la chrétienté médiévale
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Chapitre 4 (adaptation Drom ). La chrétienté médiévale. "C'était comme si le monde voulait se recouvrir d'un blanc manteau d'églises" Raoul Glaber , Chroniqueur du XIe siècle. Plan du cours. 1 . L’Occident christianisé A. L’église au cœur des sociétés humaines - PowerPoint PPT PresentationTRANSCRIPT
La chrétienté médiévale"C'était comme
si le monde voulait se
recouvrir d'un blanc manteau
d'églises"Raoul Glaber,
Chroniqueur du XIe siècle
Chapitre 4 (adaptation Drom)
Plan du cours1. L’Occident christianiséA. L’église au cœur des sociétés humainesB. Un monde encadré par l’Eglise
11. Une chrétienté conquérante et
répressive (à travers l’exemple du catharisme)
A. Une doctrine en rupture avec le dogme
catholique.B. Une « hérésie »
implantée en Occident.
C. Chronique d’une répression
annoncée : la croisade Albigeoise
Vitraux de Chartres (détail) : le Christ trônant et bénissant entouré de quatre anges.
Assis sur un large siège qui ressemble à un autel, il bénit de la main droite et tient le
globe terrestre dans sa main gauche.
SAINT JACQUES DE COMPOSTELLE
JÉRUSALEM
ROME
Cadre spatial L’OCCIDENT CHRÉTIEN AU XIÈME
SIÈCLE
Au Moyen âge, l’Occident est chrétien. Il est peuplé de catholiques à l’Ouest et au Nord, d’orthodoxes à l’Est. Les chrétiens catholiques gagnent des territoires dans le Sud de l’Europe (Espagne, Italie, Sicile) ainsi que dans le Nord et en Orient. C’est par les armes (croisade, Reconquista) et par la conversion (évangélisation) que de nouveaux territoires sont christianisés. Par ailleurs, il est conseillé aux croyants de partir en pèlerinage c’est-à-dire d’effectuer un voyage vers un lieu tenu pour sacré par la religion (ex : Rome, Jérusalem)
LÉGENDE
I. LES CHRÉTIENS
Catholiques
Orthodoxes
Lieux de pèlerinage
II. LES AUTRES RELIGIONS
Musulmans
Païens
III. L’EXPANSION CATHOLIQUE
Région devenue catholique entre
le XIème et le XIIème
Croisades
Reconquista
Evangélisation de l’Europe du Nord
1. Quelle religion a majoritairement adopté l’Occident ?2. Quels territoires a-t-elle conquis ? Par quels moyens ?3. Comment le chrétien catholique affirme-t-il sa foi profonde ?
Cadre chronologique
1000 1100 1200
Renouveau et Affirmation de la chrétienté1054 1059 1122
Schisme : Séparation de l’Eglise d’Orient
(orthodoxe) et de l’Eglise d’Occident
(catholique)
Réforme Grégorien
ne
Réforme grégorienne Ensemble de mesures
prises par le Pape Grégoire VII pour
réformer les mœurs du clergé, améliorer sa
formation et renforcer le rôle de la papauté.
1095
L’Eglise joue un rôle de plus en plus important en Occident : elle
renforce son pouvoir en réformant ses institutions, en améliorant la formation des
clercs. Elle encadre davantage les fidèles et lutte contre les autres formes de pratiques
religieuses.
1270
Huitième et
dernière croisade en Orient
4. Expliquez les raisons pour lesquelles l’Eglise prend une importance croissante en Occident.
Croisade intervention armée
demandée par l’Eglise pour des raisons
religieuses, comme la délivrance d’un lieu
Saint.
Hérésie Déviance par rapport au
dogme (pratiques fondamentales) défini par l’Eglise de Rome.
1130
Combat contre les hérésies
1231
Mise en place de
l’Inquisition par le
Pape Grégoire
IX.
InquisitionTribunal spécialisé, crée
par l’Eglise romaine. Juridiction d’exception,
elle représente l’autorité du Pape dans une région.
début XIII° : création des
ordres mendiants
Ordres mendiantsreligieux qui suivent une
règle et font vœux de pauvreté. Ils vivent au
contact des populations (Dominicains, Franciscains)
Appel à la croisade Le pape Urbain II demande
aux chrétiens de libérer le tombeau du
Christ à Jérusalem tombé aux mains des
musulmans
ProblématiquesQuelle place
occupe la religion
chrétienne en Occident du XIème au XIIIème siècle ?
Comment l’Eglise encadre-
t-elle les sociétés
humaines et impose-t-elle
son autorité face aux autres croyances ?
Détail de la fresque de Bonaiuti, 1366-1368, chapelle du couvent des Dominicains, Florence, Italie
Le Pape (à gauche) siège aux
côtés d’un Empereur, d’un
Roi, et d’un noble. A ses pieds, sont
disposés des brebis (symbole du troupeau de l’Eglise) et des
chiens (symbole des Dominicains, ordre mendiant).
La foule des fidèles (laïcs) est représentée au niveau central alors que les
pèlerins forment le groupe
agenouillé (en bas et à droite).
1. L’Occident christianisé.A. L’église au cœur des sociétés humaines.
Village d’Arinthod, Jura (39) Franche Comté
Village de Gourdon, Lot (46) Midi Pyrénées
« L’église était au Moyen Age le domicile du peuple. La maison de l’homme...n’était qu’un abri momentané. Il n’y avait qu’une maison, à vrai dire, la maison de Dieu. ... la vie sociale s’y était réfugiée tout entière. L’homme y priait, la commune y délibérait, la cloche était la voix de la cité. Elle appelait aux travaux des champs, aux affaires civiles, quelquefois aux batailles .... Le commerce se faisait autour des églises : les pèlerinages étaient des foires. Les marchandises étaient bénies ; on mangeait dans l’église même et après le repas venait la danse. L’église se prêtait à ces joies. »Jules Michelet, histoire de France,
Tome 3 L’église occupe une position centrale. Le village s’organise autour d’elle. Elle joue un rôle important dans la vie quotidienne : elle marquait le temps des hommes (travaux des champs), servait de lieu de rassemblement pour régler des problèmes d’ordre politique, attirait les pèlerins. Les activités économiques avaient lieu autour de cet édifice. L’église était donc au cœur de la vie sociale du village.
1. Quel est l'édifice remarquable, présent sur les deux documents ? Coloriez-le en rouge. Quelle est sa position par rapport au village ? 2. En vous aidant du texte de Michelet, que pouvez-vous en déduire sur son rôle ?
B. Un monde encadré par l’EgliseLA PAIX DE DIEU : ACCORD DE VERDUN-SUR-LE-DOUBS
(1021-1022) "Ecoutez, chrétiens, l'accord de paix !
[1] Je n'envahirai d'aucune manière une église...[2] Je n'assaillirai pas de clerc et de moine ne portant pas d'armes séculières ni de gens marchant avec eux sans armes ; je ne m'emparerai pas de leurs biens, sauf si leur culpabilité me donne alors une bonne raison de le faire. Et si leur culpabilité est prouvée, je ne prendrai pas plus que le prix du forfait et l'amende légale…[4] Je ne m'emparerai pas du paysan, de la paysanne, des serviteurs et des marchands. Je ne prendrai pas leurs deniers, je ne les ferai pas racheter, je ne prendrai ni ne gaspillerai leur bien, et je ne les fouetterai pas…[6] Je n'incendierai ni ne détruirai les maisons, à moins que je n'y trouve à l'intérieur un cavalier qui soit mon ennemi et en armes ou un voleur, ou qu'elles ne jouxtent un château qui réponde au nom de château…[9] Je ne détruirai pas de moulin, je ne m'emparerai pas du blé qui s'y trouve…[12] J'observerai ce bref écrit tant que je vivrai (...); à l'exception du temps pendant lequel je bâtis ou j'assiège un château…; à l'exception de la chevauchée des chevaliers. …[13] Depuis le début du jeûne jusqu'à Pâques closes, je n'assaillirai pas le cavalier ne portant pas les armes séculières et je ne lui enlèverai pas de force l'avoir qu'il portera avec lui. Burchard, archevêque de l'Eglise de Lyon, a établi ce pacte de paix au concile de Verdun, en présence de ses évêques…celui qui ne tiendra pas cette paix à partir d'aujourd'hui, … qu'il n'entre plus dans l'église avec les chrétiens, qu'il n'ait plus leur compagnie, qu'il ne reçoive plus le corps et le sang du Seigneur jusqu'à ce qu'il jure cette paix. Nous n'ordonnons pas de jurer ce sacrement à ceux qui ne sont pas cavaliers et ne portent pas les armes séculières.
QUESTIONS1. Qui a proclamé cet accord ?2. A quels membres de la société s’adresse-t-il ? Selon vous, pourquoi ?3. Quelles sont les principales interdictions énoncées ? Quelle sanction encourent les contrevenants ? 4. Que nous apprend ce document sur le pouvoir de l’Eglise ?1. Cet accord a été proclamé par un collège de religieux dirigé par l’archevêque de Lyon : Burchard.2. Ce texte s’adresse principalement aux seigneurs et chevaliers afin de limiter leurs activités guerrières et leurs exactions.
4. Ce document nous montre que l’Eglise entend pacifier et surveiller le monde chrétien en limitant l’usage de la violence dans la société.
3. Burchard entend ainsi :-protéger l’église et le clergé mais également la population civile (commerçants, paysans…) de la barbarie des seigneurs.- défendre les biens (moulins, maisons) et les récoltes (blé). - sécuriser les routes - interdire les vols- réglementer la guerre en limitant temporairement les conflits. Les seigneurs qui ne respectent pas cette paix seront bannis de la chrétienté.
11. Une chrétienté conquérante et répressive
Etude d’un fait religieux : la croisade albigeoise
La Canso (1208-1219), Chanson de la Croisade contre les Cathares (reproduction du manuscrit du XIIIème siècle)
Comment la croisade albigeoise révèle-t-elle les résistances à l’Eglise et les formes que cette
dernière utilise pour lutter contre ?
2. Leurs règles de vie, très strictes, reprennent celles adoptées par les
premières communautés chrétiennes. Se basant
sur le Nouveau Testament, les cathares
pratiquent : - l’ascèse (vie rude et austère, où l'on se prive des plaisirs matériels pour tendre vers la perfection)- l’abstinence de nourriture carnée (puisqu’il y a interdiction de tuer)- l’éthique morale (défense de jurer, mentir, tuer) des premiers chrétiens.
11. Une chrétienté conquérante et répressive.A. Le catharisme : Une doctrine en rupture avec le
dogme catholiqueCROYANCES ET RITES CATHARESLe sacrement du consolamentum (consolation) ou baptême d'imposition des mains pratiqué par le Christ est le seul à porter le salut. Ce sacrement joue un rôle fondamental dans les communautés cathares car il est à la fois sacrement d'ordination (il fait d'un croyant cathare un "parfait"), de pénitence, d'eucharistie et d'extrême onction (appelé "consolamentum" des mourants). Le consolamentum est conféré par un membre de la hiérarchie et exige de celui que le reçoit le respect de la règle cathare (pratique de l'ascèse, abstinence de certaines nourritures comme la viande et ses dérivés) ainsi que la pratique de la morale évangélique (défense de jurer, de mentir, de tuer). Les cathares considèrent inefficace le baptême d'eau que les prêtres catholiques confèrent aux nouveau-nés car ceux-ci n'ont pas l'âge de prendre conscience de l'engagement que comporte le baptême pour celui que le reçoit. Ils contestent le sacrement de l'eucharistie, refusant de croire en la transformation des espèces (…), c'est-à-dire du pain et du vin qui deviendraient le corps et le sang du Christ lors de leur consécration par le prêtre dans la messe (…). Ils contestent aussi le sacrement de mariage catholique, celui-ci légitimant à leurs yeux l'union charnelle de l'homme et de la femme, union à l'origine du péché du premier couple selon leur interprétation de la Genèse. En résumé, les cathares adoptent le modèle de vie, les rites et les sacrements des premières communautés chrétiennes (…) s'appuyant principalement sur les enseignements du Nouveau Testament. Pour ces raisons, ils considèrent inefficaces la médiation des saints, le culte des reliques et des morts (offrandes et messes pour les défunts), pratiques instaurées par l'Église tout au long du haut Moyen Age. De la même manière, ils n'attachent pas d'importance aux bâtiments d'église comme seul lieu du culte car, pour eux, la parole du Christ peut être enseignée là où se réunissent les fidèles.
Article de Pilar Jiménez Sanchez, Directrice scientifique du Centre d'études cathares
(http://www.pyrenees-decouverte.com/sommaire/visites/cathares/intro/)
QUESTIONS1. Quel sacrement reconnaissent les cathares ? 2. Quelles règles guident leur vie quotidienne ?3. En quoi s’opposent-ils à l’Eglise catholique romaine ?1. Les cathares (en grec :
purs) ne reconnaissent qu’un seul sacrement : le consolamentum, à la fois baptême (entrée dans la communauté), pénitence, eucharistie (communion avec le Christ), extrême-onction (sacrement de fin
de vie). Il n’est donné qu’une fois adulte c’est-à-dire lorsque l’individu
est conscient de ses actes.
3. Les cathares rejettent les sacrements institués par l’Eglise catholique (le
baptême des nouveau-nés, le mariage ou encore
l’Eucharistie). De même, le culte des
reliques (reste du corps d’un saint, d’un
personnage sacré, ou objet leur ayant
appartenu, et qui fait l'objet d'un culte), des
morts et des Saints sont des pratiques non
reconnues.Enfin, ils ne
reconnaissent pas les églises comme des lieux
de culte. Complément : ils
reprochent aussi à l’Eglise catholique sa
richesse.
11. Une chrétienté conquérante et répressive.B. Une « hérésie » implantée en Occident.
QUESTIONS1. Où le catharisme s’est-il implanté en Occident ? (sur carte).2. Dans quelle catégorie de la population recrute-t-il ses membres ? Concerne-t-il une population importante ?
UNE POPULATION CIBLÉEIl est donc assez logique que le catharisme ne recrute que parmi les notables. On connaît bien, pour le Languedoc, les cathares d'un long XIIIème siècle, du moins ceux qui figurent dans les registres des inquisiteurs, soit environ quarante mille. Parmi eux, on trouve très peu de paysans, ni aucun des prolétaires qui composent 40 % de la population des villes. Apparaissent seulement des marchands, des hommes de loi et des notaires, auxquels se joignent beaucoup de petits nobles, habitant les cités ou bien les bourgs et les châteaux […].Son caractère élitiste en fait une religion minoritaire, concernant au plus entre 2 et 5 % de la population languedocienne. Cette faiblesse numérique et son absence de tout caractère populaire favorisent sa disparition rapide, quand la répression s'abat sur lui, laquelle prend deux formes successives : la croisade et l'Inquisition.http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/catharisme_et_cathares_en_languedoc.asp
(article de Jean Louis Biget)
ITALIE
OCCITANIE
RHÉNANIE
2. Les cathares sont surtout issus de l’élite sociale : marchands,
hommes de loi, notaires et petite
noblesse. Cette dissidence
touche une population restreinte : 2 à 5%.
GERMANIE
1206 : Dominique de Guzman (futur Saint Dominique)
s'installe à Fanjeaux, en plein pays cathare où il
prêche pour l’Eglise catholique.1208 : Assassinat
de Pierre de Castelnau, légat du Pape, venu
négocier l’aide du Comte de
Toulouse pour éradiquer l’hérésie
cathare : refus d’où
excommunication.
1209 : Appel du Pape à la
croisade que dirigera Simon
de Montfort jusqu’en 1218.
Le roi de France n’y participe pas mais autorise
ses barons à s’y associer.
Les villes de Béziers et de Carcassonne tombent aux
mains des croisés la même
année.
11. Une chrétienté conquérante et répressive.C. Chronique d’une répression annoncée : la
croisade AlbigeoisePONTIFICAT D’INNOCENT III (1198-1216)
1229 : Le traité de paix de
Meaux marque officiellement la
fin de la croisade même
si les opérations militaires se poursuivront
jusqu’en 1255.
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OCCITANIE
Zone d’expansion du catharismeFanjeaux
Diocèses cathares
BéziersCarcassonne
Agen AlbiToulouse
1233 : L’Inquisition, confiée aux
Dominicains, va débusquer les
hérétiques pour les condamner.
Les cathares qui échapperont aux
peines du tribunal seront
réduits à la clandestinité ou
à la fuite en Catalogne ou en
Lombardie.
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3
Jusqu’à la fin du XIIIème siècle, les cathares seront assiégés,
chassés, jugés et exécutés par les croisés et la justice
ecclésiastique. Cette guerre religieuse va ruiner la région que la couronne de France va
annexer.
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QUESTIONQuels moyens l’Eglise
catholique a-t-elle utilisé pour éradiquer la dissidence cathare
et empêcher sa renaissance ?
L’Eglise a utilisé trois moyens pour mettre fin
aux cathares : - un moyen
diplomatique : la prédication
- un moyen militaire : la guerre sainte (croisade)- un moyen judiciaire : l’Inquisition (tribunal
d’exception)
ConclusionAu Moyen Age, l’Occident est donc fortement marqué par l’influence du christianisme. L’Eglise de Rome étend son autorité spirituelle sur
l’ensemble des chrétiens et la religion est la colonne vertébrale
de la société. C’est dans cette logique que
l’Eglise de Rome éradique toute forme de dissidence. Ne pas se
conformer au dogme catholique est une hérésie. Ne pas obéir au Pape est passible d’excommunication.La diffusion du christianisme fut progressive mais elle marque de
son empreinte la vie des Européens de cette époque.
RessourcesFiche Eduscol : http://cache.media.eduscol.education.fr/file/lycee/76/9/LyceeGT_Ressources_HGEC_2_Hist_05_T3ChretienteMediev_148769.pdf
Adaptation DROM :http://webtice.ac-guyane.fr/histgeo/IMG/pdf/adaptationdrom2e.pdf
Cartes :http://houot.alain.pagesperso-orange.fr/Hist/ma/MA_10.htmhttp://www.chemins-de-compostelle.fr/chemins-compostelle.htmlhttp://phcb.wordpress.com/2011/05/30/conference-preparatoire-au-voyage-en-pays-cathare-du-12-au-14-juin-2009/
Textes et photos :http://icp.ge.ch/po/cliotexte/le-moyen-agehttp://cliophoto.clionautes.org/
Catharisme et croisade albigeoise :ouvrage : Monique Zerner, La croisade albigeoise, Paris, Gallimard, 1979, 248 p.http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/catharisme_et_cathares_en_languedoc.asp (article de Jean-Louis Biget) http://lescathares.free.fr/croisade/secfin.htmlhttp://cecnelli.unblog.fr/files/2009/01/chroniquecroisade1.pdfhttp://diversoutsita.free.fr/Divers/religion%20cathare.htmhttp://www.youtube.com/watch?v=9VejmEBj_Yo (documentaire Arte « les Cathares »)http://www.maison-memoires.com/nouveausite/?page_id=28http://mirepeisset.pagesperso-orange.fr/pages/histoire/08_occitanie.htm#trencavelhttp://lescathares.free.fr/croisade/precrois.htmlhttp://www.chateau-termes.com/les_cathares_et_le_catharisme.html
OCCITANIE
MER MÉDITERRANÉE
OCÉANATLANTIQUE