4:1( 4Bï 4t

MJsîRATON& RÉDACTIO1

, et 'oquel&I

. OULOUS

P V L t C I T

J

at ÇZ5S 4Xdii far1

fiCrr8$PdUS

Ie Numér0Ce)tir3)5

iTÉ t1'YAllTI. jt avec LflL 1 discussion de

; qut qui fait loyalement0gr en reeflir tes ens&gwineuts.ffort ruoparaît bien qu'une volont6 pr-UleSt tous ces lointains chbats, etise du parU aspire â uae ute

jie bC d pe[1StO et d'action.ndW13 i cjuciqUUU peut s'en toruier.1JPaspiraLiQflS procèdent le ia )iUS

ø ter;' logiques. Il n'est pas ius-émc

sciSSiOUStactifs ou neut-ies, qui

1U'3t inspirent) pttis(LU'aUSSi biMl tiliCie

ei1'a (t'aut but que celui d'assurer

jssIonfl axe h l'unit(, et; par l, 4e conso-,anou%C . ,

deF cette. nous le sornme icca-

tJnItr's. La seule jiffiCult à laqueltoçueft

heurte Consiste à connaUro les t&.UI se UOjVN1L composer ceLte utit, et

plus L Ufl formule qu'à ccI

tie contient de vie, e pensée et ct15QuC veut-on obtenir, en dt1nitive?

;l.;ne u11iforit absolue de vues sur l'en-.

nrnbI d8 problèffles de notre politiqueiliste? Oit accepte volontkers

:ce qu'UflC telle manitestatioli 19 notre

ité ne rnaiiqterait pas de rnonotoflLe. It.0

, lii 'et du concours et du heurt do: pensées nnonibrabIes quo doii naître

sut j'intért de notre organisaLion. Sa for-: pofnt d'autre origine. Ft l'unitt neaurait S COUCeYOr sans le resp4Mt fie t9u-

s les teiidanecs qui s'y manifestentlui s'y ncessairenient.

Mais n'al10 pas oxagrer dans le sensFune indpefld.aflCe absolue de nos e prts.tot.t'e adhesioft au socialisme et 9U partiiocialiste ne se comprend pas si elle neomporte pas des devoirs pr&is que nui

(le doiti transgresser. Notre porte resteouverte It qui veut entrer [lut dons a 1itqu'elle soit ine à qui veut SOrt'l?

. tous vémetton chadun de nos adbcents une carte individtielle dent il fan-dratt cependant pas ignorer b contenu.Mes-iI pexnIs de rappeler que notre tac-!ique C' prouvt;e et glorieuse » reposc surla luUo de etasse, ctquo notre action neloit coiisentr aucune concession a l'ordretabIi, que nous devons poursuivre la trans

forrntion la plus rapide posib1 de a sa-;:it bourgeoise en socitd socialiste, etsi la scission doit se j)roduiro c'est it quequMe contt'e la bourgeoisie, du pouvoirolitiquo,

Vous vottle; l'uei(? Nous la voulonssous, La voildaos un texte pricis et clair,lans la rtsolution dAmerdam, telle quevous la pouvez relire k la pcemi pagei notre carte individuelle.

t-ee que, par hasard, l'idc. ne souri.-a(t pas, certains de nos cmarades deOsSi4ir cette page comme un vulgaira

ehtit papier? Je n'en veux rien savoiroui l'instant,. Ou plutôt, j'ci sajs ceciur e point, sur cos donnies fonclamenls d action, nous voulons doiuerCXemple d'une intransigeance formel le. Itla d&it se porc1uire c'est l que

Ois l voudtou nette, indiscutable et

De.s arnaradcs mc fout observer que¶nus aveit, dans nos rangs, des oi:ili-: Prire », et qu'on peut leur repro-

r mauttes concessions à l'ordre éta!ti.t leur action qu'ils veulent (t1I'nint Nul plus que r.ini

iieore t faits qu'ils rappe'lent Te

OiiMoa dire, ailleurs qu'ie, lesP'ne8 pràeluiiue et cFltstable.

bus: ouverteinei sagit-f(, peurain3 dans le :lasai'd dcs

ler ji:eLle , contraire, de j)Oi-

aflheal lcs faits?ez? Soit!

de jerrQ? Yens en coanaisPli juste ' qut est plus intressnt etîle .kXatrnner, c'est le soeiaikrnetlei_c oit

a rho50 et non les hommes.la ob a cela, et cela VCCtSCiiOparti, tiOr(1etitanft, mais naniest duio[ta l'Ord

jour o notre aticn ap-anïsatj" CC(&5 l'enseiiiblc de notre or-

Si, Pour rIliratt COtittLuer notre uni$,L . uid -- Politique LSPca,aIile cl .' voquer cet-'ieat. 0e ucrre qui pèse ri I'tirdc-'nin, aneje passo et cui noue o déçus,que quI Combattants, plus'ni Ouel[ f.

POnflejl ' ii aut retenir clle-nem)aint puis-se écrire, et, pro-

Oduiea iOUr, affirmer qa'elle n

uLt 5e flouS ne voulons as

:i lÇdq?.n9Us. appartient (IUC pour

p retenir Contiejit, I serait valu 'le1Oao

(1que Pour s'offrir le !UXt' de

:o.ns. nJ SotrEineltes exconrn1utija_n

ajor' est d'utilIser nôir l)11U-

1:vit. y acp Pont' fixer nçjtre potiLuown vent &1èPCra librement qui veut.' l. Savate qui reucjllia les

.L'ONTArj

M:. rçtiu1ern conhinu1 io « ny rien COflF-prendre ».

'Ses .divers systèmes, y .eomnrslc sy-tème bolcheviste, st en faillite. Bons ttl)UtS commerciaux.

L régime cks taxes ayant cliou, M.Noulen a j:nstituf 1eS'PLi' n(}'inaux. Ilsconsit.uent unn indication poxmr le publicsmais non pa un obIjtiOn po lecommjnt. . ..

Alors?Si un conmçaut vend un prix

'( anormal >, l'aeheteur,cn esl réduit i sedire : « Tji15 ! » ce prix n'est pas lior-.niai ». Et il le paie.

M.. Noulens trouve très malin.Peut.-ren'a-l-il I)IS eofli[)rjs lu3-ine,.m

le sens et la portée de son invention g-finie.

Att ncoi la proLlIainaEt, en I'atendant constaî.Ofls (1UC sou

premier fiasco u portA iz son eornt4 l'affo-Iemen de ce pauvre M. Nouleis.

'falgré Ie nombre d ses atach(s, oupcuttre en rain rnimc dc ICUF nombrele dsordra règne en maitro. dans son en-bluet. .

Ces pauvres a1tac}ns sont surcliargs debesogne.

Au nonibre de cinq. la besognepartagc entre eux, eat.e.11e Cst iicrasanie:

Le premier s'occupe d I'auio d M. lev13mnjstre ; .

. Le deuxième e. le troisième s'oupent1e l campagne 1ectora1.e, c (le recevoirles leeteucS ; sur ce-s deux l'un est t.u-jours absent pour se reposer d fatiguesd la vei1e ;

Le quatrième s'occupe rie Mines et M1eles secrtajros ; sa besogne n'est pas lamoins absorbant ; ........

c.jnquinie fait tout. y compris le t5-tphone.

Aussi e> pauvre mïfii&re ri'pbLient-iiJamais un reiiseij11enefli

Quant au directions, ailles attendentsous I orme des d csmons qui sont a-inas pises

Et puis il fuit b 'n I ou r, VLehcn(tes }L1' noiman' iprès la el'une faiten a ps oatribtic t r&han'er ie-prestigede M. NouIens au yeux de ces subocdojl_nés.

zwardrces' s

1Jt 111. dec1ll du Sha?loJI de Pcre cil:, paraît-il,en rouie pour

Qu'il son le bienvenu.l?UOPO (le Shah et de .t'cçse, un îuui . qui n

\ 0d eu ce « IO!tI(OE!H pa' o flt eiUe un "'O1e IliCEI1ls toit afin nt

L

. n s'L1L dola I,Luoui dont ci choisi le ni.O1e-cm Un Juili. i)e mauvais pLais&nt pourririt &

;1fll.Ci qU il sufl t! oit 'fletrornpez-les.Pou seigilei le $hah la cour de Perse fait

ppel t IIIIC orntnttC n1LdjLa1c turepaenui it%oiei le crtliio1I%al jnSskie son ehoi

Le Shah icuiOt toute la COLII au pied te sonhune G t.,t s LI1, cloute oiipue du shah tPu il idit P1 gr tiu atIo!o,nc dLs suitses, porten du Coman. .

Le gread astrologue des songes fait cnrrOtrocs n*I9 flCs (iVIL candidats, puis, avem.eut-,

il OlivrO le Ucian au liasaiil et lit le pernierveraci, (lui lui iciune sous les veux: CL In tû-j)O1ise du Corait in1ique le clinix i fae.

Ainsi le grand astrologue de songes sononce.(* Le pmfesseur Riearl do Piis o ; puis il. oi-vre le Coman et lit Et la rnatUciion dlial&fut stw eu:. « .

Donc, le jiioîesseum Ricard de Pis est LLcah5 . . .

t e rind astioI'.gae tics son' cootiotteL I) p otCO J1ih,on dc oiu ' il i

le Coran et lit u Lt ii e rotut(le l eonduitc de es fbtt1 (iri

Alliit n pioroi uo k pioft ci ick uidsign6. .

VtVeSaCiSOfl. ......La cour pousn tiors Is eiis a'a1hgces e

exécute fuinttiqiieIieftt une série (i tabote,tin1s qu grm'!nie1t -shah passe sa aiuudetriL'e sOn ocelle gauche (ce qui tait gu(a-lement pleuvciir te IeOdcnaiii).

Le m&ict1t désigo(, 11 ne i-'este lilus au siruli(tti,& cIioil une bonne nisbdie pour epPmk-ter La scicnc dt lhcuru t4u.

Le tmiteflN\t afférent auï fonctionS tIe mir-cia tiiUiflt du stiOt est natuiriienicut plu, e.L'-Yt, que le tarif couraut tics vtéimices ; ii est. Oscent iiIiIiS francs tnu lui. Mais il convient da-outer que 155 risques pofesstouucls . sCnt C(.fl-

s.idtrnblss. Le shah n 5tiv8i&t Lies iit4cs sÛra ) s.

( qui est 6ViUE}ffluiIeilt Tocigiite du chat nQ.Mais I spectacle Ou chat uoi et mcOfls dnOsra PerSC qn' Pa!5$, et in moindm ereue Oc

dinçiostic pntt eutcaiuec des LitCttL5 iCtTit):La bastOufla(1e, le banfliSemcnt sont nioufue

cucant et i « Fils du Soleil o peut nOncorOollure ( 1'uvtte1enient 1e. la langue o s'il e;4

e ve've Os s'aiiiuee en peu. .

(:'t un peu ntal t et en iraoce nous ayoisdea t'aCOu ,tus gealiltes de " (1)O1Cc notc liu-ue au chat .

I n s s if

\roulevC,iL saVO ICS raiOL e moc ain-tuda ii iaci de votre in1nistJce ?

J'ai UtCUfl M. 4jtemeRctu . iJuat1 lotiteahest.ilitk3, mirsio aux lieuecs t!.igOl5SafItC Ou

Chemin (k's Dames. Mss,dsDiii3 larinistice, ''aila convbtIOn l)roftii(lo que, siirlout par . dcd(Sttutn (i mttude Çiieites . (v4t(5, ii a faitou liissi far UlIS pôliUtitie exOliit,iirr, une p0-l(itIU CÛflJt111 U1O I4 I iOct&euro q'ucoprfiittat guuventctit lr ictiM.s I1C laFrOcs t cuIe bi ltpu1).li(1us, qu s

.Ee polat. T. . . ChArtes CIh'IJME't',

4iiccn flifvi str,k'pv a la Oiraae

;La petite aff.iic sest. conclue avi Le.

Mons,4c ]fo.itc.k, a4-il dit, 1 fautêtre candidat.

. Mais je n'y pense p&nt, rél)OlPHt1avjak'ur; la politique me dégoûte.

-- Monsjeiur Fonek rcprjt le chef decabinet. de M. Cieiïe.nceau, nous avons be-sain tFluommes comme vous ; d'ailIcur,vous serez sur ma liste.

Cet arguneii convainquit Fonek. fl

trouj' Paris, M. Manctel le mit en rtip-

. port avec ses (C cO-liStjctS 'L Pierre JJu-. puy, Conibrouze, Labrow. L'enrvue futchaiinante : on salua la gb ï te du. liro,P011 rappeia sus prou.sscs.

Qt.Ie direzvous aux letetirs ? dc-'niauclit t.iinidenien( 'M. 1.er,e Dui)uy.

Foack, qui 5ijt ma-I arde in \-4rjté,fonça :

--Je djraj que tous 105 gouvernemenis{ltlL ont pr6cOd celui de M. (uiemenceaufurent, des gouveiicinenls de nng.

j.e froid des tiiutcs aitiides tomba su1'issemblo.

-- .1 eut dou'c dit M rre J)iimon pt e n f i t t4 di l'u i dC ce-' nu-ujslèrcs et moi, je les ii,.tous ouieiius.

lent it la " i arr les ' U rfli.'

. f ici:s de la poitiqtie rneignnront au sol--dat ilitrLp 'c 1q Ç1(ii S O"itOiit S I oitckaura dans les rétuiions un magnifiquesuc.cs; il ne t)ottrra 105 1)araîtrc Sm5tro 1OIJit d'ovations foimiilabie.s., 'M.

Maudet pe!isc 0u'ii lui eu ferjelIdra loti-ouiSs quelque CkOSC

Ainsi tout . est. bleu. Seulomeut.. cogynucM. Mudet n'a ias pu jt.edirè à M. Uban-iiict clôtre candidat., celui-ci seavec quoques attres dputés sortants etant.jminist4riel : i.u" sa liste figurent MM.

Constant, Caea.uviei!l (lO' la 'rtémizioet... tiu aviateur. l.1(t peu moins glorieuxque l'ttie ii est veai, r. oe .Keil.s. :Oscra la lujte entre les pames. La campa-gac teeforale se fera eu avion et, rnxnosi Meuclel t.omie, oa setita qu'il a (-U.

: (105 nUes.

011 la ligii tles Asou.s 130nS Oses l'(iir,'e

.On n repro.c..lu, eitre aUI't'-e eltOsr.

gOuverncinentd ne pas svur .itjlieril'aviaiioti.. M.. !Jaid., qui ldinaiee estimpasib1e, a Ot piqué ti vi ps' eeteritique; inontr.er qu'il

savait, du mojns s scrvjC avii4eurs..

Ft voilà Pourquoi J!'onck, l'as de 0.9, seracaudidt dans la Gironde. r

Ccist. un coup de niaitc, :ncst.00 p35 ?. et . rMauciel espère bjcn quo .Ia popula-

rjt( du hérn reio.iliirasur 1. Jiste. 9( '.JUJ-miinetigure. . .

L'acuat ctro Cailaux

Les )tib'tîoflS d la Commissionti5lrkCtOn tic 18

paci, I; sepern1ire.La commission d'iiisruetion de !:.t cour

do justice constituc en chambre d'accu-nation, s'est rluaic ce matin sous la pusi--deuco tiC M. P(L'ès, alin tIc continuer ses:dtil)rations. (lomrncucs t neuf lieur,cette. réunion, a laquelle a.sistaieot tinsles niemubres de la commission, pcft lin itfli(li.

Liii OO-iieft ;nt'a 'eit, il'apiseso l'liumneniié ", sire h' point (1'tVe })rftt1Oae.i

.. Pafis, septetiit'e.1) k.S « I hamani'o » ({td dit a Oit 1 C'-.

cueilli ce bruit au &ik divet's milieu-x,la- Cour de Suai 1er serait sur lo point (le

LOiiOflCCf' OU non-lieu eu fa.vc;r de Comabyet Loustalot,. et ce dOUt!lC non-lieu pour-roit entreiner celui de (laillaux.

Ceci ne fait que o.00ilrmer les iiVotnina.. t.)ns pul)litcS ltiei pac le « Midi r 5U ce

su,ict..

il ridu IOî décrc

13 septembre.ru niai cIecnir, le lieutenant Edgar De-

romxw Qui eOminiindajt. la 2.IQ Compagnie(lU 3G?e d'infanterie, fut eoUctamn6 ;'L

mort par un conseil de gI.1CrXC du front.sous i'inculpsUomi d'avoir pass6 imi avro t;oute sa con1pagni. Or, au cours(lt.t procès, qui es ie\'%[mmi au.joucdhuj iie-vant te conseil de guerre (15 Lute. II i

(tal)!j (lUC' l'aeCus, co,itrairene.Ql i desal!tatjon mensongères portées tonlui. avait toujours eu au feu un niagni-_Ikiuc coLiduite eLqu'il s'était unmqueai+entretidu iour LiC pas inutilement sacciei'1(15 hommes (ltt'il comigmandait.

Dans ces conditions, rtØacOE(ioft a 016fa.i te iu. lieutenant. lkwoine. Ii a, ec elfet,616, cit h..,Jordrc di,t rgtnien elcltvaier d l LOgjaiL d'lmonueLur.

'M: Derome et prpfeirCL1r iC(6 auly06c etrU. lcoIe.de.1m6(lecin (l'AtHiefls.

nfr&e ft)PiIlCflt cel mn m6ta-hilitatiomi. (ue 'M. L)erome doit 6jre un amide MCL1(ICI OU tut- au mojria de ('4enu-CCati.. Wit avait W sç.ialisle, ou l'aurait t

t'ij.6,.

Le COinifci Carmausin (N monuinritt Jeu-très nous adresse un nouvel appeL

D4jà, voici quelques semaines, fi avat. tlemandd à tous les socialistes du Midi (teS'aSSOcjep aux efforts mies socialistes duTrn pour oreer i ('un'imtux h nit -rocsir'e de Jaurs, le nionumiit (jtio sa car-Fiere ses ertu (t son cnme in citent

Mais lesiocsjaljstes du 2i f idi,s'ils sont ar-dents, sont aussi volages. Et le geste (1(5promiels Souscriptaurs -- (lent itoas avonspublié la liste iei-niême n'a vas Lt0suivi avec la spontauiit0, avec l'ardeurquon était en droit d'esp0rer. Sol1ioits (letous cM,s, distraits sans doute par lacflon(Jiiotidienne. tes canarades qui pleu:rreiitJaurès n'ont pluM le temps d'tvoqiier 5(LflSouvenir et de lui rianifester positiveuii-eitleur reconnaissaiicc pour le bien qu'il fitau socialisme. à la ItpubIque, à la Franco.

PressO d mener son oeuvre i}OnhiO (in,le Comit6 cl'trertion nous demanzlc cl'6veii-1er les e.pi.its et çle secouer les apathies.

Avec lui nous souhaitons qu'au lende-lajn de SOfl appel,. dont on lira ci dessous

les ternies sobres et moui'autg, te pro-litariat, reconnaissant, fournisse la prcrr;eaussi bien iar ses lioles individuelles iitiopar les versements de ses orgaiisnt.icns,que la Souvenance des services rendus farJaurs à an COtlso est dans lïIifle clos int-vriers ta5si \'i-aee (151e IM'Ut l'Afro, (lOtis. 'âmo des F(pi1bljCOjrj.S les sersces (IU'ilendit à la JtpubIique.

LE « tIDI ».rur i'ércct

ontîrnent à $can JatrA Ox Teai- -. T1err, !' ' !:' j r(e (/.54Utocki1istcs.lu (S JLj)( tica

A tons les ci,topeo ri Oc Ii' (ice,

_&u. lendemain o. uoct de Jeuis, le co1isUroI!nicpal de Catomiix, (Isos sa Puice dt 'Jaoût. 1Oj, . tliCUu1t l'initiative (1'illeVc 'at 54)i.S-tr3fLt1on fUhithue un mnouumeT (t JCtjg .iauressol' I'UCII ((Ca l)ioces de la Ville et ii votait ucrédit OLi Cifl(j UIIIe (ramies..

(in (:omui(a pour l'ec.joii dn monument i Ciconçti(u sos les auspLcL, dii k OUSO L mu11ckp1le l'Union J)C'patteuicnlalc, C13S syiiOcits 0i_i,ic!s et Oc la IdiaI.lott socialiste du Tici.

Lheiiis est venue tic jeigOre un 1iOrni,ntto po-bi ic et visiht t la :aE,1ine cOustieliCe dont lu-iii\'eFs lotit entiec. pleure I'imnparabie petic. LeComité adresse a lotis nu pessaut appel aile(lue SeI 15 sol carmausin que Jniir a aim6 (leson coeuc atOent, a'lye le souvenir qui Oriaux viva1it et au hommes Oc lave-nie i'Oleu-oelie reconnaissance que Carmau emtic emivescelui qui aviit choisi et Cm Cainiaux entre ton-tcs les Villes.

Le CornitC demande aux ttavailtcmirs ou-viievi; et paysans de tC'moignct par leur oboleleim hommage envets le peneut qui n exalO?le tra'ait eu a tait L'assise durable d la SOCiCIt?(te (icmuain et., dans sa 'ie si pleine, eu n

la veltajuscIu' derniec sou1t1sLe C0m103 sait que les socialistos rpouPeoatsou appel.il demamie ainsi aux i1pubiicains (IC se soit-

I' que celui quI ditis sa PensEr mtavait ja-mais. s'Iar(, la RipuliiTt1ue Ou Socialiente a ti laglolte la plus puis as in it('pubteuo.

PCC Oel les partis politiques, le Comiti? s'a-iiie'ïe (t ions ceux dont la conscience est ('pttside Justice, parce que Jaurs lut un ust.e, qu'enaucun cas, il n'eut sEicriliC sen id?5i (ta jusuec.Stux tucessiks poliil(jtiCS quelques pCe.aaelesqu'elles unssent O1-*' et qi Sa petisie fut (ttoutes les COures coarnic un raloîtuement. 0ela Justice, elle-mCmne.

I e t ontt itteM des I rn'us jr teou %

Ces nui"ies qÙ'etles appottent le sie t4 ;leu.tieoanu- mie a Cliii Otit te g eu' tie rttaiLla pont souci constata d'assmer Utdu loyer, llastt'uction cL Iadi;nitO de la femm;.

k tons ceux quI ne confouutent pas l'iOC ticaltie avec un chauvinisme tteolt et, alinaci

iui. paysue songeifl pas (t faire du paltiotisiasun tfcJtIi)Iin vetsonrel, & tous cetx (lotit tCiliorteurs de la gueric oui meuttil les contes,tons ceux qui s'inquktont tic l'avenir ci L"L

savent qu'.uhio paix Juste est ta SCUtOd'une socititO futie meilleure, le Coniih? isp-lelle touts la nootesso te l'amont (C1airO etgilaut que uubs avait poar ta Fcauec, et mie

duels immenses services sa moit n fi&vO laFrancs et l'iImimnrittt dans les bruma teagicines(juLi te momie n veucs et cO il se d(bat cocote.

Le Comuit u la cemiitucic que sou appel semaentencta tic toits.

Le monument que ltienscmiieiit 110115 t?tie003peut' peritucr la nuomt'ite de 110(10 GiafiC \.rnl&IemsnUe le Oen voloutitiic (10 chacun. II se ttcu-sera amsis comme le symbole dc flotte et'-ceanaiss.st1co cuveris 01511(1 Honinie.. dc tiOttOlidll10 it sa peitse, de &tti uhuitaUon Irontstrit t00(C .

Le I't'ds(Oenl (itt CorritJ

J. li. GLvt(ruc, malles tIti UCtV!tUÀU.

Le Sect'1aite : Le Tt'srierL. I"iictf Elle Nfuamt.

TPL QU'iL EST AU,(flRlYflU, iuTftAITE N()U APPO}l'IE UN MNIII.'Zl,lu wtNi'îS rHLI'J'AliUS El.' (!"(MAYtIMttM niu (:1LR(Ei FINANC1ERES.QUAND LE 1'%YS Liii SAURA, Jl ME .D)iMANflE S'IL NI (()MiENCEt l'AS tibVSR DJSTIllilU'fON L)ES COU..

flONNES.

Ft'akli-Iotilllon (I)iscut's tt la Cliaj'tbi','t 6attce diaiec,)

--

-

e Ie issos dL'cuatÏtIcnt la paix- »fut, il y n trois jattes, la grandO e bonnenouveilesensatioanello que toute 1i pfCs.chouigeosse appoçjut t ses kttews, par(quo IrtilO pateoititie do: Itocheviks cerstetpar une aricne roumaine avait :finara(lo ».

En la publiant nous avons soiilign6 ce(lite pareille (ut rivat.ion avait d'itwea-semblable et ii quel .point elle 6tit, ecu-ranto parce que. r(velatriee do !'iaipifibit4des journaux relativement à leuis srrvicesde ienscigne:ment.s.

Il Otait certain pour nous que ce caoaittcouvrait. une .rjtible ci6fite. .Et, ('Ii effetil avait patte but. de masquer la tuile deplus en plus erdue, ta cl6b&cIe de plu,en l)IU8 aceentu6e du lieutenant du tsatI(ottchak, qualifié (l'amiral, saur doitl.parce quil monte des bateaux. Koltm'hnken fait n'existe plus. Et les Anglais, rmoiutêtus et. rnoin aveiiges que nous, disiin-gisant enfin lotir gaffe, se résigneL à paratir it leur tour i,our s'en rctoui'nee 1te

eux, comme oct le verra tians nos inortïtations de (leuXiènle page-,

Or, tandis que cette nouvelle de la eaptutation russe devant tes Roumains qu eTsont ébahis, nous arrivait un critique rnlitaire, le commandant de Civrieux tcrivaidatis un (le flOS confrères - « i'Expvcs mhMidi >, pour no le point nonunter --- les IIgues suivantes

-Sn'UAi'ION

La situaUo militaire, en g'ij,piratt guere faotablo au val er 'uio dsoviels, alors qu ippro ho le roui t octet

septentrional, vite remaplacO par 1

sombre hiver.A Arkhangel, les Anglais doivent r6prscc durement des mutineries russes, dotL

n cause originelle peut Ct.ro l)Inee ClaruauOOn.ee do la retraite ii laquelle va pr6

sider 1.0 mai'6c.hal itawiiesou.Sitôt cette retraite effect.u6c', [ouf î

front do la iner Blnnhc tombera au pouvoir des bolchevistes. 1ertset autrememit, cserait nourrir une illusion.

A l'ouest et au sud-ouest de. P6trograOtes forces rouges ont pris l'offeastvc totochent à la N-arova et sont entrées k PskoCar les Esthoniens, aujourd'hui, conuune, liiet' lesi Fin.larutais, semblent se ddsiit'lSressor do la lutte.

En Ulmeaine, Denifritie a étendu sa g-aujrho c16tnesurtmnent par (lOtit le i)liCpt', cila portant jusqu' Odeasa, et alors qu'iL riattaqu6 soit centre et k sa droite, celOextension couiituc pour lui ou s6rirti;danger.

étah5 au bord (lC'. la Mer N'ofrse procutamit ainsi l'apparence de sttecèalors quo la seule rttilitO de ceux-'i s'obfrait sur la route de Moscou. 1e telle sorftqu'ét.ant faible partout., il appara incuijabte dc la seule eaii"ej'riso utile,. la unircho vers le Nord, et il prsento au eouç(le ses a'Iversaires une ligne-mince nu lou(do laquelle ii doit redouter des surprises

Mais, (tans Pensemnblo clos v6neiuetiûmilitaires . de Russic, le fait le ptiis gL CV'tisido dans l tiOfiito dci pIu' cri ptt consor,iiw e des irmn(is 0m Koltmhak I 'td'Omsk; ylans laquelle s'Otait Otabli le goti

ecïienicat soulenu par l'Isttt nIe st,,i' 1gpoint (i'ûtC'e OvacuOl ides tvoupes rouge4avancent vic'torieusemett en Sihri et itn'uuvrcnt vers (e Ttit'kestan.

\!otts voyez combien rticordonf les nouvelles des agences et les apprOciaticiis cleicritiques. Avant-hier nous avons rctIrcniui.l'opinion quo In colonel Roiisset, autre ci'itique de guerre - publiait clans s ' l'etttParisien ' et qui e s t à pou prs identiqutà celle dii commandant de Civrien:; c'est-à-dire (loue tt la ntro.

Le fait ui Oclafo, qui emerge dans leafiaires mie itussie, c'est le succès militair4des bolcheviks. Et vous pensez bien qu'i'eut 616 impossible s'il n'itait pas appuylpar nu succès de propagande clans la populatiou. Les dtsertiomis en masse signa.t(es Clans larmOc On Koltchak; las litiLtillu(lue 80 livrent Anglais et Russes ailtihoI4cheviks, au sein mie I,arme d,Arkhangel, tiqui sojil, une des plus fortes raisons de liretraite anglaise, marquent avec tins 0vidouce inconteiabIe que les Ilusses vmt1erester maîtres chez eux et ne veulent piide r6girne irnp6rialiste.

Ils veulent la psiic. Oui, ertes! Ils \'etblent 1)1115 pr6cis6rneiit qu'on Ictir ticlitp114X. '

Et il faudia la leur laisser, qtt'OfL' cuillo ou non cpi on a'e rtJiui - ou no,Ol 'h 1tur laiiii*, par force! Et il e

,flOu.Lj restera d,e ceU.o. expdclition db liussqu'unsoiivClni-r aussi gai que do e1le iNpolton 'i'. . .

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53- FEUILLETON DU MIDI

ComédiennePar Daniel LESUEUR

se*)Pt--4

n né divorce que pour cela.Mais il divorce parce .que Vous

vez donti6 de l'espoir ?Moi?...- Par exemple!.:-. J'ai tout fait

,aur Pendissuacter. Vous ne savez,pas à.uel point il est fou I

Pas si fou, puiskue, à force dc3 sacri-- '.!,es, il vOus impoSe un engagement que

ous me dites n'avoir pas contractàCe n'est pas lui, ce sont les circOns-

ances. C'est tout ce que je V7:11Ei ai ditmère, ma pauvre. fierté, ma. lassitude

c tant d'hommages' offensants qui m'hu-illient, qui na'écurent...:

Les -Miens sans doute ? dennaudai'acchi avec ce faux calme de 'l'hommea Midi, ce calmej sous lequel on Sent-.Isser des éclairs..

Les vôtres ne peuvent pas me 'hies-'r Humbert; parce que... Ellel le regarda-more quelques secondes, baissa les eut-:ères et dit tout bas.. karce

Ivresse bien légère, que vous- dissi-cz avec un raisonnement.Efle proteta. Mais c'était difficile, .car

i-fallait cOnValle que 'son orgueil (elfe...osait dire sa vertu) remptrtaill sur

.:11nour qu'elle voulait, simuler. Avec la'-u1cates8ei 'et l entimentaiitcl

Sauvée dc

plu

nault, de tels mobiles la rehaussaient. Ilsla diminuaient au- contraire dans la fan-taisie violente et superbe de l'Italien.

Vous, s'écria-t-il en une phra.su querendit bizarre son ignorance des nuancesde la langue française, vous mariée,

vous serez une- formule perdue IElle se mit à rire d'une telle alliance

de mots.Certes I PeurSuivit-il, avc tu. Le ma-

riag est une nécessité sociale, et vous de-vez rester au-dessus de la société. Vousn'èêtes pas faite pour marcher à petitspas dans les chemins bourgeois. Vousêtes défisse, ma chère, Vous êtes commeces créatures célestes, que nos peintresreprésentent, leurs beaux pieds nus sé-parés du sol par une volute de nuage.

Clary s'amusait de ces métaphores ita-liennes.

I/ essaya de la persuader, lui décrivitune existence de passion, dd faste et d'artElle resterait au thé Ire, puisque sa mis-sion était de charmer les multitudes.Gracchi ne s'en montrait pas jaloux, -aucontraire, car il l'aimait comme actrice

i'autant que comme lemme. Mas, sur lascène, elle porterait désormais la royautéde sa richesse, dei son indépendance. deses parures éblouissantes. Elle habil-eraitun palais qu'il ferait construireexpièspeur elle, sanctuaire digne de la divinitéqui l'honorait, de sa présence, et ou ini,Gracchi serait le premier de ses adora-teurs Bit de ses esclaves, .4)uant à Stainier,

dont, tout à coup, /e nom surgit r,urlève subtile de l'Italien bien entendu,1 'Mirait son -théâtre.

A-,traveps les hyperboles de ce langageClary 1istinguai des ré,alités

410 ng laissaient, pas d- lft serftre,

.`roPrzeroie-ldDicALE :7- u Beux examens 4e .sang. lin avant la cure.l'autre à son achevement, permettent de tell-cher ° ». sinon du doigt. la, fetaticin..cie cause à effet, de vair en vertu de Quelithénomène PhYsiologique très sit/vele a Puss'acconapi.tr la rénovation constatee chez lestnalades soumis à* l'action du Glo!:iol.

Etant donné la faculté et l'inneuitéiela médication par le Grociéet, et surtout sonadmirable et Indéniable eftleacité, il icatiorle'donc. désorniais, de toujours donner à rom»tnerapie .sanguine la place qui lui revient ,etque. incontestantement. elle mérite presniero.

- 'recteur MILLT.. Médecin legiste da FOculté

de inettecine,sle LStr°-

ie euls sotie assurer Qtie. j'a eu de brusrésultats avec le GIntric.t. Grâce à une dièté.tique appropriée. ce remède est bien tolèredans les anémies, mémo par les malades ieseue recalcarants triomphe de la faiblesse,redonne de l'appétit et fait disparaltre les pal.

»

wCOM= Olueelne BCrîico aD.ort..-,

J'ai eu à me louer de l'effet produit- partin premier flacon de-Grobént l'appétit quiMalt nul chez mo_eirrialado est revenu, le,19,rnmeA est calirie"'.'et réparateur, l'essouffle-ment a preSqueli, daspa ru et l'a ba it ement afait place à. toz:certatn:`blen-être: »

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quoi I » se disait-elle.« 'c'est un pis-allertrès tolérable, auquel je pourrai toujoursrevenir Si je n'obtiens pas mieux. Essa-y oEnsied'saeb

If de r%itrae donc ses la. tour, enapparence inexpugnable, de-ses devoirs etde sa dignité.

Mais, à la longue, elle se démontait; carl'idée de l'épouse n'effleurait même pasl'esprit du prince. Essenault, qui venaitlj faire sa cour, l'agaçait horriblement.Stainier avait des retours de colère et lamalmenait de temps à, autre. Que d'adres-se ne fallait-il pas pour maintenir el.é-ricureinent ces trois_-personnages chacunsous le jour où elle voulait que les au-free la vissent 1Puis, par-dessus tout,l'inquiétude la saisissait que Gracchi nese lassât. Quand il restait quelque tempssans venir au théâtre. Clary s'énervaitjusqu'à la limite d'un coup de tète.

Brusquement. il lui annonça qu'il vou-lait en finir, qu'il allait réfléchir pendantune semaine ,et prendre une grande réso-

ilautiI,i1c)andp.ipsrpiatrquut; i a' éett'tteabsentéq ui leanesudt ruonetenvoya chez

ses gens où il se r;_szdait:peur folle et se repentit del n'avoir pasaccepté des propositions qu'elle ne ren-conterait peut-êétrei pas une seconde foisdans sa carrière. Pourtant, l'énergie de savolonté trouvait une satisfaction danscet incident définitif. Aprs tut, n'étai-i-n pas heureux qu'elle no put communi-que avec le prince ? Dans son impatien-ce, il ferait quelques pas de plus .dans,chemin où elle l'avait enfermé.' Eli3 setrouvait forcée, malgré sus défaillances,de suivre jusail'.31.1 bout &le:0121'4) iaati!lieit

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Les porteurs d'obligations 5 p 100 de l'acienne Compagnie des Chernirs de Fer du Nordde Sao Paulo (Araraquera) qui n'auront pasencore échangé leurs titres contre les obliga-tions 5 p. 100 do la Nouvelle Compagnie desChemins de Fer du Nord de Sao Paulo (SaoPaulo Northern) peuvent effectuer cet échangeaux guichets du Banco Mercantil de Rio-de-Janeiro, Rua Primeiro de Marco, n° 67, Rio-de...jaLeiro.

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Si elle nt revoyait plus l'Italien: elle au-ait perdu la partie, hardie joueuse dumoins et point mécontente d'elle'-même.S'il revenait, te ne pouvait être que pourlui offrir sa couronne. N'avait-il pas par-lé d'une grande résolution? Eh bion, quoi,'était quitte ou double... L'enjeu en -t'a-

lait la peine.Durant. cette mortelle huitaine', Esse-

nault ne fut pas très bien reçu rue del'Arcade. Pour expliquer sa méchante hu-mour, sa nervosité, l'actrice lui disait

Vous avez tort, Pierre, de venir chezmoi comme cela. "Vous gâterez votre af-faire devant lei '1'ribunal.

Qu'es t-cc que cela fait

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de format petit in-sOn trouve dans l'Avenir :1, Sous la rubrique L'Iules- et Opinions jearticles consacrés aux problèmes de doetuaet d'histoire des doctrines, de politique cl'éco.

notule, de législation du travail, etc. Ou*vene ltoutes les conceptions et à toutes les iendteeetcette. rubrique vise à donner -aux teczturs ,:tla revue nue image exacte et instructie dlmouvement des sentiments et des iciées (n1constituent le socialisme et gravitent autode lui.

I-. 2; Des Chroniques mensuelles de, la polir.quo (J.-13. Sévérac). do l'action.

mensuellespar.

iementairo (iiubert-Rougern de la colPéritia(Paul Ramadier), du mouvement ouvrier fi,1-alquet), des questions anunicipales (PieciDormoy).

3 Une revue des Livres et des Renies.4: Des D n:lY9ocuments : décision des co_

ouvriers, socialistes coopératifs natice= etinterriadollauX : manifestes prograiernes., ré-isolutions, etc.. dont Penseinble constitue de!arehives indispensables à tous les milles eà tous ceux qui s'intéressent au mouvtansocialiste.

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Depuis quelque temps le synuicat ou-Uvricr abait fait parbenir au syndicat pa-ronet1 uae demande eu revision des salai-ies, considérant le chomage dont soure latorporation, perte de temps oeoasionneepai l'ins(abiIit du travail, et les COnditiOnspnili1cs de ce travail. Le salaire J& 15 f. O

pa jOur ne suffit pas nourrir ta ramilletic l'ouvrier charpentier. 1)evant ces raiLsle syndicat av ait dernant1 une augmenta-iofl de salaire d 2 fr. 50 1'hure et Unendennitt fIxe de port de panier.

Les patrona n'ayan tpu se rêunir uneLrenueie fois, le revendications de ou-riers no les intéréssant pas outre iflOsure,

ill la demande presante di »ynicat eu-\rier, ils rusiyept tout do même à sereunir le vendredi 5 courant, et devant Itsqieîtions prersjites darnandées, ils neI)4nlurent pas mine offrir une transactiont par I d'un ordre du jour rejetèrentpaiement e siiïipiement, salis auuiio f oi_ne » demandes d usyndicat ouvrier.

Devant t (tat cia choses il n'a resta auiyfldicat quo la Oule décision que le pa-hOn» eux-.mines ont fored prendrela Tee Elle a d&ciaré hier au SOir etprend effet compter de l'undi matin.

Le »yadicat des ouhrieri charpentiersrappelle it la pO1)UIatiOfl que pendant (ICUXois, la première en 1914 cL- deriiiroiuent

ni m j juin, il a fait tout son possililePour eviter le conflit, et que cette lois en-ore il tout, dispc»i à être conciliant

:r1la IflC»0 du possible, mais l'attitude

' patrons ne l'a pas permisOu IC1,SOii. donc la respensabilite de

jieii Utuatton entiepreneurs cia char-ma Conflit actuel s'étend, çom-tlo, St a .eainiJre, aux autres corpora-1aton\ atUVLUt, le tort sera tout (h CÔJ&

toiia1ldicaL 901*ier, fort do on droit etti0 a\ec

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LaU'it Cassaot

i paitie COflOert rç le cèclera ni-t rien;Ja1ira d la belle musique excute parei1»Chestrp Olite conduit par notre cx-camarade p. lliière.a)a0 »'leCtjon d'opo!ras et de bellc ce-

I Cl1a1t,, pa des artistes en renomçi, de PFincjpaux thOEtrs, tel que Mile1*11110 dmer, de ?Opa do Iarsci1le,a\ç 'endias, l'oii entend toujours

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Les meilleures chausons de nos chansoa-niers modernes seront interprétées par M.Itoyaly, Myrthyi, lrragsonnet. et ?in»ky.

Les Cndets de Gascogne, image vivantede nos ehantur toulousains interprète-ront nos chant languedoriens.

Et, enfin, comm" internède, les virtuosesde la chasse, sous la direction de leur chefM. Icai'!, interprèteront les meilleurs inor-ceaux de leur ropertoire.

Une sauterie a'eo bataille de confettis etde sel'pentins clôturera cette matinte quiaura sans contredit un oeIatant suees.

)c

A TAVSTULOUECais'e de lhoinage

Lf eeourscJe cIu)rnag sema payé 'l(fllflinmlundi, an Foyer du Thtre du C'apitole,pour ie,s lettres I, J, K, L.

La caisse ferme i 6 heures.Oflic'e National des Mutile', ét Béfn' h

la Guerj'eII est &uvei t le 29 epLeml,ro WI9,à l'Of

fice national de 'siutilés er Rforrné de hiGuerre un conco,n pour six places dc ia-.mes sténo-dactylographes. Ces emL"issont aceessjblps aux veuveS de la guerreqni bénéficjem'op OEune majoraiu11 (Lepoints.

Le programm* et les condition» cicxa-men flinrent au « Journal Offll »28 août 1919. n, 232.

Distjaethni hnorHiqueNous apprenons nomination au guide

d'Officier d la Légion d'honneur 'ie M. leCommandant Petit, pl''sident dela b&lra.tion d'Educatjon physique de la 17e gion.

Le commandant Petit monti'amt ut i('eIdévouement à cette oeuvre do régnératjonl)hySique. A ce itrc il n:iirite la d:stinction nouvelle dont il est l'objet, CL nosfèlicitat ions.

A L'DEL ïJiiSacs pr kare - rtj1 dc vcya-------------.-

M Gfl' PT d2, Place du CapUmlc,

56 imoc dc la puhhqu

VE4 LES ELLES CAFE

flnineut. noyé-Ijer SOir. !eures k iCur itiave

Chatelin, Cifasse i919, solOat a 1"e (l'inlan-tcr. S'est iiOy CI) »C Laigna-t dalu la (;_ro11110 en face l'tabIsseiiient ROqaebrun ac_nue de i?itl1'Ct A Z heures, son erps jI'avajpas rOtrOLiV, L'uLoiit ;iiilitajt'e a téavisée,

Ce matin, vers 2 h 30, M FOx Eug1ie, 08ails, CUltiVbteiir, demeo1ra & CL'aponne_ii1'_ArzOn (Ifaute-Loire), dc I)asSag i Tooj1u agressé boulevard Bonrepos par 1en2pdiidus qui lent ien"ei ti \ teri c' 'udérehO so1 POrtercuille' ecOtei2t la scn'iiede jOo IraflCs .

Beste sur les 'Frottoi&'Se Illatin, J.1 ), 20, M. Thou11zt :LOU.

demeurant rue Cnjas 9. a !UlheurtCct un-Vcrs Par Un mflihu3 de ta n»js31 Blanc,Pue Bayard. li a Cté b1ess au Oras gauei etIaIspurt a l'lIùto1-Djeu

La vie ouvriereSyncèeat du JCrSomomLei cls Berner» PUbjj(S

de la Yjlje 1e TOajOuSç Le Syndicat 1l

Personnel des Sci'viees PubljS ¶le la Ville C

Toulouse organise ou le vendredi :12 courant9 heu:ps du SOir Ufl meeting avec le COn.'.

Cours des camarades Brian, délègu de la Fé-dération des Services Public» ; Beclel. secr-taire gtmnra1 du Syndlt de la Poudi'eria deToulouse ; Agrfcil, SeCl'tltare gonéral du Syn-dicat des Emproyts et Pravaillenr.s Maiic-Paux dc Bordeaux, et Marty-ROilan seCrètuii'ed l'Union deS Sndieats.

I.e meeting, qui sCra, prsd par le e:tTua-I'ade Foulciler, de t'UiiOn deS SyfldiCL5. aillalieu iL l'aneieiitie Facultd des Lettres.. rue dcfllinu»zit. Le Syndicat fait un prc5aflt appelà tous les employé», foi»ctionnaires, traval-leurs municipaux et dépai'tenicntaux, et leslhVite di assister masse h cette imPOrtanteréunion où seroiit ti'aitées les quertnns 'u1-v3ntes : Revendications du pCTsOlIVil ; ViC

cre ; mouvement syndical.Syfldjca dOS Oiivri.'m' Charpentiers. .'- Le

Syftdiona des Ouvrens CliarperlUers ann'aeaux divers sàdiCatS du BOUment que la gré-Ve dc la corporation est dolelaroic depJi lesamedi G courant et les invite ii se refuserd'exécuter n'impOrte quel t1aval de Charpentet à faire l'action jioleessajre Setile IlU qu

tous lc; camarades titi Batjmcnt aide it unora-icaient le S1dicat ci lutte.

G EAU GL DE LA TA2L AN i!J'ÉLEN!iNT lk

'r PiiiE TET

N LEEGLAN lIN E

Li\'reliilomieile,Dépèt AUiA ci DLTd5JI, rue C2ziril,

S?/iidicat des Débardeurs et IIÛ:;nCg (gPeine cCe Toulonsc. __ i1(iufljOfl irniaurbe 1courant li O hUCcS lj matin, Bourse (I'J rira

Vermeiit COtisatiOnsSyndicat ds Molfauz et .diiiaireS. .- T

inanence dimanche 7 SeptenJjj'e, d ) i ilres, à la Bourse d Travail.

S14n4)Cat des OiVrjer.s MCIÇOIi r.--- fltiniondjmamhe 7 COurant hum'e, . VCrsen)cnt,in»eriptioa de nouveaux acI!io1cnts et rcnlscdeS Cflitc aux flOU\C

Ordre du joui' A 9 heures, (1)I'rei?ojlcaflCc.COmjrCs ; ehÔnage et FUflj')jlS hi.'njcusnc1

LesAuiicalc dC Pcjjng dU FrO;ot (k' m 1e Pei-

gion. La COO-patjv de l'AnurIe .nuieineadholrents (lu' pârtir -d lundi 8 SptCin_

bre, ilt pourront, s'approvisionner en viii etdenrttcs d'aljnientaton. Le sucre acra i%ré auprix de la taxe contre remise 41es ti(ket.

Les adhérerts sont priS de venir aVCr laCarte de 1'Amjcalc.

AsSGCiciiO, des MUIiI(!S t FdO'ru1o,i DVar-/cmnenta1, _ Perniauicnce pour paiementCOjaOns dimanche COUi'aflt, 10 :tt) heuresii mi(1l, cful Andrau. plaCe du CpjtOe 1.

Voir en quaîrîme pge.1'annnve LÔUA

L V spo2liveIL!nI)BOIl »U lIlziclltanfi I&Cunwîz Sen et ona lic

G ct aUjou'd nui e Z heue.s preeiae» (lue »demouleront sur le ciment du Bazacil le» divêr-es epreuves inreriies au pugramlne de cette

important eveut sportif. Le Clou de cette réu-0100 est unique, disons-le de suite en dll'et. leGrand Prix de la ville de Toulouse, course ou-verte sm1 en fut avec fes as » du sprint ([U!cuit nom Pouchou Duou ')tto D un i1itr .Ôt,ils 'turont ,i 1Utc ave les j ,xtnaux FourmesL1cneiry le Bdsqd& \Olsirt Lfiqa1rili ,

LarIp e-b. On tiouura toifs 1's r ialu dii» I t-Iflenicain. encore une épreuva qui na nianqucranas cl int5 tt et qui 'i elle u!e attire ut au"zacle. les amatelirs d'émotion» sportives.

Au cours de la i'éunion s'ffectitCra l'arrivCedu Gran(l Critérium du Midi deuxièmna paIti(,c'est-à'.dire le circuit du Siid-Oues_

GALL1A-CLt'jj TOULOUS'AINReno Blat, champion de Toueaine, nouvelle-

ment arrivé fi Touions», fera la TraversO» deTOuIoii»e te la ilage, sous les couleurs du Gallia-Club Toulousain aux côtés de Vi'onia, l)UCàtsC,et ses anciens compagnons de: Citili.

LA TRAVERSEE DE TOULOIJSE AU N4GhIC'est aujourd'hui dimanche que sot dispute

cette très intéressant» manifestation sporiive,01g misse rai le tels »ctif 1mb U 1 t nmlat o iNautique de Foulouse, sous la prôsidence desautorités civiles et militaires et sous le patm'o-nage du Comité des Pyri1nées.

Le kpVrt scia donne i a )O tc poisCidevant l'établissement Roquebrune, O 81 na-

geurs officiellement engagéa, 1'Orrivéc aura lieuà 4 h. 30 dans le canal de Brienmn, aux Pouls.'jumeaux, devant l'Eldorado pt Luna-Park,

De 3 Ii. ii 6 h. auiont lieu aux lo1Ïts'.jumeaI:ddes attractions diversea pmdant la Traversou3le champion du monde de plongde exeduteradivers numéros sensationnels et tout partieuhe-rement le sac de Monte-urist'o. .

Un vin d'lioiiiicur sera offert le »ourr 1 O ILii l'hôtel dc 1'iris. S tous les c.oiicurrens de laTraversée.

swr1

ET SESSIJITSS

anémie, Faiblesse,t'aincues par le

VinPhARMACIE BU CAPITOLE

Place du Capie2a

Madame et iIonisiéur PARUE et Icjrtil : Mon-sieur et Madame \TTLLENEUE, née PARI)i : lesfamilles PAlmE, RJ3ULET, DUCOS, CART}IERYet VILLENEUVE ont la doulOiii' dc faire partit leurs amis et connaissances de la perte cruellequ'elles viennent d'éprouver en la personne do

Monsieur Amde PADEAspo'a;t ati 149e cCioofw»ierie,d4Oif de la C'oie

- le Guerredécédé à l'age do 23 ans cL les prient de vou-loir bleui assister ii ses obsèques qui aurontlieu le dimanche '7 septembre 1919, le 2 li. del'après-midi sur la paroisse Saiflt-EXUpèl'o (8aint-Miche!).

On se réunira a la maison montuai ro, rue desRécolleis, 110. 11 ne sera ias fait d'autre mvi-tation.

Pom. Fun. T. 11

ltW5;1l, e:

Madame JOUGLA, née S4Il[1ElEvFiOUCE Ma-demoiselle AnCrée JOUGLA ; Monsieur C'amilIeJOUGLA, sous-lieutenant au lié) C ifflèflt d'an-tillerie lourde; Madame DEPEIIRES de PON-TAULT, noie JOUGLA; Monsieur DEPER1IES doPONTAUL T ; Madame GuillaumS 3OUGLA ; Mon-sieui' et Madame Andi'ée JOUGLA et leur famille;Moniteur et Madames Xavier fl1CT1PRD et lesfamilles BARCOUDA, PATERAC, BURTIN, bu-VES, GARDES et PONT ont la douleur de fairepart iL leurs amis et conuaiSItniCCs de la pertecruelle qu'elles vieriûent d'éprouver ca la per-soUlTe do

Mnscw Antonîn ..IOUGLAIooduslriel C

leur èpoux, pi'e, frèi'( beau-rèrC, Oncle etallié, décédé ii Saint-bey le 1 septembre 1910et les prient de vouloir bien assitef à ses ofl-sèques qui auront lieu ii (lreiudC-SUi'-GarOflUle mardi 9 septemlre19l9, tu 10 li. du matin.

Pomp, Fun. aBïniolr , Si r. Pargamiuhires T. il/i

vcnd te) til1curpDooemefltLc

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pEAïrE ET C'EATFrEAPRE DES VAuIETES. .'L Aujourd'hui

d':niancheinatinée il lb . 30 t soirée ii S II. 30Par la tournée Mc l'immense SuCCèS du tbCO-tre Edouard VII ; i La Folle Nuit «. actesde rire. de ?s1lM Gandera et Mouézy-Tèn. avecl'eXqujSC eoue1dienfle MIle . Léonie Ri&drd ce-tourée de Miles Ba1. de Baya MM. Rogel'.Abaclie. tC. Costumes du théâtre E&tcuarcl VIL

Location ouverte pour ces rcpréscntatons.LES NOUVE/tIJPIOS. _ Beau programnie que

tout le monde peut 'vo:r et entendre. CC quiexplique I grande afflueuru du publie; aliiourd'hui deux grandes représellations' CU nia-t4nC Ct soirée.

CINItMA r, t4E RCLAL ». La DanSCU»eaveugle d Poipéi ; J.'Glottc dan5euse hollan-daise. Diinaiaehe.;deux matinées ii 2 e heu-tes-;tOi ole ii 9 heureS. .

COSMOORAPH. - A 2 h. 3G, i iï 30 eth. 45 a Voix du Sang ; L'Epreuve ; Mo

nies COlju&lCS ; Actualités.CINEMA-I'IIEATRF) LAFAYEPTE. - Pro..

gramme du vendredi 5 au lundi 8 Septembre1919 : comédie SentmQntalo en5 parties ; Delte Cc haine, drame en 2 par-tic» - Mamnées ii 2 heureS et deiiujc et m

6 heures ; SOjrC h S heures 15.APOLLOPHA'PRh H- A 2 heures 4 el

s heures 45 : Le Cç'i' tic Nora,SA1NT_CYPPJEN CIEJa1A. - Dimanche

matincs ii 2 et 4 heureS, sire 'e S li, !i5 Z

Judex (ée e: 7e dp.jsOdS) I Les Gants OcCambOle teoiniqlle).

E3ABITUDB Cê1NE'fA. Aujourd'hUi dimne-(die, li 2 et 4 heureS et ii g h. 4. V:cjljr I »

grand drame i parties ; .s Haut les Mains r',

drame 1er épisode ; o Toto inall{leqUin pareqouV » (tilalant) ?nteiinedc de tonCirt

Alu\ \uT)-BRNABD C1'\E'VIA _- DinisOeliC

'7 coi. retit ( X 111'ttiiie"s l '2 11 et e 4 hojré li h.4 Judex, ciné-roman On 12 êpi

sodes at)il"d hu 8e ct 'e pu3 l( Pji s10111 ([UC l'Amour. draine.

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IIAUTE4iARONNEAUTERIVE

Cli'TEN1A.- Progranense du dimanche '. :Drane en 4 parties de Victorien Sardou

2. Entre VAIn0Br et; le Devoir ; 3 BibI contreBelle-Marnaii & Actualités de la Gue1'leii. \\page en GorSe pten air.

GRENADEANIICÀLE DES POILuS DU FRONT DIII LA

11e REGION. - Tous ies démobilisés du Front(Iloijunes d troupe Sont, invités ii assister li

la réuiiiOn d propagande qui aura lieu le

djmai]rlic 1 SeptCmhrO 2 heUres CI» SOir,salle dc la Justice de pair.

Ordre du iour : -Ep1jcatiOml do notre devise:r, Poilu, fais tes affairCStOi-mne » ; forma-hou d'une seCtiOn de l'Amicale des PoiluS.

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ldilLleLllflhI3 M, l'Abb MAZEL, i9,rue AgaUu&ise Toulause.

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:LES CONFLITS DU TItAVAIL'

LA C1IE1E DES SPECT.4CLESParis, 7 seitemle.

Ies membres tIc la Chambre syndicale des iii-recueirrs dc Specta e les de Fi'snce Ct 'li svjidicatdesrlircteurs tic cinémas ont teflu hier0 aprèc-midi-une .1.011j0fl au cours 01e laquelle ils oeilmaintenu leur déçision de fermer leai' étahhs-ement ju-qa t acuiel Qidie

Lricùnslquente tous les iab Lment. da

spectt4Te ont été fermés hier sOi!' : '

De son ott I omil mi 'u des OU-vriers de speeiaCle se»t v6nnt ,- au siède la Fédératiomi de» niuisicicu53 11 a décidé ieitaire afiiclicr$ur les Shits de Paris, un apeicià la populatieur Dnns cet ap.pcl, le eomité décuil-:le une de% tilt iU look OUI C..» dir inr il n cli-tend pas irirei le publie p Ui i de C s-teactions l'avorite». .

:ii1 jalonne ([li il olgitiise l uelicn°nt cIs

représentations gratuites dans toutes les a1lesdisponibles de pari», ainsi pi'ertplein air, avecle cOPCOUr des plus grandes vedettes et desorchestres de prelnier ordre.

LE TItAITg DE SAINT-GERMAINLE DELA1 DE liS flEURES

Sahit-Gerniaini, 7 septembre.La confirmation oflicielle du délai de 48 lieu-

ces accordé L l'Autriche est parvnu ilion

Saint-Geniiiaill.Elle s été aussitôt cenimuniqnC l M. Eicboft',

chaigo de pouoir (lai 1 t retrifl n s' or t h-graphe au chancelier Refluer, a \ieflilC.

Le délai expire mardi à f8 li. 23.Jusqu'im présent, la céi'éniOiliC do la sigila-

turc a ét fixée I mercredi rnstin, dans la sallede I Age de Pienrs au mat» ou or S1'i eImaiP

lUR LES RENGAGES ET 1UT!LE8

!1PLOrS REPflTCParis, rt selitemiire.

Te 'Ous eiéteiiC C Etat le h 3ii»ti su tti e

vient de fixer au lundi O octobre 1919 la diitCdes examens exigola de» candidatS aux emplOisréservés rangés dans la Ii'oisième catégorieexpéditiOnnaires dans les adrniflistratiOnS pulili-ouei-, reCeveurS buraliste» ire et ' e CIOSSOS, cota-

mi» ambulants l'octroi de Paris, etc.Ces examens serOnt subis dans les conditionS

fiXdCS par le règlement d'admiaiSirlti0fl r,ilhlI-que du i luilIet 1916, au stègedu conlfll1n5tics subdiViSiOiiS des régions, ou candidats

trouveront la liste détailide des emploiS et toila

mtie» rensugiiemeilIs qui L1\ Ut lrur t IC

utiles t ce sujet.LEt COURTIRS 1T

Le eiOyofl Itarthe n dépos(I sur le bu-reaude la Chambre une propositon de biroiglem-ofltailt l'exercice de la profeisiOnde» courtiels en xiirs Voici le texte 'Jelarticle uniqué : :

« L'artictel -1er de I loi dt 18 juilletI86d est comploté arnsi qu Il suit

s Les courtiers en vins ne pourrOil

exerCer leur pr6îeSSi0t quaprès s'être faitinscrire au greffe du Tribunal de ona

n-uorc& de léur ressort pr une denaflade

sur pai)1.0 timbai 1nd qucut leu" f0111

prénoms. natioilahte et- dornicle. Le

ceuriiers en fonctioTis seront- tenus de s»

soumettre i cette formalité. -

CI Toute? jnfraeti011 à cette formai ité ttpaaib1e d uneameu4e de 500 f s ios »

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

fi M éllaflg2J

La Guerre

11$ Ets4Jrss Henrson 1

II

,, Tuer à la PoinUedc-Gave. des fêtesfraflCOarniajneis ont; ti c(kbrcs pourOmmmOrer I!ajde de 1Arniciite see1i'r dans la paix i n aniitj ntc dai's la

gltetT@.L psident dc la flpublique et.

la smala s'étaient offerts le voyage.On affirnie qu eee I,raju fl'O pas eutard. .

: Avant qu'on posJa première pi&re dufflOnumen conrnmteajf, M. £)UflOut»irsjdenL du comitt ouvert lAs (ClUSes

lé1oqunce. ;

DABORD ORATEURy lui M. Pojncaré di/ AdnirabIe spectacle. mettues, sest.il &rit. Un peupl immense a sent quee n'est pas seulenien on inerôt qu

mn là-bas au-deIt des mers. que&es: fl droitquieSt en ieu,eavco otdro4 l' eeU.e Belgique que 1 411enrue aqo1(Rt& t le dioit dr Lette lranco cuit

est venue jadis soutenir les premiers pas.14Amriquf . et juj fl'ct Iamas itrogt à

es tradjtious d'honnciur et de lQyautda Frange a euvoy quelques ujiIÎe1'

4'honirues pout' secourir au c1ix-iiuiU;natsièele les tto.js mi1ljon (le cotons qui lp-.t.aicn pour l'indpendane ; les troismillions tic COlOn oni; C.FU et mul;jpiV; et&est maintenau par enfanes de mjlleque les soldats de i'Anri'qw vcnfl abo4cr aux rivages tic Bretagiw .31; cic Gaseogne. &ns doute la formation tI cettevastc4 arrnde e 1l préparation cia ta fiOUne 1)CUVeflt si1nprovisr du jouir au leiidemain, et pendant les premiers moj iahjffre (ICS arrjvtes rosL>ra ta.ialernnet tin

l)etl faible, 'et la France dont l'ennnuToute le sol et clécin la uuess conu'iî-t/t' a cuicore des heures douloureuses.

Mais, paieflee. Vôici venir peu1'Arnérique en Vurope, comme atitrfois1e tFrance im Amrique les La Fayet,es d'Es{aing. lc Rochambeau. les' de

Grasse. et le nonibre de leurs troupes escentuple pour êtr gaI aux taeultés ' tic'Arnrjque agrandie q aux besohia d'ine

çuerre UniVeIC11e. Près de einqu:1ne nul-1e hornmes par niots à la fin tic 1t117, iuste quatre-vingt mille ca mars 1918, plus

de cent mille en avril, près de deux-eciitinctiiante mille en mai, pr,s d trois cent

jnhlcï en juin. total, plus d'un million4hornmcs dêharqus en Fi'anee au moisdc juillet F918, e; en grande partié appe-lés tljk sur le front pr le gémirai Pcrqingh la PEU\ est obtenuci t 4e iiiiau'en 1783 c'e;t t 'ers'u1ks enuore qullt10 le tt 'utt Mais cette foe, l (rnde-

rcutagne 1 &mcquo ot Is Fc mec çontssisedumêmceôt,tS d la tsblc e elles

ont été ensenible au prjl.Le prsidenl, a conclutn venant poscr jcj cette prernêre pjer-

re, les vivants ont répondu Piei desmorts.

L'AMBASSADEUR DES ETAT-UNIM. lfughes-C. \Vallaee, amlïa:ssadeur :ies

Etats-Uni.s d'Aniérjgue a h son tourprùnone6 une éloquente aloeuti.on. iivoqués les services réciproques que les

'deux pays se sont. rendus z travers Plis-.toire. Il a lVoqu6 le souvenir trgique etnagnifique de Verdun, et il a dit ei ter-

1flinan :CL Permettez-moi d'ajouter, en mon nonu

et au nom d'un peuple reconnaissant, justet dtuérctix, ui me servant liunblenucnt

et revérensieusemeM des paroles de i'a1tayctte qui est à nous aussi bien quhvous : (C Quawl nous avons entendu par-1er dc votre cause, notee. coeur sy estaussi{ engagtl ».

ET PUIS MAÇONLes discours tcrmini, le prêsident des-

tend les dotrds tic la trjbune prend hlruelle dargent çuo lui remet M. 1)amour,t,itipose clans j'exeavatjoa du soele du mc-.nimet4 la maquette exoutd( par le scup-leur Bartholonue. accompli le geste syn.bolique e. signe le procès-verbaj de sec?!-ement de la première piet'e.Les présidens d la Chairibre c1 du

t5nat, l'ambassadeur des Elats4jnis et lepr6sident du comité le contresignent.

Le banquet a lieus tn5ujte.Aucun djsotiçs nest prononcé.ie prtideut, est rep.ari pour Paris à

10h.

Fraiet Esry1 Saoi

Si&icnique. l tai-Le gtrat 7'ratCiLe (l'Epeg : t l'objet

'ull aûeneil ectlOXSiate cl art (les au-Lotihis et de populations. La ville paroisce. a:fèttS le VaiflqUetr les Btjlkres pu, au Ciursie SOfl Voyage travers la l'tac6doine C'rjen-

laie d6livre, a (ité O1ttleitrcuemertt aec:ani'lvont les l'tabitant's raSseid)Iés UX ies.

Le général E'ratucltet CiFSpCrCy u5 aujiur-diui l'objet d'une YFjtbtO Etpiisence (kS autori6s d1jire8 ojvjies t£Msuaires, 4es rcpr6sent.nts mtlitajris aliidslt d'une føUl immenSe, te nuuie ughcl Ales* remis au ClIe frautais t(jj sabre d'lWfliutartistique icommandC Parie. ii r&esa,t la

eOOuflaiSSaflCC et l'adrnirsion de la popua-.en salonicienne ê 'l'6gartl dii aonjvndanL en

Chef 'e anCa1ltCs, le mie t 1jouté queje Conseil nutiniC'r[ [ avait dCid6 d'accorder I

inom tiC Fr.anehet_(l-'Fsperey k 'mc dc; piinri-p&le irtes de la nouyelle Cjl

Le gnrt & rcuiorc't5 en fernie c;aleiircuxet a releY (IUC l victoire tirs aili en O[iCflt

t dûc tOUS lc alliés, liotanirnent u pré_jeUX cOneOUrs (te l'armae tlell5nClUe. I! a 'erjm6 la convjction que, r&co t i'etfoit cliiOuVerfle1fleI1t hel[ttiqfle CL dU distiugu5 gO u-.

'enncUr. le gnal AdoEide, alOnqUe de-viendra un n5jOrtant centre OGuiflrCial JeLalkans. Au COtiCS d'une r&ecpion zu ae 'gdiniraliSme revu ie antOeikS, çre(qOeS,

les dllgUti niji'.tajte alliés. le ercs Cifl5tt-11e le oOnSO4 junncipa' cl OfflbL u eS Ci -j(t((l 3 dont eellt' tic';' i ctugis dt Ilirare(le l"l'i-ire du NOo! e du Poj1t_l'çiti lWI)O-tlant flIL '6XflOttVtUCS adre5S qu Ont tfpO1iÇeS. le gtclt'a1 fraiQa.s a eprini5' sa

ofltlaiiCe dOEns 'Les grsde ûsdn ils Illel-fli5rn qui, s'étnt. bien battu ss lt' eom.ndtetit do chefi JruicIuc .Ornrne le gé-

. - . ' ..- c,rvnflrn1 I oç r 1oiiner ruai utePant

'-LES \GLMJ VONT QUITTER; AIUiILNGEL

Oii annonce à Londres que toutes les

esTaees ce qui se produit vers la fia o

;pten;bre ou le commencement cloctore.La date finale d l'évacuation dependea (lutemps, mais il n'y aura plus de tioupesbritanniques à Arkliangel a la lia t! octo-bre au plus tard.

On ajoute que la ligne de concitute i) 1-Lannique est de causer a l'eanernt autande dommage que pos1l)le avant de pa tir,afin de I'e.mper d'entreprendre tics Ole-rations offensives pendant quelque temps.Le gouvernement britannique veut aussilaisser la situation aussi bonne que possi-bic potir les Ilusses qui devront règlereul leur dcstinie après le ddparl. des lrou-

iIeS britanniques.XNou. avQflsdcjà dt que, la Ohamiire aceept4 un prejet da ,oueinemuut ttni c-

darit l'edroit électorat aux femme ,.'L pro-let SCLIM'1e le a toute' Ie 1trnucsmaicuies. saul au proshtuees

Le ot' poblique ser' aeoord an r-1t poul Ieq diections qui soi-

\ront 1s piotlnine'-, t lettons T e ot do-minisLratifleursoii acoarddpour les dI('c-tiofls5tdïj'ijnjstttj s qui auront 'lieu açPsle 31juillet' ft2o; ' ' '

On évalue à sia mullioii le noinre deSenimes italiencies que la nouvelle loi ail-

mettrait i voici.' De toutes façons, . les iTectioiis Idgisioi-,vês' prochaines se reront ,sans la larîiei-paWn des femmes; celles-ci eoIuinetce-raient à, exercer 13ur droit cli vote atxileetous Colmylunales et provuociales quiSfflaient retL(ies jusqu'en jullltt

KUX %UPn' lEUSSt'A PASSEi EN 811IE

Un td1t'rainriie de Berlin annoice que,suivant des nouvelles parvenues aux jour-naux (i'Augsbourg. Beta Kim L viusieursauties commuI'nes suraient rCusSi k Jlrctdec la fuite et se seraient. rdfugus ca ia-vi,te.

D'OPEItATtØNS Lflj1fttS DE LABOtJM,'NtE

Une note Officielle annonce que Pattnciiduil'hito routn-u I auoi se di idrutic I in e i o to urit n s o i J'tntuntw1t

ul t{ P' nu e- (le-, Opf 1ttioris en RUS,li, etque la Iioltflutnic entend agir en picin ae-cord avec les AIlid.

C t,t- pouf t , uoue (pr' "et tIr-clapait - n qte tsavaient. ('fl'eid ,j les itusse'

w.F wHi

sks ifwtktéPic, ddere[ PuhJlid cii c JOutTai offli.l ',

le gouverjç5ien Vjefl[ dc IflOdjfl commeujt les rigiernnt. en Vigncui pour iedeInnides d pensjot d'invalidité 'n fa-veur des mjjiirr de j'artnde de terreet dc nice, et poiti' les dumacies il. 1)0"-sien (t de SUiït'efltjun cri faveur de veu-ves et orphelins des mjiitajcs.

les militaires ou tuariis ctuiavant. de quitter le Servic$, vCtt1en fairevaloir ictus droits u.n pcnsjott -e re_traite. pour cause do blessures cecues cci

I d'infirmités un maladies oontraelêcs (iiJ aggrwées en' ser\jee, doivent, sils n'ont

pas itd , roposds d'oflice adressc'e teuidemande par la s'oie lliérarcliiqtte ait chefdont ils ieèvnt

Ceux qui n'étant pas sous les 'drapefitix%-0i,i,lerit fait-ci valoir le'us chenils à pen-sion, devront. adresser leuis dènandes audirec-teur du service de sa*h; la edgion'iift ils rsjd)1t.

En ce qui concerne le personnej de lamarine, leg demandes de ' pens;on sont-

dre s. &a au directeur du service ticsnuto, soit du pori d"tttrthe Licite le oht-ciets du pet t cn"f-lieu d i ito i-disseïiiei:ui; fl1aItjfl où elle ej jiitolatti-CLIit,t. j)Olit tout,.. aulic titi SOfittO

Tout aucen fltlI'C4ec au iie n doinpejhic a l'etr aig' qui entend rse diOt{ 1 flto' tciu)Orjre (O4 dJ-iuitive, pr uplicatinn d .l toi ihi i1tnnr$: tOt4 -dvr ,ad(iscr- sa. detaocile auConsul d Francé de sa d.klenoe.

Toute- 'iu&te de mjflt-sjre ou tic marinayant i fa.it'c valoir ses clroji.s à une cru-sioit au titc'e de la loi dit tl mar. !t)P,devra (ç1iessçrr, selon te coa, -;a ilcenande.cloiih I t sign'iu e (JOli i,,rl' k dti :au fonctionnaire -de liuteudnc chargédu .,.sçjvice i1e pensions dans hi départe-meni; ot elle réide, soj ,u cljreteur c.Ierrntenclanc.c dt l'ar-çintjjsseinent lflarjti_'lie.

Gett: 'demande sc ra aecomoegmlpièces justificajvesi'existcnce ou la nOn-0aist.tuioe d'enffflsg'és clernojus chu 18 aii au jour tin tiécêa

du marj.

Les (lctuaudcs de pcasjon -Cil

clorphelius sercuil; l)résefllées par iCtir ce-présentant téui-Si. '

La veuve uu'. S reinerr, étant tiitilairetl'i,iitc'i pelisirjit prévue par la loi et (titi en-tend renonce-r à .c avantage en vue dol-tenir le ver.enient. imnié(lja( d'un capital,devra présciitor sa denianche, doitt. la-sigia-turc doit ète, légaijsée au minih desU'inattce.

Cet-te detivand,e doit être faite au plustarit lc lendemain tic i'expjrajon tle [an-né, qui suit le Ppuveau mariage ; elle doitfaire connaître, si -(lu mariage avec le mi.-ljtijre dtIutjl sulsistc des cinfnts mtu-iteurs vivants.

Lutin, ii sera alc ait réforiué erjn:-faiice de fcnsioii (pi ii coiflilarti ur con-vocation devauf le lv'bunat d fChSiOu5t ne md it tt cl" B I cie poi,ti la journ uda sa camp ution 'i 1Ll uite'tire diccnei'mation r p ui t 11e dc l'an lvjuccette iii ierui i t Port( 1 Çrane i11n(ercs ne pcitt reutcec cile lmti 'e zr-nie jour,

lui-ci reçojI. ci outre, dc (eai devoyage !iLisout. fixés &franm pat- Ill}TiS_

era J-aa" iflQoi'tamut, I mètre tt4 [OW tte iwttr le elsut.'.

Ii

Londres. G- Dans un (ltCllt.S qu'il a prOnOflCt . t Lonecs,

ox-mfmerntmre tIti cabinet de guerre.i exposa franchement le potiut il vue sens lequelil envisage les grèves pcditiques. Ji consiciiva 1(3vote de la triple alliance contre l'aetbon d;receclatis des buts purement politiques collune sageet louable, mais unsistû sur les mols-. buts p'i-rament Politiques » pure-e qu'il ne.pemit pas ait-mettre ijue ds tL'avajhletirs orgaatscs abandon-cent comp1Mement l'arme que constitue l'adieUdirecte

t Quand la Classe ouvrière dit Hontlem'ûn, ouraConquis le Pouvoir Politique et pj-is Cii min'j Jemedamiisme comme elle Peutti'o appeldeft le faire hitôt -- seroris-flolis

disposis fi permettre , une minorité de s'oppO-ier au programme travailliste de isformcs itCC-forniques et sociales, mIe dicter ce programme [maPdes méthodes ? Si e nia-nais quelque chose ait travail oi-ganisd, je nuisdire ipj'u'h gournnenaemmt travail1lsttuitcrait,jusqu'au 'lorriier soi,iIfle contre aria polmtiqilt3d'action directe de la part d'une niiimrité ipet-conque. Par consdqucnt, nous ne devons pas ZIS-suifer la responsftbilitd d'adopter une seroblam!lupDlitiiu,e..: NO1tlCVOflS Ilt' imniqueuentpa': tlSnitqC.ms' eolu4itulmoitnels. . . ' .

T, L4 J:Il'DE R-tS CROISF5- : 6 sepl.efiiire. '

Ha i ei ilL lJiIm e Miasme liait mm i mu tctu'aue concerts dc la Galt-1tocliecliouai-t ' ct'fnititOfl-1.'i(lUC, les niusielemis omit lait une .grC-

e de bras e.,oisds. Ils avaient uns place à leurpupitre. ruais ijuaiid le public tut etitr ct eue emolilCiit vint (t'attaquer les liie!flireS me'-reip-'r CFii((C4it toit travail.

-

L'Msac trrùrr3

Nous avions sigilalé il y a l'ois jours rom-Brnt les Ouvriers dii llnut-llliiu l'ont depuisni c'ou jout uu lie-te cxkiieimce d ii rn-11100es administrativir. .

Pour, briser Itirs grdVCs, un giSi1imfII slin annelé interdismt le rduriion et les maliifeS-t(1iiOfls dans les cercles de Muihouse, 1't151)L1 et(ltebw'iilCi', Ititi-Si (jtlO les rassembleiuiemits tic 1'iusde tiols lersonnes di» le territoire de PIUSiC(ilI5ciimiuhliies. ;

Soi, siileur pts1et!tt hilSiifler cet abus de 11011-u-oie en altéguamil. que tics attentais a niai uont iité C0!llI.iliS dare. le but de poiler alteinie ala Iii)eiIé (1_li 1 i-a;-ai 1. '

\lotif diiaoirc - t .

Les aliettiaLs à la, 1ibcrt du travail ii'onL cri-

Iut:i m'udpûIt Li%Cl le ni I te'-tuttøns (ohleJi'0s

(liii ont po te heu de (1I,S_ii les gi c e liai-i

tIC IC(4 faire c1cgduli-er eu literie. Ce saut desoc-les purement individuel-s. des ries comme ils'en pi-oduit euiaque jour cl qui sont la roilela-sion de tiaccords passionnés. -

L es itiluidet tir t du ,i ne i il de Pou di plmn

sc-riient doue vaines si les flnsqui les rut mg-g(-(eS iitaient autres que celle qnii indique.

II cille'tl .t,f R4'tut empêcher d'qae- le sous rfeL de Mul'ioLe s ruai art. (t li

1k ter la I il icliort it t I ( pubO tn ua /1(11' Iii il

(4 nirt cuuièten ciit t tiu'les kuti I pi(dCflb dusndieat-d0s mineurs.

l'i-ie toe dii P1' - 00' ailLa U S )li P I5(3

'-' fiad i1 (IL hit de pditiclmte et Je tu il '- I .-

s l'dgald- dc la classe ceuviPIre atsttcpnue-lor-rsiUO: ' - - -

Les provocal-iOns suivent les provocations, carI dé ai cmnetet IL 1 in-i. t capit li te ride eU

lIt politiqtie ouvniLe de notre cijarmatic flepli-Idique- en géndral et du symupaltiiqiic Milleir' .icl

cri partic-ulJer.C'est- un ri tiaugere-UX. Car les A1sadiflS

,,'adiucP-iOf&l 0(15 que IÏOiJ 011 les ayOP.t " tic-ii-

vtés o (100 pont' aliotta les ats(3i'r!r.

Th%r- 4flliLI de I Citéde CrcSSO1fl

Sudépelldalument de I'U"E.uVrC dc Solidaritéactionale, c'st_à_il're le relèvement dds mmm-liii village. (le (3juy-ie_Gh5teau. CiSnC). au

4nétIee (1(3 lacluelle sera consacrée la mcprP-Sentation de la FjlI tic Itoland , le 14 eP-

mOI0 ldP- 1 t- tOp "dlalcie au aaii1 1fr (I.( 1 Il)-pdlte au3. 1 naleulu du j tieatvre di. 1 t.i ,

L'origine - et ICS dbuts de ce magidqnc l-

I r. -

E outre. par une concordance cligne de-retuarque, il se trouve ffue les deU-' granesartistes tragiques tjiij ont nOm Pl Mout etJeSiilie Lidivair, et qui portèrent t unit-, 1 ) a

di'.- a1 I é(T'Ot1Ou1 "OUlelee (1i1 la 1 ille tieIloland s' vendront tic nOl-flCau annéeJonér U Tlé&tre do1Jr Cité ls rdICS- tIc Cûar_Iomaglie -et de Bert-ha.

A 1eitrs côtds, M ficimualti Jouhé, qui futsi beau l y a cieux mois ttiis t POleUctc ",sera niVcihleuX---de flo-mine ne l'L1SlflC et écjei1neSe clii le mêle (1G Gérald. M. Cirm-tireilhl, (loni les qualits dQ comp)sitioi1 et [lediC-Lioit freat Si apprécées ICra IICS dCdjCds'peet-elea 0e a ti I 30 ia li. '-Ole ditTtme'lc

du OOIIIC 'tjIdUt'A (Lé4e Ces Céict (le premier plan, M. Var_

fl4' t _t[ WaxudiaO ictt'c ds es clit Ottiot les lllu., C t 8 't CLI liuDilO pal incatttiï(ltO'fl IOS rjc le dernier tiLt aÇO,i J: a-

t,- hrcl le SuC il I il t moi ie ita(lhe'-t I 'flui

t. RolLa citil l'ut d-ans ct lilaliliet 1 Ii spectresi in-iprcssio1na0t, jouei-a le rèl de i'éinkNuCihocit. - '

'Nàust1ooaiier1u três p000h&nertieut le rCS..te de la (litrt)tltidt1.

Le soir, IL htU'S. Enih)rasc:itcilt giidC5irie- ! CiiC. - -

Prj les itilac-n, tous droits et taxes CQ(ui_pris ;

I

Logn d'hoine't1 ti..nrOtées fr.Ses drerclieStie' itu-ntétes, 18 fr ., pIumjrcsniiiiel_t rmucidrotéeS, ti f,--., pren,i"res côt3 nu.tiiCOtéCl, .t; fr. iO ; sf'eOr,des ,umjljeu iuïOf-'ot-ées, 10 fr ; seo011(lds coté-nunu4roléC S fi.;amiltdiithéatL-e, a (r,

('lii peut c1.s maiL'tMO-nt VCtcnjr -esami Ilitreati tic Locattoi. rue COuriejz(ir(3, eupar eock-espOnd1.0 (sOciétaire tin G(imtd (leSFates, - la M3jrmC tic tarcasSOnue) Cri ajou-tant ii leur pelai O fr, O 1)00L I 'e nYuli par llit-tro reCOmfli-uLlildéC.

iT la GraV2rrct?tmT'eflt fat3 p la ochét

d'A[imuøatrlt!fl I'ZPAON,Tcuku9a, aux dlversr5

cet_l-I/I_es diii guerreSnnimes iis1ibuéCS i, Dii

fuui11es de,c eiu- ter at 1t1i TGS.P16 63poy(s mobilises. . i jetitet- iet

Sommes versée-S auuvre.sdirersC- : sol-date julemês, moU-lés, priSOflfliCt' OC

pleuRS et- vetimc$ndcect'esdehtguor

l&.._..

Duieritc19il

t8T829 75al jsiI(t- 'lolo -

ToLiil aù31Jtdh1eti9iP IiIYeie5Ut,(tiLWO45 d'Afti t91 153s)3

titlgitlra1 ce otii'4 772 2S

Avec î'AtihideL'TALLii N'EN EST es Er4T1tous1As?rE

Tiotuic, fi sptentbre.PerseVCPdn7.a I) -fout'ait au sujet du

rapport fait par M. Lt&nati, ait I'iOlfl tic lacommission du traité CEt Versailles, les sen-seigacrnents suivants ;

M Luzzati considèro le traitt de '.er-sailles comme un document fondanietitalde ha politique et rie la vie itttei'i1ati0nieSet il le divise en deux parties : Une conte-nant les dispositions et les sanctions pré-clies et ii:nmuahiles auxquelles il ju'est paspossible de touches' sans changer la rall)S-tance nuêi'ne du traité. Pour cette rartie, le

rapporteur s'abstient tht formuler ticsvit:'( et des propositions. tout en nmettanten évidepce certains points spéciaii.

L'autre part:ie, au contraire, coittieii tesclauses qui devront ètre 'appliquées aucours (leS proehainesi. années et, pour cettepartie, M'. Luzzati -formule des proposttionseoncrtcs afin que les conimissioris inter-ajli4es qui seront appelées à fair exécuter

--le 1raité-uissent -cii'- frilie Ieii' rq.flt.

Le rapport conclut en faisant lalileauplutôt riqir de--la sittiationdaus luqacRe .s&trouverait l'italie (Jiitis le cas où;Ie, trait&ru. cerait pin rattimi dhiances computs,a-flTIltiéS cOinprOmliiseS. syt'npatliios et appuispereus, situation éC.OnÔmuiiqUC désastreuseet isolement tic l'italie- en Europe et danslewroncic; -- -'

;

L AUft% Ht T9L%GE A 'LA UIMttfl

fonce, 6 sept-unibre.On ne croit pas que M. Tiltoni puisse i'e-

tourner ii Home avant le niilieu du incis.M. de Mat-lino, qui st trouve t Raine, varepartir pour Paris. Dans les milieux par-leinentaires, on exprime l'espoir que toust3m retards pet'mettront à la Chs?cnbre deconnaître le règlement des queatiois ila--liennes lorsque seia abordée la diso''sionCII Vile il1' 1-ni' cl itication tin t-talLé. -Autre-roemut, et bien que le gouvernement- Soitdécidé à l([»3c1 la ijuestioti tic confiance surla ratific-ation, il y aurait à craindre uneSérieuse opposition parlementaire.

- MlS L'AUTRI(:lIgi: LE StGNlA- - - Berne, 6 septembre.

On mande de Vienno :

Le Conseil de cabinet, après avoir dis-eutti le traitti de paix, ii décidé rlen re-commander solidairement à l'Assembléenationale l'acceptation.

La commission principale, rulimie i-en-dcccli, a décidé de soumettre à i'Asseniblée-nationale une proposition tendant t char-gei' le chef de la délégation de la paix designer le traité qii iii a, été. présenté.

i: 'uOciation (l( la Gi aT1(ie Allemugne adi di .,t t iurvuirnité de iefuser son cppiobaticis it la sig-nature du traité. .

Avec fAflemagn . :

EII4SE 1)r LA REPONSl ALLIi%ItNDE. Paris, 6 sept mbre.

La réponse allemnciide it la note des puis-sauces alliéos et associées, au sujet tic 'ar_ticie (I( la Constitution, a ét remise cenatin officiellement au secrétariat gn-al do la conférence. Eu l'absence du baronou, r.ersner, actuellement h Berlin, la iiote

n été signée par M. SchmmLt.-

LES R%T.WCATWNS flU TR%fll DEVESit1LIES

w

Lomiclre., 6 septembre.On mande d'Ottava que le Sénat a aclopt

une résolution par laquelle il rahtie letraité de paix.

Parlant à l'ouverture du Parlement, legouverneur générai n préconisé uns ses-sien spéciale- pour la ratification du traitécia liaix.

LE .TIA!TE BULGME SFItA IIItLrT LUNDIDe M. Henry \Vaites, dans la « Chicago

Tribune : ' -

La rédaction du traité bulgare a étéachevée hier par le Conseil des Cinq et en-voyée hier soir à itimpnimenie officielle duministère des affaires étrangères.

Lo traité pourrait être remis lundi oumardi ii la ctélégatioti bulgare, qui tittendau château -de Madrid tt Neuilly.

La 'l'hrace est enlevée t ta llulgau.ie parles clauses relatives k la délimitation; maisson sort, reste cri suspens. La frontive dela Dobroutija demeure ce qu'elle ?ituit en19i13 I'outeloi elle poitu u ait cire I clin t OcrectifieRtions ultéri-eurc'm (laits ic ti,aitdroumïmatto-hong.vois.

La ouré de WilonNationalisme et Imiteviiatioqalisuie -

Sitint-Louis, O septeniPre.Le présidetit \rilsoti, parlant au c-ours

d'un dé,jeuuuue offert- ii la eliaii,bre d coin-lrierc-e, n déclard (lUC la nation ne pouvaitpas atteindre le nationalisa-in complet sansrern,iir son riMe diins la famille des rLa-tions. il n insisté sur le -fait (jire. l'apptiea-tion du boycottage économique par la Li-gue rendrait tourte guerre inutile. -

A Boston, l-I. Laitsiag n i:earl !i. l'asse-ciation du barreau suuiél-.ioaiu du itangorde l'iiutei't iationahisine, qui fornie une or-ganisation iïioncliale. Ii a epriné la Cccu-vi-otioim que le nationalisme démocratiqueapprouvé par la Uonfdrnre nie la paix sur-vivra comme base do la Société, Il u forte..nient conseillé l'établissement d'uit tribu-nal inicmuatioruat sue li' mnodèloi de celuide la flaye et qui serait fondé sue unstricte justice,

- .

Les EspoflbLe ((TOn1artt()irO et I

hier pnm le ftfà ont don hiuoui_

1LdCuiouvetnui

Le', enquêleij'5 n 'O)rit

(ll;1C les journalistes it e 1nal5:111.iuietriqul fournissent deSe

Oemic l'euqute 0fflClli . "(1U

cloué de ddlitiitjf minSiori. u , aile0 I

L OUF nous. qui avons Rliinous liensons (1t'il est Utjl 0d1qoes itteieotis arajtsentq - . Lttsi

11 FALLU V F %IRII tT'Ï ,

BORDEAUX 'IILe point SUF lequel

l'imprudence dont on a j1mnsi.toRs iban en laissant paCtir le 11Cht5 c

mitiutiles sctulemet d1çLe 121 muni de bon Cliaibo

8antes loeomottyes, avait laitJi régulier, sans anieroe1 li 3'1:'-htain quut! marcherait uta

lou'ze et qu'il couvrirait la dlstan'.' JIiLpti .normaIi de 70 a l'ltenea. S5

Et d'enfui part il utait ee.t11de Paris, avec du maux ais Itmauvaise machine, marcherait nia"encore du temp -, cite, chaqi )tmr511m, te pamcours MOatuvbari.Toti1;1', Ci

Cette remarque -. dont flOUsracila - que la marotte du Paris.T1ralentie chaque jour dans sabien soft importance. - th

Donc, sans aller jusqu'a dire qne l-inévitable, car en vèiitd la paimn5 iO

Voie n'était pts prévisible, on petitavait danger, qu'il y avait cerutute t'foulouse, te t arriverait bien prèsuts du Paris-Toulouse. en,.

Celle perspective 4eva!t suffire oup çtendre le Bordeaux-Cette a Moatauhia.-,que LtioOurteiuofltt ait signalé i paitJt

uiis-TOtitOiiSC. .

OU BWN IL FALLUT OEREQOu bien, si l'on ne ioulait pa

premier dont les courriers imp0rtats I1S'15arrir er S Celte en temps normai polirrespondcnce avec le P. L. M. du rno(n MORIdI.ban devait-li signaler S toutes ie gu-e ç.

I qu't lacourtensourt unclusiveineut, Le dipiit sBo,de u-t-Cette derriire Paris et (1Ofle I'urte,tic faire arreter et de garer Paris si mirotrop ralentie t'isqnit tIc le faire rattispeI'utre.

En d'autres termes, faite attendue le 1

Montauban ou bien faire garem' le tralrj de Pu,pOile laisser passec Boedeaut Telles sont ,deux initiatives qui s'imposaient et eflt I -

(juelles devaient choisir ceux qui ont ehari p

pas seulement dc sjfflei les lipatts, mais es s'de s'assurer que tout marebe bien.

On ne l'a pas fait.Un confre e)tt)rmmamt le regret ne li I u

de l'iris n'ait pas demanuli 1ui-mmno P

4-wé. Mais comment l'idée peut-ait-elfe fui

venir 9 11 ignorait que Borde-iux le suIithprés. Il ignorait que nstS ce 1O1ii-t Urdn'-iyilt pis de retard tundl gx ml es a Itude tous les joues autant qua las ailn'est Pas lui a se préoccuper dc ses demis

Tel est (t notre humble avis, la talondoniaut e"taminer ii question des mespOflCihIlItl-.

LQUESTION DES SIGNtUXPOSE PAS

Quant savoir si le train el panne fitilpiotugo selon le-s Indications du rlglmeflt ('I1

up poil-ii que l'enqu6te ulucldera ri, eaWiOut

d abord si ,l'on avait eu le temps maStiCt li

poser les signaux (L-e tamponnement s'est Pt

du,itL liais minutes après l'arrét ensuite Il 18

SmgtiuttX ont fonciioHnÔ ; enfla si ii 1u1Iu1

60 k l'heure, avec la puissance de ses freifl9,

mlnud par la surcharge le train tamPOm1il

pouvait s'arrlM-ce avant- l'obstacle.En ce qui concerne le sdmapluoce, 1(1 qaeiitt

semble uitglfe. Le train de Parle s'est-

trop puis du s6mapltOe 13011e qUe celuliti I

lut servir da protectionUne atutro remarqua en terminant 1Le train (le Paris, comuîmaii-Smm1t 'mix usaI5

n'avUt pas en queue un fourgOfl bagages. U

dernier wagon était une vOitiIVø de Ire claSl

La présemmce du fourgon n'alliait certes PaS éVI

l'arrivée du taifl 1.awpoitnSUi. Mu1S eue

formé un premlei' obstacle et uuait ainSila destruction d'att mailla tin WROLl de VOI'

geurs. Pourquoi ce fourgoli fl'ét5tlplace ? - I'

'l'onte-s ces observations, f01,15 VOflS

ce qu'elles sO11 conformes Iii bon SUS,

logique, et qu'elles concordeflt avec la

des (tiilS. f

Souhaitons (lite les magistrats cnqUi.e01,

s'en inspirent na redoutent pas d apPrO0111e

POUC 15 guri. toute l'apathIe que les -

des gare onanifesieflt depuis 1ieklUe t

Ds oweilc des blesséS

Parmi les bleiï(S de i'lipitIl.attrUJiui -eqie fatale n s etd tlitCt- c5

Quioiqtics-unS dont- la sol1 1i51S5Cut pmI-

semblant- devoir prcndi le dessoS t

fouies p5ifl'iStCS d'hier mie '103 éatiiC1O rr

rire pas. Nui n'en sera PU lidøtt- '

»tfl e.ate2TanntStutu cottes ulo la tOurnée d'hier tees

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