judiciaire d'°- s -...

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eurent!, SEPTEMBRE 1927, ABONNEMENTS: I, fr.; 6 mois ae fr.; 1 a. 65 fr. 0,0i sALAIRLS D'AMER/OUE Une revue, l'Impartial Français, utilisant des renseigne. ments puisés dans le récent livre de André Siegfried : Les Etats- Vois d'W'd..rehni et ceux que lui a fournis un Français qui :Man bien /a Russie mais garde l'anonymat, établit un parai. tre l'ouvrier américain et l'ouvrier russe, entre le travail- tète en leur heureux du monde capitaliste et le travailleur misérable du régimecommuniste. L'ouvrier américain est le mieux payé du monde entier et son standard of lif e dépasse d'une marge énorme celui des classes analogues dans n'importe quel pays. San suiaire, en 1925-1929, était de 3 à 5 dollars par jour, ct pour les ouvriers qualifiés, de 5 à 10. On vit même. en 1925, 'des maçons gegner 15 m 17 dollars, ais ce fut tout à fait excep tionnel. m érieur à celui d'avant-guerre. Son pou- Ce sa voir d'achat était, en 1925, par rapport aux années qui ont pré- LE . NUNGESSER ET C013 Cédé la guerre, et notammeM 1914, de 137 %, La hausse des salaires a de multiples causes dont il est sil ate° r oa,°°° icl,ar , eiffidle de marquer avec exactitude la part de chacune d'elles. Ti,,.e On cite couramment /a diminution de l'immigration, qui limite le nonsbre des travailleurs disponibles, la déflation, Peup, le' mement indduel chez le travailleur l lles qui, cenju- L'ELOQUENCE la gué avec l'abondance des ressources nature, es progres del technique, a permis ere/ever la production. L'employeur américain considère doit bien payer ses employés et, d'un autre côté, M. Siegfried cite l'opinion sui- vante de l'American Federation of Labor (Fédération Améri- 'eine du Trayait) s « Le véritable intérêt du salarié, comme ceint de la société tout entière est servi par une production croissante ert qualité et en quantité, de même que par un taux élevé du salaire, assurant au travailleur une capacité de con- sommation régulière et, au milieu dont il fait partie, un niveau 1.,theanrcreenudail,yamt,e: mtaltarLs ,,-7Votionocrear dealce,H,e prer., Lottil,uve réveillée par vus gestZ- Le talon sic ce marquis, a mar- te/é le arène de son adversaire qu'au sang. C'est une façon nouvelle «être talon rouge. Cet homme vient de rire avec l'amertume de mn fiel, accru de vie et de culture. p Les conditions de l'existence sont fort différentes de ce qu'elles sont en Europe. Les termes besoins, confort, luxe, fru- galité, n'ont pas le même sens sur l'une et l'autre rives de l'Atlantique. Le Issue de l'Europe est souvent devenu le besoin Berryer, Lachaud Léon Cléry, Wal- deciplioussmu, et, plus pois de nom et sous sas yeux, ont daine des avo- cats dont le talent oratoire boulever- sait jurés et juges. Mais, à côté de ceux., il yoles autres ceux dont de l'Amérique la parole est begue osa baurmuilee et Cette différence se manifeste dans le logement, dans le laltdirole.,:er:f.lett'es %atter r é raii '- régime des communications téléphones, automobiles, notam- doiries que issus allOns glaner Pune ment. L'ouvrier possesseur d'une automobile n'est pas un curas- série de lapsus, de coq-à-l'âne et de ple rare. naivetés dont certaines sont restées L'ouvrier américain devient propriétaire et même eapita- c,uéeitbeor joP:e),"iieeettsniull7ell'rss liste. 11 fait des économies qu'il dépose dans les caisses d'épar- n'attendaient pas. gne OU avec lesquelles il achète des actions des entrepris. L'ouvrier se glissait à quatre pattes le long du toit; ms p ied s de industrielles. derrière glissé/eut, te ma/heureux Ainsi, k travailleur des Etats-Unis connaît la vie confor- tomba dans le v Me. table, la large aisance et devient conservateur. Mon client avait la déplorais/0 11 y a bien à ce tableau quelques ombres, m. stegfrjed en habitude de se rendre, chaque di- signale dansez nombreuses et quiconque est au mirant de la eeilsirj t"sorereeel da"" culture américaine n'est pas loin de croire qu'il en oublie cer- Acquitte'. 'cette femme, ines- lainetneut beaucoup. Les types des romans américains ne sont sieurs los jurés, elle vans fera des pas inventés de toutes pièces, et même si l'on tient compte du 'd'aras cliente, M est sourde, ne -grossissement inévitable chez le romancier comme chez le dr. q pouvait pas voir le -train arriver. manage, il n'en reste pas moins que certains quartiers des 1 Ce calvaire, messieurs, nous .gsandes villes sont aussi misérables que ceux de notre vie'dk I l'avons bu jusqu'à la lie. Europe. Le factionnaire prétend que, s'il s'est éloigné de son poste, c'était En face de l'heureux ouvrier américain, l'Impartial Fran- pour satisfaire un besoin pressant; çais elle le iniséralde ouvrier raine. Tandis que le premier pros- mais R est certain que cet homMe père dans la clisation capitaliste, celui-ci ne trouve un, P'van be"i° dan' h misère dans le communisme nle de son actté. On sait qu'il s'agit d'une pom- Son salaire est notablement Inférieur à ce qu'il était en me de terre que l'on fait avec Us 1913 82 roubles-tchervonetz par mois en 1913, 67 roubles- ...)leaa rpérialê ichervOnetz en 1927. Pendant ce temps, l'indice moyen de la vie °sucer phdosoplàle se promenant Colunie Aristote 11 , Minait ô est passé de 100 en 1913, année prise pour base, à 247 en 1926, dans les Ees bois de Boulogne. Crite population ouvrière, mal payée, souffre d'un chô- Celte Pauvre f=sen'a, Pour !nage intense. Au r mai 1927, on comptait 1.428,000 chômeurs 'm.1 fieedeV.01 Ze efej,, ne inscrits, ce qui donne un total de 2.500.000 sans-travail. On leur pourrait portal' /a main à l'écoule de ment - PIM des allocations de 12 h 18 roubl. par mois avec supplé- litent naturel des eaux de la deman- 30 % pour les fmnilles. deresse. cette situation misérable, il n'est guère possible aux 7,1"ii°2, 11°:°'1° ronurileftliZr:, °.yrm d'apporter quelques remèdes puisque' le droit de grève mais qu'il np'rnette de lui' dire niir rt te pas pour eux, an moins en fait. gus cette ficelle ne mordra Pas; ne. Lrs °e con est d diti 2 ons de vie sont. pitoyables. Les logements sont talons la percer à jour. fOrl mauvais état otmètres exigus. La superficie mo y enne d'un onneQintdd reitte Itretaustcli'uang,lust ntent e à 5 carrés ouvrier Ç Le prévenu était ra aCCompa.gné d'une bicyclet rte deux autres meôsieursi -- Hier, cet homme, en se réveil- lant, constata quhl n'existait plus. Cette demande n'est pas si- dense et /e tribunat remrra cer- ainement les parties dos à dos pour tsar montrer qu'elles doivent se ten- dre la main. Et mainterant, messieurs, sur quelle tête le tribunal pourrait-il asseoir son escalade 2 B. est certain que les adrersaf- ris se sont plai ou moins disputés, puisqu'ils se sont colletés, e saurait être question pourpar lui de téléphone ou d'auto- mobiles, comme aux Etats-Unis. Le vêtement, l'alimentation sont à revenant. Les assurances sociales existent et des prestations sont aj,..ttees en cas de maladie, d'incapacité temporaire, de chômage. C'est l'un des rares avantages dont jouisse tanner russe. Tels sont les traits essentiels de ce paral/èle. Que faut-il en raadure ? Le collaboratmc de l'Impartial, enthousiasmé par le de l'Amérique, en tire comme conséquence la sapé- capitalisme sur le socialisme. aller un peu vite en besogne. Le régime américain, point de vue purement ouvrier, n'est pas sans repro- cialisme ne tend pas uniquement à une simple aug- e salaires, il se propose une organisation nouvelle miens et de rechange. Il tend notamment à donner une part dans k contrôle de l'entreprise et M. Sieg- slMe.end que si le haut patronat américain e00ou- SOCIALISTE RliekteielO et Alo:oieratiat. SG, Le R.q.eleiue TOULOUSE Til. Coma. CLiepta pnnzn t BUItLITTI A PARIS s S. Lm er.laLa.e. Cemml e carte nous met tout de suite en garde contre 8.500 ETRANGERS EXPULSES ET rapprocher les choses qui ne peuvent pas être UNE CENTAINE DE COMMU- écs de la même façon NISTES INGARCERES EN e s'y dévloppe dans des conditions particulié- dfiercant sensiblement adc l'accroissement de la e seraient déjà modifiées si on n'avait pas fermé l'Union à l'immigration jaune. Et 1/ y a d'autres e-tarderont peut-être pas à se manifester et /mim- es comparaisons. Soyons prudents dans nos con- s situation de la Russie ne peut pas conduire )1 à condamner le socialisme. Le bolchevisme salisme, Kautsky, Compère-Morel, Paul Faure, cosmbien d'autres parini nos camarades ont écrit g s ou des brochures ois la différence utre est marquée d'une façon fort nette et ou t. les raisons de notre opposition au bolchevisme. v-Re.h4 1"1-ples que j'ai cités plus haut valent contre le bol- , ila ,rie prouvent rien ROMIre le socia/isme. E03j.ilA21L44, 4fPuté 41++ Toits les journaux ont signalé que e Conseil de la SDN. se réunissait présentement pour le 46e fois. Ce nombre fait rêver. D'abord il administre la preuve que les délégués des nations tra- vaillent s et que leur bonne volonté ne saurait être mise en doute. Mais en même temps et Pur voie de conséquence, hélas ! il administre la preuve de la média. crité du rendement de ce travail. Oh / je ne méconnais pas r cf. fort produit sinon par tous, de moins par quelques mernbres de la S.D.N. en faveur de la Paix 1 Jr suis de ceux qui, aPrès amie dit, et écrit, qu'on mettrait du Tarascon et 1.010 nus,ieseaa f ec, "ehn d a DE COSTES El LE PRIX temps a faire es mircles Genè- némen jr le déclare avec une Neuss. profonde sincérité d être ?Miner,- ti Pur leu /nits t de Ceux qui ta. cherchent des motifs de changer JUDICIAIRE d'°- déc-- dans les acies de Genève plus de vertu que ne lui en attribuent cer. ramour de nos bouts Je ne m'attendais pas à voir ce histeack devenir un argument dans la boniche de M. l'avocat général. La demanderesse touchait à l'âge de virilité. Oui, «est de la folie, de la folle méchante, de /a folie conmiente. femm'e elll'ne'st'ao udun's meétaitno 'quhiner' la hhin- me. de paille. Cette femmh, quia perdu son mari, gui a perdu ma père et qui Ms laisse passer sans avoir la pudeur de se découvrir devant leur cercueil. Mon client était avenMe. Des amis essayèrent de lui ouvrir /es Londres, 3 septetubre. est Yeux; rien n y fit, resta sourd. Votre montagne d'arguments est -- pris e,nn, ln, bâtie sur le sabir; elle est boiteuse et Ilreedirde gdri,jr,eaded,r,jueokmo nomPufaé. ±ielinzoeseuffiproa,.."Inioild,inInoeLnen sel:seer...1.mm et CaliS s'est renouvelée en ce gni concerne le a aint-RaphaM ditiet.,1 Ma r dossier rer mn:or:ire, ret er'eunr,:: eet de ta eedsuse clbaoPeaens - 'MM. Toute la journée s'est passés Plutôt que de se laver de cette sa'ns une le umied" ""ieimlue à riSre"t colonelle, ce qui lui eut été facile, il vint donnes un espoir gam ne relinne,,,,,,e rester se jetor l'eau. ' ne frappa k brou, or rom_pan leamgira,nd monoplan a disparu prenant pas pourquoi il avait perdu COrnes. ma; nrenous le taure,a po LA MANIÈRE FORTE net ouvrier, il n est pas du Mut disposé à admet- vr,ens à la direction de l'affaire. IDDN MINISTRE RADICAL-SOCIALISTE LISTE beaucoup à dire sur les comparaisons que l'on e. Etats-Unis et les pays d'Europe. L'examen atten- UN AN Paris, 3 septembre. -- Au effillv du comell des ministres qui s'est tenu hier h l'Elysee, M. Albert Sar- mot, ministre de l'Intérieur, et M. Louis Barthou, ministre de la le-s- ont eu l'occasion de fournir un ensemble de précisions résumant les nies.. prises depuis on 511, 011 vue non seuMment d'msurer la tr.quillité, male aussi de réprimer tous les délits comm au nom de l'action antimilitariste et rêve.- tionnal.. Quant aux manifestationS de lonce de ta soirée du 23 août de, nier, elles out h elles sentes a.mené le tribunal de la Seine prono.er trente-six condamnation in la cri- son. iteeteet e rieeteeeme6 è propos tains détracteurs systématiques, et marne certains amis. Cet état d'esprit la loisMunia et e sympathique s, probablement partagé par la grosse majorité des socialistes, aurait pu me faire ou- blier timidité des efforts de la Société des Nations, ait.' nouvelle n'était point lancée a travers le mondie qu'on en était à sa 46e réa- Chacune ayant duel Musicien jours, et même, le crois, plusieurs semaines ! Q. de palabres Pour de si note pros résultats ! la ê Londres, 3 septembre, Le minis- -h Cree mailleurôlr ee 0Ale fille tère d l'aéroitmeigr a reetir ILIng e ,Viacii v. » 4i, di ou s malt vioote. l e a , a L'automobile déboucha d'une route transversale, domme un escar- son vaisseau par 36,15 de latitude et soi sort de sa coquille. 29,45 de longitude. La pmition indi- nain bosse t , .", m mesi" mis nies à suée ont environ au millieu de l'At- A /a fin de ces conclusions je un ,,,nuyeen, .,ge do . jogjoh. des champs, comme a pl ir. d en. vols poindre comme un poignard vous, inessmurs les jur s: s000 n eau u vole empoisonné sortant d'un bouquet de fleurs, la ténébreuse articulation de mon adversaire. Cette, fin de non recevoir est peéremptre; elle cloue les pieds 051demandeur, qui en demeure pétrifié Sans doute, un conducteur d' elage n'a pas de trompe Cenirtie un cuifitnelitliSte, frais il n'a qu'à faire do il bru 0000 10 bouche ou avec au-100'5asireizt;oen im,amlefotle Stlic,wi ire chose. vals démontrer BO tribunal pagneg Race, une Damiers dieee mvaoins par r4lar aaPpPeraçenee a fi h n'ntueusr e'sviZleuirne. d présent, oceurionsmous du dor v-obI atiti ude la henère et 64,33 de longitude ouest. des mêmes faits, onze affaires gin vvocalrecevais 11/10 selution tres pro- s ne. Enfin, divers décrets ou arrêtés ministériels ont révoqué au sus- pendu de leurs fenctio.n.s une série go mg/ro, ou adjoints ayant parti- cipé à des provocations .antimilita- claies ou excité des manifestants h troubler l'ordre public. En outre, du mois de juillet 1926 O ce jour, te ministre de l'intérieur O prononce l'interdiction de la pu- blication de dix-neuf journaux qui poursuivaient en France une pro- pagande séditieuse en tangue lininusia esPagnole, allemande, rou- maine, russe, arabe ou annamite. Ces récisiens, qui étaient néces- saires,p font appandtre la continuité. t l'import.. de l'action ppugui r et gouvernement. sis (trise radis en 10 Pais.)Pais.) 25 CENTt POUR MARQUER LEUR SATISFACTION. MENÉ SUR LEUR PASSAGE ? UN GOSSE FRAGILE Oui, je sais elle a donné nais- sance k la réconciliation franco-al- lemande C'est keaucoup. Mais il a suffi d'une session pour cet événement. Et au cours des 45 autres qu'a-t- elle fait, la SON, ? Des dissertations sur le droit d'entrée de l'Allemagne sur des questions de préséance 'rue des questions de titularisations, et sac d'autres problèmes de même famil- le dont les chefs du pectorale eus- sent dù être seuls safris. Elle n'a même pas, fond, d son actif, quoi qu'elle se l'attribue, le réglement de certains conflits surgis dans les Balkans, pour les- quels elle a simulé une assemblée piénière après certitude des colas- tés conciliantes des antagonistes. Je ne souligne pas cette pauvre- té de résultats peur en tirer une condusion hostile la Société des Nations, et tendant à douter de son utilité présente ou de son efficaci- té future. Un enfant ne saurait être accusé d'impuissance et fragilité de sa constitution ne saurait justifier aucun titre de pronostic pessimiste sur la vigueur de l'adulte. Mais cette fragilité, a ne faut pas la nier. Il convient, au contraire, de la /loir pour la guèris. Rien n'est plus pernicieux que l'orgueil paterne/ transformant en qualités les défauts de la progéni- ture et déclarant enfant prodige un gosse qui apprend difficilement l'alphabet. Léon HUDELLE. Lure un Anglais qui s'envole tandis qu'un autre est perdu Le mn St-Raphaël semble perdu. Modo'a reçu anjouGl'hul précim que lais de son passage, l'avion votait à une vitesse d'environ 80 milles à. l'heu. et se Rnait à 300 mètres «al- titude; son moteur fonctionnait nor- malement. L'avion, qui alors devait avoir effectué un par.um freavirtill 1,200 milles, lança trois signaux 10- mineux pour indignes qu'a usait Ie ne ,o,,, dis plus aine,, ,, uss9 ,L'avon, si t avio. apeuse, diétaiiit 'réellement celle d-un mots; missieurs i songez au droit 'etlg,,,, j, ree, past à 1 justice. Je m'assieds sur ms raison des mauvaises conditions at- mosphériques qui règnent sur les Al- paroles. m.., Dm,. Nilis la Baleiné.. ,,envespes, l'aviateur a décidé de suivre In vallée du Rhône jusqu'a Marseille_ / Londres, 3 septembre. capi- Itaine Constney a quitté Plymouth ce PAR-DESSUS LES MONTAGNES matin, à 6 h. 26, sur son n bateau vo- lant v z La Baleine v, t destination El Paso (Texas), 3 septembre. des Etats-Unis, vitt les Açores.Le lieutenant-aviateur Carranza, de e La Baleine v fit deux faux départs l'armée fédérale mexicaine, est parti hier matin, à 4 heures, de Mexico, seul a bard de son app.eil, en vue d'aller sans esclle jusqu'à Juarez (2,222 millm). Il a di atterrir à Cors. 0150m, dans le Rio-Grande, ayant ef- fectue 1,222 milles en onze heures vingt-huit minutes, et lieuse le troisième, Le capitaine CourtneY esi_ pagné du lieuteaant DOWeler et Cte M. LittLle, navigateurs et mécanicien. EN ROUTE Londres, 3 soptemlire. On an- nonce que le vapeur français n Cali- fornie D a signalé un aérciplane blanc, ce matin, 50001000 90 milles au nord-o.st de Brest. Brest, 3 sept./Mû. Le poste d'Ouessant a reçu è 6 li. Si, le télé. gra.ue suivant du vapeur e Cali- fornie a is Avion passé assez loin de nous, ouais useo 1,,°11' Position l 4 longitude. zr A 7 h. 35, le poste d'Ouessant rece- vait un autre télégramme du vape. O Outesie z e Position 48,20 et 8,40. Avian en mie volant à, 200 inértres. soute ouest eud-ouest. L'avion du capitaine Courtney file dons droit dans lis direction des Ae- ne.. S1NOTIEME iNNEE. nc N° 10,0/41 LES AMERICAINS SIFFLENT, PAR AIT-IL, OIMMEMZIMUIV *optima/0M* EH ! BIEN ! MAIS ALORS, POURQUOI PRO- TESTER SI LA FOULE FRANÇAISE FAIT DE Les autres sont arrêtés k,EA «TIVONDÉTAWER HARBOUR-GRACE New-York, 3 setneinbnei 01 mail- de de Carig. (Maine), que l'avion e Sir-John:Curting a tentera de tir aujourd'hui pour atteindre Bar- bouGGrâce. LEI ROYAL-MNDSOR NE POURRA REPRENDRE SON VOL AVANT QUELQUES JOURS New-York, 3 septembre tin m.essage de Saint-Jeanle-Québee an- nonce qu'un examen de l'avion I 11.'1-Windsor « montré que l'ap- pareil ne poilerait pas voler avant plusieuns jours. L/ sera probablement ramené /é Windsor. LE TOUR DU MONDE DU nPRIDE OF DETROIT» Bagdad, 3 septembre. Le n Psi- de of Detroit a, continuant son raid 001000 110 monde, est parti po. Ben- der-Abbas. LES ALLEMANDS PARTIRONT-ILS Berlin, 3 septembre. Le profeeseur Junker a adremé aux pilotes du Bremen n une lettre leur signalant les dangers à enco-uris et-ses Iodes au sujet d'un raid Issas...ni- g. â l'époque actuelle. Il /es laisse toutefois libres de décider eUx-mê- m. S'US doivent prendre te départ. On estime généralement que si les conditions atmosphériques ne per- m-ettent pas le départ dans la Pre- mière quinzaine de septembne, raid sera remis à i'année prochaine. LONDRES-LE CAP Lyon, 3 seiptembre. L'aviateur Bentley a quitté l'aérodrome de Bron DU MEXIQUE LA VIE DU PARTI ?réparons- nous n la prochaine bataille UNE CIRCULAIRE AUX FEDERATIONS Les militants socialistes saven Po-tep Gongs. national S. F. L 0, eu tiendra fin décembre, pour l'examen du programme et de la tactique du Parti ône Proohaines élections. DO demain, la C. A. P. plénier° se Mu nit. Voici, â ce propos, la Circulaire que le secrétariat du Parti, a adreasê aux secrétaire° federal=e Cher Camarade, La Commission administrative permanente creit deVair rappeler aux Fédération° la necessité de se mettre aussi rapidement gale possi- ble h la bemgne de préparation dès prochain. élections 16gislatives (organisation finanetére, constitution des Unions de smtfom p..ciroonee cription, propagande, candidatures, eto...). Sans mémo parler de l'éventuns lité d'une dissolution de la Chambra et des élections brusquées qui en sec raient la conséquence, le délai gut nous sépare de 1922 reste court. Les mois vont passer très vite Nos ad- versaires de toutes opinions 80 re- muent déjà et s'organisent. 11 ne faut pas que nous nous laissions devan- cer. a La C. A. P. travaille à mettre, alSitôt que p.sible, entre le° Mains des candidats et des autres Propagandistes du Parti, les docu- ments dont ils ont besoin au coure de la campagne. En teinps opportun, des tracts et des teffiches seront ré. digés. Et vous savez que l'intention Os la C. A. P. ost do demander h un' Congrès extraordinaire, gui se tien- drait fin décembre, de rogler définie tivernent la question de notre pro- gramme et celle de notre tactique. O II faut souhaiter que les docte Mons de en Congrôs trouvent touter nos fldnations dépà, pleinement or, ganisées et prêtes h la bataille. a Tel -est, du moins, le vol de 18 G, A. P. O Elle exprime, no outre, le d4io de recevoir, et aussi rapidement gni/ possible, de chaque selltaire ferlée Cal, un aperçu provisoire et succiuø de la situation politique actuelle dans son département et de Ce qut loi etPrPetbui= 112C-ritet servi- raient utilement aux discussions de In prochaine réunion plénigre de la C. A. P. (4 septembre) et c'est pourô quoi je vous prie instaMmeat de rnd les fournir sane tarder. Recevez, chef Cnarade, mea fraternelles salutations social... a Le secrétaire adjoint, a T.-B. SEVERAC. En vue de h proehaine dernière suerrt Nancy, 2 septembre. tantes manomms de cavalerie vont se dérouter en Lorraine du 3 au IO sept.-dire, soue ta haute direction Le Général WEYGAND gai os dfrier da m'acharna. de général Weygand, membre du Conseil supérieur de la guerre. Les évolutions des troupes auront lieu principalemeni dans les régiond M.oronge, Gr. et Tenquie Le but de ces manuvres est d'Os Didier sur le terrain la manière dent peut être renforcée rapide- ment la puissance de tactique d'une division de cavalerie entrant co aa. U. avec. ses seuls moyens. kprès likssassillat CU L'AMERIGAN ['ROM SOLIDIIRE DES ASSASSINS On se souvient qu'un télégramme du Comité Sacto-Vametti de Bos" ton, celui do Paris, affirmait que FAnierican Legton était intervenue pour réclamer l'exécution des doué malhoureuX, Quelques journaux parisiens ayant démenti cette information, le Count& Sacco a dem.. justification Bo, ton. La réponse vient de parvenir, sous forme d'un extrait du « Boston Globe s du 22 août, page 12, colons' n'ii2JCluirbe V/110111 de Enelindale, te nouveau commandant de l'Arnericao Legion pour l'Etat de Mas-Pachus, selle, &est rendu, 4 midi, aven Ma officiers, chez le gouverneur Fuller, p ur lui présenter ses respects. -°° na informèrent le gouver.us le soutiendraient dans l'aftain Sacco et Vanzetti. s Peatlet 04 lep%, gueee ffle. tat en il Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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eurent!, SEPTEMBRE 1927,

ABONNEMENTS:

I, fr.; 6 mois ae fr.; 1 a. 65 fr.0,0i

sALAIRLS D'AMER/OUEUne revue, l'Impartial Français, utilisant des renseigne.

ments puisés dans le récent livre de André Siegfried : Les Etats-

Vois d'W'd..rehni et ceux que lui a fournis un Français qui:Man bien /a Russie mais garde l'anonymat, établit un parai.

tre l'ouvrier américain et l'ouvrier russe, entre le travail-tète enleur heureux du monde capitaliste et le travailleur misérable

du régimecommuniste.L'ouvrier

américain est le mieux payé du monde entier et

son standard of lif e dépasse d'une marge énorme celui des

classes analogues dans n'importe quel pays.

San suiaire, en 1925-1929, était de 3 à 5 dollars par jour,ct pour les ouvriers qualifiés, de 5 à 10. On vit même. en 1925,

'des maçons gegner 15 m17 dollars, ais ce fut tout à faitexcep tionnel. m érieur à celui d'avant-guerre. Son pou-Ce savoir d'achat était, en 1925, par rapport aux années qui ont pré-

LE . NUNGESSER ET C013Cédé la guerre, et

notammeM 1914, de 137 %,

La hausse des salaires a de multiples causes dont il est sil ate° r oa,°°° icl,ar ,

eiffidle de marquer avec exactitude la part de chacune d'elles. Ti,,.e

On cite couramment /a diminution de l'immigration, qui limite

le nonsbre destravailleurs disponibles, la déflation, Peup,le'

mement indduel chez le travailleurllles

qui, cenju-L'ELOQUENCE

lagué avec l'abondance des ressources nature, es progres del

technique, a permis ere/ever la production.L'employeur américain considère doit bien payer ses

employés et, d'un autre côté, M. Siegfried cite l'opinion sui-vante de l'American Federation of Labor (Fédération Améri-'eine du Trayait) s « Le véritable intérêt du salarié, commeceint de la société tout entière est servi par une productioncroissante ert qualité et en quantité, de même que par un tauxélevé du salaire, assurant au travailleur une capacité de con-sommation régulière et, au milieu dont il fait partie, un niveau 1.,theanrcreenudail,yamt,e: mtaltarLs ,,-7Votionocrear dealce,H,e prer.,

Lottil,uveréveillée par vus gestZ-

Le talon sic ce marquis, a mar-te/é le arène de son adversairequ'au sang. C'est une façon nouvelle«être talon rouge.

Cet homme vient de rire avecl'amertume de mn fiel,

accru de vie et de culture. pLes conditions de l'existence sont fort différentes de ce

qu'elles sont en Europe. Les termes besoins, confort, luxe, fru-galité, n'ont pas le même sens sur l'une et l'autre rives del'Atlantique. Le Issue de l'Europe est souvent devenu le besoin

Berryer, Lachaud Léon Cléry, Wal-deciplioussmu, et, plus pois de nomet sous sas yeux, ont daine des avo-cats dont le talent oratoire boulever-sait jurés et juges. Mais, à côté deceux., il yoles autres ceux dont

de l'Amérique la parole est begue osa baurmuilee etCette différence se manifeste dans le logement, dans le

laltdirole.,:er:f.lett'es %atter r é raii '-régime des communications téléphones, automobiles, notam- doiries que issus allOns glaner Punement. L'ouvrier possesseur d'une automobile n'est pas un curas- série de lapsus, de coq-à-l'âne et deple rare. naivetés dont certaines sont restées

L'ouvrier américain devient propriétaire et même eapita- c,uéeitbeor joP:e),"iieeettsniull7ell'rssliste. 11 fait des économies qu'il dépose dans les caisses d'épar- n'attendaient pas.gne OU avec lesquelles il achète des actions des entrepris. L'ouvrier se glissait à quatre

pattes le long du toit; ms p ied s deindustrielles. derrière glissé/eut, te ma/heureuxAinsi, k travailleur des Etats-Unis connaît la vie confor- tomba dans le v Me.table, la large aisance et devient conservateur. Mon client avait la déplorais/0

11 y a bien à ce tableau quelques ombres, m. stegfrjed en habitude de se rendre, chaque di-signale dansez nombreuses et quiconque est au mirant de la eeilsirj t"sorereeel da""culture américaine n'est pas loin de croire qu'il en oublie cer- Acquitte'. 'cette femme, ines-lainetneut beaucoup. Les types des romans américains ne sont sieurs los jurés, elle vans fera despas inventés de toutes pièces, et même si l'on tient compte du 'd'aras cliente, M est sourde, ne-grossissement inévitable chez le romancier comme chez le dr. q

pouvait pas voir le -train arriver.manage, il n'en reste pas moins que certains quartiers des 1 Ce calvaire, messieurs, nous.gsandes villes sont aussi misérables que ceux de notre vie'dk I l'avons bu jusqu'à la lie.Europe. Le factionnaire prétend que,

s'il s'est éloigné de son poste, c'étaitEn face de l'heureux ouvrier américain, l'Impartial Fran- pour satisfaire un besoin pressant;çais elle le iniséralde ouvrier raine. Tandis que le premier pros- mais R est certain que cet homMepère dans la clisation capitaliste, celui-ci ne trouve un, P'van be"i° dan' hmisère dans le communisme nle de son actté.

On sait qu'il s'agit d'une pom-Son salaire est notablement Inférieur à ce qu'il était en me de terre que l'on fait avec Us1913 82 roubles-tchervonetz par mois en 1913, 67 roubles- ...)leaa rpérialêichervOnetz en 1927. Pendant ce temps, l'indice moyen de la vie °sucer phdosoplàle se promenant

Colunie Aristote 11, Minait ôest passé de 100 en 1913, année prise pour base, à 247 en 1926, dans les Ees bois de Boulogne.Crite population ouvrière, mal payée, souffre d'un chô- Celte Pauvre f=sen'a, Pour!nage intense. Au r mai 1927, on comptait 1.428,000 chômeurs 'm.1 fieedeV.01 Ze efej,, neinscrits, ce qui donne un total de 2.500.000 sans-travail. On leur pourrait portal' /a main à l'écoule

dement-PIM des allocations de 12 h 18 roubl. par mois avec supplé- litent naturel des eaux de la deman-30 % pour les fmnilles. deresse.

cette situation misérable, il n'est guère possible aux 7,1"ii°2, 11°:°'1° ronurileftliZr:,°.yrm d'apporter quelques remèdes puisque' le droit de grève mais qu'il np'rnette de lui' direniirrt

te pas pour eux, an moins en fait. gus cette ficelle ne mordra Pas; ne.Lrs

°econ

est d

diti

2

ons de vie sont. pitoyables. Les logements sont talons la percer à jour.fOrl mauvais état

otmètres

exigus. La superficie moyenne d'un onneQintdd

reitte Itretaustcli'uang,lust

ntent e à 5 carrés ouvrier Ç

Le prévenu étaitra

aCCompa.gnéd'une bicyclet rte deux autresmeôsieursi

-- Hier, cet homme, en se réveil-lant, constata quhl n'existait plus.

Cette demande n'est pas si-dense et /e tribunat remrra cer-ainement les parties dos à dos pour

tsar montrer qu'elles doivent se ten-dre la main.

Et mainterant, messieurs, surquelle tête le tribunal pourrait-ilasseoir son escalade 2

B. est certain que les adrersaf-ris se sont plai ou moins disputés,puisqu'ils se sont colletés,

e saurait être question pourparlui de téléphone ou d'auto-mobiles, comme aux Etats-Unis.Le vêtement, l'alimentation sont à revenant.Les assurances sociales existent et des prestations sontaj,..ttees en cas de maladie, d'incapacité temporaire,

de chômage. C'est l'un des rares avantages dont jouissetanner russe.Tels sont les traits essentiels de ce paral/èle. Que faut-il enraadure ? Le collaboratmc de l'Impartial, enthousiasmé par le

de l'Amérique, en tire comme conséquence la sapé-capitalisme sur le socialisme.

aller un peu vite en besogne. Le régime américain,point de vue purement ouvrier, n'est pas sans repro-cialisme ne tend pas uniquement à une simple aug-

e salaires, il se propose une organisation nouvellemiens et de rechange. Il tend notamment à donnerune part dans k contrôle de l'entreprise et M. Sieg-slMe.end que si le haut patronat américain e00ou-

SOCIALISTERliekteielO et Alo:oieratiat. SG, Le R.q.eleiue TOULOUSE Til. Coma. CLiepta pnnzn t

BUItLITTI A PARIS s S. Lm er.laLa.e. Cemml

e carte nous met tout de suite en garde contre 8.500 ETRANGERS EXPULSES ETrapprocher les choses qui ne peuvent pas être UNE CENTAINE DE COMMU-écs de la même façon NISTES INGARCERES ENe s'y dévloppe dans des conditions particulié-

dfiercant sensiblement adc l'accroissement de lae seraient déjà modifiées si on n'avait pas fermél'Union à l'immigration jaune. Et 1/ y a d'autres

e-tarderont peut-être pas à se manifester et /mim-es comparaisons. Soyons prudents dans nos con-s situation de la Russie ne peut pas conduire)1 à condamner le socialisme. Le bolchevismesalisme, Kautsky, Compère-Morel, Paul Faure,

cosmbien d'autres parini nos camarades ont écritg s ou des brochures ois la différenceutre est marquée d'une façon fort nette et out. les raisons de notre opposition au bolchevisme.v-Re.h4 1"1-ples que j'ai cités plus haut valent contre le bol-, ila ,rie

prouvent rien ROMIre le socia/isme.

E03j.ilA21L44, 4fPuté 41++

Toits les journaux ont signalé quee Conseil de la SDN. se réunissaitprésentement pour le 46e fois.

Ce nombre fait rêver.D'abord il administre la preuve

que les délégués des nations tra-vaillent s et que leur bonne volonténe saurait être mise en doute.

Mais en même temps et Purvoie de conséquence, hélas ! iladministre la preuve de la média.crité du rendement de ce travail.

Oh / je ne méconnais pas r cf.fort produit sinon par tous, demoins par quelques mernbres de laS.D.N. en faveur de la Paix 1

Jr suis de ceux qui, aPrès amiedit, et écrit, qu'on mettrait du

Tarascon et 1.010 nus,ieseaa f ec, "ehnd aDE COSTES El LE PRIX temps a faire es mircles Genè-

némen jr le déclare avec uneNeuss.profonde sincérité d être ?Miner,-ti Pur leu /nits t de Ceux qui ta.cherchent des motifs de changer

JUDICIAIRE d'°- déc--dans les acies de Genève plus devertu que ne lui en attribuent cer.

ramour de nos bouts

Je ne m'attendais pas à voir cehisteack devenir un argument dansla boniche de M. l'avocat général.

La demanderesse touchait àl'âge de virilité.

Oui, «est de la folie, de la folleméchante, de /a folie conmiente.

femm'eelll'ne'st'aoudun's meétaitno 'quhiner' lahhin-me. de paille.

Cette femmh, quia perdu sonmari, gui a perdu ma père et qui Mslaisse passer sans avoir la pudeur dese découvrir devant leur cercueil.

Mon client était avenMe. Desamis essayèrent de lui ouvrir /es Londres, 3 septetubre. estYeux; rien n y fit, resta sourd.

Votre montagne d'arguments est -- pris e,nn, ln,

bâtie sur le sabir; elle est boiteuse et Ilreedirde gdri,jr,eaded,r,jueokmo nomPufaé.±ielinzoeseuffiproa,.."Inioild,inInoeLnen sel:seer...1.mm et CaliSs'est renouvelée en ce

gni concerne le a aint-RaphaM

ditiet.,1 Ma rdossier rer mn:or:ire, ret er'eunr,:: eet de ta eedsuse clbaoPeaens -'MM. Toute la journée s'est passés

Plutôt que de se laver de cette sa'ns une le umied" ""ieimlueàriSre"tcolonelle, ce qui lui eut été facile, il vint donnes un espoir gamne relinne,,,,,,e resterse jetor l'eau. 'ne frappa k brou, or rom_pan leamgira,nd monoplan a disparu

prenant pas pourquoi il avait perdu

COrnes.ma; nrenous le taure,a po

LA MANIÈRE FORTEnet ouvrier, il n est pas du Mut disposé à admet-

vr,ens à la direction de l'affaire. IDDN MINISTRE RADICAL-SOCIALISTELISTEbeaucoup à dire sur les comparaisons que l'one. Etats-Unis et les pays d'Europe. L'examen atten-

UN AN

Paris, 3 septembre. -- Au effillvdu comell des ministres qui s'esttenu hier h l'Elysee, M. Albert Sar-mot, ministre de l'Intérieur, et M.Louis Barthou, ministre de la le-s-

ont eu l'occasion de fournir unensemble de précisions résumantles nies.. prises depuis on 511, 011vue non seuMment d'msurer latr.quillité, male aussi de réprimertous les délits comm au nom del'action antimilitariste et rêve.-tionnal..

Quant aux manifestationS delonce de ta soirée du 23 août de,nier, elles out h elles sentes a.menéle tribunal de la Seine prono.ertrente-six condamnation in la cri-son. iteeteet e rieeteeeme6 è propos

tains détracteurs systématiques, etmarne certains amis.

Cet état d'esprit la loisMuniaet e sympathique s, probablementpartagé par la grosse majorité dessocialistes, aurait pu me faire ou-blier timidité des efforts de laSociété des Nations, ait.' nouvellen'était point lancée a travers lemondie qu'on en était à sa 46e réa-

Chacune ayant duel Musicienjours, et même, le crois, plusieurssemaines !

Q. de palabres Pour de si notepros résultats !

la ê Londres, 3 septembre, Le minis--h Cree mailleurôlr ee 0Ale fille tère d l'aéroitmeigr a reetir ILInge

,Viacii v. » 4i, diou

s malt vioote. l e a , aL'automobile déboucha d'uneroute transversale, domme un escar- son vaisseau par 36,15 de latitude etsoi sort de sa coquille. 29,45 de longitude. La pmition indi-nain bosse t, .", mmesi" mis nies à suée ont environ au millieu de l'At-

A /a fin de ces conclusions je un ,,,nuyeen, .,ge do . jogjoh.

des champs, comme a plir. d en.

vols poindre comme un poignard

vous, inessmurs les jurs:s000 n eau u vole

empoisonné sortant d'un bouquet defleurs, la ténébreuse articulation demon adversaire.

Cette, fin de non recevoir estpeéremptre; elle cloue les pieds

051demandeur,qui en demeure pétrifiéSans doute, un conducteur d'

elage n'a pas de trompe Cenirtie uncuifitnelitliSte, frais il n'a qu'à fairedo ilbru 0000 10 bouche ou avec au-100'5asireizt;oen im,amlefotle Stlic,wiire chose.

vals démontrer BO tribunal pagneg Race, une Damiers

dieee mvaoins par r4lar aaPpPeraçenee a fi hn'ntueusr e'sviZleuirne.d

présent, oceurionsmousdu dorv-obI

atitiude

la henèreet 64,33 de longitude ouest.

des mêmes faits, onze affaires ginvvocalrecevais 11/10 selution tres pro-

s ne.Enfin, divers décrets ou arrêtés

ministériels ont révoqué au sus-pendu de leurs fenctio.n.s une sériego mg/ro, ou adjoints ayant parti-cipé à des provocations .antimilita-claies ou excité des manifestants htroubler l'ordre public.

En outre, du mois de juillet 1926O ce jour, te ministre de l'intérieurO prononce l'interdiction de la pu-blication de dix-neuf journaux quipoursuivaient en France une pro-pagande séditieuse en tanguelininusia esPagnole, allemande, rou-maine, russe, arabe ou annamite.

Ces récisiens, qui étaient néces-saires,pfont appandtre la continuité.t l'import.. de l'action ppugui

r et gouvernement.sis(trise radis en 10 Pais.)Pais.)

25 CENTt

POUR MARQUER LEUR SATISFACTION.

MENÉ SUR LEUR PASSAGE ?

UN GOSSE FRAGILEOui, je sais elle a donné nais-

sance k la réconciliation franco-al-lemande

C'est keaucoup.Mais il a suffi d'une session pour

cet événement.Et au cours des 45 autres qu'a-t-

elle fait, la SON, ?Des dissertations sur le droit

d'entrée de l'Allemagne sur desquestions de préséance 'rue desquestions de titularisations, et sacd'autres problèmes de même famil-le dont les chefs du pectorale eus-sent dù être seuls safris.

Elle n'a même pas, fond, dson actif, quoi qu'elle se l'attribue,le réglement de certains conflitssurgis dans les Balkans, pour les-quels elle a simulé une assembléepiénière après certitude des colas-tés conciliantes des antagonistes.

Je ne souligne pas cette pauvre-té de résultats peur en tirer unecondusion hostile la Société desNations, et tendant à douter de sonutilité présente ou de son efficaci-té future.

Un enfant ne saurait être accuséd'impuissance et fragilité de saconstitution ne saurait justifieraucun titre de pronostic pessimistesur la vigueur de l'adulte.

Mais cette fragilité, a ne faut pasla nier. Il convient, au contraire,de la /loir pour la guèris.

Rien n'est plus pernicieux quel'orgueil paterne/ transformant enqualités les défauts de la progéni-ture et déclarant enfant prodigeun gosse qui apprend difficilementl'alphabet.

Léon HUDELLE.

Lure un Anglais qui s'envole

tandis qu'un autre est perduLe

mn

St-Raphaël

semble perdu.

Modo'a reçu anjouGl'hul précim quelais de son passage, l'avion votait àune vitesse d'environ 80 milles à.

l'heu. et se Rnait à 300 mètres «al-titude; son moteur fonctionnait nor-malement. L'avion, qui alors devaitavoir effectué un par.um freavirtill1,200 milles, lança trois signaux 10-mineux pour indignes qu'a usait

Ie ne ,o,,, dis plus aine,,,,uss9

,L'avon, si tavio.

rçapeuse, diétaiiit'réellement celle d-unmots; missieurs i songez au droit 'etlg,,,, j, ree, past

à 1 justice. Je m'assieds sur ms raison des mauvaises conditions at-mosphériques qui règnent sur les Al-paroles. m.., Dm,. Nilis la Baleiné.. ,,envespes, l'aviateur a décidé de suivre Invallée du Rhône jusqu'a Marseille_

/ Londres, 3 septembre. capi-Itaine Constney a quitté Plymouth ce PAR-DESSUS LES MONTAGNESmatin, à 6 h. 26, sur son n bateau vo-lant v z La Baleine v, t destination El Paso (Texas), 3 septembre.des Etats-Unis, vitt les Açores.Le lieutenant-aviateur Carranza, de

e La Baleine v fit deux faux départs l'armée fédérale mexicaine, est partihier matin, à 4 heures, de Mexico,seul a bard de son app.eil, en vued'aller sans esclle jusqu'à Juarez(2,222 millm). Il a di atterrir à Cors.0150m, dans le Rio-Grande, ayant ef-fectue 1,222 milles en onze heuresvingt-huit minutes,

et lieuse le troisième,Le capitaine CourtneY esi_

pagné du lieuteaant DOWeler et CteM. LittLle, navigateurs et mécanicien.

EN ROUTE

Londres, 3 soptemlire. On an-nonce que le vapeur français n Cali-fornie D a signalé un aérciplane blanc,ce matin, 50001000 90 milles aunord-o.st de Brest.

Brest, 3 sept./Mû. Le posted'Ouessant a reçu è 6 li. Si, le télé.gra.ue suivant du vapeur e Cali-fornie a

is Avion passé assez loin de nous,ouais useo

1,,°11'Position l 4longitude. zr

A 7 h. 35, le poste d'Ouessant rece-vait un autre télégramme du vape.O Outesie z

e Position 48,20 et 8,40. Avian enmie volant à, 200 inértres. soute ouesteud-ouest.

L'avion du capitaine Courtney filedons droit dans lis direction des Ae-ne..

S1NOTIEME iNNEE. nc N° 10,0/41

LES AMERICAINS SIFFLENT, PAR AIT-IL,OIMMEMZIMUIV *optima/0M*

EH ! BIEN ! MAIS ALORS, POURQUOI PRO-

TESTER SI LA FOULE FRANÇAISE FAIT DE

Les autres sont arrêtés

k,EA «TIVONDÉTAWERHARBOUR-GRACE

New-York, 3 setneinbnei 01 mail-de de Carig. (Maine), que l'avione Sir-John:Curting a tentera detir aujourd'hui pour atteindre Bar-bouGGrâce.

LEI ROYAL-MNDSORNE POURRA REPRENDRE SON VOL

AVANT QUELQUES JOURSNew-York, 3 septembre tin

m.essage de Saint-Jeanle-Québee an-nonce qu'un examen de l'avionI 11.'1-Windsor « montré que l'ap-pareil ne poilerait pas voler avantplusieuns jours. L/ sera probablementramené /é Windsor.

LE TOUR DU MONDEDU nPRIDE OF DETROIT»

Bagdad, 3 septembre. Le n Psi-de of Detroit a, continuant son raid001000 110 monde, est parti po. Ben-der-Abbas.

LES ALLEMANDS PARTIRONT-ILSBerlin, 3 septembre. Le profeeseur

Junker a adremé aux pilotes duBremen n une lettre leur signalant

les dangers à enco-uris et-sesIodes au sujet d'un raid Issas...ni-g. â l'époque actuelle. Il /es laissetoutefois libres de décider eUx-mê-m. S'US doivent prendre te départ.

On estime généralement que si lesconditions atmosphériques ne per-m-ettent pas le départ dans la Pre-mière quinzaine de septembne,raid sera remis à i'année prochaine.

LONDRES-LE CAPLyon, 3 seiptembre. L'aviateur

Bentley a quitté l'aérodrome de Bron

DU MEXIQUE

LA VIE DU PARTI

?réparons- nous

n la prochaine bataille

UNE CIRCULAIREAUX FEDERATIONS

Les militants socialistes savenPo-tep Gongs. national S. F. L 0, eutiendra fin décembre, pour l'examendu programme et de la tactique duParti ône Proohaines élections. DO

demain, la C. A. P. plénier° se Munit. Voici, â ce propos, la Circulaireque le secrétariat du Parti, a adreasêaux secrétaire° federal=e

Cher Camarade,La Commission administrative

permanente creit deVair rappeleraux Fédération° la necessité de semettre aussi rapidement gale possi-ble h la bemgne de préparation dèsprochain. élections 16gislatives(organisation finanetére, constitutiondes Unions de smtfom p..cirooneecription, propagande, candidatures,eto...).

Sans mémo parler de l'éventunslité d'une dissolution de la Chambraet des élections brusquées qui en secraient la conséquence, le délai gutnous sépare de 1922 reste court. Lesmois vont passer très vite Nos ad-versaires de toutes opinions 80 re-muent déjà et s'organisent. 11 ne fautpas que nous nous laissions devan-cer.

a La C. A. P. travaille à mettre,alSitôt que p.sible, entre le°Mains des candidats et des autresPropagandistes du Parti, les docu-ments dont ils ont besoin au courede la campagne. En teinps opportun,des tracts et des teffiches seront ré.digés. Et vous savez que l'intentionOs la C. A. P. ost do demander h un'Congrès extraordinaire, gui se tien-drait fin décembre, de rogler définietivernent la question de notre pro-gramme et celle de notre tactique.

O II faut souhaiter que les docteMons de en Congrôs trouvent touternos fldnations dépà, pleinement or,ganisées et prêtes h la bataille.

a Tel -est, du moins, le vol de 18G, A. P.

O Elle exprime, no outre, le d4iode recevoir, et aussi rapidement gni/possible, de chaque selltaire ferléeCal, un aperçu provisoire et succiuøde la situation politique actuelledans son département et de Ce qutloi

etPrPetbui= 112C-ritet servi-raient utilement aux discussions deIn prochaine réunion plénigre de laC. A. P. (4 septembre) et c'est pourôquoi je vous prie instaMmeat de rndles fournir sane tarder.

Recevez, chef Cnarade, meafraternelles salutations social...

a Le secrétaire adjoint,a T.-B. SEVERAC.

En vue de h proehaine

dernière suerrtNancy, 2 septembre.

tantes manomms de cavalerie vontse dérouter en Lorraine du 3 au IOsept.-dire, soue ta haute direction

Le Général WEYGANDgai os dfrier da m'acharna.

de général Weygand, membre duConseil supérieur de la guerre.

Les évolutions des troupes aurontlieu principalemeni dans les régiond

M.oronge, Gr. et TenquieLe but de ces manuvres est d'Os

Didier sur le terrain la manièredent peut être renforcée rapide-ment la puissance de tactique d'unedivision de cavalerie entrant co aa.U. avec. ses seuls moyens.

kprès likssassillat

CU

L'AMERIGAN ['ROM SOLIDIIREDES ASSASSINS

On se souvient qu'un télégrammedu Comité Sacto-Vametti de Bos"ton, celui do Paris, affirmait queFAnierican Legton était intervenuepour réclamer l'exécution des douémalhoureuX,

Quelques journaux parisiens ayantdémenti cette information, le Count&Sacco a dem.. justification Bo,ton. La réponse vient de parvenir,sous forme d'un extrait du « BostonGlobe s du 22 août, page 12, colons'

n'ii2JCluirbe V/110111 de Enelindale, tenouveau commandant de l'ArnericaoLegion pour l'Etat de Mas-Pachus,selle, &est rendu, 4 midi, aven Maofficiers, chez le gouverneur Fuller,p ur lui présenter ses respects.-°° na informèrent le gouver.us

le soutiendraient dans l'aftainSacco et Vanzetti.

s Peatlet 04 lep%, gueee ffle.

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il

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

3;?; er1la le j1 du PIu dEud a o. r.; drundeI. uomtd Suoo- 4 pmhre euu guru ulouo o Wmun-pour assister à l'introduction do Vanzetl, Hanri Guernut, seordlaj- clic 19 sopipsJjreJom W. Reth de Poslindule. ehen- Ce général de la Liguo de Droite de cl paetàeedi retad .e.ueut Là àuneç palutàe dàoe, ouneP Lugevm, profeu d4meeedeue VA N OàiS FAIRE Les deux Jcunsuu

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ett( e do "I t pute u t tt k btq Sue t d u d d là d u du t L e he t ut ht (u rt d et e du t e

.On erneundete tu tuàeU(uu Quen( cd uuuteut houeteut un nt d ' I ttntntuutnnC dv vntnC d endnnnn. y m,vttt tvaqvtetttttt do pvutttàtvte tutttttt puttttquuq te te deeu

Iltà $IN!ItireI,flL$ ft'tLSEtr dec expu(e1ee te utuette du tto rdtd denpv1uou u utd htvuedtett- kteh tenu Ut de JnhTeuy ntn dnvnudnv uvn I enntnuenbt. ov de quuvttvetteteue. Le tutte de vutee.

.!elt iu,idn eJ d(rutvgeeu m(Iitet(u nututu eu ut pet'- eeltt pete tuttun tut U q dtd uvu '

e u tnu. un , n nhnt d ee,,vnten tnué nntuttt' n te ptuou de tue det tbtde du te Ltnutn nntve, que utttet. .

I_L, le SI(NILJDRE tvuttbuemenà tttite du te p tope- 4ujteuue ddtot b t0 tQvhtep L puquetuvutttnue q,,'t,tvnnt,tt enttunveuteetvtu' ee t tetretoudu et q fuene à y eou(et'. Leu puutt eeieetete, ente p te vnentu

1e OflttI4 tqttut't,etptttt e tut eeud(e tututoute te et uCtettiettuet .- --*- nOttett't euuen et n,u env euJunuden vtàttttvt, tu uvttt-ttte, put' tnuv ert. dunuttttue In eutubpt det utudttett

Ie u tett tOtegttQt Pt r:eÇt)tàk Sà41LTtt\kLt LE OUCHAD u tP r vt e tt

Qtbt'°tu btqvvt(ttd(e(

tte'upr-ett(u et 4Onàto(In t btt]buv nv. - te de n t. t'e?teteeut te ptue tnit\'Oflt du I nutre vettteut'e S ptus prends pedie 4es

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gtkcr, tttttt devu q (4ge tudslu tut- tttsttvte pttv vtt.uu t t'u uuute et du Put tout rtuue tuu tut tvututu- a ,,,, nvnvvn,,, tt,e nvunssntu. Lek btdLtTION LÏ*NdtetTE A 1 t. 30, t.g fuOlnvtC5te , ko

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aesuontttphr, solut .'tntu, etéptec dec l'tuvteePittu- unie. pent.ttet à venues etc eut no- eetpuesen guet pne entures diuulgnt. Vutdu M. Pnuuunt dovtundavt vve e ulft'mvnt tueeA uuus':v': OIt 4. Pt.Pe.Oc e, cnn aetu 1k

C na tu t t tee 14 gi 4 4u': t p 4q t e' tulp ?eueutu et 1 et hi au':d ea' 'cd kn:tu I ta- t':vd uu t u2': U4 ead,t aeunt-a

luv0e' tvyeer 94dt4e entHvutt Tteevuuut, ,tu4yn,ttul4 utvtuet uo eut'tuiputiuu de lutte nue telle tletennuit ne4ualemcete hi,u'tenie cet datO tene.tutar ,rt,t i.t.t.. suvu de t. tut a-etc de eirup d'uuu uartie. laa Cuvte,ul s 7. a TClna t.

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duut dtla I uu bita- dut es.

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rhutme(ne pitit, etun unehuec lu Cuesta- tirS-é enulsue 'tait1t dec Vrns. du tu. Mas.uel tdteaud, dtuutt te. pudilivu utlruouvde u cuteoà te pet- e'eat t. ,tuantup li, Merda-5 9.

guet dec dtnet ntturu 4htt'tte dut tIc- l_A POLOGNE ET LE. PAC'fl) pyuOutéoe, ipuée de JoOd-èu-Toaet. (tttts((th Du) I'MSDANPkLRS euatde.et leu lu rut,owt tpttrettt lieu dat. toute 1H grunuou rtecutttdq du tettu nuie15.a, nue atnp 1H. Peeadtst't,. ait

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t eu w ni dO t P t P t au d eut t tt tOute Héb 4 umpt ht e MITILAtIOPe 'ttOtIirL[Lt ..,_-. t u t u u I ca-tut t, uh t dlus t

MM. Ptet'ee luurtcuneu e Lu Qut(t- ttauee ydndeul do uuea.cgueuaiuea 34 nue. dreetenraut net Cita-r, tttM tu' ldbutu I na-te Ltutme, et â te, dépeua, unpvlteot nu etu. l'anuee auatvetct, rIa-O'

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htune .Jtéàeetbttelttn u), t2uataou S-boy )ntttteeee du, tqutcoullee 4e Jenna-e.hta-ouIruue. It n pu douter te tutoyer, I tvpteutyee. - iii. Tee. ra-mi t ri uvvouauu prétetu. nupI d'une ttltle urtralinouto. vit de uuututu, la pOtut4u L41n'uue u), ttaeu. ecuuettu cet gueautle Ia'ee'gnelauneut opteanuimotit 94e ePe dire, miui.tcc dea It'av'yur. gutalive tua- ttunrguan b t'ndwiuittcotiun et L'hp.pvthtee dur uuoenle e lumande du BelgIquc ut du ttvy

tsttt, S-loto, Bulots pv)tiduul de It (eue etent bire qu'iui, bire qu'il te'? ugreeuenet'O. est tretoti te stautta, S S b, 3f, uut'tvnt (ra typa du btutt lttnietc. rut uts ptue vrti'uvvktublu. vert,

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r (((('14e u cut etni elt'rut test euruttralttntti t'flaut alra'e ra-ut-du, lItgututtlltitet de etutv9tie I.e et-megtettttuotetgut,

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ta-ré drauts, vo luta-ut dune lull,mutr pua net portu tut, du rut.duost oit tIC (la-eut pletur, Andelu utttnr'ret n'au'etuet buvvtue'vuvrtr ut

't t nu t tu I ligna ut lé-uretun ct'e'rtstirtl de 5e ieone

DOC vulto - al. eivvt.erouut in.qua-fa d'aueïr pci fOIre t Gay Unebluecuueittttte, n'uvauçait cure lutpuor rupeimer ut ra-rut, ttuaod ril'ara-tu du geuto on ettarteteratet r

leu dilue uien,.. a-nOtée... poule.tue je tait Itut... cl que ver pccu.tee tlt'tnt eupliqul ucu thtuu tuut bt'hettre eaeuue turampréhugaiblepuusr euh... dent te cule tutvucst de-buta ut itutttt ut que jt u ruaitvous cppent-ru,.,

lii tu, tslitteu du ailette qui cul.vait an prieulsulu. kot5t d'Aotuuiautetaacit téurber e

Ou vtuuà ole tteuvtt dut-u OuIperwtlrue bctuuhrt d'ut rhfte,tout ou tv,d du t't liutuju, l'9evuyuesut- une.. pat-qa lut) b l'àeeauu

uueuutu du prcusiur de, uetwtuclequi duveit e'appauuttir outra

I' ulàma Acdrde,gluv6u d'tpouonnto... ru éveuuatt 40erive drautciique lit le vustlu, b tubitte dc luiluelte la etutt nOvellbat tIrpeutu bu uttbluau...

Mot ptrr t'eut druet lu 'tut-1,..ut volet tu met qt'vtututuvd aur lutet qui a,'dtcit doetiut,

D'une maie qu'aman ls-(msbl,trtobtnpiteil, GOy luta-t vert Audutu ne

pcpicr quI vuneit u u erelse de tetuMulte.

Le irune feniutte, dote volt culte-coupO lot aturu I

llttu cotant,r bui'dutnt-ntut l'este que j'tuuum'

plie et qui tu ditttetcr dc statupirduettet' nu mItre,,, piva tdteu,ubettu,.,

Jottit tot'Ouue rua lue lu 0:5n'étntl qu'utn lotte vit tu nvttrl'e citaitnuc lurtu, eue vit-garas...

'u'eulr mou fiaIent. ara- lvep'otSr du OattuuuuVittitt.

Je mutait Iuttetttd...4u'desuuu do ta ttrae... at.dttgltt

de t. ululucue. (I I o la juuttsu ut luBactd...

Otrtviene.j'eu Ituittee.., tu tutOnite,eio pbta bel t,etiluee sItu le pt.tuvu

Eu tcnaua de ma rtulu j'ai ttutvt0011e ittetite ai telle bruite tipulepaur mt'abaljre...

J'étaie u'uiuuu d'oua-le ... j'aibar...

Stuc a-un,Itiotart VEBte'thktLy

Austiée lute,, tvusbêu le pesplm, ettrru... ut gravetueut a-tuante r

Ceu parvlet de ecenurda,.. rnttetu vttuntulre rnettàluois (tut.. Queoutra pece, Gup, repuar un putt... dclui puirdunon le niai qu'il es tunte US

u Ut-tat joug, t"Stit(S.e (tilt aura

iio s&ÂtJS1E"

utatiisoe,tu5uitiitt

u ut'iM 111 t .

raUs,lu,t.euairt,u.,.esri,.,a,,,.,r,,,,.r., -.-,-- -.--.-a---.'---------

l'heure,.. jotrdvtnuz-woi du vousavoir uhuimi uuttme vua toule du oit.timu tutuinloirt un le tcute peler-

u tues oérittitue etut'muvlc b vi-tre t-crU voua etet d'tittuvrau,ait-teuatt tunnut.,. et ovnI etueu juS&dttel d'att amatIe, voUe aura eumoi Une ,uttle...

Oui,., fit tu vituuutu aa ta ru-gat'dent d'uu tait illtmittd... tut, nueamie.,. (t qui use lu 1H11 pctttv( numm tirant de eatlu ucielenué lautiloal Stupide punr tb'dltver vrai elle ut'sec, te btuq,..

u Ce sjut voue avun toit là, Ahdrtu,ma-lit eu rlirr,ujueuae et cuti altect ,vutr à I'letatutl,,,

3g oui. puttir... ruile tO,t Itt dur-vitre d(vui o candie à itou péri,,,et Outi, ut me uovurruc luttai,...

bleue, raeutt'en,vuuu,.. le ne aut.vrai p,u I.e iqulmn uboutta que teltilqui c'en eut elle puur tvtIOura,,.Iitq.., pO pucedrai le aSMt&à gos a-tac

r,i'avue uyovlrte.,, mut du la chu.

La lIche qv u voue nouut ttw.mena-u eu,etubte, trudic qnu ouestt'aubètuuu ICI,.. tuui j'irai truie..puiudte culture.., ri te ui m'lrrètn-ras,.. ir ni me ea9tturni que lare tuJ'uurui tuil oeuvre utile de mua te.

S-nue,., et-u, t'a-euro per de poil.à emtuquurie VOtrn tltstrté.,.

« S-rut mi'dttet eu, 10mw, quo deuum... Ce nutu, otum te quillE,,,.buuuutl uome,0 jettent toclinrei du'unie... ul voua ptumua pueurtreclore relui duc tiumme digne de0ev,,,.. digue u% pultu uutttu Ira-cl.er,cet lute ai pttdcuux,,. ne Ittunugat qui ie drtluuule u0 rate Cuite lItait-

Eu uttiuvtul 00m moL', qu'tt aou,tprunrutée nues ovu grenue nrbtuett,0MB r't'ruaÇaII ver, Marwui Savenapqui, t-erott, ut utolitut cil viveitluhtlet59nt eec tilt,. OS (,eeSt ga5a

LI MDl SOcIAUSTE

nuiSit me toua-t IntuIt- -

dort d'ut wtt lutaI...liaIt en tupuàl te brua

t'dt(edtr vure Pli, u 1,01t,

Il ae a'iIlstiuuaOil b'°l'' 'Oit 00'

q',t'i( tupmit, lutaI te mIu1 sa-r. 'u

tendu éittt va-i... .et tri b'.

espet,,, a-tI tel élts'ulI tu'

vc,t de reuueucr 10 Ma-O . -.

qu'ellu tût o lui... IUltra, aaua dite ut ,tit't ituta-.

ucit let doigta 14m GOY» d' uteMu

un inetuti, let datU bu 9414

raietti ttte pote le iitnPlt P

ebt-tsllte l'tit-hU,"fA

îioré1IjjBibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Chronique de Tou'eouse

UN JOURNALA LA PAGE

CCI

FÊTE DE LA ST-FIALRE

Le Service de jardins et prome-nades de la ville de Toulouse a ch.

rioi est à la

:le apgv:eelictiqrneienutie,

.apC'fp't'raten FY'lvee, Gaulois n,d

k mond oigtitanejuaïque.l'axis.-

crnoneretie en genéral et des diamine,ipi.t,=31

Le ic Gaulois » darig,tP?oPMCZla tournée aue vont rectreopgrig

la France à I oectreicitatil les apela luc nous, un cer-

rein nom re ducat cent

é'rangers, le s Gauloise Sc

àla date du 31 mat 15'27, c est àdire donc mercredi dernler

c LE SENATEUR DE LA HEU.TE GARONNE, M. FELGA, QUIEST EN MEME TEMPS MAIREDE 'TOULOUSE ET, BIEN QUERA,DICAL-SOCIALISTE,fort é,pnariss beautés et du Passé glorieuxde as elle nota!, lu leur treuillera,il se propose même de leur ofiriune solennelle réception au Capi-tole, dans lu salle des Illustres. a

1 le rédacteur dru s Gau ms aM. J. L. C.) est jamais chargédécrire l'histoire des maman,nes., / I

C6; d'indiquer /a nuance politi-que des sénateurs ses contempo.mirs.. / I

M, Perse, radiehemialisteAu fond, à la réflexion, po:-

r:res.1,M. s--

Mais en dehors de l'erreur, avec-vous admiré le r Joui épris de

beALISTE?auté QUOIQUE RADICAL-SO-

CI a

Hein ? Ça n'arrive pas SOI1V0111qu'un radical soit épris de beau, I

Feuga est nu radical phénome-na,

ht luge un peu, dès lors le dé-dain, le mépris, que les socialistesdoivent mofesser pour la beauté

Peurorue, en e et, n apprécie-nons-nous pas selon son désir etses espoirs le museau de M. J.H.C.

".0i1it hee lue monue,rosit bien les plébéien, I,H.0 OOP-Mit bien ley plébéiens que' nouasommes I

Mais connaît mieux encore1 histoire de Toulouse

Enfoncé Ariste*.

la cirtetiog dos DesNous maire de Toulouse,Vu la lei munieipaie du 5 av01

1884,

94\e':ii l'article 471 n° 15 du Curie

Vu l'article 5 de l'arrêté de M. lei'reet de la Haute-Garonne du 30Oui 1911, prescrivant que s tà.tàà

les,aile.verz e sera si;

là, arrêté interdisant, pendant unrài 61y deux mois, la circulation

à noin qu'as telment muselée au solidement te. I0619 en laie. a

lu la lettre 'cle M. le Préf., ide,,gttlistute-Carorine du 25 août 1927.or,, eu' one plusiemsmg de regs?

reedeoeneestates dans la commune

Ars:irone ;

; Arii5le Premier. - A date dusZtembre prochain et pendant

deux mois, aucunnuira de collier ut deernentaire, ne petite

lda vlet publique, soit

r 000t murale) ou ;oit e' »m° tquinIr'rere

16 * Tout chien non muse-

UpVè'birtineeprrierdne

`-` La capture aura lieuele nuit pendant les deeà l'article premieï

Sont maintenue; leshou cbritrairee doser.

Ast u s,rat de 59. le aecrétaire génésergIn moisie et M. le C011.1111-

tle), qui le contestes,olice sont char-

3,Pà. T. Urgeant asegté.'19,217ar

Maire,sepie.gleà le

N/11-1,12,otter,tetsécution immédiate,

eçFret,,

ler septembre,..,:-.:et de la Haute-

!i.eutreeles Préfet o Le Secrétai-Jgan s;,,ng

estmeurzpie audois».

Mushrlaieleon3s0dus72,1atin iteorud.0 eLiZati7,sa fête patronale la St-Fiacre.

L'Administration municipale étaittleatscrts,,en.tlitatsunnlrie camarade

A la ta e d'honneur prirent pla-rceeeti se Int t oduer sfleeee ileea eTprilceheé ire! ane

cordialité ne cessa de régner dos

71'Cle rrpnu, les amateurs

t luetemps à autre des aim ou parolesdonnant Firapreesion qu'as attemfiaient le premier signal pour écu.per de leur verbe I auditoire.

C'est ainsi que le président krComité rompant avec le silenceprend Fa parole pour reine: Cie, Ta;ohé d'avoir voulu aceptm la prési-dence du banquet ; il adressa Aga.lament ses remerciements à rad.muustration murucipele et l'assurede la reconnaissance du Personnel.d évoque, dans quelques tuarcnentrès émues, la mémoire des chersdisparus - adressant à ces derniersla vive reconnaisance de leurs ca./Parade - il termina en rappelantaux jeunes gens que la St-FmcreCet la fête du Servie° tes engageantà ne pes rompre avec cette

huans

sienne tradition qui veut e damun même sentiment de (raternité,on se réunisse ce jour-là. Cerna.roles furent lqpymernent embu.

dc loue

dies,Taché prit ensuite la parole,

iuvirntien et leur dit atta-chement de l'adminietration et leaine au personnel communal, lesconsiderent à tous comme des colslaboreteurs sincères et jaloux deleur travail. o Noublien pas, dit-a,que vous êtes une des branches del'administration qui, par votre gbtle et vos connaissances, faites denos jardins la joie et l'admirationdu public. Il est coutumier de voirdes personnes etrangere à vehhbranche, s'extasier devant ces ri-ches mosaïques. Admirer ces rouf.anges savants de coloris, s'harmo.nisant 'comme la musique. Tou-ouse ont à juste titre qualifiée deCité Rose. Elle est la cite dee sr-tistes, mais aussi des artistes jar-diniers. Etant l'interprète de mescollègues du conseil municipal, jevous adresse en leur nom et enmon nom pereonnel l'hommage de

salua les paroles de Taché.Les chants et monologues permi-

rent aux amatema de s en donnerà coeur Mie, Ils eurent eux aussileur part très méritée de succès.

Pendant l'entr'acte, une collectefut faite, dont le montant fut verséà la Caisse des Eudes. - J. R.

rant tem mee Caris

" LA MEUSE "estieure rudoies. rie

ÇA ET LA-MARCHE MUNICIPAL

Légumes. - Mollit 120 ; carottes2 et 1.85; poireaux 1135; salades 050;oignons 2 fr.; ail 0.26; céleris 0.50;listions: goulus 2.20; haricots grains1136; tordeteg 1 fr.; a!ther 0;gines 0.2

2.101noirs 0.20; carottes courtes 0.90 ;

pommes de terre 0.70.Lait. 0). 1 fr. lo litre.

Cours des shuntes à l'Abattoirde Touloupe du 2 septembre

Bufs 9, 8, 7.5), 7 ; veaux9.10, 8.50, 8 fr. ; moutons: M.50brebis ; 13 ta,; agneaux 14 fr.; chè-vres 7 fr.; ohevretnis, 10 fr.; pores.1:1 fr., 12.50, 11.50; chevaux t 5 fr.

LE FESTIVALCONEDETDU PARC TOULOUSAIN

Gest aujourd'hui in 14 Ileums, auPare Toulotgain, quo sera donné leceoert que nous avons déjà annon-cé, et dont le suoobs s'annonce nomsSidérable. C'est en effet h ttn véri-table régal quo »eus convie l'Ami-cale des Anciens des 280, 281, 299119 Ir Pulse° ta célébre Chorale la

Cténienoe Isaure r, r, L'Union MU-sitale de tlagnao s, la renomméJaxx The Henrys, sont tu Progsmc-mes ainsi que notre magnifique SmHrItê de Gymnastique ri Le Coque-Ilrot

UNE' FETE A L'UNION SPOR114%'»CLOUS/ME

Geel aujourd'hui dimanche, àPartir do 14 heursta, que commencesrtt 15 on ne, aplanis 064 Alle.

ROLY.MANDARIIIEAUX JUS DE FRUIT GAZEFIE

qatsadadehootosOOSAGOOtegEGOltretfier de la Concorde, soue la prêsi-dence de Berlia, adjoint au maire;Priteident d'honneur duSporthe Toulousaine.

Pour donner un gros ru oint àcette journée, 1ien Ma été nt4ligé.Aserl norie invitons tous /es habi-tats de la Concorde A venir SeAceuper avec leurs enfants.

L'U. e. T. a d'ailleurs déjà pré-ludé à sa joyeuse manifestation, parune tournée musicale, hier soir àtravers le quartier. Les airs les plusIMPulaires ont retenti, ainsi quel'Internationale quo la musique deIII, S. T. a bien voulu jouer devantnos ateliers en acclamant Le Mididont le personnel a aeolapsé lechant révolutionnaire.

ELECTRIUTELe Public est prévenu que les ta-

rifs d'électricité sont actuellementaunaie b une révision, et. que /esnouveaux prix seront applicables(eux termes de l'art. 11 du traité doconoe.ion) it partir du ler juillet

Les quittances minime actuel/e-ntent a. abonnés ne tort donc queprovisoireq et feront l'objet d'unredressement »stemms 9U rappel)lorsque la Commission chargée deSitar les nouveaux tarifs, aura ter-miné non travail,

Etablissement TOLOSA-NOUBID.Toute application électrique

PORTEFEtILLE DELESTESur plainte de M. Del. Base.

Aga de limn ans, mécanicien garagistedemeu.nt 13 Boulevarki Ramai, uneenquête est ouverte, en vue de re-trouver lauteur du vol dune som-me de 950 francs, °momie dans legarage que le plaIgnant possède,Dalevard Alichelet.

Paudant que AL Bascou s'étaitrendu avec un client au garage duBoulevard Riquet, un inconnu apénétré dans les ateliers do Boute-yard Michelet et a dérobe la sommadont II est question, qui se trouvaitdans on portefeuille plue dans uneveste que le plaignant avait acre-elle à un etou du mur du garage.

Lors de son retour, le portefeuillea été trouvé par terre ride de soncontenu.

DISPARITIONM. Parabis Alexandre, âgé de 50

ans, domicilié rue Joyeuse, 50, n'apas reparu h son domicile, depuisvendredi midt Il était sorti, pooraller chercher du travail A la Pou.Marie et ria plus reparu.

Signalement I taille 1 mhtre et;teint bleu& vétu duo veston kaki,dus pentaton à petits oarreauxMenas et noirs, chaussé de sandalesMarmites coiffe d'une easquettegrise.

Peuplait être porteur do sou li-vret de famille.

TROUVAILLESRée/amer b Mlle Laborde, rue

Benjamin Constant, 21, une chantede sfirete; à Mme Blaget, rue duCanard, la, un porte-monnaie avecsomme ; à M. CAse, CheinIn du Bus-., 18, un canard; à 21. Cohue, ruedu Denle, 0, an pigepo voYagartII. llonnet, rue Roquelaine, 8, nuepoire en caoutcho. ; au Bureaurien Epaves, une br.he en métalSloop; à l'Administration des trams,une paire de souliers, un porte-meaete, un parapluie.

TEES BON MONTEUR ELECTRLCUIS est demande MablissementsPEGOURET, allées Jean-Jaurès, 23TOULOUSE. Inutile de se présentersans références sérieuses.

VIE CHIN' 111ERE

POUR SACCO ET VANZETTILe Comité mie les déléguée ayant été

!usées, pour l'organisation du meetingdo 9 capent, de se rendre ce matin à 10haines, t la Bourse do Travail roer Mensdre les dernières disposition à l'occasionde Ce meeting.

Syndicat des Pdliesiers. - Réunion ex-traordinaire le hindi 5 septembre, à Chou,te.

Le contrat dea 8 heure,Urgent.

LE MIDI YJCiALISIE

F_EsuFfisent',eue faire pendent de /on.

jours sa toile...secl'incomparable

RODOLL

VIE SPORTIVEsarsasesad

STADE TOULOUSAINAujourd'hui, à 16 heures, aura lieu,

aux Ponts-Jumeaux, sur le terrain duStade toulousain, le premierneme;nt offieled de la saison.

Rendes-voNs de tous les anciens etnouveaux joueurs au terrain,15 h. 30.

A l'issue de cet entralnemênt,commission de rugby formera MM-PO qui jouera dimanche Prochain àSaverdun,

Emme gratuite.Vente des cartes r La vente des

artro pour la saison 1927-1928 con-tinue tous Ms jours (dimanches en-ceptés), secrétariat, de 10 à 19 h.

FOOTBNIL-CLUB TOULOUSAINLe Stade de la Poudrerie va en.

tri.vrir ses portes. A cet effet, leFoothall-Cla toulousain convie tousses membres honoraires el amis audernier guipa d'entralneraelll en Tuede la forinatinn définitive de l'équilmequi doit aller à Léignan le 11 septem-bre.

Tous les jouetirs étant spémiale-ment eouvoqués, Il sera donc possi-Me de voir à l'oeuvre les notivellesrecrue, dont on dit le plus grandbien, aux côtés des éléments de /asaison dernière. Le tout sera eolnidetépar un lot de jeunes dont les pré..linos aux premiers rôles n'ont riend'exagéré.

L'entrée du Stade de la Poudreriesera gratuite.

c°7Z101.2:ààro:n`::i.Uie:"`

ROWING-CLUB TOULOUSAINLes Tordes:sains sont invités à ve-

nir assister, gratuitement, aux éPremms de natation du grand loi. du ta.noirs, qui se dérouleront aujourd'hui,à partir de 15 heures, devant le go'mm du club, au Parc Toulousain.LNTIME SPORTIVE TOULOUSAINE

Attlonellaai, première partie offi-delle de rugby, contre l'émqpe deCroix.Darlrele, sur te terrain del'Intime, à 14 heures.

Reade-vous des jouets., au siège-o /3 S,30.

- Préparationheures.

LES SOGIETEI

Fddendion des ArNeens de Tendairse ede la Région. - Réunion du burerm fêdirai, lundi 5 septembre, à 21 heure, Ca-10 des Arcades, place du Unaliok.

Le Coquelicot. - Rassemblement demus les élèves en tenue, aujourd'hui, à

rase la." I h. 30. à l'extrémité des allées Jean-Jeu-Faites réparer, transformer sts, <ôté des Enelevards, pur, meticuier

VOS VSTcvvEtqTs Festival des Combattue, au Parc Tou-

- Pantalon univers,' Mo'ruutu dPoeooneIdes Tramways de Toulouse. :- Le Cm.

49, Rue duo Filettera seil d'Administration de la Came da

nana d'oeutuds: .P1=1,rle publie que I onverture du pavillon, pl.000 l'entrée des Allées JeanuMuras, danslequel se trouveront exposés les nombreuxIon de sa Souscription.Tombole,_ est fixeà aujourd'hui dimanche 4 septenabrn.

Or 0 LIMMOUTELLE6, Rue de Rémutet. Toulmme

Parures Mariées et le Commmtiortancramgasonammumaimafflea

REMEROJEMEAfTS

O Exigez la Marqua "OlAFrWOfiO"'millat lac familles MAR, LAMBERT,a.. 'ro*na sassa. I ment; Ilith,3PLE, SENE.C.AS, AMIEts et

REY remercient sincteement se perme-nes qui leur ont témoigné leur sympathie

EXAMENS ET CONCOURS 6 racers:on da décès deMadame Joies IDAR

BREVET - née Marie.Amoincite SENEGAS

DE PREPARATION MILITAIRE g; la, rja, lui,rrimog,j,El EMENTAIIIE

L'examen des jeunes gens, idole,"reg du brevet de préparation MilitaireelDnentaire,, candidats aux brevetsdo spécialites de t grenadier, escri-me mm, s a

.

que , g,boxeur, lutteur aura heu le dimanche Pompes Funèbres MmTlepalia, 14, rue11 septembre 1927 2 Toulouse, Pergaminièr '1'

Les candidata devtont se présenterâ qem-yer caf. MERMIEROXIMISSIIMEMMEIMMEINIONfarelli 18' génie).

13,BEVET ELEMENTAIIMET BREVET MENSEIGNEMENr

PRIMAIRE SUPERIEURD est rappelé qu'il ne Bers plus Allie d'Andelfdd0532irti

repu de des/ondes d'inscription auxbrevet Démentit. et brevet d'ensel. E.htodsnogement primaire sapeneur de lasession d'octobre, à partir du diman-che 9 septembre commt.

Grand Drame

QUAND LES 001118 FLIRTENTMonsieur joua /BAR, disalleeur, et son DélIcieu. Comédie gaie

file Madame veuve Léopold 'BAR;

Location de 105 h5 152512 5. do 3 il h.Madeira i eile Ma g 't IBAR; Mortimer

ANIS MATADORu .3- A "'"EL " ereffleseieemeemeetemeesemeaserre et Madone Maurice SENECAS et leura

famille; Monsieur Basile AM/EL et sa fa-

srater au Serince de Neucasile nw sera ce-16E6 demain lundi 5 seprembré MF, à8 heures, en l'Eglim Saint-Aubin.

On se réunira à l'Eglise,Il ne sera pas fait d'autre invitation.

COTTES, 25, ryg o ,leg,litéesatParures

fi ne AURIAC; Monsieur Paul CAMonsieur et ra.d... irschh JEANJEAN:née Jeanne CARTERS, e leur fils Er-nest; Monsieur Amédée CARRERE; Ma-dame veuve NADAL, née AUR1AC; Mon-sieur et bladame Marius AURIAC; Mon.sieur er Madame Jean BOUSQUET, néeAURIAC, et leur Elle Marguerite; Mon.sieur et Madame Amédée ALBERT, néeCASTE; les familles AURIAC, CARRE'10E, NADAL, BOUSQUET, JEANJEAN,ALBERT, MEILHON. CRUZEL, CALE?or ARBOULAT orne Oei3Ot do ,o vr11,.,t

re'ie rtairejer.1-A'Crellmla paroisse Saint-Nico/as (Saint-Cyan.,Pour la repos de l'âme de

11101191ele Ernest AURIACReirrni4 de l'ArsenalOfficier d'Amr/demie

Ancien Préside. de la Sootété da SecoursMutuels do. Sourde Muets de la Haute.Garonne, Président HINIOraire et Marc.Ira Fondateur de cetie Sociéri.

Oc se réunira à l'EgEse.

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LE COURRIER ROUGE

AtCMtPublieations de Mariages

du 2 septembre 1927.Amédé Loubeau, maitre d'hôtel à Tou-

louse, en résidence à Vichy, et NoOmicDurent, s. p., à Baget (Allier), résidantVichy.

Pie, James, prole.eur .efigé Me Fa-culté de Droit, rue Alsace, 50, et CAmillePerste, s. p., à Langogne (Lozère).

Marcel Monege, industriel, à Nervis,-d'Ussel (Corrèze). et Odette Viellefond,émdiante, allée Saint-Michel, 27,

Jean Dabat, emp. de eommerce, ruede le Pomme. 34, et Henriette Marty, env,turière, rue Nestor-Brux, 13.

Gilbert Laurent, faubourg Bonnefoy,108, et Odette Pénis, à Cagna° (Tara).

Roger Astier, tricoteur, rue Caussade,2 bis, et Marie Caussat, tricoteuse, quaide Touen, 16.

Herché/On, Chassant, Jardinier, i Au.camville (H.G.), 05 Maola Conntnade, jar-dinière, quartier de Cinestous.

FIE Ornagta, brasseur, rue André-IX-lieux, 33, et Joséphine Coupe, s, p., renMei., 16,

Pend Derrouch, propriétaire, à Alb.(Tarn), et Ettennette de Caban,

"p ru;

du Lunooedum20.JeanSans, cultileteur, à Scint-Martm-

du Touch, et Mathilde Mailles, el. p., àSatem-Mertrida-Tmet.

Naissancesdu 2 septembre 1927.

Joseph Lhermine, quartier la Juncasse-Jeannine Tain., allée de Brienne, 22

néesdu 2 septembre 0927.

Pierre Lion, 62 ans, boulevard de la Ca.re, 50. - Jacqueline Pimbert, 6 mei. ruedes Fontaines, 27. - Joseph Albert, 76

ress,u7:eit eril 3..z., 'es!:Roch. 5 bis. - Jean Laviolette. 68 au,impasse Calamar, 20. - Jean Melina', 79ans. quaztier LsIa,rdr. - Rcquebert. épou-se Bardai°, 63 ans, smai de TO11.8. lefi.- Paule Memereart, 6 jours, quartier La.nasee (Croi,Dauradeb

Ghronique Minato

Haute-GaronneCONCOURS AGRICOLE

Le concours spécial de la raceovine lauragaise pure sera jointcette année au concours agricoleque le Comice de t'arrondissementde Villefranche organise à Revelpour les 24 et 25 septembre pro-chain. Ce concours auquel peuventprendre part les animaux de toutesprovenances est doté d'une som-me totale de 4.0e0 francs prove-nant des subventions combinées del'Etat, du département, de l'Officeagticole dépestemental et du na'mise de Villefranche.

Tous renseignements complé-mentaires seront fournis à la mai.rie de Revel où les inscriptionssont reçues jusqu'au 10 septembreau plus tard.

EMPUTDRODENECOURSES DE CHEVAUX. - Par

décision de MM, les commissaires,«1140 jeouurredj,,ti l'orlid.rae.erts oc.olum res%

comme suit14 h. 30, prix de Cati. (premier

prix du gotiveratement4

, 15 heures, deuxième prix du gou-vernement (troisième prix spéciald'étalons):

15 h. 30, prix duo Ne/mutait;16 heures, deuxième prix de la So-

iêtê d'encouragement ianglo-arabes,deuxième catégorie):

16 h. 30, troisième prix de la So-ciété d'encouragement thons série,handicap);' 17 heures, prix de la Société des

sl.pleeleases de France (steeple.clisse-handicap).

FETES DE SAINT-GAUDENS (feud'artifiçe du 4 septembre). - Pro.granulie O I. cascades tournantes ;2, les pahniers éblouissants; 3. Lescaprices électriques; 4. ifs; 5, les ro-oucrs le''edePeoceateerer=variées. Intermèdes r fusées, ma-rronsd'air, bombes frissonnantes et arenouveau, volcans, etc.

(Feus d'artifice da 5 septembre) 1

&fer jaque 'Moi oueard; bOscos albombes Varié,S,

LUCHONINCENDIE. - Au cours de

l'orage d'hier soir, la foudre esttomBée vers 9h. 30 sur le scierieaise près de l'usine des Rochers.L'incendie qui s'est déclaré nus-sdot, trouvant un aliment faciledans le matériel et le bois sec quiy étaient abrités, a tout détruitavent que les premiers secoursaient pu arriver hors endroit as-sen éloigné. Outre l'immeuble unecinquantaine de mille francs demarchandises ont été détruitesLe propriétaire, M, L. Cantaloup,

ainsi que MM. Fouillouse frèresqui exploitaient cette scierie sontassurés.

MOLLEMENT. - A la sui,du mente orage, le petit ruisseaude Canarillna débordé et entrainéune grande qtmntité de terre et deravier qui ont obstrué la route

thermale n° I au lieu dit o Saoutdé Belle a,

La circulation a été immédiate-ment rétablie, voitures et autospeuvent passer commodément.

Tant qu en ne reboisera pas nosmontagnes avec des arbres à raci-ne pivotante on restera e.uosém àde pareils accidents.

On devrait au Plus fot' remédier àcette situation vol est la consé-quence des coupes exagérées faitespendant le guerre.

SELONGRANDE FOIRE DE SEPTEM-

BRE. - La foire annuelle d'Anionqui attire chaque année beaucoupde monde dans ms murs, aura lieuYenledi prochaM 9 septembre.

Les forains et marchanda de tou-tes catégories ne manqueront perde or rendre, comme d'habit-une,nombreux et bien achalandés

o lesamateurs et marchands de bestiauxy gent également conviée ; ils ytrouveront les plus beaux spéci-mens, de cette région d'élevage ré-putés tant par son bétail que patses animaux de base-cour

Les éleveurs et /es cultivateursdu pays sont invites a y conchnuelems animaux et Y apporter lesproduits de leur sel.

Une prime sera offerte eutacheteur et vendeur.

Un grand bal avec brillant or.chestre détoura cette foire. - Lemaire 7 L. Labattut,

4411901 LA PErrn. - Le verdoyantct putmesque mitage d Anion mot

prépare à célébrer brillam.mmt lesdimanche et lundi 11 et 12 septem-bre, sa fete locale annuelle.

A la grade satisfaction de tous,PerganisatMn de cotte fête revêt uncaractère partieulièrement actif, etsen programme étendu et varié ré-serve de réelPs et grandm surprismà la région.

La journée da ana.hehe sera'manquée par un événement dos pl00heureux auquel brut le monde ap-piaudit déjà et qui eastitue, Psarnotre modeste Pcalité, un privilègedont nous sommes très flattés. Nousaurons le /data" d'assister à unritale régal artistique oh les plusIras amateurs de belle musiquepourront trouver leur_ compte.

Oracieusemeat, rilarin.ie SainteCeleile de MontesquieunVolvestre,dont les lauriers ne so comptentplus, s'est mise à notre disp.ition,

pour nous offria. un concert desmieux choisis

Cette pléiade de soixante artistes,tous des travailleurs dont l'éclatantmérite est hautement reconnu etapprécie, nous arrive encore touteembauma des fleurs de St-Gaudensdo Toulouse et- de Biarritz où, auxderniers concours,elle s'est couver-te de cette gloire artistique qui, denpuis, l'auréole.

Des oreilles avides de l'entendresc grouperont très nombreuses au-tour d'el/e. On prévoit déjà unegrande -affluence, touP /a régionviendra applaudir les m.usiciens deIn Ste-Cécile oui, par leur. travail etleur mérite ont su ,o faire uneplace dans l'art musical.

La venue de l'harmonie Sera ac-cueillie dans tout le pays commenu évènement artistique comme de-vant attirer le dimanche après-midi,un public nombreuo et choisi, quitrouvera ellen nous, Je meilleur ac-cueil.

Le concert aura lieu 1e dilnanchequatre heures (Pleure légale) à

la prima/en.° de /a Bouriatie.Voiei le programme des morceaux

qui serout exécutés1. em Michel Strogoff n, défilé avec

trompait. ; 2. « Jubile ImpérialAllegro, J. Monnereau ; 3. r Le Pentit Duc n, Fantaisie, Lecoq ; 4.4mlet de Cornelia n, Léo Delibes ; 5.a Les Saltimbanques e, Fantaisie,1,11is Gar1110 ; G. s Vivo el toreroMarche espagnole, Andrieu ; I.mi Louis XIV e, Marche avec Dom-pettem

La journée 00 lundi ofrira unamusant programme de jeux diverset originaux susceptibles d'inter.-000 01 amuser tous 1061 ligeS. 11 Se-rait superflu d'ajouter que la jeu-nesse pourra se livrer avec entrainaux plaisirs do la Chorégraphie, unorchestre vibrant et dévoue se char-

lot servir un choix de dan-ges'em

douooltiples et variéel.

Lb tirage d'une importante tom-bola organisée au bénéfice de / Har-Male, dg Emseen 4e Elealdisagesc,

aligaISEEMEIMIESEE111111EIRIEHEIN1111011 a

INCE-SSAMMENT

lE "MIDI "VA VOUS FAIRE

UN sumo:et très agréable

BIEN ENTENDU

et de In Caisse des Dardes, compor-tant une série de lots (Ms à la gd.nérosite de la population, fait aventpartie du protramme.

Que devonsmous désirer pour Inplein succès de notre belle fdte àSinon du soleil. Due son amour,propre ne soit nuEement blessé Sison nom ne figure pais au programhme, mais no. le prions iustammentide ne point bonder ce jours-là et,ett,cur.str _ndrï,genoorépressante invin

it

AbLECARCASSONNE

COUPS D'EPINGLES. - A p4M1sieurs reprises, nous avons attiré l'aN,tention do t'administration munici-pale sur te manque d'éclairage dacertain00 rues de la ville. No. Pou-vons déclarer sans crainte que 80 Vilà peine des Inca de gaz, donnent unéclairage 1 peu prés suffisant. Les au.'Ion s sont eu veilleuse ou éteints. Noas,sommes surpris de ce laisser-alter,qui peut, à la rigueur, être supporta,ble A l'époque où 11011S sommes, maisqui offre un danger public à l'époeique veru laquelle no. allons. Invite-la-t-on bientôt l'us Me à gaz à no.&Mirer comme il faut,

-o- Enfin, quelques-une de nen,confrères ont remarque, comme uou§;0lie le sens unique n'existe que sur,les plaques, mais que MM, les auto-.

conseil municipal étudie la possibleDM d'établir le sens unique sur rien,Mes points de la ville, Comment fera.1-00 p.r le mettre en applicationpuisque au centre de la ville 00 aitpeut y parvenir.

-0-- Ali:taré b javasation l'eau

'gj;court

h;it°24-7cool

pretentionde détriur'ueles''ba'elllesde la typhoïde, 11 n'en laisse PaSmnoins survivre de la ï craque. C'estainsi qu'un de nos amis nous faisaitarlmerer, oes jours derniers, au fond

eutyltritTeer=e1PVt:a'eeire'r-o- A grands renforts de récla-

me, g_La Dépêche a fait savoir gutle 3 ou le 4 septembre les parte-men.tairms étrangers feraient l'honneurd'une visite à notre Cité. Délaies par-lementaires actuels et mus à venirde l'Aude, se préparaient à plastron-ner, cherchant à tirer à eux Ie profitde cette visite. Catastrophe 1 Désola-tion ft Les parlementaires étrange.se viennent pas !I

Le Midi Socialiste 2, sPst fait téportemarole de cette assmnbléearmes gens, usés par l'Ag; qui saréunissent suri le jardin ide la Cita,et que, plaise..., on nomme let4 sénateurs é. Ce Sénat, qui n'a riertOs politique, et qui, cependant, enluénlodOOl001000be PIS u e eS c ampces de succés de ceux qui sont dansParêne, réclame des bancs. Or, treirbancs à peine dans le jardin. Quellemisère. Li si dm0 visiteurs s'essaientavant que les 3 sport morse aient persplace, c'est it une pierre qu'Es doivent'demander un peu de repos pour leursmembres raidis et ankyloses. Pillepour /eues vieoru, ans, qu'on leur écu'se des bancs.

-o- Nous avons signalé, en tempsvoulu, l'effendrmrrint de la bouched'égout qui se trouve à l'angle de larue du Pont-Vieux, et nous indiquionsqu'au moment oit ce fait se produisit,'on l'avait réparée tout de smte, il n'yparaîtrait plus. Or, ce que nous avonsprédit s'est produit. L'excavation s'estagrandie, et un travail qui aurait petêtre fait en quelques heures, nécesspbru, si on le fait, un temps p/uslong, h MOIDS que l'an attende pour,y remédier qu'un enfant des écolesvoisine, s'y soit cassé une jambe.Alor.s la ville paiera.

-o- Le ruisseau qui longeant laroute, en face la chapelle de l'hôpinlai est souvent infranchissable. Cebeprovient de ce que l'eau qui y vient,de la bouche de l'hôpital n'a pasd'écoulement. Les feuilles mortes,pailles, etc., que le vent y apportafont le r.te. De temps à autre le sera'vice de Phygiéne /e nettoie, mais lelendemain tout est à recommencer. Ilen sera ainsi tant mie l'on ne facili-tera pas l'écoulement, où que l'onn'arrêtera pas la bouche d'eau.

-so-. C'est simplement pour ménmoire que nous 01000 loua que te sY.trioo b vapeur prou.° tous les Ramison pane-plie de fumée et son pertuis(spécial h travers /es rues de /a ville.L'une derrière l'antre, 1cc voiturebdémet lentement sous les yeux étronSis des Careassonnats, provoquantl'étonnement des étrangers. Conti-nueg, c'est avec ces exhibitions qu'ottfait le renom d'une ville.

MAIRIE DE TOULOUSE

DECLARATIONS DE DELTA,CONVOIS FUNEBRES

Le Melme dols Ville de Toulouse a nouneer de rappeler à ses administrée, afin'de les mettre en garde contre des erreur.'regretaldes, nue tes déclare.. de Dcaeine peuvent Mre reçues que dans les bus,rems de m. C./ a to MeO,Os, oonfortmésment auxeider, 77 et 78 du Code Civil ddu Décre'du 15 Avril 1919,

Il rlimelk, en outre, qu'aux termes dor.r, 97, an, 4, de le Loi Municipale dei5 ceril 1884, l'autorité munieipale règlerped, alo transport dee personnes clécédéess)las inhumations et ealiumedions, mien censséquences, elle a seule le droit de fixer ksiheures des convois funèbres.

S'adresser, pour tous renseignement. con,cernant les commis funèbre. en ServiceMunicipal des Pompes F.M., 24, nalParywninières, téléphone 1440, qui se ober.se de foulas crémerasae snsPeU 50e 44100e

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