l'ecole valaisanne, décembre 1959

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DÉCEMBRE 1959 L·ECOLE VALAISA NN E

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Page 1: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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Page 2: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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LA FESSÉE

Je viens de voir «LES Q,UATRE CENTS COUPS ».

Avec «LES TRICHEURS» et quelques autres films de même acabit, en voilà bientôt assez à IprOipos de 'la jeune,sse délinquante d'aujourd'hui.

C'est chose un peu humiliante pour un éducateur que d'entendre ressasser de perpé­tuelles doléances sur la jeunesse moderne.

Ces doléances, hélas ! ne sont que trop fondées. Semaine après semaine, la presse nous relate les exploits t'épréhensibles de bandes

or,ga,nisées, contre lesquelles la police doit sévir: Blousons Noirs en Fmnce, Teddys-Boys en Angleterre, Demi·Forts en Allemagne, Hooligans aux U.S .A . ...

Ce nouveau mal du siècle est d'autant plus alarmant que ces jeunes gens et jeunes filles sortent généralement de milieux aisés et dits bien-pe11:san~s.

Les éducateurs ne sont pas nécessairement fautifs, ni infidèles à leur mission. Il y a d'abord les Iparents, premiers responsables.

Education sans fe rmeté, absence d'une foi reLigieuse profonde, argent souvent à

discrétion, vie trop facile, publicité, films, spectacles et littérature d'excitation corrduisent finalement à cette révolte contre toute autorité morale ou sociale.

Notre malheur, à nous ,Vala.isans, c'est de croire que cette jeunesse désa:xée n'est pCLS de ChEZ nous, qu'eUe sévit et prospère dans les grandes villes de l'Etranger ...

Détrompons-nous. Le relâchement moral se propage aussi vite que la mode du chewing. gum, des blue-jeans ou du pick-up.

Peut-être avez-vous eu connaissance derrâèrement de l'inconduite d'une bande d'écoliers d'une station touristique vaudoise: vols organisés à la piscine, au tennis-club. au mini-golf, dans les magasins de la place, les grands initiant les petits, jeunes garçons ligotés et déshabillés?

Et ces jeunes gens d'un de nos internats, qui se relevaient la nuit pour cambrioler, et dans le vestiaire desquels on trouva tout un arsenal de pinces, fausses clés, passe-partout?

Et ces garnements de chez nous qui s'emparèrent d'une voi~ure et tentèrent de passer la frontièïe ?

Ce qui est réconfortant dans ces cas - et il en a d'autres - c'est la réaction énergique et unanime du corps enseignant.

Aux parents, les maîfires de la station vaudoise demandèrent, par lettre publique: de remettre en honneur la fessée; de brûler immédiatement toute littéramre douteuse ; de ne pas tolérer que les enfants traînent dans les rues le soir; de ne pas critiquer maîtres et maîtresses en présence des enfants .

Aux autorités scolaires et communales: de créer un local d'arrêt;

d'appuyer en toute circonstance le personnel enseignant; d'appliquer à la lettre le règlement de police concernant la rentrée des enfants, la tenue vestimentaire des jeunes filles, sans trop ménager les parents «électeurs» pour éviter «des histoires ».

Bravo pour ces collègues vaudois!

Remettre la fessée en honneur: voilà qui est net. C'est pour négliger cet élémen­taire postulat du bon sens que tant de parents modernes font faillite.

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Page 3: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

A propos de fessée, vous connaissez sans doute cette histoire qui a fait le tour des revues éducatives:

Un riche maharadjah se lamentait de n'avoir que des filles. Sur le tard, son épouse lui donna un fi,ls. On célébra l'événement par deux mois de fesûns et de libations. L'enfant fut élevé avec le plus grand soin, powponné, choyé, gâté par ses parents et par des serviteurs triés sur le volet qui avaient pour consigne de ne jamais le contrarier.

Pour ses sept ans, son père lui demanda quel cadeau d'anniversaire vI souhaitait recevoi,r.

- Un éléphant! répondit l'enfant.

Et il eut son éléphant, avec un cornac bien stylé, pour lui tout seul. TOLtte la journée, il se promena sur son éléphant, avec une joie d'abord délirante, mais qui baissa de quart cl'heure en quart d'heure . Sur le soir, contlne on l'invitait à descendre, il fut d'une mauvaise humeur épouvantable €It refusa de quitter son perchoir.

Le cornac eut beau supplier: le garçonnet, buté, ne broncha pas. On œppela d'autres serviteurs. Ce fut en vain. Les oncles vinrent tour à tour, puis le ,père, puis la mère.

Il doit être malade, dit celle· ci, n'écoutant que son intuition féminine. Qu'on aille chercher le médecin!

Le médecin du palais arriva, grimpa sur l'éléphant, ausculta le gamin et redescendit, sOl/.c:eux:

- Votre fils doit faire un complexe, Madame, dit-i,l à la mère qui se lamentait. Le mot magique courut de bouche en bouche: Ah! par exemple! Un complexe ...

il fait un convplexe ... Notre jeune maître fait un complexe ... Est-ce que c'est grave un complexe? demanda une nurse encore naïve. Dites-moi, docteur, ce qu'il faut fa ire , gémit la mère éplorée.

Ma science est impuissante, trancha le praticien. Il faut faire appel à la psychanalyse. On courut à la ville chercher un ps)'chanalvste. Il arri:va à bride abattue, grimpa

[ur l'éléphant, souffla quelques mots à l'oreille du garnen'l-ent qui descendit aussitôt de sa 7nonture.

Stupeur des assistants et des parents!

Que t'a-t-il dit à l'oreille pour que tu descendes si promptement? lui demanda son père. Il m'a dit que si je ne descendais pas immédiatement, je recevrais une FESSEE!

Il ne nous est pas permis, à nous éducateurs, de lever la main sur un enfant. La ~égislation scolaire actuelle prohibe formellement les châtiments corporels. Et c'est avec raison, un cerla~n public n'ayant que trop tendance à assimiler ,le maître à un «bourreau d'enfants ». C'est aux parents qu'est réservée ,la fess ée, seul remède efficace à certaines i,nsolences. Et s'ils en ont peLhr, par je ne sais quel freudisme paralysant, qu'ils ne se plaignent pas de voir leurs enfants devenir à leur tour «bourreaux de parents». , Dans nos relations avec les pères et mères de nos élèves, rien ne nOlhS empêche de recommander la verge comme Loltime moyen de disci.pline. Il est rcu'e que l'enfant n'ait pas à y gagner, et la tranquillité de notre classe, par surcroît.

Crocus

, La ol'1se rcl'Ul'l'e.SiPeJCit donJt 's'e I)Jlliaigl1tenlt voJlOlrllliel1S tl:es pail.·,el1l~s n'Ie:slt iSOIUVielllt qu'un'e oriÎ6e d"aU'~olri,té : '1"ado<1escel1Jt 'He ,1'lelSlpeolle iJaiS unie au'rOriil ~é tfaili!l!e ...

,L'aU:to,liiJ~é s'.aftfIÎ1l'lme ,eu idelUX Idill"contSi,tancles : iJ.a rftaçon Idle dOlmea: IlIn Oll'dll'Ie elt iJ.ta f'açon d,~ sal1'Ci~iiQ]111: el' Il'ins?umi'.sIStion. Que 'V,OIS o:J<ch es s'Oweult c[alÎllis elt calrégoliiqu'es ! Un non dolÎlt être un non. lil He Ipe.u:t Jamaws êllil-e fUll 'o'llli 'a,pproXlÎnnttitf, 'suj eJt à cin!tel'i{n-é.l1ations e!t il n'U'Ml'C'es.

Quarllt .il h lSanolIÎ'on, qu'leiNe IsolÏJt à J.a [{)iLS expiai\!Î'oll, liemèd'e et eX!e1upiJJe. J. M. de Buck

- 26-

L'OFFICE DE L'ENSEIGNEMENT vous propose:

L'ENFANCE DE L'ART

Petite méthode pour accompagner les enfants dans la peinture

par S. René Boivineau et André Bouler

Editions Labergerie, Paris, 110 pages, relié pleine toile sous jaquette de couleur, nombreuses reproductions de dessins d'enfants. Se trouve dans les principales librairies valaisannes: Sierre, Sion, Martigny, St-Maurice.

Chaque semaine, nous sommes assaillis de réclames, de prospectus, d'envois «à l'examen ». Des agences de publicité ont demandé aux communes ou au canton la liste du personnel enseignant: nous voilà pris dans l'étau! Que de paperasses dans tous ces envois ! Et comme la corbeille à papier se justifie dan,s l'ameublement rationnel de l'homme moderne!

Parfois cependant, une perle brille dans cet amas de scories. Le livre L'ENFANCE DE

L'ART en est une. Quand le facteur m'a apporté le petit paquet postal, j'ai commencé par l'ouvrir sans

illusion, en ménageant la ficelle pour le retour. «Un de plus, me suis-je dit! » Puis j'ai feuiLleté, et mon indifférence curieuse a fondu dès les premières pages pour

faire place à un intérêt grandissant, à un emballement final qui aujolhrd'hwi encore demeure

solide, compact, sans ,restrictions. Le merveilleux petit livre! On le lit en une heure, tant il est cour,t et enthousiasmant.

Une heure, je suis resté accoudé à ma table, sans même m'asseoir, le regard accroché par la typographie pleine de fantaisie, les reproductions naïves et chatoyantes, la qualité et le condensé du texte. J'ai rarement trouvé tant de solidité dans tant de raccourci.

C'est pourquoi je recommande d'enthousiasme L'ENFANCE DE L'ART. Cet ouvrage devrait se trouver chez tous les maîtres et maîtresses des cours moyen

et inférieur. Il est un complément heureux au Cours de Dessin de Jean Apothéloz, adopté officiellement par le Valais (ce dernier otwrage au Dépôt du Matériel scolaire à Sion).

NOlLs autres, Valaisans, sommes encore bien en retard dans l'enseignement de la peinture aux enfants. A part quelques exceptions (je pense à Melle Donnet à Monthey, à Melle Gross aux Marécottes, à Mme Hubert et à Melle Oggier à Sion), nos ,réactions devant une

peinture d'enfant sont celles d'un sceptique désabusé: - Regarde, Mademoiselle, j'ai dess,iné ma maman!

Et la fillette de présenter à la maîtresse un affreux portrait où le rouge domine sans vergogne, mais où elle a mis toute son affection pour sa mère et tout son génie créateur de six ans et demi. Faites bien attention à votre réponse: elle est plus importante que vous ne

croyez. Notre septicisme est le fruit de notre formation (pour ne pas dire de notre déformation):

llOUS trouvons la peintttre trop peu «ressemblante ». Nous vOlûons à tout prix faire coïncider la peinture avec la réalité, accor,der la préférence au dessin sur la couleur, au contour sur la sur face, au solfège sur la musique. Nous avons perdu ce que les peintres appellent l'innocence de l'œil. Ce livre n~us aidera à la retrouver, et du même cowp à comprendre ce monde des enfants si différent du nôtre. Nombre de maîtres et de maîtresses se plaignent de ne pas savoir ensei,gner le dessin. Je ne puis que leur répondre: laissez-les d'abord tpetindll'le, le dessin sera

ensuite beaucoup plus facile.

- 27-

Page 4: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

Je précise que ce livre s'CLdresse CLUX cours inférieur et moyen. Il est bien évident qu'on doit s'orienter vers le dessin de précision à partir de 13·14 ans, surtout chez les garçons . La vie a ses exigences et l'on sait toute l'importance du dessin technique à l'entrée en ap pre ntissage.

De plus, ce livre n'e·st pas destiné aux enfants, mais aux éducateurs et aux parents. Etant un livre d'CLrt, iil pourra paraître un peu cher; vous y laisserez un billet de 20 fI'· N'hésitez pas cependCLItt, car vI en vaut la peine. Vous ne regretterez pas ce cadeau de Noël que vous ferez à vos enfants et ce sont eux qui vous remercieront de leur avoir laissé, 'Pal' la peinture, toute leur spontanéité et toute leur personruÛité.

Dernier déta~l: Les Editions Labergerie à Paris sont animées par un authentique Valaisan, anoien normalien de Sion, ancien étudiant à l'Université de Fr,ibourg : M. Ernest Gillabert, de Val d'Illiez . Voilà certes qui ne gâte ,pas les choses!

L'ART: Avec son autorisation bienveillante, voici une page extraite de L'ENFANCE DE

Aujour.d'hui, on mCOl1!te une hiSitOlÎfl'e.

Le llTIaJtfu,1eil, - papier, coœeul1s, pinceaux, il"eau et le chiffon -, Itout est prêt.

Chaque élève, av,an:t a,e ' bliaval~l, ~l1'SOl'~t au do's Idle sa f-eUlill!1e son nom, son âge et la date

(-petitte Is'er'vUilIllde üll~ti.aJ1e qui bviltenl lel1!S<Uli:te!le p.ire d.bs0ll1d,r.e).

P.uüs, s<ilrence. Ul1l5'illeuC<e ,ahsollu. Et:le Il'écilt 'CO'Ilunel1ce :

«Cinq hommes lS'emlb!lll.·,quent pour un !long V;0Y'age ... »

Ttl·,mllte peJb~bs garçollls .se rtenrl'el1t 'V1eil\S Ile ,maîl~11e. ILes Vlis'ages tg''ÏtllUlmÏIlIB11't. <Les vo,ilà,

eux 'aus'si, 1J'aIl.1tis porur !La gIl1al1'die 'a'V'en;~UJre, IÏd'elllti:tiés à l1eUllis <Cinq ,héros: 'avec eux, Ii!l,s s',én1!611VleliJl·

Lent IdleV,al1!t J'a 1f1l011-"e Ides IglI.·,allcts ,f'oudts mall.iÏru ; comme 'eIUX, iiLtS rtJ11fflIlibilieaJlt de 1 ~61u'eJI.lJl· f'ace au 11equin 'mang,eur ,d'Ihommes; qu',eHe IeiSlt Ibetllle, ['îlle IDytSlté!r-Ï'ellii'e el'llflÏn d,écouVleJ.1te ! ...

Une hJÏJs! tolÏœ pal~eilUe, quel p'laisill.· de [a il1a'OOllltCiJ: à :s'on Itour 'cool1llne 'on tl'Ia v,écue. Et ,les Ibl'tenl~e é'lèves, lt1ren;te hét110lsdu g,ral1'd l'alJ:g'e, ,ahsolJ:lbés, p,a'S'SiOI1!lléJs, Il'eJ~l1a'0enJt lau .p'inoeJau lem:s

iJ1icroY'abWes explO'ibs.

ne Ilo,in, \le maÎ,ttl1e ~uâlt \les nav.igalie!Ul's, ohseu.·Vle discrèl~ffll1'ffillt l1e1UJllS IbroU'vruÏ!hles. M,ali,s au

d6pa'I1t, hl les abandonne seu.ls à leurs recherches. BlÎ:entô't, IdilsarèJnemen!t, liIl ISe promène telÎ~r,e

h~s 'rangs, 'enco'Ull'lage d'un mOlt, ,d'un 6(}UIl1.tl'\e. Présence la'dlliv,e let lSil'eIllŒleus'e : 'atÜle néoes:swÏll'IC 'CIl

,J'Il 'PIUl3 'C>Hicace ,qu',hl. puâss e a[:>ipoll.'lteu.· il r 'éc:loS-10n du ,chef"d'œuVllle.

P.eUlt-ê:ttlle va-It-il ,en J'lailJlo!ÏIl: davaU'~ag'e. l,ci, un ,éJlève 'S'lelSit cO'l1lllenllé d'un Ide s,sin lliinéalÏlt'e.

Le maÎllIrle lui conseille de Il.1ell11piLill· son gll'a!ph'iis'lue de 'coulerut~s : lUne IliaQhe, l1'leslt"oe pas pilUJS chanttall1't? OeWuii4à, IliÏllniJdle, Ibllaae len .héts·~brunl t ,des honsihommes rmÏniUlsorues . Qu'on lui rdoll1!lte

conf,üanoe. BevanJt !Lui, ,le maÎ'tre (h~S!sline (SWL' une aUl1ll1e fteuhl.Je d 'e !J.)'ap'Îlell.·), ;d'e large:s ,arahelSques.

On IsouLUIt ens'embile. Voillà no!l!J.1e ItJÏ.m~,d'e qwi 'eIlIlll'evO!Ïlt Il'alU!d'aoe.

A a',aUllIL1e on IS'Uggè·eJ.1a de hi'en «d,écoll'eu.·» it'OUIbe .la :8Ilmfiaoe Ide !Son I[Hllpil61' ; dl} l1aJisse

tliO!p Id"espaC',eIS ""ides» : 'puis'qu'ou y est, :p,eligu.1.011lS un 'Vll,ru gl'tand IliaibI1eau !

}erarn .. Pti:61·,l.1e, IIIUli, l1"aWlIll'CJe ip'as . Oill1q bOl1!sho'll1'J11Ieis S'll!l' Ison rpap;ÎJffi', leJt lC'IeS<t it'0'Ult. Sa mus'e

sflmJile 'eJs'sO!Ulf,fl,ée !dès t1e COillU11Iel1!CetIll1eillt. tQrute!lque's ,qUles~iollis judlilcie.us'ell1'eIlJt 'P.O'S'belS (maills au

g!lll.·çoncl'y il1éjpOtndt11e !) VOJllt il,éveüllJler SOil1 lÏ.'magtinaJ~ion.

- ,« Les 'oinq maDÏtnts tS01])t palL1ùÏts pOll.ru: un dong voyag'e ,en meu.·. JJn.Pil61u·e ! Gomm,ent

sont.4.iilis pall.l~itS ? à ;pied ? len >aiUlto ? »

JteélJll.J>tÛetr\l.1e lliÏJt: «En baJt-eau !» - «lElli, bien! Et 'q.u'ont.i ls fruil swr le halie,au?

Qu' ont"ills vu Id ans le oÎ!el, au !C,oud de la meJ.· ? ... »

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,Leis yeux IclIu ,pelliilt g'a:rçon p'l',eI1ll1'elllt d 'e l'éol!aJt. En hâte, liIl lI.1egagne IS'a !p~lalœ, 'Bit mtelt en

ohallbi'er 'Un ,pa-queJboit! ILa met· s'e !p.eJwp'liC d 'e rpO.j'SS0111S, d'lal}.glleiS ; Ides 'o'Î!s'eaux Iplltein JJe ciJeIl, e t d'es lliuagtes, et Ile soLeiL . D.a11!s un ~n'S1~anJt, i1l Il'édllamelna 'Un 'P'ap~I61' tSIU1p1p1l.ffin.enll'a

'ilJ.'e.

Le ·vous-in ,d'e ].ean.pwffiire, .dJeipruils !lo,ngJbemps, ,a Itelmi,l1'é 's'a delUxiième c'O'll1pot'ilÏlt,ioln.

Itl .amlaqU'e une IIn:O'usième '[J'e'in1m·le. Idi, ['~n~'Ïil'altliol1 leSit !frl.ll1gU![laIllbe. Eh huen ! I&UWOI1'S Ile IlJ'Ithme

de 'ohacun: COIJ11Illl'e 11'0U'5 'P''!'etl1'ÏO'l1S rpaJliilenoe avec J,ean·Pilel1l1e,s'Ulivol1ls Il'!aulwe :en coillMlllt; gardons.nous surtout de le freiner.

Eveiller, donner 'conrf·i'aillce, « ,enchanJter» ~a dllals'se: l'édu'cailieur 'COH1l'aÎlt Jà d,es jo'Î'es i l1l'emp1açaMeJs .

Un m,aÎlli1'e, 'suhnal1lt une ménhode il l,UIÏ, Ise p1'0'll1lfmal~t aru ICOUll1S Ide [,a [leçon pa/l'mi ses

gall.·ç,ons en challÏionnalllt lS'artS lCe!Sse: «die :heili~es 'CO'llŒ,ea.ltl\5! de lb'EM'es ICoulleuil"s! d'e heIDles COuJ1BiU1'S ! ... » Son 1'ef'l'a,in ,se frui..salilt iI1'CJa11!t'al~i\on : Iles 'l,bsl1.1I~tla~s 'éta,Ï'enlt IS'Ull'pl en'an:t6 !

!LA ICORiREIGTiliON

Il n'y a pas die cO'l'J:,edtlÏon . tL'he'l1!l'IC 'Venue, IChaque 'éIlè~e a 1l1eaniÏJs son 'ID.·a'Vai'l, siLgn'é, au prof1e·S's'eul'. üelui·ci 'l'a reçu ave'c It0l111t J'e re'spe:clt dû aux glJ.·alw'elS œUl\lir'e'S. Pœ\'; on expose toutes

les peintures 'SUtI' Il'e mur de lla 'cihu!'Se. [POUll' ffilbOOX illeJs lV'oIÎrr· . Q!U.'eIT(l.es l'lonlt wes !pITus ibtefliles ? Aux éllèvels eux·m·êmes ,d',eXip11:lmer :Leucr1s rplJ:éJfbI'eJ1'oes. Pra's d'e ·dl!élJs,S'etl.Uenlt, pas d 'e fJ1.o'lleis. La s~n:cér'.ilté

des aul'ertl!l'S lt8taTJJt 'au .. d'e3lsUis Ide ItoU't soupçon, Ichruque ,peli'llltf\l-'l.-e pll'éS'eIl1J~e un linl~érê:t Il'étell ( .. . mffll1'e

si l'.UI1 ou l'latU'lll1e ISe 1s-~tuJe hÏlen au~d'essUts tel 'e !la m'oy.enn!e : 'c'Iest l'~nS:l'anit où, pall.,folis, 'VoUs rgtla. l1Jenez IdlBS mka<i~es !).

Le pr.o'~e9SeUtr, ,néanmO!illlJs, Isouoieux d'éduquell.· Ila pel1sollJ1lalliJté Idle 1',ellJfanlt ,s'a tSIDcbl1ÏJté

l'a!ild611a à <s'e jlUg,er JtUlÏ ·.même : K< 'Da ,peIDJtUIlie e.stt !trèls lb'ellJI'e, B:riUil1'o ; 'as·lru lf'a'Ïlt Itol1.1lt Il!;n pO'SlsliJh1e ?>~ - «Oui.» - '« C"eSit I~rè.s b:Ïien ». «'Da peÏJnlrune lest hel~}e, A~'a,in ; ,as~ru Iftaliit 1110'Ult œ quie ltill

pO'Uvais ?» 'A~alin llbslilte. «Oh! alo:l"s, qu'leSlt~c.e ,qUle ,oe 'SleJlia 'quan:d Itru ('el'aiS tel'e Iton 'll11Ï1eux ! »

Le maÎrt1'e déhUltalJllt lS'iéil'()InJ1te~'a ,p'eUit-'êJbœ Ide :d'écouv,nÏll' IUln OIcéan Il·ouge, ,dreJs (polÎ!s-s'ons

j.aunes, d,ers ,V'i.s'ag'els "I61~bs ou b1I'eUis. SUlitorult, qu'liiI. n',en Ja!Î,ss'e 1l1'Î'en p·aIl'aÛlll.1e, 'eJt qu'ûJl Is!e 1I.1a'S'SUllie lui·unême. Non, ses é]è\~es Ule \,;'Olljt P'aJS ,des 'anOll1l11'aUx ! 'Jll,~ 's-av,enlt bi'en ,que [\ta 1111161' teJslt lPilJutôlt .bIlJtme qUJe Il;ouge. POiU'rquol oe V,eu.11uiUon? 'L',alulteur :}Je saur-aÜ Il'éiponldllie ralUJl!ne tdlOlsle 'que: «Le rouge, .c'ie:,t belau.» ,Quand 1011 Il!Ïlmllt à <ex;pl,i.lIl1'61· son a,dnl'il'altJÏon pO'UIJ.· a''()'Céan, Oln en rp1iel1d

lels mO)'lel1s. Di Ile Meu «réallüs~e» ll1.e tfa'iJt Ipas l'aof,f'aÏll',e, 'Va lpoUll'!1Je (rouge!

N'ouh~,i'ez pas </ue l'enFant 'es:t poèlte. E)t pu j,s, 'el1!t're nOlU!S, 3'VOlUJeZ que \Son rtabilte.au

~st ag)l éablle à 1·egarder ...

Montrons notre supériorité sur l'enfant en orthographe, en arith­méf)ique, en histoire, d'accord! NIais en art, les enfants sont peu,t­

être nos maîtres !

- 29-

Page 5: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

Du Heimatschutz,

du corps enseignant et de Derborence

Les soucis du Président de la Section Valaisanne.

Le Heimatschutz (Ligue de Sauvegarde du Patrimoine National) ne se dis~ute plz:s. S'il a été l'objet d'âpres discussions dans quelques cas particuliers, c'est qu'il dérangeaLt certams intérêts financiers extrêmement puissants. TECHNIQUE n'est pas nécessairement BEA?TE.

Et qui capitule sur le terrain du Patrimoine temporel et matériel risque tôt o~ . tard de ca~Ltuler sur le terrain du paLTimoine moral. Comme l'opposition est fort utJile en pohtLque, de me~e le Heimatschutz est finalement utile à la techni.que eUe-même, ainsi que les faits l'ont maLntes

fois démontré. . . Ce que le Valais doit au Heimatschutz, nous l'ignorons pour la ,plupart. Les hgne.s CL­

dessous seront une révélation. C'est pou.rquoi l'ECOLE VALAISANNE s'associe chaleureu­sement à l'appel de M. le Reoteur Crettol. l'outes nos communes valaisannes, tous les membres

du corps enseignant aux divers degrés devrctÎent être membres du Heimatschu.tz, dont les ~uts ne sau.raient nous laisser indifférents. Nous serions heureux que cet appel SOLt entendu dune

façon autre que simplelnent platonique, et que de nombreuses inscriptions affluent vers. le Président de la section valaisanne.

, Quant au thème de DERBORENCE, il est riche et poéti,que à souhait. Nous le ve~Tions

volontiers devenir tm Centre d'intérêt: explication de texte, histoire et légende, SCLences

naturelles, géographie, cette étude se couronnant d'une promenade scolaire sur les lieux mê~,es, En attendant, ;le numéro de la revue Heima/JSchtaz consacré à Derborence fournira une premwre

documentation par le texte et l'image. Mais, chers collègues, ne pensez-vous pas que ~ud~ur et générosité seraient sauves si vous demandiez ce nu,méro en l'accompagnant de votre cotl.satwn

de membre? E. C.

Beruit-ê~re VOIUiS êJtJe.g-voUlS denmnldlé où Ja ILigue SUlÏls,se pOlUr [la 'sauv,eg.aIl.,d'e du paltlrimo[ue na'~~onaJl (il:e HeliJl11,a1tsoh'llltz) p1"eualÏJt Iles somm~s d'IaJl.-,~el1lt qu"eHe œi,SlIIr.iJbiU:aI~t dlains .Le ipay;s <comme,

pair eXeJInlp,l'e, [es 100000 fll'anos qu'eUe va v.el~S'eir à [la tB'oulr~eo'ÎJSli'e de OOIl1Jlihe'Y ,pOIlU' 1'achalt d.e la forêt vi'eJI'g'e die Del'boo1ence.

Eh bj,en ! ItOlut simp'leJIuenlt \Cl'al1!s le pro~d;uÏlt de l'a vente ,des OOUS Id'o~:, venJte quii a !Heu,

chaqUie 'année, V1~',S la fl111 d:e ["aUitoml1Je ,et qui, 'eJI1 Vla/laJÏls, 'es't rorgall1!ÎJsée ipa~: M. JOl5'elplh Gaspoz,

iI1J9rÜu/~le.Ulr à 5:lon 'elt pl'&sidlenlt d,e lia Fé'dléra'tion 'Vla['alÏisanllie (\tels cOlsilIu/mers. . ' Nombl~e Id'inSllÛ'lJuJlir~ûes ~t rl',iIl1stllitTUltelllll"lS nou!s .aipip'Oll1l!el1'1:, \p,oun: iCiellltoe lV1enlle, I\ll1le coIŒ'aiboll'atll'Ûl1

eXltrêll11eJIll'enlt ap·ipil·'éc.iée, ·d'au,l!anJt 'plUis ta[>!p!l.1éClioée qu'telLe l'ffi.1lr 'Vault un IS1N1oroÎlt Ide iIll'avaJÏlI et de s'Ûuois do,nJt liJ]JS Ise IpaslSIBl'ai'en't Ibilen.

Jle 'su/ÎJs heu.!l.1eux de fia/ilsÏil: oertJl!e oClC'a\Si'O!ll ipOl\llr 1001' di;r.e ma ItIrès vive gml'illiude et les f.é'mûtel' rd'êtt1e du nomlh're d,e coox qu~ ll'e s'aVlellit jamalÏls Id'ill."·e non 'qU'an/d on [ 'eiUII.- Idlemande un sel'v:,ce .

CeJV~e velite lI.~appolrbe bon an m'al an sur J'lerrsemMe du Il1etrJ.~iJtolil"1e i<Ile ['a C01l1féd'ér.a!tion un béné6h~e nell CfUii 'va,rie lenlh'e 300 eIt 350 m~l1e fll'aJnCls.

C'legt Oelt ralr~en:t qui 'e3lt a,ff'e'crt,é là J'!aohalt, à ,La lS'au'V'.e~aIl.,d'e, à iLa 1I.1eist<aUIJ.'alt1Ï'Û1l1 d'œuVlt1eis d'l\l1l1 in~érêJt sol~t iaJli!lilsllIiqu~, 60ilt I.':O: 'en1Jr.iiflique, S'o'ÎJt paltl,io~ilque.

Bt Cel! 'R11genlt esJt un p'eu ~:étp'aa't1Ï, au p1101l"alt<a dies effolrts que {.O'l1lt [les <s'ecIJÏJonlS des dive1liS Clan/tons, len pmitlilcluilÎler au prolPallJa :du prod'llJÏlt de ~a V1f~nllie ,dies écus d'otr 'elt alU/SiSIi !dIe ['elf.eCltJif des fSeJCltiOl1Js .

En 'ce qUi cOI1'CleJl"ne ceJlIte vente clans nOIl!re caTiiton, un effOil.1t a!ssez cOlliSlildm<ahle ft éfté aCClomlp'li ces ,delll11ièo:es années. L'an ip'aSlsé, e'1/lle a 'P'rodu~t 8747 fll·,a11'cs .

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C',eSlt 'dléjà Ique!llque chos e, ma:ÎJs f.aoe à !la vel11~e d'e Zuüch qU!Ï. d,épa,g,se t1es ]50 miJ[e fmllos 'eit à 'C1~lLe (de B:el.11Te qui dép'asse ~.es 100 ImiJI'le, c'leS't lenCOlle bÎlen lll1'o!dles:te !

M,a'~s ,si 'nolU/S lS'oaumes m'O'd,et3'N~s d,al1Js la 'vel1Jte Ide.s éC!U!s, JlOlUlS ILe 'SOlD1n1felS encolr,e rblien ~'Us Idanls ['Ieff'eo~~f ide llolln.'e ;s'e'cJ~i'On lCIant'Û11'aIl,e ! Ailors que ~elS seClti'011!s de tHe:rJlle et ZUll'udl oompltJBlllt I~1us1e'l1:1'S lli'ÎJllltilelDs de l11Ieanh:l1el5, J.a nôllJœ n 'lalt/veinft pas ~a ... ClellltaJÏne !

o.n me Ile J:alÎJt Isenltœr p 'all:folÏ;s à ZUlrIÏtc!h aux s'éaniCielS du comÏi~é na,lIionraJl à Il"h'eull'e où l'on pat1tage Ile gâlteau !

- Cets V,allruilsans IS'0l1Jt ItOUj'OUi"\5 ~à dès qu'ill y a queJque ohose à ipr.en:dn~ . . , J.elll'l· dlell11am:I~. die ,f'atnre qu;e['qUJe chosle che.z relllX, c\~<s(t lUne 'autl'e Ihis:~oi're !

v'ous .complJ.'e<lle,z poulr;quolÏ j'ém1Ïs OelS ~~gnl~s dans ceJ~lJe l\e;VUe ,deslt1Ïué.e au p'ell:soillleJ ellisei gn<aJl1Jt !

J,e vOlllfdra:~s fiaJ.ùr,e 'apipe[ à V'ÛI\.lS, iu.stilllllilJric'es et il1'.SI~i:LUlte'Urs, VOl\llS pni'Br die vous rinl~éa."IeISserr à I Cei~~e L~,guJe pOlur la lS'auve'galJ.'de du p,altrimocim~ na,tioll1.all, vautS deluanclell' {l'ten fatiœ ipa:J.~e et de nOllls ,atideir là rCCJl.1u1tJBr des nleanbt1~s.

On 'en Idw~elllt 'menllba'e ,en adIJ.1eSlsanit fil". 8.- à Il'laidllleiSs:e 'suri"'tanJ~e : Heùnatsc!vutz, section valaisanne, Sion. CpLe de chèques II c 3522. T-OUit mBlllJhre 'e'5Ït d',oHtÏlee albonné à (l'a l5JiI'endl1de r.fwue, a'li ~i SltiqueJInenr t Ipa:&Slen!tJée, pu.bill1ée 4 fOOls Ipar lan pm' Ilets :s'oJÏ1l11S du Icon1Û!tJé U'allionlai.

A ·ce 1p-l"OpÛ'S, je lue f'em.i uu p1a1hSiu: .d'iaIdI11eSser à titre gracieux, ,à ItOUlt meullJbuie du ipleJI'­sonnel lenseigna-lllt qui m'eu Ifelia il!a Id'emaude il:e 'dleil:nier nlUmér,o de la Id1te i1BVIUle IqUli telSit pl~sq'Ue enl~iè11emelllt Icol1Jsam1é à :la forêt Ide neu.,bOtl~ru1'C1e elt 1I.1ffill

'all."qU'aMeiJnru1It ~llllU1S'tJ.,é.

Avec un'e 'S: etc;~i'ol}l IMlen v.iJvanj~e lett aux e~f,eCll!iltis ip'UlÎJs:s lal1l~s, (ill 1}1'OUl5 s'eria pOlSiSiiblle de flalÏJre bénéfi'o~etr Ille Viatla'~s ·enCOll1e Plus 'ql\lle !pail.' Œle p'aJssé ,dies dons glénéa.lefUx d ie l1a rLri;gue n<altJioniaJle.

A :liÎJtl/.1e .d0:C'Ulm:eI1l~a'Îl1e, vo.ÏJcJi 'La ~Iilsl~e des iSIUIbsild,es 'qUIi nOlUls onlt élté o'C1~roy;&s die 1955 il ce jour:

15 000 pour Ile Mano:iu: Idle V1iUa, 1l11JU'sée rdu '\'lieux SÎleJI.1re, 3 500 pOlt1Jr une fonJbail1Je Idu v.111age d'El1n;en,

5 000 ·pou.r ,La chalpeili1e Idu Ril1'ga'ok'er à 'Loèche,

5 000 P()!ur 11a IOll'apeJ1Jle I~ur HrO:heJIl S~i'egle à Baas-Fée, 3500 pour Ila chapeJ1Jle ,de IGS/pon, v.aJ.IJ1ée d ,e Saals-Flée,

2000 pour rra cha:pelltle Id'e St .. Clm.,1slt'OIphe, La Sage

1000 pour 'l'-achat ,de l'é1lIang d~t l'a CouiLle, tles Haudèœs, 70 000 pour ILe ,châ't<~au Id'e StoClkat1pru',

5 000 pou.r J.a Viiei'He .églhise 'lioma11'e de Saxon, 1 000 pO<Ulr un ViÎle.UX iraCCall.1cl die Ttaesdl,

]00000 pO'l1:r ~a flOlrêt de netl.1boo1euûe,

211 000 fll'atHOS 'au 'tolta/l, <en Il',espace Idlt' 4 ans!

Nous 'PO'Ullll1i:ons fa:Ïlre ,encoo'e beauc:olU!p mieux ,et beauCioup plttl'S pOUll' nOl'l'ecanrton et s'es œu,\nnClS !Si UToltlie ls'eidilÏ'OIll ébailt viv;alnJte, aollive 'et pUJÎJS!sa<lli~e .

ll1JSl lliitru~lli'ces elt Ins.IlÎJ~Ult:eUl1s, j,e oo:mpte 001' vous!

. Abbé CretvtoŒ, Ptl··ésrÎldent ,d'e la seo~io.Jl vallaÏlSlanne du H<eim'aJtSlClhwtz

Lu pour VOUS, ••

L'iautom·altliou ,eSit,ellll'e Ile déJbut d'une ·l'khesse ,sans pl'écédent, ou 1Ja [labILe .de l'aplpl'8n/~i S Ûll'Cli~r ?

Bes f,ahs qui ·dO,1111JBnt à Il,éIf[,éohlia' : 14 machines là souftf!Ler le v,el-,I.1e 'elt 14 hommes bhd­({tUe11Jt le 90 % d 'es ,al11Jp'oule:s .d':é'ClaiÏ.!l~ag,e 'aux U.'SA. (Ooull~l,ier d 'e d'Unesco, nov,emlbll.-e 1959).

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Page 6: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

Pro Juventute au personnel enseignant

Mle!sdarrnes, Mesd.enlolui3Iel11es, MeSls:Ï:eWls,

l 1958 1959 ' ommes ,étonnés d.e la somme Si nous pal'COI\l!I'OnS Ile 'rapPo'Dt 'annu~ • ,nous 8 .' b

d"ao~iv~bé d&p!loybe par Ptl'O JUJVenitUl~e rdan.s 1es 190 Is'eorétal'i'a'lis de IdWstr:lCit pOlUll' (h~s .utJs

d',as'SlùSiliance Ielt ,die Iprévoyance. Lels déipel1lS'els Ise monitJenlt à fil', 3 756 028.66,

EVI~c1emmen!t, p~U!s lIa vente Idles liimblies, loalitJelS ipo'Sllia:les Ielt oail,lies .de vœux 'e5~ é~evée~ . , il cl' , l'œuvre ne peut dlstnbuer

p1us 'alllsSii l1e1s ,dIUs:tlÙJOts ,peU!venlt soulager de uuseIle, ,car 1 leslt ' au ,que , , , , " , de e loe 'qu',eJl!le II.1eÇO'.Ùt. On Idut que ,le hiBll ne ,f'aùt tpas de bl"l.lJit. C ,es.t 'pl'eOl,sement tla malU~I e ,

qu '11 '1' , Slt Pl"""'qwe è1liolUle Pil'O JuvenltUJte, E11e 'CIrie si peu 'Slll!l' ,l'es 'toÏJts 'ce qu le , e Il'e'a1 Ise qu on te> , ,~I>

d'<eU.lItJenc1œ sa voix iV,er:s la ftiu nOVieimmJe. . iLi . u pel'

Bro }uvel1ltJU:te Is'uooUipanlt Sipéoial}temenJt ,de Il'Ienfmllt, Is"adtl,esse len ,pr,en?1-eil' .~, aM"·

l . "t SUl~ le ,de tI10U!Vlea.' chez tlui une comp:m~)heIl.1S1ioJl pleitne :de l)lenv,ellJ~lance. ailS

sonnel IBl1:SergnalJl, l , . " , 'Ll.f ,en êtll1e d,es ue ron ne .se 'CO\l1!lienlte pas Id'êltll'e convainou ,de Il rutilite d.1~ il œuvre, aw~ , , ,

q. Il b teurs Aussi MeSld'ames, Mesd:emoisdt1es, MeSls:l,eurs, paIilez,en a 'VOIS elevelS, am~s·co a ora " , , ~, ~ 'I lXeJlque.s'iUJns d"en,tJl'e eux, DÏJtJes.l1e'Wr que Id'e jeune.s CaUl'arllac1,Bs l11:a,lhell!l~eux, peUlt.e1tl1e meme cr . .1 f

• ,1, '1J. d' It ' III ,parller ,à 11a m'aJ!SOill, Vo.us lIies Ol"ITle· bénéf'ÏoùetiÜ'll!t Id'e !la Vien/te Id'es It'lJillllJr,es Ielt qu . s ' OIl:Vrul e , " , '1' eJS

l, O'OU!~l t d'lI ,de'voueJlll'eIllt 'elt .d,e ,la ohal1ilté leit iVOUIS ICOJ1itllÙJbuesl'ez a lfian:,e ,d'e vos el eV!

'Vez plll1: ' a lau 0

d'es hoourrws, hiten plus d,es dN~é;ti,el1.s. .J: • dt ,Pil'O Ju~el1l~U1~e W1 bj:el1

Bt pOUil' IftiIrùr IlaJis's,e.z-anoi vous d lhl.'e ·erl'COll.ie un:e 'l'O,loS, 'au 1101Ill l 'e " ' . ' 1 ' ., f,mÏJt 'elt ,nO'Ulr oe que vous flesl1e,z 'esn:COil~e Ceitlie aJl1uese,

cOilid,~al ~neflOl pour oe que vous avez le eJa '.t'

en f.aV'oliilsanlt la velllbe d 'e déce.mhr.e,

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Mernhœ du ComÎltIé Id'e da Fondation

Abhé C. Glmnrd

CI-IAONI~UE OE L.'ÉCOL.E NORMAL.E

A L'ECOLE NORMA,LE

Le 8 lS:flpitenllbl'e, les COUliS 's'lalllÏ!rl1'aÏtoot 'aiU 1I.'.eitoiUr id'ess nOl'illl'alllÏ:eJlls, [.01l.1t â'lll~bl'les:s'bs parr ~es deinüea.1S ,tll'aV'aux ,I.leJa!tJi:f:s là 'lta 1110ulvdle !S'aŒle de IgyllTI!llalsitJiique elt à iJ'AULA. GeJile·'cJi full: quaslÏ.· 1J111en:t ull1taJuglUlrée ,le 27 Idfu mêmle il11loli1s lP'at' 'la 'l"buniolJ1 IsluiÎ;slsle id-es all'C1hil~e,dtels SM. Les l1oll.unialllÎJens dleVia~enlt il'o:coup'ea: polur i1a pl'Iell11lièl1e IfIO.Îls là d'OlüCwsion ti'lUne tS'é:llI110e !ISMA VIS CO l.eit ['es comLé· gtÏtell1:S /P'ou'!' /teiS !Î'lllSltllluoboollllS de l1ellu' lieJtlliruÏJte taQ'1l1iUeJ11e,

,Le bâ!tI~m;el1!t 'cle ~'ml!la là If,iè.l~e lallJllUJl1e : 'V'Ule ·dlU sud, 's'a 'f1aç,adle len Il'fWche Id"ahBiJUe et~t itJl'ès agtliéah'lre à II.le,ga,nd,elJ:, Quanlt à !La lS'aIIJl.:e Id,e 'gymn!als:llilqlUJe, MM. CU!l',c1y 'elt tDes,s.Ïlmoz y ICO'lnl'll!en.cèIl'e.nt leurs C'OIU!l'1S ,pl'a'uÏ'queIll'e\l1!t la d:errncièmle lS!ell11alinle de no Ve1ll1bl'e , Enfjn une lS'a<1le Ipour nous! Bt ,qu'eJ.l<e s~~le! olaill.'le, gaie, spacieuse, ,éqJUl=ipé:e 8tellon tOiUtleJS ,les exiglenoels Ide 11a ,tJe'C1hnirqiUJe . NO'Us ne peT1dll'.Q:}lJS pluis 20 miÏ.l.lllUltes ietJ.l dép.~aICielIl1·elllt<s, ClOIl11'l11le 'c'ré;~a1t :Le 'oa's deprus .. , 25 ans!

Le 12 septtJembl',e, Sainlt Nom Idre M,allwe, fêlbe lP'al:ll,o.Il'a,le de'S MllI1:j,antUStteG. Le ma~in, 'Ütflf~'0e à \La Icathéd'ra'le, p'l~of.ession 1l1eJligf~eI\l!S'e Ide :M . Jletan 'PIl1M'ong, de OheQn1Jig'l1on, iL'lap,,:ès·mic1~, lSOli~ile Û'l1granÏJS'ée ,au Cotmlp!to:ÏJr ·SIlliISlS'e, atUX Ma)'ien!s d ie tRl~dldes elt à Vea:·c01un.

Le j'e.\lldi 17, nOlus !Ille 'S'OOllilneiS IpaiS 1S'euJ1s à lal55ritsillell' au 'COflll1S Ide M, Bioll!1az : cOl1!d'LlJ~bs !par M. SamUiell HOLLER, J7 Gel1!e~olils ,et GellJevoliS'es laippa11tenlll1llt lau 'colrp's letJ.llSlelilguatllt v\:,etJ.l'l1'ell1lt s',éJd'ÎJfiÏJer au Ijleu Idles 1I.1égllelu~es .GurÏlS'en'a1Ll'e. EVÛldleimmell1lt", !ll0U'S '~eJllQ' .J.a'ÏJS'SO~1!S ItOlU'tJe lIa pl1ruoe !

Le 24 s'O'Uw'e no't,re il~eltll'a;iJte, Le 1PJ.,éc1ioaiuesur ifll1M1QaJils ,etSt M. ,Le tOhlll1101I1!e 'RoIllil11IeQ', de l'Albba)'le d ,e ,St·MaJUliiICJe, Il If'lllt rl'OlUlt slIIllipilenn:ea'!:t, . , oSens'ationl1'eJl. Le jour de Jla ,dlô'tJure, un mal" 'Ché .. aux-puoes ,en ,fla'VIeiU:r Id'es MitS!stÏoa1!s 1l·~p'Oll.ita ila beJlle isomme ,die I!lr, 250.- IetJ.l Wl'e ~lelltl'Je.

En ,o'dtom1e l-epl'e11!11len!t ~Ies «tOONF1ERENCEJS DE L'ECOLE NO~MAlLE ». nbjà M, ZERMAT'J1EN IllÜlU!S 'avitÎ!t entu.'ellleJlllU'S Ide /la l1ectJUJœ ,durant d:eIUX CJartl!sea.~Ïtes. Oeblie If OIÏJS , :c"eSit M, O. DUBUIS, qwi la.prèis nous av:d1r 'parlilé Idu ,s:erv,ice call1tona:l ,d"al"chéoll'o'g,i'e, nous Jel1J\'J.'aÎu:e en Ul1!e Ip11û'mtBl1'ade hilS!lioJ.,Ïtqure d:llI11!s 'Ile ",.ÏJeux S.ioll1. Le œmlanche 18, ,C"elSlt laJU ItoU!}: cIre M. HenJlu ROH: aVeic Ilrwi, llOi1JiS ,falÎ!SOiI1S un :tiou.r d'thOIl1iZ'01ll « ,économfique », C"eSit av;ec un ,eXltll'ê'l11!e inlt>ffi,êlt :qiUle noiUIS swivo.ns Iles letFfo11bs l!el1!liés p'OIUIl' OfU'VIl'.i:r [e Vahi!S à il'!Î.nrdUisitJI.1Ï.,a'1i,s'a1tJÏ:on, IdlejpUÎI5 Ilels IlJ,r,emJi'ellS MellIÏJea.'IS anbÏJsarll'als jus'qu'à J'a pru:i'SlS'atll:tJe Il'aff.:iJ.l'eQû'e de pétI.;otLe d'e COHoil1l:bey. Le 11 nO,neJllllb11e, dlUll1ll11l1t plus Id'ullTe heure ·et !dell11li.e, :S'al~S UIl1!e .s'ellliIJe nol!le lelt 'aMec fUn 'S'ell1s /pbdlagog,iqUJe que noUIS !Irui env.i011!S, M. Ro.GER BONVIN, PIl"éslÎ.del1't ,de Si0ll1 1eit ,ColliseIiilILe.r NrutiÎonail nous a:éS'U'l1l1e la 8iÏltua· ,t.ion h)"c1Il'o·éJ1edtrJque du i{'.au11on, 'S'eS ,débfUll1S mo:d:elSI~e:s 'Vlel1S 1907, Œ'BS 19'1ianJdeJs Il'éJallliis'aitJiIOllliS d'lalprèJs-gJuel1l;e Ielt Iles d 'el1nièle!S pOISlSliihi:El'és 'pOUIl' J'JaiV1enm: IID11'méJdrirait. ILe prog,l'amme lpOlU!l'

le r\'J.ulmesltl1e ~de 'pilûn1Jeil11/p,s Ismm 'li()IUJt aus:slÎ. 'co/P!Î1eux, .l'l1lUItiiJlJe de ,d,H.1e cOlInlbli:en Ilt()IUJS appll'éci'onlS deJ~Ve riniltlilat'Î'Vie tilJ1!arugu\llée Ifln mrui Id:el1nlÎlea.' tp'arl' lM, OROSS, ohef ICl,U tD.époa'l.'teQll1e!lllt, 'elt qUleil bénéfiCie nOiUlS ren ,re'tm.,o'll'S p01l1!l: 'lTo:tœ fOllmal1Ji'on génffi;awe e1t Ipll'olfle:ssiolill,e/l!le, :Les. nOl"mrulJiletJ.'ts die ltangue a!lle· mand'e 'Ol111t :alUiss,i 'leur ,cyoLe Idle 'c0Illlfffi1etJ.l'ces, mruÏis j'Iavolule - là lJ1t1a hOnitJe - n'lalVolÎil' [J'ais nOltJé les SlUj'eJtJS, Mle;a 'Ûu

'lpa !

Les dlrals.S'eis"p,!'omenald,eJs :COIl1/tll'.i!brtllei11t :eJltLes laUISSIi là «ou'w1ùr Id,es !lenêltl'e's ». Le 6 o'c!tJobll~e, ~O'UIlJes Les dLaisseis paliliarùenit len IOOlUllS'e, Une ll11'fll1l1li'on :p·a!l1tiiouil,ièIJ.·e là [la 4me Iflrauça.jsle qui 'VI1s1iIba avJec tpl'ofl~t il:els forges GIOVANOLA leJt Ilia lf'amtJC{'ue Ide ipli'Bl1l1esS ,rullJiiffi.CJ~eItlleJS IDJEV!A à Mon!~heJy, apll'è;s JaV'o.m.', tau Ipréarlable, é1iUJdl~é Ilia 'qiUJelslliÙOIl1. en cl1asse.

Bans ,Cie même ollidœ d'~I c1,ée, j le Js1gnalle, :sur ~',m.llÏJlii'aIlJi,,~e Idle .M. nEVANTHEY, Iqu'wu COUIl'S d'lM.,hiltu.iers, 'conf,Î'é à M. SOHUTT'BL, a Ié\té unaugurlé 1000t 'aultomue. l'l le~ t Isui'VlÎ. rpar 25 n01lIDaJliilen6 déSiJr eux Ide mireux COlllna~tJl'e :l'a !~edl!l1JÎlCJ'Ue leit Iles :rè'gileiS Idu foolt-ha!lil 'e1t die OOllltlu,bfUer oo111s,i à éH evea.' J.e niveau ,die ce ISipOII~t 's.i mlal rooulIp\llils dlu gIJ.i lll11!d 11 ooTrlH'e ,

Sur ,Le rp:lan Is'Col'ai'l1e ,pl"olpll."etJ.lllelllt Idl ~t, ,p',eu .de chOISies là 'stÏgnailer, }jes éllèvels ,dte 4me lalllelill'a'l'l!de 10~lIt IlJeslU11'Ùné Id,éflÎlll'i'tlilvemllen:t à J'a TlofUlsslainJt rpolll'r pl'etJ.lId'l1e Jtes

pOlStes 'Wl'oanWs Jau Id'ruà o le la ~aSipi1Ù1e. :Au 'liep'as ide :clôltJUlie, :M. lA. OHA!STONAY, au nom du D é!p'a.11~el11enlt, Ileur .'l souhaité bO\l1ll11e 'Cihtru]lde e!t DchuJI'HeiiJl !

ne le\lll' 'cÔ!té, ,les 4me flrançalÏJs:e s'onlt :1'0W3 p'a'l1liÏJs :en Iliell11ipJlarcetJ.uelllt ·de 3 eeJJ.ua,ùl1'e'S d'lID.'ru1Jt le O0ll.I3.1S Ide lI.iépé\t~llion 100 11bglilmru1!t 6, ,C'lelSit comme 'CJefl'a lquJe J''01l ,a:ppl',eI1!c11à na'g'ru' . .. e,t summger,

NOiUJs laVO,l1!S s'alué laViec 's'abÏlsJf'a'oliion Ille Jl'OI\l'VIeà hahilt Idle l'ECOLE VAlLAISANNE, ,do~lIt [la ré!dta-dt>i'O'n Ie:Slt 'cOl11if,iée Id'ol'téJnav\anJt rà ~'IBC'ollie NOllirnal~e . o.n nous a lalÎ.'Slsé lel1!~eJJ.lIch e crUie n'ows c1'eViùell1d'I'Ù011JS ocoasiol1l1'e'llle!lue.lllt 'co]1a1hoil1alfrelUJl1s. Atprè's ItO'lllt, /POiU'l'oCfUori IpalS? Les alpP'l'e'lllliis ont crueilcruetf'Üis Idle bonnel5 idées doll11t Pl'ol!lû~ffllIt il:eJs lPaltl~oll.1!S et lets VlÏ!euX oU'vlnUea.is . n :eISlt vr,rui ql\l!e c';e;st blÎ.len il:,a:11e.

Prarull Nanchen

- 33-

Page 7: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

T~AVAIL IDES CANDIDATS AU BREVET P,OUR 1960

Le Itr,avrui.,l écdt ·d'eJ5 'oll'n'd,~dll'bsalu -Bll~e'VleJt pOllirera ceJ~~e année sm: l'en/s'eJÏ'gll.1fflnerut du

calcul, ISIU'r Ila hœs-e IdoU Iprogr-aml11le o.Co'l"'l'eJs'PonJd~1iI1It il J,eUlr deglré d"ens'eJj'gl1'OOllBlllt.

iiI Is'Iag~t len f'a:lt .(1,e l<édlÏgJe.r un rapport écrit 'SIUlr la façon :d'on~t ii/liS. onlt tplU a1ppllilC}lUell: ['e

nouvelau Pl.10'g'1,a1l111me dans !LelUir 'CiI'aISiole. o,n 's'a,ilt qrUIe 'Oe nOU<VMU Ipit'OlglliWl11Inlle, 11ii'l1é il miiili1e

e:;œl11J]11'aJ~r-eis 'seJulle:mcnlt, en eJS't :eI1lCiOl'e 'au 'sl~ad:e d ie l':expfu,iIlTIlenltaltÎ'on, Dnêqne 'si oel~be ,exp,bnÎlueln­

~avilon ,eM é~e.nJcllUie à Illoult l1e 'P'ea;S'Otl111'e1l lel~s'elignlrunl t. Iil 'eslt tpo,s'Sii~JlI'e qru'on uLOIdMlÏie Il'une ou

na,ubœ 'Ol'1O:sle, Isi pT-éci&bme.ult il"el1ls'emh~e ,du 'Pell1sonnleJl lel1JS:eligJ1ial1lt I(l;ev-al~t 'en exp,pilmlelr ille d>bSlk,

Ge IS'OIlllt 'SU'litoruit l'es j'eIlHle!s Id'els ICLnq pl'~mièlr'Cls la,nnbe!s :qwi lSelt'-onlt chrurgréJs Id,e ce tlt'Ia>valiil,

DilllCIS oil1'ou:s Idonc ce :qule VOOU'S p'BllJS'eZ Idu 1110UVleJau 'J)ll'oglt'aa11!JTI'e 'cle caflCfulI, qUCll,1es eXlpbtwen­

ces VoOIUlS aVlClz If1rui:lleiS d'anls oe ,domaine, VOIS dého'il'I'J3, 'V'o,s 'réu513,j I,ClS, IVoOIS <su gge:SltIÏ!O,I1iS , Ooox ~:ruli

eXJpé'I.1iimen:~enlt ,c.u~sfflllal~re ,dill'o_l1It no'tall.11melllt cOlmnllelllt ceJUbe rmbthode la IpIU Is'tin'séllier daI1!S i1:e

l)l[og-L1WIllltnle, .D:e ~ràce, q'll'Ül1 nie D10iU'S u~l1've l)la'S 'Un 'résumé du Ipcog'l'a1111lTIle, loonll'me Iqf\.lleiLquelS-U'l1JS

l'OO1lt 'flalùt .l"aln IpalSfsé po'ur Ja Ilanlg,ue m'a!~e:l'll1lellle ! MIMIS du Iv,écu, :du llJ'eIl1S'OlUl'el, dels f'ailts ou

eX!etlnp1C's Ip11aJl"iqUle!S 'oolnv,enanll 'à Il'oult un Igll"ioUipe d'é'lèVie'3, p1ru1tôt 'que i1c l'b9uJhalt Ide VOIS exp-é-

11iell.O!'Js ISill'L' Ibru <ou l~eJl ülld,i",ildu ( .S{Uj I Cl~s id'Iex-amlens lruv.ec irbs'Ulhruts -oihteinUls, glia!PI~Q1U1elS, SlbatfÎiSltli,qulels),

En O'Ulbr,e, 'le DélHllliremlen't IcL! Il'InlsltlliUlcJ!lÏon IPIUJJ1!ilqll'e ;ru~till.ie il'!alli~e.nlllÎo.Jl IdetS j'eJUlnlels ~n~iei'gl1m1'tlS sur

l'oihl,ig'altii'on 5' ~l~ic!be die :L'é:dligm' ce I:ll'avail.

T'O'lts 'oeux 'Clt tOlulbClS crulleiS q.uli n'lall'L'Ollllt lelll'V'oyé loe Il'arplpOl11 à ,1eJul' li'J1lSlp eObelUll.' pour [IC 25 oIlmi

ruu p1UlS l)a,l1d ·S'ero.n:t auJ~omla,l'iqtl'emlen! t Ilie\1lrul'ldlés d'unie .année 'P0IUII.' 11''Oh,~ffl~ui:Oln du IB l1eIVlelt.

Aiu :l11Imnelllt où lie Val~a~s el1!Vj'Br fwilt un effoil.1t Il'eltn'a,rqlU'a-Me pOlUll.' -éJlev,e,r le nil\neau de

l"ens'eJig.l1ieIl1'el1it IS()lU ' Itolll'te·s lS'es 'f'OIl'\l11!eiS ('P'roJongH'llÎ'ol1 de , Il,a IS 'CO~ifI'L'lilté, CO'llISlIIl'uCltliolliS 5co'llalilr~s,

améJ1io'J.'Ialllj,on .d,Cls ItIl'wjlremelli;'s ), \ill IÏm!poll:!~e qu'e 'P'CII.'ISOl1n'e ne il.',echi'gllle à Ila tâ.che telt que tolUS

JetS j'c/UIliel3 loolJJwhOQ"enlt à 11'édl:iflÏ,c>altlÎ'01ll J:·a'llÎ'01.meaa,e d ie Cle piro·~m111ll11te (j'll'iill,s d 'eVIl'ool't lapiplIiqu:eil.'

d'l1lml1!t Itolube .l'euQ' ,"'Ïie 'pll"OlfleJSSiÏ:o'llaleJlll'e, Le pl'O'chalÎ'll nUlmé1'0 Id,e Il'E'co'le Va[,a,isanne Idolll11:ell.',a Ile pL'·og-Nlllnm:e JeXH'Clt, éonilt oeit otPail,

du Broe'VleIt die Caipadlé,

CONCOURS DE PIECES DE THEATRE POUR LE,S ENIFANITS, PAR ILES ENFANTS

* Aux enf'aI1ibs Id:clS é(~o lle.s die S1l'iiS'Sle ,rom'aillde, un conc.oll.lll'S de pièc'e's doc théâ,tr:e C'Slt OUVlBl1t pa,r

la TV ;)'OImande,

P,eUVleI1Jt y p 'alrliICfip-eu: Itous tles eltfanlffi âg,és de 14-16 ans, sous Il'e cOllitrooe OIU DmÎltrlC,

:m -s'aogli'1'a Ide Icomp'Osell.' une p!ÎèC'e, de 3-7 pell"SO!I1nlfllgetS, d'unle Id'Ull1ée Id,e 15 an~!I1:u1~eJs, d'y

jOli.ndll';e une (l11alqUel~~e dieS d,éc01,'s,

P,anui oelS -elllVo:Îls, 6 pièces s'ell"on.t sél1e'clt'iollnées,

* Oe.s 6 'pièces S'eirouit tprét.<::etllt-éeiS ,à Il'éIInlÎ!Sls~on pOUl' J'elS enfanlffi, jouéle.<; ,par iLC/U1l'1s all'bell'l."lS ou des Clwmamc1les die la dlla ISe, à l'wLSOn d'une plÎèlce lt'ouiS les 15 jOIll'l.'S, S'Ull' l'e 'PJaJ~ewu d,e lia TV,

il Gemè,ne,

Les ,délcOll's o5'I'J11011It conslJruirtls pal' ~e,s ISpéoiailiisltleS ole llia TV, lSeJ'O'Il arc! moa,cruelt.tle,

Les -eufaln'ts téllbsp'elOta/1'e'UIl"lS lS'elronl ill1VlÎlvélS à donner 'reuir aVlilS pao!.' cru:ire pos:t<alle ad hoc,

COI1itlenanJt 2 Irubriques: 1) V,wlleur du rex!te, 2) Il1itBII.''PIl'étaftli'On, lSel.on une é'chellJle de 1-10,

Le meliJil'ef\.llr re'ceVl1a un prix d'lUne valeur de fr. 500,-, 5 a'llllll.'·es Plrtix d'une val'e'Ull.' tlôltlal:e

de fil', 600,- lJ.'écompens 'e!l"ont ilJe's 5 slUtiv:a]]/bS, Lels IfIl:aLs d-e tIl1anspo-rt, 1'etp'as d'une répéülÛon (m'a'r,dli) et du jouil.' de 'l'émlisslilOll (1f111eJœroolÎ)

sermllt à Ila ,oha:rge de J'a TV, Les poièc-ClS 'PoU1l'l'onlt ê'tlre joU'bes UlL~briteU/remel1lt clans U'll théâ~lr-e de CaJIUpa gl1le, à iI.'IQ-ccaosoÏon

d',une vellite, etc. P.CII1'da'l1lt :~es Il'ép,étilhi'Ül1s d'elS pièce!3, 1,e8 elN'ants l'elCeVlrOl1t Ila VIÎ!SI~tfe ,des spélCJiaiLilS'tletS de la TV

qUli Ile.s 'co.l1'seiŒILeJl'Ol1it elt tplrocndronrt que/1ques ;plantS, Ges séquenCCiS S'CIl'Oll1lt d,onnées iLOil.1S dlC

l'énl'.Î!sslion pOIUtr les ~f'an:ts, en «aowaJl'ité »,

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r P OUlr "OLS oa,d'eaux de f~l1 d'année, Pour vos Ipl1ix Iscoil!ail'es,

.BOiUll' voIbl'e IhiMi,olihèque de ,dJrass'e :

UNE BELLE COLLECTION DE CHEZ NOUS:

LA COLLECTION POUR ENFANTS «YVES et COLETTE» (Aux Ed'ÎltioJ1ls St-Auguisitiilll, ,à St-Jv.]jaulJ.'I1c:e)

N"ClS!tJjj} pats vrai qU'Ion va 'ChCll'ohèll' ISOiUVenJt Ibl'èls [oin ,oe cru 'Ion ,a SOIUS ,Jla Inalin ? Oe n"elst

pais se'l1ilemel1lt w',rui du honhe'lllr, ima~s ,d'une f'olU!Le de cho's-eJs 'Clt Ide '11ecetibes, On f'ailt -de -g,rands dé]11a:cetlnIBlllts, on 'Va conlsul,ter au Ilotjtl1 c1',émi~nlel1!tls IpraJlIÏJo1ell's, :sur lia Ifoli d ie Il'édamlCls 'l!ub1ici.

talill1es saViamanen't tOOllçues, 'on f.alilt Vlcn'Ü' 'd'laJilli~eIUlllS Id,Cls :pil'o,duIÎlbs lqu,i 'Û1"tt leul'ls 'équli'V'alenJts tout plrèls Ide Idhez soli,

n tBll 'C'st ·ailllsi dans .l'e domaline d'e's Jtivtl'-elS , La 'SIUIl1PIl'odutClbi'û'll fil.,ançwi,se ICiSt l ~ejlJl.e - tp[lUiS de douze J11I~Hehi,tl't'JS p -ar an - 'qu'leJ~le 'éclJ.ipse Itolta1emBm l1C1s Ibirni.dles 1,éal1~sa'bilOnlS Il'oil11amte5,

0.1' 'pql1mli, oeJS tdlernliènels, de nous lest un ·d'eMoli,1' ~dle ,g·ignallBr 'au ICOl'pS ,errS'Clj.~nant [a coJ~c­lion YVES lET ICOLETTIE, ,des EclùitÏJOlllS ISt-Au,gulsitin, à Sa'il1't,MalU,IJi'Cle, VlaillalilS, Oe'liUe cotll1ecJLion

pO'Ulr lel1'[Jallibs ne Ile cèld,e 'en 1l',ilell1 laiUX tll1leli,11e'lwe:s oOilled~i'ons tf11ançalÏJses de chez IMame, O,els,C'lbe,

Hachfl~te, Flletll11US, BOIU'l'l1eh:IClr, Na bhan , Gé\ltt~i'er.JLalll~uel'eJa'll, >ettlc" ni POU'1' 1'a pll'ésenltaltÎ'OŒl, ni pt()IU1' 'les Ü!1Il'Us't11a1bi.0IITs, l1Ii pOUlI.' I,e tllexi~e,

L eiS tEdiuiollIs St,Alugrll'sajilll OIl1t II'JU Ila cJhall'oe d"o.JJltenÎ'r l,a collilaJ)'oo',a/\1ion d\l'llltle'll'l1S fOa.'lt cOl1!nUls, IspéCJ1'alllils/tets d'eiS .ell1fanlffi Ielt \add.lelsoel1l ~JS, oOmme ale R, p, HUBLET, Ille iÜhanoliiJ1!e VIEU­

J:8AN (lp~Sie:uldo'I1y,me RJel1'é BI'Jaudllair 'Olu ]oeal)] .le 'PIPei hyltèll'e, leJ\1C,), TolUS ICOOX qu1i, 'connue mo·j,

on~ t 11u ILA IMAIGNIF1QUE AoVENTURIE (iDol1 Bo'sCio 1I.1aconté HUX 'enlf'aJ1lbs) de Mall.1cel1lle PEtL­L1SSI,ER '5'e11011It ·he'l1l1e'llX de 1l1eJm'OiUVetl' Ile nom de 'c:elti~e auIIJ1eJl'uilcfU/e _Valalils'al1ll1!e ~ous q'lHIIlJrte

allllll'es ItliJrl'e'S ,die J-a coI11eo~i'011. C"eM tm)lE'ez Idl~l1e ItO'l1ite:s Ile1s -g'a.1'a~t~i'es Idle Sé'C1UlÙlllé mOll1c'l,J.le, ,de ftine

1~3ychOllogi:e let telle Is'ens péd'agol~iq.u:e 'a,~el, l:i Iqu'loff:lJmllt 11es l,ilVll els Ide Ila Is'é:l,ite YV,ES ET COIJETTtE,

Gelne cOlm'edvion 'et5lt in'coJ1nu,~ td,e ' helaJueOlup Idle martll1es IBt ~naÎJ~11eS'sle's, 'qllli \I1"Ol1lt qUie iIIl10p

tlerJidance à IS'e Ir,aVoÎ'talÎNIC'r dJ:ez Ile:s éd~l~eul1S Ic:omlmBl1oial1mUffltt indlilffbt1el1ivs 'à ItoluJbe Ii/dée :re:lJi.gilelUIS'e,

Aiprès 'Une 'p'11j,se Id.e 'COI1!SICJi'CfJ1lCe IneUbe de ce d'eVlol~r, IC"elSit len'core unie 'Q1ulelS'~ion .a'e sot1i'dall.Ù1té v-alla~s'anllle qui (I.oit &t:l'Ie pOlsée, Doanm'ns not11e :a;ppU'i alUx il'ba,},i'saltlions d'e ûhez nous qui sont

l"Cil11'aJl1qua'hUtels pail' illeur bienfa'cltuœ, Il'eur ,e:Spliit Oh11bllien e/t écluc;a1tif.

EXTRAIT DU CATALOGUE, (,cOlHedion YVES ET COlLETTE)

Pierrot et le rayon de la miraculeuse étoile par René Be'a 'uclair

OfflÎ.ce d 'e ['Ens'ei'gnemenlt,

"1,iched11lell't li[nIUSltll'é, 80 p lagie'S, ' pOUl' eil1lflanlbs ,d'e 9 ans, broché, for. 3,180, 'l'e/lié fI.', 5,60,

P'~eJm'o)t a dBvancé 1,e LUNIK dans s on fléér,ilqtU:e voytagle ,à ~ 'a ~U/l1'e,

Pat et Pouf, mes diables aux yeux clai'rs par Malrcel!l'e PeHj's'Si'er iilI1U1~b11é, 160 Ipa.gles, pour eInlflallills Idès 8 aniS, IbIl."o'cJhé, [Il', 3,80, ilieilJi'é fil', 5,60,

De'llX jlume:aux 'p'élh1.Î!s Ide ldéfaUll1s, mal~s fonoiè'l'eIm'ClI1.t Id110ûl)s que Je IIIBoteUlr ' ,suiVl'a pas à 'PaiS jUisqu'là ['achffl11lmemeI1lt vel'S JJe ealdelidüCJe,

les petits Robinsons du Moderne·Palace pair MalrcelHe Peihl-ilsl$lier 200 p'a'g'es, ~mpl'.esstion len 2 oû'u:1mllrls, :dès 8 'ans, BiI.'lÛ:ohé.fr. 3,80, Ire1l'i,é fil". 5,60"

HilsJto'~re Ija:l:pil~al1J~e ·<:le .d,Clux enlf'al1'~s h'ellges oCJl1!a!S1slbs pa,r Il·a ·~ueril'le e!t qUli -se II.,Millgh~nlt da'ns lun pa/lace 'Bll J."l1oLn:e, Commelllt 1jj}IS 1f.onJt 'coI1lnaJilS's'anoe 'Cl'UQl jlClUue 'PDÎ1l'oe Il'USs:e elt d'une p'e1t1iJre V;aIllalÏ!S'anne, ,elt 'qlU'eillOOs 'P'brlÏlpéJ\1iJes !S',en IsulÎvenlt, ]e ]ivre -vous Q'C dlira,

S'}rvice du Roy par A M, Huhlet 136 .pagels, ci!11us,lII.,é, dès 8 ,a'l1s, Bl'Qc'hé, fIl-~ 3,80,.(l'icllié f(l', 5,60,

L~~ualdl~e;l1elllt l~·bl'oïq.ue d'IlHl lenlflalllt tau ISie:liV1~O'e d'un lI.'o!Î lLéipil1OOX,

~ 35 ~

Page 8: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

Zou par A ,M. Hulblet

240 pagelS, b,l~oché, [1'. 4.70, dès doru~le ~ns.

L',hilS'~oIi'l'.e 'd'uncO'I,lrégte.n pa~~~i éliIUX c;ollQnli~rg, quri sauv,eJ.·a IS011 pèœ .d'unie mtO:l:it ]J1"ll1~aJle 'et ~;e lliamèl1'eI'a à 1a foi.

Les contes de tante Berthe pa·r Berthe Franell 136 page;s. -Dès 8 ans, brr.o'ohé fI'. 3.80, mNré fil'. 5.60.

La chapelle aux loups pair AM. Hu'hlett 144 pa'ges. Dès 8 ans.

Be.s contes ~néd~lls pleins '(l'humour 'et de fI11aηc'hieUil'.

Sept p:eds à la recherche de Tuli p'alr Gina lPedottljJi 208 Ip'<l!ges, ,dès 8 allis. BDOClh1é, !fI'. 5.50, ilie'l!iré, fr. 7.50.

Deux pelll~ts i!!'aiLi:en 's qu4 pall' \1ell1!t à lIa !r'eohletl',che Ide leUJl' (Sœur llIl'aJHl'81l1lieUSe, r.6USSitslSentt à o}'aJ~~ei'l1odl~e g'l'âoe à ]lem.' .hou ,s'el1JS, 1elUil' .dbbl,()!Uiill!l:a~;dlilS'e et ~fflIrl' o,pl\JiimIÏlsm:e ...

Tony pm Mar·oelle PelHissier

Dr~spolIIibILe 's:eulennet'l1t l1eilJié, f,l'. 5.60, {lès 8 !ans. Trdirs h'islto.Ïil"es dl'ôl'es 'et spolI1l~ané'elS qui p'ellx!>t4aile<.Illt :lil'OP de ffieuT {J.,aî:chooil' êltJre 11'éSUllnées. TtÏrennlent 'Bn hra!1ejll1:e ... mêm.e tes gr'élJl1clefs rpensonll1es !

Essences de lumière par ,A,. Hublet 248 rpages, fil'. 4.70, dès 12 ans. Un j.eune 'cOlUégÏielll \d.alllls un éJ~abilis'S:fflI1et11t a'l1l11il"eJllig!ilelux : 'SetS luttes, ses d'éi[,aiÎl1lances, sa ""Ïldt-0:i1l1e ,d,éf~IlNithT'e . iEl:a.I!dle d'une psychologie <très pénétl"M1Jbe,

Les petits nains de la montagne par Palull Clélmence 96 pa,gleI5, Ibro'ché fil-. 3.80, r.elLié ft.. 5.60, dès ihuillt ans. V,()tioi J'apPIJ.',éciraltiÏ'on qU"Bn .donne l1a HeV'llie de ['A.C f,érnlill1liIlle de Fll.'alllCie de Cie Hrvlr.e. v:eICh!itlle:

'Les p 'e:tiüs ll1a1hIlS ·d.eJs'cendlenit de l~ mon!l1agn!e ICha:qll'e 801Ï!r, lfaiÏll"e œUVol1e rulbiffie lI11y:sltlédeu<ie.

m'ent, chez 'Ires Ihraibilllan!bs dies .c!haum!ièa.-.e;s, ISIUrblmergéis !pélJ!l' 11eJllJl' tJ.1a'V'aJi1. COIl"alill'e, [a p'e:'t!i,te ~uUe ,d'une paUVil'ie Vleuve 'lml'1ac1e, iest ·ém:e!rVleii!tlée de V'O'Ï1I.' ,la l1eSisilye Ide 'Sa mèlie ,laiV'é'e <d,ans l,a 1J1U

IUt, arulS'si 'e!slgaye·1t·e]llJe ,dIe 1S'll1l1PII.~ellldll.',e [leS ipeltJilt\'; l1'a~ns dans (lem' Itl'alVrua ; eJI~e frui;t ain8,i la '(lÛ'nnHiuSisance Id'e Mé1usJi!l1, Gràc.e à 'Cie rdlell1nroor, [''ilisanete ;s'i.I1JS~aa1re à oe [Ioyler, mlais eMe aV'illil le cœur d 'e Be:lif1ho1rd, fll.'èl1e Idle COl'al~iJ1'e, qu1Ï veUlt av.ec Id',arull'l'eJs ,ga,rç-mlls, all.'\l"la'Oher ,1eups !llrés'OJ.'s aux na,ins, POUIl' éVl~~etl' un déJs'aJSitJlie, MéJUlsân se :sacrti.lœe et dils)pm';aîtt daus .PeXip'l-o-siorn rp'rovioqlUJée p'a,r 'l'elS na4ns avant lLe'IU' clépar1t. L'es dang'etl'eus'es II."J1chreslse:s 'd,e la 1ll10'lüagne se Ilir'orufvJenit ,déittlUulJes, mraits OOll.1ailine Ip'1eU11e 'S'on i11'aiin h!iienf:alÏJ\Jelllfr.

' Ce~tte his'to,m.ie leslt rdlreiule de P'O'éJslÏle elt Icle mlBlveli[i1eux et 'sa P!eIbÏ'te .hréJroÏnle ;eIslt Itrè,s al!tta. dmnlie. Le Is'ens 1110ir<élJl d ie l(le ,conte le;Slt ,fIl'èlS rsfu:, [ra ll1'Olle re'Lirg'ueuse clli'S.Orèlt'e eit profoJ1ld~, . n',est p 'as rincompa'\lilble aVeJc 11e fantŒsltii'q'l.OO 'elt 'trorurv'e s:a p~aoe s'aniS 'Or:aliTllle Iclle co.nfu'sJ'on dalllS .l'les'p;11~t des enfanitls die 7 rà 9 <aJ.lIs qUli ~~ronlt tle pe'i1ÏJt iLivrte -aV/BC rheafUl00urp d\iJ1't-érêlt.

Le chevalier blanc par A Hurbleij'

Brochré, fI'. 4 ,70. 180 paJg,e's, C01.WerlllIre, 4 corul}.e'llIl'8, pbS!IiNlÏlée, dès on~e aJ.1is.

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Les belles aventures d'Ulysse .pair A M. Hublett 112 pag·es, ]woché fr. 2.50,

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- 36-

LES YEUX DES MAMANS

Qua nid Noëll d!eIS'Cle.llld SUII.' i!<a ItelJ.'11e,

AruitorUlr de nous d,es dl~amaIl!"s

J.dUtenJt 'lJenIrrs fla'Ïs:oeaux de lru111Iièa'e. , . Oe sOI11t ,le6 yeux de <1101S m 'amal1JS !

Ces doux yeux .disent l11al1it de .choses QUIe IsorUivienll .ils voudl'a~enlt c,acheT !

On ,drevi'Il!e 'a:Ï1sém:enlt ['es 'oaJUS'es QUil ~enltlime.l1Jt ~Ie-S 110llit ·bll.,iJJle<.I' !

BUes ,pl'élpal'.!mt 'Bn cacihe~te

D.eJS 'sullïp'rrÏlSe's powr leuDs ;elllf'a11'bS, 8t quand ~',Ïlench'a lIra IdoUice fête, Chaoun TeOeJVil'a d.e.s rplJ.'és'ellJ!Js !

A1N1Jsli Ide pel1iS'er à Ila joi'e QU'é.pil:ouv,eIllt g:rand,s elt rp:eiI!Ï!IJS,

Ses' y,eux bl"1Î!lIlerIlIt '00111lme die so,ÏJe,

Noillne Ibonhooll' les Il'éjouut !

ne 1·OiUIS ~'e·s 1iré'Sol"'s d ie da fl1eIl'l'e, l;·e Noë'l ou :du N ouve1.AIll, Sav,ez·vous 'oeux qUie ;1''Ü11 p:rbfèl'e ? ... ue ISO~l't ,le8 y:erux Id'ul1Je l11'aman !

«Poésies de Noël» 1952 (Epuisé), Avec la bienveillante alhtorisation des Editions Dela. chaux & Niestlé, Neuchâtel.

Aux mêmes Editions :

GASTON DELUZ: Deu.x Mystères de Noël,

A. DOMMEL·DIENY : Le Jeu de la Nativité,

LE BŒUF ROUX

Le bœuf roux allla,it l:ellltement,

hl é:till!t gros, <il était ['ofUoud,

IN bien éV1elÎillé, ni savant, mailS il pelÎnaiJt dm' au ilaJbour.

Un oSoi,r qU'ii.J. lI.,erposalÏlt ohez JaIi, aanrs ,S'on oh'SoUire et rpaUVil'e éltabl'e, ill fruit [évelillJlé à min'lliit, pat' une ,dlalJ.~té admm.',ahile.

Dal\1)s J,a mèdlle, '601l'S son fllu s'eau,

n ,~ÏIt - oroyoallit il'ê v etl' ,enCOtl1e -

un IITerttÏlt 'en:f.anil: ItOllllt nouvearu, blond, lJ.'o'se et [Il'ms 'comme l'aurore,

Le bœruf Il'IOUX n'osal~t rpilulS bougen.' ...

L'Ie.n!f1alllt ,d'on.n 'ail!: ,en \Sou~'i'anlt,

Le hon gt'O'S, rpOUll' il.'e 'l.' échauf.f.er, souflfilar~t dessus, ItIl'ès douceme!l1!t ...

EJt [Ol'SqU',aJU llll'altll!l1 !hl happa 'Cfuellques 'hll.'ins de rpaJiil'le let d'av,oine, rpOUlt' ,son humlb11e 'et ·fll'u.g;aJl T'epws, De Ihœuf rmm:t mang,er . , . . d'es étolilles !

Sianone Gu:en.det

Extrait de QUAND NO EL REVIENT, Dela· chaux & Niestlé (1959), avec l'autorisation

obligeante de l'éditeur.

Plaquette de fort bon goût contenant 23 poésies et 3 'saynètes de Noël que nOll.S recommandons au personne,l erw;eignant.

Le Rêve de la St·Sylvestre (2 jeux scolaires en partie chantés)

, d d' d N "1 d valeur inégale ce bijou, déjà vieux de 3 ans au moins Et parm~ tant e Lsques e oe, e , qu'est LA PASTORALE DES SANTONS DE PROVENCE, Polydor 46104, 33 tours.

---.37 - -

Page 9: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

COMMUNICATIONS OFFICIELLES

COURS DE SKI DE L'A.M.G.V.R.

Un cours de ski e\Slt ol'g'an,j,s-é à ['rinillentiÏolJ1 Idu I{R!tl1sonn!el eUIseliignalll1t IIJ(~s 26, 27 déc~mhr-e 1959.

Enitrée -au CO/Ulrs .Le 26 sau nnaJvin, chaqu,e ip'cw:tlÏlcJiparn't 'J.1eço~t : 2 IÙnd /emn~l~élS jOl\llrna~lièrelS à f,l'. 9.-, 1 ind.emnilté die nJUi't à ,f'l'. 7.-. Rsemtbouil1S'CmICJ1/t ,d'C's ;f:l'alÏJs Idle 'V,oyag,e !clu !1!ÏJeu d',el1i5leJignJe. mleut lau l,i,eu du COUIl'S.

IAux p lau:llilcip'élIl1Jts qUli ure <sont p'alS mlemhre.s d 'e ~'A.,M .. G.V.R., iiŒ lle'll'J: lS'eJ\'a 'll1eJllenu ILe mon· tant de Œ'a 'collli's'a!tJiOin 'pOlUl' ['an'lllé:e 11959 telt 1960 IS'O,~t 16 f:r .

Ohra;ql1le ·PélJ11Ili.oip'anlt Il.1ecC'v,l'a une ,con'V'Ü<CJa/:JÏolJ1 ip'ell'SOmle1m,e.

f'i1!S.Cl'~pitlio:l1's au.près die Samuel Delaloye, Monthey, jusqu"wu ]2 I(Mc'emhœ. Aipl!'è\S ~eJt1t<e d'Me, sanoune ill1'S'orilpti'Oll ne 'S'eIlja pni.ls'e en conSlidbl,a/tlion.

TRAV,AUX PRATIQUES POUR NOEl

P.our dies j/eunes i'l1!SillLl1ll1~e'llll's Ie't 1Î1l11S1t!~tJu)tIl'li:oes IqulÎ n'Iout ip'as lelIl'COO1e '00 ['locoéllS'iolll doe 8'UIÏ'Vil·e un cOIlm<; d'bté, lia 'eJSlt olJ:gal1JÎ.oS é ,UIJ1 ,cour,s rapli:d'e :d'une ~ipil'ès·mi,clJi (4 ,ho de trmWcll~l . é",enltru~]a'eJ\11Ielnlt 6 h.), le jle'U!d'i ;ap:rès''l11iHi 3 Id'bCielInhil1e pl'oCihalÎlJ.l là 11'iEJcol~e NŒ.1maille d:es ilmlttÏJtulttem1S. Mo,nitJag·e.s simpLes pO!UJr Noël • Oommarnld'e de mlairéideil.

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L'AVENT Thème lJÏJllmg.iqrue d'une Il'îÏ:ohelSlS'e ert: d'rune dlensliI~é lI.,elJ11élJl'qusaMe. Ne p,a,s pl'iéJs.enlber leoS IildéJes 'CIi-:d'etSsollLs tolUl~es à ~ra folÏis; li[ nie flaru/t 'pas que l"enIf,ant

eJ'l'tende ~a même ohos'e drllll'anJt 4 oru 5 ans. Au OOUll'\S WnféllÏ1eur no;lIamment, on inrs1stel'a sU!r le présent, négrligeallit le passé et le

fultur lélJUX'c{iUleils 11'1e11Jflanlt .els!t ip:eu s'elIls:iIb'Le. LEÇON leSit ü ;i synonyme .de suhdi'V'1s,iol1, chaph11e; hl n'!imJp,uqu'e aucrunel11'enlt la

néc:C's'SÏJté ·dle to·uJt -vorir en une fois.

LEÇON 1 :

REPLACER L'AVENT DANS LE CADRE DE L'ANNEE LITURGIQUE

RélJppdlelI' les 2 girand'S cyCiles d:an~ l'es/queLs s'IÎIl1!3'C1l'~lylClllt l,es 52 :dlÏlmandliBS die l'sarmée :

CyoLe d 'e Noël (In!c'arna,tlÎon), Cycle de Pâqu'eiS (Ré!d'em'Pltli'On). Gel~lIe noil1ion é·t<anJt ",asite ,elt Iahlslùr·alÏJte, r 'e'c.om'IÏIJ.· d'leimJb[ée aru deiS'&Ïl1 ou à a'lÎItna,g'e. VannéJe 'làJlIU!rgique peut se :r 'ep,réS'enJller pail' un oel,ol'e dlivi'sé en iS'epit 500l1eUll.'oS d ie ,gtt'andleulJ.'

r,elllWbive:

1. L'Aven:t 4 semruilnes

2. N oëll-Eip,iphanlÎ:e

3. Le Pll'·é·Crurême 2 ~ 4. Le :Gall-ême 4 Yz 5. PalsslÎoill·Rante1a.ux 2

6. Pâques·Àsoen:slion.P.enl:ecôte 7. Temps sap,rès P ·en.tecôte 24

",iOlle:t cl oll.'é ou Manc opui,s VlelI''t ap'rès. l'Epiphani.e

'.-iolet pâJlre violeJt foncé

pl.!.'lf!iscpue nom:

dOll'é ou hlanc

NOlus pJ.1éf,érons une él!wt:re Il'eprés'OO!tamion g.raphlÎ/que: oeMe d'uue ,Li,grue mOll1t-an,'te inscri:l'e

(].a'115 <un Il~ed~an~~e. Ge Il':ectanglLe elS t diw\Sé [u~ aru'5'S~ len :zone:s cO['Oil'iéelS cOil'il·es,rpondantt aux dHfé· renl~es tpbrio~des 11iltiurglÏquleis. L'a ligne molJ11tial1Jte ielS:t comme 'll'llie :t~ouœ; nolliœ vie eJSIt IUJle

a'scension, un ,Cihemin mOlllit-anlt vea.-s DlÎleu, dont ileiS fêre:s JJ~tur.glÏ.ql\le:s marquent iIre\S étap:e.s. Au coruns ,die ,l'iannée, d'5uX g;I'an'd,s oS-ommlelts à aillt'etÏloo.'r:e: Noël 'et PâICl'UJeiS, pil'élcéidbs

d'une fOll1tle grÜirnpée (Avent, CrurêlTIle) elt s,Uli'W5 d'u!l1 .l'le!pOlS r.elaltlif rl'l11r,arut ~es s'Cm,alÎ!J.1Jei5 qruJi

slliÎve1]t limméd-i'llll1elIlle!l11t (lIa Il'orulre se~t Ip11esque hOIl:izol\1ltlaJl:e, mailS ne ocsSle pOI\lll~1JanJt jaimwis de

moa1:teJr) .

.AJn,i,,,,é au 24è.me ,dooTI.'anche 'aiplrès l1a P,eIT~ec&.te, 'On .COilllill'enCie J'élliape œ1Jl1Jllleimle suiÎvanftie

à 11"aJitliJtlud'e où Il'on est 'I.'.es:té, d'e lS'Olii1e qu'on <s ',éQèVle ch~'Cfue 1a1l'1l1'ée 'd.avanltag;e. IBeiliIte IÎmlage die

la 'Vie CfU!i .d.o~t êtœ Uillle 'a/s'Ciea1iSIÎO'll 'c'Onll1ilJ1ue VJel'iS IDIi,oo, 'VieJJ.'S J!a saiÎ!l1illelUé telt ['éltîelI'nliiré. üeJjve l'eplJ.'.éJslCl1lt-alIlÎ'OJl g'iliaphiqru'e p:elllit êltil'Ie falill1e au I\1aIbŒteJélJU nolÜil', ou mlÎleux enCOil:e,

d:essinée len g'l'éliud elt ·con ~relI'vé:e :d'annéJe ,elIlanlléJe. Il lS'ell.· ,a:~t ·exlc;e.Uelllt 'CfU!e 'chaque lea1lf'a!J.1Jt 'pûlt la

rré'aI1is'e.r Jp'om' /Soi dès we COOlrs moyen: ce des.sli'1.1 lS'e<l'.wll'a ·en nl'alÏnl-e.s o'ccaslioDis co!mm'e «!l'enouie. menJt» rdèls 'qu'une nouveàlLe fête eslt ex.pllJiquée en dalS/s'e.

Rem:ar,qul~ . : SUir l'e deslsun, ilJe:s 24 !dumandlle:s lapil.'ès ['a PenllJe;côtJe o'Coup'ent p:t'elS'qrue illa lUoiJ!J.i,édJe la lSuda'ce c1isJpornib1.lJe lelt IJJe.s 'a'llJtIl'e:s Itemps illÏlt!UJl.'.glÏlqule'S :rlÏ.s qruenJt, '00 p!l"olpollillion, de deve·

It :ll' mien p eltlÎ't5. On ipOlUl'il'a aJoil'5 iSoiU1s-e nltendl'e un œll'tain nomihre de diÙman'cheL'i apil'ès la Plenltecc1be pM' rune lliignJe iporint1ill1é'e .

.Am üOlUl,S 8'Ulpé,1 Ï!eur, quarn'd le 'Cyiclle '~eml)Joll'a~ paD.·laÎlt :hien ,alS'sJimù1lé, on l)J,eUlt lfalÏ1~ d:essin1el' une Isecond'e ligne mOI}]j~alljlIe ItOOt pJ.'ès d ie l1a p:t'emlÏ.èœ elt p'a!l.'ailJlMe il leIlJlle 1SIl1!l' Il-alqulellde figllmeroilit ·lBs fêtes d'lI rCy'cJ~e Isanclloil.',all (Irnnra'oulée :ColJloepbÎon, PUllifii1caitJÎon, St ]ols'eiph, etc.).

POOLl' en Il'even:iil' à J'1AlVJenlt, on If\ell',a c:ons:talllell' à d"oof.anJt que c'!es t /Un point de départ, que le 11er IdÏ!l11iélJl1'ohe die 'l'A v:en:t est ~'e nouvel·an Illitt1Ull1gique Ielt Iqu'~l si'éi-rut <entIl.'re tchréltJienoS die se souha-1ver Bonne Anné'e !

Page 10: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

LEÇON II :

SIGNIFICATION DE L'AVENT

Au COlUll1S SUipéo.ù:eUir, on ,f,ell'a ItIrouve!l' J'éltymolliogtie du mOlt AVENT (moitis de la même famiil'1e que VEiNIR ; la'dvooù'l', a·vènemen!t, ~wenft).

AVENT IsÏig.IlIi[.j'e ·douc avèuemrenlt, venue ('au COllllrs li!.l1If'ér. «V1ÏisWtie »). L'A VEiNT 'l~arpp'eIJIle un til1ilpil'e avènemle'l1Jt :

1. paJS'sé: l'iavènemellit du Chr:isJt. à B,elthJ&em, en ['an l de noltl'e êJtœ, a.p 'l'ès 4000 aus d'9J1Il'elltte ;

2. lwbslenlt: l'iaVèl1lB1l1'eIltt 1(111 ,Chl'1Slt pan: 8'a «g,râ,Cle» d :anls ILe cœ'wr de 'l'orus ceux crui ~'taf~ttendenlt aViBC rfleJl'VleiUJ.' au prémnlt Noëll ;

3, fuJJuU:: ["avèl1leim,enft dru Chri\Sit dans sa «g,loilœ» ;i ~Ia f,in ,des temp,s pour élialb~:ill' son rè'gne déJ~iUtiJl!Ïf.

Repl;eIl'Oil1lS cha'oull de oes 'tll'OÛ>S ~Wènemreillts :

I. L'AVENEMENT ID'i\NS LE PASSE, A BETHLEEM DE JODEE,

EN L'AN l nE NOT,RE EiRE

A'Ultr l!Jll1'enft dût, c'eslI: wut /lie m)IJSltèI,e cIte nNCARNATION qufi 1Il0lUlS eSJI: Il'appellé ri'di ... Fau,te ol"Îg1nlelhl'e, Pl'O'llllelSl~le du Rooe~Thpit1eIlUl' ...

4000 aJns d'a,tite11Jte au COUil'S d'etSqll'eds Celtbe P~'Qnl!esSie f'lUt so!UV'e!l1it l'enO!U'V.el1ée : v,ers' 1800 av. J,·C, à Ahmham,

veriS 1200 à Moïs'e,

vers 1000 à David cil: aux p 'rophères.

RaJp-p eJl des cl:tl'col1stanc,elS h :e,tolriqUlCls: l'bclilt Id'e Cé,g aIJ:, Ile voyage, l'encomhrement de

Bethl,éem, la .grO'!)te, les bel"gel's, 1es ang'e·s, Les mag'es, le mass'aClle da-> Iamoc'ellftTs .. ,

IMPORTANCE de ce premiell: Avènement: a) pour ,l'homm'e : un bouleversem ent spirituel 'total,

la faute o,rig·indd'e répall:é'e (,InoomaillÏon + Rédemp,tion),

la vie de la g,râce qui es1 désOll:mruis possihle,

la Loi d'amour suhs,l!Ïlltuée à ' la LolÏ de crarilllbe,

)'e Pa'l'aIdci.1S ac·ce6sihlte ...

b) pour l'HISTOIRE: l'évbllement le plus fOlllTIlird'aM'e quise SOl~t pmdu11t daIlls l'hiStlo,iJ'e de , l'Humanité, , .

Le MO'ud,e paJlita,~é en d ,ClUX: :aval1lt ce Ip'11em'Î'er Noël,

'après ce ,p'l1BmlÏ!el' Noël. Jésus 'aru oBnlbl'e ,dru Imoudle :

Ex. La '~l'and,e py,ramlid'e a ,é\té con!Sltl1uite ''\"e11S 2800 aVlal1Jt J .• C. A)leJQancL1~e·[e.G11a,n:d IClst né 100 350 ·av. J.JC.

PO'Uli~aJlllt, h'llJma:Ïill'eIl1Jl!Jlllt palr~'alftt, 'aUClln d,6p!10lÎ!emelllt de .ptlIils'sall'oe ... d'hruml))1es acJ~eru.rs inconnus .. ,

II, VAVENtEl\tLENT DANS [LE P,RESENT, DANS NOS COEURS,

AU 25 DECEiMBRE PROOHAlN

L'A Vlelllt n'est -pas uniq.u:ellUelllt run mppeJ. (die ,« sO'1l:Venu1S» lb'ih!lliqu'8s, ru Noëll un :s,impie « al1l1l1V1~',s'ail'e »,

TO!llt Id'an:s tl'Av'l!Jllt 'es,t 'ol,iooté 'V'eI1S Uill flUi~Ul' lu'ès pro~h:e, un tfrultur Ide Iquelques jO!l1l~S : prièl1l~s, 'lealTUtl'C'S, cha'l1!~s,

Temps icl'<aubenlJe (Clt Ide -Pl,épat,al!ioll lÎ.mm&diaJlle, il'ralllt!enlJe RElFIlJLE ,die QUELQU'UN. ne

l,a Cé'l&blla11iol1 lJJ~tu:l'giqtUe de 11'AVlell1:t !I:éswl1eront tUne laIugmenation de grâce et une union plrus

inroÏime ,avec Dreu. Ne [leI:mons paJS 'n:os 'cœmlS Iconuue Jres BClbh1léemiJIJes ont ilemné ~eurs Jportt'CiS •• ,

24'dill'\, ~re5 \ ~ ~~Q~

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Page 11: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

HI. .DANS LE FUTUR, L'AVENEMENT DU CHRIST .DANS SA GLOIRE

A LA FIN DES TEMPS

L'Hl1'manIÏrté ,e ~t Isans cesse en 1l11ruJ.iohe ve1'S lDÏ!eu.

En mn sell!S, a,e monde lt~S1 t « Ien 'all tent~e » ,du «grand Jour », clu «J Oflllr du Seigneur» qUaJll.d

i,l vLen!dm léillah1hr son règne défwn~~i.f d'e ' Palix, d,e J'UJsI~ice... jour ' qui marquera sa viotoj,re

déifinj.~ive s Uir Srutan.

L"avèn emlelllt II (.d'aIJ1!s nos cœu11s ) n"eSit qu'un g,age 'chacfUle 'année' l1enouvell'é du ,règlne

délf'l,llIj,tif d'e Die>H.

Toute lIa vie chrbbi'enne ,eSlt un AV,ENT, Il.me 'alttenlle d ie O.Ïreu.

Elt \1()(tJœ je:n.nes'se 'eille-mê.me 'elSit ["accenlt ide n~me 'VLe, lUne alb~ell!te à preud're très au

sél1ieux.

Remarque : C es 'tro::/3 Avè-nenl'el1JbS ne ,sorllt pa,s nécesS'ruN1eanBI1Jt Jtl1dliqués dmls ~"otlidll'e

chl'onolog;j'que. Ainsi, 'c'BSlt ILe tro'Î'sièll1le 'avèn:B1TI!Bnt ,qui lappail',aîlt ItOU!t Id ',ah o'lid , laIlI 11er Id,ima'O'c.he

de l'AVCllllt. (EvangiJe de ·Ja .fin dfU anO~1ide) .

LEÇON III :

NOTRE CONIDUITE DURANT L'AVENT : RENOUVELLEMENT SP.IRITUEL, DESIR DE JOIE . ..

Il s'agilt IS'll1itOtUit du second ,avènemelllt I~l~a:~té d-dessus: il"avènelflleIlIt Id ans nos cœurs,

par la GRACE à Noëll prochain.

L es seJ\l~it)11JerlJt'5 qui doivent nous animer son!t inahonl :

a) LA PEN ITENCE, ,LA VIGILANCE, LA PUBLI,CATION, EN UN MOT ,LE RENOUVEL.

LEMENT SPIRITUEiL.

Noël es t '!souvent .fauSlsé, Il'amené exolusiveanel1t à (te,s joi,es ,maltéll1iel1es (,oadealUx, 'Viaoances,

j OIuet!s, f!l1jla!l.1~d,1s'es ) .

Le's Dues, 'les Vi1tri'l1.e'S, Iles jOIl:.rnaux y ,contr.ib.UiBll't pO'llIl- b elau'coup. .

Néces'sÎlré ,de réagir, ,de 1,end,rie à Noël son .sens chrétien qu'une 'tr~s ihlabile ao~'on laïque IneTl!te d"a.bo,Ur (Challande, Bou\holJ1l.'me Noël, son:t à -proscdll.·e ahsotLum,ent).

La l'i rurgi,e no'llls Il'appelle olali,ennent cel1te pénitence: (faire c;hel'cher taux lenfanJVs) coulleu~' V'Î!0'1eWte, 'ah Stence d e ti1e'U!l1S e1t d'orgues, absence du Glol,ia, chant de JOIÎ/e, 'ahs'ence d.e manl'

fes\}a!bions bl1UyaI1Jtes ...

L es TEXTES nous 'sollioi~el1Jt à leur ,tour :

«PIl1é.pal·ez Iles voies 'au Seigneur ... Aplanissez 'ses sentiel'S ... Rendez IdroÎlt ce qUIÎ. est

tŒitrueuX, le~C .... » (St·Jean B apIliStte ).

«F,rèl1eIS ! ]jl est 'temps de 'Vous ,réVlei1ler de vo:U'e Isommeil ... le jour 'approche ... » ('St·P.aull).

«Rej'etol1Js iJ:es œuvres d,e 'liénèbl1es et 'revêtons·nous des armes de ilru11lÎère ». (EpÎltre l 'el'

dlimanohe Avenlt).

Notre MODELE 'elt n()ltœ GUIDE 'dans ce travail de pur.ification sera SAINT JEAN­

BAPTISTE. Rleu'a'c'el- queJlquels l3 S!peotls ide sa pénil1ence.

b) UN DESIR INTENSE DU SAUVEUR (,ESPERANCE, CONFIANCE)

Thappeller Iles 4000 rarrs d'ativellitJe, Iles désil.1s des p'al~1.11arches de ~'ancie'llne Loi ...

RapP'B1Br ILe ,dé'Si r Ide la T . S. VÎlBl1g1e, Ide ses P'llJI1~11lIlS, de Zachal,ie, du ,saint v.ielillal-d Siméon.

C'est l'amolUll' (fUi Idoit provoquer IBn nous ce dés.Ïrr.

loi encolte les TEXTES ili:tTUJrgliques SOIlt ruoqueniliS :

«O~eux, 'répanfd'ez V'otne ·rosbe ! Que l'a Itlen,r'e !s'Ienlbr'orn,\nre ,et fasse ger'mer' le Juste ». (Rol'ate)

Oe désirS'e <fiailt Id,~ 'plus !en plLus preStSoaIl't !d'une selnrai'll.'e à il'/autre :

1ère semaine: «Jle ,rega,r.cl'e ,dlans Jie tlolinNnn .. . ]j} ,na venia .. . .. PIl',6par,ez ISeiS vo~es.»

2me «1lI va Vellll,r ve11s J érUlS'ailem . . . ].é11U!s-ail'em, ~èVle,tol. V:oici ' ~01l D~leu qui

v1el'1t 'avec g'rand'e dO'llCfflLr ». 3-me <.< Le SeÜgll1!~Ur BSit rpl~00he ! Réj owssez-v,ous ».

4,ure » «lJI .e's:t à !La :pOlJ.i~e ! » A'pp'ells Ipl'leSSalll~S : A11JüeI1Jll'es len 0 dès le 17 :d'éoem'blie. Oa'lll~que : Venez, Divin Messie.

Na'1'J.1e MODELE <et 11O't<11e GUIDE: ,la Tlrèls SAINTE VLEiRGE. Qui plus qu'elle a déS/i:ré ~Ia nalÏJssaJll.ce dlU SaUV1(~U1" ?

c) UNE JOIE INT,EINEURE QUI CROIT DE SEMAINE EN SEMAINE ...

Le Idésir ,dlBvilent Isi fOil1t, IÏU 'e3l t sli !près d'e ]la celit.i!tud:e, que !la jOlie éCilate nrutu'l'ellemenrt.

8mitout là paJl1rir du 3me diiIn'anche (Dimanche rose, Oirgues 'per'ffiÎ!ses) Il1JliroÏt: GAUDETE ... «Mels tfll'èI1e1S ! J.'éjouh;,s,ez-vo'llls \Sans ceS's:e dal1Js !le lSelÏgneUir ». '(St-p!aJUll)

«Le ,désert 'e1t J'a 'Sotlii..tuJde 'Sie 'l'éjoulÎ'l'onJt, la 'sltelppe Itl'els5-wiUÎlra ~t ,pomi'ser',a de's crÏJs de joie! » (.s amedi des qua\Jl'e~~eJmpis)

N()I~re .QUIIDE: encorœ !}a rr. S. V. !MIARIE. Qwi 1l11iteux que Marie veUit nous enseigner

ooonmleJ1Jt ()lU f'a'~t de 'son Icœu!' un heroeau, dans Ile ' sI~l'ence, l ie 'l'eolleûJJlemen't, (l"almour ? Joie pr()lfond'e, adm,ill'aûive, ,(l'e J'a conl~empll 'abjon.

APPLICATIONS PRATIQUES

Oe!~~e ,étude die d'A'ven't, ,cotJ1l~n'Ulée IdflwaIllt !llrolilS Isemaines', n:e IdoÎlt pas 1l1e!stea' ,théo'11ique. :0Ue d rolÎ!t 'se l ~nldlU!Î!J.1e ,en actes, <en laCJ~es ,wsMes.

C"est 'au maitl1'e à !donner IdoeJs consignes indriVi~dl\.1eilllies elt colJJI.eo~ives, ,à pr,évo'Ï<r dies tâches bien Id'éltel1mNlées, direCitem'eJ1lt -en l1appo~1t avec 1"es:pr.ÏJt Ide l'Avent.

Ces Itâches <ne ,s',im,prOV,~SleIllt 'Pas. Iil lf'a!U/t y Isong'er ,à l"a'Val1Ce : «Qu"Bslt~c'e 'que je Ipourrais hien lfirui~'e, avec tma cillasse, 'dlUll'ant tl 'AVelllt ? »

Pornr qudqwes lin bt,ital IIi Vies, TI Jaut de pl1urs con ulher Ilels IWU/t01iÎltés IS co'la1i.res 'ou iparo~ssiale'S, s'enl~endll'e ,avec J:es colHègue!s pO'llll' ,unie m'eli~'~eul'e !d,i,s'tJribution ?U ltir'avaiil. No'U!s connaisson:s

dies olals'ses 'où l1'-on 'P11ép'arte Noël d'lUrre .façon adnrir-ab1e, mais b eaucoup IU'OI!) en ,nase lcJlos. Le

1'& lL~a' t IseralÎlt hien piLas ,remarquahll.e Isi Itoute ['récolle 'cohlabol'ailt ,à une 'adtJion préoise.,

Eltu'œe de , teX!~es ,sugge ttifs sUlr Noë'l,"teX!tes capables de 1S!l'Î:n1ruiler I}ta g,énéro'si:~é de 'l"aide fll.·'alternelUe Jaux 'déshéliiltés ...

Compo'si~ioJ1ls ,fimnçaises s ur Ile même thème (O'uh1i de \S oi). Vous Itir'oUVetiez quelques suj ell's dans ce :nUlnéro.

Mise len gar,de 'contre Iles contrefaçons 'de Noël ,(,Chalande). Van :dernÎ'er Iles 'ca:ù1Oliques

beù.gles orlit 'boycoHté systél11'a:, ~iquen1'ent !lelS mag'aslÎns qui ne !respecJtaien!t [Jas !la lJ.lolllÎon chl'(~l.iÎ;enne de Noël).

Chez '!lOUIS, oeJ1Jte aCiîl~Ol1 n'eSlt prus ell'C01~ efEecitÏve : !p11udence, rup'lomatie ~t Iréflemon a va rit d'e patl1tir :en campagne !

PIl',ièœls , péCJj,~rleis en dlasS'e GUl'M1:t J'A'ViBlllt. Chaîne de v.i!sites au 8t-Sacr.Bmen;t. ,Botte poU!r ,1iJ.,ésOIl' lS!pÎll1ÏJtllel.

COllfe;d~O'Il ,d'tUlle COURONNE d'Avelllt à 4 hougœes (un'e !pal' !Semaine) qu'on raaJ.wn;e à cel1t'aJilliS ll11amenlVs de la journée.

Confeotion Id'une crèche coll1eo~v.e poru,r [a cll'a.s'se au pou.r teJJ<e ftaIniWle [JaU'VIlie.

C(}nf:ecIUÏJou ;d'une crèohe-mi'llialtull.1e Itrès simpl'e :porn,r Iles maJlra'd!es Idu 'vii'Nage, de l'hôpjlMJ ou 'les 'Vli'eÏJLlJaJ.,ds ,d'e l'-alSli.}e, TorullJe Ila ,CilaISts'e IS'y Il'enc1r,a (chan~s, rpoégi~s, l5aynèl~es).

AcJti'Oll d'e ll',almalStsagle ,de jou.eI~s Ielt de fIl1ianc1ils'es, 'conf'ec~,on de Ilainages ('travaux fémÏnlÎlnis)

e t ex<péœ~tiion d'un g'l'O'scoiJi.s ,pour Le Bou'Vleret, tle IPIl'éVea1t0l1wm, IFlle1lil'~des-Ch:amps, N.-D. die Lourd!es, Il'alsj!lle '()lU il'HÔpi'l'al. ,lll y ,a des nécess~tés Id'an'! chwque !dIÏJSb.iÎlot . . .

Page 12: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

Rt'!pél1t'!l' danls la CO'll1mrun'e ilies iVii!ehllaJl'dls solTtaües, les infirmes, les malades, les mamans

surohal'gées. V <>lill' loe que iLa ,c1asse poul'rait tfaiœ .pOOlr eux.

L'INGENIOSITE ,deis 'll1.aûtlr·es elt ma~tIl'5S'Se's clo.ÏJt pré,nenil' la GENEROSITE dt'!s enf,at1'~s !

Que ILe m laÎltre n"agisse 'pa,s Iseul: qu',hl 'aÏJt 'l'laJÏJr ,de ISe dOlmer un comité d'enfants, des

l't'!Slpolllsables d'e g,roup·eis.

Au ItaJ:>ileau Iloir, uneg,rande ~nsor.Ïipltion: NOEJL N'EST PAS UNE BELLE FETE

PAROE QU''ÛN REÇOIT, lVlAlIS PAROE QU'ON !DONNE ...

Un g'l'and cœ'lltl' d.ot,é ISUl' Ile mur ou .sUl' (1a pOJ-'ve, un peJtIiJt cœur doré (foànes Schuh~ger) sur Ch'lHFUJe IpupjJu~e ù'renf'anbs, Et vo'Us 'V'el'l'eZ [ 5S menneiillle;s lque chacun réaliser,a !

RAJEUNISSONS LE THÈME DE NOËL

Composition française

24 décembr:e, 18 h. 00. Un Wreiilhu~d, Itout lSeuil Id:ans 'sa mansard'e rongé .<l'e chagdns et

d',ennullis. Sa Felll!ll1'e est mOl'~e, ses enflan:ts 150'1]'t dti SiP'eQiSéJS, -son lIll'a'tg'lIe charrnp Ile nourrit à peine . .

lrl Il:ega!l'd,e mélan'col1iquemel1Jt 'h'oi.s 'bl'anches de ,sapin, (ltrois décl1t~ts) cfU'â.1 la Il'amassées à Iterre

dev.an!t Ile magasin. Avec rd.eux: Il'esteJS de boug,ies, ce sell'a !tout <son arh.l'~e de Noël. Soudain, on

frappe. Un groUrpe d'Ienflanlts, pOli Mll't de mode's~es cadeau x, enltll'e ... Racontez l,a scène et

l'émor,llion du paU"Vlre \1IÏe ux.

Un hameau isolé dans la monl~agne, :toin de Itoute église. POUT ilels weux et les vieili1les,

il n'y a pas de messe de mlinuilt. Mais un groupe 'd'e 'SC01lJ~S parvÏienrren!t à convaincre leur

atuuôThÎ..t'!r. Généreusement, ils s'alCl'tiflÎ:ent Ileur IréveWJlon et par,t~nt p01l!r 'ce hanteau IloÏntaill chan­

ter la messe 'de minuit ~t o:rgan,~ser lUne lSéance réoréa:lJÎve pOUl' la soirée ;(lu 24 décembœ.

L'idée d,e Mal'we.Luce. Depwis 15 jOUl.1S, Ma:rÏ'e-Luce s"eSit ;louée à un magasin du bourg

pour .failre les cOlnmilS'sionlS. Avec il:es p'iéce1ttes ,d9nné,e'S par Iles 'dlien1t:s, eYe aohète un sapin,

se faÎ!t l'em'e~tre que.ICfU5S 'prov]sions ,pair lSon p'alll'oll, en guise d'e paie, ~t pOl'te ,~e Itout chez

une pauvre veuve CfUi 'a b~en de la pe'ine à bhw,er SelS (Juatll',e tenfants,

COiluposez une poésie à VOH'e flaçon que vous 'adll1eiSS'er:ez à ['âne d'e (la Cl'èche en le

fél1icil~anlt d'avO'ir as'sisté à aa na1Î.rs'sall'ce du SauvelUl'. (Qu'om ne Cil'aigne pas, Ia:U couns moyen,

·de .f'aÏt1e composel' IdBls poèmes : on sel~a soU'v,enlt éton1l1é du l'ésuilJl'a:t !)

Le Noël ,du n1Ïssionnahl:e.

Le Noël du gar'd'iel1 de barlrage.

BOUGEOIR DE NOËL Au bûcher ·ou dlt'!r'l'ière la ~1TI'ai'SOl}l, un tas die ·J~Hltl1.ches .d'aIl'bres albtendlt'!llt d'ê:tIl1e Boi,ées ect

transformées en boi.s de ,feu.

Choisu' deux o-rarrches (,bois !h~len tS'ec), rUl1Ie de 5,6 cm. de d~larnlèltil'e, l'alUitre de 3,5 renViÏlron.

Un me.nui·s·ier co.mp'laois·all1it déblÙberH ilra pJus g'l'all'd'e len Il'onclellles de 1,5-2 om. d',épa,ilS·sB'lu.',

mais en sciant Ill'ès en bilalÏJs P'a!l' J.'appOJ: t à ,1''aXle Ide Il'a lrr allche (:ang'l'e ,de 30 d'egl'éJs ienV'il~on) ; Ile;s

rondeUes de Ja plus petite (1 cm. d'épaÎlsselUll') s'eront ,peJI1pendicuJ!atÏ!l"eJs à ['aX'e.

Dans 'la pBll!ÏJte ,rondeJJ.e, ouvr·ir au colUlteau un S'e'c'teur de 30 de·g.rés, me~tJl e de ila cémen·

tit et ,inu'oduire d'ans cellte ouve'litu jJ)e l"aJ'ê!lle d 'e lia g!m'lld.e il' 0 ndelJJe.

li n'y a plus qu'à ftÏxe'l' Urne é't'0~,1e dorée .et une bou!9ie (haiUl~e1.l!l' 6 cm,) à Il'aid'e .d'1\ll1Je

épingle d'·adool.' dont on coupera JJa :tê1te, ret une b:r'all'chelllre 'd'e pin OiU d'e Isapin, av,ec une mlÎLnu­

scule pomme de pin si possible com!.Ine g·arn~'ture.

Le bougeori.l' a environ 12 cm. d'e [ong s'ur 10 cm. de haut. P 'eu:t Ise p'lracer c&té de

l'assiette au 'repas de Noël.

C'RÈCHE-GROTTE facile pour Noël P.Dell'dre 1U11 morceau de papÎJe.r d'emhallage as'sez 'l'·ésis'tant de 30 x 23- cm. Le peinclille

en «papiell' Il'ocher>> (aqua'l~ell:e, gouache, prismarlo ou néoco1Io!l').

Une fo]·s s·ec, bien f'ro,isser ce papier en Ile l'ouÎ'anJ 'en boule, rp:lusieua's forus, enm'e ses

mains,

Le dis'poser en forme die g·rotte SUl' un socle d'Ienvirron 16-20 'omo d'e :long SUl' 10-12 cm.

de large. Ce soole pOUl'il'a être unaultJ.1e oartol1, ondtùé ou und, une bo~te, 'Lille planclm'tite ou une

écol'ce p'late. On colLe Ila pa'libie i.nféluleUl'e de la groVte à [ta oémenllJit lelt on ·a,id'e [e coUage

par des pinces à .Linge ou dels épingles.

Coller à l'il1Jtér.ÏeUIJ.' 1me image de la Nabivité. Si pos:silile ammaux relt bel~gerls 'déco:upés

à placer en tl'ellief. Orner l"eXltbJ.1ireUJ· de Ila .gtro't!t:e de 11ll'~s CO,Utl'rlies bl'anoherl'~t'!s dre s·ap'in ou de jemle pin

(5-6 cm. de hau~eiW') que l''On d'l'es'sera 'eIl1 rle:s piquant dans !]te lSocŒ'e leit :ap'l'è's Iles talvoÏ'l' préala­

blement lu'empées dans d'e ,f'eau !fol,'t!ement JsiUorée 1(lSliorop) pOUl' empêcl1'er /les 'alLguilles d'e tomher.

On pfmt aus'8li giÎJVil:er Ile towt à [ta pa!l·afflÎJ-re.

Page 13: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

Pour la cla~se supérieure des filles:

Un te~te d'étude de la poétesse MARIE NOEL. (Les Chansons et les Heures, Stock édit ,)

BERCEUSE

Mon Dileu qUIÎ dOIl.1nlIeZ, failbae enltIre mœ braIS,

Mon enfanlt IllOlUlt 'Ohaud sUtr mon cœUlr qUIÎ 'hait. J'adore 'en m ies i11laJÏnrs [eJt her O'e, 'étonnée,

La m lerveliJlilie, Ô Di'eu, qule 'VOIU!S 111'avlez ,donnée.

De ,fii1lrs, ô mon Dweu, jle n'Ien a'",aJÏ;S paiS,

V,ilerg:e que j1e 'S'Urus, 'en celt hUll11lbile 'éil!alt,

Quffile '.iooe en Hem' d ie moi l5'ea.-:ait née ? M,ais Vous, 'TIo,ut.J:>,UÏis:S-aIlt, me fa'vez Idonnée.

Qwe reud'l'ali-j.e à V,ous, m()Ji sUir qUli ilomlba

VO'N'e ,g,râc'e ? 0 Di'eu, j le oSOUllÜS touit baIS,

Oa'1' j'avais ,a'UlSsi, lp'e'itJilIe dt rholl.mlée,

J'aV'aJÎis 'Une gll'âce leJt V ()JUlS 1':alÎ. donné'e.

De Ibo'll'ch'e, Ô mon Dieu, V,ous n"en aviÎ'ez pas

Bour p 'a!l"l,etr 'al\lX gens [lenlus d'lÎJci~bas ...

T 'a bouche d 'e lait verl'i mon s'eân 'tournée,

o mon ,fiils, c'est mo,i qUIÎ Ite l'a~ donnée.

De malins, Ô mon DIi'eu, VOUIS n'en aviÎJeZ paIS

POl\lil' gué1'iir Id'U dod,~t weUll' p 'aUVl';e COII.I!>'S Ja:s •••

T'a n1aÎn, Iboulton d .o'S, !l'o'se /el1core gênée,

o mon flils, 'C'Ie5it moi qui ,te Il',ai donnée,

De chair, ô mon Di'eu, VO'Us n'en aw'ez pa's

POUir ~:ompl'e 3'vec 'eux Ile pain dl\l repas .••

T'a chooIJ.' a u ,pl'\Ïullemps de moi f'açüJUlée,

o m'On Ifii.J1s, C'Ie/St !Illod qui Ite l'ai donnée.

De ohah', ô mon Di'eu, V O'US n"en aviÎez p 'a's

POUlr sauver ~e mOll'de .. , 0 dow1eulJ.' ? là-has,

T 'a 'lTtOIJ.'t d'homm'e, 'lIn sOlÎr, noolJ.'Ie, abandonnée,

Mon petit, c',es,t moiÏ qui te l'ai dOIUlée.

Mal'ie Noel

Page 14: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

LES BOUGIES DE NOËL

Chaqu1e bOlllgi,e a comm'e ;urne âme

Qui VI.ÎJt, ip'alÏipJÏJre dans sa ffiamme .•. lil sembJJe même ql\l'e1lrqueif:ows Qu'on erute.nd de sU!b'tillies vOlÎx.

C\~Slt 'que cha'cu'llle a son ~ml'g·age,

La M3.!lllClhe {{·ÏJt: «SŒÜS pUll' et sage ! Gall'Idre pa.'OpiDe ton vêJ!1eunrell't,

G3.!l'd'e ton cœur égal'emelllt ».

La bilreue exho:rilie a'V'ec il:en:dl"elsse Au pal'dol1, à J'a gen1liJll'eSrse,

La vierrlt'e, em!h~ème d'espérance, Nous déûlare: «Ayez ûOnfj~ce ! »

La l'ouge c'éJlèbl'~ la IjOJÏie,

EI!J1e IllOUS kl~lt : «IJ faut 'qu"on voie SUT <vos ViilSa~e~ lradieux HeSJpIl.JeJnd~lr de :bonhelUll' d,es ci'eux ! »

PUlÏJS lLa jam1Je, ICOIU\I:tmr d'étolill,e, Rayorrnnle, arr,dlenJte, 'eJt :l10ŒS dévo,i.le

Le S'eJorelt rl'lU!n Ipll.~Qlfol1~d· bonheur:

«C"est d'·a1ilmer IDÎleu Id,e Mm Ison 'cœur ».

TOlUilles en.l5lembd'e à lleu'l' .l11'aaliè.re, F\atiJ8:anJt SIOLl1ltiÏllJ1el' lewr (IJUmriffiorè, E~les pl'ociLamenlt: «QUJ~l honneur C'e\5lt die Setl·,VIÎ'l' J,é'SlUiSJS'aIU'VleIUIl' ! »

«PrO/1l!J.' !Le fêltell', Oin no'lllS a,Uum.e ;

Tandffis 'C{'ule J'a f:lamfme cornsulm'e Nofl!œ vie, " éphélmè:l'!p" hé[ais! '

HeUll~euse'S, nOll.l<S pIÎons /t'oult b'as ».

PUlÏiS S"BllelÏgUJalllt dam; dra verd/Ulre,

On 'n'lenllJend phlls qu'un ,doux mm'mw'e : «TOJU!t pas:s'e ici.Jbias, malÎls iLà,haut, TOIUIt dleffi'ew~e et nevlÏlt plLue beau! »

Extrait de «JOURS DE FETE », Poésies et compliments pour petits et grands, par M . CHA. LIERE, avec la bienveillante autorisation des Editions Delachaux & Niestlé, Neuchâtel. Nous recommandons vivement ce l,ivret de 55 poésies, sans aucune fausse note, d'une conception tout à fai~ chrétienne.

Page 15: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

DANS LE SOIR, LA CLOCHE SONNE Hans ,lie sotilJ.·, ~i3. ,dl'ÜClhe SQUIlle;

]1 velll~e, :i[ neig1e au Idlehol1s.

Au l1o:gtilS, .Le f~/U 1J.' 0111r'Ü'll!l1'e ;

C''e\'),t ['hi'Vleir, la ltIe'l1l1e do'rt.

Vo,i'oi J'a g,ran!dle journée!

En œ heal\.l 6o,h: ,de No~I, Dans ft/a 'chrumhiœ :iI1JlwlTIIÎlIlI&e,

Chacun f&te E'mm'an'Ule1l !

Les yeux des enfan/Ils p :éltiilllent,

En voyan:t, l1ed11ell ldiViin,

vanl1,dle fŒammeis 'q'Uli scJÏ!IlibiiLl!el1lt Du tha'lllt /e!l1 hais ,du sapin.

EtelJ:'I1JeII 'chant d'leS(pé.l~uoe,

NoëllJ.'laJppe!lJle etn 'ce 'jouir

L'humbJ'e eJt ohsoUIIJ.·,e l1'alÎ:stS'ance De JéSlUiS, iPil-linoe d'AnnOlUr !

Dam" ~Ie ISO~ir l,a Idlo'c:he Is:onne,

SOilllllie 'ett v~bl1e ~/UISQIU 'l!lIUciel, Et ItOlLtt J'unlÎ.'VielJ:s 'enltonne

L'Hymne Vlaill1qUtelUr de Noël! Ad. Amez·Oroz

LES CONVOITISES En .f.rumil~le on e>5lt r /éll'ni

Bans "Le Ipl1us chaud d,es rnd,s.

Le s·ap'ÎlIl ,blitle,

LetS )~eux pé't:Uffllt.

Moi, lC1i:t Je'an, ILe oadet (Têtu 'comme 'lIll muJet)

Je veux ,qUle !J'·on me :donne

La gUli\J:lande eJt la co!U/rolnne.

Eh bien! !ll1lo'i, d/~t sa Isœur OJga, J e ~ne cOIlIl1er1ll:etr,rui dru -chocollat.

A'lO>l's, C:l1ie i3.IUSSÜJtÔIt Syil'Vlire, Joe il11te l",élselr;v,e [es IborugJÎles.

Ban ! dans ce ,calS, il moi l1es hdoel'eit's Les bi:scol\)l1e!S ,elt [ 'es 'SOlibeits, D jt J,a ipel~iltle Ed/wige.

De plrus, j'exàg1e ...

T'a l',a lm rt'a ! dit [a maman

PUliisque 'V'OIUS ères si exJil§eall1lt's, VOU3 n"ll'u'l"e.z r ,i1eIJl P(}UJl' vo.s él1rennes :

On gal'der,a ,le ItOJUlt IpO'lU' :l'année 'Pl'olchatine ! G. Pell'll.'lÎnjaquet

(Falb,Ies, Poésries, Noël!. Epruisé)

- 39-

Page 16: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

ACQUISITION-S RÉCENTES DE LA BIBLIOTHÈQUE CANTONALE

Les ouvrages signalés ci-dessous peuvent être obtenus gratuitement en prêt. Les cotes indiquées sont celles de la Bibliothèque cantonale.

Z UWA CHS VERZ EICHNIS DER W ALLISEH KANTONSBIBLIOTHEK

Die Ilachstehenden Werke konnen unelttgeltlich von der Kantonsbibliothek entliehen werclen. Die Signaturen (Buchstaben und Nummern) bezeichnen den

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1. RELIGION - PHILOSOPHIE

ADAM Kar..! Das W,es'e<J.l ,d'~s K'atllO'ltiûlS'ITlus. (13. AruIl.) DüsseldO'rf, P.aJhnO'S-VleT1., ('1957) ~ 80, 351 S. TA 15.329

ANWANDEH, Anl'O"ine. Lels retlig,iO'lts de l'humanité. Tra'd~ d"après l1a 2e éd. par PlÏle!l'l1e Junldlt. p.alJ.'\~s, PayO"t, 1955; 80, 432 p. (BibHO"thèque his'tO'rique.),

TA 15.257

BALTHASAR, Ha1nlS Urs vO'n. Das he:m'.acJhtende Gehe't. Einsie'deln, JO'haml'eJs Ve<l'\l., 1955 ; 80, 275 S, (A1dO'lna't,iO'.) TA 15.133

BOUILLARD, iHem.1Î. Km1l Ba<l',tih. (p'a'l'lÎ!s), Ed. MO'ntaigne, 1957; 8°, 3 vO'l. (l1héollÛg,i!e. 38-39.) TA 15.143

BRANT, W,a['te<J.'. Q.UiÎ &t'a':lt JésulS-Ohr.ÎJst? - W'er Will' J.es'l.liS Chl'liIS1tu:s? - Trn'd. ,de l"ailllemanJd pM' Jean.}<a,cqueJS V/ilJJl'3l"d, (pa'l'i,s), 'BU'chelt/GhruS'teI, .(1958) ; 80 294 p. p,I. o~W~e. TA 15.090

BUBER, Mal'tÎl1. Sehe;rrum. Anfang und Ausg,ang. Ko1n und Ol,ten, J. Hegner, (1955) ; 80, 74 S. TA 15,333

- "40 -

CAlSTEL'HRANCO, J[leau JO',slephJ. Le :pr.odi'ge .inO'I\.lÏ de F'albima. 13e * éd. BâlIe, Se:C'l,é:t. de Fa'~iima, Fil'ihO'lUrg, Oeuvl'e St-Canisius, 1957 ; 80, 221 p, fa::O'nlt.

PA 8316

C 'a ,t ,é chi sm ,e bihl,i'que, (31e ,bd,) [Trad. de ~"aUemand]. Pal'Ïs, Ed. du Cerf, 1958 ; 8°, 400 p. f.ilg. TA 15.282

CRISTIANI, (L[éO'nJ.) Brève 'hitstl:OIÏ-re des héré\si.es, Bal,ils, A, Fa)llail'!d, (1956); 80

, 126 p. (Jle sa,ilS, j'e CIJ.'O',Ï.'s. 136.) N 579/136

OEiLEPIEIRRiE, JEieJa.n]. J,és'Us·ChrtÏlS't, no/tilie Sauveur, 25'e mine. TO'ul'l1'ai, PaŒws, Gals!tel'man, Bmxelles, Ed. d'e Lumen vilta'e, 1947 ; 80, 275 p. f.rO'n't. (T'é. mO''Î[liS du Ohr,is1t, 5.) TA 14.649

DRJiOTON, E'tiienne, Geo,rge.s GO'nllenau, J['acques] Du~heSŒ1e·Guilllem~n. Les 'l'eH. glÏ'O'ns rd~e l'Ol,ient laJIlcÏen. Paris, A. Fay,rul"d, '(1957); 80, 143 p. (Je 6:a1>8, jecrO"1s. 14.1.) N 579/141

F ABREGUE'S, Je.an de. ,Le m3rÎ'age chr,éfien, Par,1s, A. Fa)'la'11d, (1958) ; 80, 118 p,

Oe s'a,is • J'e cro,i,s. 54.) N 579/54

(FOUCAJUVD, Chara,e;s de.) Fil'ère Chall'iles Ide Jésus. Oeu;VJ:1e$ lS'Pi'l'li:tuteŒ'h~'s, ÂnltihlÛ­Ilogœe ... T'exllleJS 'l"éun:i:s ip'al' Henii'se iB-ro:,ralt. P'3l,ils, Ed. du Seuill, (1958) ; 80,

826 p. TA 15.231

GARRONE, M,gr. L"alctiO'n ,cathO'~i'q:ue. SO'n hisltOlh'e, Is'a ,dO',C'tl1il1'e, sO'n paIJ101~ama, BO'n d,es't-ill. Pari/s, A, Baya,rd, (1958) ; 8°, 127 p. (J.e sai!s . Je crO''Îs. 102.)

N 579/102

GHARDINI, RO'll11anO'. Hel' Hem.'. BeJu-3JC'htlJungen ühell' d<Île tP'e1'1SO'n und das lJehen J{!i<'Jl.1 Chris'Ili. WÜrZlhlUlrg, W:erJC!h'llntd.Ve!l1I., (1951) ; 80, XI +672 S. TA 15.337

Di'e M:acht. V,eil'!S>UlcJh leJ1n:eŒ' W<egweilsung. (4. Aufl.) Würzburg, Werkhund­Vel~l., (1957) ; 8°, 129 S. TA 15.331

GUTZWII,LLIER, Rilc,hlal1d, MeMl'a:t:iO'nen üher Lulms. Eins'ÏJe,d'~n, Ziiri'c:h, K01n, Benzig'el', (1957) ; 8°, 2 BdJe, TA 15 . .132

LAURENTIN, René. tKur,zer Tll'aktaJt (]1er Mal"i'aniils'chen TheO'ilO"gie, Üibe!l'\S-etz't 'Von GeOll',g El1tgeLhaJ11dlt. R.egle.nfsthUJrlg, 'Fil', P,ustelt, 1959 ; 80, 214 S. TA J.5 J144

LEiCHNEH, JO'IS'eph. ,Li1bUl,gik des 1l'0mÏlscb'OO RiJms, Begrunlde;t vO'n Ludwi'g Eiogen. dO'd. 6. ÀI\.l'f1l. H',eihurg,' Herdler, 1953 ; 8°, XIV+400 S. TA15,I154

LEJDRE, Ohruli},e's.La fll'i'nc-maçO'nn:eriJe. Pa'l1is, A, ,F1ayard, (1956); 80, 124 p. (Je sai,~, je 'CrO'oÎ1s, 148.) N 579/.I48

LESAGE, R.O'.bel't. Ohj'eJtls e't hahlÎ'lIs J,i:tIu'l"giq'll'e:s. P.al'Ïts, A. IFayaoo, (1958); 80, 124 p. Oe s'arilS . J,e 'CIJ."O'~IS. 113,) N 579/113

MIRIBEL, Eli!saJJ'ellh de. :lM~fh Steill1 1891.J.942. ,P>alt.i'8, Ed. du SeuiiJ, (1954) ; 80, 21S p. pl. P·O'r'Ur . .f,afc'~im. TA 13.813

- 41 "'-

Page 17: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

PARROT, André. Hahytlone ,et l'tancien T,es/tamenlt. Nffil'ohâ:l1e1l, P1arÏJs, Bellachraux & Niesrtlé, (1956) ; 80, Hl p. fig. pl. pl.ans. (rGabilerrlS d'aœhéo1logie biblique. 8.) N 67/8

PER!RIN, J[oseph]-M[ari,e] & G(ustralV'e) Thibon. W.1r Icra'llnll1en Sîmon,e Welil.

Deutsch von I(,a'l'll P,ftleger. Pa:d'erborn, F. Sohon1ngh, 1954 ; 8°, 221 S. POI'ltr. TA 15.343

PIE XII. Do'cumeJl1lts Ipol1'vif.i'CJaux de Sa S'alirilcetré P 'ile XII, l1éuntÏ.'S elt présenJtés, 1949-1954., Ip'a'l' R[oher,t] KOithen; 1955,ss. par Simon Dela·C'roix. Pads, Ed. ,La!berger,i,e, ILof\lJva,in, Ed. W1arny, (St-MraUlUroe, Ed. S:t-Augu5Iûn), 195J.­

TA 15.140

RAJHNER, K:alil. Sohl,Lhen 2'lur Theollog'i,e. (3., Bd 3 : 2. 'AuEl.) EinrSlj,e-dJeJn, Züri:ch,

KOIIJl1, Benzilg'er', ( tI957~1958) ; 8°, 3 Ede. TA 15.135

MST, 'Max. W'ell!t unid Go<n . .p.hillOlS'OpMs·c'he Gotltelsllelhl~e. F'l'eiliurg, Hier'der, 1952;

80, VII+211 S. (M<ensch, WleJlit, Go:tt. Bd 6.) TA 15.1153

SOHIILLING, 011110. Grrllll'd'rIÏSIS (I.'er ilVIOil'allltiheollog,ie. 2.* Al1JI~l. Fr ei!blwr,g , Hooder, 1949 ; 80, XII +453 S. (Hea.;dlelis l~heoll'OgÎ!S!che IGt~'Il!dl~ilS'se.) TA 15.130

SLMON, PtalUJ1. AIUJl1e1LiulS AUIg,WS!t'Î'llUiS. Sein geis1tli'gets Pl'of,ilJ. Pill'de11bo:rn, F. Soho-

ningh, 1954 ; 80, 202 S. TA 15.344

SPEYR, Atdl~j.enl1'e von. Da's Liobt und dite Bitlder. Elerll'en'~e der iKoll1ltremplartion. Ei'lllsl~e'dieln, Johal1nl{!js V'er~., 1955 ; 8°, 122 S. (AJdo'l'lartio.) TA 15.134

STEIN, Edith. K'l'etlZle5w.iSiseTIJschalf:t. Stuldwe über JoaiJ1'l1e!s a Gruce. (2.* .A1Illftl.) Louva!<l1, E. NaJUwetl'aer'ts, Freih'lll~g, Helider, 1954 ; 8°, XI +300 S. (Wrerke. Bd 1.) TA 15.13Vl

TAVARD, Geor!;1e!s. Le 'prOit'eSlba'llIÜsme. P ,arlÎls, A. Fa)'1aIl-.d, (1958); 8°, 119 p.

(}te sa,i,s - Je ·cror~s. 137.) N 579/il37

TEILHARD DE 'CHARDIN, iP.i:erœ. Le m~lü~u d'Î'\nin. E'S's'aIÎ de 'Vi,e inltéaieuœ. Pal~iIS, Ed. ldu Seulill, (1957); 8°, 202 p. pl. ipO'l' l1r. ~ac"S<irm. (rOeuVil'e;s. 4.)

TA 13.795/4

TOURNLER, PaulI. T,eoooik und Glauhe. (lD:eUl1s'ohe Übel1tr.agrung : H. V,enedley.)

Basel, B. 6dhwrulYe, (1945) ; 8°, '354 6. TA 15.126

WEIL, SinlOlne. Di'~ EimvIIU'lz·eilJu,ng. EÏn.foo'l'Ung in die Pmi'dh'ten d'Emt mCIliSchd.i­chen Wes.en geg,enüh'er. (DeultJsche Üh'er.sieltrung VOIU Fi~iledhelLm Kemp).

Münchien, Ko!Sell- Vlel'l., t(1956) ; 8°, 436 S. TA 15.327

Schwerkmf\t un'd Gnad1e. Mit einer Einführung VOIIl Gustave Thibon. (2.

Auf,l.) (Deullsohe Ühel1S1e'tzung \1'011 FrtiedheJlm K,emp.) MÜ11lchen, KO<SieJI­

Vt'Jl'1., (1954,) ; 80, 292 ,S. TA 15.328

WIRTZ, Hans. Fühl'UIlg ulld Ahenrteuer·. ApOiSllleJgesohÏ<chœ. 2. Auf\l. Olten, O.

Walter, (1942) ; 80, 245 S. TA 15.152

~42 ~

II. LANGUE ET LITTERATURE

SPRACHE UND LITER ATUR

A p 0 ,1 i i n ia ,i r ,e, GuiJ11'aulllle. Une étu:d,e p<ar And11é Bir1ly, un .ml'O'ix de poèmes e't une b:iblio<gl'aiphie él'ah1ÏJs paIl' Hem1Ï P.aD~sot, manJUls'Ol~ilbs, 'des/sins, ip'OI1lJr1a~l1s. (.Ba'l'ils), P. Seg'he11s, ((956); 8°, 221 p. pOl'n', (Poètes d"aJUj0lUll1d''hurÎ. 8.)

TA 15.467

AUBRUN, OhaIliles V<ÏuCJen't. HirS'ttOlire des l'elth'BS hirSipano"allllémioa,ine.s. Pal1Ïls,

A. COlLin, 1954 ; 80, 223 'P. (IColl. A. Go~,ilU. 291.) N 4&1/~91

B ARrLA OH, Ernst. <Da's d'~chllerÏtscJhe We'l'k, In 3 Bandren. MÜlle'hen, R. PIip:er, 1959. TA 15.415

BENN, Gotttl1ft~ied. Pi'oS'a und Szenen. (WieshaJden), Limes Vel'll., (1958); 8°,

490 S. (Des. Werke in 4 Banden. 2.) TA 15.410/2

BIEHLE, Hierbel't. Rted·e\1elclhnlik. Ei,nJfühmng in die Rheltoll~i:k. B'eliJJin, W. de

Gl1uytel', 1954; 80, U5 S. (6a.'lTN'l'li1tNl!g 'GôS'ohen. 61.) N 567/61

BILLY, A'Il!dl~é. üe 'oher S'te.nJdhail ... Récilt Ide Isa lV'ie. ·Parrils, F11ammm~ion, (1958) ; . 80, 282 p. TA .J.5.264

BONAPARTE, Made. Edgru' Poe, sa vi'e, son œ'lllVr,e. E'lJUde anally'tiJque. Pa,ris, Plr.esse1S VIlLV. de Fran Cie, 1958 ; 8°, 3 'Voll. pl. pOl~l'r. (L'taclJUial,ÏttJé pSYlChanra­lytique.) TA 15.322

BORCHARDT, Rudol1f. GelSaIlnmeJIlUe W'er-ke lin Ei nz eilJh and en. (Hrg. V()lIl Marie

Luise BO<l'chall,dtt ['11. a.]). SltulVtgal,t, E. KletJt VerIl., [1955]· TA 15.359

BOSSUAT, Rorbetit. Le moyoo. â:ge. Pa'l~ils, dcl Dwca, de Gigor:d, (1955) ; go, 368 p.

pt (HJis.t. 'de lta :J..iltté>r. fmnç,a,h;·e. 1.) TA 14.472/!l

BRANDENSTELN, Witlhdm. Gt1ÏechtÏJsClhe Sp'l'ta:ohwlSlsoo.'S'CIhaik 1. Einl1m'l1UJIl1Ig, LaJU't-

5)'1sterm, EJlJymollo.gie. Hel1l!in, W. de Gmy'~er, 1954; 8°, 160 S. (Sammtlnmg

GOls'ohen. lU.) N 567/J.17

BROCH, Hell'maJl1n. EJssra,yrs. 1. Di,ch1ten und Erl~ennen. 2. El'Jœ'Il!l1en lIlil1:d Bandelm. (Hrg. UIlJd eing.elle.iJtet Vion Haml'aih A1rendtt). Zürich, Rlhmn-Vleril., H955) ; 80, 2 B:de. TA 12.281/6-7

BRUNEAU, Chal1l!es. Pelvi'te histolÏ'l'1e de la !langue fran9a~s'e. 2e éd. Plll!D~S, A. CoI1in, 1958 ; 80, 2 vo[. TA 15.269

BURCKHARlDT, Caru J[taC'oh]. Beg·egTlul1lgen. (Zü,ri,~h), Manes'se Vel11 .. , (11958);

80, 415 S. (.MlaIIle.sse Bihhlo:tJhek rl,er Wel:lI1i:teralIur.) TA 15.207

CAILLOI,S, Ro'g'er. A'l,t pO'(~tiqU'e. Commenltarll.'e>s ~ Pil<élftalce alUX poéSlies ~ L'éll'ig'lli'e et l'wtalge ... 4e ,éd. ,BarjJs, GailI1illllard, (1958); 8°, 202 p.

TA 15.268

DAEUBLER, Thieodoll'. Dkh1lJUngen un:d Sohriftt!en. (Hrg. von FrlÏ.edhet1m !(,emp.)

MÜTIJchen, Kosell-V'evl., (,1956) ; 8°,921 S. '!hl. ·P 'Ol'lltr. F1al~Illl. TA 15.411

- 43-

Page 18: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

Die E d d a. nie weJSenllJ.,irohen Gasan~e d ler .ruhnol,di\S·chen .GÜitter- IUnd Hedd-end,i1ch­

twnrg. Üh'ellitlla@en rv:on F1e~lix ·GellZmeil·. (12'8. ~XÏ!s 132. Tra!us.) ,(JDii:Slsrellrdrod/ Kolln), E. Dwed,edchs v,ooJ.., (1956) ; 8°, 219 S. TA 14.709

EIllEMBLE, [René]. HYlgiène d ies Ilielltrres. [PIaNS], Gaili1imatid, 1(11952-195-8); 80, 3 vo~. TA 15.,239

FRIEDMANN, Hemnrarrnl und Ûlllto Mann. EXlpil·:eS'srÏonÏJsmus. Gas1ballt:en reiner ,J,ilte'l'al~ilSchelll Bewegung. HeiJael!bellg, W. Rotllhe, ('1956); 80, 375 S.

TA 15.414

GEORGE, S~ef'an. Wrerlœ. A'll!sgabe tin zweiÏ rBal1Jden. iMünlooen IUnd DusseJJd'Ortf, H. Küppel', 1958 ; 80, 2 IBd,e. TA 15.358

OF®LLEJR, Simon [lUnd] Ot~o rvün ,Gl1e)'let1z. Bl1ielfw,ecihised 1900-1939. (Hl'g. 'Von

Erwin Heimanll1.) Beru, A.Fmndœ, (1957) ; 80, 305 S. Thf. PO!l1tr. Faklsrim.

TA 14.570

GOTTSGHALD, Max. Di'e lD:eu1JS:dhen Pet1so:I1exmamen. 2.* Arun. rB:e!l,!,in, W. d'e

Gu.1uy'ter, 1955 ; 80, 151 S. (SamllIlil'll!nrg Gos'chen. 422.) N 567/422

GUILLAUME d'e ILOrl'l,i & Jean :ae MetI!Il. Le l'oman d ie [a ROIse, m:Îis en français

mOlcLemre 'par Aindil,é MM'Y. 51e -éd. (rPaniJs), GaJllln'lal'ld, (194.9); 80, 383 p.

TA 15.176

QUITlARD-AUVISTE, Gtiue:l1l1e. PlalUrl MOIDaln:d. PradlS, Ed. runrirveDsiltalirres, (1956); 8°, 129 p. pOll1IJr. (ülla!s'SliIC]lUe!S ,au XXe siècle. 25.) N 535/25

HENRIOT, EmiJl'e. COIUl:der [,i'l1tél~alit'e : 1171e lS~èd1e. NOllLv. * éd. Pru.ws, A. Miche[, (1958) ; 80

, 423 p. TA 15.240

HOFFMANN, Otto [IUIlld] Allhel;t DeibrulllUet·. OeS'dhiohllie rcLer 'glü:eohÏJSi~hen Spr.ruohre.

Betùin, W. de Gl'UytelJ.", 1953-1954; 80,2 IBdre. (Sa!l11tt11lung rGo's'CJhen. lilJ +:1l4.)

N 567/111+1114

HUDI'G~FREY, M rarrgaa'e'tta. Manzoni, rDiohl'er, ne!l~œr, BaJtl1iO't. ,Bern, 'Fnal1clcte, (1958) ; HO, 144 S. Taf. rProllitr. TA 15.114

JOHANNET, René. Vlie Ie:t mOIJ.1t {Ire Pé:guy. PanilS, F11amlll1!al'Ii:on, (1950) ; 80, 476 p.

TA 15.228

KAF1KA, ~1;aa1lZ. Hri1eJf'e 1902-1924. (Hrig. VOtll Max IBro:d.) (Frt-ranclcl'ulit a. M.),

S. FLs'CJher v,elil., (195H) ; 80, 530 S. (Li~enzralUs'g'ahe lVon Schoolœn BO'olu<;

New Yo'rk.) TA 15.223

I\:iASSNER, RudOilf. BU/ch rder Edul1letmng. (2. Aru!f11.) rEMrenhach~ZÜ'l1irch, E. iRenJtsroh, (OOIP . 1954) ; 80

, 280 S. TA 15.128

Umgang Idleu.· Jalhœ. Glei'0ImÎ!s - GelSipra'ch - EsS'ay - El'inlJ1!et1UllO'. Erilen­bruch-Zü'l':iloh, E. ReMs,ch, (1949) ; 80, 398 S. T~ 15.22]

KAYSER, WoM,gaal'g. Bi'e V.or'tragSIrleWse. S"1l:di!en~ur L'iltel~rbur. Hem, Fll1all1cke, (1958) ; 80

, 306 S. TA 15.H3

- 44-

l(,ELLER, Ha\'13-El1Î!ch. E)bU/d'es rJil1lgu,iis'l1ÎlqI\l:BS ,surr · ~,e;s lP'al1l!ens vail'dôl'a'Înis. COll'trihlU­Üon à ,la cOnJna,iSIS'alTCe rde6 ,d.ila:lleclJeJs f,ral1!co -iprOlV:enÇJaux lillordre!l'il1IBS. iBerne,

A. F11andœ, 1958 ; 80, 155 p. 31 :taMes, 13 ,OOIJ.' tes Idlépil . .(RomanirCJa rheillVlellÎlca.

V,W. 66. ) TA 15.101

LA GORrCE, Agnès de. Le vrai ,y;isag,e de Féll1edon. ,(tPalJ,"'Îs), HaJchei~te, .(1958) ;

80, 359 p. pOlitr. TA 15.229

LE/FRANC, Ablell. Rahel1a,ÏJs. Ellwd,es Isur Ga.r'g'an'Ilua. Poo'l'a'gl'UleJl, le Ttiers h lV're .

(Prat1i,s), A. Mirohteil, (1953) ; 80, 361 p. TA 15.173

LE GENTil L, ·P[ ,i'et'IJ.~e]. ILaCJhanson Ide Rolland. P'aa',ils, Ha'ble!l' .. BolÎ'vin, 1955; 80,

190p. (.ooniJ1lai'ss,aulce Ides ,Levtres. 43.) N 426/43

LESKY, Allbin. Gesohichtl!e ,delJ.· rgl'Ïelchisohen Lill!et1a'tur. Bern, Fral1Jclœ, (>l957-,1958) ;

30, 827 S. . TA 14.377

Le.t.t r 'e l'i rd'OooÎ'dlent. De l'J[.:aJde à 11'Esp'OÎ1·. (EJtrurd:elS eIt ,eslSarÎs o:ffeJl,ts à Andl'é

Bonna,l1d, 'P'I.',of. à 'Ira ,Flaouhé ders Lt1ftJ.1elS d :e LamHl!llllle ,de 1928 'il 1957).

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LOT, F'e!l'dina'l1ld. E '!Iwdes Isur Iles Mgood\elS lé'piques rfil~aOlQairs:es. Pm',ils, H. Champion,

(1958) ; 80, Q92 rp. TA 15.029

MAURIAC, . Cla'llldie. Prou1srt par Ilni-même. (parÏ's), Ed. du Seuilll, (1957); 8°,

19.1 p. fig. pOl'tr. fla'c.ols·lm. (E'côvaÏJl1's de Itoujours.) N 375/11

MOREAU, Pi:e'l'De. iLe romanb~SIll1e. P.ads, deI rDruca, (1957) ; 80, 470 !p. plI. pO'l.itr.

(H~Slt. ,die Illa1i1tllbr . .fmnçaJ~se. 8.) TA 14.472/8

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1957-1959) ; 4°, 2 IVoil. pl. fig. IpOIJ.~!Jr. TB 1459

ROEDL, Uliha11. AldaLhmit Stifller. Geschi1chte Iseinles ILebel1!s. (2.* Awm.) IBle!l'n,

Fllal1cke, r(l958) ; 80, 398 S. Tiaf. Portr. TA 15.H5

VENZA,C, Géraud. Les ipl'emieJ.\'i maÎ'Il."eIS Id'e V~,ct'Ül' Hwgo. l(rPaIJ.,ÏJs), B10rud & Gay,

(1955); 80, 527 p. 'P0l~t1.". (T'I.'avalUx de ['IustilllUt Ical~h()lH'que Ide Baai's. 2.) TA 15.179

W A GENiBA OH, I(;laus. FIl~nz I~afka. Eine Biog'mphie s:eill1er JIU'gel1ld 1883-1912.

Hern,. FrranCJke, (1958) ; 8°, 345 S. AJhb. Taf. pl()'litr. TA 15.116

W!ERFEL, Fra'l1Jz.Ge.dr~chbe. ÀruJs ,den JaJhren 1908-1945. (Hr'g.

K.l1a'l"ll1rann.) (lS~odc!ho:lm), S. iF'~scheJ.', (1953) ;80, 1713 ,S.

von A!dro!lJf {),

TA 15.412

ZUMTHOR, ,BaillI. H~stO)Lœ I1Ïlllliémilre de la ,F:rauoe méd~léva!l:e <6'e-l4'e S'ièüle~>.

P.a~:Îls, Pl,as5:es Unirv. ide ,Fml1Jce, 1954 ; 80, VJI+344 p. TA 15.177

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Page 19: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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DUMEJSNIL, Renié. La mursi:qtUte en Frall1fce en'tœ Ile'S rd'eux g;uel'll.',e;g 1919 . .:1939. Ge'llè'Vle, PalJ.,i,s, MOIl1,tl'é'ail, EJd. du M,a'Ïeu du MOnld'e, (1946) ; 80, 264 p. pt

pOlit'r. (!CoiliI. «BtiJl'an's ». 3.) TA 14.587

FOSOA, FmnçotÏJs. La peiutua.'le en F1.1alloe depuÏls u'.enille ans. (lGenève), MiiliiJeu du Monde, (1948) ; 8°, 204 p. tpll. p .Ol'1tr. {!Gollll. «B:il1.'anls ». 4.) TA 14.626

FRAiNGDS, Anœié. Jatzz. [;P.all1isJ, Ed. du SooiJl, (,1958) ; 80, 191 p. IHg. mUis. por.tr.

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llIl1!S'erea' ZteJÏJt yom iEinf,atmù1~el1lhal\.lS hilS mm S:tadt~hau. (lBe!J.'Illin, Safal.fi-Vel'll., ]957) ; 4°, 959 S. A!bh. Thlf. ,Blane. TB 1509

HANHAIRT, RllIdoJ[. APIP'eIlIZellileIJ.' Haulernma!1el'eli . ApplBlllZeJ.Q p'Clwsanlt al1t. ('DeIUif1en), A. Ni,~g!lli, (1959) ; 4°, 13:2 S. Albb. Tlaif. TB 1522

H~R1DMEYER, WiiJJly. Einfiilh'l1Ung in dd,e sohweizet~i>scJh'e Org'e!1harukru.n'slt, ZÜl'i,oh, Hiug, (l9'47); 4°, 80 S. T,aif. PB 1158

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MOS.ER, Hans Joad'Lim. HalïIl1>Ollii~elU'le. T. 1. Her!Hn, W. Ide GIJ.·uytrer, 1954; 8°, 109 S . Mu's. (SammlLulllig GOIS'dhen. 809.) N 567/809

MUELLER, Hans. ner tFtÙlm uilld ,seÏln IPwblJ..ikrum :in «el' SdlnVleiz . Zürioh, iElurop·a

V'er,} ., 1957 ; '8°, 180 S. (,]}hè:se, ISC. I8OC., lLarus'allne.) TA 14.551

OGHSE, Ma:d elei.il1Ie . Un ,at!.'t IS'acl··é IlJOl\lJr iIl!o:~re I~empis. Batl1Î1s, tA. IFlwy,atl~cl, .(1959) ; 8°, 138 p. Hg. (Je ,s:alrs . Je ICll'OI~S. 128.) N 579/1'28

PiETJT, Pi'el1l'e. V,e.rd,i. (p.a'lùlS ), Ed. du Seuill, .(1958) ; 8°, 186 p. fJg. plI. Ipo,l'tr.

m'Us. (So'Yègieis. 10.) N 596/10

RtENSIS, Ratfifiueillie de. Ottormo Ret~pigihi. T,rad. leit 'ad,apll1é /paT Giil!b:eIJ.'1I: ChapatlJIla,z.

Sion, E<d. Gessller, 1957 ; 8°, 97 .p. ipl. pOl'tl'. m1ls. PA 8556

SOHNElDER, MalJ.1Ccl. SchUlhert. [PalJ.1ÏJs], Ed. du S eu<Îll, (1957); 8°, 19,1 p. fig .

mus. pl. ipOl' lill'. (Soflfèges. 4.) N 596/4.

TABlE, Vti'O~Ol'·lL. Ha,roQiue lelt :ola:sS'icÎ'sme. Pall1is, 'Plon, 1(1957); 8°, 383 p. pl. (GivÏ'1iJs'a:~i'ol1ls tcl'h'i:el' 'elt d'lalUjOIUI~d'hui.) TA 15.481

Léo11'al,d ,de V ,i <TI c li. (NolVara), II.GJD.A., (1958) ; 4°, 2 IVoI. pil. fiig. ipOIl'tll'. TC 144

WIES'I1ERNHAGEN, ,Curt 'Von. R,iohat"ld W'agner. Sein W,erk, s.ein W lesen, s'eine

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Page 20: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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d'lllIl1Ie dillJquanta~ne en noill'. Le t,out IdIa11'S une mi<s'e en pag'e.s mIOd'Ctl'ne, vlÏvante let S1U!g'geJslvi'vle.

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Page 22: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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elt A n:d'l'é BoUlI<e(J:

L'enfance de l'art 27 La leçon de peÏ1liture 28 La correction 29

Ahbé CneiUtoŒ

Abhé C. Gl~and

Du Heimaschutz, du corps enseignant et de Derborence 30 Pro ]uven(;ute au personnel enseignant 32 Chronique de l'Ecole Normale 33 Une belle collection de chez nous : La coUection pour enfants

« Yves et Colette» Commwâcations officielles Acquisitions récentes ' de la Bibliothèque cantonale

RENSEIGNEMENTS

35 38 40

«L'EcoŒ:e rvalhtisallfJ.lIe» pa'r:aÎ1t là Sion ll'e 15 ,de lolul'qu!e mois Ide nov~lmh:œ à julWl. En lélté, d1JUlIllél'os doubles ,l'e 15 ju~Lle<t ert le 15 seJYtemhre.

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Impression et expédition

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