dh 20140610 encart full

© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

DÉ-CAMPEZ

CET ÉTÉ !PAGES 2 ET 3

D.R

.

L’HUMEUR DE JEAN-LOUP

Les Diables Rouges surclassent.C’est bien simple, ils sont déjàChampiooooons du Monde !World Leaders du merchandising,du produit dérivé et de la récupé-ration de leur image à des finscommerciales. À ce petit jeu, ilsterrassent les Bleus, la Manns-chaft, les Azzurri et les Oranje.Sur ce terrain, faut dire quel’Union belge a fait très fort pourremplir son tiroir-caisse, enmonnayant le trident dans toutesles travées : des chips au paprikaà la canette de bière en passantpar la saucisse télé, le soda, lesbonbons chocolatés, glaçons,biscuits salés… Tout l’arsenalpossible et imaginable du parfaitsupporter diabolique est couvert !Mais encore les séries spécialesautomobiles, tout ce qui semange, tout ce qui se boit, tout cequi se porte sur soi, tout ce qui sevoit, en bref : tout ce qui se vend !Rien n’échappe aux marketeurs,et donc… rien ne nous sera épar-

gné, y compris le papiertoilette aux couleurs denotre onze national !Remarquez, si le footvous fait royale-ment c…., ceproduit déri-vé-là tombe àpic. Et au bonendroit…

GOOOOAAAAL!

Mardi 10 Juin 2014


02 OBJECTIFS THUNES 03OBJECTIFS THUNES

www.dhPbe I MARDI 10 JUIN 2014 I LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I MARDI 10 JUIN 2014 I www.dhPbe

TOUS AU CAMPING cet été8 L’hôtellerie de plein air séduit désormais plus d’un million de

vacanciers belges

A Le camping a bien évolué ces dernières an-nées. Si le temps de la tente et du petit ré-chaud à gaz où l’on se contente de réchaufferune boîte de raviolis n’est pas entièrementrévolu, c’est désormais un tout autre modede camping qui a la cote. Baptisé glamping,contraction du glamour et du camping, il of-fre en effet aux campeurs tout le confortd’un logement classique et aussi de nom-breuses facilités telles que les animationsqu’on retrouve habituellement dans lesclubs.

“Sur l’ensemble des vacanciers qui optentpour le camping, un tiers vient avec sa propretente. C’est un segment qui est en forte crois-sance depuis le développement des espaces decampement sur les festivals de musique. Unautre tiers se déplace avec sa caravane ou sonmobil-home et le dernier tiers loue un bungalowsur place”, explique Pierre Fivet, directeur deVacansoleil.

Alors que les réservations pour les pro-chaines vacances accusent un retard de 4 %pour les départs en avion et jusqu’à 8 % pourles départs en voiture, Pierre Fivet se félicitede constater que le camping, lui, ne souffrepas. “Nous avons encore une croissance de l’or-dre de 8 % actuellement, après plusieurs annéesde croissance à deux chiffres.”

VACANSOLEIL est aujourd’hui un acteur in-contournable du marché, fort de 45 années

d’expérience, d’abord aux Pays-Bas avant defranchir la frontière pour conquérir la clien-tèle belge. “La moitié de nos clients sont encorenéerlandais, mais la Belgique est devenue notredeuxième marché le plus important devant laFrance et l’Allemagne. La destination pharereste quant à elle la France (65 % des réserva-tions), mais l’Italie connaît également un succèscroissant; la Croatie se taille aussi une solide ré-putation puisqu’on la compare à la Côte d’Azur.Plus près de chez nous, la Belgique, les Pays-Baset le Luxembourg ne sont pas en reste non plus.”

Si le camping séduit autant, ce n’est paspour des questions budgétaires, mais bienpour la convivialité et les facilités qu’il per-met. “Il faut dire que le glamping n’est pas la so-lution vacances la meilleur marché. Il fautcompter en moyenne 1.500 € pour deux semai-nes en bungalow en famille. Cela reste moinscher que les clubs, mais cela a quand même uncoût. Ce que les vacanciers apprécient, c’est leconcept global, l’ambiance et les animations.Nous avons d’ailleurs développé un programmed’animation, Kids Camping, comme dans lesclubs classiques. Les enfants y ont la garantied’avoir des animateurs qui parlent leur langue,ce qui est un atout car notre groupe cible resteles familles avec enfants.”

EN SAVOIR PLUS

Infos et réservations : www.vacansoleil.be : La majorité des Belges réserve ses vacances en camping via Internet. © VACANSOLEIL.BE

Big businessPAR VINCENT SCHMIDT

SANDAYA,destinations et logements

D’EXCEPTION8 Créée en 2010, la chaîne de campings est dotée d’infrastructures modernes

A Si Vacansoleil est présentdans pas moins de 450 cam-pings dans une quinzaine depays, Sandaya n’en possèdeque 8, dont 7 en France, maisn’en est pas moins un acteurde taille sur le marché des va-cances en hôtellerie de pleinair puisqu’il possède pasmoins de 3.700 emplacementsexploités en propre. “Noussommes totalement propriétai-res et gestionnaires de nos sites,ce qui nous permet d’assurer unequalité homogène à notre offre,explique Xavier Guilbert, di-recteur de Sandaya. Nous privi-légions les stations balnéaires etles alentours d’une grande ri-chesse touristique, ce qui nouspermet d’attirer une clientèlemajoritairement familiale quiaspire à des vacances très na-ture.”

SANDAYA propose des héberge-ments originaux, dépaysantsou très tendance. “Nous propo-sons des cottages tropicaux avectoit exotique et terrasse en bois

semi-couverte, des lodges de luxetoilés et même des cabanes. D’unplus grand confort, les cottagesdernière génération sont à la foisluxueux et bien équipés et peu-vent accueillir jusqu’à 8 person-nes.”

Le côté authentique du cam-ping n’est pas délaissé non pluspuisque Sandaya propose aussides emplacements nus pourtente ou camping-car. “Ils sontagencés pour offrir encore plusd’espace et d’intimité. Certainspossèdent même un bloc sani-taire individuel privé avec dou-che, W-C séparés, lavabos inté-rieur et extérieur.”

AMATEURS DE FARNIENTE oupassionnés d’histoire, aventu-riers dans l’âme ou construc-teurs de châteaux de sable, il yen a pour tous les goûts. “Il n’y aqu’une constante dans le profil denos clients : ils partagent le mêmeart de vivre et aspirent à la li-berté, la quiétude, la convivialitéet les rencontres qui font lesatouts des vacances en camping.”

Naturellement, les activitéset services qui y sont proposéssont multiples. “Tous nos cam-pings sont dotés d’un grand parcaquatique (sauf à Maison-Laf-fitte), avec piscines, toboggans etzone de détente pour se relaxerau soleil. Des séances d’aquagymsont généralement proposées enhaute saison. De nombreux équi-pements sportifs sont aussi à dis-position tant sur place qu’à proxi-mité du site : aires multisports etde jeux dédiées aux enfants, bou-lodromes, tables de ping-pong, etc. Et, selon les sites, nousproposons aussi minigolf, courtsde tennis ou encore, unique, unbowling au Cypsela Resort en Es-pagne. Quant aux divertisse-ments, ils sont assurés par uneéquipe d’animateurs multilin-gues qui proposent des activitéssportives, des tournois, des quizet, bien sûr, des spectacles à thè-mes ou des soirées dansantes.”

Tout est fait pour que le va-cancier profite au maximumde ses vacances et des siens.Restauration, épicerie, bouti-que, forfait ménage, kit drapset kits bébés et même le Wi-Fisont disponibles dans tous lescampings.

: Les lodges en toile offrent tout le confort moderne tout en conservant les joies du camping. © SANDAYA

LE PLUS

Bonnes affaires en last minuteÀ la mi-avril/début mai, le WES (bureau d’étude économique de Flandre occidentale) a réalisé, à la demande de l’ABTO (Associa-tion of Belgian Tour-Operators), une étude concernant les inten-tions des Belges pour les prochaines vacances d’été. Une compa-raison a également été effectuée avec la même enquête menée l’année dernière. Au début mai 2014, 45,5 % des hébergements pour les vacances d’été 2014 n’étaient pas encore réservés. Les principales raisons sont les suivantes : le choix de la période de vacances et/ou de la destination n’est pas encore déterminé, encore aucune certitude concernant le budget des vacances, l’attente de promotions et de prévisions météo en Belgique. La France restera, cette année encore, la destination numéro 1 des Belges. Il ressort de l’enquête que, dans 70 % des cas, les vacan-ces ne sont pas encore réservées alors qu’elles sont planifiées. Vacansoleil, leader du marché des vacances en camping, en a conclu qu’une grande vague de réservations de dernière minute va se produire dans les semaines à venir.La folie de la Coupe du Monde va déferler sur notre pays dans quelques jours. Dans le secteur des voyages, la question est de savoir quelle influence celle-ci aura sur les projets de vacances des Belges. En effet, cet événement tombe en plein milieu de la principale période de décision des vacanciers qui réservent en dernière minute. C’est pourquoi Vacansoleil a décidé de lancer plus tôt son offre de last minutes. Toutes les offres sont d’ores et déjà en ligne. Cette année, les prix des offres de dernière minute sont très avantageux grâce à la Coupe du Monde. D’excellentes promotions sont en vigueur pour les séjours entre le 28/6 et le 12/7, également en raison du fait que, pendant cette période, il y a moins de vacanciers de nos pays voisins. Si vous souhaitez partir en vacances à des conditions spécialement avanta-geuses, il vaut donc mieux planifier votre voyage à cette période.

Si les vacances sont une réellepriorité pour la majorité des Bel-ges, cette année est un peu par-ticulière car, après des annéesde disette, les Diables Rouges

sont de retour en Coupe duMonde. Vacansoleil a tout prévupour que vous ne ratiez aucunemiette de la compétition, et sur-tout des prestations de notre

équipe nationale. “Nous avonsdéveloppé un concept qui permetde profiter de ses vacances et dela compétition : un pop-up cam-ping des Diables Rouges en Fran-

Les Diables Rouges au camping ce, un camping indépendant spé-cial Diables Rouges ! Il y aura desactivités centrées sur la Coupe duMonde et adaptées aussi bien auxenfants, aux dames et auxmes-sieurs qu’à la famille tout entière.Nos supporters rencontrerontbientôt des moments inoublia-bles, et ce, dans une ambiance devacances. Le slogan Le footballest une fête de famille apparaî-tra dans ce pop-up camping à nepas manquer.”

Vacansoleil va diviser soncamping 4 étoiles Le Grand Da-gue en 2 parties distinctes : lecamping et un véritable villagedes Diables Rouges. “Ce campingfamilial est centré sur le divertis-sement pour petits et grandsdans une ambiance aquatiqueavec ses piscines. Les famillespeuvent séjourner dans le villagede la Coupe duMonde dans unmobil-home de luxe Vacansoleilde type Bali qui sont équipésd’une cuisine équipée, d’une sallede bains et de 2 chambres à cou-cher. Les vacanciers pourrontégalement profiter des infras-tructures du camping Le GrandDague comme les piscines, le res-taurant, le bar, la salle multi-sport,…”

Le camping est situé à 800 kmde Bruxelles et est accessible viaune compagnie aérienne low-cost. L’aéroport de Bergerac està 30 minutes du camping en voi-ture.

Pour créer une réelle compli-cité dans le camping passager,Vacansoleil a mis en place uncertain nombre de choses. Lecamping ne sera pas seulementpourvu de décoration des Dia-bles Rouges, mais égalementd’un grand nombre d’activitésspécialement conçues pourl’événement. “Des tournois spor-tifs, des défis diaboliques, des ac-tions spéciales, un traiteur belgepour l’occasion (avec un choix dedélicieuses bières belges) ferontde ce pop-up camping un vérita-ble village de Diables. Petits etgrands n’auront aucunmomentde répit entre supporter notreéquipe nationale ou regarder tousles autres matchs de la Coupe duMonde… Et ceci sur grand écran !”

Prix : 50€ par nuit et par mo-bil-home (maximum 6 person-nes) dans la période du 14/06 au28/06 et 80 € par nuit et par mo-bil-home dans la période du28/06 au 12/07.


03OBJECTIFS THUNES

LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS I MARDI 10 JUIN 2014 I www.dhPbe

TOUS AU CAMPING cet été

: La majorité des Belges réserve ses vacances en camping via Internet. © VACANSOLEIL.BE

SANDAYA,destinations et logements

D’EXCEPTION8 Créée en 2010, la chaîne de campings est dotée d’infrastructures modernes

A Si Vacansoleil est présentdans pas moins de 450 cam-pings dans une quinzaine depays, Sandaya n’en possèdeque 8, dont 7 en France, maisn’en est pas moins un acteurde taille sur le marché des va-cances en hôtellerie de pleinair puisqu’il possède pasmoins de 3.700 emplacementsexploités en propre. “Noussommes totalement propriétai-res et gestionnaires de nos sites,ce qui nous permet d’assurer unequalité homogène à notre offre,explique Xavier Guilbert, di-recteur de Sandaya. Nous privi-légions les stations balnéaires etles alentours d’une grande ri-chesse touristique, ce qui nouspermet d’attirer une clientèlemajoritairement familiale quiaspire à des vacances très na-ture.”

SANDAYA propose des héberge-ments originaux, dépaysantsou très tendance. “Nous propo-sons des cottages tropicaux avectoit exotique et terrasse en bois

semi-couverte, des lodges de luxetoilés et même des cabanes. D’unplus grand confort, les cottagesdernière génération sont à la foisluxueux et bien équipés et peu-vent accueillir jusqu’à 8 person-nes.”

Le côté authentique du cam-ping n’est pas délaissé non pluspuisque Sandaya propose aussides emplacements nus pourtente ou camping-car. “Ils sontagencés pour offrir encore plusd’espace et d’intimité. Certainspossèdent même un bloc sani-taire individuel privé avec dou-che, W-C séparés, lavabos inté-rieur et extérieur.”

AMATEURS DE FARNIENTE oupassionnés d’histoire, aventu-riers dans l’âme ou construc-teurs de châteaux de sable, il yen a pour tous les goûts. “Il n’y aqu’une constante dans le profil denos clients : ils partagent le mêmeart de vivre et aspirent à la li-berté, la quiétude, la convivialitéet les rencontres qui font lesatouts des vacances en camping.”

Naturellement, les activitéset services qui y sont proposéssont multiples. “Tous nos cam-pings sont dotés d’un grand parcaquatique (sauf à Maison-Laf-fitte), avec piscines, toboggans etzone de détente pour se relaxerau soleil. Des séances d’aquagymsont généralement proposées enhaute saison. De nombreux équi-pements sportifs sont aussi à dis-position tant sur place qu’à proxi-mité du site : aires multisports etde jeux dédiées aux enfants, bou-lodromes, tables de ping-pong, etc. Et, selon les sites, nousproposons aussi minigolf, courtsde tennis ou encore, unique, unbowling au Cypsela Resort en Es-pagne. Quant aux divertisse-ments, ils sont assurés par uneéquipe d’animateurs multilin-gues qui proposent des activitéssportives, des tournois, des quizet, bien sûr, des spectacles à thè-mes ou des soirées dansantes.”

Tout est fait pour que le va-cancier profite au maximumde ses vacances et des siens.Restauration, épicerie, bouti-que, forfait ménage, kit drapset kits bébés et même le Wi-Fisont disponibles dans tous lescampings.

: Les lodges en toile offrent tout le confort moderne tout en conservant les joies du camping. © SANDAYA

ce, un camping indépendant spé-cial Diables Rouges ! Il y aura desactivités centrées sur la Coupe duMonde et adaptées aussi bien auxenfants, aux dames et auxmes-sieurs qu’à la famille tout entière.Nos supporters rencontrerontbientôt des moments inoublia-bles, et ce, dans une ambiance devacances. Le slogan Le footballest une fête de famille apparaî-tra dans ce pop-up camping à nepas manquer.”

Vacansoleil va diviser soncamping 4 étoiles Le Grand Da-gue en 2 parties distinctes : lecamping et un véritable villagedes Diables Rouges. “Ce campingfamilial est centré sur le divertis-sement pour petits et grandsdans une ambiance aquatiqueavec ses piscines. Les famillespeuvent séjourner dans le villagede la Coupe duMonde dans unmobil-home de luxe Vacansoleilde type Bali qui sont équipésd’une cuisine équipée, d’une sallede bains et de 2 chambres à cou-cher. Les vacanciers pourrontégalement profiter des infras-tructures du camping Le GrandDague comme les piscines, le res-taurant, le bar, la salle multi-sport,…”

Le camping est situé à 800 kmde Bruxelles et est accessible viaune compagnie aérienne low-cost. L’aéroport de Bergerac està 30 minutes du camping en voi-ture.

Pour créer une réelle compli-cité dans le camping passager,Vacansoleil a mis en place uncertain nombre de choses. Lecamping ne sera pas seulementpourvu de décoration des Dia-bles Rouges, mais égalementd’un grand nombre d’activitésspécialement conçues pourl’événement. “Des tournois spor-tifs, des défis diaboliques, des ac-tions spéciales, un traiteur belgepour l’occasion (avec un choix dedélicieuses bières belges) ferontde ce pop-up camping un vérita-ble village de Diables. Petits etgrands n’auront aucunmomentde répit entre supporter notreéquipe nationale ou regarder tousles autres matchs de la Coupe duMonde… Et ceci sur grand écran !”

Prix : 50€ par nuit et par mo-bil-home (maximum 6 person-nes) dans la période du 14/06 au28/06 et 80 € par nuit et par mo-bil-home dans la période du28/06 au 12/07.


04 TEST-ACHATS 05TEST-ACHATS


L’œil de l’expertPAR JEAN-PHILIPPE DUCART ET JULIE FRÈRE

MACHINESsous toutes les coutures8 La couture a toujours le vent en poupe. Vous

hésitez à dépenser 500 € ou plus pour unemachine à coudre ? Notre Maître-Achat ne coûtequ’un peu plus de 300 € et nous pouvons déjà vousrecommander un modèle de base à 129 €

A La couture reste très populaire.Et pas seulement chez les ma-mans et les grands-mères ! Deplus en plus de jeunes adultes selancent. Pour le plaisir et la fiertéde “l’avoir fait soi-même”. Avec unpeu d’adresse, vous rafraîchirezrapidement et facilement votreintérieur, confectionnerez unesuper-barboteuse pour bébé –made by mommy –, une garde-robe faite main pour vous et vo-tre famille, avec une totale libertéau niveau des modèles et descouleurs. Comment débuter ? Eninvestissant d’abord dans unebonne machine à coudre. Parallè-

lement à leurs modèles pluschers, la plupart des marquesproposent une machine d’entréede gamme meilleur marché. Vul’engouement pour le do-it-your-self, de grandes chaînes genreIkea proposent maintenant, ellesaussi, des machines à coudrepour novices. Elles sont en géné-ral plus légères, plus petites etplus compactes, mais aussimeilleur marché que les modèlesd’entrée de gamme des marquesconnues. De quoi séduire les dé-butantes qui ignorent encore sileur simple envie se transfor-mera en véritable passion. Mais

que valent ces appareils ? Et enquoi les modèles d’entrée degamme des marques diffèrent-ilsdes appareils plus chers ? Nousl’avons testé pour vous.

LE DÉFI DES BOUTONNIÈRESAurez-vous vraiment besoin des135 à 165 points préprogrammésque proposent les modèles Bro-ther Innovis NV 55 et HusqvarnaOpal 650 ? Un conseil : quandvous choisissez une machine, nevous laissez pas distraire parcette panoplie de programmes.Cinq à six points de base suffi-sent pour la plupart des ouvra-ges : point droit, point zigzag,point invisible, point overlock etpoint stretch pour les tissus élas-tiques. Si vous avez envie de l’ori-ginalité que vous offrent lespoints fantaisie, pour un dégui-sement p. ex., ils peuvent, parcontre, être utiles. Mais sachezque c’est avant tout la qualité du

résultat qui compte, plus que lenombre de points disponibles. Laplupart des machines s’acquit-tent sans problème particulierdu point droit, zigzag, overlocket invisible sur des tissus de qua-lités et épaisseurs diverses. Leschoses se corsent quand le travailse complique : une couture toutprès du bord (Toyota Super Jeans15), une fermeture éclair (Hus-qvarna Opal 650, Singer 2273 et

les deux modèles de Toyota) ouune boutonnière (Bernina Ber-nette 15, Pfaff hobby 1142, SingerCurvy 8770, Singer Tradition 2273,Ikea SY et, de nouveau, les deuxmodèles de Toyota). Les modèlesPfaff Hobby 1142, Elna 100 SewingFun et Toyota Super Jeans 15 pei-nent à réaliser la double couture(croisée).

Comptez facilement uneheure ou deux pour un modèle

de jupe simple; un peu pluspour une robe ou un panta-lon. Si votre machine est plu-tôt bruyante, vos oreilles se-ront malmenées. Heureuse-ment, notre test n’a pas révéléque des machines bruyantes,trois d’entre elles (les deuxmodèles Brother de notre sé-lection et le modèle PfaffHobby 1142) sont même parti-culièrement silencieuses.

PRÊT À VOUS LANCER ? Pouréviter toute frustration, pre-nez d’abord le temps de lire at-tentivement le mode d’em-ploi. D’accord, certains d’entreeux ont le don de mettre votrepatience à rude épreuve avantmême de commencer : mau-

vaise traduction, structure peulogique, explications floues…Lire le mode d’emploi vousaidera pourtant à faire plus am-ple connaissance avec votre ma-chine. Surtout s’il s’agit d’unemachine électronique. Ces mo-dèles proposent souvent unefoule de fonctions qui peuvents’avérer très pratiques mais

avec lesquelles il faut se familia-riser. Il peut être utile de suivreun cours, de consulter un livreou de commencer par unéchantillon pour bien cerner latechnique et le fonctionne-ment de la machine, et exploi-ter ainsi pleinement ses possi-bilités. Les machines testéesétaient en général en règle

point de vue sécurité électriqueet mécanique. La machine Hus-qvarna Opal 650 est la seule àobtenir un moins bon résultat,parce qu’elle ne satisfait pas àtoutes les normes de sécurité :sous la machine, une petiteouverture donne accès à despièces en mouvement quandl’appareil fonctionne.

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Si les doigts vous démangent et sivous avez l’intention d’acquérir unemachine à coudre, réfléchissezd’abord à l’utilisation que vous enferez. Pour coudre des rideaux oudes sets de table, vous n’aurez pasbesoin des mêmes fonctions quepour une jupe, un chemisier ou unpantalon. Si vous n’avez pas d’idéeprécise, une machine comme celled’Ikea – bon marché, compacte etdisposant des fonctions de base –peut sembler idéale. Mais notezbien qu’elle est surtout prévue pourles travaux de couture simples. Tis-sus épais, boutonnières et tirettesdeviennent vite un défi ! Pour unbon modèle d’entrée de gammemais capable de vous rendre defiers services –comme la BrotherInnovis NV 15, notre Maître-Achat–, il vous faudra quand même dé-bourser 300 € environ. Ce Maître-Achat vous permet d’économiserjusqu’à 485 € par rapport au modè-le le plus cher de notre test, l’Hus-qvarna Opal 650. N’hésitez pas àfaire le tour des vendeurs et n’ache-tez pas dans le premier magasinvenu : les prix varient. Et si vous es-timez malgré tout que la sommereste coquette, nous vous recom-mandons notre choix le plus avan-tageux : la Singer 8280P/Magic, unemachine de qualité correcte à unprix très séduisant !

Budget : minimum300€


05TEST-ACHATS


de jupe simple; un peu pluspour une robe ou un panta-lon. Si votre machine est plu-tôt bruyante, vos oreilles se-ront malmenées. Heureuse-ment, notre test n’a pas révéléque des machines bruyantes,trois d’entre elles (les deuxmodèles Brother de notre sé-lection et le modèle PfaffHobby 1142) sont même parti-culièrement silencieuses.

PRÊT À VOUS LANCER ? Pouréviter toute frustration, pre-nez d’abord le temps de lire at-tentivement le mode d’em-ploi. D’accord, certains d’entreeux ont le don de mettre votrepatience à rude épreuve avantmême de commencer : mau-

vaise traduction, structure peulogique, explications floues…Lire le mode d’emploi vousaidera pourtant à faire plus am-ple connaissance avec votre ma-chine. Surtout s’il s’agit d’unemachine électronique. Ces mo-dèles proposent souvent unefoule de fonctions qui peuvents’avérer très pratiques mais

avec lesquelles il faut se familia-riser. Il peut être utile de suivreun cours, de consulter un livreou de commencer par unéchantillon pour bien cerner latechnique et le fonctionne-ment de la machine, et exploi-ter ainsi pleinement ses possi-bilités. Les machines testéesétaient en général en règle

point de vue sécurité électriqueet mécanique. La machine Hus-qvarna Opal 650 est la seule àobtenir un moins bon résultat,parce qu’elle ne satisfait pas àtoutes les normes de sécurité :sous la machine, une petiteouverture donne accès à despièces en mouvement quandl’appareil fonctionne.

Si les doigts vous démangent et sivous avez l’intention d’acquérir unemachine à coudre, réfléchissezd’abord à l’utilisation que vous enferez. Pour coudre des rideaux oudes sets de table, vous n’aurez pasbesoin des mêmes fonctions quepour une jupe, un chemisier ou unpantalon. Si vous n’avez pas d’idéeprécise, une machine comme celled’Ikea – bon marché, compacte etdisposant des fonctions de base –peut sembler idéale. Mais notezbien qu’elle est surtout prévue pourles travaux de couture simples. Tis-sus épais, boutonnières et tirettesdeviennent vite un défi ! Pour unbon modèle d’entrée de gammemais capable de vous rendre defiers services –comme la BrotherInnovis NV 15, notre Maître-Achat–, il vous faudra quand même dé-bourser 300 € environ. Ce Maître-Achat vous permet d’économiserjusqu’à 485 € par rapport au modè-le le plus cher de notre test, l’Hus-qvarna Opal 650. N’hésitez pas àfaire le tour des vendeurs et n’ache-tez pas dans le premier magasinvenu : les prix varient. Et si vous es-timez malgré tout que la sommereste coquette, nous vous recom-mandons notre choix le plus avan-tageux : la Singer 8280P/Magic, unemachine de qualité correcte à unprix très séduisant !

Budget : minimum300€


06 ESCAPADE 07ESCAPADE


PALERME,l’arabe européenne8 Palerme offre un contraste saisissant entre la classe italienne et ses

origines arabes

A Pour les touristes, qui dit Si-cile dit les plages de Cefalu, lesvestiges romains d’Agrigenteou la sublime région de Catane,en prime rehaussée par une vueimprenable sur l’Etna. De l’exté-rieur, le visage de Palerme estmoins reluisant que celui deses sœurs. Et pourtant…

Passage obligé pour les tou-ristes avant que Ryanair nevienne desservir quelques aéro-ports de province, Palerme mé-rite une meilleure réputationque celle de grande ville sansintérêt. Chef-lieu et plus grandecité de Sicile avec plus de700.000 habitants, la cité pa-lermitaine est sans doute laplus surprenante de l’île ita-lienne. En tout cas, elle a parfai-tement su tirer profit des diffé-rentes dominations auxquelleselle a fait face.

Gaetano, gérant d’un des in-nombrables bed and breakfastnichés à Palerme, résume la si-tuation : “Palerme est, avec Mar-seille et le Barcelone d’il y a vingtans, la ville européenne la plusproche de l’Afrique sur le planculturel. Elle a gardé son authen-ticité et, qu’on l’aime ou pas, ellene laisse pas indifférent.”

Le vieux quartier de la Vucci-ria, où le temps semble s’êtrearrêté depuis quelques décen-nies, constitue le plus bel exem-ple de cet héritage arabo-byzan-tin. À deux pas du centre-ville etdes boutiques de luxe de la viaLiberta, la Vucciria transporteses visiteurs dans les dédales deTunis ou de Marrakech.

Vucciria (NdlR : descendant

du terme boucherie), c’est unmarché le jour. Mais le soir, lapetite place et ses ruelles avoisi-nantes se transforment en unlieu de rassemblement incon-tournable pour la jeunesse dePalerme, dans un décor surna-turel.

Au menu : barbecue de vian-des ou de poissons (qui gisentau milieu de la rue depuis lematin…) et bars à foison. Cer-tains proposant le Mojito à2,50 €. D’autres, plus sélects lesuns que les autres au fur et àmesure qu’on s’approche duport, ont les faveurs des plus re-gardants en termes d’hygiène.

UN LONG WEEK-END sur placene sera pas de trop pour décou-vrir toutes les richesses de Pa-lerme, parmi lesquelles les pa-lais des Normands, la cathé-drale, le couvent des Capucinsou le théâtre Massimo, un desplus vastes d’Europe. Entredeux visites, la brioche glacéetypiquement sicilienne s’im-pose. Bien que réputée assezchère, la Sicile n’en reste pasmoins bon marché en ce quiconcerne la nourriture. Comp-tez entre 3 et 8 € pour unepizza. À consommer sans modé-ration…

Kevin Centorame: Le quartier de la Vucciria constitue un lieu de visite incontournable. © D. R.

DOLCE VITAau pays de la Mafia8 Le peuple sicilien s’oppose enfin, et de façon organisée, au racket

A En Sicile, il y a eu une vieavant et après 1992. Cette an-née-là, à moins de deux moisd’intervalle, l’île italienne futtémoin de l’assassinat desdeux juges anti-Mafia, Gio-vanni Falcone et Paolo Borsel-lino. Depuis, une vraie frondecontre le crime organisé et,donc, antiracket s’est organi-sée au pays de Corleone.

Il ne faut pas aller jusqu’àce petit village de la provincede Palerme qui a vu naîtreToto Riina, le parrain des par-rains, pour trouver trace de laMafia. À Palerme, l’aéroport aété rebaptisé Falcone-Borsel-lino en hommage aux deuxjuges tués à l’explosif, quicontinuent à vivre à traversune statue à leur effigie à l’in-térieur du terminal. Bref, pas

de quoi entretenir le mythed’une famille rendue célèbrepar le film Le Parrain. Car sielle fascine à l’étranger, laMafia agace la Sicile. Sa Sicile.

Ces dernières années, denombreux drapeaux anti-Ma-fia ont fleuri sur les toits desinfrastructures publiques. Età Palerme, impossible de pas-ser à côté d’autocollants po-sés sur les bancs et appelant àla fin du racket (NdlR : pizzo).

QUE LES TOURISTES rejoi-gnent toutefois la Sicile sanscrainte : les costumes troispièces et autres Borsalino ontdisparu du paysage.

“Dire que la Mafia a disparuserait travestir la vérité”, nousinforme un guide local. “Di-sons plutôt qu’elle s’est adaptée

au ras-le-bol de la population.La crise aidant, les commercesde proximité ont disparu peu àpeu. Or, sans eux, le racket nepeut plus exister, d’autant queles jeunes entrepreneurs n’ontplus peur d’alerter les médias.Aujourd’hui, la Mafia s’est dé-

veloppée. Elle construit desautoroutes via les entreprisesde travaux publics qu’elle di-rige.”

C’est cela, l’Italie. Mais heu-reusement, ses atouts sontbien plus nombreux encore…

K. C.

: Aucune trace de la Mafia à Palerme, ni à Mondello, la coquette station balnéaire toute proche. © CENTORAME

PALERME Il existe plusieursmanières de rallier la Sicile.Depuis quelques années, lecombiné voiture-bateau utili-sé par la première générationd’Italiens à avoir émigré versle nord de l’Europe a laisséplace à l’avion. Plus rapide,voire meilleur marché sur-tout si on opte pour Ryanair,l’avion offre en prime la pos-sibilité de choisir parmi plu-sieurs destinations : Palerme(via Brussels Airlines), Trapa-ni (Ryanair) ou Catane (Brus-sels Airlines et Ryanair).

Ensuite, et même si circu-ler (la main droite sur leklaxon) et se garer en ville re-lèvent de la gageure, la loca-tion de voiture fait figure demust, afin d’emprunter lesautoroutes (désertes) quimènent aux quatre coinsd’une superbe île qui ne lais-sera personne indifférent.Montagne ou mer, et parfoisles deux en même temps,sont à portée de main oùqu’on se trouve.

K. C.

Palerme, Cataneou Trapani

Parez-vous d’orPOUR L’ÉTÉ8 La dernière innovation en date de la mode

italienne déferle en Belgique et illumine la peaudes divas avec des bijoux de peau en or 24 carats

A Vous rêvez de briller dans lessoirées les plus jet-sets del’été ? Avec Goldsin, vous aveztous les atouts pour faire un ef-fet bœuf. Venus d’Italie, pays ôcombien réputé pour la mode,ces petits bijoux en or 24 ca-rats ou en argent s’appliquentà même la peau, façon ta-touage.

L’ENTREPRISE GENEFINITY, àqui l’on doit le développementdes Gold Sin Jewels, est appa-rue en 2006 sous la formed’une spin-off de l’universitéde Trieste. Il a fallu des annéesde recherche pour mettre aupoint ce procédé de produc-tion des plus complexes. Cen’est donc qu’en mars 2012qu’a pu commencer la phasede commercialisation de cesbijoux de peau extrêmementraffinés. Pour l’instant, l’entre-prise italienne crée ses élé-gants accessoires en collabora-tion avec Claudio Gussini, un

créateur de bijoux de forma-tion classique.

“Les gens ont réussi à prendrele contrôle de pratiquement tousles aspects de leur vie”, ex-plique Davide De-plano, Marke-ting Managerchez Gold SinJewels. “Maisnous n’avonstoujours pasd’ascendantsur le temps.Tout va très vitedans notre société etces changements permanentssont devenus la norme. Tout esttemporaire : l’amour, les rela-tions humaines, la vie elle-même.Gold Sin Jewels s’inscrit doncparfaitement dans ce type de so-ciété en tant qu’accessoire deluxe éphémère. L’objectif de nosproduits est en effet de surpren-dre à chaque fois et d’égayer cha-que nouvelle occasion à l’aided’un nouveau bijou temporaire.

Le nouveau luxe, c’est le luxeéphémère.”

Mais pendant combien de

temps exactement peut-onprofiter de ce luxe tempo-raire ? Cela dépend notam-ment de votre type de peau etde l’endroit où vous placez vo-tre bijou, mais celui-ci peut il-luminer votre corps environtrois à quatre jours. Il fautnéanmoins que le Gold SinJewel soit apposé en toute sé-curité. Il est recommandé deprendre le soin et les précau-tions nécessaires si l’on veutprofiter de son accessoire uncertain temps. Et lorsqu’on en-lève le produit, il ne subsisterien à la surface ou en dessousde la peau. Tous les compo-

sants qui entrent en contactavec votre peau sont en effet100 % naturels. La sécurité esten outre garantie par le condi-tionnement scellé et indivi-duel. Il faut uniquement tenircompte de la durée de conser-vation des Gold Sin Jewels : en-viron un an après la date deproduction.

GOLD SIN JEWELS lance actuel-lement quatre collections enor 24 carats et en argent 9/9/9.Pas moins de 88 bijoux de peaudifférents (44 en argent et 44en or), à partir de 5 €. Le luxe, àla portée de tous.

: De l’or 24 carats pour un bijou éphémère qui épouse la peau. © GOLDSIN

“Lenouveau luxe,c’est le luxeéphémère”

FUN, DESIGNet très tendance8 NIKI, le nouveau diffuseur de parfumde voiture, en passe de devenirl’accessoire fashion indispensableaux amateurs de tendanceA Avec son prix tout doux (10,95 €) et ses rechargesaux senteurs 100 % naturelles, sans additifs chimi-ques, respectueuses de l’environnement et accessi-bles (4,95 €), NIKI a été conçu pour devenir le compa-gnon ludique, portable et design de celles et ceuxqui soignent leur allure jusqu’à l’intérieur de leurauto. Son fonctionnement est aussi simple que ses li-gnes sont épurées : on clipse NIKI sur la grille duventilateur, et la circulation d’air diffuse l’un des 10parfums étudiés pour les femmes et pour les hom-mes, pensés pour rendre chaque déplacement plusagréable. Le petit bonhomme NIKI est disponibledans un panel de différentes couleurs (10) et motifsétudiés pour correspondre à tous les styles de véhi-cules, de la petite citadine pratique à la confortableberline. Il crée le lien entre la mode et le design auto-mobile. En Italie, la presse présente déjà NIKI comme

un accessoire de mode, au même titre qu’un sac ouun bijou. Particulièrement user friendly, on pourrachanger de diffuseur comme on change de chaussu-res.

DORIAN MARÉE, la jeune entrepreneuse à l’origine duconcept store où l’on retrouve NIKI et bien d’autresproduits, l’a voulu tourné vers le design, l’innovationet le high-tech, avec des produits signés à 60 % pardes créatifs belges, européens pour les autres. Elle alancé cette boutique unique à Wemmel en novem-bre 2013, par amour de l’innovation et du design, etpassion des technologies d’avenir.

Elle entend y proposer des alternatives aux objetsusuels convenus. En plus de la multitude d’objetsquotidiennement renouvelés, Dorian a ajouté à sa sé-lection sa propre collection de tee-shirts légers etpleins d’humour, sur le thème du chihuahua, qui sé-duit déjà toutes les générations. Luminaires et mobi-lier en éditions limitées permettent au magasin dechanger de décor pratiquement à chaque vente.

SON OBJECTIF : offrir régulièrement ses découvertespour colorer la vie de ses clients, venus de tous hori-zons, de toutes catégories sociales, et de tous âges.Avec son souci de la tendance, et sa sélection à petitprix, Me&My est résolument transgénérationnelle. Leconcept store est ouvert du mardi au samedi de11 heures à 19 heures, le dimanche et tous les jours fé-riés de 9 heures à 16 heures.

EN SAVOIR PLUS

Adresse : Me&MyKam 51780 Wemmel02/532.51.00

: Très sympas, les nouveaux déodorants pour voiture signés NIKI. © D. R.

C’est neuf, c’est in !PAR VINCENT SCHMIDT

ESCAPADEPAR KEVIN CENTORAME

Le quartier de laVucciria fait penseraux souks arabes,l’alcool en plus


07ESCAPADE


Parez-vous d’orPOUR L’ÉTÉ8 La dernière innovation en date de la mode

italienne déferle en Belgique et illumine la peaudes divas avec des bijoux de peau en or 24 carats

A Vous rêvez de briller dans lessoirées les plus jet-sets del’été ? Avec Goldsin, vous aveztous les atouts pour faire un ef-fet bœuf. Venus d’Italie, pays ôcombien réputé pour la mode,ces petits bijoux en or 24 ca-rats ou en argent s’appliquentà même la peau, façon ta-touage.

L’ENTREPRISE GENEFINITY, àqui l’on doit le développementdes Gold Sin Jewels, est appa-rue en 2006 sous la formed’une spin-off de l’universitéde Trieste. Il a fallu des annéesde recherche pour mettre aupoint ce procédé de produc-tion des plus complexes. Cen’est donc qu’en mars 2012qu’a pu commencer la phasede commercialisation de cesbijoux de peau extrêmementraffinés. Pour l’instant, l’entre-prise italienne crée ses élé-gants accessoires en collabora-tion avec Claudio Gussini, un

créateur de bijoux de forma-tion classique.

“Les gens ont réussi à prendrele contrôle de pratiquement tousles aspects de leur vie”, ex-plique Davide De-plano, Marke-ting Managerchez Gold SinJewels. “Maisnous n’avonstoujours pasd’ascendantsur le temps.Tout va très vitedans notre société etces changements permanentssont devenus la norme. Tout esttemporaire : l’amour, les rela-tions humaines, la vie elle-même.Gold Sin Jewels s’inscrit doncparfaitement dans ce type de so-ciété en tant qu’accessoire deluxe éphémère. L’objectif de nosproduits est en effet de surpren-dre à chaque fois et d’égayer cha-que nouvelle occasion à l’aided’un nouveau bijou temporaire.

Le nouveau luxe, c’est le luxeéphémère.”

Mais pendant combien de

temps exactement peut-onprofiter de ce luxe tempo-raire ? Cela dépend notam-ment de votre type de peau etde l’endroit où vous placez vo-tre bijou, mais celui-ci peut il-luminer votre corps environtrois à quatre jours. Il fautnéanmoins que le Gold SinJewel soit apposé en toute sé-curité. Il est recommandé deprendre le soin et les précau-tions nécessaires si l’on veutprofiter de son accessoire uncertain temps. Et lorsqu’on en-lève le produit, il ne subsisterien à la surface ou en dessousde la peau. Tous les compo-

sants qui entrent en contactavec votre peau sont en effet100 % naturels. La sécurité esten outre garantie par le condi-tionnement scellé et indivi-duel. Il faut uniquement tenircompte de la durée de conser-vation des Gold Sin Jewels : en-viron un an après la date deproduction.

GOLD SIN JEWELS lance actuel-lement quatre collections enor 24 carats et en argent 9/9/9.Pas moins de 88 bijoux de peaudifférents (44 en argent et 44en or), à partir de 5 €. Le luxe, àla portée de tous.

: De l’or 24 carats pour un bijou éphémère qui épouse la peau. © GOLDSIN

“Lenouveau luxe,c’est le luxeéphémère”

FUN, DESIGNet très tendance8 NIKI, le nouveau diffuseur de parfumde voiture, en passe de devenirl’accessoire fashion indispensableaux amateurs de tendanceA Avec son prix tout doux (10,95 €) et ses rechargesaux senteurs 100 % naturelles, sans additifs chimi-ques, respectueuses de l’environnement et accessi-bles (4,95 €), NIKI a été conçu pour devenir le compa-gnon ludique, portable et design de celles et ceuxqui soignent leur allure jusqu’à l’intérieur de leurauto. Son fonctionnement est aussi simple que ses li-gnes sont épurées : on clipse NIKI sur la grille duventilateur, et la circulation d’air diffuse l’un des 10parfums étudiés pour les femmes et pour les hom-mes, pensés pour rendre chaque déplacement plusagréable. Le petit bonhomme NIKI est disponibledans un panel de différentes couleurs (10) et motifsétudiés pour correspondre à tous les styles de véhi-cules, de la petite citadine pratique à la confortableberline. Il crée le lien entre la mode et le design auto-mobile. En Italie, la presse présente déjà NIKI comme

un accessoire de mode, au même titre qu’un sac ouun bijou. Particulièrement user friendly, on pourrachanger de diffuseur comme on change de chaussu-res.

DORIAN MARÉE, la jeune entrepreneuse à l’origine duconcept store où l’on retrouve NIKI et bien d’autresproduits, l’a voulu tourné vers le design, l’innovationet le high-tech, avec des produits signés à 60 % pardes créatifs belges, européens pour les autres. Elle alancé cette boutique unique à Wemmel en novem-bre 2013, par amour de l’innovation et du design, etpassion des technologies d’avenir.

Elle entend y proposer des alternatives aux objetsusuels convenus. En plus de la multitude d’objetsquotidiennement renouvelés, Dorian a ajouté à sa sé-lection sa propre collection de tee-shirts légers etpleins d’humour, sur le thème du chihuahua, qui sé-duit déjà toutes les générations. Luminaires et mobi-lier en éditions limitées permettent au magasin dechanger de décor pratiquement à chaque vente.

SON OBJECTIF : offrir régulièrement ses découvertespour colorer la vie de ses clients, venus de tous hori-zons, de toutes catégories sociales, et de tous âges.Avec son souci de la tendance, et sa sélection à petitprix, Me&My est résolument transgénérationnelle. Leconcept store est ouvert du mardi au samedi de11 heures à 19 heures, le dimanche et tous les jours fé-riés de 9 heures à 16 heures.

EN SAVOIR PLUS

Adresse : Me&MyKam 51780 Wemmel02/532.51.00

: Très sympas, les nouveaux déodorants pour voiture signés NIKI. © D. R.

C’est neuf, c’est in !PAR VINCENT SCHMIDT


08 HIGH-TECH 09HIGH-TECH


L’ASTUCE

Théoriquement, il faut posséder un compte déve-loppeur pour profiter, en ce moment, d’iOS 8 surson iPhone ou iPad. Théoriquement… Pour les trèspressés, avides de déjà tester les nouveautés dusoft, un contournement est possible. Il consiste enle téléchargementdu firmware d’iOS 8sur Internet (trèsfacilement trouvablevia Google) sousforme de fichierIPSW. Il faut ensuiteconnecter soniDevice au PC, lanceriTunes et cliquer sur “Rechercher une mise à jour”tout en maintenant la touche ALT, ce qui ouvriraune fenêtre qui vous permettra d’installer le firm-ware que vous venez de télécharger.La manipulation n’est ni compliquée ni illégale ensoi. Mais nous le déconseillons très vivement !D’une part, parce qu’il s’agit d’une version bêta 1,forcément instable. Très, d’après nos expérimenta-tions. Ensuite, parce que les risques de resterbloqué à l’étape de l’activation sont importants.Enfin, parce qu’il ne vous faudra jamais éteindrel’iPhone durant la durée de test, sous peine de vousvoir contraint d’entrer les identifiants de votrecompte développeur au prochain redémarrage… Leplus sage est sans doute d’attendre l’automne, et laversion définitive. Ou, au minimum, une bêta 2 unpeu plus stable.

Commentavoir, déjà,iOS 8?

8 Possesseurs d’iPhone et d’iPad, les choses sont en passe de changerpour vous. Légèrement, mais en mieux. Tour de piste en huit étapes

A Sur une douce mélodie decontinuité plus qu’un air révo-lutionnaire, Apple a entamé lahuitième symphonie d’iOS – lesystème mobile qui fait fonc-tionner les iPad et iPhone dumonde entier – lundi dernier,lors de la Worldwide Develo-per’s Conference. Où il a, égale-ment, levé le voile sur Mac OS

10.10 Yosemite, plus que jamaispensé pour fonctionner en har-monie avec les iDevices.

SI LA PLUS GROSSE annonce,technique, ne concerne pas lesconsommateurs (il s’agit duchangement de langage de pro-grammation des apps, qui dé-laissent Objective C pour Swift,

ce qui veut dire que les déve-loppeurs devront écrire les appsqu’on aime tant en parlant unenouvelle langue informatique),il y a tout de même des muta-tions notables au programme.

Retour, en images et en mots,sur ce qui va changer pourvous.

A. Ca

New-TechPAR ALEXIS CARANTONIS

Un, pardon,des nouveaux claviers

: La saisie prédictive arrive dans iOS 8.

AP

PLE

Les apps de remise en forme/santé pullulent sur l’AppStore comme le rhume des foins dans nos mouchoirsen ce moment. Apple a donc, surfant sur la mode de lasanté connectée, entrepris la création d’une app debase, qui concentrera toutes les données recueilliespar vos apps santé en un même point. Pouls, caloriesbrûlées, nombre de pas effectués,glycémie, poids,qualité du som-meil… On atten-dra de voir pourjuger sur pièces.

Santé, iHealth !

: Une vueglobale survos pouls,sommeil,poids etcaloriesbrûlées… A

PP

LE

Le service Spotlight, que vous appelez sur votre iPhone/iPad en faisant glisser votre doigt vers le bas de l’écran à partirdu milieu de celui-ci, ce n’est rien d’autre que la fonction de re-cherche (d’un fichier, une photo, uneapp,…) de ce qui est stocké survotre téléphone. Enfin, c’était !Avec iOS 8, Spotlight est dé-sormais capable de recher-cher tout ce qui se trouve surl’App Store, iTunes mais aussicertains services web (Wiki-pedia, par exemple), façonmini-moteur de recherche.Bien vu.

Spotlight beaucoup plus malin

AP

PLE

L’app Messages (qui englobe le service iMessages) permetdésormais, en plus de l’inclusion de photos et des vidéos, d’en-voyer sa position géographique, sous forme de carte. Le plus

sympa ? La fonc-tion tap to talk,qui permetd’ajouter unmessage vocalde quelques se-condes à uneconversationtexte, en main-tenant toutsimplement unbouton appuyéalors que l’onparle.

Messages : son et géolocalisation

AP

PLE

C’est la fonction la plus nova-trice, mais aussi celle sur la-quelle Apple s’est montré lemoins prolixe. À peine sait-onqu’avec Homekit, couplé aumatériel adéquat (Apple adéjà signé avec Philips, Wi-thinngs, et bien d’autres),l’utilisateur pourra contrôlerses volets, lumières, porte degarage, thermostat et serru-res dà distance, directementdepuis son iPhone. C’est lapremière incursion d’Applevers la domotique, et quandon connaît le potentiel de laPomme à rendre mainstreamdes technos (erronément)jugées pointues et élitistes,c’est très prometteur. Le toutpourra être piloté à la voix vial’assistant vocal Siri (qui, parailleurs, intègre 22 nouveauxlangages et le service Sha-zam, capable d’identifier unechanson).

Homekit,l’ouverture

domotique

: Le logo de Homekit.

AP

PLE

C’était un des changements d’iOS 7 :pour voir les apps en cours de fonc-tionnement (et les fermer en les jetantvers le haut pour gratter un rabiot debatterie, la gestuelle est ultra-couran-te) et donc appeler l’interface de mul-titasking, il fallait appuyer deux foissur le bouton home. Cela ne changepas avec iOS 8, mais on rajoute un ser-vice qui sera très apprécié : les rac-courcis de ses contacts favoris, et despersonnes avec qui vous avez derniè-rement échangé. Ces raccourcis, sousforme de vignettes photos, permet-tront encore de gagner du temps.

Un multitâcheamélioré

Côté convergence, on pouvait déjà, à l’instarde ce que propose Microsoft avec Outlook,entamer un travail sur Mac et le consulter(voir le finir) sur iPad ou iPhone. Mais iOS 8et Mac OS 10.10 Yosemite, définitivementfaits pour s’entendre, vont bien plus loin.Partage de la connexion du téléphone vers leMac (en mode modem) d’un simple clic, con-sultation de ses SMS en temps réel sur leMac, prise et passage d’appels effectués ou

émis depuis votre iPhone directement surl’ordinateur… Intéressant, pour ceux qui

sont en écosytème full Apple.

Téléphoner avec son Mac

: Convergence totale entre iOS et Mac.

AP

PLE

Depuis qu’iOS 7 a introduit lejudicieux (mais largementinspiré de ce qu’Android faitdepuis… longtemps) centrede notifications, un indénia-ble gain de temps a été ap-porté aux iAddicts. Mais il yavait moyen de faire mieuxencore. Comme, par exem-ple, liker un contenu Face-book directement depuis leNotification Center ou, sur-tout, répondre à un SMSd’emblée, sans avoir à ouvrirl’app Messages.

Un centrede notifications

amélioré

: On pourra enfin répondre sans passer par l’app Messages.

AP

PLE

9/10Près de neuf utilisateurs d’iPhone et d’iPad sur

10 ont installé iOS 7. Un taux d’adoption impressionnant, que Tim Cook ne s’est pas privé

de comparer à celui de la dernière itération d’Android, KitKat, qui couvre seulement 13,6 %

de l’audience totale d’Android.

LG: jamais G2 sans G38 Premier smartphone à débouler en Europeavec un écran Quad HD, le G3 promet

A Si LG jalouse la place très en-viée de son homologue coréenSamsung sur l’escalier (le mon-te-charge, plutôt) du marché dessmartphones, son ambitioncroît sans cesse. De smartphoneen smartphone, de modèlephare en modèle phare, LG pro-gresse sur tous les plans. Techni-que embarquée, finition, design,prise en main,…

Le tout chaud G3 en est lapreuve ultime. Ce modèle, pourLG, est l’équivalent du SamsungGalaxy S5, de l’iPhone 5S d’Apple,du One M8 de HTC, du Xperia Z2de Sony. La bête, le vaisseau ami-ral. Un terminal haut de gammequi, contrairement au G2 et sacoque arrière en plastique, separe cette fois d’un ornementmétallique (une bonne imita-tion, pas de l’alu véritable, coûtsobligent) décliné en noir, blanc,rouge, or, et bleu-mauve de bienmeilleur aloi. Ainsi que d’unécran qui s’annonce canon…

LE G3 EMBARQUE en effet le pre-mier écran Quad HD qu’onpourra trouver sur un smart-phone en Europe. Cette résolu-tion d’écran, quatre fois supé-rieure à la HD de base, rend2.560 x 1.440 pixels (contre 1.280x 720 sur la plupart des écransde smartphone, 1.920 x 1.080pour les écrans Full HD). Celapermettra une netteté d’une pré-cision chirurgicale, mais il est lé-gitime de s’interroger sur la per-tinence de cette qualité de réso-lution sur un écran aussi petit…

Enfin, petit, il faut le dire vite :le G3 s’étale tout de même sur5,5 pouces ! Ce qui en fait biensûr un grand téléphone, mêmesi on apprécie le travail de maxi-misation de l’espace. Pratique-ment à bords perdus en certains

points, le G3 consacre 76 % de saface avant à l’écran. Un très bonratio.

SOUS LE CAPOT, c’est évidem-ment très costaud. Mais pas dansla surenchère non plus. En fait,LG s’aligne sur sa concurrencedirecte. Le processeur qui pro-met à Android KitKat de ronron-ner sans accroc est un quad-coreQualcomm SnapDragon 801 –oui, le même que le Galaxy S5. Enmémoire vive, tout dépend desversions : 2 Go animeront la ver-sion 16 Go de stockage, 3 Go deRAM soutiendront la mouture 32Go. Sachant qu’un port d’exten-sion de mémoire microSD estbien de la partie, en 16 commeen 32 Go.

Côté image, c’est un conforta-ble objectif photo de 13 méga-pixels qui est monté au dos du

G3 (2,1 mp en caméra frontale). Ils’accompagne d’un stabilisateurd’image optique, et, c’est nou-veau, d’un processus de mise aupoint… laser. Il permettra d’ef-fectuer la netteté avec grandeprécision, et de manière trèsprompte (0,276 seconde an-noncé).

Une batterie (amovible) de3.000 mAh devrait garantir auG3 de passer la soirée sans en-combre, encore qu’il faille voircomment la gestion énergétiquede l’écran Quad-HD (forcémentplus glouton) a été calibrée…

SI LE PRIX DU G3 restait secret dé-fense, comme d’hab, Amazon l’atrahi en annonçant la version 16Go à 599 €. Soit moins que tousses concurrents directs. Le G3 n’apas encore trouvé de date de sor-tie belge officielle, mais il nemettra pas des mois à nous par-venir. Définitivement un smart-phone intéressant.

A. Ca.

: Avec safinition look métal

brossé, son grand écranQuad-HD (5,5 pouces) à

bords quasi perdus et sa mise au point laser, le G3 bombe le torse devant ses rivaux… © LG

LE GADGET

Vous cherchez une solution simple, légère, design, colorée etestivale pour faire sortir la musique de votre smartphone et ryth-mer comme il se doit barbecues et séances de bronzette ? Avecune précision d’agenda chirurgicale, Logitech annonce une nou-velle enceinte nomade de diffusion de musique sans-fil, la X300.Elle se démarque par saconception anguleuse, quilui permet de fourrer leshaut-parleurs orientésd’une manière, dixit lefabricant, optimale. Logi-tech pousse même l’emphase jusqu’à évoquer “un son de qualité dehome cinéma”, ce qui nous fait doucement rire. Dispo en quatre

coloris, la X300 embarquera une batterie qui promet5 heures d’autonomie. Elle sera capable de jouer

toute source sonore émise depuis un terminalBluetooth, donc à une portée de 10 mètres

maximum. Sa recharge s’assure viamicro-USB. Elle sera disponible enaoût, pour 69 €.

Logitech X300,le tube de l’été ?

iOS 8 : nouveautés

SOUS LA LOUPE

Élément prépondérant des terminaux mobiles depuisla percée du tactile, le clavier virtuel made in Apple n’aévolué que par touchettes depuis 2007. iOS 8 va chan-ger la donne. En effet, le clavier officiel va intégrer lasaisie prédictive, qui essayera de deviner les mots quevous êtes en train d’écrire, selon le contexte. Mais cen’est pas tout : Apple s’ouvre enfin aux utilisateurstiers ! Il vous sera donc bientôt possible de téléchar-ger, sur l’App Store, le clavier de votre choix. Enfin !

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09HIGH-TECH


Le service Spotlight, que vous appelez sur votre iPhone/iPad en faisant glisser votre doigt vers le bas de l’écran à partirdu milieu de celui-ci, ce n’est rien d’autre que la fonction de re-cherche (d’un fichier, une photo, uneapp,…) de ce qui est stocké survotre téléphone. Enfin, c’était !Avec iOS 8, Spotlight est dé-sormais capable de recher-cher tout ce qui se trouve surl’App Store, iTunes mais aussicertains services web (Wiki-pedia, par exemple), façonmini-moteur de recherche.Bien vu.

Spotlight beaucoup plus malin

AP

PLE

L’app Messages (qui englobe le service iMessages) permetdésormais, en plus de l’inclusion de photos et des vidéos, d’en-voyer sa position géographique, sous forme de carte. Le plus

sympa ? La fonc-tion tap to talk,qui permetd’ajouter unmessage vocalde quelques se-condes à uneconversationtexte, en main-tenant toutsimplement unbouton appuyéalors que l’onparle.

Messages : son et géolocalisation

AP

PLE

C’était un des changements d’iOS 7 :pour voir les apps en cours de fonc-tionnement (et les fermer en les jetantvers le haut pour gratter un rabiot debatterie, la gestuelle est ultra-couran-te) et donc appeler l’interface de mul-titasking, il fallait appuyer deux foissur le bouton home. Cela ne changepas avec iOS 8, mais on rajoute un ser-vice qui sera très apprécié : les rac-courcis de ses contacts favoris, et despersonnes avec qui vous avez derniè-rement échangé. Ces raccourcis, sousforme de vignettes photos, permet-tront encore de gagner du temps.

Un multitâcheamélioré

9/10Près de neuf utilisateurs d’iPhone et d’iPad sur

10 ont installé iOS 7. Un taux d’adoption impressionnant, que Tim Cook ne s’est pas privé

de comparer à celui de la dernière itération d’Android, KitKat, qui couvre seulement 13,6 %

de l’audience totale d’Android.

LG: jamais G2 sans G38 Premier smartphone à débouler en Europeavec un écran Quad HD, le G3 promet

A Si LG jalouse la place très en-viée de son homologue coréenSamsung sur l’escalier (le mon-te-charge, plutôt) du marché dessmartphones, son ambitioncroît sans cesse. De smartphoneen smartphone, de modèlephare en modèle phare, LG pro-gresse sur tous les plans. Techni-que embarquée, finition, design,prise en main,…

Le tout chaud G3 en est lapreuve ultime. Ce modèle, pourLG, est l’équivalent du SamsungGalaxy S5, de l’iPhone 5S d’Apple,du One M8 de HTC, du Xperia Z2de Sony. La bête, le vaisseau ami-ral. Un terminal haut de gammequi, contrairement au G2 et sacoque arrière en plastique, separe cette fois d’un ornementmétallique (une bonne imita-tion, pas de l’alu véritable, coûtsobligent) décliné en noir, blanc,rouge, or, et bleu-mauve de bienmeilleur aloi. Ainsi que d’unécran qui s’annonce canon…

LE G3 EMBARQUE en effet le pre-mier écran Quad HD qu’onpourra trouver sur un smart-phone en Europe. Cette résolu-tion d’écran, quatre fois supé-rieure à la HD de base, rend2.560 x 1.440 pixels (contre 1.280x 720 sur la plupart des écransde smartphone, 1.920 x 1.080pour les écrans Full HD). Celapermettra une netteté d’une pré-cision chirurgicale, mais il est lé-gitime de s’interroger sur la per-tinence de cette qualité de réso-lution sur un écran aussi petit…

Enfin, petit, il faut le dire vite :le G3 s’étale tout de même sur5,5 pouces ! Ce qui en fait biensûr un grand téléphone, mêmesi on apprécie le travail de maxi-misation de l’espace. Pratique-ment à bords perdus en certains

points, le G3 consacre 76 % de saface avant à l’écran. Un très bonratio.

SOUS LE CAPOT, c’est évidem-ment très costaud. Mais pas dansla surenchère non plus. En fait,LG s’aligne sur sa concurrencedirecte. Le processeur qui pro-met à Android KitKat de ronron-ner sans accroc est un quad-coreQualcomm SnapDragon 801 –oui, le même que le Galaxy S5. Enmémoire vive, tout dépend desversions : 2 Go animeront la ver-sion 16 Go de stockage, 3 Go deRAM soutiendront la mouture 32Go. Sachant qu’un port d’exten-sion de mémoire microSD estbien de la partie, en 16 commeen 32 Go.

Côté image, c’est un conforta-ble objectif photo de 13 méga-pixels qui est monté au dos du

G3 (2,1 mp en caméra frontale). Ils’accompagne d’un stabilisateurd’image optique, et, c’est nou-veau, d’un processus de mise aupoint… laser. Il permettra d’ef-fectuer la netteté avec grandeprécision, et de manière trèsprompte (0,276 seconde an-noncé).

Une batterie (amovible) de3.000 mAh devrait garantir auG3 de passer la soirée sans en-combre, encore qu’il faille voircomment la gestion énergétiquede l’écran Quad-HD (forcémentplus glouton) a été calibrée…

SI LE PRIX DU G3 restait secret dé-fense, comme d’hab, Amazon l’atrahi en annonçant la version 16Go à 599 €. Soit moins que tousses concurrents directs. Le G3 n’apas encore trouvé de date de sor-tie belge officielle, mais il nemettra pas des mois à nous par-venir. Définitivement un smart-phone intéressant.

A. Ca.

: Avec safinition look métal

brossé, son grand écranQuad-HD (5,5 pouces) à

bords quasi perdus et sa mise au point laser, le G3 bombe le torse devant ses rivaux… © LG

LE GADGET

Vous cherchez une solution simple, légère, design, colorée etestivale pour faire sortir la musique de votre smartphone et ryth-mer comme il se doit barbecues et séances de bronzette ? Avecune précision d’agenda chirurgicale, Logitech annonce une nou-velle enceinte nomade de diffusion de musique sans-fil, la X300.Elle se démarque par saconception anguleuse, quilui permet de fourrer leshaut-parleurs orientésd’une manière, dixit lefabricant, optimale. Logi-tech pousse même l’emphase jusqu’à évoquer “un son de qualité dehome cinéma”, ce qui nous fait doucement rire. Dispo en quatre

coloris, la X300 embarquera une batterie qui promet5 heures d’autonomie. Elle sera capable de jouer

toute source sonore émise depuis un terminalBluetooth, donc à une portée de 10 mètres

maximum. Sa recharge s’assure viamicro-USB. Elle sera disponible enaoût, pour 69 €.

Logitech X300,le tube de l’été ?

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10 RECETTES

www.dhPbe I MARDI 10 JUIN 2014 I LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS

INGRÉDIENTS

K 5 biscuits cuillères ¼K 1/4 de litre de jus d’orangeK 250 g de mascarponeK 3 petites meringuesK 100 g de sucreK 100 g de sucre glaceK 20 g d’eauK 2 feuilles de mentheK 4 fraisesK 5 cl de cherry liqueurK 8 mûresK 100 g de glucose pur

PRÉPARATION

K Dans un cul-de-poule, mélan-ger le mascarpone avec le sucre,le cherry, les mûres et fraisespréalablement coupées et le su-cre glace. Réserver au frais.K Tremper les boudoirs 5 s dansle jus d’orange et les disposerautour d’un emporte-pièce (latête du biscuit à hauteur del’emporte-pièce). Dans le milieu,y déposer l’appareil mascarponeet le réserver au frais.K Pour la réalisation des demi-

sphères sucrées, chauffer le glu-cose en casserole 5 à 8 min, lelaisser refroidir et épaissir horsdu feu.K À l’aide d’un pinceau, moulerle Silpat en forme de demi-cer-cle. Laisser prendre en chambrefroide.K Démouler doucement lessphères et les déposer sur lacharlotte. Décorer avec les mû-res et feuilles de menthe.K Verser quelques gouttes surl’assiette de liqueur de cherry.

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DESSERT

Charlotte aux fruits rouges meringuée, arômede cherry, jeunes fraises ou mûres glacées

PLAT

Saint-Jacques poêlées, petit filetde rouget barbet, puréede butternut, herbes comestibles,jus de fanes

INGRÉDIENTS

K 2 noix de Saint-JacquesK 1 demi-filet de rouget barbetK 150 g de butternutK 2 têtes d’asperges vertesK 15 g de cannelle en poudreK Sel, poivre, huile d’olive, beurre¼K 1 quart de botte de fanes decarottesK 1 mandarineK 10 g de gingembre, 10 g de co-riandreK 10 g d’échalotesK 15 g de shisho herbes vertesK 3 piments doux du Chili ¼K 1 quart de betterave chioggiaK 1 chou de BruxellesK 5 cl de jus d’orange

PRÉPARATION

K Couper en dés le butternut, lecuire à l’eau ou au bouillon de lé-gumes. Le mixer avec du beurre,assaisonner et garder au chaud.K Pour la crème de fanes, mixer

les fanes de carottes avec leséchalotes, la mandarine éplu-chée, le gingembre, la coriandre,l’huile d’olive, le sel et poivre.Ajouter un peu de sucre si tropacide. Passer au chinois et tamis,réserver au frais.K Dans une poêle chaude, saisir àl’huile d’olive les Saint-Jacquessaupoudrées légèrement de can-nelle, 30 s de chaque côté.K Saisir à la poêle chaude le filetde rouget 1 min et déglacer avecle jus d’orange.K Cuire les têtes d’asperges 2min à l’eau bouillante et rafraî-chir immédiatement (avec de laglace).K Sur l’ardoise, faire un dôme depurée de butternut et étaler d’uncoup à la cuillère. Déposer lesSaints-Jacques et le filet de rou-get. Décorer avec les pointes d’as-perges, le shisho, les feuilles dechou, le piment du Chili, la bette-rave chioggia en bâtonnets. Don-ner un tour de moulin à poivre etquelques traits de jus de fanes.

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PRÉSENTATION

K Le Châtelain boutique hôtel, c’est aussi l’une deces bonnes tables de la capitale. Tout en élégance,à l’image de l’ensemble de l’établissement, l’assiet-te est une véritable invitation à la gourmandise.Produits de saison mariés aux fleurs et herbes sur-prenantes composent un tableau éphémère dont

la beauté le dispute à la qualité.

INFORMATIONS

K Adresse : Rue du Châtelain, 17, à 1000 Bruxel-lesK Tél. : 02 646 00 55K Fax : 02 646 00 88K Email [email protected]

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LE CHEF DE LA SEMAINE

Le Châtelain, avec Nicolas Gadomski


13JEUX



14 COURRIER


NÉCROLOGIE

Comment faire paraître un avis nécrologique?L Le plus simple est de vous adresser à un entrepreneur de

pompes funèbres, il connaît la procédure à suivre et les tarifs, ilpeut vous proposer des modèles de textes et vous assister envous conseillant et en agissant concrètement.

L Adressez-vous directement au journal : ) 02/211 31 88š [email protected]

COURRIER DES LECTEURS

K “Il faut en trouverpour tous”TRAVAIL “Ce fut lemot d’ordre detous les partis lors de la campagneélectorale de ce 25mai, comme ill’était déjà lors des campagnes tantcommunales que nationales les an-nées précédentes : il faut trouver dutravail pour tous. Eh bien, du travail,il y en a,mais ce quimanque ce sontdes gens qui veulent travailler. La se-maine dernière, c’est un ami garagis-te quime signalait qu’il avait, nor-malement, chez lui, des élèves d’éco-les professionnelles qui doivent venirapprendre lemétier chez lui, deux outrois jours par semaine. Nonante-neuf fois sur cent, lesdits élèves vien-nent un jour voire deux, puis il ne lesvoit plus. Quid dès lors de leurs résul-tats scolaires ? Pas plus tard que cematin, un restaurateur, une sociététrès importante préparant des repaspour plusieurs sites,me signalaitque, ce samedi, il avait eu deux per-sonnes qui sont venues pour tra-vailler, à huit heures dumatin, et qui,toutes deux, sont parties à dix heu-res en disant que ce travail était troppénible pour elles (c’étaient deuxhommes d’environ trente ans) etqu’elles voulaient être libres lesweek-ends et jours fériés,même sielles étaient payées en conséquence.Avec ce travail hors horaires du sa-medi et du dimanche, elles préfé-raient rester au chômage car là ellesétaient libres comme et quand ellesle voulaient. Tirez la conclusionvous-mêmes : des chômeurs profes-sionnels, il y en a pasmal. Et ce nesont pas certains partis plus quegauchistes qui peuvent nous prouverle contraire. Pauvre Belgique, oùvas-tu ?”

Marcel Huge, par courriel

K “Elle reprendde plus belle”RAGE TAXATOIRE “Le prix descigarettes et du tabac va augmenter.On va aligner les prix sur ceux de nosvoisins, car trop bas. Pourquoi ne pasaligner les prix de nos boissons etdenrées alimentaires sur ceux de nosvoisins, les nôtres étant les plus éle-vés ? La réponse est simple. Ce n’estpas notre santé physique qui estdans le collimateurmais la santé denos portefeuilles. La rage taxatoire,et donc la chasse au pognon, reprendde plus belle. Pourquoi nous plaindre,nous avons revoté enmasse pour cesvoleurs. Ceux-ci apportent vraimentla peste dansmes économies.”

Charles Anciaux, par courriel

K “Il serait salutaireque tout un chacunprenne ses distancesvis-à-vis de ce poison”MONDIAL DE FOOTBALL “Lebattage publicitaire qui entoure laCoupe duMonde de football cheznousm’inquiète etm’incite à livrermes réflexions. Pas une heure, pasun lieu où nous ne soyons, d’unema-nière ou d’une autre, envahis par lapublicité faite à l’équipe belge defootball comme si elle allait, à coupsûr, gagner la Coupe duMonde ! Cetintamarremédiatique qui confine àl’intoxicationme paraît psychologi-

quement dangereux car à la premiè-re défaite, inéluctable, face aux té-nors du football européen, américainetmême africain, la désillusion seraà lamesure de l’excitation program-mée pour des intérêts purement éco-nomiques par des gens parfaitementindifférents aux dégâts qu’ils vontcauser. Il serait salutaire que tout unchacun prenne ses distances vis-à-visde ce poison distillé avec inconscien-ce, sinon le désenchantement seraparticulièrement douloureux et ra-vageur.”

Claude Callens, de Namur

K “Depuis que j’aidécortiqué les résultatsdes élections,mon choixest fait”VLAAMSE KUST “J’étais déjà réti-

cent, depuis plusieurs années, àmerendre à laVlaamse kust. Mais,maintenant, depuis que j’ai décorti-qué les résultats des élections,monchoix est fait. Canton de Furnes (LaPanne, Coxyde…) : N-VA31,78%(+ 6,61), canton deNieuport 27,02%(+10,19); canton d’Ostende :27,02% (+ 3,66). Alors, que penser ?À quelques kilomètres de La Panne,les plages françaises nous tendentles bras et pour une heure de voitureen plus, on arrive à la côte d’Opale et,là, il n’y a pas photo.”

Alain Devezon, par courriel

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TÉLÉRENCONTRES

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RENCONTRESparticuliers

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CAPITAUX -ASSURANCES

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LITTORALà louer

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FRANCE

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16 MOTEURS


Classe A surélevée (+ 4 cm) quecomme un modèle à part en-tière. Avec sa carrosserie légère-ment allongée et sa poupe retra-vaillée, la GLA tire davantagevers le break de chasse surélevée.Un style déjà adopté par la décli-naison Cross-Country de la VolvoV40. Ici, inutile de chercher midià quatorze heures : la maisonsuédoise (rachetée par le groupechinois Geely) s’est contentée desurélever très légèrement(+ 1,2 cm…) une V40 et de lui af-fubler un kit carrosserie plussuggestif. Du coup, à vivre, laGLA se montre plus polyvalentegrâce à son grand coffre.

TOUT EN RESTANT à peine plusencombrante pour évoluer enville (4,42 m au total contre 4,37pour la Volvo), la Mercedes li-bère un volume nettement plusvaste (421 l contre 335 l). On enprofitera d’autant plus facile-ment que le seuil de charge-ment reste implanté plusbas et que la largeurd’ouverture du hayon estplus généreuse.

Autre petit avantage pra-tique de la Mercedes : uneoption permet de redresserles dossiers arrière de quel-ques centimètres, tout en leslaissant verrouillés, pour dispo-ser de précieux dm³ supplémen-taires dans le coffre. La Merce-des GLA profite de sa nouvelle li-gne de toit (légèrement plushaute que celle d’une Classe A),

routes. C’est tout le contraire àbord de la GLA. Les sièges sontplus durs et moins confortables.Mais le toucher de route est irré-prochable. Grâce à la suspensionretravaillée, l’amortissement ga-gne clairement en confort parrapport à la Classe A. Excellentenouvelle !

D’autant plus que le compor-tement dynamique n’en souffrepas. Même s’il faut reconnaîtreque la Volvo se montre plus inci-sive en conduite soutenue.

À bord, on apprécie l’excel-lente finition de l’habitacleVolvo. Si la Mercedes n’a pas à dé-mériter sur ce plan, elle ne peutrivaliser sur la qualité des maté-riaux. Quelques plastiques, no-tamment celui qui habille laplanche de bord, se montrent unpeu trop creux pour ce niveau degamme.

Les amateurs d’expéditionsaventureuses se dirigeront

prioritairement vers laGLA. Ils pourront opter

pour une version off-road, avec des sus-

pensions encorerehaussées ainsiqu’une transmis-sion intégrale(disponible surquasiment tou-tes les versions,y compris en die-

sel).Pour disposer

de 4 roues motricessur la Volvo V40

Cross-Country, il fau-dra impérativement op-

ter pour les versions essenceturbo de 180 ou 254 ch. Autantdire qu’on n’en croisera pas

VOLVO V40 CROSS-COUNTRY D2

N LES PLUS1 CONFORT DES SIÈGES2 COMPORTEMENT DYNAMI-QUE3 ÉQUIPEMENT DE SÉCURITÉ COMPLET

O LES MOINS1 AMORTISSEMENT UN PEU FERME2 ACCÈS ET VOLUME DE COFFRE3 TRANSMISSION INTÉ-GRALE RÉSERVÉE AU GROSTURBO ESSENCE

L LA FICHE TECHNIQUELongueur 4,370 mLargeur 1,763 mHauteur 1,458 mCoffre 335 lPoids 1.387 kgConsommation moyenne 3,8 lCylindrée 1.560 ccPuissance 115 ch à 3.600 tr/minCouple 270 Nm (1.750-2.500 tr/min)Vitesse max. 185 km/hAccélérations (de 0 à 100) 11,9 sÉmissions CO2 99 g/kmPrix 25.190 €

MERCEDES GLA 200 CDI

N LES PLUS1 COMPROMIS CONFORT DE MARCHE/COMPORTEMENT2 MOTEUR PERFORMANT3 VOLUME DE COFFRE APPRÉCIABLE4 DISPONIBLE EN 4MATIC

O LES MOINS1 MOTEUR SONORE EN CHARGE2 TARIF COQUET

L LA FICHE TECHNIQUELongueur 4,417 mLargeur 1,804 mHauteur 1,494 mCoffre 421 lPoids 1.505 kgConsommation moyenne 4,4 lCylindrée 2.143 ccPuissance 136 ch (3.400-4.000 tr/min)Couple 300 Nm (1.400-3.000 tr/min)Vitesse max. 205 km/hAccélérations (de 0 à 100) 10,0 sÉmissions CO2 114 g/kmPrix 31.218 €

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Verdict !Plus habitable et libérant un coffre

plus vaste, la GLA se montre plus

polyvalente. D’autant plus que sa hauteur

de caisse plus importante et la disponibilité de

la transmission intégrale sur une plus grande

palette de motorisations l’autorisent aussi à tirer

son épingle du jeu en dehors des sentiers battus.

La Volvo V40 Cross-Country se rattrape avec son

dynamisme plus marqué, ses sièges ergonomi-

ques et sa finition soignée. Et

puis, surtout, par un

prix d’accès plus

abordable…

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8 La tendance SUV n’épargne pas les modèles compacts. Ni les marques premium, bien sûr ! Rencontre entre les versions virilisées

des Mercedes Classe A et Volvo V40

A En dérivant leurs modèles bad-gés X et Q – ça ne s’invente pas ! –à toutes les sauces, BMW et Audiont flairé le bon filon. Les X1 etQ3 devront néanmoins compteravec l’arrivée d’une concurrentede marque : la GLA.

Dérivée étroitement de la nou-velle compacte de Mercedes,cette version se profile néan-moins davantage comme une

pour libérer un sentiment d’es-pace plus généreux à l’arrière.

Identique à celui d’une V40classique, l’habitacle de la Cross-Country semble plus étriqué.Mais 4 adultes pourront déjà yvoyager confortablement. Juste-ment, en parlant de confort,comment ne pas encenser lessièges de la V40 Cross-Country ?Véritables sofas, ils constituent àeux seuls une véritable invita-tion au voyage. On apprécied’autant plus leur présence quele typage des suspensions de laV40 CC s’avère assez ferme. Unpeu trop pour assurer un bon fil-trage des irrégularités sur nos

beaucoup en Belgique…Version d’entrée de gamme en

diesel, le D2 de Volvo (1.6 l turbode 115 ch) brille par sa discrétionet ses prestations honnêtes. Ilmontrera toutefois plus rapide-ment ses limites que le 2.1 l de136 ch que Mercedes propose enentrée de gamme sur la GLA.Cela dit, vu le poids nettementsupérieur du GLA 200 CDI (1.505kg contre 1.387 kg pour la V40 CCD2), les 300 Nm de couple dubloc allemand ne sont pas detrop. Au quotidien, on déploreraen outre l’insonorisation assezmoyenne de ce 2.1 l lors des accé-lérations.

L’actu automobilePAR JEAN-FRANÇOIS CHRISTIAENS

dh 20140610 encart full

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