encyclopedie therapies exe - editions dangles · 2012-09-29 · introduction 1. État des lieux de...

Préface

En tant que médecin, j’ai longtemps cherché comment guérir mes patients de leurs maladies chroniques (maladies pouvant aller des rhumatismes au

cancer). J’ai eu beaucoup de déceptions quant à l’efficacité de l’arsenal chimique en notre possession. Las de revoir toujours les mêmes personnes dans mon cabinet, porteuses des mêmes évidentes pathologies, je décidai d’investiguer d’autres domai-nes.

Jusqu’alors, je croyais que mon rôle était d’apporter mon savoir et mes compétences à mes malades sans imaginer qu’ils pourraient avoir un quelconque rôle actif dans leur guérison. Pour moi, la maladie était d’origine extérieure et l’adjectif psychosomatique s’appliquait accessoirement à quelques affections bien physiques, comme l’eczéma ou l’ulcère à l’estomac. C’est à ce moment-là que par mes lectures, je découvris l’existence des auras, des guérisons spontanées, ainsi que l’action de la pensée sur notre bien-être ou notre mal-être. Au fil du temps, j’essayais de trouver chez mes patients la problématique personnelle, familiale ou sociale qui pouvait être attachée aux troubles physiques pour lesquels ils ou elles me consultaient.

Je ne tardais pas à m’apercevoir, par exemple, que les lombalgiques avaient un dénominateur commun : l’insécurité matérielle ou affective. D’autres affections, elles aussi, étaient précédées d’évènements qui paraissaient être à leur origine. Au fil du temps, je m’aperçus avec étonnement que les mêmes causes produisaient les mêmes effets. Mon désir de confirmation me conduisit alors vers d’autres ouvrages écrits par

12 Encyclopédie des thérapies naturelles

des confrères tels le Dr SIMONTON, le Dr HAMER. Les non médecins, quant à eux, m’ouvraient un domaine sans limite (Lise BOURBEAU, Claudia RAINVILLE).

Ceci m’amena à me poser des questions :

– Qu’est-ce que le vécu, le ressenti, l’émotion des personnes véhiculaient dans le corps physique ?

– Qu’est-ce qui pouvait servir d’intermédiaire pour modifier le corps physique sinon l’énergie de vie elle-même perturbée ?

– Par là même, bien cerner de quelle nature est cette énergie de vie.

Ainsi les pensées et les émotions ne sont pas distinctes, mais une des causes des réactions chimiques, hormonales et immunologiques dans notre corps physique. D’autre part, le système immunitaire est dépendant des autres systèmes de l’orga-nisme. Des recherches sur la « chimie du cerveau » ont permis de découvrir une grande quantité d’hormones et de protéines cérébrales, fabriquées en réponse à nos émotions et pensées, avec répercussion spécifique sur plus d’une centaine de zones corporelles. Chaque évènement, depuis la conception jusqu’à la mort, est détecté par nos cinq sens et l’information recueillie est dirigée vers le cerveau limbique qui est une plaque tournante au niveau du cerveau. Si cette information est inconnue ou nouvelle, elle sera dirigée vers le néo-cortex pour être analysée par les deux hémis-phères droit et gauche. Le résultat de l’analyse (« bon ou mauvais ») est transmis à notre mémoire émotionnelle dans le cerveau limbique, qui va déclencher une action de survie par la fuite ou la riposte si la donnée est « défavorable ». Le cerveau limbi-que va déclencher l’action coordonnée par l’hypothalamus pour influencer le corps. L’hypothalamus est formé par deux parties :

– Celle qui réagit le plus aux stimulations émotionnelles participe au contrôle du système immunitaire.

– Celle qui contrôle la régulation de l’activité de l’hypophyse qui à son tour règle tout le système endocrinien.

Préface 13

ÉvènementInformation

Cerveau limbique

Néocortex

Hypothalamus

Diminution immunitaire

Si émotion négatives répétées

Système neurovégétatif

Maladie

Dysfonctionnement et anomalies

cellulaires

Organes

Hypophyse :Système endocrinien

Conclusionpuis Action et Mémorisation

Présentationde l’ouvrage

Savoir garder la santé est un ouvrage qui n’envisage volontairement que quel-ques disciplines des médecines alternatives : les diététiques possibles, les mi-

néraux et oligoéléments, les vitamines, les acides aminés, les substances naturelles à connaître, la phytothérapie avec un choix limité et essentiel, la gemmothérapie et l’incontournable aromathérapie.

La santé et la maladie sont envisagées sous l’angle énergétique, une formule qui tient compte de la notion de terrain. Les exemples de thérapies données le sont à titre indicatif et possible – vous devez chercher d’autres possibilités similaires dans le contexte qui vous est offert. N’oubliez pas que toute thérapie passe par un diagnostic établi par un professionnel de la santé – diagnostic d’un moment précis car tout évolue. En aucun cas, ce livre ne peut se substituer à la médecine orthodoxe. La majorité des thérapies citées résulte d’une étude scientifique approfondie des éléments et d’une expérimentation répétitive.

Les éléments qui constituent le monde vivant : protides, lipides, glucides, enzy-mes, minéraux, oligoéléments, vitamines, sont le siège de métabolismes biochimi-ques, étudiés dès le début des études de médecine. Ils sont vite oubliés par la suite pour laisser place à un traitement des symptômes de la maladie par la chimie ; c’est : « ne soigner que les effets en oubliant la cause ».


Envisager la vie comme une énergie circulante oblige à comprendre tous les métabolismes à l’origine de cette énergie de vie. Connaître de quoi notre corps est constitué, comprendre que les troubles vont venir d’une carence d’un ou de plusieurs éléments, ou d’un déséquilibre, est chose facile. Compenser ces manques est une attitude thérapeutique logique. Il vous faudra aussi intégrer que « c’est l’Esprit qui gouverne la matière » ainsi vous trouverez les causes profondes des maladies dans le corps émotionnel (ou astral), et dans une attitude thérapeutique holistique, cela ne pourra être oublié.

Ainsi une plante, par ses principes actifs connus, va corriger le fonctionnement d’un organe en déséquilibre, mais une partie de son action reste inexpliquée et inexplicable ; en aromathérapie par exemple, c’est la partie active subtile qui agit à un autre niveau où tout n’est que VIBRATION – le niveau neuroendocrinien, et par là au niveau de la glande pinéale, centre récepteur de nos émotions.

Il s’agit donc en partie d’actions énergétiques. Dans ce sens, d’autres disciplines comme l’homéopathie, l’acupuncture, la chiropraxie, l’ostéopathie, etc viendront compléter les thérapies citées dans l’ouvrage. Chacune d’elle demande un spécialiste ; leur art est plus dans la pratique que dans les écrits. Elles resteront indispensables et complémentaires pour le rétablissement de l’équilibre des énergies.

Tous les éléments présentés dans ce livre ont tout leur intérêt dans une attitude préventive des maladies, c’est-à-dire dès l’apparition des symptômes discrets de disfonctionnement des organes.

« Garder la santé, c’est l’attitude préventive, être dans la maladie étant le constat d’échec. »

Introduction

1. État des lieux de la médecine actuelle

Depuis ces dernières décennies, la chirurgie a fait de véritables progrès techniques et les prouesses réalisées de nos jours en sont la preuve. À l’inverse, la médecine classique officielle n’apporte pas de réponse véritable aux maladies. Se bornant à traiter uniquement les symptômes, elle ne s’attaque pas aux causes réelles des maladies, et ainsi elle entretient le mal et laisse l’être humain dans sa mauvaise habitude d’être malade : ce qui est le contraire de guérir. Souvent, les thérapies proposées sont elles-mêmes génératrices de troubles, c’est ce qu’on appelle les pathologies iatrogènes.

Considérons quelques domaines :

• La vaccination, qui se veut préventive des maladies, a son lot de conséquences dramatiques. Le vaccin de l’Hépatite B a entraîné de nombreuses dégénérescences de la moelle épinière avec paraplégie chez les enfants, des cancers rénaux chez d’autres, ceci étant attribué au support du vaccin.

Le vaccin ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole) a lui aussi entraîné des séries de cas d’autisme.


En réalité, ce n’est pas le principe de la vaccination pasteurienne qui est mis en cause, mais les supports utilisés. Certains contiennent des sels d’aluminium pouvant engendrer des troubles mentaux… La synthèse d’ADN viral peut aussi être en cause.

• Les antibiotiques qui, depuis plus d’une dizaine d’années, offrent de moins en moins d’efficacité face aux bactéries, n’ont jamais été actifs sur les virus et ont souvent favorisé les mycoses. (Voir travaux récents du 42e congrès sur les agents antimicrobiens : ICAA.)

• Les anti-inflammatoires créant des ulcérations à tous les niveaux du tube digestif ne peuvent soulager en conséquence que peu de temps, et en toute situation ne peuvent apporter une guérison.

• Les anti-cancéreux destructeurs des cellules malades, mais aussi des cellules saines, font perdre une grande partie de l’immunité du sujet, qui terminera le plus souvent sa vie plus vite, dans des souffrances indescriptibles. Le coût d’une chimiothérapie varie de 3 800 € à 6 100 € par jour, à titre indicatif. Bien sûr, ces thérapies ont un certain pourcentage de succès, mais de nombreux facteurs doivent être pris en considération pour l’évaluation des résultats.

• Les anti-dépresseurs et les anxiolytiques qui, donnés en trop grande fréquen-ce, en trop grande quantité, et pas toujours à bon escient, sont reconnus être à l’ori-gine d’un grand nombre de démences séniles comme la maladie d’Alzheimer.

Rappelons que la France est, de loin, le premier consommateur d’anxiolytiques en Europe. Pas étonnant si les maisons de retraite doivent se spécialiser pour accueillir les démences séniles.

Ces mêmes antidépresseurs peuvent être vecteurs de suicides ou d’attitudes sui-cidaires. Le tueur du conseil municipal de Nanterre prenait du Prozac antidépresseur surnommé « Pilule du Bonheur ».

• La thérapie hormonale : une récente étude américaine sur le traitement chi-mique hormonal substitutif de la ménopause (TSH) indique que celui-ci présente

Introduction 19

plus de risques que d’avantages. Un signe du danger : cette étude, prévue sur dix ans, a dû être interrompue dès la cinquième année, en raison des risques qu’elle pouvait faire courir aux sujets testés.

Malgré les mises en garde du professeur Joyeux de Montpellier, « depuis 8 ans, il y aurait une augmentation de 60 % du cancer du sein, de 40 % du cancer des ovaires et de l’utérus. »

Ceci est dû aux hormones prescrites à tous les âges de la vie de la femme. Malgré cela, le traitement hormonal est prescrit sous différentes formes, depuis bientôt 30 ans par les gynécologues, sans regard critique, voire scientifique sur le traitement.

• À propos de la thérapie génique sur laquelle travaillent des dizaines d’équipes de chercheurs depuis 10 ans c’est le même constat.

En France, un bébé soigné par cette nouvelle technique génique avait développé une maladie proche du cancer du sang. Les autorités sanitaires américaines ont sus-pendu tous les programmes de thérapie génique contre le déficit immunitaire mor-tel. En Allemagne, l’ordre des médecins a décidé de suspendre jusqu’à nouvel ordre les essais de thérapie génique réalisés sur les patients avec rétrovirus, utilisés comme vecteurs de « gène soigneur », en cause dans l’échec français. On se souvient que cet essai mené en France avait été présenté à l’époque comme la première réussite de thérapie par « gène-médicament ». La désillusion génique est donc totale…

2. Pourquoi une telle démarche ?

Il serait possible d’allonger la liste des échecs mais il ne s’agit pas de générer le désarroi, car il faut aussi reconnaître l’absolue nécessité et la totale efficacité de certaines disciplines médicales. C’est le cas de la médecine d’urgence qui sauve tous les jours des milliers de vies humaines au même titre que la chirurgie.

L’autre domaine médical, que l’on pourrait surnommer « médecine d’entre-tien », devrait être abordé tout autrement. En allant à la cause profonde des maux, il serait possible de proposer des solutions thérapeutiques moins drastiques, plus adaptées au disfonctionnement à corriger, et surtout sans effets nocifs.

• La recherche médicale en France, comme d’autres disciplines est trop inféodée à l’industrie de la chimie.


• Ne ferions-nous pas mieux de nous retourner vers la nature, en particulier le monde minéral et le monde végétal qui nous apportent souvent des solutions de thérapies ?

Certes, les techniques de recherches de pointe sont souvent nécessaires pour établir un diagnostic. Il serait dangereux de s’en priver. Mais l’utilisation de médicaments chimiques devrait se limiter à des cas bien précis et définis.

Ainsi, les antibiotiques continueraient à être actifs aujourd’hui. L’utilisation de médicaments à visée nerveuse, limitée à un passage difficile de l’existence, ne créerait pas de dépendance. Un anti-inflammatoire, sur une courte durée, soulagerait une articulation bloquée et ne créerait pas de troubles digestifs. Peut-être qu’une chimiothérapie qui n’irait pas jusqu’à la destruction totale de l’immunité du sujet serait d’un bon secours pour une thérapie débutante de cancer ?

• Penser à soigner le terrain dès le début des troubles devrait être une règle établie.

Première partie

Comprendre l’état de santé

1. QUELLES PEUVENT ÊTRE LES ORIGINES DE NOS MAUX ?

ORIGINES DE LA MALADIE

Elles peuvent être classées en deux catégories :

D’abord d’origine d’ordre environnemental, les autres étant inhérentes à l’indi-vidu. Souvent les deux se combinent comme une synergie.

a. Comme causes extérieures : d’abord et avant tout la pollution

• Pollution de l’air : par l’industrie chimique qui retombe par la suite sous forme de pluies acides.

• Pollution de l’atmosphère par les ondes de toutes catégories : satellites, ondes hertziennes, etc

• Pollution de proximité : téléphones portables, téléviseurs, ordinateurs, micro-ondes, etc

• Pollution des terrains par les pesticides, insecticides et produits azotés que nous retrouvons dans les eaux et les végétaux de consommation.

• Pollution des animaux par les antibiotiques et les hormones que nous retrou-vons dans la « malbouffe ».


• Les êtres humains reçoivent aussi l’intoxication de la publicité et de la fausse information. Nous sommes des clonés par l’information.

Chacun devient tellement conditionné, qu’il n’est plus apte à penser par lui-même et perd toute capacité de discernement. Ceci conduit l’être humain à accepter l’inacceptable.

b. Pour envisager les causes inhérentes à l’individu

Il nous faut admettre que chacun a son propre fonctionnement, qu’il est fait de son passé très personnel et que la conduite face à l’agressivité existentielle va se faire avec des émotions qui lui seront personnelles.

Il suffira que ces émotions soient intenses ou répétitives pour engendrer des dérèglements glandulaires, eux-mêmes générateurs de disfonctionnements d’or-ganes et nous avons là l’apparition des premiers maux.

Hypophyse

Glande pinéaleou épiphyse

Thyroïde

Foie

Pancréas

Glandes surrénales

Glandes sexuelles

Transmission neuro-hormonale

EMOTIONS

Agit sur le système glandulaire

Ces troubles peuvent être corrigés par les vitamines, les oligoéléments et les acides gras essentiels (voir ultérieurement comment garder l’équilibre du système glandulaire).

Comprendre l’état de santé 25

• Quels constats faisons-nous à travers les sociétés ?

– Le paradoxe français, c’est que malgré les pollutions et la malbouffe nous vi-vons de plus en plus longtemps.

– Il y a moins de cancers et d’athérosclérose dans le sud de la France, on a donc cherché à étudier les mérites du régime méditerranéen, voire crétois.

– Il y a plus de cancers et d’accidents cardiovasculaires dans le Nord : est-ce la nourriture, le climat, la pollution industrielle ?

– Il y a moins d’accidents cardiovasculaires dans le Gers, le sud des Landes, l’Armagnac où la cuisine est à base de graisse de canard.

– Sur un plan national, nous sommes passés, en une vingtaine d’années, de 8 à 25 % d’obèses et de diabétiques par l’excès de glucides alimentaires.

Il faut savoir qu’en réalité l’homme est génétiquement programmé pour vivre jusqu’à 120 ans.

– Dans une des vallées tibétaines, les Hunzas vivent jusqu’à 110-120 ans. Ils mangent uniquement des céréales et les jeunes pousses végétales, et aucune protéine animale.

– Les Équatoriens de la région de Vilcabamba vivent en grand nombre jusqu’à 120 ans. Ils sont à 1 300 m d’altitude, à une température constante de 23 °C, sur une terre volcanique riche en oligoéléments et en vibrations magnétiques. Ces conditions idéales sont non-stressantes pour le système cardiovasculaire. La nourriture végétale est à portée de main : bananes, ananas, papaye, goyaves, café sauvage… : les condi-tions de vie paraissent faciles…

Dans ces deux derniers cas de vie longue, nous sommes dans des conditions d’existence extrêmes et opposées.

2. QUE FAUT-IL PENSER DEVANT TOUTES CES CONSTATA-TIONS ?

DÉFINITION DE L’ÉNERGIE DE VIE

La vie est un phénomène bien complexe, à facettes multiples, mais où est le secret de la longévité ? Est-il possible de retenir des règles de conduite pour garder la santé et prolonger la vie ?


Ces questions amènent à imaginer d’abord ce qu’est la vie. Si nous nous plaçons sur un plan physique et simple, nous avons tous les droits de penser que la vie est énergie circulante. À l’inverse de la matière, elle ne peut s’appréhender que par ses effets, mais ne se voit pas.

Quelle pourrait être l’origine de cette énergie de vie ?

Elle peut être considérée comme la résultante de plusieurs énergies : – L’énergie cosmique provenant du ciel.– L’énergie tellurique provenant de la terre.– L’énergie métabolique résultant de l’ensemble des métabolismes de notre

corps, ne pouvant se réaliser sans un zeste de chaque oligoélément et vitamine.

Le tout se manifestant par une énergie électromagnétique circulante et de compréhension quantique.

L’être humain habite la Terre, mais sur le plan des énergies il est entre ciel et terre. Il est aisé de comprendre que l’énergie de vie pourra être perturbée si une de ses composantes est elle-même perturbée.

3. Éléments pouvant perturber l’énergie de vie

a. Si l’énergie tellurique est perturbée

En réalité, elle constitue en temps normal la force de gravité ou énergie magnétique de la Terre. Cette énergie n’est pas uniforme, mais se répartit selon un quadrillage (réseau de Hartmann) dont les maillons feraient en moyenne 2 m x 2,2 m de côté, mais ces dimensions peuvent varier de 0,70 m à 4 m. Un maillage trop resserré va émettre trop d’énergie magnétique qui va se traduire par une végétation tourmentée (les branches des arbres changent de direction dans leur croissance).

À l’inverse, un réseau Hartmann aux dimensions plus grandes que la normale offrira un terrain moins perturbateur pour la santé.

• Quelques cas reconnus d’ondes telluriques néfastes :

– Croisement d’un nœud de Hartmann avec une rivière souterraine.


Réseau Hartmann

Croisement néfaste pour la santé

Rivière

Avoir son lit sur un tel croisement pourrait créer chez le sujet placé à cet endroit une maladie d’épuisement à plus ou moins brève échéance.

– Un sol trop riche en radioactivité augmente la fréquence des cancers comme c’est le cas en Limousin.

– Il existe bien d’autres cas d’irradiation par des ondes nocives. Il vous faut consulter une information sur la géobiologie et le Feng Shui chinois.

b. Au niveau des ondes cosmiques

Il peut exister des ondes nocives. Il suffit d’imaginer la multitude d’ondes, en certains points terrestres dues aux satellites, aux ondes audiovisuelles, à tous les réseaux hertziens, et leurs influences sur les cellules de notre système nerveux. Sans parler des ondes de proximité : téléphones portables, téléviseurs, ordinateurs, ou présence d’un champ électrique trop intense. Une maison construite trop près d’une ligne électrique à haute tension place ses habitants dans un champ électrique trop intense et pertubateur.

Cependant, l’énergie cosmique électrique est nécessaire : la vie ne pourrait continuer sur terre s’il n’y avait pas en permanence les phénomènes d’éclairs, sorte


de phénomène de décharge qui ramène de l’énergie électrique sur terre. Essayez de vous souvenir combien l’on se sent renaître après un orage !

La radioactivité émanant de fuites de centrales nucléaires, comme nous l’avons connu, a été génératrice de milliers de cancers de la thyroïde, même à des milliers de kilomètres.

Cependant la radioactivité contenue dans certaines eaux thermales est régéné-ratrice des tissus (exemple à Bagnoles-de-l’Orne pour les ulcères variqueux).

Finalement tout est une question de dosage.

Certaines énergies que nous connaissons au quotidien, utiles à la vie, deviennent génératrices de maladies lorsqu’elles sont en excès, c’est le cas :

– du chaud et du froid ;– de la sécheresse et de l’humidité ;– du vent, etc

N’oublions pas les gaz toxiques de l’industrie chimique, les matières toxiques comme l’amiante, les produits pétroliers…

Nous ne pouvons pas être à l’abri de toutes ces ondes nocives, mais en étant avertis, nous pourrons ainsi nous en écarter et nous en protéger le mieux possible.

c. Considérons maintenant l’énergie provenant du métabolisme de nos cellules

Par métabolisme, nous pouvons concevoir l’ensemble des réactions chimiques nécessaires à la transformation des substances solides, liquides et gazeuses qui sont génératrices d’énergie. À ce niveau là, l’énergie a deux principales origines :

1. Elle provient d’une part de la quintessence de l’énergie des aliments que nous absorbons et digérons.

2. Elle provient également de l’énergie de l’air (ou Prâna), l’oxygène étant nécessaire à certaines de nos réactions chimiques.

Prenons ici conscience, pour mieux entrevoir notre état de santé, que la vie a absolument besoin des quatre éléments :

– La TERRE en tant que support.– L’EAU où vont circuler tous les éléments.


– L’AIR en tant que milieu d’échange.– Le FEU qui se manifeste à travers toutes les réactions de transformation.

Ce sont les énergies métaboliques perturbées qui font apparaître les troubles fonctionnels, premiers signes annonciateurs de la maladie. C’est à ce niveau-là que la thérapie de terrain pourra le mieux jouer son rôle :

– Complémenter les carences, en minéraux, oligoéléments, vitamines, acides aminés, enzymes, phospholipides, acides gras poly-insaturés…

– Se détoxiquer des métaux lourds (plomb, mercure, cadmium…)– Drainer et désencrasser.– Utiliser les plantes pour corriger l’énergie des cellules en disfonctionnement.

Chaque plante, de par sa composition chimique, ses vibrations par les huiles essentielles, apporte des énergies correctrices qui lui sont spécifiques.

• Remarque

D’autres énergies correctrices pourront également aider : vibrations des sons, des couleurs ou mémoire de vibration enregistrée.

Le corps humain vibre dans son ensemble à une fréquence avoisinant le la. Chaque organe a sa propre fréquence. En détectant une fréquence pathologique d’un organe malade, il serait possible de le placer, tout ou partie, dans un champ de vibration corrective. Ce pourra être un champ de vibration normale (en fréquence et amplitude) de l’organe à soigner, ou champ correspondant à l’image miroir de la vibration pathologique. Par phénomène de résonance, la vibration de l’organe deviendra celle qui correspond à son fonctionnement normal.

Pour que les plantes apportent leurs véritables vibrations, un grand nombre de précautions devront être prises :

– Nature Bio des plantes, définie par le cahier des charges.– Mode de préparation absolument respectueux de la nature bio.– Plantes utilisées ou transformées le plus rapidement possible après la

cueillette.– Mode de conservation également.Il n’est donc pas question d’accepter des plantes chargées de pesticides, insec-

ticides ou engrais chimiques, que ces mêmes plantes subissent des transformations


chimiques et que sous le prétexte d’une conservation rendue stérile une irradiation soit pratiquée.

Donc, bien s’informer de l’origine, la provenance et des modes de transformation de la plante.

Vision générale de l’énergie de vie

Cosmos

Énergie cosmique

Énergie tellurique

ÉnergieMétabolique

Terre

4. Quelques idées de corrections de l’énergie de vie

L’énergie de vie circulant dans l’être humain est la résultante de plusieurs éner-gies. Si l’harmonie est rompue, à répétition ou dans le temps, il y aura disfonction-nement métabolique et apparition de signes de la maladie.

Les médecines énergétiques (acupuncture, ostéopathie, phytothérapie, médecine ayurvédique…) ont leur place ici, mais également tout ce qui va corriger l’énergie provenant des métabolismes (oligothérapie, vitamines).

Il serait bon de rappeler que l’énergie de l’un des cinq organes devient maximum à une saison qui lui est propice ; ainsi, il faudra aider l’organe correspondant à la saison correspondante.


Bois

Eau Métal

Terre

Feu

Foie, VésiculePRINTEMPS

Reins, VessieHIVER

Poumons, Gros intestinAUTOMNE

Rate, EstomacLONG ÉTÉ

Coeur, Intestin grêleÉTÉ

Organe

Entrailles

Époque de l’année

Foie

Vésicule biliaire

Du 04/02 au 06/05

Cœur

Intestin grêle

Du 06/05 au 06/08

Rate

Estomac

Toute l’année

Poumon

Gros Intestin

Du 06/08 au 06/11

Reins

Vessie

Du 06/11 au 04/02

Pour tonifier Romarin LavandeFenouil

(plante + semence)

EucalyptusGenièvre

(baie)

Pour régulerPissenlit (racines)

Cassis (baies) Verveine Cyprès (noix)Chiendent (rhizome)

Pour disperser

ThymAubépine

(fleur)Reine des

prèsPin

(bourgeon)Sauge

(feuilles)

• De quoi l’être humain est-il constitué ?

D’une majeure partie d’eau, soit 85 % à 95 %.

a. Matière organique

Protides : constitués des acides aminés – Masses musculaires et tissus conjonctifs. – Rappelons que les chaînes d’ADN sont constituées de 4 acides aminés.

Table des matières

Préface . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

Présentation de l’ouvrage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15

Introduction1. États des lieux de la médecine actuelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172. Pourquoi une telle démarche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19

Première partie1. Origines de la maladie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232. Définition de l’énergie de vie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253. Éléments pouvant perturber l’énergie de vie . . . . . . . . . . . . . . . 264. Quelques idées de corrections de l’énergie de vie . . . . . . . . . . . . 30

Deuxième partie1. Les conduites hygiéno-diététiques − Nutriments alimentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 − Nutrithérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 − Macrobiotique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52


− Régime méditerranéen/Régime crétois . . . . . . . . . . . . . . . . 56 − Le régime ancestral . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 602. Les thérapies énergétiques possibles − Massage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67 − Ostéopathie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 − Réflexologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 − Médecine ayurvédique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78 − Médecine Traditionnelle Chinoise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87 − La bioélectronique de Vincent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 104

Troisième partie1. Les oligoéléments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1192. Les vitamines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1533. Les acides aminés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1754. Les autres nutriments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1915. Les phospholipides . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1976. Les enzymes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1997. Les huiles animales et végétales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2058. Les antioxydants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2239. Les produits naturels à utiliser. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23410. Queques extraits végétaux indispensables. . . . . . . . . . . . . . . . 24211. Les substances naturelles ayant prouvé scientifiquement leur efficacité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253

Quatrième partie1. La phytothérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2892. L’aromathérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4063. La gemmothérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4424. Les trente-huit élixirs floraux du Dr Bach . . . . . . . . . . . . . . . . 472

Cinquième partie1. Le système immunitaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4872. Le système endocrinien et métabolique. . . . . . . . . . . . . . . . . . 5023. L’appareil digestif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5204. L’appareil circulatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5495. L’appareil génital masculin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 563

Table des matières 759

6. La gynécologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5707. L’appareil locomoteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5888. Le système nerveux et psychique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6109. Les problèmes dermatologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64710. L’appareil respiratoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68511. ORL – nez – gorge – oreille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70312. Pour vous aider à comprendre ce que les maladies peuvent vous dire : voici quelques exemples des parties du corps . . . . . . . . . . . . . . 729

Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 745

Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 753

Table des matières . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 757

Annexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 761

encyclopedie therapies exe - editions dangles · 2012-09-29 · introduction 1. État des lieux de...

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