diagnostic plu 28 05 2009
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Les premiers éléments du diagnostic
Réunion du 28 Mai 2009
Sommaire
1. INTRODUCTION : LE PLU
2. LE CONTEXTE GEOGRAPHIQUE ET SUPRACOMMUNAL
3. LE TERRITOIRE
4. LA VILLE ET SES QUARTIERS
INTRODUCTION : LE PLU
Le PLU est l’expression du
projet urbain communal
Il met en cohérence les politiques
sectorielles sur l’ensemble
du territoire communal
Il est élaboré en association avec
les personnes publiques et
en concertation avec les habitants
Issu de la loi Solidarité et Renouvellement Urbains (SRU), le PLU se substitue au POS et couvre l’intégralité du territoire communal.
Le PLU est un document d’urbanisme et de planification réglementaire.
- Définir un équilibre harmonieux entre développement et protection
- Prévoir un développement durable qui préserve l’environnement et la qualité de vie
- Organiser une diversité des fonctions urbaines et une mixité sociale dans l’habitat
Le PLU doit poursuivre 3 objectifs (art. L.121-1 du code de l’urbanisme):
Le PLU
- Le rapport de présentation qui expose le diagnostic du territoire. Il permet de mettre en relief ses atouts, ses difficultés, ainsi que ses besoins en terme de développement et en terme de protection. Il justifie les choix d’aménagements retenus.
- Le projet d'aménagement et de développement durable (PADD) qui définit les orientations d'urbanisme et d'aménagement sur l’ensemble de la commune ;
- Les orientations d'aménagement pour des secteurs particuliers (partie facultative du PLU) ;
- Le règlement qui fixe les règles applicables à l'intérieur des zones et secteurs délimités au document graphique.
- Les annexes qui comprennent des informations relatives à l’occupation et l’utilisation des sols.
Le PLU
Le PLU comprend essentiellement quatre volets
L’élaboration du PLU
Le conseil municipal
approuve le PLU
Diagnostic
Conception du projet urbain
Elaboration de la règle d’urbanisme
Avec les personnes
publiques : Etat, Région,
Département, STIF, communes
voisines, …
Le projet est soumis à enquête publique
(1 mois minimum)
Avec la population dans le cadre de la concertation
Avec le conseil municipal qui
débat des orientations
générales du PADD
Le conseil municipal tire le
bilan de la concertation et arrête le projet
de PLU
Le projet est examiné par
les personnes publiques
(3 mois)
Phase d’élaboration Phase d’approbation
Le conseil municipal décide la révision du POS - élaboration du PLU
Déc 2008
Le conseil municipal
approuve le PLU
Les objectifs poursuivis par l’élaboration du PLU sont les suivants :
- Doter Bougival d’un document d’urbanisme fiable car adapté au nouveau contexte législatif et prenant en compte les évolutions locales et régionales.
- Répondre aux besoins des bougivalais en matière de logements, d’équipements, de déplacements, de développement économique, de qualité
du cadre de vie. - Elaborer un véritable « projet d’aménagement et de développement durable »
sur l’ensemble du territoire communal fixant les grandes orientations en matière d’organisation urbaine et qui constituant pour la ville un programme de référence des actions et interventions communales pour les années à venir.
ELABORATION ASSOCIÉE DU PLU ET ENJEUX
Les principaux enjeux
La concertation
L’affichage de la délibération de prescription du PLU pendant toute la durée de la concertation
Une information régulière dans le journal de la commune
Un registre disponible à la Mairie et destiné à recueillir les observations du public pendant toute la durée du PLU
Des présentations publiques (expositions, réunions)
LE CONTEXTE GEOGRAPHIQUE ET SUPRA COMMUNAL
La position du territoire
L’échelle régionale
Bougival est située au nord-est des Yvelines sur la rive gauche de la Seine
Une localisation à 15km de Paris et 6km de Versailles et Saint-Germain-en-Laye
Une importante desserte routière (A13, RD321, RD113, future interconnexion A86/A13)
La commune est desservie par la ligne SCNF de Paris Saint-Lazare/Saint-Nom-la-Bretèche et des lignes de bus qui relient notamment la ligne A du RER.
Le Schéma Directeur Régional d’Ile de France (SDRIF)
L’échelle régionale
Le SDRIF de 1994 Le projet de SDRIF de 2008
Le SDRIF prévoit une forte préservation des espaces naturels (bois, forêts et espaces verts et agricoles) et une extension de l’urbanisation dans le tissu urbain existant
Le SDRIF de 1994 identifie sur la majorité du territoire de Bougival des espaces urbanisés, et organise la protection des espaces paysagers (Iles de la Loge et de la Chaussée) ainsi que des espaces boisés (parc du Cormier, parc de la Jonchère).
Le projet de SDRIF 2008 conserve, globalement, les mêmes orientations pour Bougival.
Les liaisons biologiques
L’échelle régionale
Les liaisons biologiques potentielles sont situées pour la plupart autour de Bougival et permettent aux espaces naturels de la commune de rester en lien avec les autres entités de la région.
Ces liaisons potentielles doivent selon l’espèce être continues (mammifères…) ou discontinues (avifaune).
L’échelle intercommunale
Bougival fait partie de la Communauté de Communes des Coteaux de Seine (CCCS) depuis sa création le 29 novembre 2005.
Le territoire intercommunal des Coteaux de Seine
3 communes : - Bougival, - La Celle Saint-Cloud,- Louveciennes.
37 543 habitants en 2009 (dont 8 416 à Bougival)
1 399 hectares (dont 276 à Bougival)
Le territoire intercommunal des Coteaux de Seine
3 communes : - Bougival, - La Celle Saint-Cloud,- Louveciennes.
37 543 habitants en 2009 (dont 8 416 à Bougival)
1 399 hectares (dont 276 à Bougival)
Plusieurs études en cours sur l’ensemble du territoire sont à prendre en compte dans le PLU :
- un Programme Local de l’Habitat (PLH) ; - un Plan Local de Déplacements (PLD).
Les grands paysages
Le relief
• Une situation à l'articulation entre le Pays de Cruye et le Pays de Seine
LES ENJEUX À L’ÉCHELLE SUPRA COMMUNALE
La nécessaire compatibilité avec les orientations du SDRIF qui limite le choix des sites de développement urbain
Les réflexions menées au sein de l’intercommunalité, pour le programme local de l’habitat (PLH) et pour le plan local de déplacements (PLD), doivent renforcer la cohérence des choix faits dans le PLU
La nécessité de préserver les grands espaces naturels du territoire (parc forestier de la Jonchère et parc forestier du cormier) et les liens biologiques entre les différentes entités en contrôlant l’urbanisation en particulier le lien Nord – Sud entre le parc de la Jonchère et le prolongement de la forêt domaniale de Fausses-Reposes.
Prendre en compte les orientations des documents élaborés au sein de la CCBS (PLH et PLD).
Les principaux enjeux
L’ECHELLE DU TERRITOIRE
Le paysage
Les unités de paysage
• Un relief communal simple...
Les unités de paysage
Le paysage
• Un relief communal simple...
• ... qui crée des unités paysagères lisibles...
Les unités de paysage
Le paysage
• Un relief communal simple...
• ... qui crée des unités paysagères lisibles...
• ... en se conjuguant à l'occupation du sol et notamment aux boisements
Les grandes masses paysagères : les parcs forestiers
Le paysage
Parc forestier de la JonchèreParc
forestier du Cormier
Bougival
Bois composé principalement de feuillus:
• Chênes sessiles,
• Hêtres,
• Châtaigniers.
Les limites et entrées de ville
Le paysage
Des limites urbaines de qualité, notamment dans la relation urbain / forêt
Des entrées de ville le plus souvent peu lisibles ;
Quelques « réelles entrées » :
- depuis le sud, par la RD321,
- depuis le nord, par la RD321,
- dans une moindre mesure, par la RD113
Les protections patrimoniales
Le patrimoine
Un territoire communal largement couvert par les protections au titre des monuments historiques.
Le patrimoine naturel
Le patrimoine
2 parcs forestiers présentant de bonne potentialité et permettant à la nature « ordinaire » de trouver refuge.
281 espèces sur le territoire dont 1 espèce présentant un enjeu et inventoriée en 2003 (Cardamine impatiente).
Un enjeu au niveau des arbres remarquables (Séquoia…) présents dans des terrains privés.
Les risques et les nuisances
Le risque inondation
La partie au nord de la commune est située dans la zone du Plan de Prévention des Risques Inondation
2 arrêtés de catastrophe naturelle ont été déposés en 1999 et 2001 pour « inondation et coulée de boue ».
Le risque « sol »
Empilement de couches alternant marnes, sables et argiles reposant sur un socle épais de craie blanche à silex.
• Le risque argile
3 arrêtés de Catastrophe Naturelle pour des « sinistres sécheresses » en 1993, 1997, 2001 et 2005
• Le risque de mouvement de terrain
Les risques et les nuisances
Les nuisances sonores Un arrêté préfectoral pour le
classement acoustique des infrastructures :
- La RD113, catégorie 2 (LgN* = 250m).
- La RD321 et la RD173, catégorie 3 (LgN* = 100m).
- La voie ferrée et la D128, catégorie 4 (LgN* = 30m).
Les bruits aériens occasionnent également des nuisances ponctuelles
*LgN : Largeur de nuisance
N
La gestion des ressources
L’énergie et les déchets
Il n’y a pas de systèmes d’exploitation d’énergies renouvelables (le potentiel géothermique est fort sur la majeure partie du territoire).
Environ 3923 tonnes/an de déchets ménagers collectés sur le territoire :
- moyenne de 465 kg par an et par habitant
- en 2005, un francilien produit 489 kg de déchets / an en moyenne, et un Yvelinois 479
- taux de refus de tri environ 19 %
- en 2005, la moyenne dans les Yvelines est de 22% contre 25% en Ile-de-France.
La gestion de l’eau
La gestion des ressources
Un périmètre de protection éloigné correspondant au champ captant de Croissy sur Seine (arrêté de Déclaration d’Utilité Publique du 15 octobre 1986) est situé sur le territoire.
Il existe un forage à l’Albien au Nord Est de la commune ne disposant pas de périmètres de protection rapproché et éloigné. Il assure en partie l’alimentation en eau potable, le reste provenant des usines de Louveciennes ou du Pecq.
Le réseau de distribution d’eau potable est d’environ 28 km et est en mauvaise état. Un plan pluriannuel de réhabilitation sera mis en place. Le nouveau contrat passé avec la SAUR permettra de résorber les fuites et les dysfonctionnements.
Le réseau est essentiellement séparatif . Il présente quelques dysfonctionnements. La commune dispose d’un plan d’assainissement représentant les différents réseaux et qui
sera intégré au PLU.
La Station d’Epuration d’Achères prend en charge le traitement des eaux usées de la commune.
LES ENJEUX À L’ÉCHELLE DU TERRITOIRE COMMUNAL
Maintenir une protection sur les espaces naturels et préserver la qualité des lisières entre le tissu urbain et les boisements
Prendre en compte les nombreux périmètres de protection qui existent sur la commune (monuments et sites classés ou inscrits) et réfléchir à leur pertinence géographique (co-visibilité)
Prendre en compte les zones de contraintes et de risques (inondations, argiles et mouvements de terrain liés à la présence des carrières)
Le lien entre les espaces boisés périphériques, qui contournent l'espace urbain et ce dernier
L'évolution globale de la zone urbaine, qui se trouve circonscrite et dont les limites ne peuvent plus évoluer
L’ECHELLE DE LA VILLE ET DE SES QUARTIERS
La structure urbaine
Une organisation urbaine basée sur :
- trois noyaux villageois : ST Michel, vallée de la Drionne et une urbanisation constituée sur le quai de Seine
- quelques implantations dispersées
La structure urbaine
Une organisation urbaine basée sur :
- trois noyaux villageois : ST Michel, vallée de la Drionne et une urbanisation constituée sur le quai de Seine
- quelques implantations dispersées
Complétée par un tissu essentiellement pavillonnaire, sauf en bord de Seine et en fond de vallée de la Drionne (logement collectif), qui s’est développé surtout à partir des années 1960, et au détriment de vergers aujourd’hui complétement disparus
Marquée par la dichotomie vallée de la Drionne / vallée de la Seine
La structure urbaine
Une organisation urbaine basée sur :
- trois noyaux villageois : ST Michel, vallée de la Drionne et une urbanisation constituée sur le quai de Seine
- quelques implantations dispersées
Complétée par un tissu essentiellement pavillonnaire, sauf en bord de Seine et en fond de vallée de la Drionne (logement collectif), qui s’est développé surtout à partir des années 1960, et au détriment de vergers aujourd’hui complétement disparus
Marquée par la dichotomie vallée de la Drionne / vallée de la Seine
La structure urbaine
4 quartiers dominés par les petites parcelles :
- le quartier central ancien- le quartier St Michel- le quartier du Fond de Bougival- le quartier de Terres Rouges > les noyaux villageois anciens sont encore clairement lisibles
Un ensemble de très grandes parcelles occupées par de l'habitat pavillonnaire sur la rive droite de la vallée de la Drionne (Les Marionnettes, Les Macreaux, Les Brodeuses)
La structure urbaine
Des quartiers multiples
Des formes urbaines diverses :
- tissu pavillonnaire lâche, récent
- tissu pavillonnaire ancien et dense
- tissu de logement collectif
- tissu mixte voire hétérogène (bord de Seine)
La structure urbaine
Habitat individuel traditionnel, dense Habitat individuel récent, lâche
Habitat individuel ancien Habitat collectif
La structure urbaine
La structure urbaine
Le paysage depuis Bougival
L'église, élément repère à l'échelle du bourg
Des vues lointaines sur la vallée de la Seine et jusqu'à La Défense :- fenêtres urbaines- ou larges panoramas
Le cadre de vie
Un espace public essentiellement constitué de parcs en périphérie de la zone urbaine
Des places peu nombreuses et peu
accueillantes pour le piéton
Le cadre de vie
Un réseau de voies clairement hiérarchisé et différencié (routières, structurantes, de desserte, piétonne)
Le territoire possède de nombreux atouts favorables à la pratique des circulations douces (paysages, patrimoine,…) mais également des contraintes qui rendent cette pratique difficile (relief, axes routiers majeurs)
Des itinéraires de promenade sont présents sur le territoire (chemin de Grande Randonnée, promenade des Impressionnistes)
Les équipements publics
Le cadre de vie
Les équipements administratifs et culturels regroupés au centre le long de l’avenue de la Drionne.
Les équipements sportifs au nord sur l’île de la Chaussée et route de Louveciennes.
Les équipements scolaires et de petites enfance répartis dans les quartiers.
Le cadre de vie
Les évolutions des effectifs scolaires
Etablissement 2002/2003 2006/2007 2008/2009Variation 2002-2009
Peintre Gérôme
91 150 134 +47,3%
Claude Monet 173 170 155 -10%
Total 264 320 289 +9 ,5%
Effectifs des écoles maternelles publiques
Effectifs des écoles élémentaires publiques
Etablissement 2002/2003 2006/2007 2008/2009Variation 2002-2009
Auguste Renoir
183 150 192 +4,9%
Claude Monet 235 256 243 +3,4%
Total 418 433 443 +6%
Une baisse des effectifs en maternelle depuis 2006.
Une augmentation des effectifs totaux du primaire depuis 2006 avec une baisse pour Claude Monet.
Les Bougivalais et la diversité de l’habitat
La population bougivalaise
Une relative stabilité démographique, autour de 8 400 / 8 500 habitants, marquée toutefois d’une baisse sensible (-136 habitants) depuis 1990.
Entre 1999 et 2007
- un solde naturel positif (+743 habitants)
- un solde migratoire négatif (-759)
Une tendance au vieillissement de la population comme à l’échelle nationale
Evolution de la population par tranches d’âges (INSEE, enquête annuelle 2007)
'
0%
5%
10%
15%
20%
25%
30%
35%
0 à 19 ans 20 à 39 ans 40 à 59 ans 60 ans et plus
1982
1990
1999
2007
Evolution de la population sans double compte entre 1954 et 2007
8 4168 4328 5528 4738 5998 4447 296
4 260
0
2 000
4 000
6 000
8 000
10 000
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007
Les Bougivalais et la diversité de l’habitat
2,52,52,62,7
ND8 4168 5398 434
3 420*3 3733 2383 092
8 4168 4328 5528 473
2007199919901982
Nombre moyen de personnes par ménage
Population des ménages
Nombre de ménages
Population sans double compte
Une baisse de la taille moyenne des ménages jusqu’en 1999, mais qui se stabilise depuis :
3,2 en 1968, 2,7 en 1982 et 2,5 en 1999 et 2007(moyenne régionale : 2,3 en 2008)
Les ménages de 1 à 2 personnes sont de plus en plus nombreux
2 000
4 000
6 000
8 000
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007
Population
Logements
* Source: INSEE, enquête annuelle de recensement 2007
Le parc de logements
L’habitat
Evolution du parc de logements entre 1968 et 2007
3 790
3 135
3 4223 513
3 719
2 840
2500
2700
2900
3100
3300
3500
3700
3900
1968 1975 1982 1990 1999 2007
Résidences secondaires, logements vacants
Résidences principales
Ensemble des logements
9,8%9,3%7,9%
90,2%*90,7%92,1%
3 7903 7193 513
200719901990
Une croissance continue du parc de logements
Le parc comprenait 3790 logements en 2007.
Un parc de logements composé à 90% de résidences principales.
* Source: INSEE, enquête annuelle de recensement 2007
77% des logements sont postérieurs à 1949, dont la moitié construits entre 1949 et 1967 (1700 logements).
L’habitat
Une forte proportion de logements collectifs (plus de 2/3 du parc total de logements) localisée au sein de grandes résidences.
Au 1er janvier 2008 : 499 logements sociaux à Bougival, soit 13,88% du parc immobilier et donc un déficit de 220 logements sociaux pour atteindre le seuil de 20% imposé par la loi SRU.
Résidences
Tissu pavillonnaire
Résidences
Tissu ancien
Espaces boisés
Tissu ancien
Tissu pavillonnaire
Résidences
Espaces boisés
Les activités économiques
6,6%7,9%6,0%5,7%
50,5%50,2%48,1%47,8%
281332246230
4 253*4 2274 1134 053
8 4168 4268 5598 486
2007199919901982
Taux de chômage
Taux d’activité
Nombre de chômeurs
Population active
Population sans double compte
7,7%
5,1%
34,2%
24,4%
26,4%
26,9%
21,1%
27,9%
10,6%
15,5%
0%
0,2%
0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100%
BOUGIVAL
YVELINES
Agriculteurs exploitants
ArtisanscommerçantsCadres et professions libéralesProfessions intermédiaires
Employés
Ouvriers
Un nombre d’actifs qui augmente légèrement : 4 053 en 1982, 4 227 en 1999 et 4 253 en 2007 (soit un taux d’activité de 50,5%).
Un nombre de demandeurs d’emplois en baisse : 332 personnes en 1999 et 281 en 2007 (le taux de chômage en janvier 2009 était de 7%)).
Bougival est une commune essentiellement résidentielle : 1 650 emplois proposés en 2006 (soit environ 2 emplois pour 5 actifs, contre 3,7 emplois pour les Yvelines).
Un décalage entre les emplois offerts sur le territoire communal et les catégories socio-professionnelles des bougivalais qui entraîne d’importantes migrations domicile travail
(en 1999 une forte représentation des cadres à Bougival, 34,2% contre 24% dans les Yvelines).
* Source: INSEE, enquête annuelle de recensement 2007
La répartition des CSP en 1999
Les activités économiques
Les flux depuis Bougival
Les flux vers Bougival
Les migrations domicile-travail
D’importantes migrations pendulaires en 1999 :
- plus de 3 000 habitants (86% des actifs) quittaient quotidiennement Bougival pour travailler sur une autre commune
- dont 70% en dehors du département (zones d’emplois de Paris et de Nanterre)
- contre un peu plus de 1 000 actifs en provenance d’autres communes venant travailler à Bougival.
- 54% des migrations domicile-travail s’effectuaient en voiture (43% pour les Yvelines)
- 23% seulement en transports en commun (33% pour les Yvelines).
Les activités économiques
La commune dispose d’une activité commerciale qui est regroupée essentiellement selon quatre pôles :
- dans le centre-ville, pôle majeur de commerces et de services ; - sur le quai Georges Clemenceau ;
- en face de la gare de Bougival ;
- sur l’avenue Jean Moulin (RD321). Un marché est organisé dans le centre-ville
(2 fois /semaine)
Le commerce:
Les activités économiques
Les lieux d’intérêts touristiques
Les atouts touristiques: Des lieux d’intérêts touristiques : - un patrimoine historique et culturel ; - un patrimoine fluvial ; - des parcs et des forêts ; - des chemins de randonnées.
Un hébergement hôtelier de qualité.
Les déplacements
Un territoire coupé par les voies de transit : - la RD113 ; - la RD321 ;
dans une moindre mesure : - la RD128 ; - la RD102 ;
Le maillage des voies de desserte locale dicté par le relief : - des voies en impasse en bordure de la RD113 ; - des voies sur le versant ouest structuré autour du chemin de l’Ariel, l’avenue de la gare – pasteur– Barbusse ; Des cheminements piétons : - adapté au relief (escalier) ; - interrompus par les grands axes (RD113 – RD321)
LES ENJEUX À L’ÉCHELLE DE LA VILLE
Le renforcement des liens fonctionnels et visuels avec les berges, l'amélioration du paysage des bords de Seine
La préservation des vues : - sur l'église, élément de repère à l'échelle du bourg, et des vues réciproques
- depuis les deux coteaux de la Drionne- sur la vallée de la Seine et jusqu'à La Défense, notamment depuis le parc de la Jonchère, la route de Louveciennes et depuis les quartiers Le Parc de la Chaussée et La Petite Jonchère.
La préservation de la qualité des transitions proposées par les limites urbaines
La retructuration des entrées de ville
La prise en compte de l'identité de Bougival pour la définition de son évolution urbaine à venir : une structuration asymétrique, selon les deux coteaux, des quartiers multiples, dont certains possèdent des spécificités architecturales et paysagères liées au développement historique de la ville ou à leur position géographique, des formes urbaines diverses correspondant à des densités bâties variées, réparties de façon sectorielle
La convivialité de l'espace public, qui aujourd'hui est essentiellement sous forme de grands parcs périphériques ; des places peu nombreuses et peu accueillantes pour le piéton
Répondre aux obligations pour une offre diversifiée de logements
Maintenir un bon niveau d’équipement et privilégier une implantation dans le quartier des bords de Seine
Rechercher les moyens de développer l’activité touristique
Favoriser la réalisation de locaux commerciaux pour répondre à la demande