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air " ce Il dan Osréi lant g lui Gel fi;Z: netorrxerrneurern 5 h. 100. 20 fr. gnuegar 91e. 113 h. 36 fr. - 411,tle fade DIU IsuLIF ÉDITIONS NÉ6101191.ÉS osa», mhuarm, Lonâmg, 111.1112$st.-ORIGNYLX1, avvrrans,.costakxx,mandx 1.011-15,41/1.80NIZIG G tor,nanermmexeularines sanars-Isretedxss tnnman, nnexr-87-onso. sen; merl..., rami, numrs-nnanertz, nommes. NEUVIEIYIE ANNEE, 47 ADMINISTRATION a aÈoacyron 38, Rue RoqUelaine TOULOUSE xes_...n/ex.oza-m te 43 ow,0 du e Journal r du front, disait ô Cap- - aie à O source, et n'et- ' passant par les os- e la hiérarchie, elle nue, s'altère, se train- défigure pour devenir jet le1,1° cal eern' parle, et officielle. l'on ne .1.le - criticisme avisé de Ilhisto- offl.U., de Taine, et que l'on ," sueur i ment en erreur. Com- fr prieend-il pour « capter la s'altère dans les c,a- hie » Il nous le 1«hrecig plus bas J'ai Ir; les i,iufrate'r ln:lres hospitalité des » et plus loin v» J'avais oisin de table un lieutenant ,t encore ; u le 0011enan- .0' dit s etc. on bien. Nous avons compris. C'est- M. Aulard fait ses en,quôtee Barrès, lequel, dans te camp odo de son voyage sur le «vont da- o fichu de Paris », 8 juin) bus mons ilonnem. d'être invités 'ab.lege° président le colonel daces clef colonels de ces bersaglie- , - le 10 juin A Cortina tin dés mer Où ces officiers voulaielvt, bien accueillir » - Autour de borda ..t use heure déjeuner au quartier gé- 01 de la division, chez le général lt fitieeti-Lade rail. » le 12 juin Sas M'Ore été reçus au CrolDlnand0 alu » par le généra/ Cadorna » - >os avons trouve le général Porro, f d'écot-major général, à la la' de qui nous avions déjà eu Phon- ie nous asseoir. » - le 14 juin Les musiciens qui égayaient le do- ser où les officiers voulaient bien accueillir... Barrès avait, l'an passé, fait un eu front anglais où IL parait documenté de la nkétne. manière. Pr exemple, voyez page 8 de son livre Une vicie it l'armée anglaise s pour écu la journée, je dtne chez tan ,d9_ généraux avec son état-ma- . ',Si. rosait depuis longtemps le député ter enclin à oe genre de dectunen- .larsqu'il fit i/ y a quelques au- ,800 enquête sur les vieilles égli- de France, ce ne furent pas ceux lelltonahent de près, et les connais- mieux que personne qu'il consulta; mais il se lit renseigner par les onnaires architectes qui, de Paris -aide Lyon - vivent des églises ru- Uku qu'ils ne .nnaissent point. C'est Mnsuei 51. Barrès aboutit à la cents, aanien et an classement, c'est-à..dire hmort par administration de Ce qu'il Mem:lait sauver. th tous genres cette manière de se 'keret,. ter ménage des surprises En *entre 1914, M. Barrès a raoonto Eche d,e Paris » que pénétrant s dans une boutique he- m. PMI' y demander un renseigne- ., il trouva /e boutiquier boulever- ',tu nouvelle qu'il venait de rece- mort de son fils. - Il vous ?, r:Z:hheur I » lui déclara le dé, fabisel num. A quoi le boutiquier, qualité de son interlo.- et:honr,P5deutitj un peu vivement e m'en 1... Censuré G. DUNOIS. que ceei est écrit, M. Barrès Angleterre, et actuellement, sl,tre.,,noo à. raconter ce .nouveau ell84.au sortir doses hôpitaux, euner chez Asquith, s lut, conversation avec Lloyd .8.: Venez déjeuner demain, tqttuzeellheo.hdeem;e81-, 2A8 ue a,tout Merveille quand l'es- va En passant Les Va-t-eo Guerre .lef.:440e de lendres vient de perdre Iveplus Ornes et 1. plus Oenre We ber. Ce banquier, Ire et ardemment pacifiste, re matai., bien ouu J'eut ,retre me dans les rrible vad-en-guerre, e auvergnate et de Hem nia, la guerre de rowin- g staat-be ''del'erasbouureg' an e't ésidence de la Ligue d. confortable d'aller se do- lai tantes en AngMterre messe naturel/amen t de belles spêces iseope ainsi ramassée, 5555riT4 dirait PZ't'I''n camoufle. ?Pe;Ve0 mat. radical-socialiste l0aj.g ecu idvoune, tklt 9011 rranti?amUs4Pr'eelrd Menue» olongagea, 4 dés- le début des bostilitês et gngua tous ess gidons dans les tranchées. Quand dong M. Manrice.Rarrès, mi n'a que 53 ans, et qui fut le plus crible des da-t-en- guerre, gagnera-lit ses premiers galons de da- ,- A la prochaine guerre, évidemment. Merle, alors! tin de nos confrères parisiens coMe /*histoire de merle que « Ce merle habitait !moue, au cernent de la guerre de eindermaanee italienne. Il avait ne- pila les chansonnettes patriotiques que les habi- tants de la cille chantaient aved entrain almm le départ des tyrans autrichiens et, en sautant sur les barreaux de sa cage, s'obstinait à répé- ter le premier couplet dée l'une d'elles t Patriotes; mareens sers les Alpes Patriotes, marchons vers le PC Lee Autrichiens revenus la chanson fut In- terdite et le maître sin merle, par mesure de prudence, enferma son chanteur dans ose cave obsoure, etc., sue. s Il y a, pour cette histoire, un petit malhese le merle ne parle pas. A mil es, al elle n'est pas draie, elle est, tout de même, bien imaginée I Autour d'un Anniversaire Jaurès et l'orgue C'est une très heureuse innovation dm- voir invité /a musique h intervenir, d'avoir appelé le grand orgue du Trocadéro à faire entendre en ,,voix à la Aronde commémo- ration do la mort de Jean Jaurès. L'accueil fait à ...mem. inhUbignel Par un inl- mense public, sur qui pèsent los Mideurs coutumierce des concerts et des bastrin- gues, aenueil respectueux, digne et 'parfois admiratif, permet de penser que cette in- novajlon aura des lendemains, encore plus beaux, colore plus effleaCee. A l'heure où manque tant et si amère- ment â la foule socialiste le Verbe Puissant de Jaurès, n'est-il pas néceasaire sis suP- Pléer par les Vols de la musique à. cette vois qui s'est tue pour toujours et qui ras- semblait en elle tous lm timbres et toto les accent. B Du clairon métallique et vi- Ge que dieoelles Comieliques 16 Août 15 heures -- 746e jour do la jjnerre La nuit a été calme sur la plus gran- de partie du front. En Champagne, du côté de Pahme et en Argonne, vers la Harazée, nous avons dispersé des patrouilles allemandes. Sur le front de -Verdun, bombarde- ment assez vif des secteurs de Thiau- mont, de Fleury et de Vaux-Chapitre. Dans la nuit du 15 au 16, des avions ennemis mit lancé quelques bombes sur Belfort. Pas de victimes. sÛ,gon,s A l'exception de quelqUeS engage- ments sehondaires d'infanterie dans le voisinage de Poziôres, ois nous sommes en train de consolider notre ligne, il n'y a pas de changement entre l'Ancre et le Soinm.e. Violente Canonnade réolprovine on oollre de la nuit. Sur la rivière .Solotaya-Lipa le pas- sage des Russes mmtintie sous le feu de l'adversaire qui, en plusieurs points, entrave le construction des ponts. A l'embouchure. du Pruth, dans les Carpalbes boisées, l'adversaire, sous la poussée de nos alliés, a évacué Jablo- Misa. Au sud de ce point. les Russes ont occupé de nouveau Vorokallta- "ArcgoLiouz, sur le Profil, et fait pri- sonni,ers 82 officiers et Looe soldats. L'offensive eu t' Sur le front MeCauease Dans la région de la ville de Sakki. css Perse, l'avance des Busses s'est ter- minée par Poocupation d'une position très forte turque aux ahende de cette ville. L'ennemi, poursuivi par /a cava- berie, se retire précipitamment vers le sud. Sur le Iront Italien Sur le Carso les troupes du 11e corps d'armée ayant repousse pendant la nuit de violentés contre-attaques, ont atta- qué hier les lignou ennemies b l'ouest dc Grado et de Beeinka, et ont pris d'assaut de nombreux retranchements. Folles ont fait 1.419 prisonniers, dont 31 officiers. Dans la zone des hauteurs, à l'est de Gorizia, après une lutte tenace, les Ita- liens ont conquis d'antres retranche- SUR TÔUS LES FRONTS Canonnades sur tout le front b ont oui toms cotait à retentir avec Sm emiers ,mots jusqu'an bruissement de la MM qui s'enflait dans ses péroraisons, le grand orateur élevait insqleau. eiel le souf- fle ric toUS les inStrulnents par lenqUelS l'Irannuidr a exprimé sa plainte, /a eolere, son espérance. Il était touée raHen et toute passion, 'nais il était aussi, cet annoncia- teur de la grande solidarité, tout e 'harmonie et toute musique. Sur ses traces à l'ombre de sa Méo-Mire, Ir smialistm aussi veut être l'harmonie des intinas, 411, classes, des 'Pal'ries élevées dans leur indépenslanee et soumises à la RiStice. Et, pour se réaliser, le s.iatisme Oeil compter sur le coucou., sur l'aruord. sur la discipline, sur la menue et sur l'ordre des sentiments les pluS enéreUX les plus forts. Oli prendra-L-1/ l'exemple et l'habitude de cette mesuue et do rie ordre dans lequel se fondent et S'MarmeniSerl IOcs les -efforts individuels, sinon dans la Musique, maitre,. d'idéal. et Mharmonie ? ese, /I y a cent ans, Puncetre F011eter mandait â la mositple .0v/élis/ès' lno onSel- gnements et les aCeoutunlances néceSsaires rétablissement d'une Steléle harMOulque, One désormais la nuiellque, noble, sereine et ionique, mit .de nos fêtes, de nos deuils, dc it.; .réunions poUr penser et pour agie . ctiMMUri. Que de nouveau, dominant lestala, feule de son tonnerre et doses murmure. parle et ehante au-dessus de noue Quu ses tuyeaux sonores; heiéuéss b ceinte°, le coite des religions, se remplissent de mu- nique centenaire pour animer aux taclieS nOmelles les librea âmes de crue qui veu- lent affranchir Io monde. Que les ehantS li- turgiques se transforMent en hymnes Tes- perance pour les ;forger.i,s de la cité fu- ture, De même que la vols ne Taupés expri- mait la consciênce do Plumant-le tout en- tière, do même le voix de, l'orgue exprime le souffle de 'tom les iustru,ments imaginés par Part buunain. Nulle autre voix que selle de l'orgue ne 'peut par die6 la mort, riva- liser avec .celle de Jau.nès. Et pour le pleu- rer, il Ideure avec" nous en magnifiant l'hé- ronme, ta bOnté et le sacrifie°. B. monts eimemis et fait 220 prisonniers, dont 5 officiers. 1,, long du rate du trent, l'ennemi a tenté ses habituelles attaques démens tratires contre les positions du mont Piana (vallée de Rien.), de Punta-Po- raine, du rio Felizon /Boite), dn mont Colornbara (plateau d'Asiago), du mon- te timone et du ment Sel.uggie (zone Astico-Posina). Il a été partout repous- sé avec d'es pertes senSibles. Sur le Front italien A la conquête du Carso L'avance italienne Lea Autrichiens refoulés dons Toimino Berne, 16 mût, Les troupes italiennes auraient refoulé, hier soir, les Autrichiens jusque dans Tohnino. lbe lutte ardente se déroulerait insu les fau- lmel. mances de 15 51115, Les Autrichiens amènent tous les renforts jiossibles Milan, 16 août. La nonqueR du plateau du Garso continue c'est la tlehe 0e l'aile droite italienne ; le centre autrichien est toujours pressé vigoureu- sement sur le torrent Vertelbisza ; les grandes unités autrichiennes qui défendaient la tête de pont de l'Homo °empiétement battues désor- ganisé., démoralisées et eu partie pménninr., ont disparu du théâtre de la lutte, Neuf divisions ont ,PM prevues sur le front du Trentin et animées devant Gorits des prison. Mers faits sur le mont Saint-Marc, ont déclare qu'ils avaient marche toute la nuit pour arriver On peu avant l'aube sur inc positions à défendre. Le dilues de Verrotba, qui aligne ses maisons â la limite de la plaine de Goritz et le long da torrent de Vertelbissa, est en flammes. 50 55 en somme, se poursuit sur to0t. le front. Pour sauver Trieste Rome, 16 août. Les milieux berlinois suivent avec une prém, cupatiun anxieuse /5 eours des opérations ira- limmes, sur l'Homo. Leur attention se porte tiarticullêrnment se rileste que Berlin considère comme une pro- priété Menem.. On assure, de sonne diplomatique q.ue PAIR- magne est décidée à intervenir MM. l'Italie pour empêcher Trieste de tomber aux mains des L'011ensive russe L'avance de Broussiloff Les atermoiements d'Hinden- burg Petrograd, 16 août. Commentant 010110 du maréchal de Holden. berg dans début dc sa prise de eommende- sa ment o commenceron s mr- déments des eaux automnales. Les armées de Kaledine et de Lesh reçoivent des renforts Berne, 10 août. On mancie de Vienne à la « Gazette d.e .Franc- ê que de grands mouvements de troupes sont signalés derrière le front russe, De nom- breux transports de empes arrivent nomm- ent en niasse a. Sari, et de là sont Mrigés vers le Stoktiod. Lis nrmêes russes Lesti-Kale- dise ont reçu, parait-il, de nombreux rénforts. et ju um mo û t le de/ Sou lo o lel de l'OMM Légère avance dans la zone de Doiran Salonique 06 mût. Sur le front de Velis nous avorts.oreupe deux ihim un, de Doit.. Cette région» ad, cette nuit, le théâtre Tues série d'operatinne d'infanterie, ,tti nous ont per- mis de Tale, des progrês sur le terrain attaque. Sur Mer Un engagement. naval attrait eu lieu Londres, 16 août. De -Stockholm, une forte canonna assola en- tendac lumb au large d'Arko et de Rome On croit qu'un engsgmient a eu 11.1 'entre un convoi allemand escorté par des navires de guerre et dus navires de guerre russes. Cians l'Europe Eu Allemagne Les rleueurs contre les propansan dictes de la paix Zurich, 16 août En relation aven nou.volle des nombreuses arrestations dé socialistes allemands opérées, des lems derniers, le Lokal Arnéiger muon. que lu police de Berlin, b hi suite de nombreuses ...quis..00a et arr.tations a .décOmert les au- teurs de la feuille volante qui sou nos essayer del ore. un courant favorable à le Pals, cala tY- pographie où elle a été imprimée. Celle-ci se, :ouiu; 00 était imprimé, ayant la guerrea.i,t, la Oranienstrasse ; MvPriglugg egt un ouvrier qui travaille dans une autre mim- e. des anarchistes allemands ; le Libre ror- Dru- merk L'auteur au manifesté est un des redan.. du Mir...socialiste de la presse de Berlin, Eielthorn. Cclui qui se chargat de répandre la feuille volante 0151 1e secrétaire de rAesociation êleetorale socialiste de Berlin; il a aussi été-ar- rêté. Pour -dépister les recherchse de la police le mmifeste était signé par la Sehrelrerische Ge_ n.senschaft Bruckerta , à Berne et l'imprime. rie ;d'Eugène 'rosie et Cie', à Teerenirupp. Les 21 propagandistes appartiennent h FUMen socialiste au travail. Ut Manne] des infellesillels allants Des journaux argentim publient un manifeste OIS intellentuels de la République Argentine, du à l'Initiative de (ludos Alagariaga et qui exprime sa sympallne peu' lcs Alliés. « Nous croyons dit le manifeste, à la recons- titution de la elgique bernique, martyre et ruinée, à la victoire de la France. Nom désirons, laarce Tm ce sont des victoires du droit. L'AMace et la Lorraine doivent revenir b La nation b la- quelM elles ont été arrachées par la violence. Hans ce but, Phéroisme des Cf lies remplira de sang les tranchées. e ailla dominent continue en exposant le sendiee que les nations alliées ont rend° et rendront toujours b la civilisation. Le manifeste porte les signatures de nerribreux savmR et -écrivains. Eu reste, les signatures d'intellectudls continuent à. affluer de la capitale et de Igntériear de la République, La Coelareace das Partis secialiqes Le texte de la résolution votée Voici le texte de la résolution voile à 15 fin de la conférence Considérant que dam les deux greapes des nations belligérantes, des projets ont Ou- tor- nade dans le but de suivre, eprês la guerre, me peitique Mo/minime tendent b développer sys- Rmatiqueinent les relatioffSleconerniques des uns au détriment deS autr. ; » Considérant que cette politique, dont la ten- dance serait de prolonger la guerre militaire d'une guerre ecommique, constituerait mur le maintien de /a pgix un danger permanent et fatal en faisant aboutir M guerre 8CO5e0i- aue urin nouvelle guerre ; .00-biside00,t que des projets de cette nature empêchent la fondatMn d'une .paix durable et entravent Pastion de la Masse ouvrière en 'Tl05 develomemmt de' la solidarrité in- tenationale ; 5 considérant que l'avenir du pro/étariat exi- ge Pétalllsmment da relations MenaMlqn. 500, an lieu d'être nuisibles, soient favorables au développerions recipnoque des fors. produMI ces as sein des differentes natMns ' » Rend hommage l'attitude du grdupe m." Malts. de France qui nettement et Prompte- ment, a prts attitude sonore cette .politique et ex.ime Fumoir de voir Us sesialist. Ms autres pays ebelligérants parler Mi bagage Ta. Osais Mart ; EUD Le soir du hfi avril 1906, un meeting se tenait flans la grande salle de la Boume du Travail de Paris. De° travailleurs de toutes les eorPera- Dons étaient ,untis- rue du Château-MF:au prendre les ineuctions pour le lendemain. n s'agissait d'une véritable veillée des .Le boulevard 001nt4Martin. la plac de la République et les rtlen ,piSineS regor- m'alma, de farces pobeiéres et mslitaireq. On sentait den. rôlette dans Pair. Les ouvriers, comprenant leur devoir, al- laient, ,en un prend, mai rénovateur, af- firmer leur droit l4 la vie, leur drojé au boil- le.. Une formule simpliste eXprimait letir dé- sir, gendanê des mois, elle s'était étalée aux fenêtres du monument municipal t « -AU premier mai Mn nuns ne ferons pl. MM huit 'heures. Une panique folle régnait chez les bottr- geols, Les récits idiots Mune presse à tout faire l'avaient créée, Dc heaves gens pensant l'émeute inévita- ble s'étaient enduis vers la campagne plus ealme D'autres, les courageux, avaient vide les magasine de ceMestibles pour être en une- sum Ose subsisiter pendant la ,; Commune ê proohaine. grurir0 aux lèvres. en se riant des jeu Dies, lu tra/cilleues se préparaient â en- lever de haute lutte les améliorations que I'mles les ddmarches possibles n'avaient pu leur Rire 'obtenir. "eLlimdbèlf 10 miciètre de Pheure sans 'lléSiter, mettait tous les moyens de euereielen dont il disposai au service du capital. L'armée, elle-même, allait se rencontrer. dans la rue, avec le prolétariat... Cis soir-10, les couloirs de la Bourse iont dose pleins &hommes discutant de la situation. Idut â coup, un remous se produisit. lin /Atteler eu tenue de compagne venait de pénétrer dans la salle des 25ss4POMMS. alendçants, les syudicalistes se préeipi- talon( déjà sur re lieutenant d'infanterie oui osait ainsi venir les braver ch05 env, O n'avis que le proletamiat doit faire op pOsi tion à cette politique éconoidque cul obscurcit et entrave la lutte des Masses, Tue la elasse ouvrière, pour ses propres moUfs et autant dans son propre intérêt pie dans l'intérêt de rhuma- nite tout entière, doit imposer â ses gouverne- ments me politique International-le-fondée sur le Mare échange iiitégral pour tous les pays, leurs dolentes et protectorats, ainsi que sur la liberté des mers ; La confénenee déclare enfin que seul le II- /es échange Intégral est de nature O faeiliker la préparation d'un système da praduction mon- diale, basé sur la conception socialiste. n Petites Nouvelles Il est confirmé, par d. renseignemeetst -de source sûr1. que le aosse1917 commence apparaître sur te from allemand ; de pMs la Masse 1918 serait en moyenne partie incorporée. habitat. de Os ville d'Halluin Geordb ayant reçu l'ordre d'exécuter un travail destiné à l'armée allernmM ont refusé d'obéir, faisant appel à la Convention de La Haye, Le commmdant allemand a menacé la vine Te destruction complête. Pendant son séjour aux armées britmni- mies sur le .1 de France, 10' roi Georges a vidé le prés/S..4, ainsi que le général Joffre et le général Foch, à veMe déjeuner avec lui Olé quartier général du général Douglas Satin, Le président a passé plusieurs heures -avec le roi, au milieu des troupes anglaises. immbardement de .Posilêr. par les Mie- no a été 15h mrdiale Le rol a assisté MoMntaiguministre des munitions an_ glaises. passant en sème l'activité de son mi- nistère, a déclaré qie- La produetion d'obus a augmenté tellement que des comparaisons ales l'am,. 1914 sont devenues inutiles I .5M es prenant comme base de comparaison ramée 1916 In production en oblis pour canons de .inpag. pour 1915-1916, Malt 50 5005 plus grande quels production de ramée préoédente.. Le députe conservateur pangermaniste von Heydebmnd a déclare, dans une conférenm fane o nbancfurt, que le seul moyen pour l'Aile_ magne de terminer avantageusement cette guerre terrible était d'affamer l'Angleterre par GRC re- prise 41B la guerre .mslifiarine â outrance, mé muas Manne de provoquer une guerre av. les E''-'i /':nana.1..ipremières heures de la matines, on a ressenti des secousses de tremblement de terre à Ancône, Perrsaro si Rimini ('Nalel Il n'y a pas de dégâts à Ancône. A Persaro beaumup de maisons sont lézardées elles ont étievactiées. 11 n'y a pas de victimes. A Rimini, plusieurs maisons se .nt écroulées. On craint qu'il n'y, ait des victimrn sous les lit- - Deptroubles graves ont éclaté à Ilam- bourg"et à Leipzig; la pMice n'a mi rétablir l'ordre qu'au prix Tune action énergique t il y O eu plusimrs bl.sés des deux côtés. Le comte Andrassy a refusé d'accepter la succe.ssion du baron Burian, ministre des af- faires ermere., de PAutriehe-liongrie, 0 mains que ne lui soient données des .garanties Mur l'autonomie de la Hongrie, gerantiss me l'em- pereur hésite à accorder, Le MIDI SOCIALISTE estime que l'une des forces de l'armée c'est l'es- prit de justice. Il dénoncera, après les avoir contrôlén, les faits qui s'inspire- ront d'arbitraire. AOUT 1 91 6 nent, le critique militaires de la s netsda n aboutit à dette venclusion que les attaques Ms mrdonné. et bled/errées des AnstroAllemends ouste Steel/boa, le styr, le Sereth et te Aure- . Mater sérieusemen snr a ligne Lamterovel et qu'il s'accroche â tloutes les Peelbuns qu'il Tisserand-Deiange, Met/ promeut met l'ennemi est iman.. gHde re- rencontré pour gagner du temps jusqu'à roui- s. des renforts turcs en Galicie et en Bukovine L'A. FlI IV ID' ILT 1-1C)IVIII7slI 10004100, très mime, le soldat fit un geste emmillateur. Il Oit aux eamarades présents quel mobile lai avait ordonné de franchir le seuil du loral ouVrier. On l'entraîna vers la tribune. SOU aPPa- rition dans la salle de réunion souleva une tempête. Be,aumé, dès Brossiers, seenétairo de l'U- nion Le canne revenu, il sTeria a Je donne la parole au lieutenant ne- ,erand-Delange.. Pâle, l'officier s'avança eit fit cette déela- ration o o Malgré. Clen.snoe.a6 demain, je me retuserai n rmnmander â mes 'hommes de tirer sur vous, si Pondre m'en est don- né. a Ce 101 000 minute inoubliable Comprenant que l'homme qui venait de prononcer de semblables paroles allait être arrêté dès au sortie de la Bourse, les ou- vriers voulurent lui faire ton rempart de leurs ermips... GeSte inutile, hélas ! Tisserand-Delange fut in'secéeé ; on 10 r lys des cadres. Leg ans passérent. Itéintôgre dans l'armée, Tisserand-Delan- ge servait, 50 220 d'infanterie à Didon, lors- que la gu,ere éclata Depuis, nommé pour sa conduite sur le Miami, de bataille, il était devenu comman- dant au 10e d'infanterie. La nouvelle de sa mort nous parvient. Il est tombé, le 2 août, en menant sen bataillon h l'assaut du village do Fleury. Maintenant, il repose ap cimetière de Bellone, au Milieu des soldes Utes ;à ses côtés. Nous Murons conserCer le souvenir res- pectueux de Chemine qui, 'suivant l'heure, cc eXpression de Charles Dumas, député du Cher, fut le seul officier de l'armée fran- çaise qui ait, publiquement, affirmé. ga se- lidaritè avec la classe ouvrière. Eugène a/ANGEVIN, ;l5e la Balaie). L/SEE ET FAITES LIRE LE s ttlDs SOCiALISTE Cà et 1_,À. La grève dcschemlnote en Amérique 011 entretient I'MPOir que la grève sera évidée. Wilson a présidé Ilfle notwelle emafé- renee entre les délégué, des directeurs ut reux des employés, t0 discussion continue. La réquisition dee vins En vue slm continuer à aesurer bd ravi- 55iller/1ml en vins des,arrnées, le ministre de la guerre avait démide l'opérer au fur et missure des besoins sur la proohaine nô- colle des prélèvements sur l'ensemble des régions viticoles du territoire de l'Algérie qui seront effeetttes par voie de réquisi- tion Lee contingents rénuisitio e' s Pro' Dortionnels aux déclaratioriné sde.reet oolles qui devront'. être effectué. avant .ftn vrrnitde 5906. Le taux du prélévément s'élèvera en prindipo à 20 p. 100 de la déclaration. II Pourra toutefois être modifié, suivant l'im- portance de la récolte et après cennaissance He ses résultats. Les vins de cru seront exonevés de la ré- quisition après classement par des com- missions spéciales, Un arqmptr de 15 francs par heetolitre Sem délivré à lore les prestataires. Le curit, le soldeur et le major Rouere 16 août Une affaire qui fait grand bruit 0 140505 et dans toute la Nainnandie sera jugée le 30 aoht devant le conseil de guerre. L'abbé. Samson, cUrd MAnfreville-la-Mi- gloie et le soldeur r00e000a4s,Franek sont oc casée de s'être fait redonner contre argent versé à raide-maaor de Ir.e, rias. Poinot. Ors trois .personne. ont été arnEllées, liarrestalPm du soldat. Franek, établi Oses le Centre de Rouen et défi compromis dans une affaire de fourniture militaiges. n'eut pas un grand retentissement ; mais delle de Pale.. Samson provoqua und .ém0- f ion Profonde, oe cure, qui jouit d'une assez Win fortune, joute aussi d'une singnlière réfilltation. 11 attrait eu toutes sortes 5ge- ventOree Les débats netis apprendront si sa réputation n'est pas usurpée. PARTI SOCIALISTE (S. F. I. O.) Conseil National SCRUTIN le. 3 Première partie de la motion de la Drene ; La Dee,. Nationale En plein accord aveases «disions antérieures (26 <1.8Mbre 1910 et 9 avril 1916), le Conseil national du Parti socialiste s'affirme résolu contRuer son plein effort O la ,defeme nationale jmqu'à la libération des territoires mvahis et su rétablissement de la Idelgique et de la Ser- bie. libres et independaut.. ont dom pour 1.913 mandats) Aisne 18, Allier Si, Alpes-Maritimes 11, Ardè- che 2, Ardeunes 53, ,Me 1e, Aude 11, Aveyron 23, Cl-trente 13, Charente-Inférieure 9 Glier 33 Corrèze 8 Cor. 2, CAted'Or 3, Hrôme 14; Eure-et-Lolm 3 Gard Si, Harate-Garonne Id Gers 5, Clirone 72, Hérault 41 Indre 8, bière 1, LoitmetiGher Loire 40 Loiret 7, Lot-et-Ga nol . renne 9 MaMê 4 Meurlhe-et.Moselle 2, Mer, blhm 2; Nikr ê él-ard 497, Pm-de-Calais /32, Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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G tor,nanermmexeularinessanars-Isretedxss

tnnman, nnexr-87-onso.sen; merl...,

rami, numrs-nnanertz,nommes.

NEUVIEIYIEANNEE,

47

ADMINISTRATIONa aÈoacyron

38, Rue RoqUelaine

TOULOUSE

xes_...n/ex.oza-m te 43

ow,0 du e Journal

rdu front, disait ô Cap-

- aie à O source, et n'et-' passant par les os-

e la hiérarchie, ellenue, s'altère, se train-

défigure pour devenir jet

le1,1°cal eern' parle, etofficielle.

l'on ne

.1.le

-

criticisme avisé de Ilhisto-offl.U., de Taine, et que l'on

,"sueur

i ment en erreur. Com-fr prieend-il pour « capter la

s'altère dans les c,a-hie » Il nous le

1«hrecig plus bas J'ai

Ir; les i,iufrate'rln:lres hospitalité des» et plus loin v» J'avais

oisin de table un lieutenant,t encore ; u le 0011enan-

.0' dit s etc.

on bien.Nous avons compris. C'est-

M. Aulard fait ses en,quôteeBarrès, lequel, dans te camp

odo de son voyage sur le «vont da-o fichu de Paris », 8 juin)

bus mons ilonnem. d'être invités'ab.lege° président le colonel daces

clef colonels de ces bersaglie-, - le 10 juin A Cortina tin dés

mer Où ces officiers voulaielvt, bienaccueillir » - Autour de borda

..t useheure déjeuner au quartier gé-

01 de la division, chez le générallt fitieeti-Lade rail. » le 12 juin

Sas M'Ore été reçus au CrolDlnand0alu » par le généra/ Cadorna » -

>os avons trouve le général Porro,f d'écot-major général, à la la'

de qui nous avions déjà eu Phon-ie nous asseoir. » - le 14 juin

Les musiciens qui égayaient le do-

ser où les officiers voulaient bienaccueillir...Barrès avait, l'an passé, fait un

eu front anglais où IL paraitdocumenté de la nkétne. manière.

Pr exemple, voyez page 8 de son livreUne vicie it l'armée anglaise spour écu la journée, je dtne chez

tan ,d9_ généraux avec son état-ma-. ',Si.

rosait depuis longtemps le députéter enclin à oe genre de dectunen-

.larsqu'il fit i/ y a quelques au-,800 enquête sur les vieilles égli-de France, ce ne furent pas ceuxlelltonahent de près, et les connais-mieux que personne qu'il consulta;mais il se lit renseigner par lesonnaires architectes qui, de Paris

-aide Lyon - vivent des églises ru-Uku qu'ils ne .nnaissent point. C'estMnsuei 51. Barrès aboutit à la cents,aanien et an classement, c'est-à..direhmort par administration de Ce qu'ilMem:lait sauver.th tous genres cette manière de se

'keret,. ter ménage des surprises En*entre 1914, M. Barrès a raoonto

Eche d,e Paris » que pénétrants dans une boutique he-

m. PMI' y demander un renseigne-., il trouva /e boutiquier boulever-',tu nouvelle qu'il venait de rece-

mort de son fils. - Il vous?, r:Z:hheur I » lui déclara le dé,fabisel num. A quoi le boutiquier,

qualité de son interlo.-

et:honr,P5deutitjun peu vivement

e m'en 1...

Censuré

G. DUNOIS.

que ceei est écrit, M. BarrèsAngleterre, et actuellement,

sl,tre.,,noo à. raconter ce .nouveau

ell84.ausortir doses hôpitaux,

euner chez Asquith, slut, conversation avec Lloyd.8.: Venez déjeuner demain,

tqttuzeellheo.hdeem;e81-, 2A8

uea,tout

Merveille quand l'es-va

En passantLes Va-t-eo Guerre

.lef.:440e de lendres vient de perdreIveplus Ornes et 1. plusOenre Weber. Ce banquier,Ire et ardemment pacifiste,

re matai., bien ouuJ'eut ,retre me dans les

rrible vad-en-guerre,e auvergnate et de Hem

nia,la guerre de rowin-

g staat-be ''del'erasbouureg'an

e'tésidence de la Ligue d.confortable d'aller se do-

lai tantes en AngMterremesse naturel/ament de belles spêces

iseope ainsi ramassée,

5555riT4 dirait PZ't'I''n camoufle.

?Pe;Ve0 mat. radical-socialistel0aj.gecu

idvoune,

tklt 9011 rranti?amUs4Pr'eelrdMenue» olongagea,

4

dés- le début des bostilitês et gngua tous essgidons dans les tranchées.

Quand dong M. Manrice.Rarrès, mi n'a que53 ans, et qui fut le plus crible des da-t-en-guerre, gagnera-lit ses premiers galons de da-

,- A la prochaine guerre, évidemment.

Merle, alors!tin de nos confrères parisiens coMe /*histoire de

merle que« Ce merle habitait !moue, au cernent de la

guerre de eindermaanee italienne. Il avait ne-pila les chansonnettes patriotiques que les habi-tants de la cille chantaient aved entrain almmle départ des tyrans autrichiens et, en sautantsur les barreaux de sa cage, s'obstinait à répé-ter le premier couplet dée l'une d'elles t

Patriotes; mareens sers les AlpesPatriotes, marchons vers le PC

Lee Autrichiens revenus la chanson fut In-terdite et le maître sin merle, par mesure deprudence, enferma son chanteur dans ose caveobsoure, etc., sue. s

Il y a, pour cette histoire, un petit malhesele merle ne parle pas.

A mil es, al elle n'est pas draie, elle est, toutde même, bien imaginée I

Autour d'un Anniversaire

Jaurès et l'orgueC'est une très heureuse innovation dm-

voir invité /a musique h intervenir, d'avoirappelé le grand orgue du Trocadéro à faireentendre en ,,voix à la Aronde commémo-ration do la mort de Jean Jaurès. L'accueilfait à ...mem. inhUbignel Par un inl-mense public, sur qui pèsent los Mideurscoutumierce des concerts et des bastrin-gues, aenueil respectueux, digne et 'parfoisadmiratif, permet de penser que cette in-novajlon aura des lendemains, encore plusbeaux, colore plus effleaCee.

A l'heure où manque tant et si amère-ment â la foule socialiste le Verbe Puissantde Jaurès, n'est-il pas néceasaire sis suP-Pléer par les Vols de la musique à. cettevois qui s'est tue pour toujours et qui ras-semblait en elle tous lm timbres et totoles accent. B Du clairon métallique et vi-

Ge que dieoelles Comieliques

16 Août 15 heures--746e jour do la jjnerre

La nuit a été calme sur la plus gran-de partie du front.

En Champagne, du côté de Pahme eten Argonne, vers la Harazée, nous avonsdispersé des patrouilles allemandes.

Sur le front de -Verdun, bombarde-ment assez vif des secteurs de Thiau-mont, de Fleury et de Vaux-Chapitre.

Dans la nuit du 15 au 16, des avionsennemis mit lancé quelques bombessur Belfort. Pas de victimes.

sÛ,gon,sA l'exception de quelqUeS engage-

ments sehondaires d'infanterie dans levoisinage de Poziôres, ois nous sommesen train de consolider notre ligne, iln'y a pas de changement entre l'Ancreet le Soinm.e.

Violente Canonnade réolprovine onoollre de la nuit.

Sur la rivière .Solotaya-Lipa le pas-sage des Russes mmtintie sous le feu del'adversaire qui, en plusieurs points,entrave le construction des ponts.

A l'embouchure. du Pruth, dans lesCarpalbes boisées, l'adversaire, sous lapoussée de nos alliés, a évacué Jablo-Misa. Au sud de ce point. les Russesont occupé de nouveau Vorokallta-"ArcgoLiouz, sur le Profil, et fait pri-sonni,ers 82 officiers et Looe soldats.

L'offensive eu t'

Sur le front MeCaueaseDans la région de la ville de Sakki.

css Perse, l'avance des Busses s'est ter-minée par Poocupation d'une positiontrès forte turque aux ahende de cetteville. L'ennemi, poursuivi par /a cava-berie, se retire précipitamment vers lesud.

Sur le Iront ItalienSur le Carso les troupes du 11e corps

d'armée ayant repousse pendant la nuitde violentés contre-attaques, ont atta-qué hier les lignou ennemies b l'ouestdc Grado et de Beeinka, et ont prisd'assaut de nombreux retranchements.Folles ont fait 1.419 prisonniers, dont 31officiers.

Dans la zone des hauteurs, à l'est deGorizia, après une lutte tenace, les Ita-liens ont conquis d'antres retranche-

SUR TÔUS LES FRONTS

Canonnades sur tout le front

b ont oui toms cotait à retentir avec Smemiers ,mots jusqu'an bruissement de la

MM qui s'enflait dans ses péroraisons, legrand orateur élevait insqleau. eiel le souf-fle ric toUS les inStrulnents par lenqUelSl'Irannuidr a exprimé sa plainte, /a eolere,son espérance. Il était touée raHen et toutepassion, 'nais il était aussi, cet annoncia-teur de la grande solidarité, tout e 'harmonieet toute musique.

Sur ses traces à l'ombre de sa Méo-Mire,Ir smialistm aussi veut être l'harmonie desintinas, 411, classes, des 'Pal'ries élevéesdans leur indépenslanee et soumises à laRiStice. Et, pour se réaliser, le s.iatismeOeil compter sur le coucou., sur l'aruord.sur la discipline, sur la menue et surl'ordre des sentiments les pluS enéreUXles plus forts. Oli prendra-L-1/ l'exemple etl'habitude de cette mesuue et do rie ordredans lequel se fondent et S'MarmeniSerlIOcs les -efforts individuels, sinon dans laMusique, maitre,. d'idéal. et Mharmonie ?

ese, /I y a cent ans, Puncetre F011etermandait â la mositple .0v/élis/ès' lno onSel-gnements et les aCeoutunlances néceSsaires

rétablissement d'une Steléle harMOulque,One désormais la nuiellque, noble, sereineet ionique, mit .de nos fêtes, de nos deuils,dc it.; .réunions poUr penser et pour agie. ctiMMUri.

Que de nouveau, dominant lestala, feulede son tonnerre et doses murmure.parle et ehante au-dessus de noue Quu sestuyeaux sonores; heiéuéss b ceinte°, lecoite des religions, se remplissent de mu-nique centenaire pour animer aux taclieSnOmelles les librea âmes de crue qui veu-lent affranchir Io monde. Que les ehantS li-turgiques se transforMent en hymnes Tes-perance pour les ;forger.i,s de la cité fu-ture,

De même que la vols ne Taupés expri-mait la consciênce do Plumant-le tout en-tière, do même le voix de, l'orgue exprimele souffle de 'tom les iustru,ments imaginéspar Part buunain. Nulle autre voix que sellede l'orgue ne 'peut par die6 la mort, riva-liser avec .celle de Jau.nès. Et pour le pleu-rer, il Ideure avec" nous en magnifiant l'hé-ronme, ta bOnté et le sacrifie°.

B.

monts eimemis et fait 220 prisonniers,dont 5 officiers.

1,, long du rate du trent, l'ennemia tenté ses habituelles attaques démenstratires contre les positions du montPiana (vallée de Rien.), de Punta-Po-raine, du rio Felizon /Boite), dn montColornbara (plateau d'Asiago), du mon-te timone et du ment Sel.uggie (zoneAstico-Posina). Il a été partout repous-sé avec d'es pertes senSibles.

Sur le Front italien

A la conquête du Carso

L'avance italienneLea Autrichiens refoulés dons

ToiminoBerne, 16 mût,

Les troupes italiennes auraient refoulé, hiersoir, les Autrichiens jusque dans Tohnino.

lbe lutte ardente se déroulerait insu les fau-lmel. mances de 15 51115,

Les Autrichiens amènent tousles renforts jiossibles

Milan, 16 août.La nonqueR du plateau du Garso continue

c'est la tlehe 0e l'aile droite italienne ; lecentre autrichien est toujours pressé vigoureu-sement sur le torrent Vertelbisza ; les grandesunités autrichiennes qui défendaient la tête depont de l'Homo °empiétement battues désor-ganisé., démoralisées et eu partie pménninr.,ont disparu du théâtre de la lutte,

Neuf divisions ont ,PM prevues sur le front duTrentin et animées devant Gorits des prison.Mers faits sur le mont Saint-Marc, ont déclarequ'ils avaient marche toute la nuit pour arriverOn peu avant l'aube sur inc positions à défendre.

Le dilues de Verrotba, qui aligne ses maisonsâ la limite de la plaine de Goritz et le longda torrent de Vertelbissa, est en flammes.50 55 en somme, se poursuit sur to0t.

le front.

Pour sauver TriesteRome, 16 août.

Les milieux berlinois suivent avec une prém,cupatiun anxieuse /5 eours des opérations ira-limmes, sur l'Homo.

Leur attention se porte tiarticullêrnment serileste que Berlin considère comme une pro-priété Menem..

On assure, de sonne diplomatique q.ue PAIR-magne est décidée à intervenir MM. l'Italiepour empêcher Trieste de tomber aux mains des

L'011ensive russe

L'avance de Broussiloff

Les atermoiements d'Hinden-burg

Petrograd, 16 août.Commentant 010110 du maréchal de Holden.

berg dans début dc sa prise de eommende-

sa ment o commenceron s mr-déments des eaux automnales.

Les armées de Kaledine et deLesh reçoivent des renforts

Berne, 10 août.On mancie de Vienne à la « Gazette d.e .Franc-

ê que de grands mouvements de troupessont signalés derrière le front russe, De nom-breux transports de empes arrivent nomm-

ent en niasse a. Sari, et de là sont Mrigésvers le Stoktiod. Lis nrmêes russes Lesti-Kale-dise ont reçu, parait-il, de nombreux rénforts.

et ju um mo û t le de/

Sou lo o lel de l'OMM

Légère avance dans la zonede Doiran

Salonique 06 mût.Sur le front de Velis nous avorts.oreupe deux

ihim un, de Doit..Cette région» ad, cette nuit, le théâtre Tues

série d'operatinne d'infanterie, ,tti nous ont per-mis de Tale, des progrês sur le terrain attaque.

Sur MerUn engagement. naval attrait

eu lieuLondres, 16 août.

De -Stockholm, une forte canonna assola en-tendac lumb au large d'Arko et de Rome

On croit qu'un engsgmient a eu 11.1 'entreun convoi allemand escorté par des navires deguerre et dus navires de guerre russes.

Cians l'EuropeEu Allemagne

Les rleueurs contre les propansandictes de la paix

Zurich, 16 aoûtEn relation aven nou.volle des nombreuses

arrestations dé socialistes allemands opérées,des lems derniers, le Lokal Arnéiger muon. quelu police de Berlin, b hi suite de nombreuses...quis..00a et arr.tations a .décOmert les au-teurs de la feuille volante qui sou nos essayer delore. un courant favorable à le Pals, cala tY-pographie où elle a été imprimée. Celle-ci se,:ouiu;

00 était imprimé, ayant la guerrea.i,t,

la Oranienstrasse ; MvPriglugg egtun ouvrier qui travaille dans une autre mim-

e. des anarchistes allemands ; le Libreror-Dru-

merkL'auteur au manifesté est un des redan..

du Mir...socialiste de la presse de Berlin,Eielthorn. Cclui qui se chargat de répandre lafeuille volante 0151 1e secrétaire de rAesociationêleetorale socialiste de Berlin; il a aussi été-ar-rêté.

Pour -dépister les recherchse de la police lemmifeste était signé par la Sehrelrerische Ge_n.senschaft Bruckerta , à Berne et l'imprime.rie ;d'Eugène 'rosie et Cie', à Teerenirupp.

Les 21 propagandistes appartiennent h FUMensocialiste au travail.

Ut Manne] des infellesillels

allants

Des journaux argentim publient un manifesteOIS intellentuels de la République Argentine, duà l'Initiative de (ludos Alagariaga et qui exprimesa sympallne peu' lcs Alliés.

« Nous croyons dit le manifeste, à la recons-titution de la elgique bernique, martyre etruinée, à la victoire de la France. Nom désirons,laarce Tm ce sont des victoires du droit. L'AMaceet la Lorraine doivent revenir b La nation b la-quelM elles ont été arrachées par la violence.Hans ce but, Phéroisme des Cf lies remplira desang les tranchées. e

ailla dominent continue en exposant le sendieeque les nations alliées ont rend° et rendronttoujours b la civilisation.

Le manifeste porte les signatures de nerribreuxsavmR et -écrivains. Eu reste, les signaturesd'intellectudls continuent à. affluer de la capitaleet de Igntériear de la République,

La Coelareace das Partis secialiqes

Le texte de la résolution votéeVoici le texte de la résolution voile à 15 fin

de la conférenceConsidérant que dam les deux greapes des

nations belligérantes, des projets ont Ou- tor-nade dans le but de suivre, eprês la guerre, mepeitique Mo/minime tendent b développer sys-Rmatiqueinent les relatioffSleconerniques des unsau détriment deS autr. ;

» Considérant que cette politique, dont la ten-dance serait de prolonger la guerre militaire

d'une guerre ecommique, constituerait murle maintien de /a pgix un danger permanentet fatal en faisant aboutir M guerre 8CO5e0i-aue urin nouvelle guerre ;

.00-biside00,t que des projets de cette natureempêchent la fondatMn d'une .paix durableet entravent Pastion de la Masse ouvrière en'Tl05 develomemmt de' la solidarrité in-tenationale ;

5 considérant que l'avenir du pro/étariat exi-ge Pétalllsmment da relations MenaMlqn.500, an lieu d'être nuisibles, soient favorables audévelopperions recipnoque des fors. produMIces as sein des differentes natMns

'» Rend hommage l'attitude du grdupe m."Malts. de France qui nettement et Prompte-ment, a prts attitude sonore cette .politique etex.ime Fumoir de voir Us sesialist. Ms autrespaysebelligérants parler Mi bagage Ta. OsaisMart ;

EUD

Le soir du hfi avril 1906, un meeting setenait flans la grande salle de la Boume duTravail de Paris.

De° travailleurs de toutes les eorPera-Dons étaient ,untis- rue du Château-MF:auprendre les ineuctions pour le lendemain.

n s'agissait d'une véritable veillée des

.Le boulevard 001nt4Martin. la plac de laRépublique et les rtlen ,piSineS regor-m'alma, de farces pobeiéres et mslitaireq.

On sentait den. rôlette dans Pair.Les ouvriers, comprenant leur devoir, al-

laient, ,en un prend, mai rénovateur, af-firmer leur droit l4 la vie, leur drojé au boil-le..

Une formule simpliste eXprimait letir dé-sir,

gendanê des mois, elle s'était étalée auxfenêtres du monument municipal t « -AUpremier mai Mn nuns ne ferons pl. MMhuit 'heures.

Une panique folle régnait chez les bottr-geols, Les récits idiots Mune presse à toutfaire l'avaient créée,

Dc heaves gens pensant l'émeute inévita-ble s'étaient enduis vers la campagne plusealme

D'autres, les courageux, avaient vide lesmagasine de ceMestibles pour être en une-sum Ose subsisiter pendant la ,; Commune êproohaine.

grurir0 aux lèvres. en se riant des jeuDies, lu tra/cilleues se préparaient â en-lever de haute lutte les améliorations queI'mles les ddmarches possibles n'avaient puleur Rire 'obtenir.

"eLlimdbèlf 10 miciètre de Pheuresans 'lléSiter, mettait tous les moyens deeuereielen dont il disposai au service ducapital.

L'armée, elle-même, allait se rencontrer.dans la rue, avec le prolétariat...

Cis soir-10, les couloirs de la Bourseiont dose pleins &hommes discutant de

la situation.Idut â coup, un remous se produisit.lin /Atteler eu tenue de compagne venait

de pénétrer dans la salle des 25ss4POMMS.alendçants, les syudicalistes se préeipi-

talon( déjà sur re lieutenant d'infanterieoui osait ainsi venir les braver ch05 env,

O n'avis que le proletamiat doit faire op pOsition à cette politique éconoidque cul obscurcitet entrave la lutte des Masses, Tue la elasseouvrière, pour ses propres moUfs et autant dansson propre intérêt pie dans l'intérêt de rhuma-nite tout entière, doit imposer â ses gouverne-ments me politique International-le-fondée sur leMare échange iiitégral pour tous les pays, leursdolentes et protectorats, ainsi que sur la libertédes mers ;

La confénenee déclare enfin que seul le II-/es échange Intégral est de nature O faeiliker lapréparation d'un système da praduction mon-diale, basé sur la conception socialiste. n

Petites NouvellesIl est confirmé, par d. renseignemeetst

-de source sûr1. que le aosse1917 commenceapparaître sur te from allemand ; de pMs laMasse 1918 serait en moyenne partie incorporée.

habitat. de Os ville d'Halluin Geordbayant reçu l'ordre d'exécuter un travail destinéà l'armée allernmM ont refusé d'obéir, faisantappel à la Convention de La Haye,

Le commmdant allemand a menacé la vine Tedestruction complête.

Pendant son séjour aux armées britmni-mies sur le .1 de France, 10' roi Georges avidé le prés/S..4, ainsi que le général Joffre etle général Foch, à veMe déjeuner avec lui Olé

quartier général du général Douglas Satin,Le président a passé plusieurs heures -avec le

roi, au milieu des troupes anglaises.

immbardement de .Posilêr. par les Mie-noa été 15h mrdiale Le rol a assisté

MoMntaiguministre des munitions an_glaises. passant en sème l'activité de son mi-nistère, a déclaré qie- La produetion d'obus aaugmenté tellement que des comparaisons alesl'am,. 1914 sont devenues inutiles I .5M esprenant comme base de comparaison ramée 1916In production en oblis pour canons de .inpag.pour 1915-1916, Malt 50 5005 plus grande quelsproduction de ramée préoédente..

Le députe conservateur pangermanistevon Heydebmnd a déclare, dans une conférenmfane o nbancfurt, que le seul moyen pour l'Aile_magne de terminer avantageusement cette guerreterrible était d'affamer l'Angleterre par GRC re-prise 41B la guerre .mslifiarine â outrance, mémuas Manne de provoquer une guerre av. les

E''-'i/':nana.1..ipremières heures de la matines,on a ressenti des secousses de tremblement deterre à Ancône, Perrsaro si Rimini ('Nalel

Il n'y a pas de dégâts à Ancône.A Persaro beaumup de maisons sont lézardées

elles ont étievactiées. 11 n'y a pas de victimes.A Rimini, plusieurs maisons se .nt écroulées.

On craint qu'il n'y, ait des victimrn sous les lit-

- Deptroubles graves ont éclaté à Ilam-bourg"et à Leipzig; la pMice n'a mi rétablirl'ordre qu'au prix Tune action énergique t il yO eu plusimrs bl.sés des deux côtés.

Le comte Andrassy a refusé d'accepterla succe.ssion du baron Burian, ministre des af-faires ermere., de PAutriehe-liongrie, 0 mainsque ne lui soient données des .garanties Murl'autonomie de la Hongrie, gerantiss me l'em-pereur hésite à accorder,

Le MIDI SOCIALISTE estime quel'une des forces de l'armée c'est l'es-prit de justice. Il dénoncera, après lesavoir contrôlén, les faits qui s'inspire-ront d'arbitraire.

AOUT 1 91 6

nent, le critique militaires de la s netsda naboutit à dette venclusion que les attaques Msmrdonné. et bled/errées des AnstroAllemendsouste Steel/boa, le styr, le Sereth et te Aure- .Mater sérieusemen snr a ligne Lamterovelet qu'il s'accroche â tloutes les Peelbuns qu'il Tisserand-Deiange,Met/ promeut

metl'ennemi est iman..

gHde

re-

rencontré pour gagner du temps jusqu'à roui-s. des renforts turcs en Galicie et en Bukovine

L'A. FlI IV ID' ILT 1-1C)IVIII7slI

10004100, très mime, le soldat fit un gesteemmillateur.

Il Oit aux eamarades présents quel mobilelai avait ordonné de franchir le seuil duloral ouVrier.

On l'entraîna vers la tribune. SOU aPPa-rition dans la salle de réunion souleva unetempête.

Be,aumé, dès Brossiers, seenétairo de l'U-nion

Le canne revenu, il sTeriaa Je donne la parole au lieutenant ne-

,erand-Delange..Pâle, l'officier s'avança eit fit cette déela-

ration o o Malgré. Clen.snoe.a6 demain, jeme retuserai n rmnmander â mes 'hommesde tirer sur vous, si Pondre m'en est don-né. a

Ce 101 000 minute inoubliableComprenant que l'homme qui venait de

prononcer de semblables paroles allait êtrearrêté dès au sortie de la Bourse, les ou-vriers voulurent lui faire ton rempart deleurs ermips...

GeSte inutile, hélas !

Tisserand-Delange fut in'secéeé ; on 10

r lys des cadres.Leg ans passérent.Itéintôgre dans l'armée, Tisserand-Delan-

ge servait, 50 220 d'infanterie à Didon, lors-que la gu,ere éclata

Depuis, nommé pour sa conduite sur leMiami, de bataille, il était devenu comman-dant au 10e d'infanterie.

La nouvelle de sa mort nous parvient.Il est tombé, le 2 août, en menant sen

bataillon h l'assaut du village do Fleury.Maintenant, il repose ap cimetière de

Bellone, au Milieu des soldes Utes ;à sescôtés.

Nous Murons conserCer le souvenir res-pectueux de Chemine qui, 'suivant l'heure,cc eXpression de Charles Dumas, député duCher, fut le seul officier de l'armée fran-çaise qui ait, publiquement, affirmé. ga se-lidaritè avec la classe ouvrière.

Eugène a/ANGEVIN,

;l5e la Balaie).

L/SEE ET FAITES LIRELE s ttlDs SOCiALISTE

Cà et 1_,À.La grève dcschemlnote en Amérique

011 entretient I'MPOir que la grève seraévidée.

Wilson a présidé Ilfle notwelle emafé-renee entre les délégué, des directeurs utreux des employés,

t0 discussion continue.La réquisition dee vins

En vue slm continuer à aesurer bd ravi-55iller/1ml en vins des,arrnées, le ministrede la guerre avait démide l'opérer au fur et

missure des besoins sur la proohaine nô-colle des prélèvements sur l'ensemble desrégions viticoles du territoire de l'Algériequi seront effeetttes par voie de réquisi-tion

Lee contingents rénuisitio e's Pro'Dortionnels aux déclaratiorinésde.reet oolles

qui devront'. être effectué. avant .ftnvrrnitde 5906.

Le taux du prélévément s'élèvera enprindipo à 20 p. 100 de la déclaration. IIPourra toutefois être modifié, suivant l'im-portance de la récolte et après cennaissanceHe ses résultats.

Les vins de cru seront exonevés de la ré-quisition après classement par des com-missions spéciales,

Un arqmptr de 15 francs par heetolitreSem délivré à lore les prestataires.

Le curit, le soldeur et le majorRouere 16 août

Une affaire qui fait grand bruit 0 140505et dans toute la Nainnandie sera jugée le30 aoht devant le conseil de guerre.

L'abbé. Samson, cUrd MAnfreville-la-Mi-gloie et le soldeur r00e000a4s,Franek sont occasée de s'être fait redonner contre argentversé à raide-maaor de Ir.e, rias. Poinot.Ors trois .personne. ont été arnEllées,

liarrestalPm du soldat. Franek, établiOses le Centre de Rouen et défi compromisdans une affaire de fourniture militaiges.n'eut pas un grand retentissement ; maisdelle de Pale.. Samson provoqua und .ém0-f ion Profonde, oe cure, qui jouit d'une assezWin fortune, joute aussi d'une singnlièreréfilltation. 11 attrait eu toutes sortes 5ge-ventOree Les débats netis apprendront sisa réputation n'est pas usurpée.

PARTI SOCIALISTE (S. F. I. O.)

Conseil NationalSCRUTIN le. 3

Première partie de la motion de la Drene ;

La Dee,. NationaleEn plein accord aveases «disions antérieures

(26 <1.8Mbre 1910 et 9 avril 1916), le Conseilnational du Parti socialiste s'affirme résolucontRuer son plein effort O la ,defeme nationalejmqu'à la libération des territoires mvahis etsu rétablissement de la Idelgique et de la Ser-bie. libres et independaut..

ont dom pour 1.913 mandats)Aisne 18, Allier Si, Alpes-Maritimes 11, Ardè-

che 2, Ardeunes 53, ,Me 1e, Aude 11, Aveyron23, Cl-trente 13, Charente-Inférieure 9 Glier 33Corrèze 8 Cor. 2, CAted'Or 3, Hrôme 14;Eure-et-Lolm 3 Gard Si, Harate-Garonne IdGers 5, Clirone 72, Hérault 41 Indre 8, bière 1,LoitmetiGher Loire 40 Loiret 7, Lot-et-Ga

nol.

renne 9 MaMê 4 Meurlhe-et.Moselle 2, Mer,blhm 2; Nikr ê él-ard 497, Pm-de-Calais /32,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Pu,olorfiôme 40 Basses -Pyrénées 4, Pyrénées-Oubmiales 30, afine-et-Loire 23 Saighe 5,Seine 2,61, Seine-edOise 59 Seine-inférieure 31Deux-Sèvres 18, Somme 42, Tarn 29, Var 87:Vendue 4, Vientie 14 Vosges 24, Yonne 26, Cons_tantine 8, Doubs 8,

A. P. Albert Thomas Boracite Braemen,Camélinat, Compère-Moral, bubneuilli, GUeSde,Hellfie Fiancette, Lévv, PMserin, Renaudel, Ro-land, 'Sembat, Merises. -

Se-sont abstenue (35 mandats4

Creuse 19. CocU 11, Seineet-MaMrne 5.Absents au moment annote (95 mandatsBassem-Alpes 6, Cantal 1, Haute-Loire fi, Lozè-

re 7, Marne 22, liant-Rhin 9, Deux-Savoies 16,Tunisie 5, Aisse 18.

, A. P. 1 Dormoy, .Girard, mobilisée ; Ducosde la diaelle, Grandvallet. Sellier.

Ont répon.du, ,absents -(926 mandate)Ain 15, Algérie 9, Allier 17, Hautes Alpes 4,

Aube 49, Bouches-du-Ithône 70, Calvados 3,Charente-InEérieure 12, Corrèze 9, Côte-d'Or 10.COI r_22-Nord 5 Dordogne 00, Drôme 5, fierre_et -Loire 9, Finisâêre 02 Haute-Garonne 15, Gioronde 17, 7, Indreet-Loire 23Pare 47, Jura 12. Landes 7, Loire 32, Loire-Mie:rieuvé 18 Lot 4, Maine-et-Loire 8 Haute-marne7, Meurth'e-et-Moselle 3 Morbihan 13 Ose 27,Basses-Pyrénées 3, Hantes-Pyrénées 5, lihône 66Saône_et-Loire 30, Seine 184 Tarn-et-Ouronné4,Vaucluse 44, Vendée 2, HaiéteVieme

C. A, p. 1 Teneur, Délépibe Péon, Lon-_ guet, Mouret, Pressemane.

(A suture).

Le citoyen Alberti Thomas, sons-secrétaired.ai aux munitions, arrive dans la nuit demardi à Toulouse, venant de bastelserreina-commencé. hier matin la visite des éta-blissements do guerre de notre ville,

A l'ArsenalLe SouStsecetaire dritat, qui était ac-

compagné du général Pedoya, député deprésident de la commission de

parinée; de Ô!, Lucien Saist, ',Wet de laHaute-biarenne ; du général Reynie., commandant la 17e région territoriale ; des ci-ioyens Jean Dieux,. maire de Toulouseliedouce ei Ellen Prevot députés, a d'abordjeté les services et les ateliers de fabri-

cation_ de l'arsenal un il a été reen a8 bourra et demie tem «portement, pari:61ULlot cmendasts PeuMpL, Pactise et Dira,dot le premier directeur de l'arsenal, le sc-cetà dir.teur des ateliers de fabricatien,

treisième inspecteur des forges de la 166-a ion territoriale.

Les ouvriers n'avaient pas reçu l'ordrecesser le travail, l'immense ruche indam-

irielle ffalIt en Pleine aceivité au contrairede and, que le ministre put voir gr l'oeuvrele divers rouage5 do la Min industrielle, ilput in son aise ne renSeiffner, inierrOgar Irachefs de service, 1. ouvriers 0008 88118.-dant que d'un crayon alerte il dessinait dessol. rapides sur un carnet qu'il avait tiré

poche.-Mais ie temps passe, le costège traverse

In garderie ph de petits bambins qui S'Ourvent il la vie jouent pendant; que leurs Pa-jents fabriqueet tO5 or-Iina de mort et sort

l'Arsenat-

' Au PolygoneA 10 nouras el demie, le ininirtirc et son

oirtège ne sont rendus au Polygone, Pa, de-vast tout le personne/ rassemblé, alma queles machines ont rosse de fonctionner, leoiloyen Albert ThoMa8 a martelé, l'allocu-tion suivante écoutée au milieu dun sites-

i pression° ant,

Ouvriers et Ouvrière:,

la France compte sur vouar, Ouvriers et ouvrières, je sais l'effort Pro

iligieux que VOS.18 poursuivez inlassablementdepuis dà de Rings ma. ; je sais la Peinequ'ont eue ers jeunes ...nes b 0101110e 5efoyer -pour s'associer au dur travail indus-triel. C'est panro que je sais ces efforts etes sacrifices quo rai tenu 0 vous adresserces quelques mots pour vous demander deperseffeer et de redoubler d'énergie

v Vous penserez b vos maris, à.n freres,a. vos fiances quo sent Mshaut depuis deuxans, qui arrêterai devant Verdun et la Som-me la formidable rue de l'eue/tisseur et

Permettront, par len,hérotque la-beur, do continuer O la paix le travail qui

' fera la Fran. 'forte et prospère.Ouvrières et ouvrie., 50 ailmk" aur

vous - la France entière compte sur vous 1

Il y a des machines inoccupées, il faut desbras pour les manuvrer I Et après avoiraugmenté, votre nombre, vous 'voudrez,n'estee pas, augarenter miel votre -qua.-lité de travail, 1

t Il y a quelques semaines, je vieil:81S,hhez noe .grands amis de Petrograd, dim.menses usines de guerre, et je vis une fem-me ingénieur diriger tout un ...lier deenstruction de canons.

Combien cet exemple devrait être ré-pandu La femme assurément Peut eus'

Mici efforts du Thomme et les ou-vriers seront heureux de cette solidaritén.ouvelle. C'est aux femmes que s'adresse legouvernement de la défense nationale, stles femmes répondront h notre appel !

Certes, de réconfortantes nouvelles nousliarViennent, journellement den divers poittsilu gigantesque front do bataille. Mais nousn'en avons .pas encore fini avec nos amie.-mis. La victoire nous est dores et me &-quise ; .hésigerions-nOns, pour Petenir .gelatante et définitive, ü entreprendre une, troi-SeRne campagne &hâve> ni celleci était né-cessaire ?

ri Ce sera long, MILS ça sera: sûr I ottonou déjà dire. A vo. 'd'envoyer toujoursplus de munitions b nos soldats de la re-

Le Courrier du « Midi »

niiie écrit

Nous sommes emiron auxillair. du erégiment. &tachés pour la gede de l'usine élec-trique

dont la direction eztNo& teuehens une indemnise journalière pour

acheter .des vivres, Glanas faisons la cuisine encommun Enous constituons, si on veut bien PaP_pelexd ainsi, un ordinaire pour le détachement.

Les &nain' de vivres sont faits .chez les com-merçants d'

Or voilà que depuis une douzaine jours aumoins, les épiciers d' ne peuvent pluenous ournir du sucre.

Prétexte manque de sucre ii.,Congequencenoue avons du café, et .pas de suee pour le su-crer; notes que noue sommes loin de tout, h1,500 ,nitres d'altitude

La commission de milrôle, st ce n'est pas troplui demander, ferait bissa de peser par M.

Pour les permissions, noue sommes misa bienmal partage

Ainsi-relie Poques, le ministre avait accorettIre ,permVsions de quatre jours, lei nous n'avonsrien On nous -octroie une permission de48 Murer, tous tes deux eu trois mois.

Nous sommes sous la dépendance d'un capi-taine mutila qui commande la place d'

Comme permissions agricoles si isen:ist et comme .permission de dé-

tente jamais rien. Pourquoi

vaticine - et l'heure de la revanche 8000aluns peut-être avancée de quelques moisgeler e, VOS opiniâtres et patrisstiques Suer-gies !

'1:edent=aéreen'iteffrntaéo'iMeint-tai.

Jusqu'au bout pour la victoire définitiveet les triomphes réParateare 1 tel mi leJuni denère ample les ouvrières et ouvriersde l'Arsenal de 'louloune ont répondu de-:puis lonetemps présent 1

:A la Poudrerie:Le ministre se pend ensuite à la :Doadrerie

nationale, 'puis aux établissements de guen

rA'IbaeVICne.esrpredigIntettressé aux noue..0 et gigantesques Pr-vai. 101 00 sont effectués Ces dernierstemps sous la conduite de IMM, Bonnafous,ingénieur en ch. et IManger ingénieur ad-joint des poudres. A midi devant tous leschefs de service réunis il a remis les in-signes de chevalier dois Légion &honneurau commandant Braser.

Au retour de la Poudrerie, le ministres'est arrête A in préfect.e oh M. 'LucienSaint a donné um dét.eu.ner en sOn honneur.Signalus, parmi les convives, à cettà dasels-secrétaire d'Etat, MM. le général Hey-mans, le général Péfloya, Jean 'Rie., mairede Toulouse; Ellen &rêve et Bedon., dé-pute; les commandants, Portes et Girardot;les ingenigUrs .Bormafouss Branger, etc.

Au Musée, à la Poudrerie encore.6 2 heures, le .citoyen Albert Thomas

aprèS une Visite b l'institut Cilectrotechni-que ofi il fie repu par le doyen :Sabatieret M, Gamelle], s'est rendu aux Augustins,le distingué efineervateur M, RacIhor lei fitles 'honneurs du musée. 4, apre qu'il eutadmiré les merveilleuses tapisseries, letom Bedon. toujours désireux .daugmen-ter ce qui peut embellir notre Palla-dienne lui demanda pour Toulouse de con-serve à titre définitif de. tapisse.. desGobelins. Albert. Thomas- promit d'appuyercette demande auprès de son collègue M.Dalinder, A 3 heuren ek demie, du haut des/eaux de Tech-David, le ministre et Son 00.tège admiraient Toulouse, cité de la :poésie,cité des chants, devenue Mie industriellequi travaillait flévreusement A la Pourderie, le ministre revint; ; sa visite letlonga° et minutieuse mais 0 6 'heures toutétait terminé.

A 8 heures et demie le ministre est etParti pour Paris,

11 s'a pas cube toute la satisfaction quelui a causée sa rapide visite à ToulouseNotons que dans l'après-midi le miles:.avait tenu h aller l'Ois' le tableau de Jaurèsqui orne no des panneaux de la salle HenriMartin, au Capitole,

G, D.

Autour de la visite ramisténelle

Une PétitionAu nom du Syndicat de l'Arsenal et Carton-

aherie de Toulouse, le citoyen Valette s'est faltrinterprete, auprâc du sous-secrétaire d'Etat auxmunitions, des desiderata suivants t

Monsieur le sous-secrétaire MEtat. nous vouedemandons

o5, pe bien vouloir faire appliquer votre cir-culaire du 19 juin dernier relative la primede 25 p. 100 mir ks salaire actuels, allouée auxouvrièred taisant fonction de personnel &maî-trise par assimilation O l'intendance, Me, etc....

2, Qu'en raison de la oherté des vivres etdes logements, dl y ait un relèvement général dessalaires actinie....

z 0. Que le rang d'ancienneté soit observil dansla répartition des emplois, 'contrôleuses, ots..

4. Que les ouvreares travaillant à la journée(10 'heures) soient payées Dec assimilante. &M-me telles de la Commission de réception de car-touches soit 0.555 Rimaye et que dans aucioncas la moyenne des salaires soit inférieure.

o 5. De faire sellier la construction de la ors.

ohmde la gardèrie ,denfants, ainsi que PinnemeUe.

0 Nous demandons également que tes ouvris.rcs remplissant des travaux d'hommes soient.payeee aux salaires auxquels étaient payes teshommes remstsii-dire o à travail égal salageégal a..

o L'augmentation generale du salage du ,per-aonnel susse indemnité de 25 p. 100 en raisonAu coût de la vie.

Les ouvrières de la vérificatMn des étuis etrl.. machines de toutez tes apérations deman-dent l'application du tarif d'avant la guerre etla prime.

,dusnjel dee réolemationa. - Nous roman-Ions que dans le cas de réclamations non justi-fiée aumuic sanction ne soit prise.

» Paiement du demi-ealaire à tous Ps mobili-sés Ire Ela/dl...101U de guerre en 085 de ma-ladie.

s Les mutilés vous demandent 5e bien vouloir

lmnur rappeler les sommes retenues depuis leur

l dans l'établissement et en même tempsmmandent s'ils peuvent fera titulaires à la placeselle occupent.

, 19000elo. suppléent - Le personnel de Pétablissement étant .p.sé de 800 n Il telindispensable que le médecin side-major'Paget,qui dtait affecte avant la guerre comme suppléantsoit replacé asse anoira poste au lieu d'être dansun hôpital de Pamiers, comme vous le laissesespérer dans une de vos précédentes lettres

o Aujourd'hui, il ne peut y avoir d'objections,celles qui ont motive votre refus, presque d'au-ges médecins de /a localité ont repris leurs an-ciennes fonctions. Assistance publique,

t Dee.« des ateliers. - Le leafonnage desateliers D.., devient de plus en plus nécessaire,on raison des grandes chaleurs et des froide ex-cessifs éventuels.

Lc nombre des cabinets d'aisance étant trèsinsuffisant, il y aurait lien de les tripler, ce quiéviterait une grande perte de temps dans /e tra_oeil.

Dernan.der l'extension du nombre des comp-tables afin d'évite, des erreurs qui se produi-sent fréquemment dans 0 paiement des ouvriè-res,

,, Nous voue remercions devoir donné des ef-fets de Rayai/ aux infirmiers et infirmièresnous vous demanderions de bien vouloir éten-dre cette mesure pour tout le personnel.

o Nous comptons Monsieur le Sous-Secrétaired'Etat, sur ordre Pienveillance habituelle pourdonner satisfaction aux dRsirs ci-dessus que leSyndicat m'a chargé aie vous exprimer.

VALETTE,Délégué du Sandiect,

An. Cheminots--Lire demain « Lettre ouverte à

Monsieur Pierre d'Oc, du Télégramme.»

lravers ToulouseConseil Municipal

Le Conseil municiel se réunira n session ordinaire le vendredi 18 août 1916, à 9 heuredu soir,

Musée des Augustins

Aujourd'hui jeudi 17 août, à 4 le 30 05500e,concert da.na le jardin du en...

Au programme Stelly (airs de Galethéeet Carmen) o M. Supervielle, violoniste dMédin,tion de Thais). -

A l'Orchestre : Suite Algérienne (C. Saint-Saens) %net du Cid Massenet): Danse tchè-que (A, 'Tarissons Dans /es Steppes .de 15AsieCentrale (Borodine); ,etc, etc.

Prix ,d.'entrée I 0 fr. Ni, Cemises et program-mes gratuite.

Nota. - vol cas de mauvais temps, le croncertimra lieu soue la galerie du clottre,

Pour les Orphelins de la guerre.L'Associetion du Thetre du Capitole a versé

ntre les mains de M. le Maire la somme de170 fr. 95 pour Cire affectée à Preuvre desOrphelins Toulousains de la guerre.

Battage des céréalesLe direeteue due Servie. Agricoles die

Haute-Garonne 'RO, rue Bayard Toulouse), prieles maires des commua. prives de machines hbattre de lui faire savoir si les neeell&nrsces commun. scralerd dispoSés 0 recourir auxentrepreneurs de battages des contres oû cous-01 ont déterminé leurs opérations.

M. Clora sur leur demande, dirigera les en-trepreneurs qui sont en surnombre dans serionscentree vers les localités oh Ps battages sont ensouffrance.

Grand concours d'artistes amateursLudireotMn des arènes informe tous les ar-tistes amateurs en tous ,geinrovs, homm.es

leMrileS'chanteurs opéra, mrniquee, diseurs, co-médiens etc, etc. qu'un .grand concours aura

/jeu urbiproéhainement, doté de nombreux .prixen espèces. Le jury sera représenté par nos ar-tistes et professeurs réputés. Les concurrentsdoivent se faire inscrire, 1 place du Capitide,au magasin r, A la Dame Blanche s

Petits Faits

LES VOLSLe 6e annendiseernent a dresse procês-verbal

d'arrestation contre le nomme Germain Lamothe21 ans, mobilisé é. la Poudrerie Nationale u ar-rêté par le service de la sûreté, pour vol de deuxbicyclettes, commis au garage de l'établissementsusdit. Ce .prévenu a été mis h la disposition del'autorité militaire,

TROUVAILLES

Réclamer 1 0 M. Millau, nue de Limayrae, 25,tio sac en toile contenant plusieurs objets u aubureau des épaves I am portefeuille contenam£un livret mMtaire an nom de Morlet et diversautres papiers ; no Bazar Réclame, rue Aleace-Lorraine, un portemonnaie contenant une petitesomme ; 1M, Gess., avenue Camille-Pujol, 103,un Me.

DEMANDEZ PARTOUT

LA DIEDE DARRIDAII. sss: Toulouseroue arum se fanielb, Mors

PARTI SOCIAILTEObsèques civiles

Les obsèques civiles de notre regretté cama-rade Layol/e Honoré, .fint noue scons annoncé,hier, la mort, auront lien vendredi 18 courant, à8 heures précises ; le nonvoi partira de la mai-eon mortuaire, rue des 3-Piliers, 13,

Tius les militants qui ,pourront .disposer dePur pop, auront h My assister pour ren-dre un dernier hommage a. la mémoire de notreregretté arni.

SYNDICATSSyndicat des Lithographes. - Les membres du

syndicat. des Lithographes sont invités S. assieterà la réunion extraardi.ivo AIs eYndleat quiaura lieu le vendredi 18 août à /a Bourse duTravail, à 8 h. 00 du soir.

Ordre du jour, - Circulaire de la Federal.;ré/estions diverses. Présence indispensable

SPORTIVESJeunesse Sportive Toulousaine.- Les membres

aefifs, les membres du bureau et ceux qui dési-rent faire partie de la société sont priés d'assis-ter à la réunion qui aura lieu le jeudi 17 cou-rant, I 8 h, 00 précises, au .grand café Louis,pleCe Saint-Michel, au les étage.

Toulat.e-Leande-Olyritpique. - Cette Sociétépossédant toujours son terrain du Séminaire etayant déjà repris see parties dentrainers.i envue de la .salson 1916-1917 invIte MM. Ms eu-e. gens qui désirent en faire partie h se faireinscrire sans retard chez le camarade Bousset,soi.. b Lulande.

Plue.es étoiles du rugby appartenant à. la.garnison de Toulouse ont donné déjh leur ad/A-s:m.

Convotattons

ZUT un DE TOULOUSE

iOublictiona cla inariageoDa 14 Août 191G

Antoine Bonmt, soldat mobilisé à la Ire sec-tion de 0, 0. A. et Vietorine Labarthe ouvrièreen chammres, eue Trarersiére Saint-Céocgcs H,

Puons le Minât Lalubie, ni lu 111111à9t,

DécèsDu 15 et 16 AmIt. 1910

Emilie Pourcet, SO ans, rue Saint-Rome 1.

Bertrand Pilissier, 00 ans, rue des dardiiis 7.Jean Vigne., 82 en.,, rue Teynnaurin 26,

-Dominique aîné-tee, 54 ans, me Pharaon, 18,Armand Planes 3 mois, boulevard de Stras-

bains 44Joseph Benty, 75 ans, rue des Changes 27.Orles, 55 ans, rue Targum... 53.François Layolle, 55 ans, rue des 3 Piliers 13,Jean Gee, 80 ans, aux Sept-Deniers.Jeanne Corme, 70 ans, rue Saint-Luc 23.Dartigues veuve de Robert, 74 ans r, Bayard 2550516135 civils : ; Menés 1 1.'

BEIM urlueim, Laluble,I'll le Malte

Theatre: et CinémasAttjeaurekedCINEMA THEATRE-LAFAYETTE. - Matinée

permanente de 2. h. 45 à 6 heures, soirée8 h 45.

D'anale document; Tato sans eau, somique; LePêcheur Sicilien, drame en deux parties; Lar-mes de ,Grocodile, minedie en deux ,parties; La-Vallée du Mirae, grand drame américain sensa-tionnel en trois parties. Actualités.7ournal,

AMERICAN COSMOCaRAlall. - Fermeture do16 -août au 15 septembre.

Samedi :

THEATRE DES VAitiETES. -- Partout on ré-serve no aecueil onttmusisee aue artiol. delobléon qui iultrCieir av. touait parfait teprogramme le plus ftv, le elas spirituel, it plussemast qui soit au rende:

Co gala reste fixé an samedi 19 aoûà

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TiblITDDIENT COMME LE .51ILDI0TI. -Les oiticulteur8 gui n'ont pas effectué detraitement contre le mildiou depuis la pre-mière quinzaine de juillet feront bien :dèmemuesli, ait dernier traitement contre .cettemaladie.

Il ne â'iMpOne .pas pour les circonstanceactuelle.; il a seulement pour objet de pré-server du mildiou d'automne les nouvelles

: feuilles Dées depuis le traitement do initiaidans le cas oh les circonstances atmosphé-riqnes des boiront et septem.hre devesent,5tre favorables an déveloPTemonk de la ma-ladie, - La IStation d'Aveffissement.

LUS N1.4RBONNIAIS AU FEU, -Pierre, soldat au 80e d'infanterie, disparu,le 30 mai 1016.

Roussel Eugène, soldat auto colonial, tuéle ler aout 1010.

PleelPffe-MaRCBAL, - Avantshier soir, lesfilles soumises Ts, lance e B. Adélaide, ruevente, 3, qui stationnaient sur la voie pu-

tique à 5 heures et edinie, unt tillé grati-fiées d'un priscéseenbal.

ETAT 0.1551L. - Dires :14.yrac Charlatte,2 ans; Boyer Vvelje, 3 ans ; Sarde :Marie,couturière, 52 ans.

1.1,17V6411111.6i21. - 0M, Baille François, mieiles Onfèvres, 1, a (mure doux elerfs qu'elleu déposé au poste de police.

M, Boisai Marius, place Cassaignel, 7, aPua.' un POrtenionnaie renfermant unepetite somme.

'CARCASSONNE

IIMGD/MBICEINIFIST Dit MIARCHE, - DepuisdciTà fort longtemps il n'est pas u, gpmedirdi le maregig soit encombre de véhiculesdo toutes sortes la lel point que l'accès enret comPletement obstrué. Impossible suxmarchands étalagistes de se frayer un Plie-s. à travers ee5 amas de voitures. Si celapersiste il arrivera un moment oh le mar-ehé ne sera accesehle. 0110 qu'enaéroplane. La municipalité peut d'orru etde faire la commande dun de ce aPPa-rets è seule fin d'éviter les accidents quipourraient se produire par la suite, - E.

,MODERN-CENdlette. - Aujourd'hui jeudi,matinée et soirée avec huit vues inéditesmi raira.. qui eff de tout premier or-dre.

HERAULTBEZIERS

PARTI SOIRAildSTPE, - Les membres de laSelim-, socialiste biterroise sont pries d'a,cisten à. la réunion générale qui aura lieule samedi 10 0501 520 h, 30, au siège, Ablàdes Allées Pauteltique.

Nota, - Les Patients ele 000 oumnnaotusmobilisés se& priés de vouloir bien assis-ter ji cette. Venni..

.GHARREPIER BLESSE. - Le nomme Pan Si-mla, 17 ans, oharretier service de fil. Poila&Cathala, carillonneur 1 Quarante, .conduisait unchargement de vin.

:Entre Puissergeer et Maursilhan, b une des-cente, le frein n'ayant pas 010 suffisamment nec,00les ,chavaux furent entrain. et s'abattirent.

Le charretier, voulant Ms arrêPe, s'entravaet tomb, Une roue lui passa sur Inc jambes, quifurent fractudes.

Le blessé fut relevé per des camarades quiIn placèrent dans l'automobile de M. Lagarde,avenue de Belfort, 21, h Béziers, conduite

,chauffeur Revoit°, lequel le transporta h

l'h6pital do notre ville. Son état est três grave.SUICIDE. - Avant-hier matin, vers 4 &lires,

M nommé Louis Cluzel, 40 ans, 'rue Raspail, 3,s'est suiCidé en se jetant sur la voie du ebe-min de der du Midi, au .passage O niveau ale laru, des Entrepôts, mi moment de Porde& d'unOr lu de marchandises venant de Narbonne. Il aeu la tête broyée et le bras gauche sectionne.

Cluael, qui avait. servi au Marne, au' e ter-ritorial, avait 0t1 informé n. 2,11 donnait, de-puis longtemps des sign. de .dérarrgement céré-bral et manifestait l'intention d'en finir avenla vie.

D y a quelques jmors, il s'étaie jeté dans le'000, au Po4.-Flonge, et avait &A sauvé par desrromeneurs.

Il laisse une femme et .deux enfm.ts.Les sons-tatotions légale out été faites par 111. Conver,commissaire Oe police du canton sud, qui a faitransporter le corps ae domicile clu défunt.

.ETAM CIVIL. - Peste Germaine Dmisque,àpip.,, 40 ansanée lt Béziers, rue des Tosses 21,

eues_AVEYRON

ACCIDENT MORTEL. - Avant hier matin àG heures 30 M jeu& chauffe& Assler Emile âgéde 18 ans a été frappé la tête p05550 loco-motive en marche.

Le malheureux à expiré O 8 heures 80 h 1'h05-11188 de la Compagnie de Decazeville.

L'après midi l'ambulante de la société Com-mentry Fourcham14.11 h, transporté ladepourIMmortene an toit paternel, au Salt.

Nos condoléances émues aux parents et h son,frère mobilisé de la Masse 17 et actuellement

front.

HAUTE-GARONNEMICRON,

MATINEE ARTIST/01116, - Le Comité composéde I M. /e Docteur Andubert, Mile Herbe, M, leDr 'Barrie, Mme Diny, présidente de la Groix-Rouge a Luchon MM, le Dr Colornhel, médecinchef de la place: Dr Doit--Lambroa Dupré pré-fet ,honoraire. Dr .Eetradére, pore baron

RobreInBoussat, là Ferras, P. Gaillard ancien direc-teur de l'Opera de Giesse, auteur dramatiqneiLaroze, mes-gouverneur do Gréait FOL1Cler LHO-BET. commandant Se In Place, Normand Jac-ques poète, Pellerin industriel h Darcelone, Drde Torre, Tresnaille-Barreau ehef dote/stre,s'est réuni lundi h PEtablissement thermal, sousIn Présidence ae M. Bouquet-Nadaud, sous-pré-fet de l'arrondissement de Saint.Gaudens.

Il a êta décidé, que Cette matinée artistique,qui devait avoir lieu le 15 doût date primiti-vement choisie, serait reporté au dimanche 20courant.

Ultérieuremmt ,des affiches feront connaltreIn lieu dé cette fête artistique aluni Que le nomdes artistes, qui cous pouvies l'affirmer, sonttons avantageusement connus du publie qui ai-me à ,entendre 1a jolie musique et des voix&toutes beauté.

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Tels, 1,3 4.t.Sur le front de la Somme

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Cou Cous opérulieus, Soillemuastd, et .Pidement meulées, noue o5.mis de faire un certain nombre la p4i.niers, .dont lu chiffre de1 pas mua, 41.4,11.

Au sud de la Soltitne, vers la marna banvol troupes, passant à l'attaque, ysemparé.e.s, seul élan, de trate/MmeMammies puissemo.t organieks, sur usslongueur de douze unis métres émir,Au sud de Belloy-en-Santerre une ad....ra.0.t.iroe de pri,SonnierS set rossée salremains.

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