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Eddy tôt

Bonne journée à tous ! Le soleil brille encore sur ce deuxième numéro de l’année, un peu plus artistique que le premier.

Des événements aussi exceptionnels que les Journées de l’Eco-citoyenneté, ça se raconte... c’est pourquoi vous trouverez dans ces pages un retour sur tout ça.

Maisilnefautjamaisresterfigédanspassé, donc place à la suite des événements: tout un programme pour le mois à venir, sans oublier une bonne récapitualation des rapports de force dans le milieu étudiant qui nous concerne tous, puisque les élec-tions de nos représentants étudiants ap-prochent!

Et sachez que ce journal évolue, au rythme du campus et grâce à vos contribu-tions... merci à tous et bonne lecture !

Alice et Le Juste

N° 37 Octobre 2013 – Mensuel étudiant gratuit – allie.asso@gmail.com

Sommaire

Élections au conseil de résidence . 2 Faites vivre votre cité U !

Rapports de force dans le milieu étudiant . . . . . . . . . . . . . 4 BIentôt les élections

Retour sur événement . . . . . 6 Bilan des journées écocitoyennes

Brêêêves . . . . . . . . . . . . . . . 8 Des idées en vrac

L’actu de l’Allié . . . . . . . 10 Nouveaux projets!

Présentation d’assos . . . . . . 11 Le BDE et Com&Sea

Actualité marine . . . . . . . 12 Billet d’humeur

Le coin des artistes . . . . . . 13 Dessin et poésie

Le syndicat étudiant . . . . 14 Permanences de l’Unef + annonces

Cafète . . . . . . . . . . . . . 15 Programme des soirées de la cafète

Les clés de l’enclos « Parce qu’un mouton informé est plus difficile à tondre ! »

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Jeudi 7 NovembreÉlections du conseil de résidence de la cité universitaire

Mercredi 16 OctobrePrésentation du conseil de résidence à partir de 20h00 à la caféteria du CROUS

Pour que notre cité U soit un vrai lieu de vie, faisons vivre la démocratie étudiante !

Mercredi 16 Octobre

Jeudi 7 Novembre

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IntroductionÀ la mi-novembre auront lieu sur l’Univer-

sité d’Aix-Marseille des élections étudiantes. L’ensemble des personnes inscrites dans notre université seront appelées simultanément aux urnes afin d’élire leurs représentants étudiants dans les conseils centraux de l’université : le Conseil d’Administration et le Conseil Acadé-mique. Dans le prochain numéro de ce jour-nal, nous expliquerons en détail quel est le rôle précis de chaque conseil, qui y siège et parmi eux combien d’étudiants. Mais tel n’est pas le but de cet article : ce mois-ci, nous allons expliquer l’enjeu général de ces élections, mais aussi et surtout quelles sont les différentes listes et or-ganisations étudiantes qui se présentent lors de ces élections, leurs buts, leurs revendications et leur fonctionnement respec-tif. Le but de cet article est donc de vous donner une vision d’en-semble des rapports de force au sein du milieu étudiant, afin que vous puissiez voter en sachant pour qui, pour quoi, et dans quel contexte.

Le b.a.-ba des élections étudiantesIl existe deux types d’élections étudiantes :

les élections au CROUS et les élections de l’Uni-versité (les deux entités principales du milieu étudiant). Ces deux élections ont chacune lieu tous les deux ans et sont généralement alter-nées localement d’une année sur l’autre. Les élections au CROUS ont eu lieu l’année der-nière nationalement. Cette année est donc l’année des élections universitaires, et l’année prochaine sera à nouveau une année d’élection au CROUS.

L’enjeu des élections étudiantes en général est de porter la voix des étudiants au sein des instances où se prennent les décisions qui im-pactent concrètement nos conditions de vie et d’étude. Pour le CROUS, il s’agit de nos condi-tions de vie : aides sociales, logement, restaura-tion universitaire... et pour l’Université, il s’agit bien sûr de nos conditions d’étude : le taux d’encadrement par étudiant, la qualité des for-mations (contenu et pédagogie), l’état des lo-

caux et du matériel, les rythmes universitaires, les stages, l’agen-cement des parcours, la vie étu-diante... Au final, quasiment tous les facteurs qui déterminent la réussite des étudiants. Et même si l’Université n’est pas le gouver-nement, le choix d’une politique universitaire par rapport à une autre peut changer complète-ment notre manière d’étudier.

C’est donc dans le but de pe-ser sur tous ces choix que les dif-férentes organisations étudiantes se présentent lors des élections.

Voyons à présent quelles sont-elles, et quels sont leurs modes de fonctionnement :

Les Forces étudiantes nationalesIl est absolument primordial de se rendre

compte que toutes les listes étudiantes qui se présentent aux élections centrales (que ce soit au CROUS ou à l’Université) dérivent de listes nationales. Il en va différemment au niveau d’un département ou d’une composante, où des listes uniquement locales peuvent espérer avoir des élus. Mais à l’échelle de l’universi-té, une liste qui ne représente qu’une fraction des étudiants n’a que peu de chance de faire suffisamment de voix pour avoir ne serait-ce qu’un élu. Par exemple, la liste « BDE Saint Jé-rôme » (représentée par un élu au conseil de

Rapports de Force au sein du milieu Etudiant

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l’UFR sciences) ne pourrait pas faire de voix en lettres, en droit, ou dans une autre compo-sante que sciences. Pour être représentatif de tous les étudiants, il faut avoir une implantation et un programme qui touchent un maximum d’étudiants sur un maximum de sites et dans le plus de filières possibles.

Pour cette raison, les listes étudiantes repré-sentées à l’échelle d’une Université et non d’une seule filière appartiennent à des ensembles plus importants, également représentatifs au niveau national. Voici les 4 principales organi-sations étudiantes nationales (qui possèdent des élus dans les conseils nationaux : CNESER pour l’Université et CNOUS pour les CROUS). Ces quatre forces vont forcément déposer des listes aux prochaines élections :

L’Union Nationale des Étudiants de France est la première organisation étudiante des France et la seule organisation dite « syndicale » à avoir une représentation nationale. L’UNEF est créée en 1907 mais son histoire syndicale ne démarre qu’en 1946, date à partir de laquelle l’organisation élabore la Charte de Grenoble, fondatrice du syndicalisme étudiant, après avoir constaté les méfaits de l’apolitisme durant la seconde guerre mondiale. Le fonctionne-ment de l’UNEF est centralisé : les sec-tions locales (AGE) sont tenues d’avoir une ligne d’action correspondante à la ligne nationale de l’organisation. Cette cohérence entre le local et le national est revendiquée par l’organisation comme une garantie d’efficacité. Comme la plupart des syndicats profession-nels, l’UNEF se définit non pas comme apoli-tique mais comme apartisane (indépendante des partis politiques). Plus récemment, l’UNEF revendique l’obtention de victoires telles que l’arrêté licence, qui harmonise les droits étu-diants durant les examens au niveau national,

le 10e mois de bourse et la rallonge budgétaire de 200 millions d’euros pour les aides sociales étudiantes obtenue cet été. Son but est de per-mettre la démocratisation de l’enseignement supérieur et l’autonomie des étudiants par le biais d’un véritable statut social.

Implantation locale : soutenue par l’associa-tion ALLIE, formera des listes communes avec le Centre Culturel de Luminy pour les élections au conseil de résidence de la Cité U, reven-dique 150 adhérents sur le site, tient des per-manences syndicales à la fac des sciences et en cité U.

La Fédération des Associations Générales Étudiantes est la seconde force étudiante au niveau national. Créée en 1989, la FAGE est un agglomérat de fédérations nationales d’asso-ciations étudiantes, parfois monodisciplinaires (uniquement des associations d’une même dis-cipline rassemblées au sein de la même fédéra-tion) et parfois pluridisciplinaires. Par exemple l’ANEPF (Association nationale des étudiants de pharmacie en france - monodisciplinaire) est constitutive de la FAGE. L’organisation interne de la FAGE aboutit à de grandes disparités poli-tiques entre les fédérations. Selon quelle fédé-ration est puissante au niveau local, la ligne d’ac-tion de ses militants et de ses élus peut varier considérablement. La ligne suivie localement sera donc souvent celle de la fédération locale et non pas de l’organisation au niveau national. La FAGE, qui se déclare également indépen-dante des partis politiques, revendique cette rupture entre le local et le national comme un gage de proxi-mité avec les étudiants. Au niveau natio-nal, la FAGE émet des re-vendications

UNEFListe « UNEF et Associations Étudiantes » (CNESER : 5 élus – CNOUS : 4 élus)

FAGEListe « Interasso » ou « Bouge ton Campus » pour

l’Université et « Bouge ton CROUS » pour le CROUS (CNESER : 4 élus – CNOUS : 3 élus)

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proches de celles de l’UNEF, notamment sur la nécessité de démocratiser l’enseignement su-périeur (contre la sélection à l’entrée de l’uni-versité). Sur les questions sociales, la FAGE de-mande la refonte des critères des aides sociales vers un modèle plus juste, tout en conservant les critères familiaux d’attribution des bourses.

Implantation locale : soutenue par l’AS STAPS

Promotion et Défense des Étudiants est une scission d’une partie des fédérations mo-no-disciplinaires de la FAGE, survenue en 1994. Leur mode de fonctionnement est confédéral, chaque fédération assume la complète gestion de son secteur disciplinaire. Au niveau national, PDE se définit comme apolitique, asyndicale et aconfessionnelle (contrairement à l’UNEF, la FAGE et l’UNEF qui se revendiquent apartisans et non pas apolitiques). PDE revendique égale-ment un statut social de l’étudiant, encourage l’engagement étudiant par le biais des asso-ciations et est impliquée dans la défense des

étudiants docto-rants. De la même manière que pour la FAGE, les fé-dérations de PDE présentent des di-vergences locales

parfois importantes avec la ligne nationale. PDE insiste énormément sur le caractère indépen-dant et local de ses associations.

Implantation locale : soutenue par le BDE Polytech.

L’Union Nationale Inter-universitaire, et le Mouvement des Étudiants sont deux organisa-tions généralement considérées comme étant la « droite universitaire ». L’UNI, créé après mai

68, revendique une éducation plus élitiste et prône la méritocratie dans les Universités. Son slogan est « Par l’éducation, pour la Nation ». En 2007, l’organisation participe à la campagne électorale de Nicolas Sarkozy. En 2009, l’UNI décide de se réorganiser au sein du Mouve-ment des Étu-diants (MéT) avec d’autres organisations indépendantes de l’UMP afin de prendre de la distance avec cette dernière. Aujourd’hui, le MéT se revendique indépendant de tout parti politique. Depuis 2011, il prend le nom d’UNI-MET, afin de sou-ligner l’appartenance de l’UNI à la fédération.

Implantation locale : inconnue

Le mot de la finNous espérons que cet article était suffi-

samment pédagogique pour que vous puissiez bien saisir les rapports de force sous-jacents au milieu étudiant. Chaque organisation étudiante nationale possède ses propres buts et son mode de fonctionnement. Face aux problèmes de l’enseignement supérieur, chacune tente d’apporter ses réponses, avec son programme et sa stratégie. Le comprendre, s’est se doter des outils intellectuels qui permettent le fonc-tionnement de la démocratie. Vous aurez l’oc-casion d’en entendre de nouveau parler d’ici le jour des élections.

Afin de compléter cet article, l’ALLIE propo-sera une formation publique sur les élection étudiantes, ainsi qu’un débat entre des repré-sentants des différentes listes. N’oubliez pas de réserver une place dans votre cerveau pour le questionnement et débat d’idées.

See you space sheep

PDENom local « Aix-Marseille Étudiants » (CNESER : 1 élu – CNOUS : 1 élu)

UNI-MéTListe « UNI-MéT » (CNESER : 1 élu – CNOUS pas d’élu)

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Retour sur événement les journées éco-citoyennes

Ca y est, une nouvelle dynamique prend forme. Après plusieurs mois de préparation commencent à germer une multitude de projets pour recréer de la vie étudiante jusqu’ici laissé en friche de-puis plusieurs années. Et les efforts commencent à porter leurs fruits avec la première édition du festival «Agriculture Durable» qui a ouvert l’année universitaire.

La première journée a tourné autour du fo-rum des asso rassemblant tout les acteurs de la vie étudiante sur Luminy. Jongleurs, pompom girls, danseurs hip-hop assurent le show emmenés par To-nio aux platines, les vinyles chauffent.

En fin de journée quelques notes de trompette montent dans les airs, premier concert avec la Kàmba, le ton est donné par pour les sept prochain jours. La première projection de film «Solutions locales pour un désordre global.» ouvre le débat sur l’industrie agro-alimentaire. Mais ce n’était que le début.

Jeudi fut la plus grosse journée. Ca a commen-cé par une petite session Campus Propre, la pre-mière de cette nouvelle année universitaire. Une vingtaine de participants ont joué le jeu mais ça restait peu comparé au milliers d’étudiants sur le campus. En même temps se déroulait le marché des bioducteurs, des AMAP comme Ste Catherine et Alliance Provence, ainsi que les Paniers Mar-seillais étaient invités pour l’occasion. La journée se termine, la première opération campus propre aussi, environ une dizaine de sacs pleins ont été ramenés. Merci encore à tous les volontaires!

Il étaient ensuite temps de se rendre au parking d’Euromed où se tenait le plus gros des hostilités.

Un festival gratuit organisé par le Centre Cultu-rel de Luminy, le plus gros depuis la destruction du théâtre de verdure il y a deux ans. Pour cet événement quarante-cinq artistes ont répondu présent avec entre autres Jean Marc Le Biand, Ilu Axe, Ciao Tympans, HK et les Saltimbanques ainsi qu’une session mix jusqu’à 2h du matin avec PLS and Friends. Les les gens aussi ont répondu présent. Environ huit cent personnes, étudiants, chercheurs, ingénieurs sont descendus de leurs la-

bos et bureaux. Tour à tour les groupes défilent avec des styles différents: ska, rock, jazz manouche, très loin de la musique épurée et sans personnalité que servent les radios commerciales. Les gens dansent chantent ou tout simplement écoutent, l’ambiance est bonne, il y a des sourires et ça fait plai-sir. Et bien sûr, tout ceci ne s’est pas assagi en prenant de la bouteille. Des pogos et des rondes se forment au rythme des chansons. Dans la surexcitation un barbu renverse sa bière sur

ma chemise, tans pis, donne-m’en aussi une, ou dix tant qu’on y est. Vers 2h le son se coupe, tout le monde s’est fait plaisir et le parking se vide. C’est le début de l’after pour les bénévoles, il faut démonter et ranger la scène, le bar et toutes les installations. Les allé-retours en camion s’en-chaînent non stop jusqu’au petit jour. Dernier voyage. Au fond du camion, allongés dans le ca-napé quelques bénévoles et moi-même nous en-dormons bercés par la route. Il est 6h du matin; tout le monde est content, la fin des beaux jours a pu être célébrée correctement.

La semaines suivante est rythmée par les confé-rences animées par des directeurs de recherches, ingénieurs agronomes de renom comme Mr. Bourguignon. Toujours autour des enjeux de la

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terre ces conférences proposent des alternatives aux rapport actuels qu’entretient la société à la terre et de créer une relation plus respectueuse de l’humain à la nature; bien loin du niquons la planète ambiant. Le film «Au nom de la Terre.» clôture la semaine en nous laissant sur une note d’optimisme et une sur-dose de motivation.A l’heure ou le GIEC (Groupe intergouverne-

mental d’experts sur le climat) rend son rapport et confirme pour les plus septiques la responsa-bilité de notre espèce dans le réchauffement cli-matique et face à l’impuissance (ou le manque de volonté) des grandes puissances, peut-être est-il temps de prendre nos propres responsabilités? A long terme l’idée de ce projet fou est de permettre à la communauté étudiante d’avoir en main des alternatives efficaces au système de consomma-tion. Attention! Je ne parle pas d’une consomma-tion responsable à la con, genre acheter du Max Havelaar, Commerce Equitable ou Rain Forest

qui ne font qu’engraisser la grande distribution et les multinationales de l’agro-alimentaire au détriment des petits producteurs. Mais de créer une vraie réflexion sur notre système de consom-mation, favoriser de nouveaux comportements et de ne plus se laisser diriger dans le mur.Les Journées Eco-Citoyennes terminées, les pro-

jections continueront pendant les trois prochaines semaines avec au programme «Le Monde selon Monsanto», «Notre poison quotidien.», «Les moissons du futur.», ... Et comme je le disais plus haut ce projet pose

les bases d’une nouvelle dynamique. Une unité commence à se former parmi les acteurs de la vie étudiante et ouvre la la voie à d’autre projets inter-associatifs de plus grande ampleur, affaire à suivre donc. Et comme le dit HK, surtout, sur-tout on lâche rien !

Cours de maths, italien, informatique et arabe

Je suis étudiant en 2 année de Master Informatique filière RIM, passionné aussi par les maths et les langues étrangères.

Je peux aider des collégiens ou des lycéens pour les maths et l’italien ou simple-ment donner des cours à ceux qui en veulent. Je propose ausi des cours d’initiation à l’arabe. Pour ceux qui aiment l’informatique, je peux aussi donner des cours d’ini-tiation à la programmation en langage CMes honoraires sont de 10€ l’heure, n’hésitez pas à me contacter au :

06 35 36 88 64 ou à haiddi.serraye@etu.univ-amu.fr

Roux Libre

ANNONCES ETUDIANTES

Cette annonce s’adresse aux joueurs du jeu vidéo Minecraft du campus.

Si vous avez déjà joué en multijoueur, vous connaissez certainnement les types de serveur les plus courants : PvP/Faction, RP, Semi-RP, Freebuild... Le serveur sur lequel je joue est dif-férent : il s’agit d’un serveur «civilisation». Sur ce serveur, le but des joueurs est de s’organiser au niveau collectif afin de créer des communau-

tés obéissant à des lois et un système politique. Le serveur possède plusieurs mods pensés pour permettre aux joueurs de se gérer sans l’inter-vention des administrateurs.

Sur ce serveur, j’ai commencé la création d’une civilisation, et j’ai besoin de bras. Contactez moi par SMS si vous êtes interessés : 06 69 12 46 84

IP du serveur : civrealms.com

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Si je vous disais que les pubs que nous subissons sur internet peuvent permettre de planter des arbres, que me répondriez vous ? Le nouveau moteur de recherche Ecosia a choisi de reverser 80% de ses revenus (faits à partir des publicités, comme tous les moteurs de recherche) à un programme de plantation d’arbres au Brésil qui restaure la forêt atlantique du pays. Ce programme s’appelle ‘‘Plant A Billion Trees’’ et a été lancé par The Nature Conservancy.

Vous pouvez donc, citoyens du monde engagés que vous êtes, mettre google à la poubelle afin d’avoir Ecosia en moteur de recherche par défaut ! Car si, comme le propose Ecosia, vous ne faites que l’ajouter à Google comme une extension, vous ne contribuerez pas à la plantation d’arbres. Mais ce sera déjà bien puisque la plantation d’arbres n’est pas leur seule action écologiste (ou citoyenne, humaniste, Ca dépend du point de vue...) En effet Ecosia neutralise les émissions de CO2 liées aux recherches internet via les projets Gold Standard à Ma-

dagascar, financés par une partie des 20% des revenus que garde l’entreprise. Le reste sert à payer leurs factures et à ‘‘assurer le bon développement de l’entreprise’’...

Pour le moment, à l’heure où j’écris, l’équivalent d’un arbre est planté toutes les 73 secondes. Ecosia a versé 1 286 782 euros au TNC depuis le début du projet et en moyenne ils versent environ 2000 euros/jour. Quant au TNC qui reçoit les dons, il utilise directement 90% de ceux ci pour la plantation d’arbres (le reste pour d’autres activités). Au final, déjà 51 342 arbres ont été plantés ! Et petit truc rigolo: vous avez un compteur d’arbres à coté de vos recherches

Il y a une page du suivi des dons que vous pouvez consulter afin de vous assurer que ce n’est pas une ar-naque publicitaire. J’ai quand même essayé de chercher plus loin pour trouver un hic mais j’ai bien peur que ces gens fassent vraiment ce qu’ils disent... C’est fou !

R .D .

Ecosia

Brêêêves !Un gymnase a l’americaine.

Beaucoup se demandent : «quelle est cette construction à côté de mon resto-U ?», «Qu’est ce que mon université mijote comme projet ?». Ce véritable amas de béton que vous voyez tous les jours cache en réalité un futur gymnase uni-versitaire de pointe, véritable croisée des che-mins entre technique, technologie et analyse scientifique.Sonnom?LeTechno-Sport.Legym-nase proposera une pluridisciplinarité sportive

avec notamment un mur d’escalade de très haut ni-veau, une estrade de 500 assises accompagné d’un vidéo projecteur : struc-tures inédites concernant le sport Luminyen !

Mais la puissance de ce gymnase réside surtout dans l’aménagement de locaux de recherche en sciences du mouvement et activités physiques et sportives. 500m2 dédiés à

l’analyse de l’effort et du comportement phy-sique instantanément appliquée sur des indivi-dus en évolution. Il s’agit donc d’un véritable laboratoire de sport avec pour vocation un mé-lange entre enseignement, recherche, pratique loisir et accueil de championnats où des études en médecine et comportement seront réalisées (comme par exemple l’adaptation de l’homme vis-à-vis d’une prothèse).

Mais un tel gymnase ne peut pas exister sans moyenfinancier.Lescontratsprojetderégionainsi que les opérations du plan campus seront épauléspar la«location»duTechno-Sportpardes organisations sportives fédérales comme le SMUC. Les collaborateurs seront donc leSUAPS, STAPS et autres clubs venant de laville. Lestravauxprendrontfinenseptembre2014

et laisseront place à deux nouveaux projets : la réhabilitation duCOSEC ainsi que la mise enplace d’éclairages sur les terrains de sport exté-rieurs qui pourront être envisagés opérationnels en libre service jusqu’à minuit. Aurélien

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ColibrisL e m o u v e m e n t d e s C o l i b r i s a é t é i n i t i é e n

2 0 0 8 p a r P i e r r e R a b h i , p i o n n i e r d e l ' a g r o - é c o -l o g i e e n F r a n c e e t r e c o n n u e x p e r t i n t e r n a t i o n a l p o u r l a l u t t e c o n t r e l a d é s e r t i f i c a t i o n . L e s C o -l i b r i s p r o p o s e n t d e s s o l u t i o n s l o c a l e s à é c h e l l e l o c a l e a f i n d e r e d é f i n i r d e s b a s e s s a i n e s e t j u s t e s e t d i f f u s e r u n e é c o n o m i e f o n d é e s u r l ' a u -

t o n o m i e , l ' é c o l o g i e e t l ' h u m a n i s m e .

L e f i l m « A u n o m d e l a t e r r e » d e M a -r i e - M o n i q u e D h e l s i n g , d i f f u s é p a r l e C C L p o u r c l ô t u r e r l e s j o u r n é e s d e l ' é c o - c i t o y e n n e t é l e 2 6 / 0 9 / 1 3 , d o n n e u n é v e n t a i l d ' e x e m p l e s p r a t i q u e s p o u r a p p l i -q u e r c e s p r é c e p t e s m a i n t e n a n t e t à s o n

n i v e a u . L e b u t e s t v r a i m e n t d e t r o u v e r, p r o d u i r e e t p a r t a g e r l e s r e s s o u r c e s d o n t n o u s a v o n s b e -s o i n p o u r t r a n s f o r m e r l e s t e r r i t o i r e s . Ê t r e u n

C o l i b r i , c ' e s t f a i r e s a p a r t p o u r c o n s t r u i r e u n e s o c i é t é p l u s h u m a i n e e t r e s p e c t u e u s e d e l ' e n v i -r o n n e m e n t .

D a n s s a l a n c é e s u r l ' a g r i c u l t u r e d u r a b l e , l e C C L v a f a i r e t o u t s o n p o s s i b l e p o u r p r o p o s e r d e s j a r d i n s c o m m u n a u t a i r e s s u r L u m i n y, a m é l i o r e r l a g e s t i o n d e s d é c h e t s , c o n t i n u e r à i n f o r m e r l e s g e n s s u r l e s a l t e r n a t i v e s f a c i l e s e t a c t u e l l e s e n d i f f u s a n t d e s d o c u m e n t a i r e s e t e n p r o p o s a n t d e s c o n f é r e n c e s , e t p e u t - ê t r e é g a l e m e n t p r o p o s e r u n r é s e a u C o l i b r i s s u r L u m i n y. Po u r c e f a i r e , n o u s a v o n s b e s o i n d e g e n s m o t i v é s n e s e r a i t - c e q u ' e n a p p o r t a n t u n s o u t i e n m o r a l s i c e n ' e s t p h y s i q u e a u p r o j e t . N ' h é s i t e z p a s à v e n i r n o u s r e n c o n t r e r o u à n o u s é c r i r e p o u r e n p a r l e r ! U n e r é u n i o n s e t i e n d r a t r è s b i e n t ô t à c e s u j e t , s i v o u s s o u h a i t e z v o u s i m p l i q u e r o u m ê m e j u s t e s a v o i r d e q u o i i l r e t o u r n e , p r e n e z c o n t a c t a v e c n o u s a u p l u s v i t e q u e n o u s v o u s i n d i q u i o n s l a d a t e e t l e l i e u .

E t t o i , s e r a s - t u u n C o l i b r i ?

Plus d'infos sur les Colibris : http://www.colibris-lemouve-ment.org

Histoire du capitalisme des deux siecles derniers

Si on loue volontiers l'institu-tion de l'école laïque et obliga-toire, en 1882, par Jules Ferry, on oublie parfois de s'interroger sur les raisons politiques qui y ont conduit, pendant la troisième ré-publique.

À ce sujet, je tombais l'autre jour, en naviguant, sur les ar-chives vidéo des Dossiers de l'Histoire. Il s'agit d'un retour sur certains processus importants des deux siècles passés, racontés dans un style délicieux par un assez chouette historien : Henri Guillemin (mort en 1992). L'homme s'est fait connaître pour sa position critique vis-à-vis de la lec-ture et de l'enseignement de cette discipline, interro-geant le principe de « l'his-

toire des faits », à travers l'idée que la perception de ces dits faits n'est pas figée, mais évolue avec le temps. Il fut un spécialiste du XIXe siècle.

Les thématiques traitées dans ces archives vont de la fin du XVIIe siècle avec Napoléon, jusqu'à l'année 1914. Deux thèmes y sont particulièrement croustil-lants. D'une part, l'épisode de la Commune de Paris, analysé d'une façon extrêmement per-

tinente. Il s'agit de l’insurrec-tion populaire de 1870 ayant abouti à une situation proche de l'autogestion, finalement ré-primée dans un bain de sang par le gouvernement de Thiers. D'autre part, enfin, la troisième république, et les changements politiques et sociaux de cette pé-riode, qu'on doit pour se les ex-pliquer correctement, relier aux autres événements historiques les ayant précédé, depuis la révo-lution de 1789 à l'épisode de la

Commune. C'est ce que vous propose Henri Guil-lemin sur ces archives vidéo disponibles sur internet, en tapant "rts dossiers de l'histoire" dans google.

Raphaël Deuff

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Soirées Débat

En alternance avec les projec-tions Ciné Qua Doc, l’Allié organise un forum pour les étudiants qui aiment réfléchir et confronter leurs opinions.Le thème de ce premier forum qui aura lieu le 15 octobre en salle po-lyvalente est : Liberté et Détermi-nisme.

Sommes-nous réellement maîtres de nos choix? L’avenir est-il inéluctable suite à l’enchaînement de toutes les causes qui font que l’on arrive à l’instant présent ?

Nous attendons aussi vos sujets : que les débats dérivent pour aller plus loin, ou que les inspirés nous laissent leurs idées dans la boîte à mots (juste à côté de la porte du lo-cal), c’est toujours intéressant !

L’Actudel’Allié

Café équitablePetit coup de boost le matin? Les ma-chines à café ne sont plus seules sur ce campus : ici vous trouverez du café bio qui a suivi les circuits du commerce équitable (Max Havelaar) depuis le Pé-rou.

C’est le même prix : 50 centimes la tasse, mais l’accueil sera sans doute un peu pluis chaleureux que le bruit des piécettes dans un distributeur...

Rendez-vous tous les matins au local de l’allié : deuxième porte à gauche du couloir à côté de l’accueil du grand hall

Petit casse-tête du jour

Abonnez-vous au journal !Si vous habitez en Cité Universi-taire, laissez-nous vos coordon-

nées dans la boîte aux lettres du local et recevez le journal

chaque mois !

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Le Bureau Des Etudiants de Luminy ( BDE Luminy ) est une association régie sous la loi 1901, à but non lucratif, créée par et surtout POUR les étudiants de la faculté des sciences de Luminy en priorité, mais également pour le campus de Luminy ainsi que le reste des étudiants marseillais.

Depuis sa création il y a 4 ans, le BDE Luminy a pour vocation d’animer la vie étudiante sur le campus de la faculté des sciences de Luminy en proposant des activités, des évènements, ainsi que des sorties diverses et variées. Par exemple l’année dernière nous pouvions comp-ter 3 grosses soirées, 2 soirées Inter-assos ( orga-nisées avec toutes les associations membres de l’ASSOM ), 2 apéros, 1 tournoi de contrée, 1 tournoi de poker, 1 tournoi wii avec just dance/guitar hero, 1 tournoi PS3 avec FIFA 13 ainsi qu’un Week-end ski.Pour l’année 2013-2014 la liste s’agrandit avec notamment notre premier Week-End d’Intégration qui a eu lieu les 11, 12, 13 octobre à côté du lac de Sainte-Croix, ainsi qu’avec de nombreux nouveaux évènements en préparation. D’autre part, l’association de-puis maintenant trois ans, participe au soutien des étudiants en difficulté avec la mise en place de la formule «BDE Success Licence» ( fiches aux étudiants, entraide collective, ... ).

Pour les étudiants de la fac de science qui s’ins-crivent au BDE Luminy en tant qu’adhérents ( une petite fiche à remplir, 5 euros à donner, ainsi qu’un chèque de caution à nous laisser ), nous mettons à disposition de nombreux services tels que une photocopieuse gratuite, locations d’or-dinateurs et de dvds ( parmis un choix de plus de 300 ) gratuites à condition d’avoir donné un chèque de caution, ainsi que l’accès à un beau billard, des cartes, et autres jeux.Un tarif préfé-rentiel est également proposé aux adhérents au niveau des évènements du BDE. Pour toutes informations, venez vous renseigner dans notre beau local de 82 m² situé à gauche de la Bi-bliothèque universitaire au premier étage après avoir monté des escaliers en colimaçon.Vous pouvez également nous contacter par mail à l’adresse bdeluminy@gmail.com, ainsi qu’au 06 25 96 40 03 ou tout simplement via Facebook en ajoutant «BDE Luminy» en ami.

Sachez que les prochains évènements qui arrivent sont notre tournoi de poker annuel fin octobre/ début novembre ainsi qu’un tournoi de contrée qui le suivra de près. Une raison de plus de venir nous rencontrer au local !

BDE

est une association regroupant les étu-diants de l’ancien Centre d’Océanologie de Marseille (COM), actuellement renommé MIO (Mediterranean Institute of Oceanography). Créé en 2005 par trois étudiants, l’associa-tion a pour but de dynamiser la vie étudiante autour de sujets qui passionnent, et permet aussi d’instaurer un rapport avec les cher-cheurs du MIO à travers de nombreuses conférences tout au long de l’année. De plus, des contacts peuvent être établis avec les laboratoires et bureaux de recherche as-sociés aux Sciences de la Mer, afin de mieux renseigner les étudiants sur les débouchés que ces disciplines proposent. Financé en partie par le MIO, le FSDIE et les adhésions, le COM&SEA a recensé plus d’une centaine adhérents l’an passé. Ceux-ci on pu profiter des nombreuses activités sportives, artis-tiques et culturelles que le COM&SEA pro-posait. Au programme, organisation de sor-

ties plongées, week-ends au ski, soirées à thèmes, conférences animées par des pro-fesseurs du MIO ou des intervenants exté-rieurs, ou encore la descente de l’Ardèche en canoë. Un concours de photos sous-ma-rines est organisé chaque année et est ouvert à tous les étudiants désireux d’ex-poser les plus beaux clichés de leurs plon-gées, dans le grand hall de la faculté des sciences. Les étudiants ont aussi l’occasion de participer à des campagnes de sensibi-lisations écologiques telles que « Les initia-tives Océanes » organisées chaque année et qui consiste à ramasser des déchets sur nos plages ou dans l’eau en palme, masque et tuba. Le COM&SEA bénéficie aussi de ta-rifs préférentiels pour passer les niveaux de plongée grâce à ses partenariats avec l’Ate-lier Bleu à la Ciotat et avec Septentrion En-vironnement à Marseille. De plus, l’École de la Marine de Plaisance offre l’accès aux étu-diants du MIO au permis bateau à des tarifs intéressants. L’adhésion se fait au bâtiment TPR1 entrée F 3ème étage et est réservée aux étudiants en licence SNTE et aux mas-ters en Océanographie.

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J’ai choisi une femme, car la femme représente l’avenir. Son épaule gauche plus basse que la droite qui est en vérité une erreur de symétrie de ma part, re-présente le poids que chaque jeune porte sur une épaule pour pouvoir étudier.

Cette femme est nue et ne porte aucun maquillage, tout est gravé dans sa peau. Ce que l’on pense être des petites boucles d’oreilles n’est que de l’encre, de même que ses cils. Sa nudité respire la pureté et à la sincérité, elle dit tout sur sa peau et ne cache rien. La pureté est également in-carnée par sa fleur de lotus tatouée sur son cou. Ce symbole des plus anciens émerge de la noirceur de la vase pour s’épanouir et se dresser hors de l’eau afin de former une fleur d’une beauté incroyable. Comme si cette femme était une âme de lumière sincère qui n’a que de bonnes intentions pour la Terre, attirée par la lumière et le savoir. En comptant le nombre de pé-

tales visibles, je m’aperçois qu’il y en a 28. Mon inconscient s’est bien exprimé sur ce coup là sachant que ma date de nais-sance est 21/11/1994, il suffit d’addi-tionner simplement tous les chiffres pour donner 28. En numérologie, le nombre 28 suggère une alliance, des talents artis-tiques, et se connote aussi à adversité et lutte, ces idées nous renvoient à l’ALLIE, adversité et lutte contre la désinformation ou pour l’information des Luminyens.

Les extrémités des pétales sont pointues car cette femme se doit d’être dure et précise dans les épreuves de la vie. L’ombre à l’in-térieur des pétales représente leur âme car cette femme n’est pas vide de sens. Le cœur de la fleur ressemble à une flamme, sym-bole de sa passion pour l’humanité et de l’éclat qui se trouve au plus profond d’elle.

Au dessus de la fleur à gauche, une mer paisible avec un ciel dégagé mais ga-gné par une masse noire au fond, repré-sente l’obscurité du gouvernement dans lequel on est plongé au milieu d’un envi-ronnement qui en vérité est paisible. Sa bouche épaisse montre que cette femme est une épicurienne et qu’elle recherche le plaisir sans pour autant faire de mal aux

Les intentions d’une femme démontrées par

ses tatouages

De l'oeil de Poseidon a celui de Monsieur Tout-le-monde

Qui n’a jamais eu en fond d’écran un pay-sage idyllique, montrant une eau turquoise et une plage de sable blanc, ou comme écran de veille de jolis petits poissons co-lorés qui se baladent de long en large de l’écran ?Mais en dehors de ça, on connaît mieux l’espace infini qui entoure notre planète, que les profondeurs de nos océans... Heu-reusement de nos jours, la technologie nous permet de photographier à l’aide de caissons étanches les espèces qui peuplent les profondeurs. Poissons clowns des récifs, baleines bleues du large, calmars géants des abysses, tous sont aujourd’hui visibles aux yeux de tous, et ce, sans mettre un seul orteil dans l’eau. La révolution de la pho-tographie numérique démocratise de plus en plus l’approche des fonds marins. Nous avons accès à des sites spécialisés et profes-sionnels comme des galeries d’art en direct de son canapé, mais on découvre aussi des amateurs qui publient leurs prises de vue sur les réseaux sociaux. En fait aujourd’hui, tout le monde est un peu Cousteau dans l’âme.

Tout le monde a déjà vu une pieuvre ou un hippocampe parader devant les objectifs de plongeurs passionnés. Peut être même que demain nous aurons des projections 3D dans notre salon, et des hologrammes de Nemo, Dori et tous leurs amis qui se bala-deront chez nous. Ce jour la, l’humanité ré-alisera peut être l’importance capitale des écosystèmes marins et reconsidèrera la sur-pêche, les massacres et financera un peu plus la recherche océanographique avant de nous éjecter vers Mars.

Marjorie ROSCIAN

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Solitude qui s’appuie

Continue et persiste

De mal en pis

Le noir régit

La couleur de l’âme

Entre désillusion

Et mort rêve

Un nouveau né

D’eux, de nous... de moi

Du fond du coeur

Petite lumière

Qui montre les formes

Et plus on monte

Plus s’éclaire

Le coeur et le corps. Tao

autres, elle recherche aussi leur plaisir. Autour de ses yeux, des serpents tachetés blancs re-couvrent des serpents noirs qui essayent de l’empêcher de voir mais quoi qu’il arrive elle garde les yeux ouverts. Ses grands cils signifient qu’elle se protège des attaques et des virus.

Ses joues représentent deux mondes en Ying et Yang, et au milieu de son visage se joue la bataille entre le bien et le mal. De l’ADN noir remonte vers le nez pour se mé-langer à de l’ADN blanc, ce qui représente à la fois quelque chose de positif comme la tolérance et le mélange des peuples et quelque chose de négatif comme le contrôle de la vie. Ils sont rattachés à un losange qui signifie l’échange, surmonté d’un coeur ouvert en deux cavités : elle n’a pas encore accompli sa mission bienveillante au sein de l’humanité. Un éclair noir qui vient des cieux essaye de le formater d’un choc élec-trique mais la spiritualité de cette femme est bien trop avancée pour cela, elle a sa mentalité et on ne peut pas la détruire.

Le soleil qui projette l’ombre de l’éclair est grandissant dans le sens des aiguilles d’une montre, et «efface» les intempéries,

les vagues et les nuages qu’il y a autour de lui qui cherchent à l’étouffer. Sur la droite du dessin une étoile à 5 branches tordue avec des extrémités noires représente quelqu’un qui court, l’ambition. Cette femme veut se faire connaître pour essayer d’ouvrir les yeux des gens. Seulement, un croissant de lune qui représente normalement le cycle du jour et de la nuit, essaye de l’en empêcher. Il est composé de 13 cellules au noyau noir. Le 13 signifie un changement important que ce soit en bien ou en mal.

Ses cheveux sont clairs et étalés tout autour d’elle comme si elle était allon-gée et qu’elle regardait vers le haut. En-fin ses grands yeux sont d’une teinte verte flashy, couleur de son aura. Par définition, elle aime agir, elle est écolo-gique, elle cherche à la protéger la na-ture. Dommage qu’il y ai peu d’individus comme cela sur Terre, mais ils existent.

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Au rendez-vous...

Pétanque par équipes de 2 ou 3, atelier jonglage et stackline.Une buvette et du son toute l’après-midi...

Le 19 octobre

Sur le campus de LuminyEntrée libre

Tournoi de pétanque

Une question ? Un problème ?

N’hésite pas à passer nous voir du-rant nos horaires de permanences syndicales :

• À l’université au local de l’ALLIE (plan ci contre) le jeudi de 12h30 à 14h00

• En cité U le mardi de 18h00 à 20h00 au local du conseil de rési-dence (derrière la loge du hall du bâ-timent C)

Tom : 06 60 09 78 62unefaixmarseille@gmail.com

Mercredi 23 Octobre à partir de 20H00

Première soirée open mix de l’année à la cafétéria du RU ! Venez poser votre son, vos instrus, vos textes, afin de partager votre set avec les gens du

campus ! Good vibes required...

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