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Sommaire > Interview de… Pierre BROCHARD > Rencontre avec… Philippe DEJUST > Soirée BCE… CAP CINE > Soirée BCE… Le Basket Club Entreprises connaît pas la crise ? La lettre du BCE n°4 mai 09 Interview de Pierre BROCHARD > Mercredi 15 Octobre 2008 Présentation des nouveaux partenaires Assemblée générale BCE > Mercredi 17 Décembre 2008 Visite de L’ASSEMBLEE NATIONALE Nicolas PERRUCHOT > Mercredi 18 Février 2009 Rencontre - Contact - Débat > Mercredi 25 Mars 2009 Visite de CAP CINE Philippe DEJUST > Mercredi 6 Mai 2009 Visite de l’entreprise GAUDELAS Pascal GAUDELAS > Vendredi 19 Juin 2009 Soirée Festive > Soirées du BCE 08/09 Tout d’abord, quel est ton parcours ? Peux-tu nous en dire plus sur ton passé de basketteur ? J’ai commencé le basket à l’âge de 5 ans au club de la Séguinière, j’y suis resté jusqu’en minimes. Ensuite j’ai rejoint le club voisin de Cholet-basket : cadets, ju- niors, moins de 21 ans, espoirs jusqu’à l’équipe professionnelle. Pour avoir plus de responsabilités, je suis parti à Sablé en N1 puis Aix-Mau- rienne (Pro B), Bondy, Nanterre (Pro B ) et pour finir Bayonne avant d’arri- ver sur Blois l’année dernière. Comment te sens-tu dans l’équipe ? Quel est ton rôle ? L’ambiance au sein du groupe est très bonne. On vit bien ensem- ble, les joueurs se voient en dehors du basket. Mon rôle est surtout de mettre l’équipe sur de « bons rails », j’essaie de faire jouer mes coéquipiers, c’est essentiellement ce que me demande le coach : ten- ter de trouver le bon joueur au bon moment ou le bon système au moment adéquate ! Quelle est la prochaine étape de ta carrière de basketteur ? C’est assez difficile de savoir car tout va très vite dans le sport mais j’aimerais bien grandir avec le club. Je me sens bien avec le coach et il existe une belle perspecti- ve d’évolution en jouant le haut de tableau et la mon- tée dans les prochaines années avec peut-être la construction d’un nouveau Palais des Sports, cela serait bien de pouvoir vivre ça ! As-tu déjà réfléchi à l’après-basket ? Si oui dans quel domaine ? J’y pense de plus en plus. J’aimerais bien pouvoir redonner tout ce que j’ai pu apprendre à des jeu- nes en étant pourquoi pas éducateur dans un centre de formation. Mais je ré- fléchis également beaucoup à ce que je pourrais faire en changeant complètement d’orientation. Avec une amie, on aimerait bien se

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> Interview de… Pierre BROCHARD > Rencontre avec… Philippe DEJUST > Soirée BCE… CAP CINE > Soirée BCE… Le Basket Club Entreprises connaît pas la crise ? > Soirées du BCE 08/09 n°4 mai 09

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Page 1: Lettre BCE 04 web

Sommaire> Interview de…

Pierre BROCHARD

> Rencontre avec… Philippe DEJUST

> Soirée BCE… CAP CINE

> Soirée BCE… Le Basket Club Entreprises connaît pas la crise ?

La lettredu BCE

n°4 mai 09

Interview de Pierre BROCHARD

> Mercredi 15 Octobre 2008 Présentation des nouveaux partenaires Assemblée générale BCE

> Mercredi 17 Décembre 2008 Visite de L’ASSEMBLEE NATIONALE Nicolas PERRUCHOT

> Mercredi 18 Février 2009 Rencontre - Contact - Débat

> Mercredi 25 Mars 2009 Visite de CAP CINE Philippe DEJUST

> Mercredi 6 Mai 2009 Visite de l’entreprise GAUDELAS Pascal GAUDELAS

> Vendredi 19 Juin 2009 Soirée Festive

> Soirées du BCE 08/09

Tout d’abord, quel est ton parcours ? Peux-tu nous en dire plus sur ton passé de basketteur ?J’ai commencé le basket à l’âge de 5 ans au club de la Séguinière, j’y suis resté jusqu’en minimes. Ensuite j’ai rejoint le club voisin de Cholet-basket : cadets, ju-niors, moins de 21 ans, espoirs jusqu’à l’équipe professionnelle. Pour avoir plus de responsabilités, je suis parti à Sablé en N1 puis Aix-Mau-rienne (Pro B), Bondy, Nanterre (Pro B ) et pour finir Bayonne avant d’arri-ver sur Blois l’année dernière.

Comment te sens-tu dans l’équipe ? Quel est ton rôle ? L’ambiance au sein du groupe est très bonne. On vit bien ensem-ble, les joueurs se voient en dehors du basket. Mon rôle est surtout de mettre l’équipe sur de « bons rails », j’essaie de faire jouer mes coéquipiers, c’est essentiellement ce que me demande le coach : ten-ter de trouver le bon joueur au bon moment ou le bon système au moment adéquate !

Quelle est la prochaine étape de ta carrière de basketteur ?C’est assez difficile de savoir car tout va très vite dans le sport mais j’aimerais bien

grandir avec le club. Je me sens bien avec le coach et il existe une belle perspecti-ve d’évolution en jouant le haut de tableau et la mon-

tée dans les prochaines années avec peut-être

la construction d’un nouveau Palais des Sports, cela serait bien de pouvoir vivre ça !

As-tu déjà réfléchi à l’après-basket ? Si oui dans quel domaine ? J’y pense de plus en plus. J’aimerais bien pouvoir redonner tout ce que j’ai pu apprendre à des jeu-nes en étant pourquoi pas éducateur dans un centre de formation. Mais je ré-

fléchis également beaucoup à ce que je pourrais faire en changeant complètement d’orientation. Avec une amie,

on aimerait bien se

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> Interview suite…

C ’est en 1997 que Philippe DEJUST reprend le cinéma Les Lobis en centre ville de Blois avec comme projet un peu fou l’idée

de construire un multiplexe dans cette ville moyenne coincée entre deux métropoles… Son objectif : doubler les entrées sur la ville et développer l’Art et Essai.Le 06 décembre 2000, c’est l’ouverture de l’un des premiers multi-plexes construit par un exploitant indépendant. CAP’CINÉ BLOIS voit donc le jour à la ZAC des Onze Arpents avec un pôle de restaura-tion.L’idée de Philippe DEJUST est de faciliter l’accès au cinéma en dé-veloppant des services sur place : restauration, garderie, parking… Idée qui porte ses fruits !Alors qu’avant l’année 2000 les cinémas de Blois totalisaient un peu plus de 200 000 entrées, l’année dernière le multiplexe a enregistré 390 000 entrées, les Lobis 60 000 en Art et Essai.Autant dire que cet exemple a fait des émules : en septembre 2003 CAP’CINEMA SAS, structure permettant de développer des projets similaires dans d’autres villes est créée. De 2005 à 2008, ce sont sept nouveaux multiplexes qui ont vu le jour (dont un en Suisse), toujours avec le souhait de développer le cinéma aussi bien commercial qu’in-dépendant. Trois à quatre projets sont actuellement en cours dont un Porte des Lilas à Paris : premier multi-plexe qui sera dédié au cinéma d’Art et d’Essai.Toutes ces réalisations se font en partenariat très fort avec les villes dans le cadre de l’urbanisation et du déve-loppement des zones commerciales. À Péri-gueux, par exemple, le multiplexe a totale-ment redynamisé le centre-ville. À Blois, le partenariat avec la ville est plus par-ticulièrement axé sur le développe-ment du cinéma d’Art et d’Essai : avec Ciné’dimanche qui pro-pose une programmation jeunesse à des tarifs très

De l’entreprise familiale au groupe national

lancer en créant un site Internet de vente en puériculture. On s’appuierait sur la nouvelle loi qui facilite les auto-entrepreneurs, mais la dé-cision de se lancer n’est pas facile à prendre !

Ton expérience de meneur est-elle un atout supplémentaire pour ta reconversion ?Cela peut m’aider je pense car j’essaie de beaucoup parler avec mes coéquipiers sur le terrain, de diriger l’équipe, de prendre une décision rapide pour faire le bon choix sur un système, une passe, un shoot. On peut parfois faire le même parallèle avec une personne qui dirige une entreprise, elle doit faire des choix délicats, parfois importants et qui demandent une réponse immédiate.

Tu étais présent à la dernière soirée du BCE à Cap Ciné ? Quelles sont tes impressions ? Franchement, c’est vraiment une bonne chose de rassembler tous les membres du BCE, afin de voir comment chacun travaille ! Il y a une bonne dynamique. Aucun des anciens clubs où je suis passé n’avait ce type de structure. On sent vrai-ment l’engouement des partenaires pour le basket sur Blois, c’est une bonne chose ! Cette démarche permet aux joueurs de dialoguer, de sortir de leur quotidien et de découvrir autre chose.

As-tu tissé des liens particuliers avec des chefs d’entreprises membres du BCE ?Oui avec plusieurs personnes, c’est avec plaisir qu’on se retrouve après les matchs ! Cela nous permet d’échan-ger. Et il existe un autre coté positif à ce réseau : il y a toujours une personne qui est prête à vous rendre service par le biais de son entreprise ou bien d’une connaissance ! Pour nous joueurs, le BCE peut constituer une aide non négli-geable à la reconversion en s’appuyant sur les liens que nous tissons durant l’année. La vie est faite d’opportunités. Si on me propose un projet professionnel intéressant après le basket, je suis preneur, on ne sait jamais !!! n

> Soirée BCE…

> Philippe DEJUST - CAP CINE

attractifs. Les Lobis bénéficient de nombreux labels pour un cinéma placé dans une localité de cette taille.Mais l’activité de Cap’Ciné ne s’arrête pas là. Réellement tourné vers l’avenir, Philippe Dejust développe de nouveaux concepts réalisables grâce aux progrès techniques tels que les vidéo-transmissions en direct de spectacles vivants tels que l’opéra (en direct de New York) ou le théâtre.En parallèle, Philippe Dejust travaille à un nouveau projet : la rénovation des Lobis. Il manquait à ce cinéma du centre ville un espace de convivialité autour de la projection. L’idée a donc germé d’un concept de « ciné café ». Il couplera le cinéma à une salle de concert jazz et compte profiter de la situation géographique de Blois pour faire venir des artistes

qui passeraient par Tours ou Orléans.Enfin, Philippe Dejust dirige le festival « Cap sur la

Chine » un festival itinérant sur deux mois et demi qui débutera à Blois pour se terminer en Suisse à Fribourg. Ce sera l’occasion de faire vivre chacune des villes qui l’accueilleront à l’heure chinoise pendant une semaine. L’occasion aussi d’organi-

ser un festival du film français en Chine (Cap sur la France) afin de développer les

échanges culturels entre les deux pays.

Depuis 2001, Cap’Ciné est aussi un lieu privilégié pour les entreprises qui souhaitent organiser des évènements. Il est idéa-lement situé, avec des espaces adaptés et du matériel high-tech. n

L e 25 mars der-nier, les mem-

bres du BCE ainsi que les joueurs et le coach de l’équipe première étaient accueillis par Philippe DEJUST pour une soirée à la découverte de Cap’Ciné.Réunis dans l’es-pace cocktail, les invités ont pu dis-cuter autour d’un verre et en profiter pour aller visiter les coulisses de Cap’Ciné par petits groupes de dix…

Puis tout le monde s’est retrouvé dans la grande salle de pro-jection. Après un rappel sportif sur le basket avec l’équipe et le coach, le président de l’ADA et celui du BCE ont fait le point sur le projet du nouveau Palais des Sports qui est en bonne voie. La CCI a voté la mise à disposition de la friche Franciade à Agglopolys qui a lancé une étude sur le projet.

Philippe Dejust, hôte d’un soir s’est ensuite prêté au jeu des questions réponses autour de son entreprise. En complé-ment, les sociétés EUROP et Maudet Prod ont présenté à la salle les prestations qu’elles proposent dans le cadre de la location des espaces Cap’Ciné à des entreprises pour divers évènements (mise en scène, mise en image…). Enfin, nous avons eu la démonstration des progrès techniques du cinéma avec la projection de la même bande annonce sur trois for-mats différents : le 35 mm (format classique), le numérique et enfin le numérique 3D (après avoir chaussé nos lunettes futuristes).

Pour finir, les convives ont eu tout loisir de commenter les progrès du cinéma et le parcours atypique et fort réussi de leur hôte autour d’un fabuleux buffet. n

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Basket Club Entreprises

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Le Basket Club Entreprises connaît pas la crise ?…Telle était la question posée le 18 février aux membres du BCE réunis en soirée, à Blois, au Château de la Vicomté.

C onsommation, chiffre d’affaires, trésorerie, prévi-sions et perspectives de l’activité pour l’année 2009…Non ce n’était pas un cours d’économie dispen-

sé à nos partenaires… mais bien un dîner-débat autour de la crise et ses conséquences sur les entreprises locales.

Au cours de cette soirée, animée par Pascal Gauthier de Radio Plus FM, se sont succédés sur scène plusieurs intervenants passant à la loupe sept secteurs d’activités : • Patrick Warsemann (WARSEMANN AUTOMOBILES) pour le secteur

automobile ;• Benoît Plumel (ARTHUR LOYD) pour l’immobilier et plus parti-

culièrement l’immobilier d’entreprises ; • Christophe Villemain (GUEBLE) et Didier Elwart (BSTP)

pour le bâtiment et les travaux publics ;• Guy Brunet (BANQUE POPULAIRE) pour le secteur bancaire ;• Gilles Aubry (TAVERNE DE MAITRE KANTER), pour la restauration ;• et le Président du BCE Jean-François Huet (E. LECLERC)

pour la grande-distribution.Les échanges étaient riches et parfois sérieux : « On va essayer de passer le cap ». Et l’heure n’était pas au pessimisme pour l’en-semble des secteurs à l’image de celui du bâtiment : « L’aspect

positif est maintenant le retour à la normale, avant on était en surcharge d’activités avec un manque de main d’œuvre qualifiée ». Le coté combatif des entreprises fut souligné à plusieurs reprises.

L’ambiance s’est vite décontractée au cours du repas. Un point sportif a été réalisé par Philippe Daudin, Président de l’ADA Basket, proposant un retour sur le match qualifié de « libéré » contre le Club de Boulogne (14/02).

Puis, les membres du BCE ont écouté Alain Courtois, Président de la CCI de Loir-et-Cher et Christophe Degruelle, Président d’Agglopolys exposer les dernières informations à propos de la création d’une salle à vocation sportive et culturelle sur le site de la Franciade, à Blois, avenue de Châteaudun. Au dessert, le public a découvert quelques plans en 3 dimensions d’une salle idéale « un futur chaudron » imagi-nés et dessinés gratuitement par un groupe de profession-nels du BCE animé par le cabinet d’architecte Jean-Louis Delagarde. Comme quoi au sein du BCE, les idées ne man-quent pas ! Les échanges et le bouillonnement d’idées se-raient-ils une des solutions à la crise ? n

Informations et renseignements :Hugues Chollet - Tél. : 06 15 92 14 17

27, rue des Ecoles - 41000 BLOISE-mail : [email protected]

> Soirée BCE…

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