20 -...

4
me ANNEE N. ABONNEMENTS 004,:urr:6430W. 23 fr.: an. 45 ft, Douze sénateurs d'Aqsace-Lorri- les généragA Staijal Hirschauer, le colonel 0.ufaieh et 11M, Bora-perd, Lazare ds berthieg, WM iller es Scheurer, Eccard, de ,er, licimer et l'abbé Delsor, e ne'sdé au Grand Chancelier oCt rayé des cadres de la rin e s d'honneur, poser avoir dit, qevant 1914, les Alsaciens-Lorrains ne tenaient pas redevenir Français a pris d'une guerre franeo-alleman- u ce qui, à entendre les pétition- 'aires, constituerait une insulte pour eurs compatriotes et une injure pour a France. En tenant ce 'langage, je mop- uyais sur les déclarations faites pu- n nt par Mgr Gelas, député et va orde Strasbourg, par I abbe Vi'terlg. par El, llicKlin, députe ca- tholique d'Alsace ; par lai. PeYrottesi inaire de Strasbourg ; enfin par la Piète d'Alsace-Loirraine, déclarations pue j'ai reproduites textuellement dans le Midi du début de juillet der- nier 0). Voici d'autres déclarations plus catégoriques encore En 1905, l'abbé Delsor, un des si- gnataires de la plainte, a écrit dans le journal allemand le Volkosbote article dont j'extrais ce qui suit, en reproduisant en caractères italiques les passages les plus significatifs Si les Francais renonçaient à nous nitres M43:eien.371,0r7a/nS, on ne pourrait que leur Cil être recon- naissant. leur gouvernement a rom- pu avec le Bon Dieu, avec le Pape, avec tous les principes de l'ordre éternel. La conséquence logique d'un semblable état tir choses est la ruine proeludne de ce peuple dégénéré, heur produire la débâcle finale, il suffira de queknies crains de pied ha- bilement envoyés. L'empereur aile- °Und se chargera de cette besogne, é l'égard de ses stupides voisins. » Déj5, en 1903, l'abbé Weter/é avait dit « Il ne nicotine pas chez nous d'es- Prits qui voudraient nous entraîner dans les mêmes 'troubles que la Fran- ce. Mais, le Gouvernement allemand a su, Dieu merci, résister à leurs dé- « L'illustre vieillard qui veille sur les destinées du catholicisme ri mis ea main bénissante dons la main loyale de l'emperely alllemand, et ce geste symbolise l'union de la plus grande puissance morale et de la filo grande puissance matérielle dc notre temps ». Ces renseignements et ceux qui suivent sont extraits d'un livre que, sous le titre La Paix malpropre, M. Alcide Ebray, ancien consul général et résident de France vient de faire paraltre à la Librairie italienne, 21, rue du 4 Septembre à Paris. En 1905, l'assemblée dite le Lan- desausschus, représentation élue des deux anciennes provinces françaises, a émis, à l'unanimité, le voeu que ces provinces deviennent une urine/P./- té indépendante, sous la suzeraineté de l'Empereur d'Allemagne. Le 13 mars 1913, les représentants des trois partis alsaciens-lorrains se itt Car., pour le lecteur qui n'autait Midi de juillet 1925, je 6 mat 1913. la Dilète d'Alme-Lorrainu, Nabs amante des chefs des quatre grgme lieu, MM. Ham), LArgoise. Wolf e :ruais eve joint le Docteur M'in. préadent '5...da chambre, a voté a l'unanimité, la résolut, ixonte la Chambre d'inviter le Statthalter, b représente. de l'Alsace-Lorrerne ns telles qu'ils s'opposent résolument nus, n u%'tkrinri=tt.ellirsZléClérial Nova. de nature à amener un mo- ntre les deux gays, seul moyen de à la concurrence des annements r mune. de cette résolution, j. u maire de Stragboura. déposant au procès de l'asnssin de Jaurès, tai du serment te, d'accord. Nous ne voulions i.Aus uu d orra>St y sa,, une ov<iv, ma-Line. » 1"2. Weterlé à Ferdinand Hauser, adaciav Journal, la déclaration arrivante r uad.rzs Qe vaudmit la déclarer 7 Qui ra responsabilité d'un tel acte 7 I-. Pm- au 1. Alsacel-orraine, avec ses quinze ce. àalmants. VC7,erk la mort da ',halena mil- avril 1913, M. Rieldln a dit à André Morilet, aradllul maire de Boulogne r A.Iseee bout qu'on le aselle en France LuteeerliàElle._ refuly,ttount cadre d'évoluer dam le d,luer,fto.v..r 1874.. Me Pa,' avart dit au Reicha., r . ' gUt nom das catholiorres Alsaciens-Lorrains. L'ALSACE GERMANOPHILE Rédaction et Administration t 36, Rue Roquelaine TOULOUSE - Tél. 0-43 - Compte Chèques poetaus 3311 BUREAUX A PARIS r 3, Rue d'Andmiae, s (n. Téléphone t Central on-off sont réuni à la Bourse de Mulhouse, et ont voté, à l'unanimité, la résolu- tion suivante e L'assemblée requiert le Parle- ment d'Alsace-Lorraine, issu du nui- rage universel de se déclarer éner- giquement contre une guerre entre la France et l'Allemagne. Elle exprime le vu que Mus les litiges pendants entre les deux peuples soient solu- tionnés à l'amiable, pour le présent et pour l'avenir, » Le II juin 1917, à l'oceasion de la clôture de la session du Landtag d'Alsace-Lorraine, il s'est produit à Strasbourg, en pleine guerre, deux manifestations plus importantes en- core que celle du meeting de Mut- 'Docteur Docteur Hoffel, un Alsacien, président de la première chambre, a prononce le discours suivant 5 Nous n'avons pas voulu cette guerre. Notre peuple alsacien-lor- rain n'avait pas de désir plus pres- sant que de rester ce qu'il était ; pas d'autre conviction que celle-ci le salut de notre pays se trouve dons le maintien de l'état de choses existant. « Nous savons par expérience ce que nous devons à l'empire allemand ce serait de l'ingratitude de ne pas le reconnaître. 5. Messieurs, en 1871, le sort nous a ramenés à l'Allemagne. N0i1S sommes étroiteMent unis, aux points de vue économique, ethnographique et linguistique. 5 Nous sommes pénétrés de la con- viction que, pour l'Alsace-Lorraine, on ne peut espérer un avenir pros- père et paisible que de son union avec l'Empire allemand, auquel nous restons fidèlement attachés. » Le même jour, le Docteur Ricklin, un Alsacien lui Paella président de la seconde chambre a dit Le peuple alsacien-lorrain re- pousse absolument la pensée que cette épouvantable effusion de sang soit poursuivie à cause de titi. Il inc désire rien d'autre que d'assurer son avenir constitutionnel, dans une union indissoluble avec l'Empire al- lemand (Applaudissements). 5 Vos applaudissements, mes- sieurs, me montrent que je vous ai parlé suivant votre coeur. C'est dans cet esprit que nous crions t Vine l'Alsace-Lorraine ! Vivent l'Empire allemand et l'Empereur al- lemand fa Après ces déclarations, on se de- mande comment les douze sénateurs d'Alsace-Lorraine ont pu signer leur plainte au Grand Chancelier. N'est- ce pas l'abbé Delsor qu'il faudrait rayer des cadres de la Légion d'hon- neur ? N'est-ce pas nomme qui a osé écrire que noirs étions Un peuple dégénéré ; Un peuple stupide dont la ruine s'impose ; Un peuple auquel l'empereur alle- mand saurait envoyer le coup fie pie néceesaire, pour produire la débâcle finale Général PERCIN, RU JOUR LE JOUR La cocotte inpdèle Trompé par sa bonne amie, un banquier parb tien demandait eau juges de la première cham- bre du Tribunal Civil de lai Saira readre ses , tai rainettes s, te Lieus dire tous tee cadeaux qu'il avait faits à ?ingrate au coure diane liaison assax longue, cadeaux consistant an Un demi million de aide, te, mobilier. Oc. Car il y a an certain article da Code Civil qui l pduza,..t t,,aeoi acar:%nd te: ,,dontro i,:,uore,,,np ,ail l'amour, c'est toujours de ?ingratitude que I« trahison cites, vu ami généreux. En somme, le finaneier paré de /a maffias d'A,. téon demandait à D )0(1,a cas marcumnt PUPir ?infidèle en lui retirant te produii de ses libErsslités, mais dc prononcer qua la fidélité est I, dexxsir de l'amante comme d est celui de /Wons.. Ce ramageais ne se doute eedainernent paa qu'on agissant ainsi il sapait avec la yoga& /!` dé... une des racines de la société. Lie s'agis- wit,i1 pas, en effet, sic donner sas Sala,,, at,atà) Fanion libre d'accorder à lar main gauche les mimes prérogatives qu'a te Mune Les sages magistrats ont mi traquenasd. Le concubin.na ne crée aucune obligation de fidélité, ont.ils déclaré, L'amie Mage gardera donc ras petits cadeaux. Juridiquement elle g a droit. Si las jages de Paris avaient "5" rif,prez- eknce de faire jurisprudence a an la niatilire gel coupeellt été non, nladne. ec pauvre mariage légetcléld teilentent sibranle par le disiorce ailes manades naoctr7e fOrniniries,sts,en Ow sel rinercle mur beau Bmda *Ce SOCIALISTE quand les survivants lisaient des phrases tedittle Celle que j'ai citée phas haut, leur premier sentiment était la colère, que suivait bientôt une morne résignation, le Pire état desorit Pour le comilliattant. Pendent plus de deux mois, la snétro- pene n'a que trop tenu parole. Elle n'a envoyé que peu de renforts et quels laies I En grande majorité des Sénéga- lais dont nous avons vu débarquer suc- cessivement quinze bathillons, suivis d'un régiment malgache. Les noirs expédiés de France ou d'At- gérie n'étaient certainement pas de tai). le à faire face en rase camnagne à un ennemi aussi redoutable que les Riffains. Aussi en étsit-on réduit peur les attaquer, aux légionnaires, aux tirailleurs mato- cains. à quelques unités algériennes et Pux cinq bataillons français (zouaves et infanterie coloniale). Cr Sont eux qui étaient invariablement chargés de tou- tes les missions difficiles et qu'on a par- tout vus en première ligne au combat, lamais il n a été plus vrai de dire que -e ce sont toujours les PlearteS put se font ns ces conditions, i/ devenait patent que seulement de l'excès du mai pourrait naître /e remède. C'est en effet ce qui s'est produit. D'ans les ppremiers jours de juillet, quand on a Pu redouter, après la défection des Tsoul et des Brase, de voir les Riffaim faire leur jonction avec les dissidents de la tache de Taza, cou- per les communications entre l'Algérie et le Maroc, occidental, prend Fez à revers, I on s'est résigné enfin à diriger trois divi. d'après un oflicier qui en vient sMns sur le Maroc. Nous n en serions Jl j pas arrivés ô cette situation fâcheuse si LA RUHR EST EVACUEF- - Si iétais cramé, mon elles ne lameraient Pas maintenant. CE OUI SE PASSE AU MAROC Que se pasSe-.sril ale Mar. Quelles fautes y furent commises Quel bourrage de erâne nous inflige- t-on ? C'est ne que va nous dire un officier. Un officier qui cn arrive. qui soit du front, qui longtemps l'a parcouru. Et afin que vous ne suspectiez pas cet officier d'être une pme invention de no- tre esprit, ni un socialiste, précisons ayant de lui donnés la parole que cet officier a publié l'article ci-dessous dans le a Temps g C'est toi Temps a de vendedi des. nier 7 août. - Et voici liartick LE MAROC FRANÇAIS EN PERIL Je reviens du Maroc, où j'avais repris du service dans les premiers jours de Mai et ad j'ai participé, cians les rang,s aie nos groupes meliiies, aux opérations sur l'Ouergha jusqu ô la fin de juillet. Tai vu notre front s'émietter sous l'am tien continue et habile de nos adversai- ., alors que, faute de moyens, nous n nos-Monta pas à rept-maire l'avantage. On ale trouvera ici aucun récit des opé- rations militmres, aucune critique, au- cime apôrmiation sur la marré. dont elles ont été nonduitcs. Les convenances, à défaut du réglem.era, imposent silence à l'officier en cette matière et lui inter- disent de parler de la camatagsre où il a servi comme des: ehefs sous les ordres desquels il a été -placé. D'ailleurs, si pa. rade:Pal que cela puisas paraître, la ma- nière dont l'action militaire fia menée n'a ;ollé qu'un rôle secondaire. Le noeud de la question retarocaine a été jusqu'ici et est encore non ait Maroc, ruais à Paris. - Le vice fondamental de notre politique depuis les événements du mois d'avril a été de ne pas envisager le problème- en soi, en ne tenant compte que de ses clamées propres, en le considérant, si l'on peut dire, clans sa nudité. Ott a eu l'impression, dés le début, eue le pou- Vesnement, au lien de s'attauhei unique- ment à diriger d'une - maia ferme les effanes marocames, t'est surtout Inculété de la répercusporii otte ces affatrea al. laient avoir sa' 1.C/111110R MI PhIS exatnc- ment sur ces., Mticust Panomentatrea Dans tende entreprtse bornais, et V.; tieldi,lyerneid à la guerre, quand on ne- glige le principal pour l'accessoire, quand on se laime détourner, de la route qui méric au but P005 s'engager dans des chemins de traverse, quand on biaise au lieu de marcher dmit, on met d'emblé cinquante pour cent des chances contre soi. Cest t.e qu'on n'a cessé de faire et telle est l'origine de nos déconvenues. De quoi s'agissait-il 0 De mettre pour toujours le Maroc français à l'abri d'atta- ques venant de la zone espagnole. On y a moins songé qu'à donner sattsfaction mi,queimm, partis politiques. Lorsqu on e.st contraint par une agression aussi bite u'inlestifiée dé faire la guerre, d faut faire la guerre et ras aurre nlsose, 'es ouod agis disaient les Romains. Four avoir méconnu ce meus précepte, en a été amené à commettre de graves erreurs dont les effets pésent encom lourdement sur nous. Il imiacerte de les signaler non pour récriminer sur le pas- sé, mais p.au coraprendre comment se sent créées les difficultés actuelles et en Prévonir le retour. La première de ces erreum a consisté à ne pas dire au public tout ce qui se passait sur le front. Depuis la fin d'avril, presque chaque journée a été marquée par la chute d'un poste, la défection d'une fraction de tribu, au gain de ter. sain de l'arversaire, un recul de notre ligne. On a passé ces événements sous silence et on les a présentés comme des incidents sans importance en usant et al-amont du vocable si commode d' 0 in- filtration v. Ie suis convaincu (M'en ietant ainsi nu Poila sur les faits on était aniregé des meil- 'tures intentions. On ne voulait pas luter le trouble dans les esprits eafioler l'opi- nion r. On espérait toujours qu'on ro. prendrait rapidement /e dessus et qu'on pourrait alors dire la vérité sans y métier rien de désagréable. Par malheur, la si- tuation continueuit à cuisiner et on s'est trouvé prisonnier de l'attitude qu'on avait prise les premiers jours. Il en est résulté qu'au commencement de juillet, ouand, après l'alerte de Taza, on a compris que, pour éviter la débâcle, il . était indispensable d'envoyer d'Immole tants tenforts au Maroc, on s'est vu bien en veule de l'exPliquer. Comment de-- Mairraa. sans transition des sacrificea au pays après avoir penrsisté pendant des secnafnes et des mois à laisser entendre que tout allait pour le mieux ? II tombe sons hure,, que quand on peut avoir exiger, un gros effort d, un nation, il ne faut pas lui dire sans cesse sur tous Ira tOnS que cet effort eat inutile. Or, c'est ecisotesr,ncn,nanin été fait. Les pouvoirs publics ont commis une autre faute, dont les conséquences ont Né malheureusement beaucoup plus futzse uz ad,00np,t..,an,,t r,d le cts tirlébe est de de l'eeveisiè On se rappelle que la pre- mière fois que le président du conseil a dcc t' itSati,PTIO'tl' à eroellItCh'unser' el)reuerz del et uoriot.' d a d'abatd cortugul titt'Alid el Kern s'était jeté Sur noms suas aucune prevccation, mais a ajouté, que nous étions ellsposés à faire la paix s'il le voulait et que, quoi qu'il arrivât, nous n'irions pas, nous, /e poursuivre chez lui. Il saute aux yeux qu'une pareille décla- ration, loin de pousser l'aventurier rifain à cesser ses attaques, ne p.ouvait que le fortifier dans ses projets offensifs. Qu'an imagine un commandant de gendarmerie chargé de mettre un terme aux agisse- ments d'un bandit détroussant les voya- geurs sur les routes, et qui lui dirait t S'il vous plaît, Monsieur le brigand, ne molestez plus les passants, mais soyez hies tranquille clans votre caverne, nous n'irons pas vous p chercher. e Le bon sens indique que le brigand n'en serait que plus à l'aise pour continuer, et Abd. el-Krim a continué. Les_pnroles prononcées à ce sujet à Plusieurs occasions, en même temps çu'elles ne pouvaient que stimuler rad- versaire, agissant fâcheusement sur le moral dc nes Innllnas soldats Presque chaque fois qu'on dépliait, au front, un journal venant de France, c'é- telt pour y lire, dans des déclarations of- ficielles, dans des discours au Palais- Bourbon ou des communications aux commissions parlementaires que le Ise- soin si, larmessupplémentaires ne se fai- sait nullement sciant au Maroc, qu'on y avait déjà assez de monde, que l'adver- saire était mal armé, suri, de nouvelles troupes, mais en petit nombre seraient encore exrpé. diées sur place, non pour des opérations que personne ne désirait ni ne rué-voyait, mais pour relever les effectifs engagés... a Es, s expnmant de cette sin- gulière façon, on n'oubliait cu'unc cho- se, cent qu'à la guerre on est deux et que si les opérations ne nous paraissaient pas demrables, a nous, Abd-el-Knm ne -partageait pas cet avis I il nous In bien fait voir. Nos hommes n'y comprenaient rien, d'autant plus qu'on leur imposait des ef- forts ininterrompus, qu'ils mas:citaient et combattaient sans arrêt au prÉg de fati- gues épuisantes et de Immes élevées. Voici un bataillon de teadlems maro- caina qui faisait partie du même Froalsa mobile aise moi. Avant la fin de juin, une de ses coropagmes avait eu son capi- taine tué, ses deux lieutenants blessés, son adjudant tué, tous ses sous-officiers européens tués ou blessés. Ce cas n'est pas unique. 1.1n erared nombre des unités engagées dès la première heure ont été ausSi vées que celle-là ou peu s'en faut. Aussi, 20 44/ on les avait expédiées tout de suite au lieu de s en tenir obstinément ô la mé- thode des petits paquets, méthode que ENVOYEZ ma t.E77WEB a COLIS -ALGÊRIE DAKA,t tas nue; rtgigggg P LIGNÉS AÉRIENNES LATÉCOÈRE PAR. a m nem, °bans, jour, la grève des banques s'étend et chaque jour les employés deviennent plus sympathiques et lems revendications pazaissent plus légitimes. On tes a lueu hier, ces revendications. Comment ne les trouvenall-on pas modestes et légitimes, et comment ne les approuve- rait-on pas I Ce que ms employés demati- ent peut se résumer en quelques mots reangerapennettant de faire face à rang- une Mame augmentation permettant de mentation fernidable des loyers et des transports, permettant aussi de nourrlr .nnene et d'élever ses enfants. tt Après avoir exposé, ce matin, la thèse des grévistes, le Ét Journal a publiait aussi o ce que répondent les banques la véritê, ce n'eat pas a les banques o qu'il faudrait dire, et, une fois de plus, il con- ad de souligner que les banques, pres- que toutes les banques, seraient très dési- MISCS de donner satisfaction à leur per- sonnel. Certaines délit l'ont fait par avance, et si, à la e Banque Nationale de Crée, à, ou â la à Société Gêne-ale », des employés se sont nus on prose c est unie ment lm sultdarité en neut-être même d'accord avec leurs patrons, afin qu'on en Musse avec esegitatinn sounde qui depuis tant de mois geme les affaires. Agitation qui provient simplement et uniquenrent de l'intransi- geance du « Credit Lyonnais e. C'est donc o lasse titre que le rédacteur du à Journal e est allé interviewer le directeur du Cré- dit Lyorninis.e; mais 61 ne devrait pas inti- taler son artmge Ce que répondent les banques mais simplement t a Ce que répond le Crédit Lyciandis Les déclarations du directeur du s Crédit Lyonnais s à notre confrère dépossent tout ce que l'on peut imaginer, et, à moins qu'il ne se soit payé la etc de notré con- frère, ce directeur de banque est d'une rare inconscience:. Les employés demandent de quo/ nourrir leur femme et leurs enfants. Avec un peu de pudeur ou simplement tic prudence, LUNDI 10 AOUT 1925 APRÉS LE MAROC, VOICI LA SYRIE EN FEU. IL M'AIT TEMPS OUE L'ON PARTIT DE LA RUHR ! tous sont unanimes à condamner en tiré); rie et qu'on voit invariablement apPEst quer dans la pratique. Tel est le bilan des trois premiers. mois; :de carntangne lionne Les opérations du jour Tasser, 9 août. Sur le front d'Otzegg zen, la mutation est calme. Dans la rétd gion d'Arbeona, un convoi de ravitaille- ment a atteint .nZafroun. L'artillerie du groupe mobile Freyden- berg a bom.bardé la région du Samar,. causant des pertes à l'ennemie. Sur le front de l'Ouergha, la situation, est stationnaire. - - Abd el Krira a renforcé ses sontingents: par des réguliers rifains, sur l'oued M'Sourn. L'en.nearti, e tenté dé trou.' d'h- l'oued, a été repoussé avec de grosses pertes. Dans la zone occidentale espagnole; les contingents des massifs montagneux ont reçu l'ordre d'aller à gauche- du Loukkos. Sur le front occidental, les Aigrins sa retranchent devant Tafersit-Afran. On prévoit une attaque sur ce point. Le général Pruneau est anivéhier soir à Casablanca par le vapeur tt Missouri L'échange des rapports entre les servis' ces de renseignements espagnols et cals a commencé, une ligne téléppboni-j oce-étant installée entre Alkezar-keliir Arbaua, dans la zone française. Les pre., reières dépêches ont été un échange de et de cordiales salutations. ' UN NAVIRE suspEeT SAISI SUR LA MOULOUYA Rabat, 9 août. A l'emboue:hum de la Moulaga, un mordre framtlls en sur-, veillance sur les eûtes a arraisonné un; bateau de pêche suspect ingnatricalé 5.1 Mélilla. Après la visite, l'équipage a été débat- gué près du cap de l'Eau, excepté le pa- tron eatti. avec son bateau, a 555 conduit à Oran. Instantané du Congrès des instante.» où Dm adhanton O la C. G. T. vient d'ana décidée. Un petit bleu du " Feta itVeu" LA GRÈVE DES BANOUIERS DURE TROP LONGTEMPE car le jeu pourrait bien finir mar devenir anildereuX le directeur, avant que de répondre g cette reveratication, entrait du chercher dans la rubrique dés daplage- ments des feuilltes mondaines on am/ actueffiement émut de s. adminiatratcurs qui sont céjà en vacances, (Mets tarifs ils paient dans les hôtels où ils se reposent des fatigues de lenes enployes, ou, s'ils ne - sent pas à l'hôtel, quoi train de vie ils mettent dans les villas et châteaux que ces grands financiers possèdent au bord de la mer ru au coin cies bois. Peut-Mrc aurait- il gonipris alors l'insotieuce dc ses apuré,- Maous sur tgs'oeseins des amployés. ers Les employés demandent uu irallemaut qui leur permette de faire face à la terri- ble augmentation que angoissent les loyers, La encore, avant que d'estimer cette reven- tilcation instillée, le directeur du à Crédit Lyonnais aurait dû, comme nous venons Oc le faire, ouvrir l' a Annuaire (Mata e imago 197; il y aurait trouvé ces huit- cations (tREDIT LYONNAIS Lyon (siege social) Palais du COnnnevve Pans (siège centra. t 13, boulevard fieS Italiens -- Conseil d'administration z MM. . Bethenod (Emiie), 6, avenue de messine, h Paris, président honoraire. Brincard (baron G.), 89, rue du Pau- boum-Saint-FIonore, à Paris, président. Fabre-Luce (Edmond), 56, avenue mut BoissdeoBoulogne, à Paris clee-président. Moulinier (André), Il, rue Chazières, q Lyon, vicupresident. Motel (Ennernond), 20, rue Lutons, à Lyon. Rosselli Glenes), 15, avenue de Page sine, à Paris. Trégornain BBL phice 3talaher. bes, à Paris. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Upload: dinhcong

Post on 11-Sep-2018

212 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: 20 - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B315556101_MIDSOC_1925... · En 1905, l'abbé Delsor, un des si-gnataires de la plainte, ... tout

me

ANNEE N.

ABONNEMENTS

004,:urr:6430W.23 fr.: an. 45 ft,

Douze sénateurs d'Aqsace-Lorri-

les généragAStaijal

Hirschauer, le colonel0.ufaieh et 11M, Bora-perd, Lazare

ds berthieg,WMiller es Scheurer, Eccard, de

,er, licimer et l'abbé Delsor,e ne'sdé au Grand ChancelieroCt rayé des cadres de la

rin esd'honneur, poser avoir dit,

qevant 1914, les Alsaciens-Lorrains

ne tenaient pas redevenir Français

a pris d'une guerre franeo-alleman-u ce qui, à entendre les pétition-'aires, constituerait une insulte pour

eurscompatriotes et une injure pour

a France.En tenant ce 'langage, je mop-uyais sur les déclarations faites pu-

n nt par Mgr Gelas, député et

va orde Strasbourg, par I abbeVi'terlg. par El, llicKlin, députe ca-

tholique d'Alsace ; par lai. PeYrottesiinaire de Strasbourg ; enfin par la

Piète d'Alsace-Loirraine, déclarations

pue j'ai reproduites textuellementdans le Midi du début de juillet der-nier 0).

Voici d'autres déclarations pluscatégoriques encore

En 1905, l'abbé Delsor, un des si-

gnataires de la plainte, a écrit dansle journal allemand le Volkosbotearticle dont j'extrais ce qui suit, enreproduisant en caractères italiquesles passages les plus significatifs

Si les Francais renonçaient ànous nitres M43:eien.371,0r7a/nS, onne pourrait que leur Cil être recon-naissant. leur gouvernement a rom-pu avec le Bon Dieu, avec le Pape,avec tous les principes de l'ordreéternel. La conséquence logique d'unsemblable état tir choses est la ruineproeludne de ce peuple dégénéré,heur produire la débâcle finale, ilsuffira de queknies crains de pied ha-bilement envoyés. L'empereur aile-°Und se chargera de cette besogne,é l'égard de ses stupides voisins. »

Déj5, en 1903, l'abbé Weter/é avaitdit

« Il ne nicotine pas chez nous d'es-Prits qui voudraient nous entraînerdans les mêmes 'troubles que la Fran-ce. Mais, le Gouvernement allemanda su, Dieu merci, résister à leurs dé-

« L'illustre vieillard qui veille surles destinées du catholicisme ri misea main bénissante dons la mainloyale de l'emperely alllemand, etce geste symbolise l'union de la plusgrande puissance morale et de lafilo grande puissance matérielle dcnotre temps ».

Ces renseignements et ceux quisuivent sont extraits d'un livre que,sous le titre La Paix malpropre, M.Alcide Ebray, ancien consul généralet résident de France vient de faireparaltre à la Librairie italienne, 21,rue du 4 Septembre à Paris.

En 1905, l'assemblée dite le Lan-desausschus, représentation élue desdeux anciennes provinces françaises,a émis, à l'unanimité, le voeu que cesprovinces deviennent une urine/P./-té indépendante, sous la suzerainetéde l'Empereur d'Allemagne.

Le 13 mars 1913, les représentantsdes trois partis alsaciens-lorrains se

itt Car., pour le lecteur qui n'autaitMidi de juillet 1925, je

6 mat 1913. la Dilète d'Alme-Lorrainu,Nabs amante des chefs des quatre grgmelieu, MM. Ham), LArgoise. Wolf e:ruais eve joint le Docteur M'in. préadent

'5...da chambre, a voté a l'unanimité, larésolut, ixonte

la Chambre d'inviter le Statthalter, breprésente. de l'Alsace-Lorrerne

ns telles qu'ils s'opposent résolument

nus, n u%'tkrinri=tt.ellirsZléClérialNova. de nature à amener un mo-ntre les deux gays, seul moyen de

à la concurrence des annementsr

mune. de cette résolution, j.u maire de Stragboura. déposantau procès de l'asnssin de Jaurès,

tai du sermentte, d'accord. Nous ne voulions

i.Aus uu d orra>St y sa,, une ov<iv,ma-Line. »1"2. Weterlé à Ferdinand Hauser,

adaciav Journal, la déclaration arrivante r

uad.rzs Qe vaudmit la déclarer 7 Quira responsabilité d'un tel acte 7 I-. Pm-

au 1. Alsacel-orraine, avec ses quinze ce.àalmants. VC7,erk la mort da ',halena mil-

avril 1913, M. Rieldln a dit à André Morilet,aradllul maire de Boulogne r

A.Iseee bout qu'on le aselle en FranceLuteeerliàElle._ refuly,ttount

cadre d'évoluer dam le

d,luer,fto.v..r 1874.. Me Pa,'avart dit au Reicha., r

. ' gUt nom das catholiorres Alsaciens-Lorrains.

L'ALSACE GERMANOPHILE

Rédaction et Administration t 36, Rue Roquelaine TOULOUSE - Tél. 0-43 - Compte Chèques poetaus 3311BUREAUX A PARIS r 3, Rue d'Andmiae, s (n. Téléphone t Central on-off

sont réuni à la Bourse de Mulhouse,et ont voté, à l'unanimité, la résolu-tion suivante

e L'assemblée requiert le Parle-ment d'Alsace-Lorraine, issu du nui-rage universel de se déclarer éner-giquement contre une guerre entre laFrance et l'Allemagne. Elle exprimele vu que Mus les litiges pendantsentre les deux peuples soient solu-tionnés à l'amiable, pour le présentet pour l'avenir, »

Le II juin 1917, à l'oceasion de laclôture de la session du Landtagd'Alsace-Lorraine, il s'est produit àStrasbourg, en pleine guerre, deuxmanifestations plus importantes en-core que celle du meeting de Mut-

'DocteurDocteur Hoffel, un Alsacien,président de la première chambre, aprononce le discours suivant

5 Nous n'avons pas voulu cetteguerre. Notre peuple alsacien-lor-rain n'avait pas de désir plus pres-sant que de rester ce qu'il était ; pasd'autre conviction que celle-ci lesalut de notre pays se trouve dons lemaintien de l'état de choses existant.

« Nous savons par expérience ceque nous devons à l'empire allemandce serait de l'ingratitude de ne pasle reconnaître.

5. Messieurs, en 1871, le sort nousa ramenés à l'Allemagne. N0i1Ssommes étroiteMent unis, aux pointsde vue économique, ethnographiqueet linguistique.

5 Nous sommes pénétrés de la con-viction que, pour l'Alsace-Lorraine,on ne peut espérer un avenir pros-père et paisible que de son unionavec l'Empire allemand, auquel nousrestons fidèlement attachés. »

Le même jour, le Docteur Ricklin,un Alsacien lui Paella président de laseconde chambre a dit

Le peuple alsacien-lorrain re-pousse absolument la pensée quecette épouvantable effusion de sangsoit poursuivie à cause de titi. Il incdésire rien d'autre que d'assurer sonavenir constitutionnel, dans uneunion indissoluble avec l'Empire al-lemand (Applaudissements).

5 Vos applaudissements, mes-sieurs, me montrent que je vous aiparlé suivant votre coeur. C'est danscet esprit que nous crions t

Vine l'Alsace-Lorraine ! Viventl'Empire allemand et l'Empereur al-lemand fa

Après ces déclarations, on se de-mande comment les douze sénateursd'Alsace-Lorraine ont pu signer leurplainte au Grand Chancelier. N'est-ce pas l'abbé Delsor qu'il faudraitrayer des cadres de la Légion d'hon-neur ? N'est-ce pas nomme qui aosé écrire que noirs étions

Un peuple dégénéré ;Un peuple stupide dont la ruine

s'impose ;Un peuple auquel l'empereur alle-

mand saurait envoyer le coup fiepie néceesaire, pour produire ladébâcle finale

Général PERCIN,

RU JOUR LE JOUR

La cocotte inpdèleTrompé par sa bonne amie, un banquier parb

tien demandait eau juges de la première cham-bre du Tribunal Civil de lai Saira readre ses , tairainettes s, te Lieus dire tous tee cadeaux qu'ilavait faits à ?ingrate au coure diane liaison assaxlongue, cadeaux consistant an Un demi millionde aide, te, mobilier. Oc.

Car il y a an certain article da Code Civil quilpduza,..t t,,aeoiacar:%nd te: ,,dontroi,:,uore,,,np

,ail

l'amour, c'est toujours de ?ingratitude que I«trahison cites, vu ami généreux.

En somme, le finaneier paré de /a maffias d'A,.téon demandait à D )0(1,a cas marcumntPUPir ?infidèle en lui retirant te produii de seslibErsslités, mais dc prononcer qua la fidélité est

I, dexxsir de l'amante comme d est celui de/Wons..

Ce ramageais ne se doute eedainernent paa

qu'on agissant ainsi il sapait avec la yoga& /!`dé... une des racines de la société. Lie s'agis-wit,i1 pas, en effet, sic donner sas Sala,,, at,atà)

Fanion libre d'accorder à lar main gauche lesmimes prérogatives qu'a te Mune

Les sages magistrats ont mi traquenasd.

Le concubin.na necrée aucune obligation de

fidélité, ont.ils déclaré,L'amie Mage gardera donc ras petits cadeaux.

Juridiquement elle g a droit.Si las jages de Paris avaient "5" rif,prez-

eknce de faire jurisprudence a an la niatilire

gel coupeellt été non, nladne. ec

pauvre mariage légetcléld teilentent sibranle par

le disiorce ailes manades naoctr7e fOrniniries,sts,en

Ow sel rinercle mur

beau Bmda *Ce

SOCIALISTE

quand les survivants lisaient des phrasestedittle Celle que j'ai citée phas haut, leurpremier sentiment était la colère, quesuivait bientôt une morne résignation,le Pire état desorit Pour le comilliattant.

Pendent plus de deux mois, la snétro-pene n'a que trop tenu parole. Elle n'aenvoyé que peu de renforts et quelslaies I En grande majorité des Sénéga-lais dont nous avons vu débarquer suc-cessivement quinze bathillons, suivis d'unrégiment malgache.

Les noirs expédiés de France ou d'At-gérie n'étaient certainement pas de tai).le à faire face en rase camnagne à unennemi aussi redoutable que les Riffains.Aussi en étsit-on réduit peur les attaquer,aux légionnaires, aux tirailleurs mato-cains. à quelques unités algériennes etPux cinq bataillons français (zouaves etinfanterie coloniale). Cr Sont eux quiétaient invariablement chargés de tou-tes les missions difficiles et qu'on a par-tout vus en première ligne au combat,lamais il n a été plus vrai de dire que

-e ce sont toujours les PlearteS put se font

ns ces conditions, i/ devenait patentque seulement de l'excès du mai pourraitnaître /e remède. C'est en effet ce quis'est produit. D'ans les ppremiers joursde juillet, quand on a Pu redouter, aprèsla défection des Tsoul et des Brase, devoir les Riffaim faire leur jonction avecles dissidents de la tache de Taza, cou-per les communications entre l'Algérie etle Maroc, occidental, prend Fez à revers,

I on s'est résigné enfin à diriger trois divi.d'après un oflicier qui en vient sMns sur le Maroc. Nous n en serionsJl

j pas arrivés ô cette situation fâcheuse si

LA RUHR EST EVACUEF-

- Si iétais cramé, mon elles ne lameraient Pas maintenant.

CE OUI SE PASSE AU MAROC

Que se pasSe-.sril ale Mar.Quelles fautes y furent commisesQuel bourrage de erâne nous inflige-

t-on ?C'est ne que va nous dire un officier.Un officier qui cn arrive. qui soit du

front, qui longtemps l'a parcouru.Et afin que vous ne suspectiez pas cet

officier d'être une pme invention de no-tre esprit, ni un socialiste, précisonsayant de lui donnés la parole que cetofficier a publié l'article ci-dessous dansle a Temps g

C'est toi Temps a de vendedi des.nier 7 août. -

Et voici liartick

LE MAROC FRANÇAIS EN PERIL

Je reviens du Maroc, où j'avais reprisdu service dans les premiers jours deMai et ad j'ai participé, cians les rang,saie nos groupes meliiies, aux opérationssur l'Ouergha jusqu ô la fin de juillet.Tai vu notre front s'émietter sous l'amtien continue et habile de nos adversai-., alors que, faute de moyens, nousn nos-Monta pas à rept-maire l'avantage.

On ale trouvera ici aucun récit des opé-rations militmres, aucune critique, au-cime apôrmiation sur la marré. dontelles ont été nonduitcs. Les convenances,à défaut du réglem.era, imposent silenceà l'officier en cette matière et lui inter-disent de parler de la camatagsre où il aservi comme des: ehefs sous les ordresdesquels il a été -placé. D'ailleurs, si pa.rade:Pal que cela puisas paraître, la ma-nière dont l'action militaire fia menéen'a ;ollé qu'un rôle secondaire. Lenoeud de la question retarocaine a étéjusqu'ici et est encore non ait Maroc,ruais à Paris. -

Le vice fondamental de notre politiquedepuis les événements du mois d'avril aété de ne pas envisager le problème- ensoi, en ne tenant compte que de sesclamées propres, en le considérant, si

l'on peut dire, clans sa nudité. Ott a eul'impression, dés le début, eue le pou-Vesnement, au lien de s'attauhei unique-ment à diriger d'une - maia ferme leseffanes marocames, t'est surtout Inculétéde la répercusporii otte ces affatrea al.

laient avoir sa' 1.C/111110R MI PhIS exatnc-

ment sur ces., Mticust PanomentatreaDans tende entreprtse bornais, et V.;

tieldi,lyerneid à la guerre, quand on ne-glige le principal pour l'accessoire, quand

on se laime détourner, de la route quiméric au but P005 s'engager dans deschemins de traverse, quand on biaise aulieu de marcher dmit, on met d'emblécinquante pour cent des chances contresoi. Cest t.e qu'on n'a cessé de faire ettelle est l'origine de nos déconvenues.

De quoi s'agissait-il 0 De mettre pourtoujours le Maroc français à l'abri d'atta-ques venant de la zone espagnole. On y

a moins songé qu'à donner sattsfaction

mi,queimm, partis politiques. Lorsqu on

e.st contraint par une agression aussi

bite u'inlestifiée dé faire la guerre, dfaut faire la guerre et ras aurre nlsose,

'es ouod agis disaient les Romains.Four avoir méconnu ce meus précepte,en a été amené à commettre de graveserreurs dont les effets pésent encomlourdement sur nous. Il imiacerte de les

signaler non pour récriminer sur le pas-

sé, mais p.au coraprendre comment se

sent créées les difficultés actuelles et enPrévonir le retour.

La première de ces erreum a consistéà ne pas dire au public tout ce qui sepassait sur le front. Depuis la fin d'avril,presque chaque journée a été marquéepar la chute d'un poste, la défectiond'une fraction de tribu, au gain de ter.sain de l'arversaire, un recul de notreligne. On a passé ces événements soussilence et on les a présentés comme desincidents sans importance en usant etal-amont du vocable si commode d' 0 in-filtration v.

Ie suis convaincu (M'en ietant ainsi nuPoila sur les faits on était aniregé des meil-

'tures intentions. On ne voulait pas luterle trouble dans les esprits eafioler l'opi-nion r. On espérait toujours qu'on ro.prendrait rapidement /e dessus et qu'onpourrait alors dire la vérité sans y métierrien de désagréable. Par malheur, la si-tuation continueuit à cuisiner et on s'esttrouvé prisonnier de l'attitude qu'onavait prise les premiers jours. Il en estrésulté qu'au commencement de juillet,ouand, après l'alerte de Taza, on acompris que, pour éviter la débâcle, il .

était indispensable d'envoyer d'Immoletants tenforts au Maroc, on s'est vu bienen veule de l'exPliquer. Comment de--Mairraa. sans transition des sacrificea aupays après avoir penrsisté pendant dessecnafnes et des mois à laisser entendreque tout allait pour le mieux ? II tombesons hure,, que quand on peut avoirexiger, un gros effort d, un nation, il nefaut pas lui dire sans cesse sur tous IratOnS que cet effort eat inutile. Or, c'estecisotesr,ncn,nanin été fait.

Les pouvoirs publics ont commis uneautre faute, dont les conséquences ontNé malheureusement beaucoup plusfutzse uz ad,00np,t..,an,,tr,d lects tirlébe est de

de l'eeveisiè On se rappelle que la pre-mière fois que le président du conseil a

dcc t'itSati,PTIO'tl' àeroellItCh'unser'el)reuerzdel et uoriot.' d a d'abatd cortugultitt'Alid el Kern s'était jeté Sur noms suasaucune prevccation, mais a ajouté, quenous étions ellsposés à faire la paix s'il levoulait et que, quoi qu'il arrivât, nousn'irions pas, nous, /e poursuivre chez lui.

Il saute aux yeux qu'une pareille décla-ration, loin de pousser l'aventurier rifainà cesser ses attaques, ne p.ouvait que lefortifier dans ses projets offensifs. Qu'animagine un commandant de gendarmeriechargé de mettre un terme aux agisse-ments d'un bandit détroussant les voya-geurs sur les routes, et qui lui dirait t

S'il vous plaît, Monsieur le brigand, nemolestez plus les passants, mais soyezhies tranquille clans votre caverne, nousn'irons pas vous p chercher. e Le bonsens indique que le brigand n'en seraitque plus à l'aise pour continuer, et Abd.el-Krim a continué.

Les_pnroles prononcées à ce sujet àPlusieurs occasions, en même tempsçu'elles ne pouvaient que stimuler rad-versaire, agissant fâcheusement sur lemoral dc nes Innllnas soldats

Presque chaque fois qu'on dépliait, aufront, un journal venant de France, c'é-telt pour y lire, dans des déclarations of-ficielles, dans des discours au Palais-Bourbon ou des communications auxcommissions parlementaires que le Ise-

soin si, larmessupplémentaires ne se fai-sait nullement sciant au Maroc, qu'on yavait déjà assez de monde, que l'adver-saire était mal armé, suri, de nouvellestroupes, mais en petit nombre seraientencore exrpé. diées sur place, non pour desopérations que personne ne désirait ni nerué-voyait, mais pour relever les effectifsengagés... a Es, s expnmant de cette sin-gulière façon, on n'oubliait cu'unc cho-se, cent qu'à la guerre on est deux etque si les opérations ne nous paraissaientpas demrables, a nous, Abd-el-Knm ne-partageait pas cet avis I il nous In bienfait voir.

Nos hommes n'y comprenaient rien,d'autant plus qu'on leur imposait des ef-forts ininterrompus, qu'ils mas:citaient etcombattaient sans arrêt au prÉg de fati-gues épuisantes et de Immes élevées.Voici un bataillon de teadlems maro-caina qui faisait partie du même Froalsamobile aise moi. Avant la fin de juin,une de ses coropagmes avait eu son capi-taine tué, ses deux lieutenants blessés,son adjudant tué, tous ses sous-officierseuropéens tués ou blessés. Ce cas n'estpas unique.

1.1n erared nombre des unités engagéesdès la première heure ont été ausSivées que celle-là ou peu s'en faut. Aussi,

2044/

on les avait expédiées tout de suite aulieu de s en tenir obstinément ô la mé-thode des petits paquets, méthode que

ENVOYEZ ma t.E77WEB a COLIS

-ALGÊRIEDAKA,t tas nue; rtgigggg

P

LIGNÉS AÉRIENNES LATÉCOÈREPAR.a m nem,

°bans, jour, la grève des banques s'étendet chaque jour les employés deviennentplus sympathiques et lems revendicationspazaissent plus légitimes.

On tes a lueu hier, ces revendications.Comment ne les trouvenall-on pas modesteset légitimes, et comment ne les approuve-rait-on pas I Ce que ms employés demati-

ent peut se résumer en quelques motsreangerapennettant de faire face à rang-

une Mame augmentation permettant dementation fernidable des loyers et destransports, permettant aussi de nourrlr.nnene et d'élever ses enfants. tt

Après avoir exposé, ce matin, la thèsedes grévistes, le Ét Journal a publiait aussio ce que répondent les banques lavéritê, ce n'eat pas a les banques o qu'ilfaudrait dire, et, une fois de plus, il con-

ad de souligner que les banques, pres-que toutes les banques, seraient très dési-MISCS de donner satisfaction à leur per-sonnel. Certaines délit l'ont fait par avance,et si, à la e Banque Nationale de Crée, à,ou â la à Société Gêne-ale », des employésse sont nus on prose c est unie ment lmsultdarité en neut-être même d'accord avecleurs patrons, afin qu'on en Musse avecesegitatinn sounde qui depuis tant de moisgeme les affaires. Agitation qui provientsimplement et uniquenrent de l'intransi-geance du « Credit Lyonnais e. C'est donco lasse titre que le rédacteur du à Journal eest allé interviewer le directeur du Cré-

dit Lyorninis.e; mais 61 ne devrait pas inti-taler son artmge Ce que répondent lesbanques mais simplement t a Ce querépond le Crédit Lyciandis

Les déclarations du directeur du s CréditLyonnais s à notre confrère dépossent toutce que l'on peut imaginer, et, à moinsqu'il ne se soit payé la etc de notré con-frère, ce directeur de banque est d'une rareinconscience:.

Les employés demandent de quo/ nourrirleur femme et leurs enfants. Avec un peude pudeur ou simplement tic prudence,

LUNDI 10 AOUT 1925

APRÉS LE MAROC, VOICI LA SYRIE

EN FEU.

IL M'AIT TEMPS OUE L'ON PARTIT

DE LA RUHR !

tous sont unanimes à condamner en tiré);rie et qu'on voit invariablement apPEstquer dans la pratique.

Tel est le bilan des trois premiers. mois;:de carntangne lionne

Les opérations du jourTasser, 9 août. Sur le front d'Otzegg

zen, la mutation est calme. Dans la rétdgion d'Arbeona, un convoi de ravitaille-ment a atteint .nZafroun.

L'artillerie du groupe mobile Freyden-berg a bom.bardé la région du Samar,.causant des pertes à l'ennemie.

Sur le front de l'Ouergha, la situation,est stationnaire. - -

Abd el Krira a renforcé ses sontingents:par des réguliers rifains, sur l'ouedM'Sourn. L'en.nearti, e tenté dé trou.'d'h- l'oued, a été repoussé avec de

grosses pertes.Dans la zone occidentale espagnole;

les contingents des massifs montagneuxont reçu l'ordre d'aller à gauche- duLoukkos.

Sur le front occidental, les Aigrins saretranchent devant Tafersit-Afran. Onprévoit une attaque sur ce point.

Le général Pruneau est anivéhier soirà Casablanca par le vapeur tt Missouri

L'échange des rapports entre les servis'ces de renseignements espagnols etcals a commencé, une ligne téléppboni-joce-étant installée entre Alkezar-keliirArbaua, dans la zone française. Les pre.,reières dépêches ont été un échange de

et de cordiales salutations. '

UN NAVIRE suspEeT SAISISUR LA MOULOUYA

Rabat, 9 août. A l'emboue:hum dela Moulaga, un mordre framtlls en sur-,veillance sur les eûtes a arraisonné un;bateau de pêche suspect ingnatricalé 5.1

Mélilla.Après la visite, l'équipage a été débat-

gué près du cap de l'Eau, excepté le pa-tron eatti. avec son bateau, a 555 conduità Oran.

Instantané du Congrès des instante.» où Dm adhanton O la C. G. T. vient d'ana décidée.

Un petit bleu du " Feta itVeu"

LA GRÈVE DES BANOUIERS

DURE TROP LONGTEMPEcar le jeu pourrait bien finir mar deveniranildereuX le directeur, avant que derépondre g cette reveratication, entrait duchercher dans la rubrique dés daplage-ments des feuilltes mondaines on am/actueffiement émut de s. adminiatratcursqui sont céjà en vacances, (Mets tarifs ilspaient dans les hôtels où ils se reposent desfatigues de lenes enployes, ou, s'ils ne -

sent pas à l'hôtel, quoi train de vie ilsmettent dans les villas et châteaux que cesgrands financiers possèdent au bord de lamer ru au coin cies bois. Peut-Mrc aurait-il gonipris alors l'insotieuce dc ses apuré,-Maous sur tgs'oeseins des amployés.

ersLes employés demandent uu irallemaut

qui leur permette de faire face à la terri-ble augmentation que angoissent les loyers,La encore, avant que d'estimer cette reven-tilcation instillée, le directeur du à CréditLyonnais aurait dû, comme nous venonsOc le faire, ouvrir l' a Annuaire (Mata eimago 197; il y aurait trouvé ces huit-

cations(tREDIT LYONNAIS

Lyon (siege social) Palais du COnnnevvePans (siège centra. t

13, boulevard fieS Italiens--Conseil d'administration zMM. .

Bethenod (Emiie), 6, avenue de messine,h Paris, président honoraire.

Brincard (baron G.), 89, rue du Pau-boum-Saint-FIonore, à Paris, président.

Fabre-Luce (Edmond), 56, avenue mut

BoissdeoBoulogne, à Paris clee-président.Moulinier (André), Il, rue Chazières, q

Lyon, vicupresident.Motel (Ennernond), 20, rue Lutons, à

Lyon.Rosselli Glenes), 15, avenue de Page

sine, à Paris.Trégornain BBL phice 3talaher.

bes, à Paris.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: 20 - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B315556101_MIDSOC_1925... · En 1905, l'abbé Delsor, un des si-gnataires de la plainte, ... tout

2 1.1111.911.1EA ,,..,4_,T,4SISISIMUSPESSO114

Plates (Paul), 15, place Carnot, à Lyon.Sehneider (Eng.), 34, cours Albert-ler, à

Paris,Lehideux (liages), 114, avenue des

Ehamps-Elysécs, à Paris.13,0131Y (Alfred), 1, rue Moncey, Paris.Les administruteurs, on le voit, ne

logent pas dama des tees-tiers où les appar-tement ont la réputation d'être bon mar-ché. Peut-être te directeur, avant <le ré-pondre, aurait41 dû se demander combienles administrateurs payent de loyer becsadresses esse demander aussi combien,Parmi eu.'

cc payent pas de Inter, Par.quit. sont propriétaires des fastueux im-meubles qu'ils habitent.

seeliais où le directeur du « Crédit Lyon-

nais » devient presque ercilique, c'est lors-qu'il cherche à no. apitoyer sur le sortdes malheureux actionnaires, et lorsqu'ilpunir oint dividende qu'il fondrai t diminuer.

Diminuer le dividende 1La bic affaire ID'autant que si on le diminuait cela feraitpeut-être une smiame importante au pointparie du dividende qu'il faudrait diminuer.rait pas beaucoup le revenu de chaqueactionnaire. Mais, la encore, 10 directeuraurait été bien svisé en consultant, unefoi sic plus, l' ilmnuaire Cbaix n. A larame page mile ceûle que no. citions toutà l'heure, il aurait trouvé, sur le divi-dende, les précisions suivantes t

COURS MOYEN ET REVENUDES ACTIONS, DE 1914 A 1823

Coursmayen Revenu- -

1914 1.576,75 lu1915 1.021,58 301911 1.132,70 401917 3.151,14 401918 1.143,14 501919 1,174,04 601920 1403,10 701921 1.118,03 701923 /.396,47' 701923 1,593,13 70

On le yoit, la situ,ation des actiunnaireslisté pas telimnent datee de pitié et ladifférence de revenu entre 1914 et atlioar-d'hui esl tout de même aPprécialge.

Mais le directeur du a Crédit Lyonnais »,gni fergéntent, doit étre mnicmeue de chif-fres, devrait °ion savoir que la questionIn dividende est secondaire. Le dividen.,

ca n'a aucune importance n n ce sont lesbénéfices qu'il Lant voir ». Or, les bénéfi-ces ont passé de 33 millions environ à43 millions environ; il y a là un petit écart.d'unc dizaine de millions avec loquet onpeut p,cut-ètre donnes eitiercatain atm em-gloyés. Il devient même iniprudent dé par-ier de dividende, Pmee <Me, eki n'a 1336 êtaaffluente c'est .3queineot Parce quo Vita-tilissemedt a thésaurisé et que /a od il muevan distribuer dix millions de Plus â sesactionnaires, il a préféré les gaz-der dansses caisses. Et eelit précisément rappellegalle a au Crédit Lyonnais des relier-vos d'une Intime/an. formidable où l'onpetit trouver 'tout A la foi.s de quoi satis-faire tes désirs légitimes des employés etles exigences très naturelles des actionnai-

Le directeur da « Crédit Lyonnais 3joue encore sur les mots, lorsqu'en parlantnu

dividende'Petit /impôt déduit. »

Naturellement, impôt déduit. Est-ce qu'ilaurait la prétention que eo mit PeindelaYMqui pale l'impôt soi est dû ô l'Etat

Léon Bellby, bosseur peut accuserd'avoir des idées subteraires, disait avecraison, dans son article d'aujourd'hui ;

Les baffles ne peuvent ignorer ce-pendant qu'en cette admire l'opinion, trèsfranchement, leur tourne le dos. D sembleimnioral pour le public que des hommes etdes femmers dont les amies laissent, toutle long da jour, le pactole leur couler àMeyers les doigts, en soient réduits polirleur compte persounel.à une Médiocrité devie indécente, s

Médiocrité dont l'injustice ressort davan-tage, qu.aind on lu compare avec le faste etl'o3sulente de ceux qui leur refusent latoute petite bouehée de pain supptésnen-taire qu'Es demandent.

/sa guerre, qui aurait dû niveler les des-ses on raison des dangers courus en com-mun et de l'assistance mutuelle que Ponse donnait alors, a rapproché le Timmlu etl'aristocratie, tuais il semble eine la hautebourgeoisie ait conservé une arrogance

L'on assure que, lorsqu'une d,édéigfftion dosemployés du Crédit Lyonnais a demandaune entrevue à Si, faine' 1,00e, ce hautpersonnage se -renfrogna et d'un ton arro-gant répondit que lo ° chef du person-nel receiniait ç arc meseleues e dong deusou trois jours, mais après les heures .le10000415. Et pourtant, parmi ces mes-sieurs », il en était beaucoup qui étaientd'anciens combattants, qui étaient des mu-tilés, qui étaient des héros de la guerre,oyant gagné la croix de la Iségoinneur su rte c hanta de bataille et qui, dansles tranchées, étaient peut-être les catnere-des des 111s, des gendres et des neveuxdes administrateurs. De ceux gni y sontmités, hien entendu.

ri*-*

Ce ne sont pas les emploYés - et lepublic le comprend bien - qui sont remponsaleks de ha grève actueêle. Ce n'estam; à eux qu'incombe la responsabilitéd'une entrave aux opérations de l'Emprunt.

C'est pourquoi l'on s'étonne qu'av. Suninergie habituelle, avec sa brutalité si

utile parfois, et si tonabk souvent, M. Cail-laux, ministre des limanc., lorsqu'il re-çut les direeteurs des banques, ne kur aitpas dit, comme il convenait de le dire, com-bien deur rôle était odieux en raison del'heure préser te.

On est surpris aussi qu'il ne leur ait pasfait comprendre tipte leur Intransigeance sotournait contre euxerèmes et qu'ils ou-i:Paient par trop que nombreux sont lesdéputés qui, au Park:ment, demandent quel'on organise enfin un contrôle sur les«vite, dont ils:usent à leur guise et par-fois ebusent, au point que, dans des cir-coustanc. graves, l'argentin 'est plus là et

s.nt forcés tl'implorer - oh sansarrogance, cette fms - un moratorium.

L. banques en feront tant, se tiendronttellement antipathiques, feront tellententhien compterai-c qu'a cerains momentselles peuvent être népstes que le jour estpeut-être proche où xl siec sera même Musg estion de contrôleur leurs dépôts et leurs

érations, mais où l'on discutera et décré-a leur nationafisation.r, lu nationalisation des lm/mules serait

n plus fautée, bien plus aisée que celledes assurances on de toute autre industrie.Avec son organisation actuelle, la s Ban-gste do prgns° en quelques heures, peutprendre en main les services, et les cm-

obis de toutes les banques, Pas na sitor décret, cesseraient, en quelquestants, et s.s pi:Valet on s'en dontd'être des employés pour devenir defoiredinnnaires de l'Elat. Il ne resteraitplus, enSulte, qu'à modifier quelque peu lesservices des antres grandes banques d'Etat,

11 est c,tains nionopolts dont l'exploi-tation par l'Etat n'est pus désirable, Pascoque l'Etat est mauvais commet çant. Il n'enya pas donneur lorsqu'il s'agit de certainsgrands organismes, on hien ou pour les

Chemins de fer de YOUest a, qui ne sontdevenus un ré.. normal -- et l'on peutpreSque dire parfait - qlte da jour où ilssont devenus les jelertlitts de fer del'Etat

Il eu seraia da même pour les banques,e puiblle et l'Epargne y trouveCalent Pins

sécurité:, et l'Elat ne se trouverait pastramp suave ml en butte b La mauvaiseeadené distiministraietles, Presque tons ee-ymis du régime actuel.

Dans mis réjyablIque, Tes dirigeants delsr tes barques doivent être rkehlicains,

ou l'Etat sirt métier de dupe. On sien...oit une fais de plus aujourd'hui.

Alfred OW.MAN.Dinecteur un e Petit Bleu z,

)

LA GREVE GENERALE REPOUSSEEEN PRINCIPE

Paris, 9 août. -- Le congrès de la Fé-dération de la finalise a tenu, ee mem,une réunion à la Bourse du Travail. Ilsrepoussé le principe de l'ordre de grèvegénérale et a envisagé la création d'ançoirté de grève, dit comité national, quiaura pour mandat d'intensifier le mou-vement en proyince.

' DANS LES DEPARTEMENTSA Nancy, une réunion, à laquelle as-

systaient environ 300 en:ployés des éta-blissements financiers, a eu lieu hieraprès-midi. Un ordre du jour, se termi-nant par radhesion au mouvement gré-visse, a rallié que/ques voix à mine. Enprésence de ce résultat les momoteurs dela réunion ont donné rendez-yens à leursauditeurs pour mardi prochain..

A Toulon, les employés d'une succur-sale d'une grande banque parisienne ontdécidé, après un vote eecret, de ne pasprendre part à la grève des employés debanque-

Les employés et dames employées desbanques régionaks de Lille et des suc-cin8sles Parisiennes, réunis cet apiès-midi à rappel du cartel intersyndical-,après avoir entendu le compote rendude l'action menée par le cartel intersyn-dical, en vue de faire aboutir leurs reven-dications, ont voté, au bulletin secret, unordre du nus. dans lequel ils décident,pour lundi, la grève des employés desdeux sexes de Lille et des emvirons -cmgagent les villes voisines à s associer aumouvement général et déclarent se metitre à la dispositien des pouvoirs publics,pour assurer le service de l'emprunt.-Les employés de banque de Grenu.

Lie ont voté le principe de la grève et mitdécidé nue des réunions particulières diepersonne/ de chaque établissement au-rent lieu pour les décisions à prendre,travail.

A Teutouse, situation inchangée. LemouverreM est ferme, et la victoire neparait pas pouvoir &al-mimer aux gré-vistes.

UME BANQUE DONNE SATISFACTIONAUX GREVISTES

La banque du Centre à Limoges vientd'accorder une augmentation de 100 fr.Par mois à toutes les categenes de sonpersonnel clou repos payé de qui.ejours par an.

FEUILLETON DU 61I0I 83E

Par GASTON LEROUX- , -Deuxième Parue : MADELEINE ET PATRICE

Mais cette première manchette (qui ré-pandit l'émoi) n'était rien à côté de laacconde qui, elle, répandit la terre.

QUATRE .1E1ffiêts FILLES DISPARUES

Un rnonstre, indignie du nom d'homme,les froi0e pat Ses cheveux dans les arbres,les emperle connue une proie, sur lesfizits de la catoituk.

C'est Ln Patlie en danger qui parut,à quatre heures de raprès-rnidi, aveccette seachette émouvante et tragique.

Les camelots, nui affolaient la foule de/eurs cris et de leurs courses insensées,vendirent des numeros 1..mr a cmcr souspièce. Les pères et nienes de famille vou-laient, avant tous les autres, être rem-

seignés et ne regardaient pas, ce iour-là,à la dépense. A /a terrasse des cafés, ons'arrêtait de boire; sur les trottoirs, ons'arrêtait de marcher. Et on lisait Tout lemonde lisait ou écoutait lire c'était, dureste, très simple. Detauis le matin, qua-tee jeunes filles avaient disparu, empor-tées rur /e monstre une, au coin de larue de Médicis et de la rue de Vaugi-'met, une autre, en plein boulevard Saint-Germain, une mals-terne, près du squareLouvois t une quatrième avait été cueil-li° sur l'impériale d'un tramavaq qui pesasait sur le _quai du Louvre, toujours dansdes endsoits os's il Y seuil des mères. Leu-oestre se hait dans lm sebers, ul,soudain, allongeait la main, tirant avecune force invincible les cheveux de le

LE MIDI SOCIALLK£E

L'AUTRE GUERRE Fit.TITS FAITS

En SyrieLondres, I août. - tfn correspond,. de

l'Agence Rercer e eu une entrevue avee le can-sul franrcis à Jrcusffern. Le =ensui ne lui a Po,confirmé la chute de Souei& Il . dit quine ame,bat a eu lieu le 2 août deas ce en isuuo rcqu'au cours d. ee combat les Fr./mais avaientatteint leur objectif.

Seueide, soinate le consul, est ince,. me iesDoues, ma las Francais se pornat à son soc...

La nkessité d'employer mutes le. teounes clu-uoniblês eentre les Drusrc a évinikhéd'uu dirconomem important au Mame. Les ean-muniqués l,neuoi rcitetent que lu situ.co etsérieuse. et 503 hommes.. devaient gis...réesà Berrerch en hâte et on attend d'astres ren-forts.

LA TACTIQUE DES ASSIECANTSLe C.ise, 9 aoàt. - Une garniees franrcise,

bure de 200 hommes, est assiégée à 5...id. etse défend désrcpérément, en dépit du moussed'eau et de scxes, dans l'espoir soue iss forces en-voyées en ses secours et qui ont fait déjàessais infructueux pour L dégager parviennent

Percer les lignes des Drus.ure-ot, voulant éviter de lourdes pertes, sont

nidiu à o prc attaques la eitadelk, mais à rat-é an. et à fairé cas:nier la garnison de ci.mue à ponnoir s'emparer des steel, considéra-bles de munitions qui se motivent dans le bel. envue de eonfinuer leur /une corne les Fron.ais.

UN NOUVEAU TELEGRAMMEDU GENERAL AS0RA1L

Paris, 9 agie. - Le président du cemen a resirc. matin un télégrantine do aériercal Srcrcil, duoslaque/ il lai fait connes, g. le caPre eontinue

,a n-, dans le Onebel Druze depuis le 7 arcit.Le rapport officiel du gténeral sur les liens

ment. de Soucid., des 4 et :3 scie, n'est pas en-core parvenu à la présidence. Cotnme arrivepar kurde, on ne l'attend pas avant alla

JEUNES GENS !L'ETAT VOUS OFFRE UNE SITUATION

En vous engage:a:A dans l'aviation, vouspouvez, aux freD de l'Elat, satire les coursd'une école civile officielle de mécanicien,devenir mécanicien breveté et officiermécanicien. Demandez la brochure gra-tuite à l'Lleoe Henriot, bureett Y, 207, bou-levard Saint-Denis, h Garnit evorc

Phénomènes déconcertants

LES EXPEBIENCES DU FAKIR'TAIIIIA BEY

Dem n mita des fûtne de notre confrère lePetit journal, le fakir Tales, bey, qua tout Pariaconane maintenant, a lien voulu se livrer, d,virt rut aéraae rliend!éque,ez

rsieuret*erUeen'sLt

Crcffifmtemem les sises...usa.

irc sus des fa.s starisées, kr des peintesalames, le fakir supporte le paids di. hermineen d'on IRen de pierre qu'on Eusses'enfor,e, on poignard dam la gorge, dm é,e7hg,A,dans In Mues sam itite la moindre goutte desang baisse.

Enfin, il mine un véritable enterrement de 23mince. ercr: en être le moins du monde in-commodé il immill/ise à volonté des pontes etde: anins et devine des rcdres écrits an Ponséssac° héigation.

/I n'est /3ue po.ibl de soamomet la moi dissunoteltem. Mus tué mus donnera one expli-cation plaumble de ce. prcirminènes. Lien pro-pres à humilier ercarcillerce raison humais.

LaVIESOCIALISTEAU CONGRES DE LA SEINE

Paris, 9 août. - Le congrès socialistede la Seine a adopté plusieurs motions,et peincipalement celles-ci

Une motion demandant au groupe so-cialiste parlementaire d'insister, à la ren-trée, pour l'abrogation des lois de 1893et 1894, relatives aux menées anarchistes,lois presentement appliquees aux corn.communistes.

Une motion acceptant un texte votépar la commission administrative duParti, texte gut constate qup les fonctionsde gouverneur de l'Indochine, clans lesconditions on Alexandre Varenne les aacceptées, sont incorripatibles avec /aqualité de membre du parti socialiste.

- Une motion exprimant aussi le re-gret qu'une quarantaine de députés soirialistes aient Cru devoir voter à laChanihre contre la représentation pro-pottionnelle.

Une motion contre la politique ma-rocaine suivie pur le cabinet.

- Une motion n'acceptant qu'UnePolitique de soutien conditiomée et con-trôlée sévérement par les organismesPermanent du parti et sans participation.

ieune fille. La jeune fille, poussant desh 1 trke t , oui5 it, et si rapidernem, quetersonne n'avait le temps de la retenir...Une jeune Personne, qui sortait de l'hô-pital, et qui se rep.ait un banc du squa-te Montho/on, n'avait dû son salut ms%ce qu'au cours de sa maladie, on lui avaitrosé la tête. Le chignon seul était restéentre les vilains du monstre.

Quant au monstre, il était doué d'unevélocité infernale et on lenherchait en-cave dans les arbres qu'il apparaissait del'autre côté de la rue ou du boulevard, suron toit, pour disparaître, presque aussitôt,avec na pproie

La préfecture de police était sur lesdents.

Eau exigeait du Conseil Municipal destnleauren eXCeptionnelles. Dus imbéciles,m'ennuie il y en a toujours dans les mo-ments les plus difficiles où Personne n'aenvie de rire, des imbéciles prétendirentqu'il n'y avait qu'un moyen de se dé.barrasses du c/oZn ernistériciry soiche dans les arbres, 001021 de coupertons les arbres 1 Les familles des jeunesfilles disparues étaient interviewées partoun les journaux et soigne.ementtogrannidées jusqu au quatrième degré.La Ville Lumière perdait la tête

Mais I moroyable seuudule celata ven.tabler/lent sur la pilée en élveumante, avec

LE BORDEAUX-CETTE DERiliLLE4cP° 3eginiatir mine blet -id

Toulouse, 9 août. - Porc une eauseinconnue le rapide de Cette_Bmdeati. a déraidéeet après-ngdi. vers 13 h 30, entre les stationsde Villemesaveire ef de ittircièges, 50e mètresenviron avant cette dernière esse.

Le trcin rculait à la vitesse de 100 kilomis-tres à Ili., quand ta /ce... est brusqun.mem sortie des rciteentrenant les premier, nia_6303 d3 3.8iii Elfe sfalIna bientôt cependantle endeanIcien ayant ffeiné et renversé la vape.,avant d'atteindre une courbe daircemuse, (décriteen cet endroit par la voie.

Les rails scat tordes sur un esprce de 300403 mètres et les uatecresea sent labourées s.LOD à 1.101 mûmes de parcours. Les voyeacuisn'ont eu aucun mal; i/s ont Cté mulemenn nn peusceonés dans Inc., compartiments reareetià. Et letrain qui suivait le rapide les ramenés à Tou-/ouse où ils sont arrivés arc. 60 minutes de re-tard enrcion lrcormrs

La veie sera (Sexuée dis cette ait pense-gon,et /a circulation normale sera rétablie demain ou,'

UN OESTRAL RUSSE ASSASSINEMe cm,. 9 sen - Le général Ratoyski, rem-

3133dam la cent do cavalerie moldave, membredu comité central ox.lootif, a été tué daoo tanuit du 6 août, à 30 kilomètre: d'Odesm.

Le meurtre e été commis par tas nommé Mals.inf. ancien aide de camp d, géné.ol Kmovski,soi o soi nom d.c motifs ne:tsarine/a. Lismassiaa été aoilté.

LES FORETS FLAMBENTDANS LE VAR

Brignolm, 9 mOn - Un incondie on, a PRImnidemeso da grandes proportion. a klmé dansI. farce de la Foulade et a s'aimé le. ho, Au lnlieue et de E Roua° La mriaicirsalité és Br5anales et le ...préfet ont fait orceniser tes pse-miers secours auxquels les poguiations ont ka°Mimé. Le fer esu activé par un fou vent denord-g/lest. Les ee. ,on,, dès maintemm, trè.importants.

DANS L'HERAULT

Montpellier, 9 août. - Un inceadie s'en dé-cimé dons les bois de nana et de alsûnes qui en-vironnent les communes de Fm..., et de V.,,gru,i,,é,i2;teoomdzs,,,le,,,dirià.11,ept%illenrIetet, à une

Le des, vue l'on omit dû à /Imprudence d'unfumeur, a prie naissance à I b_50 de l'après-me. Il a dace tonte /a nuit eyirciate. Une MM.entanteine d'hectares ont été le orne des Pan,mes.

Cet incendie a été 'keret...st combattupar les nette.. des communes vniaines moi remmaîtrisé apex de longs e pénibles eblesi,

LA VICTOIRE EN DERMITEVoici le superbe livre de vigie. 14,444/11.tiques que Marcel Sembal venait d'achever

tersqu'll 151e rituels par la mort et enlevéà l'admiration tic ses innombrables amis.

ci LA VICTOIRE EN DEROCTE a. Envente à la Librairie du s Midi Socialiste »,Pris s 7 fr. 50. Franco : 8 francs.

Les Ilitiar`aires améeiçains

-.Quateercingt-six personnes, aux Etats-Unis, ont paye en 1023 rirnipL sur un re-venu supérieur ù int million do dollars.

Ger COA 86 personnes, ils .t un retenuafiant de un million à 1,510-140 dollars.

Un nombre égal de contribuables payentlaxo sur une somme comprise entre

2 trillions et 3 Millions de dollars, il seu-lement ont plus de 3 millions de dollarsde revenu, dard ',ont déclaré au fisc unerente dépassant 5 millions de dollars.

Parmi les plus importants contribuablesen cite MM. Rock-telles pêiiù et fils, et M.Henry Ford.

Devant do tels chiffres, comment veu-les-vous quo Pen s'intéresse aux vivendi-criions de nos employés de italique. quiveulent gagner 050 francs par mois I

Pour les victimes de la guerre

Niur, 9 août. - Il, Antérinu, despessions, a présidé aujourd'hui, à Niort, lebanquet qui a clôturé le cougres cc t'As-sociation générale des inutiles tic in guerre.

Il 050111 cette occasion pour saluer, sunom du gouvernement, les représentantsdes EtatissUnb, de la Begique, de Iglou,de la huerta, venus damner à leurs Enna-rades de Frauna leur communion de senti-ments, d'espérances cl d'idées.

M. Ante/rient a ensuite rappelo le formi-dable effort qtre la France reconnaissante

foura à l'égard des yietimes de laguerre Y le paiement en Jugent de l'aug-mentation des majorations des orphelinsde pierre; Palhocation de 5.000 fr. auxtuberetePux; l'attribtition aux prisonniersde guerre Inini/ides d'une inderanité com-pnircifilce du retend apporta All nannt oedépart do /eue pmsion; la modificationdes barèmes visalit las défigurés et lastultatsuletut osseux,

il o deercré egaltinent 115505 s'en:on:traitd'obtonir du Parlement le vote d/1 projetde loi tendant A simplifier les tribunauxde pensions et l'abrogation du délai de ci oitAMY

PIRS il a souligné /es heureux résultatsoLtenus par la régie directe des travauxLoshumation et des regroupements decorps les trinitaires tombés au chaina

la fammuse manchette de dernière heurepremier journal d'information du mon.

de s L'Epaque. La voici dans toute gonhorreur

Ponts EN rutile AU MINOTAURE,'

On commit le monstre C'est une bête àcmouctu humain, e anthropopithèqueq(11 parle. Fornudable invention att pro.lusse.. Coriolis Boues, Saint-Aubin.Et voici bastide qui fut reproduit Partous les iournaux du monde

Il n'y a peint de rnystère pour l'E-Paque.

Cette fois enCOre, If cette heure cri-tique, rEPoque a réussi à pénétrer be se.nétrer le secret de la personnalité étrangeet redoutable du voleur de jeunes filles.Déjà, nous pouvons dire non mèresRaminez.vous b car, instruits /me PEtto-que dc l'ennemi qu'il faut vaincre, les

osé.itfl;ears publies aUeulseroép/ ieLz,m,11t,eit anusft C'est en étudiant pas à pas les an-

na/ide:ms fantastiques de cati que l'en amis pool: un clown frappé de folie quemus avons pst circonscrire pou à peu

dans lequel le monstre 'évoluai1 or mats,

Nous fûmes ainsi conduits au quar-tier Latin, et de là rue de Jussieu, od

d'honneur, mive en régie qua ht commis-sion des marches dont il était le Pré6idedlavai tmaintes fuis Préaeutsée

11 enfin renouvelé ses précédentes décla-rations sur les pensions nbusivss et sep-Peé que, smtv vouloir porter atteinte DEIdroits des vis-De-des victimes de la guerre,il s'efforcerait de malts efin S ce quo l'on

.feeié « le scanda/te des pensions a.Il a teranne nos applaudissements ne

l'assistance, en indignant qu'une commis-sion d'étude composée de Dol/bletties et derepeetentents fles Associations se réunira,

-dés le mois d'octobre, ponr discuter lesetneliorations à apporter à la situationmatérielle et moraie des aneiens combat-tants.

La Vie SportiveCALENDRIER DE LA GRA141(DE SEMAINE

PSI SPORTS BASQUES (1921)Dimanche, 30 août., il Saint-Jean-Pied-

O-POrf, mat1 li international h mains RICAfprofessionnels).

tLundi M ao0 Dois b Cambo,Loire rItt Championnat de Trinquet (Pro-fessionnels).

Manli I, septembre ',matin), b Denier-reit, match interna/doua/ de Achat, Fran.,Espagne 1professimmeli).

:Sart, à mains nues, Coupe dee a Lett-nes 3. - Match de Pola.

(Mercredi 2 septembre (matin), à Es-âmains 11083 finale da Champion-

nat de France (amateurs),(Soir) à Gamba, à Chistera finale do

Championnat de France (emateursi.Vendredi I septemtna (matin), d Saint-

Palais, partie b Pasaka.(Soir', nu petit eh sinon, Limplo, finale

Mt Ghamphannuat, de Franco (amateurst'Samedi 5 septembre (matin), â Saint-

Palets, an pebt clusi.éra, Dom. IllatchMteenational (professionnels).

(Soir), en hunguel, ftnate du Chemina,na de France fprofesstonnelsh

Dimanche 6 nippait], à Sattit-Palais, malcill internallonal (proffession-nels): ) (-

CYCLISME

PARIS-CALAISParis, 9 0040. - L'épreuve t-cliste Pa

ris -Calais, dont la départ a été donnf cematin au 'Vésinet, a été gagnée par FélixGmthals, rouvrant la distance en 1/ h. 6'au, et battant le récent vainqùsur deBruxelles-Paris, n'Imans, da trois lon-gueurs. Derrière ces deux (hommes le clas-

ott Il. ; ::`,..'"r1"gelei,r'be0.Vermeuten ; 7. De Graeveilack ; 8. De-loncle; 9. Vuastethe ; 10. A. Vaningmene11. Adolphe Vanêtruaene 12. Gerbaud,

cmcurr MARCEL CAPELLELa circuit organisé par le Valser-Club

Toulousain It la ms:moire de Marcel Ce-nelle mort pour la France a remporté sons u I p ro 'Dg* s ,

Cornebarrieu, Mondanville, ùfentaigut,Grenade, Ondes, Castelnatt-dlEstrètefoutis,Saint-Song Lespinasse, Lacourtensoust,LalandE 'notons°.

Les 70 kilimffilees de l'épreuve ont IIIparcourus sans accident, sinotif ans indent notable.

Parti à lIts. 55, de la Cartoucherie. rou-te de Bayonne. Mouret du Guidon Saint-Cyprien, signait à 10 .h. 48 au coulnûled'arrivée do MM iDelcayrd, siége du 5.0.ce-Club 001040 00.

Le premier des vétérans fut Gomma etsur 49 parlants, 37 terminèrent honorable-ment Je circuit.

Voici l'ordre des premières arrivries1. Maurel; 2. Iley; S. Suère; 4. (*.ledit

5. lfagnen; 0. Donat; 7. Gastejon; 55. Minn,9 Combes; 10. Artémon.

ho(

RUTOMDEILMIEGRAND PRIX DE BELGIQUE

Morte/ accidentFrancortihamps, I s dl. - 1.10 mortel

accident est survenu à Il h. 50, au coursde la course dU grand prix de Belgique desmotocyclettes,

le coureur anglais iloollotrcl a fait uneernbardéo da. uni dandsretIx virae, àSlagetot II aurait été tua Sur la coup

Voici des préeisions Mir t'accident ducoureur Iloolloval dont la mort est canfir-niée

C'est au cours du cinquième tour, envoulant dépasser un concurrent dans ladescente de Masia que le coureur anglaisPa dépassé et est venu donner de la têteia première rentre un Poteau téléphoni-que Jliordant la route

Cette nouvelle a produit une profondeimpression sur le publie .

La eourse se poursuit assez monotoneavec la participation de quarante concum

, .reeici les résultats t

Calégnrie 1040m, A Bennett ; 2.G. Hud-son ; categoDe 175 cent- 1. Vannaste ; '2.'1 ussgrrl,

Bennet ayant gement Ps017 IL 200 en 3 h. 52' 503 b la moyennedc

Cel'oesos ek ,im- uen:tdes 350 anse' - 1. Handleyayant accompli les 357 IL 600 en 5h. 29' 7'

In moyenne de me k. 562 ; 2. Malien à un

nous avons frappé à l'hôtel désert deson maitre, un homme dont le rions se-tension à travers les siècles M. Coriolisbossue Saint-Aubin.

c Dans cet hètel (dans lequel nousavons pénétré par une fenêtre', touteschoses se trouvent dans le plus granddésordre. L'ilnaneuble paraissait avoir étéabandonné -avec précipitation.

c No00 fûnoes reçus cependant par unperroquet qui ne cessa pendant plusd'une heure de notte crier anee fureurun mot ou plût& un nom auquel nousne cons:Vin-tes rien tout d'abord, maisqui restera, lui aussi célèbre dans Ibis.toiledes races l Bo/000 I Balsas° I Ra-/cou I &dao°, c'eut le nom de bête damonstrequi, dans la vie parisienne, a sonnom d'homme : M. Noël 1 Balaooc'est le nom du prernier singe qui auraparle la langue des hommes

! dans ce quartier, on connaîtM. Noël b Ses allures bizarres, sa singu-lière /aicleur, son dandinement caractéris,tique, 00001001 pu passer inaperçus,elles grimaces qu'il lot autour de senmono,cle ont plus d'une fois excité lesniseseslos plaisanteries des petits vau-riens de la ruc. Mais qui donc aurait pusaurais se douter que ce personnage unpeu ernerrnique, mata magul alors cor-

LA COUSE 15EDU

sis*Avignon, 9 août, - L, plu

so,draLr.,.'én.iu,trzate,21/619,:ce0.0a5a da:si -

Boxleir.4550 km.).

Les-INténlai.Para, mandate n'ail"`1:,,,,,stcrozr2n, 1:;12.Pheri Jiems, ,.,,,,,,:',s.

but de la premiére elle,.

on 17'

igont,V=Pit're""

lar ' p:;:'e.:;n: h14d't..;cl 10m 1 P1d7 ', i:Deta 230.

dpreuves similaires, f

ae rep,nto"muio'iquisinueuse,accidentée

Artionerpe'arr Ge .quItl El'4Sill511 n

plus dure-

r... in ,,a rancloanée ' '''ii

DiWilsksinerlse"'ées'e'ût:. - Première é ,loloni lu rcatit. - Eaposition d

Co record ôtait de 17' 38»

PARIS -LESPYRENEES-PAIUS

N.

MOTO, cycLEBABB TTU..

RB ilà!:?:: l'El' Ia en': full)."'

vslii,

,,,,,,..,, 12 août. - Troisièmeont0,

13 arAt. - Quatrièrna étassr Zrim.Tarke. (309 km.l.

T 'l' e'VeIt'd'red1i3212 k4amal. - Cinquiùnta étape.louee-Clennont-Ferrand (333 km, 505):

-

IéensAutadr.ro de Montlhéry el

.tuld-nCh,hieu,é,Is (.2.9,7,172. ,,,,,,,,,::Fe L,,,,.°7Samedi II aoûti,_..-.. Si.s.,..ième ét,

CHRONIQUE PE LA T.

STAT/ON RADIO-TELEPHCINIQUIDES P. T. T. DE TOULOUSE

L.ffner d'onde, 31520 h. 15, informations de la MMheure.21 heures, essai de retrammussiesProgramme de l'Eco/ e Supérieure MtT. T. et de Peildocution de M. /Milsrésident du Conseil, sur remit..

MUSSIONS DE LA RADIOPROYIDU MIDI

(dnguenr d'ondes. 275 m. Puissance,12 h. 30 une demi-heure de anuite

variéeSalut à Dijon » (Andrieu); " Pite,Lointaine e (S. Roudière); Sceffg° yibgrt), s, Le plus gis

Amman d'amour a (Yetove); ft.aani.°bette 3 (Doisy).13 h. o annonce de l'heure, chmges

rsset /marchés régionaux, informations gIl , t I13 h. 15 concert par l'orchestre

Toulouse, sous la direction de M. Dams Madrid-Paris s (Viard); Danse Se

perstine u (II. Gaguain); e Aria », 3313àalla (Haendel); « Au Déclin dû Jouit

Pesse); et Un Soir à Sorreide e 1C.nas-Auvray); Miss Iletlyett o (Madre« Machaquito » (R. LidleX).

17 h. 45, Bulletin de la Conflidéritiatagi:Inde du Sud-Otrest, Bourse de centimede Paris, et de Toulouse, tufo:imageas.

20 h. 30, appel aux agirait:items, 511111,de ores., derniers saurs ...man dagricoles.

20 11. 45, concert s

e Vers les bois, vers les circuit>, x(M. Peise); e Ouvre-moi ta morte (11

gale): g Remarie sous /es Palmais »

Duhamel; Gitane s 3 13che Pyrénéenne » (B. Treealle).

21h. 15, conférence par l'ingénieurtide, sur la T. S. IL

21 h. 25, musique de dansea La, 801, fa, sol a ON Loué); a Ela

Tango (Llitiord); n Le Pingouinbillon); a To Java bousculée 3 (I-MM. Eiriel's et Duhal, originalis coMil

22 h. 15, fin do l'émission.X

POL'R QUELQUES FRANCS, vousvez mont, vons-mêmes un bon ingT. S. F., à condition de vous rengtdans log manuels clairs et pratique,vous conseillera et vous fouretra la bvie Margueste, 7, rue Menue. Toulovla grande librairie des ouvriers et teeciens.

Abonnements de vacances

Amis lecteurs ne post, sans en feces sans alois lait le nécessaire Me°le « Midi Socialiste s vous PartiPr3.Pedant cotre villégiature.

aN nacc d'? uP rdcu

u°ba bnic"'IleLe

de 0 fr. 20 por numéro,indiquer bien exactement ta g is

déenrf de l'abonnement et celle do se,..1.ra/ion.

Adresser le montant de l'abonass;i1Pot tvanclat-carte ou ellèessin* 5.2771 Toulouse), au o, 6lidi SotOliste st 36, rue Roquelainc. Toulouse,

me, était ranthropopithéome decar M. Noêl est un habitué duet de la brasserie Amédée. M. Nà la Faculté de Lkoit I M. Noël ftic, au Palais de justice, de la maniéeBottier I M. Noël sliabillehonnête homme 1 MI Noël P4149 jotgais comme vous et Moi. Et

prodigieuv mi/stère des races. Mzn'est pas un homme l M.qu'un antroPaZde I II a cissetsIl s'apparente directement att greia

chimpanzé oriental des forêts dé, dpdont on o ou voir le type au lsrd.Plantes dans le singe de Gabriel.

a Et maintenant, quel estsoi on bouleverser le monde ?scremes-mus arrivés à pénétrerreil secret 3 Comment avons-noosjoindre le maître de Balaoo S'1°Ils'est passé de la façon la PI44 rNreesmais encore fallait-il Y 1113150?' agsnous sommes d'abord empams fitt

niers qui traînaient dans leu éSIt°5,/at-cabinet de travail de Cor141...oevéAubin. Cent là que nous urins 110Ire fiches les plus curieuses c14/,fonpuisse coneuVoir concernant 1,ttination Noë,

suie(e

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: 20 - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B315556101_MIDSOC_1925... · En 1905, l'abbé Delsor, un des si-gnataires de la plainte, ... tout

,...elevemeetvveceeeve......vemeemovvevencsvtameseevevvve..e.v.e,.......

Souscription des Saunages

Pourbon,Qi d'un délqué à l'Ecole

Internationale socmle, a Bruxelles

tRedStERIr LISIS

d'Aspe ' 20 »

de Ville/mur 20 »de l'Isle en Dadon 102 x

de Blagnac 20 »

de Carbonne , 20 »

S"" dedicaliste...... 50

GrZpsrso-cialisie de Touais. , 46 50

LeçongaulV

210

slesa du u -

Fonvielle 10Liétar

Capdcnillc 12°05

Section de

El/en FrérotCitoyenne Sicard orcy,

1Castaing0

Lotes Fontaine ,estang 075MendementCorba

10 »rrieu

Total de la 3e liste 3.42 25

Listes Précédegtee 782 50

Total des souscriptpions 1.124

Le cantarade Rauzy est actuellementà Bruxelles Dès /e migis d'octobre, il en-treprendra à travers les Fédérations unesérie de conférences afin de fane prof'.tes les sortie., jeunes et adultea. del'enseignement qu'il rapportera de l'Eco-le internationale socialiste.

Pour noue permettre de mener à biencette nyer de propagande et d'éduca-tion, nous faisons appel à la générosité'ries militants, des sympathisants et desareupcs Envoyer les cotisations eu ce-

arade Fonvielle, 8, rue Franc, Tou-louse Chaoue postal t 6.000

le(

L'OUVERTURE de la GUAM

Pende premier La chasse sera ou-verte dans le département de la Haute-Garonne le samedi 15 août 1925, à six/tomes du matin, aux clauses et condi-tions spécifiées dans l'arrêté réglementai'ru permanent du 16 décembre 1919, dontle texte fiance dans le e Recueil des Ac.teadministratifs s nuréro 3329, que lesintéressés peuvent consulter dasu lesmairies, sauf interdits en tout temps lachasse, la destruction, la capture, letramport, la vente et l'achat des ciseauxuffles à Eagrimdture désignés à l'articleOde l'arrêté réglementaire permanentdu /6 décembre 1919 et, en général, detous les petits oiseaux d'une taille infé-rieure à celle de la caille, de la grive oudi merle.

Toutefois, pourront être chassés à tirL'alouette, pendant la période d'ou-

ordure t l'ortolan, du ler octobre au 30novembre.

La chasse au faisan, jusqu'à la elêturegénérale de la. chiasse.

La chasse rie la caille sem elese le &-marche 29 novembre 1925 au soir t cellede la perdrix ne sera autorisée que jus'ri jeudi 31 décembre inclus, étantPrécisé que la chasse dite au rameau »est formellement interdite Pour theseerla perdrix.La oh.. à l'isard et au cerf sera do-

s, le moreredd 30 septembre 1925, de-meurant spécifié que l'eunploi des ar-mes de guerre est prohibé ,pour cettechassa

aaaaades oiseaux de passage, no-t,,0 crus relie e à la repa.e dela grive, est forrnellerient interdite alsêèsla clôture générale de la cha.e. Seule,la chasse de la bécasse sera autorisée,après la clôture générale, pour cm e cour-te pédode, qui sera fixée par l'arrêté declôture.4 shai'lp à courre, à car et à cri pour-shxemer, après la date de la clôturegenerre, jusqu'au 28 février.

AM 2, Après lu clôture générale etSu su 31 mars, la chasse à Or duber d'eau, y compris les pluviers et les"ce

eux,

demeure permise aux condi-:111.1,e sePulées à l'article 3 de l'arrêté1ePt,e0

lentaire permanent du 16 déceln-e 1919,

Ae. 3. --- L'empLi, pour la chasse à1,:ebourres,,cornbustibles est interdit'11p!utsprop,rniier

sautboisées.

il :1.

! eu révoutre far dera': dar'2.âcs:jr.:',11siterj:au, 30 septembre, de fumers not t forêts.Art. 4L

es propriétaires, passes.métayers, ainsi que les

soit de chasse, sont auto-on générale à détruire ousur /eues terrains, les san-mus rrikne la nuit à

r tous les moyens, .uf lent l'emploi

Pamest subordonné à

. spéciale.rsonnes délée&eu pue les Pr'.Possesseur, fermier ou métayer

etenteur du droit de chasse,nOus à des destructions, de.esd'une autorisation écri-gnature dûment légalisée

IreePri't'nes e-emes Posse e fMotayms e u",dr<ai, , aue les détenteursDertaiherla5e, titulaires ou non dutrixtreÇ are sont autorisés à dé-Xus ers tout temps, les ani-ld s dans lin rayon de 150 mê-ejutourde leur habitation, sur les ter-Lsont propriétaires, poSses-

jj1Lt che.sc. taYem ou detenteursc se ris mas du permis deon5egalement autoriés d'uneerrnânente à détruire an fusil

les animaux nuisibles me les propriétésdont ils a.urent la garde, sous réserve del'assentiment de la personne qui le a faitcOmanissionner.--_

CHASSEURS I ! le jour tant attendude l'ouverture approche. N'oubliez pasque la MAMJFACTURE D'ARMESL'ABEILLE 81 rue de Turbigo à Pa-ris envole directement de sa fabrique lesmeilleures armes et les meilleures muré-fions. Un catalogue vous convaincra. Demandez-le tout de suite contre 0 fr. 50.hmarvatteasvmseriusamszaa.m.sams

BallochesPour la preirdère luis, le quartier SaintEtienne a sa fête. Sur I place dmuète etellarnnte de notre vieille cathedra/a, au'toue de la jolie fontaine que les Capitouls

y firent édifier au XVIe sieole, se pressentles visiteurs et simula., la jeunesse rieuse.C'est de tout coeur que nous sppladdis-

sens à l'initiative de ses organisateurs,dont R geste est d'autant lieus méritoirequ'il a fallu créer do toutes pièces, par con-

séquent gurroonner des diffsedltés quel'expérience n'a pas encore eu le tempsni d'aplanir, ni d'en/misse,

O est done de notre plaisir, égalementde notre devoir, de les encourager, de Icaaider, non seutrmat par notre apeure'.Lion, mais aussi par notre générosité, puis-que tout le bénéfice de la fête sera verseaux oeuvres de bleufaisance de notre ni leet que /es déshérités de la vie auront ainsileur part des gais amusements et desIoYcttoeS tueuodnlct.

ri C'est par le rire, qui est /e mnpre derhenune cumule disait Rabota., et lecontentmlent qu'un peu de bien leur vien-dra cette fois, ce qui_ revient à dire quela belle gaieté, la saine bonne humeur sontde rigeur et tont /argentent conviées àOrtie premiere tête,

Il faut qu'elle soit aussi agréable, aussihriglanto que ses organisateurs le soir/mi-rent, elle doit même, den déplaise auxautres quatifiers de notre ville, surpaaserl'éclat de toutes ms simileiries r La placeS.aint-Etienne n'mt-ello pas la métropoli-taine de par routorite de sou vieux clo-cher

Nous sommes donc enfants de Toulouse,cortes, et notre immortelle 0 Toulousaine tifait vibrer tom les eccum, qu'lls.soieryt deSan Sub re, ele Marengo, de Ssant-RlichelOu des Minimes, meis notre petite patriese divise elle-même en plusieurs petitesPatries, et ces petites patries c'est Pilori-mn plus limité, le vue plus restreinte, mscourses plus réduites, les habitudes plusfamilières, l'attachement plus étroit quis'appedle ; le quartier.

Le quartier, c'est la glorification desLares et des Pénates de nos pères, le quar-tier c'est la foyer, te quartier c'est umboue, le quartier c'est « chez nous

Grimes vous soient rendu., à vous, jetene.s-heennes, qui avez comblé la lacune, quiexistait dons notre cité et qui nous grati-fiez désormais dune fête particulier, Musceux de Saint-Etienne VOUS en félicitent ccvous en rmnerelent et nous nous moignons

vous, d'un coeur hien fraterme et tréssincère, pour inviter tout Toujousc b cettemunif.tation du souvenir items nos grandsmorts, de charité Atone nos Pauvres,d'union, de concorde, d'amitié entre nous.

Vous avez dépense sans compter, il estjuste, il est Gon que vous soyez remerciéset qu'on vous donne sans mesure.

G de S.115336Zilleiii1726.,

Coopérative de !nimbe. et d'orthopédieer LE WHITE: t

52, rue Pharaon TOULOUSEFabrication d'appareils en tous genres r

Jambes, pilons, bras, corsets, appareilspour scoliose pieds bot, béquilles et tous

accessoiresPRIX LES PLUS IIEDULTS

Toussas ouvriers sont mutités ou amputés

ÇA ET LANEUROLOGIE

Notre excellent confrère SI. Gaston Guèzerédacteur en ehef de l'Express du Midi,Vient d'avoir la douleur de perdre son filsMax Guèze, jeune homsno superbe de17 ans.

Le Midi adresse à M. Guêze, l'eXpressionde sa sympathie et le prie d'agréer, ;Oumque sa famille ses sincères condoléances.

A LA MAIRIELe Maire de 'rouleuse a reçu de la Sec-

tion de Tantouse de lAssectalion frater-nelle des employéS et ouvriers des cheminsde fer français un don manuel de 4.500francs en faveur des uvres do bienfai-sana,

Cette somme a reeu les affectations ci-après

Pupilles de la Nation 800 fr.; Hospicesgiâils BOO ta; Bureau do Bihnfaisance800 fr.; Rlaison alturdeMale des mènes800 fr.; Caisse des 'Ecoles 800 fr.; Petitsorphelins toulousains de la guerre 500 ta.

i.e Maire a remercié chaleureusementl'Association pour son gegre généreux'LE SOLEIL DE TOULOUSE ET DU MID/

Sommaire du Itantéro du e août qui vaparaître r

Lettre h mes lecteurs par J. CarrèreNous sommes une équipe, par I. Girard:Ce que /es autres n'osent pas ire ; Le seulnotaire Italien à Toutouse ; A la Facultéde Médecine ; Unidisccurs t Un poème deJulien Galery ; La Chronique de l'Etaneouret la Revue des journaux. .

Es vente dans tous los kiosques r leNumêro 0150.

COMMENCEMENT D'INCENDIEAvant-hier, yens 12 h. 15, un commence-

ment d'incendie s'est dédoré dans l'appar-tement occupé par Mile laverie', au 2e étagede l'immeuble portant te numPme 58 de larue de la Pomme, appartenant â Si. ',criai-terre.

Claverie était ocedgée A netleyerle Id avec une lampe a esenforhque, par mégarde, elle a communiquele feu au sontrnier et de Mt S Poppartament,

LE MIDI SOCIALISTELe sonunier a été complètement brûlé ainsiqu'une porte intérieure.

Ce commencement a été atteint :rimesdemie-heure de travaid environ, par lestmmmers de la caserne cent:este.Les dégâts, éyattéS à 1.000 francs envi-con, sont couverts par une eomPegnie d'.1surs/mes.

LES GENS VIOLENTS

Une domestique demeurmt boulevardd'Artillerie, 90, au service de M. Métier,pharmacien, a porté plainte, au nom deson patrnn, /mur injures et men.. PD,fériées par un client occasionnel.

Enquête.Hier soir, à 17 heures, 11, DominiqueFont., demeurant à Toulo.e, quartier d.

Argorelets, homme de peine, a porté plaintecontre thilt3 voisina pour violences exenc'écs par eux sur sa personne.

Enquête.Sur plainte de M. Jean DéeriimpS, ma-

nectivre, 18, rue Ainirall-Colache, procès-verbal a été dressé contre le nonartéGabriel legrave, demeurant, 93, alléesCharles-de-Fille, pour violences à l'égarddu plaignant.

LES FORAINSET LES PETITS MARCHANDS

En une brochure de 15 pages, AlbertAltroff, ex-vice-président de la Fédérationgénérale des Marchands de Fiance, pré.sente une étude très approfondie du ad!,de h situation des Forains et Petits Mar-chauds. C'est une nolde et habile défensede cette corporation que tous les intéres,sés doivent lire ct rénale/Ire.

En vente à l'Imprimerie Toulousaine,39. rue Pcyrolières, à Toulouse.

291144tal.THEATRE, DES VARIET'ES

La Vérité Meute nue de' 1111 PVéber et ()Masan( d'après i. Mot-lung bet. the Truth s.

La presence seule de M. Max Dcarly suf-firait tr expligeer le succés remPorbi Parcette pièce.

L'intérêt qui se dégage de CES trOis no-tes n'est guère palpitant et souvent, mê-me, In monertonio devient tellequ'elle forcele somtner/ de quelque spectateùr à la di-gestion laborieuse.

Il serait, néanmoins, infuste de ire pasreconnaitre l'ingéniosité et la cocasseriedes situations qui en faut plutôt un omet-knt vaudeville.

L'intrigue est extrêmement simPle rBarnett a reçu de sa fiancée, trésorièred'une uvre la Somme de 211000 francs,pour qu'il D fasse fructifier. Bob engagedans ce but, avec Ralston, bangnier, sonfutur beau-père, Sabatier et Riait Durer,Io pari de 20.000 francs que, durant 21heures, il ne manquera nus une seule foisde dire la vérité, M vérité toute luth_

Il est facile de s'imaginer les situatiensangoissantes que ne manque :mut pas siecréer. sans répit, à Bob, /es trois compèresassocie.s._ Situations d'autant plus graves,qu'elles menacent la banque et le méeageItalston, l'avenir de Bob e l'amour, mé-mo. de sa douce fiancée.

L'heure libératrice senne rets ! Boba gagné son pari et tout s'arrange

Max 'Marly fat un Bob parfait. pleind'entrain et do... vérité. Autour de lui,tous Purent également à la hauteur doleur tacite tiges lutta en particulier MileSimortne Rouviêre qui fut Mile Rfauti char-mante, Rille Obristime Vasseur el RI. Mer-cier dans le rôle de Ralslan. Excellentesoirde, !nais rote' ados Un peu longs

X

Charlot Troupier fantaisie-gouffe,en 3 actes de Min RionjardinAndré Denis.

L'enferre André Denis, netma présente umsuite d'aventures et de quiproquos d'unesprit quelque foie douteux et maintes'fois ressassés, mais qui a l'avantage de nepas présenter de grossièretés cornme parexemple (0 Les dégourdis de la SI' ri quenous n'avons paâ, encore digérés.

La salle du reste très peu garnie n'a paspars très enthousiasmé par uno troupe_use, port convaincue, dans /semelle seu-lement tranchaient deux personnages.

8. Forget crée un rôle de Charlot assezréussi et Ss05 vrai, où l'on recentrait lesgestes classiques et môme parfais les ex-pressions de physionomie de l'artiste déeinéma t Charlie Chaplin. Il réussit à met-./,rinds,p,00tstedieon,tr.azininedlegeltsfaire le pu-

e René Raoult inellTne un ordOnnanceparu très enthousiasmée pan une troupeIrop peu dégrossi. /I personnifie bien /ecomique troupier do café-concert, et tom-be ra3nle COMME lui, parfois, dans un tri-vial exagéré.

Le reste de re trempe défend de son/Moue celte 0 Castriste.,, qui, si ello neagit pns. nous n permis du moins, depasser cette chaude aprèsmitli de diman-cc déns une salle Catche. Ilg.

PARTI SOCIALISTE S. E. I. O.

JEUNESSES SOCIALISTES

Ln catnamdm de le je/messe Sodahee es le'militants do parti sont invités à assister à /aréunion qui aura San au Café Chah.. lundi10 mar à 9 Des du 0747.

Le <animale Elis Bes Simon, secrétaire dusJ. S. et secrétaire-adjoint de la Fédération aduhed'Alger, délégué an Congrès National fera unecauserie sur r a Le Colonianisme et la politiquesocialiste aux colonies g

Le Secrétaire de l'EntenteM. Convieine.

VIE OUVRIERE

AUX OUVRIERS BOULANGERS

Le coût de la vie augmente sans cesse.Les organisations syndicales par leurs ré-e/mations obtiennent toutes des amélio-rations sensibles de salaires. Seuls, les ou-vriers boulangers, ne bougent pas. Pour-tant ils ont un contrat dans lequel est in-séré une clame importante qui dit: « Tou-tes /es dois que le coût de la vit aug-mentera ou diminuera de 10 ft, les salai-

.res suivront la même hausse ou la mémobaisse. Qu'attendent /es mitrons pour fat-et PP

Une grande réunion corporative auraI ieu vendredi 13 mimant 1 heures à /aBOUrSe du Travail où le camarade secré-tai. et l'orgues. seerétaire de 1/Union,mettront les boulangers en présence dela situation actuelle.

Que tous syn.diqués ou non y assistent.

A tous nos Anus _ Suzanne Larroque, rue Stc-Céciie, 3.

nit. Astseris Lasomms, r.. Pharaon, 21.Por,dons, 32. Cliedise David, quai d, Tc.-

La SOCIETE MERIDIONALF D'IM-PRESS/CsN. imprimerie cominerciale as-surmit l'impression lie nombremes pu-b/Matra. et notamment du MIDI SO-CIALISTE ne peut plus suffire à la tâ-che qUi lis est imposée par lise nécessitésde l'heure présente.L'essor pris par /e MIDI SOCIALISTE

depuis les élections législatives et muni..capales oblige sen imprimerie à déve/op-per ses serviCes et à élargir elle aussi sasphère d'action.

Nous demandons à toits nos amis decollaborer à notre effort pour compléteret notre outillage et notre organisationdéjà si puissante.

Il reste encore à souscrire quelquesOBLIGATIONS DE CENT FRANCS,productives d'intérête à 6 p. 100 nets

dimmIts.Ces obligations gant largement garan-ties par l'ensemble Je l'actif social dontI evaluation à l'heure actuelle n est pas'inférieure à un demi.millien.Ces titres sont nets d'impôts prés.ents

e Eters, à l'exception de taus moits detransmission et de conversion.

L'intérêt est psmahle annuellement leler août de chaque année.Ces obligations sont souscrites bruni%fin août au cours de CENT FRANCS

CINQUANTE centimes.Le deuxièmecoupon d'intérêt est pair.lite le ter août 1926.Les sotscnotions sont reçues au siège

de la Société, 36, rue Roquelaine. à Tou.;mise. Les versements peuvent être faitsau crédit du compte de la Société Méat.Monale d'Impression, à la Banque Cour-tois, 33, rue do Rémusat, à Toulouse etdans ses agences, à la Banque Privée,If, nie des Arts, à Toulouse, et dans sesagences, au compte de Mégi e p.tal,

VIE SPORTIVE

GRAND CHALLENGE 7 LA RAFALEorgaaisé per Idolitoe Sportive Totdortairze

190 itifornérredCette belle épreuve scia lieu le 15 met on

Cours OUM, sous la présidence d'honneur desautorités cinlic et milimires et le haut patronagedes grands magasins x An Csaimis 9

Au programme, une courue de 25 kiloméresde tri-porreurs, une cornac PPinettes, un concoumde ballons, une course féminine 2 km., nn grandbal.

GOUMS tifigNii, 151 SM ka, 35 (fastalle

AViS LL DECES

Mensiep Gasmn GUEZE, rédacteur en ehefdc l'Express du Midi, et Madame Gaston Gurze.nia CONEZ/L;

Mornieur André GUEZEr MonSeur Léon LA.CARDE, induatriel, et Madame Léon LAGARDE,née GUEZE;

Monsieur Pua. GGEZE, notaire à Saint -Np,et Madame Pierre GUÈZE, Mademoiselle MarieGUÉZEr Madame veuve Joseph GUÈZE, Men_deur J. GRADÉS, ingénieur am mines de Saint-Eus... et Madame J. GRANGÉ, née GUEZEtM.demviselts Gesmdm WEZEr

Memel. Ropr et Gérard GUÉZEt Madevmoisons Jacqueline GUÉ.ZE; Monsieur HpdGRANGE:

Le R. P. Léon GUÈZE, 5.1 Madame veuveEmi/e OUM: la Baronne de LÉZAT ce safaMile; Madame veuve Lobs SOUL1É et s In.

Manstem et Madame Augias, DÉMON-ES;Le Vicomte et la Vicomtesse de VERNON et

leur fils:Les .fami/les COURTADF., de SAINT-LÉGER,

CEIxisseeER, de GENSAC. DESVERN/NE, deGROUSSAU, ALENGRIN et de PESQUIDOUX

Ost la douleur de Mire mu dol, perte cruellequ'Es viennent d'éprouver en la personne de

Monsieur Mate GUEZE

Issr fil, beshfré, neveu, cou in xerm.in. Pub-sms. et cousin. dctcédf drossa 125 année, munides Sacrements de .

Eu vms prient disesieter à ses obsèques, quiauront lieu à Toulouse, ie mardi 11 août 1925,V II homes du matin, tir la paroisse N. D.Daurade.

On se réunira à la maison mortuaire, 10, rueTenmonières.

Il ne sera gp fait d'autre invitation.

Pave dcMgMém CISTUS, n, no II Pâmai

rée.taekst0aCi î

PUBLICATIONS DE AIARIAGF-9

Du 28 Juillet 1925Louis Bertrand. commerçant à /dénia (Lot- et-

Garonne) es Maria Scve, s..p., rue do la tas.7.d., 3 bis.

D. 29 Jalet 1925Gaston Vignes. employé de commerce it Man

seilles (Hérault) et LM Gmhal. s. p. à MarseillanCHérarrel.

Jean Gon, contralcur spécial de l'enregistre-ment à Bordeaux et Eugénie Allmaze,Mimée, ms Riquet. 19.

Chm/s. Das, entrilmi Compagnie Mig, meReumond Délie., 6 st Marcelle jeu, s. p, routed. Fronton, à Lalande.

Da 90 Juillet 1925jem 0m:ollé, facteur des mets. a Paria

aigles Zoé Borde, s. p. à Pis (180 sors I.Jsnli Lszsillards, journalier, me Vms. d'Or,

8 ri Marie Gsmis, imam/Père, enr Verp d'Oh S.

A L'IMIORTELLE, elle de Rémusat, 6Ceuronnes morttlaires. Parures de mariéessasmmtvasamts

NAISSANCESDu 28 Juillet 1925

Andrée Fournie, rue Mplase, S. Robert Pi-gne, boul. d'Arcole, 23. Charles Senes, ruedes Récollets, 114.

Da 29 Juillet 1925

Georges Labifode, rue Falguière, 12 bis.Irène Dsbert. ne de L,Pé. 32. Cécile Masmer, rue St-Jérôme. 39. jamucline Lsrues,cor d. l'Orient, 2. Andrée Mailiotte, rue &-Etienne, 4.

rh, 30 Juillet 525Jeanine Clivas, me Neuve Bacille, 22. De.

crise Pari., q&rtier ScSimon. Jean Couderc,route de Caris, 63. Smanns Lavoirs, ms des

00-.71Y.S. Couronnes liortualreg2,3. rue da AMtarmai,

evenvv

D ECESDu 23 Jaillit 1925

Catherine Saly, Vcc,,cCastécs, 75 ans, ruetraversière nise, Anne Glane, Vve Amal.59 ans, av. dm Venin., 31. Mar,pite La-prade. épouse Simon, 39 am, the Douttccol,Rads, 49 mm. su, Pevie, 15. .1-vanDessens, 43 ans, rue Harisse. Clos tau Salles,

7 mois. rue des Réptlim. 80. ,.Jeun 00-01.^<.,58 ans. me du IO avril. 66.pissais, I.

Du 29 J/let 1925Marie Sida, Vve Aussy, 61 sss, aVellUe Pas-

resr. 02 teltnim.). Mâna Ban, Vve Maman,73 ans, rue dm Paracion, 39. &min Payrau,55 an, rue Tolosane, 5. Thérèse Villeneuve,Veuve C&rrieues, 83 ans, faub. Bonnefoy, 28.Pierre Olivié, 10 rrlo rue Pargaminiène, 7.Mathilde Gauzieux, 81 ans, rue des Bûchers, t,t,

hippices, 2.

Do 30 Jullat 1925Georgette Francazal, Vve Fabm, 78 ans. mede le Béarnaise, Pon,de-Flie,,. Pierm Bine.66 ans. me Palmant. 16. Henriette Bieou, 19ans, cue do Tatr, 2 André Marqués, 78 ans,rue Berau. 18 hie. Marie Tuderte. épouse Tou-

Xne, 27 ans, rue du Fere.. 2.

Br 18. RUE DE LA REPU/MU/TIR II hsDE POMPES PUNEBREE

POUR TOUS LES DECESSUR SAINT-LYPIGEN

S'ADRESSER AU BUREAU SPECIAL

THEATPUS et CINEMAS

APOLLO-THEATRE. Es marinés à 3 h. .

QPond b 'ide., tectdc,, euparte drame.Le ;sir, à 8 h. 45, dernière de Ic rosse La

t e s ,o I orme de La lpeRousse.

Location ouverte do ?OU. ré12 h. et de 15 h.à 18 h.

eteereetemeerefarteenneet

CliflONIOR ECIONAill

Magage.eareorme

AvisNOUS REPETCNS QUE NOUS NE

POUVONS RIEN CNSERER COPIED'INFORMATION OU COPIE DE PO-LEMIQUE QUI NE SOIT VISE PARNOTRE CORRESPONDANT LOCAL

RETARDS

Aujourd'hui nous n'ayons reçu ni 1ccourrier de Narbonne, ni celui dm Cas-tres, ni celui de Béziers.

Hier nous n'avons reçu ni celui deCarcassonne, ni celui de Montauban.

E n outré de nombreux courriers dePctile e communes. on Particulier deHaute-Garonne, nous sont arrivés air-jourd'hui avec dopons retards.

Nous savons bien qu'en le disant nousne dorons rien. Mais nous le diSOrS toutde même. )0(--

REVELSYNDICAT D'INITIATIVE REVEL

SA/NT-FEREOL. Lc comité du Syndi-cat d'initiative ayant reçu un grand nom-brc de demandes .d'adluirsion, a l'honneurd'informer le pubfie qu'un élégue passeraà domicile noue procéder à l'inscripteindes demandeurs et percevoir les cotisa-Mons, à partir du jeudi 13 août.

Le comiét espère que le meilleur accueilsera réservé à son délégua et remercied'avance les personnes qui auront sous-crit comme membre du Syndicat

AVIS. Le maire de IteRiel Phommud'informer /e public que le marchédevrait avoir lieu le samélii Il août setiendra la veille, c'est bolier te 14 août.

MURETNOMINATION. C'est avec plaisir que

nous apprenons la nomin.ation de RI. LOrbbCapéran, vi.-pr.ident de la Fédérationrégionale des Sociétés de tir du Sud-Ouest,,u gmde d'officier de l'Instruction publi-que, à re.poin e la fête des Tuiteries,

tdée par M. Doumergue.Capémn est aussi vice-président de

l'Ede de Muret, dont notre excellent amiVincent -Amie/ cst l'actif président

plus vifs compliments ou nouveaupromu. B. du B.

NOESECTION SOCIALISTE (S. F. L 0.1.

L.v Section socialiste de Noé (Haute-Garonne), réunie te 5 août 1925, a décideà la majorité de 10 )70iX de mandater sesdélégués su Congrès fédéral de la Haute-Garonne pour Mmttre un vote contre lapolitique de soutien, estMant que te véri-table idéal du Parti smialiste est de menerSa lutte seul, sans participation au pouvoir,ni soutien, dans l'unique but de represemter et de défendre la el.se ouvriére ctpey.nne avec le seul programme du Partis.ialiste issu des congrès internationaux.

Le secrétaire.

SALNE-GAUDENS

LA SEMAINE AUTOMOBILE DU GOM-:MUES. Appel à la population deSaint-Gudens. Le Syndicat dlmitiativedu Comminges organise une senitaine auto-mobile destinée à appeler l'attention dugrand public sur les reSsoUrces touristi-ques et thesuales de notre pays.

Si l'on songe que, de MarseiRe à Ben-ns, il n'existe h ce jour aucun circuit duvite.e, si t'on tient mande de l'intensepublicité qui sera faite autour de cettemanifestation et de l'afflux de visiteursOu'ellie ne manquera pas de déterminer, oncomprendra mn speine le profit que doità mirer une région qui ne /e cède à

lueir centre, ni peur la splendeur de ers. n1 pou rla ia eut r.ltra Ise du se,

II n'est pas exagéré de dire que l'avenirde notre petite patrie dépend, noue_ _une

te part, du sucrés de ce% derseprishCommerçants, propriétaires, ouvriers,

il n'est pas une classe de la ponnlidiortqui yeat décelai:mut intéressée.Une sonsription puIrligue est euierte.

e Syndicat d'initiatme imPère que cbmIt./fera son &voir.

AUDE.A N. Auguste Earliaza

conseiller général

maire de CupeadcMontlaur. 5 août.-- En vérité, I faai avoilune provision incommensurable d'incons-cience et d'audace pour oser affirmer huela lettre de citoyen Sue justifie les pro-pos qui ont été proférés par ions surmon fils Fernand. Bêtise et aplomb IL'un, d'ailleurs, ne va pas sans l'autre.Mais st vous voudra jouer an Père Lori.guet, Auguste, ayez-en du Ininias l'es-10Prit et /es /euh.. Melheuretorment pourvous, l'esprit.- Hélas I et pour les let-tres... je nous dirai, comme Cyranoa Vous en avez tout juste trois, qui for-menthe mot sot. »

Ma., voyous, raisonnons un peu, aitoutefois vous louves me suivre, faitesun grand effort et vous y réussirez._ peut-êtm.

N'est-ce pas pour diminuer mendans l'esprit du public qui vous écoutaâPolir lui remocher une action démodante.epse vous disiez le vais exécuter le doc.-tem Lafont qui n'a pas rempli son de-Ivoir civique et oui n'a évité le tourniquetque grâce à l'Intervention d'un person-nage marquant du Parti Radient-Socia-liste »

Ce sont hies les paroles que vous avezPrononcées, n est-ce pas osque, instlà.kivous n'avez pas eu le courage de répé-ter ? Vous êtes prildmt. Tartufe, carvous sucres le soin, en bon disciple deLoyola, de les envelopper d'un nnage !as-sez épais peur sme toutes les calomniesPuissent s'y greffer et se développer d'leur aise, même celle de déserteur son'chiot la guerre; vous n'avez mes précisé,mais /e venin était lâché, vous aviez vidévos poches et l'acte indàlà 05 al étaitaccompli.

Eh bien 1 qu'a répondu Sire à la let-tre que je lui ai adressée, mettant leschoses au pdint et relatant l'escapade deil , soc d t quel f r seutilitaire, au fort de Bellegardo. en 1912,deux ans avant la guerre » .c Que /estonnés dont je m'étais servi étaient ri-goureusement eXacts o. D'one, que la fau-te abominable consistait simplement enune e bordé. » de 24 heures, safiction-née par quelques jours de prison disoi-n/Inaire I Au surphe, M. Sire reconnais-/mit du même coup., que, partant, il inpouvait louer aucun rôle politique etqu'en intervenant, il avait entendu sio.plement obliger un anii.

Et de là, vous ce:gluez, comme L.bar, que le citoyen Sire vous justifie.

e Et voilà potoquoi votre fille estmuette. »

Mais, gros étourdi, vous ne vous êtesdonc pas aperçu eue M. Sire, en un ion'sonos ma lettre, en déclarant que tms, lestermes en étaient rigoureusement ezartvvous donnait lui-mémo éclats.ntMenti ? Car si voue aceenotez lv esse

sa réponse, n'est ave,pj mol One von!êtes d'accord (vous n'avez pas l'air se,visu eus douter, ma parole n vousriee dû, si vous l'aviez compris, recoirnaître loyalerpent que Cin.rtade casvous reprochiez à mon fils n'était en faitcm une simple peccadille.

Mais non, vous persistez dans vs.,mauvaise foi.

Et vous croyez aue les choses vont ,Passer ainsi ? Tout bonnement ?... Me i»1e vous tiens dans mes griffes, Basile, etje ne vous lâcherai pas, soyez-en sûr.sans vous avoir mis à nu, marrer, oisondont le duvet s'envole au vent.

Je sais bien que vous avez pris vosPrécautions et eue vous avez déclar0.homme prudent, e que vosa ne report-driez plus à des injures Md rdeadeatengde trop bas. or (Vieux diehé ! C'eSt toutce que vous avez trouvé ?). Mais, hoirme simple, il faut hies que b /n'abaissepour vours atteindre, puisque vous vousêtes ;cté vous-même dans le bourbiermoiriez vo. en tirer avec un geste thétivitral et hautain, en ayant bien soin ce.Pendant de ne nas perdre de vue laporte de gortie. N'y comptez pas.

Vous urne, que deux moyens de voustirer dr ce Paz t

1° De déclarer que votre bonne foia été surprise, ou...

2° D'eineimer les regmts de votre ac-tion, sinon... la danse continuera.

Pro domo.Vous parlez de ma m.oralité (ie renom-

que, en passant, _une je n'ai jamais faitallusion à la vôtre), mais sois.

j'entends bien t je me montre à tousIon yeux tel que je suis, aussi, je netrompe personne, et, en m'abordant, orspeut vair dans mon clair regard la légi-time fierté d'avoir su garder jusqu'au'bout mon indépendance et ma foi.

Qeed à ma vie intirre.-Oh Ine vousgênez paa Vous n'aurez pas besoin d'ypénétrer par effraction, voire dans mapropre chambre elle vous sera grand.-ouverte et vous pourrez, s'il vous con-vient mettre le nez dans mon... Ji lava-torY no, Y Plonger le carias tollt entier, sile cceur vous en dit, et vous en sortirezcertainem.ent plus propre qu'en y entrant'

iules LAFONT,Maire de Montlaor.

Avis important

NOUS INFORMONS NOS ABONNES QUELES MANDATS PRESENTES PAR LAPOSTE SERONT ALAIORES DE 1 Ir. 25, ENRAISON DES FRAIS DE RECOUVREMENTTRES ELEVES.

ILS ONT DONC ENTERET A NOUS-FAIRE PARVENIR DIRECTEMENT LEMONTANT -DE .LEUR ABONNEMENTAVANT SON EXPIRATION,

EN L'ADRESSANT PAR CHEQUE PDS,TAL, COMPTE 5277, ILS asisioNr Que

fe 25 DE FILME '

seesmszesesmegesazgams.sa=eep,,,sepp..t,,.,,x, 3 II IMMO

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: 20 - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B315556101_MIDSOC_1925... · En 1905, l'abbé Delsor, un des si-gnataires de la plainte, ... tout

La SCIATIQUE

GNE VEND LU. MEILLEURS PRODUITSmee.,Nme:weiEzmaswamezenti

REPUBLICAINS ET SOCIALISTESLisez ceciUNE AFFIRMATION FORMELLE I

Une sciatique rebelle à la jambe gaucheM'avait mis dans la nécessite d'interr..,pre mon service pendant plus de trois mois;

tous les médicaments ordonnés étaientinefficaces. Me voyant continuer à souf-frir, plusieurs personnes vinrent me direqu'ayant été olles-mêmes atteintes de ce !mal, un seul remède avait pu les guérirradicalement, c'était le Traitement du Char.Issus dom Marie; je suivis leur conseil et,

âpres avoir bu qu6lq9. potions et vidé no

Bacon de baume en fretions, j'eus la grandejoie de Ine revoir alerte et bien portant.J'ai repris nies dures fonctions de facteur,je parcours journellement soit A pied, soità bicyclette, plusieurs communes et, auxgens étonnés de me revoie en pleine santé,

je réponds que c'est au Traitement du

Chartreux que je dois ce résultat inespéré,MARS (Edmond),

facteur à Anglure (Marne).

Ce sont les malades eux-mêmes qui, aprèsnvoir été guéris radicalement par le Ceci.

tement du Chartreux dom Marie alors qu'asétaient abandonnés, conseillent et propa-gent ce remède souverain.

Aucatne douleue, aucun malaise d'originearthritique ne lui résistent; Il ne soulagepas pendant quelques heures, il guérit ra-dicalement, car il s'attaque à la racinemime du mal.

Demandez aujourd'hui à 5/. Mataient19, rue des Deux-Ponts, ii Paris (4e), labrochure détaillée gratuite et franco, Vousvous guérirez 1.10-000.100,

Le Traitement du Chartreux dom Marieest en vente dans toutes les pharmacies;potion ou pastilles, 15 fr. le Façon; boume,7 fr. 85. S'il ne se trouvait pas dans votrelocalité, M. Malavant vous l'adressera con-tre mandat de 22 fr. 85.

Pour éviter les contrefaçons, il faut exi-ger que les flacons soient contenus dansune boite scellée avec le thnbre de l'Etatfrançais et la signature ; dom Stade.

rermermers

TACHES de ROUSSEUR

Publications de MotleuGASTON DROUET. Edam.

Ettt Ras da La SCURDIÉPE. PAPINde

SPÊCIN. leOUWPors,as saars5ern

Ecu's A,

P.11,14006trac. 001.

4000LES erres5seUN. 9 r, es

PAR10.15MPEAUP

Ce Dr 4. As.

tannis.valtsLEURFarads' QUATRE POW

Es r.,6t flo

Lt.D.L,L1..A.,642E0

Tout .Ct., O.Uol,,,S.9 rut

te eu. s te. 30M'a *He tein ris principales Librables

_Paie 0so semas, rit spsdaux pAr Abonnie.°module., 8.0....ea

NOS PORTRAITSLe suces coneldérable oNeno pas les sena.

alssemenis de portraits soc rosa 50r005 pré.librement r.E.DINRIallet9 /108 e, cee.6 eéritablement artistisma de ce 10,01,1, sensintite à faire un nouvel appel à nos nes. eses

Le 66ON. eert sus mus ce nua.lG, nes" .possible à uàieetisue de faire aussi bien sue cee,:e noue, offrons.

Caser.....d, de la seproxiecti. embellissementdm Psits. dordsor do tos. tout est à peu prèspada.

Le redro letmerna, sema da /mât. harmenis.Ne gra. rehaussa le Pensait et en Nit uneMirée itusra d'art

N. pouvons Na. le cadre mit ton os.>et vert et or.

Lvossoo l'agrandissement comporte p...teles, an supplément de eins fumes par en.sonne au-dessus de la première est demanda Peth Mai..

Quelles vin soient les dimensions de la ph.,originale envoyée. il oonNra r pris dans nos burerep, 35 Dan. Expédié par orgie postai (portCi emballize cornues) r 44 francs.

Cdaudsur Marc cade) r 50 sur 60 centimètre..MODELE DE COMMANDE.

0 Monsieur TAdministreteur as36, 16, Rogna...laina. Tontons,

f. eene mire,sa arec,. cor photorrenhie PestIsseanciommers sien <orbe eue ores ormrhee laree«<8.aet cessa, oréreaf à l'adressa suivante

Cidei4 arr recadal-rosic zi

ES CA

Femmes qui souffrezOs Maladies interieures.Mêtrite, Fibrome, Hémorragies, Suites de Couches, Ovarites,rumeurs, Pertes b/00.h., etc.

REPRENEZ COURAGEtir il asiate un remède ineomparab/e, qud a sauvé des milliers de malheureusescondamnée a on martyre perpétuel, un enlaidi simple et facile, uniquement .mover de plantes Se. aucun puise. C'est la

3-C9112ri7MMGCU lsAlolnebn'EMME& QUI SOUFFREZ, auriez-vous essayé tous les traitements sans adent.

'ut, que .vous n'avez pas le droit de désespérer eounou devez., sans plus tarde,latee âne cure ayec la JOUVE166E de l'Abbé SOLIFIV.

La Jouvence-do l'Abbé, Soury!Met le salut de la Femme

FEMMES QUI SOUFI-Olt Z de artral reigulieds, accompagnées

di douleurs dans le mure e du mine ;ne Meraines. ils AlattSÉVEstonlac, de Consignation, Verlides, Siourdissentertts, Varices, Hé.

01.7001C8, etc.

Ira '''3.rctrertr t'et& tgartail: sCCei.":1 'Ir"'es, "'di"erre

"t'In

JOUVENCE DE L'AB E SOIMYqui yods mâtera sûrement.

La dOlIVENOE de l'Abbé SOURY, préparée V la Pharmacie Mag. DUMONTIER,Rouen, se trouve dans toutes le pharmacie. Le flacon 7 fr. 75, °met compris.

Bien exiger la véritable JOU VENCE de l'Aitbd, sQUEYqui doit porter le normande l'Abbé Soury et la signature Mag D:Missiles on Mité

0'3 a ri vu et A Onla

arivesbeaseasureamernstennessigneeeneneeentseeneosensogenbas.PHONOGRAPHES A CREDIT

Depuis I 491' ;7Z? =é'.'.:".7orvr>oWs:::17nMODÈLES SPHCIAUX POUR CAFÉS ET FUS

Catalogue Plug. esvoyis ratulterge st

Grand chois de Bisquas Dernières Nounanlés

ETAELIEEMENT "STENTOR" 121. t.,;,21';,"='>«;7. PAmIf x

ang pur assure langue vie Fades une cure!,

Essence de Salsepayeille roueDELIELIX

le meilleur elle plus scientifique des dépuratifsi.e Sanas 8 fr. rare do b lissons us le. (t-taure 271r

Pharmacie DELIPTIXDocteur IMPLAtr. 0 Pue te nemusat. Tet.u.

ninrartnriereerintinnrsnélree::::::::::nrineZ:e=eA L.

TROUVAILLEE RECORD DU BON MARGE

ULF MEUBLES i'p.

Rue du Taur, 37 .s TOULOUSEineraossairs Vert et Minage,

asiousemnesnammenetentionsmatissiennammemetnenensexemaninsatenumeesusenannunnis ........ resionsiestansmiseinsmanianessuansissimemsnmemzenesmnote

iAISONpOEur 'fous)LA REVUE PRATIQUEde l'HABITATION et do FOYERÉclaire sereptionnelle er jardins tt Basses-Coure

Indien te esees de i0,1 000010 01.1

UN AN 6 Faericules Albums o 7 fr. -- Le Fascicule r Ir. 26-666NIBEIPIM HACHETTE. 79, BOULEVARD SAINT-GERMAIN gemmer

LE num spciAusTE

Nouvelle Concession des CIRAGES et PRIIDUITS d'ENTRETIENO/RAO6 INNOVATION I

0151tmiction, ferreeMre

ESICAIISTIQIDEPIM breveta

&PILLANT MON OP Let met/leurs °exultaPATt fOurrenangGRAISSE de OMM

Eloretirs.u. : 11, 1=1"..a 1._,afenniè,use5e 1501e oetane

MESGEFférél

741-71-Z-Igek

____Measiseneacasa.rcee,,,m,

STOCKSAMERICAINS

20.000 Lits de, 20"Matelas, 30 fr. Pelochon garni, 5.50110.0g00008 de travail, 7.50. (Momieses laine, 13 tu. Imperméables aveceapuebon, 12 fr. Draps de lit Pape-terie, dada, Vêtements, Lingerie,Bottes caoutchouc. Couvertures,Rros-ses, Valises, Serviettes, Caleçons, Tri-cots, etc. (Le tout

crutPeseifr. lard. espéd. Sten,' et col.).,

COMPTOIR GÉNÉRAL DE STOCKSBOODPAUPL . a, LOurs Ar«oape Te.. 03.

Si vous ne craignezpas de connaître

la vérité...Laissez-mol vous h dire

Certains faits de votre existence passéeou future, la situation quo vous aurmd'autres renseignements confidentiels vomseront révétés par ilastrologitt la scion.la plus ancienne. Vous connaîtrez votrtavenir, vos amis

vos enterais, lo succes et le benhotequi vous attende°,dans le mariste,les epéenlatimm,lus hêntedies queous Medium..Laisses-moi V.'

2,7nner gratuite.ment cm renie-ments, qui vousA...sont et quimodifieront com-plètement votre

genre do vie, voua apporteront le SUCCE.,In bonheur et la prospérité, au lieu dudésespoir ob de l'insuccès qui vous mena-cent peut-être en eu moment. L'interpré.tation astronomique de votes destinée vonsaera donnée ou un langago clair etet ne comprendra pas monis do Meg pages.

Pour cela, envoyez seulemed Votre dateSe naissance, avec votre nous et voteradmise, écrits distinctement, et il voussera répondu immédiatement. Di vous levouiez, vous pouvez joindre 1 franc enbillet ou en trnibres de votre noya, pourles frais de correspondance. (bre paa met-tre do pièces de monnaie deus les lettres.)

Piratez do cett0 effre, qui ne sera paneStrie pas renouvelée. S'adrezsert ROXROY,Dépt. 2205 0, Eminastraat, 42, La Haye(Hollande). Affranchir los lettres bibi na.Mien.

leltdelentsittedid.eAmestAntriteassemnaugg

LISEZ

jaiurn3aeeselue

Leplud enneilef PpaligaasAu], le Oelsisnel cikeentepena

AN, 24.1,100E4203 , 12f0etressa ededurr DEn movicse expbtacenvems

E,,rr E , 720, se se GERMA/RiPARIS (6 El

2......MWMFERHee

COPAGNIE OU GAZDide sa Buiumig Toast 2.

1, Rue Périgord, 7-' TOULOUSE

E et LOCATION de COMPTEURS

APPareas de Cuisinede Chauffage au G

VENTE DE COKELe3 connnandes sont reçues

7, rue du Perlgord ou d t'UsineGaz, Pu ',cuvent être remises à,sus les Adents de la COMpeettegut ont accès auprès des abonner

Fr"

Nous vous offrons Une Occasion uniqued'enrichir votre bibliothèque de deux chefs-d'uvre incomparables et

qui sont !devenus fort rares en librairie

Les Mystères ou Peupled'Eggène Elle

Histoire d'une famille de prolétaires à travers les figes.Au-dessus des romans vulgaires jetés en pâture aux foules avides desavoir se dresse, admirable, grandiose, l'oeuvre do vérité et de Imbu ilel'incomparable édrivain. Eugène Site oloil montre des plus grandes qua-

lités de style e,t de brillant content.; des milliers d'exeMplaires de ce(10f-d'oeuvre out été répandus et ces pages émouvantes orst fait frima-

ner et vibrer Mue humaine.Nul, panai nos écnvens contemporains, n'a su, mieux qu'Eugène Silo,

passionner, faire rire et pleurer, instruire.

LES MYSTÈRES DU PEUPLEforment un cenerage in deux volumes format in-4' 09 sur 21). Il com.

prend RH pages, illustrées de 2(10 gravures.

Les dons volumes brochés, d'une valeur de 60 trams sont vendus a nelecteurs au prix réduit de 10 francs, franco de poit et d'emballage.

Adresser les commandes li l'Administrateur du MIDI, Mb rue Romelaine,à Toulouse (oompte pastel n° 5.277),

Conçu dans un véritable esprit républicain et sociat le DictionnaireLA CHAIRE est un monument unique eu sun genre.

Cette édition, la dernière parue, n été rédigée notamment par des collebimoteurs comme Misée Reclus, André Girard, E. A. Spoll, Léon Millet,Hector France, etc., qui ont puisé /eumu documents aux sources de la vieintellectuelle t Voltaire, 3-1. Rousseau, d'Alembert, Diderot, Buffon,Condommt, et plus pris de nous Victor Hugo, Léon Clartel, Eugène Stie,Félix FF., Louis Blanc, jean Grave, Jules Guesde, Spencer, Recette,

Darwin, Büchner, Curie, Misée Reclus, etc,

Cet Ouvrage, y rugis rappleviice, comprend 4 VOLUMESin.4t 02 sur 25) pesant 15 tilos environ, à 3 colonneS, de plus de MID

page chacun, illustrés de plus de 3,900 gravures.Les quatre volumes, reliure de grând luxe, dos chagrin sont vendus au

prix exceptionnel de t

200 francs, frotter:. de port t..è d'emballageAdresser las commandes à l'Administenteurs du MIDI, Wb rue Requelaine,

it Toulouse (compte Postal u° 5,277) -

Nous engageons nos lecteurs 1 profiter sans retard de cette offre avanta-geuse, Le rembre d'exempteres cuis à notre disposition est limité.

Nous rappelons inc Maurice La Châtre fut condamné, en 1857, à soleito prison et 0.000 t, 'Item d'amende poim l'édition des e :dyne:AtPeuple , cet !ouvrage reput été juge subversif par le gouvernementimpérial et le parti Médina/. Les ctichis et tous Ics exemplaires furent

détruits.Deux ans plus tarch une édition du Dictionnaire La Châtre êtait détruiteet Maurice La Châtre se voyait irdligor cinq ans de prison PO., 011640

h la morale ot menet°, à la haine outre citoyens

ses n, dartres, psoriasis, acettIadémangeaisons, rougeurs

furenclea, boutons, ule.bres, tumeursLe rintoinAL fatal 500 un neuve. Nang

&sono, riche et pue et guérit Mamelon digest.,Constipation, tex.. Perds. Humours,

uktur_itt viirese, Andigeradegie.,

Fibrénue, Do.. du selsinei_Plametiames, Maladies des Fess., Ag.

410, peg,1%.e.mc .ssisLbsoielese eumenealvdixoutimse_

Déget loulous, Pharmacie Condom, Il. pi..Lafayette. Pharmacie du Cesitele angle rue duTad et dm Loi.

()ManderDans tous les Cafés

!AFRICAIN&PERDU A LA 53AXGAlilEt19

elje.ESPY es FABREà Saint-Ambroix (Geraseenal.,bibil El n v nis metteur testranidlIgnee emel

comm.,. par une équipe, n U Som. à boue de 0 M.

Clialque nu Onciale' BOBO. à AlbiAn.»./.A.. amante. Mea les Num ne

esses et rra, axe-s88A.

13e, RUE ROOUELAINE, 90TOULOUSE TlittelkPb 0.43

PRIMENOS LECTEMI

Nous offrons à tous les WittlitriBDB

JEAN JALIRB$en superbe médaillon

i)1AMETRE 0.25Vërilable Objet é

Cécuté par un des meilleunntoulousains

Ce médaillon en plâtre inedreprésente le grand tribun dol.

Il est cédé au prix de t 9 Die

sen dus

feLEcTpucleClIAUFFAUE

ECLAMAG5t FORCE SItliie"

PROMETE nyontNEcommoDrut

A OPPRESS TON COM FLET E De

D'ASPHYXIE OU rgingLOstS'adresser b in

SOCrETE TouLoUSAINE!gluai Salebirierre, InULOt

«La Voix des letil)Organe national des Jeunesse

lutte pour la défense des deuil)Pro/Cafres, combat tous les tel

Abonnements 1 an, 3 francs.

Adresser lettres et mandatssa cal

Einstein°, 8, rue Franc, Toutouse.

Postal n Toulouse 127-34.

isseiseaseilestlfflli°

elÉTÉ MER:Z:ONA!..ri DINIPERIzeIONTOUS TRAVAUX D'IMPRESS1Cre

iCH[IveRIDIONALtecèrere F1I Et i rrotreBibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés