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f aziz1Î MmE. - N. GUI & ÛÀ1 - et 3S -1t . TOULOUS U B L :i C : T ç rçeS a!x ! . r:L: z : r r;conte qii le II' novembre, en k rnatuae de I nmt cc k ctmnrhi le dcp( du e din- 't1tF Si fr1t icuC u E fin. t iI ons iét Pou\oir rcprend nôs oc.eaa » . ne irai, ees tout u r Oilb tOt\ c pa du toL inii - 1,a1)'e Pour I aijuipt blncn. 3n le iiarn s il nest \t iL,lc bosogac fl e qu 1 ustqu'go cic, ped C hJt, le gthgo du parqct des &iarn- lle u cul do bo teihe a rij ote bo - to d o te ou a &t e selon le cuu - 3me 4u mois, le sa1uf sx pas.. e la uorre Bvit mis pas tuaI dc fantaisie lans toue I L'arrnsLice a r6instali' le olose 1anoilot et 1'tJjudant Flkk dans Mtes Leurs prirogatives. 4a bardo plus que jamais ponr les ntriotie des rnobiliss. Quatre an. de lurs .omhata, des sonffences j)hy2icJue .. noralcssans uorn, les maladies et les plessue ies ciLatios glorieuses. et leS Iticoratis ni&mene ScLUraint, les dispen- 'er de cc pivoter » comme des bleus et do Îaire manienent d'armes « en dc.om esst'. :: . fFt ma4heiir,uscrnent, l coionel flarnol 2ôf; et. tc1ju1aut Flick ne sont pas des cx- epliis. On en trouve m(nc pas mal qu, lttn te tviI, exerçaient dc professions Iui snmblaiei nullorncniOs prdispo- er ouor c-e rôle. Naturellement. i1s se tnt ut{o t pa m spot touotir fost4is Ioiu du daagr et les < l » (.0 sont fl1LTfl13 lC'-i p!US '"dents et es p(us z(s afi ma t nns C rrepon da , 'e?L il sont a ant tout soLc1cu d e noftt-rer (c tpJispensolcs » pu n re r -)erl9 leurs pr(bnn1les, assez roniiioùii- ard3i au rgaod de leùrs iimoluements s '(C U ce son, ces O (flhi FCN - :let la LiLnco1l Satgw. ( aouUet ia onsi: ra rpt ia n ouiir t pioqtor aunes. . Le roal est lcdment 1u au bcuio es plus 'rngosaqes oc uorr* II nttnitdu oestn pas besoin d'- tee crnd clore pour pr o i qur' le e - toea fIarras, res&i o ' pins dur' rifftaS paur naintenir iiutgrit do &trQ sets t b°-tueoup moins "g-'c. h pue te finie, ce tinuc « 1ane le Txc gut» Se; olttrnps, sou ttLeter, son .conmeree bnte4fll 10 r(çiament ; il lui tarda de le travail aoconfurn et la Ilace ,nu foyer familal. Et, « sons qifil sache pQw,1oi ', on Flrnnobiljso 1h pOur ies orvos ridicules Ou de parades sans r6- Ita 1 Ou conçoit qtfil on soit passable- e1t ii'rit. Jilvkienrnent, je ne trOis pas du tout que a soit. pour justificr c maintien en fçnc- iofls do quelques viillc. hadernss que le Ouvernernent procèch nvec une telle 1en eut. aux opdralris do la d(mobilisation. L souci do ne pas jeter sur le pavé des 'nhilecs de travailleurs qui ne retrouve- aient pas tout de suite leur etnploi ? Pr6,exte et bjen mauvais pritexte. Il y a lC: nilIi dc cultivateurs, d'ouvricr et io liputiquiers qui, du jour au leildèmain. .t}cuvetIf; reprendre leurs yccupations. Et s'il doit y avoir chôrnagc provisoire d'unc parto de la population de nos centres in- 1utriol, u'et-il pas évident qu'un rgi meci'aliooatiors aux shômcurs serait en- ro ma-ma onfreux quo le maintien sous 1s drapeaux do millions cl'honimes dont l'entretien revient lEtat l plus de . dix 'rancs par jour et par tte ? D'ailleurs, pour la ronsitution co- iOmiqUo de la Franco, rour la reprise du vai1 c des aTftres, le gouvernement i4-il fait Iô udoossairo ? Où est l'organis- nc cenpétent dont les chambres do com- merce et las yndiu&ts . patronaux, aussi bien cuo ins syndicats ouviiers do la .i G. T. ont riclani6 la rlaLon ? On sofl3. ti13 Seu rroocùper si peu en haut lieu fuo n'apparaît point du tiut là un motif plausible di retarcIr la &rnobilisation. A10r2 Des motifs uvliLaire, ? lima cairn. pagne ett Russic, ou Aliernagno ? Si e'ct a, au moins qu'on l dise e rc'.nen. Lo pinion publique nppr'it!ei Ft an ver- 1ict ne saut être dtiteu : qi ceux lui v&uleiit « rernettré ç ll-ent la naint , Le gouvernement n est d'aiur ssez insensé, ni ass ouhicu di'. cora- cments pris, pour faire servir la vicinire tlu soldat français, la victoire du Droit et e la Liberté, à des visie mpriaiistes et onduiro ainsi la fl(puhliqtia et la d&irno- ratie aux pires aventtlr)s. Iit vril donc, je n vc p:is du tut Ourquo,i la dimobiljsatjoa tar4o. [1fl{. F:t i y a ll un daiger, un (?1: ' (langer upiel nos iiriyeants fo'on bien de [rcndro garde, car le soldat s'ncrvo, le soldat s'ipatiente Il s'irritø u'èn no le cnde 53 it la vie civile alors que sa senco aux arrn(ics ou dans lôs dpAs et iervic..es de l'intrjeur *st devenue Imati- TLfll? : QUO IC. T' il s.rcitc surtout de ne pas quaod, e()n1rne!t, dans quelles conclitieis il sera lil)ri, ce qui lui l)CrrflCtLOait de prendre (l.S maintenant toutes dispos- ticws u1iCs pour ses affairas ou suno em plci. - lCctte iierLitude constiuc un danger i-dom de menaces. P.ene;oy- messieurs le gntsvereant, car I serat. grave fluo le sodabcitôyN puis- se cIiro soicusement fjue sa vioi.aiîo a ç fl1fic1nLi1[ 11)'CjUt 1h tire cl' h i C W I}OLI le c&,looel Et uno'lot et I tau- (JOOL 1licl. - Arlhur TYtlt. DctC ac & 1* i I. .\ G!17f Di;: il. p; na - 1 'I1-V-tU'c aju es-. ]Pj4' (. :. .\T5(i('1 I 3 5t:' lic ' u c- -.e . O ( -t Ui VU i ---'' - -- i Ui 1 : a. 1i U'- 't iuec - il......li(i :e -e d I :i ' :fe . . ; ,-- _t,'u:s. (:'i't tkt -u '\T. 1 _p__.i :-it teu:n;te. il a i' ':-,;nç V r a: ' '1 I.-.i..: j ; l a- c:::I.-:- d , il i;j_fl ' r 1 t- t!-.- .....- 'tjt .:i'a., ' lti-pi-ldf trcn -: I « ::_ . C' '.- O.:i I ' (l :X ( if - e (''' i;.lii, Si i-_'.;, -:- tii --: -- l I. rir.. fl i .\ ll :io'. O!. t - 1 I - 1'op: 1 ; P I d s ' (iV' ] .1 " O di .T-:..j ittC ----- '. (F1jt U .. l'. . . 'L [I' -:a (i-O ! !. r '. --'- o:!a so' r - . a(:i-.'(L - k --H. A ' . ',laae( t ......, I. (I '- '- ( :_') (1a :-. - i: n- r 1sir': -r ;oe ra f D1E OCAL . . st.ti(.li?fl, iuug;. iiut, et jril le I)at-a u yaOoui. - . - ,e sous-.prtrel sgii pour la rrea- frier. . - - iLes servjtcurs d'accourir et. do consiekrcr, avec stupeur, Madssle dans les bras -du sous-. prtfci eu gilet ie utanelir. - Et :olIs n 't ercz jsatais -.i' d-G de la ne (l:\rrssurLcarc {ue: ce t rl1ai;(TO dU (Oflsllcr gaft's-1 fu le t!iAt (l._in pas:-dJune1 cL 1 1ndjricx l - -.' -- - ----, *a - - - . F'r 1r)Lf,\- P TIrRIQ1O\S P Et- on fl f:iniqUC de - nxcns de g&xe. ia- fllas_ (al a tan1 - fbrh-na II -Li il ble (fOC le eonine1'C Onreile. 00 CO a merue chriqua (ltt'ÛI ne sa:t us of irs inctl-rc et ny o p'us d langsrs pour Irs abriter. ]'uur cRirnCflCCr, 1' Irtiransigcant en s- ale iUO qu puurri'rnL dan un cbarnp, i ViltaoubIsy. E ce n't ju'ua dabul ! On dIICOJI .OÛO noitvriux s. ions quon ne saw t rft 1'cr cl qui potrriront toa doucement; a leur tour, pour c - plti ratd bru de la dt-. f-Isc n .tijtaic r,L Irs rls tijitarc ; lcs (lc-nx ytt si b-fl CflCt!e Pom' dt totwL. Les journaux raclionnoirc.s (erivent es choses comme ca-lcs-cj (< Pendant la guerre, cornbin de rnen souges grossiers lieus oit t-i ihbit(S.NOuS les dtc-ouvrens - Petit petit parmi les rf- vtlatiotss que ta censure est obligçe main- tenant de laisse-r passer. Le peuple que- os lois -constitutionii. l les proclament souverain avec une ronio >rofonda n e-m rnrnt t 501 d s 1 1Lorance de u I .at: t l"s ioi' t.1L 15, SCS - (,I H 1l)C'S rtLs J 't pif o gournernent'uo s 0115 1 tcuour, a1Iim, ir e\cm 1e 1r, pertes - de larin allemande 3taknt jio= 105851eS, iiifoii1nt u6rieurcs oux per- Ls fiaa e (ut ra donnait çs tou-. 10d1 de cintiros prc1, ma1s on n siro'tit {jLIC le Pon -' t des mc s -d'en anci dc- I il, (it c cl I onimes O- le £0 ffç0 o . ciÀ cLs pci es en tut (10 1 ai- 4 1-..» oPeinvliJe est a 1jou d but eenn II et (kI 1Siifii'3 roiL, oicC1e sI CCIII 0(5 1 rt , fi art11 qui &u ' en bnn 1 j;' elullzitIcr sous j;:-s brss en entrl0ura approcher de près - da 1.7OO.Ot - hommes. '. T I I - _ --- It ut i poire po u t3 ion _e_ -----j-*- .. ta-tPe f6-ï: s u I t-' I 1 CC 'a1x e' t 1k 1 i- 0 1 1 C CJi ' de 1 \i'c'nagie to Èu co t 1 u ii La I . de IJCiS go cG'lti- ou-s -, ie C()lt LA SfLLS liE LEORLOCiE t - Pfiris,IS janvic. La salle de rH-oiioge du mini-stère tic-s aOaros trats4rcs où se -iei la COfliC- re000 p1(-ni(r-e do.t 50 110111 i t1Ui orne la dh-emin(c nioinsslentale en maillr blanc; -ello est- paofois aussi art-- i3CfLtC SalOn -d la Paix, eau-se d Li -stu-- tue, en mailsr-e --blanc. gaiameuL qui se tLd1.O 1-dC)1tS il l . u CflIifl't et trcprse4o -une fc1nnc grtncL u- r isatu- 1 1 Ite tenul lL a ii C ih t oc I civilisation et de lu paix ; deuK Amneuis sont à ses picls. - - - (e s-1on c1 (le cl n crtns- VD'f1'- es Il n une ttcLli-ali-ie Lie mètres de !ongueur. sur un C!kiio7ajno d-e largeur; ae gcande tauo en il. r t e1tn d I .eotm C te t u t tapis vert-, n t d'osste pour es ietiré- sentant-s des p-uissanc-s. - - Le présidcnt ctme la Gonfrence t huit dMgués prendront place la pretia .511- p(flcuro ; aux tables -forinatti deux cÔttis du fei'-ib-rlt-evat, s'installeront ls aùtrcs reltrscntants des puissanccs -s- quafre ranges d-o il topes c41aciu&c. Un fauteuil do Cuir rouge est r&iet'v6-au pr(- sident qui aura une sonnette â iiOr{ftO do :12 fl1fl ;Ics outres dU(guS'diS)11aOO011t de chaises igalement Cli cuir rouge: au-- tour- de la salle PZiuoiPalC, des tables plus peiifesout (;t(i ina-alVas pour les .secr-ia- ress ,fmnogvap-hcs, etc... savo'-r : derritre le psiderit, au fond de in sa!lc une ta- ll-o do sciimt p-iac-e ; vis-it-vis - le iItsj- dent au fonjl d-o la salIe, une table tic (piatre pla.-C es ; paralkleanent aux grands e-Ôtés do la tafale centrale. et celle colle- Ci et les niurs air tajics de. troi p-lac-es soit trois tables (i Ciinclue cû1-. Ces ta- bbs sont rccouvc-riCs (10 tapis couves -iiOïFUe place -est marquée- rtar w' sous- -rna:-n, un ci-I-crier e-t vi-1 plum-inr contenant. d-es por[eelume,s et de-s crayons. !t1toir de la,ta{ile de la (ionf(renec, te (leleg&tons seront O0Ul)(iCS iar Eia; cmii- van-t 10-rdre alf,h&iique d u (et-i e1 est Iceaire piOtOCOlftjrc.- L'UtRlVE !IE M. Io!NaMtE - A 3 beur'e. exac-emcn., l pr5it1nt de a Rtmbliquc arriye au palas du Quai - d9tsay. dans une auLornoble de la frsi- deTiCt.; acuo-rnnagn& de-s ot-cicrs dc sa -niai S-OR nul ta-i ce. - - 1M. Bojiic-art est reru sur le norpon dhon X dtIégués, une Ligue des Nations qui sera tme de iouveaux attentat-s au dioit des gens. . neur par M. Pibon, -ministre des .affai ces ôtra. nq'(res c--t M. \YiIia'n iaitiii, cli- rocteur du protocole. - - - rs Voici le texte cia discours pronoiic6 par -le président de la République Messieurs I La Fiunce vous adresse ses soul1ais de bien- --entt et veos-remcrc-ie d'avoir, dun colisciite- macnt uncniwe c-ho - si comme sigp de vos trarsux la vl-I3- (mue - pcndiit plus dc quatre Citiities l'enncrii cm prise pour son princIpal objectif niilitaini (t que la vaillance ries or- mf-e ailiars u vitCrieusement d-étendue contre des oflensiyes irs C8se rssouvoltes. LES SACRIFICES DE LA FRANGE Laisstnurooi voir dans votre dtcision un liommsgo dc toutes les nations- que vous rc prseates u un psys .. qui o, plus encore qu tiaulics,- connu les souffrances (le la guerre, dont les proi'iflccs entiares, Iran-stormeos en vosos champs dc bataltre, ont (Ld sysbi-mati- quemdiii ravages par l'rixaliisseur e1 qui a l-ta-ya la nsoOt- le tiiiut le plus lur.cl. . tics normnès 50e-rides la Francele-s a subis sa_us avoir la moindre responsaliilitti dans .l'&- 1)ciiui1ttbe caLiclysmno qui a bouIcvcrst l'a- nivers. E4; au momemit -où s'acIive ce eyciC d'horreur, toutes les puissances dont lc d61C- giais sont assembltis ici peuvent se rendre el- les-anicS cette justice qu'elles non aucune part dans le crime d'où est sorti ce - dlissstre sa_lis prictdel. tUs qui vomis donne toute qualitt pour êta- hIir inso paix d justice, c'est qu'ducua de nupies dont vous ttes les mandataires n'a trinipti dans l'inust-ice. - LA GUERRE FUT PflEMEDITEZ ff'bumaniV peut -ous f-aire con!lnc parce (100 VOuS actes -pas do ceux qui ont V10i3 108 dhots tlO lltumnanj1.. . flesOi n'est pas d'informations cOmp(aefl- laitus ou clCn(fuatei execptioiincllCs poin' PC.- connoltre lOB eiiuincs du drauie qui vient d'a- giter 10 mondc. La vftit6, toute - eouvcrle dc sang, Çèst dIiji.L vadc des archives i1nps- rialc3 ; li pr6rntditati0ïi titi gu0tapCflS est ti.Ourdhui cairrneot dnnir. flans l'es.12b- (10 conqrttIr dobord lIi- r'e i'i A PJgtMfua ç'a_ M L1 TQiksS 1111e ac-luelienleut. Pour rt1a.jttj()rmi 10 l-tIns 1ongtemnos possible au pouvoir, les polit Jei cas trenipent la. nation en lui fai- sont cs-prer quo d'i quelqmms semai-iles. quelques mois au . l:ius, la pahc va rame- nec c.ttz nous e bienC't-re et la irospri té. () nine 1m, PeuPle -en suspendant de- vilE_ii sou -nez. i.itie carotte tjuil ne pourra jamnds attoaper. » . - .. NtlLlS n'aVotis jamais dit autr* ehoseLt quand i0US disions c-e'ta les joùrnaui icactionu iirc nous t ttneut do pPSsi. rnutl1, cure tic dcraiLitt Cc me eur n eut dcomi cet ht ci ite qu'au Peu Lird. - .- . - - O. -e la Fai Les quiu id l g t Marcel 'Gac-itin tcrit dans I' huma- >1 : - i\ou axons s qnal icueiuiient 1 aittelo impudont dtin certain M. Fri3ç1iirx qui-, dans le journal le it Temps ', osait pous- Ber le qua-i dOrsay h. envoyer dans lest de l'Euroje u10 e.xpditiou tiiilitaire en for- ce. - - tGe -F--F-rcli'rix, -tigent do la banque Thàlnrann '-et- Cie ci (lU capitalisme int-ci- national, brasseur d'affaires et trusteur reconnu, est ri-C-i (tirli-fii. pour réclamer à notre pays tic nouveaux sacrifices et de nous eau-s la vils Nous no s LI cite s ceperchot de I iudace de cette boiirgeo sic trop connue cool l'insistance- souligne désorn-kais le caractère de classe de tous les -sigissements. des ennemis tic la -Révolu- ton russe. - & ce pianos sorv'p-rous sud scret on demandant m k Fi ed. i-s, si emupi cc u rciflpalr (s Jeu illUt di. sa vrose cc tuas renseignements sur la banijue - Thalmaan ctOie-? - - . EfTI partietmlier nous serions cl aporciidro de lut des dctails sur le role d-e-ladite banque dans certaines affaires- - de 91'urquie- ?. Car elle ne c contentait pas : do innçonner la- rouiheuremise Ruisie au --- -- - .----.. -. -- Allons, nc-sseursls iuifÏii tUiriTiurrs, un peu de pudeur, sii vous plaît. mon-le curopcenae et hcntt ha maîtrise dii gObC, ICS Empires -du cctre,rvus l'un ii ion- ire par une secrète complicité, -ont invcntt5 les pritcxteso les plus odieux pour 15e-lic-r de passer sur le corps de la Subie et- de se frit-ver un cliemin vers lOricnt ; en -mime temps, ils ont rcnj6 les enga.uients les plus solennels pour pouvoir passer sur le corps dc la ilcigique et se frayer uu chemin 'crs e cceur de la Fronce. \,Ôiiit les.dcux inoubliables forfaits qui on ouvert-les Voies li l'agression : les efforts cern- 1jirn1s de l'Angleterre, tic- la Ftanc-e et de l fassie se sont b5is c-cotte cette folie d'ôr gueil. - . Si, - après de longue-s vicissitudes, ceux qui voulaient e(gner par le for - ont pari iar - le fer, ils ii'Oflt qu'a sen - prendre eux. C'es.t leur aveuglement qui les a perclus. Quoi de plus siguMicatif quw les iontcuX rnarc-hcs qu't la fin dc juillet 191-4 ils ten- laient. d'offrir l l'Ar.gletcrre -et lu la Franco; lorsque lu l'Angleterre Lis mur-muradnt C' Lo1LisscznauS librement attaquer la Fronce par terre et nous n'entrerons pas dans la Mon- clic » ; et lorsquila ctiargcaicnt leur aml.as- codeur de dire lu la Franco : Nous n'accep torons de trotre part une dclaration de ncu_. t ralit (lue Si vous nous livriSz JJricy, -Toul et Verdua >. - . - C'est a ja clari de tels souvenirs que se prf'eiserctnt tout-es les eiweiusions que vous allez avoir i tUer dc la guerre. - - . -&U SECOURS DU DROIT MENACE - Vos nations se Sont successivement 1etéeS dans la miMée ; rnai elles n'ont fait les unes et les aulre, que venir au sssoursdu E)roii n1enac(. Comme l'Allemagne, la Grande-Bre- tague et la' Fronce aaiOflt garanti l'indpefl- douce de la- Belgique ; l'Allemagne a cherela ii Craser la BelgiCue ; la Grande-ilrelogne et la Fronce se sont juré-, toutes deux, de la san- ver. C'ct ainsi, qu'au point de dîpart même des hosti1its, s'affrontent ls i-d5cs contraires qui, durant cinquante mois, vont 60 disputer le inonde : 1'ic1Lc de la fore-e souveraine qui n'aecopte fll cotrfilc ni frein, PidO de la jus-. lice qui ne s'iippuc su-r le glaive que pour privonir Ou rprimCr -les abus- de la force. FidilomCnt suiviC de ses dorninfls et de ses colonies, la CrandeBrct-ogflO et ug qu'elle ne pouvaIt demeurer trangtre h un conflit où ciilicnt eftgag6s le sort dc tous les pays. Ses dominions et ses clnies ont *ceornpll, ec mlANCffE 9 JAN1IEII 19j. EDTIONS PYRl:Nt::cs ET LANGUEDO TARè ET AVEYRON TOULOUS ET .ENVRON (liC. (les Cftls - .pttlg-eiie l)othii etnl)C(l-'r (v_i.e a guerrEi ne tournat ait tr:oiiiplie de le-s- prit de conqiite et lu la cent-n-ion du ;LIoit. Le--Jopon. ne s'est ii son tout dfjld-tA. S die les armes que par -loyauté VIS-it_Vis d sa grande oHjte, l'Angleterre, et psi- ollseieflco tin péril qu'aurait fa;t Coutir Ô. l'Aile comme t lE-urope lutgéiaonjc rdr(e par les c-ulpires gernianiquas. - . = LiLalie; cju-i avait ds la- preniirc heure, refus5 d prcuçt- la main au-n- -b:tans ail' Inandes, l-la -s'est lcvde cOntre U i11iCiUi rulaire (rue .pur- -r-fpoidre t -l'appel tIrs I;opii- 1 itiom, oppi lrn(L-s et pour dtti aic tu pi itt cli son - sang des .eornhivairons politiqtics or-tilt- e CllCb qui ne tCualLIit aucun .oinpe la - bcrtd ltunaine. .- - L llouuaanjc- ne s'Lst r-isolue ou )lrniuit quo pour r'cliet t tnik nitoiie t itjtilt s0pposaient les mémos puissances de (uniretin- te et d'arbitraire. - - Aliandonniic, trahie, irongle. elle a dfi su hIe un traité odje-wt dont .vôus sàurez xrgsr l rcisoi La Urèce, que l'ennemi a- pendau 4e longs I_.-'o s cssalc d dtc irrc c't. s t I eus t de ses desiinties n'a lev6 une aiin(o pour se soustraire -fu des .Lcntatives tic dominai-ion dont CliC sentait -la menace gCandissaute. Le Portugal, la Cliiite. le Siaol ne sont sorti-S 1C la neulialita que )50i!i (ieliappe(, cua auss:, aux tenLar-uies imp-uiritiles. - - - Ccst - l'iteticiue des C-OflVOjLiSCS ecnencles qui t i a,i amuït tint do peina I)ot&LS t I giind a se liuu contie le nit ou t iCisi ru L'HOMMAGE AUX ETATS-UNIS - - Et que dire de la solennelle- r6scllution prtsr. au printemps de U15, par -lt Rftpublkpie tlei Etats=Uois, sous les auspices do -son- illustra pr(sident, M. \Vilson, que je SUiS heureux die saluer ici au nom dc. la Fiapre reconnais- sanie, et si vomis le permettez, messieurs, ait nom de toules les nations repraseatties dana cette salIe ? . - Que dire cia -tant d'autres Etats arn-irieajns qui se sont d-6e.lar6s contre l'Allernegise : i-I Cuba, Paflania, tCuatcmala, Nicaragu o 1-laiti, Honduras on ont. au moies, ampu avec elle - toutes. relations diplocatiques - ; -l3ollvie (i-cou, Equateur; .Uiug-sy. Du nord au sud-, - le Nouveau-Monde o tre$- S&ilt d 'izitUgoatioti, lorsqu'iL a vu- que ICI vieux-empires-du centre c-ure-ptien, apres avoir d6c-ltamn- la guerre, -sans provocation et san xousc-1 li poursuraient par cci cl c l piIiiee et 13 rno-,ucre dutrts iflOftCni ti»nterverttion des -NIaIS_UnIS a .ctt3. piui e mieWt- qu'uta (iv(flerneflt poiiique et militaire r .. jugeusent souverain portO davan' et tic sen prOmier naonTrttiIr----fTC?a4bfl--- sabilittis ilnorrnes encourues dans la lutte ef- froyabie qui dcctiirait l'humauik. - Ce nest pas seule-ment p-eue sa probger cru - mIinles ontrc le-s audacieuses t0fltOtjVes de i ngal0maiiie gnrmaniq-Ue que les Etats-Uni ont Ôquip-il (1(5 flattes et. cr des remues im- me-uses : c'est aussi et surtout pour dafenclri un i4ÔSI tic libertd sur lequel ils voyaieiitse- tcurit'C tous -les jours davafltage l'ornr.'re :- incour-e de Irtigie impériale. - - Fille de. l'Europe, l'Aunmnique n traversé l'Ot céan pour arracher su rnt',re t I'Iiurniliation d la servitude et pour sauver la civilisatIon. Ls peuple a-niértain o voulu mettre fin au plu grand scandale qui se fût arnaiS produit d-an les annales du enrc humain. - . - Des gouvernewertts autocrates ayant prpn ni, dans le- secret des chancellerIes et ciss dtot-s-majors, un pro-gramme insensa de clon-i notion universelle, ayant, lu l'liepre ftxc pa leur gf-die d'ntrigue, lsclit5 leurs nieiitcs ri sonila la curie ; - demandant à la science, oc moment mlne où elle- cornmeflt li suppri- mer les distance-s, t rapprocher leu hommes ci a rr-tldrc la vie pins douce, dabanaonner t! c-ici lumineux où elle or-oit pris son essor e .t:le seoir -se i-notice dorilernent au ser\iee d la violone-e, abaissant faire dc Dieu iauoiiiaire complaisan tic e:ur passions et -le -complice de leurs forTaits. Ne comptant - e-n mm mot pour rien ni O traditions et 1g-s volontés des - peuples, nI l vie des Citoyens, ni - l'honneur des femmes, n: ancnn tic ces priiic-ipcs de morale- punique r privto que nous avons cliercld, quant s. nous u uto pas -laisse-r -aittirer par la guerre et qur les-nations, pas plus que les individUs, ne sau. rai-c-nt liripuadment rapudier ou miiconitaitte. LABELIVRANIE DES ITATION3 CiAPTIVEI. Pendant qua d proche en proche la -mii cngagte s'5tencloit sur toute la surface dc 1 terre, rcsotmeient cii et l ds bruit-s do citai-- nos secouées ; et des nationalilis ea-ptive nous appelaient au secours du fd de ternI geoles SéCUiai-CS. Bleu plus, e-11es s'iehap paient pour venir ii nlolre aide. La Poiont ressuscitdo nous envoyait tl,ps troupes ; -iCi Tcléco-Slovaques conquraieflt en Sibarie, eu Fronce, cii houe, leur droit t l'inci(pendancc Yougo-Slave-S, ArxnéOiens, Syriens et LIhc,not arabes, tous -les CUiC8 Oppii-iiitls, Ioules l( victImes longtemps hïipuissantcs ou rsigndet des grndcs injostic-c.s historique-s tous IfO mailles du. rassé, toutes les cOfliC-iCflCCS Vjo. lcntes, toutes hes 1Werts i5touffCes 8O l'fli- rnaicnt au bruit lc nos arnica et TtO touroa-efli vers lIOnS, comme vers leurs dlle.nseur5 nai turels. - - LA CROISADE DE L'HUÏANiTZ POUR LE DROiT Si bien que peu i peu la gurrc a pers Il pluinituide dc son sens initial cl qu'elle est d- venue dans toute la force du terme, une cia-ï tadc de l',humanhi,5 pour je ti-roit, et si tineldhit chose peut nous Consoler en -partie des dcu!P qui nous ont frappas, c'est assur-iment la pan sic que notre victoire est CUISi la vielo-tr e droit. - - - Cotte Victoire est totale, - pu-isiuû l'eflTtC?n n'a dernandl l'armistice- ciao poer V1iC nI Irnin-cûdiablo dt-sastirc miliÇaire, dc cc{-L4 Victoire totale. ii vomis appartient cia fier a jpurcV1iul dans l'1ttrût Ue-a .tustco Ci iii Ii AEIONNEMEÏT- .3 ms 6 moi. Fronce . . s 30 Etraoge: o 20 L t4o îlX Ct L4ibre Opiuio LiEURE !c Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Page 1: ç r:L: L t4o îlX Ct - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1919/B315556101_MIDSOC_1919_01_19.p… · onsi: ra rpt ia n ouiir t pioqtor aunes

f

aziz1Î MmE. - N. GUI

& ÛÀ1- et 3S -1t. TOULOUS

U B L :i C : Tç

rçeS a!x !

. r:L: z :

r r;conte qii le II' novembre, enk rnatuae de I nmt cc k

ctmnrhi le dcp( du e din-'t1tF Si fr1t icuC u E fin. t iIons iét Pou\oir rcprend nôs oc.eaa

» .

ne irai, ees tout u r OilbtOt\ c pa du toL inii -

1,a1)'e Pour I aijuipt blncn.3n le iiarn s il nest \t iL,lc bosogac

fl e qu 1 ustqu'go cic, ped C

hJt, le gthgo du parqct des &iarn-lle u cul do bo teihe a rij ote bo -

to d o te ou a &t e selon le cuu -3me 4u mois, le sa1uf sx pas.. e la

uorre Bvit mis pas tuaI dc fantaisielans toue I L'arrnsLice a r6instali' leolose 1anoilot et 1'tJjudant Flkk dansMtes Leurs prirogatives.4a bardo plus que jamais ponr les

ntriotie des rnobiliss. Quatre an. delurs .omhata, des sonffences j)hy2icJue

.. noralcssans uorn, les maladies et lesplessue ies ciLatios glorieuses. et leSIticoratis ni&mene ScLUraint, les dispen-

'er de cc pivoter » comme des bleus et doÎaire manienent d'armes « en dc.omesst'. :: .

fFt ma4heiir,uscrnent, l coionel flarnol2ôf; et. tc1ju1aut Flick ne sont pas des cx-

epliis. On en trouve m(nc pas mal qu,lttn te tviI, exerçaient dc professionsIui snmblaiei nullorncniOs prdispo-er ouor c-e rôle. Naturellement. i1s se

tnt ut{o t pa m spottouotir fost4is Ioiu du daagr et les < l

» (.0 sont fl1LTfl13 lC'-i p!US '"dents etes p(us z(s afi ma t nns C rrepon

da , 'e?L il sont a ant tout soLc1cu de noftt-rer (c tpJispensolcs » pu n re r-)erl9 leurs pr(bnn1les, assez roniiioùii-ard3i au rgaod de leùrs iimoluements

s'(C U ce son, ces O (flhi FCN -

:let la LiLnco1l Satgw. ( aouUet iaonsi: ra rpt ia n ouiir t

pioqtor aunes. .Le roal est lcdment

1u au bcuio es plus 'rngosaqes ocuorr* II nttnitdu oestn pas besoin d'-

tee crnd clore pour pr o i qur' le e -toea fIarras, res&i o ' pins dur'

rifftaS paur naintenir iiutgrit do&trQ sets t b°-tueoup moins "g-'c. h

pue te finie, ce tinuc « 1ane le Txcgut»

Se; olttrnps, sou ttLeter, son .conmereebnte4fll 10 r(çiament ; il lui tarda de

le travail aoconfurn et la Ilace,nu foyer familal. Et, « sons qifil sachepQw,1oi ', on Flrnnobiljso 1h pOur ies

orvos ridicules Ou de parades sans r6-Ita 1 Ou conçoit qtfil on soit passable-e1t ii'rit.Jilvkienrnent, je ne trOis pas du tout quea soit. pour justificr c maintien en fçnc-iofls do quelques viillc. hadernss que leOuvernernent procèch nvec une telle 1eneut. aux opdralris do la d(mobilisation.L souci do ne pas jeter sur le pavé des

'nhilecs de travailleurs qui ne retrouve-aient pas tout de suite leur etnploi ?

Pr6,exte et bjen mauvais pritexte. Il y alC: nilIi dc cultivateurs, d'ouvricr etio liputiquiers qui, du jour au leildèmain.

.t}cuvetIf; reprendre leurs yccupations. Ets'il doit y avoir chôrnagc provisoire d'uncparto de la population de nos centres in-1utriol, u'et-il pas évident qu'un rgi

meci'aliooatiors aux shômcurs serait en-ro ma-ma onfreux quo le maintien sous

1s drapeaux do millions cl'honimes dontl'entretien revient lEtat l plus de . dix'rancs par jour et par tte ?

D'ailleurs, pour la ronsitution co-iOmiqUo de la Franco, rour la reprise du

vai1 c des aTftres, le gouvernementi4-il fait Iô udoossairo ? Où est l'organis-nc cenpétent dont les chambres do com-merce et las yndiu&ts . patronaux, aussibien cuo ins syndicats ouviiers do la.i G. T. ont riclani6 la rlaLon ? On sofl3.ti13 Seu rroocùper si peu en haut lieufuo n'apparaît point du tiut là un motif

plausible di retarcIr la &rnobilisation.A10r2Des motifs uvliLaire, ? lima cairn.

pagne ett Russic, ou Aliernagno ? Si e'cta, au moins qu'on l dise e rc'.nen. Lo

pinion publique nppr'it!ei Ft an ver-1ict ne saut être dtiteu : qi ceuxlui v&uleiit « rernettré ç ll-ent lanaint ,

Le gouvernement n est d'aiurssez insensé, ni ass ouhicu di'. cora-cments pris, pour faire servir la vicinire

tlu soldat français, la victoire du Droit ete la Liberté, à des visie mpriaiistes etonduiro ainsi la fl(puhliqtia et la d&irno-ratie aux pires aventtlr)s.Iit vril donc, je n vc p:is du tut

Ourquo,i la dimobiljsatjoa tar4o. [1fl{.F:t i y a ll un daiger, un (?1: ' (langerupiel nos iiriyeants fo'on bien de

[rcndro garde, car le soldat s'ncrvo, lesoldat s'ipatiente Il s'irritø u'èn no lecnde 53 it la vie civile alors que sasenco aux arrn(ics ou dans lôs dpAs etiervic..es de l'intrjeur *st devenue Imati-

TLfll? : QUO

IC. T' il s.rcitc surtout de ne pasquaod, e()n1rne!t, dans quelles conclitieisil sera lil)ri, ce qui lui l)CrrflCtLOait deprendre (l.S maintenant toutes dispos-ticws u1iCs pour ses affairas ou suno emplci. -

lCctte iierLitude constiuc un dangeri-dom de menaces.

P.ene;oy- messieurs le gntsvereant, carI serat. grave fluo le sodabcitôyN puis-

se cIiro soicusement fjue sa vioi.aiîo aç fl1fic1nLi1[ 11)'CjUt 1h tire cl' h iC W I}OLI le c&,looel Et uno'lot et I tau-(JOOL 1licl. -Arlhur TYtlt.

DctC ac &

1*i

I. .\ G!17f Di;: il.p; na - 1 'I1-V-tU'c aju es-.

]Pj4' (. :. .\T5(i('1 I 3 5t:' lic ' u c-

-.e . O ( -t Ui VU i ---'' - -- i Ui

1 : a. 1i U'- 't iuec- il......li(i :e -e d I:i ' :fe .

. ; ,-- _t,'u:s.(:'i't tkt -u '\T. 1

_p__.i :-it teu:n;te.il a i' ':-,;nç

V r a: ' '1 I.-.i..:j ; l a- c:::I.-:- d ,

il i;j_fl ' r 1 t- t!-.- .....-'tjt .:i'a., ' lti-pi-ldf trcn

-: I « ::_ . C' '.-O.:i I ' (l :X (if - e (''' i;.lii, Sii-_'.;, -:- tii --: -- l I. rir..

fl i .\ ll :io'. O!. t- 1 I -

1'op: 1 ; P I d s '(iV' ] .1 " O di

.T-:..j ittC ----- '.

(F1jt U .. l'. .

. 'L [I' -:a (i-O ! !. r'. --'- o:!a so'

r - .

a(:i-.'(L - k --H.A ' . ',laae( t ......, I.

(I '- '- ( :_')(1a :-. - i: n- r

1sir': -r ;oe ra f

D1E OCAL. .

st.ti(.li?fl, iuug;. iiut, et jril le I)at-a uyaOoui. - . -

,e sous-.prtrel sgii pour la rrea-frier. . - - -

iLes servjtcurs d'accourir et. do consiekrcr,avec stupeur, Madssle dans les bras -du sous-.prtfci eu gilet ie utanelir. - -

Et :olIs n 't ercz jsatais -.i' d-G de lane (l:\rrssurLcarc {ue: cet rl1ai;(TO dU (Oflsllcr gaft's-1 fu le t!iAt

(l._in pas:-dJune1 cL 1 1ndjricx l - - -

-.' -- - ----,*a - - - .

F'r 1r)Lf,\- P TIrRIQ1O\S P

Et- on fl f:iniqUC de - nxcns de g&xe. ia-fllas_ (al a tan1 - fbrh-na II -Li il ble(fOC le eonine1'C Onreile. 00 CO a meruechriqua (ltt'ÛI ne sa:t us of irs inctl-rc et

ny o p'us d langsrs pour Irs abriter.]'uur cRirnCflCCr, 1' Irtiransigcant en s-

ale iUO qu puurri'rnL dan un cbarnp, i

ViltaoubIsy. E ce n't ju'ua dabul ! OndIICOJI .OÛO noitvriux s. ions quon ne saw trft 1'cr cl qui potrriront toa doucement; aleur tour, pour c - plti ratd bru de la dt-.f-Isc n .tijtaic r,L Irs rls tijitarc ; lcs(lc-nx ytt si b-fl CflCt!e

Pom' dt totwL.Les journaux raclionnoirc.s (erivent

es choses comme ca-lcs-cj(< Pendant la guerre, cornbin de rnen

souges grossiers lieus oit t-i ihbit(S.NOuSles dtc-ouvrens - Petit petit parmi les rf-vtlatiotss que ta censure est obligçe main-tenant de laisse-r passer. Le peuple que-

os lois -constitutionii. l les proclamentsouverain avec une ronio >rofonda ne-m rnrnt t 501 d s 1 1Lorance de uI .at: t l"s ioi' t.1L 15, SCS - (,I H 1l)C'SrtLs J 't pif o gournernent'uo s 01151 tcuour, a1Iim, ir e\cm 1e 1r,pertes - de larin allemande 3taknt jio=105851eS, iiifoii1nt u6rieurcs oux per-Ls fiaa e (ut ra donnait çs tou-.10d1 de cintiros prc1, ma1s on n siro'tit{jLIC le Pon -' t des mc s -d'en anci dc-I il, (it c cl I onimes O- le£0 ffç0 o . ciÀ cLs pci es en tut (10 1 ai-4 1-..» oPeinvliJe est a 1jou d but eennII et (kI 1Siifii'3 roiL, oicC1e sICCIII 0(5 1 rt , fi art11 qui &u ' en

bnn

1 j;' elullzitIcr sous j;:-s brss en entrl0ura approcher de près - da 1.7OO.Ot - hommes.'. T I I - _ --- It ut i poire po u t3 ion

_e_ -----j-*-..ta-tPe f6-ï:

s u I t-' I 1 CC 'a1x e' t 1k 1 i- 0 1 1 C CJi ' de 1 \i'c'nagieto Èu co t 1 u ii La I . de IJCiS go cG'lti-

ou-s-, ie C()lt

LA SfLLS liE LEORLOCiE

t -

Pfiris,IS janvic.La salle de rH-oiioge du mini-stère tic-s

aOaros trats4rcs où se -iei la COfliC-re000 p1(-ni(r-e do.t 50 110111 it1Ui orne la dh-emin(c nioinsslentale enmaillr blanc; -ello est- paofois aussi art--i3CfLtC SalOn -d la Paix, eau-se d Li -stu--tue, en mailsr-e --blanc. gaiameuL qui setLd1.O 1-dC)1tS il l . u CflIifl't ettrcprse4o -une fc1nnc grtncL u- r isatu-1 1 Ite tenul lL a ii C ih t oc Icivilisation et de lu paix ; deuK Amneuissont à ses picls. - - -

(e s-1on c1 (le cl n crtns- VD'f1'- esIl n une ttcLli-ali-ie Lie mètres de !ongueur.sur un C!kiio7ajno d-e largeur; ae gcandetauo en il. r t e1tn d I .eotm C te t u ttapis vert-, n t d'osste pour es ietiré-sentant-s des p-uissanc-s. - -

Le présidcnt ctme la Gonfrence t huitdMgués prendront place la pretia .511-p(flcuro ; aux tables -forinatti deuxcÔttis du fei'-ib-rlt-evat, s'installeront lsaùtrcs reltrscntants des puissanccs -s-quafre ranges d-o il topes c41aciu&c. Unfauteuil do Cuir rouge est r&iet'v6-au pr(-sident qui aura une sonnette â iiOr{ftO do

:12 fl1fl ;Ics outres dU(guS'diS)11aOO011tde chaises igalement Cli cuir rouge: au--tour- de la salle PZiuoiPalC, des tables pluspeiifesout (;t(i ina-alVas pour les .secr-ia-ress ,fmnogvap-hcs, etc... savo'-r : derritrele psiderit, au fond de in sa!lc une ta-ll-o do sciimt p-iac-e ; vis-it-vis - le iItsj-dent au fonjl d-o la salIe, une table tic(piatre pla.-C es ; paralkleanent aux grandse-Ôtés do la tafale centrale. et celle colle-Ci et les niurs air tajics de. troi p-lac-essoit trois tables (i Ciinclue cû1-. Ces ta-bbs sont rccouvc-riCs (10 tapis couves-iiOïFUe place -est marquée- rtar w' sous-

-rna:-n, un ci-I-crier e-t vi-1 plum-inr contenant.d-es por[eelume,s et de-s crayons.

!t1toir de la,ta{ile de la (ionf(renec, te(leleg&tons seront O0Ul)(iCS iar Eia; cmii-van-t 10-rdre alf,h&iique d u (et-i e1est Iceaire piOtOCOlftjrc.-

L'UtRlVE !IE M. Io!NaMtE- A 3 beur'e. exac-emcn., l pr5it1nt dea Rtmbliquc arriye au palas du Quai -

d9tsay. dans une auLornoble de la frsi-deTiCt.; acuo-rnnagn& de-s ot-cicrs dc sa

-niai S-OR nul ta-i ce. - -

1M. Bojiic-art est reru sur le norpon dhon

X dtIégués, une Ligue des Nations qui sera tmede iouveaux attentat-s au dioit des gens. .

neur par M. Pibon, -ministre des .affaices ôtra. nq'(res c--t M. \YiIia'n iaitiii, cli-rocteur du protocole. - - -

rsVoici le texte cia discours pronoiic6 par

-le président de la République

Messieurs

I

La Fiunce vous adresse ses soul1ais de bien---entt et veos-remcrc-ie d'avoir, dun colisciite-macnt uncniwe c-ho - si comme sigp de vostrarsux la vl-I3- (mue - pcndiit plus dc quatreCitiities l'enncrii cm prise pour son princIpalobjectif niilitaini (t que la vaillance ries or-mf-e ailiars u vitCrieusement d-étendue contredes oflensiyes irs C8se rssouvoltes.

LES SACRIFICES DE LA FRANGELaisstnurooi voir dans votre dtcision un

liommsgo dc toutes les nations- que vous rcprseates u un psys .. qui o, plus encore qutiaulics,- connu les souffrances (le la guerre,dont les proi'iflccs entiares, Iran-stormeos envosos champs dc bataltre, ont (Ld sysbi-mati-quemdiii ravages par l'rixaliisseur e1 qui al-ta-ya la nsoOt- le tiiiut le plus lur.cl.

. tics normnès 50e-rides la Francele-s a subissa_us avoir la moindre responsaliilitti dans .l'&-1)ciiui1ttbe caLiclysmno qui a bouIcvcrst l'a-nivers. E4; au momemit -où s'acIive ce eyciCd'horreur, toutes les puissances dont lc d61C-giais sont assembltis ici peuvent se rendre el-les-anicS cette justice qu'elles non aucunepart dans le crime d'où est sorti ce - dlissstresa_lis prictdel.

tUs qui vomis donne toute qualitt pour êta-hIir inso paix d justice, c'est qu'ducua denupies dont vous ttes les mandataires n'a

trinipti dans l'inust-ice.

- LA GUERRE FUT PflEMEDITEZ

ff'bumaniV peut -ous f-aire con!lnc parce(100 VOuS actes -pas do ceux qui ont V10i3 108dhots tlO lltumnanj1..

. flesOi n'est pas d'informations cOmp(aefl-laitus ou clCn(fuatei execptioiincllCs poin' PC.-connoltre lOB eiiuincs du drauie qui vient d'a-giter 10 mondc. La vftit6, toute - eouvcrle dcsang, Çèst dIiji.L vadc des archives i1nps-rialc3 ; li pr6rntditati0ïi titi gu0tapCflS estti.Ourdhui cairrneot dnnir.flans l'es.12b- (10 conqrttIr dobord lIi-

r'e i'i A PJgtMfuaç'a_ M L1 TQiksS

1111e ac-luelienleut. Pour rt1a.jttj()rmi 10

l-tIns 1ongtemnos possible au pouvoir, lespolit Jei cas trenipent la. nation en lui fai-sont cs-prer quo d'i quelqmms semai-iles.quelques mois au . l:ius, la pahc va rame-nec c.ttz nous e bienC't-re et la irosprité. () nine 1m, PeuPle -en suspendant de-vilE_ii sou -nez. i.itie carotte tjuil ne pourrajamnds attoaper. » . - ..

- NtlLlS n'aVotis jamais dit autr* ehoseLtquand i0US disions c-e'ta les joùrnauiicactionu iirc nous t ttneut do pPSsi.rnutl1, cure tic dcraiLitt

Cc me eur n eut dcomi cet ht ci itequ'au Peu Lird. - .- . - - O.-e

la Fai

Les quiu

idl gt

Marcel 'Gac-itin tcrit dans I' huma->1 : - -

i\ou axons s qnal icueiuiient 1 aitteloimpudont dtin certain M. Fri3ç1iirx qui-,dans le journal le it Temps ', osait pous-Ber le qua-i dOrsay h. envoyer dans lest del'Euroje u10 e.xpditiou tiiilitaire en for-ce. -

- tGe -F--F-rcli'rix, -tigent do la banqueThàlnrann '-et- Cie ci (lU capitalisme int-ci-national, brasseur d'affaires et trusteurreconnu, est ri-C-i (tirli-fii. pour réclamerà notre pays tic nouveaux sacrifices et denous eau-s la vils Nous no s LI cite sceperchot de I iudace de cette boiirgeosic trop connue cool l'insistance- soulignedésorn-kais le caractère de classe de tousles -sigissements. des ennemis tic la -Révolu-ton russe. -

& ce pianos sorv'p-rous sud scret ondemandant m k Fi ed. i-s, si emupi cc urciflpalr (s Jeu illUt di. sa vrose cc tuasrenseignements sur la banijue - ThalmaanctOie-? - - .

EfTI partietmlier nous serionscl aporciidro de lut des dctails sur le roled-e-ladite banque dans certaines affaires-

- de 91'urquie- ?. Car elle ne c contentait pas: do innçonner la- rouiheuremise Ruisie au

--- -- - .----.. -. --Allons, nc-sseursls iuifÏii tUiriTiurrs,

un peu de pudeur, sii vous plaît.

mon-le curopcenae et hcntt ha maîtrise diigObC, ICS Empires -du cctre,rvus l'un ii ion-ire par une secrète complicité, -ont invcntt5les pritcxteso les plus odieux pour 15e-lic-r depasser sur le corps de la Subie et- de sefrit-ver un cliemin vers lOricnt ; en -mimetemps, ils ont rcnj6 les enga.uients les plussolennels pour pouvoir passer sur le corps dcla ilcigique et se frayer uu chemin 'crs e

cceur de la Fronce.\,Ôiiit les.dcux inoubliables forfaits qui on

ouvert-les Voies li l'agression : les efforts cern-1jirn1s de l'Angleterre, tic- la Ftanc-e et de lfassie se sont b5is c-cotte cette folie d'ôrgueil. - .

Si, - après de longue-s vicissitudes, ceux quivoulaient e(gner par le for - ont pari iar - lefer, ils ii'Oflt qu'a sen - prendre eux. C'es.tleur aveuglement qui les a perclus.

Quoi de plus siguMicatif quw les iontcuXrnarc-hcs qu't la fin dc juillet 191-4 ils ten-laient. d'offrir l l'Ar.gletcrre -et lu la Franco;lorsque lu l'Angleterre Lis mur-muradntC' Lo1LisscznauS librement attaquer la Froncepar terre et nous n'entrerons pas dans la Mon-clic » ; et lorsquila ctiargcaicnt leur aml.as-codeur de dire lu la Franco : Nous n'acceptorons de trotre part une dclaration de ncu_.t ralit (lue Si vous nous livriSz JJricy, -Toul etVerdua >. - . -

C'est a ja clari de tels souvenirs que seprf'eiserctnt tout-es les eiweiusions que vousallez avoir i tUer dc la guerre. - -

. -&U SECOURS DU DROIT MENACE

- Vos nations se Sont successivement 1etéeSdans la miMée ; rnai elles n'ont fait les uneset les aulre, que venir au sssoursdu E)roiin1enac(. Comme l'Allemagne, la Grande-Bre-tague et la' Fronce aaiOflt garanti l'indpefl-douce de la- Belgique ; l'Allemagne a cherelaii Craser la BelgiCue ; la Grande-ilrelogne etla Fronce se sont juré-, toutes deux, de la san-ver. C'ct ainsi, qu'au point de dîpart mêmedes hosti1its, s'affrontent ls i-d5cs contrairesqui, durant cinquante mois, vont 60 disputerle inonde : 1'ic1Lc de la fore-e souveraine quin'aecopte fll cotrfilc ni frein, PidO de la jus-.lice qui ne s'iippuc su-r le glaive que pourprivonir Ou rprimCr -les abus- de la force.

FidilomCnt suiviC de ses dorninfls et de sescolonies, la CrandeBrct-ogflO et ug qu'elle nepouvaIt demeurer trangtre h un conflit oùciilicnt eftgag6s le sort dc tous les pays. Sesdominions et ses clnies ont *ceornpll, ec

mlANCffE 9 JAN1IEII 19j.

EDTIONSPYRl:Nt::cs ET LANGUEDO

TARè ET AVEYRON =

TOULOUS ET .ENVRON

(liC. (les Cftls - .pttlg-eiie l)othii etnl)C(l-'r(v_i.e a guerrEi ne tournat ait tr:oiiiplie de le-s-prit de conqiite et lu la cent-n-ion du ;LIoit.

Le--Jopon. ne s'est ii son tout dfjld-tA. Sdie les armes que par -loyauté VIS-it_Vis d sagrande oHjte, l'Angleterre, et psi- ollseieflcotin péril qu'aurait fa;t Coutir Ô. l'Aile comme tlE-urope lutgéiaonjc rdr(e par les c-ulpiresgernianiquas. - . =

LiLalie; cju-i avait ds la- preniirc heure,refus5 d prcuçt- la main au-n- -b:tans ail'Inandes, l-la -s'est lcvde cOntre U i11iCiUirulaire (rue .pur- -r-fpoidre t -l'appel tIrs I;opii-1 itiom, oppi lrn(L-s et pour dtti aic tu pi itt clison - sang des .eornhivairons politiqtics or-tilt-e CllCb qui ne tCualLIit aucun .oinpe la -bcrtd ltunaine. .- -

L llouuaanjc- ne s'Lst r-isolue ou )lrniuitquo pour r'cliet t tnik nitoiie t itjtilts0pposaient les mémos puissances de (uniretin-te et d'arbitraire. - -

Aliandonniic, trahie, irongle. elle a dfi suhIe un traité odje-wt dont .vôus sàurez xrgsrl rcisoi

La Urèce, que l'ennemi a- pendau 4e longsI_.-'o s cssalc d dtc irrc c't. s t I eus tde ses desiinties n'a lev6 une aiin(o pourse soustraire -fu des .Lcntatives tic dominai-iondont CliC sentait -la menace gCandissaute.

Le Portugal, la Cliiite. le Siaol ne sont sorti-S1C la neulialita que )50i!i (ieliappe(, cua auss:,aux tenLar-uies imp-uiritiles. - - -

Ccst - l'iteticiue des C-OflVOjLiSCS ecnenclesqui t i a,i amuït tint do peina I)ot&LS t Igiind a se liuu contie le nit ou t iCisi ru

-

L'HOMMAGE AUX ETATS-UNIS - -

Et que dire de la solennelle- r6scllution prtsr.au printemps de U15, par -lt Rftpublkpie tleiEtats=Uois, sous les auspices do -son- illustrapr(sident, M. \Vilson, que je SUiS heureuxdie saluer ici au nom dc. la Fiapre reconnais-sanie, et si vomis le permettez, messieurs, aitnom de toules les nations repraseatties danacette salIe ? .

- Que dire cia -tant d'autres Etats arn-irieajnsqui se sont d-6e.lar6s contre l'Allernegise :

i-I Cuba, Paflania, tCuatcmala, Nicaragu o1-laiti, Honduras on ont. au moies, ampu avecelle - toutes. relations diplocatiques - ; -l3ollvie

(i-cou, Equateur; .Uiug-sy.Du nord au sud-, - le Nouveau-Monde o tre$-

S&ilt d 'izitUgoatioti, lorsqu'iL a vu- que ICIvieux-empires-du centre c-ure-ptien, apres avoird6c-ltamn- la guerre, -sans provocation et sanxousc-1 li poursuraient par cci cl c l

piIiiee et 13 rno-,ucre dutrts iflOftCniti»nterverttion des -NIaIS_UnIS a .ctt3. piui e

mieWt- qu'uta (iv(flerneflt poiiique et militaire r.. jugeusent souverain portO davan'et tic sen prOmier naonTrttiIr----fTC?a4bfl---sabilittis ilnorrnes encourues dans la lutte ef-froyabie qui dcctiirait l'humauik. -- Ce nest pas seule-ment p-eue sa probger cru -

mIinles ontrc le-s audacieuses t0fltOtjVes de ingal0maiiie gnrmaniq-Ue que les Etats-Uniont Ôquip-il (1(5 flattes et. cr des remues im-me-uses : c'est aussi et surtout pour dafenclriun i4ÔSI tic libertd sur lequel ils voyaieiitse-tcurit'C tous -les jours davafltage l'ornr.'re :-incour-e de Irtigie impériale. - -

Fille de. l'Europe, l'Aunmnique n traversé l'Ot

céan pour arracher su rnt',re t I'Iiurniliation dla servitude et pour sauver la civilisatIon. Lspeuple a-niértain o voulu mettre fin au plugrand scandale qui se fût arnaiS produit d-anles annales du enrc humain. - . -

Des gouvernewertts autocrates ayant prpnni, dans le- secret des chancellerIes et ciss

dtot-s-majors, un pro-gramme insensa de clon-inotion universelle, ayant, lu l'liepre ftxc paleur gf-die d'ntrigue, lsclit5 leurs nieiitcs risonila la curie ; - demandant à la science, ocmoment mlne où elle- cornmeflt li suppri-mer les distance-s, t rapprocher leu hommes cia rr-tldrc la vie pins douce, dabanaonner t!c-ici lumineux où elle or-oit pris son essor e.t:le seoir -se i-notice dorilernent au ser\iee dla violone-e, abaissantfaire dc Dieu iauoiiiaire complaisan tic e:urpassions et -le -complice de leurs forTaits.

Ne comptant - e-n mm mot pour rien ni O

traditions et 1g-s volontés des - peuples, nI lvie des Citoyens, ni - l'honneur des femmes, n:ancnn tic ces priiic-ipcs de morale- punique rprivto que nous avons cliercld, quant s. nousu uto pas -laisse-r -aittirer par la guerre et qurles-nations, pas plus que les individUs, ne sau.rai-c-nt liripuadment rapudier ou miiconitaitte.

LABELIVRANIE DES ITATION3 CiAPTIVEI.

Pendant qua d proche en proche la -miicngagte s'5tencloit sur toute la surface dc 1

terre, rcsotmeient cii et l ds bruit-s do citai--nos secouées ; et des nationalilis ea-ptivenous appelaient au secours du fd de ternIgeoles SéCUiai-CS. Bleu plus, e-11es s'iehappaient pour venir ii nlolre aide. La Poiontressuscitdo nous envoyait tl,ps troupes ; -iCi

Tcléco-Slovaques conquraieflt en Sibarie, euFronce, cii houe, leur droit t l'inci(pendanccYougo-Slave-S, ArxnéOiens, Syriens et LIhc,notarabes, tous -les CUiC8 Oppii-iiitls, Ioules l(victImes longtemps hïipuissantcs ou rsigndetdes grndcs injostic-c.s historique-s tous IfOmailles du. rassé, toutes les cOfliC-iCflCCS Vjo.lcntes, toutes hes 1Werts i5touffCes 8O l'fli-rnaicnt au bruit lc nos arnica et TtO touroa-eflivers lIOnS, comme vers leurs dlle.nseur5 naiturels. - -

LA CROISADE DE L'HUÏANiTZPOUR LE DROiT

Si bien que peu i peu la gurrc a pers Il

pluinituide dc son sens initial cl qu'elle est d-venue dans toute la force du terme, une cia-ïtadc de l',humanhi,5 pour je ti-roit, et si tineldhitchose peut nous Consoler en -partie des dcu!Pqui nous ont frappas, c'est assur-iment la pansic que notre victoire est CUISi la vielo-tr edroit. - - -

Cotte Victoire est totale, - pu-isiuû l'eflTtC?nn'a dernandl l'armistice- ciao poer V1iC nIIrnin-cûdiablo dt-sastirc miliÇaire, dc cc{-L4

Victoire totale. ii vomis appartient cia fier ajpurcV1iul dans l'1ttrût Ue-a .tustco Ci iii Ii

AEIONNEMEÏT-.3 ms 6 moi.

Fronce . . s 30Etraoge: o 20L t4o îlX Ct

L4ibre Opiuio

LiEURE!c

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to*Ah pour mencr.);( . ,., OUS n'nv voulu

;u hd ies grandes assises,.t 'UwH f' ('s ou aSOC(O tt, polir çuI_

, . . 1eur .$ Profl dansLtâJ5Ç. I4S id1 iieutrs

A?RES LA VICTOIREVOUS avez ie»s que les oifdiiuns de la

paix devaient être arCes avn d'ro Com-inwqttcs -'IOUX confte qui uous avons cri-

rnuiIc corn3)attll c lion combat-. La soUdaritiqkli flous a 1IniS 1)Pnt1anl la gucri'e e qui iious

. vaîu le de n armes tloj subsisteriOl entie entre jnis pcudaii I is ngoeia-iOflS eL iprs la sguatriro tu raiti. .

-Ce ne sont; pas seulcrncn de gouver-meits qii sout, repi-s-enL.s ici, -e sont des-pe_ipics libres. A 1'preuve dri danger,. ils ôntappriS l Se connire. e i s'cntrc1or ; Ilsyet1ciit que leur iiflimit d'hier serve t leur

- nssurer la traÏiqnlUk d demain c'cs eu

vain que nos ennemis cIiereheroit -à nou di-.ier ; sils u1'Ol poin; encore ruuouie3 à leurs

-mir uVreS aenuiinuc u jli irap-reevront.-vitc u'ellcs e heuren/.alu1ciï1rdiu1It, comnie.pendauu 1cs Ostils, à n ilO.4 1tuunuuùiuc cuue4;in »g pourra disgrger.

LiDEAL -DE JUSTICE. 1)s van 1'i-nui4po, vous avr pae CetOunion uécossaire sous lgicie des hautes vôri-

s nuorales cl j1iiuucs doift M. le pFuzsl-AIent, \Vilson s'ç fail n-ob1erne.n I'intcrprte ;.d ccst l la 1i-uire de ecs vcris que voustnilendez uecmpuir votre mission. -

Vous ne eluerclrrcz unric que -la ustJce etne jwtiee qui fl'aji )OBt dc favoris usco

dans ies .probn4es firiau]cers, ustico daus lesro1Iènies eoriomiqes. Mas la iistFo .

pa-s inerte ; elle . rue Vrend pcis son parU de'ijuseo ; ce qu'ello rleauflC d'aJJorLl, lors-

qu'elle a -ole, ce sorit des rostintionscl des réparations POUr 305 -peuJls e li s in-tlividus qui unt douulluis ou maraits.

1H foPunularit CCUC revendication lgiUmc,. eie fl'Olil ul la Iuarue n nu disr instifle-HI et irruiuueiui de repr3saittss, elle puroit undouble objet : renlre chacun son du et ne}as encourager e recorniTicnrencnt dc crimesa l'inpunt. Ce que ) justice icini en-.ere, sous l'infbience l-cs numcs seuttents,

__ce sont des s3neljons eonti-c les coupables etgaranles e.ficaes contre un retour offenz

:i1 de l'esprit qui tes a pu3u--erlis. Et elle cs';eiqnc eu demandant que ces g.u-antie:.oient donn& &varit ont ux ruatiun.s qui ont

et qui cyen tre encore le plus Cxpopies tics igreions ou i des iwnicCs, à c&-.

s cjui on rnsines fois risqua ditre suutuer-'-des sous 1e 2ot piiiodques des -nimcs lova-s}ons.

que la .Iu&ier cxlnt, c orit lc raves4C eOuqini el 1'impi1iaIjsnhP, le riupris deelout!s naioiales, Ic -tiies ar}itrsres

.t iYovinces 13l.c Etars omauu si les peuplesa'l-senl que des meuWes ou tes pïois dnnsun Le temps n'est pins ù les tpemareruvaici)t se rlunjii -pour reire fuuulorit-#,»r trn coi de th!e, la- carI-e des empires ; si

-;Icus oyez I'Cinanier }a eore du momie, cetu nom des eu1&s et-z la eendiUon de tia-

tuir Jltt'1-c»ucii lems pensies, de respeeer:e droit des nlou3s, prMes cl grand.as i,os1, d'elIesonies et ae ic eneilir ave le4y0i1 i:-a;menl sacrul des mi»ftuitCs et!uriiqtues

FClil4OUsC5. besûne î';iidabiu que!j,u,-,-_- - ,- ,e!iaigeronl d'ciirer et fiallÇqer.

. LE RESPCP DE NOS TRADITIONSA tous ces pcnpis-s jui se -onsitueor ou se

feeGnl;-i.icfl ro ital, ceux 'Pi VCUIJiL U-.4j1lCr avec leurs voisius, à ceux qui se divsciite» inits disfluds, eeo qui c orgaIusent5UiVOl1 leurs tiadUnns re-vuvulrs, à tousceu»fln dons 'vous arcs dJ conueru ou donteus onsaereres bicult ja 1beur, \01e3 50U5

ofT4yrecrca ature1nucnt d'asucr lç-s 1noyenMatr}1s c nwauni -d'existence ; vous ie les.appcllcre à la eic lor en faire ausitûde condareums à uur ; vous -ewlrcu qu l'e-immo partout votre c.uvu'e suit Iécoudc t-

, iurable, eu n-itri-ie tempe que vous iuuuodui-i-es ailisi daris le mon(ic le [lUS derunone

ossibt-,

LOREE NOUU DkS LE M3DE 'ecu s- Vous jnstitu4rez, sÇornunvnt u la 14e ticS .ïfielsingfors eunnce que l'irivan

, pve3positiofts quiont uneninimeht adoptrcs les 11aekoencn et Ir. Louri linukainen sontErands jmissences alIies, une Ligua gem-raie des nationS qui scsra ime gorroehe suJpiO_uyue contre d nouveaux attentats au droit des.

ens. J);ins voIre pensie, cctc ossoci-aiion ni-.-ernationalc ne sera pOi! Pavenir cl:u-ige couIre- pcusuui ; mais, OrganioC par les natonsni s oot riCrifie la défense du drot,

ell.O - lecevra Pclles ses statul et ss ragesfoadamcntals. Elle. ixci-s des cnc1liions. aux-*-1uelIes s-e soum-Uront ses alherents iu'nrn-*as ou futurs ; et devant avoir orur Jj'-cntil de pruvenr daus l rneure du pusbc

.i recommencement ties guerres cIc e1euclica avant tout 'i fail-ul Tspeet.Cr la paix que

vous aurez iitoteic et àm d'au!aiut mons deupeine à la inainlenr quo cçtc paix perlera c-ri&Ie-nme de plus grandes valts 4je jnstceet do l)1u5 dm95 prc.utons de stu'bi1ir. E

tablissan et ordre nonYcrin, vots rpoudresaux aspirations dc Fhumart qui, aprrs lesterribles seronsses de ces anc--s sun.giieutes,

-sou-haite ardenirOent te e erer ;ïdgee parlfl c)ncert des PCD1eS !Pres contre es re-.

u toujours pqssies. c- la sauagrrc prl-mitive. .

t Une g)îie immortPe s'aitaetier an'r nomsdes nations et des tucmm7s qiu au?eJn Vouiucoflaborr . celte uvrc -raneliosc dCns roi

}a 1-relerntui et qui auront soigneurscnuntiravaii?'i t lmincr d-r ta p-x fuuro Les eau-es d'iluranlcrncnt et de fragiiit&

11 -y a qruaraute-uit ws, jour P0iF 70UF, lult- a-aver t8i-, l'empire d'Ail -nu. ugne :t1itproe1aini par une m'nc &nvaton. dans iCch&teau dc Veralls ; i! dcmruu1dat an raptk deux pt'ovtnees franaises sa urcmiee con-

eraljon. ; Il Iait anSi viô dans ses cri-.;--,-e et r-li t UOC lu ses qnnia1eiurp5IflUfl ISU

eti ontinait en lui un germe de mort ; lui dans 'J

l'inustice, il s ni dans l'opprobre ; vous tcs'assciubls pu'itr rparer le mai qu'il a fait clpour en emp&ll4er,1 reOur ; vous tuuez dansNos mains l'avQnr dvi monde.

Je vous laU-s, mc-ssiens, vo navs d-1ibrations et c erare ouverte la COPrrdncsik Pwis.

ALr o a$ PROGRAJME DE LA DELXTION

- ALLEMAMiEBûle, i8 jrinvier.

on ni.mde -de }4crlJn, le 17 nu1yiciLe gou.rnerurut e viïipire qui a -u-.gn(; C(;l)iITOS eliers e I' d1gaOn aIle

manne et de !a ix, 'te cnmt dc- l3rock-doili-thindau et le umnissairo du peu1)10 rheidcrneinn, e9 -aspi-t-é ù un LINerd(lan, une drriir'e suuiee, sur les I ignesdireetrcc, (lue les dul(gues aurunt Li\E '

LaL dlcgation aHemande aura t s'opposer siussi bien .jjx lemaides de se-sanciens adversaires uu-trel)assantle programme du,piuilent \Vion, qu'a la con-timi-atiori dclii . gpeiro co½ioruLque. Ellej flterviendiri POU! la suspension rmnxtuu t-te de tontes les mesures rie guerre cc-eue-miqiue ; elle s'eftorcerri par contre, d'oh.tenir' des adoucisscmuts, fondés sur lerlio,t et l'a justice pour limportatlon rd-Ci)fOque des niatières )1emièrcs et desdellr(es alimefltaires afin d'ariivej pourl'avnjr à un ravitaiilement eonontqueles peuples, dans des conditions sembla-

11es.L'Allemagne' déclarera aussi, par les

organes de ses délgus, qu'e'le est -prêteen COntiriun avec les autres Etats, à d=Sarmer sur terre. et sur mer et dans lesaurs. L'iAlle-rnagne ri réauits d'jit la majeu=re partie de ne dés:'mcriuent en exucu-U}nt les clauses de l'ariiuistce, ce qui rendd au.ita.nl plus injustifiée la mesure prise}ur les ennemis qui r-c-tiennent les priSemnuers de gtuesre allmands. il sera in-d1qU( de demander expiessument, dès le(i('i)Ut (les négociations, le rapariementde -tous les prisounters de , guerre ,aiemauud. -

La déicgaton allemande, en outre, ri-ela.merri l retour lu iAllemagnc de ses ce-tonics dans l cadre du programme duprêsideuil \ViIeon. Les délégués allemandsdans la dieussion des questions territoriales (10 lEurope et de l'Asie reconnai-trcrnt cri faveur des antres peuDies l'upli-ration du prnjipe du droit des pepIes àclispooer de leur sort. eonne ils devrontaussi la rde.asner on furveur 4e 1'Ailem-a.nue,eia Particulièrement en ce qui concernela Pologne et l'A-isaceLorrajne.

L45 dèlxus auront dgalemerit t aiderde toutes leuur furee la eréaton de laLuc- des PeuiplOs, eVaptès les puoposi-tions du préideut \Vilon, parce, qu'onpeut ami facilement a.i-ve à une paix

tdurable.WILSCN ET -A SOC1ETE DES XAT-lON

New-York, 18 janver.Le prdsi'Jent Wilson n tégrap!iiê au

prêsid'qut du « Fouuj-n 4.i:ie > 1)OUI lui cx-pliflier sa plus profonde satisfaction deeu que le forum at appreuvd son prog-r-ai1-nue de paix.

!M. 'Win ajoute « Jc-slrs content de\-ouis annoncer LIC 1(1 perspective d'unacetwd sur M Soiêtê des Na'liou est ac-tuellemenl des piuus favorables. u

- POUR LÂPUBLICITE DS NEOCIATIOIiS

- - Vasliinuton, -l-8 jaier.uM. Borab, s&nateur rl)1)iiCin, 1 iFO

tets her )vanl la iute-Assenibl'e,contre touto j(jO de grirdir le scrct uiles travaux tic la ctmJirenee lc la paL.L'orat.our ri at1;ri nttent.iun suu le preJ-nier des prinoipus 1e M. W-iIson, qui culdarriver --d;: eiter le I at(u publique-men.t. Le rsidci devrat, sa'vtiu, t-iia$outé, que la naporit du peuple desEtrits-Uis d4siic d.e9 uigociatiuus 10

&x pltbJ.ii-fVeS. I.e Wi4lin 4ila ipoultion de ::i.

- lIer ah.

CIElRiFPIsC}iA }!ARGE DE DEFENDIIELES DROITS lui PiijPLI: TUG

- Ger.èvç, -18- jnnvier.Le eongrsc. lib'3ra.l rtnni hier, à (ien-

ve, a dégu Je gnnal (lrifPaia,avcipciI1s I)OUVOiFSC ''P' de la cnfreucode la paix et de-s ntieuux oiti1ucs del'cntcute, pour Çairo vaIo t' les droits et

du peuple turc. Glrif futgaement ehlrgu de traiter a questnm du

ravitai1enun de la Turquic.]Js dpches tuiont cnvocs l'iseie

du conruis à-ilM. \Vi!ûn 2emeneeau,Loyd Ceorge et O-Iam1o.

ns DE-LEGIjS FINLANAiS

- part is pour Paris, ils agirent à la con- IÇercnee dXc- la paix c-n - quaiitè d'expeitSl)Our ic-S queult.Ofls intéressant la Crlieoaintao.

LE PRO13LEME TtUSSE

. Londres, PI janvier.Le c Daily !mal » a.nnuue q'.o le ie-

préaentats des Cinq plaucirs tiuisnncesailiis on assenées ont lruué pi tmrte

Irep-véentation d la flucsc, par uueiquoi'inient que ce fut, èfait pJuz I.e momentinipûsalle.

Î_ LIoyuI 'icorp-e est d'rerçt avec .

ifl.let'11ellc,c,asl POUr dire IflP Si. ii e moment Iliste Ieproutation ètait, atce)rdéC au'x

iéiuents i,te Fanch'n ccivprne'ywnt 'Truc- .

se, 105 bolciueviks pourra:ent deirarer qu OU'tEiLE COAS'h uTIONles puissances euroiunnus appuient la-C!c-n régime monarcli 'e

PmsoN!

. . r

L'AFFAiRE I1!J1BERT.

rParis, 18 janvicr.-D'après ce qu'on dit. malgré les varia-

;ours du 'forçt Bort-lion, l'inculpationd'inteIl-i:4inc-e avec l'ennnmj esl maintenucontre uM. Charles Uu-mbert-, en raison dese-s tu'a,nta-tiOflS avec Lcnoir,Desoucqui e;3dlo, de la publication en Allomagne deson ljvre « o'P1, t'fleS-T()Us .d(fouudus ? 'btenfin (lU (tr$CO111S qu'il protouiça au Snatu juillet 114. ' -- ---

!L NT EN A PLUS EN ALLEAGNE-

Pniis, '18 janViec.Tr'c \lli,s ont recu raesnnpce ffflnTlelle

nu ii 'ncxi-strjt e-n Allew.ngw. au -1er dé-enibr' dernier, ni prison. ni forieree, nieomp -de lit---s'onnjers, ni aucun lic-su ' flanSlesquels hs offhiers Ou snidat,s de lEn_tente Maient tenus ea-ehès et d'où il leurétait dulfendu de denner de leurs nouvel-les. -

D'aulri" part, C1el)ui5 l'a'mk1i-c,p, aucun Isujet lli n'est en prison, soit en pVvcn-

'en soit lJJtw p.c-inc.

La évoIutoa leuiaildo partacîeii- Vei1(eflt, e-- - s meISt reç'ons-al)le du me-luIre ; ils 1aecu.- eiit d'avi'uir seicnuu .i r »iuvue nu it .

4weapitah'. Le grou' s-partakiste ,semtetagiier un guand nnhu'o de nouveaux1diJiflt. L'fl1i-nioui générale est que les

jours piochaise:seroot 1)1119 sanglants cii-

cc-le cille les . ,jmirnies piêcédentes.Plusieurs elifs Sl)lra'1iSt0S ont ét(i ar-

lêtés: hici,' noLa.inmen \Eaikusson, clirec.lier tiu e Jiaieau Rouge », iii-ais Eiebhornconsidéi-è maintenant comme le duel duParti spaetoJiste, a éellQppé Ju'jiL",lui .

tflules lçs iclue;ehcs.

L

int VI[iEll LLi1por s°

Lbkicch-Bilc, 11 janvier

On mande de Berlin : '

L'état-niajor cie la division des caraI:-luifn's de la g-artle a dresé IC lapport suu-vaut sur l rsiort de Li&lkncellt au oeufs(,e sa (eutative do fuite et , sur celle deRosa Luxcmhourg, pendant quon la Cou-.(LuiSait en pPSOu puéveniit

(I Mercredi SOir, Ljcl.dsncrhl, arrêté pro-.'iisoireinent, -[t été amené à O ii. 30 aulnaILicr de la divison descarabiuiicrs vie

la garde. Vers 10 lieuses, on as'ncna flosaLuxembnuu égal casent arrctee provi-

Soieur1Oflt.n c\prês -un CouJr intC1rCiatOiie d'iden-

tiï, LivIlj-knee-Iit lut aviSé qu'il fiïlam'aintenu en état vt'arresta-iOn PIOViSOuICe-i,, juil allait ère concini t la prison pr-vontire dc loahtt. Lc gouvernelT1cn (àC1-dorait dos disposjous à prenetre ultéricu-.reweui, û son êual'd. ' '

La nouvelle de cele arrestation SéLOTIrapidement réI)Ondui une grauide foules'était rasse'il:lé devant l'hôtel Eden etnait Iirùni pénétré dans le liai!. Le elsefde i'eseore cc-eut l'orrlve de fir sortirLirbk.necht par une perle lal-ttrale. Dau-fre pai, on aveu-tu expressément LicLbk-nccqt'i; i"e FCSCOi-t ferait iisa'e dc ses au.'-mes s'il tentait de s'&c1ap)cr. Oependaiit,la foule s'élnit égaieu'ucn massée devant-105 scrtjs ltutvaIc. On tic fpu'i se frayerun chemin (l.u'avc peine -

Au raoment ') L,ebkncch-I et les hem-nies d l'escorte avaient pris place dansl'autounobilc e où la voiture al1ai partir.2111 j1u.r1j'Vd-il connu fraipa L.iebncelit parderire d'un violent coup de tête et leLiI.essa ii'ièveincnt. -Le che-f do l'escorte fitakus d-émaier lanei'nct)jle aussi rapide-ment que possible pour soustraire le btes-s,d à la fouie, mais l'auto, par suite d'unI&rorrage trop brusque, eut une panneau Eh ierga rten.

$hi vEe'maiule à Ljf.'l)kflCr'ht- s'il se serilaitassez fort. puur fl)Qrdie[ ie(iu'A la eliaus-nte de CIlarIetcrilurg, où il prendrait uneauto.

M-ais au -bout d'une cinquanta.ne d- m-tres i -p.ine, Liebknec.lut 'élanea criooiirah dans la direction de Berlin. Unhc-inme (le l'escorte reçut un coup dccouteau la main droite en tentart deI'avrèlcr. ' Comnie Licbknecljit n' s'arrè-tat pas maigi-i les appe}s répt-s, plu-

-sieurs Iuo.n'rm.es tirèrent. Qui1ques iils[auit-slP5é5. I rugutif tomba ; il mourut cûs-auss'i!è t.

rcrq 10 heurcs une autus' escorte reçutl'()r{tre du COnduIe Rosa Liixenibouu 'enpison pu.évcuitivc. APn d'écarter la fouI1,t abef de l'escorte annonça que in pvi-soiuiiéJe avait été o!rdu-mnée. Ii fit111(5110 paiti' m1e automobile qui revint.

Ce'eu.daiit peu ap-is, la fouie s'tila-i'ti iiPi;sire; -La:- inymnurrr, r u, e

Piïll1L alors punis do Rosa i;uxenuhourg quise tuOvn'ait dans .uue cIial)lbrc du prcu.ii,-er'tac e l'invita à le suvre ral)idemeutjusvp':u laut-ornojlc

Il inauehaft lui-mCcu-e dtant Clic Lsn-dis que les . ioumcs de l'escorte I'jntou-.raient, une out Itombreuse s'était deiluJuYcOu rassemblée et elle cosnai ençait àpl".enrire UtS-3 ahitude nienaçrarite cirversflc-sa Luxemliauuui, lui adressait des inju-res' et tentait dc s-e livrer sur elle à - des

e fait-. , -

Oit rdussit à protzci.' la prisonnière jus-qu'à la voiture. mais ic-ul 11C)fliTfleS (te I'CS--code furent ddtuordés un instant e en-tramés jar les remous de la foule. A ccmoncnt la foule se précipita cric ItosaLuxeuribourg, qui ftit 70rtéesans Connais--s-aii-ce virins la vciLturc ior b:! COnulTutu.idant-de 1'escore et par ses hommes. Elle futassise,, la fêle 'aipilyée en arrière, sur leiêgo placé i l'avant de la voiture, qui se

luiS CII n'uarehe leu.ulonient-.Torrt n coup,- un homnie sauta sur le

narclepied et tira un coup de revolversur Rosa Jaixcu.nibourg . .

. i'UtO tenta alois, sur l'ordre du com-mandan (le l'esc-cIte dui prendre rapide-ment la diretn dc Berlin, par Kurfurs-.tendanim, mais près du canal Jle fut ar-

par des cric dv : « ItaIt I

Le conducteur, croyant à une patrouille,s'arrêta ; lacis une foule nombreuse' sepréei-pila sur la voikirc.

Pour les deux alYairs une CflquêC JU-dieuoire st OUvcrte.

De source C,-unul)êtcnre, on déclare (jU'Oflrchcrrie acPiveupenit les eouuables etque les bo-nmes do l'escorte OII été ITfliSCli 1u. d'arraLion ijrofisoire.

Le ouveinera(uSt n continué hier ladiscusion du projet de nouvelle lonstitu-t;on allemande, on donne à ce sujet quel.(Jura prévisions sur ofl organis"t'on etson foneticnnmrent. Ce projet a ét labo-ré par le professaur Preuss, secrétaui-ed'Eiat t l'itéric-ui. et les principaux- pointsen eut été appioui-,-éa par le gouvernement

Lcnrp:ro concervcra son caractère fériéral c()nlpûsé d un e rtain nombre c1l-Luts lhres ayant claseun à leur tête estprésident êlu pour dix ans.

Le ggxrterrieu.uent exécutif' comprendraun chaneeicr impérial et des ministtescjmpere. L Parlement' consistera en urèCIsarbra naiicrelr ('\TolksIaus) 'ilue au,stuldage uni'erucl t une Chambre -édraie taaesiiiatss êlsro par lc5 représentants nationaux de chaque Eta.

tiertains détaPs do ce l)roict lovent c-v.ocre faire i'obet de discu331vSS cl. peut-?tre, de U1Odit-C.atians avant cl'èlre sou-mis à l'Assemblée nationa'e.AUTtJR DE LA IWRT 11E LIEBKNECHT

On mande dc Tlr'lin que la nonvclle del'assassinat de Liehknecht o4 de lUsaLuxemiiourg ae-ausé une époriuu atitatieutians les nuiIeux ouvriers de- toute l.kiic.-*r(agie, (dl Liivknccbt -t maintenanteousidt.ré con'uno le ti:l Iïiastyj de lacaisse un prolétariat

flans !S lu iI ic-ux poitiquf', l'évc-flII'IL est considéré cumule une eatnstro-ishe. cl l'on s'aaend è. (108 troubles son-.'glauits. La grève générale semble mmirierte t Bcriin..T)aiu ceci condil-onc: il pa-uiîl impossible que ICS éjeetors juisentavoh' h2.0 dema:n. '

Ia!a:ipg 1 1 les rue, lu -, plus cia embu d latastroplle CII lronspoiI:int les -piiu.ouinicis

t s s

Un acte passé inaprçu dans la tour-meute' actuelle et encore ignoré de la mose clos travau;leurs, acte appelé c-ependant

a avoir une ceu-taiuie importance, vient' des'accomplir. ESt date du 31 décembre 1918le Syndicat 'Iatit)nal des Agents dosPcstes'lelégraphes et 'I'éiéphones do i'rance etde-s tolerdes a rempiaCé l'Associatton g&-miiate. Le nouveau syqdcat est adhérentà la C. T.

-Geto transformation qui scst opérée 10

plus naturellemeuit dU monde est la COflsé(pxel-fcc du vote du dernier cengrês.

Les agents des Postes, do tout temps deciffur et do pensée avec les travailleursorganisés vont les rejoindre dans 105Bourses du.r Tra-vpil. Les fonetionnaircn euvestons et reclingot os r pIles vont se con-fondre eu.sIin l)oul l'a conquête d'un avenirmelleur aven les salariés du patronat.Tous iCS fonctionnaires des Postes, agents,sous-agents et ouvroirs, déjà ucs dansleur Fédératidri auront donc rejoint le 1)10-u.étar'Lat. C'est là le résultat de quinze an-lIées de luttes. Et qdeiles luttes I

Les grandes rèvçs tic I9dO sont eneoOprésentes dans tous les esprits. On n'a pasOuhliê cet élan admirable qui fit se oulc-ver contre l'arbitraire et l'autocratie cepersonnel qui na janlais mau.ehandè nison temps, ni -ses peines. Clemericeau, lensaîtrcu de l'heure, trisa le mouvement parde 1uèoatombes..La guillotine sèche fonctionuua. largement, Ios meilleurs furent ré-vequés. A deipi satisfat, le président ducou.soil fit traîner devant les tribunauxeorrectiiDnes les membres du synd1catdes oersts d'éd la faveur des évène-ments. -

Les robes rouges, fidèles soutiens dumaître prireflt un atrèt : le synihcat futdissous. 4le n'était là quo partie remise.L'idee était lancée, elle devait poursuivreson chemin.

La lettre et I'eprit de la loi du: 21 marsl8i pemetlail cri effet aux agents desPostes d'ucr du droit syndcal et ce n'estque par une interpNilatiofl restrictive ap-puye sur des arguments spécieux que lesehats-fourrîs de la justice leur en contes-tèrent l'exercice. Le Parlement courbe sousla filru e pI% identiePe su.'éleva aucune1)rotestatiofl. Depuis, une fraction imper-tante de la ChauTIiWe s'est prononcée' enfaveur t,iu droit syuxtieal pour ICS IOflCTtinru'r. En LPI'Ï.. le Congrès du PartiraticnI appuyait leurs rcvendflcm!trtlns. '%u-jourd'buri, l'expércmuCe est faite.. les travaileuu.es, improprement qrtalifiès de ïonctionnaires parce quiisexer'ccnt leur pro.lession dans les services publics ont elséde nombreux syndicats qui fonctionnentlibrement, ont adhéré aux Bourses duTravail et à la cG. O. T. On ne peut soutcnie qua -l'uiirdre public It aucun moment,ait été troublé rIe ce fait. Le résultat queles fonctionnaires a.ttcndaieiit était at-t&nt : tes ouvriers 'et empioy1s rie l'Etc tont constaté que le syndicalisme est gé-.nératour d'ordre et de progrès, et cetteconstatation est la principale raison dusuccès parmi eux de l'idée synctca]e. D'unautre côté les préventions sont tombéespeu , peu, on n compris que les fonction-raires allantau syndicat, àia Buuurse duTravail, la C. G. T. ne pourraicuit qu'ycn?orcer les habitudes d'ordre; de mé-

tlesie dans le travail, vers iesqsmlles 'du-mut ces quatre années de guerre, pe sontnettement o.'lentés les travailleurs organi.réa. On a compris en haut lieu, que lalibertu syndicale, pour donner tous les r-sultts qu'on est en droit d'attendre, doitêtre accordée à tous et, que toute l'actionde la classe uvrière peut se trouverfaussée puisqu'une fraction Importante dumouçie'&uYr,cr est tenue en dehors de cette

M. CLIIy:i':,P::cAU ELU PRE;SIDENTi:psus le départ du président de la Eé-

ptrbIi;ue, 'M. Gidmenceau prend place aufau,feuil' de la 'présidence. M. Cleunenceaufait connait-re qJ-ic l'ordre du jour appellela'nccniva-ti0n du' président délini,tf de laC4)nfêrenee. -

M.. \Vilson., se levant aussitiL, -dénirure.sexprimant en anglais :

« J'ai'l'-bonneur vie pioposea' commepré-sident définitif le président du coiisilfrarais M. Clemcnc-eaU, pour rendre'hommage it la Répuhiiciuc frairçaise, etaussi à I1ICmn1C lui-asrês'r.e. u'

(t La Franc-e mérite seule cet honneur etnous' sommes d'ailleurs dans sa capitale.Far-les souffracnc-s qu'elbl n subies et par1c grpis saorifUces cesucrile e du'i faire.elle mérite cjutiti triiut spcial lui soit1CndU. n . '

u

r:I. Llol 'Gaorgo. son four, 'parle enanglais. Il l)ropue,- lui aus de ci1osir_,v(_ Clcrnen'C-eau.

è!. le baron onnino, partant en fr-ari-fiuiS ('11 quelqtles nids, approuve. au riCinde 1'Ji.alie le Clfx -de \t. Cic--mcricpau, en

t.éino-uuae de Sy'llspaUiiç. diL-'J, ù la1 rarce et à ron gossu'erl)c)ucnt

Le) Ps'éidciu.t du Cfl1)SCil 1iOnc--stlS 1110f

lloi's aux Voix ta nomination di prési-dent durumitu.f de hi Conférence. A l'una-fljISrité t 'mains levées Il. Clemcuccauest élu. -

ai ci miluireau prononce ensujIc quel-ques paroles :

<e 0US (levons »snintenant olsorder l'or-ijea du jc:l1i' mais, auparavant, -je dois(lire ealrJl)ien \jve et profonde est magratitude l'égard de l'iÂlustre isidiit

Corfr

euuiar,,v.,

ctimi et ne peut pren&'O-Unc p ,.recta au travaux' des ouganhs1ec îj(l'est pémué1ré de cette , ide

- agents '1ès Pestes rat l'duoli.vc{e leu(J'e 1900, avec cc-L nvaiutauc queun syndicat' créé ii c-étui (lu) l'tAssoctjg'énéi'lux déjà existante,. mais que e'cette mènlj assocition qui va à 'la C.avec ses )O.OvO cotisants. Ils ont detles meyens et la . vloh4é bien aratfaire aboutir leur revendication. -

Devant 1e Iait acec'mpli, (-luielfl'1'atttudo des Pouvoirs i)uh)liC ?satisfaction aux cnu10-yés des Pcstrail cQflCfl0T'r tt métiLodo dautoi1tà riotie grand Premier; appliquer f let

4:10 1891 L la lettre sera f,ttire cqnfhunp' aripeuil'sle dont lc- (lévOuCuiCrit et l'abné4ic-dIt fait l'admiration du monde euTtiter

Iic Parlement va être appelé tsur hi rapio1'l de Lauche 1'ameildtClde M. Deshayes à la proposition

b

C.hron, Les agents des Postes ,

son_ verdict aveO Conhlans. Appartenantn:ail)tenont à la grande amuIle Priéta_,rienno, à baquefle is tenaienttous les 1ll)re's,' cc1le-i -ne -saurait an(langer. se laisset' amputer. - ' -'

'

30515 des CHALETS.

hmLr dSancc du 8 janvier (matie)'

Ta stanee est ouverte O b. l9, Suu I

erésidence de 'lit. P.enoult. ' ' -

LE DEMAL DE £'UE1REOn contirnue la disou$sion de l'ertjl

de la iOi des dommages, article quil'oser à vPstinguer entr, ceux qui n peu-vent pas et ceux qui, de' proposne veulciul pas i-employer ; sux uns lautres il 1-impose cette sorte de' p&u.aiide n'étre reauticursés -de leur Perte u'0atitres de resite tie 3 pois cent.

iM.Lefe1viadu Prey l)iP,O5e à la 4irmu-bre dc reprendre le texte du Séiit quiadiïie'i tous les sinisti'éa aux béeiiceclun prulcipe unique l'indeauaisabii .interabe. ' '. - '-

IM- Lebn*n, ministre. 1e rgions tniréeaccepte I amendement, maisqu'on T}'iflckflfliSC qu'en titres inain,a-131eS pendant 1111 ans ceux (lui p'aurcset pasremployé. ' -

La commission maintient son texl-. '

L'amendement est i-epoussé par I voiicontre' 25.

Séance à 3 heures ; la scnce et ievéuà 12 li. 15. '

Suianc de l'après-midi '

La suanc0 est ouverte i h. t' SI15 lprésidcnee de M. Mouiestier, Viccrs-i:.dent.

M' . l'abbé Lemise demande des roursifl)fllétIialS pour les régions }iérties.

111. Lebrun, ministre (Iii blocus, , J'It ueles mesures umécessaires u1t été prise.

LES DOM'AGES 1B GUEREOn reprend, à ï1tjCi O, qui, rémen-

te les conditions de remploi. la diseussicu(lu projet de loi sur lcs dommaTe dEncire.

ris - :I(C defl)nndf aue l tuibu-rial des domuineiges de gnerrr ledans bedélai 1'un mois sur la disj*a-, durenipbo. ' ' -

L'amendement est adopt&ixi. Paisaist, dé'eloppa longuemen'-

amendement qui tend t substituer untér.êt des titrs ;'aaiiuiisables de 5 poità celui dc 3 pour cent indIqué du reisièsme psu'rigraplie de l'au,-ticio 15.

Cet ameriben'ieu)t est rejeté par 33contre -159. .

. On adopte un ameuviemênt Ile J. 6(1v-dey, combiné avec un te fie M. idèriu*et ainsi eon'u

(, Dans le c-as l rn1l)1ai ncst zf5 'E'

fcu.tué l'indornnIé e<t caleulé en ccvn-prer.ant le rnonlaqt de la perte subie et lesfrais supplémentaires. Le lriistr reojVle montant de la perte subie. Le Çraiissupplémentaires sont réser-Vf'u.S pour eonstituer un fonds conasnun dont l'utilisatiOrsera déterminée par une loi spéciale. u

Par .356 voix contre -1O, on repousse I

renvoi t la commission d'un amende-mentde M. Forgent disant que la somme eareprésentèc par un titre émis au p&r cii

rapportant 3 pour cent dirtrèt et adopteun amendement de iM Marin, eIisutt_r émis et remboursable nu pair.

L'article G es ndopt. . . tLa séance est levée ii 7 h. 30.

des Etats-Enis,' dis prenlier anglais. et dïba0n Somme, 1105fr les paroles'qu'uls onlpu.-ononc&Ses à mon siujet ' ' '

-f' Je S1SIS iouêsr rudl,à IC leu fpression de votre ténioigeug'c (i'a-sS'Li etde bienvejll.nnee ; ce n'et pins la iaix le-t-er-ritolnes,'ru la paix. ,ies Cfnt,usr»(s qu'ilfaut faire, c'est la liaix ' dqs ponulles Ce.l3J'0e3'l'alBme tacons de le réal'-i u it clien. &' - ' '

1M. Clemencean ConmncC.- j : rb' ;elf3rl'ordre du jour de 1 séaneç. .

. <A Q',suht.',dit-iI Je.criis vous,.ju.".' (111e

J'ai de-nrandu it .L, l!1Ofl1e.41e la J'acul't 51e droit de Poils, et ,i u8autre émine'nf juriste de rodigèr un nié-moire dont le titre est 'e -ExafliCul de laresponsabiiitii l)fflalC dl' Guillaume Ii -r.

-" Je sais qu'en Angietcrre et 'enri:1ue. des 'travaux analogues ont é-{'é 05Htrepris. Un e3eu.nI)taire de ce m'diue'1'

Sera remis à Chacun dcs iliéu.ts,u Les autres qutuLioiss à i'oidre 1n IGU1

sont les responsabilités pour les' crimc(iOflTlrfliS arr cours de la guerre. etla régi5-Iati-ofl c-mi ce quji concerne Je frayali jfl.4Lernotiorctl. ' '

(C Tentés les PUissaflle. 'sont; iflViL05u'e.Pîettre dcs mémoires sur ces fIIfIcjuestioni.' Les iuuissances' à intérêts Par-'-iu1iers sont iiées d'envoyer des nu I11

ces sur lis. qucr,tions de Iqut ou&fte-: t:rr0tonales, ilnaureiéres, éc'on,onuiqucs, e[Çqui les intéressent spécialement.

(e Enfin, la questio.n de la Soejéfé deNations (1ui viendra en tête de I'ordsc titi,jour de notre procaine réunion.

(e Quertqu'an a-t-il des o'bscr'vatio11précn(cr ? dmauide :)i. C1cn1el)CaU, cal'Jnous VOl1101)S trvaiIlcr en ptr(ait Ofu.eo1xl;rh

iPersonne no demande la parole, lejdent déclare 1 éaB&C 1evie l. !. tt.

e," Ej eb afr --s c cirs

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.a ieNoff i:cco.voris Ia Iettre suivaitoOn aflflOflCC I)wTpeuseme11t, flUO la conl-

-tSjOfl (U budegeL a adop le .pToje doin! atiJUaUt iù us le ni1itaiieS, f1'fl3O-

hijisés pos'ttrieuiernefl i l'armisuie, u:e:)1rne de 2O iraiics.

e Parleient , le ouve.rneflCflyieiit rÔien a ins offlc1.iM Ifl$ (kflO

j1}S(S ils s to.mpeii ivaCfl}eflL TousrourOnt " eaucaleu ' CU'Ofl j taor-

ii uii pécule tic mille-1 iics an veuvespof$fldicrs, (tJUi OUldCflt. (A Je belles

yens' ans lor qu en ICU1 jtUe eu2;o s i b1es ranc, eoro'oe uu rnagrejs kronger. '

D&ïs un pays vyiufl:m d(mQtRqJ1e,i\ igne,r '-It' plixs le bon seasl la-

tique. Oit 1s'rVCVat exejusivemefl lerse1 en d m eaph1 peifle) au' sul

hrno'bil.iss t On ne ps l'iii-ucIire de faojse dGubICn1nt eeux quinuclheut unc eiO' U1fl CPC (JePJit. .lNousesl(.ons ue IOS ar1c.nieflaTeSoueieux d'qui'tô- eron voter une prime

jxe de 5JO fraties au nuinmum a\!8e nifi-oration p1cress1ve )OUF ks ois passS

'u froiit. - 1Jn giopc de. dtrnobilis.

'- --------- - --

liroilhille (i Ttifllla

B Mth la -au1ra!

L ta Uie,

Tt;eT 3 heures a eu 'ieu . .a 1le auxr1i1s m)e hujytaiU'lieurs des isnes d gueire. 1 mn-

u_le (le plae ne noua peri)ct p (len dncr nUjOUr(l'liUi un compte ei)du, nrni

crons d'nain. Lii nit-udant nt,us j-9!iois ci-dissou ïOrdlC du jour qui a(Ctf par acelantoii.:t1ds Ouviires et ouvirs licent e

Jn eIôrnae, de Ft Crtouclier', Ar net,.4.*i1rerie, indutrie lJri- ie,

,)res avoti' enteudu c eompU' ven&lu d'vi. le coimandant J1einajd, digu( dueu\erncrarnt. eu1s dlgis : Valette,Je1e1, Jc- dfpUtés de Tuu!ouse Pr1yot,CC1OUCek la Halle aux (rans le samedi 18 jan=

'ier IPIO, fo couiai;ee à es earnaraks)OEur mener liicn les re\cnlEcfltions deswavilleurs en churnae.

(PrCfl11eflt acte de Fa'oid, intrr\enuiitre eux et ?4. Peinardl.tepouse I indemnit( de chôniagc (Je 2

raiics 25 ontimes et O fr. ;5 par cuf,talili par 1M. le ,iiiit; e du travailDeman(Jent emrne ew eamae-de de

autroç frapDs Par le Chôt4e,uie indemnite de '5O £rancs po' le, orières de l'Fnlustrie pri qui no' panueh6 de prime d Iiec'ne:em ut ; unep lemnité de chômag de 3 L a'c phrt frauc 50 par enîanf.

Denaiideit iux ueuir t)u;3lic ('t YV-ieulèrenieit au ini t ' ci la ' e- I

'uio11 in h i iofle, &ïul i ev u: lt 1'ation des o's et tÛ o ti ic!, an I"le pout les fjhrctj'ms 'ïojets indi-flcnab1es ia ie, les vaste t1bis-ients : Arn8l, Gut eei , romL.'crieu1 moyei la op

que du pa . eu1e . luti n serihle deonner in cven-cton des tra\jl1e Is : « gaener. 1'r

en reviTl.-p ».

LlI non do Ode a i1 to-(' -

.---)ocLa viude de bnchrie

'Nor recevoni _v(:d pr ;FC h*1mmunjeatj31 siuvtiite et Ti U" a

oue inpaitalitle Syndicat de l. boueIerede uiou'

fi un :dnyQ' porter b lt nonns-

-w,,.' .try .

. Rayotspécial de ParfwierieMiS3 ôr Verlte dG tou9 gEard9 marqs frçaiten

Coty, i4)iblgant L.etithéric, Gurahi Gaba Roer-(&alkt,Gçidtt, L.ubin:. hIé, VjoIt, ?inatd-ourjod;, ver

saur, Lemone, Foyron'iet. ekttrez, etc.Et tic (macs Spcta1its en Pafts21ei

Très bel assortiment dans tous les autres Rayons à de riexceptionnels de bomnarché.

sauce de la populaten touioiaine lesraits suivfnits.

Depuis Je dJ3ut clos hostil.ts, l Syn-dicat Consejent du dCvnji qu'il avait .t

remplir e fait l'imposeble pour rayltaiPerta vile en viande fraîche de louc.lerie.llgr les plus grtndes diffici(J ks crôécs

par la s'uppressie des nioyeria do tians-poi't des animaux et de ta inaind'uavrel)ni la n]nb1isation, il a appot une si-haten mI)rvue, un organisaiion rio[i-vil. .

Par (leS moyens de fortune, très on&-reux, ehaettes, aiiiornohiles; miOnsau-tos, il a transport les petits animaux quilie l)onvaet merIier sur reilte. Toulou-

3 ainsi toujours 1ogtneiil aj:provi-ien}1(e.

ve t adnntitic'n ïmnic pai lesyndicat a cotlabori l'étahlnsement dela ta'u' mesure iw 'i he le ce lOfln).teur à Vatni d e la 5peulatioii.

&tte taxe d{ 'ail. ti e rulouveP e ni -ieiJement afii ue tes irifirs connauns

des consonmateurs et vendeurs soientsauveards.

Or, depiîsle rnois d'nciit N8, la hou-ehere toulousaine esIt rtg1ement6e par

fl taxe fl)unicipaic .I)CS(C SUF tCS prixiXl pr Je ministre du ravitaillenicot

par unarN du 13 juillet 1Ol8 !

Et-ant donine }a hausse persistance juse manifeste journellement sûr le ljtaitla producton,eu peiticulier sur les veauxt les moutons et (lcpl.liS quetjues jours

sur tes gros animaux, Je- syndicat delarejii'ii ne lui est plus possible 10 livrr levitmde aux prix ïixs par larrt4 muni-cipal lu mois d'août. dernier.

:Peui tt»di honmaLe la viie ileeawei1t de dire ,ju'une piogression nou-\-i)-e des eoms oc mauiÇesta courant sep-t»ibre l)rorosson cenfirni& per un ar-r k iiinki .1 oi oi du le oetoirsuk 'mL le p ix navimum du ht ta I &

k 1)rO1JUCtIO1 M le i niL reonnai -iL HOr dpw tes prix d. on 'IU tli uul

'mL ou s ne ,oua ut prus ie iepe-es PFX di vente fxs par .la.rrt du

Ynare de Teulouse du 13 aoÛt Ol8 mstantii la auroup mli ie ii .i ceus q i tga1c-lUPflt .ini awnt di :iu:p s i n i-o s pui -tIl& S np fllV'Ordn( ut CC Ceux il-çhiii rnrut1 e de, po u t5 ju-dkt.ia Les d}nt tt CeI)1 d uonbicu iueinliiis sviidiqu , poa 'te tondudt ai't(.

J p ,3,11t (" (h s u'c cI i le ccpliaLton oui pour aient LFii cuti e luJministiaions et la corporation de e

)UChe1 i' dec de, . I unauinit qu ilsert1i pas dtivri .du veau et du moutondans es :11ouClmies et tais. jusqu'au me-uient oi'i la C)Emssion speial prenantpour base le cours des niecuriales desfoires et iarlus de la rgion se ena ri-Je POUr mviser les prix de vente au

L° Syncicat de la Boucher.

La io ds direLè Pukt (Je la lIaute-Garonne aV1ionneur

(Je parler à la connaissance du -pul1is les rciserneinist uvan1s coneernan les taxaUensil )Ç 5 cl 1glm ato de 1ai consOminen des di\ eIse3 tlenrs :

Huiles aineni.aires darachide, dc ssune, deC'3i1, de p-vOt IC kIlO : 5 fr. 30.

H l cl l cpui C $ C 1 1 leio, ej çr. 3)

'JoVuc de TerrcNuy eu c1'la riTe. le5 ç.. o,

\ _l P j ide fu D tskei1 i), le3 r , &).

131;inawS de terre, le Jlo, O fr»kO.l'r (Jcret du 4 janve cjuru, souk ahm-

s )Ui lc O b o at1O rfllYOs la abi1-oaUn:t-} -nglefncntation et t la venLecoeommation des clenres siliantes :eon4JTs, ceuf, iapocas, 'pates alinnLares,riz, farzes le lgurnes, hsrieots inclignes ouene.tTes. pois, pan a1ciil'oun3 de vaude,

snil3Ou, etc.Eon naintcnucs l'inielic1Jcn de la -ute de

la crrne de lait et. lobi'gaion di vendre lesli1rnes au .pods. n est galeinent dendu1. de fabriquer, vendre oii rnetse en ventesous quslque orme qu ce soit de la patssere

atebe ; 2. d'utilisr les denrcs suivantes pour

VENTE ANUELLE

VENTA

LUNDI 20 JAMVERLaingcs t Cot,ns

(j 14 1#. Gants

MMD 21 'JANVJLingarie et binc

a JI h. Eonnterie

ME[WEO 22 JANVIERcragc. Feigoirs, Ju,,ns

Ti:;5u1; dc DuiId 14 h. ounilurc. de Mode

JEUDI 23 JANVIERConfections, Frrtirs

cl 14 h. 1cntciies, Caliichets

VEW!IIEO1 24 JM1VIE

ti 14 k. Rians

AU PRINTEMPSlu, me ÀlC-Iorècj6 TOULOUSE

EèTRE LllRE

la rabrea[on LIC la lseuitorie, dc la paUisscrie&clie et d's pts en ereute (Fusti et deconserve à l'exception des uufs congelés eer(poudre, beurre irais et; do conserve, farinepantflahleUOé, frojneflt orge, ele, nuOs, ponimes de terre). -

En1ln 'grrw hote'S i'eturmts etaulres tdiisscrnent, est redevenu bbre l'eX-rep-tioli de -J'interction de servir du sucreqù reste rnantCnue. h'af1ichage du pIix UesiepastcrneurC cd)ligatrirc

La vente c3ande de pore o»tinu t Lre

interdite -aiiis (tUe sa COnsOnuia(iOn dans lesILIcis et restainants p:efldaflt trois jours.

A TtAVS TOULOWEPARTI SOCIALISTE (S. F. I. O.)

CeuférenQe :

ffI.es membles du parti, & Teulouse, sont in-foiiiids que très pro%hainernent e camaradeJoseph l3or, rncrnbicdu pa$i socialiste espa-guo, dikigui au eougrs espagnbl, doaneraune confrenee sur le sujet suivant : de lasituation politique en Es-1agne, de la politiqUede dernan.

Le groupe epqaJ e la srcton tonlolls1ne, qui organisent runon comptent oIrirla prCsidenee de ccte rnnion au citoyen El-leu Pi'vot. . T

Pour le groupe- espgno1 et la sectcn hu-ousaine .: les sccrtt.ares

'Groupe socialisle espajno1

Tous les iuoi-ohres sont pries U'asster .

ru1iiat1 gnale qui aura lieu aujourcPliuiaueIie.,. 3 heures du soir, local. lïatn..

I, Caf( McliI1, 2-C, loulevard de Straslourg. -

gMiX lA!iS I1U

'a;;--.*-- 4*

e ott cr

C,hoi

Le Ravitaillcnt&ujourdhui dimanche. le sevicc de ravi-illuent fonctionnera de 8 heures 1 à midi,le de la ulfliliotlièque, pour la dsribuuoit

ties tiCkets de paoi aux .perm-issiounail'es cdes bons de sucre pour ;is malales.

Le Cri de TeulousAu sonnnare : Propos fantaisisteg, par.

Trisian Dernc ; Nmples d'autrefois, par I.de la i\-Iartinire ; manifestations d'tudianinformations poer rire ; Piroulet au marehi&u Ào:s ;ete. Le nurnro : O fr hO.

. Tribunal correctionnel}Ier, le tribunal a eodanin l douze our5

(J. r-un et JHI f (J rnieick eo sert5nsed affichage du jugement. la darne EugnhePoiii, pou,e SLu1 lait ère F ontcm quile 22 octobre; fut urpTise colportant et venCflb li. Toulouse u i t de \aehe add t1ovu1de 30 pour cent d'eau. . - -

A q aiaee Jours dc prison est condamnel'espagnol VeLor Olos a-g de 3t ans, homme(le peine, rue ditanal, 2-,.qui a volé clouma's dans 105 dpendances tin chanher de &lCX.3 Sa\Ts, induril au port Saint-E-tienne.

Huitjolp'S cje prison avec surgis et 2-5francsd'aniende son infligis r AlbcrL 1\-L.., ma-nmu'vre, Tue drs ptii-tente Blan4S, qui, le- 9(Jcembre eerta des voies dc fait sur son c-a..narade de -traval Pomars à la -gare de trîei L.alande.

Volgi!. le commi' de poliçe du premier ai'

ondisemtm r;c idc à des relatives :

Au vol de nOmbreuses paires (l soulers,

TUULOUSE

Sarn2 1 at nas 1 JavrV'CNTAliE ÀNNUPL

o Les -oiogesius seront fermés

Toile ia sefl)ir.e auroTt lieu I

ventes so1de qui prO5e1tcrOnt cetteanLnc cs particuLarite sui'antes : -

En raison de af1ence qui suit cevcntc, lcs atictes de nos rayols dpremier iage oront cndus le nutni&t Ics-arlie1e deS rayons du re-d.chausse,cha'lue jour, iApr3-rnjdi culeincnt.

I'our c()fltbue i l'améioratiaae iasituation moutairc, flO caisses accepten..(lea rnainteuant. en paiement comme argcncomptant. }es BOl S di TrCsoi ou de, aj)éfeI;e N&uonac, a pair jusq' C rnoid'Ôc1auce et S n) Ç -de la valeur de e

o noja deciCiilce.

9s: 7 ..'r r-s,con1iaucioii1 durant Ioule celle serlicune leur

Ils préparent pozr le Lidi 3 Frirleur grande mise en vente do -

-:=== CLAN CI':E:ntrée esL entièrement Likre

bo Unes ci sanda}es, (uriis avec- effracUon aucours tic la flfljL (Jeinire dans le magasin lEcliaiissnres de s-Ï, Da'id Nahon, rue de ILnù-set, ; s -

.Au vol do eïx impermiahies cemrni cejour au restaurant -d l'Ahinc, rue Montar-dy, au prjude des demohelles Juilelte Vi-lai etMarcell rIaaJ cmplocs audit res-laurnt,

e ;S Qrr.td dri

voyage et main, nallottes et trousses

M%tI " A L'rnÉAL "

:ii, -;'ue t,ec-T.o;c'e, J'oOøiu

Une batde de cambrioleura arrêtéeLa pouce a ails cnst d'arrestation ie nom-

iuilaynond L6ubet, g3 de 21 ans, dvadi ducamp ret-maucini de Paris, auteur d'une dizainedc am1rioiages cnirnis (Jans divers quarticrs de la vOie -S on arrestaioii a amcn6 ceheclos nonums Jean Garacle, chiffonnier arahu-Int dLlnsutant a enue de la Palle4 Oie 5iet de la tille ce demip, pouse Loubet, audomijie desquels au cours de perquisitions,rte i-oinhveuxohlets de toute nature, ddrobspar ilaymond LCubet,. ont it thieou'errs.

Au moncit de son arrestation, Louhet, qui-est un reprs dc justice dangereux,a oppos-t

iio rlsitancc désespre.11 itail porieur d'uneha

M. le connnisaii,e de police du ssptième ar-ondjssmeut pi'ocde à une enquéte.

EGLAN TIN EG EAU GL DE LA 1A2LE iAN rnÉALEENT NT itpE T

ET

N LGÈïE N

EGLANTNEivre-àdonaiciie. Dip4h :AUA et Di!.LTOUR.

I, rue Cantegrit, Tou1oue,

eilkture CbitSOfli endue p-irlo DEPOL' CEN]'fl L

: M5 iELMAS38, Puc

de QLr-

TT - TULOPuIllicaUons de Mariages -

Du 16 JanvierEmiic Balihit, ol-dt cu 2Ce d'arhil.e, aux

iruuies et Anna.F'6ral, sans pr:ofesstta-, è. Ci-nestous. -- - . -

Jascal 0cc, soims-oîi}cier au Mc Jiteriee-L MaMrie Paquer, ItS profession, & EX'iadc.

Jules Anjnrl, raiDeur - ù Cercoux t-1ariaColin, ournalire, Ccreoux. .

iul onsorbes, eordonnisr l'ue TJiire-SainL-Ccorges 6 et Jeanne - fotissaitmgère, mdme adresse.

?vlarius Bonisy, soldai au 3e dar-tiiiÏi, awçkrnnies et Jeanne OlVjd) sans pro.f-lÔ,rue -de la R0publlqua. -

1-Tend -Sémenin, soldat -au 1e arJlerie,et Jeajilic .Deibrel, employde de-eOinTr1, ruedes Pareuloux, 9. ._

iFag-Oc Boyer, soldnt ai - ie dinfiii, dd-taehd l 'rouleuse et ilenrietta Gronx,-.gs pro-tcsio, pSiit ciieniin de at-aiile, 6.

ILO-ds Oustrie, forgeron, quartier febrie et leaimac Rridme pquuse Ie j*t nestue '1rTs L1 S nL G'oge, 3-a

Dcês -

T)u 6 Janvier JflI,

; MirIllw llIrtaait Lah.ilfle 1 t18

THEATRES ET C!ES

Pl-IEAT(t-P1 DES NilVELTF.. - t - lIen-l'es, en mimaiin-e, et le soW, S -lle.iflZs veuxgrandes rdprdseiitiitions avec le eonetnita C

rIlante troupe que -les hbituûs i-e !s0ntd'applausir.. -

AU JkTtT)IN R(ï k'T rm,1 4 tilli T n-.si,a ci 1idt e t"o rPe cela tics utnrrg-iOuaux. -..- -- .

ClNiiMA TATJ-lIil. . î. 4i.ClEiA-TiiEAfRfi LM?AYETT. 'Pro-

gramme lim vendue-li 17 au Iund -viertDi0 r « Fieuï' îamue ,drame eu 5 1etes '

l 1:-e Coreuaan4aht {te la doquigol e-

que en 2 parr lan 2 h et eleit 'o8 h;-45.

APQLL1AII.1. A 2 h. l e ii 1.1 La Carte qui tourne ». - -

COSMOGRAPiL 2 h. 30, i h. O- t- li L-e Ve-nctmiaire , interprdtel par utf& ettroupe, ee. -- -

IIMIITU-DE-G1NF$uiA. -ujourVieU1 lit5l'-clic, matimie - à 2 et l heures, sfih'& $ b. -lOi.o Les -Mystdres dc -Paris -», drame LaLouse n-, grand drame t « L-C Smitatiioma >, omique, et intermdde te nertaveu L'Pd. -lyrthii et Tmmiolle. --

--- SAlNI'Mi-E-ClNEV Mothr30, so te 1 a lac )CCS 13 1 e \L iaup-s e mL 'e w Le C"nat dc \E"II'_ÇI r s-.to septidule dpisode.

SÀI¼,T CP1-dTT\-CilNE'eM M I E'2- à 4 -ieures et- de 4 l 6 hcurcs éir0e às heures r l4e Lieutenant Daimy , drameen trois -prhcs ; o L'I-lroïïe dc 5l.ralo »hujht'me épisode.. ' -

LîJll:ON.pAlLT1 .so(),ILTs.[. R-enou rie la

Section aujourdiui dimanche. e .t.-1 lb 3lchcz le wainaracle Sahethé, oour - de lCnSsey(lc.

(rdi 1 i -' - lb snn o )t1Oide réunions de propagande. - .

ar,Iç! hWI'TTC demande2 -ur1'eu àLULI) ddii M. l'Aiibù l\lEL

. 1_o, roc Agathoise, Toulou-so.

DERERE MUiUTE3 mair

-Pc SocJcolm. --- (e) mande (IC' lt3tal, viaiielsingïors, Que bIc1ievistes se scuvi setire01) masse et prnpitnnunenl, à. raisl»1 le equon dit dc la contee_rév-olutiOil cjni aurajPOelatO'- PiICO1h1. -

De cnl'c. -- Parmi 1es élus au --Lt :: de\\-urteml)Crg se Irouvelit. cinq 1Cm)-, aunombre dcsdulCS 1-ii socialFiSte ien C)E)flua

C-laie z:k-e et -la fl11u de 'anCu vcechaU1celier vomi PLeçcr.

l)e LonJers. cctaifl nombre -le s a-viresallCn)-auds font actuellement, avec i consei-teneul: de z Craude-i131'etagllC, du eemcrea,avec lCS l)aS scandinaves. Iaia en iyht dci']flrm) l)''° ('elcte nar certain flfl-CUX

le Ul)-CLIS CS1 fllljUl(-1flL - . . -

Joseph loutan, w ans, rue du Dix-Avrfl,Armand Galy, 2'i ans, avrsue (les i1':Mes, 77.jean Bacon, . 2 ans et demi rue Salt4menae.Poici veuve Dma, '8 ans, rue d -

M-ere Servat, 2l an rue des Pmlliiien"m aoes.Sarde veuve .tioissea-u, ans VU Ares- -

Su;nt)rien, 26. - -

hp tuï nmhtars 4 L-

7erid lets . m eUieursiiiYtez1tctio-

Le feufluer, vers ±2 Xircs et dcme, tin Incendie

'est dlelar-6 clans I'aLclier de couture de lan) ufaeture de vCicments tenu ir i'Ld. \Jar-c1iat,.Lorncn et lBlano,rue des Mouun, ,immubIe appartenant à M. Barry, rue Sainte-AuBe, -:1t2. Les poinpies de la caserne centralee sont -rendus sur,Ies lieux et sont parvenus,Lprds deux hurcs de travail, icirconscrirele feu. Unc-quantit3 considrable d'toff-cs, ma.chines, matriel, ont (té la proie tics flammesou dtéiiors. Les diigats, valus i IIJO 000francs environ, sont couverts par piùsïeurscompagnies d'assurances.

Une enqudte est ouverte au quatriônie ar-rmdissejnent. -

ll emperlent le coffr=fortLl- cours de la nuit dccijive des maifai-

Leurs se sont introduits par effracUon dans lesbureau.'c (le M. Calvet-, indusiriel, rue Deoja-.min-Constant, et nt nlevd un coffre-fort dupoids de 2.00 kilos contenant du numéraire.

Une enquto est ouverte au cinquième ar-rondissement.

-- )o(_,Coui'ier tliétra1

T!éâlrc des Varits, LA TOsCÀ

Le nom de lloulogne avait attir vendredidernier aux Varhits Une- foule imposante.

-:SCarpit est ..un des rles pilfOrOs de notregraddIiste : il a pu y dôployer une tOCSdCpuB les gidue1ions dç sa Voix profonde et de'sa mimique puissante. Dès qu'on eut vu 1 re-doutabie tyran qu'il incarnait aux prises aveci'lumhlc elevaliet' Goravadossi, reprdsorod parle tii d'Aria), l'issue de la luite ne dupcOnt paraître douteuse le ceux-h. mOrnes eiuauraient tout ignord du sombre mOlodrame misen mrnsiqeie par' Puccini. -

- M. l'Anal, iui phrase souvent avec dhar-me, deviait s'appliquer .L c-orrger quelquesd,.iÇecnoss dc prononciation et â écraser unpeu -n oins ses sons aigus.

Mile JealIne Bomdon, très en voix, fut uneTosca hriilaute. D'aimlmus artistes traitent. ceraie h la mnamdrc italienne, exlriorisant csmoindres fluctuations du sentimeni, exagd_.vaut l'expvesEeou ics mouvements et des att.i-.hiles. 'vI1le Bourdon avait alopti au contraireun jc-u - sobre, approprid au gofit franOaisceci est une constatation, non un reproche.

MM. flameux, Arnony et Dthressy se sontiiitts parfaitOment do leurs 'C&c-hcs rspecives. Les ciucemrs se sont cngegs sul' le che-:j) du progrès. G. A. -

GALEIUES 4;E L'EPARGNE. hue MsaceLorraine et rue Rivais TOULOUSI

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: ç r:L: L t4o îlX Ct - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1919/B315556101_MIDSOC_1919_01_19.p… · onsi: ra rpt ia n ouiir t pioqtor aunes

Tonque vivifiant. Enrichit le sang-. ,.

Aurnente 1qualité et laquantité des

globules roue3

AnémieNeircsthérneTbrc&oeCouÊescnce

SANG GLOBEOLISÈ, -

LOPZXION MEDC.'I.I--,- sar. avant 1acur1aurp i sonveeat, [)C(t(eflt de to,aI' de I oeI itjn du dog(. a te1ao:c&t. a- l{,t. d voir ei teçtu de çtt pirioiwre pvio

gQ( (r stmp A U , cornph; la renation coiisit tJiics i1ic2t soumis a t action du Globeol '-

-. - EIt dfé l f,4it et Innocui1è de a médication pr eGfrEeof, e .LirIout (}B a4Ex1rbte c indeniable etict i fljoritdMtC. (I()S dc totjnrs doïtnee I opol trpw .st ;;tune- laqti ui ret t que, incontesah1ernent. elle uieite preueIt' -.

-

;: - -- DCtUIiLLOT,de iedeein de T--n

f°W et Et&lisent CtteIain. 2, rue ' !ec:nrPae .e t()n. ft&no. li 2U : k,s 3 1eut tri e ' fre

.- mmmifrTnrctdèmk te.- du n 11u

-- --4_ -- -

, T9UUSE

- E?cpHozw1 : ;

tCOUC pou d.ûCS, caherniret-eès qtt - Q f_&etz. 1- r. crjff !ud ie-m-nt

-

UnLo -

d'une vaer e ø - oobjtt1e s1g ivadt ;, 4

t -

dtc;ve-loues per1, bte tsou-tbI ice intAçienre vwIo9Q. A. .GJdc ipocise ntikc, -

- - -----vakur4;.00 .

!essi R4tOfl-hDd. v-olt feso -jeu cei sCuC141efl

ft -34ti

-

TOTJLOUSE -- MAGASINS MODERNES -- TOULOUSE

ier PRS IVETR. UN LOT iDE'otirrures -

e tot genres eiprenûnt cava(cs, c1ls, rena,cT....., . .ord ee dcprtcies arec des (1ffi'rdncc dc Je 90

des Articles dc

Fiii de saison.rdi . ia3 iti Lie

i ut- cit o Grn1e Gura

ai' jLlIes MA---ftitasshs søraicnt des ipaisons -en

£trm-e- - ae- au (tos, s ïuiuiissaien- parrec4iefls O paraient polia reievg' les :ïum{UC$ dCI Ie trancles dc pre11èrO lignetatie eli Itte. )es ea\rnjers travot-aictit la to au gatop potears dOJXII'C-S,

Il-es ge'darme patrOui.!!aieU, les - Uns à:1evai, ie autr à pi&I, ceu-Ci ramas-

e1 coairnn raiJe-USSéS sous l c-asjuerQp lound- e. 'r-ap Laut. 0e furent 1es c-un-

?O'ib O ravitaiLIO1flelt. 4es cjS-sOflS de\A4nitins, ties auto1-uS, -des autos cOt-r-an le. hems, de t&rnl)s en terflps un

ite. -Dcs fourragères encOmh'èrCflt lat,ouo. lI tott: eup l'oii viit passer dc-

lcsss- le s -unS C{Uj pouvaient mareheraus &ide lc- aures iuo "on portail Sur.tics bencaicl, fuiS ce ftirn des morts.»ais d(t IC-CS spentacles (1E la lutte terri-Ic laissaien les hommes inatcntifS. lis-1 avan trtn vu - -

Fit t( fur -et à- mesure que ii jour nion-;ait -quo le sIel prenait f#OSSesi011 du-fiel, Ileaufort vo35ai4; s'niime-r cg revi\-re

3 ayseS lonajns (1Ui kLj éta-eik Si

k'rnilier! --.fjo Ronde-main, OlMlr-O do ch5part. Le r-

passa la voie forre, lona laall6, e!tt4 1 :ti la rivitf-c )çit P0-

AU

I P5'4 biOL'SC pUV C1mC Ychy i-1 m dmicr. - - --

-Var .-- ..... .--- * isour. ss- 'Sok et

1ant--4io Ci (COSai5 .rrobe4,k1J 'Ob. -r?ree 9 e (t5t p-os-. . %fl beau

co5onfaataia.ie - - - ". - ree ewtijt et....

cotan t:coî -tot:- 4 q

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- - - - So1a ct-. . I.b:

ueir, bo-r quaIt

-. ; : S t., , , ,--

de a feEn!Tepour les soiS

La tfl'RAI;DOSE e$rlaiitiseptiqiie dé&pQ.ir I Vyae. Elle .ee jj,r5ente en compreecs

cib!c: e: f,oteo.gènes. ChOçZL dojeieté dansdeux litresdca ncidr.n Ic sa.hztk,n pyf.rne que la

. ?ar1.jjanee aadapN.s par ls5,ins rjtals de sa

- -personne.-

I

- COrnrn?JnC1,a -ceaera eecteie 14 øctore ?

-- OPI'!ON All11C4L . .- -;

- e, rsua& lo, ba5M ? ers43q fi ru a tt rs r j. d.. tti ,. r j, n i. tr ç noS4t1L5 tOIOiir. s.Ott TpIG (ls e; iirru: t(flÇS (C Itne wu c eicrat 03 a E..tc rt' K "U 4Trurfir&te. La îitrU. tzsa1iaie, t-s'a t(wie UrCOnt-4.eS laeu d s 7'wee dae tsi c i .- ia sa U anra erei:4rns cfl fait4 514 CO tjj1l tnrn . - . - .-

- D? flPeJ4jAT, - -IS&r & LVi. / Lst1s flçss- .rJss.efeU? ( 2JUssip4t resJis? 4

RE1IERE CLA5S

Il--..,. .......... s VOUsayez

-

TOUT ESStYÉ SANS fltLTAjsESSAYEZ ENCORE -

- LES

Laxznte,. 4!:/i;rus!.,, 4 nithiikuses,ELL T i J T -. T\

E1k c i JC't pL i itCtu .t loueojr de 1 Eet'UNE ou DEUX.'

u fCî.:. d so r pr eit too- kun rsutat sasaiint

r- Lh:q LI1OkAi3LPi cor rr rrATLq.szI fiut 7lgr dn tees lc Purmck3 --- £S VEapj DUPU.

ei Eatee de-. (r. bet'2(r, & jn csi , s a (r s .ie ii L

. 19 &O4CT' C l., iii 'lii, j Lçllce-.. Ir{m5 I l4 r 'TIC rq3;5

; ?bZ i

c I 2t SCÎC ' qrt ni , ce ( f PC C C7C leIer--eas' ro r ho e., a i et es !eea 1 e 'a *aiil C i

.2et% p ho un clai'es c e .

fadil Lùi 21 Jawlr I

sitioii dans la foi d-e 1iassemy en facode VailIy. - .

Il ' ai(i u.dessue de \içux4%Touiin(eux peupliers très haut.s et qu'on a-perce-.va-it do très loin. lis floU5aient- ik -dans le-scoups do vent de la- vaI-i&e, comme d-cu-panaches immonses hajjs pendant {!Ouxou trois mojs (IO i'ét(, par des familles dloriot-s. 11)0 la ferme de Saint-Audebert o-û.fut c-anicoim(e sa coniagnio BeauforTa.pe-reevai-i les oî-mes des asbtes tout jau-lus cL- presque chenus :(liià par les t)re-ener .frv1e- llCC1.1ifltS bd peut-tire i.t j1\arje-I3lan-c ho. Tout h la fo-' s si prûs et iJoint .i .pis car-qi'iaii--ce qiio uei.qUCskilomr'tres i I)arCou-rir? 3i tom! car les-ordres nient foremCIS, et si, depuis Ciiqou six. jours 10 r6:ijmen ca-it au repoen aloiictaiit d'avoir ses compagnies auc-omipIe-i;. j! 11C11 ait pas moins en r(s-er-vesur l ligne ic laLiil-ie. -Inipos.siiic ds'atbseiie-r.

ivcs aiaciues ta.cnt- cOnuitcs touels jours onntro les lignes -allemande-s qu jocc111)aien les haueurs Sur la rie droitedo l'Aisne.

Vers. Graonne et le Gic-min ries Dames,clos- reruc;iierncnts formjtIa'o1es sctaiotitéiC%(S comnic par eiieii-ant-em-Cifl c nospremiers efforts sy iicurtrcn vainenni. -II ait évick.nt que toutes les positionsavaient Lô S()igflCUSe1flefl (iUdié.eS, avantla guP,yro, par lis Bciches cn PrOEmonadeiails le pays. mais il paritssait ogale-mealcertain que l'ennemi dtait -rensctio jouepar JÔU1', heure par licurs, poui njeuidii sur toue r qui se psaat et tout ocqui soprEparait dans les 11nesfrançaLscs.

ral-gr - le srre! dont I'enLcuratont nosotfloiers pour acher nos niouvenicnts,10-m de nos tenat-ivC pour nsus cmlnrerde côt05 dO la rjvø droitC1 CS flIO.IVO-

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Vous t)us qui vouiez acier ---guer les Lc-s, !ep-tcitsîr iC- rnalaÀ- ci à CC-OUrL flù3

-c urahis, --:upb3yez b3 Orcï..rc da la CrO[X-tUg) O f'.

p- ar. pLus O fr. O. Eu vente, Poste et Tabae.

eats furent connes, ftirout prvenuS et1rs ciicl ts Uoun . ieie foiS dcaiiteux dPs forces troh lois SupiriOUreS.

On 1t la ehasso :tux e5PiOS. Une sur-vciilan-ce rigoureu;e fut- ()PtIOflIl30. . T

!to n'arn-eua awmn6 d-e-euverte-.- -

Or nos ierLes tivatont noibrcuseSÇt une sourde ----i-?TO O---itai-i; JC SCITd8.S

se rona-ieut co1np-e de la ta,Iu5011(lui-les ciitourait. - -

- - tICIiO quo ù.t la fal-i;ue des joirwcs.tiaufort ifrassait ICS fluits dans Fiiisoiflfl-t

J_1 [u se-n:jlat.\ ''ed- lino -tn -ih?'J-.rc d'o-spioniag-c, - re&iirer un suuffle dtraijrlsc1s. . -

h butte-ai -C t1iCS n bit as I iOnloigne. Ljït. do Srrn(iiO, il voyat i

pointe e eaque du ])eIvéder-O, pacio Liune rai1OhC tout-e dr-sito etparmi les tûtes (les granis eiines. Ntenant. deriuiis qu'on o--eùpaii le bTIS C1Cthassrmy, et su-rtoui; depuis que. srJn Ya-

- (Li-ilion cantOnnait .h 8aint-AUCIlJ-t-, hPraIs et 13ovc jurquaux Bonnes--Fem-nes il s'en ôtait encore, et main-tenant, ce n'éa.it plus sc,uIemen la 1)OIn',c'était loul; 1 c-ctie .dLl he1v6dre qui ap-

aratssaiL. fai-an- flotter le drapeau &mola Croix-Jtote. -

tait-eo dc l que partaient les -(raii-sous?

t-a-ii-ce i:L qu'o1ls abouissien?i:-s avi.&-tours, a-imis flmissiOfl hourI5C.

irameimt raport : « Quo dafl3 les e?ivirOnsIttlhi( iits d) 1 B414tt.-tuk-. Liii S 011 flO('yait au-etmti -nmouverob,t de -tiuncs. Ils

Ii a a&ent pii re1t LO CUIIC l)attie CtUcuti. emplacement do ttnc1me.- Quelqoesuitos--aIlai-On c -veaaiO eulrncut et ilpaissait Elvident que le chtea'i ne ser-va d'asile nucuti OrflOi?r. Du roso,1eop raQrochii du front pour ju'ua .ttat-

SO-UFFflATDEPU1S :20 S

r-itis.()' d ts rnrnune(T,j io-; -jev;,- su1tu( i iuI-L'e cpaqea (C

- 'pi- (lIC . Si les rb:&: iu ; dtiSUiC de nos -ortfl;s iu -ont pC.a i13i(5 coinpRteincnt etasse--i rapidement uvec les mince, irntra saeg est

iCI(i et-la rnaludie nous-e;ucl 1ç'. Les tcnkrs

symIJt(nlc$, comtn;j Ic:\ cmii de due, i;vrnies,

verLiges, tt-oublea w-i--

ui1.c,e, sout le signal dc4 4Iétrcsae des acm., ai-

-

2_ bUs qui .relanmentttc. - t. .

Soins. Les Punies Fostcx--- -

tjflrLent à leurs lie-.-sorls en régéntt-at

_y.- )cnra tisstms i it-(s C,U

ent1annms et rs.ruautdes uriuc ié±lk-t-es.I.e recil CIa M. 'lail!ici-e,

urticr Maurci,-

M T.UiLLflE [yi-es (Var), iious le-p.-ror(u)Jz4. : ' -

« Voilà bien 20 ans que je souffraiS des m'ciuet rcmarquai des gravici-s jauzI1tres CILitS flC?Iui-mes ; j'avais (las si 1g-es, dc frOquentes j ndi.gestions et des crises de rhumatisme . Les Pliulci-1os-ter, eu chassant l'aeidc iii-iqmeem'ont dlivde ces iisrs et je le crois tè tiles pourou1acr .1 liuri. nmt.

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mai90 ftit installé. Ii y evait -doue feutiei do C omie que le tir eui !go ne mentait. pas et -qu'il agisait d'uneam4bfllaflCC... » --- - -

rai1 BnLm-Utz s'y tro-ouvait-il?-fft sili y Lait alors, chez -BeauforL- -au-

cnn douto; la teaaison ienait dc lL.Tourment-é par cet-te ponse, N se-n 5tait

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