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TroREièMeAnnée. 52. Ebtmua autre ligne O fr. 511 LA HUME Notre Tactique Lorsque les élections du Il juin 1903 ont apporté à nos camarades allemands plus de trois millions de suffrages so- cialistes, les classes dominantes de l'Empire mi-absolutiste se demandaient aven anxiété .7 Que vo maintenant fai- re co puissant parti? y Er Edouard Bernstein, aussi gaffeur qu'opportunis- te, des répondre « Il va réclamer une place de viee-président au Recelmtag. Le camarade Franc Melarrng réponcht dans la 7. New Zeit » par un éclat de ri- re. Mais Bebel, ennemi des mouvai.s plaisanteries, ne fâcha. Il oénéralisa la question en déclarant une guerre sans userai à ce socialisme réduit, rapetissé, appauvri. t anémié, une sorte de socia- lisme de poche, format in-32, à la por- tée des pauvres d'esprit et des illettrés politiques ou des malins, un socialisme parlementaire et électoral avant tout. Tous ceux qui pensent et sentent en socialistes, furent de l'avis de- Bebel. Il en est sorti 7, Congrès de Dresde, glo- rieux, prédécesseur de celui d'Amster- dam. tin dernier Congrès a fixé, sur la proposition de la France, la tactique de :internationale socialie, Bernstein, sans le faire exprès, a bien mérité du socialisme révolutionnai., Quelque chose d analogue se passe en ce moment en Framm. Nous venons de l'emporter une grande vidoirr. Nous toréons les portes du Pa'ais-Bourbon mec une phalange nombreuse consi- dérablement renforcée par des trou- , »aux combattants, jeunes el vigOureux. Notre groupe parlementaire. de près de quatre-vingts membres, représentant la feetiqeeeittee premier mal.. Dans I, chces des partis et des appétits déchaînés, il re- présente le seul parti d» l'avenir, le parti populaire dartS le mouleur sens du mot. Et de toutes parts, l'on se de- mande r Que va faire le Parti Socialis- te lu triomphateur d'hier, le maître de demain? A quoi quelques camarades répon- dent en toute hâle sans attendre les dé- cisions des organes directeurs du Parti 7 « On va se consacrcr 77 excessivement » à la réalisation de la H. P.! o On vient de sortir de la tulle électorale. On va s'occupes de la réforme électorale pour aboutir - si l'on aboutit -- à un nou- veau succès électoral. C' el du socia- lisme ou je ne th'y Connais pas !... tous les radicaux, de Laine, à Dumont, ra pa,ssant par Millerand, de reprendre en chur « La réforme électorale ara-ut tout!» L's Action y le « Temps » « République Françame s de M. Mé- line se trouvent d'accord. Aristide Briand lui-même « qui pro- fite de tout, » après s'être Maintenu au pouvoir ,en « enterrant 77 la ES P. à la fur de la législature précédente, va con- solider son ministère en la « propo- mnt y au débutée celle qui va commen- cer. On refera le « bloc" d la R. P., al- lant de l'extrême droite à l'extrême gau- ehe. Et la Franco sera régénérée! Nous sommes partisans do la EL P. pour des raisons mille fois dites et r ce dites. Mais none sommes avant tout et surtout socialistes. Comme tels, nous avons compris que la corruption du ré- gime ne tient Joas à tel ou tel mode de scrutin. En regune capitaliste, le be- soin, l'intérêt collectif sont subordonnés ' au profit, à l'intérêt indionluel. La Il. P., Mile et nécessaire, est une /réforme de surface. Ce n'est pas une réforme de Tond, mie réforme organique. ' Toute réforme .7 organique » signifié, soit un déplacement du « pouvoir s (suffrage universel, la suppression du Sénat, l'électorat ,des fonctions publi- ques) soit un déplacement a des va- leurs économiques (journée de 8 heu- res, assurance couloir, ,etct. La R. P. supprimera quo/ques abus, facilitera notre action eine/mule, nous mettra à labri des eompremissions du second tour, mais elle laissera intacte la domination non .ulement du régi- me capitaliste - .1a va de soi! - mais des intérêts lacera. d«s infiuences sociales et éeonomiqUes. Les riches et lEs forts seront toujours d., grands éle - tours. Le suffrage universel restera tou- jours à la merci du oap,tal, d'autant plus puissant que son champ d'action sera élargi.II opérera en automobile sm les grandes routes départementales oa régionales, tandis que le candidat so- cialiste sera condamné à faire sa pro- pagande â pied ou dans une méchante voiture. Le capital aura à sa dispceitice ta grande presse départementale ou ré- gionale, tandis que nous!... Il faut être, à force d mole les yeux fixée sur la lumière de la justice,-meu- gle comme Saurés ou entêté comme un Breton, dans le « double » Aens du pour voir dura la R. P. le commence- ment, ou la fin de tout! Commençaco l'application de la Il. P. en,, proportionnant » notre enthousias- me à In juste valeur de mile réforme de procédure éleCtOrale. Ne substituons pas à tante notre action socialiste une seille reforme, si utile qu'elle soit/ Non, notre rôle à la nouvelle Cham- bre est pl. grand. Nous sommes à tin tournant de l'histoire. Les vieux partis, tous les vieux partis sont usés, vidée. L'impuissance organique à « réformer » le régime capitaliste, -et .non On mati- v ise votante d'un Clemenceau ou d'un Baiiia,nd, condamnés au rôle de gendar- mes, en est la cause initiale. Si, nu lien d'éclairer les masses, en premier lieu le prolétariat, sur Inc véritables causes de ses souffrances, le Parti Socialiste suit la routine réformiste dma partis qui sant condamnés à la faillite -et a la dts- parition, il fera à son tour faillite ut dis- paraîtra également. Sa chiite sera pins terrible, car il tombera de haut. Nous ne demandons pas à nos amia de la Chambre, de répéter à. tout propos et hors de propos -notre formule libéra- trice de la socialisation dos Moyens de production. C'est somont néoe.aire. Mais ce n'est pas suffisant. Si faut, l'occasion de toute proposition da loi, surtout de celle du budget, étudier, dans leurs détails, tous les rouages du régi- me qui nous écrase, démontrer, chif- fres' -et faits en mains, toute l'hypocri- sie réformatrice des partis au pouvoir. li faut dénoncer sans pitié tous les scandales du régime, établir au grand jour ses misères et sen turpitudes en les ramenant à la courue initiain: Pex- ploitation capitaliste. Il font aussi ert bien garder de tolite iutrigue de couloirs, pour ou mime cen- tre un ministère. C'est le meilleur moyen dener nm fortes et de les oom- promettre. Surtout n'oublions pas que notre rC- 1 ' hum ' de rréclUOlibie an riens elremt, -ous no. ruas pas charge d'ému du régime ca- pitaliste. Nous no sommes pas les sau- veurs des partis bourgeois même' les plus avancés, mais leu. destructeurs. Nous sommes une minorité. Notre ac- tion et nu.i notre responsabilité sont limitées it la Chambre même. Silais elles peuvent et doivent are très grandes au dehors. Profitons de notre situation pri- vilégiée h la Chambre pour multiplier notre action duria te pays, augmenter à l'infini la portée de nris organisations, de notre propagande. Que notre voix porte boutai Et les réformes immédis tes? Voulez- vous mettre à répreuie la sincérité ré- formatrice des radicaux socialisants? Alors vous n'avez qu'une chose ?aire. Proposez-leur, par exemple, la suppre - sion du Sénat, celte nécropole de toutes réfor niernes celles qui paraissent possibles en régime bourgeo a Autre Chose, réclamez la journée de 8 hem.. Et vous verrez! On vous donnera de bon gré la EL P. Elle ne coûte rien. Mais les réformes qui 3 diminuent » le pouvoir politique ou économique des classes dominantes, jaMais. Vous aurez ainsi fait la preuve que if le but final ii du socialisme ,est tout, et le replâtrage social rien ou peu s'en faut. Ch. FtAPPOPORT. Nous publierOns demain un article de notre collaborateur Lucien DESLINIE- RER E0 Itgenda 27 Moi On a pu voir da. 710s dépêches d'hier la nouvelle aventure de la brigade mo- bile. Un brave bougre de petit propriétaire des environs de Toulouse a une petite ca,npagne dans l'Aude. Il y va une fois par mois, je crois et, chaque foie, en rap- porte deins sa poche une petite topette d'eau-de-vie de fabrication. Quelle ne fut pas la stup.r de ces bra- ve homme lorsque hier malin toute une brigade mobile fil irruption dans son ap- partement et se mil en devais de fouiller consciencieusement toutes les pièces. Troublé dans la quiétude matinale de son home il s'étonna, s'enquit, puis s'in- digna il y avait cruill.rs de quoi. Dénoncé par une lettre anonyme com- me se livrant d la contrebande de l'alcool, il était t'objet de perquistlions ;g dut se résigner il lui fallut méme avouer son crime. Et on trou., en effet, quelques centilitres d'eau-de-Mo dans une tus.. Procés-verbal I_ coût une amende de 40 francs sans compter les frais et nui. Le contrdle local des C. I. ignorait cette opératien judiciaire faite à son inca sur ta seule signature d'un juge de paie. Et voila comment on en usé à l'égard du contribuable en tan XL, de la IIP Ré- publique, laquelle a inscrit d son frontis- pice eadmireble Irisasse r Liberté, Ego' bilé, Fraternité. 'CINQ CENTIMES Loranlrmbauihel quel gros mot poue quelques centilitres d'eau-de-vie que nous aurez rapportés de la campagne pour vo- tre con.mrnation personnelle. El deux b mende pour On? Je voudrais bien ses e« oir si le déplacement des insoect.rs jeta brigade mobile elles vaeations n'ont pas, en l'occurenec, coûté plus cher que cela. De ce temps, quelque gros industrie/ condamné si la requéle de In Régie d une dizaine de mille francs, d'amende, s'en ti- rera en transigeant avec dim Liberté I Egalité I Fraternité JEAY-JACQUES. PETITS FEUILLETS STATISTIOUES 'Les politicie. ont .sayésele .dédtiire-re résultats .électoraux d'avril et mai l'opinion On la nouvelle Chambre sur les principaloa réformes économiques., ,politiques ou socia- l.. Mais abaque parti a de son côté tire la couverture av. tant de passion et de forre que, les uns voulant voir... rouge, les au- to.... blanc., personne n'a rim vu... que du blem MD, à nu, on na pu voir la Chambre. Devant financeas ale ces ro...es, les mathématiciens, liera de leUrs PmPheRNm' In queue de la comète, ont acoomu au se- cours des politiciens. Naturellement, cous la troublante cohus des chiffrés, lenigine s'est compliquée. Dans le programme de chaque élu ils 01, soigneusement déconné chaque article do foi, puis, étiqueté sur chaque par- tie le nombre de 'voix obtenues, classé par analogie, en catégories distinctes, les résul- tats de cette chirurgie de PaPeressea s retins, et enfin additionné les chiffres, di- vers. Par leur bombe, M Statistique a parlé. Briand a publié l'oracle. Personne n'y a rien compris. Id aussi les Partis interviennent et ti- raillent les chiffres, au grand désespoir des mathématieiens. La. Rappel s veui que te paya a05011 pro- ue. pour le projet Cailla. euz la etotre_ ggieti4, .44 ielenreigea»Veerea'ears ta. Ca fon la majorité. Pardon, répond le « Temps ceux qui le veul.l avec résorvoa la désapprouvent donc lo paye ne veut pas de l'impét Et sur chaque Manula il est des di.us- siens pareig.. La eatistique pmme ce que ion veut qu'elle prouve. Lm préfets d'ailleurs, accoutumes à la fraude. ne ren,its pas d'abord sophistiquée au gré des désirs ministériels pour Mire croire b de bonnes élections dans leurs dé- partements respectifs ? De plue en plus, paie- !, ou cous-préfets sont. 'de arond' élec- teurs officiels. Ils. font e les électrum. Et do leusa preuves d'attachement à la Répu- blique, c esl-e-dire au gouvernement, la principale est une «bonne élection,» c'est- bedire une élection qui donnera au gouver- nement un suffrage Imerable oz approuvera le premier article de toute déclaration mi- nistérielle, article toujuure sous-entendu, mais quand mémo essentiel Conservation des portefeuilles. Aussi lei Préfet., nui syre lus d'eaux pratiquent ta mutuelle de la mendi- cité l Mendicité des voix par I. préfets et mendicité des fonctions une 1oi oiselés, éti- que:1/4P gouvernemental c'est-a-dire « ra- dical le candidat bou2geuis « quel qu'il nui-', qui aura le plus de chances de suce. et qui. on melne temps, aura l'échine souple et facile l'obéissance. Le candidat du pré- fet étant vietorieux, il cers le Pmeaeee du gouvernement puisqu'ii en a l'étiquette. De sorte que les proplieti,e de la statistique na sont que le redet des désire ministériels. M. Briand et I. préfets ont, tell. 1m vie/. les nues dans tee veillées ehis'ar, « fait par- ler la table ». EL la table a frappe les coups qu'on lui dictait. Car, dam un même .programme en tant de phrases, d'idées, de Montes.. s'dPnileDé? sont au point de s'effeuiller, l'éleeteur peut vouloir telle reforma sans approuver celle d'oecélé. Partisan de la R. P. il peut être, nomme tant de réactionnair., adversaire de l'impôt et relu peut étre relu dec réforma- teurs du scrutin sans être celui des parti- sans du projet Caillaux. Comment les préfets ont-Os pu faire la part des opinions divers. exprimées sur le nom dm merle candidat? Que prouve donc la statistique ? Gemment dira-t-elle que les milliers de budgétiveres, vuOépounlurlboeinanenlaieeaiaec seul désir e'mt, pour les uns, l'avancement. pour les autree le bureau de tabm un la inc. tin de coins. La Statistique des mimons ne prouve rien. Seule unporte celle d. élections. Or le mi- nistère a déclaré que de l'urne est sorti une majorité de ,députés, 61sc avec un program- me radical. Done la Chmelare sera radicale, et M. Bri.d n'avait pas besoin de co.ulter l'oracle et d'établir des statistiques. Ou le parti radical,en effet a une doctrine no na programme définis, ou il nus a pas Si oui, M. Briand doit mi:maitre cette doc- trine. h MM et peut appliquer ce program- me puisque c'est relui de la majorité. Sinon, II doit déclarer la faillite d'un parti mi n'existe pas et qm ne se laisse guidon que par t'arbitraire des statistiques et les hasards de l'inconnu. En pratiquant le jeu de Permis, 31. Br." h livre au pays ses inquiétudes et montré la clarté du jour 10 pnlitique de la nouvelle Chambre l politique d'insouciance, dincohé. renne et d'équilibre ministériel. JEAN et FACQuEs. Erratum - Dans notre attige d'hier consaeré discussion des idées de M.Couille ,Sabatier une très regrettable erreur typomepbique PROLETARIAT CorrêAe - Cantal - - IsormeicinGimmmrsese - Lande. - llimsteeso.eymessMies - Eases-Pyt-AaaAaIor A-sante-Tarn Goes -1Cateaseen-Gaaronnon - "aute-Graroilaxo Toulouse s'est glissée. On nous a fait di. « la popu- louse opulence de sa barbe- «. Nous avens écrit « populaire o. Nous nasa empre-ssorm d'autant mieux b faire cette néceseere rec- tification qu'il n'a jamais Mb dans notre pensée d'être désobligeant à l'égard de al. Camille Sabatmr.- J. et d. Nos Nouveaux Elus GUSTAVE nuBLED Déptaê de tif . egeoneMpma de Lim Quoique figé de an ms seulement, le nouveau demie sis seeme de Line, G.teve nabied, est del un. vieux militant des orgmisatio. eiere et socialiste . sord. Né en plein contre textile dr Flers-Bourg, dtvet, des rage de 5 ans, entrer n gusine. nous malsaine des grands tissages de son pays s'écouta belelescence et la ienness de cet S5l.ss5tfnp5ea ce "reigique messire. gante/unie, te, Mme... Pavions ace par erreur -01 c'est en celte quaio qoil adhérait, aga de 16 ms d peine, au syneee textile de Roubaix. Quelques amé. plm tard, il completni son de- voir de travailleur conscient en adhérant 0 la Celreere'ePra'r?trt s' s i 2Uiitre cpietl2t'e Infatigable, gest d lui questi due, dms une large dzL'zrezvre:.,0,L= 1001: présentant. Cet. dr.nseription de Lille comprend une partie de centres industrie. de Groix et de wasquebal et d'autre Pen. trame communes rurales. Fondateur de la section du ii .t con- seiller municipal depes 12M, et Kern.' Mie. depuis ISUS, Diable eait eu conseiller "Iton- sg.emesit du canton ouest. de Roubaix -en moi. Aux Menions legistaloes précédentes, en ie., ore,: a quelques centeues voix deriers candidat radical, il assurait .n succes au dm- mémo tour p. son désistement. Cette année, les travailleurs de la circonscrit,- L'os n'ont ptus voulu - suivant une formule pavent mal inPrpretee - . s personne inter. pesée ni den parti...air, rei-poismagOu- criers, c'est pour leur Tasse gleeteme qui. ont vidé en la personne du Pym .maradc qui les représentera Merlins:int et dont yeomen rem feec mn te groupe sens.. de la Chambre ;Rê...prolétarien. se. mer am sombres bo, egte. carnets, 'moderne renferme seS attétés Irr.',earres re.mmmErmr,r dente. coupe de pmeeau ses', eru'nee 2111""i int" Mlle Grodno (fair contraria). - Tiens, vous voila vous, déjà ? AL nus., - Comment déjà I Tu nies iiifionzess heureuse de me revoir ? In lei- SOtte Croc.. - Pas dom attention, ara.° bals. tu me décoiffes-. Mais si, je suis ravis de te ..voir... Seulement on n'arrive pas chez les gens sera avertir comme ça,. Justement je Mile en Mlle- avrc mon cousin Robert, tu sais inen 515 tes al parlé souvent.. cIlla grOMA. - Mou cousin Robe?, voyons Robert de Melun ? M. Parier, s.doiteieux). - seppelati Ge. lace Mile CLocio. eue .1a, tu y roe: de. 11 la réaction et la révolution ? C'est bien, .0 M. rellgrall (Se lesant tomber Oavsuu fau.i1). - (tuf I na Mame pas. Ois êtê dur, va. m'ai dépensai° louble'de oe que Je suppo- sais, Den toutes les auberge, de l'amendese- ment l'ai payé à boise pendant 15 Muni. James le. éheelensi tiav sailli itient eu si soif.- Clic comble 0150ritli toi phaa".1".; ay'a.ré ve0a'r" tin8 de bière. Je ne comprends plm rien li 15 politique. Mlle 121.012.0. - Mon pauvre cbou. Enfin tu es 41e, c'est l'e.eallel. Tu vas couver te re- taper.- Cela en avons besoin, lu sais J'ai mi tas de notes, là, en muffranee ma couturière, bi propriétaire, le parfumeur.- (elle les fourre dam sa poche) tu passeras les payer, fus r M. PRUNEAU dom, enthomelasme/ - Nein rellemert.. (I/ los pareourt). C'est .eirrayant contme Mut effluente ! Et moi qui ai promis aux él.teurs de ramener l'indemnité perle. mentaire à 900e francs. - Mlle Cb... - Hein ? Fais p. cette Ida- fey'' er:Le, eig 4," au M. Paumera, - ceidemment afee ta fera crier. Mlle Cucu, - ES-Iu bête ? 'fu feras dé- corer ceux gui gueulemnt le Mus, ils se tien- dront tranquille, Et ça ne te Coétera gen. M. PRITeilli (solennel). - Clodo, tu serais Mgne de siéger sur les bancs du gouverne- ment... Crocro 0.P/et - Socles genoux, tu veux dire.... PAULO. ana A LA CEA._ RE AVENT LA PREMIERE SEANCE LE BUREAU D'AGE Paris, 2.6 mai. C'est mercredi prochain on le sait, que la nouvelle Chambre tiendra . Menlidira séafee. i.e fauteuil présidentiel sera occupé par M. Louis Passy, doyen d'âgé. A ono entes prendront Osés, en quelle de secrétaires, les ex plus faunes élus, Ce sont, Pas 2.aeng, Ooecneooelriaaa.éloImee 005. .r: conscription de Mayenne: Evey. ssdienl, élu la première ercorisiert,ple. Luilalsal .2 F. ca'ultd"deearror air e"..;,. étai-ses lPas. srlolieseMent aluool, Maitre, radieal gela- Die, élu dans l'arrondissement tels Palisse. et Polten-lluides..., conservateur, Mn dans la huitième circonscription dtrigenPine. Cen ex kmn secrétaires, dont le pl. âgé eneure trente ans. sont bus de noie 'eux damnes élus eux scrutins des en anal 8 mal derniers. LA PRESIDENCE DE LA CHAIMERE Paris 00 mal. On disait tous ces jours, quo M. Eosob000t .rait candidat à la preeigenes de la Chambre coutre M. Henri Erie.au, le bruit mt aujoug dihul démenti, dans les termm suivants, par unMlime « dc ?d.u 000 ii 'Vous pouvec démentir la nouvelle de la .ndidature de M. D.o.ba.l. La venté est qu'on effet un certain nombre de nouveaux elm avalent songé à taire sur le nom de M. D.chanie une m.ifestabon purement propor- tionnelle, mais enlolmi s'ait parfaitement rendu compte que sa candidature, opp.ce celle de M. Heme Brisson, aurait un caractère nettement politesse. t Or ce caractère am sa.ait convenir b M. Deetamel dmt la candidature risquerait de jeter la diassion navre les républicains Cette seule .nseleratIon euldrait à dicter sa dé- termination. Ciao sera pas candidat. LE GROUPE RADICAL SOCIALISTE Pans, 26 me. Mob Berteaux. manier et liel.se rconvoquent lyr,t,,e,rLdZseePel,"b ' local du sixième. Mime, à Penni d'examiner lm questions mn se posent au &Dna de la Iceislabon. lies nouv.ux élus sol delvmt Glose,cn au groupe sont priés d'écrire sous enveloppe â dea Mole députes eugnommés. DANS LA "PUBLIQUE ARGENTINE Lo Contonairo g8 1181188808008 COLOREZ P" L" AlInSMOA/LEuRs 00 1151e argentIn au biven sue.. interretiT communique un esTblogrumme que ee recevoir du citoyen. ?Ami° Bravo, se- icreleire du Parti et mit est expédié de Mordelii- 0e0 100001510 eIsa, démontre bien que lares. sure fonetionse autours a euenos.Ayres. Il prie ies Jour...Manges e1 sravantgarde de don- ner la Mos grmde punitalté à xc câblogramme. onn de déjouer Ps calculs. gouverenement qe;rouromornent, qui .t aussi odieux que étui du Som. p. grotesque que oeuf des roue lets nègres Mt ceintee de l'Afrique,. a, en etre, la prétention de eassob_aux poux das Européens pour tin goiDernen,ent libéral et républicain. pous cela quia cache si soigneusement ln: monstrueux abus de neuve, dont se rend. à tous prepos, .upable, mais t,a,,,P.7.0..r.cialisie et libre de "mons au pilori ces tyranneaux ex. Volet le tete du cablogramine qamt. moMevideo, 23 mal. Mat de edge pour tern, indétemme. Jour- nal socle.le la reneurirdio dOleoil par matures. tants bourgeots prame0e corso pottee. Jollenoul ryildlculIsles incendiés. A l'occasion du rente. raire Or lIndépendisne, agnation patriotique contre les travallleura et les «rangers. Sltualbe penne, pour tous les Euretrtens. Grève générale p.sible.Mpuis janvier, dem cents ouvriers sont empri.mes. Cl faut intervention iriternationale énergique. - M. Bangs. la presse vrement net, tous les long aux,,qui nmt p. ltialeude de recevoir del or. des légations .orgentlues en Europe. se feront un devoir, nous en somr.s sûrs. d'inMr- mg, te., abornieuis,, ps,m, Graby condamné à Mort Parie, 26 mal 1,1 troisième audience di, conseil da guerre est ouverte à one heur, devant une sel° ogrible. On entend le dernier tenni0 à charge, le dooteur Chavigny, mede" au Mal-de-MS., gui a examiné les accusée alt Pole de v. mental. Il dlt avoir rermrq.ué chez Mebel une dimi- nuhon uotable de la volonté; il estime néan- moins es sespon.Lilité .mme complète, ainsi Inc celle de Cialiy. Phbieurs itemoins viennent affiumer que Gra- by donnait des premes non equivoqum d'un centia déséquilibre mental. Me Henri Gérand en profite pour déposer des cone/nem, il demande au conseil d'ordonner que son client seit soutes n l'examen de trois médecin. aliénistes. Amie une snspension d'audience dene heure le comell, qui en a délibéré, estime, par sis voix c./ec ene qu'a ...Y a Pas lieu de faire Modale dna nouvel examen mental do Graby. ,LE REQM.Srroing bd parole 514 au conunissaire du gouverne- ment Carné pour son réquisitoire. Le com- mandant Cafffé rappelle d'Mord quelle fut l'é- motion de la Faimsa entière quand on apprit 5CC las saslslioo In 52105 . . soldate. Puis, après avoir Tait rapidement Mes- tongue de l'instruction, en Insistant sur rbore mur fi, orlme, il s'attache à démontrer mie arma Gouln Malt Marie suant que les assassine .sent glisser son corps par la portière_ - Les inculpas ont tué .imumenti ils vou- laient tuer. D'ailleurs, ils out, dans leur affreu- se bmogne, montré le Plus grand 2000-fraid. Le commissere fa goilveraentent eslière gne le consed.r.endra la prémédietion avm toutea ees cansétloemie. - 0, tentera d'apitoyer 100 jues en len/ parlant de 1'enfance des amusés. Mais leur en- fance a 00 celle de liement* de Dtmetis. Graby aurait pu se fere uno mente; Il arae assez d'i.truotion pour cols. Sa respomabffilé est pleine et entière. cleetmalieedeloi, maitre de sa parole, malts de tous g. actes. Gee lol qui a Né véritablement Pene de ce crime Miebel a été élevé par un sale. un brave homme, puis par las,' Nuis Os l'Enfance Il aurait pu devenir un honnête ouvrier: mais il Met, comme Oraby, désireux de s'amuser cl 0m erwmolle .- secs ,,,x10 , sassiner. Il est plus fruste que Creil., moins repomeme e intelligent quand me.. Vendredi 27 Mai 1910 pubucrre Annonces, és page, la ligne. Récemes 4. page, la IMse Troisième Page, la Dee iTiocele 3. page, la ligne giDeuxième Page, Id lie. PreMière page. lu ligne .squelles se liyrent la bourgeoisie 0010 gemme« mrrifitjr:o'i'it le monde sa;rte la teate Mem air'raist. eer'ire=atac dtee repe'liarece del. 00 10 montrent heu peu dignes. Oie Fort Glehrol on Aigrie APRES TREIZ JOU.MSljejelïbg Constantinople, 20 tirailleur Mayen( qui, lett mai der- nier, tue sa femme trallehalli la gorge et s'était barricadé dans ea maison à Ermeddde a éld enfin capturé, hier sue, apnes un edge en Mgle qui da pas duré moins de Leine jeuM 1.1mbita1000 do M.ayouf, comp.le d'un te, de-ch...se de quabrre maires de largeur suS vingt de longue, est située au milieu d'de tee raM raft.. Les .nlecee chneune une porte donnar4 sur me cour. entourée den mur de douent& niée de hauteur. Le porte de la com s'ouvre preeque 0015M 00 1, porte de la chambre dans laquale bleyour Cie! enfume. Il eet Pau par- courir une quinzaine de mètres pour meg,ea la porte. derrière laquelle lo forcené rets. natt artne prés à tirer par te trou fet dam bois, il hauteur d'homme. Celte disposition particulière des lieux mn del difficile l'amic de la maison, ce le far een6 ce Misa aux aguets armé den fusa deux coupe, den mvolver et den pletolet../1 avalt à sa dispoaltion de nombmtmé callon- cites. Jour et nuit. les gendannee montèrent la garde auteur de ta altdeue, formant d Mb. tance respertuerse, au cordon que MaYonf vainement tenté de frarene. Le World jour du Sire, un gendarme .qul avait tenté de seeproeher essuyait cv coup d, pu do le part sle "mien tirailleur, gal pa- raissait décidé à tuer quiconque Miterait pénétrer dans Fimmeable. On résolut alors de prendre le for.sé no, par la famine - ear il avait ou soin de Papp.- J1,psrog y. 1,1 refi disposition. -- Celle lactique a pleinement réussi. Avmt.ble, à la tombée de la nul, api-Se avrlc brille de .inhre.es eartauches. l'assas- sin jets par un trou. mallqinii dam la ut:naine, son pistolet, son rsvulver. ma 10001,.p1MNye. castedux des Merles indigênee cl den Pit- e. de mes hunesMut ce-qu'll possédait. Lee gendarmes, s'effila appreeliés. 1,55140e déniera et 5s'bI se 55,50,15e si ocr 101 Selfrll O toile, Les eselégeanh jugbrent tendant de scia. Sole: Men leur en pet, car pisu apr.. Mayoué faisait pleuvoir sur les irendenn. et /es u cava- lier, qul siétatent ami-roché, ne m de lotie briques et ele moellons. Rias .mailn. vers huit beteeib novent mens sur le loaders mai.n. &ami M né deveI. zàfaci:1,,I,,eeriin qu'il mourait de soif rt M. M"cau chef de la Sh- retê départementale, réponde que son déni, el- lait être satisfait Me, qu'Il devait garder les bras on rer, sinon II, tuerait 000j de re- volver. Mayen( accepte. Itenxeavallem, Bencheik et M.a. se 001m.. ' ramené. l'autre lui rabattitIeo bous le lose mins et ligota sedemenl Mavouf que les ee darm. emmenèrent. Le prisonnier ammlail d'injures lesperse - cars présentes. Comme II ml assez grièveriell Messe par ana balle t la misse droite d ce soigme à l'Infirmerie en attendant son Diens- fert à la prison de Sena,- L'ASSASSINAT DE Mra'' GOUIN LES FLAIDOmins 51m G,rand pur, maintenne en foreur de 005001 il demande au uenseU de donnes a Graby Or bénéfice de sa franohae phis PM éloge des conseils de guerre en général et Os ooilu.00 en particulier. fuer da pas été interrogé le premier par le loge d'instruction; mals, ilde g101 aidé ragé. G a avoué tout de suite. El Me Détend s'effeince de n'établir aucune distinction entre Michel et Crabier. - Du crime, dit le défenseur, je lienpare lerai pas, car on n'a pas pu déterminer '09.1 mi le roue, 10.0e se la violence qui a en- trainé la mort Nous ne savons pais qui a tué, ale Carme demande pour Graby les ÎOnStaer=aleurpLes; apdresii,avolti:,p,arliïn.ex ne,' l'agent 'deala GraLy, ions le ,sr r lad qu'II a perd elomed Pondant son enfance et sa jeunesse à tous Sent qui Ions alors connu. - Ce/a prouve, dlt le défenseur, que sa ses- ponsabeite est tris diminuée. Me Géraud s'off.sa par fous tes moyeou dm- ergs llséjuges pour leur arracher ver. Mi'Lt pOIs comm ore eun ccal- hem Me Odeand, sam s'etarder d Meuler louguommt l'accusation, 01 demande au cané ell d'avoir MM et de ne pas fuer Wolfe. o., K:saeo.h..-z ,e;,uier:ic:eds: crin, Le crime à. degrés Ilfent faim entre Graf, et Michel /a distinction que l'opinion publique a déja talle to obus Ote1,a,utsél4i,il-cce,rveairr, Michel 0g de coémpare go r Mêle pende de 3Ikhel arrêté a été J'ai été malheureux I mn 0100 Craby. lles8e oonclut . COol 00155e pour Graby, le client 3P émeut Rappelez-v.o. 0111 aux menée, de a pes de Pillé. eonseil. mal n'y a pas de jusliee là 00 II nu, te président. - Cralay, avez-vo. quelque c.h.e ajouter pour votre défense ? Gobe- Pal musml OIS mime très grave. JiimPlore I pin,' de Mes»Pei. Pour nap.. Mia .ta'o'areecolle.":111.e" e' n. e fltue bour expier l'acte qu'e -- Michel dit l'on tatir 111.-Sidâ Noire canera. Cambie, miegué du parti p-le. e fuse s fr. sa fr. 5. 55e. en ln eu ABONNEMENTS mois 6 mots 45f. Rédaction et Administration a 38, Rue Roquelaine, Toulouse :EDITIONS RUG-IONA.IMS France et ..... 55e. 1 405e. I 205e. PETITES ANNONCES EN 3* PAGE leyeenees-Orieetalos - Lozère - A.vegiross Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Page 1: LA HUME - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1910/B315556101_MIDSOC_1910_05_27.pdfTroREièMeAnnée. 52. Ebtmua autre ligne O fr. 511 LA HUME Notre

TroREièMeAnnée. 52.

Ebtmua autre ligne O fr. 511

LA HUMENotre Tactique

Lorsque les élections du Il juin 1903ont apporté à nos camarades allemandsplus de trois millions de suffrages so-cialistes, les classes dominantes del'Empire mi-absolutiste se demandaientaven anxiété .7 Que vo maintenant fai-re co puissant parti? y Er EdouardBernstein, aussi gaffeur qu'opportunis-te, des répondre « Il va réclamer uneplace de viee-président au Recelmtag.Le camarade Franc Melarrng réponchtdans la 7. New Zeit » par un éclat de ri-re. Mais Bebel, ennemi des mouvai.splaisanteries, ne fâcha. Il oénéralisa laquestion en déclarant une guerre sansuserai à ce socialisme réduit, rapetissé,appauvri. t anémié, une sorte de socia-lisme de poche, format in-32, à la por-tée des pauvres d'esprit et des illettréspolitiques ou des malins, un socialismeparlementaire et électoral avant tout.

Tous ceux qui pensent et sentent ensocialistes, furent de l'avis de- Bebel. Ilen est sorti 7, Congrès de Dresde, glo-rieux, prédécesseur de celui d'Amster-dam. tin dernier Congrès a fixé, sur laproposition de la France, la tactique de:internationale socialie, Bernstein,sans le faire exprès, a bien mérité dusocialisme révolutionnai.,

Quelque chose d analogue se passe ence moment en Framm. Nous venons del'emporter une grande vidoirr. Noustoréons les portes du Pa'ais-Bourbonmec une phalange nombreuse consi-dérablement renforcée par des trou-, »aux combattants, jeunes el vigOureux.Notre groupe parlementaire. de près dequatre-vingts membres, représentant lafeetiqeeeittee

premier mal.. Dans I, chces despartis et des appétits déchaînés, il re-présente le seul parti d» l'avenir, leparti populaire dartS le mouleur sensdu mot. Et de toutes parts, l'on se de-mande r Que va faire le Parti Socialis-te lu triomphateur d'hier, le maître dedemain?

A quoi quelques camarades répon-dent en toute hâle sans attendre les dé-cisions des organes directeurs du Parti 7« On va se consacrcr 77 excessivement »à la réalisation de la H. P.! o On vientde sortir de la tulle électorale. On vas'occupes de la réforme électorale pouraboutir - si l'on aboutit -- à un nou-veau succès électoral. C' el du socia-lisme ou je ne th'y Connais pas !...tous les radicaux, de Laine, à Dumont,ra pa,ssant par Millerand, de reprendreen chur « La réforme électoraleara-ut tout!» L's Action y le « Temps »

« République Françame s de M. Mé-line se trouvent d'accord.

Aristide Briand lui-même « qui pro-fite de tout, » après s'être Maintenu aupouvoir ,en « enterrant 77 la ES P. à lafur de la législature précédente, va con-solider son ministère en la « propo-mnt y au débutée celle qui va commen-cer. On refera le « bloc" d la R. P., al-lant de l'extrême droite à l'extrême gau-ehe.

Et la Franco sera régénérée!Nous sommes partisans do la EL P.

pour des raisons mille fois dites et r cedites. Mais none sommes avant tout etsurtout socialistes. Comme tels, nousavons compris que la corruption du ré-gime ne tient Joas à tel ou tel mode descrutin. En regune capitaliste, le be-soin, l'intérêt collectif sont subordonnés

' au profit, à l'intérêt indionluel. La Il.P., Mile et nécessaire, est une /réformede surface. Ce n'est pas une réforme deTond, mie réforme organique. '

Toute réforme .7 organique » signifié,soit un déplacement du « pouvoir s(suffrage universel, la suppression duSénat, l'électorat ,des fonctions publi-ques) soit un déplacement a des va-leurs économiques (journée de 8 heu-res, assurance couloir, ,etct.

La R. P. supprimera quo/ques abus,facilitera notre action eine/mule, nousmettra à labri des eompremissions dusecond tour, mais elle laissera intactela domination non .ulement du régi-me capitaliste - .1a va de soi! -mais des intérêts lacera. d«s infiuencessociales et éeonomiqUes. Les riches etlEs forts seront toujours d., grands éle -tours. Le suffrage universel restera tou-jours à la merci du oap,tal, d'autantplus puissant que son champ d'actionsera élargi.II opérera en automobile smles grandes routes départementales oarégionales, tandis que le candidat so-cialiste sera condamné à faire sa pro-pagande â pied ou dans une méchantevoiture. Le capital aura à sa dispceiticeta grande presse départementale ou ré-gionale, tandis que nous!...

Il faut être, à force d mole les yeuxfixée sur la lumière de la justice,-meu-gle comme Saurés ou entêté comme unBreton, dans le « double » Aens du

pour voir dura la R. P. le commence-ment, ou la fin de tout!

Commençaco l'application de la Il. P.en,, proportionnant » notre enthousias-me à In juste valeur de mile réforme deprocédure éleCtOrale. Ne substituons pasà tante notre action socialiste une seillereforme, si utile qu'elle soit/

Non, notre rôle à la nouvelle Cham-bre est pl. grand. Nous sommes à tintournant de l'histoire. Les vieux partis,tous les vieux partis sont usés, vidée.L'impuissance organique à « réformer »le régime capitaliste, -et .non On mati-v ise votante d'un Clemenceau ou d'unBaiiia,nd, condamnés au rôle de gendar-mes, en est la cause initiale. Si, nu liend'éclairer les masses, en premier lieule prolétariat, sur Inc véritables causesde ses souffrances, le Parti Socialistesuit la routine réformiste dma partis quisant condamnés à la faillite -et a la dts-parition, il fera à son tour faillite ut dis-paraîtra également. Sa chiite sera pinsterrible, car il tombera de haut.

Nous ne demandons pas à nos amiade la Chambre, de répéter à. tout proposet hors de propos -notre formule libéra-trice de la socialisation dos Moyens deproduction. C'est somont néoe.aire.Mais ce n'est pas suffisant. Si faut,l'occasion de toute proposition da loi,surtout de celle du budget, étudier, dansleurs détails, tous les rouages du régi-me qui nous écrase, démontrer, chif-fres' -et faits en mains, toute l'hypocri-sie réformatrice des partis au pouvoir.li faut dénoncer sans pitié tous lesscandales du régime, établir au grandjour ses misères et sen turpitudes enles ramenant à la courue initiain: Pex-ploitation capitaliste.

Il font aussi ert bien garder de toliteiutrigue de couloirs, pour ou mime cen-tre un ministère. C'est le meilleurmoyen dener nm fortes et de les oom-promettre.

Surtout n'oublions pas que notre rC-1 ' hum ' de

rréclUOlibie an riens elremt, -ous no.ruas pas charge d'ému du régime ca-pitaliste. Nous no sommes pas les sau-veurs des partis bourgeois même' lesplus avancés, mais leu. destructeurs.

Nous sommes une minorité. Notre ac-tion et nu.i notre responsabilité sontlimitées it la Chambre même. Silais ellespeuvent et doivent are très grandes audehors. Profitons de notre situation pri-vilégiée h la Chambre pour multipliernotre action duria te pays, augmenter àl'infini la portée de nris organisations,de notre propagande. Que notre voixporte boutai

Et les réformes immédis tes? Voulez-vous mettre à répreuie la sincérité ré-formatrice des radicaux socialisants?Alors vous n'avez qu'une chose ?aire.Proposez-leur, par exemple, la suppre -sion du Sénat, celte nécropole de toutesréfor niernes celles qui paraissentpossibles en régime bourgeo a AutreChose, réclamez la journée de 8 hem..Et vous verrez! On vous donnera de bongré la EL P. Elle ne coûte rien. Mais lesréformes qui 3 diminuent » le pouvoirpolitique ou économique des classesdominantes, jaMais.

Vous aurez ainsi fait la preuve queif le but final ii du socialisme ,est tout,et le replâtrage social rien ou peu s'enfaut.

Ch. FtAPPOPORT.

Nous publierOns demain un article denotre collaborateur Lucien DESLINIE-RER

E0

Itgenda27 Moi

On a pu voir da. 710s dépêches d'hierla nouvelle aventure de la brigade mo-bile.

Un brave bougre de petit propriétairedes environs de Toulouse a une petiteca,npagne dans l'Aude. Il y va une foispar mois, je crois et, chaque foie, en rap-porte deins sa poche une petite topetted'eau-de-vie de fabrication.

Quelle ne fut pas la stup.r de ces bra-ve homme lorsque hier malin toute unebrigade mobile fil irruption dans son ap-partement et se mil en devais de fouillerconsciencieusement toutes les pièces.

Troublé dans la quiétude matinale deson home il s'étonna, s'enquit, puis s'in-digna il y avait cruill.rs de quoi.

Dénoncé par une lettre anonyme com-me se livrant d la contrebande de l'alcool,il était t'objet de perquistlions ;g dut serésigner il lui fallut méme avouer soncrime. Et on trou., en effet, quelquescentilitres d'eau-de-Mo dans une tus..

Procés-verbal I_ coût une amende de40 francs sans compter les frais etnui.

Le contrdle local des C. I. ignorait cetteopératien judiciaire faite à son inca surta seule signature d'un juge de paie.

Et voila comment on en usé à l'égarddu contribuable en tan XL, de la IIP Ré-publique, laquelle a inscrit d son frontis-pice eadmireble Irisasse r Liberté, Ego'bilé, Fraternité.

'CINQ CENTIMES

Loranlrmbauihel quel gros mot pouequelques centilitres d'eau-de-vie que nousaurez rapportés de la campagne pour vo-tre con.mrnation personnelle. El deux

b

mende pour On? Je voudrais bienses e«oir si le déplacement des insoect.rsjeta brigade mobile elles vaeations n'ontpas, en l'occurenec, coûté plus cher quecela.

De ce temps, quelque gros industrie/condamné si la requéle de In Régie d unedizaine de mille francs, d'amende, s'en ti-rera en transigeant avec dim

Liberté I Egalité I FraternitéJEAY-JACQUES.

PETITS FEUILLETS

STATISTIOUES'Les politicie. ont .sayésele .dédtiire-re

résultats .électoraux d'avril et mai l'opinionOn la nouvelle Chambre sur les principaloaréformes économiques., ,politiques ou socia-l.. Mais abaque parti a de son côté tire lacouverture av. tant de passion et de forreque, les uns voulant voir... rouge, les au-to.... blanc., personne n'a rim vu... que dublem MD, à nu, on na pu voir la Chambre.

Devant financeas ale ces ro...es, lesmathématiciens, liera de leUrs PmPheRNm'In queue de la comète, ont acoomu au se-cours des politiciens. Naturellement, cous latroublante cohus des chiffrés, lenigine s'estcompliquée. Dans le programme de chaqueélu ils 01, soigneusement déconné chaquearticle do foi, puis, étiqueté sur chaque par-tie le nombre de 'voix obtenues, classé paranalogie, en catégories distinctes, les résul-tats de cette chirurgie de PaPeresseas retins, et enfin additionné les chiffres, di-vers. Par leur bombe, M Statistique a parlé.Briand a publié l'oracle. Personne n'y a riencompris.

Id aussi les Partis interviennent et ti-raillent les chiffres, au grand désespoir desmathématieiens.

La. Rappel s veui que te paya a05011 pro-ue. pour le projet Cailla. euz la etotre_

ggieti4, .44 ielenreigea»Veerea'ears ta.Ca fon la majorité.

Pardon, répond le « Temps ceux qui leveul.l avec résorvoa la désapprouventdonc lo paye ne veut pas de l'impét

Et sur chaque Manula il est des di.us-siens pareig.. La eatistique pmme ce queion veut qu'elle prouve.

Lm préfets d'ailleurs, accoutumes à lafraude. ne ren,its pas d'abord sophistiquéeau gré des désirs ministériels pour Mirecroire b de bonnes élections dans leurs dé-partements respectifs ? De plue en plus, paie-

!, ou cous-préfets sont. 'de arond' élec-teurs officiels. Ils. font e les électrum. Etdo leusa preuves d'attachement à la Répu-blique, c esl-e-dire au gouvernement, laprincipale est une «bonne élection,» c'est-bedire une élection qui donnera au gouver-nement un suffrage Imerable oz approuverale premier article de toute déclaration mi-nistérielle, article toujuure sous-entendu,mais quand mémo essentiel Conservationdes portefeuilles.

Aussi lei Préfet., nui syre lusd'eaux pratiquent ta mutuelle de la mendi-cité l Mendicité des voix par I. préfets etmendicité des fonctions une 1oi oiselés, éti-que:1/4P gouvernemental c'est-a-dire « ra-dical le candidat bou2geuis « quel qu'ilnui-', qui aura le plus de chances de suce.et qui. on melne temps, aura l'échine soupleet facile l'obéissance. Le candidat du pré-fet étant vietorieux, il cers le Pmeaeeedu gouvernement puisqu'ii en a l'étiquette.De sorte que les proplieti,e de la statistiquena sont que le redet des désire ministériels.M. Briand et I. préfets ont, tell. 1m vie/.les nues dans tee veillées ehis'ar, « fait par-ler la table ». EL la table a frappe les coupsqu'on lui dictait.

Car, dam un même .programme en tant dephrases, d'idées, de Montes.. s'dPnileDé?sont au point de s'effeuiller, l'éleeteur peutvouloir telle reforma sans approuver celled'oecélé. Partisan de la R. P. il peut être,nomme tant de réactionnair., adversaire del'impôt et relu peut étre relu dec réforma-teurs du scrutin sans être celui des parti-sans du projet Caillaux. Comment les préfetsont-Os pu faire la part des opinions divers.exprimées sur le nom dm merle candidat?Que prouve donc la statistique ? Gemmentdira-t-elle que les milliers de budgétiveres,

vuOépounlurlboeinanenlaieeaiaecseul désir e'mt, pour les uns, l'avancement.pour les autree le bureau de tabm un la inc.tin de coins.

La Statistique des mimons ne prouve rien.Seule unporte celle d. élections. Or le mi-nistère a déclaré que de l'urne est sorti unemajorité de ,députés, 61sc avec un program-me radical. Done la Chmelare sera radicale,et M. Bri.d n'avait pas besoin de co.ulterl'oracle et d'établir des statistiques.

Ou le parti radical,en effet a une doctrineno na programme définis, ou il nus a pas

Si oui, M. Briand doit mi:maitre cette doc-trine. h MM et peut appliquer ce program-me puisque c'est relui de la majorité.

Sinon, II doit déclarer la faillite d'un partimi n'existe pas et qm ne se laisse guidonque par t'arbitraire des statistiques et leshasards de l'inconnu.

En pratiquant le jeu de Permis, 31. Br."h livre au pays ses inquiétudes et montréla clarté du jour 10 pnlitique de la nouvelleChambre l politique d'insouciance, dincohé.renne et d'équilibre ministériel.

JEAN et FACQuEs.

Erratum -

Dans notre attige d'hier consaerédiscussion des idées de M.Couille ,Sabatierune très regrettable erreur typomepbique

PROLETARIAT

CorrêAe - Cantal - - IsormeicinGimmmrsese - Lande. - llimsteeso.eymessMies - Eases-Pyt-AaaAaIorA-sante-Tarn Goes -1Cateaseen-Gaaronnon - "aute-Graroilaxo Toulouse

s'est glissée. On nous a fait di. « la popu-louse opulence de sa barbe- «. Nous avensécrit « populaire o. Nous nasa empre-ssormd'autant mieux b faire cette néceseere rec-tification qu'il n'a jamais Mb dans notrepensée d'être désobligeant à l'égard de al.Camille Sabatmr.- J. et d.

Nos Nouveaux Elus

GUSTAVE nuBLEDDéptaê de tif . egeoneMpma de Lim

Quoique figé de an ms seulement, le nouveaudemie sis seeme de Line, G.teve nabied,est del un. vieux militant des orgmisatio.eiere et socialiste . sord.

Né en plein contre textile dr Flers-Bourg,dtvet, des rage de 5 ans, entrer n gusine. nous

malsaine des grands tissages de sonpays s'écouta belelescence et la ienness de cet

S5l.ss5tfnp5ea ce"reigique messire.

gante/unie,te, Mme... Pavions ace par erreur

-01 c'est en celte quaio qoil adhérait, aga de16 ms d peine, au syneee textile de Roubaix.Quelques amé. plm tard, il completni son de-voir de travailleur conscient en adhérant 0 la

Celreere'ePra'r?trt s' s i2Uiitre cpietl2t'eInfatigable,

gest d lui questi due, dms une large

dzL'zrezvre:.,0,L= 1001:présentant.

Cet. dr.nseription de Lille comprendune partie de centres industrie. deGroix et de wasquebal et d'autre Pen. tramecommunes rurales.

Fondateur de la section du ii .t con-seiller municipal depes 12M, et Kern.' Mie.depuis ISUS, Diable eait eu conseiller "Iton-sg.emesit du canton ouest. de Roubaix -en moi.Aux Menions legistaloes précédentes, en ie.,ore,: a quelques centeues voix derierscandidat radical, il assurait .n succes au dm-mémo tour p. son désistement.

Cette année, les travailleurs de la circonscrit,-L'os n'ont ptus voulu - suivant une formulepavent mal inPrpretee - . s personne inter.pesée ni den parti...air, rei-poismagOu-criers, c'est pour leur Tasse gleeteme qui. ontvidé en la personne du Pym .maradc qui lesreprésentera Merlins:int et dont yeomen remfeec mn te groupe sens.. de la Chambre;Rê...prolétarien. se. mer am sombres bo,egte. carnets, 'moderne renferme seS

attétésIrr.',earres re.mmmErmr,r

dente. coupe de pmeeau ses',eru'nee 2111""i int"

Mlle Grodno (fair contraria). - Tiens, vousvoila vous, déjà ?

AL nus., - Comment déjà I Tu niesiiifionzess heureuse de me revoir ? In lei-

SOtte Croc.. - Pas dom attention, ara.°bals. tu me décoiffes-. Mais si, je suis ravisde te ..voir... Seulement on n'arrive pas chezles gens sera avertir comme ça,. Justement jeMile en Mlle- avrc mon cousin Robert, tusais inen 515 tes al parlé souvent..

cIlla grOMA. - Mou cousin Robe?, voyonsRobert de Melun ?

M. Parier, s.doiteieux). - seppelati Ge.lace

Mile CLocio. eue .1a, tu yroe: de.11

la réaction et la révolution ? C'est bien, .0M. rellgrall (Se lesant tomber Oavsuu

fau.i1). - (tuf I na Mame pas. Ois êtê dur,va. m'ai dépensai° louble'de oe que Je suppo-sais, Den toutes les auberge, de l'amendese-ment l'ai payé à boise pendant 15 Muni. Jamesle. éheelensi tiav

sailliitient eu si soif.- Clic comble

0150ritlitoi

phaa".1".;ay'a.ré ve0a'r"tin8de bière. Je ne comprends plm rien li 15politique.

Mlle 121.012.0. - Mon pauvre cbou. Enfin tues 41e, c'est l'e.eallel. Tu vas couver te re-taper.- Cela en avons besoin, lu sais J'ai mitas de notes, là, en muffranee ma couturière,bi propriétaire, le parfumeur.- (elle lesfourre dam sa poche) tu passeras les payer,fus r

M. PRUNEAU dom, enthomelasme/ - Neinrellemert.. (I/ los pareourt). C'est .eirrayantcontme Mut effluente ! Et moi qui ai promisaux él.teurs de ramener l'indemnité perle.mentaire à 900e francs. -

Mlle Cb... - Hein ? Fais p. cette Ida-fey'' er:Le, eig 4," au

M. Paumera, - ceidemment afee tafera crier.Mlle Cucu, - ES-Iu bête ? 'fu feras dé-

corer ceux gui gueulemnt le Mus, ils se tien-dront tranquille, Et ça ne te Coétera gen.

M. PRITeilli (solennel). - Clodo, tu seraisMgne de siéger sur les bancs du gouverne-ment...

Crocro 0.P/et - Socles genoux, tuveux dire....

PAULO.

anaA LA CEA._ RE

AVENT LA PREMIERE SEANCE

LE BUREAU D'AGEParis, 2.6 mai.

C'est mercredi prochain on le sait, que lanouvelle Chambre tiendra . Menlidira séafee.i.e fauteuil présidentiel sera occupé par M.Louis Passy, doyen d'âgé. A ono entes prendrontOsés, en quelle de secrétaires, les ex plusfaunes élus, Ce sont, Pas 2.aeng,

Ooecneooelriaaa.éloImee005. .r:

conscription de Mayenne: Evey. ssdienl, élula première ercorisiert,ple. Luilalsal

.2 F. ca'ultd"deearror air e"..;,. étai-ses lPas.srlolieseMent aluool, Maitre, radieal gela-Die, élu dans l'arrondissement tels Palisse. etPolten-lluides..., conservateur, Mn dans lahuitième circonscription dtrigenPine.

Cen ex kmn secrétaires, dont le pl. âgéeneure trente ans. sont bus de noie

'eux damnes élus eux scrutins des en anal8 mal derniers.

LA PRESIDENCE DE LA CHAIMERE

Paris 00 mal.On disait tous ces jours, quo M. Eosob000t

.rait candidat à la preeigenes de la Chambrecoutre M. Henri Erie.au, le bruit mt aujougdihul démenti, dans les termm suivants, parunMlime « dc ?d.u000

ii 'Vous pouvec démentir la nouvelle de la.ndidature de M. D.o.ba.l. La venté estqu'on effet un certain nombre de nouveauxelm avalent songé à taire sur le nom de M.D.chanie une m.ifestabon purement propor-tionnelle, mais enlolmi s'ait parfaitementrendu compte que sa candidature, opp.cecelle de M. Heme Brisson, aurait un caractèrenettement politesse. t

Or ce caractère am sa.ait convenir b M.Deetamel dmt la candidature risquerait dejeter la diassion navre les républicains Cetteseule .nseleratIon euldrait à dicter sa dé-termination. Ciao sera pas candidat.

LE GROUPE RADICAL SOCIALISTEPans, 26 me.

Mob Berteaux. manier et liel.se rconvoquent

lyr,t,,e,rLdZseePel,"b 'local du sixième. Mime, à Penni d'examinerlm questions mn se posent au &Dna de laIceislabon.

lies nouv.ux élus sol delvmt Glose,cn augroupe sont priés d'écrire sous enveloppe âdea Mole députes eugnommés.

DANS LA "PUBLIQUE ARGENTINE

Lo Contonairo g8 1181188808008COLOREZ P" L" AlInSMOA/LEuRs

00 1151e argentIn au biven sue.. interretiTcommunique un esTblogrumme que

ee recevoir du citoyen. ?Ami° Bravo, se-icreleire du Parti et mit est expédié de Mordelii-0e0 100001510 eIsa, démontre bien que lares.sure fonetionse autours a euenos.Ayres. Il prieies Jour...Manges e1 sravantgarde de don-ner la Mos grmde punitalté à xc câblogramme.onn de déjouer Ps calculs. gouverenement

qe;rouromornent, qui .t aussi odieux queétui du Som. p. grotesque que oeuf des rouelets nègres Mt ceintee de l'Afrique,. a, en etre, laprétention de eassob_aux poux das Européenspour tin goiDernen,ent libéral et républicain.

pous cela quia cache si soigneusement ln:monstrueux abus de neuve, dont se rend. àtous prepos, .upable,

mais t,a,,,P.7.0..r.cialisie et libre de "monsau pilori ces tyranneaux ex.

Volet le tete du cablogramine qamt.moMevideo, 23 mal.

Mat de edge pour tern, indétemme. Jour-nal socle.le la reneurirdio dOleoil par matures.tants bourgeots prame0e corso pottee. JollenoulryildlculIsles incendiés. A l'occasion du rente.raire Or lIndépendisne, agnation patriotiquecontre les travallleura et les «rangers. Sltualbepenne, pour tous les Euretrtens. Grève généralep.sible.Mpuis janvier, dem cents ouvriers sontempri.mes. Cl faut intervention iriternationaleénergique. - M. Bangs.

la presse vrement net, tous les longaux,,qui nmt p. ltialeude de recevoir del

or. des légations .orgentlues en Europe. seferont un devoir, nous en somr.s sûrs. d'inMr-mg, te., abornieuis,, ps,m,

Graby condamné à MortParie, 26 mal

1,1 troisième audience di, conseil da guerreest ouverte à one heur, devant une sel°ogrible.

On entend le dernier tenni0 à charge, ledooteur Chavigny, mede" au Mal-de-MS.,gui a examiné les accusée alt Pole de v.mental.

Il dlt avoir rermrq.ué chez Mebel une dimi-nuhon uotable de la volonté; il estime néan-moins es sespon.Lilité .mme complète, ainsiInc celle de Cialiy.

Phbieurs itemoins viennent affiumer que Gra-by donnait des premes non equivoqum d'uncentia déséquilibre mental.

Me Henri Gérand en profite pour déposer descone/nem, il demande au conseil d'ordonnerque son client seit soutes n l'examen de troismédecin. aliénistes.

Amie une snspension d'audience dene heurele comell, qui en a délibéré, estime, par sisvoix c./ec ene qu'a ...Y a Pas lieu de faireModale dna nouvel examen mental do Graby.

,LE REQM.Srroing

bd parole 514 au conunissaire du gouverne-ment Carné pour son réquisitoire. Le com-mandant Cafffé rappelle d'Mord quelle fut l'é-motion de la Faimsa entière quand on apprit5CC las saslslioo In 52105 . .

soldate. Puis, après avoir Tait rapidement Mes-tongue de l'instruction, en Insistant sur rboremur fi, orlme, il s'attache à démontrer miearma Gouln Malt Marie suant que les assassine.sent glisser son corps par la portière_

- Les inculpas ont tué .imumenti ils vou-laient tuer. D'ailleurs, ils out, dans leur affreu-se bmogne, montré le Plus grand 2000-fraid.

Le commissere fa goilveraentent eslière gnele consed.r.endra la prémédietion avm touteaees cansétloemie.

- 0, tentera d'apitoyer 100 jues en len/parlant de 1'enfance des amusés. Mais leur en-fance a 00 celle de liement* de Dtmetis.Graby aurait pu se fere uno mente; Il araeassez d'i.truotion pour cols. Sa respomabffiléest pleine et entière. cleetmalieedeloi, maitrede sa parole, malts de tous g. actes. Gee lolqui a Né véritablement Pene de ce crime

Miebel a été élevé par un sale. un bravehomme, puis par las,' Nuis Os l'EnfanceIl aurait pu devenir un honnête ouvrier: maisil Met, comme Oraby, désireux de s'amusercl 0m

erwmolle .-secs ,,,x10,sassiner. Il est plus fruste que Creil., moinsrepomeme e intelligent quand me..

Vendredi 27 Mai 1910

pubucrreAnnonces, és page, la ligne.Récemes 4. page, la IMseTroisième Page, la DeeiTiocele 3. page, la ligne

giDeuxième Page, Id lie.PreMière page. lu ligne

.squelles se liyrent la bourgeoisie 0010 gemme«

mrrifitjr:o'i'it le monde sa;rte la teate Mem

air'raist. eer'ire=atac dtee repe'liarece del.00 10 montrent heu peu dignes.

Oie

Fort Glehrol on Aigrie

APRES TREIZ JOU.MSljejelïbg

Constantinople, 20tirailleur Mayen( qui, lett mai der-

nier, tue sa femme trallehalli la gorgeet s'était barricadé dans ea maison à Ermedddea éld enfin capturé, hier sue, apnes un edgeen Mgle qui da pas duré moins de Leine jeuM

1.1mbita1000 do M.ayouf, comp.le d'un te,de-ch...se de quabrre maires de largeur suSvingt de longue, est située au milieu d'de teeraM raft..

Les .nlecee chneune une porte donnar4sur me cour. entourée den mur de douent&niée de hauteur. Le porte de la com s'ouvrepreeque 0015M 00 1, porte de la chambre danslaquale bleyour Cie! enfume. Il eet Pau par-courir une quinzaine de mètres pour meg,ea

la porte. derrière laquelle lo forcené rets.natt artne prés à tirer par te trou fet dambois, il hauteur d'homme.

Celte disposition particulière des lieux mndel difficile l'amic de la maison, ce le fareen6 ce Misa aux aguets armé den fusadeux coupe, den mvolver et den pletolet../1avalt à sa dispoaltion de nombmtmé callon-cites.

Jour et nuit. les gendannee montèrent lagarde auteur de ta altdeue, formant d Mb.tance respertuerse, au cordon que MaYonfvainement tenté de frarene.

Le World jour du Sire, un gendarme .qulavait tenté de seeproeher essuyait cv coup d,pu do le part sle "mien tirailleur, gal pa-raissait décidé à tuer quiconque Miteraitpénétrer dans Fimmeable.

On résolut alors de prendre le for.sé no,par la famine - ear il avait ou soin de Papp.-

J1,psrog y. 1,1 refi

disposition. --Celle lactique a pleinement réussi.Avmt.ble, à la tombée de la nul, api-Se

avrlc brille de .inhre.es eartauches. l'assas-sin jets par un trou. mallqinii dam la ut:naine,son pistolet, son rsvulver. ma 10001,.p1MNye.castedux des Merles indigênee cl den Pit-e. de mes hunesMut ce-qu'll possédait. Leegendarmes, s'effila appreeliés. 1,55140e déniera

et 5s'bI se 55,50,15e si ocr 101 Selfrll O toile,Les eselégeanh jugbrent tendant de scia.

Sole: Men leur en pet, car pisu apr.. Mayouéfaisait pleuvoir sur les irendenn. et /es

ucava-

lier, qul siétatent ami-roché, ne m delotiebriques et ele moellons.

Rias .mailn. vers huit beteeib novent menssur le loaders mai.n. &ami Mné deveI.

zàfaci:1,,I,,eeriin qu'il mourait de soif rtM. M"cau chef de la Sh-

retê départementale, réponde que son déni, el-lait être satisfait Me, qu'Il devait garder lesbras on rer, sinon II, tuerait 000j de re-volver. Mayen( accepte.

Itenxeavallem, Bencheik et M.a. se 001m..

'ramené. l'autre lui rabattitIeo bous le losemins et ligota sedemenl Mavouf que les eedarm. emmenèrent.

Le prisonnier ammlail d'injures lesperse -cars présentes. Comme II ml assez grièveriellMesse par ana balle t la misse droite d cesoigme à l'Infirmerie en attendant son Diens-fert à la prison de Sena,-

L'ASSASSINAT DE Mra'' GOUIN

LES FLAIDOmins51m G,rand pur, maintenne en foreur de

005001 il demande au uenseU de donnes aGraby Or bénéfice de sa franohae phis PMéloge des conseils de guerre en général et

Os ooilu.00 en particulier.fuer da pas été interrogé le premier par le

loge d'instruction; mals, ilde g101 aidéragé. G a avoué tout de suite. El Me Détends'effeince de n'établir aucune distinction entreMichel et Crabier.

- Du crime, dit le défenseur, je lienparelerai pas, car on n'a pas pu déterminer '09.1mi le roue, 10.0e se la violence qui a en-trainé la mort Nous ne savons pais qui a tué,

ale Carme demande pour Graby lesÎOnStaer=aleurpLes; apdresii,avolti:,p,arliïn.ex

ne,' l'agent 'dealaGraLy, ions le ,sr r lad qu'II a perd elomedPondant son enfance et sa jeunesse à tous Sentqui Ions alors connu.

- Ce/a prouve, dlt le défenseur, que sa ses-ponsabeite est tris diminuée.

Me Géraud s'off.sa par fous tes moyeou dm-ergs llséjuges pour leur arracher ver.

Mi'LtpOIs comm ore eun ccal-hem Me Odeand, sam s'etarder d Meulerlouguommt l'accusation, 01 demande au canéell d'avoir MM et de ne pas fuer Wolfe.

o., K:saeo.h..-z ,e;,uier:ic:eds:crin, Le crime à. degrés Ilfent faimentreGraf, et Michel /a distinction que l'opinionpublique a déja talle

to obus Ote1,a,utsél4i,il-cce,rveairr, Michel 0gde coémpare

gor

Mêle pende de 3Ikhel arrêté a étéJ'ai été malheureux I mn 0100 Craby.lles8e oonclut . COol 00155e

pour Graby, le client 3P émeutRappelez-v.o. 0111 aux menée, dea pes de Pillé.eonseil. mal n'y a pas de jusliee là 00 II nu,

te président. - Cralay, avez-vo.quelquec.h.e ajouter pour votre défense ?Gobe- Pal musml OIS mime très grave.JiimPlore I pin,' de Mes»Pei. Pour nap..

Mia .ta'o'areecolle.":111.e" e'n. efltue bour expier l'acte qu'e --Michel dit l'on tatir

111.-Sidâ

Noire canera. Cambie, miegué du parti

p-le.e fuses fr. sa

fr. 5.55e.

en ln eu

ABONNEMENTSmois 6 mots 45f.

Rédaction et Administration a 38, Rue Roquelaine, Toulouse

:EDITIONS RUG-IONA.IMSFrance et ..... 55e. 1 405e. I 205e.

PETITES ANNONCES EN 3* PAGE leyeenees-Orieetalos - Lozère - A.vegiross

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Vendredi 27 Mai 1910

IL' VERDICT

".rczt ceerch

tous de. à---Un Paquebot

coule un submersible

27 MATELOTS BOTES .

dais. 22 mei.queMt Pm-denCalain e. 'Men le seulier entre UMM, et Doertres,.. o./

Me spres.mirti, en sortant des jeu.. a 2pesé'O 27

Deds "remorquenre . ar'é./'Ziazubre de corn.

rir de Calalo sent u la rocher.o du sen..

- e PlusEns... a construit sur les planePin Mme Laubeuf longue:1M nota est

/ eest netez; re=estuDevieDe/

t es navire Mt k premier d'une nom-Doeizse série du ineno e a et" construtà Gamisourg.

COMMENT MIT LIME Isa. COLLISION7.8 man

treee=tre-ett.r.'-"'tG,Îe'lleraa'd'u'Ddune de ses roues eVUL uti'lchoo extremnueet

reed»Met uneMirte mut amir tousehé nna bouée sutmereo mats bicaled, à Par.Dere du stzmner, suret ravant den petit Là.tintent dee Van itedennut Drs un soue-Maria

Ne vol,. Personne le nord,. am... du, ;Poode-Calais

mettre n la mer une ern-D'aramon, gui alla emlorer te sousmarin toles

te's'eagif ' retisn.:e rz;u.,"4..4 sons-martn disparaissait dans lesto.

e Pluviôse e MM parti .e demi-heureI plus tôt ...lais t il =ente, sa. enute..,

e0.00501 averies et a e ran-imer au port.

Les passage...qui sue nernbreas. poliront,,ser un entre /tapeur dms um buire.

no . s'ennemie pas set. Mangés sur unese= toujours sine., navires. -

La nouvelle, rependue m Mlle. a le. la p.deux remorque= sont

Calais...2A mai._

aum.tt où le Pluvidse » procédant à des ex-périences d'immersion, aurill -voulu passer 00.doradedu paquebot, que la ealestropev se pro-

- dais..dtal7e1r u.reevninernure,=gme:'ufee'r'gpo're de Dunkerque. immedialement inter-

aetvo3e se les hem du désastre des cou,edepil/eurs.

LE PLIPMOSEPari, M

ertlee'ete.M.;817-11'e'ire'ldSOT pont d'attache n Gales.

mrrerVefrole.lrtireuteceâilre'e-Ealètet. eommendant a renseigne kberljseund.

« ..a,nseant pre.nd qu younstere

n ". ivant âr.reer--7° '"" "e t,.<re pour toonnna.n d'une aussi beureuse nou-velle on nms répondu ent an nven pas con.u.sance dna lel telegraremo.

LEGRAMMES ET CORMIIMOOES OFFICIELSParle, 2A

Ln adrIstre de la marine 4.0010 les déPZebesansoores., e Ca/ais; o h. RI

à Le sottement Putv.se ast stiPPoséMe Morde eu plongée par le namimot vas-dacalats s:il em immergé par un femd de deux

"-e/./"'0".

':1.,0100s10 Conçue poo.de.tiuIols.. acTe,

enuesserin.t Dna,. 1h. 30.

...pont à deux millas eurd.omst du port que- ePMviMe a coulé, par un fond de de-SeD

- radées Ds resen-Mrs de napb. Paraissest ore.etel ou a de grandes <mimez sur le sort desviret.rinq tommes dO iCoei les recherches

mange mt été etunanumées Mmedintouant. par ponts et Ma.Mes de la mar:, '

'ne, Ministère dt la marne cfnliltii'qu'eir'note

, Plot 000effeetuant les eserrires ha--

lebels an large de Cala.. a été More à uneho= cequantedrois. à deux milles dans le

rdloded02.p0'000150teaot Prado.

le er, sous-mar. munit disparu

t<s1.1[. -Mo-"*-1.<Sen de talai, au pr.t mari., Cierbourget ne conimandmt supérieur à leakere,ç.nor

'n'ete:tZnne'rrirtf,Z r,rz Tuo',u,, céder . relirtement du sousmarin.

ministre part ce soir pour se rendre sur

no MINDITRUmmeceont LES LIEDE.

Pare tuai

0nezniral

none Lame.. et th Cl/Mmtepare.

<dierrent. ""- o "

Iourse Quotidien Socieliste. - Cinq Centinted

Directeur r Jean JAUPIES

'ILLETON DU 07 MAI 1010

ta ileum des FemmesPar Alexandre DUMAS

MUON DE LARTIGUES

- jalbuSe ! disait Gimone, jalon. !

Oh ! des ce mommt, je communes MM,000, Cdi, elle veut s'assurer 50010 10 l'aime

'Ismer pour lui sacrifier tout autre amour t

C'est une épreuve !De cc edté, n.danm de Cambeo se da

Dna t- Je suispour M. de C..11. pue dis-

traction d'esprit ; il m'a reneontiMe surnon chemin au moment sans doute où ildtdit Mroé de quitter la Guyenne, et il

t euivie comme le voyageur suit udfer follet ; mais son coeur est resté danseette petite maison entourée d'arbres où

ae rendait le sou' ou do roz rencontre..t done impossahle 50010 e g'de porc

de mai un homme qui en amie une an-De, et que j'aurais, st je Le voyais pi.

la faibles50 d'aimer peirt-étre.n . Ce coma. non seulement trahir men

mais encore trahir les mimetee madame la Princesse, que d'étau assez

pour aimer l'agent de "en parséce-.'-lon

Aussi, s'écria-1.11e tout in mup, rdpon-Ed.t. à sa propre peinée

- Oh ! min. non, il f.t que vous paNaies, monsieur ; parlez, on le l'ét,

Le Chahut à la FacultéN. BRIARD

Pes, 22 ra

tu105stops hm se> use delegeen ele'r0gdeMmle des "Md.. renne at murrentre.. dos nui se m orage.,à le Intrant ..decles.

Les allée. de nernemde la on Mos. m.man/restante

ares préts fane la pol. Ité m pi., et 4 /napée/ter noue:Me%

leu projeotirt contre les :ambres .jury.

M. Dow," u senomotità lee dfclaialiena qu'ilavad tlanets p.reetemmentill e moere Pozems,sibilité pour gouvernement d, fo.. des-dé-

qm se sont orodutts

Pd-/eues 'Ïemiatteeïtérvetereggiterier'

00IMAZIRATM11 IDE MANI2ESTANTSParis, 2.2

Its frets manifestants mue. au murs doD bagarre du ni mai. à la nottn1 de medevino1%. ,,-,,,e=crts-mei devant la ne MamE

Le deo.. Lem..., candide à. Pagneatin,est -condamné à NO Peace d'amendu e aux

005.4..ettc. employé de commerce. à quit.Emre . preon, avm saris, et m Lm. d,nl'nt. 02. Porche, étudiant en méded.,'rad mmgerles mente, einejeurs vet. aven sam., et

trams emnsade.LU CORMURS

upx;I:_e.r.= tu' ct000i,.o lit 10000020rtl u'poéh. au Made au sort ...et pasumr le concoursdans l'ordre merl par ee tirage.

Les trois rePdidate .qul devient se me..et apremendi pour mner m Ires eastat bre

Dumont 0050001 =mea 1 Dellred (1.1er, tru,mem a et Lemierre /1010551 OUM.

011 mit ol leo earedets, ames sire neiges lier mol.: trais heures cur dlyelier lauuesnr,qm car est échue per. Bragg ou sort,e rendre an MI. mea... pourtraiter celle ques.n pabbc ..nnt le Earp.

M. !Menant qui deran entrer en lora a deuxheure, azetant cas race. 1. a deux noie."made. est enosiderd mage Netait MINmimer.

Ditinar, qui était arrivê sur ees entrefaite0erdie en to. dans une des salle. des dai.s a

nem. truiséquarts.Leraterreernee peu de temps saros

tes 7n bures m demie. «1.

ses Peur mune/Ler tounetie/eau'eva'' etta'thetaire gneente let emMents-paUerodi

,etton7i

e'de, Wein. %Md Candida. se

d'llflamirs'etere. j's'ee

La Sur Candide77--

L'EXAMEN DEC COMPTESParis. Di mal.

Les Mem", Margés par le juge dindons,bot de déterminer l'actif el le passif de coeurCandida ont anerti le magistrat que /examend. rompt. mimait ploie,. mois.

A L'INSTRUCTIONParis,

M. Hubert du Puy a en1endu aujourd'huiII (materné !eue de Com/3'. ?d. Male et 31.G los 05 rg.

Voulue part, ennonoms que los =alisiersde scour Candide e. saut 02100 211 consuMunt

1.7cl'bise'"diertPer-PifaCxonZtl'hi=Pari:et so préonoupeat d'amener I.SfrSern en cmsmeneant per dégager 1. hiimxMem. engages à a/Medred.

PalidINTERPELLATION CECCALDI

On annuler, au eujet de l'affaire d'Orm.son,une interpella.. de If. Ceeraliti, député derallier. ma déjà. Intervint à la aribme Deursignal, les abus de certaines Ioteries et 10.ageminents de mitaidto spituladrum.

oeil«LA CAST/LLARDE venue

riiSit à Orleansque sera extute Lereche

Drieu, 2.2On, attend ici et non a Gien. comme on rayait

d'abord euomme. Peadention de SvIrain Lam-Ste, le criminel de Giallo., qat boldas000l.hre dernier, Ma dao, Ire lame., circons-tances que Ion sait, la hile de OIS arniene pa-trons. /a tonne Marie ellon, âgée do bri» an,.

Condamne à mort le 27 janvier, 1100 done.imanteté â la frison ilDrlémis, demie quatremots eéjà, dans l'attente du sort en lui e,tré,erv é.

L exPeuiten aura lie, 1,11 loti

Chez les ImmortelsPari

sn'itlesteteOl'c'311.'legrin' Massonreete. m exercice, 21000 double t'actingtrrt=eentereir

dc Beamegard.Par se. de ces deur drti ce de ...Mi

vemorte VegOS et d, 3E. Berems. le sombreMs ...Mem Loure minelloment redut{

Lient absent, MM. Henri Housse,. et Ou,.in ?AUllOi, 4111511, do I sroatoais 101' 00.0,-tait

- Vous oubliez, madame, dit Camelles,qm j ai tertre pore. Me ne peint partir.ns Over averti ee Terre &part.

- Eh bien, mons..., je soliS vvullaque je quitte Chentil/y dl 11501101 terne.

- Et 1000 cre3eu que je le permet-trai, dit Calvilles.

- Comment s'écria la viro01lee2e,mus nie mti.dries de fonce 2

Madame, je ne.. pus ce que laferai mais ne que 30 2015, est qu'il m'estimpossible de vous quitter

Akma je suis rote prisonnière ?- Vous étee une femme que j'ai déjà

perdue de. dort, ri qim je ne veuu pas'perdre nue troisième,

- Violence, eters t- Oui, madame, violence, répmdit Ca

noltes, si c'est le seul mayen de musBander.

! rhteris inadame de Gambes.qu.elle félicite, en effet, de garder unefemme qui Dlenil, qui appel. /a liberté,qui ne nms aime pas, qui nous détoste

Canolles tressaillit et essaya de dénié-Ter rapidement ce qu'il y avait dans laparole et ce qu'il y avait dans la pensée.

I/ rompant 50001e moment était venu dejouer le Mut pour le tout.

- Madame, dit-il, 1o.n mois que ved.venez de prounner, avec cul dételai tivrai, qu'il n'y a point à s'abuser sur leurssigunDration, ont reIsolu "pets Men in-certitudes. Anius DemisoNnte, vous escla-ve ? moi retenir une fentme qui ne m'ai-me pds, qui rue déteste ? N., madame,non, yuyes tr.quille, il n'en sera pasMuni. J'avais cru, d'après 1000011000 quejepeouvaie à VOUE voir, 50110 0001 sauner-teniez 11111 présence ; esPéeé, olonsavoir perdu considération; repos de cens-

LeIIIIIbI

OC 107 eeCs seto dasseezdeien, enDa 00, Ie.-

vt iseston du mem..oe da nandInolee dao Ton émanées". ;5e 00eO

.,///=/. , rdldetin

HaZdrInart m à

do machin CI:e«ede Nainagivâ. ma sate a-amui demi ma à sege mars . sono.

p'"uchea.ne'ettl'""«16'0gedeb1.7aei. e's't.Ogd';e,;1'r1,t-

oPt'rOa;:niCIr"'â1l'Îyz;R'/'-r!'Id11dDdart.' ""'"

lui eu veut des para, Dtn1 a Mme.'ele ihe X.

-Pie X, ertuitIl, est un pane IM

tosse

m Saint-Tsar..

LA 7TTE DE CLASSE

hes Crèves clans le Midi

ESPÉRAZAGrève des Chapeliers

sofa

H ir 25 mai, à 10 h. 20, trois renés...si de

d. de sen =mena elenat

''.1.eetet. " Pesse;eur Pei:menerde leur plan:arta., ces tre, indlrtdus /eur

D..1 des pmentes séné." troutes le plate deces Ir. Ordelfe voua pouvez être sûr D.C.mol: vde tait de -verbaliser. vava.: par

Osanr500 57150,

compte rendu du enement Misse t'eau. P.le Jen de nain de Lentim,,ed s:a. pas zreint

georTee.'esend eZétaimt pas du tout % Juntreven/i.. Tes-

Mot le 150 Ir '"fônt. Unit et verIrtAULOsleO 0.5105

eue. ises

2e1Vue;%.:7easIrt nutoic 010 mou 0mominium Imposé...am sachez. inmsrtes les au-

c.."-2.-teeLew.".-eter.-.cgere:qu'use Mo.. Post Io pouvoc.

meen-0042r,mes...manu. qu'un am/ droiM celui

elleu2u.tpire.

hien. nous verrons plus tard si ces lemvaille= qui mut traqués let eunprlsomes sarmae. rien Mt gui °Mimer /Mer. de citoyen pl.Id rte, sauront 5030e net... le laug en Reemprisonne et le jour le prolMartat evma.Ved,ellr de tomes los i.11.5400e0 et iniquités,fera tete vase 00 10000 colle 00100 151 nous oppluie an lieu de men respecter.

a03IVEE DU SECRETAIRE PEREAkilNone camarade Boau est parmi no,,, demio te

edde. 11 sem. se retremper au atthee de .scamare00. 5051 lutteet demie Muet amis sues

magne toutes Its privalims que reeest o.eit de s'imposer. 1.1 so rendra cump. queden= son départ pour Parts l'ardeur d. earna-redreau ,que aida.

Pomueil et. le mauvais voMair du pa.Pose IPS grevistes ont conservé leur digniteleur .remseimee n'est pas troublée, ayant1.1.07tOr de totitm qu'Usent de phis cher. Les...es eneents ertode eonlinz,

11..te 'élea'rd'ett...Iteleraree ee./tant de

>.vigueur,. rendra oompte Que nielle-

r..dasso o.gant_ é.vr/Ore ne marchandaM nas auralire llêro 1100 11000 d, Pendurmce de ce. phas

eno. 40005000 notre courrieruneurc'uo7on' generale mi avoir lieu à 11 none nu-MolMte.

Demain ne. Munism te munie rendu deune réunion

tee..A MERY-01215-01S£

Chez 1es CarriersARRIVIDE DE TROUPE

Mery-surN0i., 26 nui.La nuit a élé calma On simule cependant

onze els telearaeiques coupés entre MMYra kleseencouri Le préfet et le m.-préfetmrtt sur los lieux.

Les epledques incidents qui so sont pro-duits hier on1 donne pratexte d t'envoi dede. ennuie.. d'infanterie et deux ...-d...on., de emra.iers à :dere Cei Son0 arri-vée cotte nuit.

Merystur-fine, 20 assi.11. :Mutineo:l, aredet do -.Mo-et-One, a ou

cc mutin, it 7 hemra et demie une suitsavuedie. IPS paVene Nin d'essayer d'arriveruse entame Lez pahaOl 110 005 1411 01 avecintransateame mse les ouvr ars demientMai reprendro le tramai qu'ils Meute-raimt mutine avec tur eramineraientleurs demandes avec la plus grande' bien-

vei1:llantes.yak Ilseure 00100.12, 010 casabera, tell

Mutat/eine di hhe et Hee de igue et 100 gen-darnas et ce 11 est pas fini.

I,e mem a eu a dix heures, à la mairie,pudemseria et M. Vidal commiii.ire spé-cial; il a ensuite Sei/ repartir les troupessur différents Pen. Les Pres de Merv,d-Ey-arrhes, de Merici et d'Auvres ont reçu

Men., avenir, honneur peut-etre, quemus me dédommageriez. 1.11E, de cc sa-crifice. par le &te de q.lques heu,. quesalis doute. je ne retrouverai'l'oral criacela é/ait possible, di VOUS 111 zeme-Sien aimé.- Ei je mm eusse été indiffé-rent mère. ; car mus êtes lame, id vousmissiez fait par pitié ce queue autre Mtfait par anone Mais ea n'est plus à del'indiffénence que j ai affaire, cest h deda haine r dés 00e, a'nq ante Manse ;

vous avez raison. Pareonnez-moi saule-ment madame, de n'avoir pas comprisque l'on pouvait être Lai lartique l'en ai-mait éperdument. C'est à vous de easterreine, mettresse et libre dans ce châle.comme partout ; c'est in moi de me reti-rer, et je me retire. Da. dià .minetes,vol. aurez reconquis Mute liberté. Adieu,1113511130, adieU pour toujours !

dit Dalioliec, avec lm désordre qui, defeint qu'il ébsit et commencement, étaitdevenu Met ei douloure. aveu la fin dela période,, salua madame de Combes,tomne sUr lui-menue, cherchant In portequ'il ne -trouvait p., et Mordant le mot« Adieu 1... adim 1... n au. us .o.tsi profondément senti que, parti du eccei/ allait au cur. Les vraies afflictionsont lem Trie, comme le. teMplies.

Medan. de Gambesene inflendait" pusà mite obei.anm de Candles 1011e avaitdtmasst des forces paie une lutte nonpour une victoire, et, a son tuer, elle futboulevenée par tant de résignation me-lée à tant d'amour el s cents. le jeunehomme avait déjà fait deux pat vers laporte en étendant les brus à l'aventureet avec une sorte de sanglot il sentit

n Veen une main qui se posait surson épaule over la pression la plus signi-

des diestellemenh. La VanquElite est coma

PieAutrand s'est également ouridu ce matinà Thrlpital pour visiter la gendarme Pujolen a été Mess. hier,au ma. de la bagarreq'o&eutpoduilel à garen Le biriaitottalité, mais son 00011 o Inmmnn e v.ou de dua-

le plx.4e1 011 001 la mémo sollicitude loraindel s'agit de grévistes -blesses.

11.Antrand a décalé que la cieuialion destrains de pierres serait mite. .à da. heu-re.

Ive, entrer/regel/nt vernelltent Dors fairepartir un trenahaeg6 de pion... Ln. aou-be de ,gterietes aise marée dam 11g ped1bnis a deux cents métres du boit. le. gré-vistes -attendaient le 12e0ege du Daia Lepréfet, imtruit do la manoeuvre, a fait per-ler la train par me aules voie colla :deValmondois. Les évisics ont alors rejoint-leurs camarades à la réunion aux mis de«Vivo le

Dans la réanien qunis ent lertue lem grd-istes ent adopte Perdre du jour suivant

onomers, Mares asiate ...du lesdSlégtlém reçus ce matin t.r le me...-me. qu'il Dy a pas lieu de eepreadre letraiail ayant qua les patrons =nt donnéder garantira subira.« Po. "Pr " ".-pihteS satisfactions soient données à leursminiers ; lb, muscate,t ememint à re-prendre le trava.t chou o, c.ntrepremar quia déjà emereati à encager des pourparlers. e

tIet ordre du jour u été ménOnleiqUepréfet, qui. doit Pondre Pegu...2 a. mfrons---VIE OUVRIERE

GESTE DES ARDOISIERSMass. "Gerrie.. nal.

Lu 01 Oo.r, amen IMM. de Imita Maint,de .neiliation entre paIrons et ouvriers 01'00000, ers derniers, au nombre de 400, de-anitiumit la eV.

11ereredi. 10 chômage fut complet. Lcalnès les esteras an leer maiszado Maysomrade, le elegem de lésbeulemeat,as nombre de plIns de cinq cents, se sent ter-.lesin an cariéns. out muai.to à lieurs lesvers de À dik. in meeting eu lieu el laDance in/Nique oh la cite?. Boude de laBourse du travail de Sels t, a pris la parole.

la continuaiait de la gave a été votée parMus les mets..

LA CHEIrE DES SEREIGUERSParia ed mai

La grève des sruuriem prmd de fox.-COL!.; 0 classé am reuards Deommmdeear le eomité 00 gréer, qui siège ro perma-

mnee. s'effeetue avec énergie.A Brest. Ottochantier de einetruolinn

de M. Sellier. eirtreareumr Or n.yomeile,mi. à Lindos par le Nen.. ouvrier, un mure beignes a ois aJlatlU dons la

oie Ille.

INFORMATIONSAis Caserne

Ion nouveau règlent., de sereine intérieurre1s, 2B mai.

Le neuve. Vehme, MU le milice inté-rim. Envalira prochainement Il se Eleale partrois mues-allons m'entelles

la Mais. do la meute concède ms ur-ge.. le droit d'émire ; ils peinent som leurseule mspoembilild et sans aumne autarisa-hou epeciale film patelin Mit. 1oo opinime

jamml,Mile easprirbert

MI fl doEmecM'effuf--terra ps,". d's se-rs 17=, a_ferent'. Exccalina'reCteiti'eier maniem

1os bastides du service, dans eeeas, les de min prieront prcireire lesremis par cor, +ling la Temare anNonue.

IL. modems ne .sont pha, prononcées doe

Miels subalemms proposent /a punition; le'C po n .0 pendant. Voie mudnen

arop.0 est Immédietememt mindere.

11.Milierand réduit le prix da téléplioseDate, 2e, mai.

trame re jour, lm ebmiés au irliplumdouar.. à pilas d'au kilomètre du bureauétaient tenus de mutnibuer eux frais 4- êtablis--seulent de leur ligne persomelle, sur le tauxde Nal fr. pur blet.. pour la partie excé-da. le premier kilométra

Parme décret O oésoucel,Iafiom1000'onad «fie-id, O, -Millerand, melliflue dao tra-vaux puer,. a dieu que 1Ve abonnée domi-cilies à moioe de deux kitenneres da bureauseraient exonéré, ..ae toute ebarge de colle na-ture; pour ceux domicilies eu-delà de douxkibeinètres, la &erg° aCtuebe sera fêla. de201 Danre..

Commerce dez vie et Juifs douaniersPain, 20 ma1.

Avec les, 0' 1,1011*, loin sur la répretelon desfraude: a curai. peur lens I. pays,des tadfs lorIots. atm dé rentre pluu fa-eile de commente et 1. Ira& d, vine

Le femme permanent du Comité iutematinte/dol vi.. tenu lier une imperlaue reuninnannuelle au siège snr./. M. rue d'Argua Ingoind nombre do vitleitheurs et de parlemen-taires esistaient s efete "tance, prertidéo perM. James Hemme, député. pour la Charente,et II. Chaumet, pour le Beddelais.

Le prisaient a fait rannaltreproduite à IN-ranger par le mite da nouveautarif douillet.

ficative ; ou ne le louchait pas teulemcni,Oit l'arrêtait.

Il se retourno.Elfv étant toujours debout devant lui.

D'on bids, étendu gruriensement, louchaitencore sun épaule et Deguression de di-gnité, empreinte isn instant auparavantsur son rang/ s'était fondue dune sindélicieux sourire.- bien, monmner, dit-elle, mitamuniro mus obéissez à la reine ! VousMenines quand 1,35 avez l'ordre de reinDr ici, traître que vous Prs I

Camilleo poussa no cri, tombe à ge-noux, at apr.!. Oeil froai braient nul-les deur mains qu'elle lui tendait.

-Obi c'est à mourir de joie, t'écria-I-d.

Hélas I no vous réjeuienez pas en-edre. dit ln vicomtesse ; nar, si te vousarrête, e'ost polir 01m -sous ne nous quit-tiens p. ainsi, r'est pour Dile vents n enc-pertene pro de moi elle Mee que jr suisune ingrate, c'est pour qoo mus nie cou-diez voktnleirement la parole que 101 50ai donnée, etezt pour que vous voyiez dumoins 00 0001 une ame, puianne les Par-t, Ol0OOl que neue mem00 niempe-

ient d'aire tannes autre el.ar pourvous.

mon Dieu t dl Canettes jem'étais donc trompé moere une fois :

yens ne m'aimez pas ?- Ne parlons t.s de nos sentirn..,

ume'

parlons du dater que eau" voll-rel. "O11.4 de. à renter oui t n'osons, par-tes, on lms.Driam partir ; il le faut.

- Que me ditus-vous là, madame t- La vérité. Laisses-moi lot ; retour-

nez à Paris 1 dites à Mazarin, ditre a. lareine m qui vezze est Mei.. Je vms ai-

peur lemZooms?°7alfai00l1 voyageait dere

taa.. Mule pousse lee cris db.. despotisme

rems Vive o eareaa.0

UN PEU PARTOUTTremblements de Terre

Belfort, Di maL

O em rcesentio Ge matin, vers eir bennes; /enLn, Iode scene. fremblennot de tarin

aseatimm étaieuh titrisées de TE.Teille, 2E mei.

Dna mies ha10 soeum sismlque a été re',smille, après/ heures de matin, dm,00 gratenonive de localités

Le phénomène sOre pl. mire lu CheindizeBer.. a.conpagné lia Mans sentormins,Mis des glaces et dn M. a. me.1.; I«tremblement avait one direotion "Duid-Sud.

Namiraramt, 26 mai.1/110 secousse simiique qui a durd oeonM

MN a itie neer,. Nu. d'hem punas de...int, ne imtin t 6h. 21.

Mulhouse, ni mai.D. Ferdlle.d de Dendelmmut da terre Ests.

Ouest courtes et amen violantes out dOl ces+zenti. ce matin, à 7 Lettres 12; Sie Dealtau-1 aucun den.

Accident mortelDANS EN CHAMP DE TIR

Poitiers, 26 mal.scro do tir, 005100m deur-.Seo a mea halle

sen, instaninec.7.7777.

Martyrologe du Travaileux ouvriers tues par un Lino d'ardoise

Cherleville, OuLes ouvriers rieur, Feranze tratattlhdelnd

daau los ardoisières Saiesloseph lune onMonne bloo . détacha de la oik, 41240

r i,d'une mine.Les deur ...ne out Me 100t1 Fermee a

cuir tedis broyée et Mslin q m le Leman

Mort de Misère500 CADAVRE EST DEVORE

PAR ses CILIENShavoilla xv

Lii jarenie nom,. Salo, âge de seisente-disau, et demeurant aux aygalade,o. n avait potété vu dm.. 000 &eine de Émes.

Hi. des 0004313 pedaélibrent chez lui et FAtrouvèrent eu pr(mme irmi samedi, nipn-,(18. ,éteady :Dé le plancher. le jardinier Maiinnet. Ses deur chions, deux énormes. mdécent

ole«...2EI00P. Pres du eedarre et tai démon

Ment la crane.11 fallut Mettes I. deux bêtes 10111000 de

mentver pour tem' faire emdomer >me

Lenquete a Nal. que lu jordinier fiait alorgmisime.

lares à BéziersalidAD CORRIDA, DE MUAIT. DU 29 MAi

Lalo:lors digahemo ct ArcherieSis Tenu Andedoeu de Do.,Cerlos rgeradd

.Dc Reit.....CI 11.916 iindr'feteetreertlielirj

,los Comme de Séville daos les m.,. de'Ia

plant et mus aro. Md réellement amer+cil/tao de sa beau..Lee ellchmados 001100110e cendre camp;

te de la vérité de nos mea..., verphotographies p0020 10 four da .lanlvele deiImnis aux armes de 10101000 ont ite en-voyées dam o, rincipal. v Mes "Dein.OU elle, sont enerhees sur métraitn lea plue

Nam tanoeilloas aimai/Nat auxde murais de tores daller crs photo,graphies pries le jour du débarquement:iniorque le moment mt peu prép. pour'faire rmsortiii les tem tres fatigués par le'toge,. do kuit Jours daim lm cages ébattes,les aficionados pourront .ais commende: dela bene prénentotion el, de :aspect imputantdo cas animaux.

L-ne rorrida uvée bétail de ehois nep.l damer que dermite. résultats potorla litlia qui promet etne tons emoneente.

Le lurean Ide /ovation anus frais' cét on-tert au public it partir de en jonc, I.e kits/i-gue dos taros est situé Idanze Me la Citadelle,en fard de la steute Paul Wique..0a.peutny tid.res.r, nu écrire pour deus .11dellel.-1112011 à 11. Dombes, secrétaire du Centiled'orennisuf ion. Nifé de Fran, oh une per-inenmes e/t. établie. Telaphme 3P01

Veri le m. cle, Plae. Pu. votée -.Pré-sentation Merriate.

41400 11011 do e Prisidenre. - Réservé.numérotée., /Pr rang 15 fr. I Reseroded nu-méroté., M.. rem. 12 ; Premiere,numernVes. 1, mn,- 15 fax ; .Promieresmimera... autres rause 525.'. Toril pre-mier. numernteas, 7 fr. :Torils. aubes rangsuumerete., Otto. ;Nerreedes numérotées. 4 le

Gale gambe da la Présidence. - Teritpremier rang. turnerot ,iPS fa Torii au-,trrs rang, ; Amphithéâtret N fr. ; Am.phillsettim Inditai00 et enfmts au-dessouede 10 ans, 1 fr, se.

emplarement /Méo "Mme" Mintétedéelre réservé a. Serie.. -Tain.. du laideeu prix de 3 fr. la pIerr.

-En allerragne. Dimpréesion ert favnrabie;toutefois, il y aurait inter. mur notre nom,Into.2 O eapoelaoan a.50 mole traité de eue.-01000005155 le Portugal et Pallemagne n'en-tre. pas eu vigueur armt que la France aitcmcht, de my M., un brade 1000 10 PortugalLe m.eil fera ome démare10 dam ce sensaupr3s des pouvoirs publuts fraym,, Il està a.-tater que kbut P,ortukal a nem.,prmdmt son Mmur à Poriee arec (lob d'Oremypour Aeur cette impotente question.

Dawha part, la sit.non est loin dere so-ue.... en Baleine, en les nouveaux la-Elfe vont donner Leu a des act. de more-...flet. Pour 501er des pePes et . palmbue-ment dans la commeine, des pourparlers sontéchangés entre le représentant de la Belgiqueet le mue. Ailia Odlaodar leorahlegnantprojet da taritE douaniers beim qui doit dtreIsou. prochaineruent

nen d'arriver 1110 résulte, le comed par-ml grand animes interna-

huma qui sa/ilion. comme devant Etre ummamfeetation Menou-tique da plus haut 1.ter.. Il a fait appel à 31. Jean Dep.. minis-Ire du menercn et à :g. Hubert, ministre dutramai el du eommerce de Belgique, qui en1011000 peeepté La présidence.

Des Paysans Autrichiensexproprient 0 aune indemnité »

[Serinez. 201 une.Une gr110 ..,évolla 0010110 u éclaté sur Iode,

rompe de tomba", 'd dPronalkoul. te Matelam a MI 000100.110 prix-.. te sous mapares de ms ferres et de so,

Les chef; de cette Jacquerie moderne dela.rent Des veulent ohlrnlm que les beys datIE-alszteepeat nattages 00100 500 pour Oneier U;p-01010001 des me.; qua -en retrent lespendant me itt lrnuolblotio.qa le, melteul enslow, onnteent une rie n.Mahle.

*en.Le Scandale Suez

A L'INSTRUCTIONP.i., 00 mal.

tf. Mimef a 04.50 111115 après-Pnidlinteirogatoies didenfité à deus Ms mandatai-+. de Duez, Mmem et nrmuso bbs ent aveu.avoir tombe des frais de delmentent pourvoyams-ectifs.

leDleoma

Conseil de CabinetPare, 2a mai.

ellivia Sei 0110 eommu..qué ems Zooma.LPS mivistres ruar-srerdteres dltoL.00sCt

errejeiegee'le.gf.merien,e 1,-re.J;Zrueuuluuuu.u.. programme du goineouemml. dis:narine qui sera pour... dans. de souveliestruMoas .rmt tenues Mura. et op...-main.

'gst'een'te'.'ilhuiWe;=çetrientrai nallientgralativemeat. la mettes. duet> rOMmeat de lime. 11 eu rtseele q. leste.

.es D.j.. la jounrte du 25 en mermredDe nouveaux Doideats ne sont DMA or.dre.La mutinerie du Mme doit erse anrinieen

ermimion hcauee. de resertm. mils se.1-stemm...y. MMes made..

vlmt,ree,

.<0 1de la eeee Reem dumerco

La situation ua renia nu point de VI. manzPet est artilleure que dans la plupart des aune,camps on les troupes roml.. la testa I,tern. occupé est bien Mme lu hommes ontreçu I. Muraddres réglereselaVes avec nue

nverture supplémentaire et E 500 deedie.

emmenas de ces .ruiess Llentemittancutbon nul e les cross mer

Lamente ""peur mu.. Ma

num rem.. et Mei= des punitions dison.i-

'tec'es'el1rdlcerl se.reit attluM un re-présentant du meistredae ooçS0500lu0000m.ion ebarglie Matent sno reStes teadlu-

eet51nstfO'1''//en'é.' a'«"'"'

PROCHAINES ELECTIONS

Le Jeun. Ofnciel publie &met tlx.tau 12 Min la date de comoralion d, électeursOn Vireltür oit Vie.. MN, Mn eaum unconseiller général.

nouvelles EtrangéresEN RUSSIE

19r0 0reille5 juives expuleisoKiew gg anal,

Pendant quo les groS tome.,ris . én,Vranclart;foteserd Démiesion/ dés

Sali è lkaplaien de 2.1 lamines >vomi'

ejeeetreztr'reertee'etlers'''.emettlea'Irnr'UsD/zdas

dlie

Pour 'onIN EGYPTE

Peur Maid.eadmaie001125e, . mai.

Hier euin en préurnc, sir Eldon nome agentleildampue. lieu une dEmonstration /en Ia-nur r.depeadenct.

Deux jeune,s EgyptIms mi avaient ME poureoels ménade romprients -dans rdsçasMnal deIrlÉtrn.a..Pcaéhda; rized;tui avaient keete Mune

uns mule consijreble's'eerinren'aeràrbe

derai aidaul qu'Il seri en tuai ; nuitp

- Mais, asuai..il vve le papétei- 2 b'eS.cria CanOnen, sous quitter, c'est mou-rir !

.X., non, vous mourrez pas, t..r-mu. garderies col eepoir qu'eu des tempsplus heure. no. Dole retrouverons.

- le hasard m'a EeLé sur vol. roule,mddame. ou plutôt VOlIs pla., rom lamirane desa foie déjà : le hasardlassera, et. ni u voue quitk, ee osnnuoretrouve_ret plus.

- EL bic, gest mea qui sous eherele-rai.

- Ob ! madame, dea.aides-ruoi domourir pour mous ; 1,1 ment, l'onu 011 ins-tar. Me douleur, coda 00101 m.. ne medemandez po_s de vaut quitter eumme Adelle mule idée, mon nenur oe brise. Mais....nez-y doue, je Va. el VI. à /acide. àpesee si a voua ai parle.

- EL bien, Ni je mes permetn 110 5.00ter aupeurd'hui maman, si toute le jour-train et un, parte,senereteus mintunt 0 Dites.

- do ne promets mon.- MAl 0. plia, haro. Seeledeell",

demi/en/ment d011. ren-iait de vo. prévenir du liniment où je

spartimis.Eh bien. d. unc heure, De

- Il faut doua foire tout ne que001110" ? il faut donc ions obéir en toutpoint OU faut dom fun. abnégatinn demon-même pour 5.1111Te aveuglément no'1m volunt1' 10h ban. aol 11,01a.Curer conteine. Vous Jinmez plue (10V.IIV0115 qu'un eSclave prêt à TOUS obéir. Or-donne.. madame, ardonn..

tendit sa mois au Lame, et, de

vais la plus douce cl là pl. cares,sen.

Le 11011Wan traité en écime,ge dema pmole, dit-elle 1 0000 ue c., eut.,pie de no in.leut à assoie neuf Mures;à mol heures, parteres-vousid.. pu.

-- Venez ente. alors ; lo cid est bles,il nous promet vine journée adorable IIIy a de tuatefele d.s les gazona, des par-fums dans r.ie. do baume dans les Lois.Holà t

Le digne mlend.l. qui, sinie dend00as ait reuu liirdre dr, Se tenir à le {m.,eutrd xessildt,

.0.1.5 chevaux de pleellIrdlddr, dit MI,'dente de Gambes 5100 ozei lie, de

je -raiz ce matin rem étangs edresviens par la terne, on je déEenouretio:Votie li adcompagner. monsieur leson, mutinumielle (c'e't da. le. 011:butions de mire charge, puisque musaxes reçu de Ba Maj.lit la reme Ikedredo tic pas cor piedre de vue.

Lei nuage de jne suffocante utetneeele jeune homme et J'enveloppait commeras vapeurs qui autrefois ri.mmient les

ieux au dol; don loisnu reelinete. sameapposition el pr.quo sans solen10

baletont il était enivre. il était fou.Bientôt, au milieu d'un bris charmant,som dol allées norysPeiM01132,3 domfoo ra-..ux reirinobaieut flottants sur son frontnu. il ...il les yeux aux cbzueo maté-rielles s il Mail 11 pied, naneL le memEtrainE par IMe joie pn.que =soi pal:guaute bue la douleur. marehatal sa meg.enlacée a la Main dé madame de Ct.-,bas, anasi Ste, arensi muet10 et sain don-t imam Itauivee quo lui. ,

*alpe 3

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Ver...Gros Pham. te DREL.A.ND

u<neet do 3.. eu 0 Mem

anegeou devien.are, te mouton;, par son aemtru te par sa pids.Mate organisation, dangerem pour los partis...Mot. qui ne vivent que Mintion, e eedui-

113 ve Imitent sa on.oler de voir relia. Smniabele some grandi et épuré de l'épeemedaguet, en voulait le mamie. u faut pour.'tem mine eu fa.e. le. dem, non cep....3.3 avoir essuyé de feter le dises.. .r lesmeninete de nos militante. eu .nondant dans IrPua. d'habites calomnies.

tévievie eeiegrorn.e et l'Express etachent bien

iortuonoque no. na laisserons p. induire m émane

Notre vaillont lertt soete.tehoes permettra de relever leurs rnalvdIllanteedmintletion3 et do est des assertions groruitese, stupide, auxq.fies nous ne reporterons quepar des haneameents menant., en est da.am que nous ne voulons pas /amer marc....

Par eaemple, ce. qui .ns.e à dire que lesdorctionnairee forment la majorité des membresad, let padane., et gu'ils se soie introduitsdot, te groupement par oldre et pour pratiquer<me pela.. de duadwité a regard du Parti Se-Setters,

La calo.,te est grdssiere, et trop manitou...-Meut ao.ise de eit eue, pour t p.c qu'eutapparais-. à tenu, tee regards, inertie les moins50011 'ut an».

membres Mt Parti savent mvsux que qui-gomme que les tone00onnaim0 us mipreeententmémo pas le dixième de Is gêner:Mol et queerax quon amuse de ,2 Sue introduits . non

ter, me; justement ceux qui ont présidé âromano, e; que, depuis la., fis ont constam-ment do.e de /eu, toivirs et leur -personne.

Les tentatives intéressées de division que nosennemis essa,nt en ce moment échoueront ,menumeurm. ri y a panai tous les eemeradeede ta Fédération, union, solidarité, conneice ré-ciproque.

Il My a parmi nous oi ouvriers ni ronchonmires y a des gens de bonne volonté 00,05-Collet t une rem. tache taspirs par un mêmeidéel. ana et les amies, quo. aient pour entrie mut bourgeois 00 00 conseil diamommi-res. sout égaiement des subalternes ; exis-tance tOI égaiement dépourvue de sécurité. et

a cles taches différentes, lis gagnenttous lcorsé par leur travail. 11 y a assurément.dons leura conditimis m.., des differentes,Mais preemêment omis qui eu bénenment recta-.. pour les

aut.res des loisirs

des reninneratro corresponaméquivalents et

NOM ou ne Mu..t pas à Opposer, pas plus aParniorSt...ure, la Masse ouvr.re eue pro-

intelleetur/3 qui, par leur condition lot;manqué, ne -sont quia. ca.gorie de la masse

EXPO-MT/ON DE DESSIN. - L'ap.itionden meideuro travaux de dessin es/veulesutte

!es élèves de rée.lo municipale de des-sin a eu lu dimanch dernier du. Utle dessel. de 1-11Ote/ de Ville,

rhaqne année, 16 publie s'y estrendu omniumrn et a pu jouer les prognasManade par les éléves rot de.in géoroétri-tIne el industrie, en dessin k vue, en mode,,lege et mi ountimmtion décorative.

Sage4emme 1 aie' TERNISMai.. setlie

lEd=01-ILiededp.'!"'Itr.J.talr3Mpesai

tonte sa. état evil. - Cousultatio., -Pc,,s1'..Nie.

Avislierioweil d'administration

de Na muté. meperafive,mon de Limoges informe Me

,,lereeest< que rattudieuat.11 do -S5ectaisros de vin ronge rint 22 mal 1MO

'''Zê"neitetV'tjduudi'c'tfri'efeii ntuetdtrn

-ut présentation de nouveaux échantillonsce mn conditions du même eatrier des

Marnes déposé, el. à la dieposition des sou-e...aires, au secrétariat do la société,

tue de la Fonderie à. Limages.

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LES MISERESass

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Bamboche ;Ut/pétait recula d'abordMun pas, se dégagea de mou étreinteMmillur pote Mie. m'envisager ; pn.,m'attirant et me serrant à son tour avec

fore contre sa poitrine, il s'écrra d tmetotri eiloidhée pus Pixtrotion en tournantId tele du Mité de la pitre voisine

/Sanguine 5... C'est Martin !...,- J'entendis, pour ainsi dire, fat. un

bUnd dans Io chambre la porte souvrd,et -Basquine, encore à dernieetwelr:DPy

/de sus manmou, sc précipite, dans Fent,rthembre, me gante au cou, mêlant sesembrimsements mues. Ms larmes, aux,mbrasserneuts, aux larmes da; Bombe-s"ttr et aux -miennes, car eltrnd'lus trois.

1 y eut un .mouient de long silence...;pendant lequel nous noue tenions tousticeit étroitement semés_ sil.uo mule-nient interrompu, é. cl là, par le bruit

j de ces sanglots de joie profonde, convul-ri...13'1'6M bondie tu, amui-

béni (OMM-voue, nlurl Diett !

j par de lel, iiivtants, faites -oublier dut'100010,,, des iimides d'infortune 1 Béniaoyez-v.i. mort Dieu, qui avez & nia-

' eiXtiguument doué vos créatures, que les

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plus perverses, que les p/. misérables,puissent encore goût.- ces ravissements,dont I ineffable douceur, -dont a isamélévation les rapproche de votre divinité!

NOMS étions là Mois victimes de le. fata-lité. Nous anions bien souffert, nousavions commis bien des actions coupa-bles, notm avenir était .mbro, plus .som-bre eneore que notre passé. Et pourtant,dans cet Man divin qui mn-fendait no.&mes, ces souffrances, ce sombre passé,cet effrayant avenir, étaient oubliés. Etces fautes. conséquences .presque forcéesde la misère et de l'abandon. ces fautesne devaient-elles pas (tee auêsi oubliées,pardonnées par von. -paternelle miséri-corde et votre justice ? mon Dieucar tout n'était pas ftehri, tout n'était pasmort dans l'Amy de ceux qui, après avoirfailli, étaient encore capables de ressen-tir si reltgieusement /es céle-ales enivre-meute de l'amitié.

VVII

CONFIDENCES-

- Allons donc dans ma chambre, quenous nousvoyions au moins le blanc. desyeux ! s'écria Bamboche après la pre-mière explosion de jute causée par notrerencontre.

Nous onlArrics dan? la pièce voisine,beancoup mieux éclairée par deux bou-gies allumées sur la cheminée,

Basquine, ayant quitté sa coiffure dé-

Moniaque, restait enveloppée de son manloau de Mie noiee Serre -à ln taille parune teinture.

Il y eut un maman moment de ri ru-cc, pendant lequel nous nous regardâ-mes Vour eV« cette clirioe. pleine

1.00 résultais obtenus font le plus gran.clhonneur aux elévm qat ont fréquente lecours avec la plustom a. M. Biquet.. profe.mr si dévoue de.-linoMe Juin/ici... de deesin.

La distribetaun des récompenses mea lieuveto la fln juin.

CREE DE L'AFUIDGE. - L'Ariège, qui don-nait Inetre jour de si fortes inquiétudes, aforbaie.,t ba laissant aPer.voir dégitlxoccasionnes.

Nombreux sont les jardi.blés. Les horticulteurs sont désolée. car M

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C'est un désastre offroyabM dans la ré-gion. Toue des habitants sent oonsternés.

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tomber mentos vert. montagnes. et transformeen de véritables torrents les pentes les moi.accentuées. On ne voit de tous 0040equemenu..

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d'intéret et d'attendrimement qu'itmparetoujours la première .entrevue qui mituno ongue separahon.

L'énergique figure de Bamboche avaitdépouille son caractère habituel de rai/-leuse audace, ses yeux encore humidess'attacheront tout à tour sur moi et surBasquine ; tandis que celle-ci, une maindans la main de notre compagnon ntl'autre fraternellement appuyée sur monépaule, me contemplait en souriant de cesourieee triste et pensif qui tut était habi-tuel dans mn enfance ...qu'elle parlailde sa famille et de son père.

Vus de près, les traits de Basquine na-ntiraient encore plus fins, encore pluspues qu'A. la mène, mais aussi -on y re-marquait davantage l'empreinte cle la miacre et du chegrua ; son teint, autrefois

jeog..,,rejme rosée, quoique un peubruni par le hâle, s'étiolait alors sousune Piéteur maladive ; sv; lèvres, PAUd'un vermillon si vif, avaient blanchi ;

enfin E fallait la preiee, la svelte élégancedes attaches de son cou et de ses epau-les, pour faire oublier sa maigreur. lié-las ! que Me ai-je ? te Ruminant visagede .im ans, déja flétri, déeoloréé, trahis-sait l'habitude da pris Mira, et de peinesor amères, que des larmes me vinrent a.

- Tu me trouves b./2 Changée, n'eStèce pas, Martin '1 nie dit Basquine, devi-nant la eauer de mon émotion ; moi.., jet'aurais reconnu tout de suite_

Puis s'adressant à Rembuche, en memontrant du regard ,

- C omme a l'air loyal et bon ! n'est-ce pm ?

- Ça me rappelle... ce que je disaisClaude Gérard... l'homme mie nous avons

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tes de Alartint. je voie d'un sa ligure gra-. et douce, ou se peint son caractère. eJe ne m'étals pas trompé, c'est bien cela,ajouta BamhoChe en me regardant fixe-ment oui, c'est Non cela, c'est bonvoir une loyale figure... ça repose...

Toi..., dit Basquine A Bamboche,avec un oingulier aceent d'affection, dereproche et de mélancolie, tu n'es P.changé, tout s'émeuste sur toi., men nepeut mordre sur ta nature le fer...

- Rien n'y peut mordre... excepté Mar-eth., excupte tom.

Basquine secoua /a têtu.- En Som revoyant tous deux, j'ai

p/eurr.., comme un enfanta., poursuivitBamboche sans /émettre remarquer le

mouvement de Basquine b dame !.., aprèstant d'années d'absence.., nous voir enfinréunis_

- Vous retrouver le même jour.., toi,me dit Basquine en me tendant la main,et lui t ajouta-t-elle ea donnant son au-tre main à Bamboche.

-- Tu vue m'en veux Mus Plot deman-da Bamboche presque avec crainte.

-- Entre nous trois_ ne devons-nouspas tout .0005 pardonner ? dit doucementBasqu tue.

Puis un éclair brilla dans ses yeux ;sa lèvre sardonique se mintra.cte, et &le

a'j'.-'-d(re'stpour d'autres qu'il faut cultivernos haines.

- Il y a donc longtemps que tu n'avaisvil Bamboche ? demandai-je à notre rompagne.

- Trois ans. me répondit-e/le.Out_ Mea ans, reprit Bamboche

seaux creusés à travers les champs, tatas Cou- .LE TEMPS - La pluie a fondu une grandelés, prairies emportées. Et Valens-Mu partout park. do la imige ear eau-malt le Mont Pear-l-herbe pousse .rte SI tardun les grandes sont out. Déism t.. le plu sera amessible. Des Mu-nomplétoment vides et le bétail souffre de la figes rapportent que les rodedindrons sonefoire dans Ils étables. Nu, montagnards at- I fleuris. Des que le bicot temps sera revend.'tendent avec Impatience le retour des beaux une excursion sera organisée. .

jour,.

La SEMEUSE de TOULOUSE

volé et qui a remeilli M.tin, reprit Barn sans OSer, Pour ainsi dire, mEneder.

boche D'a rès ce 5113 vine m'appre- quine.- Ainsi, lu ignorais qu'elle dût jouer

ce soir ? dis-je à noire ami.- Je ne la savais pas à Paris, et iu

n'avais seulement pas lu l'affiche, reprit-il. Quand je suis rentré dans nia loge, le

tapage commençait j.. cabale montée, 'essuis sûr.., par ces méchants gants jaunestir l'avant-scène. Malheureusement.. Jen'ai eu que le temps de !et 3.11f flet..

- Dans celle loge, lu ras reconnului dis-je.

SQc'tipio'n !.., te petit vicomte !

- Le gamin de la fora d.e Chantilly 1

siéeria Bamboche,Martin a raison, dit Basquine d'une

voix sourde, c'était le vicomte.- Tu le savais daue là,. toi, ma pauvre

Bt-'quisn, totst nino'Plot deeTiè'reali-rneehn râle, je neme doutais pnu de la présence du vi-comte ; sans cela, je me mrais attendueb tout

oduoloi.,.rqdonc Ide-je à notre nom-

I'LeeTu l'avais donc déjà revu depuis lascène de la forêt ? ajouta Bamboche aus-si surpris que mm,

- Oui.., car on croirait qu'une fatalitéme rapproche toujours de cette méchantepetite créature..., reprit Basquine avecun ressentiment concentré. Il y a- deuxans je loi revu.., et il y a deux ans, j'aiété, comme aujourd'hui habillée, outra-gée... jusqu'au vif... jusqu'au sang...

- Le misérab/e ! maisd'où fui vient cet -acharnement contre-

Je n'en sais rien-, mprd Basquine.

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-. Oh ! vicomte..., dit Bamboche, leiet ton 'père.... je polo rejoindrai... Je tevmgeral..., Basquine.

- Je n'ai besoin de personne..., ditfièrement la jeune fille, je sais vouloir,..et attendre.,

- Et il y a deux ans.., crois-tu que Sel-pion t'ait reconnue I lui dis-je

Non... pas plus qu'ij ne in'a recon-nue aujourd'hui, j'en suis certaine...L'instinct du mal et le hasard l'aurontguidé... Je vous dis... qu'il y a des folali-

Fui% pesant sa main amaigrie surson front Basquine rai/ci/tendrement :

- Er lui.., ar-tu aussi beaucoup souf-fert ? Es-tu heureux à cette heure ?

- Mais j'y songe maintenant dit Rom-boche en m'examinant avec une exrre.Sion de surprise presque doitimireumt, foi .

loi... uns livrée '

- En eftel...,'ajoula tristement Bushquine, réduit à celai.. toi P,

- Pariliou ! c'est tout simple..., s'écriaBamboche avec un accent de rallterjieamère. c'est une Orne d'or.., fl n'y a pasde condition assez misérable pour lui...C'est comme tdi, Basquine... tu as ad-mirable pour moi et...

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