon duvet que je n’avais pas fermé et j’attendais son arrivée, je suis sûr qu’elle va revenir. Je me suis endormi en l’attendant.

Dans la nuit, rebelote, la fille est dans mon duvet cette fois, sachemise est remontée, elle me caresse de nouveau. Elle porte une culotte, que je lui enlève de nouveau. Elle essaye de la récupérer, troptard, elle est dans le fond du duvet.

Je la laisse me caresser, m’embrasser, me branler, je me retourne d’un coup et je l’emmanche, elle essaye de m’en interdire lepassage, mais elle abandonne très vite, elle se laisse faire.

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Mes deux mains avait pas ressortir, elle est obligée maintenant de subir, elle suit le mouvement, y prend goût et même plus, elle avait enfoui la capuche de mon duvet dans sa bouche pour ne pas crier de plaisir Mon duvet est trempé, elle perd sa cyprine comme une fontaine, ses cuisses enroulées autour des miennes, elle gesticule à tout-va, son ventre ce contractppuyant sur son cul, pour qu’elle ne puisse pas ressortir, mais elle ne voulait pas en fait, ses bras autour de mes fesses, ses mains appuyaient sur mon cul, sa bouche contre la mienne. Elle ne poue, ses nichons vont bientôt éclater, elle gesticulait dans toutes les directions. J’avais peur qu’elle ne réveille ma voisine. Elle va encore me déchirer mon duvet si elle

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continue. Jais vite poussé sous ses fesses la veste de mon pyjama. Elle appuis sa tête contre ma poitrine de toutes ses forces, je pouvais entendre très bas ses um, um avant qu’elle n’éclate en silence et moi avec. Elle butait contre mon bassin avec son pubis, appuyait sur mon cul, elle avalait ma bouche et son corps était secoué de spams. Elle seblottit un moment, sans bouger, contre moi. Putain, j’avais aimé, j’aurai bien recommencé

Trois filles se sont levées pour aller aux toilettes, et lorsque jeme retourne, elle avait disparu. J’ai essuyé avec ma veste de pyjama de sécher le duvet comme j’ai pu. Cette fille me rendait fou.

Je ne savais toujours pas qui. Maintenant que je l’ai bien baisée, il doit y rester des traces, merde, les yeux cernés, elle doit bien se décider à me regarder en douce, elle doit se montrer, se faire connaître, merde, elle ne peut pas se cacher indéfiniment, cette situation est intenable et je suis de plus en plus certain, de l’avoir dépucelé.

Dans la douche des garçons, je suis naturellement seule. Je prends ma douche, mon esprit n’est pas là, je pense à ma visiteuse de nuit, j’en suis amoureux, sans l’avoir vu. Je me sèche, et au moment de me rhabiller, je vois que quelqu’un à glisser dans ma chaussure unpetit mot. « Je viens ce soir, attends-moi. Ne cherche pas à me retenirsi je veux partir. ». Mais toujours impossible de savoir qui elle est.

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Troisième nuit.

Je l’ai attendu, nu dans mon duvet, j’avais préparé une serviette de bain sous moi et une petite à côté de moi.

Je m’assoupis, elle se glisse, se faufile lentement à côté de moi, sa chemise remonte, je lui enlève sa culotte. Une petite bagarre s’ensuit, j’ai gagné, sa culotte rejoint les deux autres.

Après m’avoir embrassé, avoir pris ma langue avec la sienne, après avoir échangé notre salive, Elle a ouvert mon duvet, elle s’est assise sur mes cuisses, me branle savamment de ses mains douces, elle vient prendre ma bite dans sa bouche pour la faire gonfler, puis elle s’assied lentement sur ma queue bien raide.

Elle se laisse glisser sur ma bite lentement dans sa cramouille,c’est vachement bon, monte et descend lentement d’abord, elle a accéléré le rythme, je sens comme sa cyprine me coule dessus, comme elle se démène de gauche à droite.

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Je la tire sur mon corps, elle n’a déjà plus la force d’aller contre, je la baise maintenant, profondément, j’enfonce mon pic le plus profond possible j’ai réussi à la retourner, elle me serre amoureusement dans ses bras, sa bouche pratiquement dans la mienne. Je sens qu’elle jouit, ses contractions le montrent, elle réussità pousser un petit cri. Une fille lève la voie.

– Tu ne peux pas la fermer non, dit-elle.

Je l’étouffe presque en poussant son nez, sa tête dans le creux de mon épaule. Elle ne bouge plus. Elle s’endort ! Me serrant dans ses bras, de ses mains, de ses jambes de ses fesses

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– Merde que c’était bon, pensé-je j’aimerais recommencer, tout de suite, mais si je bouge, elle va disparaître de nouveau.

Elle s’est réveillée, sans rien dire, elle me prend la main, pour la mettre dehors. Je ne comprends pas, je sors la tête et la poitrine, croyant que quelqu’un venait, rien à voir. Je me retourne, elle a disparu. Incroyable, je ne saurai pas qui elle est.

Je suis sûr d’une chose, c’est toujours la même, je reconnais ses nichons, son cul et sa chatte, je la reconnaîtrais même les yeux bandés ou dans la nuit. Lorsqu’elle se trouvait contre moi, j’ai pris ses mesures, bien sûr que de l’à-peu-près, elle doit avoir environ deux centimètres de plus que moi. Le problème, elles sont pratiquement toutes de la même grandeur, sauf Isabelle, qui est cinq centimètres, plus petite que moi. Dans la journée, part contre, elle reste pour moi une inconnue.

Pourtant, je l’aime, sans la voir, ses caresses, ses branlages ses baisés, je ne peux pas l’oublier. Je crois, elle ne vient pas de l’extérieur. Solange, isabelle, Armande et Josiane. Je peux exclure Josiane, reste trois Solange, elle est trop bruyante, pas d’éducation, comme Armande. Reste juste Isabelle, elle est trop jeune, quinze ans à peine. Alors qui-es-ce ?

Je me suis posé des questions toute la journée, même en les scrutant dans les yeux, intensément et profondément, rien à en sortir et pourtant elle est là.

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Quatrième nuit

Je sais qu’elle va venir, en plus, c’est notre dernière nuit. Il faut que j’arrive à en savoir plus, sur elle. Toute la journée a été un vrai cauchemar pour moi, je pensais à ce corps dans mes bras que je ne pouvais même pas voir, j’en tremblais, je rêvais d’elle.

– Eh, Didier, tu bouges ton cul ? Tu rêves ou quoi ? Me secoue un Moniteur.– Excuse-moi. Oui, je rêvais.

Après le repas du soir, je me mets sous la douche, j’y suis resté au moins une heure, plongé dans mes pensées, j’arrive, à notre tente, la lumière s’éteint, nuit noire. Devant l’entrée de la tente, je bande déjà, rien qu’en pensant à elle.

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Et elle est déjà dans mon duvet, cette fois sans culotte, sa chemise de nuit, qu’elle a ôté à côté du duvet. Sans attendre, elle me tire sur elle, prend ma bouche, m’embrasse avec fougue, je lui caresse ! Sa poitrine, ses joues, ses hanches, elle écarte sensiblement les cuisses, déjà mon gland s’approche, je l’enfile doucement, lentement, elle me serre dans ses bras, sa cyprine inonde de nouveau mon duvet, elle n’a pas l’intention de repartir. Cette nuit-là, nous n’avons pas arrêté de baiser, trois, quatre fois ? Je ne sais plus. Coucher sur sa chemisette, je la caressais, reprenant un peu de force, elle a disparu, peu avant le levé du jour. La lumière se fait voir à travers la tente. Je m’assois je regarde les filles dormir sous la tente, c’était notre dernière nuit.

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Au lever, je range les trois culottes dans mon sac, je m’aperçois que la chemisette est encore là, je la plie soigneusement sous le regard amusé de Josiane et de Solange, qui me sourient et je sors. C’est le premier sourire que je reçois depuis quatre jours.

Les filles sous la tente après mon départ pouvait se rhabiller, se changer. Moi… j’étais toujours plongé dans mes pansées, dans mes rêves, je rêvais ! De sa chatte, de sa cyprine, de son cul et de mon gland qui éjaculais dans sa moumouille. Ce qui me faisait bander à nouveau. Nous allons remonter dans le Minibus, et je ne sais toujours pas qui elle est, peut-être ne le sauré-je Jamais.

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L’invitation

J’étais très triste, je savais que la fille ne viendrait plus dans mon duvet, ce fut un rêve, pour moi un joli rêve, mais c’est fini. Dommage, je l’aimais bien ma visiteuse nocturne.

Dans le minibus, je reprends ma place dans l’arrière, contre lafenêtre, je prends mes aises, je sais que la place sera pour moi seule, et je me tire une branlette en pensant à ma visiteuse nocturne. Elles peuvent me lécher ses gonzesses, pas pour moi.

Comme ma nuit fut assez courte, je m’assoupis, je rêvai d’elle. Je sens quelques choses se glisser dans ma chaussure, un billet.

« On se retrouve au café Paul en face ». Enfin, je vais la voir en plain jour.

Je suis dans le café Paul, j’attends depuis une bonne demi-heure la fille qui ne vient pas. Josiane fait son entrée.

– Bonjour Didier, que fais-tu là ? Tu ne rentres pas chez toi ?– J’attends quelqu’un, fou le camp, laisse-moi tranquille.– Tu es vachement remonté contre moi va.– On le serrait avec moins, je me réjouissais de te retrouver, et tu ne m’as même pas desserrés les dents pendant quatre jours, je vais m’en souvenir.– Tu attends une fille ?– Oui, une gentille fille, elle.– Je crois, elle ne viendra plus ta copine.– Ce n’est pas ma copine, c’est plus que ça, on a même baisé ensemble.– Tu l’as baisé ?

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– Non, on a fait l’amour ensemble, pendant les quatre nuits, ça t’en bouche un coin va.– Elle est belle ?– Fou moi la paix, cela suffit que je la porte dans mon cœur, malgré les risques, elle est venue chaque nuit me retrouver, je ne l’ai pas vu dans le noir, mais je suis capable de la reconnaître au touché.– Tu peux vraiment la reconnaître au touché ?– Oui, je n’ai besoin que de palper ses seins, sa chatte ou son cul– C’est vachement gentil de sa part, ce qu’elle à fait, tu ne trouves pas ? Cela ressemble à de l’amour. Allez, arrête de me faire la gueule, elle ne viendra plus, je t’emmène, tu veux ?– Ou ça ?– On va d’abord faire un tour avec ma deux chevaux.– tu as une voiture toi ?– Oui, elle est toute neuve, allez viens.Elle me prend par la main, me tire à l’extérieur. Elle me fait

grimper dans sa voiture garée devant la porte du café.– Ou m’emmènes-tu ?– Faire un tour comme ça, je dois la roder ma sauterelle.

En cours de route, c’était le silence, je ruminais, elle m’avait posé un lapin l’autre tordu. Josiane pose sa main sur ma cuisse et me la caresse, elle monte très haut dans la jambe du short, elle me fait bander la garce, on ne peut quand même pas baiser dans sa voiture.

– Josiane, arrête, tu me fais bander.– Tu n’aimes pas ?– Si, mais j’ai mes pensées ailleurs et je ne veux pas dans ta voiture.

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Le silence règne à nouveau, mais sa main est restée ou elle se trouvait. Et ma bite était devenue encore plus volumineuse dans mon short. Elle était douce, comme la main de ma visiteuse.

Nous nous arrêtons, elle me dit de descendre, et me tire dans une belle entrée, au premier étage, ouvre la porte d’une chambre énorme et très chiquement meublée.

– Entre, me dit-elle, tu es chez moi.– Putain de merde, ça, c’est vraiment du lux.– Oui, dit-elle, mon père paye la chambre, et il me laisse un compte, toujours bien garnie.– Que fait ton père ?– Je n’en sais rien, je ne le vois qu’une fois par mois, des fois moins.– Et ta mère ?– Elle est morte d’un cancer, depuis six ans.– Excuse-moi.– Ne t’excuse pas, tu ne pouvais pas savoir.– Tu penses toujours à ta copine hein ?– Oui.– Didier, déshabille-toi, tu veux bien ?– Qu’est-ce que ça veut dire ?– Je te demande une petite faveur. Didier, je veux faire un petit teste avec toi, sans tricher.– Tu m’as presque humilié pendant ses quatre jours, et je doisme prêter à tes expériences ?– Juste une, je te jure, juste une. Je te bande les yeux, tu ne triches pas ?– Ok, d’accord, après je rentre chez moi.

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Elle me bande les yeux, me soustrait mon short, mon slip et ma chemise. Elle se dévêtit à son tour. Elle s’approche de moi, son ventre presque contre le mien, ses mamelons chatouillaient ma poitrine. Putain, je bande comme un salop.

– Didier, caresse-moi, mes seins, mon ventre, ma chatte.Je n’en avais pas envie, je la caresse quand même du bout des

doigts d’abord, puis à pleine main. Je reconnaissais ma visiteuse.– Josiane, crié-je, il y a quelque chose qui cloche, dis-je. Elle ne répond pas se pousse encore un peu plus contre moi, posesses mains sur mes fesses, ses lèvres affleurent les miennes, ma bite est montée à deux-cents pour cent.– Josiane, tes nichons son comme ceux de ma copine… Ton ventre également, ta chatte… elle se pousse encore un peu plus, elle pose ses lèvres ouvertes sur les miennes. Josiane tu te fous de moi, ce n’est pas toi ! J’ai retiré le bandeau de mes yeux. Une de mes mains est restée sur sa chatte, un doigt dedans, mes lèvres sont restées contre les siennes.– N’oublie pas de me rendre mes culottes et ma chemise, me dit-elle doucement en tirant mes fesses contre elle. Didier je t’aime. Tu sais que tu m’as dépucelé ? Je ne le voulais pas, mais tu as été trop vite, c’est de ma faute, j’ai vite été dans lestoilettes, et j’ai bien vu le sang couler, je n’étais plus pucelle. D’abord j’ai pleuré, mais je ne le regrette pas, je me suis dit, maintenant, plus de retenue avec mon Didier.– C’était vraiment toi ? Pourquoi tout ce cinéma ?– Je t’explique.

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Explication.

– Le jour de notre départ, La directrice à rassembler les filles, elle nous a interdit de flirter, sous peine de renvoi immédiat. Elle avait peur d’une discorde entre les filles, il n’y avait qu’un garçon Le mieux, nous dit-elle, ne pas te parler. Oui, je m’étais réjoui de faire plus ample connaissance avec toi, j’avais prévu des rencontres entre nous. Mais voilà, la directrice annonce que je ne devais pas flirter que je devais rester un exemple pour les autres, étant la plus âgée. J’ai eu peur de la concurrence, j’ai eu peur qu’une fille me prenne mon Didier. Alors j’ai décrété, que personne ne devait t’adresser la parole et comme exemple, moi non plus bien sûr.La seule chose que j’ai réussi à faire, dormir à côté de toi de pouvoir te toucher et faire l’amour, avec toi. Didier, j’ai enviede faire l’amour avec toi, maintenant, tout de suite, si tu m’aimes.

Tous cela, était pour moi trop compliqué, mais effectivement je l’aimais, et comme nous étions nus tous les deux, comme nous nous caressions déjà, tous les deux, nous avons continué… tous les deux.

Il n’y avait plus de retenu à avoir, je pouvais lui enfoncer mesdoigts dans son fourreau, je pouvais la faire sauter et danser de plaisir, sans risque de réveiller ma voisine. Mais au fait, ma voisine, c’était elle. Elle n’avait besoin que de rouler pour êtres dans son duvet ou le mien, c’est pour cela qu’elle pouvait aussi facilement disparaître.

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Elle m’a poussé sur son lit, me fait tomber à la renverse, pour pouvoir me manger ma bite, la sucer, l’aspirer en faire sortir mon Jute, et enfin s’assied dessus pour jouir.

J’ai téléphoné pour dire à Irène que je ne dormais pas là cette nuit. Josiane était heureuse. Toute la nuit, je n’ai pas débandé.