nl microsoft retaildownload.microsoft.com/documents/france/ent... · et un laboratoire en forte...

4
microsoft.com/france/distribution Rayon innovations NEWSLETTER TRIMESTRIELLE POUR LA DISTRIBUTION JUILLET 2009 EDITO A LA UNE DU RETAIL par grégory LengrAnd Chef de marché Distribution Microsoft France [email protected] no n-alimentaire : Le match hypers / spécialistes En matière de biens d’équipement, les clients raisonnent davantage leurs achats. Les hypers sont désormais fortement challengés par les enseignes spécialisées. Et leurs résultats s’en ressentent. La bataille est lancée ! SOMMAIRE A LA une du retAiL p. 1 Non-alimentaire Le match hypers / spécialistes L’Actu microsoft p. 2 Office Communication Server Exchange Server 2010 Internet Explorer 8 Le mAgAsin de demAin p. 2 Delhaize Red Market Le magasin 100 % self-scanning L’interview p. 3 Pascal Angée, Microsoft gros PLAn sur... p. 4 Windows 7 Microsoft Tag P lus que jamais, les entreprises mettent la recherche de la performance au cœur de leur stratégie. Le retail n’y échappe évidemment pas. En témoigne le nouveau concept imaginé par Delhaize : Red Market, qui privilégie une solution 100 % self-scanning (voir p. 2). Ou encore Carrefour qui, dans le cadre de son nouvel hyper d’Auteuil, a fait le choix de la visio- assistance (voir p. 3). Fidèle à sa voca- tion, Microsoft se place aux côtés des entreprises dans cette quête de la performance. C’est l’objectif de nom- breux nouveaux produits. Notamment Internet Explorer 8, Windows 7 ou encore Microsoft Tag, présentés dans ce numéro de Rayon Innovations. Bonne lecture ! Inscription : [email protected] L e non-alimentaire est aujourd’hui l’objet d’une bataille farouche entre hypers et spécialistes. Trimes- tres après trimestres, les chiffres d’affaires non-alimentaires des enseignes d’hypers montrent l’ampleur du défi qui se pose à eux. En 2008, par exemple, Car- refour et Casino ont annoncé des reculs de ventes de 6 à 8 % sur leurs rayons non-alimentaires. Dans le même temps, les spécia- listes affichaient, tous ou presque, des résultats en croissance : + 3 % pour Intersport, + 4 % pour De- cathlon, + 5,6 % pour Boulanger, + 13 % pour Ikea, etc. Bref, l’écart est frappant. Les explications à la baisse de ré- gime des hypers sont nom- breuses. Longtemps référents sur le terrain de l’image-prix, les hy- pers sont aussi aujourd’hui dé- bordés. Par le hard-discount sur l’alimentaire. Et par le e-com- merce sur le non-alimentaire. Casino le vit au premier chef. Alors que ses hypers Géant sont en difficulté, son site Cdiscount annonce année après année des résultats toujours plus spectacu- laires : 20 % de croissance en 2008, le cap des 800 millions d’euros de chiffre d’affaires franchi et le milliard en vue pour 2009. En parallèle, les hypers sont chal- lengés par les grandes surfaces spécialisées sur le critère de la lé- gitimité. Et ce d’autant plus que les biens d’équipement sont des achats plus raisonnés que jamais. Pour le client, l’achat est souvent anxiogène et la réassurance ap- portée (ou non !) par le com- merçant devient un critère de choix majeur de l’enseigne et du magasin. Les spécialistes en jouent ! C’est leur argument. Mais les hypers ont un atout : leur formidable trafic, jusqu’à plusieurs dizaines de milliers de clients par semaine pour les plus grandes unités. Prix, pro- fessionalisme des hommes ou encore disponibilité des pro- duits, sont autant de leviers à activer pour mieux exploiter ce flux de clientèle. EN BULLE Les enseignes spécialisées ont une légitimité naturelle. Les hypers doivent redoubler d’efforts sur les prix, la disponibilité ou la compétence des vendeurs. L’hyper Le spécialiste

Upload: others

Post on 26-Jul-2020

1 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: NL Microsoft Retaildownload.microsoft.com/documents/France/ent... · Et un laboratoire en forte concurrence, comme le souhaitait Delhaize, avec, sur Gembloux, Colruyt, Match, Lidl,

microsoft.com/france/distribution

Rayon innovationsN E W S L E T T E R T R I M E S T R I E L L E P O U R L A D I S T R I B U T I O NJUILLET 2009

EDITO A LA UNE DU RETAILpar grégory LengrAndChef de marché DistributionMicrosoft [email protected]

non-alimentaire :Le match hypers / spécialistes

En matière de biens d’équipement, les clients raisonnent davantage leursachats. Les hypers sont désormais fortement challengés par les enseignes spécialisées. Et leurs résultats s’en ressentent. La bataille est lancée !

SOMMAIREA LA une du retAiL p. 1

Non-alimentaireLe match hypers / spécialistes

L’Actu microsoft p. 2

Office Communication ServerExchange Server 2010Internet Explorer 8

Le mAgAsin de demAin p. 2

Delhaize Red MarketLe magasin 100 % self-scanning

L’interview p. 3

Pascal Angée, Microsoft

gros PLAn sur... p. 4

Windows 7Microsoft Tag

Plus que jamais, les entreprisesmettent la recherche de laperformance au cœur de leur

stratégie. Le retail n’y échappeévidemment pas. En témoigne lenouveau concept imaginé parDelhaize : Red Market, qui privilégieune solution 100 % self-scanning(voir p. 2). Ou encore Carrefour qui,dans le cadre de son nouvel hyperd’Auteuil, a fait le choix de la visio-assistance (voir p. 3). Fidèle à sa voca-tion, Microsoft se place aux côtés desentreprises dans cette quête de laperformance. C’est l’objectif de nom-breux nouveaux produits. NotammentInternet Explorer 8, Windows 7 ouencore Microsoft Tag, présentés dansce numéro de Rayon Innovations.Bonne lecture !

Inscription : [email protected]

Le non-alimentaire estaujourd’hui l’objet d’unebataille farouche entre

hypers et spécialistes. Trimes-tres après trimestres, les chiffresd’affaires non-alimentaires desenseignes d’hypers montrentl’ampleur du défi qui se pose àeux. En 2008, par exemple, Car-refour et Casino ont annoncé desreculs de ventes de 6 à 8 % surleurs rayons non-alimentaires.Dans le même temps, les spécia-listes affichaient, tous ou presque,des résultats en croissance : + 3 %pour Intersport, + 4 % pour De-cathlon, + 5,6 % pour Boulanger,+ 13 % pour Ikea, etc. Bref, l’écartest frappant.Les explications à la baisse de ré-gime des hypers sont nom-breuses. Longtemps référents surle terrain de l’image-prix, les hy-pers sont aussi aujourd’hui dé-bordés. Par le hard-discount surl’alimentaire. Et par le e-com-merce sur le non-alimentaire.Casino le vit au premier chef.Alors que ses hypers Géant sonten difficulté, son site Cdiscountannonce année après année desrésultats toujours plus spectacu-laires : 20 % de croissance en2008, le cap des 800 millionsd’euros de chiffre d’affaires franchiet le milliard en vue pour 2009.En parallèle, les hypers sont chal-lengés par les grandes surfacesspécialisées sur le critère de la lé-

gitimité. Et ce d’autant plus queles biens d’équipement sont desachats plus raisonnés que jamais.Pour le client, l’achat est souventanxiogène et la réassurance ap-portée (ou non !) par le com-merçant devient un critère dechoix majeur de l’enseigne et dumagasin. Les spécialistes enjouent ! C’est leur argument.

Mais les hypers ont un atout :leur formidable trafic, jusqu’àplusieurs dizaines de milliers declients par semaine pour lesplus grandes unités. Prix, pro-fessionalisme des hommes ouencore disponibilité des pro-duits, sont autant de leviers àactiver pour mieux exploiter ceflux de clientèle.

EN BULLE

Les enseignes spécialisées ont une légitimité naturelle. Les hypers doiventredoubler d’efforts sur les prix, la disponibilité ou la compétencedes vendeurs.

L’hyper Le spécialiste

Page 2: NL Microsoft Retaildownload.microsoft.com/documents/France/ent... · Et un laboratoire en forte concurrence, comme le souhaitait Delhaize, avec, sur Gembloux, Colruyt, Match, Lidl,

LE MAGASIN DE DEMAINL’ACTU MICROSOFT

office communicAtionserveur 2007 r2réduire les coûts et améliorer laproductivité de votre activité, tellessont deux des vertus d’office com-munication serveur 2007 r2. CréditAgricole, l’une des premières banquesfrançaises, a ainsi pu réduire ses frais dedéplacement de 10 à 20 % ou encoreéconomiser 150 000 € sur le coût desconférences. Une preuve supplémentairede l’efficacité des solutions Microsoft auservice de la productivité des entreprises ! www.microsoft.com/communicationsserver

exchAnge server 2010microsoft exchange server 2010 vouspermet d’améliorer votre niveau defiabilité et vos performances grâce àses fonctionnalités qui simplifient votre ad-ministration et protègent vos communica-tions. La version béta est disponible entéléchargement. www.microsoft.com/exchange/2010

internet exPLorer 2008

internet explorer 2008, le nouveaunavigateur de microsoft est prêtpour les entreprises ! C’est par exem-ple le seul navigateur que vous pouvezdéployer et administrer dans tous lessecteurs de votre activité grâce à satotale comptabilité avec les sites Webconçus pour Internet Explorer 7. Unevraie souplesse d’administration ! Autreavantage : une élévation notable duniveau de sécurité (contre les attaquesdiverses, scripts intersites, hameçonnage,etc.). Enfin, son interopérabilité avec lesstandards web permet, pour les déve-loppeurs, un gain de temps appréciable.www.microsoft.com/france/windows/entreprise/internet-explorer-8

delhaize red marketLe magasin 100 % self-scanning

Delhaize a ouvert un nouveau magasin laboratoire en Belgique. Un concept innovant, notamment par le déploiement total d’une solutionde self-scanning. Tous les clients font leurs courses scanette en main !

fun shopping ou shoppingfonctionnel... ? Pour sonnouveau concept store

de Gembloux (près de Charle-roi) Delhaize a tranché. Faire sescourses alimentaires chez RedMarket doit être simple, pra-tique et rapide ! Pour la simpli-cité, l’enseigne a taillé dans lesassortiments. 5 400 référencessur 2 000 m2 de surface devente, c’est environ la moitiéd’un magasin courant. «Unchoix resserré, c’est un choix plussimple», résume-t-on chezDelhaize. Et, de fait, les produitsbénéficient de facings généreuxet l’offre en devient automati-quement plus lisible ! Pour la rapidité, Red Marketouvre une voie nouvelle : celledu magasin 100 % self-scan-ning. A Waterloo, dans sonprécédent nouveau concept,Delhaize avait déjà déployé àgrande échelle le self-scanning,mais partiellement. A Gembloux,le ton est donné dès l’entrée surle meuble présentant les 250terminaux : «A vous de jouer».

Les courses se font donc le cha-riot dans une main, la douchettedans l’autre. Et les habitudes seprennent vite... Les clients seprêtent visiblement sans diffi-culté au jeu. «Je gère plus facile-ment mon budget et, surtout, jegagne du temps», résume Béa-trice, une cliente croisée enrayon. L’enjeu pour Red Marketest bien là : fluidifier le trafic. Les

six caisses sont installées dans leprolongement d’une file d’at-tente unique (façon aéroport) et,s’il n’y pas de contrôle (enmoyenne un chariot sur cinq),l’encaissement s’effectue enmoins d’une minute. L’originalité du concept est bienlà : dans une solution 100 %exclusive. Un pari qu’aucunautre retailer n’avait encore oséprendre. Même IntermarchéRennes qui a pourtant déployé40 self check-out mais a conservéhuit caisses traditionnelles ! Pour Delhaize, Red Market estdonc avant tout un laboratoire.«Red Market va nous permettred’essayer de nouvelles solutionset de mesurer si elles peuvents’adapter à d’autres enseignesdu réseau», explique MichelEeckhout, CEO de Delhaize Bel-gique. Et un laboratoire enforte concurrence, comme lesouhaitait Delhaize, avec, surGembloux, Colruyt, Match,Lidl, Champion, GB Super, etc.Le tout pour à peine 20 000habitants !

Accenture, Avanade et Microsoften pointe sur le multi-canal

Annoncé à l’occasion du NRFà New-York en janvier der-nier, l’accord entre Accen-

ture, Avanade et Microsoft ouvrede nouvelles perspectives aux re-tailers en matière de multi-canalgrâce à Connected Commerce So-lution. L’objectif ? Accompagner lesdistributeurs dans l’enjeu majeurdes prochaines années : marier leoff-line et le on-line. De nombreuxgroupes ont en effet déjà initié desolides stratégies web. C’est le cas

d’Auchan qui, outre un réseau d’hy-pers et de supers est doublementprésent sur la toile. Avec Auchan-Direct pour l’alimentaire et GrosBillpour le non-alimentaire. Le toutpour plus de 200 millions d’eurosde chiffre d’affaires. Pour tous les retailers, le mariageoff-line / on-line passera nécessai-rement par de nouvelles solutionsen termes de SI. C’est l’ambition del’accord Accenture, Avanade et Mi-crosoft. Une complémentarité évi-

dente de compétences... Les«briques» technologiques pourMicrosoft, le savoir-faire métierpour Accenture et l’expertise dansla mise en œuvre des solutionspour Avanade. «Les retailers atten-dent clairement cette triple compé-tence, réunie en une seule offre»,résume Alexandre Lemarchand,Partner Account Manager chezMicrosoft France. Le tout pour unemeilleure réponse aux besoins dela gestion multi-canal.

Plus d’infos : www.microsoft.com/presspass/press/2009/jan09/01-12MSAARetailersPR.mspx

Page 3: NL Microsoft Retaildownload.microsoft.com/documents/France/ent... · Et un laboratoire en forte concurrence, comme le souhaitait Delhaize, avec, sur Gembloux, Colruyt, Match, Lidl,

L’INTERVIEW PASCAL ANGÉEAccount Manager Division Embedded, MICROSOFT

La technologie a une vertu : elle permet de rendre certains devices encore plus intelligents. Soit en enrichissant la relation client, soit en adressant des messages plus pertinents.

Les retailers sont parfois frileux à implé-menter de nouvelles solutions technolo-giques sur la surface de vente, estimantsouvent que «tout a été fait». vrai oufaux ? Evidemment un peu les deux ! Beaucoup a étéfait, par exemple au niveau de la caisse. Cer-taines enseignes – c’est le cas en alimentaire –ont revu l’ensemble de leurs terminaux lors dudéploiement de leur outil de fidélité. De fait, ils’agit d’opérations importantes, concernant desmilliers de postes de travail. Mais, en parallèle,dans certains métiers, le poste de caisse estencore à découvrir. Combien de coiffeurs sontéquipés d’une caisse digne de ce nom qui gèreles encaissements, lit les codes-barres ou intègreune fonctionnalité de fidélité ?

c’est peut-être caricatural...Sur l’exemple peut-être, mais pas dans l’idée. Denombreux magasins exploitent des caisses vieil-lissantes dont certaines fonctionnent parfoisavec des OS non maintenus. Elles remplissentcertes leur mission première, l’encaissement, etce, avec une réelle robustesse. Mais il y a au-jourd’hui mieux à faire... Tous les retailers, indé-pendamment de leur taille ou de leurorganisation, ont un même défi : commentmettre davantage d’intelligence sur la surfacede vente ?

Pourquoi ?Très simplement : pour améliorer la relation clientet adresser des messages plus pertinents !

sous quelle forme ? Il y a bien sûr la caisse, le premier sujet sur lequelle retailer doit être en alerte. Car tous les clientsy passent ! Mais, au-delà, c’est tous les points decontact avec le shopper sur la surface de vente. Les

bornes vidéo de démonstration par exemple,souvent composées d’un écran télé et d’un ma-gnétoscope qui ressasse dans quelques cas lemême argumentaire depuis des mois alors que leproduit n’est plus disponible ! Rendre l’objet intelli-gent, c’est le connecter avec son environnementpour «pousser» le bon contenu selon le stock, lapériode ou le type de clients qui fréquentent le ma-gasin. L’affichage multimédia dynamique est aussiune bonne approche pour améliorer le contenuadressé aux clients.

«mettre de l’intelligence», c’est permet-tre à un objet de s’adapter à son environ-nement ?Par exemple ! Pourquoi ne pas imaginer des éti-quettes intelligentes dont les prix changeraientautomatiquement selon l’état du stock ? C’estpeut-être sans intérêt, mais les retailers doiventse livrer à cet exercice d’imagination. Il y a beau-coup à faire grâce à l’intelligence déportée surla surface de vente sous forme de terminaux,d’écrans, etc. Et grâce aux OS embedded, cus-tomizés exactement selon les usages, les coûtssont maîtrisés.

maîtrisés, mais réels. n’est-ce pas le freinà de nombreuses applications ?C’est vrai qu’installer de l’intelligence dans unobjet aura toujours un coût. Cela dit, l’expé-rience nous montre que les retours sur investis-sement sont très rapides. Car la relation-clientou l’expérience d’achat s’en trouve améliorée. Cequi, pour le coup, n’a (presque) pas de prix !

Avec la gamme Windows Embedded, Mi-crosoft propose une large gamme de sys-tèmes d’exploitation, d’outils et detechnologies spécialement conçues pour lespériphériques intégrés. Qu’il s’agisse de Win-dows Embedded Standard, de XP Pro for em-bedded systems, Windows Embedded CE oupar exemple Windows Embedded POS Ready,l’objectif demeure : accompagner les retailersdans la mutation des «points de vente» vers les« points de services». Prochaine étape : la dé-clinaison de Windows 7 en versionEmbedded, prévue pour 2010.

Plus d’infos : www.windowsembedded.fr

Pascal Angée, Account manager division em-bedded. «Mettre de l’intelligence sur la surface devente est le défi de tous les retailers, indépendam-ment de leur taille ou de leur organisation ».

“mettre de l’intelligencesur la surface de vente

en attendant windows 7 en version embarquée

C’est le principe de la visio-assistance (pré-sentée lors de la Journée «Magasin de de-main», organisée par Microsoft en 2007).En rayon, un écran, un micro, une webcam et,possiblement, une jeune maman désemparéedevant l’offre ! De l’autre côté, grâce à uneconnection web, un téléconseiller Blédinacapable d’aider (ou d’influencer, c’est selon !)la maman dans son choix. Voilà une façonconcrète de «mettre de l’intelligence sur la sur-face de vente», imaginé par Carrefour dans lecadre de la rénovation de son hyper d’Auteuil.

L’exemple de carrefour Auteuil

Page 4: NL Microsoft Retaildownload.microsoft.com/documents/France/ent... · Et un laboratoire en forte concurrence, comme le souhaitait Delhaize, avec, sur Gembloux, Colruyt, Match, Lidl,

GROS PLAN SUR...

windows 7L’os nouveau est (bientôt) arrivé

L’échéance est clairement fixée :Windows 7, la dernière mou-ture du système d’exploitation

de Microsoft sera disponible dans lecourant de l’été pour les entrepriseset le 22 octobre pour le grand pu-blic. Et les nouvelles vertus de l’OSsont également connues et... testéespar les utilisateurs ! Après une ver-sion béta (en anglais uniquement),téléchargée plus de 150 000 fois enFrance, la version pré-finale ReleaseCandidate en français est égale-ment disponible en téléchargementgratuit depuis début mai (et activejusqu’en mars 2010). Une trentained’entreprises de l’Hexagone se sontmême prêtées au jeu, pour un totald’un million de postes.

un os plus performant mais... moins gourmand

microsoft a profité de l’occasionpour ajouter des fonctionnali-tés majeures à son os. En pre-mier lieu, sécurité et fiabilité ont été

encore renforcées. Deux attentesmajeures des clients particuliers etplus encore des entreprises. «Au-delà, Windows 7, ce sont quatrepoints forts particulièrement inno-vants, explique Julien Lesaicherre,Chef de Produit Windows ClientCommercial pour l’Entreprise : la per-formance et l’autonomie ; la nouvelleexpérience utilisateurs avec notam-

ment l’arrivée du tactile multipoints».Côté rapidité, c’est la «chasse auclics». En clair, limiter le nombre declics pour l’utilisateur et de fenêtresouvertes, un élément évident deproductivité. Le tout sans perte deperformance. «Windows 7 gagneen performance, fonctionne sur desconfigurations minimalistes, mêmeles netbooks, et se montre moins

gourmand en énergie», note JulienLesaicherre. En moyenne, une éco-nomie de 10 à 15 % d’énergie. Pasnégligeable sur des parcs de plu-sieurs milliers de postes !

une nouvelle expérience utilisateur

Autre point fort : une nouvelle ex-périence utilisateur, grâce, notam-ment à une interface tactile. Unefonctionnalité évidemment pleinede perspectives pour le retail. Unprolongement, au niveau de l’OS,de la technologie Surface, présen-tée par Microsoft aux retailers lorsde la journée Magasin de Demain,fin 2008 à Paris. Autre axe d’amélioration, l’accèstotal aux ressources de l’entrepriseen situation de mobilité. Avec directAccess, il vous suffit d’une connec-tion internet, et vous avez accés àvotre réseau d’entreprise et vos ap-plications de manière totalementtransparente !

un carré et quelques formesgéométriques qui codentune information, souvent

une urL : c’est le «tag». Populaireau Japon où le geste de «photogra-phier» un tag avec son téléphonemobile est quasi usuel, le Tag est en-core peu diffusé ailleurs dans leMonde. En France, la presse peopleest la (presque) seule utilisatrice pourrenvoyer les lecteurs vers des complé-ments visuels aux articles publiés.Pourtant les applications potentiellessont nombreuses. Manquent, commesouvent, l’adoption d’un standard et lacompatibité avec un nombre suffi-sants d’appareils pour enclencher undéploiement à grande échelle. C’est le pari que prend à présent Mi-crosoft avec le Microsoft Tag, un Tag

à double fonctionnalité. Il peut à lafois coder une URL pour constituerun relais immédiat (et aisé) vers unepage web et contenir quelques in-formations basiques, par exemple leséléments de contact d’une carte devisite. Le tout avec la possibilité depersonnaliser le tag. Autre avantage :la compatibilité avec une part impor-tante du parc de téléphones installés :Windows Mobile bien évidemment,mais également Symbian S60(Nokia), iPhone (via iTunes), Black-Berry et même Google Android.

un prolongement on-line des informations off-line

Si l’essentiel des applications du Tagsont à inventer, les pistes principalessont déjà connues. D’abord l’accès

à des informations parfaitement àjour (alors que le support sur lequela été imprimé le Tag a pu être éditéau préalable). Ensuite le prolonge-ment on-line d’informations off-line.Et le retail pourrait constituer ununivers très demandeur. Par exem-ple pour donner accès à des re-cettes (alors que l’espace disponiblesur le produit est limité), ou à desconseils d’utilisation (notammentpour les produits techniques). www.microsoft.com/tag

microsoft tagLe tag intelligent selon microsoft

release candidate...Release Candidate, c’est lenom de la version pré-finale de Windows 7. Elleest d’ores et déjà dispo-nible. C’est l’occasionidéale pour les profes-sionnels de tester Win-dows 7 dans leurvéritable environne-ment.

Plus d’infos et téléchargement :

http://technet.microsoft.com/fr-fr/evalcenter/dd353205.aspx

rayon innovationsest édité par Microsoft18 avenue du Québec91957 CourtaboeufRCS Evry B327 733 184

directeur de la PublicationGrégory Lengrandconception - réalisationMicrosoft / Editions Dauvers